Article
Communauté musulmane : une prière pour la paix
- Title
- Communauté musulmane : une prière pour la paix
- Type
- Article de presse
- Creator
- M. K.
- Publisher
-
Le Pays
- Date
- August 13, 1999
- Abstract
- La grande mosquée de Ouagadougou a été le lieu, hier matin, d'une grande cérémonie religieuse qui a réuni les associations et mouvements islamiques du Burkina. Dirigée par El Hadj Aboubacar Sana, grand Imam de Ouagadougou et président de la communauté musulmane, cet office a consisté en une prière, une lecture du Coran et des bénédictions.
- DescriptionAI
- Une grande cérémonie religieuse s'est tenue à la Grande Mosquée de Ouagadougou, réunissant les associations et mouvements islamiques du Burkina, sous la direction d'El Hadj Aboubacar Sana. Cette prière, également organisée dans les 45 provinces du pays, visait à implorer un climat social apaisé au Burkina, la paix étant jugée essentielle pour l'adoration divine. Les participants ont notamment salué les recommandations du Collège de sages comme un pas vers le retour de la paix sociale.
- number of pages
- 1
- Subject
- Aboubacar Sana
- Ittihad Islami
- Assassinat de Norbert Zongo
- Conseil Islamique Burkinabè
- Mouvement Sunnite du Burkina Faso
- Prière
- Spatial Coverage
- Ouagadougou
- Language
- Français
- Contributor
-
Frédérick Madore
- Identifier
- iwac-article-0002767
- content
-
La grande mosquée de Ouagadougou a été le lieu, hier matin, d'une grande cérémonie religieuse qui a réuni les associations et mouvements islamiques du Burkina. Dirigée par El Hadj Aboubacar Sana, grand Imam de Ouagadougou et président de la communauté musulmane, cet office a consisté en une prière, une lecture du Coran et des bénédictions.
Les principaux responsables de la Communauté musulmane, de I'Itihad Islami, du mouvement sunnite et du Conseil islamique burkinabè ont associé leurs prières pour que le Burkina connaisse un climat social plus apaisé. Car, comme l'a confié un des initiateurs de cette “prière du besoin”, El Hadj Abdramane Traoré, nul ne peut adorer Dieu sans la paix. Evoquant le rapport du Collège de sages dans lequel siégeaient des musulmans, il a indiqué que les recommandations sont une “bonne chose” et qu'elles sont de nature à faire revenir la paix sociale.
Rappelons que cette prière pour la paix s'est également déroulée dans toutes les 45 provinces du Burkina.
M.K.