o:id 23831 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23831 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Issue dcterms:title Islam Info #546 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/202 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23531 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63445 Obscurantisme dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/23253 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2016-05-11 dcterms:identifier iwac-issue-0000681 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23252 bibo:content Dates événements islamiques 1er Ramadan : Lundi 06 juin 2016 La fête de ramadan : Mercredi 06 juillet 2016 Tabaski : Dimanche 11 septembre 2016 Date limite des inscriptions au Hadj 2016 mai 2016 N° 546 du Mercredi 11 au Mardi 17 Mai 2016 Piix : 500 Fcfa Islaxw DU ARABA 04 AU TARATA 10 CHA’ABÂNE 1437H L’INFORMATION À LA LUMIÈRE DE L’ISLAM Chronique du vendredi L’Etat de Cl face à la problématique de l’école musulmane Dans notre édition de cette semaine, et en attendant notre grand reportage sur les étudiants ivoiriens en Egypte, nous vous présentons Dr Seydou Sindé, premier docteur en sciences pétrolières, et probablement le premier docteur en sciences pétrolières sur le plan national. (Suite P2) .NTEKVl^-^ Dr. Seydou SINDE De la “Madrassa” au diplôme de Docteur en pétrole le 1er Docteur d ttat ivoirien en Pétrole P EDUCATION NATIONALE P7 SPIRITUALITE P3 L’Audace et le Courage d’un Ministre de la République Le mois de chaabane, un mois que valorise le Prophète (saw) AGBOVILLE Imam Ibrahim Khalil Diarra devient le nouveau Président du COSIM de l'Agneby-Tiassa 2 Islam Info N°546 du Mercredi 11 au Mardi 17Mai 2016-du Araba 04 au Tarata 10 Cha’abâne 1437H CHRONIQUE DU VENDREDI ParABOU Khalfatim ommaire L’Etat de Cl face à la problématique de l’école musulmane Editorial Dans notre édition de cette semaine, et en attendant notre grand reportage sur les étudiants ivoiriens en Egypte, nous vous présentons Dr Seydou Sindé, premier docteur en sciences pétrolières, et probablement le premier docteur en sciences pétrolières sur le plan national. Son histoire et ses succès académiques dans un domaine de la haute technologie sont une vraie interpellation des uns et des autres : les étudiants arabisants, la communauté musulmane et l’Etat de Côte d’Ivoire. Dr Sindé a commencé par les études coraniques dans une modeste Médersa de la ville de Bouaflé. Son histoire ressemble à celle de ces milliers d’arabisants ivoiriens ou africains qui vont poursuivre leurs études dans les pays arabes. Au départ, en arrivant dans ces pays, ils sont destinés à faire uniquement et seulement les études théologiques conformément aux vœux des parents. Mais arrivé sur place, face à certaines opportunités, les étudiants décident de ne plus faire la théologie mais d’autres études qui pourraient leur permettre d’avoir un emploi en dehors des mosquées. En somme tout sauf imam uniquement (TSIU). Fort heureusement, cette détermination des étudiants arabisants paye parfois. Le Cheick Ahima et le grand Imam de la mosquée du Golf ont été formés dans une faculté de commerce de l’université du Caire. Rentrés au pays, ils ont été accueillis à bras ouverts par l’une des plus grandes banques commerciales de la place où ils ont gravi tous les échelons, tout en restant Imams et engagés sur le terrain du développement de l’Islam. Il en est de même de l’Imam Idriss Koudouss Koné, président du Conseil National Islamique, sorti de l’Ecole Nationale d’Administration du Maroc, et qui a travaillé comme haut fonctionnaire au Ministère ivoirien de l’économie et des finances jusqua sa retraite. Cette première génération a été suivie par plusieurs vagues d’arabisants, mais aussi de jeunes bacheliers des lycées laïcs de Côte d’Ivoire. Parmi ceux-ci, les plus célèbres sont l’Imam Sékou Sylla, titulaire d’un BAC D ivoirien et d’un bachelor of Art en sciences biologiques de l’université Malick Abdel Aziz de Jeddah en Arabie Saoudite. Le deuxième est l’Imam Djiguiba, titulaire d’un BAC littéraire ivoirien, et qui a décroché également à l’université Malick Abdel Aziz, un bachelor of Art en linguistique. Sekou Sylla et Cissé Djiguiba ont eux accepté d’être Imams uniquement. Le cas le plus spectaculaire est celui de Koné Lacina*. Parti de son Korhogo natal après des études coraniques, il décroche un diplôme d’ingénieur électronicien dans une université américaine du Golf, puis un Master en informatique en Angleterre, et un MBA à la célèbre université de Georges Washington aux USA, où il accompli une brillante carrière à INTE LS AT et au cabinet d’études BOOZ ALEN. Aujourd’hui, il entame une prestigieuse carrière de conseiller spécial auprès de la plus haute institution de la république. Alors bien entendu, la première question qui vient à l’esprit est la suivante : Pourquoi l’Etat de Côte d’Ivoire a tant méprisé les écoles coraniques, et les étudiants issus des pays arabes ? Le simple fait de ne pas pouvoir parfaitement parler le français doit-il faire de quelqu’un un paria, ou un marginal dans la société ? Quand l’analphabétisme est si important dans un pays, doit-on se donner le luxe de mépriser des personnes lettrées et parfois férues de sciences ? Mais pourquoi aussi face à ce problème épineux, la communauté n’a pas formulé une stratégie cohérente pour prendre en charge ses propres enfants ? Tout ne peut pas, et ne doit pas venir de l’Etat uniquement ! Cela dit, il n’est pas trop tard pour bien faire. Aussi, sommes-nous heureux de constater que depuis quelques années, la Ministre de l’Education Nationale, Mme Kandia Camara, a bravé les tabous contre l’école coranique, pour sauver des centaines de milliers d’enfants. Et au moment justement où le gouvernement vient de rendre l’école obligatoire, la normalisation des écoles medersas devient ainsi un devoir républicain pour lequel il faut saluer et féliciter la Ministre Kandia Camara. Du côté de la communauté musulmane, le COSIM et le Cheick Aima se préparent à lancer un véritable plan Marshall pour sauver l’école musulmane. Cela va se traduire par le renforcement des capacités des écoles existantes, et la construction de nouvelles écoles secondaires. Mais, tout cet arsenal éducationnel serait incomplet, si dès maintenant le COSIM ne met pas en place un projet d’université musulmane confessionnelle avec la possibilité pour les non musulmans (enseignants et étudiants) de pouvoir y fréquenter comme enseignants ou étudiants. Cette université qui ne peut être que privée, n’est pas seulement un projet scolaire ; mais aussi et surtout un projet de société pour la communauté musulmane dans sa volonté de jouer sa partition dans la construction de la nation ivoirienne. Une tentative avait été faite il y a de cela quelques années avec l’Université Musulmane de Côte d’Ivoire (UMCI) ; mais la crise ivoirienne et certains malentendus dans la communauté ont eu raison de ce projet pour lequel de nombreux cadres, opérateurs économiques, et professeurs universitaires étaient prêts à investir leurs ressources financières et intellectuelles. Probablement, à l’instar de la reprise en main du SIFRAM par le COSIM, il faudra réfléchir à une reprise concertée de ce projet d’une université musulmane laïque, privée, où les étudiants issus des medersas et des écoles laïques pourraient fréquenter côte à côte avec les étudiants, et enseignants non musulmans. A coup sûr, cette université serait une voie royale pour l’intégration et l’épanouissement des élèves des medersas, des écoles coraniques, et des écoles confessionnelles, une mine d’or qui a fait ses preuves. En un mot comme en cent, les écoles coraniques, les medersas, et leurs élèves seront ce que la communauté musulmane et l’Etat de Côte d’Ivoire voudront en faire au bénéfice de tout notre pays. A la semaine prochaine INCHA ALLAH !!! * Dossier à voir sur nos sites: www.islaminfos.net/ www.islametinfos.net Nos arabisants et nous Chapelet Le mois de chaabane, un mois que le prophète a qualifié de son mois à lui Vie et Spiritualité Des règles régissant l’invocation Focus Page 2 Page 3 Page 4 De la madrassa au diplôme de Docteur en pétrole page 7 Vie de la communauté: Imam Ibrahim Khalil Diarra devient Président du COSIM de l’Agnéby-Tiassa Hadith femme: Le djihad de la femme Page 9 Page 11 Témoignage : Dieu est la solution à tous les problèmes” Page 11 Vie de couple: La vie à deux, de la tradition au modernisme Astuce / Bien-être Page 11 Quelques astuces pour limiter les odeurs corporelles ; 0^ ua ri^ ^o9o!n Page 11 Par CISSÉ A QUI A RAISON? Un philosophe, un physicien et un fou sont invités pour une interview à télévision. On leur pose la question suivante: «Quelle est la chose la plus rapide au monde?» -Le philosophe répond: «la pensée, elle est immédiate». -Le physicien à son tour: «la lumière, elle possède une vitesse inimaginable». -Le fou répond: «la diarhée, car lorsqu’elle te prend, tu n’as pas le temps de penser, ni d’allumer la lumière pour te libérer». Islam Info N°546 du Mercredi 11 au Mardi 17 Mai 2016-du Araba 04 au Tarata 10 Cha’abâne 1437H Grégorien Hégirien 11 Mai 12Mai Araba Lamissa 04 Cha’abâne 05 Cha’abâne Vendredi 13 Mai Djotuna Sim 06 Cha’abâne Samedi 14 Mai 07 Cha’abâne Dimanche 15 Mai Kari 08 Cha’abâne Lundi Mardi 16 Mai Ténin 09 Cha’abâne 17 Mai Tarata 10 Cha’abâne INFOLINE : 66 08 46 62 05 20 93 46 RECEVEZ ZAMAN TAARE SUR RADIO TREICHVILLE 93.6 TOUS LES MARDI DE 22H A 00H ET SUR 106.1 TOUS LES JEUDI ET VENDREDI DE 16H A18H AVEC JAH OUSTAZ Info dédikas - jeux - musik - dévinette - Publicité Zaman Taare, 50% Haoussa - 50% Français - Jah Oustaz Avec Zaman Taare, ToutAbidjan va crier Haka také HEURES DE PRIÈRE SOUBH: O5h 15 ZOUHR: 13h OO ASR : 16h OO MAGHRIB : 18h 1O ICHA 19h 15 7 c HAPELET Imam Meité Al Imam le mois de chaabane, un mois que valorise le Prophète (sawl Il est unanimement reconnu que le mois de Chaabane a une valeur inestimable. Chaabane est un mois important pour la communauté islamique. Les bénédictions que regorge ce mois a fait que le prophète (saw) Ta qualifié de son mois à lui. Ensuite des évènements significatifs qui s’y sont déroulés pour l’Islam, dont le plus connu est sans doute le changement de Qibla (direction de la prière) pour les musulmans. Enfin des multiples bonnes pratiques recommandées à cette occasion et qui sont des sources de bienfaits pour la communauté de l’Elu le Plus Pur, Mouhammad (Saw). Cette nuit (le 15 de Sha'ban), est remplie de miséricorde, c’est une nuit de satisfaction de DIEU, de rémission des pêchés, de garantie contre l’enfer et d’exaucement des vœux. Allah pardonne beaucoup durant cette nuit. Les portes des Cieux sont ouvertes pour que les croyants s’adonnent au repentir ; c’est une nuit du bien, du bienfait, de la générosité et de la bienfaisance. Celui qui jeûne le 15 de ce mois, Allah lui pardonnera beaucoup de péchés. Selon Abu Hourayra, Le Prophète Mouhammad (saw) a dit : " Quand vient la 15 ème nuit de Sha’bân, Le SEIGNEUR se rapproche de ma communauté et pardonne à tout croyant qui ne lui associe rien à l’exception de cinq catégories : le magicien, le devin, celui qui a rompu ses relations avec ses parents, celui qui s’adonne constamment à l’alcool et le fornicateur chronique ". Le Prophète Mouhammad (saw) a dit : " Quand arrive la 15 ème nuit de Sha’bân, jeûnez le jour et passer la nuit en prières. Durant cette nuit, Le SEIGNEUR se rapproche dès le coucher du soleil jusqu’au ciel le plus proche et s’adresse aux croyants en ces termes : N’ya-t-il pas quelqu’un qui demande à être pardonné pour que je lui gratifie de l’absolution de (ses pêchés) ? N’ya-t-il pas quelqu’un qui est affligé et qui demande à être délivré pour que je le soulage de sa souffrance ? N’ya-t-il pas quelqu’un qui demande l’accroissement des richesses pour que je lui augmente abondamment sa fortune ? N’ya-t-il pas quelqu’un qui demande telle chose pour que je lui donne telle chose et cette parole est tenue par DIEU jusqu’à l’aube "... ( Chahlabi.) Tirmidhi a explicité le sens de cette sentence selon un hadith qu'il tient de Aîcha qui le tient du Prophète Mouhammad (saw ) : " Le SEIGNEUR descend la nuit du 15 ème de Sha’bân jusqu’au ciel le plus proche, et pardonne à un nombre équivalent au nombre de poils dénombrés une bête ". Donc cette nuit est une nuit intense d’adorations, de prières et de bonnes actions particulièrement de jeûne. C’est aussi une occasion de prières et d’aumône à l’endroit des morts pour que DIEU LE TRES-HAUT leur accorde Sa miséricorde. Invocations recommandées La nuit du 14 au 15 du mois de Sha’bân, il est recommandé de lire la sourate " YASINE " 3 fois. 1-Pour la première récitation, formulez l’intention de bénéficier d’une longue vie. 2-Pour la deuxième, formulez l’intention d’être protégé contre toutes les calamités. 3-Pour la troisième, formulez l'intention que DIEU nous accorde suffisamment de biens afin de nous rendre totalement indépendants des autres. Après cela, on récite 3 fois l’invocation suivante : Bismillâhi-r- rahmâni-r- rahimi allâhumma yâ dhal manni wa là yumannu Calayhi yâ dhal jalâli wal ikrâmi yâ dhat-t- tawli wa HnCâmi yâ man lâ ilâha illâ ’anta zhahral lâji îna wa jâral mustajirîna wa ma ' manal khâ ’ifîna. Allahumma ’in kunta katabtanî Cindaka fî ummil kitàbi shaqiyyan aw mahrûman aw matrûdan aw mouqtaran Calayya riszqi famhu. Allâhumma bi fadlika shaqâwâtî wa hirmânî wa tardï wa iqtâra rizqî wa thabbitnî Cindaka fî ummil kitâbi saCîdan marzûqan muwaffaqan lil khayrâti fa innaka qulta wa qawlukal haqqu fi kitâbikal munzali Calâ lisâni nabyyikal mursali yamhul lâhu mâ yashâ ’u wa yuthabbitu wa Cindahû ummul kitâbi. Ilâhî bitajallîl aCthami fî laylatin niçfi min shaCbân moukarram allatî fîhâ yufraqu kullu amri’in hakîmin wa yubramu ikshif Cannî minai balâ’i ma aCIamou wamâ lâ aCIamu wagh firlî mâ ’anta bihî aCIamu wa çalla lâhu Calâ sayyidinâ muhammadin wa Calâ ’âlihî wa sahbihî wa sallama taslîman. A LIRE PROCHAINEMENT Entretien de... Cheick Nour Diabaté (Pdt de l’AMSCI Bouaké) - Sa biographie et sa formation - Ses activités au service de l’Islam - Son parcours au niveau des instances islamiques - La collaboration avec le COSIM - La réalisation d’une confessionnelle islamique à son actif Le mois de Chaâbane préambule au mois du Ramadan « Seigneur Dieu! Fais que les mois de Rajab et de Chaâbane soient bénis pour nous et fais en sorte que nous atteignons le mois du Ramadan et que nous puissions profiter au maximum de ses bienfaits ». (An-Nassaî). Dans la vie du fidèle, il y a des moments, des périodes et des endroits où l’accomplissement de bonnes œuvres est plus opportun, a plus de mérites et plus agréable à Dieu. Le mois de Chaâbane fait partie de ces moments propices pour fortifier sa foi et se rapprocher de Dieu. Le compagnon Oussama ibn Zaïd raconte : « Le Messager de Dieu (saw) jeûnait certains jours d’affilés à tel point que nous pensions qu’il ne s’arrêtait jamais. Et il mangeait certains jours d’affilés à tel point qu’il ne jeûnait plus si ce n’est deux jours par semaine. Il les consacrait séparément au jeûne en dehors des périodes où il jeûnait. Il n’y a pas un mois où il se consacrait le plus au jeûne que pendant le mois de Chaâbane. Je lui posais la question à ce sujet : Cher Messager de Dieu! Tu te consacres au jeûne à tel point que tu ne le romps pratiquement plus. Et tu interromps le jeûne à tel point que tu ne t’y consacres presque plus, si ce n’est deux jours par semaine. (...) En effet, le lundi et le jeudi, les œuvres sont exposées au Seigneur de l’univers, et j’aime être en état de jeûne lorsque mes œuvres Lui sont exposées... Je ne te vois pas autant jeûner les autres mois que pendant celui de Chaâbane. Il m’a répondu : C’est un mois qui se trouve entre Rajab et Ramadan que beaucoup de gens négligent. Un mois durant lequel les actes sont présentés à Dieu, et je veille à ce que mes actes soient présentés à Dieu alors que je suis en état en jeûne ». (Ahmed) Ce hadith nous informe au sujet de l’importance du jeûne chez le Prophète (saw) durant l’année et plus particulièrement pendant le mois de Chaâbane. Mais, le seul mois que le Prophète (saw) jeûnait en totalité est le mois du Ramadan. Le jeûne du mois de Chaâbane est un stage de préparation pour mieux accueillir le mois du repentir, de l’introspection et de la méditation. C’est un bon entraînement pour préparer son organisme et son esprit afin de vivre pleinement le mois du Coran, de la Miséricorde, de la fraternité et de l’amour en Dieu. D’après Anas Ibn Malek : « Quand les compagnons du Prophète (saw) apercevaient le croissant du mois de Chaâbane, ils se penchaient sur la lecture du Coran. Les musulmans s’acquittaient de leur Zakat (l’aumône légale) pour que les pauvres et les nécessiteux puissent jeûner le mois du Ramadan dans de bonnes conditions. Les commerçants mettaient à jour la gestion de leur commerce. Et aussitôt qu’ils voyaient le croissant de lune du mois de Ramadan, ils se purifiaient et redoublaient d’efforts en terme d’adoration, de bonté et de générosité ». C’est ainsi que les compagnons du Prophète (saw) déployaient les efforts nécessaires pendant le mois de Chaâbane et s’appliquaient sincèrement afin de mieux accueillir le mois du Ramadan. Pour nous, dans notre contexte et au milieu de nos diverses préoccupations, comment profiter du mois de Chaâbane et préparer au mieux la venue du mois béni du Ramadan. A suivre nimsim min t mm. su COMMERCE RIZ SUCRE DIVERS Sin^n MKtnl AOJAMF Roulnvard du Général de» Gaulle Adjamn F# Rnnnult 03 BP 292 ABJ 03 - kl : 1225) 20 37 47 85 / 20 37 50 78 - Email : ni aviso