Les fidèles musulmans de la ville de Gaoua ont célébré la fête de l’Aid el fitr marquant ainsi la fin du jeûne. La grande prière s’est déroulée à la place de la nation de Gaoua en présence des autorités régionales et du représentant de la communauté protestante.
La Tabaski ou la fête de l’Aid El Kébir a été célébrée à la place de nation de Gaoua. Prières, prêche et immolation du bélier ont été les temps forts de la célébration en présence de fidèles musulmans et des corps constitués de la région venus témoigner la solidarité du gouvernement.
Les fidèles musulmans de Gaoua ont sacrifié à la tradition à l’occasion de la célébration de la fête de l’aid el Kébir. C’est la place de la révolution de Gaoua qui a servi de cadre de prières. Prêches et bénédictions furent les grands moments de cette célébration.
Amadou Sanogo fait partie de la deuxième génération des étudiants à étudier à l’université islamique de Médine en Arabie Saoudite. De retour au pays après ses études, il s’est Installé à Bobo-Dioulasso et est engagé dans l’humanitaire, la promotion de la paix et de l’islam. Nous l’avons rencontré pour échanger sur les questions d’actualité, notamment le terrorisme.
A l’occasion de la célébration de l’Aïd El Fitr, les fidèles musulmans de la ville de Gaoua ont prié pour le pardon de leurs péchés et la paix pour le Burkina Faso. C’était ce vendredi matin à la place de la nation de Gaoua, en présence du Gouverneur de la région du sud-ouest.
Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, Qui a créé l’homme d’une adhérence. Lis ! Ton Seigneur est le Très noble, Qui a enseigné par la plume [le calame], A enseigné à l’homme ce qu’il ne savait pas. (S96V1-5)
Après avoir rendu visite à l’ancien Président du Faso, Jean-Baptiste Ouédraogo, le Président de l’Assemblée nationale à la tête d’une forte délégation de parlementaires est allé se présenter et solliciter des conseils, prières et bénédictions des autorités coutumières et religieuses du Burkina, le 19 septembre 2017. Il a été reçu successivement par le Mogho Naaba, le grand imam de Ouagadougou, la Fédération des associations islamiques du Burkina, la fédération des Eglises et missions évangéliques, et le Cardinal Philippe Ouédraogo. Alassane Bala Sakandé soutient être allé s’abreuver à la bonne source. A l’issue de ce périple, il se dit satisfait de cette tournée qui a porté des fruits.
La 5e édition de Camp vacances Coran a refermé ses portes le 30 août 2018, au siège de l’Agence des musulmans d’Afrique à Ouagadougou. Un mois durant, 129 enfants de 7 à 17 enfants, qui y ont séjourné, ont reçu une éducation selon l’Islam. À travers la lecture et la mémorisation des versets coraniques, les cours d’instruction religieuse, l’éducation civique et morale, les rappels, les sorties-détentes, les activités spirituelles, culturelles et sportives, ces jeunes ont appris et pratiqué la religion musulmane. Camp vacances 2018, organisé par le Cercle d’études, de recherches et de formation islamiques (CERFI), avait pour thème : « Le Coran : source de cohésion sociale ».
Depuis 2006, l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) a initié un projet de construction d’un centre culturel islamique polyvalent, sis au 2209 Boulevard Charles de Gaulle. Ce, dans le but d’offrir à la jeunesse musulmane un meilleur cadre de pratique et de promotion de l’islam. Le coût du projet est estimé à 810 millions de francs CFA. Les travaux ont effectivement démarré depuis janvier 2013 et se poursuivent normalement, même si les besoins sont encore énormes : environ 500 millions de francs CFA à mobiliser.
Le Cercle d’études, de recherches et de formation islamiques (CERFI) forme ses membres. Ce 17 juillet 2016, ce sont les responsables de la cellule féminine nationale qui ont bénéficié d’un renforcement de capacités sur le leadership et le management des Hommes. Ce programme de formation vise à accroître l’efficacité des femmes cerfistes dans le cadre de leurs responsabilités au CERFI, mais aussi de leur permettre d’accroitre leurs compétences associatives et professionnelles. Toute chose qui leur permettra de maîtriser au mieux leur rôle et donner une image de l’islam à travers leurs savoir-faire.
Le Cercle d’études, de recherche et de formation islamique (CERFI) a un nouveau président. Après deux mandats de trois ans, Moussa Nombo a passé le témoin à Souleymane Koné. La passation de charges a eu lieu le 10 janvier 2016 à la Maison de la femme de Ouagadougou. Le nouveau président a pris l’engagement de travailler à l’unité d’action des musulmans ; de défendre les intérêts de l’islam et des musulmans et de contribuer au développement socio-économique du Burkina. Pour cela, il dit compter sur l’aide de Dieu et de l’ensemble des cerfistes.
Le Cercle d’études, de recherches et de formation islamiques (CERFI) a organisé la 5e édition de la caravane de solidarité et de bienfaisance du 19 au 21 avril 2014. Organisée tous les deux ans, cette caravane consiste à aller vers les populations pour partager un message de paix, de solidarité et de fraternité. Mais, pas seulement. Les caravaniers partagent également des vivres, du savon et autres vêtements dans des centres de détention et des centres hospitaliers. Cette année, ce sont les axes Ouaga-Boussé-Toma-Tougan et Tougan-Ouahigouya-Yako-Gourcy avec des bretelles dans les différents villages qui ont été retenus.
Sur invitation du Centre de recherche et de formation islamique (CERFI), Cheik Abdoul Madjid Kasogbia, prédicateur congolais, théologien, expert en analyse comparée des religions, vient de séjourner au Burkina. Un séjour mis à profit pour animer des conférences publiques dans plusieurs villes du pays des hommes intègres autour du thème : « le message divin à travers Abraham, Moïse, Jésus et Mohammad : convergence ou divergence ». Le 03 janvier 2013, c’était l’étape de la capitale, Ouagadougou, qui a vu le palais des sports de Ouaga 2000 refuser du monde.
Débutés le 22 décembre 2012, les travaux de construction du centre islamique de l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) se poursuivent normalement. Pour communiquer sur l’évolution desdits travaux et inviter de potentiels contributeurs à mettre la main à la poche, l’association a organisé une conférence de presse le dimanche 17 mars 2013. L’occasion était également belle pour aborder d’autres sujets d’intérêts majeurs.
Ouagadougou a été désignée par l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ISESCO) « capitale de la culture islamique », zone Afrique, au titre de l’année 2014. Les activités entrant dans ce cadre ont été lancées le 28 juin 2014 au palais de la jeunesse et de la culture Jean Pierre Guingané par le ministère de la Culture et du tourisme, sous le thème : « promouvoir le dialogue interreligieux, ferment de paix et de cohésion sociale ». Des sessions de formations, des expositions, des festivals et autres colloques sont prévus tout au long de l’année. La cérémonie d’ouverture était présidée par le chef du gouvernement, Luc Adolphe Tiao.
La 4e édition du colloque international du Cercle d’études, de recherches et de formation islamique (CERFI) s’est tenue du 28 octobre au 1er décembre 2017, à Ouagadougou. Cinq jours durant, 250 participants venus des treize régions du Burkina, mais aussi du Mali, du Niger et de la Côte d’Ivoire ont échangé sur le thème : « ancrage démocratique et défis sécuritaires en Afrique de l’Ouest : quelles contributions des musulmans ? ». Des communicateurs issus du monde scolaire et universitaire, de la société civile, des acteurs religieux ainsi que des spécialistes de la sécurité ont animé les différents sous-thèmes à l’ordre du jour.
Pour la première fois, l’équipe de dissémination du rapport de l’Initiative pour la transparence des industries extractives du Burkina (ITIE-BF) était dans la commune de Zorgho, le 02 septembre 2015. C’est la salle de conférence de la mairie de ladite commune qui a abrité l’atelier d’échanges et de sensibilisation. Ainsi, coutumiers, religieux (musulmans, catholiques, protestants), représentants d’associations, représentants de services déconcentrés et décentralisés de l’Etat ont pris connaissance du contenu du rapport 2012 de l’ITIE-BF.
De plus en plus, le Cercle d’études, de recherche et de formation islamique (CERFI) s’intéresse aux questions politiques. Pour la première fois de son histoire, cette association islamique participera à l’observation des élections au Burkina. Ce, dans le but d’apporter sa contribution à davantage de crédibilité et de transparence à l’organisation du double scrutin du 29 novembre prochain. Dans ce cadre, il a recruté 121 superviseurs dans les 45 provinces du pays. La formation desdits superviseurs a commencé le 20 novembre 2015 à Ouagadougou.
07 janvier 2008-07 janvier 2018. Coris Bank international a dix ans. Au nombre des produits développés par « la banque autrement », il y a Coris Baraka qui est fenêtre islamique. Dans le cadre de la commémoration de cette décennie d’existence, elle a organisé le 27 janvier 2018, à l’université Ouaga1 Pr Joseph Ki-Zerbo, une conférence publique sur le thème : « comprendre l’industrie de la finance islamique et sa valeur ajoutée sur les économies locales ». C’est le Dr Abdessatter Khouildi, Président du comité Charia de Coris Bank Baraka, qui animée par cette conférence avait pour but de contribuer à la promotion de la finance islamique présentée comme une alternative au financement conventionnelle.
La 12e édition du Séminaire nationale de formation islamique (SENAFI) s’est tenue à Ouahigouya, capitale de la région du Nord, du 17 au 24 aout 2013, sous le thème : « le coran, la mère des sciences ». Près de 1000 jeunes musulmans venus des 45 provinces du Burkina ont pris part à cette rencontre organisée par l’Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina (AEEMB). Apprentissage de la prière, des fondements de l’islam et des bonnes pratiques islamiques étaient au programme. SENAFI 2013 a refermé ses portes le samedi 24 aout à l’Ecole nationale des enseignants du primaire de Ouahigouya.
Plus de 4300 fidèles musulmans du Burkina devraient accomplir le 5e pilier de l’islam, le Hadj, cette année. C’est la compagnie saoudienne « Nas Air Charter Aviation » qui est le transporteur officiel. Le premier vol, avec à bord 460 pèlerins a quitté Ouagadougou ce 23 septembre 2013 à 3h TU. A la suite, neuf autres vols (Ouaga-Médine et Bobo-Médine) sont prévus et le dernier devrait quitter Ouagadougou le 1er octobre.
Une première ! Le comité national de suivi du pèlerinage à la Mecque a fait le bilan de l’organisation du Hadj 2013. A cet effet, le comité de suivi, les représentants des 12 agences agréées, des observateurs étaient réunis, en atelier, à Manga du 07 au 08 février 2014. L’occasion a également servi de cadre pour le lancement des inscriptions de l’édition 2014 du hadj. Avec une innovation majeure : les inscriptions en ligne.
Le Hadj 2015 approche à grands pas. Et les préparatifs vont bon train. Le Comité national de suivi du pèlerinage à la Mecque a organisé une conférence de presse le 16 août pour faire le point des derniers développements. Au menu de la rencontre avec les Hommes de médias : la mission du comité en terre sainte du 23 juillet au 5 août derniers ; l’état d’avancement des préparatifs et les innovations de cette année. Le programme des vols aller et retour a également été communiqué.
5550 Burkinabè se sont inscrits pour accomplir le 5e pilier de l’islam cette année. Les départs se déroulent du 10 au 16 septembre 2015. Le premier vol a effectivement quitté Ouagadougou ce jeudi, avec 498 pèlerins à bord. Au nom du gouvernement burkinabè, deux ministres (administration territoriale celui transports) sont allés souhaiter un bon hadj aux candidats, avant le décollage. Ils leur ont également demandé de prier pour le Burkina, une fois en terre sainte.
Le ministre de l’administration territoriale, en charge des questions religieuses, a animé une conférence de presse, le 27 octobre 2016, à Ouagadougou, pour faire le bilan de l’organisation du Hadj 2016.Et, Simon Compaoré dit tirer des motifs de satisfaction. Sur un quota de 5500 pèlerins, 5491 personnes ont pu effectuer le 5e pilier de l’islam. Cinq d’entre eux ont perdu la vie en terre sainte. La contribution financière de l’Etat burkinabè pour accompagner l’édition 2016 du pèlerinage à la Mecque est de 1,119 milliards de francs CFA.