o:id 46672 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/46672 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article dcterms:title Intervention des micro-finances dans le Pndc : la Bid impose la finance islamique dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/46305 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/20 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/45390 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2014-04-10 dcterms:identifier iwac-article-0006865 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Programme national de développement communautaire (Pndc) financé par la Banque islamique de développement (Bid) rentre bientôt dans sa phase opérationnelle. Une des composantes de ce programme est la micro-finance. Elle est destinée à financer les projets générateurs de revenus en faveur des populations. bibo:content Le Programme national de développement communautaire (Pndc) financé par la Banque islamique de développement (Bid) rentre bientôt dans sa phase opérationnelle. Une des composantes de ce programme est la micro-finance. Elle est destinée à financer les projets générateurs de revenus en faveur des populations.Les institutions de micro-finances (Imf) sur lesquelles veut s'appuyer le programme de développement pour dérouler cette composante ont été conviées, mardi dernier, à une séance de travail, au siège du Pndc. Il s'agissait, pour le coordonnateur du Pndc, Fulgence Messan, de donner aux Imf soumissionnaires les conditions à remplir pour être éligibles au fonds de 1,5 milliard FCFA mis à disposition par la Bid. La principale est l'adoption de la finance islamique. "La finance islamique est une façon de faire la finance selon les principes de l'Islam. Elle interdit toute spéculation et les opérations en situation d'incertitude. Elle interdit de l'intérêt et de l'usure mais offre des alternatives de rentabilité. Elle interdit de financer les activités proscrites par l'Islam (vente de porc, de boisson alcoolisées... ). Elle fait obligation de partager les pertes et profits entre le prêteur et l'emprunteur", a expliqué Dr. Sylla Moustapha, spécialiste en finance islamique au ministère d'Etat, ministère du Plan et du Développement. Toutefois, il a précisé que cette finance n'est pas réservée aux musulmans. "Elle concerne uniquement les transactions et ne compromet pas la laïcité. C'est pourquoi la Bid intervient dans les pays", a-t-il ajouté.Mme Dollo Hélène, directrice de la micro-finance au ministère de l'Economie et des finances, a rassuré que des aménagements réglementaires seront faits. --