Les fidèles musulmans ont célébré dans la sobriété, la fête de l'Aïd El Fitr, qui marque la rupture de 30 jours de jeûne. Cette commémoration musulmane qui a eu lieu hier, jeudi 13 mai 2021, coïncide avec la montée de Jésus Christ au ciel. Une belle
Comme à l’accoutumée, l’Ecole internationale Ufuk-Bénin a, une fois encore, témoigné sa solidarité à la communauté musulmane béninoise dans le cadre de la célébration de la Tabaski.
L'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ISESCO) a choisi la ville tunisienne de Kairouan, quatrième ville sainte de l'Islam, comme capitale culturelle islamique pour l'année 2009. La célébration de cet événement a donné lieu à des festivités multidimensionnelles dans cette cité fondée en l'an 670 après Jésus-Christ, et dans diverses autres localités du pays.
A l’instar de leurs frères en islam de la communauté internationale, les musulmans béninois ont célébré, hier, la fête du Ramadan. Ce fut des moments de prières, d’allégresse et surtout, de louanges à Allah qui les aura comblés de ses bienfaits, au terme des 30 jours qu’a duré leur carême. A la place Idi à Akpakpa, c’est l’imam de la Mosquée centrale de Jonquet, El Hadj Aboubakar Ousman en personne qui a dirigé la prière en présence des milliers de fidèles qui, dès les premières heures de la matinée d’hier, avaient investi les lieux.
A l’instar de leurs homologues des autres villes ou localités du Bénin, les fidèles musulmans de Parakou ont également célébré, vendredi 15 juin dernier, l’Aid El Fitr qui consacre la fin du jeûne du mois de Ramadan. Ils ont pris d’assaut les différentes places Idi. C’est pour rendre grâce à Allah et prier pour le Bénin.
La communauté musulmane de Godomey dans la commune d'Abomey-Calavi a également sacrifié dans la matinée d’hier, mardi 15 octobre, à la tradition de l’Aïd al-Kébir encore appelé Tabaski ou fête du mouton. C’était en présence du gouvernement représenté par les ministres Bio Toro Orou Guiwa et Aké Natondé.
A l'instar de leurs homologues du monde entier, les fidèles musulmans d'Akpakpa à Cotonou ont aussi célébré la fête de l'Aïd el Kébir. A l'occasion, c'est l'imam Ibrahim Aboubakar de Akpakpa qui, après avoir conduit la prière pendant plus d'une vingtaine de minutes, a immolé le mouton apprêté pour la circonstance. Ce sacrifice, a été fait, en présence de milliers de fidèles et d'une délégation gouvernementale conduite par te Garde des Sceaux, ministre de la Justice, de la Législation et des Droits de l'Homme, Evelyne da Silva Ahouanto.
Une délégation de la communauté de la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin était dans le département de l’Ouémé, mercredi 23 septembre dernier. Elle a fait don de moutons à des couches vulnérables afin de leur permettre de fêter elles-aussi dans la joie, la Tabaski célébrée hier dans le monde entier.
A l’instar de toutes les communautés musulmanes la communauté de la Jama’at islamique Ahmadiyya de Bohicon a aussi commémoré hier jeudi 24 septembre la Tabaski Pour les Ahmadiyya qui sont à 100% fidèles au saint Coran, la Tabaski est aussi importante. Arif Mahmood, responsable de la mission de la Jama’at islamique Ahmadiyya de Bohicon évoque ici la signification de cette célébration.
Comme leurs coreligionnaires du monde, les fidèles musulmans du Bénin ont célébré, hier mardi 15 octobre, la fête de la Tabaski. C’est à la place Idi SOBETEX d’Akpakpa à Cotonou que l’imam de la Mosquée centrale de Cotonou, Ibrahim Ousmane a conduit la prière puis immolé le mouton comme le prescrit le Coran. La célébration a connu la présence d’un envoyé du gouvernement en la personne de Raphaël Edou, ministre en charge de l’Environnement et des Changements climatiques.
Les fidèles musulmans de Bohicon ne sont pas restés en marge de la célébration de la fête de l’Aïd el Kébir. Hier mardi 15 octobre, ils ont assisté à la traditionnelle immolation de mouton à la place Idi de la commune. Une cérémonie dirigée par Bachir Boukari, intérimaire de l’imam de la Mosquée centrale de Bohicon.
Occasion pour le sacrifice précieux en vue d’implorer la grâce divine et prier pour la paix, la grande fête musulmane Aïd el-kébir ou fête du sacrifice Aïd el-Adha a tenu une fois encore ses promesses à Parakou. Les fidèles musulmans ont communié avec faste sur les places Idi puis dans les maisons dans la joie et l’allégresse, en dépit de la morosité ambiante et la hausse des prix des animaux.
Les fidèles de l’Islam se sont retrouvés hier, jeudi 24 septembre sur les deux places Idi de Lokossa pour la fête de la Tabaski. A l’occasion, ils ont enregistré la visite d’une forte délégation du gouvernement.
La célébration de l'Aïd El Kébir ou Aïd al-Adha, communément appelée fête du mouton ou Tabaski, est un moment de souvenir du sacrifice d'Abraham et de partage recommandé par le Coran. Chaque année, nombre de musulmans burkinabè s'acquittent de ce rituel en immolant un ovin.
Les fidèles musulmans ont sacrifié à la tradition de l’Aïd el Kébir à la place Idi sise derrière l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cadjèhoun. Tôt le matin, ils ont pris d’assaut ladite place où Issiaka Ligali, Imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun a officié, appelant les fidèles à l’obéissance à Dieu et à l’union, en présence de différentes personnalités politico-administratives.
Les fidèles musulmans de la ville de Porto-Novo ont une fois encore sacrifié hier à la tradition de la fête de Tabaski aussi appelée fête de mouton ou l’Aïd el-Kebir. Ils étaient très nombreux à prendre d’assaut la Place Idi de la mosquée centrale de Porto-Novo. Jeunes, vieux, femmes et enfants se sont parés de leurs plus belles tenues pour assister à la traditionnelle prière consacrée à cette fête. Laquelle fête vise à magnifier la dévotion d’Ibrahim, l’Abraham judéo-chrétien, celui à qui Allah a demandé de sacrifier sur un autel son fils (Ismaël pour les musulmans, Isaac pour les chrétiens et les juifs).
Les fidèles musulmans d'Abomey-Calavi ont aussi immolé le mouton, hier jeudi. 24 septembre, en signe de reconnaissance à Allah pour les bienfaits immenses dont ils ne cessent de les combler. C’était à l’occasion de la fête de Tabaski, à la place Idi d’Agori-Plateau.