o:id 2380 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2380 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article dcterms:title Pour une jeunesse islamique dévouée à sa religion dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14617 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/609 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2207 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2009-12-28 dcterms:identifier iwac-article-0000150 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Du 24 au 26 décembre dernier, les jeunes du mouvement islamique Ahmadiyya ont tenu leur 10e conférence annuelle sur leur site situé à Kouba dans le département de Koubri. Placée sous le thème « Le devoir pour la jeunesse islamique Ahmadiyya de se sacrifier pour la cause religieuse », cette rencontre annuelle qui a connu la participation d'adeptes d'autres nationalités a permis à plus de deux mille jeunes d'échanger, entre autres, sur le matérialisme de notre époque, la nécessaire conciliation entre vie professionnelle et religion, l'islam en quête de repère. bibo:content Du 24 au 26 décembre dernier, les jeunes du mouvement islamique Ahmadiyya ont tenu leur 10e conférence annuelle sur leur site situé à Kouba dans le département de Koubri. Placée sous le thème « Le devoir pour la jeunesse islamique Ahmadiyya de se sacrifier pour la cause religieuse », cette rencontre annuelle qui a connu la participation d'adeptes d'autres nationalités a permis à plus de deux mille jeunes d'échanger, entre autres, sur le matérialisme de notre époque, la nécessaire conciliation entre vie professionnelle et religion, l'islam en quête de repère. Après la 9e conférence nationale de la jeunesse islamique qui a eu lieu en mars 2009, les responsables du mouvement islamique Ahmadiyya ont jugé nécessaire, au regard des défis auxquels ce dernier doit faire face, de consolider les acquis et renforcer les capacités par une deuxième rencontre. C'est ainsi que du 24 au 26 décembre dernier, plus de deux mille jeunes islamiques se sont retrouvés dans leur cadre, Bustan-e-Mahdi, à Kouba dans le département de Koubri, pour leur 10e Ijetima national. La cérémonie d'ouverture de ladite conférence annuelle fut présidée par Khalid Mahmood Shahib, Amir Saheb du Burkina, assistés par Abdouramane Diallo, président des jeunes musulmans Ahmadis du Burkina. Selon ce dernier, qui a présenté certaines évolutions de l'actualité internationale, telles que la loi suisse interdisant la construction de minarets de mosquée et le débat sur l'identité nationale française, comme des formes de rejet de l'islam, les Khuddam Ahmadis, c'est-à-dire les jeunes Ahmadis, doivent faire leur le slogan « l'amour pour tous, la haine pour personne », afin de transformer leurs pires ennemis en leurs meilleurs amis. En effet, a-t-il expliqué, un pacifiste ne sera jamais rejeté au nom d'une identité nationale, et personne ne peut interdire ou détruire un minaret ayant pour nom « amour », construit dans le coeur. Les défis à relever dans un monde de plus en plus en proie à des incompréhensions qui engendrent le plus souvent la haine et la violence, sont nombreux, et le jeune islamique doit se montrer à la hauteur des épreuves. La 10e conférence annuelle qui a pour objectif de contribuer à la formation et à l'éducation de la jeunesse a eu pour thème « Le devoir pour la jeunesse islamique Ahmadiyya de se sacrifier pour la cause religieuse ». Il a permis aux plus de deux mille participants venus de plusieurs régions du Burkina, du Niger, de la Côte d'Ivoire, etc., d'échanger sur des sous-thèmes relatifs au matérialisme dans le monde actuel, à l'indispensable conciliation entre vie professionnelle et religion, à l'islam en quête de repère, au devoir pour la jeunesse islamique de se sacrifier pour la cause de sa religion, etc. Deux exposés sur le matérialisme et le devoir de sacrifice, présentés respectivement par les missionnaires Souleymane Daboné et Abdoulaye Ouédraogo, les 1er et 2e jours de l'Ijetima, ont servi de base aux débats. Afin de cultiver l'esprit de la saine concurrence au sein des jeunes, des compétitions ont été organisées sur les plans intellectuel et sportif, ce qui a permis de décerner des prix aux trois premiers de neuf disciplines. --