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	2354
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	https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2354
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	Visite de l'AEEMB au « pays » : un projet de formation de journalistes en vue sur les préceptes de l'islam
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	https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1006
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	https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/569
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	https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2207
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	https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858
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	2013-05-23
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	iwac-article-0000124
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	https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355
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	In Copyright - Educational Use Permitted
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	L'Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) a rendu visite, le 21 mai 2013, au siège des Editions « Le Pays » à Ouagadougou. Il s'est agi pour les élèves et étudiants musulmans de s'informer sur la conception d'un journal et de parler d'un projet de formation de journalistes sur certains préceptes de l'islam. Aussi, il a été évoqué la possibilité d'une collaboration entre « Le Pays » et l'AEEMB.
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	https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/376
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	L'Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) a rendu visite, le 21 mai 2013, au siège des Editions « Le Pays » à Ouagadougou. Il s'est agi pour les élèves et étudiants musulmans de s'informer sur la conception d'un journal et de parler d'un projet de formation de journalistes sur certains préceptes de l'islam. Aussi, il a été évoqué la possibilité d'une collaboration entre « Le Pays » et l'AEEMB.

Le 21 mai 2013, une délégation de l'Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) a visité le siège des Editions « Le Pays ». Cette visite a servi de cadre pour non seulement acquérir des informations utiles pour ces jeunes musulmans intellectuels, parmi lesquels les rédacteurs des journaux de l'Association An-Nasr, mais aussi pour parler d'un projet que l'AEEMB a sur la formation de journalistes sur des préceptes de l'islam et une collaboration entre La Maison bleue et l'Association.

Comment s'y prendre pour paraître chaque matin et fournir des informations de qualité et qui collent à l'actualité ? Voilà une question que des membres de la délégation se posaient. Mais de l'imprimerie aux archives en passant par la salle de rédaction, les jeunes musulmans intellectuels ont pu se rendre compte du processus de fabrication d'un journal et ont ainsi eu les réponses à leurs questions. Des constats de visu, mais aussi des questions à des journalistes sur place ont permis à ces disciples du Prophète Mohamed (PSL) de trouver réponses à leurs questionnements. Une ambiance bon enfant instaurée donc entre ces jeunes musulmans intellectuels et les journalistes, différents quand même du regard stéréotypé que l'on a du musulman vu de loin. Les journalistes ont formulé des questions à leur tour sur la position de l'islam sur le mariage pour tous, les conditions de la femme au sein de l'AEEMB et surtout les sources de financement du siège de l'association encore en chantier. Ils s'imaginaient difficilement en effet que les élèves et étudiants, au regard de leurs bourses, puissent financer un projet de cette envergure. La réponse fournie a été que tout le monde est contributeur à ce projet qui n'est d'ailleurs pas la seule propriété des élèves et étudiants musulmans, mais celui simplement de toutes les bonnes volontés. A ce titre, ils ont laissé entendre que toutes les contributions pour l'érection de cette maison de Dieu sont les bienvenues.

A l'issue de la visite, les hôtes du jour ont eu un bref entretien avec le directeur des Editions « Le Pays », Beldh'or Cheick Sigué, qui leur a permis de parler de leur projet de formations au bénéfice de journalistes et de leur désir de collaborer de façon plus accentuée avec le journal « Le Pays ». Il faut signaler que la formation en vue devra permettre d'alourdir le fourbi des journalistes afin qu'ils soient le véhicule d'informations justes sur cette religion. C'est donc la suite logique du « connais-moi avant de m'adorer » qui sera traduite ici en « connais-moi avant de parler de moi ». Le directeur de publication du journal n'y a pas vu d'inconvénient, mais a demandé que tout soit mis sur papier pour réflexion.

De la définition du sigle AEEMB

Le sigle AEEMB développé donne ceci : Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina. Ce n'est donc pas du Burkina, mais au Burkina pour prendre en compte tous les élèves et étudiants musulmans vivant au Burkina. Ce développement se veut inclusif, considérant comme ticket d'entrée à l'association le fait d'être musulman, quelle que soit la nationalité. Les élèves et étudiants d'autres nationalités y sont donc admis.

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