Dans le département du Zou, l'honorable Désiré Vodonon est perçu comme un messie. Un philanthrope qui a beaucoup fait dans le social surtout par la construction d’écoles un peu partout, en les équipant de tables-bancs ou encore par des fournitures scolaires à des milliers d’écoliers à chaque rentrée scolaire.
Ambassadeur de la République de Turquie près le Bénin, Kemal Onur Özçeri a pris fonctions en décembre 2018. Habitué des arcanes de la diplomatie, cet ancien Directeur général adjoint au Département Afrique du Nord du ministère des Affaires étrangères de son pays, a également occupé des postes diplomatiques successivement à Paris, Tbilissi, Berne, Vienne (Osce) et Kiev (Mission Osce). Diplômé de l’Université Libre de Bruxelles-Ecole de Commerce Solvay, Kemal Onur Özçeri lève un coin de voile, à travers la présente interview, sur la Turquie qui célèbre ce mardi 29 octobre le 96e anniversaire de la proclamation de sa République.
Dans son numéro 941 paru le Lundi 11 Septembre 2017, le journal burkinabé Bendré révélait les résultats de 55 écoles ayant fait 0% à l’examen du Certificat d’Etudes Primaires (CEP), session de 2017, dans la région du Sahel. Le journaliste auteur de l’article dissimulait difficilement sa surprise que de tels résultats soient méconnus du grand public alors qu’ailleurs, précisément au Kénédougou, les résultats d’une seule école révélés au burkinabé, en l’occurrence l’école Mahon ’’B’’, avaient fait l’objet d’un grand tapage médiatique.
Dans le domaine de l'interprétation des sens des versets du Saint Coran en langue nationale, appélée « Tafsir », au pays des Hommes intègres, il fait office de pionnier. Cheick Adama Soro, puisque c'est de lui qu'il s'agit, est plus qu'une référence en termes de longévité et de maîtrise de l'art et de la science de l'interprétation du Saint Coran en langue nationale mooré. A Nonsin où il est installé avec sa famille depuis 1980, il continue d'animer pendant le mois du jeûne musulman, Ramadan, des séances d'explication et d'interprétation de versets du livre saint de l'Islam à un public totalement acquis à la cause coranique. Mais d'où lui est venue l'idée du choix de cette branche jugée très délicate parmi les autres disciplines islamiques ? Pour comprendre ce grand engouement pour le Tafsir, il est nécessaire de remonter dans le temps pour suivre les premiers pas du Cheikh Soro dans le domaine de l'apprentissage puis de l'enseignement des sciences islamiques jusqu'à la création de sa propre école coranique alors qu'il était âgé d'à peine 25 ans. Cette année 2018, l'Ecole Coranique Cheick Soro Adama (ECCOSA), située au secteur 14 de Ouagadougou, célèbre les 62 ans de son existence. Retour au parcours atypique d'un maître coranique.
La clôture de l'année 2005-2006 des écoles medersa de la Communauté musulmane du Burkina a eu lieu le samedi 1er juillet 2006 dans l'enceinte de l'établissement central à Ouagadougou.
Le ministre de l'Enseignement de Base et de l'alphabétisation, M. Baworo dou Sanou, a procédé, vendredi dernier, à l'Ecole franco arabe El djah de Yako, au lancement officiel des nouveaux programmes enseignement en arabe. Un acte qui marque une volonté politique affichée de refondation de notre système éducatif en l'ancrant davantage dans nos réalités socio-culturelles.
Jupe et chemisette, l'uniforme est le même pour toutes les écolières du Cameroun, les musulmanes, traditionnellement drapées dans leurs pagnes, s'offusquent.
L'association Développement sans frontière (DSF) a organisé, le 23 novembre 2011, un atelier de vulgarisation des conclusions et recommandations du premier Forum national sur la réforme des écoles coraniques au Burkina Faso. Des responsables d'écoles coraniques et d'associations partenaires ont pris part à la rencontre de Ouahigouya.
Créée en 1998, l'Association mondiale de l'appel islamique fait de l'aide humanitaire et l'éducation son cheval de bataille. Dirigée par le Libyen Salem Mohamed Whheba, l'association a mis sur le marché de l'emploi 52 enseignants pour l'année scolaire 2005-2006.
Les 6 et 27 octobre 1995, l'Agence musulmane d'Afrique (AMA) a respectivement inauguré à Barsalogho dans le Sanmatenga et Tanghin-Dassouri dans le Bazèga deux écoles franco-arabes. La dernière cérémonie a été présidée par le ministre de l'Administration territoriale Yéro Boly, en présence de l'ambassadeur d'Egypte Son Excellence Farouk Safate, du directeur de l'AMA, M. Kardi. M. Kardi a expliqué à cette occasion que désormais seule la langue française sera utilisée pour enseigner les élèves dans les écoles construites par l'Agence. Les écoles médersa (franco-arabes) ont jusque-là privilégié l'enseignement en langue arabe au Burkina Faso. Les élèves qui les ont fréquenté ont pu obtenir des diplômes délivrés en arabe, parfois même des diplômes d'études supérieures.
Le groupe des jeunes leaders des Organisations de la société civile (OSC) et des partis politiques du Burkina Faso a organisé, ce 28 mai 2013 à Ouagadougou, un atelier d'échange avec des techniciens de la Direction de l'enseignement de base privé autour de la réforme de l'enseignement franco arabe au sein de l'Institut nationale démocratique(NDI).
Le Ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, Samadou COULIBALY, a procédé le mardi 26 mai 2015 à l’ouverture de la première enveloppe de l’examen du Certificat d’études primaires (CEP) arabe dans le centre d’examen de la Medersa Centrale à Ouagadougou.
Le National Democratic Insitute (NDI) avec l’appui de l’USAID met en œuvre au Burkina Faso, un programme dénommé « Opportunités pour un engagement politique pacifique des jeunes ». Dans ce cadre, des jeunes de différentes sensibilités mènent des actions de plaidoyer à l’endroit des autorités locales et nationales sur diverses thématiques. Le 28 mai 2013 au siège du NDI s’est tenu un panel sur l’insertion socioprofessionnelle des diplômés arabophones.
Le ministère de l’Education nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues nationales et l’ambassade de France au Burkina ont procédé, ce mardi 25 mai 2021, à la signature d’une convention de financement de soixante et un million quatre mille huit (61 004 008) FCFA au profit des écoles franco-arabes. Ce financement permettra d’organiser des sessions de formation au profit des enseignants des écoles franco-arabes en langue française et en sciences, et d’assurer le suivi pédagogique et l’encadrement des enseignants sur le terrain.
Jusque-là, l’État béninois, qui est laïc, ne reconnaît pas les diplômes obtenus dans les écoles islamiques qui « fonctionnent pour l’essentiel, de façon autonome tant du point de vue de leur organisation calendaire que du point de vue du contenu des curricula ».
Jusque-là, l’État béninois, qui est laïc, ne reconnaît pas les diplômes obtenus dans les écoles islamiques qui « fonctionnent pour l’essentiel, de façon autonome tant du point de vue de leur organisation calendaire que du point de vue du contenu des curricula ».
Gouverner, c’est prévoir. C’est bien souvent dit, mais si peu mis en application sous nos cieux. C’est pourtant la raison d’être, par essence, d’un gouvernement qui se doit, par anticipation, de porter les problèmes de la cité et d’en concevoir les solutions à la satisfaction générale, faire de sorte à amoindrir les pénibilités des populations de qui il tient mandat.C’est ce message fort qu’il convient de lire dans l’initiative du gouvernement actuel de mettre à la disposition des aspirants au hadj un cadre convenable. Evidemment, avec le joyau rendu disponible par le gouvernement Talon, la mémoire très sélective de la masse y voit une évidence, perdant déjà de vue le chaos précédent, si soudain lointain, et jeté aux oubliettes. Rafraichissons-nous la mémoire.
Nous y voilà ! Un déploiement militaire se met en place dans le périmètre de Porga ainsi que dans une partie de l’Alibori. Pour combien de temps ? Personne ne peut le dire. De tous les pays africains ayant affronté le djihadisme à leurs frontières, seul l’Algérie et l’Egypte peuvent dire qu’ils l’ont vaincu. Et ils doivent cette réussite à des renoncements politiques historiques : ils ont tourné dos à la démocratie. Lorsque le pays doit faire face aux menaces terroristes, ce sont les militaires qui jouent les premiers rôles. Plus proche de nous, le Mali nous en donne un exemple patent avec des coups d’Etats à répétition. Le Burkina-Faso est à deux doigts de ce scénario malien et le Niger continue à tenir grâce encore au parapluie français. Quant au Nigeria, c’est un pays en pleine faillite.