Article
BID : 15 milliards pour le Burkina
- Title
- BID : 15 milliards pour le Burkina
- Publisher
- Le Pays
- Date
- November 20, 1998
- Abstract
- Ce communiqué de presse du ministère de l'Economie et des Finances rend compte des récentes signatures de convention intervenues entre la BID et le Burkina Faso.
- Language
- Français
- Contributor
- Frédérick Madore
- Identifier
- iwac-article-0003838
- content
-
Ce communiqué de presse du ministère de l'Economie et des Finances rend compte des récentes signatures de convention intervenues entre la BID et le Burkina Faso.
En marge de la 23e Assemblée annuelle du Conseil des gouverneurs de la Banque islamique de développement (BID), tenue à Cotonou les 17 et 18 novembre 1998, le ministre de l'Economie et des Finances, Monsieur Tertius Zongo, a procédé à la signature de cinq conventions de financement pour un montant global de 15,020 milliards de F CFA.
1 - Les deux premières conventions, d'un montant de 10,160 milliards de F CFA portent sur le financement partiel du bitumage de la route Pa -Dano - Diébpugou - Kampti -Frontière de Côte-d'Ivoire. Elles ont été signées respectivement avec la Banque ouest-africaine de développement (BOAD) pouf 4,160 milliards de F CFA et la Banque islamique de développement (BID) pour 6 milliards de F CFA.
2- La troisième convention signée avec le Fonds de l'OPEP pour le développement international, pour un montant de 4,060 milliards de F CFA porte sur le financement partiel du bitumage de la route Ouaga- Léo - Frontière du Ghana.
3- La quatrième convention signée avec la Banque islamique de développement (BID) pour un montant de 440 millions de F CFA servira au financement de l'étude d'exécution du barrage de Samandéni.
4- La cinquième convention signée avec ta BID pour un montant de 360 millions de F CFA servira au financement de l'étude pour la mise en valeur, au profit des populations, de l'aval du barrage réalisé par EI Hadj Oumarou Kanazoé dans le village de Dourou au Passoré.
La mise en oeuvre de ces projets permettra d'une partie désenclavement de régions à grandes potentialités économiques et, d'autre part, une maîtrise de l'eau pour le développement d'activités agricoles et pastorales.