Le pèlerinage à La Mecque, en Arabie Saoudite, c'est le cinquième pilier de l'islam que tout musulman désire accomplir. A l'instar des fidèles musulmans des autres pays du monde, ils sont chaque année plus d'un millier au Burkina Faso, à se rendre à ce lieu « Saint » de l'islam pour communier avec Allah. Cette année, ils sont 5 500 pèlerins à avoir obtenu leur visa. Comme les années antérieures, beaucoup ne pourront pas effectuer ce précieux voyage pour faute de visa. En attendant le dernier vol prévu pour cette nuit, nous sommes allés à la rencontre des futurs « El Hadj » et « Adja » sur leur site de rassemblement, au stade municipal Dr Joseph Issoufou Conombo, avant leur embarquement.
Chers amis, je voudrais, cette fois-ci, aborder avec vous la question du hadj 2016. C'est un sujet préoccupant, d'autant plus que, dans quelques heures seulement, si ce n'est déjà fait, les pèlerins burkinabè s'envoleront pour l'Arabie saoudite. C'est un rituel qui a lieu chaque année et je sais que le rêve de chaque musulman, est de pouvoir faire ce pèlerinage avant la fin de ses jours. Qu'Allah nous en donne les moyens, à la hauteur de nos bienfaits ! Amen ! Cela dit, si je décide de parler du hadj, ce n'est pas parce que, pour l'instant, j'ai relevé des insuffisances ou des failles dans l'organisation. Non ! Je ne joue pas là non plus les cavaliers de l'apocalypse qui ne prédisent que le pire. Bien au contraire, j'ai de quoi être fier en écoutant le Comité national de suivi du pèlerinage à la Mecque.
Bientôt, aura lieu le hadj 2017. Les pèlerins burkinabè, à l'instar des autres du monde entier, s'envoleront pour l'Arabie Saoudite, la Terre sainte. D'ores et déjà, le comité d'organisation est à pied d'œuvre pour que l'évènement soit un succès. Du reste, il a animé, le 15 juin dernier, un point de presse au cours duquel assurance a été donnée aux pèlerins que les choses sont déjà bien ficelées. Car, les inscriptions sont bouclées. Et les 7 963 places réservées aux agences de voyage ont été totalement consommées. Selon le président du comité de suivi, tout est mis en œuvre pour que tous les pèlerins qui se sont inscrits, puissent accomplir le 5e pilier de l'islam.
Le Comité de suivi du pèlerinage à La Mecque a animé une conférence de presse, le 11 août dernier à Ouagadougou, pour faire le point de l'organisation en cours du Hadj 2017. Le moins que l'on puisse dire, c'est que les petits plats ont été mis dans les grands pour l'effectivité du premier vol ce 14 août.
Le Comité national de suivi du pèlerinage à La Mecque a animé, le 7 décembre 2017, un point de presse à Ouagadougou, pour faire « le bilan exhaustif » de l'édition 2017 du Hadj dont le coût était de 2 171 720 FCFA contre 2 201 070 FCFA en 2016.
Le ministère en charge du pèlerinage à La Mecque a procédé, le mardi 20 mars 2018, à l'installation de la nouvelle équipe du comité national de suivi du Hadj pour deux ans (2018 et 2019). C'est El Hadj Moumouni Ilboudo Zoundi, représentant de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB), qui chapeaute désormais ce comité. Les membres de cette équipe ont été officiellement installés dans leurs fonctions par le ministre Siméon Sawadogo de l'Administration territoriale et de la décentralisation.
Ceci est un communiqué du ministère de l'Administration territoriale et de la décentralisation sur la sélection des agences désireuses de recruter des pèlerins pour le hadj, éditions 2018 et 2019.
A la suite des premiers pèlerins burkinabè de retour depuis le 19 août dernier, une autre vague est rentrée au pays dans la nuit du 20 août 2019. Il était 20h temps universel, lorsque le Boeing 767-2000 de la compagnie aérienne Saoudienne Sky Prime a atterri à l'aéroport international de Ouagadougou avec à son bord plus de 600 pèlerins. Une équipe des Editions « Le Pays » est allée à la rencontre de ces pèlerins de retour au bercail. Elle vous livre ici, les témoignages de certains d'entre eux. Lisez plutôt !
Cette année, 785 musulmans burkinabé ont effectué le Hadj. Naturellement, sans compter le nombre de ceux qui se sont rendus à la Mecque en passant par certains pays voisins.
Cette année, pour accomplir le pèlérinage, 5e pilier de l'Islam, les musulmans payeront le billet d'avion Burkina-Arabie Saoudite (aller-retour) à 581 200 F CFA, dit El Hadj Lacina Traoré, président de la Commission nationale du pélérinage.
Les premiers pèlerins burkinabè ont quitté Ouagadougou hier, pour l'Arabie Saoudite, siège des lieux saints musulmans. Hier matin, l'aérogare connaissait une affluence particulière. Le premier vol était en effet prévu pour 11 heures.
Va-t-on enfin assister à un déclic dans la crise que traverse la communauté musulmane de Pô? La polémique autour d'un billet d'avion destiné à cette communauté dans le cadre du Hadj'2004 a permis de constater que la situation reste encore tendue.
Le Hadj'98 est terminé depuis une dizaine de jours. Malgré la bonne volonté de Yéro Boly, président du Comité d'organisation, le Hadj fut particulièrement éprouvant pour les Burkinabè. De nombreuses défaillances tant au départ de Ouagadougou que sur la voie du retour ont émaillé ce pèlerinage sur les lieux saints de l'Islam. Ces épreuves n'ont toutefois pas entamé la foi des pèlerins qui savent que la voie de Dieu est pavée de difficultés. Au nombre des Burkinabè appelés aux lieux saints, il faut noter la présence de deux députés, Guélo Hamidou Maïga et Mahamady Lamine Koanda. Ils ont fait leur apparition officielle à I'Assemblée nationale le 21 avril dernier à l'occasion de la séance plénière sur les modalités d'intervention de l'Etat. Ils ont été chaleureusement félicités par leurs collègues.
Les préparatifs pour le prochain pèlerinage à la Mecque vont bon train. Hier, la Commission nationale chargée d'organiser ce pèlerinage a tenu sa première assemblée générale sous la présidence de Yéro Boly, ministre de l'Administration territoriale, qui assure la tutelle de ladite Commission.
Le pèlerinage de cette année en terre sainte d'Arabie Saoudite n'a pas fini de faire parler de lui. A en croire ce “mot” de Batiémoko Koné, un candidat au pèlerinage venant de la Léraba aurait subi les pires désagréments allant jusqu'à son renvoi à l'entrée de l'Arabie Saoudite.
Il aura donc fallu près d'une année, pour voir enfin se dénouer l'affaire de malversations qui a terni l'image des organisateurs du pèlerinage à la Mecque. Le Conseil des ministres va enfin examiner l'audit de l'Inspection générale d'Etat, sur la gestion du Hadj'98.
Après tant d'années de flottements sur fond de magouilles, qui pouvait imaginer que le pèlerinage à la Mecque pouvait se dérouler sans accroc ? Et pourtant, il a suffi que certaines têtes changent au niveau de la CNOPM (Commission nationale d'organisation du pèlerinage à la Mecque), pour que le Hadj'99 soit pour l'instant en tout cas, une réussite. Un nouvel esprit souffle sur la CNOPM, comme le confirme son président, le ministre Yéro Boly.
En islam, venir au secours d'une personne nécessiteuse est une "sadaqa" (oeuvre de bienfaisance). Le prophète Mohamed (PSL) a dit : « Ce bélier est au nom de ceux qui n'ont pas pu sacrifier d'offrande parmi ma communauté ».
La Coordination des jeunes musulmans du Burkina (CJMB) a organisé, le 14 mai dernier, au Centre national de presse Norbert Zongo, à Ouagadougou, une conférence de presse. Ce rendez-vous avec les Hommes de médias a consisté à rappeler les démarches qu’elle a entreprises pour la réouverture des mosquées. Il a été également l’occasion, pour les animateurs de la conférence, de réagir à ce qui s’est passé le 2 mai 2020 à la Fédération des associations islamiques du Burkina, où des jeunes sont allés réclamer la réouverture des mosquées.
L'ambassadeur de la République islamique d'Iran au Burkina, Hassan Alibakhshi, manie à perfection la langue de Molière. Et c'est donc avec aisance qu'il évoque, dans l'entretien ci-dessous, les relations entre son pays et le Burkina Faso, et bien d'autres sujets.
Le mois de Ramadan, mois de pénitence pour les musulmans a débuté le 1er août 2011 au Burkina. Pendant cette période, les habitudes alimentaires du fidèle changent. La rupture de jeûne est un moment de partage et de charité avec les plus démunis.
Du 7 au 12 août 1997 s'est tenu, à Bobo Dioulasso, un séminaire de formation islamique organisé par le Centre Chi'ite “Fondation Imam Al Housseini”. Placé sous le thème “Le vrai visage de l'Islam”, ce séminaire s'inscrit dans le cadre de la promotion de l'Islam dans le Houet. Premier du genre, il a vu la participation effective de 250 séminaristes dont 107 soeurs et 143 frères venus des départements environnants de Bobo.
Les fidèles musulmans de Karaba, secteur 1 de Houndé, province du Tuy, ont reçu, le 27 juillet 2012, des mains de Hamidou Sidibé, représentant du président de la Communauté musulmane de l'ouest du Burkina, les clés de leur mosquée du vendredi.
La prière d'Ide al fitr marquant la fin d'un mois de jeûne d'estomac, des organes de sens et du coeur par les musulmans a été célébrée dimanche 16 décembre dernier au Burkina Faso. C'est El Hadj Ibrahim Rouanda, grand Imam de Ouagadougou, qui a dirigé cette prière à la place des Nations (ex- place de la révolution).