Cette démarche de la Faib a été saluée à sa juste valeur par le directeur général de l'hôpital. «Votre démarche témoigne de votre attachement à l'unité du pays. Pour nous qui sommes en contact avec vous depuis des années, nous savons que l'islam n'est pas une religion qui prône ce genre de comportements. Nous tenons à vous remercier pour ce témoignage de solidarité envers les patients», s'est-il réjoui.
Dans la soirée du 15 janvier 2016, le temps s’est arrêté sur l’avenue Kwame N’krumah, dans la capitale Ouagadougou et sur tout le Burkina. Ils se sont retrouvés en famille, entre amis ou collègues pour manger, prendre un verre, décompresser et oublier les durs moments de la journée en ce début de weekend. Certains étaient à leur lieu de travail. Mais l’esprit du mal est passé par là. Fauchant sauvagement 30 vies. La capitale Burkinabè venait d’être frappée en plein cœur, par des terroristes.
Dans la soirée du 15 janvier 2016 le temps s’est arrêté sur l’avenue Kwame N’krumah, dans la capitale Ouagadougou et sur tout le Burkina. Ils se sont retrouvés en famille, entre amis ou collègues pour manger, prendre un verre, décompresser et oublier les durs moments de la journée en ce début de weekend. Certains étaient à leurs lieux de travail. Mais l’esprit du mal est passé par là. Fauchant sauvagement 30 vies. La capitale Burkinabè venait d’être frappée en plein cœur, par des terroristes.
Le commissariat de Dassari dans la commune de Materi, a été attaqué dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 juin. Bilan, deux policiers tués, un blessé. Du côté des assaillants, deux individus ont été également neutralisés selon un communiqué de presse de l’État-Major-Général publié le lundi 27 juin.
Une délégation de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) était à l’hôpital Yalgado Ouédraogo, le 15 aout 2017, pour apporter soutien et réconfort aux blessés de l’attaque terroriste du 13 Août. Elle n’a pas manqué de féliciter le personnel médical et la direction générale dudit hôpital pour le dévouement dont ils font montre pour assurer des soins de qualité aux blessés. Conduite par le président du présidium, El Hadj Abdoul Rahmane SANA, la FAIB est allée invoquer la miséricorde d’Allah pour les blessés et apporté un soutien financier de 1.250.000 Fcfa au nom des musulmans de notre pays.
Une semaine après l'attaque terroriste du 13 août 2017 de Aziz Istanbul pâtisserie-Café, les Ouagalais ont initié une marche silencieuse, le 19 août dernier, pour rendre hommage aux victimes de cette attaque. Partis du rond- point des Nations unies, ils ont marqué un arrêt au Café Cappuccino, avant de rejoindre le Café Aziz Istanbul où prières et bénédictions ont été dites à l'endroit des victimes tombées lors de l'attaque.
Déjà un an qu’est intervenue l’attaque terroriste (Splendid Hotel, restaurant Cappucino, maquis Taxi brousse) qui a fauché la vie à 30 personnes, blessé 70 personnes et causé d’innombrables dégâts matériels. Ce dimanche 15 janvier 2017, la nation a décidé, le Président du Faso Roch Kaboré en tête, de marquer une halte pour s’en souvenir et rendre hommage à ceux qui ont perdu leur vie lors de cette journée fatidique du samedi 15 janvier 2016 dans la ville de Ouagadougou.
Le vendredi 02 mars 2018, aux environs de 10 heures, deux groupes armés de quatre membres chacun ont pris d’assaut l’Ambassade de France au Burkina Faso et l’Etat-major Général des Armées.
Les responsables du Mouvement Plus rien ne sera comme avant (M/PRSCA) ont animé une conférence de presse le 7 mars 2018 pour, entre autres, condamner les attaques terroristes du 2 mars dernier à Ouagadougou et exiger que des poursuites judiciaires soient engagées contre l'ex-président Blaise Compaoré, les Généraux Gilbert Diendéré et Djibrill Bassolé pour «haute trahison, collusion avec des groupes terroristes, déstabilisation du Burkina et de la sous-région ».
Dans la nuit du Lundi 27 au 28 Février 2017, des individus non encore identifies ont attaqué le poste de police et la mairie de Tongomayel, dans la province du Soum. Bilan : des bureaux incendiés, vandalisés et du matériel emporté. Une série d’attaques revendiquée par une association dénommée Ansaroul Islam.
Depuis un moment, les musulmans de Côte d'Ivoire sont l'objet d'attaques virulentes de la part de certains confrères. Du coup le débat sur l'intégrisme réapparaît.
Alors que le Burkina Faso n'a pas encore fini de pleurer ses morts suite à l'attaque du 13 août dernier, qui a laissé 18 morts sur le carreau, un véhicule de l'armée a sauté sur une mine à Tongamayel, dans la province du Soum, faisant trois morts et deux blessés graves. Et ce n'est pas tout. Car, dans la même semaine, on a enregistré neuf morts à Douenza et Tombouctou au Mali, et vingt-huit morts à Maïduguri au Nigeria. En tout cas, c'est la violence cyclique aveugle à laquelle l'on a assisté en trois jours (13, 14 et 15 août derniers) et cela, du fait d'individus sans foi ni loi, qui se prennent pour l'alpha et l'oméga ici-bas, et qu'une certaine opinion appelle abusivement des djihadistes. Non, ce ne sont pas des djihadistes, mais plutôt des terroristes.
Les attaques terroristes se multiplient dans la sous-région ouest-africaine. En effet après le Mali, le Burkina-Faso a été récemment la cible d’attaques armées revendiquées par le groupe terroriste Al qaida au Maghreb islamique (AQMI) et qui fait une trentaine de morts.
« Ce qui explique que des Burkinabè n’aient pas peur des attaques armées : Une analyse économétrique à partir d’un modèle dichotomique ». C’est la dernière étude publiée par l’Institut panafricain d’études, de recherches et de sondages d’opinion (IPERSO). Bemahoun Honko Roger Judicaël, statisticien-économiste, l’auteur, explore une alternative non-violente comme réponse au terrorisme en se fondant sur le fait que le peuple burkinabè n’a pas cédé au diktat des terroristes et est resté fort psychologiquement malgré les coups reçus. Le chercheur soutient par ailleurs que la rhétorique martiale dans cette lutte de longue haleine est loin d’être la panacée. « Un combattant extrémiste tué correspondrait à au moins trois nouvelles recrues », révèle-t-il.
Depuis pratiquement mi-juin, on assiste à une recrudescence d'attaques terroristes dans la partie sud du Mali, plus précisément à la frontière entre le Mali, la Côte d'Ivoire et le Burkina.
Dans l’après-midi du 20 janvier 2016, le président de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB), El Hadj Adama Nikiéma a remis un lot de médicaments au directeur général du Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo. D’une valeur d’environ 1 million de francs CFA, ce don est destiné prioritairement à la prise en charge des blessés de l’attentat du 15 janvier dernier.
Vendredi 15 janvier 2016, par une belle nuit de pleine lune, Ouagadougou s’apprête à célébrer ces week-ends de l’harmattan si particuliers. Les terrasses sont pleines, particulièrement sur cette avenue chic de la capitale, « Kwamé Nkrumah ». Subitement, tout se gâte, sans que personne n’ait eu vraiment le temps de réaliser quoique ce soit.
Le ministre de la Sécurité, Simon Compaoré, a animé ce vendredi 24 mars 2017 un point de presse sur les attaques terroristes au Burkina Faso. Au total 70 personnes ont été tuées dans ces différentes attaques, autant de personnes ont été interpellées par les forces de défense et de sécurité, des otages sont toujours retenus et des suspects recherchés.
Sous l’ex-Union des Républiques socialistes soviétiques (URSS), les ingénieurs de la torture avaient inventé ce supplice qui consistait à placer des prisonniers, opposants au régime communiste, sous un robinet et à leur faire tomber sur la tête, à intervalles réguliers, une goutte d’eau. Au début, pour la victime, ce « goutte-à-goutte » peut paraître amusant mais au fil du temps, chaque bulle d’eau finit par devenir un coup de marteau attendu avec beaucoup d’angoisses. Et très souvent, le malheureux supplicié finit par piquer la démence. C’est apparemment cette stratégie qui a été choisie par les forces du mal qui ont installé le Burkina Faso dans leur collimateur.
Dans la nuit du lundi 27 au mardi 28 février 2017 aux environs de 23 heures, le mouvement islamiste Ansarul Islam d’Ibrahim Malam Dicko a attaqué deux commissariats dans la province du Soum au nord du Burkina Faso : celui de Barabulé et celui de Tongomaël. Bilan, un civil blessé légèrement, des motos et des bâtiments incendiés.