A la faveur du Mahouloud, fête qui commémore la naissance du prophète de l'Islam, les cadres du Rdr du Zanzan ont organisé une cérémonie de prière, le dimanche 4 janvier dernier, au foyer de la cour des imams.
Charles Blé Goudé a apporté la réplique samedi dernier, à ceux qui soutiennent qu'en Côte d'Ivoire, les musulmans sont favorables à un parti politique, en l'occurrence le Rassemblement des républicains (RDR), c'était lors du Café politique, au siège du COJEP, à Yopougon, Toit-Rouge. Il a expliqué que l'islam est une religion, et en tant que telle, elle ne prône ou ne défend aucune conviction politique. «L'Islam n'est pas la religion d'un parti politique. L'Islam n'appartient à aucun parti politique», a-t-il déclaré.
La Jama'at islamique ahmadiyya de Côte d'Ivoire a élevé une protestation mais appelé à de la retenue dans l'affaire des caricatures du Prophète Muhammad récemment au siège national du mouvement, à Adjamé, le premier responsable des Ahmadis ivoiriens, Abdul Rashid Anwar, a indiqué que l'actuel khalife, Chef suprême du Mouvement ahmadiyya mondial, a déjà réagi depuis son siège à Londres et adopté une ligne de conduite qui est le refus du recours à la violence.
«… Et la réconciliation est bien meilleur». C’est autour de ce thème tiré d’un verset du Saint Coran que l’imam Cissé Djiguiba, recteur de la mosquée «Salam» du Plateau, a animé la conférence publique initiée par la Ligue islamique des prédicateurs de Côte d’Ivoire (Lipci), samedi dernier, au carrefour jeunesse à Grand-Bassam. Au public composé pour les ¾ de la communauté musulmane, le conférencier a répété que le Saint Coran préconise la réconciliation entre les hommes comme meilleur moyen pour vivre ensemble. «La guerre n’est pas une fatalité. Elle est évitable», a-t-il indiqué. Avant de suggérer les solutions du Saint Coran, l’imam conférencier a défini «les causes de la guerre en Côte d’Ivoire et des conflits en particulier» et relevé les «conséquences» de la guerre.
L'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ISESCO) a choisi la ville tunisienne de Kairouan, quatrième ville sainte de l'Islam, comme capitale culturelle islamique pour l'année 2009. La célébration de cet événement a donné lieu à des festivités multidimensionnelles dans cette cité fondée en l'an 670 après Jésus-Christ, et dans diverses autres localités du pays.
«La paix en Côte d’Ivoire est en partie due aux messages de paix des Imams. Grâce aux prières et bénédictions, la Côte d’Ivoire se porte mieux…». Tels sont les propos du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko. Il parlait au nom du chef de l’Etat, Alassane Ouattara (présent), mercredi, à la grande mosquée de la Riviera-Golf (Cocody), à l’occasion de la célébration de la Nuit du Destin qui marque la révélation du coran au prophète Mohammad.
Une prière de bénédiction a été dite par l’association "Kadiatou El Kouboura” à l’intention des femmes musulmanes. C'était dimanche dernier à Adjamé, sous l'égide de la Confédération islamique de développement.
L'enseignement de l'Arabe dans les établissements scolaires ivoiriens, la rétrocession progressive de l'organisation du Hadj aux musulmans, le renforcement des actions de sécurité sur le territoire, les initiatives pour réduire le coût de la vie, etc. sont les recommandations de la 3ème conférence du Conseil supérieur des Imams de Côte d'Ivoire (Cosim). La clôture de ces assisses a eu lieu, le dimanche 2 décembre dernier, à la Grande mosquée de la Riviera-Golf, à Cocody, en présence du chef de l'Etat, Alassane Ouattara.
Le Séminaire islamique de formation de l'élite féminine (SIFEF) a fermé ses portes le lundi dernier dans les locaux de AGITEL-Formation, à la Rivièra-Palmeraie. Lors de la cérémonie de clôture, Mme Hadja Kaba, conseillère au ministère de la Famille, de la Femme et de l'Enfant a prononcé une conférence autour du thème : "Les grandes figures féminines en islam".
Les nouveaux membres du Club des hommes d’affaires musulmans de Côte d’Ivoire (Cham-Ci) seront investis, le samedi 10 juin 2017, à l’hôtel Radisson Blu, à Abidjan-Plateau, lors d’une grande veillée de prière. L’information a été donnée, le samedi 3 juin dernier, à la résidence du président fondateur dudit club, Ladji Karamoko à Angré 7ème tranche, lors d’une concertation entre les membres de la Cham-Ci.
Le Collectif des associations do jeunesse musulmane (CAJM) a organisé une conférence de presse, jeudi dernier, au siège de l’AEEMCI, à la Riviera 2, pour donner sa position sur "le refus du gouvernement ivoirien d'octroyer une fréquence radio à la communauté musulmane de Côte d'Ivoire".
La communauté libanaise, regroupée au sein de l'Association de bienfaisance Al-Ghadir, a organisé une vaste opération de don de sang, le jeudi 13 mars 2003, au palais de la Culture de Treichville. Tous de noir vêtus pour signifier le port du deuil, ce sont environ mille Libanais, hommes, femmes et enfants, qui ont pris d'assaut le Palais de la culture de Treichville et les civières du Centre national de transfusion sanguine pour faire don de leur sang et célébrer Achouraa : commémoration de l'assassinat de l'Imam Hussein. Troisième petit-fils du prophète Mohamed, celui-ci a été mis à mort dans des conditions atroces pour s'être rebeller contre la tyrannie du roi Yazid de Damas en Syrie. Le chiisme, courant islamique, resté fidèle à la famille du prophète Mohamed et auquel s'identifie la communauté d'Al-Ghadir, prend cette mort pour sacrifice suprême. Pour les chiites, ce sacrifice symbolise la victoire du bien sur le mal et la défense des valeurs authentiques de la religion musulmane.
Depuis le début de la crise ivoirienne, des observateurs familiers de la vie sociale et politique ivoirienne n'ont pas manqué d'incriminer les autorités religieuses d'avoir agi comme facteur d'aggravation des antagonismes politiques qui ont amené à son déclenchement. Que la religion et lesleaders religieux aient volontairement ou involontairement exacerbé la crise militaro-civile en Côte d'Ivoire, voici qui semble paradoxal à première vue, et indéniable après réflexion.
Plus de 100 mosquées, six écoles confessionnelles, trois centres de santé (Abidjan, Oumé et Abengourou), une Ong «Humanity fast» pour servir l'Homme. Voici les réalisations de la communauté islamique Ahmadiyya depuis 1961, date à laquelle elle s'est installée en Côte d'Ivoire.
La République utopique du Golf Hôtel a encore prouvé qu'elle reste fidèle à ses calamités langagières. Lors de la récente organisation de la Nuit du Maouloud qui rappelle la naissance du Prophète Mahomet dans la religion musulmane, elle a tout simplement lu à l'envers ce qui sautait aux yeux.
Le Fédération pour la paix universelle a élevé le samedi 28 mars dernier, au carrefour jeunesse de Grand Bassam, M. Moussa Dramé, l’Imam principal de la mosquée Fatma Zahara de la ville, au rang d’ambassadeur de la paix. Une reconnaissance de la communauté musulmane de Côte d’Ivoire.
El Hadji Bamba Chouaholio, Commissaire du 10ème Arrondissement d'Attécoubé, a été élu président de la Communauté Musulmane de la Police Nationale (CO.MU.PN) lors d'une Assemblée Générale Constitutive tenue à la salle des fêtes de l'école de police le 23 août. Promouvoir et renforcer l'esprit de fraternité et de solidarité entre ses membres, former et encadrer ses membres au plan religieux et spirituel en vue d'améliorer leur pratique de la prière et leurs connaissances des valeurs de l'Islam sont entre autres les objectifs visés par la CO.MU.PN.