Article
Coordination nationale des gares routières : Diaby Moustapha toujours dans le collimateur des hommes en armes
- Titre
- Coordination nationale des gares routières : Diaby Moustapha toujours dans le collimateur des hommes en armes
- Type
- Article de presse
- Créateur
- A. T.
- Editeur
-
Le Jour Plus
- Date
- 10 février 2006
- nombre de pages
- 1
- Langue
- Français
- Contributeur
-
Frédérick Madore
- Identifiant
- iwac-article-0010514
- contenu
-
# Coordination nationale des gares routières
## Diaby Moustapha toujours dans le
collimateur des hommes en armesBien qu'exilé à Paris depuis mars 2004, Diaby Moustapha, ancien secrétaire à la communication de la coordination nationale des gares roulières ne finit pas de payer le prix de son engagement politique et syndical. Des hommes en armes non identifiés sur qui pèsent de lourds soupçons quant à l'assassinat de son frère Kalilou en juin 2005, viennent, après les événements de janvier 2005 d'opérer une perquisition à son domicile d'Abidjan.
Qui en veut à Diaby Moustapha, ancien secrétaire à la communication de la coordination nationale des gares routières ? Lui qui en mars 2004 sous la contrainte des hommes en armes, a dû abandonner sa famille pour s'exiler en France. Mais, depuis les bords de la Seine, ses proches et lui craignent pour sa vie. Après l'attaque du camp d'Akouédo en janvier, son domicile à Abidjan a été perquisitionné. Par des individus en armes non encore identifiés, qui heureusement, sont rentrés bredouilles. L'intéressé joint au téléphone entant porter plainte contre X pour menace contre X. Pour ses
Diaby Moustapha bien qu'exilé n init pas de payer le prix de son engagement . Vitique et syndical.
parents, leur fils bien qu'éloigné de sa terre natale continue de payer le prix de son engagement politique et syndical. La peur de la famille est d'autant plus grande du fait qu'en juin 2005, son frère Diaby Kalilou a été lâchement assassiné par des hommes non encore identifiés. Assassinat qui a été suivi de plusieurs visites d'individus armés dans la cour familiale. M. Diaby qui dirige aujourd'hui une Ong à Paris souhaite rapidement que la lumière soit faite sur cette traque à l'hommes qui le poursuit depuis son exil parisien.
A.T.