L'abandon de la plainte contre X dans le cadre du dossier Norbert Zongo est une malheureuse décision qui risque d'engendrer des conséquences catastrophiques sur la paix sociale. On semble aujourd’hui ne pas se rendre compte de ce que d’aucuns ont qualifié de chance unique pour avoir échappé à une rupture qui apparaissait irrémédiable. La Commission pour la réconciliation nationale mise sur pied à la suite des travaux du Collège de sages s’était réjouie de constater que la tension sociale était en train de baisser. Pour en arriver là, il a fallu justement baliser le terrain afin que chacun comprenne bien que la paix a un prix. Le cours actuel des événements est à nouveau marqué du sceau de l’oubli. Et comme on le sait, les grandes catastrophes sociales ont souvent été précédées par un moment d’indifférence ou d’apathie des hommes.
On a attendu une annonce du président dans la soirée. On espérait qu’elle interviendrait dans le journal de 20 heures, mais hélas rien. Vers 21 heures, les sages se sont séparés et un calendrier de rencontres a été établi qui commence dès aujourd’hui 10 juillet.
Ce n'est pas demain que la liberté d'opinion sera effective en Côte d'Ivoire et que la chasse aux journalistes prendra fin. À preuve, en cette fin d'année, le pouvoir Bédié a décidé de repartir en guerre contre la presse qui ne le caresse pas dans le sens du poil.
Les affaires étrangères et la coopération ne sont pas en marge des secteurs impactés par la dynamique de la Rupture. Après quatre ans de gouvernance, Aurélien Agbénonci, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, expose les réalisations et les actions engagées pour améliorer l’image du Bénin sur la scène internationale.
Le candidat du Front populaire ivoirien (Fpi) à l'élection présidentielle d'octobre 2015 est passé à l'offensive le jeudi 27 août. Pascal Affi N'Guessan a sorti ses griffes contre Alassane Dramane Ouattara et son pouvoir. C'était le jeudi 28 août, au cours de son meeting de fin de tournée de quatre jours dans le département d'Abengourou. A la Place de la solidarité qui a abrité le meeting d'Abengourou, Pascal Affi N'Guessan a dénoncé la politique d'Alassane Ouattara, son adversaire du 25 octobre prochain.
Le drame, né d’un différend entre un musulman- membre de la secte «Zangbéto»-et ladite secte, trouverait ses racines parmi les fauteurs de troubles invétérés de Porto-Novo. La descente du ministre de l’Intérieur, Richard Adjaho, sur le terrain hier, a permis de cerner quelque peu les origines ainsi que les tenants et les aboutissants du brusque déferlement de violence dans la capitale politique.
Le bilan des échauffourées entre les forces de l’ordre et des fidèles musulmans de la mosquée centrale de Sèmèrè ce vendredi est lourd. Des sources crédibles parlent d’au moins huit (08) morts. Des fidèles musulmans tués par balles et des blessés graves.
Le conflit religieux qui perdure au sein de la communauté musulmane de Sèmèrè dans la commune de Ouaké est à l’origine, vendredi 14 octobre 2016, d’un affrontement entre forces de l’ordre et population. Le bilan provisoire fait état de 6 morts et de blessés graves dont un agent de la gendarmerie, lequel est en soins intensifs à l’hôpital Ordre de Malte de Djougou.
Vendredi et dimanche derniers, Porto-Novo, notre capitale politique, a vécu les heures les plus chaudes de son histoire.En effet, elle a été le théâtre d’un brusque déferlement de violence qui est le fait principalement d’éléments incontrôlables et incontrôlés, se réclamant les uns de la société secrète des «Zangbéto», les autres de la communauté musulmane de Porto-Novo.Que s’est-il donc passé pour que Goun et musulmans de Porto-Novo, qui de tout temps ont vécu dans une parfaite harmonie pour ne pas dire une certaine symbiose, se braquent soudain les uns contre les autres, au point qu’il y ait déjà mort d’hommes parmi eux?
Trois mois après la mise en place de son bureau national qui avait reçu pour mission de sillonner tout le pays pour faire entendre la voix de la femme longtemps ignorée ou mal connue, l'Association des femmes islamiques du Burkina (AFIB) s'est dotée le 22 décembre 1996 d'un bureau provincial. Celui-ci aura à charge d'appliquer les recommandations du congrès, surtout en ce qui concerne la fiche de mariage adoptée par le congrès.