La communauté islamique Ahmadiyya du Burkina Faso a organisé un point de presse, le jeudi 31 mai 2013, à Ouagadougou. Une occasion pour les membres de l'organisation de lancer leur programme permanent de réhabilitation de 75 forages à travers le Burkina Faso.
La communauté islamique Ahmadiyya, en partenariat avec l'ONG Humanity First et le laboratoire CAPRIL POINT ont organisé, un camp médical gratuit au sein du centre médical de la communauté, les 21 et 22 juillet 2017, à Ouagadougou. Il s'est agi selon les organisateurs, de venir en aide aux populations démunies.
Le Bénin à l’instar des pays du monde entier pleure les victimes de la bousculade qui a endeuillé le Hadj 2015. L’Ong Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a organisé, hier jeudi 1er octobre à la mosquée Ahmadiyya de Cotonou à Kpankpan, une prière inter-religieuse pour exprimer sa compassion aux parents éplorés et surtout pour le repos des âmes des défunts.
Le groupe international d'investissement pour les pays sous-développés Afrique-Golfe représenté par son président pour l'Afrique et le Golfe Son Excellence Cheick Ahmed Tidjani Ampaté Bah et le bureau de la communauté musulmane du Burkina Faso ont donné jeudi dernier une conférence de presse à l'hôtel Indépendance. L'objet de la conférence a porté sur l'accord de financement d'un montant de 5 milliards de F CFA signé par les deux parties et au bénéfice de la communauté musulmane du Burkina.
L’Infosec de Cotonou a servi de cadre hier à un atelier organisé par la Banque islamique de Développement (BID) et le ministère de la Micro Finance. Cet atelier vise à faire la restitution de la synthèse d’une étude relative à un accord de prêt entre le Bénin et cette banque pour la mise en place de micro-crédits.
Depuis l’avènement au pouvoir de Son Excellence le général d’armée Gnassingbé Eyadéma, président-fondateur du RPT, président de la République, la République Togolaise a diversifié sa politique de coopération internationale. A côté des sources traditionnelles ont apparu des sources nouvelles dont l’action appréciable se poursuit. C’est dans ce cadre que se situent les accords de prêts signés entre l’Arabie Saoudite et le Togo.
À Maradi, troisième ville du Niger selon les recensements officiels mais capitale commerciale du pays, un groupe de riches marchands, les 'alhazai' (sing. 'alhaji') s'est constitué au fil des ans grâce en particulier au négoce avec le Nigeria voisin. Ces 'alhazai' sont imprégnés à la fois des valeurs du capitalisme marchand mais aussi de l'islam comme en témoigne leur titre d''alhadj'. À travers de multiples actions, ces marchands ont encouragé la diffusion de l'islam. C'est dans une perspective historique, en remontant à la fondation même de Maradi, que l'auteur retrace les différentes phases de l'accumulation des 'alhazai' et les étapes de l'islamisation de la ville en s'efforçant de montrer comment le premier processus influa sur le second. Il traite successivement de la fondation de Maradi au début du 19e siècle; de la paix coloniale, qui s'accompagna d'un essor du commerce local et permit également aux populations de se déplacer pour des motifs religieux; de l'ère de la traite arachidière, dès 1930; et du développement du grand commerce avec le Nigeria et de l'islamisation de la ville après 1970.
A l'occasion de la commémoration du sacrifice de l'Imam Hussein, le petit-fils du prophète Mohamed (l'Achoura), l'association ALSADEQ en collaboration avec le consulat honoraire du Liban au Burkina a organisé une cérémonie de collecte de sang. celle-ci a eu lieu le dimanche 4 décembre 2011 au siège de l'association à Ouagadougou.
Durant ce mois de pénitence, tout fidèle musulman concrétise sa foi en Allah dans l'optique de voir ses oeuvres récompensées. Quels sont les acquis dont doit bénéficier le jeûneur ? Comment préserver les bienfaits obtenus dans la peine, la fatigue et la persévérance après 30 jours de « pénitence » ? L'imam Yacouba Tiemtoré du Cercle d'études, de recherches et de formation islamiques (CERFI) nous éclaire davantage sur la question.
Les actes terroristes qu’a connus le Burkina Faso, le 15 janvier 2016, ont fait couler beaucoup d’encre et de salive. Au moment où les enquêtes se poursuivent pour faire la lumière sur ces actes inhumains, des voix s’élèvent pour dire que ces terroristes avaient été aperçus dans la grande mosquée sunnite non loin de Splendid Hôtel et du restaurant Cappuccino. Pour en savoir davantage, nous y avons fait un tour le 19 janvier 2016. Après la prière de Zouhr (13h), Mahmoudou Ouédraogo, un des imams de la mosquée centrale du mouvement sunnite de Ouagadougou, s’est prêté à nos questions. Lisez plutôt !
Malgré la modernisation, l’Afrique et particulièrement le Burkina Faso reste une société à dominance rurale ancrée sur des valeurs traditionnelles et religieuses. Ces valeurs sociales mettent l’accent sur les valeurs communautaires où le groupe prime sur l’individu. Quant à la religion, au Burkina Faso, les différentes communautés religieuses ne vivent pas simplement côte à côte mais vivent ensemble. Les leaders de ces différentes communautés religieuses sont bien imprégnés de ce qui se passe au sein de la société car étant en contact permanent avec la population. S’intéresser aux comportements des religieux dans la crise à Covid 19 revête un intérêt particulier. En effet, eu égard à leur rôle stratégique au sein de la société, ils constituent des partenaires clés pour les autorités dans la mise en œuvre des politiques publiques surtout celles sanitaires. Cette étude a analysé la contribution et l’implication des acteurs religieux à la prévention de la covid 19 au Burkina Faso. Cette analyse s’est fondée sur des entretiens directs avec des personnes clés, la recherche documentaire et elle a permis de tirer des conclusions et formulé des recommandations.
Effectuée dans le cadre d'un partenariat entre OSIWA et Timbuktu Institute African Center for Peace Studies, l’étude exploratoire sur les acteurs religieux face à la pandémie de COVID-19 en Afrique de l’Ouest vise à identifier les ressorts de la collaboration entre l’État et la religion dans la gestion des crises sanitaires de grande ampleur. Au Bénin, cette étude se justifie par le rôle fédérateur des énergies et des croyances que joue la religion, qui lui permet dans certaines circonstances d’élargir sa sphère d’influence, voire d’empiéter sur des plates-bandes qu’on croirait réservées à l’État. La religion au Bénin, qu’elle soit importée ou endogène, tisse et entretient des liens étroits avec le sommet de l’État, tout en tenant en haleine des milliers de fidèles. Ainsi, en contribuant aux côtés de l’État à faire prospérer les politiques publiques ou en contestant des décisions qui contrecarreraient la liberté de culte, les acteurs religieux constituent sans doute une force sociale avec laquelle il faut compter lorsque viennent les heures difficiles de prise en charge de situations sécuritaires ou sanitaires menaçant la vie de milliers de citoyens.
La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin avec à sa tête son président, l'Amir Rana Farooq Ahmad, a procédé à une remise de dons aux sinistrés de la commune de Karimama. La cérémonie a eu lieu, vendredi dernier dans l’enceinte de l’hôtel de ville de la commune, en présence des autorités politico-administratives.
C’est avec joie que la communauté musulmane de Oké-Owo, arrondissement de l’Okpara, dans la commune de Savè débute ce mois de ramadan. Elle a bénéficié des œuvres utiles de l’ONG ‘’Communauté islamique des œuvres humanitaires’’ ce vendredi 1er avril 2022 qui lui a ouvert une mosquée flambant neuf ainsi que des vivres. C’est en présence du directeur général de l’Adej, Paulin Akponan, membre du bureau politique du parti Bloc républicain, du chef d’arrondissement de l’Opkara, Bernard Gobou, des têtes couronnées, que les responsables de cette ONG ont apporté de l’aide aux musulmans de Oké-Owo.
Depuis 1983, des problèmes économiques récurrents ont amené le gouvernement burkinabé à solliciter l'aide de divers acteurs dans l'arène du développement. Impliqués à maints degrés dans les secteurs de l'éducation et de la santé, les religieux catholiques et musulmans poursuivent leurs actions à Ouagadougou avec plusieurs objectifs de nature humanitaire, prosélyte, socio-économique et politique. Ces visées permettent d'observer la capacité ou non d'agency de ces groupes religieux et de mesurer leurs dynamiques dans l'espace public. L'enseignement secondaire et les établissements de soins de santé confessionnelle nous permettent aussi d'appréhender la complexité des enjeux et des relations avec l'État. L'implication sociale des religieux influence le pouvoir de négociation qu'ils disposent au sein de l'espace public vis-à-vis de l'élite politique. Toutefois, chaque confession tire profit de ses activités différemment : l'Église catholique étant avantagée par une position établie dans l'action sociale, alors que les associations islamiques tentent de faire reconnaître davantage leur implication auprès du gouvernement.
La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin en collaboration avec l’ONG Humanity first d’Allemagne, organise une campagne gratuite d'opérations pédiatriques de deux semaines qui sera dirigée par des professeurs et chirurgiens pédiatriques venus d’Allemagne. Le lancement officiel des opérations a eu lieu hier, mardi 13 octobre en présence des autorités communales et préfectorales dans les locaux de l’hôpital Humanity first à Abomey-Calavi.