De nouveaux rebondissements dans la crise qui agite la communauté musulmane dans le processus de désignation de l’imam de la mosquée centrale de la ville. En dépit de l’arrêté préfectoral appelant à la suspension de toute activité en relation avec la désignation et l’installation d’imam, les populations sont allées enlever de force les portes des ancienne et nouvelle mosquées restées fermées jusque-là, samedi 2 juillet dernier pour les traditionnelles séances de prières.
On avait cru à la fin de la crise ébranlant la communauté musulmane de Natitingou avec l’intronisation le 10 juillet dernier de El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, par l’Union islamique du Bénin. Mais c’est sans compter avec le refus de son adversaire Alaza Ibrahim d’abdiquer. Vendredi 22 juillet dernier, la Cité des Nanto a frôlé les échauffourées avec la tentative des partisans de ce dernier de tenir la traditionnelle séance de prières dans l’ancienne mosquée centrale de la ville.
Au Bénin, la Covid-19 passe pour un défi quotidien dans le rang des confessions religieuses. Tout en rivalisant d’ingéniosité, elles placent leur foi en Dieu pour conjurer ce sort qui éprouve le monde en perte de repère. Elles retiennent toutefois de l’avènement de ce virus, un message divin à l’humanité dont la crainte de Dieu laisse encore des questionnements.
Le président de la République, Boni Yayi a échangé hier, mercredi 4 novembre à son cabinet, avec plusieurs personnalités et délégations dont le directeur département humain de la Banque islamique de développement (BID). Ce dernier est allé donner l’accord de son institution à financer les projets de construction de trois hôpitaux de zone dans les communes de Djidja, de Covè et de Djougou.
Une école de trois classes avec un bureau pour la direction. Il s’agit de l’école primaire bilingue de Dassa-Zoumè construite par la communauté Ahmadiyya au Bénin. Une école qui, loin d’être confessionnelle, s’ouvre à tous les enfants sans distinction de religion. L'inauguration officielle a été faite jeudi 4 juin dernier en présence du président des Ahmadis du Bénin entouré des présidents des communautés Ahmadiyya d’Egypte et de la Palestine.
Personne ne peut rester indifférent aux problèmes de chômage des jeunes diplômés sans emploi, des déflatés de la fonction publique ou des entreprises publiques qui sombrent dans la misère et le désespoir. N’est-ce pas cette misère qui engendre l’insécurité dans nos grandes villes? La question mérite d’être posée.
Le président de la République est allé exprimer, hier dimanche 16 février, sa compassion à la famille de El Hadj Bouraïma Diallo, décédé le jeudi 13 février dernier à Cotonou.
Le Cadre de concertation des confessions religieuses se désengage des propos tenus par son secrétaire général, Michel Alokpo, au sujet du mémorandum de l’ancien ministre Armand Zinzindohoué incriminé dans l’affaire ICC-Services. Au cours d'un point de presse, donné hier lundi 20 septembre à l'église Bethel à Cotonou, en présence de l’intéressé, des membres du bureau du Cadre ont tenu à apporter la clarification que les déclarations du pasteur Michel Alokpo n’engagent que lui et le Cadre de concertation des cadres chrétiens dont il est également le secrétaire général.
En reconnaissance des précieux services rendus au Bénin, à son poste à Cotonou depuis plus de quatre ans, SEM Mustafa Maatug, ambassadeur libyen en fin de mission, a été élevé par Salomon Biokou, Grand chancelier de l’Ordre national du Bénin au grade de commandeur de l'Ordre national du Bénin. C’était hier à Cotonou, jeudi 30 novembre 2006, au ministère des Affaires étrangères en présence de Albert Agossou, ministre Délégué chargé de l’intégration africaine et des Béninois de l’Extérieur (MDCIABE/MAE).
M. Karim Urbain Elisio da Silva Consul honoraire du Brésil au Bénin, a été élevé à la dignité de Grand-Croix de l’Ordre national du Bénin, la plus haute distinction de l’Ordre. La cérémonie de décoration a eu lieu vendredi dernier au domicile du récipiendaire à Porto-Novo, en présence de plusieurs personnalités, amis et parents.
Le médiateur de la République, Joseph Gnonlonfoun, a invité, pour ce mardi 27 mars à 10 h, plusieurs personnalités sociopolitiques et religieuses pour une séance de concertation. Des sources proches de l’institution soufflent que les échanges porteront sur la recherche des voies et moyens pour une sortie rapide et durable de la crise sociale qui secoue l’Administration publique marquée par des grèves perlées dans plusieurs secteurs depuis deux mois environ.
L’Aïd-el-Kébir, ou Tabaski encore appelée fête des sacrifices, est la quatrième fête musulmane après successivement la Muharram, l’anniversaire du prophète et le Ramadan (ou l’Aïd-el-Fitr). Dans 24 heures, la Communauté musulmane du Bénin et du monde vont sacrifier à la tradition. Cette fête est la plus grande après le jeûne du Ramadan.
Le ministre des Infrastructures et des Transports, Hervé Hèhomey, a accueilli, lundi 30 octobre dernier, à l’aéroport international Bernardin cardinal Gantin de Cotonou, les pèlerins qui sont revenus du Hadj 2016. Ce sont des fidèles satisfaits qui ont foulé le sol de leur pays, après avoir accompli ce devoir du bon croyant musulman.
Une rumeur fréquemment entendue et entretenue dans nos villages fait croire que le Grand Prophète Mahomet n’a pu survivre dans le désert que grâce au concours du porc.
Avec le démarrage du jeûne depuis quelques jours, les prix des fruits ont connu une augmentation sur nos différents marchés. Des témoignages recueillis auprès de vendeuses des marchés de Cadjèhoun et Gbégamey, cette flambée est surtout imputable aux producteurs qui, chaque année à l'approche du jeûne des musulmans, renchérissent le coût des produits vivriers, notamment les fruits.
J'ai lu avec intérêt votre lettre du 21 Mai I998 parue dans «La Nation» No 1991 du 27 mai 1998 par laquelle vous exprimez votre opinion relativement à la désignation de l'Imam de la Mosquée Centrale de Jonquet (Cotonou).
Un bras de fer oppose depuis quelques jours les populations de Natitingou en ce qui concerne le processus de désignation de l'imam de la mosquée centrale de la ville. Avec l'arrêté préfectoral appelant à la suspension de toute activité en relation avec la désignation et l'installation d'imam, deux prétendus imans attisent les tensions au sein de la communauté islamique de la cité des Nanto.
Dans le cadre des concertations qu’il a initiées tout récemment pour rendre compte de ce qui s’est passé à Dakar du 10 au 11 janvier 1994 et qui a abouti à la dépréciation de 50% du franc CFA, le chef de l’Etat, le président Nicéphore Dieudonné Soglo a rencontré hier en fin de matinée à la salle du peuple du palais de la présidence de la République à Cotonou, le corps religieux et autres représentants des cultes traditionnels de chez nous.
Le Conseil des sages de la ville de Porto-Novo a organisé, ce lundi 5 février, une conférence suivie de prières pour implorer la paix sur le Bénin, le président Patrice Talon, et pour le bon achèvement des chantiers de développement ouverts dans tout le pays en général et à Porto-Novo en particulier.
Les populations du village de Soyo dans la commune d’Allada peuvent pousser un ouf de soulagement. La Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin vient de faire d’eux le premier village modèle dénommé «village du millénaire» au Bénin. La cérémonie d’inauguration de ce village a eu lieu hier mardi 15 septembre en présence du président de la HAAC, Adam Boni Tessi et de nombreuses autorités politico-administratives.
Hier lundi 4 mai, l’Imam américain Bakhach Moujahed Mohammad, titulaire d’une Maîtrise en Droit Islamique et en Droit international, a animé une conférence sur le thème « Femme et Islam ». C’est l’ambassadeur des Etats-Unis prés le Bénin qui a introduit le conférencier, en présence des femmes et hommes de la communauté musulmane du Bénin à la bibliothèque du Centre culturel américain.
Comment concilier aujourd’hui la religion et la démocratie, dans notre société?
Depuis hier, une cinquantaine de Béninois (religieux, hommes politiques et chercheurs) réfléchissent sur la question à l’Infosec à Cotonou dans le cadre d’un séminaire national. Le but de ces assises qui dureront trois jours est «d’établir le dialogue entre les communautés religieuses et les pouvoirs publics dans le but de faciliter la gestion démocratique et pacifique de la nation béninoise».
La pratique religieuse ne doit pas être un objet de division et de violence. C'est le leitmotiv de l'association catholique belge « Efesia et Ensemble avec Marie », un creuset engagé pour la promotion du dialogue inter-religieux dans le monde. Elle a organisé, samedi 22 juillet dernier, au Centre pastoral de Ouando à Porto-Novo, une rencontre en faveur de la paix autour de la Vierge Marie, le tronc commun des religions chrétiennes, musulmanes et endogènes.