Issue
An-Nasr Vendredi #149 (Sermon de la fête de l'Aid el Fitr 2006. Imam Marboulaye Nombre)
- Title
- An-Nasr Vendredi #149 (Sermon de la fête de l'Aid el Fitr 2006. Imam Marboulaye Nombre)
- Publisher
- An-Nasr Vendredi
- Date
- February 10, 2006
- issue
- 149
- number of pages
- 4
- Subject
- Marboulaye Nombré
- Khutba
- Association des Élèves et Étudiants Musulmans au Burkina
- Cercle d'Études, de Recherches et de Formation Islamiques
- Aïd el-Fitr
- Civilisation occidentale
- Hadith
- Sunnah
- Rights Holder
- Association des Élèves et Étudiants Musulmans au Burkina
- Language
- Français
- Contributor
- Frédérick Madore
- Identifier
- iwac-issue-0000290
- content
-
n°149 4u 10 Fév. 2006
Loriqui vint 11 ticovn d'Allah ainsi que la victoire, célèbre les louanges de ton Seigneur et implore son pardon à l'occasion de la fête de l’Aïd al-Fitr. Notre journal Anrusr propose ici le sermon prenant yrl'IrmmMarbadaye.
NOMBRE à traiter de l'importance du terrain et de la nécessité de réduire en saeme de la où le Très Haut a proclamé dans le saint Coran : « Le plus M d'entre vous auprès de Dieu, c'est le plus pieux » (Coran 49/13).
Pour nous permettre d'atteindre la piété, il nous a prescrit des actes d'adoration tels que le jeûne, la Zakat, le Hajj et le mois de Ramadan qui est sur le point de s'achever. Allah a voulu à travers le jeûne nous conduire à la piété qui est le sommet de la noblesse de l'être humain. En effet, la finalité du jeûne, c'est la piété et le Très Haut l'a annoncé dans le Coran en disant : « Ô vous qui avez cru, le jeûne vous a été prescrit comme il a été prescrit à ceux d'avant afin que vous soyez pieux » (Coran 2/183).
La nouvelle lune du mois de Shawwal est apparue, le Ramadan. A pris fin et nous célébrons aujourd'hui l'Aïd El Fitr. Nous remercions Dieu pour nous avoir aidés à accomplir le jeûne et pour les bienfaits qu'Il a placés à l'intérieur du mois béni en faveur des musulmans. Le jeûne nous a offert l’occasion de nous purifier. En effet, selon les propos du prophète (saw) : « Celui qui jeûne le mois de Ramadan, avec foi, tout en espérant la récompense divine, ses péchés passés lui sont pardonnés ».
Le mois de Ramadan nous a permis de nous adresser abondamment au Seigneur Allah le Très-Haut à travers les prières. Certains ont pu observer la retraite spirituelle de l'I'tikaf pendant laquelle ils se sont consacrés à Dieu dans la prière et la méditation. D’autres se sont consacrés à la lecture ou au commentaire du Coran. D’autres, encore, ont excellé dans la générosité par divers actes de charité, surtout en offrant des repas pour le jeûne (Sahour) ou la rupture du jeûne (Iftar). Enfin, ceux à qui Dieu a donné les moyens se sont acquittés de la... Zakat el fitr au profit des nécessiteux et en vue de leur jeûne des écarts de langage prohibés durant le jeûne. En ce jour de louanges à l'adresse d’Allah, nous devons exprimer davantage notre solidarité envers les plus démunis et les malades, par des visites et des actes de générosité. Nous ne devons pas oublier de partager les aliments licites avec nos frères et voisins non musulmans. Nous devons continuer dans la consolidation de notre fraternité.
Construire et renforcer la fraternité est un devoir car Allah a décrété dans le Coran : « Les croyants ne sont que des frères. Établissez la concorde entre vos frères, et craignez Dieu, afin qu'on vous fasse miséricorde. » (Coran 49/10)
L'expression de la fraternité n’est pas nécessairement matérielle, c'est d'abord un élan du cœur qui prend sa racine dans l’amour de Dieu, ainsi que Dieu le dit dans le Saint Coran : « Une parole agréable et un pardon valent mieux qu’une aumône suivie d’un tort. Dieu n’a besoin de rien et Il est indulgent. » V263. Que notre fraternité ne s’arrête pas aux portes du Ramadan et qu’elle ne prenne pas l’allure de clubs fermés aux plus faibles des musulmans, ni l’allure d’une sorte de « Nomenklatura » islamique. Il est plus facile et confortable de vivre ensemble quand on est entre intellectuels, entre gens riches, entre élèves et étudiants, entre gens de même ethnie, etc., mais cela conduit à des cercles fermés, à l'exclusion des autres, loin de l’idéal islamique. Ta fraternité musulmane est l'expression de la miséricorde de Dieu et elle doit être ouverte sous peine de dévier de son objectif vers des « sous-fraternités » sectaires et intéressées. Rappelons-nous toujours cette parole du Prophète (paix et salut sur lui) : « Aucune de vous ne sera véritablement croyante tant qu'elle ne souhaite pour son frère ce qu'elle aime pour elle-même, et qu'elle ne déteste pour son frère ce qu'elle déteste pour elle-même. » Il dira par ailleurs : « L'Arabe n'est pas supérieur au non-Arabe. » L'Arabe n'est pas supérieur à l'Arobe, soit en matière de croûte de Dieu. Vous êtes tas d'Adam et Adam (l'homme vert) de la postérité et le plus noble d'être va auprès de Dieu, c'est le plus pieux. Par ce hadith, le prophète entend détruire les préjugés datant de la période de l'ignorance (djahiliyyah). Malheureusement, ces préjugés ont rendu la vie dure. Il n'est pas possible d'édifier une communauté spirituelle sans crainte de Dieu et sans amour du prochain. Quand on craint Dieu, on ne plaisante pas avec ses commandements et quand on aime son prochain, on ne lui fait point de mal et l'on ne reste pas indifférent à ses difficultés, ni à ses succès.
Un des principes de la fraternité islamique est que les vieux soient miséricordieux à l'égard des jeunes et en retour, ceux-ci se doivent d'être respectueux envers les vieux. Il ne faut jamais oublier que les vieux d'aujourd'hui étaient les jeunes d'hier et que les jeunes d'aujourd'hui seront les vieux de demain. Il ne faut jamais oublier cela, afin d’instaurer de bons comportements. qui seront bénéfiques à toutes les générations de jeunes et de vieux. Le même respect recommandé envers les vieux est recommandé envers les enseignants. L'enseignant est considéré comme le père du savoir acquis par l'élève ou l'étudiant. Il a donc droit au respect et les apprenants lui doivent respect.
En cette période de rentrée scolaire, nous encourageons les enseignants et les parents d'élèves à se soutenir mutuellement pour relever le défi de l'éducation de la jeune génération, car l'importance de l'éducation dans la vie de l'individu et de la communauté n'est plus à démontrer. Le Prophète bien-aimé (psl) disait : "La meilleure chose qu'un père puisse léguer à son enfant, c'est une bonne éducation." Le Coran proclame que ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ne seront pas égaux. Cela se constate entre les individus, entre les communautés et entre les nations du monde. Du point de vue de l'Islam, la recherche du savoir est une obligation religieuse. Nous demandons donc aux élèves, aux étudiants et étudiantes. de ne point se laisser divertir dans leurs études et d’obtenir la discipline dans le travail scolaire ou universitaire. Nous demandons particulièrement aux sœurs de tenir bon dans leurs études. Les paroles et les exemples du prophète montrent clairement que l'homme et la femme ont les mêmes droits et devoirs dans l'acquisition et l'application de la science.
Se basant sur la conjoncture économique difficile et le problème du chômage, certains estiment que les longues études ne servent plus à rien. C'est une erreur. La vie en général n'offre sa générosité à une communauté humaine qu'après de longs efforts et de sacrifices en termes de temps, de moyens matériels et en termes de loisirs.
Nous invitons donc les étudiants qui ont le potentiel intellectuel nécessaire pour aller loin dans les études de ne point hésiter à s'y engager, car ils sont attendus sur les différents chantiers où leurs aînés se battent déjà pour construire une société de bien-être. La culture intellectuelle reste un facteur déterminant dans la réussite de cette œuvre de longue haleine. La communauté islamique du Burkina souffre plus de l'analphabétisme, parfois par le refus de certains de ses membres de scolariser leurs enfants. Cela se traduit par le niveau anormalement bas de ses cadres religieux et par un déficit de cadres de haut niveau en général. Le cadre traditionnel de formation religieuse n'a plus son efficacité d'antan et la communauté manque cruellement de structures éducatives.
Cependant, les associations islamiques ont vite pris conscience de ce manque et de la nécessité d'avoir des institutions éducatives modernes qui prendront en compte aussi bien l'éducation scolaire générale que la formation islamique et morale de nos enfants. C'est l'exemple du ŒR-FI et de l'AEEMB qui ont initié des projets dans ce sens. Le ŒR-FI a un projet de construction d'un complexe scolaire à Banfora et l'AEEMB la construction d'un établissement scolaire islamique à Ouagadougou. Certes, ces initiatives sont de l'AEEMB et du ŒR-FI, mais elles restent une réponse à h. préoccupation de la communauté des musulmans toute entière. Nous demandons donc aux frères et aux sœurs de les accompagner dans la réalisation de ces projets qui restent un défi majeur à relever et qui mettra à An-nasr vendredi n° 149 du 23 octobre 2006 Prix 50 F cfâ P. 156. Notre solidarité est un jour de grand rassemblement à la gloire de Dieu, nous ne devons pas oublier de prier pour que la paix et l'entente règnent toujours entre les musulmans que nous sommes et nos frères dans le livre. Dès sa naissance, l'Islam a toujours prôné la cohabitation pacifique entre les musulmans et les adeptes des autres religions. Cette position à principe n'a jamais varié car elle trouve ses racines dans le Coran et la tradition du prophète Muhammad (psl) dont la tolérance n'a jamais été démentie par l'histoire. À partir de son exemple de tolérance à l'égard des autres religions monothéistes, nous devons par le dialogue construire une humanité véritable. Condamnés à partager cette terre, nous devons accepter par réalisme que chaque... créant sa place, sans exclusion « littéraire » basée sur des préjugés majeurs. Malheureusement, des tensions existent entre l'islam et d'autres religions, mais en général, les musulmans ont rarement accepté de provoquer les fidèles des autres religions. Ces tensions sont dues pour la plupart à l'occupation et la colonisation des terres de la Palestine où se trouve la ville sainte d'Al-Qods, le troisième lieu saint de l'islam, après La Mecque et Médine ; à l'oppression et l'occupation de l'Irak et de l'Afghanistan ; aux discours subversifs de certains intellectuels occidentaux qui s'attaquent aux valeurs fondamentales de l'islam par la profanation du Coran et de la personne du prophète (psl) ; à la caricature du Prophète de l'islam faisant un lien entre l'islam et le terrorisme ; aux propos de certains leaders occidentaux déniant la reconnaissance de l'importance de la raison humaine, à leur conception d'un absolu et transcendant ; et à certains propos liant l'islam à la violence à cause de son concept mal compris du Djihad, telle la dernière déclaration du Pape Benoît XVI. paru sur ze-nit.org. "Si nous nous attardons sur ces points, c'est pour rétablir l'équilibre du jugement et éviter que les contre-vérités ne soient finalement prises pour des vérités. En effet, communiquer pour convaincre est pour nous un moyen essentiel, face à la falsification des faits à des fins de dénigrement de l'islam pour en faire une religion détestable. À propos de la violence, nous disons à chacun de relire l'histoire de sa communauté. Il y redécouvrira des faits de violence qui l'obligeront à rester humble et à modérer son jugement à l'égard de l'autre. Si nous revisitons effectivement l'Histoire, nous conviendrons que les croisades n'ont pas été une initiative musulmane ; l’inquisition n'a jamais été une pratique de l'islam ; l'islam n’a rien à voir dans les deux dernières guerres mondiales ; la persécution et la tentative d'extermination des juifs n'ont jamais été le fait des musulmans ; les bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki n'ont jamais été les faits de l'islam. En comparant les réalités d'ailleurs aux réalités musulmanes, nous conviendrons qu'il faut modérer nos jugements les uns sur les autres et rechercher par le dialogue les moyens de lutter contre les causes réelles, et non supposées, de la violence dans le monde. On reproche à l'islam le concept du djihad (résistance), qui serait un concept de violence, mais il n'est pas propre à l'islam car la résistance à l'agression est naturelle et aucun homme épris de liberté ne peut abandonner la résistance pour la soumission volontaire et l'esclavage. C'est par la faiblesse de leur résistance que des peuples ont subi l'esclavage et c'est par la résistance qu'on a pu préserver le monde libre des griffes du nazisme et du fascisme. Qu'étaient les Alliés lors de la Deuxième Guerre mondiale, sinon des résistants? Chaque communauté a eu ses moments de résistance, quel que soit l'appellation qu'on lui ait donnée. Le Djihad par définition n'est pas un moyen d'exercer la violence sur les gens pour les convertir à l'islam. Cela serait en contradiction. avec le Coran qui dit : « point de contrainte en religion » (Coran 2/256). Le mot Djihad signifie effort pour la cause de Dieu. Cet effort peut être physique, intellectuel, financier, et surtout moral. On appelle grand Djihad, l'effort moral qui conduit à la piété dans une vie ordinaire. Le petit Djihad, c'est l'effort de résistance contre l'agression injuste. Il vise la protection et la survie de la communauté. La résistance, qu'on l'appelle Djihad ou non, est naturelle et universelle. Bien sûr que l'agresseur ne saurait apprécier la résistance de sa victime.
La deuxième critique adressée à l'Islam porte sur la place de la raison humaine ou de la rationalité dans la foi musulmane à cause de sa transcendance absolue. Pour répondre à ces détracteurs, nous allons faire appel aux preuves du Coran, de la Sunna et des faits réels de l'Histoire. Dans le Coran nous lisons : « Dans la création des cieux et de la terre, et dans l'alternance du jour et de la nuit, il y a des signes pour les doués d'intelligence » (Coran). 3/90). Ainsi, l’islam présente l'univers comme un grand livre et la raison humaine est l'instrument qui doit aider à la lecture (décodage des signes) de ce livre.
^r vendredi n° 149 du 23 octobre 2006............... Prix 50 F c£ P. 157
Par ailleurs, nous lisons : « Les pires des bêtes auprès d'Allah sont les sourds-muets qui ne raisonnent pas » (Coran 8/22). Le verdict du Coran est clair et sans appel : sans la raison, l'homme ne mérite pas son statut d'homme et serait pire qu'un animal.
Quand le prophète Muhammad (psi) envoya son compagnon bien-aimé Muaz Ibn Djabal comme gouverneur du Yémen, il lui posa des questions pédagogiques dont les réponses contiennent la démarche islamique de résolution des problèmes humains : « Quand tu seras là-bas face à un problème, comment vas-tu t'y prendre pour le résoudre ? » lui demanda le Prophète (psi).
« Je vais recourir aux dispositions du Coran. »
« Si tu n'y trouves pas la réponse, lui demanda le Prophète ? »
« Je vais recourir à la tradition (Sunna) du Prophète de Dieu. »
Et si tu n'y trouves... Pas de réponse, lui demanda encore le Prophète (psl) ? Je vais recourir à la lumière de mon raisonnement. Louange à Dieu qui a mis en accord l'envoyé de l'Envoyé de Dieu avec l'Envoyé de Dieu, conclut le Prophète (psl). Il se dégage ici la démarche graduelle suivante : le Coran (Parole de Dieu) ; la Sunna (tradition du Prophète) ; l'effort de raisonnement (ijtihad). La raison humaine a donc clairement sa place dans l'islam. En effet, en islam, un fou, un mineur, un dormeur pendant son sommeil, sont déchargés de toute responsabilité car ils ne sont pas en pleine possession de leur raison. C'est pourquoi, dire que l’Islam ne fait pas bon ménage avec la raison humaine et donc qu'il est réfractaire à la science et au progrès est une contre-vérité facile à détruire.
Les musulmans ne devraient pas réagir violemment à ces genres de propos car la violence ne doit pas être le moyen de premier choix pour un croyant. Il faut supporter la critique, car elle peut être l'occasion de faire jaillir la lumière. Le prophète de l'Islam a su, Mais le monde musulman n'ayant pas d'unique porte-parole, fait face à des réactions désordonnées dont certaines vont parfois à l'encontre des principes de l'Islam. En effet, s'attaquer à des innocents est anti-islamique et injustifiable. Cependant, il faut arrêter les provocations injustifiables et les violences verbales, expression de la haine, contrairement aux multiples déclarations d'engagement pour le dialogue des civilisations. Le dialogue nous est imposé par la raison, car la terre appartient à tous les humains et ils ne peuvent y cohabiter que par la tolérance et le respect mutuel. Les communautés religieuses du Burkina Faso donnent un exemple de cohabitation pacifique, respectueuse et fraternelle. Nous souhaitons qu'ailleurs cet exemple soit suivi pour préserver la paix dans le monde.
Cela fait cinq ans déjà qu'un pays frère, la Côte d'Ivoire, est dans une tourmente politique sans précédent. La crise ivoirienne n'a fait que trop de victimes, enfoncé le pays autrefois prospère dans un grand retard économique. et exposer la vaillante population à toutes sortes de risques au point de les empoisonner avec des déchets que tous les pays du monde ont refusé dans leur dépositaire. Il est temps de tourner cette page noire de la vie du peuple ivoirien. C'est pourquoi nous lançons un appel à tous les acteurs de la crise, aux médiateurs africains et à la communauté internationale de surpasser leurs intérêts partisans et ne considérer que la souffrance du peuple ivoirien qui n'aspire qu'à la paix, à la coexistence pacifique et au développement amorcé dans les années 2001.
Le grand rassemblement de ce jour étant consacré à la glorification d'Allah, prions Allah d'accorder sa grâce et la paix à tous ceux qui en manquent dans ce monde. Nous prions donc Allah pour la paix en Côte d'Ivoire, au Soudan, en Palestine, en Irak, en Afghanistan et partout ailleurs dans le monde où l'Homme souffre par le fait de son prochain ou de la nature. Le Ramadan est fini et nous sommes venus remercier Dieu et demander son soutien dans la foi et dans les... affaires de la vie. N'oublions pas que Ramadan nous bisse avec des acquis, du progrès sur le chemin de Dieu, celui de la piété. Il nous faut lutter chaque jour pour préserver les acquis du mois de Ramadan. Nous devons donc consolider ces acquis en persévérant dans les prières obligatoires, les prières surérogatoires, l'exécution des autres piliers de l'islam tels que la Zakat et le Hadj, la lecture et la méditation du Coran, le respect des interdits de Dieu, les invocations, la charité, les jeûnes surérogatoires traditionnels, surtout les six jours de jeûne du mois de Chawwal qui vient de commencer, les jeûnes du lundi et du jeudi, et les jeûnes des trois jours de pleine lune situés les 13, 14 et 15 de chaque mois lunaire.
Aujourd’hui, jour de fête, il est interdit de jeûner. C'est le jour du manger, du boire et des jouissances licites. Cependant, les interdits de Dieu restent en vigueur à propos des boissons, de la nourriture et de la conduite morale. Que Dieu agrée notre jeûne et nous accorde d'autres Ramadan dans la piété. santé et la longévité. Excellente fête de ramadan III An-nasr vendredi n° 147 du 23 octobre 2006 Prix 50 FC 6 P. 158
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