La 4e édition du colloque international du Cercle d’études, de recherches et de formation islamique (CERFI) s’est tenue du 28 octobre au 1er décembre 2017, à Ouagadougou. Cinq jours durant, 250 participants venus des treize régions du Burkina, mais aussi du Mali, du Niger et de la Côte d’Ivoire ont échangé sur le thème : « ancrage démocratique et défis sécuritaires en Afrique de l’Ouest : quelles contributions des musulmans ? ». Des communicateurs issus du monde scolaire et universitaire, de la société civile, des acteurs religieux ainsi que des spécialistes de la sécurité ont animé les différents sous-thèmes à l’ordre du jour.
Ouagadougou a été désignée par l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ISESCO) « capitale de la culture islamique », zone Afrique, au titre de l’année 2014. Les activités entrant dans ce cadre ont été lancées le 28 juin 2014 au palais de la jeunesse et de la culture Jean Pierre Guingané par le ministère de la Culture et du tourisme, sous le thème : « promouvoir le dialogue interreligieux, ferment de paix et de cohésion sociale ». Des sessions de formations, des expositions, des festivals et autres colloques sont prévus tout au long de l’année. La cérémonie d’ouverture était présidée par le chef du gouvernement, Luc Adolphe Tiao.
Débutés le 22 décembre 2012, les travaux de construction du centre islamique de l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) se poursuivent normalement. Pour communiquer sur l’évolution desdits travaux et inviter de potentiels contributeurs à mettre la main à la poche, l’association a organisé une conférence de presse le dimanche 17 mars 2013. L’occasion était également belle pour aborder d’autres sujets d’intérêts majeurs.
Sur invitation du Centre de recherche et de formation islamique (CERFI), Cheik Abdoul Madjid Kasogbia, prédicateur congolais, théologien, expert en analyse comparée des religions, vient de séjourner au Burkina. Un séjour mis à profit pour animer des conférences publiques dans plusieurs villes du pays des hommes intègres autour du thème : « le message divin à travers Abraham, Moïse, Jésus et Mohammad : convergence ou divergence ». Le 03 janvier 2013, c’était l’étape de la capitale, Ouagadougou, qui a vu le palais des sports de Ouaga 2000 refuser du monde.
Le Cercle d’études, de recherches et de formation islamiques (CERFI) a organisé la 5e édition de la caravane de solidarité et de bienfaisance du 19 au 21 avril 2014. Organisée tous les deux ans, cette caravane consiste à aller vers les populations pour partager un message de paix, de solidarité et de fraternité. Mais, pas seulement. Les caravaniers partagent également des vivres, du savon et autres vêtements dans des centres de détention et des centres hospitaliers. Cette année, ce sont les axes Ouaga-Boussé-Toma-Tougan et Tougan-Ouahigouya-Yako-Gourcy avec des bretelles dans les différents villages qui ont été retenus.
Le Cercle d’études, de recherche et de formation islamique (CERFI) a un nouveau président. Après deux mandats de trois ans, Moussa Nombo a passé le témoin à Souleymane Koné. La passation de charges a eu lieu le 10 janvier 2016 à la Maison de la femme de Ouagadougou. Le nouveau président a pris l’engagement de travailler à l’unité d’action des musulmans ; de défendre les intérêts de l’islam et des musulmans et de contribuer au développement socio-économique du Burkina. Pour cela, il dit compter sur l’aide de Dieu et de l’ensemble des cerfistes.
Le Cercle d’études, de recherches et de formation islamiques (CERFI) forme ses membres. Ce 17 juillet 2016, ce sont les responsables de la cellule féminine nationale qui ont bénéficié d’un renforcement de capacités sur le leadership et le management des Hommes. Ce programme de formation vise à accroître l’efficacité des femmes cerfistes dans le cadre de leurs responsabilités au CERFI, mais aussi de leur permettre d’accroitre leurs compétences associatives et professionnelles. Toute chose qui leur permettra de maîtriser au mieux leur rôle et donner une image de l’islam à travers leurs savoir-faire.
Depuis 2006, l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) a initié un projet de construction d’un centre culturel islamique polyvalent, sis au 2209 Boulevard Charles de Gaulle. Ce, dans le but d’offrir à la jeunesse musulmane un meilleur cadre de pratique et de promotion de l’islam. Le coût du projet est estimé à 810 millions de francs CFA. Les travaux ont effectivement démarré depuis janvier 2013 et se poursuivent normalement, même si les besoins sont encore énormes : environ 500 millions de francs CFA à mobiliser.
La 5e édition de Camp vacances Coran a refermé ses portes le 30 août 2018, au siège de l’Agence des musulmans d’Afrique à Ouagadougou. Un mois durant, 129 enfants de 7 à 17 enfants, qui y ont séjourné, ont reçu une éducation selon l’Islam. À travers la lecture et la mémorisation des versets coraniques, les cours d’instruction religieuse, l’éducation civique et morale, les rappels, les sorties-détentes, les activités spirituelles, culturelles et sportives, ces jeunes ont appris et pratiqué la religion musulmane. Camp vacances 2018, organisé par le Cercle d’études, de recherches et de formation islamiques (CERFI), avait pour thème : « Le Coran : source de cohésion sociale ».
Après avoir rendu visite à l’ancien Président du Faso, Jean-Baptiste Ouédraogo, le Président de l’Assemblée nationale à la tête d’une forte délégation de parlementaires est allé se présenter et solliciter des conseils, prières et bénédictions des autorités coutumières et religieuses du Burkina, le 19 septembre 2017. Il a été reçu successivement par le Mogho Naaba, le grand imam de Ouagadougou, la Fédération des associations islamiques du Burkina, la fédération des Eglises et missions évangéliques, et le Cardinal Philippe Ouédraogo. Alassane Bala Sakandé soutient être allé s’abreuver à la bonne source. A l’issue de ce périple, il se dit satisfait de cette tournée qui a porté des fruits.
Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, Qui a créé l’homme d’une adhérence. Lis ! Ton Seigneur est le Très noble, Qui a enseigné par la plume [le calame], A enseigné à l’homme ce qu’il ne savait pas. (S96V1-5)
A l’occasion de la célébration de l’Aïd El Fitr, les fidèles musulmans de la ville de Gaoua ont prié pour le pardon de leurs péchés et la paix pour le Burkina Faso. C’était ce vendredi matin à la place de la nation de Gaoua, en présence du Gouverneur de la région du sud-ouest.
Amadou Sanogo fait partie de la deuxième génération des étudiants à étudier à l’université islamique de Médine en Arabie Saoudite. De retour au pays après ses études, il s’est Installé à Bobo-Dioulasso et est engagé dans l’humanitaire, la promotion de la paix et de l’islam. Nous l’avons rencontré pour échanger sur les questions d’actualité, notamment le terrorisme.
Les fidèles musulmans de Gaoua ont sacrifié à la tradition à l’occasion de la célébration de la fête de l’aid el Kébir. C’est la place de la révolution de Gaoua qui a servi de cadre de prières. Prêches et bénédictions furent les grands moments de cette célébration.
La Tabaski ou la fête de l’Aid El Kébir a été célébrée à la place de nation de Gaoua. Prières, prêche et immolation du bélier ont été les temps forts de la célébration en présence de fidèles musulmans et des corps constitués de la région venus témoigner la solidarité du gouvernement.
Les fidèles musulmans de la ville de Gaoua ont célébré la fête de l’Aid el fitr marquant ainsi la fin du jeûne. La grande prière s’est déroulée à la place de la nation de Gaoua en présence des autorités régionales et du représentant de la communauté protestante.
Dans son numéro 941 paru le Lundi 11 Septembre 2017, le journal burkinabé Bendré révélait les résultats de 55 écoles ayant fait 0% à l’examen du Certificat d’Etudes Primaires (CEP), session de 2017, dans la région du Sahel. Le journaliste auteur de l’article dissimulait difficilement sa surprise que de tels résultats soient méconnus du grand public alors qu’ailleurs, précisément au Kénédougou, les résultats d’une seule école révélés au burkinabé, en l’occurrence l’école Mahon ’’B’’, avaient fait l’objet d’un grand tapage médiatique.
Le projet autonomisation des femmes et filles et dividende démographique au sahel (SWEDD), dans le but de promouvoir la pratique de la PF a organisé une caravane de presse du 6 au 20 juillet 2017 dans la région des hauts bassins et des Cascades. Cette campagne qui a réuni plus de 15 hommes et femmes de medias a d’abord débuté dans la région des Hauts bassins avec des visites chez les communautés religieuses, coutumières et des plaidoyers à l’endroit de la population.
A deux jours de l’Aid El Kébir ou Tabaski, les commerçants se sont approvisionnés pour répondre aux besoins des clients. Des poulets en passant par la pomme de terre et la banane plantain, tout est fait pour que la fête soit belle, même si les commerçants déplorent le peu d’engouement des clients.
Le Cercle d’études, de recherches et de formation islamiques (CERFI) a tenu une conférence de presse ce jeudi 19 octobre 2017 en prélude à la 4e édition du colloque international qu’il organise cette année sur le thème : « Ancrage démocratique et défis sécuritaires en Afrique de l’Ouest : quelles contributions des musulmans. »
Le Premier ministre Paul Kaba Thiéba a reçu ce lundi 24 octobre 2016 en audience, l’ambassadeur des Etats-Unis Tulinabo Mushingi. Au menu des échanges, entre autres points, la sécurité, l’affaire CAMEG, le PNDES, mais aussi le prochain départ de l’ambassadeur Tulinabo du pays des hommes intègres.
Le peintre Vlady Kibaltchich, le fils de Victor Serge, a dit, voici quelques années déjà : « Je vais vivre encore jusqu’à quatre-vingt six ans, peut-être quatre-vingt-sept, je ne sais pas encore. J’ai beaucoup de travail jusque-là. La vie n’est pas faite pour vivre. Il faut accomplir sa tâche ». Vlady* était bien loin de l’univers de El Hadj Oumarou Kanazoé (même s’ils étaient de la même génération) ; mais je pense que l’homme de Yako aurait pu, lui aussi, adopter cette formule pour définir son parcours terrestre : « La vie n’est pas faite pour vivre. Il faut accomplir sa tâche ».
C’est le feuilleton de l’année 2013 au Burkina Faso. Après les « marches » organisées par l’opposition, la « marche-meeting » par laquelle une partie de la coalition présidentielle va répliquer (l’ADF-RDA ne s’y est pas associée), l’élection de 39 sénateurs représentant les collectivités territoriales, la « lettre pastorale » des évêques, la demande présidentielle d’un rapport sur « l’opérationnalisation du Sénat », la remise du « rapport circonstancié », voilà Dieu, Allah et les « coutumiers » appelés à se prononcer sur ce projet controversé de Sénat.
Hakan Yanar, Ali Ihsan Bagci, tous deux directeurs du complexe scolaire turc, Horizon International de Ouagadougou, ont offert le 31 juillet 2013, des vivres aux membres de la Fédération Burkinabè des Associations pour la Promotion des Personnes Handicapées (FEBAH).
A l’instar des années passées, la Communauté islamique de la Tidjania du Burkina Faso (C.I.T.B.F) s’est encore retrouvée dans la nuit du 24 au 25 janvier 2013 à Ramatoulaye, sous la direction de Cheick Aboubacar Maiga II, Guide Spirituel de la Tidjiania au Faso, pour célébrer, avec grande ferveur, la naissance du prophète Mohammad. La célébration de cette 91e édition du Mouloud a été placée sous le thème, « Education des enfants en islam : rôle et perspective pour une société meilleure ».