Deux ministres Adama Fofana, chargé des Relations avec le parlement, porte-parole du gouvernement et Moumouni Fabré de l'Administration territoriale et de la Décentralisation ont animé le 8e point de presse du gouvernement, vendredi 29 juillet 2005.
La huitième réunion au sommet de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) s’est ouverte hier matin au centre de conférence de cette organisation, à Téhéran en Iran. Près d’un millier de participants au rang desquels une cinquantaine de chefs d’Etat et de gouvernement ont pris part à la cérémonie officielle d’ouverture qui, débutée dans la matinée, s’est poursuivie dans l’après-midi. Arrivé lundi dernier à 3 h du matin à Téhéran, le Premier ministre togolais Kwassi Klutsé qui représente le chef de l’Etat le général Gnassingbé Eyadèma invité suite à l’admission du Togo comme membre de l’OCI prend une part active à cette conférence.
En marge du 8e sommet de l'Organisation de la Conférence Islamique (O.C.I.), tenu à Téhéran du 9 au 11 novembre dernier, le Premier ministre togolais, M. Kwassi Klutsé, s'est entretenu avec plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement ainsi que des personnalités de marque du monde islamique, dans ses bureaux au Centre des Conférences Internationales de la capitale iranienne.
La 8ème conférence du dialogue parlementaire afro-arabe, a, au terme de ses quatre jours de travaux rendu public, le samedi dernier au Centre international de conférence de Cotonou, un communiqué final. Que peut-on donc retenir de cette grand’messe afro-arabe?
C’est par l’exécution de l’hymne national iranien et la lecture des versets du coran qu’ont officiellement démarré mardi dernier à 10 h 45 locales, les travaux du 8ème sommet de l’OCI devant une trentaine de chefs d’Etat et de gouvernement, de princes héritiers, des ministres des Affaires étrangères et d’éminentes personnalités politiques. Conformément au programme établi, plusieurs allocutions ont marqué cette première journée des travaux.
La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Togo a tenu, du 23 au 25 décembre 2016, sur le site de Togo 2000, à Lomé, sa neuvième (9e) Conférence annuelle islamique. Cette rencontre de toute la communauté musulmane du Togo a été ouverte vendredi dernier, sous le thème « Khilafat », c’est-à-dire « enseigner la paix à travers le monde entier ». Elle a eu peur but de faire le bilan des actions de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Togo et surtout de sensibiliser les participants au bien-fondé de vivre en harmonie avec leurs croyances pour une paix durable.
La mosquée centrale de Ouando à Porto-Novo a abrité l’édition 2013 de la journée des sciences islamiques. La cérémonie inaugurale a connu la présence des personnalités, dignitaires musulmans, membres de l’Union islamique du Bénin, et imams des mosquées centrales du Bénin.
In Benin, the general furor surrounding the 2019 legislative elections held without opposition parties caused many to overlook the fact that Ibrahim Ousmane, a wellknown imam from Cotonou, was ultimately elected to the National Assembly. His decision to run in the elections had sparked intense debates over political participation, the criteria used to select the community’s “legitimate” representatives, and, more broadly, the nature of Islamic religious authority in a minority context. In this article, I use the controversy that erupted in 2019 as a starting point for exploring disputes within Benin’s Muslim community and the dilemmas of Muslim minority politics. These disputes center on how its members can engage with national politics to promote their collective interests and maintain their political autonomy from the state. The crisis can also be understood in terms of a “generational” struggle for religious authority, in a context where there are competing sources of legitimacy.
La fête de Tabaski ou l'Aïd-el-kébir, c'est le dimanche 6 novembre 2011. En prélude à cet événement, les fidèles musulmans se préparent au rituel, celui du sacrifice du mouton. Mais cette année, la vie chère laisse plus d'un perplexe : constat ce jeudi 3 novembre 2011 à Bobo-Dioulasso.
There are many ways one might approach the study of Muslims as minorities in a given region. One theme of this paper on Muslim minorities in West Africa is Muslim involvement in artistic traditions both on an individual and a group level. This is illustrated with the case of Lamidi Fakeye, a Muslim Yoruba carver living in Nigeria. Fakeye is adamant that maintaining and enriching the artistic traditions of his people need not be incompatible with life as a pious Muslim. A second theme of this paper is stability and transformation in communities where Muslims as minorities live either in orthopraxis (upright practice) or in a 'mixed' state. This theme is illustrated with the cases of the city of Bonduku, located in the Akan State of Gyaman which today lies in eastern Côte d'Ivoire, where Muslim minority communities moved towards orthopraxis, and Bole, located northeast of Bonduku in the Gonja State, which is today in northern Ghana. Bole is an example of a Muslim community which sought to establish orthopraxis in an independent community, but failed. Attention is paid to one other pattern of relationship between Muslims and non-Muslims which is known today in the area west of the Black Volta region, where Muslims are involved in masking cults ('gbain'), which are used as mechanisms for controlling antisocial behaviour.
Since 2013, when it sent troops to Mali, France has led international efforts to root out Islamist militancy from the Sahel. Yet the jihadist threat has grown. Paris and its partners should reorient their military-centred approach toward helping improve governance in the region.
La fête de la Tabaski est prévue pour la fin de ce mois de Juillet. C’est dans deux semaines au plus tard, sauf changement de dernière minute. En effet, la fête de la Tabaski est connue pour être célébrée avec le sacrifice de mouton. Ainsi, déjà à quelques semaines de cette célébration, les différents marchés circonstanciels de vente de moutons grouillent de monde dans la cité des Koburus. Mais, le constat cette année est tout autre. Un tour dans la matinée de ce mardi, 21 juillet 2020, a permis de voir que les moutons attendent les acheteurs. Les vendeurs de moutons sont présents au niveau des marchés, mais les acheteurs se font rares ou certains viennent se renseigner sur les prix des moutons et repartent.
In the early 1990s, the newly built women's cooperative in Zinder, Niger, was destroyed by a group of men who accused women of failing to adhere to 'Islamic principles'. During the same period, a number of bars were damaged and subsequently closed. These events were generally viewed as marking the rise of 'Islamic fundamentalism'. However, no one could identify this group that had been labelled 'fundamentalists'. The present article takes a discourse-centred approach to an understanding of how Zinderois define what it means to be a Muslim. To do this, it analyses 'forms of knowledge' that represent different ways of defining Islamic practice and Muslim identity, namely, those of Koranic scholars ('malamai'), leaders of an Islamic reform movement, and traditional healers ('bokaye'). The 'malamai', reformers and 'bokaye' define Islamic practice and Muslim identity in different ways. Historically, it was the 'malamai' who used the label 'non-Muslim' to refer to 'bokaye'. But today, the 'malamai' find themselves being labelled 'non-Muslims' by the reformers. Majority Muslims draw upon these various forms of knowledge in different ways depending on the situation and in so doing display religious creativity and innovation.
This article is an attempt to come to grips with the Hausa people's use of the mosque as a political bargaining chip in contestations over the legitimacy of and use of power in Maradi. The reader should be aware that while the subject of this cursory foray into Hausa politics is the village of Jiratawa, there are many regional and national implications to the events examined in this article. The work itself deals with three consecutive Friday mosques in the village and the political machinations surrounding them.
L’Abbé Pierre après avoir déclaré qu’il «ne fait pas de promesse, mais travaille avec les pauvres à la base» venait de quitter Ouaga avec certains de ses Compagnons. Cependant, il n’y aura pas de répit pour Koudbi Koala qui a activement participé à cette assemblée ordinaire d’EMMAÜS international. Il a rejoint ses amis de Benebnooma à Koudougou pour concocter de bons plans culturels de fin d’année, du 26 au 30 novembre 2003.
Les musulmans béninois, à l’instar de leurs homologues de la communauté internationale, célèbreront la Tabaski ou Aïd El Kébir, vendredi 26 octobre prochain. A la veille de cette fête qui commémore l’obéissance et la soumission d’Abraham à Allah, le prix du mouton a pris l’ascenseur sur les marchés de bétail.
Quelles que soient leurs différences apparentes, toutes les religions admettent une même définition : «Institution sociale caractérisée par l’existence d’une communauté d’individus, unis par la mise en rapport de la personne avec une puissance spirituelle supérieure à l’homme, puissance considérée comme diffuse, soit comme multiple, soit enfin comme unique, Dieu».