o:id 46528 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/46528 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article dcterms:title Lutte contre les MGF : l'Imam Cissé Djiguiba appelle les décideurs à faire appliquer la loi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/46204 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23483 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/45390 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2014-02-11 dcterms:identifier iwac-article-0006724 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract "Une chose est de voter la loi et une autre est de la mettre en application ". C'est le reproche que l'Imam Cissé Djiguiba, président de la Fondation Djigui et représentant du comité Inter-Africain section Côte d'Ivoire, a fait aux décideurs politiques ivoirien lors d'une conférence de presse qu'il a animé vendredi dernier, à son siège (Marcory résidentiel) à l'occasion de la "Journée internationale Tolérance Zéro aux mutilations génitales féminines (MGF)". bibo:content "Une chose est de voter la loi et une autre est de la mettre en application ". C'est le reproche que l'Imam Cissé Djiguiba, président de la Fondation Djigui et représentant du comité Inter-Africain section Côte d'Ivoire, a fait aux décideurs politiques ivoirien lors d'une conférence de presse qu'il a animé vendredi dernier, à son siège (Marcory résidentiel) à l'occasion de la "Journée internationale Tolérance Zéro aux mutilations génitales féminines (MGF)". Cette conférence dont le thème était : " Synergie d'action des gouvernements, de la communauté internationale et de la société civile, pour accélérer l'atteinte de la tolérance zéro aux mutilations génitales féminines", a été l'opportunité pour Imam Cissé Djiguiba d'expliquer l'importance d'une convergence des actions pour éradiquer ce fléau. Selon le président de la fondation Djigui, après l'adoption en décembre 2012, de la résolution prise par les Nations Unies (résolution 67/146 de l'assemblée générale des Nations Unies), il est maintenant temps que les décideurs politiques s'investissent d'avantage dans la lutte contre ce fléau qui déshonore et bafoue la dignité de la femme. En Côte d'Ivoire, le taux de prévalence des MGF est de 38%, selon l'Enquête démographique et de santé (EDS 2011-2012). Et cela, en dépit de l'application de la loi N° 98-757 du 23 décembre 1998 portant interdiction des MGF et de quelques condamnations et des efforts de sensibilisation sur les conséquences désastreuses des mutilations génitales féminines sur la santé physique. --