o:id 2599 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2599 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article dcterms:title Hadj : des propositions pour une gestion saine et efficace dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12842 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/860 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/944 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/861 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/726 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1198 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/578 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2207 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2008-01-29 dcterms:identifier iwac-article-0000369 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'organisation du hadj 2007 jugée chaotique par bon nombre de personnes est au coeur de cet article du professeur Bouboucari Tamboura. Il va au-delà de la simple critique et fait ce qu'il qualifie de "propositions concrètes et conséquentes pour une gestion saine et efficace du pèlerinage musulman". dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/284 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/311 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/377 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/404 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/443 bibo:content L'organisation du hadj 2007 jugée chaotique par bon nombre de personnes est au coeur de cet article du professeur Bouboucari Tamboura. Il va au-delà de la simple critique et fait ce qu'il qualifie de "propositions concrètes et conséquentes pour une gestion saine et efficace du pèlerinage musulman". Pour éviter de relancer la polémique, les réponses du berger à la bergère entre le professeur Tamboura et la communauté ahmaddiya dont nos colonnes étaient devenues le lien, nous avons été amenés à supprimer beaucoup de passages dans la dernière partie de l'article et qui ont été remplacés par des points de suspension dans des parenthèses. Au Nom de Dieu, Clément et Miséricordieux ! Tout d'abord, nous voudrions au nom de tous nos frères musulmans, souhaiter à tous les membres du gouvernement nos meilleurs voeux de nouvel an. Puisse Dieu Tout-Puissant vous accorder la détermination et les moyens nécessaires pour tirer et retirer notre pays et toute l'Afrique des griffes de la mafia "politico-économique internationale" qui ne lésine sur aucun moyen pour agiter le continent, saper tous les efforts et politiques de développement entrepris par ses vaillants fils, hypothéquant de ce fait, l'avenir même des peuples africains. Nous voudrions ensuite en tant que modestes citoyens musulmans du pays, vous interpeller au sujet d'une grande préoccupation des fidèles musulmans, précisément la question du Hadj ou pèlerinage musulman, car la situation devient de plus en plus inquiétante voire irréversible, et pour cause. 1) Le hadj ou "la poule aux oeufs d'or" Le hadj, il faut le rappeler, engage non seulement la responsabilité et l'image des communautés musulmanes, mais également et au-delà, celles de tout le pays et de ses dirigeants. En effet, jusqu'à une date récente, l'Etat burkinabè avait en charge l'organisation de ce cinquième pilier de l'islam, et les affaires allaient tant bien que mal. Mais en raison d'un certain nombre d'exigences ou d'impératifs (laïcité, démocratie, relative entente des structures islamiques), l'Etat s'est vu obligé de se désengager, de se retirer au profit des associations islamiques à travers le « comité d'organisation du hadj » regroupant les représentants des principales structures musulmanes du pays. Malheureusement et contrairement à toute attente, la situation évolua de mal en pis : la mafia (religieuse) s'invita et s'installa confortablement au coeur même du comité en charge du hadj (népotisme, coups bas, crocs-en-jambe, duplicité, cupidité, affairisme, gabégie, divisionnisme, perfidie, esprit concupiscent et propagandiste, luttes d'intérêts, escroquerie, bref, une atmosphère explosive où les préoccupations et ambitions mercantilistes prennent le pas sur la valeur et la dimension hautement religieuses. Certains en ont fait une caverne d'Ali Baba et comme il fallait s'y attendre, ce fut la descente aux enfers pour les pèlerins : dérive et chaos se succédèrent, retards, souffrances et humiliations se conjuguèrent à l'indicatif pour le malheur des innocents, à chaque édition. C'est du moins l'avis de l'Imam Tiégo et la conclusion à la laquelle ont abouti certains journaux : "chers frères et soeurs, les péripéties du hadj 2007 ne manquent pas d'interpeller nos consciences, tant les souffrances de nos vieux et de nos vieilles balancés çà et là, sont insupportables ( ) Le pèlerinage est le cinquième pilier de l'Islam. On a fait du hadj un enjeu financier, alors qu'il est avant tout un voyage spirituel. Rappeler cette évidence est une manière d'insister sur sa dimension spirituelle. Sans elle, le hadj serait un voyage touristique ou d'affaires. Toute cette agitation autour du hadj traduit le plus souvent en réalité des ambitions d'affaires de voraces et de cupides" (Tiemtoré Tiégo, sermon de l'Aïd El Kebir (Tabaski) 2007, in "Le Pays" n° 4022 du 26/12/2007, page 10). 2) Les journaux dans la danse Le journal "San Finna" : "Hadj 2007 : est-on en train de déterrer la hache de guerre au sein de la communauté musulmane ? Pour ce hadj 2007, la ville de Yako est mécontente et la radio savane FM remontée. On avait cru les démons de la discorde et des batailles rangées bannis à jamais au sein de la communauté musulmane lors de l'organisation du pèlerinage à la Mecque. Erreur ! Ces derniers temps, en plus de s'être pris tard auprès des aéroports d'Arabie Saoudite, le comité d'organisation est en proie à toutes les attaques " ("San Finna" n°443 du 10 au 17 décembre 2007, p. 1 et 12). Le journal "Bendré" (qui présente le Hadj en actes) : "Hadj 3 : l'avion qui a transporté les derniers pèlerins burkinabè à la Mecque s'est trompé d'aéroport à l'atterrissage. Au lieu de Médine où il était attendu, il a atterri à Djeddah, contre toute attente. En clair, il n'a pas respecté son plan de vol. Conséquences : pèlerins bloqués plusieurs heures à l'aéroport avant d'être conduits sur Médine, avion confisqué. Il faut être têtu pour croire que le retour au Faso des pèlerins ne sera pas du katanga comme à l'aller. Hadj 4 : Extrait d'un communiqué de la commission nationale du Hadj de Bobo Dioulasso : "Dénonçons avec véhémence la décision arbitraire, unilatérale et inique du sieur Sana Abdramane, président de la commission technique nationale du Hadj de détourner le second avion ce jour 13/12/2007 initialement destiné aux pèlerins de Bobo au profit de ceux de Ouaga alors qu'il y avait eu déjà pour Ouaga quatre (4) vols en deux jours successifs (11 et 12/12/2007), ce qui correspond à 1 240 pèlerins, contre zéro pour Bobo". No comment sur l'harmonie et la cohésion au sein de la commission ("Bendré" n°475-476 du lundi 24 décembre 2007, p. 8). "Bendré" du 17 décembre 2007 : " .. là encore des relents nationalistes et quelques difficultés dans l'organisation ont fait que l'Etat était obligé de confier la gestion du hadj à la commission nationale d'organisation du pèlerinage à la Mecque qui a mandaté STMB tours, une compagnie de voyage nationale qui, semble-t-il, sous-traite avec une compagnie aérienne pour faire partir les pèlerins ( ). Généralement à trois semaines du hadj (le pèlerinage), les pèlerins sont sur les lieux Mais cette année, les pèlerins ont passé à deux doigts de ne pas partir ( ). La semaine du 03 au 10 décembre, le gouvernement traqué par les fidèles impatients et leurs proches, a déclaré que la faute n'est pas à son niveau, mais qu'il faut voir du côté du privé. STMB a déclaré de son côté qu'elle n'était pas encore prête parce qu'il fallait régler une question avec les premiers. Ils se sont donc accusés mutuellement ( ). Vivement, que les membres de la commission et nos autorités atteintes de "fêtite aiguë" et qui s'enorgueillissent de bien organiser les manifestations fassent preuve de plus de sérieux ( ). Le problème, c'est que ce sont des pèlerins "estampillés" Burkina. La responsabilité de l'Etat est avérée. Quand on a conscience de l'importance d'une religion, on ne traite pas les pèlerins de cette façon. Que nos gouvernants et l'équipe d'El hadj Aboubacar Sana se le tiennent pour dit" ("Bendré" n°474 du 17 décembre 2007, p. 79). A ces "frasques", il faut ajouter les fréquents scandales financiers, ces cycliques "trous" estimés parfois à des centaines de millions. Certes les membres ne sont pas tous coupables, ni au même degré, il en existe, qui sont loyaux, mais ils n'ont aucun pouvoir et n'ont pas les mains libres. Ils sont ce qu'une goutte est par rapport à la mer (c'est-à-dire insignifiant et négligeable). Comme on le voit, la gestion matérielle et financière du hadj par les associations islamiques n'a rien de « catholique » encore moins d'islamique. Les acteurs commis à cette tâche ont lamentablement échoué. L'Imam Tiégo ne dit pas le contraire : "Qu'est-ce qui explique que le hadj qui est une activité programmée annuellement à des moments précis par les musulmans souffre autant d'inorganisation ? Les musulmans du Burkina Faso sont-ils incapables de gérer leurs propres affaires ? Si c'est le cas, qui donc doit le faire à leur place ?" (ibidem p. 26). Non, les musulmans n'en sont pas incapables, mais il y a au fond usurpation de rôles et de places, et pour cause ? L'équipe de délégués organisatrice, jusque-là n'est pas la mieux qualifiée du point de vue intellectuelle et morale. C'est la raison pour laquelle nous voudrions vous interpeller pour qu'ensemble, nous voyons comment l'on pourrait y remédier en rétablissant l'ordre et redonner confiance aux pèlerins et aux fidèles musulmans. Pour ce faire, la solution est à portée de mains. 3) Mettre l'homme qu'il faut à la place qu'il faut Les échecs en cascades et à chaque édition du hadj nous touchent au plus haut degré. Nous en sommes déçus d'autant plus que les autres communautés religieuses ne connaissent pas ces genres de ratés. Le principal problème des musulmans, c'est leur inconséquence, en d'autres termes, le fait de fouler allègrement aux pieds l'un des préceptes et principes élémentaires de l'Islam. : confier aux personnes (hommes et femmes) qualifiées la gestion et l'organisation des affaires de la communauté. Malheureusement, il nous a été donné de constater que lorsqu'il s'agit d'agir, on confie tout et on met tout entre les mains des El Hadjs "richards" sans tenir compte ni de leur niveau d'instruction encore moins de leurs qualités morales (leur vertu) ; très vite la machine se grippe et tout le monde paie les pots cassés. Pourtant, l'islam n'est l'apanage ni de Cheikh ni de El Hadj mais appartient à tous les fidèles musulmans, à l'humanité toute entière, car étant une religion universelle. Dès lors, il ne peut être l'affaire des seuls cheikhs et autres vieux enturbannés. Par conséquent, face aux périls qui le menacent (blocage, querelles intestines, caporalisme, déroute, échec complet et total ) il est du devoir de tout fidèle d'agir pour éviter la catastrophe, du moins l'impasse et cela, fût-ce au prix de sa vie. "Il faut souhaiter mourir martyr !" enseigne le prophète (Saw). C'est au regard de cette situation, et pour toutes ces raisons que nous voudrions formuler des propositions concrètes et conséquentes pour une gestion saine et efficace du pèlerinage musulman. Avant moi des Burkinabè se sont prononcés sur la question dont certains, notamment l'ex-ministre des Affaires étrangères, l'imminent intellectuel Ablassé Ouédraogo, militent pour une reprise en main par l'Etat de l'organisation du hadj. Nous ne partageons pas le même avis, nous ne sommes pas d'accord pour une gestion étatique ou gouvernementale de nos affaires religieuses, du moment où la laïcité est proclamée et affichée dans tous les domaines (politique, administratif, juridique ). Voici ce que nous proposons en lieu et place : dissolution définitive de l'actuelle commission d'organisation du hadj et disqualification de tous les acteurs trempés dans ces scandales financiers, du plus grand au plus petit, du premier au dernier, autrement dit, on écartera tous les délégués des anciennes équipes ayant géré le hadj de près ou de loin. Nomination d'un conseil de sages Nomination d'un conseil de sages de quelques membres pour une période intérimaire de quelques mois. On pourrait solliciter ou proposer comme membres dudit conseil les docteurs Kindo, Doukouré, Ahmad Sawadogo (de Ouaga) et Karambiri, Mohamed Traoré (de Bobo). Leur mission : la préparation du forum ou de la conférence nationale sur le hadj. Convocation à la Maison du peuple d'un forum ou d'une conférence nationale des cadres et intellectuels musulmans (députés, ministres, maires, enseignants francophones et arabophones). Ainsi que les commerçants et opérateurs économiques musulmans intègres et irréprochables. Les participants seront répartis en plusieurs ateliers ou sous -commissions : A1 réforme de l'organisation du hadj, A2 prévention et gestion des conflits religieux, A3 contribution des musulmans au développement socio-économique du pays, A4 prise en charge des autorités religieuses, des personnes des mosquées (imams, maîtres coraniques, muezzins, gardiens), assistance aux personnes en difficultés (mendiants, veuves, orphelins, handicapés ). A l'issue des travaux, un comité indépendant pour l'organisation du pèlerinage (CIOP) sera mis en place , avec tous les pleins pouvoirs de décisions, indépendamment des structures et autres tendances musulmanes, autrement dit sans influence ni interférence de ces dernières. Les membres du conseil (ou comité) seront élus par vote des participants pour un mandat de 2 à 5 ans. Ils seront permanents, biens rémunérés et prêteront serment sur le Coran. Pour plus de transparence, on intègrera dans le comité un certain nombre de journalistes issus de divers médias (radio, télévision, presse écrite ). Le CIOP ouvrira des agences ou bureaux dans les principales régions du pays ou à défaut à Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Ouahigouya et Fada, avec du personnel qualifié recruté sur test et après des enquêtes de moralité. Appui institutionnel de l'Etat : permettre à l'inspection d'Etat de suivre à la loupe les activités, la gestion financière et matérielle du CIOP à travers la publication de rapport trimestriel ou semestriel. A défaut de cette option, que l'Etat officiellement autorise et prononce la privatisation pure et simple de l'organisation du hadj (comme c'est le cas au Mali et au Niger). Des privés pourraient ainsi créer leurs propres agences d'organisation du hadj ouvrant de ce fait la porte à une saine concurrence, à l'image et à l'exemple de ce qui se passe dans les télécommunications avec CELTEL, TELECEL et TELMOB. Les candidats au pèlerinage s'orienteront en fonction du sérieux des prestations offertes. De cette façon, tout le monde aura la paix (l'Etat, les ambassadeurs, les pèlerins et fidèles musulmans). Et nous ne nous arrêterons pas en si bon chemin. 4) Mobilisation des musulmans pour "le progrès national" Nous portons à votre connaissance que nous sommes en train de sensibiliser nos frères et soeurs musulmans (salariés du public et du privé, commerçants, agriculteurs, éleveurs) afin de mobiliser les moyens et capitaux nécessaires pour promouvoir l'islam, contribuer et participer au développement socio-économique du pays à travers des réalisations concrètes, à l'exemple de nos frères chrétiens particulièrement la prise en charge du personnel des mosquées. Les infrastructures islamiques envisagées sont entre autres des centres médicaux (maternité, orphelinats, pharmacies), établissements scolaires (écoles, lycées, universités) des centres culturels et éducatifs (radio, télévision, bibliothèques, laboratoires) au-dessus et avant tout cela, régler la situation précaire du personnel des mosquées par leur prise en charge financière (comme c'est le cas au Mali, au Nigeria et en Côte d'Ivoire où les imams touchent entre 100 000 et 150 000 F CFA par mois grâce aux contributions des fidèles). Pour cela, nous sollicitons pour nos frères musulmans les mêmes appuis et les mêmes égards dont bénéficient les établissements et ONG chrétiens de la part de l'Etat (signatures de conventions avec des établissements scolaires chrétiens avec à la clef, de multiples subventions). Par ailleurs, comme nous l'avions précisé, tantôt, face au péril collectif, d'une communauté ou d'une nation, la conscience de tous les citoyens est interpellée ; ce faisant, par rapport au classement "irrespectueux" du PNUD de notre pays (177e /178 c'est-à-dire avant dernier de la CEDEAO et dernier de l'UEMOA comme l'a souligné le journal "L'Evènement" n°130 du 25/12/2007), nous sommes en train de préparer un article sur les voies et moyens pour notre pays de sortir de ce gouffre et d'être tout au moins au même niveau (ou rang) que nos voisins. Comment comprendre et expliquer que des pays comme la Centrafrique (RCA) où les fonctionnaires enregistrent des arriérés de salaires de plus de 40 mois, soient mieux classés que nous ? Nous allons livrer bientôt les résultats de nos recherches, si Dieu le permet, à moins que d'ici là . 5) Un "cheveu" dans la soupe ? Pour terminer, je voudrais porter à votre connaissance, que depuis bientôt trois mois, la communauté ahamaddiya présente dans notre pays, a engagé un bras de fer contre ma modeste personne et cela, suite à mon article sur la prise en charge du personnel des mosquées, article publié par les quotidiens de la place et dans lequel j'ai précisé et averti nos concitoyens (musulmans et chrétiens) sur le caractère hérétique de la base doctrinale de ce mouvement. (...) J'ai tiré la sonnette d'alarme en démontant pièce par pièce les aspects inacceptables de leurs enseignements, avant de leur lancer un défi. Depuis lors, cette congrégation (...) tente présentement d'entraîner et de traîner par tous les moyens certaines autorités politiques à leur côté, déplaçant et dévoyant ainsi le cadre et les sujets du débat. Je voudrais en conséquence assurer les personnalités concernées qu'elles n'ont été jusque-là, en tout cas, la cible de mes écrits. Je les prie de bien vouloir garder la neutralité, de ne pas céder à la provocation ou tomber dans le piège à eux tendu. Bonne et heureuse année 2008 et recevez l'expression de mes sentiments respectueux --