Les premiers pèlerins se sont envolés, ce mercredi 17 septembre 2014 à 16 heures. Le transport est assuré par la Compagnie NAS Charter Aviation. Cette année, ils sont au total, 5 500 candidats burkinabè à accomplir le 5ème pilier de l’islam. Ils sont 500 à prendre le premier vol. Ils effectueront le déplacement à travers un planning de 13 vols partant des aéroports internationaux de Bobo-Dioulasso et de Ouagadougou.
Cette année, ils seront 5 500 candidats à prendre la route de l’Arabie Saoudite pour accomplir le 5ème pilier de l’Islam : le hadj. Douze (12) agences de voyages agréées pour la gestion des pèlerins et la Compagnie NAS Charter Aviation pour assurer les vols des candidats ; du 17 au 22 septembre pour le départ et un retour prévu du 21 au 26 octobre 2014. Le point des préparatifs a été fait dans la soirée de ce vendredi, 5 septembre 2014 à Ouagadougou par le Comité national de suivi du Pèlerinage à la Mecque.
« La contribution de la jeunesse musulmane en Afrique de l’ouest à la prévention de l’extrémisme violent ». C’est autour de ce thème que l’Organisation de la jeunesse musulmane en Afrique de l’ouest (OJEMAO), en collaboration avec le ministère de la jeunesse, de la formation et de l’insertion professionnelle, tient du 16 au 18 août 2016 à Ouagadougou, un Congrès et un Colloque international sur le renforcement des capacités de la jeunesse musulmane ouest africaine. La cérémonie d’ouverture, ce mardi, 16 août 2016 a été marquée par la présence de nombreuses personnalités.
Le 15 janvier 2016, le couple australien résident à Djibo dans la province du Soum a été enlevé par un groupe affilié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). Si son épouse a été libérée le 7 février 2016, jusqu’à ce jour, Dr Elliot, lui, est toujours otage. A soixante-douze heures de l’An I de ce rapt, une faîtière d’organisations de la société civile (OSC) à caractères local et national, réunies au sein du Collectif des OSC actives pour la « Commémoration de l’An I de l’enlèvement du couple Elliot » donne de la voix. Entre devoir de reconnaissances et interpellation des autorités burkinabè…, ce regroupement d’organisations a décidé de marquer cette page noire par plusieurs activités dévoilées au cours d’une conférence de presse ce jeudi, 12 janvier 2017 au Centre national de presse Norbert-Zongo à Ouagadougou.
Pour avoir accordé l’interview, Dr Ablassé Ouédraogo dit assumer pleinement ce qui a été dit. Cependant, il dit regretter ‘’ l’usage ’’ qui en a été fait et l’intention qui a été prêtée à ses propos… Suite aux nombreuses réactions qu’a suscitée cette interview au sein des Burkinabè, nous avons voulu en savoir davantage auprès de l’intéressé lui-même, le candidat de Le Faso Autrement à la présidentielle du 11 octobre prochain. Dr Ablassé Ouédraogo explicite …
Face à la situation de troubles sociaux observés à travers le monde, occasionnés par les conflits religieux, l’Etat burkinabè a entrepris la mise en place d’un mécanisme de veille aux contenus médiatiques à caractère religieux, de suivi des pratiques cultuelles et de promotion de la tolérance et du dialogue interreligieux. Un mécanisme qui sera incarné par l’Observatoire national des faits religieux (ONAFAR) crée en janvier en janvier 2015. C’est pour, d’une part offrir un cadre d’échanges et de dialogue aux leaders des différentes communautés religieuses et, d’autre part mieux faire connaître cette structure que le ministère de l’administration territoriale, de la décentralisation et de la sécurité, avec l’appui de l’ONG Diakonia, organise un atelier de concertation les 18 et 19 février à Ouagadougou.
Le mercredi 25 janvier 2017, des enseignants en service dans la province du Soum, région du Sahel, ont été sommés par « deux hommes armés, sur une moto » de quitter leur poste. La seule condition pour ces éducateurs d’y rester, selon ces hommes armés, c’est de ‘’ enseigner l’islam ’’.
« Problèmes des temps modernes et les solutions de l’Islam ». C’est autour ce thème principal que la Jama’At islamique Ahmadiyya du Burkina a tenu sa conférence régionale du centre, les 18 et 19 avril 2015, à son siège sis à l’arrondissement N°4 de Ouagadougou. Ce rendez-vous, présidé par le chef missionnaire du Burkina, Khalid Mahamoud, a été marqué par plusieurs activités dont une série de communications sur la philosophie de la religion et la vie du Prophète Mahomet.
« Les lignes directrices du vivre ensemble selon l’Islam ». C’est autour de ce thème que le Centre culturel et islamique du Burkina (CCIB) a organisé, les 13 et 14 août 2016 à Ouagadougou, un séminaire de réflexion sur la contribution de la communauté islamique à un vivre-ensemble dans une société multiconfessionnelle. L’activité, co-parrainée par la directrice pays du PDEV II (Programme paix par le développement phase II, américain), Salamata Sawadogo, et le Secrétaire permanent du Comité d’organisation du 11-décembre, Boukari Khalil Bara, a connu l’intervention de responsables chrétiens, musulmans et de leaders coutumiers et traditionnels.
Le diplomate américain, Dr. Tulinabo Mushingi, était le « frère en islam », ‘’convié’’ pour la « rupture » du jeûne, en ce vendredi, 18 juillet 2014, au siège du Cercle d’études de recherches et de formation islamiques (CERFI) sis au quartier 12 00 logements. Outre la « rupture du jeûne », Dr. Mushingi a assisté, entre autres, à un témoignage de musulmans sur un voyage effectué aux Etats-Unis, à la prière, à des invocations et à une communication sur Islam et coexistence pacifique.
Les musulmans du Burkina ont célébré la nuit du Destin, le jeudi, 24 juillet 2014 sur l’ensemble du territoire national. A Ouagadougou, plus précisément sur le site du SIAO, le Cercle d’études de recherches et de formation islamiques (CERFI) a, une fois de plus, convié ses membres et sympathisants autour de prières, adorations mais également de réflexions sur le système éducatif au Burkina.
La communauté musulmane du Burkina a bouclé le mois de jeûne à travers la prière de l’Aïd-el-fitr sur l’ensemble du territoire. L’occasion était belle pour non seulement mettre en prière ses vœux les plus chers mais également pour exprimer, de vive voix, une « pensée spéciale » envers des personnes. Réactions de fidèles musulmans à Ouagadougou.
C’est ce samedi, 4 octobre 2014, que l’ensemble des musulmans du Burkina ont célébré l’Aïd El-Kébir. A Ouagadougou, la grande prière a eu lieu à la Place de la Nation qui s’est révélée petite. La responsabilité de chaque Burkinabè dans la préservation de la paix a été le principal message livré par El hadj Aboubacar Sana, Imam de la grande mosquée de Ouagadougou qui a officié la prière.
La première édition de remise de trophées, « Peegre Kuni », a eu lieu dans la nuit du jeudi 18 décembre 2014 au SIAO. Initiative visant à promouvoir la paix, la première édition a récompensé dix personnalités au cours d’une cérémonie qui a connu la participation d’invités de marque dont l’ancien ministre des sports et loisirs, le colonel Yacouba Ouédraogo, des leaders coutumiers et religieux. Une cérémonie qui a eu pour marraine, Rasmata Kabré de la Fondation Rama.
La Coalition pour la démocratie et la réconciliation nationale (CODER) continue de dérouler son programme d’activités, notamment dans son volet lié aux prises de contact les personnes ressources et institutions du pays. Ainsi, après le HCRUN et Sa Majesté le Mogho Naaba Baongo, c’est la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) qui a reçu à son siège sis à Ouaga 2000, une délégation de cette organisation politique conduite par son président, Dr Ablassé Ouédraogo. C’était dans la soirée du mardi, 22 novembre 2016.
Arrivé au Burkina pour la première fois en 1997, après des études et des services pendant une décennie au Pakistan, Mahmood Nasir Saqib a servi dans plusieurs autres pays en tant que Chef de la communauté Ahmadiyya, notamment en Côte d’Ivoire et au Mali. En 2016, il est réaffecté au Burkina comme Amir (commandeur, ndlr) et Chef Missionnaire. « L’Islam est une religion de paix. L’islam est une religion de tolérance. L’islam ne veut pas dire aller déranger quelqu’un, tuer quelqu’un ou forcer quelqu’un à faire quoi que ce soit. La religion, c’est un choix personnel », rappelle Mahmood Nasir Saqib, s’appuyant sur le slogan de la communauté Ahmadiyya : « Amour pour tous, haine pour personne ». A la faveur de ce mois de pénitence, nous l’avons rencontré au siège de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Burkina sis quartier Somgandé (arrondissement N°4 de Ouagadougou). Dans cet entretien qu’il nous a accordés le dimanche, 4 juin 2017, Mahmood Nasir Saqib revient sur quelques grandes activités de la communauté avant de scruter la vie spirituelle en ce mois de pénitence. Entretien à bâtons rompus !
Créée en 1986, l’Association des élèves et étudiants musulmans du Burkina(AEEMB), commémore cette année ses 30 ans d’existence. C’est justement pour marquer cet évènement que les membres de l’association ont organisé un séminaire autour du thème « AEEMB, 30 ans de promotion de l’islam et d’engagement, acquis et défis » à Ouagadougou. A cette occasion, nous avons rencontré le président de la structure Ali Sawadogo, afin de lancer un regard sur le bilan des 30 années écoulées et les défis que se fixe l’association pour les années à venir.
Le Ministère de l’administration territoriale, de la décentralisation et de la sécurité intérieure, organise du 5 au 7 avril 2016 à Kombissiri, la première session ordinaire de l’année 2016, de l’Observatoire national des faits religieux (ONAFAR). Objectifs : l’adoption du rapport annuel 2015, la programmation des activités de l’année 2016 et le renouvellement du bureau de l’observatoire. Les travaux de la présente session ont débuté ce mardi 5 avril 2016, sous la présidence de Clément Sawadogo, ministre de la fonction publique.
A l’occasion de la célébration du 29ème anniversaire de la rencontre des grandes religions à Assise, la communauté Sant’ Egidio du Burkina a tenu une rencontre le 25 octobre 2O15 sur la problématique de la paix autour du thème « la paix est toujours possible ». Cette rencontre se tient également en écho au rassemblement annuel des grandes religions du monde en Albanie.
Quelle est la part contributive des médias dans la lutte contre l’extrémisme violent ? La menace terroriste pèse sur le Burkina et chaque citoyen est appelé à jouer sa partition pour faire face à cette guerre à multiple facettes. Ce vendredi 10 mars 2017, le Conseil supérieur de la communication (CSC) a initié une rencontre de réflexions au profit des promoteurs des médias audiovisuels.
Près de 8143 pèlerins burkinabè pourront accomplir cette année, le cinquième pilier de l’islam en terre sainte. D’un quota initial de 5500 pèlerins pour le compte du Burkina, cette révision à la hausse accordée par les autorités saoudiennes fait suite à une requête du chef de l’Etat, nous apprend un communiqué du Ministère de l’administration territoriale, de la décentralisation et de la sécurité intérieure.
L’ambassade du Japon au Burkina a procédé ce vendredi 16 décembre 2016, à la signature d’un contrat de don avec l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB). Cette assistance financière est destinée à l’exécution du projet d’extension du centre médical Sakina, situé dans le quartier Nangrin de Ouagadougou.
L’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB), fête ses 30 ans. Ce trentième anniversaire est placé sous le thème « L’AEEMB, 30 ans au service de l’islam et du développement : bilan et perspectives ». A cette occasion, les responsables de l’association ont animé un point de presse, le vendredi 18 mars 2016 au siège de la structure à Ouagadougou. Les différentes activités entrant dans le cadre de la commémoration du 30ème anniversaire étaient à l’ordre du jour. La conférence a également servi de cadre de réflexion sur la situation nationale.
Chers Concitoyens et Chers Amis, le 8 Juin 2015, en pleine préparation de la campagne pour l’élection du Président du Faso à laquelle j’étais candidat, j’accordais un entretien téléphonique au journal Jeune Afrique. De la publication du journal qui s’en est suivi, il était dit que j’estimais que mes principaux atouts en tant que candidat étaient que « je suis moaga et de confession musulmane ». Malgré mon insistance à ce que le journal Jeune Afrique corrige ces propos qui, pris hors de leur contexte, me font passer de façon mensongère pour un sectaire, celui-ci a préféré maintenir cette forme indirecte d’accusation sans que je ne sache quelles étaient ses réelles intentions. Ma naïveté d’alors, traduite par la confiance aveugle que j’ai accordée à Jeune Afrique, fut de n’avoir pas réclamé, lu et approuvé l’article en question avant sa publication comme il est de coutume.
Le Secrétaire général de la Confédération africaine de badminton, Sahir Edoo, a séjourné au Burkina du 16 au 20 septembre 2018 dans le cadre du lancement d’un projet de promotion du badminton dans les écoles. Pour l’occasion, il a rencontré plusieurs autorités publiques et des responsables de la communauté islamique Ahmadiyya qui s’est investie dans la promotion de la discipline au Burkina. Accompagné du président de la Fédération burkinabè de badminton, l’hôte s’est rendu au siège de la communauté Ahmadiyya dans la matinée de mercredi, 19 septembre 2018.