Dans ce qu'il appelle une mise au point après le droit de réponse de la communauté Ahmaddiya du Passoré, Boubacar Tamboura précise son point de vue sur cette communauté religieuse.
Le Réseau burkinabè des organisations islamiques en population et développement (RBOIP) a initié une rencontre avec ses membres autour de la planification familiale. C'était le samedi 29 octobre 2011 à Ouagadougou.
En marge de la Journée internationale de la femme, la section féminine du Centre d'étude, de recherche et de formation islamique (CERFI) a tenu du 7 au 8 mars à la maison du Peuple leurs 3e Journées de la femme musulmane. C'est sur le thème central "La femme musulmane face à la planification familiale et aux Maladies sexuellement transmissibles MST/SIDA" que se sont axées les réflexions.
Le premier point de presse du porte-parole du gouvernement au titre de l'année 1998 s'est déroulé le 27 janvier au ministère de l'Economie et des finances. Il a été dirigé par Tertius Zongo, ministre dudit département, porte-parole du gouvernement, assisté de Mahamadou Ouédraogo, ministre de la Communication et de la culture.
La mise en place du Sénat est devenue un véritable serpent de mer, tant elle revient régulièrement au devant de l'actualité. Ce samedi 14 septembre encore, le sujet était au centre des audiences que le chef de l'Etat a accordées aux confessions religieuses.
L'Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) et le Cercle d'études, de recherches et de formation islamiques (CERFI), à travers la lettre ouverte ci-dessous, réagissent aux propos tenus par le porte-parole de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) pour qui les musulmans trouvent leur intérêt dans le Sénat. L'AEEMB et le CERFI disent se démarquer d'une telle position.
Les fidèles musulmans de Saaba se sont réunis le dimanche 30 octobre 2011 à la grande mosquée de cette commune rurale pour implorer la grâce divine sur El hadj Oumarou Kanazoé paix à son âme.
Du 24 au 26 décembre dernier, les jeunes du mouvement islamique Ahmadiyya ont tenu leur 10e conférence annuelle sur leur site situé à Kouba dans le département de Koubri. Placée sous le thème « Le devoir pour la jeunesse islamique Ahmadiyya de se sacrifier pour la cause religieuse », cette rencontre annuelle qui a connu la participation d'adeptes d'autres nationalités a permis à plus de deux mille jeunes d'échanger, entre autres, sur le matérialisme de notre époque, la nécessaire conciliation entre vie professionnelle et religion, l'islam en quête de repère.
L'association Nachroul Islam du mouvement Sunnite de Pouytenga a organisé un ‘'Wajou'', un enseignement islamique à l'intention des fidèles musulmans, le 20 mars dernier, sur le terrain Naaba Bougoum de Pouytenga. L'activité a été conduite par le Docteur Kindo, président du mouvement Sunnite du Burkina. « La fraternité islamique et la jeunesse face au monde et la foi islamique au cœur » a été le thème développé par l'invité du jour. Après cette activité, une vidéo montrant des jeunes en tenue kaki assurant la sécurité des lieux du ‘'wajou'', a été publiée. Depuis quelques jours, ce que certains appellent « police islamique », fait polémique dans l'opinion publique. Nous avons rencontré les responsables de ladite association, le dimanche 25 mars dernier.
Le samedi 12 septembre 2015, sur la place de la grande mosquée de Dioulassoba à Bobo-Dioulasso, a eu lieu une rencontre organisée par la coordination des associations islamiques de l'Ouest.
Une bousculade a eu lieu dans la nuit du 20 au 21 avril 2018, à l'issue d'un prêche religieux organisé par le Cheick Abdoul Aziz Aguib Soré au Plateau omnisports de Somgandé à Ouagadougou. Six personnes dont cinq femmes et un homme, ont perdu la vie. Cinq de ces victimes viennent de Ouagadougou et une de Yako dans le Passoré, a-t-on appris.
Après sa prise de fonction le 22 avril 2011, le Premier ministre, Luc Adolphe Tiao, s'est rendu chez les autorités coutumières et religieuses du Burkina Faso le 26 avril 2011 pour des visites de courtoisie et aussi bénéficier de leur soutien pour la nouvelle mission à laquelle il a été appelé, à une période critique pour pays. De sa tournée, Luc Adolphe Tiao estime avoir acquis le soutien de toutes ces autorités pour l'accompagner dans sa mission délicate et lui ouvrir leur porte quand il leur fera recours.
La communauté musulmane du Burkina a célébré la prière de l'Aïd el Fitr marquant la fin du mois du Ramadan, le 8 août 2013. Placée sous le signe traditionnel de la « paix et cohésion sociale », cette prière a été officiée dans la capitale par le grand imam Aboubacar Sana. Non à une légalisation de l'homosexualité au pays des Hommes intègres, c'est le message fort de l'imam à la Place de la nation.
L'aumônerie militaire musulmane des forces armées nationales a célébré la fête d'Ide al-Fitr marquant la fin des 30 jours de jeûne du mois de Ramadan. Placée sous le signe de « la paix et la tolérance en islam », cette prière a été dirigée par l'aumônier militaire principal, le Cheick Aboubacar Compaoré. C'était le 19 août 2012 à Ouagadougou, précisément au camp militaire Sangoulé Lamizana.
A l'instar de la communauté musulmane, les militaires musulmans ont célébré la prière de l'Aïd el Fitr, le 8 août 2013, au camp Sangoulé Lamizana de Ouagadougou.
Après avoir évoqué les difficultés que rencontrent les personnels de mosquée dans un article précédent, le Pr Bouboucari Tamboura propose ici des mesures concrètes pour la prise en charge financière de ces personnels.
C'est une mini révolution au Pays des hommes intègres. L'organisation du pèlerinage aux lieux saints de l'Islam passe désormais entre les mains du secteur privé. Ainsi en a décidé le gouvernement, après les bilans mitigés des formules précédentes (organisation confiée à l'Etat puis aux associations islamiques). Le gouvernement burkinabè emboîte ainsi le pas à certains pays de la sous-région où l'organisation du hadj est l'affaire des agences spécialisées.
S'il y a une actualité nationale que je suis ces derniers temps avec une attention particulière, c'est bien la polémique autour du projet de loi sur les libertés religieuses. En effet, a peine a-t-il été annoncé qu'il provoque déjà une véritable levée de boucliers. Car, certains y voient plutôt une grave atteinte à la liberté de conscience et de culte telle que reconnue par notre Constitution. Ce qui pourrait être préjudiciable à la cohésion sociale si chère à notre pays connu pour être un exemple de tolérance religieuse dans la sous-région, pour ne pas dire sur tout le continent. C'est pourquoi j'ai beaucoup apprécié la démarche de la communauté musulmane qui, à travers la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB), n'est pas allée avec le dos de la cuillère pour exprimer des inquiétudes profondes sur certaines dispositions du texte en question.
Après plusieurs marches infructueuses, des habitants de certains quartiers concernés par le projet ZACA (Koulouba et Zanghouetin notamment) s'adonnent actuellement à d'autres types de manifestations. Il s'agit des marches suivies de brûlures de pneus sur la voie publique, de jets de pierres, et de blocages des routes en dehors de toute considération d'heure et de lieux.
Ils sont sortis nombreux, les habitants des quartiers Koulouba, Tielpalogho, Peuloghin, Kamsonghin et Zamgouettin pour le meeting organisé par leur comité de concertation contre le projet «Zaca»(mesure d'extension de la zone activités commerciales et administratives de la ville de Ouagadougou). C'était le dimanche 7 octobre dernier à l'école Tielpalogho.
Le coeur de la capitale burkinabè présente un décor peu ordinaire. A plusieurs coins de rue, la police anti-émeute a positionné des éléments prêts à étouffer dans l'oeuf tout débordement. Comment en est-on parvenu à cette situation quasi-insurrectionnelle ? Que fait la coordination des populations pour un retour au calme ? El Hadj Saïdou Bangré a répondu à nos questions le mercredi 17 juillet à son domicile, entouré de ses camarades de lutte.