Depuis ce 24 avril 2020, les musulmans burkinabè à l’instar d’autres pays ont entamé les 30 jours de jeûne. Pour le jeûne de cette année, le Burkina Faso est confronté à une pandémie rendant un peu difficile pratiques enseignées par la religion. Pour cerner les enseignements et les bonnes pratiques à observer durant ce mois. Lefaso.net est allé à la rencontre de l’imam Tiégo Tiémtoré de l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina Faso (AEEMB) et du cercle d’études, de recherche et de formation islamiques (CERFI).
Après le soutien apporté dans la lutte contre le covid-19, l’ONG Qatar Charity, dans le cadre de ses activités a décidé, ce vendredi, 24 avril 2020, premier jour de mois de jeûne d’accompagner les personnes vulnérables par une remise de vivre. À travers, ce don estimé à 50 millions FCFA, Qatar Charity veut traduire toute sa solidarité à ces personnes en difficultés. Ce don vise à permettre environ plus de 50 mille personnes dont 2500 ménages de traverser ce mois avec moins de difficultés.
La communauté musulmane du Burkina Faso a entamé, ce vendredi 24 avril 2020, le jeûne du mois de ramadan. Cette année, ce quatrième pilier de l’islam se déroule dans un contexte assez particulier, lié à la maladie à coronavirus. Les mesures barrières instaurées pour freiner la chaîne de contamination obligent les musulmans à éviter les grands regroupements pour la prière. Mais qu’à cela ne tienne, l’imam de la mosquée centrale de Gaoua, El hadj Abdoul Salam Sissako, appelle ses frères et sœurs musulmans à observer les prescriptions habituelles de ce mois de ramadan, tout en respectant les gestes barrières pour éviter le Covid-19.
Depuis le vendredi 24 avril 2020, les musulmans du Burkina Faso ont débuté le mois béni du Ramadan. Un mois consacré au jeûne, à la prière et à l’aumône. Ainsi à travers ce message, son Excellence Monseigneur Laurent Dabiré, Evêque de Dori souhaite au nom de tous les catholiques du Diocèse de Dori et particulièrement ceux engagés dans l’Union Fraternelle des Croyants (UFC), un bon temps de jeûne aux frères musulmans de la province du Séno.
En ce mois béni de Ramadan, le siège de l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina organise, du 1er au 7 mai 2020, la 11e édition de la Semaine nationale de la solidarité islamique sous le thème « la solidarité, une solution à la crise humanitaire ». L’évènement est placé sous l’égide de l’Organisation de la jeunesse musulmane en Afrique de l’Ouest et le parrainage de Mamadou Drabo, contrôleur d’Etat à l’ASCE par ailleurs le 1er PCA de l’association.
Ceci est un communiqué du parti politique Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) à l’endroit des musulmans du Burkina en cette période de ramadan.
Des centaines de jeunes ont pris d’assaut le siège de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) ce 2 mai 2020 à Ouagadougou. Les frondeurs ont exigé bruyamment la réouverture des mosquées, fermées pour stopper la propagation du Covid-19.
Par communiqué signé ce samedi, 2 mai 2020, la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) annonce la réouverture des mosquées à partir de ce jour sur toute l’étendue du territoire national. Le communiqué qui s’adosse sur une autorisation du ministre en charge des cultes, portant réouverture des lieux de ce culte dès ce samedi, 2 mai 2020, soumet cependant les fidèles à une observation des mesures de lutte contre la propagation du COVID-19.
Depuis le vendredi 24 avril 2020, les musulmans du Burkina, à l’instar de ceux de plusieurs autres pays, ont débuté le 4e pilier de l’islam qu’est le jeûne du mois de ramadan. Si certains se réjouissent des innombrables bienfaits et grâces que ce mois renferme, d’autres sont inquiets à cause de la privation et des contraintes qu’il exige, d’autant plus qu’il coïncide avec une période de canicule cette année. Cependant, une analyse objective du jeûne prouve qu’Allah l’a facilité pour la communauté de Mohammad (saw) pour plusieurs raisons. L’imam Lassané Sakandé revient sur quelques aspects du ramadan dans cet article.
Le musée de la musique de Ouagadougou porte désormais la dénomination « musée de la musique Georges Ouédraogo ». A l’instar de l’espace aéré du CENASA, de l’amphithéâtre et du pavillon II du musée national qui portent respectivement les noms des feus Amadou Balaké, Maurice Semporé et El Hadj ToumaniTriandé, ces différents espaces culturels ont été baptisés le samedi 19 décembre 2015 par Jean Claude Dioma, ministre de la culture et du tourisme.
« Vivre en paix malgré nos divergences ». C’est sous ce thème que s’est tenue le samedi, 13 janvier 2018 à Dédougou, une conférence inter-religieuse pour la paix. L’activité, initiée la communauté islamique ahmadiyya du Burkina, a connu la participation de la chefferie coutumière, de la communauté catholique et de la communauté protestante qui ont adressé chacun un message de paix.
Intelligence burkinabè pour le développement, plateforme composée de jeunes, journalistes et personnes-ressources, s’est donné pour mission principale de contribuer à la valorisation de personnalités qui se sont illustrées positivement dans leur domaine d’activité au cours de l’année et sous l’intitulé : « Les dix personnalités influentes de l’année ». La première édition de cette reconnaissance de mérite, qui s’est tenue dans la soirée de jeudi, 25 janvier 2018 à Ouagadougou, a désigné ses lauréats, parmi lesquels, le député et maire de l’arrondissement N°4 de la capitale, perçu ces dernières années comme un « endurant politique ».
Le mandat de l’ancien comité de suivi du hadj est arrivé à terme avec l’organisation du hadj 2017. C’est pourquoi, le conseil des ministres du 07 mars 2018 a instruit le ministère de l’administration territoriale de procéder au renouvellement du comité. Ainsi, le nouveau comité a été mis en place. Et le ministre Siméon Sawadogo a procédé à l’installation officielle dudit comité, le 20 mars 2018. Il est présidé par Moumouni Ilboudo Zoundi, représentant de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB).
Si il y a bien un sujet qui cristallise l’attention des Burkinabè sur les réseaux sociaux, ce week-end, c’est bien l’apparition d’un supposé groupe dénommé « Sécurité Islamique » à Pouytenga, à l’Est du Burkina. Contrairement au phénomène des Koglweogo qui avait créé une sorte de bipolarisation des opinions (anti et pro-koglweogo), la naissance de ce groupe est largement décriée sur la toile.
La phase rituelle du pèlerinage à la Mecque a pris fin il y a une semaine. Les pèlerins des vols réguliers ont commencé à regagner le Burkina Faso. Ceux programmés sur les vols charters attendent impatiemment leur tour, avec la crainte d’être à court de ressources financières. En attendant leur retour au pays natal, comment les nouveaux El hadj passent-ils leurs journées ? Focus sur leur vécu quotidien à la Mecque.
La communauté musulmane du Burkina Faso célèbre, ce mardi 21 aout 2018, la fête de la Tabaski appelée en arabe Aïd-El-Kebir. A Bobo-Dioulasso, une grande prière suivie du sacrifice du mouton à la place Wara-Wara a marqué cette célébration placée sous le signe de la sécurité et de la cohésion sociale entre les fils et filles du pays. C’est l’imam de la grande mosquée de Dioulassoba, Siaka Sanou, qui a dirigé cette prière matinale.
Les musulmans du Burkina célèbrent, ce jour, mardi, 21 août 2018, la fête de la Tabaski. Dans la capitale, et en dehors du lieu de la grande prière, la Place de la nation, les fidèles musulmans ont eu plusieurs lieux de convergence pour la prière.
Dans une déclaration sur la réouverture des lieux de culte, parvenue à notre rédaction, ce mardi 5 mai 2020, le Réseau des journalistes et communicateurs musulmans du Burkina Faso (REJCOM/BF) déplore la prise d’assaut du siège de la Fédération des Associations Islamiques du Burkina (FAIB) par des manifestants qui exigeaient la réouverture des mosquées. Aussi le réseau invite les fidèles musulmans au respect des dispositions nécessaires en vue de l’application des mesures sanitaires.
La Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB), avec l’accord du ministère en charge des cultes, a autorisé, le 2 mai 2020, la réouverture des mosquées. Cette réouverture était conditionnée au respect de certaines mesures. Le constat fait par Lefaso.net à la grande mosquée de Ouagadougou, ce lundi 4 mai 2020, a révélé des manquements dans le respect des conditions annoncées. En revanche, dans d’autres mosquées, les responsables parlent d’abord de la mise en place de dispositions, avant toute réouverture.
Alors que la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) a annoncé la réouverture des mosquées ce 2 mai 2020, la Communauté islamique Ahmaddiya du Burkina, elle maintient ses mosquées fermées. C’est la substance de son communiqué parvenu à notre rédaction ce lundi 4 mai 2020.
Dans la circulaire ci-après, le Cercle d’études de recherches et de formation islamique (CERFI) édicte les conditions préalables à la réouverture de ses mosquées dans les treize régions du Burkina Faso. Il invite en outre les responsables des mosquées une fois qu’elles seront rouvertes à veiller au strict respect des mesures barrières, afin de limiter les risques de propagation du Covid-19.
Suite à l’autorisation d’ouverture des lieux de culte le 2 mai 2020, les mosquées de Bobo-Dioulasso à l’instar des autres lieux de culte sont tenues de respecter les mesures barrières consignées par les autorités pour lutter contre la propagation du Covid-19. Cependant, ces mesures peinent à s’appliquer par les fidèles et certains imams s’attèlent à la sensibilisation.
Les musulmans de la grande mosquée de Dioulassoba à l’instar de ceux du Burkina ont effectué leur première grande prière suite à l’autorisation d’ouverture des lieux de culte par les autorités précédemment fermés pour cause de maladie à coronavirus. Cependant le respect de la distanciation sociale et l’insuffisance de kits de lave-main dans cette mosquée semblent problématiques pour la lutte contre le Covid-19.