En taisant un regard rétrospectif, on se rend compte que le jeûne est une ancienne forme d'adoration reconnue par les religions antérieures y compris le paganisme.
Samedi 12 février en principe, les musulmans débuteront le jeûne du mois de Ramadan. Une pratique annuelle obligatoire de l'Islam. Le Pays jette un regard sur ce pilier essentiel de l'Islam à quelques heures de son début.
La crise que connaissait le Mouvement sunnite du Burkina a été résolue, il y a peu, grâce à la médiation de bonnes volontés. Pour pérenniser la paix retrouvée les différents protagonistes ont pris des engagements contenus dans un document que nous vous livrons, in extenso.
Considérée jadis comme une véritable déchéance humaine, la mendicité est devenue aujourd'hui presqu'un débouché pour tous les Burkinabè qui n'ont aucun autre recours pour survivre. C'est dire l'ampleur que prend le phénomène (le fléau ? ) dans notre pays. Mais que font la société et l'Etat, pour trouver une solution à la mendicité, illustration d'une véritable “fracture sociale" (pour utiliser une expression à la mode sous d'autres cieux) ?
Bienvenue, mois de Ramadhâne. Religieusement parlant, l'homme est constitué de corps et d'âme. L'occasion est donnée à tout bon musulman de les purifier à travers le jeûne.
La journée de demain sera fériée. Et pour cause, les musulmans du Burkina Faso célébreront la fête d'Ide Al Kabir communément appelée “fête des moutons" ou encore "Tabaski".
C'est demain la Tabasky. Et comme à l'approche de toutes fêtes, les prix des denrées augmentent. Notamment le prix du mouton dans ce cas-ci. Un véritable casse-tête financier pour les fidèles musulmans qui perçoivent l'obligation d'accomplir le rite du sacrifice du mouton.
C'est ce jour, 10 juin 1994 de l'ère chrétienne qui correspond au premier jour de l'an 1415 au calendrier musulman. Un jour où on procède à la purification des biens (Zakat), 4è pilier de l'Islam.
Du 18 au 28 juillet 1998 a eu lieu à Banfora, plus précisément au Collège "Paysan noir", une colonie de vacances islamiques organisée par le Conseil général de l'Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) en collaboration avec la section du Cercle d'études, de recherche et de formation islamique (CERFI).
Jupe et chemisette, l'uniforme est le même pour toutes les écolières du Cameroun, les musulmanes, traditionnellement drapées dans leurs pagnes, s'offusquent.
La femme et l'Islam. C'est ce mariage que nous propose Baro Hamadi, notre spécialiste-maison des questions islamiques. En fait, il s'agit de s'appuyer sur l'histoire pour dégager un point de vue islamique sur le... statut de la femme.
A travers ces lignes, on découvre et on apprend, certainement, beaucoup de choses...
La femme est devenue à l'heure actuelle un moyen de publicité par excellence, de séduction, mieux, un objet. De plus, la femme abuse de la liberté de disposer de son corps. Il s'ensuit une dépravation sexuelle qui a atteint son paroxysme, si l'on peut s'exprimer ainsi. En effet, la dignité de la femme est mise en cause, et nous assistons à une menace de disparition des peuples par le Sida. D'où un trouble moral profond de la société dite modernisée.
Cette année, le 1418e anniversaire de la naissance du prophète Mouhammad (Paix et Salut sur lui et sur sa pure famille) sera célébré partout à travers le monde du 07 au 12 juillet 1998. Une occasion pour les musulmans de rendre grâce à Dieu.
Nous vous proposons en guise de document, cette contribution du Dr Issa Cissé relative à la présence du Burkina Faso dans l'Organisation de la conférence islamique.
Cette année le 1425e anniversaire de la naissance du prophète Mouhammad (paix et salut de Dieu sur lui) ou Mouloud sera célébré partout à travers le monde dans la nuit du 8 au 9 août 1995.
Si le mois de Ramadhâne est le glorieux des mois lunaires d'où ce surnom "Mois de Dieu", la “Nuit du destin” elle est la nuit glorieuse par excellence de ce mois.
Dans le cadre de son programme d'activités, l'observatoire "Qui vive" des conditions de vie des femmes, du Groupe de recherche sur les initiatives locales (GRIL) a organisé une conférence sur le thème "Femme et Islam" le mardi 2 novembre 1999 au Centre culturel Georges Méliès. La conférence a été animée par Mme Penda MBow, historienne à l'Université Cheick Anta Diop de Dakar (Sénégal). Pour elle, si la femme occupe un rang de second plan en Islam, c'est parce que la lecture des textes islamiques est quelquefois biaisée.
Le Mouvement sunnite de Ziniaré a procédé, le vendredi 28 juin dernier, à l'inauguration de sa mosquée de vendredi. L'événement a vu la présence de très nombreux fidèles et d'autorités politiques et administratives. La nouvelle mosquée, à la couleur ocre, qui dresse fièrement son minaret au coeur de la commune, a coûté une vingtaine de millions de F CFA. La plus grande partie du financement (plus de 14 millions de F CFA) a été assurée par l'Association pour la renaissance du patrimoine islamique (ARPI) basée au Koweït. Le reste des fonds est le fruit des efforts des fidèles musulmans.
Suite à la publication du document portant résolution de la crise au sein du Mouvement Sunnite (voir Le Pays n°1179 du mardi 2 juillet 1996), nous portons à la connaissance de l'opinion publique ce qui suit : ceux qui connaissent ou veulent savoir sincèrement ce qui se passe dans le Mouvement Sunnite, pourront lire dans son statut à la page 20.
Les IIèmes Journées de la femme musulmane organisées par la Cellule féminine du Centre d'études, de recherches et de formation islamique (CERFI), se sont déroulées les 18 et 19 mars 1995 dans la salle conférence de l'ex-CEAO à Ouagadougou. C'est autour du thème “l'éducation de la jeune fille musulmane” que plusieurs centaines de femmes du Burkina, de la Côte d'Ivoire, du Mali et du Niger ont pu réfléchir et échanger leurs expériences.
En attendant de revenir sur les conclusions des travaux, nous vous proposons une synthèse de la conférence publique animée par le célèbre Imam du Plateau (Côte d'Ivoire), El Hadj Djiguiba Abdallah Cissé sur le thème : la problématique de l'éducation de la jeune fille musulmane".
Le vendredi 2 décembre prochain, notre capitale accueillera, en principe, une grande personnalité du monde arabe : le Cheick Ismaël Abu Daoud. Président de la Chambre de commerça et d'industrie de Jeddah et administrateur de la Banque islamique de développement (BID), le Cheick foulera pour la toute première fois le sol africain à travers le Burkina.