Les Forces armées nationales ont célébré, ce mardi 1er novembre 2016, à la place de la Nation de Ouagadougou, leur 56e anniversaire sous le thème « Défis sécuritaires et développement socio-économique : contribution des forces armées nationales ». Le chef suprême des armées, le président Roch Marc Christian Kaboré était aux premières loges.
Dans le cadre des commémorations du 59e anniversaire de leur guide spirituel, l’Association musulmane pour le soutien à l’islam (AMSI Ançar Dine Internationale) a entamé une série de donations dans plusieurs pays et villes. A Bobo-Dioulasso, la cour de la solidarité a reçu la visite des fidèles du guide malien, le Chérif Ousmane Madani Haïdara
Ce 24 octobre 2019 à Ouagadougou, une délégation en charge des opérations du cinquième Recensement général de la population et de l’habitation a rendu visite à la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) pour expliquer le bien-fondé de cette opération. Après une trentaine de minutes d’entretien, la délégation du ministère de l’Economie, conduite par Abel Somé, est ressortie confiante. Les membres de la FAIB ont formulé des bénédictions et des encouragements pour la réussite du recensement.
A l’occasion de la célébration de la fête nationale de son pays, l’Ambassadeur de la République algérienne populaire au Burkina, Mohamed Ainseur en compagnie de son épouse, a convié ses pairs et d’illustres personnalités à vivre cet instant mémorable. C’était ce mercredi 2 novembre 2016 à Ouagadougou.
Dans la déclaration ci-après faite à l’occasion du 8 mars, l’Association des Elèves et Etudiants Musulmans au Burkina (A.E.E.M.B) donne sa lecture du concept de l’émancipation de la femme d’aujourd’hui.
Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la femme, la Ligue islamique pour la paix au Faso a organisé le dimanche 7 mars 2021 un panel à l’honneur des femmes de médias. Cette initiative avait pour but d’échanger avec celles-ci sur leur métier et leur vie familiale.
Depuis quelques jours, les réseaux sociaux burkinabè s’enflamment sur le sujet de la création d’un "groupe de sécurité islamique" à Pouytenga ( Centre Est du Burkina ) qui, dans une vidéo, se présente comme "les défenseurs de la religion de Dieu et des biens des esclaves de Dieu". Sur la question, Sayouba Traoré, journaliste et écrivain, tire la sonnette d’alarme.
Chers Concitoyens et Chers Amis, le 8 Juin 2015, en pleine préparation de la campagne pour l’élection du Président du Faso à laquelle j’étais candidat, j’accordais un entretien téléphonique au journal Jeune Afrique. De la publication du journal qui s’en est suivi, il était dit que j’estimais que mes principaux atouts en tant que candidat étaient que « je suis moaga et de confession musulmane ». Malgré mon insistance à ce que le journal Jeune Afrique corrige ces propos qui, pris hors de leur contexte, me font passer de façon mensongère pour un sectaire, celui-ci a préféré maintenir cette forme indirecte d’accusation sans que je ne sache quelles étaient ses réelles intentions. Ma naïveté d’alors, traduite par la confiance aveugle que j’ai accordée à Jeune Afrique, fut de n’avoir pas réclamé, lu et approuvé l’article en question avant sa publication comme il est de coutume.
Pour que le burkini fasse son apparition, faut-il que le Burkina possède un accès à la mer, ou à défaut se crée des plages de sable fin en lisières de barrages ? Mais pourquoi, après l’annulation de la compétition “bim-bim”, le Burkina n’organiserait-il pas, en complément de la compétition des Miss qui s’affichent « à l’occidentale » en bikini, un concours de beautés qui défileraient en burkini ? Nous, femmes musulmanes, n’aurions-nous pas droit à coquetterie et reconnaissance ?
Le nouveau président de l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) s’appelle Yaya Dama. Il a été élu pour un mandat de deux ans, à l’issue du 16e congrès ordinaire de l’association qui s’est tenu du 25 au 28 décembre 2016 à Ouagadougou.
Les populations de 100 villages dans neuf communes de Salogo et Mogtédo dans le Ganzourgou, Dapelogo, Nagréongo, Ziniaré et Zitenga dans l’Oubritenga, Boussé, Laye et Niou ont proclamé publiquement éradiquer le phénomène de l’excision et du mariage d’enfants. Cet acte collectif a été posé le mardi 20 décembre 2016 à Tanlili dans la commune de Zitenga. L’initiative est portée par le groupe d’appui en santé, communication et développement.
Le musulman, fils de paysan burkinabè a encore frappé. A Dédougou pour la campagne électorale ce vendredi 13 novembre 2015, Ablassé Ouedraogo, le candidat du « Le Faso Autrement » et de la coalition « Ensemble Autrement » a impacté son auditoire grâce à sa « marque de fabrique ». Tout en déballant son programme politique, l’homme n’a pas dérogé à sa réputation. En se présentant comme un fils de paysan, un musulman « prêt à aller prier ».
Dans une interview accordée à notre confrère Jeune Afrique, Ablassé Ouédraogo le candidat du parti Le Faso Autrement cite « les trois atouts principaux » qu’il possède et qui pourraient militer en sa faveur au soir du 11 octobre 2015. « Je suis Moagha du plateau central, et les Mossis sont une forte composante du Burkina Faso. Je suis aussi musulman, ce qui n’est pas rien dans un pays où 70% des gens le sont également. Enfin, comme je vous l’ai dit, j’ai un vaste réseau de relations utiles dans le cadre de la diplomatie de développement que nous souhaitons mettre en place ».
Créée en 1986, l’Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina(AEEMB), commémore cette année ses 30 ans d’existence. C’est justement pour marquer cet évènement que les membres de l’association ont organisé un séminaire autour du thème « AEEMB, 30 ans de promotion de l’islam et d’engagement, acquis et défis » à Ouagadougou. A cette occasion, nous avons rencontré le président de la structure Ali Sawadogo, afin de lancer un regard sur le bilan des 30 années écoulées et les défis que se fixe l’association pour les années à venir.
« Jeunesse musulmane et engagement citoyen », c’est le thème de la 15ème édition du séminaire régional de l’encadrement islamique (SEREENI), qui se tient du 29 août au 5 septembre 2020, dans la tradition musulmane. C’est la ville de Ziniaré, chef-lieu de la région du Plateau Central, qui a abrité la cérémonie d’ouverture officielle de cette quinzième édition du SEREENI, qui se déroule concomitamment dans cinq villes différentes. L’édition se tient sous le parrainage de El Hadj Moussa Kuanda.
L’association des élèves et étudiants musulmans du Burkina, AEEMB, a clos son XVè Congrès extraordinaire le dimanche, 28 décembre 2014 à l’Amphi A600 de l’Université de Ouagadougou. Cette rencontre qui s’est ouverte le 25 décembre s’est achevée par le renouvellement des instances de l’association. La cérémonie de clôture a connu la présence de plusieurs leaders musulmans et des « frères » des autres confessions religieuses.
Le gouvernement a tranché définitivement sur la crise née de la destruction de la mosquée de Panzani, un quartier de Ouagadougou. En effet, le gouvernement, dans un communiqué daté du 6 mai 2021, a attribué le terrain litigieux à la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB). Cette décision de l’exécutif ne semble pas faire l’unanimité. Le chef de file de l’opposition (CFOP), Eddie Komboigo, pour sa part, reste sceptique. Pour lui, cela peut conduire à une autre crise.
Le Gouvernement a définitivement tranché le conflit né de la destruction de la mosquée de Panzani, le 7 septembre 2020. Dans un communiqué en date du 6 mai 2021, l’exécutif a décidé d’attribuer le terrain litigieux à la Fédération des Associations Islamiques du Burkina Faso (FAIB) « à l’effet de permettre la réalisation de toute infrastructure ou toute activité en faveur de la communauté islamique ».
Le weekend passé, une information faisant état de la création d’une « sécurité islamique » à Pouytenga, à l’Est du Burkina, a causé une vague d’indignations sur la toile. Malgré le communiqué du ministère de la sécurité, les internautes ne semblent pas être convaincus des « mesures éventuelles à prendre » par le gouvernement. Sur cette question, on peut lire des commentaires approuvant la mise en place de cette « sécurité islamique », même certains d’entre eux prétendent que c’est de l’ironie.
Faisant suite à une publication sur les réseaux sociaux sur une "Sécurité islamique " à Pouytenga, la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) s’est saisie de l’affaire pour comprendre et mieux situer l’opinion. L’information a provoqué une multitude de réactions d’inquiétudes sans doute justifiées par le contexte actuel.
Le P-DG de CIM METAL Group, Inoussa Kanazoé et plusieurs de ses collaborateurs, ont été arrêtés le 19 avril 2017 par la gendarmerie nationale. Si depuis lors l’on se perdait en conjectures sur les raisons d’une telle arrestation, l’on en sait un peu plus depuis ce 24 avril avec la conférence de presse que le procureur du Faso près le Tribunal de Grande instance de Ouagadougou, Maïza Sérémé, a animée. Nous vous proposons l’intégralité de sa déclaration liminaire.
Selon l’Agence d’information du Burkina (AIB), le ministre en charge de l’Administration, Clément Sawadogo, a déclaré, ce samedi 8 mai 2021 à Gaoua, que « Jacques Ouédraogo a volontairement cédé son terrain de Pazani contre une compensation ».
Les jeunes de la communauté islamique ahmadiyya de Bobo ont organisé du 22 au 24 septembre 2017 à Péni leur ijtema (conférence) sous le thème « devoir et responsabilité du jeune musulman ahmadi dans la promotion de la paix et dialogue interreligieux ».
Après un mois de jeûne et de pénitence, Bobo-Dioulasso a célébré l’Aïd Al-Fitr ce lundi 28 juillet 2014. Comme un peu partout dans la ville, la place Warawara a été un lieu de convergence pour les fidèles musulmans. Guidée par l’Imam El Hadj Siaka Sanon de la mosquée de Dioulasso-Ba, la prière de la place warawara a été l’occasion pour des fidèles musulmans d’exprimer, une fois de plus, leur compassion à l’endroit des proches des victimes du crash de l’AH5017.