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Title
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L'Agence des musulmans d'Afrique récompense ses lauréats
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Date
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July 16, 2014
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Abstract
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Le bureau du Burkina Faso de l'Agence des musulmans d'Afrique (AMA), en collaboration avec Holy Qu'ran Memorization International, a organisé, le mardi 15 juillet 2014 à Ouagadougou, une cérémonie de clôture du concours de mémorisation du Saint Coran.
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Rights
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Identifier
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iwac-article-0000995
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content
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Le bureau du Burkina Faso de l'Agence des musulmans d'Afrique (AMA), en collaboration avec Holy Qu'ran Memorization International, a organisé, le mardi 15 juillet 2014 à Ouagadougou, une cérémonie de clôture du concours de mémorisation du Saint Coran.
Après la ville économique, Bobo-Dioulasso, c'est au tour de la capitale politique, Ouagadougou, d'abriter le concours national de mémorisation du Saint Coran organisé par Direct aid-Agence des musulmans d'Afrique (DA/AMA) en collaboration avec Holy Qu'ran Memorization International. Pour cette édition, ils sont 22 candidats dont 12 représentant la ville de Ouagadougou, 4 la ville de Bobo-Dioulasso et un candidat des villes de Koudougou, Ouahigouya, Djibo, Dori, Pouytenga, Kongoussi. A l'issue du concours, les trois premiers ont reçu chacun un ordinateur et des livres du Saint Coran. Les deuxièmes ont reçu chacun un vélo, plus un lot du livre saint de l'islam. Les autres candidats ont reçu chacun des livres saints, un poste radio et une prime d'encouragement. Initié depuis 2008 dans 28 pays, il vise à encourager les enfants et les jeunes à s'intéresser au Saint Coran. Mais également pour leur permettre de mieux connaître la religion musulmane afin de bien la pratiquée. «L'organisation du concours vise à promouvoir un certain nombre de valeurs que sont, entre autres, la paix, le respect d'autrui, le bannissement de la violence », a laissé entendre le directeur général de l'Agence des musulmans d'Afrique, bureau du Burkina Faso, M. Mohammed Bentaleb. Il a précisé que la connaissance de la religion musulmane passe par la lecture et la mémorisation du Saint Coran. Selon le chargé de l'éducation et de la culture au centre EL Nour de l'AMA, Moussa Barry, «Le concours n'a pas été facile car l'écart entre le premier et le dernier est faible. C'est dire que le niveau d'ensemble des candidats est au-delà de nos attentes et cela traduit l'engouement qu'il y a autour de ce concours». Pour lui, cela permettra un tant soit peu de valoriser la culture musulmane et de faire comprendre l'idéologie de la religion musulmane.
Emmanuel BICABA
Bic_manu@yahoo.fr
Stagiaire
Sidwaya
Agence des Musulmans d'Afrique/Direct-Aid
Frédérick Madore