o:id 46424 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/46424 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article dcterms:title Établissement de la Banque islamique de développement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/46283 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/45390 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2002-04-03 dcterms:identifier iwac-article-0006620 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République autorisé à ratifier l'accord bibo:content Le président de la République autorisé à ratifier l'accord Ils suivent ainsi leurs collègues de la Commission des relations extérieures qui, après examen de ce projet le 27 mars dernier, l'avaient adopté à la majorité de ses membres. Tout est allé donc très vite, pour Mme Delumpuy Abane Bouabré qui présidait la séance. La Banque islamique de développement (BID) est une institution financière internationale autonome jouissant de la personnalité morale et de la capacité juridique complète. Elle est composée d'Etats, membres fondateurs et membres adhérents. Mais l'adhésion doit satisfaire à certaines conditions. Soumettre une demande d'adhésion au président de la BID, être membre de l'Organisation de la conférence islamique (OCI) et ratifier l'accord portant création de la banque. Mais aussi payer la première tranche de 20% de sa souscription au capital-actions. La Côte d'ivoire qui envisage de souscrire au capital de la BID pour 250 actions représentant la souscription minimum obligataire, devra alors payer la somme de 500 millions de FCFA. Mais déjà depuis le 30 juin 2001, lors de la conférence des ministres des Affaires étrangères à Bamako et à la BID, le 24 octobre 2001 à Alger, la Côte d'Ivoire a adhéré formellement à l'OCI. La Banque islamique de développement étant une organisation internationale, la ratification de l'accord ne pouvait qu'être autorisée à la suite d'une loi. Conformément à l'article 85 de la Constitution ivoirienne. En commission, le projet de loi a été accueilli favorablement. L'adhésion à la BID étant perçue comme un élargissement des bases des recettes de l'Etat et une offensive de la Côte d'Ivoire pour retrouver sa place dans le concert des nations. --