Army, Militia Respond with Summary Executions, Enforced Disappearances.
Burkina Faso: gestione dei conflitti e dialogo islamo-cristiano Il volume descrive le pratiche di dialogo e gestione dei conflitti nella regione saheliana del Burkina Faso, dove l'Union Fraternelle des Croyants, una ONG multi-confessionale, ha avviato una collaborazione proficua tra le comunità musulmane e cattoliche per promuovere lo sviluppo del territorio. E' delineato un quadro della variegata società burkinabè attraverso la sua storia, la sua composizione etnica e religiosa, un'analisi delle problematiche in atto e dei metodi di gestione del conflitto a disposizione dei cittadini. Il Burkina Faso può infatti rappresentare un esempio positivo di coabitazione pacifica tra etnie e religioni, nonostante le sue difficili condizioni climatiche ed economiche.
In a troubled region, Burkina Faso is a rare example of religious diversity and tolerance. But a perceived discrepancy between a significant number of Muslims and their low level of public representation has created tensions. To safeguard Burkina's model of peaceful coexistence, the government must address this sensitive issue through careful reforms, particularly in the education system.
For most of its modern history, Burkina Faso avoided intervening in the religious sphere. According to its constitution, Burkina Faso is a secular state that protects religious freedom, and individuals can choose and change their religion freely. While its Christian minority dominated the state system and government, nonintervention by a largely Christian administration helped preserve a delicate sociopolitical balance and avoid Muslim-Christian antagonism. As a result, the state has largely avoided imposing institutional restrictions, such as registration requirements for places of worship, state licensing of preachers, or imposing state control of religious schools or curricula. This gave religious institutions and movements widespread freedoms to operate. Part of the state's relaxed attitude toward religious regulation stemmed from the fact that until fairly recently, secular actors were the most potent threat to governmental authority. In the cities, civil society organizations and trade unions often defied state authority and overthrew governments. In rural areas, chiefs and local authorities positioned themselves as alternative power centers to the central government. The prevalence of secular opposition meant that the state paid less attention to challengers from the religious sphere.
Attacks on the Burkina Faso army headquarters and the French Embassy on 2 March 2018 were better organised, involved heavier weapons and were more sustained than anything seen so far in Burkina Faso. In this Q&A, our West Africa Program Director Rinaldo Depagne says the jihadist assault further exposes worrying weakness in the Burkinabé security forces.
Son Excellence Souleymane Koné, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Burkina Faso auprès de la République Islamique d’Iran avec résidence à Koweït City, a présenté ses lettres de créance à son Excellence Dr Hassan Rohani, président de la République Islamique d’Iran, le samedi 9 mars 2019.
Sur invitation de l'émir du Qatar, le cheikh Tamim Ben Hamad Al Thani, le président du Faso, Blaise Compaoré, a séjourné les 17 et 18 février 2014 à Doha, la capitale qatarie. Au centre de cette visite d'amitié : le dossier de construction de l'autoroute Ouagadougou-frontière de la Côte-d'Ivoire-Yamoussoukro, celui de la cité Qatar-Burkina ainsi que les perspectives d'approfondissement et d'élargissement de la coopération bilatérale.
C.I.B. : imams et prêcheurs à l'école Une première c'est le cas de le dire car, jamais auparavant Imams et prêcheurs n'avaient été réunis pour un séminaire de formation. C'est tout à l'honneur du Conseil islamique Burkinabè (CIB) qui l'a initié.
C.I.B. 2e séminaire de formation : résultats satisfaisants Après trois jours de travaux le deuxième séminaire de formation des Imams et prédicateurs a clos ses travaux le vendredi 19 août 1994 à la Maison du peuple. Ce séminaire qui a été organisé à l'initiative du Conseil islamique du Burkina (CIB) visait à établir un trait d'union entre les différents Imams et prédicateurs de la province du Kadiogo d'une part, et d'autre part entre les Imams et prédicateurs du Kadiogo et ceux d'autres provinces du Burkina.
C'était hier l'Aïd El Fitr ou la fin du jeûne des musulmans Après trente jours de jeûne et d'abstinence, les Musulmans de Lomé ont célébré mardi l’«Aid El Fitr » marquant ainsi la fin du Ramadan qui constitue l’une des cinq principales obligations de l'Islam. Ce sont : la foi en un Dieu suprême et unique ; la prière ; le jeûne ; la dîme et le pèlerinage à la Mecque. Selon le Coran qui est le livre saint des Musulmans, quiconque ne met pas en pratique ces obligations n'est pas un bon croyant.
C'était hier la Tabaski Après la rupture du Ramadan qu’ils ont célébrée en novembre dernier les musulmans ont fêté hier dimanche dans l’allégresse la Tabaski. Une grande prière à laquelle ont pris part à la mosquée en plein air de Tokoin des milliers de fidèles a marqué cette fête où le mouton est sacrifié pour remercier le Tout-Puissant de tous ses bienfaits et pour implorer sa miséricorde.