Article
Analyser les dernières attaques de Ouagadougou : être protégé n'est pas être en sécurité
- Titre
- Analyser les dernières attaques de Ouagadougou : être protégé n'est pas être en sécurité
- Type
- Article de presse
- Créateur
- Kwesi Debrsèoyir Christophe Dabiré
- Editeur
-
LeFaso.net
- Date
- 16 mars 2018
- DescriptionAI
- L'article analyse les attaques du 2 mars 2018 au Burkina Faso, les qualifiant d'actes militaires de guerre plutôt que de pur jihadisme religieux, car les assaillants les justifient comme des représailles aux frappes de l'armée française. Le texte réfute l'implication de l'ancien président Blaise Compaoré, jugeant cette association incohérente et une diversion. Il critique la présence militaire française au Burkina Faso, la considérant comme un facteur majeur d'attraction pour les groupes terroristes et une cause de l'insécurité. L'auteur suggère que le Burkina Faso devrait reconsidérer sa participation à cette guerre, potentiellement en demandant le retrait des troupes françaises et en adoptant une approche plus rationnelle, voire un cessez-le-feu, pour briser la logique de violence.
- Sujet
-
France
-
G5 Sahel
- Gilbert Diendéré
- Groupe de Soutien à l'Islam et aux Musulmans
- Transition 2014-2015
- Attentat de Ouagadougou de 2018
- Coup d'État (2015)
-
Blaise Compaoré
- Roch Marc Christian Kaboré
- Iyad Ag Ghaly
- Terrorisme
- Radicalisation
- Djihadisme
- Langue
- Français
- Source
-
Wayback Machine
- Contributeur
-
Frédérick Madore
- Identifiant
- iwac-article-0002213