L'Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) a cette année encore sacrifié à la tradition en organisant le 08-Mars, une journée de la sœur musulmane. Cette activité se veut un cadre de réflexion sur la situation de la femme musulmane mais également un cadre saint de retrouvailles pour les musulmanes. Diverses communications ont permis de mettre le doigt sur les maux qui minent le quotidien de la gente féminine islamique. Des concours ont également incité les sœurs à l'excellence. Le tout était jalonné par des divertissements.
La communauté musulmane a tenu sa huitième assemblée générale à Yako les 29, 30 et 31 janvier derniers. Manifestation attendue et crainte par beaucoup de musulmans, cette grande rencontre de tous les musulmans du Burkina était pleine de risques. Les mauvaises langues avaient prédit une session houleuse et fort agitée pour les musulmans. En effet pour la plus grande communauté religieuse de notre pays en dehors de la religion de nos ancêtres, il est impensable qu'il n'y ait pas à un moment ou à un autre, quelques divergences de vue ou quelques incompréhensions. Malgré donc le poids du nombre qui fait la force et demeure en même temps la faiblesse de l'islam, la 8è assemblée générale du Burkina a été un vrai succès.
Après trois jours de travaux, les participants au 8è Congrès de la Communauté musulmane se sont séparés sur une note de satisfaction à Yako. 29 provinces prenaient part à ce Congrès. Les Congressistes ont écouté le rapport moral et financier du Bureau sortant et lui ont décerné un quitus. Trois commissions étaient chargées de réfléchir sur les aspects suivants : Statuts et règlement intérieur, résolutions et recommandations. Tout comme à l'ouverture, les autorités politiques et administratives de la province avec à leur tête le Haut-Commissaire et les députés, les personnalités religieuses et coutumières ont honoré de leur présence la cérémonie de clôture, le dimanche soir. Une cérémonie riche en couleurs avec les litanies des élèves de la médersa.
Le mouvement sunnite du Burkina Faso a tenu son 8è congrès, du 29 au 31 mars 2013 à Ouagadougou. Placé sous le thème : « L'islam, une solution pour le développement économique et social équilibré », l'évènement a connu la participation de plusieurs délégations venues des pays frères du Burkina Faso.
Le 8e congrès ordinaire du mouvement sunnite placé sous le signe de « L'Islam : une solution pour un développement économique et social équilibré », a été parrainé par Yacouba Barry ministre de l'Habitat et de l'urbanisme et présidé par le ministre de l'Administration territoriale et de la sécurité en charge des cultes, Jérôme Bougouma. Débuté le 29 mars, il a pris fin le 31 Mars 2013 à Ouagadougou par la reconduction de El Hadj Adama Nikièma au poste de la présidence pour un mandat de 5 ans.
Deux ministres Adama Fofana, chargé des Relations avec le parlement, porte-parole du gouvernement et Moumouni Fabré de l'Administration territoriale et de la Décentralisation ont animé le 8e point de presse du gouvernement, vendredi 29 juillet 2005.
La huitième réunion au sommet de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) s’est ouverte hier matin au centre de conférence de cette organisation, à Téhéran en Iran. Près d’un millier de participants au rang desquels une cinquantaine de chefs d’Etat et de gouvernement ont pris part à la cérémonie officielle d’ouverture qui, débutée dans la matinée, s’est poursuivie dans l’après-midi. Arrivé lundi dernier à 3 h du matin à Téhéran, le Premier ministre togolais Kwassi Klutsé qui représente le chef de l’Etat le général Gnassingbé Eyadèma invité suite à l’admission du Togo comme membre de l’OCI prend une part active à cette conférence.
En marge du 8e sommet de l'Organisation de la Conférence Islamique (O.C.I.), tenu à Téhéran du 9 au 11 novembre dernier, le Premier ministre togolais, M. Kwassi Klutsé, s'est entretenu avec plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement ainsi que des personnalités de marque du monde islamique, dans ses bureaux au Centre des Conférences Internationales de la capitale iranienne.
La 8ème conférence du dialogue parlementaire afro-arabe, a, au terme de ses quatre jours de travaux rendu public, le samedi dernier au Centre international de conférence de Cotonou, un communiqué final. Que peut-on donc retenir de cette grand’messe afro-arabe?
C’est par l’exécution de l’hymne national iranien et la lecture des versets du coran qu’ont officiellement démarré mardi dernier à 10 h 45 locales, les travaux du 8ème sommet de l’OCI devant une trentaine de chefs d’Etat et de gouvernement, de princes héritiers, des ministres des Affaires étrangères et d’éminentes personnalités politiques. Conformément au programme établi, plusieurs allocutions ont marqué cette première journée des travaux.
La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Togo a tenu, du 23 au 25 décembre 2016, sur le site de Togo 2000, à Lomé, sa neuvième (9e) Conférence annuelle islamique. Cette rencontre de toute la communauté musulmane du Togo a été ouverte vendredi dernier, sous le thème « Khilafat », c’est-à-dire « enseigner la paix à travers le monde entier ». Elle a eu peur but de faire le bilan des actions de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Togo et surtout de sensibiliser les participants au bien-fondé de vivre en harmonie avec leurs croyances pour une paix durable.