Au Burkina Faso, la chefferie traditionnelle / coutumière suscite un débat passionné mené par des non initiés et ils impliquent parfois les parties prenantes. Pourtant la réponse est bien simple. Mais encore faut-il poser la bonne question. Mes questions seront un peu redondantes, mais il faut s’y accrocher.
La Commission Nationale de Lutte contre la Prolifération, la Circulation et le Trafic Illicite des Armes Légères et de Petits Calibres (CNLPAL) a entrepris une campagne de sensibilisation à la lutte contre l’extrémisme religieux et à l’apaisement social à travers le pays. Après Kpalimé et Anié, la Commission a échangé, le 23 décembre, à Lomé, avec des représentants des confessions religieuses, chefs traditionnels et des organisations de la société civile de la préfecture d’Agoè-Nyivé sur les défis sécuritaires auxquels font face actuellement les pays de la sous-région, notamment le Togo. Il était question de solliciter leurs concours et contributions à la lutte contre les nouvelles formes de menaces terroristes qui fragilisent le développement des Etats et pour l’apaisement social durant le processus électoral à venir.
Sur invitation de la Ligue burkinabé pour la lecture et la mémorisation du saint Coran, le Cheick Abderrahmane Démé a séjourné à Ouagadougou du 21 juin au 18 juillet 2014 et animé des séances d'analyses pluridisciplinaires du saint Coran.
Le mois de pénitence musulman est là. Sa pratique courante est l'abstinence de boire, de manger et d'avoir des relations intimes avec sa femme, du petit matin à la tombée de la nuit. Pour en savoir plus, nous avons échangé avec Cheick Abdoul Aziz Ouédraogo, président de l'Union fraternelle et de solidarité islamique du Burkina Faso (UFS-BF) et président de la fédération mondiale pour la réconciliation sociale de la paix. A travers ces lignes, il nous parle du jeûne et de ses mérites en passant par comment l'on doit l'observer, les « longues prières » que les gens font la nuit, la recherche de la nuit du destin et l'impôt de la rupture du jeûne. Découvrez-le.
Grand maître coranique avec plusieurs milliers d'élèves sous sa coupe, Cheick Abdoul Aziz Soré est réputé pour ses prières en faveur de la paix, la tolérance et du pardon. Burkinabè de nationalité et malien d'adoption, le jeune Cheick que nous avons rencontré lors de son séjour à Ouagadougou livre dans cet entretien sa lecture de la transition burkinabè. Il explique les vertus sacrées de l'islam, décortique l'origine des écoles coraniques, le rôle des élèves et des maîtres.
Cheick et Khalife général de la Tidjania, le DR Aboubakar Doukouré est actuellement Iman de Hamdallaye. Sidwaya a rencontré ce grand érudit pour parler du pélérinage et de certaines pratiques qui se greffent à ce 5e pilier de l'Islam.
Il est selon de nombreux spécialistes, l'un des plus grands érudits de l'islam au Burkina Faso. Le Cheick Aboubacar Maïga II de Ramatoulaye est connu et respecté dans la région du Nord et au-delà. Grâce à ce grand leader religieux, le village de Ramatoulaye, situé à 30 km de Ouahigouya, est un lieu de pèlerinage à l'occasion des grandes fêtes musulmanes notamment le Mouloud commémorant la naissance du prophète Mahomet.
La mission première de l'imam Affou Sanogo, chef suprême de l'islam en Côte d’Ivoire, va être de cimenter l'unité et la paix entre tous les Ivoiriens.
En nous recevant à son domicile, à Adjamé quartier latin. El Hadj Sanogo, 90 ans, quatre épouses et 150 personnes à sa charge, nous a paru très conscient de ses nouvelles charges de grand cheick de la communauté musulmane.
Dans cet entretien, il a bien voulu nous faire part de ses espoirs, de sa stratégie pour honorer l'engagement pris de conduire les musulmans de Côte d'Ivoire.
Le Comité national de suivi du pèlerinage à la Mecque (CNSPM) a tenu sa quatrième conférence de presse ce dimanche 16 août 2015 à son siège. Cette rencontre a été l'occasion pour les membres du comité d'informer les pèlerins sur l'avancée du processus d'organisation. Ils sont revenus sur la dernière mission en date dudit comité en Arabie Saoudite dans le cadre des préparatifs du Hadj 2015 et ont fait cas de quelques innovations.
Depuis le 23 novembre 2012, le Burkinabè Cheick Boubacar Doukouré a été élu, pour la troisième fois consécutive, président du Conseil exécutif de l'Organisation islamique pour l'éducation, la culture, la science et la communication (ISESCO). Guide spirituel, promoteur de centres de formation et de station de radio, c'est une personnalité religieuse de premier ordre qui dresse ici le bilan de ses deux mandats écoulés à la tête de cette institution basée à Rabat au Maroc. Dr Doukouré se prononce également sur les dérives et l'intolérance constatées çà et là dans le monde.