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Banque islamique de développement : au secours des pays les moins avancés
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- Titre
- Banque islamique de développement : au secours des pays les moins avancés
- Créateur
- Jean-Baptiste W. Dipama
- Editeur
- Sidwaya
- Date
- 17 octobre 2002
- Résumé
- La Banque islamique de développement (BID) est une banque dont l'une des préoccupations est d'assister les pays les moins avancés en leur accordant des crédits multisectoriels.
- Couverture spatiale
- Ouagadougou
- Langue
- Français
- Contributeur
- Frédérick Madore
- Identifiant
- iwac-article-0000800
- contenu
-
La Banque islamique de développement (BID) est une banque dont l'une des préoccupations est d'assister les pays les moins avancés en leur accordant des crédits multisectoriels.
A l'occasion de sa XXVIIe réunion annuelle qui s'est tenue du 9 au 13 octobre 2002 à Ouagadougou, nous vous proposons un bref développement des pays membres les moins avancés.
Parmi les cinquante-trois (53) pays membres de la BID, vingt-trois sont classés dans la catégorie des pays les moins avancés, dont le Burkina Faso. Ces pays sont prioritaires en matière de financement préférentiel (prêt et assistance technique).
L'intervention de la BID au Burkina Faso remonte à 1979 et se chiffre à 131 millions de dinars islamiques soit environ 11,8 milliards de F CFA.
Cette intervention couvre des secteurs tels que l'agriculture, l'hydraulique villageoise et urbaine, l'éducation, la santé, les infrastructures routières, l'énergie, les mines, les industries, le commerce et l'assistance technique.
Dans le souci de venir en aide aux PMA, la Banque a créé en 1992 le "compte spécial PMA" en vue d'augmenter les ressources financières globales mises à la disposition de ces pays. Ce compte a une spécificité : répondre aux besoins essentiels et impérieux des populations musulmanes déshéritées. Il finance les projets qui, selon les programmes normaux de la Banque ne seraient pas financés. Les projets financés à partir du compte spécial PMA bénéficient de conditions avantageuses de remboursement.
Trente (30) ans dont une période de grâce de dix ans contre vingt-cinq ans et une période de grâce maximale de sept ans, pour les prêts octroyés par la Banque.
En fin 2001, le total des montants approuvés au profit des PMA s'élevait à 3,13 milliards de dinars islamiques, environ 28,2 milliards de F CFA, soit 17% du montant global des financements, toutes opérations confondues.
Au cours de 2001, la Banque a lancé un programme en vue de la formulation et la mise en oeuvre de systèmes de financement des moyennes, petites, très petites et micro-entreprises dans les pays membres de la BID les moins avancés et dans les pays à faible revenu. Des conditions de financement des plus avantageuses sont accordées aux pays éligibles conformément aux politiques et procédure de la BID.
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