Hier lundi 4 mai, l’Imam américain Bakhach Moujahed Mohammad, titulaire d’une Maîtrise en Droit Islamique et en Droit international, a animé une conférence sur le thème « Femme et Islam ». C’est l’ambassadeur des Etats-Unis prés le Bénin qui a introduit le conférencier, en présence des femmes et hommes de la communauté musulmane du Bénin à la bibliothèque du Centre culturel américain.
L'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et l'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (Isesco), qui comptent 22 Etats et gouvernements membres en commun, organisent, selon ce communiqué de presse, sous le haut patronage du Roi du Maroc, avec l'appui du Gouvernement du Maroc, du 30 septembre au 2 octobre 2013, à Fès, une Conférence internationale sur le dialogue des cultures et des religions.
A la veille de l’ouverture, le vendredi 3 mars dans la capitale du «pays des Hommes intègres», du symposium international sur le dialogue des religions et des cultures, les deux principaux initiateurs de la rencontre, Filippe Sawadogo et Lazare Ki-Zerbo, évoquent dans cet entretien la substance et les temps forts de cet important rendez-vous sur l’éducation à la culture de paix.
Comment concilier aujourd’hui la religion et la démocratie, dans notre société?
Depuis hier, une cinquantaine de Béninois (religieux, hommes politiques et chercheurs) réfléchissent sur la question à l’Infosec à Cotonou dans le cadre d’un séminaire national. Le but de ces assises qui dureront trois jours est «d’établir le dialogue entre les communautés religieuses et les pouvoirs publics dans le but de faciliter la gestion démocratique et pacifique de la nation béninoise».
La commission épiscopale pour le dialogue avec l'islam s'est réunie du 23 au 25 novembre 2005 au Centre national cardinal Paul Zoungrana de Ouagadougou. Le communiqué de presse ci-après publié après la rencontre indique que le dialogue inter-religieux est en bonne marche au Burkina.
« Vivre en paix malgré nos divergences ». C’est sous ce thème que s’est tenue le samedi, 13 janvier 2018 à Dédougou, une conférence inter-religieuse pour la paix. L’activité, initiée la communauté islamique ahmadiyya du Burkina, a connu la participation de la chefferie coutumière, de la communauté catholique et de la communauté protestante qui ont adressé chacun un message de paix.
En aout 1994, le Burkina Faso a accueilli vingt islamistes expulsés de Folembray, en France. Six d'entre eux se trouveraient toujours à Ouagadougou, tandis que les autres auraient quitté, sur la pointe des pieds, la capitale burkinabè. Depuis la semaine dernière, un autre islamiste, plus influent, semble-t-il, a débarqué au pays des hommes Intègres et serait logé dans une villa gardée par des forces de l'ordre en civil, non loin de l'Aéroport international de Ouagadougou. Ahmed Zaoui, puisque c'est de lui qu'il s'agit, traînerait dans son sillage un passé inquiétant pour toute âme réfractaire à la violence.
Dans le cadre de la Semaine nationale de la culture, des conférences publiques en rapport avec le thème de l’édition, « Culture et cohésion sociale » sont au programme. Dans la matinée du 29 mars 2016, à la chambre de commerce et d’industrie de Bobo Dioulasso, on a parlé dialogue interreligieux. Un panel a été animé dans ce sens par Mélégué Maurice Traoré pour la religion traditionnelle, Mgr Anselme Titianma Sanon pour la religion chrétienne et Imam Tiégo Tiemtoré pour l’islam. Chacun des panelistes a expliqué en quoi sa religion prône le dialogue et est source de cohésion sociale.
La pratique religieuse ne doit pas être un objet de division et de violence. C'est le leitmotiv de l'association catholique belge « Efesia et Ensemble avec Marie », un creuset engagé pour la promotion du dialogue inter-religieux dans le monde. Elle a organisé, samedi 22 juillet dernier, au Centre pastoral de Ouando à Porto-Novo, une rencontre en faveur de la paix autour de la Vierge Marie, le tronc commun des religions chrétiennes, musulmanes et endogènes.
Des mobiliers ainsi que du matériel informatique et didactique ont été offerts, lundi 12 février dernier, aux écoliers et élèves de l’école primaire et secondaire privée franco-arabe de Natitingou par l’évêque du diocèse de Natitingou, Mgr Antoine Sabi Bio.
Alors que des fauteurs de trouble tentent de mettre à mal la cohésion sociale et le vivre ensemble au Burkina, des bonnes volontés se dressent et donnent de bons exemples.
Notre pays abrite depuis le samedi 4 février dernier une rencontre internationale sur le dialogue interreligieux au Bénin. Des personnalités religieuses : têtes couronnées, dignitaires de cultes vodoun, et autres personnalités politico-administratives ont honoré de leur présence ces assises qui ont eu pour cadre le Centre international Experimentation et de valorisation des ressources africaines (Cievra), à Glo-Djigbé, commune d’Abomey-Calavi.
Dans le cadre des rencontres bénino-suisses sur le dialogue interreligieux, l’évêché de Natitingou a accueilli des leaders de diverses confessions religieuses de l’Atacora pour des échanges avec une délégation conduite par Mgr Alain Raemy et Samuel Dossou, président de la Fondation Espace Afrique et Barthélémy Adoukonou, secrétaire du Conseil pontifical de la culture. L'objectif est d’évoquer l’expérience du département en matière de cohabitation pacifique entre ces confessions.
La communauté Efesia a organisé, ce samedi 28 juillet 2018 à Ouagadougou, la 2e édition de sa rencontre dénommée « Ensemble avec Marie ». Cette rencontre qui s’inscrit dans le cadre de la promotion du dialogue interreligieux a été placée sous le thème « Ensemble avec Marie, musulmans et chrétiens pour le dialogue : concept, enjeux et actualité ». A l’occasion, deux conférenciers (imam Alidou Ilboudo du Centre d’études, de recherches et de formation islamique, CERFI ; et le père Joseph Clochard, curé de la paroisse Saint-Jean 23 de Ouagadougou) ont été invités à la table pour décortiquer ledit thème.
Une délégation de la communauté islamique Ahmadiyya a donné vendredi 29 mai dernier une conférence publique sur les solutions que propose l’islam aux problèmes des temps modernes. C’était en présence des étudiants à l'Université d’Abomey-Calavi.
Le Centre africain de prospective sociale, dans son engagement d’œuvrer quotidiennement pour la paix et le dialogue interreligieux, a initié une rencontre d’information et d’explication sur la création d’un projet commun qui réunira musulmans, chrétiens et adeptes de la religion traditionnelle du Bénin. Ladite rencontre s’est tenue dans la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères le vendredi 19 août 2016.
Depuis le 8 juillet 2001, il se tient à Ouagadougou au grand séminaire Saint Jean-Baptiste une session internationale de formation des Catholiques à la rencontre islamo-chrétienne. Les organisateurs de cette session ont donné le 18 juillet une conférence de presse afin de mieux faire connaître au grand public les objectifs d'une telle session.
À l’initiative de l’Église de Jésus-Christ des Saints des derniers jours, des fidèles de plusieurs obédiences religieuses (Islam, Christianisme et Vodun) se sont retrouvés à son siège à Godomey le lundi 18 avril, lundi de Pâques. Discussions, réjouissances et partage de repas ont été au menu de cette rencontre qui vise à promouvoir l’acceptation mutuelle et la tolérance en matière de religion.
A l'initiative du Ministère de l'Administration Territoriale et de la Sécurité (MATS), un atelier de réflexion sur le dialogue interreligieux se tient les 14 et 15 novembre 2013, dans la commune de Kombissiri, province du Bazèga.
Le Comité mixte du dialogue interreligieux (CMDIR) a clôturé ses activités le 28 juillet 2012 à Ouagadougou. Parrainée par le ministre de l'Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Sécurité, Jérôme Bougouma, la cérémonie a permis de présenter aux leaders et responsables religieux, le travail de terrain abattu par des associations estudiantines.
Du 4 au 9 février prochain à Cotonou, se tiendra une rencontre internationale sur le thème «Le vivre ensemble entre adhérents de différentes communautés religieuses au Bénin et en Suisse; défis, risques et chance». C’est une initiative de la Conférence des évêques suisses (Ces) en collaboration avec la Fondation Espace Afrique (Fea).
Face à la situation de troubles sociaux observés à travers le monde, occasionnés par les conflits religieux, l’Etat burkinabè a entrepris la mise en place d’un mécanisme de veille aux contenus médiatiques à caractère religieux, de suivi des pratiques cultuelles et de promotion de la tolérance et du dialogue interreligieux. Un mécanisme qui sera incarné par l’Observatoire national des faits religieux (ONAFAR) crée en janvier en janvier 2015. C’est pour, d’une part offrir un cadre d’échanges et de dialogue aux leaders des différentes communautés religieuses et, d’autre part mieux faire connaître cette structure que le ministère de l’administration territoriale, de la décentralisation et de la sécurité, avec l’appui de l’ONG Diakonia, organise un atelier de concertation les 18 et 19 février à Ouagadougou.
Ce jour lundi 20 août, s’ouvre au Centre international de conférences de Cotonou (CIC), un colloque international de deux jours sur le thème « Le dialogue des religions endogènes, du christianisme et de l’islam au service de la culture de la paix en Afrique »
13 mai 2008-13 mai 2015, 7 ans que disparaissait Bernardin Cardinal Gantin. En cette date anniversaire, mercredi dernier, le professeur Albert Tévoédjrè, ancien médiateur de la République, a annoncé la tenue à Cotonou, du 26 au 28 mai prochain, d’un symposium international sur le dialogue interreligieux. Avec pour leitmotiv «COEXISTER, la clé du dialogue», ce symposium découle du projet «Initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel».
Le séminaire national sur le dialogue interreligieux et œcuménique au Bénin organisé par le ministère chargé des Relations avec les institutions, a pris fin vendredi 6 septembre dernier. Des résolutions et des recommandations en vue de promouvoir la tolérance mutuelle entre les différentes confessions, ont sanctionné les travaux qui ont duré deux jours à Parakou.