« L'affaire de nos Médersas, n'est point l'affaire de la seule Communauté Musulmane de Haute-Volta en tant qu'organisme, mais de toute la Communauté nationale en tant qu'entité responsable du devenir de nos enfants » (Sanogo Moussa)
La Communauté musulmane de Ouagadougou a célébré jeudi matin 23 avril l'Aïd El Kébir ou fête du mouton dans la ferveur et l'allégresse populaires.
M. Maurice Yaméogo, Président de la République avait tenu à venir personnellement saluer la foule des fidèles à l'issue de la grande prière en commun.
C'était le lundi 9 juin dernier que les musulmans se sont retrouvés pour célébrer dans l'union et la joie la fête du Ramadan sur toute l'étendue du territoire burkinabè.
Le 13 mars a eu lieu au Ministère du Plan et de la Coopération, la signature de plusieurs accords de coopération entre notre pays représenté par le Ministre Georges Sanogoh et la Jamahirifa Arabe Libyenne Populaire Socialiste, représentée par M. Ahmed Abdoul El Atrash.
On croyait avoir trouvé la solution. L'interdire et ouvrir des “cours de solidarité” pour accueillir les mendiants les plus nécessiteux. En somme les invalides. Neuf mois après la mesure prise sous le CNR, l'image de la mendicité est toujours là sous nos yeux. Poignante, parfois agaçante. Peu de choses ont donc bougé. L'enquête que nous publions à ce sujet le confirme.
Le communiqué radiodiffusé le samedi 22 janvier 1960, à 21 h. 30, annonçant que la lune a été aperçue à Banfora, Orodara, Dori, etc, mettant fin aux pénibles privations endurées par les Musulmans depuis un mois. Le mois de carême, Un mois où les passions, s'estompent pour faire place aux bonnes actions, où chaque musulman recherche la voie du salut, où les pensées convergent vers le Tout Puissant, (Allah).