Hadj 2009. Raïs Fadiga Moussa (président des musulmans Sunnites de Côte d’Ivoire) : "Il est souhaitable que l’Etat organise le Hadj 2009"
- Title
- Hadj 2009. Raïs Fadiga Moussa (président des musulmans Sunnites de Côte d’Ivoire) : "Il est souhaitable que l’Etat organise le Hadj 2009"
- Type
- Article de presse
- Creator
- Moussa Keita
- Publisher
-
Le Patriote
- Date
- April 23, 2009
- DescriptionAI
- L'Association des Musulmans Sunnites de Côte d'Ivoire (AMSCI) a tenu une réunion pour demander que l'État de Côte d'Ivoire soit l'organisateur principal du Hadj 2009 et 2010, compte tenu des exigences financières et de calendrier, s'opposant à une organisation par des structures privées. Ils souhaitent également que le transport des pèlerins soit assuré par des compagnies locales et que le coût du Hadj soit maintenu à 1 500 000 Fcfa pour rester accessible.
- Language
- Français
- Contributor
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Frédérick Madore
- Identifier
- iwac-article-0011522
- Rights
-
- content
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« Pour l’édition 2009 et 2010, il est souhaitable que l’Etat soit l’organisateur principal, compte tenu des exigences financières et de calendrier ». C’est l’essentiel de la réunion de concertation qu’organisait hier à la Mosquée Raham d’Adjamé Bracodi, l’Association des Musulmans Sunnites de Côte d’Ivoire (AMSCI) avec ses différents responsables de structures de base sur la polémique que suscite l’organisation du cinquième pilier de l’Islam, édition 2009. Après trois heures de conclave entre dirigeants des structures de base, les musulmans Sunnites souhaitent que l’Etat de Côte d’Ivoire organise le Hadj. Coupant du coup, l’aile à la volonté de certaines structures musulmanes qui voudraient que l’Etat confie l’organisation du pèlerinage à des structures privées. « Le transport des pèlerins par les compagnies représentées en Côte d’Ivoire offre plus de garantie grâce à leur présence continue sur le territoire ivoirien », indique le communiqué lu par le porte-parole de l’AMSCI, Dr. Koné Mamadou. Avant d’indiquer que les musulmans sunnites souhaitent le maintien d’un coût social du Hadj à 1500 000 Fcfa pour qu’il reste accessible aux couches moyennes de la population.
Moussa KEITA
