Le Ramadan 2021 se tient dans un contexte national difficile marqué surtout par la flambée de l’insécurité, les nombreux déplacés internes et la quête d’une réconciliation nationale. Pour comprendre ce que doit impliquer cette situation pour ce mois et pour le fidèle, nous avons rencontré l’Amir, chef missionnaire de la Jama’at (communauté) islamique Ahmadiyya au Burkina, Mahmood Nasir Saqib, qui dresse également le bilan de la conférence annuelle de la communauté.
Organisée annuellement par la ‘’Jama’at islamique Ahmadiyya’’ du Burkina Faso, la conférence dénommée « Jalsa Salana » se tiendra cette année du 30 mars au 1er avril 2018 sur le site de Bustan-e-Mahdi, sis à Kouba, département de Koubri à 25 Km de Ouagadougou. C’est l’information qui a été livrée à la conférence de presse tenue ce mercredi 21 mars 2018, au siège de la communauté islamique Ahmadiyya à Ouagadougou.
La section adulte de la communauté islamique Ahamadiyya a tenu, du 24 au 26 novembre 2017 à Touba, sortie sud de Ouagadougou dans la commune de Koubri, sa conférence annuelle autour du thème : « Rôle des anciens dans le développement de la communauté ». Cette rencontre statutaire qui a réuni plusieurs centaines de participants venus de l’ensemble des régions du pays a surtout été celle de formation et de sensibilisation pour une société de paix.
Il se tient, du 24 au 26 mars 2017, à Kouba, sortie sud de la capitale du Burkina, la 26èmeJalsaSalana de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Burkina autour du thème : « Pour une nécessaire solidarité entre les religions afin de contrer l’expansion du terrorisme ». La cérémonie d’ouverture de cette retraite spirituelle, intervenue dans la soirée de ce vendredi, 24 mars 2017, a vu la présence du vice-président de l’Assemblée nationale, Me Bénéwendé Stanislas Sankara ; du ministre de la justice, des droits humains, de la promotion civique, garde des sceaux, René Bagoro et de celui de la communication, porte-parole du gouvernement, Rémis FulganceDandjinou.
La Jeunesse islamique ahmadiyya a tenu sa 15ème convention nationale du 28 au 30 décembre 2017 à Kouba dans la commune rurale de Koubri sise à une quinzaine de kilomètres de Ouagadougou. Ce rendez-vous qui a regroupé plus de 2000 jeunes venus des régions du pays, de la Côte d’Ivoire, du Ghana, de l’Allemagne et de Londres, était placée sous le thème : « La réforme d’une nation ne peut se faire sans la formation de sa jeunesse ». Cette convention a connu la participation du représentant du Calife (chef suprême de la communauté basée à Londres), Hibatur Rahman.
Arrivé au Burkina pour la première fois en 1997, après des études et des services pendant une décennie au Pakistan, Mahmood Nasir Saqib a servi dans plusieurs autres pays en tant que Chef de la communauté Ahmadiyya, notamment en Côte d’Ivoire et au Mali. En 2016, il est réaffecté au Burkina comme Amir (commandeur, ndlr) et Chef Missionnaire. « L’Islam est une religion de paix. L’islam est une religion de tolérance. L’islam ne veut pas dire aller déranger quelqu’un, tuer quelqu’un ou forcer quelqu’un à faire quoi que ce soit. La religion, c’est un choix personnel », rappelle Mahmood Nasir Saqib, s’appuyant sur le slogan de la communauté Ahmadiyya : « Amour pour tous, haine pour personne ». A la faveur de ce mois de pénitence, nous l’avons rencontré au siège de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Burkina sis quartier Somgandé (arrondissement N°4 de Ouagadougou). Dans cet entretien qu’il nous a accordés le dimanche, 4 juin 2017, Mahmood Nasir Saqib revient sur quelques grandes activités de la communauté avant de scruter la vie spirituelle en ce mois de pénitence. Entretien à bâtons rompus !
La Coalition pour la démocratie et la réconciliation nationale (CODER) continue de dérouler son programme d’activités, notamment dans son volet lié aux prises de contact les personnes ressources et institutions du pays. Ainsi, après le HCRUN et Sa Majesté le Mogho Naaba Baongo, c’est la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) qui a reçu à son siège sis à Ouaga 2000, une délégation de cette organisation politique conduite par son président, Dr Ablassé Ouédraogo. C’était dans la soirée du mardi, 22 novembre 2016.
Le Conseil supérieur de la communication (CSC) a lancé ce 21 avril 2017 à Ouagadougou, le programme d’urgence « Médias et Sécurité ». C’est la résultante des rencontres d’échanges initiées par l’instance de régulation entre les journalistes et les Forces de défense et de sécurité sur le traitement de l’information liée aux actes terroristes. Face aux défis sécuritaires, les hommes de tenue et ceux des médias entre qui il y a souvent des incompréhensions, doivent unir leurs forces contre l’ennemi commun.
Sous le parrainage de monsieur Simon Compaoré, Ministre d’Etat, ministre de la Sécurité intérieure, et le co-parrainage de monsieur Jean-Claude Bouda, ministre en charge de la Défense, le Conseil supérieur de la communication lance officiellement, le vendredi 21 avril 2017 à 09 heures, dans la salle de conférences de l’institution, un programme d’urgence dénommé « Médias et Sécurité ».
Le ministre de la Jeunesse, de la formation et de l’insertion professionnelles, Dr Smaïla Ouédraogo était face à la presse, ce vendredi 19 mai 2017, à Ouagadougou. Il a voulu cette rencontre pour faire part aux hommes de médias des orientations majeures de son département, destinées à assurer à chaque jeune Burkinabè, un emploi décent d’ici à 2020.
Le CERFI tient du 25 au 27 décembre 2015 à Ouagadougou, son 10ème congrès ordinaire avec comme thème « La Oumah islamique du Burkina Faso face aux mutations socio-politiques du pays ». Cette session qui connaîtra la participation d’environ 150 militants en provenance des 13 régions du pays, revêt un intérêt particulier pour le CERFI eu égard aux missions qu’il s’est assignées suite à l’adoption de son premier plan quinquennal en 2013.
Présentation du bilan des trois ans écoulés du bureau sortant, communication, adoption du plan stratégique 2019-2023 et investiture du nouveau bureau exécutif national sont les temps forts qui ont marqué la clôture du 11e congrès ordinaire du Cercle d’études, de recherches et de formation islamique (CERFI), ce dimanche 23 décembre 2018 à Ouagadougou. A travers une série d’activités, ce congrès a permis aux 135 responsables de l’association, d’apprécier le bilan de l’ancien bureau, d’émettre des observations et de fixer le nouveau cap pour les trois ans à venir. L’objectif du CERFI est de travailler à l’unité d’action des musulmans, à la défense des intérêts de l’islam, des musulmans et contribuer au développement socio-économique du Burkina.
Le Groupe d’Action et de Formation pour une Culture Islamique (GAF-CI) organise le dimanche 28 septembre 2014 à la Maison du Peuple de Ouagadougou, la 11e édition du Festival des Arts Islamiques (FARIS). Pour en parler les responsables du Festival ont animé ce jeudi 25 septembre, un point de presse.
Ouagadougou abrite le début des activités de l’Union parlementaire des États membres de la Conférence islamique, ce lundi 27 janvier 2020. Sont attendus plus de cinq cents délégations venues de soixante (60) pays membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI).
Les Ansars (ndlr. adultes au-delà de 40 ans) de la Communauté islamique ahmadiyya de la région des Cascades ont organisé du 30 septembre au 1er octobre 2016 à Banfora, leur 15e conférence régionale. Elle a été consacrée au raffermissement de la foi dans l’action.
La 15e session de l’Union parlementaire des Etats membres de l’organisation de la coopération islamique (UPCI) débutée le 26 janvier 2020 a refermé ses portes ce 30 janvier 2020, à Ouagadougou. Plus de 700 participants ont renoué les liens de solidarité entre les membres et définis des cadres de développement synergique entre les Etats membres de l’Organisation de la conférence islamique (OCI).
La première édition de remise de trophées, « Peegre Kuni », a eu lieu dans la nuit du jeudi 18 décembre 2014 au SIAO. Initiative visant à promouvoir la paix, la première édition a récompensé dix personnalités au cours d’une cérémonie qui a connu la participation d’invités de marque dont l’ancien ministre des sports et loisirs, le colonel Yacouba Ouédraogo, des leaders coutumiers et religieux. Une cérémonie qui a eu pour marraine, Rasmata Kabré de la Fondation Rama.
Pour sa 20e Assemblée générale ordinaire, tenue le samedi 3 mars 2018, à la salle polyvalente « Père Lucien Bidaud », l’Union fraternelle des croyants de Dori a dressé, comme à l’accoutumée, le bilan de ses activités menées en 2017 et décliné ses ambitions pour l’année en cours. La cérémonie d’ouverture de cette rencontre a été présidée par le secrétaire général de la Région du Sahel, représentant le Gouverneur.
La 24e Journée internationale de la tolérance a été célébrée le 16 novembre 2019 par l’UNESCO. A cette occasion, l’Association pour la tolérance religieuse et le dialogue interreligieux (ATR/DI), dans la déclaration ci-après, fait un tour d’horizon de la question au Burkina, en insistant sur le rôle des guides religieux.
Comme chaque année, et ce depuis plusieurs ans maintenant, la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Burkina tient sa conférence annuelle dénommée Jalsa Salana. Prévue du 24 au 26 mars 2017 à Kouba, sis à 25 kilomètres à la sortie sud de Ouagadougou, dans la commune de Koubri, l’édition de 2017 est placée sous le thème : « Pour une nécessaire solidarité entre les religions afin de contrer l’expansion du terrorisme ».
« Nos responsabilités individuelles pour l’édification d’une société de paix : contribution des enseignements islamiques ». C’est sous ce thème que la 27e convention annuelle de la Communauté islamique ahmadiyya dénommée Jalsasalana s’est ténue du 30 mars au 1er avril 2018 à Kouba dans la commune de Koubri à une vingtaine de kilomètres de Ouagadougou sur la route de Pô en présence du Ministre de l’Administration territoriale et de la décentralisation Siméon Sawadogo.
Cette année, l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB), commémore ses 30 ans d’existence. Elle a organisé, à cet effet, une « marche pour la paix » dans la soirée de lundi, 22 août 2016 à Ouagadougou.
L’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB), fête ses 30 ans. Ce trentième anniversaire est placé sous le thème « L’AEEMB, 30 ans au service de l’islam et du développement : bilan et perspectives ». A cette occasion, les responsables de l’association ont animé un point de presse, le vendredi 18 mars 2016 au siège de la structure à Ouagadougou. Les différentes activités entrant dans le cadre de la commémoration du 30ème anniversaire étaient à l’ordre du jour. La conférence a également servi de cadre de réflexion sur la situation nationale.
Pour la 4e année consécutive, la journée de solidarité islamique a été mise à profit par le comité de gestion de la mosquée du CHU-Yalgado Ouédraogo pour témoigner sa compassion et sa fraternité aux malades des centres de santé publics et confessionnels de la ville de Ouagadougou à travers des prières et une remise de dons en nature et en espèces. C’était ce dimanche 11 juin 2017, en présence du représentant du président du présidium de la Fédération des associations islamiques du Burkina Faso, El Hadj Aboubacar Yugo.