Islam Info #492

Title

Islam Info #492

Publisher

Islam Info

Date

April 29, 2015

issue

492

number of pages

16

Subject

Aïssatou Kéita Koné

Association des Femmes Musulmanes de Côte d'Ivoire

Abdoul Kader Cissé

Amicale des Anciens de l'AEEMCI

Sayndou Bakayoko

Ligue Islamique des Prédicateurs de Côte d'Ivoire

Extrémisme

Terrorisme

Rights

Rights Holder

Éditions ALIF Islam Info

Language

Français

Source

Frédérick Madore

Contributor

Frédérick Madore

Identifier

iwac-issue-0000666

content

Islam,
3 Votre servie*3*
10 EME ANNIVERSAIRE
N° 492 du Mercredi 29 Avril au Mardi 05 Mai 2015
WPrix : 500 Fcfa Islam
DU ARABA 10 AU TARATA 16 RADJAB 1436H
DATES DES EVENEMENTS ISLAMIQUES(P2)
L’INFORMATION À LA LUMIÈRE DE L’ISLAM
Islam et traditions
Imam Saoud Mouhamed de la Mosquée SOCOCE enseigne..8.
Les actes cultuels à accomplir pendant des jours précis du mois
lauuestionilela trailition
face am traditions anti-islamiques
LES ACTES DE PIÉTÉ P11 DU MOIS DE RAJAB
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SANTE P7
Les bienfaits du jus de citron pour l'organisme
CEREMONIE DE DEDICACE DU LIVRE
Daouda Berté P6 présente les origines de la Tidjaniya en Côte d’Ivoire
REMISE DE DONS A L’HOPITAL PSYCHIATRIQUE P11
Plus de cinq millions de francs en nature
Formation des Imams Le Maroc décidé à être une référence
internationale P12
2
II
Islam Info N° 492 du Mercredi 29 Avril au Mardi 05 Mai 2015-du Araba 10 au Tarata 16 Radjab 1436 H
? OTRE SELECTION
Les citations prophétiques
♦ Aïcha (raa) rapporte: «J'ai entendu le Messager de Dieu (saw) dire: «Le Croyant atteint sûrement par sa bonne moralité et son affabilité le degré de celui qui jeûne toute l'année et passe toutes ses nuits à prier et à évoquer Dieu», (Rapporte par Abou Dawud).
♦ Selon Abou Hourayra (s), le Messager de Dieu (saw) a dit: «Le Croyant qui a la foi la plus parfaite est celui qui a le meilleur caractère. Les meilleurs d'entre vous sont les meilleurs avec leurs femmes», (Rapporte par At tirmidhi).
Proverbes
♦ Quand tu lances la flèche de la vérité, trempe la pointe dans du miel
♦ Ce qu’on fait pour les autres sans les autres, est contre les autres.
A LIRE PROCHAINEMENT
Interview exclusive de...
Berté Daouda, auteur du livre “La Tidjaniya en Côte d’Ivoire de 1850 à nos jours”
DOSSIER
La famille Kolo et Yaya Touré: “Foi, famille et Football”
A ne pas rater!!!
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Quand tout dans la pensée n'est que douleur et regret, Heureux, celui qui sait s'en remettre à Dieu. Quand tout n'est que douleur et peine;
Heureux celui qui sait endurer, patienter encore et encore.
La souffrance mondaine n'est pas éternelle.
Comme la nuit fait place au jour, elle sera remplacée par l'apaisement.
Comme une pluie abondante et rafraichissanté, Sur une terre aride pour le bonheur de ces êtres affamés et assoiffés, Viendra à temps, ton temps de gloire, Où un torrent de bonheur inondera ta vie.
La douce brise de la quiétude due à la
satisfaction après un long moment de privation, balayera tes peines, n'en épargnant aucune aussi minime soit-elle.
Ne t'arrête donc pas maintenant, réaménage ta
monture !
Il y a encore du chemin à faire.
Et regarde à l'horizon, le soleil de l'espoir qui t'invite à ne pas abandonner maintenant ta rude et licite lutte pour la survie...
f *• Le fou
i Un fou marche dans la rue et tombe dans un
1 trou.
J II s'exclame:
i -Merde, comment vais je faire pour sortir [ d'ici?
■ Il réussit tant bien que mal à sortir du trou, 1 court chercher une echelle, la jette dans le J trou, saute dans le trou et remonte grâce à । l'echelle.
J Fier de lui il s'exclame
i -Et ben, heureusement que je ne suis pas 1 complètement fou!
Islam Info N° 492 du Mercredi 29 Avril au Mardi 05 Mai 2015-du Araba 10 au Tarata 16 Radjab 1436 H
3
f Grégorien Hegirien
Mercredi 29 Avril 10 Radjab
Jeudi 30 Avril lamissa 11 Radjab
Vendredi 01 Mai Djouma 12 Radjab
Samedi 02 Mai 13 Radjab
Dimanche 03 Mai 14 Radjab
04 Mai Tenm 15 Radjab
05 Mail Tarata 16 Radjab
RECEVEZ ZAMAN TAARE SUR RADIO TREICHVILLE 93.6 TOUS LES MARDI DE 22H A 00H ET SUR 106.1 TOUS LES JEUDI ET VENDREDI DE 16H A18H AVEC JAH OUSTAZ
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Avec Zaman Taare, Tout Abidjan va crier Haka také
A RADIO ^930
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L 05 20 93 46 J
HEURES DE PRIÈRE
SOUBH: 05h 23
ZOUHR: 13h OO
ASR : 16h OO
MAGHRIB : 18h 30
ICHA 19h 30
Une radio musulmane à Bouaké au service du pays profond
HAPELET
Imam Meité Al Imam
NUMEROS UTILES
Les mérites du mois de Rajab
Le mois de Rajab avec les mois de Chabân et de Ramadhan constitue les mois les plus honorés en Islam. En effet le Prophète (saw) dit : «Le mois de Rajab est le mois béni d’Allah. Aucun mois ne l’égale quant à ses mérites est à son caractère sacré. Sachez que le le mois de Rajab est le mois d’Allah, tout comme le mois de Ch'abân est mon mois et celui de Ramadhan est le mois de ma communauté.. Sachez aussi que celui qui jeûne un jour de Rajab aura obligatoirement l’agrément d’Allah, écartera de lui la Colère d’Allah, et l’une des portes de l’Enfer lui sera fermée.
Selon l’Imam Mûâ Ibn Ja‘far (s) : «Quiconque jeûne un jour du mois de Rajab, l’Enfer s’éloignera de lui de la distance d’un an et celui qui en jeûne trois jours, l’entrée au Paradis lui sera obligatoire ». Il (s) dit aussi : «Rajab est l’un des fleuves du Paradis. C’est un fleuve plus blanc que le lait et plus doux que le miel. Quiconque jeûne un jour du mois de Rajab, Allah le Puissant et Sublime- l’abreuvera de ce fleuve».
Selon l’Imam Ja'far al-Sâdiq (s), le Prophète (saw) dit : «Rajab est le mois d’istighfâr (demande de Pardon à Allah) pour ma Umma. Multipliez-y donc
l’istighfâr, car Allah est Pardonneur et Très-Miséricordieux. Et le mois de Rajab est appelé Rajab al-açab (le verseur ou le déverseur), parce que la Miséricorde y est déversée sur ma Umma à flot.Multipliez-y donc la récitation de la formule : «Astagh-fir-Allâha wa atûbu ilayhi» (J’implore le pardon à Allah et je me repens auprès de Lui»
Sâlim, un compagnon de l’Imam al-Sâdiq témoigne : «Un jour je suis allé chez l’Imam al-Sâdiq (s), alors qu’il ne restait que quelques jours du mois de Rajab. L’Imam (s) m’a regardé et m’a dit : «O Sâlim ! As-tu jeûné quelques jours de ce mois ? » «Non, par Allah, o fils du Messager d’Allah », lui ai-je répondu. «Tu as donc manqué une telle récompense spirituelle que Seul Allah -Le Puissant et le Sublime - en connaît la valeur ! Car c’est un mois qu’Allah a valorisé et dont II a amplifié le caractère sacré. Il a rendu obligatoire l’obtention de Sa Grâce pour ceux qui y jeûnent» m’a-t-il dit. «Je lui ai demandé alors : «O fils du Messager d’Allah ! Et si je jeûne les jours restants, obtiendrais-je la récompense décernée à ceux qui y jeûnent ? » L’Imam (p) dit : «O Sâlim ! Sache que celui qui jeûne un jour de la
fin de ce mois, sera à l’abri des tourments de l’agonie et des tortures de la tombe. Celui qui jeûne deux jours de la fin de ce mois, il obtiendra un laisser passer sur la Çirât (la Voie qui mène u Paradis). Celui qui jeûne trois jours de la fin de ce mois sera à l’abri des terribles épreuves du Jour de la Grande Terreur et obtiendra un relevé d’innocence de l’Enfer. »
Le jeûne pendant ce mois commande beaucoup d’autres récompenses spirituelles. Celui qui ne peut pour une raison ou une autre jeûner pendant ce mois, qu’il récite chaque jour 100 fois le tasbîh (Glorification d’Allah) suivant pour obtenir la récompense décernée au jeûne :
« Subhân-al-llâh-il-Jalîl-i ! Subhâna man lâ yanbaghî-t-tasbîhu illâ lahu ! Subhân-al-a‘azz-ilakram ! Subhân man labis-al-‘izza wa Huwa lahû ahlun »
(Gloire à Allah, le Majestueux ! Gloire à Celui en dehors Duquel personne n’a le droit à la glorification ! Gloire à Allah le Plus-Puissant, le Plus-Noble ! Gloire à Celui Qui se revêt de la Puissance dont Il est tout à fait Digne !)
» SECURITE
POLICE SECOURS
Tél: 111/170
DIRECTION GENERALE DE LA POLICE 20 22 20 30
PREFECTURE DE POLICE
20 21 00 22
DIRECTION DE LA POLICE JUDICIAIRE 20 21 23 00
DIRECTION DE LA POLICE ECONOMIQUE 20 32 51 44
COMMUNIQUE DU COSIM-BOUAKE
IN MEMORIUM
El Hadj Badjawari Touré, président régional du COSIM-Bouaké, informe la communauté musulmane nationale et celle du Gbêkê qu’un terrain de 8.000 m2 a été acquis au quartier Commerce de Bouaké pour la construction de la première mosquée dudit quartier. Le comité de pilotage mis sur pied pour la réalisation de cette oeuvre hautement religieuse se tient à votre disposition pour les dons en espèce et en nature que vous voudrez bien apporter.
1) Personnes à contacter : Imam Mahamoud Sylla : 08 88 87 21 El Hadj Moussa Coulibaly : 08 17 34 04
2) Compte bancaire :
BHCI- Bouaké N° 17 03 687 0004 41
25 Avril 2003-25 Avril 2015
Voilà douze ans qu’il a plu a ALLAH de rappeller à Lui son serviteur
Meité Mamadou dit Mouandou Fiman.
A l’occasion de ce jour anniversaire de son rappel à ALLAH les grandes familles Meité; Sanogo et alliés à Sifié ; Dioulassoba et Abidjan, ses Enfants Mme coulibaly née Meité Aminata époux et enfants ; Meité Mohammed épouse et enfants; Meité Mariame; Meite ibrahim; Meité Ismael ; Meité Nohossan et Meité Fatoumata prient tous ceux qui l’on connu et aimé d’avoir une pensé pieuse pour lui.
Qu’ALLAH lui fasse miséricorde AMINE.
» DEFENSE
POMPIERS
Tél: 180
POMPIERS INDENIE
Tél: 20 21 12 89
POMPIERS YOPOUGON
Tél: 23 45 16 90
POMPIERS ZONE 4
Tél: 21 35 73 65
POMPIER DE YAMOUSSOUKRO
Tél: 30 64 11 00/ 30 64 42 12
COMMANDEMENT SUPERIEUR DE LA GENDARMERIE
Tél: 20 25 70 00
>AEROPORT
AEROPORT FELIX HOUPHOUET BOIGNY
Tél: 21 75 79 01 /
21 75 79 02
4
Islam Info N° 492 du Mercredi 29 Avril au Mardi 05 Mai 2015-du Araba 10 au Tarata 16 Radjab 1436 H
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Vie et Spiritualité
burate de la semaine Abou Ismaël
| Gestions-Réponses
Abou Ismaël
SOÙRATOU-DH-DHÂRIYÂT-N°51-(QUI ÉPARPILLENT)
TRANSCRIPTION: 49 A 50
TRADUCTION : 49 A 50
V49: Wa Mine Koulli chay'ine Khalaqnâ Zawjayni La'allakoum Tadhakkaroûna
V.50: Fafirroû ilâ Allâhi 'Innî Lakoum Minhou Nadhîroun Moubînoun
V.49: Et de toute chose Nous avons
créé [deux éléments]: de couple. Peut-être vous rappellerez-vous?
V.50: "Fuyez donc vers Allah. Moi, je suis pour vous de Sa part, un avertisseur explicite. a suivre...
adith de la semaine Abou Ismaël
Le Prophète (SAW) dit : «Le meilleur jihad est celui que l’on mène contre soi-même. » (Boukhari)
^ ^b saviez-vous ?
Abou Ismaël
Histoire de la Mecque (vue de l'occident] (suite!
Pendant les premiers siècles de l'hégire, l'autorité des califes domine à La Mecque, malgré quelques soulèvements (siège et prise de la ville par Al-Hadjdjâdj, 692). En 930, elle est dévastée par les Karmathes qui y commettent toutes sortes d'excès. Peu à peu cependant l'influence des chérifs se fortifie au détriment du pouvoir central duquel ils finissent par se rendre presque entièrement indépendants. Néanmoins les Fâtimites, les sultans mamelouks et après eux les sultans d'Istanbul furent reconnus comme suzerains, et, depuis les conquêtes de Selim 1er (1517), les chérifs ont gouverné au nom de la Sublime-Porte ( Le siècle de Soliman ). En 1803, les Wahhâbites s'emparent de La Mecque d'où ils sont chassés dix ans plus tard par l'armée de Méhémet-Ali. Dès ce moment la puissance des chérifs ne cesse de diminuer; en 1840, la Porte envoie un gouverneur (vali) qui, jusqu'à la chute de l'empire ottoman , eut à lutter contre leur hostilité; à la place de leur gouvernement personnel,
tyrannique et capricieux, Istanbul s'efforça d'installer une
administration régulière. Les chérifs cependant jouissaient encore d'une grande influence sur les Bédouins. La haine qu'ils nourrissaient contre les Turcs fut d'ailleurs exploitée par les Occidentaux. Dès le milieu du XIXe siècle, l'Anglais Richard Burton écrivait déjà :
« Il n'est pas besoin de la clairvoyance d'un prophète pour prévoir le jour où la nécessité politique nous obligera à nous emparer de la source de l'Islam. » L'activité déployée dans la région au début du XXe siècle par les agents de la Grande-Bretagne (T. E. Lawrence, notamment) s'inscrivait encore dans cette perspective. L'indépendance du Hidjâz en 1916, avec la Mecque pour capitale, puis son absorption (entre 1924 et 1932) par l'État féodal, d'inspiration wahhabite , fondé par Ibn Saoud en Arabie, et enfin les traités conclus à partir de 1927 par les Occidentaux ont sans doute permis à ces derniers de réaliser une partie de leurs ambitions. Le caractère ultra-religieux de l'État a cependant consacré la
fermeture de la première ville sainte de l'Islam . A la fin du XIXe siècle, seulement une quinzaine d'Européens avaient visité La Mecque sous le déguisement de pèlerin. L'Italien L. Bartema (1508) , puis l'Espagnol Badia (Ali Bey), le SuisseBurckhardt, le Français Roches, les Anglais Burton, Keane, le Hollandais Snouck-Hurgronje, sont les principaux voyageurs qui l'ont fait connaître en Occident. Le dernier, qui put y passer six mois (1885), en a publié une excellente description topographique, historique et sociale, accompagnée
de deux atlas de photographies. Au XXesiècle, des reportages et des documentaires audiovisuels l'ont
également fait encore mieux connaître. Mais la Mecque reste aujourd'hui une ville au statut très spécial. Interdite au non-musulmans (dans un périmètre en forme de losange d'une dizaine de kilomètres de long, centré sur la Kaaba ), et à l'accès aux musulmans eux-mêmes très surveillé. (-•)•
(Source :L. Leriche).
Question : Je regardais la télévision avec mon épouse quand nous avons entendu quelqu'un tenir un propos comparable au dhzihar (assimilation de son épouse à sa mère). Mon épouse m'a dit: «En religion, il y a quelque chose qu'on appelle dhzihar. C'est comme si tu me disais: pour moi, tu es comme ma mère. Cela a une définition et une expiation.» A l'époque, je ne connaissais pas le mot dhzihar et n'en comprenais pas le sens. Quand mon épouse m'en a parlé, je ne la croyais pas et j'allais lui répéter: «pour moi, tu es comme ma mère» mais avant de terminer la phrase, ma mère apparut. A cet instant, j'ai pensé que les propos de mon épouse pouvaient être vrais et qu'il y avait réellement quelque chose qu'on appelle dhzihar et qui est punie par la loi. J'ai eu peur et je ne savais plus que faire. Puis, sans hésitation, la phrase s'échappa de ma bouche et je dis: pour moi, tu es comme ma mère. Si je t'adressais cette phrase, aurais-je commis un interdit?-Elle répondit : oui. Est-ce vrai que j'ai commis un interdit?
Réponse : Louanges à Allah. Premièrement, il convient au musulman qui veut entreprendre un acte ou s'engager dans une transaction de connaître parfaitement les dispositions religieuses correspondantes. C'est le cas de la connaissance des dispositions régissant le mariage et le divorce pour celui qui envisage de se marier, et la connaissance des dispositions afférentes à la vente pour celui qui veut faire du commerce ,etc.
femme sans l'exprimer n'a aucun effet.
Toutefois al-Khattabi a raconté que Zouhri et Malick soutenaient que la seule détermination (à faire) équivaut à l'accomplissement de l'acte. Ibn al-Arabi l'a raconté d'après Ashab d'après Malick à propos de la
serait pas effective, même s'il avait l'intention de la rendre effective car il n'est pas courant de supprimer deux
lettres concluant Extrait
d'une phrase un discours.» d'al-Bahr ar-
répudiation,
de
^-dossaire Le terme « Amil n Abou Ismaël
Le mot amil veut dire Agent .A l'époque du Prophète Mohammad (bsdl), ce terme désigne le collecteur de l'impôt des musulmans et du tribut des non-musulmans. Jusqu'au Xe s. (Ille s.H), il désigne le gouverneur de province, puis le collecteur des impôts. Sous les Ottomans, c'est le fermier général, et le collecteur d'impôts dans les provinces.
Deuxièmement, ni la répudiation ni le dhzihar ne deviennent effectifs sans que l'époux ne prononce les expressions correspondantes ou leurs équivalents. A ce propos, Al-Ayni (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) dans Oumdatoul Qari
(30/120):
«Aucune
divergence de vues n'existe à propos de l'idée selon laquelle le seul fait de nourrir l'intention de répudier sa
l'affranchissement et du vœu. Pour eux, il suffit dans ces cas d'avoir la détermination et se résoudre à effectuer les actes en question.
Ce qui est bien exclut. Al-Khattabi l'a rejeté en prenant l'exemple du dhzihar pour dire que tout le monde est d'avis que si quelqu'un se décidait à y procéder sans le prononcer, il ne serait pas effectif et que le seul fait de penser à la diffamation n'est pas une diffamation et que le fait de se parlait en pleine prière ne nécessite pas la reprise de la prière. Pourtant Allah a interdit le fait de parler pendant la prière. Si le fait de se parler était comparable au fait d'adresser la parole à quelqu'un, la prière de celui qui se parle serait caduque.» Les ulémas de la Commission Permanente ont dit:« La répudiation n'est effective que quand on l'exprime directement ou indirectement. La seule intention de le faire et le fait de se le dire ne la rendent pas effective car le Prophète (Bénédiction et salut soient sur lui) dit: «Certes, Allah pardonne aux membres de ma communauté ce qu'ils se disent en eux-mêmes aussi long temps qu'ils ne l'exprimeront pas ou le traduiront en actes.» (Rapporté par al-Bokhari et Mouslim) Extrait des Fatwa de la Commission Permanente -20/211 ). (....). Troisièmement, si quelqu'un dit à son épouse: tu es rép.. et s'arrête sans terminer la phrase ou : pour moi, tu est comme... et s'arrête sans compléter la phrase, il encourrait rien.
Ibn Noudjaym (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) dit:« S'il supprimais les lettres lam et qaaf du mot taaliq (répudiée) et se contentait de dire taa et s'arrêtait ou voyait quelqu'un lui fermer la bouche, la répudiation ne
Raiq(3/274). Les règles de l'usage du style elliptique (en matière de droit) comprennent des détails à chercher dans les ouvrages de droit musulman.
Quatrièmement, tes propos devant ta femme:« pour moi, tu es comme ma mère. Si j'entendais te l'adresser , commettrais-je un interdit?» ne vous exposent à rien du tout. Car , apparemment, vous entendez dire: si cette phrase t'était adressée, tu me serais interdite. Ce qui parait comme une vaine plaisanterie car il est bien connu que si tu entendais faire du dhzihar, elle vous deviendrait interdite.
Cette explication suppose qu'on se soit exprimé comme indiqué dans le cadre d'une interrogation. En effet, quand on évoque la répudiation et le dhzihar dans un discours adressé à son épouse dans le cadre d'une explication, d'une clarification, d'une interrogation pour mieux comprendre ou d'une narration sans entendre rendre la répudiation ou le dhzihar effectifs, on n'encourt rien. (.)..
Cinquièmement, le dhzihar est prohibée car il repose sur un faux propos comme le Très-haut le dit:« Ceux d'entre vous qui répudient leurs femmes, en déclarant qu'elles sont pour eux comme le dos de leurs mères... alors qu'elles ne sont nullement leurs mères, car ils n'ont pour mères que celles qui les ont enfantés. Ils prononcent certes une parole blâmable et mensongère. Allah cependant est Indulgent
et
Pardonneur.»
(Coran,58:2). Il n'est pas permis de commettre le dhzihar contre sa femme ni sous une forme définitive ni sous une forme suspendue. Celui qui le fait doit se repentir et procéder à un acte expiatoire. (.)..
Allah Très-haut le sait mieux. (Source : Islam Q&A).
I *oua de la semaine Abou Ismaël
(225120 37 47 85 /20 37 50 78
IIIWWHMIN1 Mlll X flllllfS'. W
En entrant dans la mosquée, le musulman dit :
«Bismillâh waççalâtou was salâmou 'alâ rassoulillâh, Allâhoummaghfir-lî dhounoubî waftah-lî abwâba rahmatik”
Traduction : «Au nom de Dieu, que le penchant divin et la paix soient sur l'Envoyé de Dieu! O Allâh, pardonne-moi mes péchés et ouvre-moi le portes de Ta miséricorde”.
Islam Info N° 492 du Mercredi 29 Avril au Mardi 05 Mai 2015-du Araba 10 au Tarata 16 Radjab 1436 H
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BINGERVILLE J
IE DE LA COMMUNAUTE
REMISE DE DONS A L’HOPITAL PSYCHIATRIQUE —
Plus de 5 millions de francs en nature
Le cabinet de l’Amicale des Anciens de l’AEEMCI (3A) a procédé à la remise de dons à l’hôpital psychiatrique de Bingerville. L’enceinte dudit hôpital a servi de cadre à cette cérémonie, le Samedi 18 Avril 2015.
NUMEROS UTILES
10 lits, un appareil d’ECG, des médicaments anti dépresseurs, sont la constitution du don des 3Aen faveur des malades du centre psychiatrique de Bingerville. Cette remise est la concrétisation de la levée de fonds effectués lors du diner gala de bienfaisance des 3A, le 13 décembre 2014. Se sont plus de 5.000.000 FCFA qui ont été récoltés à cet effet. Pour le président du Conseil d’administration des 3A, Cissé abdul Kader, ce geste est un signe d’obéissance à Allah qui recommande de faire du bien. Et en dehors de
cet acte financier, c’est une manière d’apporter de la chaleur humaine parce que dit-il, "la pire des choses qui puissent arriver à un malade, est l’oubli”. D’autant plus que le directeur par intérim du centre d’accueil, Deka Paulin dit "nous sommes tous des potentiels malades” alors "tâchons de ne pas oublier l’hôpital de Bingerville” renchérit le président des 3A Sayndou Bakayoko. Dans la même lancée, le député de Bingerville, Soumahoro Adama soutient ces propos en disant " le premier médicament d’un malade est
la présence de sa famille. Le président Sayndou n’a pas manqué de l’occasion pour adresser de vifs remerciements aux personnes qui, par des achats lors de la vente aux enchères, ont permis de rassembler cette somme. En guise de remerciements symboliques, des tableaux ont été remis aux donateurs qui ont contribué en hauteur d’un montant minimum de 500.000 FCFA. Pour finir la cérémonie en beauté, une visite guidée de l’hôpital a été initiée afin de faire l’état des lieux de l’édifice.
Remise de don symbolique au directeur de l’hôpital
SOS, L’HOPITAL PSYCHIATRIQUE DE BINGERVILLE, SE MEURT
Peinture dégradée par endroit, porte pendante à l’entrée du 1er bâtiment, des salles vidées de leur monde, sont le visage peu reluisant que présente le centre d’accueil des ” malades mentaux” de Bingerville. Edifice, existant depuis 1962, avec une capacité de 160 personnes dans le temps. Nombre quelque peu réduit, faute de salles adéquates et de lits pour accueillir les personnes dans le besoin. L’hôpital enregistre aujourd’hui environ 60 malades. Et pourtant, elle reste l’une des plus prisée dans la sous région. Sur 3 bâtiments, 2 ont changé de vêtements®, tronquant ainsi le bleu et blanc pâles pour les mêmes couleurs mais en plus gais. Grâce au programme PPU, les femmes peuvent se réjouir d’avoir de quoi s’abriter même si le problème de lits demeure. Qu’en est-il des hommes ? Et ces 1000 malades qui lancent un cri de cœur à l’hôpital chaque année ?
Population, ONG, Etat, vous êtes tous interpellés.
COCODY
SEANCE DE REMERCIEMENT
L’AFEMCI remercie L ONG KIMSE YOK MU
L’Association des Femmes Musulmanes de Côte d’Ivoire (AFEMCI) a reçu le responsable de l’ONG KIMSE YOK MU. C’était le vendredi 24 Avril 2015 au domicile de la présidente sis à Cocody.
Cette rencontre s’inscrit dans le processus des activités de dons de l’ONG KIMSE YOK MU aux populations démunies. Les périodes de jeûne et de tabaski de l’année 2014 ont enregistré de nombreux dons en nature. Ces vivres constitués essentiellement de denrées alimentaires ont été réceptionnés et redistribués par l’AFEMCI aux populations ciblées dans la commune d’Abobo. La présidente de l’AFEMCI hadja Koné Aïssatou a fait une présentation de sa structure, " l’AFEMCI est la première association des femmes musulmanes de Côte d’Ivoire et j’ai été élu le 23 Août 2014”. Elle
a ensuite adressé des remerciements à l’ONG KIMSE YOK MU au travers d’un film initiée à cet effet. Cet enregistrement c’est fait en présence d’Ibrahim Eskikurt correspondant de l’ONG en Côte d’Ivoire, hadja Koné n’a pas manqué de solliciter un partenariat avec l’ONG en vue de soulager les personnes dans le besoin. Pour soutenir cette doléance elle dira ” nous sommes à la veille du mois de ramadan je souhaiterais que l’ONG nous vienne en aide et que nous puissions élargir cette distribution”. La rencontre s’est achevée par une séance de photo de famille.
La présidente Adja Koné avec les membres de son bueau et le correpondant de l'ONG KIMSE YOK MU
I SANTE ABIDJAN ET INTERIEUR
CHU DE COCODY-Abidjan .
Tél: 22 44 90 00/
22 44 90 38
CHU DETREICHVILLE-
Abidjan.
Tél: 21 25 65 70/
21 24 91 22
Fax: 23 46 67 27
CHU DE YOPOUGON - Abidjan
Abidjan 21 BP 632 Abidjan Tél: 23 46 64 54/
23 46 61 70
HOPITAL DE PORT BOUET-
AbidjanTél: 21 27 85 00
CENTRE NATIONAL ANTITUBERCULEUX
Adjamé à côté de l'INSP 01
BP v 123 Abidjan
Tél: 20 37 94 26
MEDECINS D'URGENCES -
Abidjan
Tél: 07 08 26 26
SAMU-Abidjan
06 P 2546
Tél: 22 44 34 15
SOS MEDECINS-Abidjan
Tél: 22 44 53 53
CROIX ROUGE-Abidjan
Tél: 20 3213 35
CROIX BLEUE-Abidjan
Tél: 20 37 00 53
REANIMATION
186
SAMU
Tél: 185/22 44 34 15
SIDA DIRECT
Tél: 20 33 14 68
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Ma
£ DE LA COMMUNAUTE
ÇOCODY^
DEDICACE DU LIVRE “LATIDJANIYYA EN COTE D’IVOIRE : DE 1850 A NOS JOURS”
Daouda Berté présente les origines de la Tidianiya en Côte d’iuoire
"La Tidjaniya en Côte d’Ivoire de 1850 à nos jours”, est l’intitulé du tout premier ouvrage de fauteur Daouda Berté, talibé du Cheick Sonta Moustapha (Khalife Général des Tidjanis en Côte d’Ivoire). Cette œuvre littérature au sens spirituel a été dédicacée le jeudi 14 mars 2015 à la fondation Amadou Hampaté Ba à Cocody Danga en présence de nombreuses personnalités politiques, littéraires ainsi que leaders et dignitaires musulmans.
Communément appelés “les hommes en chapelet”, les adeptes de la tariqa tidjania seraient perçus comme les partisans du moindre effort. Le chapelet est donc incompatible avec le travail. Ce préjugé alimenté par certains détracteurs, est battu en brèche par la vie des précurseurs en Côte d’Ivoire. Cette vérité établie, l’ouvrage permet au lecteur de mieux appréhender les origines, les buts et l’approche pédagogique de cette voie, fidèle aux recommandations de celui que le Très Haut présente comme le modèle parfait, Seydina Mouhammad (saw). El Hadj Daouda Berté à travers cette oeuvre, présente une autre facette de la pénétration de l’Islam en Côte d’Ivoire. Bien qu’une simple présentation, l’auteur initié à la
tidjaniya, a fait des investigations auprès des grandes familles spirituelles de cette voie et montrant par la suite leur implication dans tous les domaines de la vie active. Mais, il ressort que tous ses grands hommes de cette voix ont un seul but, être des amis de Dieu et de son Prophète (saw). En parcourant cet ouvrage, le lecteur se rend compte que ces hommes de Dieu avaient le monopole des activités économiques et agricoles. Mais, ils n’avaient aucun intérêt pour toutes ces richesses qui ne servaient que pour l’entretien de la zawiya et des adeptes. Cet ouvrage écrit dans un style simple et digeste fait voyager le lecteur tout en le faisant découvrir des hommes de foi qui ont marqué l’histoire de la Côte
compréhension. Car, l’auteur a su choisi le vocabulaire pour permettre aux uns et autres d’apprécier l’immense travail qui a été fait par la tidjaniya en Côte d’Ivoire. in lbf
PORTRAIT; m. Daouda Berté, l’investigateur de la Tidjaniya ivoirien
Un homme au parcours particulier ou initiatique, Daouda Berté est un historien géographe à la base, qui s’est orienté dans le domaine de l’économie, sanctionné par un Diplôme d’Etude Supérieur Spécialisé en Audit au CESAG à Dakar. Mais, cet intellectuel a été toujours animé d’un
amour exceptionnel par la recherche de la voie le mènerait à son Créateur. Il la trouva enfin : la Tariqa Tidjania avec la rencontre de celui qui deviendra son maître, Cheick Moustapha Sonta (Khalife Général des Tidjanis en Côte d’Ivoire) ce qui l’aida à trouver un épanouissement spirituel. Ainsi, l’auditeur mettra son sens de la prospection au
ses précurseurs en Côte d’Ivoire et les origines de cette voie où son destin l’a conduit.
In LBF
COMMUNIQUE DU CONSEIL SUPERIEUR DES IMAMS
d’Ivoire à travers leur éducation, formation et comportement sans oublier l’amour farouche pour le Prophète Mouhammad (saw), le Grand maître de la Tidjaniya. Aucune difficulté de
service de sa tariqa, investira les lieux et les familles qui permettront de lever le voile sur les nobles actions de
Le Conseil Supérieur des Imams en Côte d’Ivoire, en sa séance du Mardi 19 août 2014, a statué sur la situation de l’évolution de la fièvre à virus Ebola dans notre sous-région. Situation qu’elle suit avec beaucoup de prières et de lecture de Coran à travers tout le pays.
Aussi, en appui aux dispositions gouvernementales de lutte contre les risques de propagation de la fièvre à virus EBOLA et, conformément aux préceptes du Coran et aux pratiques du Prophète de l’Islam ; le Conseil Supérieur des Imams en Côte d’Ivoire demande à tous les fidèles musulmans, aux responsables des mosquées et aux communautés, d’observer et faire respecter les recommandations additionnelles suivantes :
1. LES MOSQUEES
A. Environnement des mosquées
Il faut procéder au nettoyage systématique quotidien de l'entourage et de l'intérieur de nos mosquées.
B. L’intérieur des mosquées
Les tapis et les nattes doivent subir un lavage à grande eau et d'eau de javel au moins une fois par mois.
C. Les lieux des ablutions
Ces lieux doivent être nettoyés au moins cinq fois par jour et maintenus secs en permanence. Il faut prévoir au sortir des toilettes et sur les lieux des ablutions, des coffrets à savonnettes ou savons en poudre pour se nettoyer les mains avant et après les ablutions.
2. LES CEREMONIES FUNERAIRES
La manipulation des corps, le lavage rituel et l'enterrement doivent certes respecter les rites islamiques, mais aussi les principes hygiéniques stricts dans le contexte particulier d'une maladie terriblement contagieuse comme celle de la fièvre à virus EBOLA.
CINQ DISPOSITIONS GENERALES
5.1 Création de points focaux d'informations dans chaque Mosquée.
5.2 Rappel systématique avant et après chaque prière, des dispositions nationales et communautaires en vigueur.
5.3 Disposition dans la cour de la Mosquée, de bornes pour le lavage des mains avant et après les prières.
5.4 Affichage des numéros verts et des numéros des hôpitaux du quartier.
5.5 Appel à la générosité des musulmans pour les produits de nettoyage des Mosquées, à travers une opération dénommée : "un fidèle, un sachet de savon et une bouteille d'eau de javel par mois".
Le COSIM compte sur votre esprit de discipline et de solidarité dans cette situation spéciale que traverse la sous-région.
Que le SEIGNEUR TOUT PUISSANT NOUS PROTEGE TOUS. AMINE !
FAIT A ABIDJAN, LE MARDI 19-08-14
LE CHEICK AIMA BOIKARY
FOFANA.
CONSEIL SUPERIEUR DES IMAMS EN CÔTE D’IVOIRE
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NTE
Cissé A
ADRESSES UTILES
Les bienfaits du jus de citron pour l'organisme
La nature ne cessera de nous étonner à travers ses vertus thérapeutiques miraculeuses. Les êtres y ont eu toujours recours, car leur survie sur terre en dépend. Plusieurs espèces de cette nature sont utilisées par la phytothérapie, d'une part dans le traitement des maladies bactériennes telles : (la tuberculose, le tétanos, la lèpre...) , virales (le VIH/SIDA, le cancer du col de l'utérus, la rage...) ou parasitaires ( le paludisme, la bilharziose, la gale...), mais aussi dans la médecine esthétique. Dans le cas de l'obésité, en plus d'autres médicaments, certains patients préfèrent un traitement par le régime du citron. Quelles sont donc les qualités, les vertus curatives et la précaution d'usage de ce fruit ?
Ses vertus minceur
Attention, le propos n'est pas ici de présenter un énième régime miracle mais simplement de mettre en lumière les vertus détoxifiantes du citron pour, éventuellement, vous inciter à l'intégrer à votre alimentation. L'intérêt du citron est qu'il stimule les fonctions digestives et détoxifiantes de l'organisme. Or, le bon fonctionnement de l'appareil digestif est capital, tant pour la santé que pour la ligne. Le meilleur moyen pour mincir et garder sa ligne est, certes, d'avoir une alimentation variée, mais aussi d'éliminer les toxines et de conserver des fonctions stomacales (de l’estomac) et hépatiques (du foie) correctes. En cela, le citron est un allié de choix.
En cause : la digestion
On le sait, les causes les plus courantes de prise de poids sont l'excès de nourriture et le manque d'exercices physiques. Mais il peut aussi s'agir d'une mauvaise digestion. Celle-ci est en effet connue
pour gêner l'élimination des graisses. D'où une accumulation de toxines qui engendre non seulement un ralentissement du métabolisme, mais aussi un état apathique qui rend d'autant plus difficile la perte de poids. Or, d'un bon fonctionnement digestif dépend l'absorption correcte des nutriments contenus dans l'alimentation.
Une aide pour le foie et l'estomac D'une part, le citron stimule la sécrétion de salive et de sucs gastriques. Absorbé au lever, il agit sur le foie dont il active la sécrétion de bile et qu'il prépare à digérer les aliments à venir. Il est aussi une aide précieuse pour l'estomac en raison de sa forte teneur en acide citrique qui, associé à d'autres substances acides, stimule la sécrétion de sucs stomacaux, dégradant les protéines du bol alimentaire. Quelques gouttes de citron sur vos viandes, œufs et légumes secs permettent ainsi d'en faciliter la digestion. Enfin, si le jus de citron améliore la digestion, il limite aussi
les effets du dernier repas sur le taux de sucre sanguin, la glycémie. Or, la stabilité de ce taux est capitale pour perdre du poids.
Ses vertus curatives
Le citron sert depuis des siècles à soigner de multiples maux. Le scorbut, lors de longues traversées. Dès l'Antiquité, les Egyptiens utilisaient sa pulpe et son jus pour lutter contre les effets de divers poisons. A raison, puisque des recherches ont pu, depuis, corroborer cette croyance. Sa teneur élevée en vitamine C contribue grandement à renforcer les défenses immunitaires, indispensables pour prévenir les maladies. C'est pourquoi, il est recommandé de boire du jus de citron le matin à jeun. Ses propriétés antibactériennes et antivirales ont également été démontrées. En effet, il regorge des substances réputées pour combattre les infections : acide citrique, vitamine C, magnésium, calcium, pectine, bioflavonoïdes, limonène.
Quelques astuces extraites du "Régime citron"
Quand vous sentez que votre système immunitaire faiblit, mangez un citron ou buvez quelques verres de jus dilué dans de l'eau.»
Rétention d'eau : boire de l'eau coupée de jus de citron, chaque matin, l'estomac vide, est un remède contre la rétention d'eau.» Cellulite : l'huile essentielle de citron a la propriété de renforcer les tissus et notamment ceux qui, affaiblis, sont touchés par la cellulite. Matin et soir, massez les parties concernées avec un mélange de quelques gouttes d'huile essentielle de citron et d'une cuillérée à soupe d'huile de jojoba.» Troubles digestifs : buvez après chaque repas un verre d'eau tiède additionné du jus d'un citron fraîchement pressé. Il stimulera la production d'acides digestifs et l'activité des muscles de l'estomac.
Attention à l’emploi abusif du Citron
Les réponses avec Jean-Claude Secondé, ostéopathe et phytothérapeute :
"Je ne partage pas du tout la mode du jus de citron. Par définition, une mode ne dure jamais. On fait des essais...
Il faut faire attention avec le citron, il ne faut pas saturer l'organisme en acide. Prendre tous les matins un jus de citron plus un jus de pamplemousse voire même une orange en plus, c'est beaucoup trop.
“Pour les personnes constipées, cela peut éventuellement les dépanner mais sur le plan général, il ne faut pas consommer le citron de façon abusive”
Santé.com
I Associations Musulmanes en Côte d’Ivoire
ADICI (Association pour le Développement de l’Islam en Côte d’Ivoire)
Tél : 05 79 72 73
11 Bp 152ABJ 11
AFMCI (Association des Femmes musulmanes de Côte d’Ivoire)
Tél : 23 46 00 13/ 05 41 73 13
AJMT (Association des Jeunes Musulmans de
Treichville)
Tél: 07 34 27 01 /21 37 16 66
05 BP 2119 ABJ 05
AJMCI (Association des Jeunes Musulmans en Côte d’Ivoire)
Tél : 09 02 80 76 / 21 25 35 15
SMCI (Scouts Musulmans de Côte d’Ivoire)
Tél : 07 36 59 60
AEEMCI (Association des Elèves et Etudiants de Côte d’Ivoire)
Tél : 22 43 47 58
08 BP 2446 ABJ 08
AJCOMCI
(Association des journalistes et Communicateurs Musulmans de Côte d’Ivoire)
Tél : 09 02 80 76 / 21 25 35 15
ASSOCIATION DES JEUNES TIDJANI EN Cl
Tél : 05 71 29 81
AMPECI (Association Musulmane du Personnel Enseignant de Côte d’Ivoire) Tél : 07 62 46 86 / 24 49 72 15
AMSCI (Association des Musulmans Sunnites de Côte d’Ivoire)
Tél : 20 37 26 53
CHAMCI
(Club des Hommes d’Affaires Musulmans de Côte d’Ivoire) Tél : 22 52 51 17/ 45 02 72 08
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“ISLAM ET TRADITION”
INTERVIEW DE ... Imam Saoud Mouhamed Al Hassan (Imam de la Mosquée SOCOCE des Deux-Plateaux)
{(Dieu a envoyé llslam pour nous débarrasser des traditions inutiles de nos ancêtres»
Le concept de «tradition» est au centre de nombreux débats surtout lorsqu’il s’agit de l’application des valeurs cardinales de la religion islamique. Dans l’optique de lever tous les préjugés sur la question. Islam Info a sollicité l’imam Saoud Mouhamed Al Hassan de la Mosquée SOCOCE des Deux-Plateaux. Dans une interview, il nous édifie sur les différents rapports qui pourraient existés entre l’Islam et la tradition.
Imam Saoud: «Le bon musulman doit laisser les mauvaises pratiques ancestrales à cause de Dieu. »
Qu’est-ce que la tradition ?
C’est l’ensemble des pratiques culturelles propres à un groupe ethnique, tribal, d’un pays ou d’un continent. En d’autres termes, la tradition désigne la transmission continue d'un contenu culturel à travers l'histoire depuis un événement fondateur ou un passé immémorial. Cet héritage immatériel peut constituer le vecteur d'identité d'une communauté humaine. Dans son sens absolu, la tradition est une mémoire ou une conscience collective. C’est le souvenir d’une pratique ancestrale. La tradition peut désigner une
pratique religieuse symbolique et particulière. Le Tout-Puissant, Souverain des Mondes a envoyé l’Islam pour nous débarrasser des traditions inutiles de nos ancêtres. A l’époque à la Mecque, le roi Abou Soufiane accordait plus d’importance aux multiples idoles parce que ceux-ci lui rapportaient de l’argent.
Est-ce qu’il existe une variété de traditions ?
Oui, il existe toute une variété de traditions. Et l’Islam n’a pas refusé toutes les traditions puisque les ancêtres étaient des ignorants. Mais, procède à un filtrage pour recueillir ce qui est bon et
déconseiller ce qui n’est pas bon. Le Prophète (saw) a dit : « un ignorant, c’est comme quelqu’un qui joue à la loterie. Il peut aimer ce qui n’est pas bien ; comme il peut aimer ce qui est bien sans les connaître ». Chez nous par exemple, la polygamie est autorisée. Alors que la polygamie existait avant l’Islam.
Est-ce que l’Islam a adopté des cultures qui existaient avant elle ? Et si on prend le cas de la polygamie par exemple ?
Je confirme que la polygamie existait avant l’Islam. Par exemple, le père des croyants, le Prophète Ibrahim (AS) avait deux femmes. Les rois Souleymane (AS), Daouda (AS) étaient polygames. Tous ces Prophètes ont vécu avant l’ère du Prophète Mouhammad (saw). Comme ceux d’avant avaient des nombres plus élevés, il fallait diminuer le nombre de femmes par homme. Le Messager Rassoul (saw) était aussi polygame. Le Coran permet au musulman de marier jusqu’à quatre femmes au maximum. « ... Il est permis d’épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n’être pas justes avec celles-ci, alors une seule... » (S 4 V 3) Il y a cependant des préalables pour marier quatre femmes, à savoir avoir les moyens moral, physique et financier. Donc, il y a des cultures qui existaient avant l’Islam et qu’il n’a pas
refusées.
Qu’est-ce-qui est à l’origine de cette variété de traditions ?
Quand Allah a créé le monde, Il a créé plusieurs espèces dont l’Homme. Et parmi les hommes, il existe une variété de races et d’ethnies. Ces hommes ont des cultures différentes en fonction de leur situation géographique. En Afrique par exemple, les tenues traditionnelles conforment aux recommandations divines, ne sont pas interdites en Islam. Sauf, les bijoux en or et d’autres matériaux précieux. Nous devons délaisser tout ce que l’Islam a interdit. On ne peut pas aimer nos ancêtres plus que Dieu, les enseignements de notre Prophète Mouhammad (saw). Le Coran dit dans la sourate 49 verset 13 : « O hommes! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entreconnaissiez. Le plus noble d’entre vous, auprès d’Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand Connaisseur. »
Est-ce qu’il existe un conflit de traditions ?
Oui ! Mais, l’Islam a sa logique. C’est comme une locomotive qui bouge avec plusieurs wagons. Les wagons qui sont prêts à suivre la locomotive, seront considérés comme alliés. Le bon musulman doit laisser les mauvaises pratiques ancestrales à cause de Dieu. Les
«L'Islam est une religion complète et achevée. Tout ce qui est autorisé en Islam est bon. Et certaines traditions prônent le bien. Donc, il y aura forcément compatibilité entre les traditions islamiques et bien d'autres traditions»
savants musulmans ont écrit sur les choses autorisées et les blâmables. Il ne faut pas rester aveuglement attaché aux cultures de nos ancêtres. C’est le cas de l’oncle du Prophète Abdoul Moutalib qui a refusé l’Islam à cause de la honte. Laisser la culture de ses ancêtres et suivre un fils, pour lui, c’est faire une faute. Ce qu’il ne savait pas, c’est que Dieu est au-dessus de tout. Il doit savoir que le Paradis et l’Enfer sont une réalité.
Que nous enseigne le Prophète (saw) sur la question de la tradition ?
Le Messager Rassoul (saw), nous a beaucoup parlé de la tradition. Il nous conseille de ne jamais rejeter une tradition qui est agréée par l’Islam. Il peut s’agir des noms ou autres choses. Le Prophète (saw) a recommandé que même si le musulman va chez le mécréant et qu’il trouve une pratique qui peut faire avancer l’Islam, il faut la prendre. A l’époque de nos ancêtres, il n’y avait pas d’anesthésie pendant les
opérations chirurgicales. On peut imiter l’homme mais il faut faire un tri puisqu’il n’est pas parfait. Quand on a la chance d’aller à l’aventure en occident, il ne faut pas tout copier sur le blanc. Prenons surtout ce qui est bien selon les recommandations islamiques. Le musulman doit faire la part des choses en imitant le positif et tourner le dos au négatif.
Est-ce que l’Islam rime avec les volets de certaines traditions? Pouvez-vous nous citer quelques cas de figure
L’Islam accepte les traditions positives. Par exemple, dans certaines traditions, il est conseillé de respecter les personnes âgées, d’assister les nécessiteux. L’Islam nous recommande cela. Il y a des traditions qui riment aussi avec l’Islam telles que l’observation des mesures d’hygiène, le combat contre la fornication, l’infidélité, etc. L’Islam a ses lois et principes. C’est la religion où Dieu a tout enseigné.
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ocus
“ISLAM ET TRADITION”
Par Koulibaly Y Khayder
INTERVIEW DE ... Imam Saoud Mouhamed Al Hassan (Imam de la Mosquée SOCOCE des Deux-Plateaux)
«On ne peut pas aimer nos ancêtres plus que Dieu»
Pourquoi cette
compatibilité ?
On peut se demander par exemple pourquoi, Dieu a tout enseigné en Islam. On répondra que c’est la dernière fois qu’Il s’adresse à toute l’humanité. L’Islam est une religion complète et achevée. Tout ce qui est autorisé en Islam est bon. Et certaines traditions prônent le bien. Donc, il y aura forcément compatibilité entre les traditions islamiques et bien d’autres traditions. «.Aujourd’hui, J’ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et J’agrée l’Islam comme religion pour vous.... » (S 5 V 3).
Quelle attitude adopter face aux traditions antiislamiques ?
Je conseillerai aux
musulmans de s’éloigner des traditions anti-
islamiques. Il faut les rejeter systématiquement et se garder d’apprécier. Souvent la laïcité nous oblige à fermer la bouche. Mais dans votre maison, il faut appliquer la charia. L’Islam est la seule religion où tout le monde est leader. C’est-à-dire que tout le monde est au même pied d’égalité. Si l’Islam m’oblige par exemple à tourner le dos à certaines choses chez moi, alors, tous ceux qui vivent avec moi, doivent également s’inscrire dans cette logique. De manière pratique, lorsque je me prive de manger une bête non immolée à la maison et consommer la bière, tous ceux qui vivent sur mon toit doivent également respecter ce principe. Mais sur le lieu de travail ou sur la route, c’est possible parce c’est l’espace public où la laïcité prime. Même si j’ai des enfants filles chez moi à la maison, elles n’auront pas le droit de porter les mèches. Pourtant au dehors, je n’ai pas le droit de défendre quelqu’un à porter les mèches. Je ne permettrai pas aux hommes qui vivent sur mon toit de mettre les tatouages. C’est le lieu d’interpeller tous pour dire qu’il ne faut pas avoir le complexe d’exprimer son islamité avec fierté partout où on se trouve. Quand on est musulman, alors on fait tout pour être un modèle
dans l’environnement dans lequel nous évoluons. L’employé peut dire à son patron par exemple qu’il est musulman et qu’il a l’obligation d’accomplir les cinq prières quotidiennes. Car, c’est par les prières adressées à Dieu, qu’il a obtenu son travail. Si Allah n’avait pas voulu, aucune embauche ne serait possible. Et ce qu’on fait, nous donne le courage de bien travailler. Le travail est un acte d’adoration. Quand on a les moyens, il faut
Le Messager Rassoul (saw), nous a beaucoup parlé de la tradition. Il nous conseille de ne jamais rejeter une tradition qui est agréée par l'Islam.
pratiquer l’Islam. Allah dit : « si je te donne les moyens, je te mets aux frontières entre le Paradis et l’Enfer ». C’est à l’Homme de choisir. La prière est un exercice. Il faut de l’énergie pour faire cet effort physique. On remarque que ce sont les pauvres qui sont dans la plupart des cas, les bons pratiquants. Quand le musulman a les moyens, il doit vivre selon les principes islamiques et non comme
ceux de l’occident. L’Enfer qu’on fuit est en rapport avec les désirs mondains et le Paradis qu’on cherche est en étroit lien avec ce qu’on n’aime pas.
Quel est le poids de la tradition moderne dans la société musulmane ?
La tradition moderne a certes une influence sur la société musulmane. Aujourd’hui, on a tous tendance à copier sur les traditions occidentales. On n’a pas toujours tord, car les découvertes scientifiques ont beaucoup apporté aux musulmans. Grâce à la médecine, on peut se soigner. Avec les moyens de déplacement comme l’avion, la voiture, on peut aller à la Mecque paisiblement. Dans le moderne, il y a l’aspect positif. Cependant, tout n’est pas positif, c’est le cas des mèches, des tatouages, l’infidélité, etc. Chez le musulman normal, tout ce qui est nouveau, est bida.
Mais, il y a des innovations qui ne sont pas forcément bidas à partir du moment où elles ne gênent pas la pratique islamique.
Qu’en est-il de ceux qui battent leurs femmes, sous prétexte que l’Islam autorise d’éduquer l’épouse ?
L’Islam accepte de corriger les femmes et les enfants. A sept ans, il faut apprendre la prière à l’enfant. Mais à dix ans, s’il s’amuse, il faut le corriger et lui montrer ce qui
est bon. Si ta femme te désobéit, on peut prendre un habit, un foulard pour la taper. On ne doit pas lui porter la main encore moins se battre avec elle. Le Prophète (saw) tapait la femme avec des habits, les foulards et non avec la main. Tout bon musulman doit suivre l’exemple du Prophète (saw). Face à la femme, il faut maîtriser la colère. On ne peut pas redresser la femme à cent
DéJà ans
Bientôt !!!
□. 10 ÈME ANNIVERSAIRE DE ISLAM INFO
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L’INFORMATION À LA LUMIÈRE DE L'ISLAM
La sexualité en Islam
Cheick Malick Konaté la sexualité n'est pas un sujet tabou en Islam”
PM
Ce qu’il faut savoir
Hadj 2015 f»
Les nouvelles précisions d'EI Hadj BAMBA Messemba (Directeur Général des Cultes) à propos de..
GDendmmlM ûlil^liDIdlWllH cdWicÉfldutaMrt
pour cent. Si votre femme ne vous trompe pas et qu’elle pratique correctement sa religion, c’est déjà bon. Les autres comportements en elle, il faut pouvoir les gérer.
Dans notre tradition africaine, certains peuples pratiquent l’excision qui est critiquée par d’autres. Quelle est la position de l’Islam sur cette question ?
L’excision, c’est la sounna du Prophète Ibrahim (AS). En son temps, il fut le premier à exciser sa femme Hadjara, la mère du Prophète Ismaël (AS) par qu’elle était très vigoureuse au plan sexuel. Pourtant, elle était déjà âgée. Et cette opération a permis de maîtriser un peu ses désirs sexuels. Mais, il a d’abord demandé son accord et celui de ses parents. De nos jours, on remarque en Afrique que ce sont les nouveau-nés qui sont excisés. Le Prophète (saw) n’a pas interdit l’excision, mais sa forme actuelle pose problème. Chaque femme a sa manière d’exprimer son désir sexuel. Il ne faut pas exercer la pression sur les enfants qui sont des innocents. Il est conseillé de suivre l’exemple du Prophète Ibrahim (AS), le père des croyants.
DATES DES EVENEMENTS ISLAMÏQUES(P4)
LUTTE CONTRE EBOLA MSF participa à la relance dusystâme de sauté au Liberia
P 13
JOURNEES DE LA FEMME
LaCOMUDAetla CIDEP valorisent les compétences féminines
VIE DECOUPLE 0,5 l'art culinaire de la femme peut apporter la joie [fans son foyer
ASTUCE BEAUTE '"* les "Bayas"etle
Pendent’, îles «mes de séduction à (africaine
KPANPRISCAÉPSETOURÉ (PSYCHOLOGUE) ”" “les orablèmes de sexualité dans te couple sant souvent d’ordre psychologique’
Imam Saoud: «La tradition moderne a certes une influence sur la société musulmane»
« Lorsque Sara eut circoncis Agar, Dieu imposa la circoncision à la famille dAbraham, et à toutes les personnes qui suivraient la religion dAbraham, de sorte que Sara elle-même fut obligée de se circoncire, et Abraham également. » (source chroniques de Tabari)
On rapporte les paroles suivantes du Prophète. Il y avait de son temps une femme nommée Oum Attiya: elle passa près du
A lire prochainement !!! la polygamie: quelle attitude du musulman!1
Dans Islam Info n° 493
Prophète qui lui dit: O Oum Attiya, où vas-tu ? Elle répondit: Ô apôtre de Dieu, je vais circoncire. Le Prophète dit alors à Oum Attiya des paroles dont le sens était: Lorsque tu circoncis une femme, nu lui coupe pas trop de chair, afin qu'elle conserve la beauté de son visage, car, lorsqu'on coupe trop de chair à une femme, la beauté de son visage disparaît, elle n'est plus agréable aux yeux des hommes. »
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^.SPIRITUALITE
LE MOIS DE RAJAB : SENS ET MÉRITES
ADRESSES UTILES
I Associations Musulmanes en Côte d’Ivoire
Situation du mois de Rajab par rapport aux autres mois, et ses avantages
Dieu le Très Haut dit dans le Saint Coran :
Le nombre de mois, auprès d’Allah, est de douze (mois), dans les prescriptions d’Allah, le jour où II créa les deux et la terre . Quatre d’entre eux sont sacrés : telle est la religion droite...(Sourate 9 verset 36)
Ces quatre mois dits sacrés du calendrier musulman sont :Dhûl Qidah, Dhûl Hijjah, Muharram et bien entendu Rajab.
Les arabes de l’époque préislamique ont hérité des Prophètes Ibrahim et Ismaïl, une tradition qui consiste à considérer ces mois comme un temps de trêve absolument sacrée. Tous les conflits, même ceux qui étaient les plus féroces étaient suspendues. Chacun s’évertuait à ne point causer de tort à son prochain.
D’habitude, en temps ordinaire, la porte de la Kaaba n’était ouverte que le lundi et le Jeudi. Mais pendant le mois béni de Rajab, l’accès dans ce lieu sacré est en permanence libre.
Le Prophète Mohamed (saw), Imam des Envoyés et digne héritier de Ibrahim, confirma ce caractère sacré de ces quatre mois, comme établi ci-haut par le Coran. Le mois de Rajab, septième mois du calendrier musulman, est plein de bienfaits.
Dans son ouvrage intitulé "Masâlikul Jinân " (les Itinéraires du Paradis), Cheikh Ahmadou Bamba nous fait comprendre qu’il y a sept jours, qui tournent d’une année à l’autre, et pendant lesquels il est méritoire de jeûner. Parmi eux, figure en bonne place, le vingt septième jour du mois de Rajab. D’ailleurs, il est encore plus méritoire de jeûner tout le septième mois lunaire (Rajab).
Dans un Hadîth du Prophète (saw), il est retenu ce qui suit : "Tous les hommes seront affamés le jour
PROPHETE (SAW)
exceptés les Prophètes et leurs fidèles, de même que ceux qui observaient le jeûne des mois de Rajab, Shabân et Ramadan. Ils seront eux rassasiés, et point ils ne connaîtront la faim".
Le Prophète (saw) dit : "Rajab est le mois de Dieu, Shabân est mon mois, alors que le mois de Ramadan est le mois de ma communauté ".
A la question des Compagnons : " Pourquoi, Le Prophète (saw) qualifiez-vous Rajab du mois du Seigneur ? ", il répondit : "Dans ce mois, Dieu
nous a gratifié de Son Absolution. Durant ce mois, verser le sang des autres est défendu.
C’est dans ce mois, aussi, qu’il a pardonné à ses envoyés , sauvés les saints des machinations de leurs ennemis. Quiconque jeûne le mois de Rajab, sera assuré de trois choses par son Seigneur:
L’absolution de tous les péchés précédents la préservation contre les pêchés le reste de sa vie une garantie contre la soif du jour du jugement
Quelqu’un se plaint devant le Prophète (saw) : " Envoyé de Dieu, je n’ai pas la force de jeûner tout le mois de Rajab". Il lui répondit : " Jeûne au début du mois, au milieu et la fin du mois. Ainsi tu obtiendras les mérites de celui qui a jeûné tout le mois".
PLACE DE LA 27e NUIT RAJAB DANS
Définition
Dieu le Tout Puissant a pourvu ce mois béni de Rajab, le septième du calendrier musulman, d’innombrables bienfaits pour Ses créatures. Sa vingt septième nuit qui coïncide avec le voyage nocturne miraculeux du Prophète (saw) plus connu sous le nom de "Al Isrâ wal Micrâj " est encore plus riche en profits de toutes sortes pour le genre humain.
Ce voyage nocturne du Prophète (saw) vers son Seigneur, dont les bienfaits sont inestimables en nombre, comme en valeur, a eu
lieu à la huitième année de son appel, selon Ibn Abbas.
Le Contexte
Comme chacun le sait, les débuts de l’Islam furent extrêmement durs, du fait des persécutions de toutes sortes dont les musulmans ont été victimes. Des effectifs très réduits, et des moyens presque inexistants, exposaient la communauté musulmane sans défense aux
persécutions impitoyables des quraychites mecquois. Le Prophète (saw) qui était contraint d’assister, sans pouvoir intervenir, au calvaire de sa communauté, s’en remit à son Seigneur. A cette situation d’amertume pour le Prophète (saw), s’ajoutèrent d’autres faits marquants aussi difficiles à surmonter, à savoir :
- L’embargo exercé
sur le Prophète (saw) et sur les croyants
Aux yeux des païens, les croyants ne sont que des perturbateurs de l’ordre social, qu’il fallait donc réprimer, avec la dernière rigueur. Puisqu’ils rejetaient en bloc toutes les prédications de Mouhamad (saw), les chefs de tribu mecquois ont finalement décidé de mettre en quarantaine la jeune communauté musulmane et son chef en premier lieu. A partir de ce moment, le Prophète (saw) et ses compagnons sont traités en parias. Ils sont tenus à l’écart de toutes les activités de la ville. Notamment, ils sont exclus des échanges commerciaux, des activités sociales, bref, de toutes relations humaines.
- Le décès de Khadidja Khadidja, la première épouse du Prophète (saw), était connue non seulement, comme femme pieuse et exemplaire, mais aussi, comme un appui déterminant au Messager dans l’accomplissement de sa Mission. Ayant été l’une des premières à embrasser l’Islam, elle a toujours servi de réconfort au Prophète (saw), mais aussi d’appui financier au profit de l’épanouissement de l’Islam. Son immense fortune avait été mise, sans réserve au service de l’Elu (saw) pour le succès de sa Mission .
- Le décès de Abu Talib
Ayant perdu son père et sa mère à bas âge, le Prophète (saw) n’avait plus sur cette terre qu’un seul proche qui assurait sa défense ; il s’agit de son oncle Abu Talib, notable respecté de la Mecque.
La nouvelle religion prônée par le Prophète (saw) dans cette période de vie païenne, attirait sur lui les foudres des chefs mecquois qui ne pouvaient cependant, pas attenter à sa personne, en raison de la protection
dont il jouissait du fait de la personnalité et du respect que vouaient à son oncle, les populations et chefs mecquois.
Le décès de cet oncle était donc une véritable catastrophe : le Prophète (saw) se trouvait désormais exposé à tous les dangers.
Le contexte se présente alors comme un tableau particulièrement noir. Pour tout autre que le Prophète (saw), la situation aurait été démoralisante, en somme source de désespoir. Dans ces circonstances, un appui moral et psychologique serait assurément, le bienvenu.
Voilà pourquoi tous les chroniqueurs s’accordent unanimement à dire que c’est en guise de réconfort que Dieu Le Tout Puissant appela Son Prophète (saw) à Ses côtés en cette 27e nuit de Rajab, le gratifiant ainsi de bienfaits inestimables, pour Lui et sa communauté.
Sheikh Yûsuf Abd Allah Al-Qaradâwi dira qu’en cette occasion, Dieu dira au Prophète (saw) : " si les habitants de la Terre se sont détournés de toi, alors ceux du Ciel sont venus à Toi, et si ces hommes t’ont rejeté, alors Dieu t’a accueilli et les Prophètes t’ont suivi en te désignant comme leur Imam ".
Cette circonstance a été l’occasion d’un entretien confidentiel, au courant duquel Le Seigneur définit au Prophète (saw) les bases de sa Religion. Dieu lui a aussi montré des merveilles qui l’ont comblé d’honneurs, et ont décuplé sa dynamique résolution à poursuivre avec encore plus d’opiniâtreté les actions déjà entamées. Psychologiquement, le Prophète (saw) est revenu à sa communauté, plus fort et moralement mieux armé pour faire face à toute injustice ultérieure.
El Hadj Imam Meité Al Imam
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CID/CI (Confédération Islamique de Développement en Cl)
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Les 3A (Amicale des Anciens de l’AEEMCI) Tél : 20 20 00 14 / 07 66 02 80
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(Coordination des musulmans d’Origine Nigériane et d’Adoption en Côte d’Ivoire)
Tél : 05 33 87 68
13 BP 785 ABJ 13
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Tél : 05 09 73 62 / 23 45 44 47
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Tel : 04 05 74 51 / 05 05 15 27
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Spiritualité
LES ACTES DE PIÉTÉ DU MOIS DE RAJAB
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(SEIGNEMENTS"
Les actes cultuels à accomplir pendant des jours précis du mois
La nuit de la veille du 1er Rajab : C’est une nuit bénie pendant laquelle beaucoup d’actes de piété sont à accopmlir :
a- A la vue du croissant lunaire, on emboîte le pas au Prophète (saw) qui récitait l’invocation suivante à la vue du croissant du mois de Rajab :
« Allâhumma Bârik lanâ fî Rajab-a wa Cha‘bân-a wa ballighnâ chahra
Ramadhâna, wa a'innâ ‘alâ-ç-çiyâmi wa-l-qiyâmi wa hif-dh-il-lisâni wa
ghadh-dhi-l-baçari wa lâ taj ‘al hadh-dh mihu al-jû‘a wa-l-‘atachi »
(O mon Dieu ! Bénis-nous pour l’avènement de Rajab et de Cha‘abân et fais-nous atteindre le mois de Ramadhân, et aide-nous à y observer le jeûne, la veillée d’adoration, la rétention de notre langue (ne pas dire de mal) et de notre vue (ne pas regarder ce qui est interdit), et donne que notre lot n’y soit pas uniquement la faim et la soif)
b- La grande ablution (djanaba) : On rapporte que le Prophète (saw) dit : «Quiconque accomplit le djanaba les veilles du 1 er, du milieu et de la fin du mois de Rajab, se dépouille de ses péchés, comme au jour où sa mère l’a mis au monde. » c- Accomplir 10 prières de deux rak‘ah après la Prière du Maghrib en récitant dans chaque rak‘ah sourate Fatiha et sourate al-lkhlâç (112), ce qui lui vaudra la protection de sa famille, ses enfants et ses bien, ainsi que l’exemption des épreuves de la tombe, et le passage rapide sur le çirât (sans interrogatoire le Jour de la Résurrection)
d- Accomplir 2 rak‘ah de prière après la Prière de ‘Ichâ’ (Prière de la Nuit) : dans la 1 ère rak‘ah on récite sourate Fatiha 1 fois, sourate al-Charh (94) 1 fois et sourate al-lkhlâç (112) 3 fois, et dans la seconde : sourate Fatiha, sourate al-Charh (94), sourate al-lkhlâç (112), sourate al-Falaq ( 113) et sourate al-Nâs ( 114). Une fois la prière terminée, on récite 30 fois « lâ ilâha illâllâh » (Il n’y a de Dieu qu’Allah) et 30 fois « çallâ-llâhu ‘alâ-n-Nabiyy wa a'Ie-n-Nabbiyy» (Allah prie sur le Prophète et sur sa famille)
Le 1er Rajab
Le jeûne : il est hautement recommandé de jeûner ce jour. En effet, le Prophète Nûh (Noé) s’embarqua sur son arche ce jour et demanda
à tous ceux qui s’étaient embarqués avec lui de jeûner. Et il est rapporté que l’Enfer s’éloigne de celui qui y jeûne d’une distance d’une année de marche.
Commencer la Prière de Salman al farsi (ra), laquelle consiste en 30 rak‘ah (15 prière de 2 rak‘ah ) divisée en trois étapes de 10 rak‘ah, dont chacune est accomplie à une date déterminée : le 1 er Rajab, le milieu de Rajab et la fin de Rajab. Au premier Rajab on accomplit donc 5 prières de deux rak‘ah dont chacune comporte la lecture de la sourate Fatiha 1 fois, la sourate al-lkhlâç (112) 3 fois et la sourate al-Kâfirûn (109) 3 fois. Après chaque prière on lève les mains vers le ciel et on récite l’invocation suivante :
« Lâ ilâha illâ-llâh, Wahdahu lâ charîka Lahu, Lahu-I-Mulk wa Lahu-I-Hamd, yuhyî wa yumîtu waHuwa Hayyun lâ yamût-u, bi-Yadihi-l-khayru waHuwa ‘alâ kulli chay’in Qadîr-un,»
(Il n’y a de Dieu qu’Allah ! Il est Unique et II n’a pas d’associé ! A Lui le Royaume et à Lui les louanges ! Il fait vivre et fait mourir, alors qu’Il est Vivant et Immortel. Dans Sa Main est le Bienfait et II a pouvoir sur toute chose.» Puis on prononce cette autre invocation :
« Allâhumma lâ mâni‘a li-mâ a‘tayta wa lâ mu‘tî li-mâ mana‘ta wa lâ yanfa‘u thâ-l-jaddi minka-l-jaddu »
(Om mon Dieu ! Rien ne peut retenir ce que Tu donnes, et personne ne peut donner ce que Tu retiens, la richesse d’un riche ne lui sert à rien auprès de Toi !)
Et de passer les deux mains ensuite sur le visage en l’essuyant.
Le jour du milieu de Rajab, il accomplit de la même façon les 10 rak‘ah suivantes, mais en remplaçant la dernière invocation par celle-ci : « llâhan wâhidan ahadan fardan çamadan, lam yattakhith çâhibatan wa lâ waladan »
(Un Dieu Unique, Un, Seul,
Impénétrable, ne Se donnant ni compagne ni enfant !) Et enfin le dernier jour de Rajab, on accomplit les 10 dernières 10 Rak‘ah toujours de la même façon, en remplaçant la dernière invocation par celle-ci : « wa llâh-it-tâhirîna wa lâ hawla wa lâ quwwata illâ billâh-il-Aliyy-il-‘Adhîm-i » (et le Dieu des purs, et il n’y a de force ni de puissance en dehors d’Allah, le Très-Haut, l’Immense ! )
Puis, on passe les deux mains sur le visage en l’essuyant et on demande à Allah la satisfaction de ses besoins et l’exaucement de ses vœux.
Il est à noter que cette prière est très hautement recommandée et appelle beaucoup de récompenses et de mérites. A ne pas négliger.
La nuit (de la veille) du 13 Rajab :
Il est recommandé d’accomplir des prières spécifiques pendant les Nuits Blanches des mois de Rajab, de Cha‘bân et de Ramadhân. Les Nuits blanches sont les nuits du 12 au 13, du 14 au 15 et du 15 au 16 du mois lunaire. La prière à accomplir pendant cette nuit du 13 au 14 consiste en 10 rak‘ah (5 prière de 2 rak‘ah) dont chacune comporte la lecture des sourates Fatiha, Yâs-sine (36), al-Mulk ( 67) et al-lkhlâç ( 112). On accomplira 4 rak‘ah (2 prières de 2 rak‘ah) de la même façon, la nuit du 14 au 15 Rajab et 6 rak‘ah (3 prières de 2 rak‘ah) la nuit du 15 au 16 Rajab. Selon l’Imam Jafar al-Sâdiq (s) celui qui accomplit ces prières pendant les dites 3 nuits, aura la récompense spirituelle propres aux 3 mois bénis que sont Rajab, Cha‘bân et Ramadhân et Allah lui pardonnera tous ses péchés, excepté celui
d’associationnisme.
Le jour du 13 Rajab : C’est le premier des 3 Jours blancs, soit le 13, le 14 et le 15 du mois lunaire. Le fait de jeûner ce jour et les deux jours
suivant appelle une grande récompense spirituelle.
La Nuit (de la veille) de la mi-Rajab : a-Accomplir le ghusl b-veillée d’adoration (prière, du‘â’, lecture de Coran etc) c-Accomplir les 6 rak‘ah de prière décrites à la section (C) (voir la nuit du 13 Rajab) d-Accomplir 6 prières de 2 rak‘ah, dont chaque rak‘ah comporte la lecture de la sourate Al-fatiha et de n’importe quelle autre sourate, et une fois la prière terminée, on récite 4 fois les sourates Al-fatiha, al-Falaq, al-Nâs, al-lkhlâç, Àyat al-Kursî et l’invocation suivante : «Subhân-Allâhi wa-l-Hamdu lillâhi wa lâ Ilâha illâ-llâhu wa-llâhu Akbar »
(Gloire à Allah, Louanges à Allah, il n’y a de Dieu qu’Allah, et Allah est le Plus-Grand) Puis on termine avec la lecture suivante :
« Allâhu Allâhu Rabbî ! Lâ achruku bi-hi chay’an, wa mâ châ’-Allâh, lâ quwwata illâ bi-llah-il-‘Aliyy-il-‘Adhîm » (Allah, Allah est mon Seigneur, je ne Lui associe rien! Allah réalise ce qu’Il veut ! Il n’y a pas de force en dehors d’Allah, le Très-Haut, l’Immense !)
La Nuit (de la veille) du 27 Rajab :
C’est la veille du jour anniversaire de la Mission prophétique c’est la nuit du voyage nocture. C’est une nuit bénie et très méritoire.
Les actes de piété à accomplir pendant cette nuit sont nombreux :
a-La grande ablution (djanaba)
b-Accomplir 6 prière de 2 rak‘ah, dont chaque rak‘ah comporte la lecture de la sourate Al-fatiha et de n’importe quelle autre sourate, et une fois la prière terminée, on récite 4 fois les sourates Fatiha, al-Falaq, al-Nâs, al-lkhlâç, Àyat al-Kursî et l’invocation suivante :
«Subhân-Allâhi wa-l-Hamdu lillâhi wa lâ Ilâha illâ-llâhu wa-llâhu Akbar »
(Gloire à Allah, Louanges à Allah, il n’y a de Dieu qu’Allah, et Allah est le Plus-Grand) Puis on termine avec la lecture suivante :
« Allâhu Allâhu Rabbî ! Lâ achruku bi-hi chay’an, wa mâ châ’-Allâh, lâ quwwata illâ bi-llah-il-‘Aliyy-il-‘Adhîm » (Allah, Allah est mon Seigneur, je Ne Lui associe rien! Allah réalise ce qu’Il veut ! Il n’y a pas de force en dehors d’Allah, le Très-Haut, l’Immense !).
El Hadj Imam Meité Al Imam
ATTAHIYA
Atahiyaatou lil’lâhi, a’zâkiyaatoulilTâhi, atayibâtt salawaatoulilTâhi, assalâm alaïka, ayouhan’nabiyou, warahamatoul’lâhi wabarakaatouhou, assalam alaïna, wa alaa ibadilTâhi, assaalihiina, ach’adou, ann, laa ilâha, ÜTalTâhou, wah’ dahou, laachariika lahou, wa ach’adou, an’na, Mouhammadann, abdouhou, wa Rassôu louhou.
••••••••••••••••••••
TRADUCTION
Les salutations sont à Allah, les actes de pureté sont à Allah, les bonnes œuvres et les prières sont à Allah. Que le salut, la miséricorde et la bénédiction te soient accordés, O Prophète d’Allah! Que le salut soit sur nous et sur les serviteurs vertueux d’Allah! Je témoigne que nul n’est en droit d’être adoré qu’Allah et je témoigne que Mouhammad est son serviteur et envoyé.
••••••••••••••••••••
SENS DE SA RÉCITATION
LaTahiyat est la première conversation entre Dieu et le Prophète (saw) lors de son ascension. Sa récitation est recommandée à la fin de chaque deux rakates.
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Religions

TERNATIONAL
ADRESSES UTILES
Formation des Imams :
Le Maroc décidé à être une référence internationale
Rédigé par Mérième Alaoui I Vendredi 10 Avril 2015
Le roi du Maroc a inauguré fin mars en grande pompe le premier institut international de formation des Imams à Rabat. En concertation avec le ministère français de l’Intérieur, Mohammed Moussaoui est parvenu à réserver 50 places pour des Imams français. Le président de l’Union des mosquées de France (UMF), en déplacement au Maroc, livre à Saphirnews les détails du partenariat.
Le roi Mohamed VI inaugure l'Institut de formation des imams le 27 mars.
sociologie française... à l’image de la formation dispensée à l’Institut catholique de Paris », qui compte parmi les universités françaises qui forme les cadres musulmans sur le plan non théologique, précise le président de l’UMF.
« Cette partie de la formation n’est pas encore définie, car nous allons nous concerter notamment avec les pouvoirs publics. Il serait d’ailleurs possible de délocaliser cet enseignement en France, dans des universités parisiennes »,
I Associations Musulmanes en Côte d’Ivoire
La question de la formation des Imams reste un épineux problème en France. En concertation avec le bureau des cultes du ministère de l’Intérieur, 50 Imams français vont être formés au Maroc durant trois ans. Le roi Mohammed VI a inauguré le 27 mars, à Rabat, le premier « Institut de formation des imams prédicateurs et des prédicatrices » qui porte le nom du souverain marocain.
Venus du monde entier, des étudiants y sont accueillis, nourris, logés durant toute leur formation. 50 futurs imams français ont réussi à décrocher une place. « Nous avons envoyé une première promotion de 22 étudiants, 28 autres les rejoindront en septembre 2015. Ils sont relativement jeunes, âgés de 22 et 40 ans », explique à Saphirnews Mohammed Moussaoui, président de l’Union des mosquées de France (UMF), actuellement dans le royaume chérifien pour découvrir le centre.
Des binationaux choisis avec soin
Tout a commencé à la cérémonie de la Fête du trône, la plus importante
des fêtes civiles marocaines, le 30 juillet dernier. « J’ai été invité au Maroc à cette occasion. Comme je savais qu’un tel institut allait ouvrir, j’en ai profité pour demander au roi de nous réserver des
France, nous aimerions que cela évolue », déclare l'ex-président du Conseil français du culte musulman (CFCM).
places. Il a immédiatement raconte-t-il.
Les futurs
accepté », nous
imams
Un partenariat avec des universités françaises en vue ?
La plupart des étudiants français sont des novices mais une partie de la promotion est composée d'imams en poste dans des mosquées qui ont besoin de
Mohammed
l’intégration
s'agit faciliter
Pour Moussaoui,
français sélectionnés ont la particularité d'être tous de nationalité marocaine.
surtout de
Une
9®
perfectionnement. L’enseignement de l’Institut sera la même pour tous et s’articule sur deux axes.
xo^s
ajoute Mohammed Moussaoui. Un partenariat entre la France et le Maroc serait possible car « nous nous sentons proche de l’Islam enseigné au Maroc, un Islam ouvert, malékite, commun à tout le Maghreb et à l’Afrique de l’Ouest ». L’Institut Mohammed-VI se présente en effet comme garant du « référent identitaire fondé sur le juste milieu, la modération et la tolérance et [qui aide à] prémunir contre les relents de l’extrémisme » et, pour cela, « le Maroc a adopté une stratégie intégrée, globale et multidimensionnelle ».
influence
administrative.
« Nous avons recruté des binationaux pour que ce soit plus simple. Pour les
Français
d’origine
tunisienne ou algérienne par exemple, cela aurait pu être compliqué avec le pays d’origine qui organise également des formations d’imams... On aurait pu interpréter cela comme de l’ingérence. Mais pour les prochaines
Dans un premier temps, ils suivront un corpus commun essentiellement
fondé
sur
la
années,
et en
concertation avec ces autres pays et avec la
connaissance des textes et les techniques pour diriger la prière. Dans un second temps, une formation plus spécifique au pays d’origine est proposée. « Pour nous, les Français, elle traiterait de l’étude de la laïcité, de l’histoire du pays, de la
spirituelle à étendre
En plus des 150 imams marocains, des 100 prédicatrices (morchidates) et des 50 Français, le Maroc a validé les candidatures d’étudiants venus du monde entier, en particulier du continent africain. C’est à l’occasion de l’investiture officielle du président malien Ibrahim Boubacar Keïta le 19 septembre 2013 que Mohammed VI a validé la demande de formation de 500 imams maliens. La Côte d’Ivoire, la Guinée-Conakry et la Tunisie ont également
envoyé des étudiants dans le nouvel institut, de même que « des futurs imams venus de Tchétchénie, du sultanat de Brunei et du Canada », précise même Mohammed Moussaoui.
Érigé sur une surface de 28 687 m2, le centre de formation se présente comme un ensemble moderne mélangeant salles d’études et lieux de vie. Amphithéâtre, bibliothèque et salle informatique jouxtent des salles de sport et des espaces de restauration. Une mosquée ouverte au public, d’une capacité d'accueil de 1 250 fidèles, sert aussi d’espace pour la formation aux missions d’orientation de la prière (imamat), de prédication et de prononcé des sermons (khotba). L’aménagement a coûté 200 millions de dirhams, soit 18 millions d’euros, auxquels s’ajoute le coût des équipements administratifs et sportifs évalués à 24 millions de dirhams (2,2 millions d’euros).
Le retour sur investissement ne saurait se faire attendre. Le Maroc, un lieu de formation théologique traditionnellement réputé pour les musulmans d’Afrique subsaharienne et bien au-delà, est plus que jamais décidé à être un centre religieux incontournable. Il entend par là étendre son influence spirituelle, dans un contexte international marqué par une montée globale de l’extrémisme. Son nouvel institut de formation, que l’on présente comme une pierre à l’édifice dans la lutte contre le terrorisme, est bien parti pour devenir une référence dans le monde musulman.
inSharel
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DE LA COMMUNAUTE
CARAVANE DE PREDICATION
Abou Soufyane
LA LIPCI PRECHE LES BONNES VALEURS DANS LE PAYS PROFOND
Du 14 au 20 avril 2015 la Ligue Ivoirienne des Prédicateurs de Côte d’Ivoire(LIPCI) a effectué une tournée dans le nord du pays en vue de prêcher P Islam aux Sénoufos, Tagbana et konga.
La naissance des sectes islamiques, la sincérité, le travail des jeunes et le rôle des femmes dans l’éducation des enfants sont les différents thèmes développés par les 07 prédicateurs de la délégation de la LIPCI aucours de cette
Oustaz Saïd Konaté s'adressant au population de Birimônô (village de kong)
expédition. C’est la mosquée de la ville de Katiola qui a ouvert le bal des prêches avec l’Imam Sanogo Fousseny de Toumodi. Celui-ci a axé son
intervention sur certaines nouvelles sectes qui prennent de plus en plus de l’ampleur. Pour lui, l’Islam original que tout bon musulman devra suivre, est celui reconnaissant Abou Bakr (Siddik), Oumar
boun khatab, Ousmane boun Anfane et Ali Boun Abi Tahlib comme les dignes héritiers du Prophète Mouhammad (Saw). C’est pourquoi Imam Sanogo a exhorté
les fidèles de Katiola à taire leurs divergence quant à l’ordre de succession au khalifa. Parlant de la sincérité dans l’accomplissement des actes d’adoration, le conférencier a indiqué que Tout acte qui ne se pose pas au nom de Dieu, ne peut l’atteindre dans la mesure où « tous les actes ne valent que par les intentions qui les inspirent ». A-t-il prévenu. En outre, il a invité la jeunesse à abandonner toute oisiveté en se mettant au travail afin de réduire ou éradiquer certains phénomènes notamment les microbes ou la toxicomanie qui sont en général dus au désoeuvrement des jeunes. Pour boucler la boucle, le membre du conseil d’administration de La LIPCI a abordé la question de la responsabilité de la femme dans l’éducation de l’humanité. En passant au peigne fin ce sujet, il a fait savoir que la femme est en première ligne dans
La photo de famille des membres de la LIPCI avec les habitants de Birimônô
l’éducation d’un enfant. A cet effet, elle doit être une femme exemplaire dans son foyer en se soumettant surtout à son époux afin que leurs enfants à leur tour les respectent. A sa suite, les autres membres de la délégation Youssouf Konaté, Koné Ismaël, Doumbia Tidjane, Sangaré Moussa ont à tour de rôle, transmis les mêmes messages
respectivement dans les villes de Niakara, Tafiré, Ferké, Ouangolo et Diawala. En plus de ces villes les prédicateurs de la LiPCI ont séjourné dans la cité mythique de Kong. Un séjour aucours duquel Imam Konaté Saïd et sa délégation ont échangé avec les populations de la ville de Kong et celles de ses villages environnants tels que
Nafana, kolon Birimônô et kongolo. A cette occasion konaté Saïd, Laï Koné Aboubakar, Touré Lassina ont conféré sur les mêmes thèmes. Précisons que Lors de ecette tournée, la délégation mandatée par l’Imam Vassiriki Cissé a été reçue par le corps préfectoral de toutes les localités visitées.
SOS POUR LES TALIBES AU NORD DU PAYS
Vêtements déchirés,
sandales en caoutchouc, non
coiffés et boîte de tomates en mains, ils sont pour la plus part, des enfants de peulhs du Mali, Burkina Faso et du Ghana. Ils ont été arrachés de gré ou de force à l’affection de leur famille en vue de faire d’eux des futurs maîtres coraniques. Ils, ce sont les talibés (élèves coraniques) venus en Côte d’Ivoire en vue d’apprendre le Coran chez un maître coranique. Mais une fois arrivée au foyer des talibés, le problème de nourriture se pause en laissant comme seul moyen de subsistance la mendicité. C’est donc avec une boîte de pâte de tomate en piteux état que ceux-ci assiègent les villes du nord de la Côte d’ivoire en espérant trouver le pain quotidien. Ils sont pour certains contraints à donner 'argent récolté au grand
Maître sous peine de coups de fouet. Communément appelés " garib”, ces enfant abandonnés sont dans tous les coins et recoins des rues de Niakara , Tafiré, ferké Ouangolo , diawala pour ne citer que celles-ci. Ils bravent soleil et pluie à la recherche de leur pitance quotidienne car pour eux rester au foyer sans mendier risquerait des coups de fouet du maître. « Nous sommes nombreux au foyer donc on n’arrive pas à manger à notre faim donc chacun se débrouille en ville pour manger. Aussi gardons-nous un peu pour le soir » a confié Sangaré Ali, talibés d’un maître coranique à Tafiré. Ces enfants âgés de 5 à 15 ans sont livrés à eux même dans les villes. Leur santé est parfois dégradée à cause de la mauvaise qualité des nourritures qu’ils consomment. Yaya Sidibé est le plus jeune des enfants
interrogés, avec une peaux pale du fait d’une anémie, est affaibli, ses lèvres asséchées par la soif et la faim. Le petit yaya de 6 ans. nous dit ceci : « Moi je suis Yaya Sidibé mes parents m’ont envoyé du Mali pour apprendre le Coran et chaque jour je suis obligé de passer de cours en cours pour chercher de quoi à manger et quelques pièces d’argent que je garde pour m’acheter des chaussures et vêtements. Mes parents me maquent énormément car ils ne viennent jamais me voir. Sous le regard passif et coupable des guides religieux, des autorités politiques et traditionnelles les " garibs” continuent de lutter pour survivre. A l’heure où le gouvernement a fait de la lutte contre la traite des enfants, son cheval de bataille, les enfants du nord sont enclins à une maltraitance sans précédent.
Les "garib" devant un restaurant pour attendre les restes de nourriture
Islam Info N° 492 du Mercredi 29 Avril au Mardi 05 Mai 2015-du Araba 10 au Tarata
ITE “ISLAM INFO”: www.islaminfos.net
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Pourquoi les jeunes hommes ont peur du mariage ?
Idriss
je dirais que les hommes ont peur du mariage parce qu’aujourd’hui, le mariage est basé majoritairement sur l’argent. Quand une fille a un prétendant, la question que pose ses parents dans l’immédiat est : » qu’est ce qu’il fait ? ». Cette question veut tout dire.
DIABY
Salam.
Le mariage est une injonction divine, donc est une adoration. Il a pour objectif de perpétuer l’espèce humaine. C’est la voie par laquelle ALLAH permet à l’être humain de satisfaire son désir sexuel qui, d’ailleurs, est naturel. Donc tout croyant aspire au mariage. Mais, aujourd’hui, il faut reconnaître que nombreux sont les jeunes hommes qui ont peur du mariage.Plusieurs raisons expliquent cela. Le mariage est un contrat qui définit les droits et devoirs des conjoints. Or, en Islam, l’homme est responsable des charges du foyer. Il doit payer le loyer, l’électricité, la nourriture, les soins de santé...Ceux qui pensent ainsi sont ceux qui n’ont pas un emploi ou qui ont une rémunération qui ne couvre pas leurs charges à plus forte raison ajouter une autre personne. De plus, il y a la dot qui est souvent très élevée. Ensuite viennent les dépenses à faire pour ta famille et la belle-famille en terme de nourriture, de dons par-ci et par-là. Et puis, la plupart des filles que l’on veut épouser recherchent une sécurité financière. Mais, je pense que cette peur peut s’estomper, si le jeune homme rencontre une sœur qui l’aime tel qu’il est en considérant sa pratique religieuse et son comportement. Aussi faut-il que les parents bannissent des traditions qui ne sont pas conformes aux conditions du mariage. Mais au delà de tout, le jeune homme doit mettre sa confiance en ALLAH et s’engager dans le mariage malgré les difficultés. Car ALLAH est le Pourvoyeur par excellence.
Souley
Les hommes n’ont pas peur du mariage ils ont surtout peur de se faire mal. Cette reaction des hommes est relative aux comportements des femmes qui certaines, lorsqu’elles ont la bague au doigt change parfois de comportements dans le foyer, certaines vont meme dire : «c’est le mariage je chaichais maintenant je fais ce que je veux ». Et comme les liens du mariage sont tellement sacrés et que les hommes n’aiment pas vivre ce genre d’aventure, c’est pour quoi on peut dire, non pas par ce qu’ils ont peur mais plutôt qu’ils sont prudent.
Ténin
Mon cher Souley, le mal dont les hommes ont peur est crée par eux mêmes « quand tu creuses une fosse à l’entrée de chez toi pour le protéger et bien sache qu il est aussi un danger pour ta personne ». Cela dit certaines femmes réagissent comme ça parce qu’elles ont plusieurs fois été blessées dans leur amour propre. Par conséquent, cela aura des conséquence sur le pauvre innocent qui se mettra sur son chemin! C’est pour cela qu’il faut mesurer le pour et le contre avant un quelconque engagement pour éviter de se trouver dans de telles situations! Par contre, d’autres femmes sont très aimables et collaboratrices.
Pour clore, éviter de faire aux autres ce que vous ne supporter pas! ! ! ! ! ! ! Ma salam
Jean Pierre
Es ce que le mariage fait vraiment peur? Non. Je pense plutôt que les jeunes ont plutôt peur d’être responsable...responsable devant une épouse...responsable devant les parents....responsable devant Dieu...responsable devant la Société....Or la notion de responsabilité s’apprend d’abord à la maison avec les parents. Très tôt, il faut apprendre aux jeunes à être responsables. Car, si les parents restent indifférents aux comportements des jeunes vis à vis du sexe et de la femme ils vont prendre du temps et du bon temps avant de se décider à devenir responsables donc se marier officiellement avec toutes les responsabilités que cela implique. Quand on peut avoir tous les avantages d’un homme marié à moindre frais eh bien on a tendance à en profiter.. .il faut dire aux jeunes que ce n’est pas parce qu’ on a un travail qu’on peut ou on doit se marier...le mariage c’est d’abord un contrat entre deux personnes qui s’aiment et qui décident de partager cet amour à leur entourage publiquement afin de s’interdire de faire n’importe quoi avec n’importe qui et cela dans la limite de leurs moyens. En un mot comme en cent le mariage c’est d’abord une affaire de courage, de vision et de foi.
Sujet à débattre prochainement:
« Pourquoi les femmes musulmanes ont-elles peur de la polygamie ?»
Donnez votre avis sur la question en participant à la rubrique “débat” sur le site d’Islam Info, à l’adresse : www.islaminfos.net
16Radjab 1436 H
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31 63 53 50 /
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LAM AU FEMININ
vnfïdëncë
Sidibé Ramatou
rnoignage
Par Abou Soufiyane
Envoyez vos confidences, réactions et suggestions en écrivant à
Confidencesira@yahoo.fr Cel : 08 65 34 62
AVERTISSEMENT
Comment continuer de vivre après la mort
Comment continuer de vivre après la mort d'un parent, d'un enfant, d'un conjoint, d'un ami cher? Quelles sont les conséquences psychologiques d'un décès pour l'entourage? Comment faire face au cas de disparition? L'Express Styles décrypte les grandes étapes du deuil et propose des conseils pour traverser cette épreuve parfois traumatisante.
Devenir (enfin!) adulte
Il est étonnant de souligner, au delà de la peine du deuil, combien
beaucoup
d'enfants
adultes ayant perdu un ou deux de leurs parents rapportent un sentiment de devenir enfin adulte "dans leur tête". Ils ne sont plus les enfants de quelqu'un. Ils prennent davantage conscience de leur propre mortalité, ce qui peut induire une certaine urgence à s'accomplir dans toutes les dimensions de leur être avant de disparaître à leur tour.
On peut aussi se sentir plus adulte en intégrant en soi ce parent disparu. Par ce qu'on appelle les "identifications positives", on fait vivre son parent à travers soi par tout ce que l'on est devenu grâce à
lui: on lui rend hommage par la transmission à ses propres enfants des valeurs ou principes de vie qu'il nous a transmis, on poursuit une action en son nom ou un projet qui lui tenait à cœur et que l'on s'approprie... On comprend en quoi ce parent nous a inspiré et combien on a grandi grâce à lui. Il s'élève alors en soi un doux mouvement de gratitude quand on mesure alors tout l'amour qui nous a été donné- sans compter.
Suite et fin Dr Christophe Fauré psychothérapeute
L'animation de cette rubrique revient aux lecteurs d'Islam Info. Nous saluons l'intérêt qu'ils
ne cessent d'accorder à «Témoignage ». Et, nous tenons à le souligner : les textes publiés dans le cadre de cette rubrique n'engagent que leurs auteurs. Et nous exhortons nos
lecteurs à, non seulement réagir par rapport à ces textes, mais à nous proposer leurs réflexions par rapport à leur aventure qu'ils ont vécue, à un témoignage...
Envoyez vos témoignages, réactions et suggestions à : Abou Soufyane (08 69 24 55) ou écrivez à islaminfoci@ yahoo .fr.
“On m’expliqua que les musulmans croyaient eux aussi’’ en Jésus
ie de couple
Par Cissé
Satisfaire l’épouse
Les deux conjoint étant des novices, qui pourra orienter l’acte sexuel de sorte à satisfaire l’autre ?
Si elle s’y connaît, elle se doit d’orienter son conjoint vers ses parties du corps les plus sensibles, qui suscitent son excitation.
Dans le cas où l’homme et la femme ignorent l’art de la sexualité, il leur faudra dans un premier temps d’en parler en long et en large en se posant des questions, par exemple : qu’est-ce que te plairait que je fasse afin que tu sois exciter ? Chacun d’entre eux doit librement exprimer son sentiment et
sans
ambages.
Deuxièmement, ils doivent mettre en pratique ce qu’ils se sont donnés comme idées.
utile pour tous les deux. Le simple fait que l'époux comprenne la nature sexuelle de la femme, commençant avec douceur puis avançant par étapes, cela sera d'une grande aide pour la femme quant à sa satisfaction et sa jouissance sexuelle.
Il est donc à conseiller au mari de ne point se précipiter et d'apprendre comment jouir dans la phase des attouchements. C'est la clé secrète du consentement de la femme. La précipitation de l'homme nuit à la fusion et à l'harmonie spirituelle du couple. L'homme doit comprendre que la chose nécessite rapprochement et aspiration morale avant tout, ce qui ne peut être qu'avec de la patience et sans précipitation.
Aller pas à pas
Le sexe est un art requérant un temps non pas des moindres, c'est pourquoi l'homme doit savoir que sa femme a besoin de plus de temps que lui pour atteindre l'orgasme. Le temps qu'il passe en cela est un temps
Aime la femme comme une personne non pas comme un objet sexuel
Il ne faut pas considérer ta femme comme un objet sexuel. L'homme gagnera le cœur de sa femme s'il l'aime comme une personne. Les
problèmes et les disputes commencent dans leur vie dès lors que la distance et la mise à l'écart de l'autre apparaissent. Très vite, la femme saura que la seule chose qui les réunit est la chambre à coucher, ce dont se plaignent plusieurs femmes en disant : « Mon mari ne se préoccupe de moi que quand il veut faire l'amour ».
Elle n'est qu'un objet érotique et ne ressent pas au travers du rapport sexuel avec son mari qu'il s'agit d'une manifestation de son amour envers elle et l'attirance de l'un vis-à-vis de l'autre. Au contraire, elle ressent qu'elle est utilisée et c'est précisément ce que la femme ne peut tolérer. L'homme peut faire beaucoup pour montrer son amour envers son épouse en tant que personne, et qu'il tient à elle pour ce qu'elle est et rien d'autre. Si le mari est ainsi, l'amour qu'il porte grandira avant même qu'il ne se soit adressé à sa femme.
Dépuis des années, l’Islam est au centre d’un spectre médiatique déformé. Lourdement décrié, prétendu porteur de tous les défauts et source de tous les maux, caricaturalement dépeint (généralement par ignorance et/ou piètre manipulation), ses valeurs humanistes séduisent pourtant chaque année, de très nombreuses personnes à travers le monde.
« Un jour je suis allé chez le coiffeur pour me couper les cheveux mais celui-ci était absent. Sur le chemin du retour, j’ai rencontré un copain qui allait également au salon de coiffure. Il me dit que celui-ci habite notre quartier alors je l’ai suivi. Là-bas, l’attente était assez longue. Lorsque je me suis apprêté à sortir, les personnes ainsi que le coiffeur se mirent à parler de religion. Soudain, j’eus l’envie de rester. J’ai prêté une grande attention sur chacune des paroles prononcées en ma présence. On m’expliqua que les musulmans croyaient eux aussi en
Jésus. Pas seulement en lui, mais également aux autres prophètes connus dans la Bible ainsi que leurs miracles qui sont confirmés par le Coran. J’étais très étonné de cela ! De là, l’envie d’en savoir plus sur cette religion naquit. Étant curieux, j’ai commencé à beaucoup questionner l’un des frères. Il prit soin d’y répondre mais arrivé à un stade, il n’avait plus les compétences et il me dirigea vers une personne de science qui donnait des cours à la mosquée. C’est là-bas que je j’ai donc commencé mon apprentissage. J’ai rencontré un frère français de souche musulman. Ce qui m’a surpris puisque j’ai toujours cru que les musulmans n’étaient que les arabes. Étonné, j’ai donc voulu savoir pourquoi il était musulman, ses choix, son parcours et un tas de questions. Ensuite, il me passa beaucoup de cassettes et de livres d’Islam. À terme, j’ai pu trouver les réponses à mes interrogations comme par exemple le but de notre existence, ce qu’Allah attendait réellement de nous,
comment devrions-nous le servir etc. Les réponses dedans étaient pour moi très limpides et ne demandent pas à être un érudit pour les comprendre. De même, la simplicité du message de l’Islam, son apport et sa clarté. De même, des réponses claires face au reste, telles les ambiguïtés des autres religions. Ce sera surtout les travaux d’Ahmad Deedat qui m’ont permis de voir les choses claires avec plus de profondeur ainsi que les travaux du scientifique Maurice Bucaille à travers son livre : La Bible, le Coran et la Science. Il me fut très utile dans mon parcours. Après étude, j’ai vu que l’Islam était la religion de vérité. En plus de son miracle littéraire, on ne peut ne pas passer à côté des vérités scientifiques décrites et qui sont découvert pour la plupart à notre ère. Il serait vraiment insensé de dire que cela est une affaire de coïncidence, de rester borner à dire que c’est Muhammad l’auteur du livre et qu’il ne vient pas d’Allah !
stuce beaute
Aïssata Pamanta
Pour des ongles plus blanches
Vous avez les ongles colorés, plus de soucis à vous faire. Voici une recette avec le bicarbonate de soude en tant qu’agent « blanchissant » , pour vos ongles.
Il vous faut:
• 1 vieille brosse à dents
• un peu de bicarbonate de soude
Prenez votre vieille brosse à dents, mouillez-
la un peu. Ensuite saupoudrez un peu de bicarbonate dessus. Brossez parfaitement et doucement vos ongles en dessus et en dessous.
Il ne vous reste plus qu’à rincer pour éliminer l’excès de bicarbonate. Et voilà vos ongles toutes blanches !
। ^adith femme
Aïssata Pamanta
Qu’une femme ne méprise pas sa voisine
D'après Abou Houreira (qu'Allah l'agrée), le Prophète (que la prière d'Allah et son salut soient sur lui) a dit « Ô vous les femmes musulmanes! Qu'aucune d'entre vous ne méprise le bon comportement avec sa voisine, ne serait-ce qu'en lui donnant un pied de mouton ». (Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°6017 et Mouslim dans son Sahih n°1030).
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Premier groupe de presse musulman en Côte d’Ivoire paraissant depuis Ramadan 2005 Tél. : ( 225) 22 42 43 21
Isla-
I ) DIRECTEUR DE PUBLICATION : CISSE Mamadou Cel : 05 94 33 82 ) REDACTEUR EN CHEF : KOULIBALY Y Khayder Cel : 06 24 71 18 > SERVICE COMMERCIAL : CISSE Aïchata ! Cel. : 08 89 36 58/66 89 53 01 iSIEGE SOCIAL ADMINISTRATIF : Boulevard Latrille H-Plateaux Aghien E-mail : islaminfoci@yahoo.fr Site web : http : www.islaminfos-ci.org.... rREGIE । PUBLICITAIRE : Maison de l’Afrique MADINGO Tél. : 22484888 Fax : 22484884.... > DISTIBUTION : Edipresse lEDITEUR : LES EDITIONS AUF SARL au capital de 5.000.000 FCFA DG des Editions
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NTRIBUTION
ADRESSES UTILES
COTE D’IVOIRE, POURQUOI IL EST IMPORTANT DE PARDONNER ?
La récente crise qu’a connue la Côte d’Ivoire reste sans conteste l’un des plus grands traumatismes de son histoire. A preuve, quatre ans après, en dépit des énormes efforts de l’Etat et de la société civile, les positions restent encore tranchées. Au point de créer des fissures dans certaines formations politiques, quant à la conduite à tenir pour solder ce contentieux historique. L’approche de la prochaine élection présidentielle, qui rappelle consciemment ou inconsciemment, les souvenirs laissés par la dernière, ajoute à cette crispation.
Pourquoi donc, jusqu’à ce jour une partie importante des ivoiriens, tous bords politiques confondus, n’arrive-t-elle pas à faire le deuil de cette douloureuse parenthèse de notre histoire ? Essentiellement, parce qu’elle n’a pas encore réussi à demander pardon où à pardonner. Au point où, le premier des Ivoiriens, au cours d’une rencontre avec un échantillon des victimes de la crise postélectorale, le 11 avril dernier a du se lâcher, face à l’indifférence de certains mis en cause. Or, il faut pouvoir pardonner, malgré tout, afin d’ouvrir de nouvelles pages plus radieuses de notre histoire commune.
Au-delà de cette actualité brûlante, l’acte de pardonner est un pan de notre quotidien et nous concerne tous tant individuellement que collectivement. Un acte essentiel et existentiel, tant sont fréquents les couacs de la vie ; alors qu’il est impératif que notre vie poursuive son cours au lieu de s’arrêter définitivement pour des frustrations d’un moment. Question: Comment
repartir donc, après le choc d’une blessure morale ou physique ?
Les psychologues, psychanalystes et les religieux sont unanimes qu’on ne peut réussir à rebondir, sans être arrivé à pardonner ? En effet, la douleur de la blessure ou de la frustration constitue une prison, un univers carcéral impitoyable. Qui nous enferme dans un passé dont on en sort pas et qui nous ferme hermétiquement les portes de l’avenir. Ainsi, nous croyons vivre, alors que la douleur non
encore atténuée enfante la haine, la rancoeur et la rancune, qui nous ramènent toujours à ce passé difficile non digéré. Ainsi, celui-ci crée en nous, une cécité qui ne nous permet d’avoir la lucidité de comprendre le présent pour en saisir ses opportunités, voire d’appréhender l’avenir. Nous devenons comme des passagers indéfiniment assis au bord de la route, alors qu’ils sont supposés embarquer pour voyager. Le pardon est donc un acte de libération de soi-même. Il est porteur d’une forte charge spirituelle qui permet de briser les chaînes de la haine et de la vengeance, pour nous ouvrir les portes de la liberté afin de profiter réellement et intensément de la vie. Donc, d’être heureux.
En effet, le cœur étant le centre de gestation et d’agitation de nos intentions, le débarrasser ainsi de ces éléments corrosifs, permet de l’assainir et de lui redonner ses pleines capacités originelles. Celles de produire continuellement en nous des perspectives optimistes qui entretiennent notre joie de vivre. En résumé, le pardon octroie un grand bénéfice à celui qui s’en sert, en ce sens que c’est un « acte libérateur dans lequel la douleur se dissout et qui permet à l’offensé de redevenir acteur de sa vie, de ne plus subir, voire de revenir plus fort. » Pour la psychologue Nicole Fabre, « pardonner, c’est s’agrandir, c’est laisser en soi la place pour accueillir l’autre. Le vrai chemin de la libération, c’est de franchir le pas
qui permet d’aller au-delà du pardon.»
Malgré tout cela, il faut admettre que pardonner,
« Pardonner, c'est s'agrandir, c'est laisser en soi la place pour accueillir l'autre»
est une démarche difficile et douloureuse. Surtout quand l’accusé se refuse à tout mea culpa ou que la victime en attente de justice a l’impression que celle-ci ne sera jamais rendue. En réalité, ce qu’il faut savoir, c’est que rendre justice n’est pas une condition sine qua non à l’effectivité du pardon. Car, un coupable d’action répréhensible peut être puni par la justice sans que sa victime lui pardonne.
En réalité, la dynamique du pardon naît de la seule volonté de la victime d’affronter son
passé, de le jauger à l’aune d’un certain nombre de critères qui lui sont propres et de s’en
défaire définitivement, pour être véritablement libre et en mesure d’affronter son présent et son futur. Voici l’équation que doivent résoudre nombre d’Ivoiriens pour sortir définitivement de notre douloureux passé récent.
Il est évident que seuls, bon nombre n’y arriveront pas. C’est pourquoi, il est nécessaire qu’un accompagnement psychologique soit mis en place au bénéfice des victimes. La nouvelle Commission nationale de réconciliation et
d’indemnisation des victimes (Conariv), pourrait l’y inclure dans sa mission. Comme on le dit ici en Côte d’Ivoire, « l’argent est bon ; mais l’homme est mieux. ». Pour dire que sans volonté de pardon, l’indemnisation ne suffira à permettre aux victimes d’entrer dans le train national de l’émergence. C’est un travail de communication et
d’encadrement de
proximité qui doit se faire sans partialité et à priori ; et qui doit viser le seul objectif d’aider les victimes à se reconstruire psychologiquement en leur apprenant à pardonner sincèrement, une fois pour toutes. Cela, pour leur propre bien, celui de leurs familles, de leurs collectivités d’origine et de la Côte d’Ivoire. Ainsi, aura-t-on offert « de l’espérance à l’humanité ; en forgeant unis dans la foi nouvelle, la patrie de la vraie fraternité. »
NURUDINE OYEWOLE onurudine @yahoo. fr COMMUNICATEUR
UMAOFCI (Union Musulmane des Association et ONG Féminine en Côte d’Ivoire)
Tél:05 91 77 97/07 90 60 20
» LES ONG Musulmanes
SOUTRAde Divo
Tel : 07 94 50 37
ALMUWASSATTreichville
Tél : 04 74 75 67
ASSOCIATION DES ARTISTES MUSULMANS DECI(2AMCI) 05 BP 368 05
ACHABULKAHAF
Tél : 05 88 72 55
CENTRE D’EDUCATION ET DE RECHERCHE ISLAMIQUE
Tél : 20 22 32 55
FONDATION TIDJANITE DE BIENFAISANCE
Tél :07 071711
FONDATION DJIGUI La grande espérance
Tél : 21 26 33 06/ 07 21 37 60
ONG FEE (Femme
Education et Epanouissement) Tel : 22 42 03 70 06 BP 233 Cidex 1 ABJ 06
Institut International AMIN pour la paix et l’Education
Tél : 08 03 02 03 : 07 83 63 73
Fondation IQRA
Tél : 01 21 60 25/ 05 54 31 31 / 07 09 37 53
Fondation Alif
Tél : 07 22 29 29
ONGTCHRIBILET
Tel : 07 82 78 00
ONG/S.O.S PELERINS
Tel : 01 53 23 22/
07 81 00 91 /05 96 14 93
CSI (Conseil Supérieur Islamique)
Tel: 07 45 62 49/44 08 46 91
05 BP 1314 ABIDJAN 05
ILES RADIOS Musulmanes
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