Islam Info #070

Title

Islam Info #070

Publisher

Islam Info

Date

February 28, 2007

issue

70

number of pages

12

Subject

Idriss Koudouss Koné

Radio Al Bayane

Bakary Chérif

Front de la Oumat Islamique

Hadj

Conseil National Islamique

Conseil Supérieur des Imams, des Mosquées et des Affaires islamiques

Aboubacar Fofana

Nuit du Destin

Rights

Rights Holder

Éditions ALIF Islam Info

Language

Français

Source

Ibrahim Doumbia

Contributor

Frédérick Madore

Identifier

iwac-issue-0000839

content

troro
^_ du Mercredi 28 Février (~ \ au Mardi 8 Mars 2007 V& PRIX : 300 Fcfa
^ATTENTION
ARAFAT 2007 lœt Membre^
Islam
Araba 10 au Tarata 16 Çafar (Domba Makônon) 1428
INFO
CONFLITS FONCIERS
LA COMMUNAUTE MUSULMAN» AU SAT-BNET PRUINSA
tgjjSSa BAKARY SHÉRIF
(Président du Front de la Oumat Islamique)
Se urononce sur :
Belles 5 ans de
■ la Radio AI Banane
■ » L’échec duHadj2006(b\s) Hes problèmes de la Mosuuée du Plateau
SANTÉ : LA MÉNOPAUSE, Comment bien la vivre ?
Hadj 2006 (bis) Eléments et diagnostic d'un échec Réaction du COSIM
Islam Info N° 070 du Mercredi du 28 Février au Mardi 6 Mars 2007
- Du Araba 10 au Tarata 16 Çafar 1428 11 |
Pour vos questions et i réponses religieuses
Imam Méité Almamy meiimam@vahoo.fr 105-38-12-83
éditorial W
Hold-up terrien
/J a parcelle de 27 ha attribuée à I la Communauté musulmane l^^par feu le Président Félix Hou-phouët-BOIGNY attise les convoitises. En effet, ce terrain situé à la Palmeraie, route de Bingerville, faisait partie des doléances (en 7 points) présentées par les musulmans, sous la houlette du CNI en 1993. Et le père fondateur de la République de Côte d’Ivoire a accédé à tous les points. Mais Dieu a voulu que l'exécution effective de cet acte revienne à son successeur le Président Henri Konan BEDIE, sous qui, le CNI va obtenir tous les papiers qui font de lui, désormais, le Propriétaire de l'espace. Et voici que le bon emplacement et les dimensions de ce beau terrain ont d'abord fait rêver des individus, qui, au-delà du rêve, veulent exproprier la Communauté de ce qui lui revient de droit.
En lieu et place, ces gens proposent
un terrain à Abobo. Pourquoi Abobo ? Les musulmans ne méritent-ils pas un la commune d,
réaliser des projets de leur choix ? Et pourquoi jettent-ils leur dévolu sur ce terrain précis, alors que (feutres espaces, existent qui les attendent pour être mis en valeur ? Malheureusement ce hold-up se tait avec des fonctionnaires du Ministère

dé la Construction et de l'Urbanisme. Ceux-ci auraient reçu de fortes sommes pour exercer leurs basses
Ce qui est en train d'arriver à la Oum-mat ne peut s'appeler autrement que du mépris. Et qu'est-ce qui explique ce mépris contre la Communauté musulmane ?
Une chose est sûre :celanesepas-sera pas comme ça ! La Communauté se battra pour conserver sa propriété. Par tous les moyens légaux auxquels elle a droit Dieu, dans Sa Miséricorde Infinie, peut, pour éprouver la Oummat, faire en sorte que ce terrain ne lui revienne pas. Ainsi ceux qui auront l'impression d'avoir remporté une victoire, pourront la célébrer à leur aise, et s'installer sur /'espace exproprié. Mais l'Imam Kbudouss a été clair depuis le départ. «Ce terrain a été dédié à Dieu, depuis son acquisition. A partir de cet instant, il n'appartient plus au CNI, mais à Dieu ». Et on ne défie jamais le Très Haut. Car Sa réaction est toujours implacable. Et comme Lui-même le dit dans le Saint Coran :« Puis II pardonnera à qui II veut et châtiera qui II veut. Et Dieu est capable de tout » S.2Æ83.
Après cela, qu'on n'aille pas s'en prendre inutilement au sorcier ou à un parent, quand Dieu frappera. On ne fera que payer la fronde vis-à-vis d'Allah I
31 Mars 2007
12 Rabil-Awal
Issah Koné
^ Date à retenir ^;
SOURATE RL-FURQAR (LE CRITÈRE)
Le principe de distinction
le critère pour distinguer le vrai
le vendredi et les invocations exaucées
heure où les Invocations sont portent que le Prophète (saw)
Commentaire du Cora
vendredi.» [Rapporté par Sald]
Entra Nlisr tiw
Abu Said et Abu Hurayra rap-
Anniversaire du Prophète
Nom
Cette sourate doit son nom "al-furqân" (le Critère) à son premier verset. Bien que ce soit un nom symbolique comme c’est le cas dans de nombreuses sourates, il a une relation très étroite avec le sujet qu'elle traite.
Période de révélation
D'après le style de cette sourate et son sujet, il semble qu’à l’instar de la sourate 23, elle soit révélée pendant le troisième stade de la Mission du Prophète à la Mecque. Ibn Jarîr ainsi que l’Imâm Ar-Râzî citent une tradition selon ad-Dahhâk Ibn Muzâhim que la révélation de cette sourate a précédé de 8 ans celle de la sourate an-Nisâ’. Ceci confirme notre opinion quant à la période de sa révélation.
Cette sourate traite des doutes et objections qui ont été soulevés contre le Coran et la Mission prophétique de Muham-
Abû Huraïra (ra) a dit : "Le Prophète (saw) m'a pris par la main puis m'a dit : "Allah a créé la terre un samedi, puis y a créé les montagnes un dimanche, puis les arbres un lundi, puis II a créé ce qui est mauvais un mardi, puis la lumière, un mercredi, puis II y a répandu les animaux un jeudi, puis II a créé Adam (as) l'après-midi du vendredi". [Moslem et Ahmed].
Le Prophète (saw) a dit : “Le meilleur des jours où le soleil se leva est le Vendredi : c’est le jour où Adam fut créé, le jour où il fut introduit dans le paradis, le jour où il fut porté en bas sur terre, le jour où Allah lui pardonna, le Jour où Adam mourut, et où le Jour de Résurrection aura lieu.” [Moslem et Abou Daoud]
Le Prophète (saw) a dit : “Ch assiste le Vendredi à une heure, si un serviteur musulman l'attrape et y demande à Allah quoique ce soit, Allah comblera ses vœux."
C’est pour cela qu'il y a dans la journée du vendredi une
’ mad (saw) et contre ses enseignements par les infidèles de la Mecque. Des réponses appropriées à chacune de ces objections ont été fournies et les gens ont été avertis des
conséquences du rejet de la Vérité. A la fin de la sourate, une image claire de la supériorité morale des Croyants est dressée comme au début de la sourate 23, pour dire : 'Voici
du contrefait. Voici le noble caractère des gens qui ont cru et suivi les enseignements du Saint Prophète et voici le genre d’hommes qu’il essaye de cultiver. Vous pouvez vous-mêmes comparer et voir la différence entre ces gens et les autres Arabes qui n’ont pas encore accepté le Message et qui défendent "l’ignorance" et font tout ce qui est en leur pouvoir pour combattre la Vérité. Maintenant, vous pouvez juger vous-mêmes pour quelle catégorie vous opteriez." Bien que cette question ne soit pas développée en beaucoup de mots, elle a été soumise à chacun en Arabie dans une forme tangible. On note que pendant les quelques années qui ont suivi, la réponse pratique donnée à cette question par toute une nation à l’exception d’une minorité.
Le Billet ’
exaucées. Les vœux à cette heure du Vendredi sont en toute certitude comblés. Toutes les invocations, sans exception, faites pendant cette heure serontmûrement exaucées. “Allah comblera tous les vœux"... Priez donc Allah I
Il y a une divergence sur cette heure particulière. Soit c'est la dernière heure (avant le coucher du soleil), soit c'est à tout moment de la Journée du vendredi (entre dhor et asr plus précisément).
La plupart des Oulémas disent que c’est probablement la dernière heure avant le crépuscule, car c’est à cette heure-ci qu’Allah créa Adam. C'est donc pour nous rappeler combien nous Lui sommes chers, nous rappeler le mérite de ce jour et de cette heure où la poussière parla et Adam fut créé, c’est à cette heure-ci qu’Allah comblera nos vœux.
a dit : "Le jour du vendredi, il y a une heure durant laquelle tout serviteur aura tout ce qu'il demande, et elle est après l’asr... (rapporté par Ahmad). Jabir rapporte que le Prophète (saw) a dit : "Durant le jour du vendredi, Il y a douze heures, pendant une de ces heures, tout musulman qui invoque Allah, IL lui donnera ce qu'il demande. Cherche-la dans la dernière heure après l'asr»... (rapporté par Al-Nassa'i, Abu Daoud et Al-Hakim).
L'Imam Ahmed Ibn Hanbal a dit « La plupart des hadiths affirment que l'heure durant laquelle les invocations sont exaucées se situe après la prière de l'après-midi et après le coucher du soleil ».
Abû Salam ibn ‘Abdul-Rah-mân (ra) a dit : « Des hommes parmi les compagnons du Prophète (saw) se sont rassemblés et ont discuté à propos de l'heure du vendredi. Ils se sont séparés et étaient unanimes sur le fait qu'elle était à la dernière heure du
‘Abdullâh Ibn Salàm (ra) a dit : « J’ai demandé au Prophète (saw), alors qu’il était assis : Nous avons dans le livre d’Allah des paroles qui affirment qu’il y a une heure, le jour du vendredi durant laquelle toute invocation faite dans la prière par un serviteur croyant est acceptée par Allah. Le Prophète (saw) répondit : «Oui certaines heures ». Je lui dis ; « Tu dis vrai ». Je lui dis encore : « Quelle est cette heure ? ». « La dernière heure de la journée », répondit le Prophète (saw). » « Est-ce une heure de prière ? », Demandai-je ». Certes oui, lorsque le serviteur (croyant) accomplit sa prière et s’assied, mais ne le fait que pour la prière, il est considéré comme étant en prière. » Rapporté par Ibn Mâjâ.
Imam Méité
Islam Info N° 070 du Mercredi du 28 Février au Mardi 6 Mars 2007
- Du Araba 10 au Tarate 16 Çafar^ 1428 | j i
3
w Date à retenir ^
11 Août 2007
La nuit de l’ascension
27 Rajab
«fe Datera retenir#»
29 Août 2007
Laïlat Al Bara’a
15 Chaaban
V I E
ET S
PIRITUALITÉ
WSimDSÆÉEflDSESlltlfi^^
De façon générale, à quel type de commerce un commerçant musulman ne dolt-ll pas s’adonner ?
De façon générale, un commerçant musulman ne doit pas s’adonner à la vente de marchan-
dise illicite ou impure ou de toute autre marchandise destinée à la fabrication de ce qu’interdit l’Islam. Ainsi le musulman ne doit pas vendre du vin, des bêtes mortes, du porc, des statues, des produits pour fabriquer des boissons alcoo-
lisées etc De plus dans le domaine des affaires bien d'autres type de vente sont interdites.
Peut-on avoir une Idée des aspects de l’usure ?
L’usure peut se présenter sous
diverse formes : - Dans l'échange d’un produit contre une de sa nature à quantités inégales ; -Dans l'échange d’une espèce contre une espèce différente telle que l'or contre l'argent, blé contre datte, l'une au comptant, l'autre à crédit. - Dans le troc de l’une des espèces (concernées par l'usure) contre la même de sa nature à
d'hui le riz, le maïs...)
Pouvez-vous citer quelques produits (alimentaires) non usuraires ?
On peut citer à ce niveau les fruits, les légumes verts qu’on ne peut conserver (...) et qui ne constituent pas un aliment de base comme les céréales.
SOUIWDElflSflnflinE: Souratu-n-naba’i : la Nouvelle (78 -suite)
C’est la 78ème sourate du Coran. Elle constitue la 80ème dans l’ordre chronologique et la fin du 30ème «djouz » (partie) du Coran. Elle comprend 40 versets révélés à la Mecque. Et son titre est tiré du deuxième verset et il y est question de I4 nouvelle sensationnelle et âprement commentée de la mission prophétique de Muhammad (SAW). On peut repérer dans cette sourate des thèmes comme:
quantités égales mais, l’une au comptant, l’autre à crédit. A ce niveau quand la livraison est immédiate, il n’y a pas d'usure.
Le change (l’échange d’une monnaie contre une autre) est-elle admise en Islam ?
Le change est autorisé en Islam. Il
• Controverse autour d’une grande nouvelle (versets 1 à 5) ;
• Dieu : Ses bienfaits et Sa puissance : (versets 6,16, 37)
• L’esprit et les Anges : V. 38
• L'avertissement : V. 40
• Le jugement dernier : V. 17 à 20 - 35 à 40)
• Le Paradis, séjour de ceux qui craignent Dieu : V. 31 à 36
• L’Enfer : impatient de recevoir les impies : V. 21 à 31.
Transcription et tnductlM des 11 premiers versets
Y a-t-ll des produits spécialement propres à l’usure ?
Oui il y en a : ce sont l’or, l'argent, l'orge, les dattes et le sel (par extension on peut y ajouter aujour-
est considéré comme une vente et toute vente est tolérée par le Coran et la sounna.
ABOU ISMAEL
Chaîne prophétique
Bissimillahir-mhmanir-rahîm
V. 11 -Wa Ja ah_ An-Nah_ra Ma _sh_
V. 12-Wa Banayn_ Fawqakum Sab_an Shid_d-V 13-Wa Ja aln_SirXan Wa Hhj_
V 14-Wa 'Anzain_ Mina Ai-Mu'_ir_t M_'an Thaï V. 15-Linukhn)a BH _abban Wa Nab_L J V.16-WaJann_tin'AJfJ_ I
V.17-’lnnaYawmaAI-F^_liK_naM_q_t_ j V. 18-¥awma Yunfakhu F_ A_-_h Fatat_na j ’AfwJ_ j
V. 19-Wa FutLati As-Sam_'u Fak_nat 'Abw_b_ : V. 20-Wa Suyyirati AkJbJu Fak_nat Sar_b_an
Au Nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Thés Miséricordieux !
V.11-Et Assigné Le Jour Pour Les Affaires De La Vie,
V.12-Et Construit au-dessus De Vous Sept (Cieux) Renforcés,
V.13-Et [Y] Avons Placé Une Lampe (Le Soleil) Très Ardente,
V.14-E1 Fait Descendre Des Nuées Une Eau Abondante
V15-Pour Faire Pousser Par Blé Grains Et Plantes
V.16- Et Jarcins Luxuriants.
V.17-Le Jour De La Décision [Du Jugement] A Son Terme Fixé.
V.18-Le Jour Où L’on Soufflera Dans La Trompe, Vous Viendrez Par
Troupes,
V.19- Et Le Ciel Sera Ouvert Et [Présentera] Des Portes,
V20- Et Les Montagnes Seront Mises En Marche Et Deviendront Un
Minage
__________________________________HflDITH DE ΠSEUfllilE________________________________________
U PnpMts Nidiiii (MW) dit :
« L’échange or contre or, argent contre argent, blé contre blé, orge contre orge, dattes contre dattes et sel contre sel, doit être de quantités égales et livrées de la main à la main ».
« Quand ces espèces diffèrent, faites le troc comme vous voulez, mais que la livraison soit faite de main en main
». (Moslim)
« Dieu a maudit celui qui se nourrit d'usure, celui qui l’offre, celui qui en témoigne et celui qui en établit le contrat
». (Les Auteurs des Sounanes)
ADAMIAiamalpwterinamuiteiachamepnpMiaoo
La chaîne prophétique commence en fait avec Noé. Mais Ton n ; ne peut aborder celle-ci sans faire allusion au premier maillon K/ de cette prophétie, qu’est Adam qui fut le premier homme créé par Dieu.
En fait, Allah créa d’abord les Anges du feu et les djinns rien que pour l'adorer avant notre père à tous, Adam. Puis, il annonça la création cfAdam à ceux-oierroeotermee•> oui, ^ vrô<xéer darç^ unéto humain Qaachar ".unmortel). Quand donc je l’aurai bien formé, et lui aurai insufflé mon esprit, alors jetez-vous devant lui prosternés » (S 38 v 71-72)
Les Anges et les Djinns lui répondirent : « vas-Tu en désigner un qui mettra te désordre et répandra te sang .alors que nous par Ta louange .chantons pureté ,et proclamons Ta sainteté ?
Allah répondit « en vérité, je sais ce que vous ne savez pas. »(S2v30) Alors Allah créa Adam cf argile et lui donna une forme parfaite. Il ordonna aux anges de se prosterner devant lui. Ils obéirent tous au commandement du Créateur sauf Ibiis (Satan). Allah lui demanda alors :
« qu’est-ce qui t’empêche de te prosterner quand Je te commande ? » et lui de dire : « Je sais mieux que celui-là ; Tu m’as créé de feu .alors que tu Pas créé de poussière » Sourate 2 verset 12.
Allah lui dit alors « hors d’ici donc, car vraiment te voilà banni ! Et malédiction
___________________________LE SflUIEZ-UOUS ?
Zakaria Al Fari (07 96 75 17.) Professeur au Lycée de Bonoua
Correspondance de quelques noms coraniques et bibliques de Prophètes (AS). Noms coraniques et bjbligufô de Prophète
^Ccxaniqi ie BWiaues? Coranique Bibliques ! Coranique Bibliques ] Coranique ! Zakariya Bibliques
[Adam Adam Is-haq Isaac ! Haroun Aaron Zacharie
!kfoss Enoch ÎLout Loth ! AhouKifl Ezéchiel I \àhya Jean-Baptiste !
ÎNouh Noé ! Yaqoub Jacob I Daoud David i Issa Jésus
ÎHoud ! Youssouf Joseph j Souiaïmane Saloman 1 Dhoul QamaïnAtexandre le Grand 1
i Ibrahim Abraham jShouaïb - i lliass Elfe 1 Mariam Marie 1
ÎSalih Saleh i Ayoub Job i 20-AI-yasa Elisée j Hajarat Hagar i Eve j
jlsmail Ismaël i Moussa Moïse j 21 -Yxmouss Jonas j 28-Awa
sur toi, oui jusqu’au jour de la rétribution » sourate 15 versets 34 et 35.
Ibis fit te voeu dégarer Adam et ses descendants (s7Yl 4-18). Mais Alah donna à Adam et à travers lui, l'Homme, la connaissance et le discernement du Bien et du Mal pour te prévenir des tentations .Il lui enseigna alors les noms et demanda aux Anges de les réciter, ce qu’ils furent incapables de faire. Ils répon-dirent alors : «pureté à toi ! Nous n’avons de savoir que ce que tu nous a appris l.C’est toi te savant, le sage, vraiment ! » puis demanda à Adam de tes informer sur ces noms, ce qu’il fit aisément (s2 v31et 32).
Allah plaça par la suite Adam au paradis d’où i créa sa femme Awa (Eve) d'une de ses côtes mais teurfit cette injonction suivante : « O Adam, habitez te paradis, toi et ton épouse, e^ rassasiez-vous -en de partout à votre guise ; mais n'approchez pas tous deux ,de l’arbre que voici .vous serez alors, tous deux, du nombre des prévaricateurs (S2v35) .Cette injonction avait pour but de tester leur fidélité et leur contrôle de soi. Par ailleurs, Alah voulait savoir sis useraient de leur connaissance comme boucler contre les tentations maléfiques de Satan.
Ibiis essaya d'égarer Adam et Eve à maintes reprises et finalement, il réussit en leur faisant approcher l’arbre interdh. Adam et Eve découvrirent alors leur nudté et la honte qui en découlait. Ils confessèrent alors leurs fautes en ces termes et furent pardonnés : « O. Notre seigneur, nous nous sommes rnanqué à nous-mêmes. Et si Tu ne nous pardonnes pas, et ne nous fais pas miséricorde, nous
U) DOUA DE Lfl SEIMIDE
serons très certainement du nombre des perdants »
« Allez-vous-en ! dit Dieu, ennemis tes uns des autres ! Et il y aura pour vous sur terre halte et jouissance pour un tenps. Là dh Dteu, vous vivrez »et là vous
Celui à qui Allah donne du lait à boire doit dire :
TnUBCnjtill : • Allahomma bârik lanâ fîhi wa zidnâ mine-hou TnlKUM : « O Allah, bénis-le pour nous et augmentes-en pour nous ».
ABOU ISMAEL
mourrez et de là, on vous fera sortir »(S7v23-24).
Et Alah dt ceci : * ...si jamais ensuite, une guidée de Moi vous vient, alors» quiconque suivra ma guidée. ..pour eux nuie crainte, et point ne sera afligé. Et ceux qui mécrotent et traient de mensonge nos signes, ceux-là seront les gens dufeu : là ils demeureront étemetement(S 2v38-39).
______________________GLOSSAIRE : LE TERME “RIBA”
Le mot « RIBA » est l’appellation arabe du mot usure, c’est ce qui vient s'ajouter À quelques espèces de biens déterminés. On rencontre l'usure soit dans réchange inégal de quelque espèces d'aliments ou de métaux, soit dans le prêt à Intérêt à terme.
La révélation venait cf être faite à Adam ;ce qui lui donna le statut de premier malonde la chaîne prophétique.
Zakaria ALFARI (CeU : 07 96 75 17.)
Professeur de physique au Lycée Moderne de Bonoua
- Du Araba 10 au Tarata 16 Çafar 1428
Islam Info N* 070 du Mercredi du 28 Février au Mardi 6 Mars 2007
^La Mosquée d’Aghien
09 Octobre 2007
13 Septembre 2007
Nuit du destin
Début du Ramadan
1er Ramadan
Date à reteni

VIE DE LAC O MM U N AU TE
ncrion DE PRRTERRRIRT R RIR1RT0ULRVE
Des ONG musulmanes décident de s'investir au profit de l'enfance
Dans le cadre de la journée mondiale de la santé, trois ONG et un centre de santé ont contracté un accord de partenariat pour le bien- être de tous.
En marge des activités régulières du centre de santé Nima-toulaye (sise entre Angré et le Plateau Dokui ), trois ONG se sont accordées pour la signature d’un protocole d’accord sur diverses actions entres elles d’abord, et ensuite avec le centre de santé. Une salle du sous-sol de la clinique a accueilli les signataires, les invités et la presse. La cérémonie était placée sous l’autorité spirituelle de l'Imam KONE Adama d’Adjamé Bracodi.
Trois interventions ont précédé les signatures, celle du frère FADIGA Abdoul Rahama, Président de l’ONG Baïtoul-Rahama
La Zakat à la loupe
La communauté musulmane de la Riviera Palmeraie a désormais une idée plus précise de la Zakat grâce à la conférence qu'elle a organisée.
(à gauche) et l’Imam Soumahoro Al Housséine (à droite)
Qu’est-ce la Zakat ? Comment se tait la Zakat ? Qui doit faire la Zakat ? Quelles sont les richesses soumises à la Zakat ? Qui est bénéficiaire de fa Zakat ? Telles sont les préoccupations qui ont été élucidées le dimanche dernier de 10 h à 13 h à la mosquée de fa Riviera Palmeraie au cours de fa grande conférence animée par Bakroba BAKAYOKO sur le thème Fimpot-tance de fa Zakat D’entrée de jeu, l’Imam BAKAYOKO Bakroba a situé la zakat dans son contexte historique et islamique. Selon lui, l’islam à travers la zakat veut résoudre l’un des graves problèmes de l'humanité qu’est fa pauvreté et fa misère. Dans cet élan elle doit permettre de créer de nouveaux riches. Mais pour atteindre cet objectif si noble, fa zakat se fera
La signature de l'accord de partenariat pour le bien-être des enfants
(maison de la miséricorde). Il a interpellé l’assistance sur la souffrance des enfants du
RJUIERfl PRIRIERRIE : CORfERERCE SUR LE ZRKRT
selon un certain nombre de précisions ou de conditions. Pour mieux faire passer son message, le conférencier a articulé son thème autour de sept (7) points essentiels à savoir fa définition de fa zakat, sa nécessité, ses objectifs, ses conditions, les richesses soumises à fa zakat, les méthodes de paiement et les bénéficiaires de la zakat Ces points ont été développés et appuyés cf exemples qui les rendaient plus compréhensifs. Car comme Fa indiqué F Imam BAKAYOKO , fa zakat est complexe du fait qu’elle soit liée à F argent. Dans son développement, le conférencier a dt que fa zakat est le troisième pilier ou ie puer médian de l'islam. Et donc c'est aussi un acte d’adoration. A ce titre, elle est obligatoire pour tous les musul-
monde. Selon lui, chaque année douze millions d’entre eux meurent. victimes de rougeole, de diarrhée, de pneumonie et bien d’autres maladies. Cette saignée a-t-il dit, pourrait être évitée si les ONG se donnaient la main pour voler à leur secours, particulièrement pour les enfants africains.
C’est dans ce sens que son ONG a jugé urgent d’apporter sa contribution aux efforts accomplis par les organisations internationales sous forme de partenariat avec l’ONG Islam Action Sanitaire (ILSA) et qui consistera à accorder aux enfants vulnérables de 0 à 18
mans sauf les pauvres pour qui elle a été Instituée. C’est pourquoi donner fa zakat est un acte de haute portée spirituelle, sociale et économique. Elle doit pouvoir permettre de créer de nouveaux riches, pour cela, elle doit concerner des biens précis qui sont reproductifs. Llmam conférencier a aussi insisté sur le fait que la zakat est un actes communautaire et non individuel. En clair, la zakat ne doit pas être donnée de façon dispersée. Elle est réunie au sein d'une communauté pour aider ses pauvres. La zakat est prélevée suivant le taux de 2,5 % soit 85 g d’or comme cela se faisait au temps du Prophète(SAW). Une seconde phase de la conférence a consisté en un échange direct entre les participants et le conférencier pour lever les zones d’ombre et les inquiétudes qui planaient encore.
Par ailleurs, il faut rappeler que fa conférence a véritablement démarré après fa lecture Coranique de Flmam SOUMAHORO Al Housséine de ladite communauté. TOURE Lacina, le président de fa communauté de fa Riviera Palmeraie par intérim après le départ de M.BAKAYOKO, était visiblement satisfait de cette conférence. Il a saisi Foccasion pour exhorter les fidèles de sa communauté à adhérer pleinement au système de fa zakat communautaire prôné par le conférencier. Pour œfa a-t-i ind-qué, un compte sera ouvert afin de permettre au salariés de faire les virements de leur zakat C'est dans une ambiance conviviale qu'a pris fin fa conférence suivi de ta prière dezhour.
Haroun BAMBA
ans, des prises en charge médico-scolaires pour un an. Il a situé le combat de son ONG dans le cadre de l'injonction prophétique qui dit : « Visitez le malade, nourrissez l'affamé et délivrez le prisonnier »,et de la convention Internationale des Droits de l’Enfant de 1989 qui fait obligation aux Etats d'assurer les meilleurs soins de santé aux enfants.
Quant à BAKAYOKO Mama-dou, Secrétaire Général de l’ONG le Refuge des veuves et orphelins, il a dit que devant la pléthore d'enfants et femmes désœuvrés et démunis, son ONG a décidé de réaliser le projet intitulé, « Projet Enfant vulnérable, tiens ma main !» Le dernier intervenant a été le Dr DIABY Moustapha qui a salué l’enthousiasme des ONG sœurs qui ont eu confiance en eux en les sollicitant pour assurer la mise en œuvre de leur projet en commun intitulé « Enfant vulnérable, tiens ma main !»
Pour lui, il s’agit d’assurer la phase Initiale, et ce, durant un an, auprès de 100 enfants rendus vulnérables soit par la perte de leurs parents, soit par la précarité de la situation socio-économique, soit par des pesanteurs culturelles, des soins médicaux gratuits (consultations médicales, analyses biologiques, frais d’hospitalisation, mise à jour de leur vaccin notamment ceux du programme élargi de vaccination contre la méningite et la fièvre typhoïde et l’accès à l'école au cours de l’année scolaire 2007-2008).
Les bénéficiaires feront l’objet de prise en charge dans les
0UR1E
Les musulmans sur “TENE FM"
Les musulmans d’Oumé viennent de bénéficier d‘un temps d’antenne sur “TENE FM'.la radio de ladite ville . à la grande joie de tous.
M. SOUMAHORO Moustapha, Secrétaire Général du CNI et du comité de gestion de fa grande mosquée d’Oumé a saisi cette occasion pour remercier toutes les personnes de bonne volonté qui œuvrent inlassablement pour Fépanouissement de F Islam dans la commune d’Oumé. En parteu-ier, i a apprécié à sa juste valeur lee actions posées par Monsieur te Préfet du département dOcmé et Madone te Maire AKOtSSI Brigitte qui ont donné aux musuF mans une tranche de oommto-caton sur la racbo locale « TENE
centres de santé partenaires pendant la durée de la convention Sur ces oolnts précis, l’orateur a C l savoir compter sur !o soutien financier des généreux bienfaiteurs qui ont permis de débuter la prise en charge de 50 enfants vulnérables. Il a exhorté l’ensemble des Musulmans de Côte d'Ivoire à œuvrer suffisamment dans la voie d’Allah en s'investissant dans les activités aux bénéfices durables.
Il ressort de l’ensemble des interventions que le projet « Enfant vulnérable tiens ma main », contribuera à l'amélioration des indicateurs de santé de notre pays, notamment en terme de réduction de la morbidité et de la mortalité enfantine. La lutte contre l’ignorance et l’analphabétisation, des maux que notre religion combat à travers les enseignements prophétiques. La pauvreté sera combattue efficacement, par la lutte contre Tinactivisme, la dépendance, etc. Toutes ces actions permettront aux musulmans d’être actifs sur le terrain social. Cela évitera à coup sûr aux démunis de cette religion de brader leur foi.
C’est justement ce qui occasionné la naissance des différentes structures et la mise en place du partenariat.
A la fin de la cérémonie, Le Dr RAGI du centre Nimatoulaye a dit sa foi à contribuer avec l’ensemble des opérateurs du centre. Pour joindre l’acte à la parole, des soins gratuits ont été prodigués sur-le-champ à de nombreux malades.
DOSSO YAHAYA
FM ». Au cours de ce temps d’antenne, des séances de prêches, de formation et cfinfor-matons sont animées» chaque vendredi de 10H à 11H, au profit des musulmans de la Oté et des villages environnants. 0 n'a pas manqué l’occasion de remercier te Directeur de ta ratio TENE FM» M ASSI Yapo pour cetle coiabo raton fructueuse, gage d’une bonne entente sonate et (fin devetoopement harmonieux de la Côte tfhdœ.
KOMARA MAUADOU
Islam Info N° 070 du Mercredi du 28 Février au Mardi 6 Mare 2007
- Du Araba 10 au Tarata 16 Çafar1428
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12 Octobre 2007
Jour de Jérusalem
Dernier vendredi de Ramadan
La mosquée de la Riviera Palmeraie
W- Date à retenii
13 Octobre 2007
Ramadan 2007
1er Chawwal
SOCIETE
jeux D'inrtftfrs
La Riba ou la pratique de l’usure
S'il y a une pratique qui suscite beaucoup de débat, c'est bien celle de la riba. Qu'est-ce la RIBA.Qu’est-œ que la RIBA. Quels sont ses tenants et aboutissants ? C’est à ces différentes ___________interrogatiormiiïislarn Info s’intéresse dans œ numéro__
SpflcattM
Le mot riba signifie littéralement augmentation, addition, expansion ou croissance. Dans la loi islamique, c’est une somme payée par l’emprunteur en plus du montant principal, et ne répondant à aucune activité véritable. Elle peut être fixée comme une condition du prêt ou de la prorogation de son échéance. Dans ce cas, la riba revêt la même signification et portée que l'intérêt
te mater sa» de la Ma
On distingue en effet le riba sur les prêts (ou riba al nassiah) et le riba al fadl (ou riba sur les transactions).
La première forme du riba est celle qui est recueillie sur un prêt C'est la forme est la plus couramment rencontrée dans les banques occidentales et les établissements financiers qui font des crédits à four clientèle.
Qu’il s’agisse de prêts privés faits aux particuliers ou aux ménages ou des prêts à la production faits aux entreprises qui ont des besoins de liquidrté. Le remboursement est assorti tfun surplus que Ton reverse au créancier. Cette pratique du riba interdite par l’Islam. En outre, l’origine de l’intérêt n’a aucune influence sur sa prohibition. Qui soit collecté ou versé par la banque, par une autre institution ou par un particulier, rintérêt demeure interdrt par la loi.
Toute adcfition sur un prêt est rintérêt selon Hassan Basri. Mais si au moment du remboursement, le débiteur verse volontairement un surplus sur le capital au profit du créancier, on ne parie pas de riba
La raison est que le débiteur n’était pas sous reflet dune contrainte ou obligation. Muhari) rapporte qui a entendu Jabrib Abdoùlah dire que le Prophète Muhammad (SAW) lui devait quelque argent ; et au moment du remboursement du prêt, te pro-phète,(SAW) a ajouté un excédent au capital prêté. Ceci fournit bien l'exempte dune augmentation non prévue et volontaire.
te deadtaMsan dateras
A côté de cette forme, fl faut mentionner te riba sur tes transactions ou riba aMad. Cette forme vise à éliminer toutes tes formes déchanges malhonnêtes et injustes. Le riba al taldl se rencontre dans l’achat et la vente de marchands© de main- à- main. Elle couvre toutes tes transactions au comptant où fl est question de paiement en espèce et de livraison de la marchandée.
Le prix et la valeur de robjet acheté devraient être équivalents dans toutes les transactions où un paiement comptant est effectué par Tune
Des individus échangeant des billets de banque
des parties. Et, la marchandée ou le service est livré réciproquement par l’un et l'autre des acteurs du marché. Tout œ qui est reçu comme ‘extor* par Tune des deux parties dans la transaction est du ri» al val qui peut être défini selon l'expression dïbn al arabica comme « tout excès par rapport à ce qui est justifié par tes marchandées ou services qui se prêtent à la pressée ou à la mesure exposent l’acheteur ou te vendeur au rfoa al val, si te juste poids ou la juste mesure n’a pas été donnée en échange de Far-gent ou la somme reçue ».
Ainsi, un commerçant de céréales qui plastifierait la balance et qui donnerait une mesure moindre à ce que Fache-teur paie consomme du riba AL VAL Il en est de môme des vendeuses qui trompent la vigilance des acheteurs en mélangeant des substances au produit principal normalement demandé.
Qui s’agisse du riba Al val ou du riba Al Nassiah, la condamnation reste la même. EL son utifisation expose son auteur à de graves sanctions comme 1e confirme te Prophète Muhammad (SAW): «Un MirHam de riba est plus grave que trente six adultères ». Ta riba comporte quatre vingt dx-neuf cas dont te moindre est aussi grave que le fait qu’un homme s'unisse à sa mère.
RteaMmacaoBottei
La riba est à détinguer du profit commercial qui, lui, est permis et encouragé par l’Islam.‘Allah a rendu licite le commerce et illicite (Intérêt ou riba* S2 V275. La dfférence fondamentale entre ces deux éléments se trouve dans les relations qu fient tes Afférents partenaires.
te MWÉIIfeW
Les échanges en islam sont soutenus par un principe fondamental : te partage du risque. Ainsi, toutes tes relations entre indhridus, entre incividus et institutions ou entre institutions, fondées sur le partage du risque entrant dans le cadre du commerce et te pro-
fit qu’on en tire devient licite et ne peut s’apparenter à la riba. Néanmoins, il faut savoir que toutes les activités ne sont pas permises en Islam.
En plus donc du principe de partage du risque, l’activité doit être permise en islam, donc licite. Ensuite, elle ne doit pas taire l'objet d’un rendement excessif, car dans ce cas, on pourrait abuser des biens du partenaire. Hormis cela, toutes tes autres activités relevant d un partage de risque font partie du commence et sont à encourager.
Le créancier qui reçoit la riba ne prend aucun risque, car son capital lui est toujours remboursé en plus des intérêts, quel que soit te résultat (perte ou profit) du débiteur.
De même, il ne court aucun risque ; il perçoit des intérêts garantis et d’un montant connu.
Alors que dans le commerce, 1e risque est entier. Il est en effet impos-sfote à l’investisseur de prévoir avec certitude te profit qu’il tirerait de son affaire.
Mtemrlam*Mauaretei ftpttmcIMM
En définitive, fl faut distinguer le profit commercial du prêt à intérêt. Dans 1e premier cas, seul celui qui supporte le risque doit obtenir un rendement Et pour la riba, il n’y a pas de risque encouru, donc il ne devrait pas y avoir (fintérêt
Eintertfiction de la riba dans le coran Les étapes de cette interdiction Eintefdfction de la riba dans le Coran est sans équivoque. Elle a été faite graduellement et selon une méthode qui permettait à ceux qui la pratiquaient de s'en débarrasser définitivement
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Ainsi, te Coran commencera par montrer que la riba ne produit en réa-Irté rien auprès de Dieu, contrairement à l’aumône qui sera doublée. S. 30 V 39.
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Ensuite, il a informé les musulmans que les générations précédentes ont été sévèrement sanctionnées parce qu’elles n’ont pas respecté les ordonnances de Dieu en matière de riba. (S.4.V161).
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Par la suite, l’usure a été interdite. (S. 3 V130). Enfin, après une préparation
^Statut de la femme $
Droits de la femme musulmane
Dans notre parution précédente, nous vous avions livré la première partie du statut de la femme dans l’islam^ Le présent numéro vous livre la dernière partie de cette réflexion
Lis Irelts générai* de la femme id Islam
1 - La femme est semblable à l’homme en matière de responsabilité vis-à-vis des lois islamiques : lorsque les conditions de la responsabilité sont remplies (appartenance à l’Islam - majorité - raison) elle est astreinte aux mêmes obligations que l’homme en termes de prière, de zakât, de jeûne et de pèlerinage. La seule différence est qu'elle bénéficie, par la volonté du Législateur, de certains allègements ; ainsi elle est dispensée de la prière et du jeûne en période des menstrues et lochies et rattrape les jours manqués une fois purifiée, [seulement pour le jeûne]. Ces mesures ne visent qu’à tenir compte de son état physique et psychique en période des menstrues et des lochies, pense et le châtiment ici-bas et dans l’au-delà. Allah dit à cet^ effet : _ Quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne œuvre tout en étant Croyant, Nous lui ferons vivre une bonne vie. Et nous les récompenserons, certes, en fonction des meilleures de leurs actions._
3 - La femme est semblable à l’homme en ce qui concerne sa nature humaine : elle n’est pas la source du péché (originel) ni la cause de l’expulsion d’Adam du Paradis comme le prétendent. les érudits des religions précédentes. Allah dit : _ ô hommes L Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être, et a ' créé de celui-ci son épouse, et qui de ces dex là, a fait répandre (sur la terre) beaucoup d’hommes et de femmes. Craignez Allah au nom Duquel vous vous Implorez les uns les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe .parfaitement. _
Allah a Indiqué dans ces versets qu’Il a créé les deux sexes, mâle et femelle, à partir d'une seule et même origine ; il n’y a; . pas de différence quant à leur création, ni quant à leurs aptitudes respectives. Ils sont égaux. Par ce principe, l'Islam a abrogé tous les systèmes antérieurs qui attribuaient injustement à la femme une nature inférieure à celle de l’homme, ce qui la privait d'une grande partie de ses droits en tant qu'être humain. Le Messager a dit : “Les femmes ne sont que des sœurs germaines des hommes".
4 - La femme, comme l’homme, a le droit au respect, et sa dignité doit être préservée ; tout individu coupable de calomnie à son égard est passible de châtiment comme Allah le dit : _ Et ceux qui lancent des accusations contre des femmes chastes sans produire par la suite quatre témoins, fouettez-les de quatre-vingts coups, et n'acceptez plus jamais leur témoignage. Et ceux-là sont les pervers. _
5 - La femme, tout autant que l’homme, a le droit de prétendre à l'héritage. Allah _ dit à cet effet : _ Aux hommes revient une part de ce qu’ont laissé les père et mère ainsi que les proches ; et. aux femmes une part de ce qu'ont laissé les père et mère ainsi que les proches, que ce soit peu ou beaucoup : une part Mixée. _.
L’Islam lui a accoFdé le droit à l’héritage alors qu’elle en était * privée dans la Jahlllyya [la période préislamique], plus grave * encore, elle était alors perçue comme un bien dont on héritait.
Allah dit : _ ô les Croyants ! Il ne vous est pas licite d’hériter des ^femmes contre leur gré. Ne les empêchez pas de se remarier dans le but de leur ravir une partie de ce que vous aviez donné.
Oumar Ibn Al Khattôb a dit : « J’en jure par Allah, nous n’accordions pas de valeur aux femmes dans la Jahlllyya, jusqu’à ce qu'Allah révélât à leur sujet ce qu'Il révéla et leur accordât et ce
IQ^II leur accorda.» A suivra I
minutieuse des Hommes, Dieu a annoncé clairement la prohibition du riba accompagné d’une sévère mise en garde contre ceux qui contreviendraient à cette prescription. (S. 2 V 275-279).
Le riba ainsi prohibé, comporte deux sens dans la loi islamique.
Rréalisépar KOMARA Mamadou
Comment ils tentent d’arracher le terrain à la Communauté musulmane
Ce n'est pas encore chose faite. Le terrain de 27ha qui avait été donné à la communauté musulmane Côte d'Ivoire par le président HOUPHOUET, subit en ce moment des assauts répétés des spéculateurs fonciers, a enquêté pendant huit mois. Voici lés résultats préliminaires de cette enquête.
de
ISLAM INFO
on site Idéal pour la construction d’infrastructures islamiques
La parcelle qui a suscité depuis bien longtemps des convoitises et qui est en voie d’être arrachée au CNI est située à 250 mètres de la route de Bingerville et à proximité du quartier Génie 2000. Cette parcelle de 27 hectares du Conseil National Islamique qui selon le plan de masse doit abriter l’université islamique internationale, un campus, deux lycées (garçons et filles) et leurs internats était restée intact grâce à Dieu pendant longtemps malgré les tentatives de morcellement de certaines personnes spécialistes de vente de terrains. Malheureuse-wvarxV, CA9. p^r®or»wo» ^Tvtx aujourd’hui, franchi des pas de géants pour atteindre leurs objectifs : spolier la communauté musulmane de son dû. Car ce terrain n’est pas le fruit du hasard. En effet, le président FELIX HOUPHOUET a voulu corriger une injustice vis-à-vis de la communauté musulmane dans l’attribution des lieux de culte notamment dans les communes de Cococdy et du Plateau. A sa mort et dans la stricte ligne de la continuité de l’Etat, le président Bédié à réalisé ce vœu de son illustre prédécesseur. C’est pourquoi, dans la même foulée, l’imam Koudouss a demandé au président GBAGBGO, le 02 mai 2002, d’aider la communauté à faire la clôture de la parcelle que l’Etat lui a donnée. C’est pourquoi tous les ministres qui se sont succédé au Ministère de la Construction connaissent parfaitement la parcelle au titre foncier N°84 833 issue du morcellement du domaine privé de l'Etat connu sous le N° foncier 333. Il s’agit des ministres AKELE Ezan, TIA-PANOU Kakou, ZOHIN HONORE, DR. ADOU Assoua, et DR. N’DORI Raymond et aujourd’hui le ministre AMON TANON.
Pour mémoire, un projet de lotissement a été réalisé sur la parcelle du CNI lorsque le ministre N’DORI Raymond était à la tête du Ministère de la construction. Mais dès que celui-ci a su que le terrain appartenait au CNI le Ministre N’DORI Raymond et devant l’existence du titre foncier, et d’un arrêté de concession provisoire a annulé l'arrêté d’approbation qu’il avait pris.
La détention d’un ACP par le CNI Selon la plus part des experts interrogés par ISLAM INFO, le CNI avec un arrêté de concession provisoire (ACP), est devenu de facto le détenteur exclusif de son terrain et il ne lui reste plus que la dernière étape à franchir. Cette dernière étape
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avant que la loi foncière ne change en 2000, on était conditionné par la réalisation d'un bâtiment à construire au 2/3 de sa valeur. Mais compte tenu du délai très court imposé aux contribuables, cette disposition va changer pour devenir Certificat de propriété (CP) qui consacre ainsi la pleine propriété sur une par-
celle même si elle n’est pas mise en valeur.
Ainsi, dès que l’on a un ACP doté d'un titre foncier et enregistré au registre ACP de la conservation foncière ( le service de la direction générale des impôts qui crée les titres fonciers), l’on est tranquille sur son terrain car l'on devient
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propriétaire à 90%. En réalité, l’on n’a même plus besoin de clôturer sa parcelle en attendant de finaliser son dossier de construction car étant en règle vis-à-vis de la loi foncière.
Avant que la conservation ne crée un titre foncier sur une parcelle, la direction du cadastre qui est un département technique de la
direction générale des impôts mène une série d’études et de contrôle pour s’assurer qu’il n’y a pas un titre foncier existant sur le même terrain.
Mais comment ces personnes ont contourné les étapes ?
Première étape : L'action du syndicat autonome des travailleurs du BNETD en complicité avec des fonctionnaires du Ministère de la Construction. Un syndicat dénommé syndicat autonome des travailleurs du BNETD (SAT-BNETD) est à la recherche d’un terrain pour réaliser une opération immobilière à laquelle plusieurs personnes internes et externes au BNETD ont déjà souscrit. Dans leur recherche, ils sont contactés par des agents du Ministère de la Construction qui bénéficiant de la complicité de certaines personnes leur font croire qu’il y a une parcelle à vendre. Une visite est organisée sur le site en question. Le terrain du CNI sera présenté au syndicat par les mêmes complices qui avanceront comme argument que compte tenu de l’incapacité de cette structure à faire face aux documents administratifs (ACP, CP) à cause de la trop grande superficie (26,99 hectares), celle-ci a décidé de s’en débarrasser Les futurs acquéreurs sont donc très intéressés vu le très bon emplacement du site et de la proposition qui leur est faite. Selon toute vraisemblance, le S AT aurait été induite en erreur par des spéculateurs fonciers.
Deuxième étape : la confection d'une lettre d'attribution
Des techniciens font croire au cabinet du Ministre de la Construction nouvellement arrivé, que le terrain au titre foncier 84 833 appartient toujours à l'Etat ivoirien alors que celui-ci a bel et bien été attribué au Conseil national islamique depuis le 05 juillet 1995. Paradoxalement, un document daté du mois d’octobre fait cas du retour d'un terrain au titre foncier n° 84 833 dans le domaine privé de l’Etat. Et curieusement un mois plus tard ce même terrain ressort du domaine privé de l’Etat pour être morcelé et attribué à trois nouveaux acquéreurs dont le SAT-BNETD, PROINSA AFRICA et une autre association religieuse.
Troisième étape : la confection des lettres d’attribution
Après ce premier passage réussi, ces personnes, leurs chefs et des commanditaires vont passer à une autre étape qui est la confection du premier document administratif à savoir la lettre d’attribution.
A ce niveau, il faut retenir que des cadres du Ministère de la Construction et de l’Urbanisme qui ne partageaient pas les agissements de leurs collègues, selon nos investigations ont tenté de s’opposer à la transaction mais en vain.
Quatrième étape: le passive en tint pour occuper le terrain
Deux nouveaux acquéreurs se précipitent pour vendre les parcelles à travers leurs projets d’opérations immobilières, CITE BNETD et cité PROINSA AFRICA une société immobilière espagnole. Il faut noter ici que la Direction générale du BNET n’est mêlée ni de près ni de loin à l’opération immobilière lancée par le syndicat autonome de ses travailleurs sur la parcelle du CNI. Bien au contraire, elle en est terriblement gênée car depuis plusieurs années les études de faisabilité des projets prévus sur cette parcelle du CNI sont entre les mains de ses ingénieurs et techniciens à la demande du Gouvernement et de la banque islamique de développement.
Cinquième étape:
Depuis quelques semaines, la confrontation des documents détenus par le Conseil national islamique avec ceux détenus par les nouveaux acquéreurs démontrent aisément l’authenticité et l’antériorité du dossier du CNI. Vu la solidité des dossiers du CNI, la direction générale du BNETD et du CADASTRE sont montés au créneau pour faire valoir non seulement le droit, et la morale. Les responsables du Cni se disent confiants, car la parcelle au titre foncier n° 84 833 est non seulement un héritage pour les musulmans d’aujourd’hui et de demain mais elle marque aussi le symbole de la justice et de la continuité de l’Etat de Côte d’Ivoire.
HB
Islàiil Info N° 070 du Mercredi du 28 Février au Mardi 6 Mars 2007
- Du Arsba WauTarata l6Çafar142B |
Terrain d’une confession religieuse à Yopougon non arraché
ACTUALITÉ

FONCIER
Les preuves de l’appartenance du terrain au CNI
Depuis 1999, la parcelle attribuée au CNI est l'objet de plusieurs convoitises. Cette lettre ici publiée en témoigne.
Au Nom de Dieu, le Miséricordieux par Essence et par Excellence
CONSEIL NATIONAL ISLAMIQUE
Abidjan , le 20 DJoumada 11420 H 31 Août 1999
amertume la menace de retrait pour les motifs susvisées, d’une concession provisoire légalement accordée.
Aussi, ai-je l’honneur, par la présente, de vous demander de bien vouloir reconsidérer les termes de votre mise en demeure et me faire connaître que le Conseil National Islamique (CNi) n’est pas concerné par le prix de cession de 1.500 francs CFA le mètre carré mentionné dans ladite mise en demeure.
^ A Monsieur le Ministre du logement et de l'Urbanisme Abidjan
Objet : V/Mise en demeure
V/Réf : 01140/MLQ/CIGT/SAPH/DL
N/Ref. : CNI/054/KK/DGFD/CP/Pdt
Monsieur le Ministre,
J’ai bien reçu votre lettre de mise ne demeure datée du 10 Août 1999 qui m’a été notifiée par exploit d’huissier en date du 17 Août 1999.
Vous me permettrez de marquer non étonnement eu égard au contenu de cette lettre.
En effet, j’apprends pour la première fois que le prix de cession de la parcelle concédée au Conseil National Islamique (CNI) est fixé à la somme de 1.500F/CFA le mètre carré, ce qui revient à nous acquitter de la somme de 404 millions 907 mille francs CFA pour 26 ha 99 à 80 Conseil d’Administration.
J’ai, certes, pris connaissance du communiqué paru dans la presse nationale mais aucun moment, je n’ai pu imaginer que le CNI était concerné par ce communiqué.
Par ailleurs, il ne nous a jamais été notifié que nous dévions régler la somme de 1.500 Francs CFA le mètre carré relativement à la parcelle concédée. Cette information nous a été fournie par votre lettre de mise en demeure susvisée et il est surprenant que nous soyons mis en demeure d'exécuter une obligation dont nous n’avions pas connaissance et qui, au demeurant, ne pouvait être mise à la charge du CNI.
Je voudrais respectueusement vous faire observer que dans votre lettre d’attribution du 05 juillet 1995 dont copie ci-joint, vous me faisiez connaître « qu’il est attribué au Conseil National Islamique (CNI) de Côte d'Ivoire sur la base d’un prix qui sera fixé par une commission réglementaire, une parcelle d’environ vingt cinq (25) hectares à COCODY dans le lotissement PALMERAIE ».
Or, précisément, la commission dont vous faisiez état, instituée par l’article 24 de l’Arrêté du 09 Juillet 1936 a fixé, suivant procès verbal n°63 du 16 juillet 1970, à la somme de 10.000 francs CFA le prix de principe des terrains à usage de Cultes et Mouvements religieux.
Votre Arrêté n°1325 du 1er Octobre 1998, accordant la concession provisoire de la parcelle du CNI a, en son article 3, indiqué que ladite concession est accordée moyennement un prix de principe de 10.000 francs CFA.
Ce prix, en conformité avec les délibérations de la commission réglementaire susvisée, a été règle par le CNI.
Je ne peux donc que marque une vif étonnement et une préoccupation certaine à l’égard de ce qui peut être considéré comme une remise en cause injustifiée du prix de la parcelle concédée.
Je ne crois pas qu’il soit juste qu’après avoir accordé la concession provisoire d’une parcelle pour un prix déterminé et réglé par le concessionnaire, que le concédant demande à nouveau au concessionnaire de régler un nouveau prix pour la même parcelle.
Le Conseil National Islamique (CNI) et l'ensemble des Communautés et Associations Musulmanes regroupées en son sein perçoivent avec inquiétude et
Vous remerciant par avance de la bienveillance attention que vous voudriez bien accorder à la présente, i Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de ma respectueuse considération.
Le Président du CNI El Hadj KONE Idriss Koudouss P.J : ACP Ampliations
• Monsieur le Président de la République
• Monsieur le Premier Ministre
• Monsieur le Ministre d'Etat, Chargé de l’Intérieur et de la Décentralisation
• Monsieur le Ministre de l’Economie et des Finances
Islam Info N* 070 du Mercredi du 28 Février au Mardi 6 Mars 2007
- Du Araba 10 au Tarata 16 Çafar^ 1428
20 Décembre
Tabaski
10 Dhul Hijja
19 Décembre 2007
Jour d’Arafat
09 Dhul Hijja
। dilate à retenir •-
Date à retenir ^
LÊs^xpeits tin CM sur riinft crsit^mu^nuuic et le ministre de l'Enseignement supérieur, Ç Wé Brahima

Chronologie de l’histoire du terrain de la communauté musulmane à Cocody
27 Janvier 1993: Première rencontre entre le Conseil National Islamique et le président FELIX HOUPHOUET BOIGNY. A cette occasion le CN lui remet une étude détaillée sur Tétât du domaine foncier confessionnel au plateau et à cocody. L'étude fait apparaître que les musulmans bien que représentant près de 40 % de la population n’occupaient qu'à peine 1 % du domaine foncier confessionnel dans ces deux communes. Il s'engage à corriger cette injustice en promettant un grand domaine dans la commune de cocody et une mosquée au Plateau.
04 Man 1993. le CNI adresse une correspondance au ministre AKELE EZAN, ministre de lEenvi-ronnement, de la construction et de l'urbanisme sur un projet cTac-^“ss..^ .e^ânMsi palmeraies.
23 Min 1993: Le ministre AKELE EZAN informe le CNI que le premier ministre a été saisi pour compléter son dossier d'acquisition pour les coûts financiers et les
delais d'aménagement du terrain mis à sa disposition.
5 Jllllat 1993: Le ministre
AKELE EZAN informe le CNI qu'il
a été mis en réserve un terrain de
25 hectares pour ses projets.
20 Avril 1905: le PDG de la SAPH
propose à l'Etat ses terrains sis à
la palmeraie, en. compensation des créances détenues par l'Etat.
05 lulllat 1995: le Ministre TIA-PANOU KAKOU informé le CNI qu'il lui est atribué une parcelle d'environ 25hectares à Cocody Palmeraie
13 McMre 1997: l'extrait topo de la parcelle attribuée au CNI est finalisé par le géomètre exppert EMILE KOKOH ADJOUMANI
1er 9ct»bra 1990: par arrêté ministeriel le CNI obtient une concession provisoire de sa parcelle
1er Mlle!1000; les techniciens du CNI finalisent le projet d'occupation de la parcelle en attendant les travaux de viabilisation promis par l'Etat(voies de dégagement, eau et électrification
U AM 1009 . Mise en demeure du Ministre du logement et de l'ur-
L’Imam Idriss Koudouss président du CNI
17 Aoit 1999: réception d'un exploit d'huissier relatif au terrain 31 Août 1999: réponse du Conseil National Islamique au ministre du logement et de l'urbanisme. Les techniciens du Minstère reconnaissent que le CNI a acquis le terrain la parcelle au titre de lieu de culte et qu'il s'est acquité de tous les droits en conséquence
bécembre 1999: Coup d'Etat militaire en Côte d'Ivoire
Septembre 2666; le CNI finalise son projet de clôture de la parcelle chiffre à 285 millions. La banque islamique approchée préfère plutôt construire une école de douze classes dans un quartier viabilisé. Ce qui est fait avec l'école iqra de Yopougon Niangon. Mais elle se tient prête à financer les infrastructures prévues sur le site dès sa viabilisation par l'Etat.
linfer2601: Le CNI installe une baraque sur le chantier aussitôt détruite ainsi que les pancartes CNI par des personnes se présentant comme des propriétaires coutumiers sur un domaine qui est pourtant dans le domaine privé de l'Etat dont une partie, le TF 84 833 est concédé à la communauté musulmane. Le Ministre de la construction est saisi, mais ses techniciens demandent de calmer le jeu.
n Mal 2991 : La DGI envoit un avis de recouvrement de 375 000 OOOf à regler dans cinq jours
OI mn ze#17U0 ont B5T convoque pour le 06 juin 2001 à 17 h 30 mn à la Tour E au 9e étage porte 25. Là le CNI apprend qu'il doit payer à l'Etat ivoirien 404 907 000 f CFA.Mais au vu des dossiers présentés par les techniciens et les juristes du CNI, la DGI se retracte et indique qu'il faut une solution politique.
Man 2092; l’Emir du QATAR rencontre une délégation d'imams à Abidjan. A cette occasion l’Emir marque son accord pour le financement de deux lycées avec internat sur le terrain des Palmeraies. Il invite une délégation dans son pays pour rencontrer des bailleurs de fonds pour le financement des autres projets.
La 02 mai 2002 : Au cours d'une séance de travail au Palais presi-dential l’Imam Koudouss demande au President Gbagbo d'aider la communauté à viabiliser son terrain comme l'avaient promis ses prédécesseurs notamment en començant par la clôture.
14 Mars 2995: Le CNI reçoit une sommation du village d’Akouédo. Les jurists du CNI décident de ne pas répondre car le domaine en question est du resort exclusif de l'Etat de Côte d'Ivoire.
03 Jula 2005: le Ministre de la construction le Pr. ABOUO NDORY RAYMOND écrit au CNI pour lui demander de manifester son intérêt pour le terrain qui a été attribué par l’Etat de Côte d'Ivoire. Car il subirait de fortes pressions de la part du village d’AKOUEDO.
Le 29 Juin 2005: le CNI répond au Ministre de la Construction en lui indiquant qu’il attend les reactions des institutions financières islamiques contactées. Mais compte tenu de la crise, il faut être patient.
Le 0 Juillet 2005; le gouvernement ivoirien marque son intérêt pour les projets du CNI présentés à la Banque islamique de développement. Ce travail est l’aboutissement d’un travail de collaboration étroite entre le CNI et le BNETD.
Le 17 mars 2006 : le CNI adresse une correspondence au BNETD pour formaliser une vieille relation de travail sur les études de faisabilité à la demande de ses partenaires étrangers.
Le 10 avril 2006 : le bnetd répond positivement à la demande Cfe TOrmaffsatton de ses relations avec le CNI
StptBDbrt 2000: des bruits par-viennenent au CNI selon lesquels, sa parcelle est l’objet de convoitises qui pourraient aboutir à un morcellement et à de nouvelles attributions. Mais fort des assurances données par le Ministre AMON TANON l’imam Koudouss tente de rassurer ses technicians
A u Nom de Dieu, le Miséricordieux par Essence et par Excellence
CONSEIL NATIONAL ISLAMIQUE
Abidjan, le 24 Mouharam 1428 H
12 Février 2007
N / Réf: CNI / IKK-PRDT/AT /1060
Objet-Information
MONSIEUR.
Nous avons l’honneur de porter à votre connaissance que la parcelle de 26.9938 hectares sise à la palmeraie dans la commune de Cocody, portant le titre foncier 84 833 enregistré le 02 octobre 1998 au livre foncier de Bingervi/le est bel et bien la propriété exclusive du Conseil National Islamique (CNI).
Par conséquent, toute transaction sur cette parcelle ne saurait être faite sans l’accord express du Conseil National Islamique, dont les projets destinés à cette parcelle sont en cours d'étude dans les départements techniques de l'institution qui vous emploie.
061 ^f1er['nr2üs wons eu plusieurs séances de travail avec vos collègues du BNETD. Et la dernière séance a eu Heu dans l'en-96nérale sous k Présidence de Monsieur AHOUA Don Mello, lui même.
En conséquence, nous sommes à votre entière disposition pour^vüus ^mir si nécessaire des informations complémentaires et
En attendant, veuillez recevoir nos salutations fraternelles
Ll hésMM il CM
El Hadj KONE Idriss Koudouss
Ampliation:
Ministre de la Construction et de l'urbanisme
qui ne sont pas totalement rassu-
rés.
le 1er décembre 2006; une séance de travail reunite les responsables du CNI et du BNET autour de la question de la signature de convention de travail qui doit les lier pour compléter les études de faisabilité de ces projets
11 décembre 2006 : Le cni apprend que le ministre de la Construction aurait pris sur sa parcelle, une portion de 20ha pour le SAT-BNETD.
12 février 2097 : Le CNI écrit pour marquer son opposition au morcellement de son terrain. Ce courrier est adressé simultanément au : Conservateur de la propriété foncière -zone Abidjan Nord ; au Directeur du Cadastre ; au Directeur général du BNETD ; au Secrétaire général du syndicat autonomome des travailleurs du BNET (SAT)
27 février 2967 : Une délégation du CNI, dirigée par l'Imam Koudouss rencontre le DG du BNETD.
21 février 2667 : Une délégation du CNI dirigée par l’Imam Koudouss rencontre le Directeur du Cadastre •
ZyZa/?î 7/ÿb N° 070 du Mercredi du 28 Février âu Mardi 6 Mars 2007
• Du Araba 10 au Tarate 16 Çafar 1428 | i I
BAKARY CHÉRIF (PRÉSIDENT DE IA OUMA ISLAMIQUE À COEUR OUVERT :
Nos avos besoin de plus de cohésËo”
^aux questions tfislam hfo f^SnnnA?11111® ^lamique a acœpté de se livrer sans équivoque aux Muesoons a islam ^11 a donné son point de vu sur certains points clés tels quela radio _______ Myane'le peiennage, la mosquée du plateau, [unité des Musulmans,etc.
ALBMUE
La radio Al Bayane vient de téter ses cinq ans. quel est le regard du président et de l’administrateur que vous êtes sur cette radio ?
J vous remercie pour cette opportunité que vous m’offrez de m’exprimer dans Islam Info en vue d’informer la population. Tout a commencé en 1996 avec Hamed DIALLO journaliste à la télévision qui était inspecteur au Ministère de la Communication. Il a contacté d’abord toutes les associations islamiques séparément (le CNI, le front de la Oumat Islamique, le CID) avant de nous recevoir tous ensembles. C’est au cours de cette réunion qu’il a demandé qu’on mette sur pied un Conseil d’Administration. Au cours de cette même rencontre, il nous a dit que la Côte d’Ivoire disposait de cinq (5) fréquences dont deux (2) étaient déjà ooxpées par l’Etat (88 EM. et 96 FM), une par [église catholique, une autre par [église protestante et la dernière qui serait réservé aux musulmans.
Quelle a été la réaction des associations ?
DIABY Koweït a revendiqué la propriété de la Radio et ne voulait plus rien entendre. Le CNI a demandé que l’Imam CISSE Djiguiba en soit le Directeur. La seule chose sur laquelle nous nous sommes entendus, était le nom de la radio « A Bayane ».
Plus tard, on nous a réunis pour nous informer que quatre (4) cadres avaient décidé de nous offrir la radio. Ces derniers avaient déjà acheté le matériel en Alemagne dans l’anonymat C’est plus tard que nous avons su leur nom.
Comment s’est faite la répartition des postes au Conseil d’Administration ?
Pour le Conseil d’Administration, chaque association avait droit à trois sièges. Nous avons occupé les nôtres. Avec [accord du COSIM dont l’imam Aboubacar FOFANA faisait partie, nous avons ensemble décidé que [Imam Koudouss soit le Président du Conseil d'Administration et moi le vice-président A la réunion suivante, il a été décidé que l’imam Aboubacar FOFANA soit aussi vice-président.
Après cette structuration comment le Conseil d’Administration a-t-il fonctionné ?
fl y a eu un anniversaire en 2003, je n’étais pas allé à la Mecque, par contre beaucoup de membres du Conseil dAdministration y étaient allés. Je présidais ce jour là ce Conseil. Nous n’avons pas eu droit aux égards dus à notre rang. Nous avons tout de même
L’Imam Bakaray Chérif, président du F.O.I.
tenu notre réunion car notre. souhait . Avec J'avènement du CNI «t Hg l'a^ était que fa radio avance. La preuve, cession à la Magistrature Suprême du nous avons fait des quêtes dans notre mosquée pour la radio qui nous
ont permis d’avoir Cinq cent mille (500 000) FCFA
.Toujours est-il que La radio a été créé à l’initiative du CNI et porte son nom. Le CNI l’a fait pour tous les Imams et toute la communauté. Il faut qu’on sache cela. C’est très important pour la communauté musulmane de le savoir pour éviter les polémiques inutiles.
IA MOSQUEE DU PIAIBUJ
Que savez-vous de la mosquée du plateau ?
Je félicite sincèrement le CNI et tous ses membres et je prie pour eux. Nous œuvrons pour la communauté depuis bien longtemps (1970). Nous avons organisé le pèlerinage où nous avons été beaucoup actifs. Fort de nos rela-tionsn,nous avons fait mains et pieds pour obtenir un terrain au Plateau en vue de construire une mosquée. Nous avons adressé en son temps un courrier à feu le Président Mamadou COULIBALY (ancien Président du Conseil Economique et Sodal) et à feu le doyen Lamine FADIGA Président de la chambre du commerce. Le CNI n'existait pas, encore moins le COSIM. Nous avons été voir feu le Président Houphouët BOIGNY entre 1975 et 1976. Il nous a répondu que si nous trouvions un espace libre au plateau de le lui signifier, sinon qu'à sa connaissance, il n'y avait pas de terrain libre. Nous étions avec Edmond BASQUE ancien Maire du Plateau et Lamine FADIGA Nous avons lutté auprès d'Edmond BASQUE tout ce temps sans rien obtenir jusqu’à ce que le CNI voit le jour en 1993. C’est en ce moment que fai fait la connaissance de [Imam Idriss Koudous.
Président Henri KONAN BEDIE, nous avons eu un terrain pour la Communauté musulmane. C’est ainsi que CISSE Djiguiba a commencé à officier les prières sur le parking de l’hôtel de ville au Plateau.
L'Etat a donné le terrain et s’est engagé à le construire. En son temps feu DOUMBIA Souleymane qui travaillait à la RT1 nous a réunis pour nous présenter le plan de la mosquée qui serait construite au Plateau. En plus de la salle des prières, il y avait des bureaux (3) prévus pour les associations musulmanes.
Selon vous, pourquoi la mosquée n’est-elle pas encore livrée à la communauté musulmane ?
L’Etat Avait dit qu’il allait construire cette mosquée. Les travaux ont coïncidé avec la guerre qui depuis ne finit pas. Et nous entendons ces jours-ci qu'on procédera à l'inauguration de ce lieu de prière très bientôt. Je ne dis pas que cela doit se faire ou pas. Mais au préalable, il y a quelque chose à faire d’abord.
Quelles dispositions faut-il prendre avant l’ouverture de la mosquée du plateau ?
Avant [ouverture de la mosquée, il y a deux choses à faire. Premièrement, il faut rencontrer l’Etat qui a décidé de construire cette mosquée, et deuxièmement il faut que toutes les structures islamiques se rencontrent autour de la question pour en discuter. Nous pensons qu’il est mieux de procéder ainsi parce que la situation du pays n’est pas favorable aux tensions. Il faut suspendre le mot cf ordre d'inauguration du 09 mars.
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Quel est votre rer?^
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Ce qui est amvé celte année est inédit. En ce qui concerne ie pèlerinage, nous partions à l’époque au Sénégal avant de nous envoler pour la Mecque. Nous ne dépassions pas le nombre de cent (100) personnes. Avant, pour l’obtention des passeports on se rendait au Mali, au Niger ou au Sénégal à cause de l’absence d’Ambassade chez nous en Côte d’Ivoire. Mais aujourd’hui,ce problème n’existe plus DIEU merci. Air Afrique donnait un quota à Egypte-AIR et Ethiopian Airlines. C’était comme ça. Les encadreurs allaient plus tôt pour attendre les candidats au hadj. Notre problème réel, c’est que L’ivoinen est toujours en retard dans l’organisation du pèlerinage. C’est à une semaine de ce pilier important qu’on vient faire les versements. Par ailleurs, l’ex ministre GNONKONTE a compliqué les choses en rendant la chose plus commerciale et en donnant l’autorisation à tout venant au détriment des structures organisées comme le CNI la OUMAT.
Quel est votre point de vue sur lejôle des Associations ?
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hadj ne sont pas à blâmer. Nous par exemple nous ne sommes pas redevables à quelqu’un, ni en Côte d’Ivoire, ni en Arabie Saoudite. Nous nous sommes acquittés de tout ce qu’on devait.
Ce ne sont pas les associations qui règlent le problème d’avion. Pour ce qui est des démarcheurs, ce sont les associations qui s’en occupent.
On ne doit pas donner d’agrément à celui qui n’a que 25 à 50 pèlerins seulement. Ceux-ci doivent s’entendre avec les associations qui atteignent 1000 pèlerins. Les associations sont accusées pour rien. Si l'Etat doit aider, ce sont les associations qu'il faut aider.
Quelle solution pouvez-vous proposer à l’Etat pour ce qui s’est passé cette année ?
Nous pensons que la voie choisie par le Président en optant pour Air Ivoire comme transporteur des pèlerins est une bonne chose. Mais, il ne faut pas oublier ou écarter Egypte Aï et Ethiopian Aï lines qui transportaient déjà les pèlerins. En plus de cela, Aï Ivoire doit nécessairement travailler avec les associations pour l’organisation du hadj.
Et les Imams ?
Les Imams n'ont rien à avoir avec l’organisation du hadj. Vous pouvez le vérifier partout. Nous ne disons pas que c’est interdit. Ce sera une honte si les Imams organisent le hadj. Ils sont là pour réparer les torts, mais si c’est eux qui causent les torts qui va réparer?
• Et l’UCAMCI ?
L’UCAMCI a dit qu’elle existe pour aider la communauté et non pour organiser le hadj. Elle ne doit pas faire
la concurrence aux associations isL miques d’organisation du hadj. Leur rôle est de nous trouver les moye^ pour qu’on organise mieux la comm. nauté.
Les associations ont déboursé de l’argent pour les maisons mais le pèierinage n'a pas eu lieu. Que doit-il se passer selon vous ?
C'est délicat Nous pensons que les associations devraient rembourser s' elles avaient obtenu le remboursement des sommes versées en Arabie Saoudite. Mon souhait serait de convaincre les Saoudiens de reconduire les contrats des maisons pour le Hadj prochain. Nous souhaitons que le gouvernement aide les associations afin qu’elles n'aient pas honte. Sinon ce sera une honte pour le gouvernement aussi.
Le ministre dit que le gouvernement organisera le pèlerinage est-ce que cela est possible ?
Ce n’est pas possible parce que gouvernement a une part de responsabilité dans ce qui est arrivé cette année. L’argent a été débloqué, mais on n’a pas eu d’avion. L’avion qui devait arri-Y^L^i1^ Jran^^ te nos pèlerins paraît-il était en panne, pourtant ire» parti avec les pèlerins de certains pays. Les associations n’ont pas gardé l’argent sur elles. A regarder de près cette histoire, c’est le gouvernement à travers des individus qui ont fait échouer le hadj.
D’après vous quel doit être le rôle du gouvernement dans l’organisation du pèlerinage ?
Aujourd’hui,le problème du pèlerinage à la Mecque est devenu complexe avec une grande confusion. Personne ne peut le résoudre si ce n’est le Président de la République. Il faut qu’il nous aide à trouver un commissaire permanent du hadj au sein du Ministère de [administration territoriale. L’Islam a trop de problèmes dans ce pays. Si on soustrait la responsabilité du gouvernement de l’échec, il ne restera presque rien. On dépend de l’Etat et il faut qu'il nous aide. Nous devons rencontrer le chef de l’Etat pour lui confier cette tâche afin qu’il nous aide.
LlMnUlA COMMUNAUX MUS1HMAJC
Nous avions convenu lors des Etats généraux qu'il fallait nécessairement qu’on s'unisse pour constituer une seule structure qui va se charger de défendre les intérêts de toute la communauté. Cela n'est pas encore fait Les imams du COSIM se sont réunis pour choisir l’Imam Boikary FOFANA pour succéder au Cheick Anzoumana KONATE II est arrivé ici chez nous et nous a demandé de nous unir pour révolution de notre communauté. Rien n’est encore fait dans ce sens. Nous attendons toujours que tout ce qui a été dt sur l'union de tous les musulmans se concrétise.
Réalisé par I IB
ISLAM AU FEMININ
SAUTÉ ET HVGIÈDE
la ménopause, phénomène naturel
Hantise des femmes, à un certain âge, la ménopause est un phénomène naturel qu'il appartient à toute femme de préparer. Mais comment ?
Bouffées de chaleur, anxiété, sécheresse vaginale, prise de poids, vieillissement cutané, problème d’ongles, de cheveux tels sont les changements physiques que subissent toutes les femmes dès qu'elles tendent vers 50 ans. Ces changements sont souvent mal vécus par les femmes. Pourtant l'on peut bien vivre sa ménopause.
Comment bien vivre sa ménopause ? Pour en savoir plus nous avons rencontré le docteur COULIBALY Alima, gynécologue dans une clinique de la place.
Il ressort de cet entretien que la ménopause, appelée aussi âge climatérique est un processus physiologique normal qui marque la fin de la période féconde.
La ménopause se situe normalement entre 50 et 55 ans et se
S8fftSÏ$^^vanennes*etTa dispari-
tion totale de la menstruation. On admet que la ménopause est installée lorsqu’il n’y a pas eu de règles depuis un an. Cette ménopause ne débute pas au même âge et n’a pas les mêmes implications chez toutes les femmes, même à l’intérieur d’une même famille.
La ménopause influence la façon dont la plupart des femmes se sentent physiquement et émotionnellement. La ménopause est précédée par une longue période de transpiration qui débute généralement à l’âge de 40 ans, âge à partir duquel les premières ratifications biologiques apparaissent. Cette période de transition correspond à la pré-ménopause et la péri ménopause.
La pré - ménopause est la période pendant laquelle les fluctuations hormonales produisent des irrégularités menstruelles. Celle-ci peut varier de quelques mois à plusieurs années. En général elle dure 5 ans.
La pré-ménopause est la période précédant Immédiatement la ménopause elle dure un an.
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La ménopause se caractérise le mieux par les bouffées de chaleurs. Elles apparaissent chez près de 50% des femmes. Il s’agit de brusques sensations de chaleur montant du haut du corps jusqu’au visage, suivies de sueurs Importantes et frissons. Leur durée est brève.
Ces bouffées de chaleur, qui surviennent souvent durant le som-
Femme en âge de la ménopause
meil, causent de fréquentes pause précoce et/ou chirurgicale périodes d'éveil nocturne et de et aussi aux femmes présentant l’insomnie. Elles peuvent être des risques d'ostéoporose ou de très incommodantes. maladies cardio-vasculaires
n~~~ •- »—J— »— bouffées de chaleur persisteront pendant plus d’un an. Ces épisodes peuvent être accompagnées de palpitations et d’anxiété et peuvent nuire significativement à la probité de vie de nombreuses femmes.
Pour certaines, la ménopause représente le début du vieillissement et se caractérise par des sautes d’humeur, de l'irritabilité, parfois même des pertes de mémoire et des problèmes de concentration. La fatigue physique qui s'accompagne aussi de lassitude et de découragement est l’un des signes de la ménopause. Cette fatigue est souvent due à l’insomnie qui survient généralement au milieu et à la fin de la nuit. Celle-ci empêche la récupération et accentue l’épuisement corporel et mental de ménopause, provoque chez certaines femmes l’incontinence urinaire et le vieillissement cutané. D’autres manifestations telles que : fourmillements, douleurs articulaires et vertiges, nervosité, troubles sexuels... peuvent apparaître.
LES TINTEMENT!
Il ressort de notre entretien avec Dr Coulibaly Alima que trois types de traitements existent en la matière.
1- Le traitement hormonal substitutif (THS). Le THS est Indiqué selon notre spécialiste pour les femmes pour lesquelles la ménopause provoque une gêne Importante.
Il est particulièrement proposé aux femmes ayant eu une méno-
Ce traitement consiste à apporter à l'organisme des hormones manquantes qui sont l'œstrogène et la progestérone.
Cependant le THS comporte un risque majeur qui est celui du cancer du sein.
2- Les traitements non hormonaux, ce traitement n’est pas préconisé dans la plupart des cas de nombreuses femmes, qui ne peuvent, pour des raisons gynécologiques en bénéficier.
3- Médecine alternative ; les femmes ménopausées qui ont des symptômes légers ou modérés doivent opter pour un traitement pharmacologique avec des produits naturels en plus des modifications à leur mode de vie. Parmi les attitudes à adopter ; il y a le fait de :
• Porter des vêtements légers ;
• Eviter les boissons chaudes ainsi que la caféine ;
• Dormir dans une pièce bien aérée, propre, tranquille et si possible climatisée ;
• Diminuer les sources de stress;
• Avoir une alimentation équilibrée en évitant les graisses ;
• Pratiquer régulièrement le sport tel que la marche, la gymnastique d’entretien etc...
Toute femme, pour bien vivre sa ménopause, doit la considérer comme un tournant de sa vie. Les changements physiques et psychologiques qui s'opèrent chez la femme doivent l’amener à consulter un spécialiste afin que ce dernier l’aide à bien vivre cette étape de sa vie.
AMY MEITE
[ Ÿ^rnfidences4
Ms csépouse serait séropositive
Je vis une situation très délicate qui me traumatise et fai décidé de me confier à toi car ma réaction serait mal interprétée. Aide-moi. En effet mon époux voudrait épouser une dame veuve. La rumeur court que son détint mari était infecté par le VIH/SIDA, par conséquent elle serait séropositive. Mais selon elle, son ex époux aurait été tué par la sorcellerie. Mon époux la croit sur parole (fanant plus qiTi en est amoureux Jo ne suis pas contre ce mariage, mais j’ai peur pour ma santé, mes enfants sont encore en bas âge. Que dois-je faire Pour sauver ma vie?
hmdûm Kctncs
Ma sœur, à mon humble avis, tu dois essayer dêtre plus exigeante, car il y
Comment faire pour me séparer d’elle P
Je viens vers toi,car je suis vraiment dans un engrenage, dans lequel je .ne sais comment faire pour m’en sor-
suis marié coutirniérement et légalement avec mon épouse. Nous sommes un couple exemplaire d'autant plus que mes amis me le chantent chaque fois. Mais aujourd'hui, j'ai succombé au piège de Satan. Une jeune femme a dit à mon moiteur ami qu'ôte était amoureuse de moi et qu’elle souhaiterait donc me rencontrer. Me sentant flatté par cette déclaration, j’ai accepté de la recevoir, il s’est avéré qu’ôte état bote physiquement et fai succombé à son charme. Au départ j’étais enchanté, mais cpelqjes mois après fai commencé à avoir des remords vis^-vis dAlah (SWA) et de mon épouse. Je trouve cette jeune dame tiopembal-lée;ete me présente à ses frères et soeurs comme étant son futur époux. Je me sens mal dans ma peau, car je ne voudrais aucunement l'épouser. Ete m’appete tout le temps, fai peur quemonépouse découvre notre relation, car ete commence à être envahissante. Jesaisquo fai péché, mais comment faire pour sortir de cette histoire? BB
IEPINSE
. L’homme est de nature fable, c’est pour cela qu’Alah nous a envoyé des prophètes pour parfaire notre , comportement au sein de la société.
Alahdt dans le saint Coran V53 S12que:« Fâme est très incitatrioe au mal à moins que mon Seigneur né la préserve du
* la logique de la excès à votre propre détrime^
P^ Coran dïS^ÆÎ^^
c’est cfAlah, car Alah pardonne tous tes
hdtctenslaS32 '^^ ~<^uw ^^*
Mass_sanogo @ YAHOQfr
va de ta santé et de la destinée de vos enfants. Ta réaction sera mal interprétée, mais elle sera utile pour votre famille. Il est môme rapporté par Al Bukhari que renvoyé d'Allah a dt « Aucun malade contagieux ne doit venir chez une personne saine ».
Délègue des gens auprès de ton époux afin qu’il demande à ta future coépouse et à toi, de vous faire faire à toutes les deux le test de dépistage cto VIH/SIDA Je pense que tu devrais en faire aussi pour éviter la frustration de ta future coépouse. Les résultats de ces tests cissiperont tout soupçon qui
rer la confiance entre vous. L’exigence du test de dépistage du VIH/SIDA n’est pas mauvaise en soi, je pense que toute personne doit le faire avant de contracter in mariage.
car c’est un acte abominable et quel mauvais chemin I » Ce qu revient à dre que Fadultère est puni par Alah. En ce qui te concerne, je pense que
^M^V*H0i^^
ton courage et affronter la réalité. Car à la longue tu feras trop de mal autour de toi
Dabord tu dois réduire les coups fis, refuser ses Invitations lorsqu’ele feh demande, sans toutefois oublier cf être dstant dans vos conversations téléphoniques. A la longue, elle s’énervera, te demandera des expi-cations. A partir de cet instant tu finvi-teras quelque part et lui expiqueras tout Dis lui par exemple que : Tu n’es pas prêt actuellement pour être un polygame et que tu pensais pouvoir la garder comme seconde épouse, mais ce ne sera pas possible. Par conséquent, tu voudrais mettre fin à votre relation pour qu’oie refasse sa vteavœ un autre homme. Ce serait douloureux pour ele, mais il le faut Je pense que cette épreuve la mûrira. De ton côté, tu dois chercher à te taire pardomer auprès d'Allah, car II dt dans la S.66 : « Vous qui avez cru, repentez vous cf une repentance sincère I » Cette repentance est condtionnée par trois actes qui sont : cesser l'acte, le regretter amèrement, ne plus le recommencer jusqu’à la fin de notre vie. Alah dt qui pardonne à qui I veut et châtie qui 1 veut Tu dois chercher la Grâce de j Dieu par les jeûnes et prières suné-rogatoires, afin qu’Alah te pardonne et qui permette à cette jeune dame de rencontrer un autre homme qui l'aimera et r épousera. Comme Alah J le dt dans le saint Coran : «O Mes
Actualité
HHDJ 2006 BIS : ElÉHltllTS DE DlftGIlOSTlC D’UO ÉCHEC
Déclaration du COSIM
Nous rendons grâce à Ateh d'avoir
le voyage à la Mecque, d'être revenu sains et saufs, (f avoir pu accomplir leur rites avec ferveur ; devoir pu adresser
dlvoire.
Nous sommes réunis aujourd’hui pour faire un point, ne serait-ce que partiel sur la situation du Hadj 2006 bis et pour annoncer quelques décisions du COSIM. Nous vous avions promis il y a cliques temps déjà, de procéder à un recueil des informations sur le pèlerinage. En tant qu’lmams donc premiers responsables de la communauté musulmane, nous avons le devoir de mettre à la déposition de tous les fidèles, de tous nos compatriotes, les éléments conformation sur les raisons du grave échec qu’a constitué le hadj de cette année.
Mais force est de constater que les informations fiables ne sont pas abondantes. Même quand elles existent, êtes eemblert faire f objet dune inoom-préhensbte rétention et parfois aussi de
à nos yeux, une nécessité incontournable, si nous voulons tirer ensemble les leçons de f échec au lieu de se renvoyer les responsabilités, de se défausser les uns sur les autres.
Ainsi nous aurions fait tous ensemble un pas décisif dans la préparation des prochaines éditions.
Nous aurons pu, dans la précipitation et sous la pression, effuser toutes sortes d’informations sur ce que chacun a admis comme la survenue cf un dame national : A savoir fimpossbité pour des mixers de canddats au hadj, pourtant en rè{>e, cfeffectuer le voyage le plus important de loir vie. Nous aurions pu, également, nous laisser submerger par l’amertume, nous laisser gagner par le découragement face à cette cruelle déconvenue. Mais en guides religieux
Le Cheick Boikary Fofana
patiemment les informations, is ont écoUé longuement les efférents sec-
L’examen, môme rapide des efférentes séquences du Hacf montre clairement que le maillon fable se situe au niveau du transport aérien, me étape finale certes influencée en amont par d autres défaillances, mais qui relève sans conteste de la responsabilité de l’Etat Au demeurant, de nombreux docu-
ments dont nous avons eu connaissance l'attestent
Les investigations complémentaires permettront, avec l'aide de Dieu d'affiner les analyses et de proposer des schémas cforganisation plus efficaces.
Car, au-delà des intérêts particuliers, notre soucis est de contribuer à créer les concilions d’une bonne organisation du Hadj 2007 : Faire en sorte que les candidats au pèlerinage vivent moins dans la crainte, qu’ils ne renoncent pas à leur projet de voyage à cause de pressions multiples, l’angoisse, la peur de l’humiliation qui les assaillent et qui les éloignent de la préparation spirituelle si nécessaire.
Certes, les Imams n'ont pas vocation à organiser le pèlerinage. Cependant le COSIM enteno continuer de jouer le rôle que Dieu lui a dévolu dans rencadrement spirituel et moral des musulmans. Le COSIM ne peut, par conséquent, rester inactif dès lors qu’l s’agit cfaider à la réalisation du Hadj, un des dnq piliers de rislam.
Tout en souhaitant une mobilisation de tous les acteurs en espérant que chacun, au niveau où il se trouve, puisse jouer pleinement son rôj^ le COSIM met sans délai en oeuvre une Instance auL«!attfl*flca^À_^Bbfic-ajifx^dMCM»4*a
véridrçue des causes de réchec du Hadj 2006 bis et à faire des propositions tentant à améliorer, avec faide d'Allah, les futures éditions du pèlerinage à la mecque.
Enfin, nous voudrions ici remercier le chef de l’Etat pour la communication qu'A a faite dans son discours du nouvel an, annonçant sa compassion avec les pèlerins, et sa disponibilité à les dédommager et rembourser les frais qu’ils ont engagés.
Fait à Abic^an, le mari 27 février2007
LeCOSBA
BISMILLAHI RAHMANI RAHIM AU NOM D’ALLAH LE MISERICORDIEUX PAR ESSENCE ET PAR EXCELLENCE
Abidjan, Ie15 février 2007-02-26
COSIM
SECTION ANYAMA
CNI
COORDINATION ANYAMA
CEL. 07845691 / 23557999
AU JOURNAL ISLAMIQUE ISLAM INFO
OBJET : REMERCIEMENT
La section COSIM et la coordination CNI D’Anyama par ce courrier vous remercie pour votre participation active à la réussite de la cérémonie d’accueil du Cheick Aboubacar FOFANA le Samedi 10 février 2007 à la grande mosquée d’Anyama.
Nous prions Allah le Tout Puissant, le Miséricordieux par essence et excellence de vous récompenser de la plus belle manière et de multiplier vos nobles actions dans votre balance le jour ou ni les biens ni les enfants ne peuvent servir.
Par ailleurs, nous vous encourageons à oeuvrer davantage dans cette voix qui le but de notre création.
Qu'Allah (SWT) nous protège tous, fortifie notre foi et nous gratifie de son immense Miséricorde.
Le Président du CNI Le Président du COSIM
MOUSTAPHA SYLLA EL HADJ MORIBA DIABY
tours intervenant dans le processus du Hadj. Fidèles à notre tradition qui consiste à agir dans le sens des intérêts de notre communauté en adéquation avec les principes de fétat laie, nous avons eu plusieurs échanges avec les autorités administratives qui ont en charge Forganisaticn du pèlerinage.
C’est ainsi que nous avons pu apprécier les analyses du Ministère de l'Administration Territoriale, cele des organisateurs, des Interméciaires, des représentants de al Côte (flvoire en Arabie Saou-(Se, de certains experts de l’aéronautique, notamment f ANAC, ainsi que des avis émanant de plusieurs autres sources crétfbles.
Dans le but (f opérer une bonne synthèse de cœ informations, et loin de tout esprit polémique ou de représaies, nous avons «xbaité dès le mois de janvier la mise en place dune commission adhoc sous Fégide du Mbistère de fAd-minislration territoriales, chargé détabtir les faits et tes responsabilités et pour le dédommagement des pèlerins.
Des contraintes administratives n’ont pas encore permis à ce jour de rendre effective une telle commission dont le principe, pourtant, semblait faire l'unanimité. Nous regrettons vivement Une tels commission demeue, en tout cas
Nécrologie
La grande famille Séré AScha à Abidjan, Burkina, France et Kinshasa, les familles Etoia. Tamboura, Lou-guet à abic|an et à Bouaké. Mr et Mme Séré Mamadou et enfants à abidjan, Mme Ly Djénéba née Séré à Dakar, Mr et Mme Séré Alassane et enfants à Ouaga et France, Mr et Mme Echeyenne et enfants à Caudeval (France), Mr et Mme Séré Yacouba et enfants au Bénin
et au Canada. Mr Séré Adama et enfants à ouga, Mr Séré Amidou et enfants à Kinshasa et en Allemagne, les familles Kamadazo et Diallo à Ouaga, Mr Kouado Kouacio Léopold et son épouse Séré Maïmouna à orange-Ci et enfants à Zurich et Abidjan, Mlle Séré Fatimata à la SGBCI à Abicjan, SéréThidan et Séré Bintou à Abidjan, Mr et Mme Eloia Abdoulaye et enfants, hV Bénin Adama et enfants, Mr N’Diaye Cheickna et son épouse Bénin Awa et enfants, Mr Fofana et son épouse Eloia Fanta et enfants, Mr Bénin Siriki et Bénin à Abicjan, les famies alliées GoudamiSaJoum, Coufr-baiy Sériba, Nébié, Berthé, Loukensy, Kouyaté Bintou et enfants ont la profonde douteur dannoncer le décès leur fée, soeur, nièce, belle soeur, cou-^"^ Mto Séré Acta,
Résidente à Singapour en Asie, survenu le samed 24-02-07à Paris.
Mercredi 28 février 2007 à 18h arrivée de la dépouille en provenance de Paris • jeudi 01 mar«2007 : Lecture coranique au domicile familiale à la rivière bonoumin à 19h • Vendredi 02 mars 2007 de 8h30 à 9h : Levée de corps à Ivosep suivie dune halte au domicile familial. 13h30 prière mortuaire à la moequée An nour de la rivière II suivie de l'hunimation au cimetière de Wiasmvile •'Samedi lecture au domicile au domicile familial à la rivière bonoumin •Dtihanche 4 mare 2007 à 9h00 cérémonie de 7ème
I jour au domicite faméal rivière bonoumi, quartier Zinsou 2 via 1282
BISMILLAHI RAHMANI RAHIM
Au Nom D’Allah, Le Miséricordieux, Le Très Haut
MOSQUEE MADINA
MARCORY REMBLAIS
COMITE DE GESTION
11 BP 2756 ABIDJAN
TEL. 21 28 01 21 - CEL. 08 12 15 00
A Monsieur KONE Issa Directeur de Publication de ISLAM INFO
OBJEU-Présentation de vœux.
As Salam Alléikoum,
A l'occasion de la nouvelle année islamique 1428, le comité de gestion de la mosquée MADINA de Marcory Remblais (COGEMMA) vous adresse ses sincères remerciements et vous exprime toute sa gratitude pour votre collaboration et votre contribution à l’édification de l'Islam dans notre pays.
En ce 21 siècle, nul n'est sensé ignorer l'importance de l’information. Notre communauté à l’instar d’autres communautés nationale ne pouvait rester en marge.
La venu de ISLAM INFO est salutaire dans le paysage de la presse écrite nationale. La tâche n'est certes pas facile mais les défis et les perspectives sont bons.
Le COGEMMA souhaite ses vœux les meilleurs de longévité et de prospérité au journal ISLAM INFO. Nous prions Allah (SWA) de vous donner la meilleure inspiration pour une bonne politique commerciale et une amélioration du contenu du journal
Nous souhaitons à vous et votre famille ainsi qu'à tout le personnel du journal et leur différente famille une année de santé, de longévité, de paix, de réussite et de courage, d'abnégation et de persévérance pour le succès de cet œuvre dans le sentier d'Allah (SWA).
Son Eminence, El hadj ZOROME Aboubacar, Imam de la mosquée MADINA, le Président des sages, El hadj KONATE Demba et le Président du Comité de gestion, E I Hadj KONE Mamadou vous renouvellent leurs sincères remerciements et leurs vœux les meilleurs, prient Allah (SWA) de vous accorder sa miséricorde et une bonne place dans son paradis étemel.
Fait à Abidjan, le 30 Janvier 2007
LE PRESIDENT
EL HADJ KONE MAMADOU
Islam Info N° 070 du Mercredi du 28 Février au Mardi 6 Mars 2007
- Du Aruba 10 au
INTERNATIONAL-
PELERinfiGE fl LR rnECQUE
HadjallatylMraraMesonM
et Arafat
Hadja Kady Koubra poursuit son voyage en terre sainte. Elle est obligée de faire une Longue escale, une fois à Dubai. Suivons la.
DUBAI la talqui
Je n’ai même pas eu le temps de m’émouvoir de la durée du transit tant fai été sublimée par ce que je voyais: [aéroport de Dubai, avec ses tapis roulants, ses escalators refiant les différents niveaux n’a rien à envier aux aéroports des grandes villes occidentales dfts à la pointe de la technologie.
Je me suis mise à arpenter les grandes allées qui s’offraient à moi. J’étais mue par un élan suscité par la surprise. Javoue que je ne m’attendais pas à un tel spectacle. Très vite je me suis élançée sur un escalator qui descendait vers les magasins. Ceux-ci étaient si achalandés qu'fis me rappelèrent les fêtes de fin d année qui s’annonçaient chez nous. Ces commerces présentaient un peu de tout ce qui peut procurer de la joie et du bonheur, voire inciter au rêve : bijoux, parfums, produits de beauté, appareils électroménagers, voitures... à 6m prix défier* toute concurrence, f avais à ma portée toutes les opportunités d’achat qui s'offraient à moi. * J’ai mis un terme à ma promenade quand nous avons été invités par La compagnie, à prendre un déjeuner dans un restaurant, sis au sein de [aéroport. Nous avons fait la prière de Djouma, parce que nous étions le vendredi 15 décembre 2007, avant de nous rendre au restaurant
Je n’ai pus m’empêcher de continuer ma découverte après le repas, pendant que certains frères se reposaient sur des sièges, tant fêtais fascinée par l'immensité et la beauté de cette partie de [aéroport Des dattiers artificiels, à la grandeur nature, longeaient des allées. Seules des salles deau et de petites mosquées bien réparties pour hommes et dames nous rappelaient que nous sommes dans une zone à dominante musulmane. Hormis cet aspect ,rien ne nous permettait de dissocier cet espace de ceux qui font la fierté des pays à la pointe de fa technologie.
A16 heures locales, nous avons été invités à remplir les formalités dembarquement à destination de Djedda. Nous avions été rejoints par d autres pèlerins venus de divers horizons: il y avait des pakistanais, des maghrébins , des Indiens... Cependant malgré nos différences nous avions tous les mêmes préoccupations et le même destination : La Mecque
liMocques
Je me suis assoupie pendant ce voyage. Je n’avais pratiquement plus la notion du temps quand nous débarquions à [aéroport de Djedda. Il faisait nuit Un car nous a transporté vers les locaux ou nous allions remplir les formalités dentrée sur le terri-
toire chérifien pour le Hadj.
La première grande surprise de ce voyage exceptionnel se fit avec [arrivée des agents de la police saoudienne, pendant que nous attendions de nous faire enregistrer. Ils nous ont offert, à chacun de nous, une bouteille d’eau. Je me suis dit à cet instant précis que nous sommes bel et bien en terre sainte, en un lieu pas comme les autres. J’étais donc toute heureuse de vivre d’autres surprises. Ce sentiment va être de courte durée. En effet quand nous avons accédé à la grande cour, fêtais un peu perdue. Les pèlerins étaient regroupés,. en fonction de leur pays dorigine avec les drapeaux dressés çà et là pour le préciser, avant de prendre le départ pour Médine, fai été un peu déçue. Létendue des lieux, le vacarme suscité par les voix des pèlerins, les avions qui attérissaient et décollaient, la nuit blanche que je venais de passer, m’ont donné l’impression d’un désordre et suscité en moi une peur de ce que sera la suite. En fait je ne m’imaginais pas ainsi notre accueil à Djedda, bien que nos autorités consulaires étaient présentes.
Nous avons rejoint [espace qui était affecté à notre pays et nous nous y • sommes installés. Des frères du Consulat venus nous accueillir ne nous ont pas quittés. D’aucuns parmi eux étaient heureux de notre arrivée pour effectuer œ Hadj. Ils nous approchaient pour s'enquérir des nouvelles du pays. Ils étaient tous préoccupés par les difficultés et les tractations qui avaient lieu entre Abidjan et Djedda, pour que le gros du Contingent de pèlerins ivoirien arrive d’Abidjan.
Passé ces instants, je regardais autour de moi les autres frères s'acti-
ver. Juste à mes côtés des soeurs se préparaient à dîner au moyen d’un couvert de fortune. J'étais dans un état d’apathie crée par le sommeil. Nos guides s'affairaient pour notre départ sur Médine. Nous avions choisi de prendre l’avion pour éviter d’en rajouter à notre fatigue. Malheureusement il nous fallait encore attendre le lendemain matin parce qu’il n'y avait plus aucun vol à destination de Médine. Il était déjà tard. Nous avons donc été obligés de passer la nuit sous le grand hangar qui nous accueillait Nous nous sommes fabriqués des couchettes de fortune. Dès le premier appel de la prière de Fadjr nous sommes dirigés vers la mosquée. Quelque temps après nous avons été invités à nous préparer à prendre l’avion pour Médine.
Métkit la Males&MNKs
Nous étions exténués quand nous embarquions pour la troisième fois dans un avion pour atteindre notre but Après une trentaine de minutes de vol nous apercevions les premiers reliefs de Médine.
Mon cœur battait la chamade, Je ne pouvais m’imaginer que c’était mol qui vivait ces instants. Je me suis efforçée de me rappeler la formule qui nous avait été apprise et que nous devrions réciter dès la vue des premières maisons de MEDINE. J’étais encore à louer Dieu pour la chance qu’il m'offrait quand l’avion atterrit Laccueil cette fois fut plus calme . Nous étions les seuls à arriver à cet instant précis à [aéroport. Les formalités remplies et nos bagages retirés nous nous sommes installés dans un car qui devait nous conduire à notre hôtel. Je ne m’intéressais pas beau-
coup aux allées et venues des organisateurs. Tout autour de mot était l’objet de curiosité: les agents, les voitures les parkings, les montagnes qui se dressaient fièrement de part et d’autres de la route, le soleil qui brillait très fort...
Quand le car démarra, notre guide nous donnait un avant goût des sites qui ont concourus à la réalisation de la prophétie de notre prophète(Paix et salut soient sur lui) que nous aurons à visiter au cours de notre séjour de Médine.
J'étais un peu hébétée et euphorique pour tout ce que je vivais en même temps.
Les montagnes et les plantations de dattiers défilaient sous nos yeux. Les habitations se faisaient rares. Brusquement nous nous sommes engagés sur une voie plus animée. Je voyais des magasins achalandés et des personnes vaquer à leurs occupations.
Le car déboucha sur une rue très animée bordée de part et d'autre cfim-meubies. Il vint se stabiliser devant l’un deux .Nous étions arrivés à nôtre Hôtel à Médine.
A peine avions nous eu le temps de déposer nos affaires que nous avons
entendu J’appol du muezzin . Nous , à toute vitesse pour accéder les pr&-nous sommes donc précipités à la mières à ce fieu saint mosquée. Le chemin pour y parvenir n’a pas du tout été long. .________________________________.
IAMCSQUEE DE MEDINE UNEDMCEA1AG1DIREDEDIEÜ
J’ai été subjuguée par la vue du Ha ram I je comprends son importance puisque c’est là que repose l’élu de Dieu. Ce grand édifice a vraiment été monté à la gloire de dieu. La dextérité avec laquelle la décoration a été menée, la précision dans le mode d’implantation des pilonnes, la fixation des dômes coulissant, [harmonie des couleurs, la promptitude de ceux affectés à l’entretien de ce haut lieu saint qui ne désemplissait pas en pareille circonstance, sont autant de faits qui m’ont amenés à reconnaître que je n’étais en un lieu différent des autres. La douceur des tapis et leurs couleurs chatoyantes, ne peuvent laisser aucun croyant indifférent Mes journées étaient rythmées par les appels à la prière. C’était d’ailleurs la seule occupation qui nous était recommandée. Il me fallait réussir le pari des 40 prières dans la mosquée. Je ne me rendais même pas compte du temps qui passait.
Le 3ème jour de notre arrivée nous avons fait une sortie qui nous a conduit à Qouba. QOUBa est la première mosquée dont la construction a vu la participation effective de notre prophète. Nous y avons fait une oumra comme cela est indiqué. Le mont ouhoud a été le second site qui nous a accueilli. Il nous y été raconté un des périples du prophète et de ses * compagnons qui y ont péri au cours de la bataille qui porte le nom de la montagne. Nous sommes allés nous recueillir sur les tombes de ceux-ci qui jouxte le mont Ces tombes sont soi-
gneusement gardées en vue de leur Préservation.
La 4èmée journée a été marquée par une des étapes phare du séjour à médine. La visite à la RAOUDA La Raouda est une partie du paradis désignée par notre prophète. Il la situe entre sa chaire de prêche et la chambre de son épouse Aicha.
Cette visite a été époustouflante. Nous avons quitté l’Hôtel depuis 9 heures pour nous y rendre. Ce n’est finalement qu’après la prière de Zburh que nous avons pu y avoir accès. Et après Quels efforts fournis l La foi et l'assistance divine sont à ces moments très perceptibles. Il nous a fallu de la patience et de la persévérance compte tenu du monde qui tente de voir à la fois ce petit espace, dans un laps de temps très court
Comment ne pas être reconnaissant de toute cette grâce que Dieu nous fait ? Rendant que nous attendions que les portes s’ouvrent pour que nous ayons accès à ce fieu, nous avions à nos côtés des dames en voiture aidées de leurs enfants ! Dès que faccès à la Raouda a été offert fai été surprise du remue-ménage que cela a provoqué. J’ai vu des dames courir
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