o:id 4555 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4555 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Zul-Kifl Salami, chargé de mission du président de la République : « Le Bénin a le vent en poupe vis-à-vis des Fonds arabes » dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/774 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13937 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14672 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/531 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-01-09 dcterms:identifier iwac-article-0002324 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Chargé de mission du président de la République, le ministre d’Etat honoraire Zul-Kifl Salami a échangé avec la presse, vendredi 4 janvier dernier à Cotonou, au sujet des investissements des Fonds arabes au Bénin. Un regain d’activités de ces institutions financières sera noté cette année au Bénin, a-t-il annoncé, du fait de la crédibilité et du renforcement de l’image du Bénin à l’international. Dans cet entretien, il parle de la nouvelle dynamique de la coopération du Bénin avec les bailleurs de fonds arabes, des facteurs de ce regain d’intérêt ainsi que des perspectives en matière de retombées pour le financement des projets portés par le gouvernement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/343 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15059 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14560 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/393 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Chargé de mission du président de la République, le ministre d’Etat honoraire Zul-Kifl Salami a échangé avec la presse, vendredi 4 janvier dernier à Cotonou, au sujet des investissements des Fonds arabes au Bénin. Un regain d’activités de ces institutions financières sera noté cette année au Bénin, a-t-il annoncé, du fait de la crédibilité et du renforcement de l’image du Bénin à l’international. Dans cet entretien, il parle de la nouvelle dynamique de la coopération du Bénin avec les bailleurs de fonds arabes, des facteurs de ce regain d’intérêt ainsi que des perspectives en matière de retombées pour le financement des projets portés par le gouvernement. La Nation : Comment se porte la coopération du Bénin avec les institutions financières arabes ? Zul-Kifl Salami : Notre coopération avec les institutions financières arabes se porte bien, se porte encore mieux avec l’accélération des décaissements pour des projets existants. Et, en 2019, nous allons assister à un regain d’activités des Fonds arabes dans notre pays en termes d’évaluation de nouveaux projets, d’approbation de financement et de signature d’accords de financement. Le chef de l’Etat impulse une nouvelle dynamique à la coopération entre le Bénin et les Fonds arabes qui constituent des partenaires de choix pour le développement de notre pays. Qu’est-ce qui explique ce regain d’intérêt ? Il faut noter un renforcement de l’image et de la crédibilité de notre pays auprès des Fonds et banques arabes. Je vais l’illustrer par deux événements qui sont intervenus en novembre et décembre 2018, à savoir deux invitations qui ont été faites au Bénin, à travers ma personne, pour prendre part à deux fora. Le premier, c’est le Forum arabo-africain de promotion de l’investissement et du commerce. Il s’est tenu les 22 et 23 novembre 2018 à Addis-Abeba. Le second porte sur le rôle des Fonds arabes dans la promotion des Objectifs de développement durable (Odd) et a eu lieu à Khartoum, les 5 et 6 décembre 2018 avec la Banque mondiale. J’en parle, parce que j’ai eu le privilège, et c’est le Bénin qui était à l’honneur, de présider le premier forum qui a enregistré la participation des sommités des finances au niveau des pays arabes ainsi que le second qui s’est déroulé en coopération avec la Banque mondiale. Ce n’est donc pas le fait du hasard si le Bénin a été désigné pour assurer la conduite de ces événements, tout simplement parce que notre pays a du crédit, notre pays a une image renforcée au niveau des bailleurs de fonds internationaux, particulièrement les Fonds arabes. Ensuite, notre crédibilité est renforcée à travers des résultats du Programme d’actions du gouvernement ‘’Le Bénin révélé’’ et des efforts extraordinaires sont fournis pour la restructuration de l’économie. Le Fonds monétaire international (Fmi), à travers sa troisième revue, a donné satisfecit à notre pays et cela a conduit au décaissement de 22 millions de dollars au titre de la Facilité élargie de crédit. Standard & Poor's, l’une des trois agences internationales de notation financière, a donné à notre pays la notation B+ stable. La Banque mondiale a surclassé notre pays par rapport aux années passées parce que l’environnement des affaires s’améliore. Quelles sont les retombées de ce renforcement de l’image en termes de mobilisation de ressources pour le pays ? On assiste à une accélération des décaissements des projets en cours d’exécution. Cette accélération vaut son pesant d’or parce qu’un projet a beau être financé, mais si les décaissements ne suivent pas, le projet ne portera pas l’impact qui lui est assigné au moment de l’évaluation. Le Bénin a bénéficié récemment d’un décaissement de 2,5 milliards F Cfa de la part du Fonds saoudien de développement, au titre de la clôture du Projet de lutte contre l’érosion côtière. La Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) lui a emboîté le pas en décaissant de manière accélérée 490 millions pour le même projet. Cette banque, il y a quelques semaines, a décaissé 1,7 milliard pour le projet de microfinance aux plus démunis. Nous attendons dans un avenir très proche le décaissement de 3,6 milliards par le Fonds koweitien de développement. Cette accélération des décaissements est un indicateur très significatif du renforcement de l’image du Bénin auprès de ces institutions. Car, c’est une manière d’accompagner le Programme d’actions du gouvernement, d’accompagner les investissements qui sont en cours de réalisation. A cela, il faut ajouter que l’hôpital de Savè, financé par le Fonds saoudien de développement à hauteur de 5,4 milliards, a été relancé. En principe, d’ici à la fin de l’année, on aura le plaisir d’assister à l’inauguration de cet ouvrage sanitaire. L’hôpital de Savè vient à la suite de l’Université agricole de Kétou qui a été financée par le même Fonds saoudien à hauteur de 4,5 milliards et dont l’inauguration a eu lieu l’année dernière avec une forte délégation arrivée de Ryad. Ces éléments montrent à l’évidence que nous avons le vent en poupe vis-à-vis des Fonds arabes. Le Fonds de l’Opep pour le développement international (Ofid) a signé avec le Bénin tout récemment un accord de 13 milliards F Cfa au titre du bouclage du financement du projet de construction de la route Malanville - Kandi - Beroubouay. Une route dont les travaux sont financés en partie par la Banque islamique de développement (Bid). Ces résultats doivent être entretenus par le gouvernement dans la poursuite des réformes structurelles, dans la poursuite de la bonne gouvernance et le leadership exemplaire du chef de l’Etat auquel nous assistons et qui est magnifié par la communauté internationale. Comment tirer davantage profit de cette crédibilité dont jouit le Bénin ? Mon rôle, comme bien d’autres collègues, est d’assurer le marketing du Bénin à travers ses résultats tangibles. Et ce marketing permet précisément d’attirer davantage l’attention des partenaires arabes sur notre pays et les inviter à investir, à soutenir le Programme d’actions du gouvernement. A ce sujet, nous avons déjà placé auprès de la Badea, du Fonds saoudien, du Fonds koweitien de développement, un certain nombre de projets phares, notamment le Projet d’accès durable et sécurisé à l’énergie électrique (Padsbee 2019-2025) d’un montant de 1150 milliards F Cfa qui sera réalisé par phase, le grand projet du secteur éducatif que constituent l’Université nationale d’agriculture de Kétou et l’Université des sciences, technologies, ingénierie et mathématiques d’Abomey pour un coût global de 341 milliards. Le projet de construction de logements sociaux appuyé par d’autres bailleurs sera également pris en compte par les missions qui arriveront. L’autre projet qui a un impact réel sur les populations, c’est la microfinance. Le président de la Badea, Dr Sidi Ould Tah, lorsqu’il est arrivé au Bénin, a rendu visite aux femmes qui bénéficient des microcrédits. Très content et très satisfait des résultats, il a dit qu’il est prêt à donner Badea 3 après le Badea 2 qui est en cours. La mission qui arrivera bientôt collectera des informations sur les résultats et les performances de la phase 2 et engagera la procédure pour l’octroi d’un financement pour la phase 3. C’est dire qu’il y a beaucoup de choses qui se mettront en place au titre de l'année 2019. Tout le Bénin était en chantier en 2018, mais il le sera encore plus en 2019. Et, comme l’a dit le chef de l’Etat, l'on doit se mettre au travail. Car, le tout n’est pas d’avoir le financement. Il est important que les projets soient exécutés suivant les règles de l’art et de manière accélérée. Car, le meilleur avocat vis-à-vis des bailleurs de fonds d’un pays, c’est essentiellement l’accélération de l’exécution des projets. La vocation d’une institution financière internationale, notamment les Fonds arabes, ce n’est pas de donner de l’argent, mais créer l’impact sur les populations, assurer le développement des pays. Dès cet instant, un pays qui s’outille pour aller à pas accélérés dans l’exécution des projets, a toutes les chances de mobiliser davantage de ressources auprès de ces institutions. Et, c’est le message fort du chef de l’Etat dans son discours sur l’état de la Nation. 2019 connaîtra un regain d’activité de notre coopération avec les institutions financières arabes. Les acteurs ici au Bénin doivent pouvoir accompagner ce mouvement pour qu’on le transforme rapidement en financement de projets du Programme d’actions du gouvernement. On peut aller même au-delà des prévisions de ce programme. Si je prends, par exemple, le secteur de l’énergie, où le Bénin est en train de réaliser des performances remarquables, des investissements additionnels hors programme du gouvernement peuvent permettre au pays d’être le vendeur d’électricité dans la région. C’est dire que le travail qui se fait, cette dynamique qu’impulse le chef de l’Etat à notre coopération avec les institutions financières arabes, portera véritablement des fruits remarquables au cours de cette année. Propos recueillis par Claude Urbain PLAGBETO fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/18948-zul-kifl-salami-charge-de-mission-du-president-de-la-republique-le-benin-a-le-vent-en-poupe-vis-a-vis-des-fonds-arabes -- o:id 4556 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4556 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Faroq, Ahmad, président de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin : « Ceux qui comprennent ce qu’est la religion servent l’humanité » dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1556 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15285 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-01-16 dcterms:identifier iwac-article-0002325 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Depuis plusieurs années, la Jama’at islamique Ahmadiyya, une association religieuse, s’investit pour le bien-être des populations dans plusieurs pays du monde. Quelles sont les valeurs qu’elle prône ? Le président de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin, Farooq Ahmad, apporte des clarifications à ce sujet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/549 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/427 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Depuis plusieurs années, la Jama’at islamique Ahmadiyya, une association religieuse, s’investit pour le bien-être des populations dans plusieurs pays du monde. Quelles sont les valeurs qu’elle prône ? Le président de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin, Farooq Ahmad, apporte des clarifications à ce sujet. La Nation : Monsieur le président, quel sens revêt vos diverses actions au profit de la communauté ? Farooq Ahmad : Ahmadiyya s’investit beaucoup pour le développement de la communauté. Le fondateur de l’association Ahmadiyya qui est une communauté religieuse, a compris qu’il faut adorer Dieu qui est unique tout en étant en harmonie avec l’humanité. Malheureusement, aujourd’hui, le fidèle a oublié le deuxième pan de la religion, à savoir aider l’humanité. Autour de nous, nous allons constater qu’il y a beaucoup de mosquées, d’églises, de synagogues, mais est-ce que toutes ces confessions religieuses pensent vraiment aux problèmes de la communauté ? Non ! En effet, nous négligeons une recommandation du créateur. C’est la raison fondamentale pour laquelle la Jama’at islamique Ahmadiyya œuvre pour le développement social et humanitaire. Pour nous, c’est un devoir religieux. S’il y a des catastrophes, nous intervenons, nous avons aussi de projets de développement à court et long termes. Nous intervenons également dans l’éducation, l’accès à l’eau potable, l’énergie solaire. Ces projets sont donc permanents. Nous avons des projets périodiques dont ceux liés à l’inondation, aux problèmes naturels. Avant toute action au profit de la communauté, ce sont les autorités locales ou étatiques qui nous saisissent d’abord. On ne se lève pas de nous-mêmes pour aller poser des actions. Nous avons une procédure bien précise. Nous sommes en relation avec différents ministères dont le ministère de l’Eau, de l’Energie, de la Santé pour des projets qui relèvent de leurs domaines. Lorsqu’une autorité locale nous saisit, nous nous référons d’abord au ministère en charge du projet demandé pour les formalités administratives. Il n’y a donc pas de saisine individuelle sauf en cas de force majeure. Quelles sont les relations que vous entretenez avec les autres confessions religieuses ? Nous avons de très bonnes relations avec les autres religions, notamment la communauté endogène dont les différents responsables tiennent des séances d’échanges avec nous, les chrétiens catholiques, les évangéliques, les célestes ainsi que les musulmans. Nous organisons des conférences interreligieuses. L’année dernière, nous en avons organisé dans chaque département du Bénin pour qu’ensemble, nous soyons unis pour le développement du pays. Car, sans la paix, il n’y a pas de développement. C’est ceux qui ne comprennent pas ce qu’est la religion qui parlent mal des autres. Ceux qui comprennent vraiment la religion servent l’humanité. Tous les messagers et prophètes comme Abraham, Moïse, Mahomet ont tous prêché pour aider l’humanité. Et, s’ils ont prêché dans ce sens, pourquoi ne pas encourager les pratiquants au lieu de médire d’eux ? Dans toutes les religions, il est attendu un réformateur. Si nous prenons le judaïsme, ils attendent et espèrent le retour de leur prophète. Les fidèles du christianisme, également, attendent un prophète. Qu’est-ce qui différencie l’association Ahmadiyya de l’idéologie islamiste ? Les musulmans eux aussi attendent un réformateur, un prophète après le prophète Mahomet. Nous, les musulmans Ahmadiyya, nous estimons que c’est la même personne qui est attendue par toutes les religions. Ce réformateur entend mettre toutes les religions ensemble, que ça soit le judaïsme, le christianisme, les musulmans, l’hindouisme et autres. Donc, notre fondateur, quand il arrive, il nous demande de travailler dans la dynamique Ahmadiyya en commençant par présenter les religions musulmanes authentiques. Pour lui, la guerre sainte dont nous parlons n’est pas ce que pensent certains. La guerre sainte, c’est une guerre imposée en ce sens qu’il fallait se défendre au lieu d’être offensif et d’attaquer les gens. Le combat qu’il a mené, lui, ce sont des guerres défensives. A Ahmadiyya, nous disons qu’il faut être bon pour la société, il faut être bon pour les citoyens. Donc, pour notre fondateur, lorsqu’on parle de guerre sainte, il s’agit de réformer soi-même, se débarrasser de son ego. Cependant, certains musulmans estiment qu’Ahmadiyya a orienté la loi islamique. Aussi, d’autres disent-ils qu’un autre réformateur reviendra. Mais chez nous, à Ahmadiyya, c’est notre fondateur qui est le réformateur. Voilà donc la petite différence que nous avons avec les autres musulmans et les autres religieux. D’où est partie l’idée de cette association? Notre fondateur s’appelle Hadrat Mirza Ghulam Ahmad. Il est né dans un petit village dénommé Cadian en Inde. C’est pour ça qu’on parle des ‘’Cardianis’’ pour signifier qu’Ahmadiyya a commencé dans un petit village. En ce temps-là, il n’y avait même pas de route pour aller dans ce village. C’est en 1928 que les rails ont pris par ce village. Ahmadiyya a été créée le 23 mars 1889 et a véritablement commencé par œuvrer en 1891 pour assister les communautés. En son temps, le fondateur s’est proclamé réformateur. Qu’il est venu pour réformer le monde. Donc, il lisait des serments de fidélité pour purifier les gens. C’est dans les années 1890 qu’il a proclamé être le messie qui est revenu, pour vulgariser les enseignements du Christ. En 1891, il annonce qu’il est le remplaçant du prophète Mahomet. En cette période, il était également persécuté. Il est décédé en 1908, il s’en est suivi quatre successions. Actuellement, c’est le 5e Khalif qui dirige la communauté Ahmadiyya dans le monde. Aujourd’hui, Ahmadiyya est présent dans 213 pays du monde. Au Ghana et au Nigeria, nous avons déjà célébré nos 100 ans, même en Sierra Leone. Nous avons commencé en Inde qui a été colonisée par les Anglais. C’est depuis 1914 que nous sommes là-bas. La toute première mosquée de Londres, c’est Ahmadiyya qui l’a construite en 1924. Vous intervenez dans 213 pays, mais comment mobilisez-vous le financement ? Concernant le financement, c’est l’association qui s’autofinance. Si nous avons chacun 25 F Cfa et que nous sommes sincères pour travailler ensemble, nous ferons quelque chose de potable. Chaque membre de la communauté Ahmadiyya contribue à hauteur de 1/16 de son revenu mensuel. Et, il y a des membres qui sont testateurs et qui donnent la dîme comme moi. Chaque mois, l’argent que je perçois de ma famille, de la communauté, je donne 1/10, de même que mon épouse. Tous les membres de la communauté Ahmadiyya contribuent. Nous avons plusieurs contributions. Il y a une contribution pour le développement, c’est-à-dire qu’il faut contribuer pour aider l’humanité. L’idée émane d’une Ong créée en 1916 en Angleterre et dénommée Humanity first. Elle fonctionne de telle sorte que les pays développés prennent en charge les pays sous-développés. Par exemple, au Bénin, nous sommes sous l’Allemagne. Il y a des projets que nous réalisons sur fonds propres, mais il y a d’autres projets qui nous dépassent et nous faisons appel aux partenaires européens tels que l’Allemagne. C’est le cas d’un projet de réhabilitation de 200 forages et de construction de 50 nouveaux. Le ministre d’Etat a envoyé la lettre et le Khalif a marqué son accord. Les membres de l’association s’investissent pour le développement de la communauté en mettant également leur savoir-faire professionnel à son service. Par exemple, nous avons des médecins étrangers qui, au cours de leurs congés, viennent volontairement pour travailler dans nos hôpitaux. Nous avons également des projets de réhabilitation et de construction de forages dénommés International association of amhadi architects and engineers (Iaaae) qui utilisent des ingénieurs étrangers qui viennent pendant leurs congés travailler en Afrique. Voilà le fonctionnement de Ahmadiyya qui n’est pas fondé sur l’argent, mais plutôt sur les hommes. Aujourd’hui, au Burkina Faso, un grand hôpital est en construction par des membres anglais d’un âge donné pour des opérations chirurgicales de réimplantation d’organes. Le Bénin devrait également en bénéficier, mais l’indisponibilité de terrain nous bloque pour le moment. Nous avons demandé plusieurs fois aux autorités de nous octroyer un terrain pour une construction d’envergure mais en vain. Mais nous ne désespérons pas. Propos recueillis par Babylas ATINKPAHOUN fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/18987-faroq-ahmad-president-de-la-jama-at-islamique-ahmadiyya-du-benin-ceux-qui-comprennent-ce-qu-est-la-religion-servent-l-humanite -- o:id 4557 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4557 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Promotion du dialogue interreligieux : le cheval de bataille de la Jama'at islamique Ahmadiyya dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1959 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2019 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14615 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-01-28 dcterms:identifier iwac-article-0002326 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La salle des fêtes de la mairie de Parakou a servi de cadre, samedi 26 janvier dernier, à une conférence interreligieuse. Organisée par la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin à l'attention des leaders et dignitaires religieux de toutes obédiences, l’objectif de la séance est de renforcer le dialogue entre les différentes religions. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La salle des fêtes de la mairie de Parakou a servi de cadre, samedi 26 janvier dernier, à une conférence interreligieuse. Organisée par la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin à l'attention des leaders et dignitaires religieux de toutes obédiences, l’objectif de la séance est de renforcer le dialogue entre les différentes religions. La conférence interreligieuse organisée par la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, samedi 26 janvier dernier à Parakou, a pour thème « Religion et intégrisme ». Elle vise à favoriser les échanges entre les différents dignitaires religieux afin qu’ils se connaissent mieux et s’acceptent. Ce qui, à travers un dialogue interreligieux, leur permettra de prendre de résolutions pour une cohabitation pacifique. Pour la Jama'at islamique Ahmadiyya, aucune religion n'enseigne la violence encore moins le terrorisme. C'est pourquoi il est important d’amener les hommes à prendre conscience et à s’approprier les vertus de la tolérance religieuse. Dans son exposé, le conférencier principal, Loukmane Bissiriou, a fait observer que l'islam est une religion de soumission aux volontés d'Allah et à la paix. Il a montré la démarcation qu'il est utile de faire entre l'islam et les actes répréhensibles individuels posés par certains fidèles musulmans. Ce qui fait que l'islam est parfois considéré comme une religion agressive et terroriste, par certaines personnes. Or, insistera le conférencier, chaque musulman est responsable de ses actes. Selon lui, l'harmonie et la paix entre les différentes religions du monde doit être la quête de tout musulman. Il souhaite que l’on œuvre pour la paix à travers des comportements vertueux et pacifiques, en laissant le libre choix aux autres. Loukmane Bissiriou recommande surtout de ne pas chercher à imposer son choix à l'autre. Car, pour lui, « l'épée peut conquérir des territoires, mais pas les cœurs ; la force peut faire courber les têtes, mais pas les esprits ». Présent à la séance, le premier adjoint au maire de Parakou, Ibrahim Chabi Mama, a remercié la Jama'at islamique Ahmadiyya pour ses œuvres sociales dans les domaines de l'éducation, de l'accès à l'eau potable et de l'énergie solaire. Il a ensuite rappelé que cette communauté enseigne la culture de la paix entre les religions par l'islam. Le premier adjoint au maire reste convaincu que le dialogue entre les religions est le remède aux troubles à l'humanité et qu’il permettra de lutter efficacement contre les idées extrémistes pour un monde pacifique. Ce à quoi s'investit la Jama'at islamique Ahmadiyya depuis longtemps ; cette conférence interreligieuse étant à sa deuxième édition à Parakou. Pour le représentant du préfet, Eugène Agboton, cette initiative promeut la paix et la sécurité au sein d'une même religion et avec les autres. Il a témoigné la gratitude du préfet du Borgou aux responsables de la Jama'at islamique Ahmadiyya, pour les nombreuses œuvres en faveur des couches défavorisées. Narcisse Lihouhinto, chef service des cultes au ministère de l'Intérieur, a également abondé dans le même sens. Il s'agit, selon lui, de mettre la jeunesse face à ses responsabilités et surtout d’amener les religions à comprendre qu'elles doivent éviter de se combattre, pour une cohabitation pacifique dans un dialogue interreligieux sincère. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240315061550/https://lanation.bj/societe/promotion-du-dialogue-interreligieux-le-cheval-de-bataille-de-la-jamaat-islamique-ahmadiyya -- o:id 4558 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4558 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Voyage aux Emirats arabes unis : Aurélien Agbénonci réchauffe l’axe Abu Dhabi-Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-03-06 dcterms:identifier iwac-article-0002327 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération a pris part aux Emirats arabes unis, les 1er et 2 mars derniers à la 46e session de la conférence des ministres des Affaires étrangères de l’Organisation de la coopération islamique (Oci). Le patron de la diplomatie béninoise a profité de son séjour pour s’entretenir avec la secrétaire d’Etat pour la coopération internationale des Emirats arabes unis, relançant ainsi les projets en attente et définissant de nouvelles priorités pour les rapports entre les deux pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13927 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/309 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/330 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/407 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/409 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération a pris part aux Emirats arabes unis, les 1er et 2 mars derniers à la 46e session de la conférence des ministres des Affaires étrangères de l’Organisation de la coopération islamique (Oci). Le patron de la diplomatie béninoise a profité de son séjour pour s’entretenir avec la secrétaire d’Etat pour la coopération internationale des Emirats arabes unis, relançant ainsi les projets en attente et définissant de nouvelles priorités pour les rapports entre les deux pays. Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Aurélien Agbénonci, est rentré lundi 4 mars dernier à Cotonou après un séjour de quelques jours à Abu Dhabi. Un séjour au pas de charges qui a permis au ministre de poser des actes significatifs engageant la diplomatie béninoise avec un fort impact sur le développement du pays. Il a, dans un premier temps, les 1er et 2 mars, pris part à la 46e session de la conférence des ministres des Affaires étrangères de l’Organisation de la coopération islamique (Oci) placée cette année sous le thème ‘‘Session des cinquante ans de coopération inter-islamique : feuille de route pour la prospérité et le développement’’. Il était question pour les participants réunis en terre arabe de se pencher sur la nécessité de trouver des réponses justes et efficaces aux mutations profondes qui s’observent dans le monde musulman et dont les conséquences donnent lieu à de grandes perturbations sur le développement des Etats membres de l’Oci dans leur ensemble. La rencontre s’est tenue « dans un contexte où le monde musulman se trouve confronté à d’énormes défis d’ordre politique, sécuritaire et socio-économique. La question de la Palestine reste toujours entière et tend même à se compliquer davantage ». Les travaux ont donc fait une place de choix à la « recherche d’une solution juste et équitable à la situation en Palestine ». En clair, le conflit arabo-israélien reste l’une des préoccupations majeures de l’Oci. Les foyers de tension dans certains pays de l’Organisation ont aussi préoccupé les participants à cette 46e conférence. « Les conflits en Syrie, au Yémen, en Libye, en Irak, en Somalie, en Afghanistan, au Mali, au Nigeria et dans bien d’autres pays membres font appel à des mécanismes de pacification qui ont fait l’objet de réflexions préalables dans le cadre des réunions préparatoires de la conférence ». En Afrique, les cas de Boko Haram et la situation dans le Sahel ont fait l’objet de discussions, surtout parce que le phénomène va au-delà de ces pays et gagne progressivement toute la sous-région ouest-africaine qui est désormais en état d’alerte. Du soutien pour le Pag Au nombre des rencontres du ministre Aurélien Agbénonci en marge de sa participation aux travaux de cette conférence, il faut surtout retenir l’audience qu’il a accordée à madame Reem Ibrahim Al Hashemi, secrétaire d’Etat pour la Coopération internationale des Emirats arabes unis. Les deux personnalités ont, dans un premier temps, fait une brève revue de la coopération bilatérale. Des discussions entre les deux personnalités, il est à retenir que l’axe Abu Dhabi-Cotonou se porte à merveille. Mais les deux diplomates ont convenu de lui donner plus de punch dans l’intérêt des deux nations. Le ministre Aurélien Agbénonci, à l’occasion, a particulièrement apprécié le « geste d’ouverture » de ce pays en direction du Bénin. Ouverture qui a pour but « de consolider les relations diplomatiques ». Côté Emirats arabes unis, les accords concernant la promotion et la protection réciproques des investissements, et autres conventions signés avec le Bénin sont en bonne voie et cela est fort apprécié. Ce que souhaitent les deux Etats désormais, c’est de relancer la coopération et de la rendre plus dynamique, dans la logique de la vision de développement du président Patrice Talon. Dans cette veine, plusieurs projets contenus dans le Programme d’actions du gouvernement (Pag) ont retenu l’attention des autorités d’Abu Dhabi. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/19269-voyage-aux-emirats-arabes-unis-aurelien-agbenonci-rechauffe-l-axe-abu-dhabi-cotonou -- o:id 4559 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4559 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de l'Aïd El Fitr à Natitingou : exhortations à la piété dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-06-25 dcterms:identifier iwac-article-0002328 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane a célébré ce dimanche à Natitingou l’Aïd El Fitr. Ceci au terme de 30 jours de jeûne. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/469 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane a célébré ce dimanche à Natitingou l’Aïd El Fitr. Ceci au terme de 30 jours de jeûne. Personne au sein de la communauté musulmane ne semble vouloir rater les premières prières de ce dimanche. Tôt, près d'un millier de fidèles s'est porté vers la place Idi dans la Cité des Nanto pour suivre les exhortations de Check Nourou Dine Mouhamed Sanni, imam de la mosquée centrale de Natitingou. Ce dernier invoque Allah pour ce temps solennel de carême et exhorte les fidèles musulmans à poursuivre la méditation, tel que recommandé par le coran. « Il faut que le fidèle musulman soit un exemple dans tout ce qu’il fait. Qu’à travers ses comportements, sa pensée, sa parole il puisse influer positivement sur son univers », note-t-il. Devant fidèles et autorités politico-administratives de la commune, il met en garde contre toute déviance et appelle à la prière permanente pour préserver la paix dans le pays. L’homme ne devrait pas se comporter tel un animal, prévient-il tout en appelant à une communion permanente avec le Créateur. « Les fêtes musulmanes comme le Aïd El Fitr ne doivent pas être pour le musulman des occasions d’errance, de péché et de déviance. Le musulman doit se respecter et se faire respecter à travers l’islam, toujours s’investir dans de bonnes œuvres et privilégier l’amour du prochain, être un modèle dans la société en matière de solidarité, de l’unité, de la promotion des valeurs de paix », précise-t-il. Avant de prier pour les dirigeants du pays. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/13305-celebration-de-l-aid-el-fitr-a-natitingou-exhortations-a-la-piete -- o:id 4560 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4560 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration du Ramadan : les Ahmaddiyya de Bohicon prient pour le Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1383 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-06-25 dcterms:identifier iwac-article-0002329 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté Ahmaddiyya de Bohicon a célébré ce dimanche 25 juin le Ramadan, qui marque la fin du mois du jeûne musulman. Autour de leur imam Arif Mahmood, les fidèles musulmans ont aussi sacrifié à cette tradition islamique en priant aussi pour le Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté Ahmaddiyya de Bohicon a célébré ce dimanche 25 juin le Ramadan, qui marque la fin du mois du jeûne musulman. Autour de leur imam Arif Mahmood, les fidèles musulmans ont aussi sacrifié à cette tradition islamique en priant aussi pour le Bénin. Le carême musulman est l’une des prescriptions du livre saint des musulmans qu’est le Coran. Le mois du carême est donc un mois sain pour tout bon musulman. Après 30 jours de jeûne, l’imam de la mosquée Ahmaddiyya de Bohicon, Arif Mahmood a, au cours de la séance de prière prêché essentiellement pour la solidarité, la tolérance et la paix au Bénin et dans le monde. Le mois de jeûne est donc le plus spécial pour Dieu parmi les autres mois de l’année, a-t-il indiqué. A cet effet, les musulmans ont fait preuve de pardon, de piété, de partage, de tolérance et surtout de solidarité. Ainsi, après un mois de privation, d’abstinence et d’intenses prières, le bon musulman est dans de bonnes prédispositions pour que ses prières soient exaucées par le miséricordieux Allah et qu’ils attendent aussi les bénédictions divines. C’est donc pour saisir cette occasion de la période de bénédictions qu’au cours de son prêche, l’imam de la mosquée Ahmaddiyya n’a pas manqué de prier pour le Bénin, ses dirigeants, les malades, les prisonniers et tous ceux qui traversent des moments de difficultés. Il a invité par ailleurs les uns et les autres à suivre la parole du créateur et à bien se comporter. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/13303-celebration-du-ramadan-les-ahmaddiyya-de-bohicon-prient-pour-le-benin -- o:id 4561 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4561 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Aïd al-Fitr : paix et Prières pour la nation et ses dirigeants dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12875 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-06-25 dcterms:identifier iwac-article-0002330 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans ont commémoré dimanche 25 juin, la fête de l’Aïd al-Fitr. Cette célébration qui marque la fin du jeûne musulman a été l’occasion de prier un peu partout pour le Bénin et ses dirigeants. Ce fut également le cas à la place Idi de Akpakpa-Sobetex. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans ont commémoré dimanche 25 juin, la fête de l’Aïd al-Fitr. Cette célébration qui marque la fin du jeûne musulman a été l’occasion de prier un peu partout pour le Bénin et ses dirigeants. Ce fut également le cas à la place Idi de Akpakpa-Sobetex. « Qu’Allah exauce notre jeûne, qu’il exauce nos prières, qu’il accorde à notre pays la paix et la prospérité, qu’il donne pleine santé à nos dirigeants notamment au chef de l’Etat, chef du gouvernement, afin qu’il puisse remplir la tâche à lui confiée ». Ainsi a prié, dimanche 25 juin à la grande place Idi de Akpakpa-Sobetex, l’imam Ibrahim Ousman de la mosquée centrale de Cotonou Joncquet au terme de son prêche. Face à des dizaines de fidèles rassemblés pour la traditionnelle prière qui sanctionne la fin du mois de jeûne, l’imam a exhorté les musulmans à persévérer dans la prière. Comme lui, nombre de fidèles ont adhéré à cette requête de prière pour le Bénin et ses dirigeants. « Nous demandons à Dieu de nous pardonner nos fautes et de nous combler par ses nombreuses grâces. Qu’il accorde la santé et la longévité à nos dirigeants », a aussi prié Soulé Mana Lawani, ancien ministre des Finances et fidèle musulman. C’est d’abord au cours de son prêche que l’imam a insisté sur la prière et la place qu’elle doit prendre pour la paix dans le pays. Une paix qu’il a souhaitée très profonde aux dirigeants afin que ceux-ci aient la force pour conduire le pays vers le développement. Pour cela, il a indiqué le chemin à suivre : celui de la piété. « Le but visé par le jeûne est d’enseigner et d’accompagner les fidèles à atteindre la piété. Mais on ne peut l’atteindre qu’en observant des prescriptions divines », prévient l’imam Ibrahim Ousman. Il ne s’agit ici, nuance-t-il, de s’abstenir seulement de boire et de manger, mais surtout de l’abstinence de tout acte de turpitude. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/aid-al-fitr-paix-et-prieres-pour-la-nation-et-ses-dirigeants -- o:id 4562 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4562 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Ramadan 2017 : sous le signe de la repentance à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1402 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-06-25 dcterms:identifier iwac-article-0002331 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane de Porto-Novo fête ce dimanche 25 juin le Ramadan. Les fidèles étaient très nombreux à la grande Place idi de la ville où s'est déroulée comme d'habitude la prière consacrant la fin du mois de jeûne. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane de Porto-Novo fête ce dimanche 25 juin le Ramadan. Les fidèles étaient très nombreux à la grande Place idi de la ville où s'est déroulée comme d'habitude la prière consacrant la fin du mois de jeûne. La prière a été présidée par l'iman de Porto-Novo, Houzeifa Amzat, président de l'Union islamique du Bénin en présence des autorités politico-administratives conduites par le préfet du département de l'Ouémé Joachim Apithy. Dans son sermon, en langues arabe, yoruba et française, l'iman a prié Allah d'exaucer les prières de la communauté musulmane qui a jeûné pendant trente jours. Il a invite les fidèles musulmans à cultiver les vertus de la repentance, du pardon, de l'humilité, de la tolérance et de la paix autour d'eux pour être en harmonie avec Allah et bénéficier de ses grâces et bénédictions. En sa qualité de président de l'Union islamique du Bénin, Houzeifa Amzat a prié pour le renforcement de la paix sur le Bénin et de la santé du chef de l'Etat, Patrice Talon. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413075320/https://lanation.bj/actualites/ramadan-2017-sous-le-signe-de-la-repentance-a-porto-novo -- o:id 4563 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4563 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Aïd-El-fitr, 2017 : Lokossa a prié pour la santé et le PAG dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13497 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15148 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13708 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-06-25 dcterms:identifier iwac-article-0002332 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract « On ne peut rien faire, s’il n’y a la santé », a rappelé, ce dimanche, Abdou Nouhou alias Babavi, chef religieux des fidèles musulmans qui ont pris leurs quartiers de célébration, de l’Aïd-El-fitr, à la place Idi de Zongo, à Lokossa. Il a fait ce rappel pour exhorter ses coreligionnaires à intégrer à leurs prières, le rétablissement total de la santé du chef de l’Etat. Ce qui, selon lui, est le gage d’une bonne conduite de l’exécution du Programme d’actions du gouvernement (Pag 2016-2021). « Nos prières quotidiennes doivent porter sur cette intention pour que le Bénin étonne encore le monde entier », a-t-il préconisé. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/468 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content « On ne peut rien faire, s’il n’y a la santé », a rappelé, ce dimanche, Abdou Nouhou alias Babavi, chef religieux des fidèles musulmans qui ont pris leurs quartiers de célébration, de l’Aïd-El-fitr, à la place Idi de Zongo, à Lokossa. Il a fait ce rappel pour exhorter ses coreligionnaires à intégrer à leurs prières, le rétablissement total de la santé du chef de l’Etat. Ce qui, selon lui, est le gage d’une bonne conduite de l’exécution du Programme d’actions du gouvernement (Pag 2016-2021). « Nos prières quotidiennes doivent porter sur cette intention pour que le Bénin étonne encore le monde entier », a-t-il préconisé. Le préfet du Mono, Komlan Zinsou renchérit. « Le moment est difficile du fait que nous traversons une phase de réformes. Il faut demeurer dans la prière pour que se réalise le Pag », a dit le préfet. Les prêches de la célébration axés sur la Sourate "Ou Touba Aïd Fitr", à Zongo comme à la place Idi située à l’entrée de la ville de Lokossa, n’ont pas manqué à ces attentes. Allah a été invoqué, à plusieurs reprises, afin que le Bénin et son président se portent mieux et que les bénédictions jaillissent sur l’ensemble du pays. Pour finir, l’imam Abdoulaye Torhir a conseillé aux fidèles musulmans de s’écarter définitivement des vilaines pratiques abandonnées pendant le jeûne. « Vous devez demeurer dans la crainte divine. Allah n’aime pas le péché », a martelé l’iman appuyé par Aboubakar Wassiou, maître coranique à la Mosquée central de Lokossa. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/aid-el-fitr-2017-lokossa-a-prie-pour-la-sante-et-le-pag -- o:id 4564 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4564 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title L'imam central de Natitingou : « La guerre de succession n'est pas le propre des religions » dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-07-12 dcterms:identifier iwac-article-0002333 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Un an après son installation, l’imam central de Natitingou, Check Nourou Dine Mouhamed Sanni, évoque à travers cet entretien les actions qu’il engage pour un retour de la paix au sein de la communauté musulmane secouée par une crise de succession sans précédent. Il jette par ailleurs un regard sur la cohabitation entre les religions et fustige tout acte attentatoire à la vie humaine commis au nom d’une religion. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Un an après son installation, l’imam central de Natitingou, Check Nourou Dine Mouhamed Sanni, évoque à travers cet entretien les actions qu’il engage pour un retour de la paix au sein de la communauté musulmane secouée par une crise de succession sans précédent. Il jette par ailleurs un regard sur la cohabitation entre les religions et fustige tout acte attentatoire à la vie humaine commis au nom d’une religion. La Nation : Vous avez été installé à la suite d’une crise de succession qui a longtemps divisé les fidèles musulmans. Un an après cette crise, est-on en droit de dire que la communauté islamique s’est réunifiée ? Check Nourou Dine Mouhamed Sanni : Effectivement, cela fait un an que nous avons été installé comme imam central de Natitingou mais avant l’aboutissement du processus de désignation, il y a eu des problèmes. Mais Dieu merci tout est rentré dans l’ordre et c’est le lieu de saluer tous ceux qui ont œuvré pour la fin de cette crise qui a secoué la communauté musulmane. Nous nous sommes peut-être laissé emporter par nos passions mais dire que nous n’étions pas unis, c’est trop dire. Il est évident que chacun tenait à sa position et qu’il était difficile pour les différentes parties d’entendre raison mais nous n’avons jamais perdu de vue le fait que nous sommes une famille et qu’il faut préserver l’unité qui a toujours prévalu au sein de la religion musulmane. Juste après la cérémonie de ‘’turbanisation’’, nous avons enclenché les actions susceptibles de ramener la paix dans les cœurs et la préserver également dans les mosquées. A notre arrivée, nous n’avons pas fait de différence entre nos soutiens et ceux qui se sont opposés à nous lors du processus de désignation. Les dons de vivres et autres gestes faits à la communauté musulmane sont répartis aux fidèles en toute équité. A travers nos actes et comportements, nous avons su rassembler tout le monde. Nous nous sommes toujours donné ce respect mutuel. Quelles ont été ces actions concrètes engagées pour que la paix revienne dans les différentes mosquées de la commune de Natitingou ? C’est avant tout à travers nos prêches. Nous avons toujours demandé aux frères musulmans de mettre de côté la mésentente et de privilégier l’amour du prochain. Le concours aussi bien de l’Union islamique du Bénin, des autorités politico-administratives que des autres confessions religieuses nous a également permis de raffermir les bases des actions tendant vers la préservation de la paix au sein de la communauté musulmane. La communauté musulmane dans son ensemble est souvent ébranlée par des crises de succession qui ne favorisent pas la quiétude en son sein. Outre votre commune, il y a eu Ouaké et bien d’autres de par le passé. En tant qu’islamologue, quel regard portez-vous sur ces réalités ? Ce sont les enjeux liés à la chefferie qui sont à l’origine de ces déchirements observés ci et là et ceci est loin d’être l’apanage d’un groupe spécifique. La religion musulmane n’en est pas exempte tout comme les autres confessions. Même en dehors des religions, la guerre de succession est une réalité. C’est humain et on ne saurait jeter l’anathème sur une confession religieuse. Dès que la vacance de pouvoir est constatée au niveau d’une quelconque entité, toutes les parties se battent pour en prendre la tête. Qu’importent les moyens ou voies pour y arriver. Ceci se fait même au détriment des textes régulièrement édictés. On est prêt à contourner les prescriptions, même divines pour s’octroyer ce privilège. Dans nos sociétés, tout le monde veut être chef. Or, les textes qui régissent le processus de désignation existent et sont clairs et précis en ce qui concerne le profil de l’imam. Les critères sont édifiants. N’est pas imam qui veut. Au-delà de sa maîtrise et de la connaissance qu’il a du coran et des saintes écritures en général, le prétendant doit pouvoir faire preuve de sagesse et être irréprochable. On peut disposer du savoir et maîtriser la souna et ne pas avoir de bons comportements en société. La cohabitation entre les religions est loin d’être une réalité avec l’intolérance et les actes de violences qui prévalent partout au monde. Quel espoir pour la paix ? Notre monde est en crise et de jour en jour nous faisons face à l’intolérance. On incite à la haine religieuse à travers divers actes qui ne sont pas de nature à préserver la paix. Le dialogue interreligieux doit être cultivé afin que des fidèles de diverses confessions religieuses se donnent la main en apprenant à vivre ensemble. Faire en sorte que personne ne soit stigmatisé ou violenté pour sa croyance. Aucune religion ne fait l’apologie du crime ou de la violence. Aucun enseignement religieux ne peut inciter à la haine. Ceux qui le font ne sont pas des croyants. Ils se servent de la religion pour arriver à leurs viles fins : diviser le monde. Nous ne devons en aucun cas permettre à ces personnes malintentionnées de prendre le dessus sur le bien en semant le mal. Et c’est là tout notre rôle dans la conscientisation des masses. Nos prêches doivent être mis au service de la paix. Rien que la paix. Nous avons besoin de la paix pour pratiquer nos religions. Et cette paix est également indispensable pour le développement. Les leaders religieux plaident pour ce dialogue interreligieux partout où ils sont et se donnent la main en toute occasion pour montrer combien la cohabitation entre les diverses confessions religieuses est essentielle pour le maintien de la paix dans nos sociétés. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/13462-entretien-avec-l-imam-central-de-natitingou-meme-en-dehors-des-religions-la-guerre-de-succession-est-une-realite -- o:id 4565 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4565 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Développement : les sages de Porto-Novo prient pour la réussite du Pag dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-02-06 dcterms:identifier iwac-article-0002334 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Conseil des sages de la ville de Porto-Novo a organisé, ce lundi 5 février, une conférence suivie de prières pour implorer la paix sur le Bénin, le président Patrice Talon, et pour le bon achèvement des chantiers de développement ouverts dans tout le pays en général et à Porto-Novo en particulier. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14218 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Conseil des sages de la ville de Porto-Novo a organisé, ce lundi 5 février, une conférence suivie de prières pour implorer la paix sur le Bénin, le président Patrice Talon, et pour le bon achèvement des chantiers de développement ouverts dans tout le pays en général et à Porto-Novo en particulier. « Porto-Novo est en chantier avec plusieurs travaux ouverts par le gouvernement. Il faut le manifester, car tout ceci doit se faire dans la paix et les prières ». Ces propos du premier vice-président du conseil des sages de la ville de Porto-Novo, Bernard Dossou Dossa, résument l’objectif de la séance de prières organisée, ce lundi 5 février, par ce creuset présidé par Urbain Karim da Silva. A travers cette initiative, les sages de Porto-Novo entendent manifester leur joie pour les nombreux chantiers en cours dans la ville capitale, notamment les travaux d’aménagement en double voie du tronçon Porto-Novo - Akpro-Missérété long de 12,6 km. Le souhait du conseil est de voir ces projets achevés pour le bonheur de la population. Ce qui ne peut se faire sans la prière et les appels à la paix et à la sagesse surtout par ces temps de grandes perturbations où il est très difficile de traverser la ville de Porto-Novo à cause des chantiers routiers en cours. Le conseil des sages de la ville Porto-Novo a donc jugé utile d’organiser cette séance de prière pour conjurer les éventuels blocages et difficultés que pourrait connaître la réalisation de ces travaux. Tour à tour, acteurs des religions endogènes, musulmans, catholiques et protestants méthodistes ont défilé hier pour prier. Ils ont confié aux mains de Dieu et aux mânes de nos ancêtres, le président Patrice Talon et la réussite des projets inscrits dans le cadre du Pag et dont les premières retombées sont déjà visibles à Porto-Novo. Les différentes congrégations religieuses ont invoqué la bénédiction divine pour le bon aboutissement de ces chantiers dans la capitale. Lesquels seraient attendus depuis plusieurs décennies, souligne le prédicateur protestant Joseph Dohou qui remercie le président Patrice Talon pour avoir soulagé la peine des populations de la ville capitale et autres usagers de la route Porto-Novo - Akpro-Missérété. « Le bonheur vient des difficultés », observe le prédicateur Joseph Dohou qui a présidé le culte protestant méthodiste. Il salue cette initiative de prières pour la paix et la reconnaissance à Dieu. Initiative louable Ce faisant, le conseil des sages de la ville de Porto-Novo, sous l’impulsion de son président Urbain Karim da Silva, pose un acte dans la même ligne que les chrétiens philippins, thessaloniciens et colossiens qui, dans la Bible, ont eu la même pensée à l’endroit de l’apôtre Paul qui aurait connu beaucoup de difficultés dans sa mission d’évangélisation. Les représentants des autres religions présentes sont allés dans le même sens dans leurs prières ; en trouvant que le conseil des sages de la ville de Porto-Novo a été très bien inspiré à travers cette initiative qu’ils estiment louable. Clôturant les travaux, le premier vice-président du conseil des sages, Bernard Dossou Dossa, a fait une déclaration sur l’actualité nationale. Une déclaration dans laquelle il encourage le président Patrice Talon à poursuivre ses chantiers de développement tels que la construction de l’aéroport de Glo-Djigbé, la construction des centrales électriques pour faire oublier le délestage, l’assainissement du Grand Nokoué à savoir Ouidah, Abomey-Calavi, Cotonou, Sèmè-Podji et Porto-Novo avec l’acquisition de dix camions à essieux, la concrétisation des réformes dans les secteurs de l’économie. « Porto-Novo est fier déjà des retombées du Pag. La ville le sera davantage avec la réalisation du marché international. C’est un projet qui tient à cœur au conseil des sages de la ville de Porto-Novo », souligne Bernard Dossou Dossa. Le premier vice-président du conseil des sages de la ville de Porto-Novo s’est prononcé aussi sur plusieurs autres sujets d’actualité dont la peste porcine africaine, la fièvre hémorragique Lassa, les grèves dans l’Administration publique, et a exhorté les uns et les autres à cesser les intoxications et autres médisances à l’endroit du chef de l’Etat et la lutte contre la corruption, la fraude et l’évasion fiscales. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/14969-developpement-les-sages-de-porto-novo-prient-pour-la-reussite-du-pag -- o:id 4566 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4566 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Ratification de prêts au Parlement : plus de 73 milliards F Cfa pour des routes et la santé dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13937 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13071 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13644 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-29 dcterms:identifier iwac-article-0002335 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les députés ont autorisé, ce mardi 28 août, le gouvernement à ratifier trois accords de financement d’un montant total de 73 025 017 410 F Cfa dont deux estimés à 65 025 017 410 F Cfa pour la réhabilitation du corridor Cotonou - Niamey: section Béroubouay - Malanville longue de 169,4 km, et les 8 milliards F Cfa restants pour le Projet régional d’amélioration des Systèmes de surveillance des maladies en Afrique de l’Ouest (Redisse III). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/490 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les députés ont autorisé, ce mardi 28 août, le gouvernement à ratifier trois accords de financement d’un montant total de 73 025 017 410 F Cfa dont deux estimés à 65 025 017 410 F Cfa pour la réhabilitation du corridor Cotonou - Niamey: section Béroubouay - Malanville longue de 169,4 km, et les 8 milliards F Cfa restants pour le Projet régional d’amélioration des Systèmes de surveillance des maladies en Afrique de l’Ouest (Redisse III). Deux dossiers d’autorisation de ratification d’accord de prêt ont été adoptés à l’unanimité des députés, ce mardi 28 août à l’Assemblée nationale. Le premier dossier est relatif au projet de loi portant autorisation de ratification de l’accord de financement signé à Cotonou, le 11 juin 2018, entre la République du Bénin et l’Association internationale de développement (Aid) dans le cadre du Projet régional d’amélioration des Systèmes de surveillance des maladies en Afrique de l’Ouest (Redisse III). Le montant de l’accord est de 8 milliards F Cfa. Le second dossier concerne le projet de loi portant autorisation de ratification des accords-cadres de pré-mise en œuvre et de mise en œuvre, signé le 3 avril 2018, entre la République du Bénin et la Banque islamique de développement (Bid) dans le cadre du financement du projet de réhabilitation du corridor Cotonou-Niamey : section Béroubouay - Malanville longue de 169,4 km. Les deux accords-cadres de la Bid font un montant cumulé de 65 025 017 410 F Cfa sur un coût total hors-taxes et hors-douane du projet estimé à 78 209 753 110 F Cfa. Le reste du financement du projet, c’est-à-dire les 13 184 735 700 F Cfa est à la charge du Fonds de l’Opep pour le développement international (Ofid) dont la ratification est prévue pour sous peu. Le financement obtenu de la Bid dont la ratification a été autorisée hier par les députés est assorti de certaines conditions. L’accord-cadre de pré-mise en œuvre, d’un montant de 3 870 146 300 F Cfa, est conclu pour une durée de remboursement de 20 ans dont 4 ans de différés en capital. La marge bénéficiaire est de 1,8% l’an sur le montant décaissé l’an et non encore remboursé. Pour ce qui est de l’accord-cadre de mise en œuvre estimé à un montant de 61 154 871 110 F Cfa, il est assorti d’une durée de remboursement de 20 ans dont 3 ans de différé en capital. Le taux d’intérêt est de 1,8 % l’an sur le montant décaissé l’an et non encore remboursé. Ce qui permet de dégager un élément don moyen des deux accords-cadres de 29,6 %. La périodicité de remboursement de chacun des deux financements est la semestrialité. Cris de cœur parlementaires Les travaux seront réalisés par allotissement. Le lot 1, d’une durée de 36 mois, concerne le tronçon Béroubouay - fleuve Goubafari soit 148,6 km constitué essentiellement de travaux de revêtement, d’assainissement et de drainage, de signalisation et d’éclairage ainsi que d’équipement de sécurité routière à la charge de la la Bid. Il est prévu par ailleurs l’aménagement de 65 km de piste en terre; la construction de 15 salles de classe, la construction de 2 centres de santé ; la construction de 8 marchés ; la réalisation de 10 forages ; la réalisation de 5 retenues d’eau, la construction de 52 latrines et la construction de 4800 ml de clôture de bâtiments administratifs et scolaires. Le lot 2 d’une durée de 20 mois se rapporte au tronçon fleuve Goubafari -Malanville long de 20,8 km à la charge du fonds de l’Opep pour le développement international (Ofid). La signature de cet accord de prêt interviendra incessamment, informe le président de la Commission des Finances et des Echanges de l’Assemblée nationale, Raphaël Akotègnon qui a présenté les deux accords-cadres adoptés hier par les députés. Selon lui, le projet de réhabilitation du corridor Cotonou - Niamey : section Béroubouay - Malanville s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du quatrième axe stratégique du Programme d’action du gouvernement (Pag) qui vise à faire des infrastructures de transport un levier important pour soutenir la croissance économique et faciliter le développement des exportations. L’objectif visé par le projet est de promouvoir l’intégration régionale et d’accroître les échanges commerciaux entre le Bénin et les pays voisins, notamment le Niger, le Burkina Faso, le Togo et le Nigeria, à travers l’amélioration des conditions du transport sur ce corridor international. Lequel objectif a été vanté par tous les députés intervenus au cours du débat général dont Parfait Houangni, André Okounlola Biaou et Benoît Dègla. Ils ont tous reconnu que le gouvernement fait beaucoup d’efforts dans le sens de l’amélioration du réseau routier national. Selon eux, cette autorisation de ratification de deux accords de financement vient renforcer les nombreux chantiers de bitumage et d’asphaltage en cours dans plusieurs régions du pays. Tout en reconnaissant que tout le Bénin surtout le Nord-Bénin est en chantier, les députés Benoît Dègla et André Okounlola Biaou relèvent que le centre-Bénin semble être marginalisé. Ils plaident pour une répartition équitable des projets routiers pour permettre un désenclavement total du pays. Les cas de l’axe Kilibo-Ouèssè, Glazoué-Ouèdèmè-Aklamkpa et Oké Owo-Savè aujourd’hui impraticables avec impossibilité pour les paysans d’écouler leurs produits vivriers, ont été cités en exemple par les deux députés qui disent porter les cris de cœur de ces populations. Présent à la séance plénière, le ministre chargé des Infrastructures a rassuré les deux députés. Alassane Séïdou a expliqué que toutes les routes évoquées ont été recensées par son ministère. Elles font partie des axes priorisés dans le cadre des travaux d’entretien routier devant démarrer très bientôt sous le financement du Fonds routier? Une Convention internationale approuvée Les députés ont également examiné et adopté, à la faveur de leur séance plénière de ce mardi 21 août, le projet de loi portant autorisation de ratification du Protocole facultatif à la Convention à l’égard des femmes, adoptée à New York aux Etats-Unis d’Amérique, le 2 octobre 1999. Ce dossier a été approuvé à l’unanimité des parlementaires présents ou représentés, tout comme d’ailleurs les deux autres sur lesquels ils se sont penchés hier au titre des travaux de la troisième session extraordinaire de l’année 2018. Th. C. N. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/17579-ratification-de-prets-au-parlement-plus-de-73-milliards-f-cfa-pour-des-routes-et-la-sante -- o:id 4567 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4567 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Lancement du programme English Access Miscroscholarship : renforcer les capacités de 40 élèves dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1563 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13523 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-11-28 dcterms:identifier iwac-article-0002336 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La chargée d’affaires de l’Ambassade des Etats-Unis près le Bénin, Laura Hrubry, a procédé ce mardi 27 novembre, au lancement officiel du programme dénommé English Access Miscroscholarship program - Benin à Cotonou. Initié par l’Ambassade des États-Unis en partenariat avec la Fondation islamique Naimatou Akadiri Toukourou (Finat), ce projet vise à donner aux bénéficiaires une base solide en anglais. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La chargée d’affaires de l’Ambassade des Etats-Unis près le Bénin, Laura Hrubry, a procédé ce mardi 27 novembre, au lancement officiel du programme dénommé English Access Miscroscholarship program - Benin à Cotonou. Initié par l’Ambassade des États-Unis en partenariat avec la Fondation islamique Naimatou Akadiri Toukourou (Finat), ce projet vise à donner aux bénéficiaires une base solide en anglais. 40 élèves de la Fondation islamique Naimatou Akadri Toukourou (Finat) bénéficient depuis ce mardi 27 novembre du programme English Access microscholarship program-Benin. Prévu pour une durée de deux ans, ce programme de l’Ambassade des Etats-Unis va contribuer à donner une expérience significative d’apprentissage de l’anglais aux bénéficiaires. L’objectif dudit programme, selon Laura Hrubry, chargée d’affaires de l’Ambassade des Etats-Unis, est de contribuer à renforcer le leadership des apprenants en leur enseignant les notions de base de la culture américaine et les valeurs du développement démocratique et de l’engagement civique. A travers ce programme, les bénéficiaires auront la possibilité d’approfondir leurs connaissances en anglais et participeront à des séances parascolaires intensives. Toutes choses qui, selon elle, vont renforcer leurs capacités à lire, écrire et parler l’anglais. « Le lancement de ce programme intègre les efforts du gouvernement des Etats-Unis à appuyer les programmes en faveur de l’éducation », a-t-elle souligné. Pour le chargé de programme de la Finat, Dine Dissoujamal, ce programme revêt une grande importance pour la fondation et nécessite qu’ils y consacrent des efforts afin d’atteindre les objectifs poursuivis. « Le programme English access miscrosholarship dont nous assistons au lancement exprime une conviction, un engagement de notre fondation à se battre pour que des enfants puissent être éduqués, apprendre, évoluer dans la vie avec plusieurs langues à leur actif », ajoute-t-il. Par ailleurs, il rassure de ce que la Finat ne ménagera aucun effort pour mériter la confiance placée en elle par l’Ambassade des Etats-Unis. Appréciant l’initiative, le représentant des parents d’élèves, Mouhamed Wakikou Agiboola a exprimé l’engagement des parents d’élèves à jouer pleinement leur partition en facilitant la présence et la ponctualité de leurs enfants à toutes les activités du programme. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/18630-lancement-du-programme-english-access-miscroscholarship-renforcer-les-capacites-de-40-eleves -- o:id 4568 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4568 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Fête de la Tabaski : une célébration sous le signe du partage et de la paix à Akpakpa dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1974 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13830 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-22 dcterms:identifier iwac-article-0002337 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin a célébré, ce mardi 21 août, la fête d’Aïd el-Kébir qui symbolise la soumission du prophète Ibrahim à Dieu. A cette occasion, les fidèles musulmans d’Akpakpa se sont regroupés autour de l’imam Ousmane Ibrahim à la place Idi de Sobetex pour implorer la paix sur le Bénin et la concorde au sein du peuple. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au nombre des fidèles musulmans, le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané (à l'extrême droite) La communauté musulmane du Bénin a célébré, ce mardi 21 août, la fête d’Aïd el-Kébir qui symbolise la soumission du prophète Ibrahim à Dieu. A cette occasion, les fidèles musulmans d’Akpakpa se sont regroupés autour de l’imam Ousmane Ibrahim à la place Idi de Sobetex pour implorer la paix sur le Bénin et la concorde au sein du peuple. C’est au partage, à la solidarité et à la paix que l’imam Ousmane Ibrahim a exhorté les fidèles musulmans venus nombreux pour implorer Dieu à cette célébration de la fête de la Tabaski. Plusieurs personnalités politico-administratives ont honoré la célébration de leur présence dont le ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané et le préfet Modeste Toboula. Ce sang du mouton versé doit amener tous les fidèles musulmans à cultiver autour d’eux l’amour, le partage et la paix, a prêché l’imam. « Le sang est versé en guise de purification pour notre pays, pour nos familles et tous ceux qui nous entourent », a-t-il confié. Il a prié pour le gouvernement, le chef de l’Etat, Patrice Talon, et pour tout le Bénin pour que la paix y règne. Pour le ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané, le sermon est plein d’enseignements. « Le message important qu’il faut retenir aujourd’hui est d’appeler toute la communauté mais aussi tous ceux qui prient avec elle pour que ce sens de générosité et de solidarité soit partagé avec tout le monde », a-t-il laissé entendre. L’imam a ensuite procédé à l’immolation du mouton en guise du rite qui permet aux fidèles de le faire à leur tour dans leurs familles respectives. Selon les prescriptions du Coran, l’immolation doit se faire de sorte à amoindrir la souffrance du mouton avant qu’il meure. Il est proscrit de lui attacher les deux pattes avant et arrière mais plutôt l’attacher en laissant un pied pour qu’il se débatte avant de mourir. « La récompense que nous avons en immolant, c’est par nombre de poils qui se trouve sur la bête », a fait savoir l’imam Ousmane Ibrahim avant de procéder au rite. « Le sang du mouton que nous versons aujourd’hui joue un rôle important dans notre vie et nous épargne des mauvais sorts, des mauvais destins que nous ne maîtrisons pas. Qu’il en soit ainsi pour tout le monde et pour le Bénin ! », a-t-il ajouté. Selon la tradition, le prophète Ibrahim a suivi le conseil à lui donné par Dieu qui lui a demandé de lui sacrifier un bélier en lieu et place de son fils Ismaël. Pour l’islamologue Tidjani Traoré, les musulmans doivent sacrifier à cette tradition pour témoigner leur foi à Allah. « Mon souhait est que nous vivions en paix, dans la concorde, puisque nous sommes un pays laïc où différentes religions cohabitent. Qu’il y ait de brassage interreligieux et que Dieu aide nos gouvernants à mieux nous diriger et que nous populations, nous nous sentions mieux dirigés. Que Dieu les éclaire davantage ! », a-t-il poursuivi. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240414164927/https://lanation.bj/societe/fete-de-la-tabaski-une-celebration-sous-le-signe-du-partage-et-de-la-paix-a-akpakpa -- o:id 4569 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4569 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Tabaski 2018 : exhortations à la paix à Lokossa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13497 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15284 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-22 dcterms:identifier iwac-article-0002338 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Des prières pour la paix au Bénin et diverses prédications ont marqué la célébration de la fête de Tabaski, mardi 21 août à Lokossa, dans le département du Mono. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/468 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Des prières pour la paix au Bénin et diverses prédications ont marqué la célébration de la fête de Tabaski, mardi 21 août à Lokossa, dans le département du Mono. L’Aïd el-Kebir ou l’Aïd el-Adha ou encore la Tabaski est la plus grande fête de l'islam. La ferveur notée souvent à cette occasion était encore au rendez-vous hier à Lokossa où la célébration a été marquée par deux grandes séances de prédication et de prières adressées à Allah. Lesquelles séances ont pris fin par des immolations de béliers, un rituel sacrificiel qui aurait le sens de soumission à Allah. Au cours de la prédication axée sur le texte coranique "Ou Touba Aïd el-Kebir", les imams ont exhorté les fidèles à poursuivre les bonnes œuvres. Dans les prières, les musulmans implorent Allah de déverser ses bénédictions sur tout le Bénin en général, et sur la communauté à l’honneur en particulier. « Glorifiant Allah de nous avoir permis de sacrifier à ce devoir religieux, nous avons prié pour le pays, le chef de l’Etat et surtout pour la paix », a confié El hadj Abdoulaye Tohir, imam de la mosquée centrale de Lokossa. Il a dirigé hier à la place Idi, située à l’entrée de Lokossa, la toute première séance de culte à laquelle ont pris part les fidèles de la ville. C’est presqu’à la fin de ce culte que la seconde grande séance de prières a mobilisé notamment des fidèles de la communauté de Zongo à la place Idi de ce quartier au cœur de la ville. A leur tête, il y avait le chef de la communauté des musulmans de Zongo, Abdou Nouhou alias Babavi. Cette séance de prières a été également rehaussée par la présence d’une délégation de la Conférence administrative départementale (Cad) conduite par le secrétaire général de la préfecture, Arnaud Agon. Ce dernier s’est félicité d’avoir assisté à cette manifestation. « Je suis heureux de me retrouver avec nos compatriotes musulmans qui célèbrent la Tabaski. Ensemble, nous avons prié pour la paix sur le pays, pour le gouvernement et le chef de l’Etat », a confié le secrétaire général de la préfecture à la fin du culte. Du retour de la place Idi de Zongo, Babavi et son cortège de dignitaires religieux sont montés sur des chevaux. Ce fut tout un spectacle pour les curieux qui admiraient ce moyen de transport utilisé, depuis peu, pendant les grands événements à Lokossa, par le cortège du chef religieux, Abdou Nouhou. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240414164645/https://lanation.bj/societe/tabaski-2018-exhortations-a-la-paix-a-lokossa -- o:id 4570 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4570 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Fête de la Tabaski : des prières et des bêtes immolées à la place Idi à Cadjèhoun dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1511 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14422 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-22 dcterms:identifier iwac-article-0002339 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane de Cotonou-ouest a sacrifié à la traditionnelle prière de l’Aïd el-Kebir ou la Tabaski. À la place Idi de Cotonou Aéroport Cadjèhoun, les fidèles ne se sont pas fait prier pour sacrifier à la prière rituelle, qui marque le début de la fête la plus importante de la religion, suivie de l’immolation par l’imam de deux moutons. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane de Cotonou-ouest a sacrifié à la traditionnelle prière de l’Aïd el-Kebir ou la Tabaski. À la place Idi de Cotonou Aéroport Cadjèhoun, les fidèles ne se sont pas fait prier pour sacrifier à la prière rituelle, qui marque le début de la fête la plus importante de la religion, suivie de l’immolation par l’imam de deux moutons. A Cotonou, déjà à 8 h 30, les rues grouillaient de fidèles musulmans pressés de rallier la place Idi la plus proche. Celle réservée juste derrière l’aéroport de Cotonou Cadjèhoun est prise d’assaut en l’espace de quelques minutes par des fidèles. Ceux-ci ne voudraient pour rien au monde rater cette prière, la plus importante, selon certains. À 9 h 00, Ligali Issiaka, imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun, s’installe devant les membres de la communauté. A sa vue, les retardataires se sont dépêchés pour se mettre en position et accomplir le rituel. Sept minutes plus tard, début de la prière présidée par l’imam. Les deux unités de prières (rakats) que recommandent les rites de l’Aid sont accomplies. Elle a duré cinq minutes chrono. C’est une prière de bénédiction de Dieu, signalent les musulmans approchés. Cette prière cède la place au sermon du dirigeant spirituel Ligali Issiaka. Un message axé sur le sacrifice, le partage mais surtout le pardon et la réconciliation. Suite à son prêche, l’imam a immolé deux moutons en signe de dévotion. Les fidèles sont ainsi autorisés à poursuivre les immolations dans leurs maisons. Paix et prospérité Aurélie Adam Soulé Zoumarou, ministre de l’Economie numérique et de la Communication, présente à cette prière, dit toute sa joie d’accomplir ce rituel. Elle confie que toutes les bêtes sacrifiées après la prière et consacrées à la fête seront sources de bénédiction pour tout le peuple béninois. « C’est notre vœu, c’est notre souhait », indique-t-elle, avant d’implorer Allah de l’exaucer. Le ministre a souhaité une bonne célébration de la fête du sacrifice dans « la piété, la joie ». Elle invoque Allah à accepter les sacrifices et à exaucer les prières ». L’ancien ministre Alassane Soumanou rencontré sur les lieux dit avoir prié pour tous les croyants, les musulmans en priorité. Il affirme avoir demandé la paix et la prospérité pour tout le monde. « Dans ce monde, nous sommes arrivés rien que pour adorer Dieu d’abord, et ensuite souhaiter qu’il nous apporte longévité et prospérité », souligne-t-il. Il se réjouit que le Bénin soit un pays de croyants. La fête du sacrifice commémore la soumission à Dieu, le clément et le miséricordieux. Elle rappelle, selon Rachidi Olorodé, Oustaz de la mosquée centrale de Vodjè, la force de la foi d’Ibrahim à son Dieu, symbolisée par l'épisode où il accepte de sacrifier, sur l'ordre de Dieu, son unique fils Ismaël. Au dernier moment, rappelle ce dirigeant de la communauté musulmane qui se réunit à Vodjè, un mouton fut substitué à l’enfant qui servit d'offrande sacrificielle. En souvenir de cette dévotion d’Ibrahim à Dieu, les musulmans sacrifient un animal, souvent un mouton, dont le tiers est donné en charité aux pauvres. Le reste de la viande est consommé en famille, distribué aux voisins, aux connaissances, etc. La fête a lieu le 10 du mois de dhou al-hijja, le dernier mois du calendrier lunaire, après Waqfat Arafa (station sur le mont Arafat) et marque la fin du hadj, le pèlerinage à La Mecque? fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240414164338/https://lanation.bj/societe/fete-de-la-tabaski-des-prieres-et-des-betes-immolees-a-la-place-idi-a-cadjehoun -- o:id 4571 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4571 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Les adeptes de sacrifices humains invités à s’inspirer d’Allah dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1399 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1394 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-22 dcterms:identifier iwac-article-0002340 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans de Porto-Novo ont aussi célébré, ce mardi 21 août, la fête de la Tabaski. C’est la place Idi d’Agbokou, comme tous les ans, qui... dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans de Porto-Novo ont aussi célébré, ce mardi 21 août, la fête de la Tabaski. C’est la place Idi d’Agbokou, comme tous les ans, qui a servi de lieu de ralliement aux fidèles musulmans et officiels conduits par le ministre de l’Energie, Jean-Claude Houssou. A l’occasion, les adeptes des sacrifices humains pour des rituels occultes ont été invités à s’inspirer de l’exemple d’Allah qui a remplacé un homme qui devrait être sacrifié par un bélier. L’actualité des rituels humains par certains féticheurs qui ne cesse de défrayer la chronique au Bénin, s’est invitée dans les grands enseignements de la fête de la Tabaski célébrée, ce mardi 21 août, par la communauté musulmane de Porto-Novo. Laquelle fête vise à magnifier la dévotion d’Ibrahim (Abraham pour les judéo-chrétiens), celui à qui Allah a demandé de sacrifier sur un autel son fils (Ismaël pour les musulmans, Isaac pour les chrétiens et les juifs). Et au moment de passer à l’acte, Dieu a envoyé un mouton par l’entremise de l’Archange Gabriel pour remplacer le fils d’Ibrahim, selon les Saintes Ecritures. C’est ainsi que, depuis lors, les musulmans sont invités au cours de l’Aïd el-Kebir à sacrifier un mouton en guise de reconnaissance à Allah. Le symbolisme de cette fête a été vanté par les officiels présents hier à la grande prière célébrée à la Place Idi d’Agbokou de Porto-Novo, dont le ministre de l’Energie, Jean-Claude Houssou et le maire de Porto-Novo, Emmanuel Zossou. Ils ont saisi l’occasion pour inviter les adeptes des sacrifices humains pour des rituels occultes à s’inspirer du cas d’Allah. Ils demandent à ces féticheurs à la recherche du sang humain à laisser les hommes en paix pour leur occultisme et mysticisme et à les remplacer par des animaux. Il faut qu’ils s‘approprient la solution de Dieu qui a recommandé d’immoler un bélier à la place d’un être humain qui devrait être sacrifié en reconnaissance à lui. L’iman central de Porto-Novo, Houzéifat Amzat, président de l’Union islamique du Bénin, va plus loin dans son sermon et déclare qu’au-delà de l’immolation d’un mouton en remplacement d’un homme, la célébration de la Tabaski enseigne également la soumission totale à Dieu. Il a appelé tous les fidèles musulmans à glorifier Allah avec humilité, piété, sagesse, pardon, patience et sacrifice de soi. Ces valeurs doivent guider tout bon musulman dans tous ses actes afin de mériter son statut de digne musulman auprès de Dieu, enseigne-t-il. Mieux, ce don de soi du musulman à Dieu doit s’étendre à tous les actes que pose ce dernier notamment dans ses relations avec le créateur et les autres créatures, insiste l’iman central de Porto-Novo. « Nous devons nous soumettre à la volonté de Dieu face à toute épreuve qui survient dans notre vie et y résister et ne pas ébranler notre foi et notre croyance, celle de notre famille et de nos communautés », recommande Houzéifat Amzat aux fidèles musulmans, bien habillés pour la circonstance. Le secrétaire général de la préfecture de Porto-Novo, Jean-Baptiste Akpamagbo, représentant le préfet, souhaite que tous les conseils donnés par l’iman soient mis en pratique par tous les fidèles musulmans et non musulmans pour la consolidation de la paix dans le département de l’Ouémé en général et dans la ville capitale en particulier. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/17481-les-adeptes-de-sacrifices-humains-invites-a-s-inspirer-d-allah -- o:id 4572 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4572 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title La clémence divine implorée à Abomey-Calavi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1516 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1427 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-22 dcterms:identifier iwac-article-0002341 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans de la commune d’Abomey-Calavi se sont rassemblés, ce mardi 21 août, à l’école primaire publique de Zogbadjè pour la prière de l’Aid el-Kébir. Dans son sermon, l’Imam de la mosquée centrale Médine II d’Agori Plateau à Abomey-Calavi, El hadj Moutawakil Boukari Malik a imploré la bénédiction et la clémence de Dieu sur toute la nation béninoise. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/491 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans de la commune d’Abomey-Calavi se sont rassemblés, ce mardi 21 août, à l’école primaire publique de Zogbadjè pour la prière de l’Aid el-Kébir. Dans son sermon, l’Imam de la mosquée centrale Médine II d’Agori Plateau à Abomey-Calavi, El hadj Moutawakil Boukari Malik a imploré la bénédiction et la clémence de Dieu sur toute la nation béninoise. Selon l’imam El Hadj Malik Moutawakil Boukari, la célébration de la Tabaski témoigne de la foi d’Ibrahim qui a eu pour projet de sacrifier son fils à Dieu. « Le but de ce sacrifice est de solliciter la grâce d’Allah qui dit : prie ton Seigneur et sacrifie », a-t-il déclaré. Il invite les fidèles musulmans à un esprit de partage et d’aumône. En ce qui concerne la bête sacrifiée, il leur a recommandé, comme le stipule de Saint Coran, d’en partager la viande en trois parties : un tiers pour la famille, un tiers pour les voisins et les amis et le dernier tiers à distribuer en aumône aux indigents. « Frères et sœurs en Islam, avoir le sens du partage le jour de l’Aïd et les trois jours de tach’rik, c’est la preuve de la charité », a-t-il précisé. L’imam a imploré la grâce d’Allah pour toute la communauté musulmane, toute la nation béninoise et le chef de l’Etat Patrice Talon et son gouvernement. Il a invité tous les Béninois au respect strict du bien public et au travail bien fait, seul gage du développement durable et d’une nation béninoise toujours prospère. En outre, il a également invité les dirigeants du pays à être humbles et rassembleurs comme le recommande le Coran. Car, en islam le gouvernement exerce avec justice, indique-t-il. Au nom des autorités politico-administratives présentes, le professeur Soumanou Toléba a invoqué la paix d’Allah sur le chef de l’Etat, Patrice Talon, les membres de son gouvernement et le parlement. Pour lui, cette prière a été l’occasion pour tous les musulmans de se purifier et de demander pardon à Dieu pour tous leurs péchés? fabio:hasURL https://lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/17480-la-clemence-divine-imploree-a-abomey-calavi -- o:id 4573 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4573 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Tabaski 2018 : occasion de grâce et de grande adoration à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13617 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1389 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15144 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13951 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13311 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-22 dcterms:identifier iwac-article-0002342 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Parés de leurs plus beaux habits, les membres de la communauté musulmane de Parakou ont pris d’assaut les différentes places Idi de la ville, ce mardi 21 août, à l’occasion de la célébration de l’Aïd el-Kébir. Au-delà de la ferveur, l’heure était à la grâce et à la grande adoration. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Parés de leurs plus beaux habits, les membres de la communauté musulmane de Parakou ont pris d’assaut les différentes places Idi de la ville, ce mardi 21 août, à l’occasion de la célébration de l’Aïd el-Kébir. Au-delà de la ferveur, l’heure était à la grâce et à la grande adoration. A l’instar de leurs homologues des autres localités du Bénin, les fidèles musulmans de Parakou ont commémoré, ce mardi 21 août, l’Aïd el-Kébir ou la fête du mouton. Cette célébration qui perpétue la soumission d’Ibrahim à Allah a été l’occasion d’exhorter les fidèles à l’amour, au partage et à la solidarité. A l’occasion de cette fête, la grande attraction a été la nouvelle place Idi aménagée par le maire Charles Toko au quartier Barka, dans le deuxième arrondissement. Elle a accueilli plusieurs fidèles venus implorer Allah et sacrifier à la traditionnelle prière de la Tabaski. C’est sous l’égide de l’imam Tamimou Adam. Avec à ses côtés l’autorité municipale, l’assistance a prié pour le peuple béninois et ses dirigeants, la paix, le renforcement de l’unité nationale et le développement du pays. L’imam a souhaité l’union autour des actions du président Patrice Talon. Après l’avoir supplié de bitumer la route Parakou-Nigeria, il a invité les populations à accompagner le Programme d’action du gouvernement. Par la suite, l’imam a procédé à l’immolation d’une bête, autorisant à tous les fidèles présents et ayant la capacité, comme l’exigent les Saintes Ecritures, à en faire autant, de retour à leurs domiciles respectifs. « Pour chaque poil ou fibre de la laine du bélier immolé, le croyant reçoit une bonne action », selon le Prophète Mahomet cité par l’un de ses compagnons. Comme à l’accoutumée et en de pareilles occasions, d’autres fidèles se sont également donné rendez-vous au niveau des places Idi de Zongo, Carder et Dépôt. Les imams Idrissou Adam, Naïmi Saliou et Abdoulaye Tegnami ont respectivement conduit les cérémonies faites de prière et de sermon sur les lieux. Passé la grande animation qu’ils ont connue aux premières heures de la matinée de ce mardi, avant la prière sur les différentes places Idi, les marchés de mouton de la ville continuent d’être fréquentés par les fidèles retardataires. Ces derniers, selon l’islamologue Mohamed Soualiou Sylla, ont encore jusqu’après la prière de 16 heures du vendredi 24 août prochain, pour se rattraper, pourvu qu’ils parviennent à avoir les moyens de s’acheter un mouton? fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240414164808/https://lanation.bj/societe/tabaski-2018-occasion-de-grace-et-de-grande-adoration-a-parakou -- o:id 4574 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4574 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Invocations pour l’unité à Natitingou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15410 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-22 dcterms:identifier iwac-article-0002343 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane de Natitingou a célébré, ce mardi 21 août, la fête de la Tabaski. A la place Idi, la traditionnelle prière suivie d’offrande consacrant la commémoration a rassemblé des milliers de fidèles. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane de Natitingou a célébré, ce mardi 21 août, la fête de la Tabaski. A la place Idi, la traditionnelle prière suivie d’offrande consacrant la commémoration a rassemblé des milliers de fidèles. La traditionnelle prière consacrant l'Aïd el-Kebir qu’aucun fidèle musulman ne semble vouloir manquer ce mardi est officiée par Check Nourou Dine Mouhamed Sanni, imam de la mosquée centrale. Dans une ambiance empreinte de solennité et d’invocations, le célébrant loue la grandeur d’Allah et appelle les fidèles à s’attacher davantage à lui et à respecter ses prescriptions. En présence d’autorités politico-administratives du département de l’Atacora dont le préfet, il appelle à la prière permanente pour préserver la paix dans le pays. Implorant au passage la grâce divine sur les dirigeants à qui incombe la gestion du pays. Un sermon que ce beau monde endimanché a accueilli religieusement à entendre ses répliques ‘’amin’’. Vient ensuite le moment tant attendu, l’immolation du mouton. Ultime moment d’offrande au Créateur. Un geste que les fidèles sont appelés à rééditer chez eux, une fois de retour de la séance de prière. Réitérant tout son soutien à la communauté musulmane en ce jour de célébration, de piété et de sacrifice, Lydie Déré Chabi Nah, préfet de l’Atacora, a salué le dialogue interreligieux prévalant dans le département. Antoine N’da, maire de Natitingou a également apprécié l’esprit de tolérance dont font montre toutes les communautés résidentes dans sa commune. Le témoignage de cette parfaite cohabitation entre les diverses communautés reste la présence des représentants des autres congrégations religieuses du pays. Chacun d’eux a invité à préserver l’unité et la paix à travers les actes et comportements au quotidien. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/17477-invocations-pour-l-unite-a-natitingou -- o:id 4575 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4575 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Place Idi de Bohicon : tous les éloges et mercis pour Allah! dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14156 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-21 dcterms:identifier iwac-article-0002344 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans de Bohicon se sont rassemblés à la place Idi de Zakpo, ce matin du mardi 21 août pour commémorer la fête de l’Aid-el-Kébir ou fête du mouton. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans de Bohicon se sont rassemblés à la place Idi de Zakpo, ce matin du mardi 21 août pour commémorer la fête de l’Aid-el-Kébir ou fête du mouton. Déjà à 9h30 mn, la Place Idi de Bohicon était noire de fidèles musulmans venant de tous les quartiers de la commune et d’ailleurs pour sacrifier à la tradition. Comme à l’accoutumée, ont rappelé les prédicateurs à cette occasion, les fidèles musulmans ont eu droit au "Koutouba", une séance de sermon, et de rappel des comportements que doit avoir un bon musulman pour bénéficier des grâces de la fête. Entre autres, tous les musulmans doivent être en joie, et partager cette joie avec leurs frères, car « c’est une fête de partage ». Ils ont aussi eu droit à un rappel de l’histoire de la fête. En effet, la fête tient ses origines du temps du prophète Abraham à qui Allah a demandé en songe de sacrifier son fils bien-aimé. Le prophète obéit donc et s’apprêtait à immoler son fils quand Dieu lui envoya un bélier qu’il a sacrifié en lieu et place. A 10h10 mn démarre la séance de prière comme le prescrit le Saint Coran. Elle est dirigée par El Hadj Béchir Boukari, intérimaire de l’imam de la Mosquée centrale de Bohicon en pèlerinage à la Mecque. Prière au cours de laquelle il rend toute gloire à Allah, le plus grand et miséricordieux. Occasion pour le prédicateur de rappeler, en langue arabe, qu’il n'y a aucun dieu excepté Allah. Il est le plus grand. Tous les éloges et mercis sont pour lui. « Musulmans, craignez Allah le très haut car la piété est la marchandise la plus lucrative. Allah évoque dans l’une des Sourates : Ö les croyants ! Craignez Allah comme il doit être craint. Et ne mourez qu’en pleine soumission ». Après ces quelques instants de prières avec les fidèles, l’Imam intérimaire devait procéder à l’immolation du bélier blanc choisi à cet effet. C’est l’instant tant attendu par les fidèles pour rentrer chez eux pour y répéter le même geste. Après ce rituel, les fidèles musulmans présents se sont donc séparés dans une ambiance festive pour continuer la fête de la tabaski ou du mouton chez eux. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/17471-place-idi-de-bohicon-tous-les-eloges-et-mercis-pour-allah -- o:id 4576 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4576 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Le marché au mouton manque d’affluence à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1511 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14422 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/64 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-20 dcterms:identifier iwac-article-0002345 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract À la veille de la fête de Tabaski prévue pour demain mardi, les musulmans ne se pressent pas vers le marché circonstanciel installé à Zongo à Cotonou pour s’approvisionner en mouton destiné au sacrifice en mémoire du geste de foi du prophète Ibrahim. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le marché circonstanciel de mouton de Zongo (Cotonou), peu animé samedi dernier À la veille de la fête de Tabaski prévue pour demain mardi, les musulmans ne se pressent pas vers le marché circonstanciel installé à Zongo à Cotonou pour s’approvisionner en mouton destiné au sacrifice en mémoire du geste de foi du prophète Ibrahim. Demain, la communauté musulmane fête l’Aïd el-Kébir encore appelée la Tabaski ou communément la Fête du mouton. Une fête en mémoire du songe qui rappelle au prophète Ibrahim son engagement à sacrifier son enfant, si Dieu lui accordait la grâce d’en avoir un. À la veille de cette fête célébrée le dixième jour du douzième mois lunaire, le marché aux moutons est davantage fourni. Mais l’affluence attendue par les vendeurs n’était pas, ce week-end, au rendez-vous à Zongo à Cotonou. Les vendeurs attendent les acheteurs qui ne se pressent pas encore. Mohamad Sow, un vendeur de mouton sur la place improvisée de Zongo, indique que le marché manque d’affluence. Selon lui, beaucoup de présumés acheteurs se présentent, débattent du prix, mais promettent de revenir avant de quitter la foire sans rien acheter. Cette situation, explique-t-il, serait due au manque de ressources suffisantes pour acheter l’animal dont le prix, dit-il, varie entre 30 000 et 300 000 francs Cfa. Ce vendeur sénégalo-béninois explique que les animaux sont disponibles sur le marché selon différentes bourses. Mais il regrette que les rares acheteurs hésitent à délier le cordon de leurs bourses. Aussi, s’empresse-t-il d’expliquer qu’il y a moins d’animaux cette année que l’année dernière. Cette baisse de l’effectif des bêtes, soutient-il, serait la conséquence du renchérissement des prix au Sénégal et en Côte d’Ivoire. « Les fournisseurs burkinabé ont préféré convoyé les cheptels vers ces pays plutôt qu’au Bénin », raconte-t-il pour expliquer que ces pays auraient attiré les éleveurs vers leurs marchés beaucoup plus rentables. Tout en s’étonnant que malgré le prix abordable du mouton cette année, il y ait moins d’affluence, ce vendeur de mouton espère que l’affluence se manifestera peut-être à l’avant-veille ou la veille (dimanche et lundi). Une opinion que partage Deen Nassirou, un autre vendeur de mouton qui rappelle qu’à pareil moment l’année dernière, l’affluence était importante. Bien qu’ayant déjà vendu plus d’une centaine de moutons avant 16 h, ce samedi, il soutient qu’à pareil moment, l’année dernière, son chiffre d’affaires était nettement supérieur. Deen Nassirou explique, pour sa part, le manque d’affluence des clients sur le marché par le déplacement du marché à bétail de son emplacement habituel à Djeffa et son transfert vers Abomey-Calavi et Djrègbé. « C’est cela qui est surtout à la base de cette situation », explique-t-il, avant de signaler que les gens qui sont à Cotonou ne savent pas où s’approvisionner en mouton pour la fête. « C’est l’une des motivations qui ont conduit à improviser un marché en plein cœur de Cotonou à Zongo, a-t-il ajouté. Son voisin Mohamed Koundjé soutient que le prix du mouton a baissé cette année comparativement à l’année dernière. Mais, il se plaint aussi du manque d’affluence. Pour convaincre, il montre un mouton et indique qu’il souhaite le vendre à 50 000 depuis le matin sans succès, alors que l’année dernière, les bêtes de sa trempe auraient été vendu à 65 000, voire 70 000. « Depuis le matin, les gens viennent, négocient le prix, mais se retirent », confie-t-il, désespéré. Proximité de la rentrée scolaire Mohamed Koundjé pense aussi que cette situation de mévente serait due à l’approche de la rentrée scolaire. « Les gens disent qu’ils doivent aussi préparer la rentrée des enfants », raconte-t-il, soutenant qu’aucun parent n’entend dépenser pour la fête alors que la rentrée scolaire qui est une priorité pour les enfants pointe déjà à l’horizon. Pour Hassan Adanou, les quelques rares personnes qui approchent le marché aux moutons s’abstiennent d’acheter parce qu’ils estiment que les prix seraient élevés. Contrairement aux autres vendeurs, il estime que les prix des animaux ont connu une légère hausse. Cependant, il espère que les deux derniers jours d’avant la fête pourraient enregistrer une modification du comportement du marché et que les moutons seront vendus. Rachidi Olorodé de la mosquée centrale de Vodjè, qui a déjà acheté un mouton de 90 000 F, rassure que les fidèles sont en train d’acheter le mouton et que ceux qui ne l’ont pas encore fait iraient avant le jour de la fête. Rappelant qu’il y a trois types d’animaux qui peuvent être immolés le jour de la Tabaski : bélier, vache, ou chameau, il souligne qu’à l’approche de la fête, il y a toujours une inflation du prix du mouton. Rachidi Olorodé affirme que les prix n’ont pas pour autant varié entre l’année dernière et cette année, mais signale en revanche que le temps n’est pas propice actuellement. Il rassure que si le musulman n’a pas les moyens de s’acheter un mouton, ce n’est pas une obligation. « Si tu n’as pas les moyens, tu laisses carrément et tu te contentes de ce que Dieu t’a donné », souligne-t-il. Il poursuit et rassure que la communauté sacrifie un mouton au nom de tout le monde. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/17458-le-marche-au-mouton-manque-d-affluence-a-cotonou -- o:id 4577 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4577 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de l’Aïd El Fitr à Natitingou : appel à cultiver la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13687 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15410 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-07-15 dcterms:identifier iwac-article-0002346 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au terme d’un mois de jeûne, la communauté musulmane a célébré à Natitingou l’Aïd El Fitr. Occasion pour elle de retrouver une vie normale avec le sentiment d’être désormais en phase avec les prescriptions divines. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/469 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au terme d’un mois de jeûne, la communauté musulmane a célébré à Natitingou l’Aïd El Fitr. Occasion pour elle de retrouver une vie normale avec le sentiment d’être désormais en phase avec les prescriptions divines. La place Idi de Natitingou pleine de monde accueille à dix heures précises l’imam de la mosquée centrale de la commune, accompagné d’une forte délégation. Son entrée saluée par les fidèles musulmans met fin à la grande attente observée tôt ce matin. La prière marquant la fin du ramadan donne lieu à une grande ferveur sur le site. Check Nourou Dine Mouhamed Sanni invoque Allah pour ce temps solennel de carême dès les premiers instants de son arrivée et exhorte les fidèles musulmans à poursuivre la méditation, tel que recommandé par le coran. Suite à ses invocations, l’imam central invite les fidèles à marquer positivement leur milieu en s’illustrant à travers leurs comportements et actes. Reconnaissant au Créateur sa gloire il le prie de guider les fidèles dans leur vie et d’illuminer les dirigeants afin que le pays se développe pour un mieux-être de toutes et tous. La paix reste également à ses yeux l’une des prières formulées par le leader religieux à cette occasion de l’Aïd El Fitr. « C’est une grande joie pour moi de représenter la communauté catholique à cette prière qui marque la fin du ramadan », confie père François Tiando, vicaire général du diocèse de Natitingou représentant l’évêque, tout en saluant le dialogue interreligieux prévalant au sein des différentes communautés. La bonne cohabitation notée au niveau de ces communautés fascine également Antoine N’da, maire de Natitingou qui appelle à entretenir la paix dans le pays à travers la prière. Cette prière qui sanctionne la fin du mois de ramadan, pour Lydie Déré Chabi Nah, préfet de l’Atacora, raffermit davantage la foi des fidèles et participe à cette paix que le peuple béninois appelle de tous ses vœux. Sa présence vient marquer, à son avis, sa solidarité envers toute la communauté musulmane dont le jeûne vise à préserver le climat de paix au Bénin. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/celebration-de-laid-el-fitr-a-natitingou-appel-a-cultiver-la-paix -- o:id 4578 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4578 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de l'Aid El Fitr à Parakou : des prières pour relever les défis du développement du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1389 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13826 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13778 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14668 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-07-16 dcterms:identifier iwac-article-0002347 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar de leurs homologues des autres villes ou localités du Bénin, les fidèles musulmans de Parakou ont également célébré, vendredi 15 juin dernier, l’Aid El Fitr qui consacre la fin du jeûne du mois de Ramadan. Ils ont pris d’assaut les différentes places Idi. C’est pour rendre grâce à Allah et prier pour le Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar de leurs homologues des autres villes ou localités du Bénin, les fidèles musulmans de Parakou ont également célébré, vendredi 15 juin dernier, l’Aid El Fitr qui consacre la fin du jeûne du mois de Ramadan. Ils ont pris d’assaut les différentes places Idi. C’est pour rendre grâce à Allah et prier pour le Bénin. Après 29 jours de privation et de dévotions à Allah, les fidèles musulmans de Parakou, parés de leurs habits des grands jours, ont pris d’assaut les différentes places Idi pour la prière de l’Aid El Fitr, vendredi 15 juin dernier. Que ce soit sur les places Idi de Dépôt, de Carder, de Zongo, d’Albarika et de Titirou, ils ont magnifié la bonté du Tout Puissant qui leur a permis de vivre ce jour et pour qu’il puisse accroître leur foi. Ils ont également prié pour le Bénin et ses autorités, puis appelé aux efforts conjugués de tous afin de continuer à relever les défis du développement qui se présentent. Sur les places Idi de Dokparou et d’Albarika, les fidèles ont été invités à ne pas abandonner les bons comportements qu’ils ont adoptés au cours du mois de jeûne. Après les deux Rackats prévues pour la circonstance, c’est la principale substance du sermon développé par les imams Ibrahim Souleyman et Malick Souleiman qui ont respectivement dirigé les prières. A la place Idi de Titirou où ils étaient, le ministre d’Etat chargé du Plan et du Développement, Abdoulaye Bio Tchané et le maire de Parakou, Charles Toko, ont prié pour le bien-être des populations béninoises. Ils ont également profité de cette occasion pour remettre entre les mains d’Allah, l’âme du regretté Mohamed Nonsou, ancien premier adjoint de la mairie de Parakou, précédemment conseiller municipal de la ville et coordonnateur communal de l’Alliance Abt. A Titirou, c’est l’imam Hamidoulaye Tchéou qui a dirigé la prière. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/celebration-de-laid-el-fitr-a-parakou-des-prieres-pour-relever-les-defis-du-developpement-du-benin -- o:id 4579 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4579 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Œuvres caritatives de la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin : des démunis de l'Ouémé reçoivent des dons dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-07-14 dcterms:identifier iwac-article-0002348 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les bras chargés de vivres et autres matériels de prière musulmane, la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin est allée partager la joie de la fête de l’Aïd el-fitr encore appellée Ramadan avec les couches pauvres et en situation difficile dans l’Ouémé. L’association était à Porto-Novo et à Avrankou, mardi 12 juin dernier, où elle a procédé à la distribution des dons, pour permettre à ces populations de bien festoyer demain. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15321 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les bras chargés de vivres et autres matériels de prière musulmane, la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin est allée partager la joie de la fête de l’Aïd el-fitr encore appellée Ramadan avec les couches pauvres et en situation difficile dans l’Ouémé. L’association était à Porto-Novo et à Avrankou, mardi 12 juin dernier, où elle a procédé à la distribution des dons, pour permettre à ces populations de bien festoyer demain. Le centre hospitalier universitaire départemental de l’Ouémé/Plateau, la prison civile de Porto-Novo et le centre de traitement des malades mentaux saint Camille Oasis d’amour d’Avrankou ont accueilli, mardi 12 juin dernier, une délégation de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin conduite par son président, Rana Farooq Ahmad. Elle est allée communiquer par anticipation la joie de la fête du Ramadan encore appelée Aïd el-fitr à ces personnes démunies, après une visite de courtoisie aux autorités de la préfecture de l’Ouémé. La délégation n’a pas effectué sa tournée les mains vides. Elle avait les bras chargés de vivres tels que des sacs de riz, des cartons de pâtes alimentaires, de savons, des bidons d’huile d’arachide, de cartons de boîtes de conserve de tomate, des cartons de sucre, des nattes et autres gourdes habituellement utilisées pour la prière musulmane. Les dons ont été symboliquement remis à chacune des étapes du périple. Pour le président de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad, cette action charitable s’insère dans le cadre de la vision de son association depuis 1967 dans notre pays à savoir partager l’amour de Dieu avec son prochain pour qu’il soit aussi en joie. Selon lui, 30 millions F Cfa ont été déboursés au total cette année par l’association pour l’opération de dons aux couches pauvres et vulnérables sur toute l’étendue du territoire national qu’elles soient musulmanes ou non. A la prison civile de Porto-Novo où séjourne 1008 prisoniers pour une capacité d’au plus de 500 détenus, le régisseur de cette maison d’arrêt, le capitaine Jean-Eudes Etchiha, a remercié la Jama’at islamique Ahmadiyya pour ces œuvres humanitaires à la veille des fêtes du Ramadan et de la Tabaski. Il a saisi l’occasion pour inviter la délégation à aller encore plus loin dans ces œuvres afin de mieux impacter le cœur des pauvres et atteindre ses objectifs. Le régisseur propose que l’association musulmane pense par exemple à aider certains prisonniers déjà jugés et condamnés à payer des cautions mais qui, faute d’argent, sont encore en prison. Très sensible à cette doléance, Rana Farooq Ahmad a remis, séance tenante, une enveloppe de 150 000 francs Cfa au régisseur pour régler la caution de trois prisonniers condamnés au paiement de la somme de 50 000 francs Cfa chacun. Le président de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin promet de faire bientôt un don de trente machines à coudre à la prison civile avec le recrutement d’un formateur pour la réinsertion sociale des prisonniers qui désirent se faire former en taillerie. Il a pris rendez-vous à cet effet avec la direction générale de l’Agence pénitentiaire à Cotonou pour finaliser ce projet comme beaucoup d’autres qui tiennent à cœur, afin de soulager la peine des détenus après leur libération. Le régisseur de la maison d’arrêt de Porto-Novo a remercié les membres de la communauté Ahmadiyya pour leur sollicitude à l’endroit des couches en détresse. Il a prié Dieu de le leur rendre au centuple. Le directeur du centre des malades mentaux saint Camille d’Avrankou, Innocent Amadji, implore également la bénédiction de Dieu sur les membres de l’association et leurs activités professionnelles. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413065903/https://lanation.bj/actualites/oeuvres-caritatives-de-la-jamaat-islamique-ahmadiyya-benin-des-demunis-de-loueme-recoivent-des-dons -- o:id 4580 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4580 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Œuvres caritatives de la Jama’at islamique Ahmadiyya : don de vivres aux enfants en situation difficile dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1511 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13219 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-07-14 dcterms:identifier iwac-article-0002349 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La générosité de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin à l’endroit des personnes vulnérables s’est traduite, ce mercredi 13 juin, par une remise de don de vivres à l’Office central de protection des mineurs, de la famille et de la répression de la traite des êtres humains. Une œuvre qui, selon le président de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya, Ahmad Rana Farooq, est un devoir selon les prescriptions divines. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La générosité de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin à l’endroit des personnes vulnérables s’est traduite, ce mercredi 13 juin, par une remise de don de vivres à l’Office central de protection des mineurs, de la famille et de la répression de la traite des êtres humains. Une œuvre qui, selon le président de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya, Ahmad Rana Farooq, est un devoir selon les prescriptions divines. Dans le cadre de ses activités prévues pour ce mois de Ramadan, et comme à ses habitudes, la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, a poursuivi ses œuvres caritatives. La mission béninoise a fait don de produits de première nécessité, ce mercredi 13 juin, aux enfants pensionnaires de l’Office central de la protection des mineurs, de la famille et de la répression de la traite des êtres humains. Ahmad Rana Farooq, président et chef missionnaire de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin, explique qu’en cette fin du mois béni de Ramadan, la mission a décidé d’assister cet office spécialisé dans la protection des mineurs, afin que ces enfants puissent passer la fête dans la joie et la gaieté. La communauté offre à cet effet plusieurs sacs de riz, des bidons d’huile végétale, des cartons de pâtes alimentaires, des sacs de savon détergent, des sacs de sucres, etc. Viviane Zohou, capitaine de police, en service à l’Office, salue ce geste inattendu de la communauté Ahmadiyya. « C’est une grande joie pour nous qui sommes en charge de la protection des mineurs en ce sens qu’en cette période-ci, nous avons certains enfants qui sont musulmans et qui font aussi le jeûne ». Affirmant que ces enfants seront contents d’apprendre que les responsables de la Jama’at Ahmadiyya Bénin sont allés à leur secours pour qu’ils passent bien la fête, elle a remercié les responsables de la communauté de missionnaires et prié Dieu pour qu’il les assiste davantage, afin qu’ils continuent de faire des dons pour le bonheur des enfants. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413065748/https://lanation.bj/actualites/oeuvres-caritatives-de-la-jamaat-islamique-ahmadiyya-don-de-vivres-aux-enfants-en-situation-difficile -- o:id 4581 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4581 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Rencontre entre le médiateur de la République et des personnalités : une feuille de route adoptée pour le dégel de la crise sociale dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15106 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13884 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1404 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13753 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14584 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14729 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14809 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-03-28 dcterms:identifier iwac-article-0002350 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le médiateur de la République, Joseph Gnonlonfoun, a échangé, ce mardi 27 mars, avec certaines personnalités sociopolitiques et religieuses au sujet de la situation sociale qui prévaut au sein de l’Administration publique. Cette première rencontre a abouti à l’adoption d’une feuille de route devant conduire au dégel de la crise entre le gouvernement et les syndicats. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le médiateur de la République, Joseph Gnonlonfoun, a échangé, ce mardi 27 mars, avec certaines personnalités sociopolitiques et religieuses au sujet de la situation sociale qui prévaut au sein de l’Administration publique. Cette première rencontre a abouti à l’adoption d’une feuille de route devant conduire au dégel de la crise entre le gouvernement et les syndicats. Le médiateur de la République s’engage dans la résolution de la crise sociale qui secoue l’Administration publique depuis deux mois avec des grèves perlées. Joseph Gnonlonfoun a échangé à cet effet, ce mardi 27 mars, au siège de l’institution à Porto-Novo, avec certaines personnalités sociopolitiques et religieuses en vue d'explorer les voies et moyens pour une médiation réussie dans cette crise impliquant surtout le gouvernement et les centrales et confédérations syndicales. La séance a connu la participation notamment des anciens ministres Séïdou Mama Sika, Sylvain Adékpédjou Akindès et Emile Louis Paraïso, de l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale, Léon Bani Bio Bigou, des acteurs de la Société civile tels que Gustave Assah, Blanche Sonon, Léontine Idohou et des représentants de l’Union islamique du Bénin et des églises catholique, protestante méthodiste et du christianisme-céleste. Le Conseil national des rois du Bénin était aussi représenté à cette réunion qui a duré deux heures environ. Léon Bani Bio Bigou, à l’issue des échanges, trouve géniale cette initiative du médiateur de la République, en invitant un certain nombre de personnalités pour se pencher sur la situation sociale qui prévaut au Bénin. Selon lui, cette première rencontre aura permis aux participants d’écouter les préoccupations du médiateur de la République et d’adopter une procédure devant garantir la réussite de la médiation. Cette procédure consistera à rencontrer les deux parties ; d’abord les centrales et confédérations syndicales pour écouter leurs problèmes et ensuite le gouvernement. La proposition de solution du groupe sera connue après ces deux rencontres, insiste Léon Bani Bio Bigou. « C’est notre pays à nous tous. Personne ne va le construire à notre place. Nous devons faire tout le nécessaire pour qu’il y ait sortie de crise », promet-il. Optimisme L’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale se dit optimisme par rapport à la suite de la médiation. Tout comme le représentant de l’Eglise protestante méthodiste du Bénin, le révérend-pasteur Amos Agbindo-Bankolé. « Quand ça pète, personne ne peut aller dans les mosquées ni dans les églises. Il faut qu’ensemble nous puissions chanter le même cantique et voir comment nous pouvons nous compléter dans nos diversités pour le dégel de la crise », souligne-t-il. Selon lui, la réflexion va se poursuivre conformément à la feuille de route retenue. Deux rencontres sont prévues pour demain, jeudi 29 mars : l’une à 10 h et l’autre à 12 heures. Elles permettront certainement au groupe d’écouter chacune des deux parties et de proposer un terrain d’entente pour une sortie de crise. « Notre action va porter. Comme nous sommes dans une semaine sainte il faut prier et confier la nation au Seigneur qui a le dernier mot sur notre existence», espère, tout confiant, le pasteur Amos Agbindo-Bankolé. Pour le médiateur de la République, l’initiative de cette rencontre n’est pas la première action de son institution depuis le début de la crise sociale. Joseph Gnonlonfoun dit être intervenu à plusieurs reprises mais en ‘’sous-marin’’. Il a écrit à ceux qui doivent avoir des courriers et des correspondances et saisi ceux qui méritent d’être saisis dans le but d’apaiser la tension sociale. « Ce n’est pas aujourd’hui que le médiateur de la République intervient dans la crise. Il y a un temps pour chaque chose dans la vie et il n’est jamais trop tard de faire ce qu’on doit faire. Le temps est venu de faire ce que nous faisons », conclut Joseph Gnonlonfoun. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413071829/https://lanation.bj/actualites/rencontre-entre-le-mediateur-de-la-republique-et-des-personnalites-une-feuille-de-route-adoptee-pour-le-degel-de-la-crise-sociale -- o:id 4582 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4582 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Opération chirurgicale gratuite à Porto-Novo et Parakou : un soulagement inespéré pour des malades démunis à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13493 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1959 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15523 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-11-28 dcterms:identifier iwac-article-0002351 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Comme à son habitude chaque année, la Jama’at islamique Ahmadiyya organise depuis ce lundi 27 novembre dans son hôpital à Okédama, commune de Parakou, des opérations gratuites de la hernie au profit des populations. Pendant les quatre jours que durera ce camp médical, des malades identifiés seront pris en charge. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Comme à son habitude chaque année, la Jama’at islamique Ahmadiyya organise depuis ce lundi 27 novembre dans son hôpital à Okédama, commune de Parakou, des opérations gratuites de la hernie au profit des populations. Pendant les quatre jours que durera ce camp médical, des malades identifiés seront pris en charge. La Jama’at islamique Ahmadiyya est depuis ce lundi 27 novembre, au chevet des populations de Parakou et environs qui souffrent de hernie. En partenariat avec l’Ong Humanity First, elle a fait venir des chirurgiens d’Allemagne pour leur faire bénéficier des interventions et autres soins. Au cours de son séjour de 4 jours à l’hôpital Ahmadiyya d’Okédama, à Parakou, l’équipe médicale va également procéder à la circoncision des enfants. Par rapport aux vingt-trois personnes identifiées, le président de la Jama’at islamique Ahamadiyya à Parakou, Ibrahim Hamza Ognibo, a expliqué qu’elles traînent la maladie depuis longtemps, faute de moyens pour se faire traiter. C’est sans distinction de religion, qu’elles ont été recensées. Selon le missionnaire régional de la communauté islamique Ahmadiyya à Parakou, Ahmad Qamar, ces opérations gratuites de la hernie ont également lieu à Cotonou et à Porto-Novo. Ils permettront à plus de soixante personnes qui se plaignent de cette maladie d’être enfin soulagées. Présent à la cérémonie de lancement des opérations, le premier adjoint au maire, Ibrahim Chabi Mama a remercié la Jama’at islamique Ahmadiyya pour ses investissements dans les œuvres sociales à Parakou. Cette communauté, a-t-il confié, se positionne comme un partenaire privilégié pour la mairie de Parakou. Sa présente initiative vise, une fois encore, à sauver les populations, a-t-il fait remarquer. « Combien sommes-nous à disposer des moyens, pour pouvoir faire face aux charges qu’exigent les interventions chirurgicales ? », s’est-il demandé. A sa suite, le représentant du préfet du Borgou, Eugène Agboton, abondera également dans le même sens. Il a exhorté la communauté à continuer à aider les populations démunies. Pour le docteur Aamir Imran, l’un des chirurgiens dépêchés sur les lieux, la hernie est une maladie qui se manifeste par des douleurs chroniques au niveau du bas-ventre. Sous forme de tumeur qui grossit, il préconise pour s’en débarrasser, une intervention chirurgicale. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/14402-jama-at-islamique-ahmadiyya-un-soulagement-inespere-pour-des-malades-demunis-a-parakou -- o:id 4583 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4583 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Conférence interreligieuse : l'appel à culture de la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-09-30 dcterms:identifier iwac-article-0002352 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une conférence interreligieuse se tient depuis ce matin à Djougou autour du thème « Religion, tolérance et laïcité ». Rassemblant des fidèles de différentes confessions religieuses de la commune, cette rencontre organisée par la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin dans le cadre de la célébration de son cinquantenaire, vise à promouvoir le dialogue interreligieux, la paix, l’amour et la tolérance au sein de toutes les communautés vivant à Djougou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une conférence interreligieuse se tient depuis ce matin à Djougou autour du thème « Religion, tolérance et laïcité ». Rassemblant des fidèles de différentes confessions religieuses de la commune, cette rencontre organisée par la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin dans le cadre de la célébration de son cinquantenaire, vise à promouvoir le dialogue interreligieux, la paix, l’amour et la tolérance au sein de toutes les communautés vivant à Djougou. Dans un contexte marqué par des tensions entre les religions et divers actes attentatoires à l’harmonie au sein des confessions religieuses, cette conférence constitue une occasion pour les organisateurs de sensibiliser davantage les populations sur la nécessité de cohabiter ensemble quelles que soient les différences. « Que personne au nom de Dieu ne vienne vous inciter à la haine. La religion n’a jamais enseigné la division ni encourager quiconque à tuer son prochain », a indiqué Djibril Boukari, représentant du préfet de la Donga, à l’ouverture de la conférence. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/14000-conference-interreligieuse-l-appel-a-culture-de-la-paix -- o:id 4584 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4584 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration vendredi prochain de la fête de la Tabaski : mévente dans les marchés de mouton à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-08-30 dcterms:identifier iwac-article-0002353 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En attendant jeudi prochain, veille et jour fatidique avant vendredi qui verra la célébration de la fête de la Tabaski, le mouton, élément essentiel, est au cœur de toutes les attentions. Si les vendeurs ont envie de se débarrasser des bêtes pour faire de bonnes affaires, les acheteurs, eux, se font désirer. Et même quand ils sont au front, ils sont réticents et parfois déçus. Mais une chose est sûre, la fête aura lieu. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En attendant jeudi prochain, veille et jour fatidique avant vendredi qui verra la célébration de la fête de la Tabaski, le mouton, élément essentiel, est au cœur de toutes les attentions. Si les vendeurs ont envie de se débarrasser des bêtes pour faire de bonnes affaires, les acheteurs, eux, se font désirer. Et même quand ils sont au front, ils sont réticents et parfois déçus. Mais une chose est sûre, la fête aura lieu. Plus de quinze minutes déjà qu’Hassan, 42 ans, maître artisan, fait des tours dans le marché à bétails de Vodjè (Cotonou), scrute, tourne, tâte les bêtes, négocie… Il a tellement fait la ronde avec son long boubou blanc-sale qu’il a fini par lasser les vendeurs. Plus personne ne semble s’intéresser à lui. Pourtant, Hassan, tout bon musulman qu’il est, veut un mouton. Seule difficulté, l’incompatibilité entre ses ressources et ses choix. « Prenez un petit mouton de 35.000F », finit par lui suggérer un aide-vendeur. Une solution qui est loin de contenter l’acheteur dépité qui finit par quitter par les lieux. Sans doute pour y revenir, mieux armé financièrement pour repartir avec la bête de son choix et de ses envies. Dans ce marché, devenu le principal point de vente de moutons dans la ville de Cotonou, le petit bétail blanc s’étend à perte de vue. Au milieu des bêlements des bêtes, des vendeurs, mais aussi des enfants. Leur mission, fouetter les bêtes têtues et les conduire de force vers les acheteurs. L’arrivée de chaque nouveau client est donc génératrice de supplices pour les animaux qui reçoivent des coups de part et d’autre avant les séances de négociation qui décident de leur sort. Lesquelles négociations sont âpres, très âpres. La raison, justifie Hamidou, vendeur de nationalité burkinabè, le prix élevé des moutons. Pas facile d’emporter une bête Entre acheteurs et vendeurs, les positions se concilient difficilement. Ce vendeur-ci dit avoir de « grandes bêtes » et les livrent entre 80 000 et 350 000 F Cfa selon leur gabarit. Plutôt intransigeant et très peu flexible, il vend peu. « Depuis le matin, je n’en ai vendu que deux. Un à 85 000 F Cfa et un autre de 90 000F Cfa », confie-t-il. Mais il est loin de se décourager. Mâchant sa noix de cola devant ses dizaines de bêtes, il espère pour les deux derniers jours avant la fête « les vrais clients ». C’est d’ailleurs pour eux, affirme-t-il, que cette année, il a fait l’option des grands moutons. « Ils se vendent plus facilement et ne sont pas à la portée de toutes les bourses », commente le vendeur dont la cible semble bien précise. Sauf que là encore, la cible elle-même semble se perdre devant les prix collés aux animaux. « Le choix s’avère difficile en raison des prix et je me demande si tous les musulmans pourront sacrifier à la tradition », s’interroge Hakim Eke, agent de la compagnie des sapeurs-pompiers venu avec sa famille se ravitailler. Si lui est convaincu qu’il repartira des lieux avec sa bête de fête, il n’a pas encore l’assurance de s’acheter l’animal de son choix. « Tout se jouera en fonction de mes moyens », lance l’homme en treillis qui, visiblement, n’a aucune envie de s’embarrasser. Si les années précédentes, les clients venaient au moins pour négocier et discuter, « cette année, ils se font rares », constate le voisin d’Hamidou, un autre vendeur allongé sur sa natte. Depuis une semaine qu’il a rejoint les lieux, ce Nigérien habitué à convoyer ses bêtes sur Cotonou n’en a pas encore livré un seul. Son stock est intact. Même les traditionnels clients qui ont l’habitude de l’appeler pour passer commande à distance n’ont pas composé son numéro cette année. Il n’en revient pas et cache mal son amertume. A cette allure, craint-il, « On risque de faire tabaski sans mouton », bredouille-t-il dans un français approximatif. Pour se distraire les vendeurs, les aide-vendeurs organisent par moment des spectacles de combats entre les bêtes. Au milieu de leurs violents coups de cornes et de têtes, l’assistance rit, bavarde, se divertit, échange et parfois applaudit. Des vendeurs tristes ! Vendeurs tristes, mais acheteurs préoccupés aussi. Sur les lieux, les quelques rares acheteurs rencontrés ont du mal à se satisfaire. Le problème, les prix des bêtes. « Ils sont exorbitants », se plaignent-ils. Moudjib, lui, a fini tout de même par faire son choix. Non sans difficulté. Pareil pour Sadiké, responsable dans une agence de publicité de la place. Deux moutons à 170 000 F, c’est l’affaire qu’il vient de conclure après d’âpres négociations. Une prouesse, pourrait-on dire, à l’entendre se confesser. Mais pour y arriver, il a dû se débarrasser des « démarcheurs » pour traiter directement avec les vendeurs. Celui-ci indexe ces démarcheurs, trop nombreux dans le marché à moutons de Vodjè comme à la base du surcoût. « La plupart des vendeurs ne comprennent pas français et la langue du milieu. Les démarcheurs leur proposent de les aider, enregistrent les vrais prix et font de la spéculation auprès des clients », dénonce furieux Sadiké. Pour lui, « sans ces intermédiaires, le prix du mouton serait accessible ». Les siens, il les fait estampiller et reviendra les chercher vendredi matin. Derrière ces lunettes fumées, il observe le vendeur les déplacer vers la loge « des moutons marqués » à la peinture pour marquer la différence. Autre lieu, autre réalité. Au marché de mouton de Zongo, quartier autrefois spécialisé dans la vente des moutons à Cotonou, ce sont les vendeurs qui organisent la riposte face aux accusations de cherté des bêtes. Souleymane, lui, est d’ailleurs très remonté sur la question. Le vieil édenté et à l’expression peu aisée s’improvise néanmoins porte-parole de ses pairs. « Cette année, personne ne peut dire que le mouton est cher. Même avec 18 000 ou 20 000 F Cfa, tu peux acheter ton mouton. Il y en a pour tous les prix. Il y a mouton ‘’tchivi’’ (moindre qualité), mouton ‘’tchigan’’ (bien en chair). Ça dépend de ce que tu veux », nuance-t-il. Ici aussi, reconnaît-t-il, les clients sortent au compte-gouttes. « Ils attendent jeudi (veille de la fête) en se disant que nous vendrons moins cher, mais ils se trompent. Nous n’allons rien diminuer », prévient Souleymane. Un discours loin d’emballer les vendeurs rencontrés sur place qui se plaignent de la cherté des bêtes. Certains parmi eux n’excluent pas la possibilité d’aller vers le marché de bétail de Djeffa (route de Porto Novo) pour tenter leur chance. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/13765-celebration-vendredi-prochain-de-la-fete-de-la-tabaski-mevente-dans-les-marches-de-mouton-a-cotonou -- o:id 4585 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4585 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration vendredi prochain de la fête de la Tabaski. Parakou : les sites de vente pris d’assaut, malgré la cherté des bêtes dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-08-30 dcterms:identifier iwac-article-0002354 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La fête du mouton aura lieu vendredi 1er septembre prochain au Bénin. A quarante-huit heures de cette célébration, les fidèles musulmans de Parakou s’affairent pour les derniers préparatifs. Tout en déplorant la cherté des moutons, ils ont pris d’assaut les deux marchés ouverts pour la circonstance. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La fête du mouton aura lieu vendredi 1er septembre prochain au Bénin. A quarante-huit heures de cette célébration, les fidèles musulmans de Parakou s’affairent pour les derniers préparatifs. Tout en déplorant la cherté des moutons, ils ont pris d’assaut les deux marchés ouverts pour la circonstance. Guettant l’arrivée des clients depuis quelques jours, les vendeurs de moutons dans la ville de Parakou ont vu leurs prières exaucées. Depuis ce mardi 29 août, les sites de vente de Zongo et d’Okédama ont été pris d’assaut par les fidèles musulmans de la ville. Tenant à sacrifier à la tradition, chacun d’eux voulait avoir son mouton. Sur les lieux, les achats se font difficilement. Vendeurs et acheteurs ne parviennent pas à s’entendre sur le prix des bêtes. Les premiers, même s’ils reconnaissent que les moutons sont chers, affirment cependant qu’il y en a pour toutes les bourses. En effet, explique le commerçant Aziz Issifou, il lui faut faire face en plus du coût de transport de ses bêtes venues du Niger, à d’autres charges qu’il a engagées. Leurs prix, insiste-t-il, varient en fonction de leur taille, de la grosseur, de sa provenance et d’un vendeur à un autre. Ils vont de 30 000 à 450 000 F Cfa. Comme Aziz Issifou, Souleiman Aboubakar se plaint de la mévente. « Certes, le marché grouille de monde cet après-midi, mais ce n’est pas pour autant qu’ils achètent. Ils viennent seulement demander les prix, pour finalement vous tourner le dos », regrette-t-il. Sur la centaine de bêtes qu’il a amenées, c'est à peine il en a vendu sept. Toutefois, confiant que les clients attendent le dernier moment pour se décider, il ne perd pas espoir. Pour le client Soulé Moutari, ce n’est pas la volonté qui manque, mais les moyens. Devant un bélier gras et bien dodu à son goût et qu’il ne quittait pas du regard, qu’est-ce qu’il n’a pas proposé au vendeur pour entrer en sa possession? « Il est resté insensible face à mes supplications », fait-il constater tout dépité. « Je n’ai que 70 000 F Cfa en poche, mais il exige 125 000 F Cfa », confie Soulé Moutari. Au dernier moment, il s’est résolu à quitter Okédama pour le site de Zongo. C’est depuis trois jours qu’il court. Cette année, reconnaissent la plupart des clients, le marché est pourvu. Mais, il n’est pas donné à n’importe qui de le fréquenter. Les bêtes pour le sacrifice de l’Aïd-el-Kébir coûtent très cher. Tâtant les grandes cornes d’un animal avec sa main droite, Moufiz Daouda ne dira pas le contraire. « Normalement, un tel mouton ne devrait pas coûter plus de 80 000 F, mais on m’a pris 115 000 F Cfa», révèle. Finalement, il remerciera le Seigneur de lui avoir donné les moyens pour se procurer l’animal. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/13769-celebration-vendredi-prochain-de-la-fete-de-la-tabaski-parakou-les-sites-de-vente-pris-d-assaut-malgre-la-cherte-des-betes -- o:id 4586 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4586 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Aïd-el-Kébir 2017 : la tradition honorée à Lokossa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13497 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15148 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-09-01 dcterms:identifier iwac-article-0002355 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane de la cité des Kotafon vit, comme c’est le cas un peu partout au Bénin ce vendredi 1er septembre, l’ambiance de l'Aïd-el-Kébir ou la fête de mouton. Une ambiance marquée, dans la matinée de ce jour chômé, par des prières dites sur les différentes places Idi de la commune. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/468 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane de la cité des Kotafon vit, comme c’est le cas un peu partout au Bénin ce vendredi 1er septembre, l’ambiance de l'Aïd-el-Kébir ou la fête de mouton. Une ambiance marquée, dans la matinée de ce jour chômé, par des prières dites sur les différentes places Idi de la commune. Les fidèles musulmans qui se sont recueillis à la place Idi, située à l’entrée de la ville, ont été entretenus par l’imam de la mosquée centrale de Lokossa, Abdoulaye Torhir. Son prêche a fait un bref rappel de la vie de dévotion d’Ibraham en mettant l’accent sur le symbole de l’acte de sacrifice de bélier qui caractérise la fête de l’Aïd-el-Kébir. Cet acte sera répété par l’imam, lui-même en présence du chargé de mission du préfet du Mono, sur la place Idi donnant le top de l’immolation du mammifère quadrupède par tout fidèle de la communauté. S’agissant des intentions pieuses de cette célébration, les musulmans et leur imam ont prié pour la restauration de la santé du chef de l’Etat, le bien-être de ses collaborateurs et du peuple tout entier sur lequel Allah a été également invoqué en vue de faire jaillir des bénédictions de prospérité et de paix. La célébration s’est déroulée autour des mêmes intentions au quartier Zongo, à Lokossa, où la réalisation du Programme d’action du gouvernement (Pag 2016-2021) a été confiée à Allah. La communauté de ces musulmans et leur chef Abdou Nouhou alias Babavi, ont été honorés de la présence du préfet du Mono, Komlan Zinsou. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/politique-2/143-politique/13783-aid-el-kebir-2017-la-tradition-honoree-a-lokossa -- o:id 4587 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4587 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de la tabaski à Natitingou : la culture de la tolérance prônée dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1381 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-09-01 dcterms:identifier iwac-article-0002356 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane de Natitingou célèbre ce vendredi 1er septembre la fête de la tabaski. A la place Idi, la traditionnelle prière suivie d’offrande consacrant la commémoration a rassemblé des milliers de fidèles. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane de Natitingou célèbre ce vendredi 1erseptembre la fête de la tabaski. A la place Idi, la traditionnelle prière suivie d’offrande consacrant la commémoration a rassemblé des milliers de fidèles. Tapis sous l’aisselle et chapelet en main, de nombreux fidèles ont pris tôt d’assaut la place Idi de la ville de Natitingou. La traditionnelle prière consacrant ce rendez-vous qu’aucun d’entre eux ne semble vouloir manquer est officiée par Check Nourou Dine Mouhamed Sanni, imam de la mosquée centrale. Dans une ambiance empreinte de solennité et d’invocations, le célébrant loue la grandeur d’Allah et appelle les fidèles à s’attacher davantage à lui et à respecter ses prescriptions. « Il faut que le fidèle musulman soit un exemple dans tout ce qu’il fait. Qu’à travers ses comportements, sa pensée, sa parole il puisse influer positivement sur son univers », note-t-il. En présence d’autorités politico-administratives de la commune, il met en garde contre toute déviance et appelle à la prière permanente pour préserver la paix dans le pays. Implorant au passage la grâce divine sur les dirigeants à qui incombe la gestion du pays. Un sermon que ce beau monde endimanché a accueilli religieusement à entendre ses répliques ‘’amin’’. Vient ensuite le moment tant attendu, l’immolation du mouton. Ultime moment d’offrande au Créateur. Un geste que les fidèles sont appelés à rééditer chez eux, une fois de retour de la séance de prière. Pour Mgr Antoine Sabi Bio, évêque de Natitingou, dont la présence remarquée en ces lieux de prières témoigne de la parfaite cohabitation entre les diverses communautés, « ce qui est important pour la communauté musulmane l’est également pour les chrétiens ». Il a invité à prier pour que Dieu rende l’homme aussi miséricordieux que lui. L’unité, la paix et la tolérance sont à cultiver, à son avis, au niveau de toutes les confessions religieuses. Représentant le préfet de l’Atacora, Maguidi Kora Gbéré, a réitéré tout le soutien de l’autorité de tutelle à la communauté musulmane en ce jour de célébration et de piété et salué le dialogue interreligieux prévalant dans le département. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/13784-celebration-de-la-tabaski-a-natitingou-la-culture-a-la-tolerance-pronee -- o:id 4588 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4588 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Fête de Tabaski 2017 : les musulmans de Porto-Novo invités à tuer le mouton avec respect dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1947 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1394 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15122 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-09-01 dcterms:identifier iwac-article-0002357 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l'instar du monde entier, la communauté musulmane de Porto-Novo commémore ce vendredi 1er septembre la fête de Tabaski ou l’Aïd el-Kebir ou encore la fête de moutons. Le top de la célébration a été donné ce matin à la Place Idi d’Agbokou à la faveur d’une grande prière et d’action de grâce à Allah. La prière a été présidée par le doyen des Alphas (professeurs de l’islam) de Porto-Novo, Amidou Ibikanmi Igbayolola, assurant l’intérim de l’iman de Porto-Novo, Houzéifat Amzat et président de l’Union islamique du Bénin, parti à la Mecque. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l'instar du monde entier, la communauté musulmane de Porto-Novo commémore ce vendredi 1er septembre la fête de Tabaski ou l’Aïd el-Kebir ou encore la fête de moutons. Le top de la célébration a été donné ce matin à la Place Idi d’Agbokou à la faveur d’une grande prière et d’action de grâce à Allah. La prière a été présidée par le doyen des Alphas (professeurs de l’islam) de Porto-Novo, Amidou Ibikanmi Igbayolola, assurant l’intérim de l’iman de Porto-Novo, Houzéifat Amzat et président de l’Union islamique du Bénin, parti à la Mecque. Dans son sermon en langues arabe, yoruba, française et anglaise, le célébrant a surtout rappelé aux fidèles musulmans, les prescriptions de l’islam avant le sacrifice de l’animal. Ils doivent bien se comporter au mieux avec la bête. Ils doivent la tuer, l’égorger de manière parfaite. Ils doivent s’assurer que le couteau à utiliser est bien aiguisé capable de tuer d’un seul trait et sans maltraiter l’animal qui est aussi un être vivant et une créature divine. Aussi, insiste le doyen des alphas de Porto-Novo, les fidèles musulmans doivent-ils s’assurer que l’animal à sacrifier est âgé d’au moins six mois s’il s’agit d’un mouton, deux ans au moins pour la chèvre ou le bovin et cinq ans pour le chameau. La viande de la bête tuée sera partagée en trois parties : une partie pour la famille musulmane et les deux autres parts sont à distribuer aux proches et aux pauvres, rappelle Amidou Ibikanmi Agbayolola qui a immolé à titre symbolique sur place quatre béliers. Le célébrant a par ailleurs fustigé le comportement de certains fidèles musulmans qui, sans attendre son top, ont déjà procédé à l’immolation de leurs bêtes. Il dit en avoir constaté dans la ville lorsqu’il venait à la Place Idi. Cette façon de faire est une violation des recommandations du prophète Mahomet, a insisté l’iman intérimaire de Porto-Novo. Il n’a pas manqué de prier pour la paix au Bénin, sur le chef de l’Etat, Patrice Talon et les autres autorités du pays. La grande prière a connu la participation des autorités politico-administratives de Porto-Novo dont le maire de la ville capitale, Emmanuel Zossou et le préfet de l’Ouémé, Joachim Apithy. Au nom du Gouvernement, le préfet a souhaité bonne fête à tous les musulmans du département. Que celle-ci apporte la paix et la sérénité au sein de la communauté musulmane de Porto-Novo et du Bénin. Joachim Apithy a salué la consistance du message du sermon et de la prière du célébrant avant de prier Allah pour que les compatriotes qui sont partis à la Mecque pour Hadj dont l’iman de Porto-Novo puissent revenir sains et saufs. Il faut signaler que la fête de Tabaski marque la fin du Hadj. Selon la tradition islamique, cette fête commémore la soumission au Dieu d’Ibrahim qui a accepté d’égorger, sur l’ordre de Dieu, son unique fils Ismaël. Après son acceptation de l’ordre divin, Dieu envoie l’archange Gabriel qui, au dernier moment, substitue à l’enfant, un mouton qui servira d’offrande sacrificielle. C’est donc en souvenir de cette soumission totale d’Ibrahim à son Dieu, que les fidèles musulmans qui en ont les moyens tuent un animal pour rendre grâce à Dieu à chaque fête de Tabaski. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/13782-fete-de-tabaski-2017-les-musulmans-de-porto-novo-invites-a-tuer-le-mouton-avec-respect -- o:id 4589 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4589 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de l'Aïd-el-Kébir à Parakou : la fièvre monte en dépit de la morosité ambiante dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14920 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-08-31 dcterms:identifier iwac-article-0002358 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar de leurs homologues des quatre coins du monde, les fidèles musulmans de Parakou seront également en fête demain, vendredi 1er septembre. Ils célèbreront la Tabaski ou la fête du mouton. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar de leurs homologues des quatre coins du monde, les fidèles musulmans de Parakou seront également en fête demain, vendredi 1er septembre. Ils célèbreront la Tabaski ou la fête du mouton. En dépit de la morosité économique ambiante, la fête aura également lieu demain vendredi 1er septembre à Parakou. Pour accueillir les fidèles musulmans de la ville, les différentes places Idi de la ville ont déjà été apprêtées. Que ce soit à la place Idi de Zongo en passant par celles des cheminots, de Banikani et de Carder, on n’attend que la prière qui marque la célébration de l’Aïd-el-Kébir, 70 jours après le Ramadan. Aux yeux de la communauté musulmane, la veille de cette célébration a une portée spirituelle. Il s’agit du jour de l’Arafat. A cette occasion, le Haut conseil des imams de Parakou a organisé une grande prière à la mosquée centrale à Madina. Les participants à cette séance ont, à travers leurs invocations et autres, imploré la bénédiction d’Allah pour la ville et ses autorités, ainsi que son développement économique et social. Expliquant le sens de la prière qu’ils ont initiée ce jeudi, l’imam de la mosquée centrale de Madina et premier vice-président du haut conseil, El Hadj Mohamed Kabirou, a indiqué que c’est le jour de la montée de Arafat. « C’est le jour où Allah le Tout puissant exauce toutes les prières et pardonne tous nos péchés », a-t-il insisté. Sur les sites de vente de moutons à Okédama et à Guéma, ainsi que dans les marchés de circonstance installés par-endroits, grande était l’affluence ce jeudi. Certains fidèles espéraient profiter de la veille de la fête, sous prétexte que les prix des bêtes allaient baisser. Mais grande a été leur déception. Plutôt que de les liquider pour s’en débarrasser, la plupart des vendeurs préfèrent retourner chez eux avec leurs animaux. Qu’à cela ne tienne. Convaincus qu’ils finiront par changer d’avis, certains fidèles ont promis revenir le jour de la fête. A Parakou, ils sont nombreux les fidèles musulmans qui, après plusieurs tours sur les différents sites de vente de moutons, n’ont pas encore pu en acheter un pour la fête. Ceci à cause de la morosité économique. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/13778-celebration-de-l-aid-el-kebir-a-parakou-la-fievre-monte-en-depit-de-la-morosite-ambiante -- o:id 4590 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4590 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Coopération avec les institutions financières arabes : le Bénin sur la bonne voie dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/774 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13020 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-04-23 dcterms:identifier iwac-article-0002359 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Un regain d’activité est observé au niveau de la coopération avec les institutions financières arabes, sous le leadership du chef de l’Etat. En témoigne, selon Dr Zul Kifl Salami, chargé de mission du président de la République, l’accélération des décaissements pour des projets initiés par le gouvernement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/343 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/393 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Un regain d’activité est observé au niveau de la coopération avec les institutions financières arabes, sous le leadership du chef de l’Etat. En témoigne, selon Dr Zul Kifl Salami, chargé de mission du président de la République, l’accélération des décaissements pour des projets initiés par le gouvernement. « Notre coopération avec les institutions financières arabes se porte bien avec l’accélération des décaissements pour des projets existants ». C’est la conclusion que tire Dr Zul Kifl Salami, chargé de mission du président de la République, au lendemain des assemblées annuelles de la Banque islamique de développement tenues du 4 au 6 avril dernier à Marrakech au Maroc. Assises au cours desquelles a été actée la signature de l’accord de financement du projet d’appui aux universités thématiques de Porto-Novo et d’Abomey par la Banque arabe pour le développement économique en Afrique, d’un montant de 40 millions de dollars Us, soit plus de 22 milliards de francs Cfa. A la faveur d’une rencontre avec la presse, samedi 20 avril dernier, il a souligné tout l’intérêt dont bénéficie le Bénin de la part des fonds arabes pour le financement de ses projets de développement. « Nous assistons à un regain d’activité des Fonds arabes dans notre pays en termes d’évaluation de nouveaux projets, d’approbation de financement et de signature d’accords de financement », note-t-il. Tout ceci du fait que « Le chef de l’Etat impulse une nouvelle dynamique à la coopération entre le Bénin et les Fonds arabes qui constituent des partenaires de choix pour le développement de notre pays », confie-t-il. Le leadership du chef de l’Etat constitue un élément moteur de ce retour en grâce du Bénin sur le marché financier après une certaine léthargie observée au niveau de la coopération entre les différentes parties. De nombreux projets financés De cette dynamique il relève le décaissement de 2,5 milliards F Cfa de la part du Fonds saoudien de développement, au titre de la clôture du Projet de lutte contre l’érosion côtière, une autre enveloppe de 490 millions F Cfa pour le même projet et 1,7 milliard de francs Cfa pour le projet de microfinance aux plus démunis par la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea). A tout ceci, il faut ajouter le financement de l’hôpital de Savè par le Fonds saoudien de développement à hauteur de 5,4 milliards F Cfa et de l’Université agricole de Kétou à hauteur de 4,5 milliards de francs Cfa. Il soulignera par ailleurs la signature d’un accord de 13 milliards F Cfa au titre du bouclage du financement du projet de construction de la route Malanville - Kandi - Beroubouay par le Fonds de l’Opep pour le développement international (Ofid) et dont les travaux sont financés en partie par la Banque islamique de développement (Bid). Il n’occultera pas non plus d’autres projets structurants dont le financement a été sollicité par le gouvernement et qui recevront sans doute des avis favorables de la part desdits partenaires. Dr Zul Kifl Salami attribue cette confiance dont jouit le pays auprès des fonds arabes au leadership, à la vision et à la réactivité du président de la République. Par ses réformes, ce dernier, estime-t-il, a su créer un cadre législatif et un environnement attractif qui incitent à faire confiance aux dirigeants du pays. « Cette accélération des décaissements est un indicateur très significatif du renforcement de l’image du Bénin auprès de ces institutions », défend le chargé de mission du président de la République qui annonce l’arrivée au Bénin dans les tout prochains jours de plusieurs missions d’institutions financières arabes pour acter divers accords de prêts pour lesquels le gouvernement les a sollicités. « Nous sommes réellement sur la bonne voie et l’opinion publique doit pouvoir saluer ce leadership et cette méthode du chef de l’Etat conforme à la doctrine du développement. Le développement ne se fait pas en un jour. Il faut être méthodique et c’est ce que démontre le président de la République. Ce n’est pas une course de vitesse mais une course de fond. Il faut pouvoir poser les bases du développement pour impacter la vie des communautés », assure-t-il. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/19527-cooperation-avec-les-institutions-financieres-arabes-le-benin-sur-la-bonne-voie -- o:id 4591 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4591 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Opération « Djidjoho » : de présumés djihadistes arrêtés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/6 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13131 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-04-24 dcterms:identifier iwac-article-0002360 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’armée béninoise a réagi aux menaces djihadistes aux portes du pays en menant du 18 au 22 avril dernier une opération de grande envergure dans la zone frontalière avec le Burkina Faso, confronté à des attaques terroristes ces dernières années. De sérieuses prises ont été faites, selon l’état-major général des armées. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/381 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’armée béninoise a réagi aux menaces djihadistes aux portes du pays en menant du 18 au 22 avril dernier une opération de grande envergure dans la zone frontalière avec le Burkina Faso, confronté à des attaques terroristes ces dernières années. De sérieuses prises ont été faites, selon l’état-major général des armées. De nombreux suspects arrêtés et remis entre les mains de la Police républicaine. C’est le bilan de l’opération « Djidjoho », menée du 18 au 22 avril dernier par l’armée béninoise dans la zone frontalière avec le Burkina Faso, au nord-ouest du pays. Face aux menaces djihadistes contre son territoire du fait de son voisinage avec le pays des hommes intègres, le Bénin a réagi à travers son armée. Ainsi, près de mille soldats ont été déployés dans cette région soupçonnée d’abriter des djihadistes, selon des sources sécuritaires. Cette opération de l’armée vise prioritairement à localiser et à neutraliser d’éventuelles forces hostiles tapies dans la région, à en croire le colonel Fructueux Gbaguidi, chef d’état-major de l’armée de terre. Une action concertée entre l’armée et les forces paramilitaires telles que la Police républicaine et la Douane et menée sur instructions du président de la République. L’objectif du gouvernement, à travers cette initiative qui participe au renforcement de la sécurité des zones frontalières de la partie septentrionale est d’empêcher par tous les moyens de présumés djihadistes d’agir sur le territoire béninois. « Les présidents de la sous-région ont décidé de rendre la vie difficile aux éventuels groupes armés qui errent d'un pays à un autre. Le Bénin pour sa part a décidé de changer de modus operandi et de monter en puissance dans sa stratégie. Il s'agit de ratisser large en vue de nettoyer cette région. Nous restons proactifs pour faire face à d'éventuels groupes hostiles qui voudraient mettre en difficulté notre pays », a indiqué le colonel Fructueux Gbaguidi. Traqués de toutes parts par l’armée burkinabè, les djihadistes auraient trouvé refuge dans les zones frontalières avec certains pays de la sous-région dont le Bénin qui entend donc se prémunir contre toute éventuelle présence suspecte. Selon le colonel Fructueux Gbaguidi, chef d’état-major de l’armée de terre, l’opération conçue et préparée de longue date s’est essentiellement déroulée dans les parcs W et Penjari, et s’étend du département de l’Alibori à celui de l’Atacora. Elle s’inscrit dans le cadre des actions de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent menées dans la sous-région et fait suite à l’opération « Otapuanu », déclenchée le 8 mars dernier par les autorités militaires burkinabè pour sécuriser les régions est et centre-est du Burkina Faso, cible de plusieurs attaques terroristes ces dernières années. A l’instar du Bénin, tous les pays sont en alerte maximale et ont pris aussi des mesures sécuritaires pour parer à toutes menaces terroristes à leurs frontières avec le Burkina Faso. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/19533-operation-djidjoho-de-presumes-djihadistes-arretes -- o:id 4592 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4592 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Législatives 2019 : les résultats définitifs proclamés (Les 83 députs de la 8e législature connus) dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1508 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/763 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12974 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13300 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14039 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14508 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-05-03 dcterms:identifier iwac-article-0002361 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Juge souverain de la validité des élections législatives au terme de l’article 81, alinéa 2 de la Constitution, la Cour constitutionnelle a rendu publique, hier jeudi 2 mai, la liste des 83 députés de la huitième mandature. Outre des erreurs de chiffres dont le taux de participation qui est de 27,12%, les résultats définitifs donnés par la Haute juridiction confirment les grandes tendances annoncées par la Commission électorale nationale autonome, notamment 47 députés pour l’Union progressiste et 36 députés pour le Bloc républicain. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Juge souverain de la validité des élections législatives au terme de l’article 81, alinéa 2 de la Constitution, la Cour constitutionnelle a rendu publique, hier jeudi 2 mai, la liste des 83 députés de la huitième mandature. Outre des erreurs de chiffres dont le taux de participation qui est de 27,12%, les résultats définitifs donnés par la Haute juridiction confirment les grandes tendances annoncées par la Commission électorale nationale autonome, notamment 47 députés pour l’Union progressiste et 36 députés pour le Bloc républicain. L’Union progressiste sort des élections législatives avec 47 sièges et le Bloc républicain 36 sièges. C’est ce qu’il y a lieu de retenir des résultats définitifs des élections législatives du 28 avril dernier proclamés par la Cour constitutionnelle. Sur 4 992 399 personnes inscrites sur la liste électorale, le nombre de votants, constitués des électeurs qui ont valablement exprimé leurs suffrages et de ceux qui ont déposé des bulletins nuls, est de 1 353 955 électeurs. Le taux de participation qui est le rapport du nombre d’électeurs inscrits sur le nombre de votants est alors de 27,12%. A l’occasion, la Cour constitutionnelle n’a pas manqué de relever certaines imperfections et irrégularités qui ont caractérisé le travail de certains agents électoraux. La Haute juridiction a alors opéré diverses modifications matérielles et procédé aux redressements qui s’imposent. Les irrégularités portent, en effet, sur le défaut de procès-verbal de déroulement du scrutin et de feuilles de dépouillement, la confusion entre les suffrages valablement exprimés et le nombre de votants, l’absence de mention du nombre d’émargements et de dérogations sur le procès-verbal du déroulement du scrutin, le mauvais remplissage du procès-verbal du déroulement du scrutin, le défaut de décompte de voix par pictogramme, le défaut d’indication du code d’identification du poste de vote, le défaut d’annexion des bulletins considérés comme nuls au procès-verbal du déroulement du scrutin, la confusion entre bulletins nuls et bulletins valides… « Considérant que ces irrégularités et perturbations ne sont pas de nature à compromettre la validité, la sincérité et la transparence du scrutin, qu’il y a donc lieu d’en valider les résultats », précise la décision de la Cour constitutionnelle portant proclamation des résultats définitifs des élections législatives du dimanche 28 avril 2019. Les 83 députés de la 8e législature Siégeront à l’Assemblée nationale au titre de la huitième législature, les nommés Salifou Issa, Alassane Séïdou, Gounou Bio Ouningui Sina, Malick Saré Sanni Mora, Domitien Konièmè N’ouémou, Jacques Boundja Yempabou, Thomas Tchoropa Yombo, Kokou Lucien Houngnibo, Marcellin Tossou Ahonoukoun, Mathieu Adjovi, Georges Bada, Epiphane Sonagnon Honfo, Nestor Tohouégnon Noutaï, Worou Yaya Soro Akibou, Yacoubou Orou Sé Guéné, Sacca Lafia, Valère Déhouégnon Tchobo, Edmond Assogba Agoua, Marcelin Worou Aka, Richard Kocouvi Allosohoun, Gérard Gbénonchi, Oswald Selbourne Homèky, Jérémie Adomahou, Serge Ernest Mèdéwanou, Tidjani Amed Obo Affo, Délonix Djiméco Kogblévi, Romarique Sèdami Fagla Mèdégan, Otonikou Badirou Aguèmon, Abraham Daniel Zinzindohoué, Jean-Baptiste Orden Alladatin, Patrice Comlan Agbodranfo Nobimè, Charles Comlan Gagnon, Dakpè Sossou, Mahougnon Thomas Kakpo, Hippolyte Hazoumè, Victor Hounsa, David Camille Biokou, Justin Hounsa Agbodjèté, Augustin Sèdogbo Ahouanvoébla, Léon Bokovo, Louis Gbèhounou Vlavonou, Olalandou Razack Abiossè, Jean-Pierre Ibitècho Babatundé, Fortunet Alain Nouatin, Sètondji Luc Atrokpo, Boniface Yèhouétomè, Natondé Aké pour le compte de l’Union progressiste, et les nommés Nassirou Arifari Bako, Sabaï Katé, Barthélémy Dahoga Kassa, Gilbert Bangana, Abdoulaye Salifou Gounou, N’da Antoine N’Da, Cyprien Togni, Octave Cossi Houdégbé, Nathanaël Sokpoèkpè, Robert Gbian, Zimé Gounou Kora, Rachidi Gbadamassi, Adam Zakari Bagoudou, Mariama Baba Moussa, Jean-Eudes Kpotchikpa Okoundé, Eustache Akpovi, André Akambi Biaou Okounlola, David Gbahoungba, Mamoudou Boda Zoumarou, Nouhoumè Bida, Abdouramani Youssoufou, Abdoulaye Bio Tchané, Abdel-Kader Gbadamassi, Ousmane Ibourahima, Chantal Eugénie Dédévi Ayi, Joseph Amavi Anani, Rosine Dagniho, Modjisola Sofiatou Schanou, Jonas Sèdozan Gbènamèto, Paulin Gbénou, Mathias Gnonlonfin Kouwanou, Awaou Eniola Bissiriou, Hervé Jean-Michel Babalola Abimbola, Coovi Dominique Atchawé, Nazaire Sado, Janvier Yahouédéhou, Hervé Hêhomey pour le compte du Bloc républicain. Soit 47 députés pour l’Union progressiste et 36 pour le Bloc républicain. En application des dispositions de l’article 242 de la loi 2018-31 du 9 octobre 2019 portant Code électoral, l’attribution des sièges aux deux listes en compétition a été faite selon le système du quotient électoral et de la règle de la plus forte moyenne. « La présente proclamation ne préjuge pas de l’issue des contestations qui pourraient entraîner l’invalidation de sièges de députés », précise la même décision de la Cour constitutionnelle. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/19587-legislatives-2019-les-resultats-definitifs-proclames-les-83-deputs-de-la-8e-legislature-connus -- o:id 4593 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4593 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Roufaï Ahmed Mani, imam de la mosquée Assalam d’Atrokpocodji : « Un musulman doit jeûner comme si c’est le dernier jeûne sur terre » dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1503 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2046 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-05-09 dcterms:identifier iwac-article-0002362 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans du Bénin, à l’instar de ceux du monde entier observent, depuis ce lundi 6 mai, le mois du Ramadan. Étant l’un des cinq piliers de l’islam, ce temps est considéré comme un moment de purification et d’intenses prières. Roufaï Ahmed Mani, imam de la mosquée Assalam d’Atrokpocodji, revient sur les grands moments du mois du Ramadan et l’attitude que doit adopter tout bon musulman en ce temps de carême. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13283 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans du Bénin, à l’instar de ceux du monde entier observent, depuis ce lundi 6 mai, le mois du Ramadan. Étant l’un des cinq piliers de l’islam, ce temps est considéré comme un moment de purification et d’intenses prières. Roufaï Ahmed Mani, imam de la mosquée Assalam d’Atrokpocodji, revient sur les grands moments du mois du Ramadan et l’attitude que doit adopter tout bon musulman en ce temps de carême. La Nation : Qu’est-ce que le jeûne musulman et quelle place occupe-t-il dans l’islam ? Roufaï Ahmed Mani : Le Ramadan est l’un des cinq piliers de l’islam. C’est un mois saint, un mois plein de bénédictions, un mois de Coran, de jeûne et d’adoration. C’est dans ce mois que nous jeûnons 29 ou 30 jours, ce qui est une obligation pour tout musulman. C’est un ordre que le Coran nous donne suivant les cinq piliers de l’islam que sont la profession de la foi, c’est-à-dire croire qu’il n'y a pas une autre divinité digne d’être adorée en dehors d’Allah et son prophète Mohamed, faire la prière cinq fois dans la journée, faire le jeûne et l’aumône, ce qui est une obligation pour les riches qui doivent aider les pauvres et enfin aller à la Mecque pour le pèlerinage lorsqu’on en a les moyens. Ce qui est important dans ce mois de Ramadan est qu’il faut d’abord croire en Allah et en son messager, ensuite il faut toujours prier cinq fois par jour pour bénéficier de la grâce d’Allah. Comme l’a dit le prophète Mahomet, la prière est la première des choses sur lesquelles nous serons jugés. Quelles sont les différentes étapes du jeûne musulman ? Il faut avoir l’intention sincère au réveil que l’on veut jeûner parce que c’est la base de toute adoration. Dieu connait l’intérieur de chacun. C’est selon l’intention qu’il va juger les humains. Le musulman qui jeûne doit manger à l’aube. Actuellement, nous faisons l’appel de l’aube à 5 heures 24 minutes et il faut arrêter de manger au plus tard à 5 heures. Pour ceux qui ne mangent pas, je leur recommande de prendre au moins de l’eau, car le prophète Mahomet a dit que la nourriture de l’aube est une bénédiction. Ensuite, vient le tour d’aller prier à la mosquée à l’aube. Au coucher du soleil, il faut rompre le jeûne avec la datte. Il est également conseillé de prier seul la nuit dans sa chambre pour plus se rapprocher de Dieu. Qui est-ce qui est prédisposé à faire le jeûne et quel comportement doit adopter le bon musulman ? Il faut d’abord être musulman pour faire le jeûne. L’autre chose est qu’il faut être pubère, car un enfant ne doit pas forcément faire le Carême. Néanmoins, il y a des parents qui amènent certains enfants à jeûner, ce qui n’est pas mauvais. Mais dès que quelqu’un a l’âge de raison, il doit jeûner. Également, il faut être nécessairement en bonne santé pour pouvoir jeûner parce que le Coran stipule que celui qui est malade doit jeûner une autre fois. Les personnes âgées aussi sont rangées dans la catégorie de ceux qui sont malades, donc elles ne peuvent pas supporter le jeûne. La femme qui n’est pas en menstrues doit jeûner mais lorsqu’elle y est, elle doit s’abstenir de jeûner. L’autre chose est que le musulman doit être bon pendant et en dehors du mois de carême. Car ce n’est pas seulement pendant le temps de carême que le musulman va faire semblant d’être bon. Le Dieu que nous adorons pendant le mois de Ramadan, c’est le même Dieu que nous adorons en dehors du mois de carême et le prophète Mahomet est venu parachever les bonnes mœurs. Selon le Coran, il faut craindre Dieu où qu’on se trouve. C’est pour dire que le musulman doit être bon en tout temps et plus encore pendant le mois de carême. Le bon musulman, pendant le mois de carême, ne doit pas médire ou proférer des paroles obscènes. Il doit avoir un comportement sain et s’interdire de regarder des choses malsaines, que cela soit pendant le Ramadan ou après. Notre pied ne doit pas nous amener dans des lieux interdits, car le tout ne suffit pas de s’abstenir de manger ou de boire de l’aube au coucher du soleil. Tout le corps doit en plus rester en sainteté. Quel appel avez-vous à lancer à l’endroit des fidèles musulmans ? Le fait d’être en vie en ce mois de Ramadan est un bienfait d’Allah puisque nous avons des frères et des proches qui, aujourd’hui, ne sont plus de ce monde. Il y a également ceux avec qui on a commencé ce Ramadan mais qui ne sont plus parmi nous. Je demande à chaque fidèle musulman de jeûner ce mois-ci comme si c’est le dernier jeûne qu’il fera sur terre. Que le frère musulman n’oublie pas son frère en difficulté et que chacun de nous prie pour la nation béninoise. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/19623-roufai-ahmed-mani-imam-de-la-mosquee-assalam-d-atrokpocodji-un-musulman-doit-jeuner-comme-si-c-est-le-dernier-jeune-sur-terre -- o:id 4594 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4594 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Remise de vivres dans le cadre du jeûne : Moov Bénin soutient cent fidèles musulmans de Dassa-Zoumè dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14289 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15480 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-05-22 dcterms:identifier iwac-article-0002363 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre du jeûne du Ramadan, le réseau de téléphonie mobile Moov Bénin, à travers sa fondation Etisalat Bénin, est allé soutenir les fidèles musulmans de la mosquée centrale de Dassa- Zoumè. C’était hier, mardi 21 mai, au cours d’une cérémonie de remise de vivres à une centaine de musulmans de cette mosquée, sous l’égide de la secrétaire exécutive de cette fondation, Dolorès Chabi Kao. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/302 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13642 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre du jeûne du Ramadan, le réseau de téléphonie mobile Moov Bénin, à travers sa fondation Etisalat Bénin, est allé soutenir les fidèles musulmans de la mosquée centrale de Dassa- Zoumè. C’était hier, mardi 21 mai, au cours d’une cérémonie de remise de vivres à une centaine de musulmans de cette mosquée, sous l’égide de la secrétaire exécutive de cette fondation, Dolorès Chabi Kao. Des sacs de riz, des cartons de sucre, des boîtes de café, de Milo, de lait, des bidons d’huile, des paquets de thé, etc. C’est ce à quoi les fidèles musulmans de la mosquée centrale de Dassa- Zoumè ont eu droit hier. Selon la secrétaire exécutive de la fondation Etisalat Bénin, Dolorès Chabi Kao, la cible dans cette opération de don n’est composée que de personnes vulnérables. Mais, elle explique que ce n’est pas seulement cette catégorie de personnes qui est prise en compte par les opérations de dons de sa fondation. « Nous faisons aussi des dons aux abonnés du réseau Moov Bénin », souligne-t-elle, avant de faire remarquer que c’est le volet social de l’opération qui a eu lieu à la mosquée centrale de Dassa-Zoumè. Car, il s’agit de personnes qui ne sont pas nécessairement des abonnés du réseau Moov Bénin, mais qui n’ont pas assez de moyens pour supporter cette période de jeûne du Ramadan. « Nous avons la chance de voir Moov Bénin dans nos quatre murs ce mardi 21 mai pour nous donner des vivres dans le cadre du jeûne du Ramadan », se réjouit le président de la mosquée centrale de Dassa-Zoumè, El Hadj Soulémane Olabodi qui s’est confondu en remerciements envers le réseau Moov Bénin. Car, dit-il, « Nous avons vu beaucoup de choses comme le riz, le sucre, le lait, le café, l’huile, le thé, etc. ». Des remerciements El Hadj Soulémane Olabodi déclare qu’il ne sait pas comment remercier une fois de plus Moov Bénin dans la mesure où les responsables de la fondation Etisalat ont voulu que les vivres soient donnés à cent fidèles musulmans de la mosquée. « Nous allons gérer les vivres pour que les cent fidèles musulmans des deux sexes puissent vraiment en bénéficier», promet le président de la mosquée. Pour lui, ces vivres sont d’un grand secours pour les bénéficiaires. « Pendant cette période de jeûne, nous mangeons beaucoup », déclare El Hadj Soulémane Olabodi qui estime que ce geste de Moov Bénin vient soulager les bénéficiaires. Et de souhaiter que cette aide vienne régulièrement dans la mesure où en cette période de Ramadan, ça se partage dans la beauté et la joie. Pour sa part, l’imam de la mosquée centrale de Dassa- Zoumè, Adam Baloubi, a manqué de mots pour remercier Allah qui a béni, selon lui, ce mois de Ramadan. Car, au cours de ce mois, indique-t-il, les gens aiment faire des gestes comme Moov Bénin l’a fait ce mardi. « Nous sommes très ravis et très contents », se réjouit-il, avant de rappeler que le prophète Mahomet promet le paradis à celui qui donne à manger et à boire pendant cette période de jeûne. Au nom de la communauté musulmane de cette mosquée, des membres du comité de gestion et des responsables à divers niveaux, l’imam Adam Baloubi a salué le geste de Moov Bénin à travers la fondation Etisalat. Une action qui, dit-il, restera gravée dans l’histoire de la mosquée. Après la mosquée centrale de Dassa-Zoumè, la remise de vivres, selon Dolorès Chabi Kao, se poursuivra dans les prochains jours dans le département de l’Ouémé. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/19717-remise-de-vivres-dans-le-cadre-du-jeune-moov-benin-soutient-cent-fideles-musulmans-de-dassa-zoume -- o:id 4595 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4595 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Assistance dans le cadre du mois de ramadan : la Fondation Etisalat fait d’importants dons dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15480 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14027 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-05-24 dcterms:identifier iwac-article-0002364 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane de Sadognon à Porto-Novo a bénéficié, jeudi 23 mai, d’un appui de la Fondation Etisalat, dans le cadre du mois du ramadan. D’importants lots de vivres leur ont été offerts par ces temps où les musulmans du monde entier observent avec foi, l’une des principales recommandations du livre saint. Le geste de la fondation a été accueilli avec une ferveur inhabituelle et une pluie de prières. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane de Sadognon à Porto-Novo a bénéficié, jeudi 23 mai, d’un appui de la Fondation Etisalat, dans le cadre du mois du ramadan. D’importants lots de vivres leur ont été offerts par ces temps où les musulmans du monde entier observent avec foi, l’une des principales recommandations du livre saint. Le geste de la fondation a été accueilli avec une ferveur inhabituelle et une pluie de prières. Prières et invocations à Allah, versets coraniques… La communauté musulmane de Sadognon à Porto-Novo s’est montrée particulièrement reconnaissante à l’endroit de la délégation de la Fondation Etisalat, venue dans la matinée du jeudi 23 mai, lui faire d’importants dons de vivres dans le cadre du jeûne musulman. Comme à ses habitudes, elle est allée apporter un peu de joie à cette communauté par ces moments de piété. On peut dire que la Fondation Etisalat y est allée les bras lourdement chargés. Des dizaines de cartons de vivres composés essentiellement de riz parfumé, de sucre, de thé, de chocolat, de café, de lait… ont été offerts à l’occasion. Dolores Chabi Kao, secrétaire exécutive de la Fondation Etisalat Bénin, rappelle que c’est une tradition au niveau de la structure, non seulement d’aider ceux qui sont dans le besoin, mais aussi de soutenir la communauté musulmane à l’occasion du mois de jeûne. « C’est un geste social pour permettre aux musulmans de faire le jeûne dans de bonnes conditions. Nous sommes venus accompagner la communauté musulmane et lui apporter notre soutien », explique-t-elle. Seulement, insiste-t-elle, il y a une nuance à faire entre les actions du réseau Moov Bénin dont émane la fondation, à l’endroit de ses abonnés et le présent geste de la fondation. Dolores Chabi Kao indique à ce propos que le réseau Moov agit à l’endroit de ses abonnés musulmans pendant que la fondation elle, cible des musulmans sans tenir compte de leurs affinités avec le réseau. Selon ses explications, point n’est besoin d’être abonné au réseau Moov avant de jouir des dons de la Fondation Etisalat Bénin. Et c’est bien ce qui a eu lieu dans la matinée de ce jeudi. Sortis massivement, les musulmans de ce quartier défavorisé de Porto-Novo sont rentrés chez eux les bras chargés de vivres. Ils peuvent ainsi, chaque jour, pour le temps de carême restant, répondre valablement à cette exigence de leur religion sans se soucier de quoi disposer pour rompre le jeûne. Le sens du partage… Le geste est fort apprécié par les responsables de ladite communauté dans la cité des Aïnonvi. Sadikou Bouraïma Samory, représentant de l’imam central de Porto-Novo n’avait pas assez de mots pour dire sa gratitude aux donateurs. « Nous sommes tellement contents et heureux de ce geste de la Fondation », introduit-il. « Nous sommes dans un mois de partage, et cette action à l’endroit de personnes défavorisées touche particulièrement la communauté musulmane de Porto-Novo. C’est une manière d’aider ceux qui n’en ont pas. Le carême existe depuis la nuit des temps. Tous les prophètes ont jeûné », poursuit-il. L’Islam, détaille Sadikou Bouraïma Samory, a cinq piliers fondamentaux et le jeûne une fois l’an qui en est le troisième fait partie des trois piliers obligatoires. « Ce mois est pour aider les pauvres et pour sentir un peu comment vivent ceux qui sont dans le besoin. Toute action généreuse au cours de ce mois est particulièrement bénie. Ceux qui dépensent leurs sous dans les pauvres pendant le carême sont bénis », lance le représentant de l’imam central de Porto-Novo, un peu comme pour dire combien heureux et bénis sont les responsables de la fondation Etisalat pour leur geste fraternel. Geste fraternel, mais aussi d’amour qui ne s’arrêtera pas en si bon chemin. Si le choix n’est que le fruit d’un pur hasard et n’est motivé par aucune particularité en dehors du besoin d’assistance à des populations dans le besoin, les initiatives du genre se multiplieront encore et encore, promet Dolores Chabi Kao. Des promesses, Edouard Noutaïs, chef vente indirecte Ouémé-Plateau du réseau Moov Bénin en fait aussi. Pour lui, il y aura toujours des actions à l’endroit de la population, tant que le réseau disposera de moyens pour le faire. Et pour cette raison, il invite les abonnés à consommer et à demeurer fidèles aux produits de Moov Bénin. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/19744-assistance-dans-le-cadre-du-mois-de-ramadan-la-fondation-etisalat-fait-d-importants-dons -- o:id 4596 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4596 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Protection des enfants : quid des droits des ‘‘talibés’’ ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14581 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/27 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-06-12 dcterms:identifier iwac-article-0002365 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dimanche 16 juin prochain, la communauté africaine célèbre la vingt-neuvième édition de la Journée de l’enfant africain (Jea 2019) sous le thème « L’action humanitaire en Afrique : les droits de l’enfant avant tout ». Le cas des enfants mendiants errant dans les rues et généralement appelés ‘’talibés’’ interpelle à plus d’un titre. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dimanche 16 juin prochain, la communauté africaine célèbre la vingt-neuvième édition de la Journée de l’enfant africain (Jea 2019) sous le thème « L’action humanitaire en Afrique : les droits de l’enfant avant tout ». Le cas des enfants mendiants errant dans les rues et généralement appelés ‘’talibés’’ interpelle à plus d’un titre. Dans les feux tricolores, les marchés, les gargotes et autres lieux publics, ils déambulent à longueur de journée. Bol en main ou relié à une corde en bandoulière, ces bouts d’homme grossièrement vêtus, mal nourris et crasseux, sollicitent l’indulgence et la générosité des passants pour s’assurer leur pitance. Certains, plus agressifs, n’hésitent pas arracher le plat servi à autrui dans les lieux de vente de nourriture. De Malanville à Cotonou en passant par Kandi, Parakou, Bohicon et autres grandes villes du Bénin, ces enfants particulièrement vulnérables continuent d’errer dans la rue, en dépit de quelques actions éparses des organismes internationaux, des Ong, des pouvoirs publics. Les moins chanceux parmi ces enfants mendiants généralement désignés sous le vocable « Talibé » par déformation, du fait que bon nombre étudient dans les écoles coraniques, sont maltraités. Ils sont contraints de ramener quelque chose à leur maître au risque de subir la correction à coups de cravache ou de manquer le repas du soir, le seul qui lui est garanti. Le tarif est fixé à 500, 700 F Cfa ou plus par jour et par enfant. Ce ne sont pas tous les enfants d’école coranique qui mendient, encore moins tous les maîtres coraniques qui intiment aux enfants de demander l’aumône. Mais force est de constater qu’ils sont en majorité musulmans, surtout dans la région septentrionale du pays. En ce moment où l’on s’apprête à célébrer, dimanche 16 juin prochain, la vingt-neuvième édition de la Journée de l’enfant africain (Jea 2019) en souvenir du massacre des enfants de Soweto lors d’une marche pour leurs droits le 16 juin 1976 par le pouvoir de l’apartheid, ces enfants méritent une attention particulière. Le thème de cette édition est évocateur : « L’action humanitaire en Afrique : les droits de l’enfant avant tout ». Quid des enfants mendiants ? Leurs droits sont bafoués : les parents ont fui leurs responsabilités, les pouvoirs publics se montrent complaisants et les organisations de la société civile qui s’intéressent à leur sort paraissent débordées. Quelque 344 écoliers coraniques sans acte de naissance, sans nationalité et donc sans citoyenneté ont été recensés dans la seule ville de Parakou dans le cadre du projet « Du Talibé au citoyen leader » mis en œuvre il y a quelques mois par le Centre d’action pour la recherche et l’éducation à la base (Careb Ong). La maltraitance dans la rue, la mendicité et l’exploitation des enfants restent prégnantes, malgré les discours et les textes de loi qui condamnent le phénomène. Le nouveau Code pénal stipule, en son article 501 alinéa 1er, que « La traite des personnes est punie de la réclusion criminelle à temps de 10 à 20 ans ». Il y est également mentionné que le fait pour un parent biologique ou tuteur d’utiliser les services d’un enfant de moins de 14 ans à des fins lucratives constitue une forme d’exploitation punie par la loi. Mais les auteurs de cette forme d’esclavage, pour la plupart analphabètes en français, ignorent, tout comme les parents, ces dispositions visant à protéger les enfants. Sans le moindre acte de naissance pour la plupart, sans éducation digne du nom, les enfants mendiants, orphelins ou délaissés par des géniteurs démunis sont exposés à toutes sortes de vices et de traite : abus sexuels, mariage précoce, délinquance, drogue, vol, maladie, etc. Ainsi, une bonne partie de la relève de demain, fer de lance du développement, se retrouve à la rue, une situation qui ne doit laisser personne indifférent. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/19825-protection-des-enfants-quid-des-droits-des-talibes -- o:id 4597 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4597 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de l’Aid el-fitr : le peuple béninois et les musulmans conviés à la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1516 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15138 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1427 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-06-05 dcterms:identifier iwac-article-0002366 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans de la mosquée centrale Médine II d’Agori-Plateau dans la commune d’Abomey-Calavi se sont rassemblés, à l’Ecole primaire publique de Zogbadjè, ce mardi 4 juin, pour célébrer la fête l’Aïd El-Fitr. Dans son sermon, l’iman El-Hadj Boukari Malik Moutawakil a invité le peuple béninois et surtout les acteurs politiques à la culture de la paix, de tolérance et du pardon pour l’inclusion sociale et la réconciliation. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/491 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans de la mosquée centrale Médine II d’Agori-Plateau dans la commune d’Abomey-Calavi se sont rassemblés, à l’Ecole primaire publique de Zogbadjè, ce mardi 4 juin, pour célébrer la fête l’Aïd El-Fitr. Dans son sermon, l’iman El-Hadj Boukari Malik Moutawakil a invité le peuple béninois et surtout les acteurs politiques à la culture de la paix, de tolérance et du pardon pour l’inclusion sociale et la réconciliation. Fini le mois béni de ramadan dont les nuits et les jours ont été chargés d'actes de dévotion, de jeûne, de prière nocturne et de récitation du Saint Coran. Les musulmans de la mosquée centrale Médine II d’Agori-Plateau dans la commune d’Abomey-Calavi et environs se sont réunis à l’Ecole primaire publique de Zogbadjè, ce mardi 4 juin pour la fête l’Aïd El-Fitr correspondant à l’an 1440 H. L’iman El-Hadj Boukari Malik Moutawakil, dans son sermon, a rendu louange à Allah pour avoir offert à ses pieux serviteurs ces occasions de s’adonner aux bonnes actions et de se rapprocher de lui pendant le mois de ramadan. Il a invoqué la bénédiction de Dieu sur toute la nation béninoise et sur toute la communauté musulmane. En vue de la réconciliation nationale, il invite les dirigeants à divers niveaux à prendre des mesures idoines visant à renforcer la paix et l’unité nationale. « Nous implorons la clémence de Dieu pour toute la communauté musulmane et la nation béninoise afin qu’Allah éclaire et assiste nos dirigeants en vue de la paix et de l’unité nationale », a-t-il prié. L’imam El-Hadj Boukari Malik Moutawakil pense que les leçons de ramadan vont permettre aux dirigeants de se mettre en éveil, de redoubler de vigilance pour maintenir la cohésion sociale et réactiver les valeurs et les idéaux dans les âmes. «Ces leçons nous permettront d’accorder une sollicitude particulière à la jeunesse afin de la protéger des idées déviantes et des idéologies destructrices » a-t-il poursuivi. C’est l’occasion pour lui d’inviter les hommes politiques à travailler à l’enracinement de la démocratie et à l’Etat de droit au Bénin. « Nous encourageons toutes les forces politiques et sociales de notre pays à se tourner résolument vers l’avenir et à œuvrer pour la restauration de la confiance à travers le dialogue constructif prôné par le chef de l’Etat pour la consolidation des acquis démocratiques », a-t-il déclaré. Abondant dans le même, l’ancien ministre Soumanou Toléba a remercié Allah pour avoir permis au peuple béninois de passer ce mois de jeûne dans la paix et dans la tolérance religieuse. Selon lui, c’est la prière des uns et des autres qui a favorisé la paix et la quiétude pendant la période post-électorale. Comme lui, le député Nassirou Arifari Bako a invité toutes les communautés religieuses du Bénin à œuvrer pour la tolérance et la paix en vue de la réconciliation nationale. Il invite les dirigeants à divers niveaux à prendre des mesures idoines visant à renforcer la paix et l’unité nationale sur toute l’étendue du territoire national. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/19787-celebration-de-l-aid-el-fitr-le-peuple-beninois-et-les-musulmans-convies-a-la-paix -- o:id 4598 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4598 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Hadj 2019 : le gouvernement s’active pour une bonne organisation dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1503 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14263 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13578 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1420 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13187 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15400 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-06-21 dcterms:identifier iwac-article-0002367 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le souci d'une meilleure organisation du Hadj 2019, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Aurélien Agbénonci, coordonnateur national du Comité de supervision du Hadj a échangé ce mercredi 19 juin avec les responsables des faîtières des convoyeurs. L’objectif est de faire le point des préparatifs et de recueillir leurs préoccupations afin d’apporter les solutions requises. C’était en présence de ses collègues de l’Intérieur, Sacca Lafia, des Infrastructures et des Transports, Alassane Séidou, de la Santé, Benjamin Hounkpatin et de la représentante du chef de l’Etat, Salamatou Soumanou. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le souci d'une meilleure organisation du Hadj 2019, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Aurélien Agbénonci, coordonnateur national du Comité de supervision du Hadj a échangé ce mercredi 19 juin avec les responsables des faîtières des convoyeurs. L’objectif est de faire le point des préparatifs et de recueillir leurs préoccupations afin d’apporter les solutions requises. C’était en présence de ses collègues de l’Intérieur, Sacca Lafia, des Infrastructures et des Transports, Alassane Séidou, de la Santé, Benjamin Hounkpatin et de la représentante du chef de l’Etat, Salamatou Soumanou. Dans quelques jours, les fidèles musulmans iront en pèlerinage en terre sainte. Pour parfaire l’organisation de l'édition de cette année du Hadj, la délégation ministérielle avec à sa tête le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération a échangé avec les responsables des faitières des convoyeurs. L’objectif de cette rencontre est de faire le point des préparatifs du Hadj et recueillir les préoccupations des faitières afin d’apporter les solutions requises. Aurélien Agbénonci a rappelé que l’option des vols charter par l’Etat est la meilleure solution afin d’éviter aux pèlerins béninois des escales multiples, interminables et fatigantes. Il indique qu’une dérogation est accordée à cent personnes pour les vols réguliers. Les convoyeurs, dans leurs doléances, souhaitent que le nombre de dérogations à accorder aux pèlerins désireux de prendre des vols réguliers soit revue à la hausse. Après avoir pris note de leurs doléances, Aurélien Agbénonci a indiqué qu’elles seront examinées. Quant aux difficultés liées à la vaccination, le ministre promet que l’équipe sera renforcée pour que le temps d’attente soit considérablement réduit. Aurélien Agbénonci a pour finir, invité les faîtières à œuvrer pour l’organisation d’un Hadj exemplaire qui rehausse l’image du Bénin. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/19878-hadj-2019-le-gouvernement-s-active-pour-une-bonne-organisation -- o:id 4599 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4599 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Edito : des problèmes, des solutions dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1520 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15400 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-06-28 dcterms:identifier iwac-article-0002368 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Gouverner, c’est prévoir. C’est bien souvent dit, mais si peu mis en application sous nos cieux. C’est pourtant la raison d’être, par essence, d’un gouvernement qui se doit, par anticipation, de porter les problèmes de la cité et d’en concevoir les solutions à la satisfaction générale, faire de sorte à amoindrir les pénibilités des populations de qui il tient mandat.C’est ce message fort qu’il convient de lire dans l’initiative du gouvernement actuel de mettre à la disposition des aspirants au hadj un cadre convenable. Evidemment, avec le joyau rendu disponible par le gouvernement Talon, la mémoire très sélective de la masse y voit une évidence, perdant déjà de vue le chaos précédent, si soudain lointain, et jeté aux oubliettes. Rafraichissons-nous la mémoire. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14218 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Gouverner, c’est prévoir. C’est bien souvent dit, mais si peu mis en application sous nos cieux. C’est pourtant la raison d’être, par essence, d’un gouvernement qui se doit, par anticipation, de porter les problèmes de la cité et d’en concevoir les solutions à la satisfaction générale, faire de sorte à amoindrir les pénibilités des populations de qui il tient mandat.C’est ce message fort qu’il convient de lire dans l’initiative du gouvernement actuel de mettre à la disposition des aspirants au hadj un cadre convenable. Evidemment, avec le joyau rendu disponible par le gouvernement Talon, la mémoire très sélective de la masse y voit une évidence, perdant déjà de vue le chaos précédent, si soudain lointain, et jeté aux oubliettes. Rafraichissons-nous la mémoire. Faut-il le rappeler, de tout temps, avant d’aller au pèlerinage à la Mecque, les aspirants béninois à cette recommandation du livre saint musulman, sont confrontés à un parcours de combattant chaque année, paraissant tels des réfugiés dans leur propre pays, sans boussole, livrés à eux-mêmes, comme s’ils n’avaient aucun répondant administratif, comme si dans le pays, il n’y avait la moindre autorité, aucun responsable public en charge des cultes ! Tout tournait en l’eau de boudin si tout ne partait en vrille, et chaque année davantage, malgré la mise en place de structure spécialisée. Mais depuis peu, sous le gouvernement de la Rupture, ce tableau chaotique n’existe plus grâce à une organisation minutieuse du hadj, sous la férule du ministre Aurélien Agbénonci. Ordre fut également mis dans le pèlerinage du christianisme céleste à Sèmè-Podji, parmi tant d’autres restructurations. Pour un pèlerinage d’envergure internationale, il était tout simplement inadmissible d’assister au spectacle de pèlerins couverts de poussière pourtant incompatible avec le blanc dont ils sont vêtus, embarqués tel du bétail dans des camions et autres véhicules brinquebalants. Désormais mieux civilisé, ce pèlerinage qui a valeur économique de par la foule d’étrangers qu’il draine, présente meilleure mine. Loin d’être un cas isolé, la dynamique mise en branle pour régler les problèmes de l’organisation du hadj au Bénin, à qui plus de dignité et d’efficacité sont conférées, est la marque d’action du gouvernement Talon. Cela n’est pas assez apprécié à sa juste valeur, à l’ère de l’intoxication à tout-va. Aussi, faut-il le souligner. D’autant que cette recette est d’application récurrente dans la gouvernance Talon. On peut la déceler notamment dans la décision de libérer l’emprise de la voie publique occupée depuis des générations, au point qu’il paraissait, non seulement coutumier de procéder de la sorte, mais quasiment comme si cela relevait d’une culture entendue, voire de civilisation (sic) à laquelle il ne fallait pas toucher, selon certains bien-pensants qui ont tenté vainement de justifier la bêtise. Ce qui avait en tout cas justifié les récriminations amplifiées par les opposants au régime Talon, qui y ont vu là leur veau d’or grâce auquel il leur a paru astucieux, à tort, d’enrôler des adeptes à leur cause. Le projet Asphaltage vient pourtant démontrer que le meilleur usage à faire des voies publiques n’était pas celui auquel les Béninois étaient habitués. Dans la même veine, on parlera du droit de grève dont le recadrage fait grand bien à l’école béninoise ainsi qu’au secteur de la santé. Et il est loisible de noter que le chantage permanent, exercé dans ces secteurs dont les syndiqués sont réputés insatiables dans leurs réclamations corporatistes, comme dans bien de pans de l’administration, aura cessé ! Au bonheur des usagers que nous sommes. Ainsi va la gouvernance Talon, à régler comme jamais les problèmes du pays comme on peut s’en rendre compte à chaque relevé du Conseil des ministres, sauf si l’on attend du gouvernement Talon autre chose que ce sur quoi il s’est engagé. Gouvernance atypique dans bien de ses approches, mais toute en efficacité. Non pas qu’il ne lui arrive pas de se tromper et qu’il ne lui arrivera pas de se tromper. Mais il est rassurant de savoir qu’il y a un cerveau à la tête du pays,une tête qui pense le moindre détail touchant à la vie de la communauté, un timonier qui tient fermement les gouvernails du Bénin. Structuration que nous n’avons pas beaucoup eue à la tête du pays, ces trente dernières années de Renouveau démocratique. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/19921-edito-des-problemes-des-solutions -- o:id 4600 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4600 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de la Tabaski : l’imam El-Hadj Boukari appelle à l’unité nationale dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1565 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/6 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14963 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-08-12 dcterms:identifier iwac-article-0002369 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract « La célébration de l’Aïd El Kébir est un grand moment de prière et de remerciement à Allah. Elle couronne la pratique du cinquième pilier de l’islam », a expliqué l’imam El-Hadj Boukari Malik Moutawakil, dans son sermon, ce dimanche 11 août, lors de la prière marquant la célébration de la Tabaski. Réunis à l’Ecole primaire publique d’Agori-Plateau, les musulmans de la Mosquée centrale Médine II dans la commune d’Abomey-Calavi ont sacrifié à cette tradition. L’imam a rendu grâce à Allah pour avoir offert à ses serviteurs des périodes où ceux-ci ont l’opportunité de s’adonner aux bonnes actions en vue de se rapprocher de lui. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14748 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14045 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/491 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content « La célébration de l’Aïd El Kébir est un grand moment de prière et de remerciement à Allah. Elle couronne la pratique du cinquième pilier de l’islam », a expliqué l’imam El-Hadj Boukari Malik Moutawakil, dans son sermon, ce dimanche 11 août, lors de la prière marquant la célébration de la Tabaski. Réunis à l’Ecole primaire publique d’Agori-Plateau, les musulmans de la Mosquée centrale Médine II dans la commune d’Abomey-Calavi ont sacrifié à cette tradition. L’imam a rendu grâce à Allah pour avoir offert à ses serviteurs des périodes où ceux-ci ont l’opportunité de s’adonner aux bonnes actions en vue de se rapprocher de lui. Selon lui, cette fête communément appelée Tabaski relie les musulmans à Abraham, le père du monothéisme et à l’ensemble de la communauté humaine. Il invite tous les musulmans à respecter les prescriptions du Coran en suivant l’exemple d’Abraham, l’ami d’Allah. « On voit donc le prophète d’Allah soumis entièrement à la condition humaine en vivant les questionnements existentiels qui se posent à tout être humain », a-t-il expliqué. A l’en croire, la fête du sacrifice n’est pas seulement le souvenir d’une époque mais le rappel permanent d’une histoire qui doit nourrir notre lutte quotidienne. « Nous avons encore beaucoup à apprendre à l’école d’Abraham et c’est là le vrai djihad », a-t-il poursuivi. En vue de l’unité nationale et de la paix au Bénin, il invite toutes les communautés religieuses du pays à préserver les rapports de bon voisinage. Pour lui, la construction du pays nécessite l’union de tous ses enfants. «L’unité nationale nous préoccupe tous car les règlements de comptes ne sont pas favorables à la paix et à l’unité nationale » a-t-il indiqué. L’imam El-Hadj Boukari Malik Moutawakil implore Allah, le tout-puissant afin qu’il fasse de cette fête une occasion de sécurité et de stabilité pour tout le Bénin et tous les pays du monde entier. Il prie aussi Allah d’assister et d’éclairer les dirigeants à divers niveaux à travailler pour le renforcement de la paix et de la quiétude au Bénin. « Nous prions Allah, qu’il donne de la droiture à ses gouvernants, augmente la lucidité de ses savants, la générosité de ses riches et l’ambition saine de la jeunesse », a-t-il conclu. Christian HOUNONGBE Les fidèles musulmans appelés à agir avec bonté à Akassato Parés de leurs plus beaux habits, les fidèles musulmans de l’arrondissement d’Akassato (commune d’Abomey-Calavi) ont pris d’assaut la place Idi de la localité pour commémorer l’Aïd el-Kebir. Il sonnait, environ 9 heures 15 min, ce dimanche matin, quand l’imam de la mosquée centrale d’Akassato, Miflinso Latifou, a entamé la prière publique donnant ainsi le top des festivités. Et cette prière n’a duré que cinq minutes. Ces moments de concentration permettent aux fidèles musulmans de raffermir leurs liens avec Dieu. Après la prière, place a été faite au sermon de l’imam. Il s’agit d’un discours prononcé en arabe puis interprèté en français par Lawal Taïrou, imam de la mosquée Internat-Zopah, et secrétaire général de la communauté musulmane d’Akassato. Durant sa prédication, l’homme de Dieu a rendu grâce à Allah pour ses bienfaits et surtout pour avoir permis à tous les musulmans présents de sacrifier à la tradition. Il rappelle les versets coraniques qui instituent cette fête ainsi que ceux qui énoncent les comportements qu’un bon musulman doit adopter en cette période et au-delà. A en croire l’imam, le coran recommande au fidèle de faire du bien à l’égard de ceux qui font du bien envers lui. Au-delà, « la véritable bienfaisance, poursuit-il, c’est rendre le bien à quelqu’un qui vous a fait du mal». Miflinso Latifou a par la suite listé les catégories de personnes à qui le bien est destiné. Il appelle également les fidèles musulmans à agir avec bonté, surtout à l’égard des non musulmans. Après son sermon, l’imam central d’Akassato a posé l’acte tant attendu qui est l’immolation du bélier. Selon Lawal Taïrou, l’animal est sacrifié après la prière, conformément aux prescriptions du prophète Mohamed. « Celui qui fait ça, est en harmonie avec notre tradition. Mais celui qui immole l’animal avant de prier, c’est de l’aumône qu’il a sacrifiée… », explique-t-il. Après l’immolation par l'imam, les fidèles musulmans ont repris le chemin de leurs domiciles respectifs dans le but d’aller sacrifier également à cette tradition, fêter en famille et partager la bête immolée et autres repas avec leurs amis, qu’ils soient musulmans ou non. Signalons que la prière musulmane de ce dimanche a été rehaussée par la présence des autorités locales à divers niveaux et des têtes couronnées d’Akassato. Ariel GBAGUIDI (Stag.) La Tabaski se poursuit dans les maisons La place Idi de la mosquée centrale du quartier Gbégamey a été prise d'assaut, ce dimanche 11 août, jour de la fête de la Tabaski par les fidèles musulmans. Dans la liesse, ils se sont mobilisés autour de leur imam, pour la grande célébration. La fête s'est poursuivie dans les maisons après la prière à la place Idi, non seulement au quartier Gbégamey, mais également à d'autres endroits. A la place Idi de la mosquée centrale de Gbégamey, les fidèles musulmans, très concentrés sur le déroulement de la cérémonie ont spontanément, après l'immolation du mouton, répondu en chœur, lorsque l'imam a soulevé le couteau qui a servi à tuer l'animal, « Allah Akbar ». Cette cérémonie d'immolation qui se déroule chaque année après l'Aid el filtr a précédé le sermon prononcé en arabe puis traduit en français et en yoruba. Dans son message, l'imam a rappelé l'importance de cette fête pour les musulmans. Il s'agit donc de rester en perpétuelle écoute d’Allah, en recherchant l'équilibre entre la course à la vie, la course au matériel et aux biens d'ici-bas. Ainsi, chacun, devrait abandonner les mauvaises habitudes qui souillent le corps, la prise de boissons alcoolisées et autres comportements qui sont en déphasage avec les prescriptions du prophète Mahomet, selon Abiodoun Nassim. Ce dernier entend regagner sa maison pour s'occuper de ses animaux et partager la viande avec les membres de sa famille, ses connaissances et amis du quartier qui l'ont toujours soutenu. La fête, faut-il le souligner, va se poursuivre dans les maisons. L'on peut remarquer à travers le quartier, le transport de béliers qui seront sans doute immolés par ceux qui ont pu s'en acheter lors de cette fête. Ce sera l’occasion des ripailles, rappelle Fadil Aliou, quinze ans, venu prier avec ses parents ce matin. Il n'occulte pas le partage de la viande effectué par ses géniteurs, à chaque fête de la Tabaski. « Mes parents, a-t-il insisté, reçoivent des invités, leurs familles ainsi que les amis qui leur rendent visite ». Ainsi, la réception de divers hôtes marquera cette fête de la tabaski. Alexis METON fabio:hasURL https://lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/20162-celebration-de-la-tabaski-l-imam-el-hadj-boukari-appelle-a-l-unite-nationale -- o:id 4601 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4601 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de la Tabaski : les musulmans de Porto-Novo invités à se soumettre à Allah dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2045 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15410 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14091 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-08-12 dcterms:identifier iwac-article-0002370 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane a commémoré, ce dimanche 11 août, l’Aïd el-Kebir encore appelé la fête de Tabaski ou de mouton. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane a commémoré, ce dimanche 11 août, l’Aïd el-Kebir encore appelé la fête de Tabaski ou de mouton. Au-delà de l’immolation d’un mouton en remplacement d’un homme, la célébration de la Tabaski enseigne également la soumission totale à la volonté de Dieu. L’imam central de Porto-Novo, Houzéifat Amzat qui a présidé, ce dimanche 11 août, la grande prière consacrant le lancement de la fête de l’Aïd el-Kebir dans la ville capitale, a rappelé cet enseignement coranique dans son sermon qu’il prononce successivement, en française, yoruba et arabe. Pour lui, cette soumission totale à Dieu passe par la culture des valeurs telles que l’humilité, la piété, la sagesse, le pardon, la patience et le sacrifie de soi. Mieux, celle-ci doit se traduire par le don de soi, de son autorité, de ses biens et de sa fortune en tout temps et en tout lieu, insiste le célébrant. Ces valeurs doivent guider tout musulman dans ses actes et ses relations notamment envers le créateur et les autres créatures, poursuit l’imam central de Porto-Novo. « Nous devons nous soumettre à la volonté de Dieu face à toute épreuve que nous subissons, y résister et ne pas ébranler notre foi et notre croyance, celle de notre famille et de nos communautés », exhorte Houzéifat Amzat. En cette période de fête, le célébrant a conseillé aux fidèles musulmans d’éviter de tomber dans les excès qui peuvent invalider leurs actes de piété, de pardon et de sagesse auprès de Dieu. L’autre temps fort de la prière est l’immolation du mouton par l’imam central de Porto-Novo. Il a en effet tué symboliquement sur place trois béliers pour donner le top de la fête. Houzéifat Amzat a invité les fidèles qui en ont la possibilité de s’acheter une bête, d’en faire autant chez eux, en signe de reconnaissance à Allah. Mais il n’a pas manqué de rappeler les prescriptions du coran qui recommande que la viande du mouton immolé soit partagée en trois parties : une partie pour la famille, et les deux autres pour les proches et les pauvres. Pour le président de l’Assemblée nationale, Louis Vlavonou, le message du muezzin au cours de la grande prière témoigne de ce que la religion musulmane est une confession de paix, d’humilité, de pardon et de tolérance. Autant de valeurs dont a besoin, selon Louis Vlavonou, en ce moment, le Bénin, pour la consolidation de l’unité et de la fraternité. Le deuxième adjoint au maire de Porto-Novo, François Ahlonsou, a abondé dans le même sens. Il salue aussi la teneur du sermon de l’imam qui appelle surtout à la conjugaison des efforts des uns et des autres pour un meilleur vivre-ensemble à Porto-Novo. Thibaud C. NAGNONHOU A/R Ouémé-Plateau Malanville sacrifie à la tradition C’est parés de leurs plus beaux habits que les fidèles musulmans de Malanville ont pris d’assaut la grande mosquée et ses alentours. Pour rallier les lieux où l’imam Mustapha Ibrahim a officié la grande prière, ce n’était pas facile de se frayer un passage. La cérémonie a connu la présence du maire Inoussa Dandakoè et des membres de son Conseil communal. Après les deux rakats, l’imam est revenu sur les origines de la fête. Elle est, a-t-il indiqué, un moment de louanges, d’obéissance et de soumission comme Ibrahim l’a fait à Allah. C’est l’occasion, selon lui, de bienfaisance envers le créateur et de chercher à bénéficier de son aide pour une meilleure pratique de l’islam. Il a ensuite exhorté à beaucoup plus de sacrifice pour Allah et le pour pays. L’imam a ensuite procédé à l’immolation de son bélier gras, accordant ainsi l’autorisation aux fidèles d’aller accomplir le même geste, une fois de retour chez eux. Aux côtés des autres fidèles, le maire Inoussa Dandakoè a également imploré le Tout-puissant miséricordieux à veiller sur le Bénin et ses dirigeants. Il a invité ses administrés à faire preuve de beaucoup de solidarité et d’union. Pour le développement de Malanville, a-t-il rassuré, personne ne sera de trop. Il a rendu hommage au chef de l’Etat pour tout ce qu’il fait afin que Malanville puisse bénéficier du minimum qu’il lui faut, pour le mieux-être de ses populations. Maurille GNASSOUNOU A/R Borgou-Alibori La foi au service de la paix à Natitingou L’imam de la mosquée centrale de Natitingou, El Hadj Nourou Dine Sanni s’est appesanti dans son exhortation, à l’occasion de la prière marquant l’Aïd el Kébir, sur la foi en Dieu qui doit permettre d’éviter les mauvais actes. Par ailleurs, toute la communauté doit cultiver la paix, explique El Hadj Nourou Dine Sanni. Car il n’y a pas de développement sans la paix. S’il est vrai que chacun est libre dans sa croyance religieuse cette dernière procure du respect au croyant. Respect pour Dieu et vis-à-vis de ses semblables. La croyance confère une bonne orientation du fidèle qui ne doit pas s’inscrire dans des actes indignes. El Hadj Nourou Dine Sanni a également invité les croyants à vouer du respect à leurs géniteurs. Il importe, selon l’imam, qu’on s’occupe d’eux. « Les parents sont en première position; c’est eux qui nous ont donné la vie. Si nous leur désobéissons, nous n’allons pas réaliser nos rêves », conseille-t-il. Le préfet de l’Atacora, Lydie Déré Chabi Nah, exprime sa joie de venir soutenir la communauté musulmane à l’occasion de cette fête. D’obédience catholique, elle témoigne sa gratitude à l’imam central qui accompagne les autorités politico-administratives dans l’éducation des populations. Pour elle, la bonne disposition de l’homme de Dieu concourt à la cohabitation religieuse, toutes choses qui garantissent la paix. Toutefois, elle a invité les jeunes et toute la communauté en fête à ne pas dépasser les bornes en s’enivrant. Des conseils sur lesquels rebondit le maire de Natitingou, Eric Christophe Pontikamou. « Vous ne pouvez pas faire le développement avec des gens qui ne craignent pas Dieu. A voir ce que fait la religion, il importe de lui témoigner sa reconnaissance pour cette contribution qui concourt à la manifestation de la paix », rappelle le maire. Car, relève Eric Christophe Pontikamou, l’imam a exhorté au pardon, à la tolérance et au développement. Le maire a, pour finir, conseillé aux populations la courtoisie en circulation et la modération dans la mesure où après la fête, la vie devra continuer pour le relèvement des nombreux défis qui demeurent. Didier Pascal DOGUE AR/Atacora-Donga fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/20164-celebration-de-la-tabaski-les-musulmans-de-porto-novo-invites-a-se-soumettre-a-allah -- o:id 4602 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4602 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Fin du pèlerinage à la Mecque : une première vague de pèlerins de retour à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-08-22 dcterms:identifier iwac-article-0002371 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après leur séjour en terre sainte, une première vague de 286 pèlerins béninois est de retour ce mercredi 21 août, à Cotonou. 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A sa descente d’avion, à l’Aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cotonou, il exprime sa satisfaction sur les plans moral et spirituel. « Si on le fait, on se sent léger, c’est pourquoi, je dis que c’est une grande satisfaction», confie-t-il avant de souligner que si l’on revient retrouver les siens, on est heureux. Par rapport à l’organisation du Hadj 2019, Aboubakari Imorou estime qu’il y a eu beaucoup de progrès, mais qu’il y a encore des choses à faire. Pour lui, l’accompagnement et le suivi doivent être améliorés. « Nous encourageons le gouvernement béninois à davantage mettre les bouchées doubles pour l’accompagnement des pèlerins parce que les conditions ne sont pas aisées. Et s’il y a des contraintes à éviter pour plus de progrès, ce serait bon pour les années à venir». Comme Aboubakari Imorou, Falilatou Séibou Sidi Touré rend grâce à Dieu dans la mesure où tout s’est bien passé. Du départ de Cotonou pour la Mecque au retour en passant par le séjour, elle a apprécié l’organisation. Même si comparativement aux années antérieures, il y a une amélioration, Falilatou Séibou Sidi Touré estime qu’il y a encore des choses à parfaire. Car, les conditions d’hébergement à la Mecque n’ont pas été comme les pèlerins l’auraient souhaité. Habitué des convoyages, le trésorier général du Collectif des convoyeurs à la Mecque (Ccmec), Moustapha Raïmi, se réjouit des conditions de convoyage cette année. «Tout a été bien », déclare-t-il. Ce qui reste à faire, selon lui, c’est de faire le point des ratés et voir comment y remédier les années à venir. Il remercie le gouvernement et son chef pour leur implication dans l’organisation du Hadj 2019 qui, à son avis, a connu un succès par rapport aux années antérieures. Le responsable qualité à la compagnie Air Taxi Bénin, Thiam Sylla, se dit satisfait du retour de cette première vague de 286 pèlerins sur les 2300 environ attendus. Pour lui, il y aura neuf vols au total. Il faut rappeler que le retour des pélerins qui a commencé hier avec cette première vague prendra fin le 29 août prochain. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/20230-fin-du-pelerinage-a-la-mecque-une-premiere-vague-de-pelerins-de-retour-a-cotonou -- o:id 4603 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4603 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Promotion de la santé sexuelle et reproductive : l’Ucoz, leader de la planification familiale au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/11 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13455 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/31 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-10-01 dcterms:identifier iwac-article-0002372 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La planification familiale (Pf) est la chose la mieux partagée dans le département du Zou, au sud du Bénin. 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Grâce aux actions de l’Union des communes du Zou (Ucoz), les acquis se consolident en faveur d’une meilleure santé sexuelle et reproductive, faisant du département le leader de la Pf dans le pays. Le département du Zou est une exception en matière de planification familiale (Pf) au Bénin. Cette région multiplie les stratégies et les actions qui lui confèrent une image de marque dans le pays et à l’international. Son challenge, dépasser le taux de prévalence contraceptive national de 20 % d’ici à 2021. Les acquis relèvent du dynamisme des maires, à travers l’Union des communes du Zou (Ucoz), sous le leadership de leur collègue de Bohicon, l’une des neuf communes que compte le département et située à 126 km de Cotonou. « Le maire de Bohicon, Luc Atrokpo a compris que pour gagner le pari, il fallait promouvoir une dynamique d’ensemble de toutes les municipalités du Zou (Abomey, Agbangnizoun, Bohicon, Covè, Djidja, Ouinhi, Zagnanado, Za-Kpota, Zogbodomey), explique le premier adjoint au maire de Bohicon, Isidore Agnoun Basso. Atout majeur de ce regroupement des communes du Zou, le financement d’un montant de 155 millions de Fcfa dans le cadre du projet ‘’ The Challenge Initiative (Tci) ’’ de la Fondation Bill et Melinda Gates destiné aux grands centres urbains des pays en voie de développement. Cette enveloppe inclut le Bénin au rang des pays bénéficiaires du projet à savoir la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, le Niger, le Sénégal. Dans le cadre de ce projet, la contribution de l’Ucoz est évaluée à 70 millions de Fcfa, dont 20 millions en espèces et 50 millions en nature. Une première dans l’exécution du projet Tci. « Dans l’histoire des programmes de planification familiale, aucune municipalité n’a contribué avec ses propres fonds au financement des activités du projet », apprécie le coordonnateur pays du projet, Hugues Gnanhoui. Des campagnes d’offre gratuite des services de Pf à l’organisation des journées dédiées à la Pf, en passant par la mobilisation de la société civile et des autorités locales, religieuses et des crieurs publics, tous les moyens sont exploités pour maximiser les acquis en faveur du département, qui se positionne aujourd’hui au Bénin comme le pionnier dans le domaine de la planification familiale. Les statistiques sont éloquentes. « Nous avons recruté 2044 nouvelles utilisatrices de la Pf lors de la première campagne en 2017; 2500 au cours de la deuxième et 4000 lors de l’approche sur l’Identification systématique des besoins de la cliente (Isbc) », révèle le coordonnateur pays du projet. Avec ces chiffres cumulés, soit un total de 6710, la commune a dépassé largement l’objectif du projet qui vise à recruter 6417 nouvelles utilisatrices de la Pf en un an. A cela s’ajoute l’organisation des journées spéciales dédiées aux campagnes de gratuité des méthodes. Dans ce cadre, l’Ucoz assure l’achat des produits contraceptifs pendant que la fondation Gates prend en charge le financement des consommables. Le leader Aujourd’hui, l’Ucoz a pris le lead en matière de promotion de la planification familiale au Bénin. Le département s’emploie à gommer la mauvaise image qu'il projetait jadis sur le plan de la santé sexuelle et reproductive. «Nous sommes constamment présents dans les écoles, les ateliers de formation professionnelle, les quartiers, les lieux publics… pour des communications de masse au profit des jeunes et des femmes », témoigne le 1er adjoint au maire de Bohicon. Le pari n’était pourtant pas gagné d’avance pour ce département, classé en 2017 2e du Bénin après les Collines ayant le taux de grossesses en milieu scolaire le plus élevé, soit 427 cas, et dont les indicateurs en matière de planification familiale étaient seulement de 8 % en 2012 et 11 % en 2017. « Nous avions enregistré beaucoup de cas d’avortements clandestins parce que la population n’était pas suffisamment informée », explique l’autorité communale. Ces pratiques relèvent désormais du passé. « Nous avons enregistré moins de 50 cas de grossesses en milieu scolaire cette année et le nombre d’avortements clandestins a connu une baisse », se réjouit-il. L’Ucoz est à pied d’œuvre pour achever son plan de communication, qui permettra à toutes les communes d’augmenter leurs lignes budgétaires dans les budgets de 2020 au profit de la Pf. A Bohicon, c’est un montant de 5.500 000 Fcfa qui a été alloué dans le budget de 2019 pour les activités de Pf pendant que les autres communes du Zou ont prévu chacune un montant de 3 500 000 Fcfa, renseigne le service des Affaires financières de la mairie de Bohicon. Autre marque de son engagement, l’Ucoz attribue spontanément des terres aux établissements et autres demandeurs dans le cadre de l’extension des activités de la Pf. Le centre ‘’Amour et vie’’, érigé au sein du Collège d’enseignement général 1 de Bohicon, pour satisfaire les besoins des élèves en matière de santé sexuelle en est un exemple palpable. L’Union sait également que le développement du Zou passe par la qualité des ressources humaines. Cela l’est davantage pour les femmes, mères de l’humanité. Il est donc hors de question d’encourager les naissances si les familles n’en ont pas les moyens. C’est pourquoi, elle prône également la promotion des filles vierges jusqu'au mariage à travers des prix. Son souci est de renforcer ses actions au dernier trimestre de 2019 afin d’éradiquer le phénomène des grossesses précoces. Elle se donne les moyens de ses ambitions. « Nous éduquons les filles dans les collèges sur l’hygiène menstruelle et les comportements à risques à éviter sur le plan sexuel », renseigne le 1er adjoint au maire de Bohicon. Mieux, l’Ucoz s’appuie sur les nouvelles technologies afin de corriger les mauvaises perceptions sur la Pf à travers des messages, des vidéos, photos et autres contenus pouvant les sensibiliser. « Nous travaillons à bannir les préjugés et les mentalités rétrogrades sur la Pf sur la toile ; nous avons formé des jeunes dans ce cadre et avions mis en place un système de coaching pour maintenir une veille permanente », souligne-t-il. Une affaire de tous ! Désormais, la planification familiale est devenue un sujet d’intérêt pour toutes les forces vives du Zou. Les communautés qui jadis s’y opposaient l’accueillent aujourd’hui à cœur joie. « Nous travaillons à améliorer l’environnement d’acceptation de la Pf et à faire comprendre son importance à nos fidèles», fait savoir le vice-président de l’Union islamique du Bénin, Labéka Assani, basé à Bohicon. Les moments de prières sont les instants privilégiés pour l’exercice. Le planning familial est enseigné comme une bonne nouvelle pour soulager les femmes et booster le développement local. « Nous notons un changement extraordinaire dans notre milieu grâce aux prêches que nous faisons. Nous profitons de nos séances de prières pour sensibiliser les femmes et leurs époux», confie-t-il. Résultats : de nombreuses familles sont sorties de l’ignorance et des femmes soustraites des accouchements répétés et à risques. « Aujourd’hui, 70 femmes sur 100 rendent témoignages sur les bienfaits de la Pf dans leur vie », assure-t-il. En fait, la présence de l’Ucoz a permis de faire prendre conscience à beaucoup de gens. « Les actions de l’union nous ont permis de réaliser des avancées notables; elle nous a dotés des techniques d’introduction des notions de la Pf dans nos séances de prières», apprécie-t-il. La communauté musulmane n’entend pas fléchir. « Toute notre vie, nous travaillerons à la cause de la Pf ; nous transmettrons la flamme aux prochaines générations », s’engage Labéka Assani au nom de l’Union islamique du Bénin. En attendant, des responsables musulmans assurent la veille en y impliquant systématiquement leurs propres Organisations non gouvernementales. Mieux, des rencontres périodiques sont organisées avec les imams des neuf communes du Zou afin de pérenniser les acquis au niveau de chaque localité. Dans la chaîne des promoteurs du planning familial, les relais communautaires constituent des maillons incontournables. «Nous avons formé plus de 200 relais communautaires dans le cadre de nos projets », assure le coordonnateur pays Tci. Les concernés sont fiers d’être des ambassadeurs de la Pf. Rosemonde Dakossi est au service de la formation sanitaire de Gnidjazoun, localité rurale située à environ 15 km de Bohicon centre. Sa journée commence le matin à 9 heures et ne se termine que lorsqu’elle a au moins recensé une nouvelle acceptante des méthodes modernes de planning. « Je ne me fatigue pas d’aller au sein de la même famille plusieurs fois tant qu’elle n’a pas compris et accepté mon message. Il m’arrive parfois de faire des visites à domicile la nuit. C’est le contrat que j’ai signé avec l’Ucoz dans le cadre du projet Tci», explique-t-elle. Le cahier des charges de sa collègue Odile Agbaganmin est identique. « J’ai le devoir d’enregistrer au moins une quinzaine de nouvelles acceptantes de la Pf par mois pour le compte de l’Ucoz », renchérit-elle. Ce qui fait davantage le bonheur de ces deux relais communautaires, c’est que « les femmes vivent mieux leur sexualité et sont épanouies en menant leurs activités génératrices de revenus ». Satisfactions Les langues se délient pour saluer le dynamisme de l’Ucoz. Valérie Bessanvi, commerçante et Adéline Akplogan, couturière, affichent un enthousiasme remarquable pour évoquer les bienfaits de la Pf dans leur vie. « Je jouis davantage d’une indépendance pour mener à bien mes activités », confie Adéline, mère de quatre enfants. « Au départ, je devais choisir entre mener mes activités ou me consacrer uniquement à la maternité. J’ai désormais trouvé la solution pour mon épanouissement et l’équilibre de ma famille parce que j’arrive à éviter les grossesses trop rapprochées», se félicite Valérie, mère de deux enfants. A Abomey, commune située à environ 10 km de Bohicon, le planning familial a également conquis le cœur des époux. «Avec les nombreuses séances de sensibilisation et autres campagnes dédiées à la Pf, les femmes viennent spontanément vers nous pour demander nos services, parfois même accompagnées de leurs maris », apprécie la sage-femme du centre de santé, Honorine Akpinfa. Elle note une nette amélioration des indicateurs. « Présentement, nous avoisinons l’objectif national de prévalence contraceptive de 20%, comparativement à 2017 où nous étions à moins de 12 %», se réjouit-elle. Ici, les acteurs travaillent sans répit pour la cause de la Pf. «Tous les jours, nous animons des séances d’information, d’éducation et de communication sur le planning familial au profit des femmes ; la planification familiale se porte bien dans le Zou », assure-t-elle. En témoignent les nombreuses distinctions décernées au président de l’Ucoz, le maire de Bohicon, Luc Atrokpo, pour son engagement. Entre autres, sa décoration à la Conférence internationale de la Pf à Kigali en novembre 2018 et plus récemment en juillet 2019 à la Réunion annuelle de Tci en Inde, où le coordonnateur pays du projet a reçu un prix pour le compte du Bénin aux côtés de quatre autres pays où le projet est piloté. Pour l’heure, les défis tiennent des activités orientées vers le plaidoyer, la généralisation de la demande et du renforcement de l’offre de service. Mais une seule hirondelle ne fait pas le printemps. D’autres communes doivent lui emboîter le pas afin de permettre au Bénin de maximiser ses chances. Les villes de Parakou et d’Abomey-Calavi, s’inspirent déjà de cette dynamique. Celles qui traînent encore les pas ne devraient pas attendre de disposer de toutes les ressources nécessaires avant de s’engager. L’Ucoz l’a compris et se révèle une référence en la matière. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/index.php/societe-2/sante-2/152-sante/20538-promotion-de-la-sante-sexuelle-et-reproductive-l-ucoz-leader-de-la-planification-familiale-au-benin -- o:id 4604 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4604 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Hadj 2020 : de nouvelles dispositions envisagées dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1503 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/654 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-10-23 dcterms:identifier iwac-article-0002373 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Il y a eu de nombreuses avancées depuis la prise en main par le gouvernement de l’organisation du hadj au Bénin. Plus structuré, mieux suivi et organisé que par le passé, le pèlerinage à La Mecque souffre moins des aléas qui le rendaient il y a quelques années encore pénible. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Il y a eu de nombreuses avancées depuis la prise en main par le gouvernement de l’organisation du hadj au Bénin. Plus structuré, mieux suivi et organisé que par le passé, le pèlerinage à La Mecque souffre moins des aléas qui le rendaient il y a quelques années encore pénible. Mais pour l’édition de l’année prochaine, le Comité d’organisation, sous l’égide du ministère des Affaires étrangères qui en a le lead désormais, envisage de nouvelles dispositions pour le convoyage des pèlerins. Aussi, par un communiqué en date de ce mardi 22 octobre, informe-t-il les candidats au hadj, à ne souscrire à aucun engagement auprès des groupes habituels de convoyage, promettant de faire connaitre les modalités de payement des frais afférents au pèlerinage d’ici à là. Alexis I. GOZO (Stag.) fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/20701-hadj-2020-de-nouvelles-dispositions-envisagees -- o:id 4605 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4605 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Audiences à la Haac : deux délégations au cabinet du président Moretti dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1500 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/809 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/775 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13812 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1431 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-10-10 dcterms:identifier iwac-article-0002374 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (Haac), Rémi Prosper Moretti, a reçu en audience, ce mercredi 9 octobre, au siège de l’institution à Cotonou, deux associations venues échanger avec lui sur différents points. Il s’agit de la communauté islamique Ahmadiyya et de la Fondation Malèhossou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (Haac), Rémi Prosper Moretti, a reçu en audience, ce mercredi 9 octobre, au siège de l’institution à Cotonou, deux associations venues échanger avec lui sur différents points. Il s’agit de la communauté islamique Ahmadiyya et de la Fondation Malèhossou. Farooq Rana Ahmad, président de la communauté de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin, a été reçu en audience, hier, par Rémi Prosper Moretti. Il est allé rendre une visite de courtoisie au président de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (Haac). C’était l’occasion pour lui de dire toutes ses félicitations au premier responsable de l’institution de régulation des médias pour sa nomination. « Nous avons aussi échangé sur nos deux structures. Notamment sur comment nous pouvons travailler ensemble, comment la communauté islamique Ahmadiyya peut aider la Haac parce que nous travaillons beaucoup sur le plan social et humanitaire », a déclaré Farooq Rana Ahmad au sortir de l’audience. C’était aussi l’occasion pour lui d’informer le président de la Haac des projets en cours sans oublier les perspectives de son association pour l’année 2020. A l’en croire, le président de la Haac a apprécié les œuvres de sa communauté. La deuxième délégation reçue par le Président de la Haac, est celle de la Fondation Malèhossou, conduite par son président, Yacoubou Malèhossou. Les membres de cette Fondation sont aussi allés dire leurs vives félicitations au président de la Haac pour sa nomination à la tête de l’institution. Mais au-delà, plusieurs autres points ont été abordés par Rémi Prosper Moretti et ses hôtes. «Nous avons profité de l’occasion pour lui soumettre quelques doléances. Depuis quelques mois, la station de radio ‘‘ Soleil Fm ’’ n’est plus écoutée dans la ville de Cotonou. Aussi, le journal ‘‘ La Nouvelle Tribune ’’ a gagné un procès, et présentement, il n’y a pas de suite. Le président nous a donné des éclaircissements. Nous avons aussi posé le problème de la Télévision ‘‘ La Béninoise ’’ qui n’émet plus. Il nous a donné quelques informations à ce sujet », a fait savoir Yacoubou Malèhossou, président de ladite Fondation. « Nous allons essayer de rencontrer les promoteurs pour leur demander ce qu’ils veulent. Pour radio ‘‘ Soleil Fm ’’, le président nous a dit qu’il a déjà fait un tour là-bas, et qu’il est en train de mener des enquêtes pour savoir ce qui se passe », poursuit-il. A Djougou, la radio communautaire de la ville a également des soucis. La délégation a échangé sur cette question avec le président Moretti. La Fondation assure qu’elle va se rapprocher des responsables de cette radio pour savoir s’ils ont l’autorisation de la Haac ou pas. La délégation a également exposé les actions de la Fondation au président de la Haac et a reçu de sages conseils de sa part. Profitant de la présence des hommes des médias, Yacoubou Malèhossou affirme que son association est apolitique, répondant ainsi aux critiques dont elle fait l’objet notamment sur sa médiation dans le dossier Soleil Fm. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/20601-audiences-a-la-haac-deux-delegations-au-cabinet-du-president-moretti -- o:id 4606 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4606 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Lutte contre le mariage des enfants dans le Borgou : le plaidoyer du préfet auprès des leaders religieux dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14498 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13219 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/25 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/729 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-11-05 dcterms:identifier iwac-article-0002375 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les dignitaires, sages et imams des communes du Borgou ont été sensibilisés mardi 29 octobre dernier, à Parakou, à la lutte contre le mariage des enfants. L’occasion a permis au préfet du département, Djibril Mama Cissé, qui a initié la séance, de faire un plaidoyer auprès d’eux afin qu’ils s’impliquent davantage dans l’éradication de cette pratique. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les dignitaires, sages et imams des communes du Borgou ont été sensibilisés mardi 29 octobre dernier, à Parakou, à la lutte contre le mariage des enfants. L’occasion a permis au préfet du département, Djibril Mama Cissé, qui a initié la séance, de faire un plaidoyer auprès d’eux afin qu’ils s’impliquent davantage dans l’éradication de cette pratique. Dans le département du Borgou, le dispositif communautaire de lutte contre le mariage des enfants se renforce davantage. En témoigne la séance de mobilisation, de sensibilisation et de plaidoyer du préfet auprès des leaders religieux du département, organisée, mardi 29 octobre à Parakou. Djibril Mama Cissé souhaite de la part des dignitaires, imams et sages présents à la rencontre qu’il a initiée, plus d’engagement et de disponibilité pour la réussite de la campagne « Tolérance zéro au mariage des enfants» dans les communes du Borgou. Cette campagne lancée depuis 2017 par le ministère des Affaires sociales appuyé par l’Unicef suit son cours. Elle vise à assurer un monde respectueux du bien-être et du développement harmonieux de l’enfant. Préoccupé par la situation de ces enfants qui constituent la relève de demain, et soucieux de la réussite de la campagne déclenchée, le préfet estime que l’implication des acteurs à tous les niveaux s’avère déterminante. « L’heure est très grave. Nous sommes tous concernés. C’est pourquoi, nous devons nous lever comme un seul homme pour aller combattre ce fléau qui entrave l’épanouissement de l’enfant dans notre département», a-t-il poursuivi. Pour ce faire, il compte beaucoup sur les leaders religieux dont la voix, dans certaines circonstances, porte plus que celle des autorités politico-administratives. Le mariage des enfants est un phénomène qui a la peau dure au Bénin, surtout dans le Borgou. Malgré toutes les sensibilisations et les interventions du gouvernement, des institutions internationales à l’image de l’Unicef, des Organisations non gouvernementales et de la Société civile, il perdure et impacte négativement les petites filles. Selon l’enquête Mics réalisée en 2014, trois filles sur dix sont mariées avant l’âge de 18 ans de même qu’une fille sur dix âgées de moins de quinze ans. La même source place le Borgou en tête des trois départements présentant les taux les plus élevés de mariage d’enfants au Bénin, soit 37,2 % contre un taux de 31,5 % sur le plan national. En effet, c’est un fléau qui, chaque année, fait des victimes dans les rangs des jeunes filles en compromettant leur avenir. Très préoccupé par la situation, le préfet a décidé de prendre le taureau par les cornes, en invitant ces leaders religieux à s’impliquer très sérieusement dans la bataille au niveau de leurs mosquées ou au sein de leurs communautés. « C’est le lieu de saluer l’engagement de notre pays qui non seulement, a adhéré à tous les accords internationaux relatifs à la protection de l’enfant, mais aussi, a mis en place un dispositif législatif et institutionnel pour une meilleure prise en compte de la situation de cette couche très fragile», a indiqué Djibril Mama Cissé. Il a également remercié l’Unicef qui ne ménage aucun effort pour accompagner l’Etat béninois. C’est afin de renforcer l’engagement du Bénin à respecter les droits de l’enfant, insiste son chef Bureau à Parakou, Bertin Danvidé, que l’Unicef travaille aux côtés du gouvernement et des communautés, pour la mise en place d’actions visant à mieux les protéger, puis à promouvoir leurs droits. Il nourrit l’espoir que cette rencontre contribuera à aboutir au slogan «Zéro mariage d’enfants dans nos villages et quartiers de villes ». fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/20817-lutte-contre-le-mariage-des-enfants-dans-le-borgou-le-plaidoyer-du-prefet-aupres-des-leaders-religieux -- o:id 4607 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4607 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Don de vivres et camp médical de la Jama'at islamique Ahmadiyya : les populations de Dasso et Kpokissa assistées dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-11-05 dcterms:identifier iwac-article-0002376 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Ce week-end, les populations sinistrées suite aux dernières inondations de Docodji dans la commune de Ouinhi et de Kpokissa dans Zogbodomey ont fait l’objet d’une attention particulière de la part de la communauté Jama’at islamique Ahmadiya au Bénin. Elles ont bénéficié de vivres et de camps médicaux gratuits. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13805 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15430 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13063 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Ce week-end, les populations sinistrées suite aux dernières inondations de Docodji dans la commune de Ouinhi et de Kpokissa dans Zogbodomey ont fait l’objet d’une attention particulière de la part de la communauté Jama’at islamique Ahmadiya au Bénin. Elles ont bénéficié de vivres et de camps médicaux gratuits. Les dernières inondations ont fait de nombreuses victimes et des dégâts dans plusieurs localités du département du Zou. Très sensibles au drame que vivent ces populations, les responsables de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin ont décidé d’aller au secours de ces sinistrés. A Docodji comme à Kpokissa, des familles ont tout perdu dans ces inondations. Désespérées, elles ne savent même plus à quel saint se vouer. Mais, la descente «surprise» de la Jamat’at islamique Ahmadiyya dans ces localités encore difficiles d’accès aura permis à beaucoup de retrouver l’espoir. A Dasso comme à Kpokissa, ce sont 40 sacs de riz de 50 kg, 20 sacs de 110 kg de maïs, 40 cartons de savons, des cartons de biscuits pour les enfants et autres qui ont été offerts aux populations. En plus des vivres, le donateur Ahmadiyya était venu avec des équipes de médecins pour des camps médicaux au cours desquels des consultations ont été faites et des médicaments distribués gratuitement aux populations. Les uns et les autres ont exprimé leur reconnaissance à la Jama’at islamique Ahmadiyya pour ce geste plein de symboles pour les sinistrés. A Dasso comme à Kpokissa, l’Amir Rana Farooq Ahmad, président de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, a souligné que ces gestes sont bien insignifiants face aux besoins exprimés. Pour lui, c’est une action spontanée face à l’urgence et aux détresses des familles sinistrées sur le terrain. Ceci pour efficacement assurer sa mission de solidarité et de prière à travers ces actions humanitaires. Un geste qui accompagne aussi le gouvernement du Bénin dans ses efforts. A cet effet, les missions d’Ahmaddiyya interviennent au Bénin depuis plusieurs décennies dans les secteurs de la santé et de l’eau potable. fabio:hasURL https://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/20816-don-de-vivres-et-camp-medical-de-la-jama-at-islamique-ahmadiyya-les-populations-de-dasso-et-kpokissa-assistees -- o:id 4608 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4608 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Intervention chirurgicale gratuite : Ahmadiyya Bénin soulage les enfants malades de hernie dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-12-10 dcterms:identifier iwac-article-0002377 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin organise avec son partenaire Humanity First Allemagne, depuis ce lundi 9 décembre et ce jusqu’au 14 décembre prochain, un camp médical pour opérer gratuitement les enfants souffrant des maladies du bas-ventre notamment la hernie. L’opération a été officiellement lancée, dimanche 8 décembre dernier, au centre médical Ahmaddiyya de Porto-Novo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin organise avec son partenaire Humanity First Allemagne, depuis ce lundi 9 décembre et ce jusqu’au 14 décembre prochain, un camp médical pour opérer gratuitement les enfants souffrant des maladies du bas-ventre notamment la hernie. L’opération a été officiellement lancée, dimanche 8 décembre dernier, au centre médical Ahmaddiyya de Porto-Novo. Une campagne d’intervention chirurgicale gratuite s’effectue, depuis ce lundi sur le site du centre médical Ahmadiyya de Porto-Novo et celui de l’hôpital Humanity First de Cocotomey dans la commune d’Abomey-Calavi. Elle vise à prendre en charge intégralement une centaine d’enfants âgés de 0 à 15 ans malades de bas-ventre notamment de hernie dont l’état nécessite une intervention chirurgicale. L’opération se déroule de façon simultanée au niveau des deux hôpitaux du 9 au 14 décembre prochain. Elle est conduite par une équipe de quatre médecins chirurgiens volontaires allemands répartis à raison de deux par centre médical. Les quatre sont tous membres de Humanity First Allemagne qui accompagne Ahmadiyya Bénin dans cette œuvre sociale. Pour le président de Ahmadiyya-Bénin, Rana Farooq Ahmad, le choix est porté sur les enfants uniquement parce qu’ils sont plus vulnérables et pour une meilleure prise en charge. Il rappelle que ce n’est pas la première fois que Humanity First Allemangne s’engage avec Ahmaddiya Bénin pour la santé des populations du Bénin. L’opération en est à sa troisième édition avec les médecins-chirurgiens allemands qui ont décidé de sacrifier de leur temps pour aider les familles à garder le sourire devant la maladie du bas-ventre. Un sens de sacrifice que salue le président d’Ahmadiyya-Bénin. Rana Farooq Ahmad a invité les uns et les autres à faciliter la tâche au corps médical en suivant les instructions des médecins afin que tout se déroule sans anicroche. Il a prié Allah, le médecin des médecins, d’inspirer le corps médical pour que ces différentes interventions chirurgicales se passent bien. Le chef d’équipe des médecins-chirurgiens, Dr Mohammad Valeed Ahmed précise que la mission de sa délégation au Bénin a été décidée par le Calife de la communauté Ahmadiyya. Cette action sociale vient s’ajouter aux nombreuses autres réalisées par l’association pour accompagner le développement du Bénin. Le directeur départemental des Affaires sociales de l’Ouémé, Gilbert Goudayi, a salué surtout le choix porté sur les enfants qui sont des êtres fragiles et qui ont besoin d’être protégés. Le deuxième adjoint au maire de Porto-Novo, François Ahlonsou, a aussi su gré à Ahmadiyya-Bénin et son partenaire Humanity First allemagne pour leur initiative. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/intervention-chirurgicale-gratuite-ahmadiyya-benin-soulage-les-enfants-malades-de-hernie/ -- o:id 4609 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4609 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Mendicité des enfants dans l’Alibori : une croisade contre le phénomène dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13219 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/27 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15527 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/729 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-12-16 dcterms:identifier iwac-article-0002378 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract S’il y a des communes où l’on rencontre de nombreux enfants qui se livrent à la mendicité, c’est bien celles du département de l’Alibori. Le phénomène a pris des proportions telles qu’il a été au centre d’un atelier, mercredi 11 décembre dernier, à Kandi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/280 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13503 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/394 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content S’il y a des communes où l’on rencontre de nombreux enfants qui se livrent à la mendicité, c’est bien celles du département de l’Alibori. Le phénomène a pris des proportions telles qu’il a été au centre d’un atelier, mercredi 11 décembre dernier, à Kandi. Déambulant à longueur de journée dans les rues et les alentours des gargotes, les enfants mendiants sont reconnaissables à leur bol en plastique souvent en main ou en bandoulière. C’est pour quémander ou se contenter des restes de repas, à défaut de se jeter sur un plat abandonné par un imprudent. Ils sont nombreux dans les communes de l’Alibori. A la faveur d’une séance d’échanges qu’elle a organisée, mercredi 11 décembre, et inscrite dans son Plan de travail annuel 2019, la direction départementale des Affaires sociales et de la Microfinance de l’Alibori s’est penchée sur leur situation. Pour réfléchir à cette question relative à la mendicité des enfants qui n’a cessé de prendre de l’ampleur dans l’Alibori, il y avait aux côtés du préfet Mohamadou Moussa, les imams et autres chefs religieux. « Tout musulman qui utilise la candeur des enfants pour les jeter dans les rues, au motif qu’il lui faut leur faire connaître la dureté de la vie, peut-il être toujours considéré comme un musulman ? », s’est interrogé le préfet. La religion n’a jamais encouragé la pratique d’un tel phénomène, a-t-il dénoncé. Selon une enquête sur la mendicité des enfants au Bénin, on note 4 078 enfants mendiants au niveau de trois villes parmi lesquelles figure Malanville dans l’Alibori. Les statistiques enregistrées au niveau de tout le pays mettent Malanville en tête avec 77 %. Pour la chargée de protection Unicef, bureau de Parakou, Abiba Orou Toko, « les enfants Talibé sont des enfants du Bénin et nous devons pouvoir travailler pour faire en sorte qu’ils puissent s’épanouir ». Elle a souhaité qu’un peu plus d’attention leur soit accordée pour leur intégration dans la société. Les participants ont suivi plusieurs communications au cours de la séance. Elles portent sur la protection des enfants et la sauvegarde de leurs droits. A l’arrivée, un document de plaidoyer a été élaboré. L’objectif poursuivi, c’est l’éradication de la mendicité des enfants au Bénin, et partant, dans les communes de l’Alibori comme Kandi, Gogounou, Banikoara, Sègbana et surtout Malanville. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/mendicite-des-enfants-dans-lalibori-une-croisade-contre-le-phenomene/ -- o:id 4610 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4610 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Promotion de la planification familiale au Bénin : la plateforme nationale des structures religieuses renouvelle ses organes de gestion dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1507 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14526 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/31 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13126 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2019-12-23 dcterms:identifier iwac-article-0002379 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La plateforme nationale des structures religieuses engagées pour la promotion de la santé au Bénin (Pnsr-Ps/B) a tenu,jeudi 19 décembre dernier à Cotonou, sa 1re assemblée générale ordinaire. Regroupant les leaders religieux des trois grandes religions dont les religions traditionnelle, chrétienne et musulmane, cette plateforme a pour but de faire le plaidoyer en faveur d’un environnement favorable à la promotion de la santé. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/553 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La plateforme nationale des structures religieuses engagées pour la promotion de la santé au Bénin (Pnsr-Ps/B) a tenu,jeudi 19 décembre dernier à Cotonou, sa 1re assemblée générale ordinaire. Regroupant les leaders religieux des trois grandes religions dont les religions traditionnelle, chrétienne et musulmane, cette plateforme a pour but de faire le plaidoyer en faveur d’un environnement favorable à la promotion de la santé. La plateforme nationale des structures religieuses engagées pour la promotion de la santé au Bénin (Pnsr-Ps/B) oeuvre pour la capture du dividende démographique à travers le repositionnement de la planification familiale. Ainsi, elle a renouvelé ses organes de gestion au cours d’une assemblée générale tenue, jeudi 19 décembre dernier, en vue de poursuivre la lutte pour la promotion de la planification familiale. Le coordonnateur de la coalition des Organisations de la société civile pour la promotion de la planification familiale au Bénin affirme que cette assemblée générale marque un point de visibilité des leaders religieux engagés pour la santé. Jérôme Chatigri note que la sensibilisation à l’endroit des communautés pour la promotion de la planification familiale a montré ses limites, raison pour laquelle la plateforme des leaders religieux a été mise en place. « Les leaders religieux sont des porte-voix de la communauté à la base », a-t-il précisé. Le vice-président de la plateforme nationale des structures réligieuses pour la promotion de la santé au Bénin a, quant à lui, indiqué que l’utilisation des méthodes modernes de planification familiale n’a pas connu une progression significative depuis 2001, et a même enregistré une baisse en 2006 selon les enquêtes. Sa majesté Dada Daagbo Hounon Hounan 2 indique que parmi les multiples causes de la faible adhésion de la population au programme de la planification familiale, suite à l’analyse menée par le ministère de la Santé, figurent en bonne position les barrières religieuses et socioculturelles. « En réponse à cette situation et en vue de lever ces barrières, l’ambassade du royaume des Pays-Bas a financé le projet d’implication des leaders religieux dans la planification familiale au profit du gouvernement dénommé « les leaders religieux s’engagent». L’objectif du projet est d’engager et de soutenir au moins 15 confessions religieuses dans la promotion de la santé reproductive et de la planification familiale pour la création d’un environnement plus favorable», a-t-il martelé. Dans son allocution, le représentant du ministre de la Santé note que la planification familiale n’est pas seulement un outil pour réduire la mortalité maternelle mais surtout une intervention majeure pour le développement socio-économique du Bénin. Achille Batonon explique que l’effort du gouvernement se traduit cette année par l’augmentation des fonds alloués à l’achat des produits contraceptifs dans le cadre de la mise en œuvre des engagements pris depuis 2013 et confirmés en 2017. Il informe que le Bénin a dégagé sur le budget national, les 250 millions de F Cfa prévus pour l’achat des produits contraceptifs. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20210513092835/https://lanationbenin.info/promotion-de-la-planification-familiale-au-benin-la-plateforme-nationale-des-structures-religieuses-renouvelle-ses-organes-de-gestion/ -- o:id 4611 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4611 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title 31e convention annuelle de la Jama’at islamique Ahmadiyya : les fidèles invités à cultiver la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14279 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13060 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15050 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-01-02 dcterms:identifier iwac-article-0002380 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles de la Jama’at islamique Ahmadyyia ont tenu leur convention annuelle dénommée Jalsa Salana pour le compte de l’année 2019. A l’issue de ce rassemblement qui a eu lieu du 27 au 29 décembre à Houègbo dans la commune de Toffo, les fidèles ont été invités par l’Amir Sahib du Bénin à cultiver l’esprit de solidarité et de paix. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13134 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles de la Jama’at islamique Ahmadyyia ont tenu leur convention annuelle dénommée Jalsa Salana pour le compte de l’année 2019. A l’issue de ce rassemblement qui a eu lieu du 27 au 29 décembre à Houègbo dans la commune de Toffo, les fidèles ont été invités par l’Amir Sahib du Bénin à cultiver l’esprit de solidarité et de paix. La convention de la Jama’at islamique Ahmadyyia, encore appelée Jalsa Salana, a des objectifs spécifiques. Le plus important est d’atteindre la crainte d’Allah et de créer en même temps son amour dans tous les cœurs ainsi que de porter une attention particulière à ses injonctions puis de les pratiquer. Le but de la Jalsa Salana, selon l’Amir Sahib du Bénin, n’a rien à voir avec une foire mondaine où les gens se rencontrent juste pour faire la fête. Il conseille aux fidèles de se prémunir contre la décadence qui prévaut, selon lui, dans le monde. Les trois jours de convention ont été faits de prières dites avec plus de rectitude, où une attention particulière a été portée à Allah. Les fidèles ont sollicité sa faveur et écouté attentivement les différents orateurs qui se sont succédé pour leur enseigner les prescriptions nécessaires pour que leurs désirs soient accomplis et qu’au jour de la résurrection, ils soient aux côtés de ceux à qui il a accordé sa miséricorde. Pendant trois jours, les participants à la Jalsa Salana ont prié constamment et observé la salat en congrégation et aux heures prescrites. Boniface Yèhouétomè, premier questeur de l’Assemblée nationale, salue le travail formidable et les œuvres sociales accomplies par la Jama’at islamique Ahmadyyia au Bénin. Leurs actions, selon le député, sont d’une importance capitale pour le bien-être de nos populations et surtout dans le développement du Bénin, car l’Etat à lui seul ne peut pas satisfaire tous les besoins à la fois. Boniface Yèhouétomè a indiqué que la Jama’at islamique Ahmadyyia est pour le Bénin un grand ami dont les actes contribuent à son développement. L’Amir Sahib du Bénin a demandé à ses fidèles de cultiver l’esprit de solidarité et de paix pour avoir la bénédiction d’Allah le miséricordieux. Il souhaite que l’année 2020 soit l’année de paix et de sécurité pour tous les citoyens. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/31e-convention-annuelle-de-la-jamaat-islamique-ahmadiyya-les-fideles-invites-a-cultiver-la-paix/ -- o:id 4612 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4612 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Lutte contre le Coronavirus : le gouvernement maintient les églises, mosquées et lieux de culte fermés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-04-04 dcterms:identifier iwac-article-0002381 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les lieux de culte au Bénin ne rouvriront pas dès ce week-end comme attendu. Le ministère de l’Intérieur et de la sécurité a décidé de proroger pour deux semaines encore sa décision de les garder fermés pour freiner la propagation de la Covid-19. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les lieux de culte au Bénin ne rouvriront pas dès ce week-end comme attendu. Le ministère de l’Intérieur et de la sécurité a décidé de proroger pour deux semaines encore sa décision de les garder fermés pour freiner la propagation de la Covid-19. A travers un communiqué en date du 4 avril signé du ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique, les Béninois ont été informés que la décision de fermeture des églises et lieux de culte, dans le cadre de la lutte contre le Coronavirus est maintenue. Pendant deux semaines encore, églises, mosquées et autres lieux de célébration resterons clos. Il en sera ainsi jusqu’au 19 avril prochain, informe le communiqué de presse qui invite « les responsables religieux à observer rigoureusement cette prescription dans l’intérêt général ». Déjà deux semaines que les Béninois n’ont plus accès aux lieux de culte pour leurs célébrations habituelles. Sur décision du gouvernement, églises, mosquées et tout autre lieu de culte sont restés fermés jusqu’à ce 4 avril, histoire de permettre au gouvernement de procéder à « une évaluation » de la situation, de commun accord avec les responsables des confessions religieuses, de la communauté musulmane et des autres lieux de culte. Et c’est à l’issue de cette évaluation que le décision de prorogation a été prise. Le Bénin connait ces jours-ci, une augmentation du nombre de personnes infectées à la Covid-19. Les chiffres officiels font état de 16 personnes. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20200406164004/https://lanationbenin.info/lutte-contre-le-coronavirus-le-gouvernement-maintient-les-eglises-mosquees-et-lieux-de-culte-fermes/ -- o:id 4613 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4613 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Ramadan : démarrage du jeûne musulman dans un contexte de crise sanitaire dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15220 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1964 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14142 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-04-22 dcterms:identifier iwac-article-0002382 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Ramadan commence ce vendredi 24 avril 2020. C’est dans un contexte caractérisé par la fermeture des mosquées due à la pandémie du coronavirus que les fidèles musulmans de Parakou, à l’instar de leurs homologues de toutes les autres localités du pays, vont devoir accomplir le quatrième pilier de l’Islam. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14808 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13045 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/399 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Ramadan commence ce vendredi 24 avril 2020. C’est dans un contexte caractérisé par la fermeture des mosquées due à la pandémie du coronavirus que les fidèles musulmans de Parakou, à l’instar de leurs homologues de toutes les autres localités du pays, vont devoir accomplir le quatrième pilier de l’Islam. Le carême musulman débute vendredi 24 avril prochain, dans la plupart des pays dont le Bénin. A Parakou, c’est tout en respectant les mesures barrières édictées par le gouvernement dans le cadre de la riposte contre la pandémie du coronavirus, que les fidèles l’observeront. Les mosquées étant fermées depuis quelques semaines, c’est dans leurs domiciles qu’ils feront les prières indiquées pour la circonstance. En effet, après les fidèles chrétiens avec le carême pascal, c’est au tour de la communauté islamique d’entamer son mois de jeûne dans moins de 72 heures. Pour les fidèles musulmans de Parakou, ce sera une période de pénitence et surtout d’intenses prières, par ces temps où le covid-19 met à l’épreuve les pays du monde entier dont le Bénin. Dans l’exercice de leur foi, ils vont continuer à faire face aux exigences sanitaires imposées par la pandémie. Ils entendent respecter les mesures arrêtées par le gouvernement, lesquelles ont été renforcées par les responsables de leur municipalité. Depuis quelques jours, en dépit de la morosité économique aggravée par la crise sanitaire liée au coronavirus, ils ne cessent de s’approvisionner en denrées alimentaires. Pour ne pas être surpris, ils sont donc nombreux à prendre leurs dispositions. Par rapport aux mesures de riposte prises par le gouvernement pour contrer la pandémie, l’imam Issa Awali de la mosquée centrale de Yarakinin et son homologue de la mosquée Dar Es Salam, Ousman Traoré, estiment qu’elles riment avec les prescriptions islamiques. Selon eux, elles ne sauront faire obstacle à l’accomplissement de ce pilier de l’islam. Tous conscients « Préserver l’âme fait partie des fondamentaux de l’islam. Le prophète même a recommandé de ne pas se rendre dans une localité où il y a une épidémie, jusqu’à ce qu’elle soit anéantie. Celui qui est dans la localité également ne doit pas la quitter et même, lorsqu’il dort et se réveille, le prophète lui conseille de ne pas mettre les mains quelque part, sans les avoir lavées trois fois », a laissé entendre l’imam Ousman Traoré. Les prières, insistent les deux imams, qu’elles soient individuelles ou collectives gardent les mêmes valeurs. « Le mois que nous allons entamer est béni. Tout ce que tu fais comme subrogatoire est pris en compte comme un acte obligatoire », indiquera à leur suite le prêcheur islamique Alpha Daouda. Pour cette raison, il appelle à faire les prières à la maison. « Ce n’est pas un problème. Le prophète Mohamed, paix et bénédiction de Dieu sur lui, a dit, tout endroit sur la terre est une mosquée sauf deux endroits, la douche et le cimetière. En dehors de ces deux endroits, tout autre endroit sur la planète terre qui est propre, vous pouvez y exécuter votre prière », a ajouté le prêcheur islamique. « Nous sommes notés par rapport à notre intention. Lorsque tu n’as pas une bonne intention, tu n’auras pas le mérite. Si elle est bonne, que tu sois en congrégation ou seul, tu auras le mérite. En le faisant bien, on aura des récompenses meilleures que ce qu’on a l’habitude d’avoir, parce que nous traversons une situation atténuante », a fait observer Alpha Daouda. « Le virus en question, c’est Dieu qui sait celui qu’il va attaquer. Il est également le seul à savoir ceux qui vont guérir ou en mourir. Remettons-nous à Dieu. C’est le moment qu’Allah veut que nous revenions beaucoup plus vers lui », a-t-il poursuivi. Par ailleurs, au palais du chef traditionnel de Kabor, à Tchaourou, une rencontre a même eu lieu, vendredi 17 avril dernier, avec le commissaire de police et l’imam. Ensemble, ils ont examiné les conditions dans lesquelles les prières de ce jeûne pourront être organisées. Les cultes en public, a rappelé Sa Majesté Sina Waba, sont interdits jusqu’à nouvel ordre. Mais, rapporte-t-il, selon le commissaire les fidèles peuvent constituer des groupes de prières ne devant pas excéder 10 personnes. Le souhait du chef traditionnel est de voir la pandémie anéantie avant la fête du Ramadan. Comme par le passé, il aimerait que la célébration se fasse en famille. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20200429092600/https://lanationbenin.info/ramadan-demarrage-du-jeune-musulman-dans-un-contexte-de-crise-sanitaire/ -- o:id 4614 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4614 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Affaires étrangères et Coopération sous la Rupture : « L'image du Bénin à l'étranger s'est améliorée », soutient Aurélien Agbénonci dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1530 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/807 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13686 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15450 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15400 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/808 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14075 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-05-05 dcterms:identifier iwac-article-0002383 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les affaires étrangères et la coopération ne sont pas en marge des secteurs impactés par la dynamique de la Rupture. Après quatre ans de gouvernance, Aurélien Agbénonci, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, expose les réalisations et les actions engagées pour améliorer l’image du Bénin sur la scène internationale. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14458 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/430 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13837 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14488 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14187 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/456 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13088 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14637 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15334 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les affaires étrangères et la coopération ne sont pas en marge des secteurs impactés par la dynamique de la Rupture. Après quatre ans de gouvernance, Aurélien Agbénonci, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, expose les réalisations et les actions engagées pour améliorer l’image du Bénin sur la scène internationale. Lire ses propos Nous faisons le bilan des quatre ans de gouvernance aux Affaires étrangères et à la Coopération dans un contexte de crise sanitaire où le coronavirus fait vaciller la planète. Quelles sont les nouvelles de nos compatriotes de la diaspora qui vous parviennent ? Aurélien Agbénonci : Les nouvelles qui nous parviennent de la diaspora sont rassurantes dans certaines régions du monde mais elles pourraient être préoccupantes ailleurs. Nous nous assurons que la diaspora béninoise se mette à l’abri en se conformant aux gestes barrières. Même dans les pays où les mesures qui sont prescrites ne sont pas aussi drastiques que celles que notre pays a proposées, nous conseillons aux membres de la diaspora de se préserver et de faire attention. Cela nous amène à constater dans certains domaines qu’il leur faut une assistance. Le président de la République a entrepris lui-même d’apporter cette assistance en nous donnant des instructions très précises pour régler certains cas particuliers sur lesquels je ne souhaite pas m’étendre. Au plan national, le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération participe aux côtés de l’ensemble du gouvernement à la stratégie mise en place par le chef de l’Etat pour que cette pandémie soit gérée d’une manière intelligente. Toujours sur le même registre, des Africains ont subi des violences de la part de certains Chinois. Une situation assez préoccupante sans doute… Dès la survenance de ces évènements regrettables, j’ai été informé par notre ambassadeur en poste à Beijing et aussi par l’entremise de la presse. Cela m’a amené à avoir un entretien avec l’ambassadeur de la Chine près le Bénin pour lui poser des questions assez précises puisque le sort de nos compatriotes nous préoccupe énormément. C’est de là que l’assurance nous a été donnée qu’il s’agissait effectivement de dérapages au niveau provincial mais qu’au niveau du gouvernement central, des mesures avaient été prises pour éviter que les Africains en général, les Béninois en particulier ne soient l’objet de ces comportements inacceptables à un moment où c’est la solidarité, la compassion et le soutien qui doivent être les tendances dominantes de l’expression des sentiments des uns et des autres. Je suis avec beaucoup d’attention cette situation. Plusieurs compatriotes m’ont appelé directement de la Chine et d’autres au Bénin pour s’inquiéter. J’ai pu leur donner l’assurance de ce dialogue que nous avons. L’ambassadeur de la Chine, avec qui je me suis entretenu, m’a aussi donné des informations qui, pour le moment, nous rassurent. Mais, cela ne nous empêche pas d’être vigilants. La diplomatie est au front dans la gestion de la fermeture par le Nigeria de ses frontières avec les pays voisins. Une situation que semble éclipser la pandémie du Covid-19 mais qui ne manquera pas de revenir au-devant de la scène, une fois la pandémie maitrisée. Quelles informations avez-vous à partager avec vos compatriotes durement touchés par cette situation ? Cette décision unilatérale, sans préavis, du gouvernement du Nigeria de fermer ses frontières avec le Bénin a causé du tort à plusieurs de nos compatriotes, surtout ceux qui sont dans le secteur des affaires. Cette décision a aussi provoqué des difficultés au plan humain, au niveau des communautés qui vivent des deux côtés de la frontière. Dès la survenance de cet évènement, le président de la République a immédiatement rencontré son homologue nigérian à Yokohama, le 28 août 2019, en marge de la Ticad 7, puis en marge du Sommet extraordinaire de la Cedeao sur la sécurité et le terrorisme, le 14 septembre 2019 à Ouagadougou. Un cadre tripartite Bénin-Niger-Nigeria a été mis en place et s’est traduit par la tenue d’une réunion ministérielle le 14 novembre 2019. Deux réunions ont suivi au niveau technique les 26 novembre et 10 décembre 2019. Il faut dire que les difficultés évoquées par le Nigeria ne sont pas à nier mais il faut aussi donner une information équilibrée. C’est vrai que le trafic de riz importé d’Asie porte atteinte au programme de riz mis en place par le Nigeria, mais les acteurs de cette filière ne sont pas que des Béninois. Il faut dire aussi que les produits manufacturés du Bénin (huile, eau…) n’ont jamais été acceptés sur le marché nigérian. J’évoque tout cela pour dire que, de part et d’autre, il y a des choses à corriger. D’ailleurs, dès son accession à la plus haute charge de l’Etat, le président de la République a toujours souhaité qu’il y ait une concertation entre le Nigeria, le Niger et le Bénin pour passer en revue ces difficultés, pour que ces violations des règles communautaires ne puissent pas persister. Les agendas politiques n’ont sûrement pas permis que ces rencontres aient lieu. Après les diverses rencontres d’Abuja et de Yokohama, le président du Burkina Faso désigné par ses pairs pour coordonner l’effort lié à la libre circulation dans notre espace communautaire a convoqué non seulement les trois pays (Bénin, Niger et Nigeria) mais aussi les autres pays impactés par cette fermeture (Côte d’Ivoire, Ghana et Togo). Au cours de cette réunion, la feuille de route établie à Abuja et comportant treize points a été examinée. Le constat est que dix points ont été respectés. Les trois points restants sont des actions conjointes. Le Nigeria s’est engagé à ce que les deux autres parties prennent les actions qui s’imposent pour que nous puissions arriver assez rapidement à une ouverture. C’est dans cette dynamique que nous étions quand est survenue la pandémie du coronavirus qui a amené l’ensemble des pays à fermer leurs frontières pour pouvoir contrôler les flux des personnes infectées. A quand le dénouement de ce dossier qui touche au fondement même de la Cedeao ? Si cela ne tenait qu’au gouvernement du Bénin, les frontières devraient être ouvertes immédiatement. Mais le Bénin ne décide pas de ce qui se passe à Abuja. Le fait que la Cedeao se soit emparée du dossier, que le dernier sommet d’Abuja ait demandé à la partie nigériane de coopérer comme il se doit dans la résolution de la question… C’est un ensemble de faisceaux qui m’amène à croire que lorsque cette crise sanitaire sera surmontée, la partie nigériane prendra les mesures qu’il faut. Vous l’avez bien dit, cette fermeture des frontières touche effectivement au fondement de la Cedeao. Nous sommes sur un terrain de violation flagrante du droit communautaire. Nous avons un marché unique. Normalement, il ne devrait pas y avoir d’obstacles à l’exportation, d’un pays membre de la Cedeao vers un autre, de produits manufacturés dans cet espace. La circulation des biens et des personnes est au cœur de ce droit communautaire. Mais comme vous le savez, en droit international, il arrive que des incompréhensions conduisent à des confrontations. Toutefois, ce qui nous caractérise au Bénin, c’est de maintenir le dialogue avec le Nigeria. J’ai dit récemment que le Bénin n’est ni dans la victimisation ni dans la confrontation. Nous sommes dans une discussion sereine qui devrait nous permettre de trouver des solutions assez rapidement. Il y a quelques mois, le Bénin a décidé du retrait de son agrément à l’ambassadeur de l’Union européenne (Ue). Quelles sont les motivations de cette décision ? Est-ce que cette décision n’a pas des conséquences sur les relations entre le Bénin et l’Ue depuis lors ? Un diplomate est tenu à des obligations en plus des droits et des privilèges attachés à sa fonction. Parmi ces obligations, il y a ce qu’on appelle, le devoir de réserve. Lorsque la frontière de ce devoir de réserve est franchie plusieurs fois, un pays souverain n’a pas autre choix que celui qui a été le nôtre de remettre les pendules à l’heure et de faire en sorte que l’excellente relation entre l’Ue et le Bénin ne souffre pas de comportements d’un individu. Mais, ce qu’il faut retenir, c’est que la page de cette incompréhension est désormais tournée, grâce à la volonté des deux parties d’aller de l’avant parce qu’aucun des programmes sur financement de l’Ue n’a été interrompu. Nous sommes dans un dialogue permanent avec l’institution européenne dont le rôle dans le développement du Bénin est important. C’est justement pour préserver la qualité des relations qu’il fallait prendre cette décision. L’une des étapes importantes de ce dialogue reste la conversation franche et très constructive que j’ai eue avec le haut représentant chargé des affaires étrangères et de la politique de sécurité de l’Ue. Au cours de cet entretien, nous nous sommes compris et tombés d’accord pour que les choses retournent à la normale. N’eût été cette crise du coronavirus, nous aurons déjà tenu le dialogue politique à Cotonou. Je puis vous assurer que les relations entre le Bénin et l’Ue sont au beau fixe. En plus des partenaires traditionnels, le Bénin a fait une ouverture sur d’autres horizons pour diversifier ses relations. C’est le cas de l’Estonie dont le Bénin a reçu pour la première fois la présidente. Que gagne le Bénin dans ce partenariat ? Lorsque le président de la République est allé en Estonie, les gens nous ont demandé ce que nous allons chercher en Estonie. Il faut dire que le Bénin, dans sa quête d’une amélioration des conditions d’existence ici, de modernisation de la gouvernance, a fait une sorte de scanning des bonnes pratiques dans le monde. L’Estonie est le pays qui a réussi plus le e-gouvernement, la dématérialisation, la modernisation des affaires publiques… C’est ce que nous sommes allés faire en Estonie. La présidente de l’Estonie, convaincue par la détermination du chef de l’Etat et les réformes entreprises, a tenu à venir au Bénin pour montrer que les relations entre les deux pays méritaient d’être consolidées dans ces domaines. C’est pour cela que dans notre programme de dématérialisation, nous avons eu recours à des spécialistes estoniens qui ont participé à des actions de mise en place de ce programme dans certains volets. Des accords ont été signés pour permettre à notre pays de bénéficier de l’expertise de ce pays. L’opinion s’est rendu compte que quelques mois après la visite du chef de l’Etat, l’ensemble des pays de l’Ue s’est déplacé en Estonie pour un sommet consacré à la numérisation et à la digitalisation de la gestion des affaires publiques. Cela a permis aux gens de comprendre que l’Estonie est l’un des meilleurs de la classe. Le Bénin veut s’associer aux meilleurs. Dans ce partenariat, nous avons une équipe comme l’Assi qui est en lien avec l’équivalent de cette agence en Estonie. Ma collègue du Numérique et de la Digitalisation est aussi en contact avec son homologue. Des concertations régulières dans ce domaine ont lieu. Des problèmes de formation ont été aussi retenus dans l’accord que nous avons signé avec l’Estonie. Cet ensemble d’ingrédients contribue à nous faire avancer dans notre programme de dématérialisation de l’administration publique. Sur le plan de la coopération multilatérale, nous sommes un nouveau partenaire pour ce pays pour pouvoir influencer la gestion des affaires internationales. La philosophie qui gouverne les actions diplomatiques du Bénin s’articule autour de la diplomatie économique. Qu’est-ce qu’elle apporte de plus au Bénin aujourd’hui ? Lorsque le candidat désormais président de la République a décidé de prendre les rênes de notre pays, il a dit qu’il souhaitait que nous fassions de notre diplomatie un véritable instrument de rayonnement et de mobilisation de ressources pour le développement. Notre développement souffre de manque de ressources (financières, humaines…). Pour pouvoir élever le niveau de ce capital humain, il nous faut un investissement massif pour se mettre sur la trajectoire porteuse. Ce que rapporte cette diplomatie économique, c’est ce que nous recevons en scrutant les possibilités qui existent de par le monde. Ce n’est pas seulement le ministère des Affaires étrangères, c’est le ministère du Plan, le ministère des Finances mais d’abord et avant tout le président de la République qui, non seulement examine favorablement les propositions que nous pouvons faire, mais aussi en scrutant lui-même les possibilités qui existent, nous envoie en mission. Cela nous permet de nouer de nouveaux partenariats, de trouver des ressources qui permettent à notre pays de lancer d’énormes programmes de construction en cours dans tous les domaines. De façon concrète, quels chiffres pourriez-vous donner en termes d’apport de cette diplomatie économique au développement du Bénin? Je pense que les chiffres sont énormes et, pour la première fois de son histoire, notre pays a été sur le marché financier international des Eurobons. Très récemment encore, le Fmi, compte tenu de nos performances économiques, a décidé de doubler les facilités qu’il apporte pour renforcer notre économie. En termes de chiffres, c’est énorme ce qui a été rapporté dans ce pays. Rien que pour la construction de l’hôpital de référence d’Abomey-Calavi, nous avons pu mobiliser des ressources. Donc, il y a énormément de retombées dans cette démarche. Ce qu’il faut retenir aussi, c’est la crédibilité du président de la République, ce qui permet à l’équipe de mobiliser les ressources. Dans cette dynamique, vous adressez des lettres de mission aux ambassadeurs en poste pour qu’ils puissent mobiliser des investisseurs et des financements pour le pays. Comment cela se passe-t-il exactement ? L’envoi des lettres de mission participe de la réforme de notre diplomatie. On ne peut pas envoyer en mission des ambassadeurs sans leur fixer des objectifs et sans avoir pour eux des critères de performance. Conformément à la vision du président de la République, nous avons très tôt conçu ces lettres de mission qui n’existaient pas dans notre système diplomatique. Ces outils permettent de fixer des cibles et de dire à un ambassadeur dans un pays ce que nous attendons de lui (une ou deux opportunités parfois trois). A la fin, nous rendons compte au président de la manière dont les opportunités identifiées ont été concrétisées (accords, cofinancement, partenariat…). La lettre de mission permet de cadrer l’action et insuffle un certain dynamisme dans la manière de travailler des ambassadeurs. A cela s’ajoutent les matrices de suivi des actions des ambassadeurs accrédités auprès de notre pays. Nous sommes exigeants vis-à-vis de nos ambassadeurs à l’étranger. Nous sommes aussi exigeants vis-à-vis des ambassadeurs accrédités auprès de notre pays pour que ce qui a été convenu entre les leaders au plus haut niveau ou discuté avec les ministres fasse l’objet d’une action concrète. Je pense que cette décision d’avoir une approche matricielle par laquelle on sait ce qui est attendu de chaque ambassadeur nous a permis de faire des avancées. Si les ambassadeurs contribuent à attirer des investissements au pays, comment pourrait-on justifier la réduction drastique du nombre de postes diplomatiques ? Les ambassadeurs sont d’abord des émissaires du président de la République. Toutes les charges dans la République sont des charges précaires et révocables. Ensuite, le président de la République n’a pas fait mystère que, sous lui, nous devions réformer profondément l’Etat. Il ne s’agit pas seulement de la diplomatie. C’est vrai que le réaménagement de la carte diplomatique et son corollaire qu’est la rationalisation de l’effectif du personnel de nos représentations devaient se faire. Cela a été annoncé par étapes. Nous devons redéfinir notre manière d’être présents au monde. On ne peut pas utiliser des outils du XVIIe ou XVIIIe siècle pour affronter les difficultés du XXIe siècle. C’est pour cela que nous avons décidé de revoir notre carte diplomatique pour la mettre en consonance avec nos moyens, avec la vision stratégique du président de la République et du gouvernement. Mais aussi avec les priorités qui sont les nôtres aujourd’hui. Vous parlez de chiffres tout à l’heure, je peux vous en donner quelques-uns. Lorsque vous regardez le projet Assurance pour le renforcement du capital humain (Arch) (un programme salué par tous, opposition comme majorité), on se rend compte qu’il nous faut 313 milliards FCfa pour pouvoir le mettre en place et la phase pilote a commencé. Lorsque vous regardez cette réforme sur la formation technique et professionnelle, à la table ronde, nous nous sommes rendu compte qu’il nous faut un minimum de 300 milliards F Cfa. Tout cela, ce sont nos ressources d’abord et, ensuite, celles que nous devons mobiliser à l’étranger. C’est tous les secteurs qui subissent une transformation profonde. Il y a des modes de représentation sur le plan international aujourd’hui. Il y a des pays plus riches que le Bénin avec qui nous sommes en relation mais qui n’ont pas d’ambassades à Cotonou. Pourquoi le Canada a son ambassade à Ouagadougou ? Pourquoi la Suisse a son ambassade à Accra ? C’est bien parce que la modalité de la représentation de la multi-accréditation permet à un Etat de maintenir cette relation avec les pays mais en réduisant les charges administratives. C’est pour cela que nous avons décidé, dans un premier temps (2016), nous l’avons refait en 2019 et aujourd’hui le moment est venu d’avoir une carte diplomatique très allégée mais renforcée. Nous aurons des pôles régionaux (Paris, Washington…). Nous serons présents sur tous les continents. Ce que nous aurons aussi, c’est des ambassadeurs non-résidents qui, à partir de Cotonou avec les moyens, opéreront. J’ai donné l’exemple de la Suède dont l’ambassadeur réside dans la capitale Stockholm mais agit ici avec efficacité. J’ai donné l’exemple des ambassadeurs thématiques (l’eau, le climat…) que nous n’avons pas encore. C’est une modernisation de l’outil. On ne peut pas baser notre diplomatie sur des dogmes qui sont dépassés, sur des modes de représentation qui ne sont plus efficaces. Je me suis entretenu avec plusieurs de mes homologues, notamment celui de Singapour qui m’a montré la manière dont ce pays est arrivé à avoir une machine diplomatique efficace avec moins d’ambassadeurs à l’étranger. Cela coûte cher. En 2017, nous avons rappelé à Cotonou une centaine d’agents mais personne ne l’a ressenti ici parce que nous avons rationalisé les procédures. Combien d’ambassades restera-t-il à l’étranger ? Nous aurons un peu plus d’une dizaine d’ambassades à l’étranger. Cela nous suffira si nous savons mettre l’intelligence, la détermination mais aussi la bonne volonté pour pouvoir conduire notre action diplomatique. Cela ne veut pas dire que notre diplomatie s’affaiblit. Au contraire ! Elle devient plus tonique. Il y a l’émotion mais aussi la réalité des choses. Premièrement, j’ai cité des pays importants, par exemple l’Inde dont nous avons accueilli le président au Bénin l’année dernière. L’ambassadeur de l’Inde est à Abuja mais c’est l’un des ambassadeurs avec qui je m’entretiens le plus. Les pays avec lesquels nous nous entretenons avant de prendre cette décision comprennent qu’une carte diplomatique évolue. Une carte diplomatique s’adapte à la géopolitique, aux intérêts du moment mais aussi aux besoins à un moment donné. La diplomatie, ce n’est pas de l’affection seulement ; elle doit servir les objectifs de développement. Lorsque vous n’expliquez pas à un pays où vous aviez une ambassade les raisons qui vous poussent à fermer, le pays peut croire que c’est un geste inamical. Lorsque vous dites à ce pays, nous ne rompons pas nos relations mais nous maintenons un ambassadeur qui, à partir de Paris ou de Moscou, va travailler avec vous, ces pays comprennent, surtout quand vous leur dites que c’est pour répondre à des besoins aussi essentiels que la santé, l’éducation. Nous sommes à un moment où il faut investir dans certains secteurs. Regardez les infrastructures, aujourd’hui, les Béninois sont contents à Cotonou, Porto-Novo, Lokossa, Boukoumbé de voir de belles et solides routes faites dans les règles de l’art, mais cet argent vient de quelque part. Face à la pandémie du coronavirus, les Béninois ont été très impressionnés de voir que, très tôt, le président de la République a donné des instructions pour que nous puissions faire des commandes. Ce n’est pas gratuit! Pendant cette période, les fournisseurs ne demandent que des paiements cash. Nous faisons une diplomatie de nos moyens. Cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas présents dans le monde. Je comprends l’émotion qui existe dans le milieu des diplomates aujourd’hui. Je sais qu’ils sont capables de comprendre qu’entre avoir une belle ambassade dotée de grands moyens dans un pays développé et faire en sorte que l’hôpital à Cotonou ait les moyens de soigner nos parents ou une cantine scolaire, ou encore l’accès à l’eau potable…, ils comprennent bien cela. Relativement aux engagements du Bénin vis-à-vis des fonctionnaires en poste dans nos missions diplomatiques et par rapport aux organisations, est-ce que le Bénin est à jour de ses cotisations ? Aujourd’hui, notre pays est à jour de toutes ses cotisations. La nouvelle diplomatie du Bénin, c’est aussi une diplomatie de dignité. Il faut être digne. Il ne faut pas être membre d’une organisation pour qu’à l’heure du vote, vous ne puissiez pas exprimer votre suffrage à cause du non-paiement de cotisation. Nous n’avons pas de diplomates en poste qui ne reçoivent pas leurs salaires pendant deux, trois ou quatre mois. Le chef de l’Etat a instruit notre administration pour que les virements soient faits directement. Nous avons des fonctionnaires qui sont payés quasiment au même moment que ceux qui sont à Cotonou parce que les ressources sont déjà mises à la disposition des ministères dès le départ où on ne gère pas par hasard. Les loyers sont payés et nous avons fait un programme de réhabilitation de plusieurs de nos ambassades. L’image du Bénin à l’étranger s’est améliorée. Aujourd’hui, le Bénin fait partie des pays qui sont respectés. La diplomatie béninoise s’illustre sur un dossier qui tient à cœur au président de la République : la question de la restitution des biens culturels du Bénin détenus en France. Le Bénin est un leader de cette revendication et c’est à juste titre qu’il brille dans cette diplomatie culturelle que le chef de l’Etat prône…Veuillez nous éclairer davantage. D’abord, cette demande du Bénin était fondamentale puisque nous avons décidé, en plus de l’agriculture, de faire du tourisme un des éléments de l’accélération de notre croissance. Notre tourisme se nourrit non seulement de nos sites naturels mais aussi de notre patrimoine culturel. C’est à bon escient que, dès août 2016, le chef de l’Etat m’a instruit d’approcher les autorités françaises pour recevoir ces biens qui sont à nous. Nous avons eu un dialogue positif, le discours du président de la République à l’Unesco est un acte fondateur. La partie française a connu une évolution aussi positive dans ce domaine. Nous sommes dans une dynamique qui avance. Notre décision a inspiré la Cedeao qui a fait passer désormais une résolution sur le retour des biens culturels mais aussi l’Union africaine. Pour ce qui concerne le travail bilatéral qui est en cours avec la France, nous avons un plan de travail commun signé ici à Cotonou. Le ministre de la Culture et moi-même, nous nous sommes rendus à Paris en février pour le point des avancées de la mise en œuvre de ce plan de travail commun. La restitution des vingt-six œuvres annoncée par le président Macron se fera. Nous avons voulu que cela se passe dans de très bonnes conditions. C’est pour cela que nous accélérons le programme de construction de nos musées. La question de la restitution des biens culturels est en bonne perspective. Nous sommes dans une démarche de coopération muséale et patrimoniale avec la partie française. Nous avons aussi prévu d’élargir cette revendication à d’autres pays. Les entretiens sont en cours, je ne peux pas révéler leur contenu mais les perspectives sont assez positives pour que nous puissions atteindre cet objectif. L’autre chantier sur lequel le chef de l’Etat est champion, c’est l’exemption de visa aux Africains. Avant de répondre à cette question, permettez-moi de dire un mot sur l’une des thématiques sur lesquelles le président est aussi champion dans le monde. C’est la question des faux médicaments. Souvenez-vous du discours fondateur à Genève où il attirait l’attention sur cette question des faux médicaments. Nous avons pris des décisions très dures. On voit aujourd’hui, avec la pandémie, que c’est une chose à faire. Pour revenir sur la question de l’exemption de visa, nous avons fait œuvre de précurseurs avec nos amis du Rwanda. C’est à Kigali que le président a pris sa décision. Nous avons exempté les Africains de visa parce qu’on ne peut pas faire l’Unité africaine sur des incantations. Cette décision a permis à d’autres pays de nous donner la réciprocité. Un pays comme le Kenya a signé avec nous un protocole qui fait qu’aujourd’hui, les ressortissants béninois peuvent s’y rendre sans visa avec les passeports diplomatiques et de service, et des facilités avérées pour les passeports ordinaires. Le cas du Maroc est là pour les passeports diplomatiques et de service. Pour les passeports ordinaires, nous sommes en discussions pour que cela aboutisse. La lutte contre le terrorisme et l’intégration sous-régionale. Le chef de l’Etat pense que les Africains doivent eux-mêmes contribuer à la sécurité dans la sous-région. Qu’en dites-vous ? Le chef de l’Etat a raison. On ne peut pas lancer tous nos projets de développement si nous ne luttons pas pour notre survie qui est la sécurité, la lutte contre le terrorisme. D’abord, il faut avoir la volonté et se décider à prendre en charge soi-même sa sécurité et c’est ce que le président propose. D’ailleurs, cette sortie du président a permis à la Cedeao d’élaborer un plan qui permettra de mettre des ressources additionnelles pour que nos pays puissent mettre en œuvre leur programme sans attendre que ce soit les partenaires extérieurs qui s’en occupent. Il faut mobiliser ces moyens pour permettre à nos armées, nos services de renseignements mais aussi à nos stratégistes dans ces domaines de travailler. C’est en s’organisant de façon intelligente que nous pouvons lutter efficacement contre le terrorisme. C’est pour cela que, sur un plan plus pratique, au niveau des frontières, j’ai signé un accord avec mon homologue du Togo en décembre dernier. Avant cela, c’était avec le Niger et le Burkina Faso pour pouvoir nous permettre d’avoir des accords transfrontaliers afin d’assurer une mission de veille et l’action de codéveloppement dans ces espaces. Le pèlerinage à la Mecque : le Hadj. Vous avez initié des réformes là aussi. Quelles sont-elles ? Le Hadj est un pilier essentiel de la religion musulmane. Parce que ce pèlerinage fait voyager plusieurs milliers de nos compatriotes. C’est important, au titre de la responsabilité de protection, que l’Etat s’investisse comme il le fait pour d’autres confessions religieuses. Je dois vous dire que, depuis 2016, nous sommes allés d’amélioration en amélioration. C’est le président de la République lui-même qui préside les réunions où tout le processus a été revu. Vous savez que nous avons mis en service un site d’accueil et d’hébergement à Akpakpa où désormais les pèlerins ne traînent plus contrairement à ce qui se passait. Nous avons, sur instructions du président de la République, revu tout le processus pour que les conditions de voyage, d’hébergement, de restauration, de santé mais aussi toute l’assistance dont nos compatriotes ont besoin puissent s’améliorer. Je me suis rendu en Arabie Saoudite plusieurs fois et nous avons renégocié l’accord de coopération sur l’organisation du Hadj et signé un nouvel accord. J’ai rencontré le ministre des Affaires étrangères chargé des relations avec l’Afrique pour montrer que le Bénin veut un Hadj de qualité pour ses compatriotes. C’est vous dire que cette question fait partie des réformes et que tout a été revu pour que personne n’abuse de la vulnérabilité de nos parents qui viennent des contrées éloignées et qui dormaient à la belle étoile. Le président de la République a décidé que cela prenne fin. Le temps est venu pour que le Bénin fasse les choses telles qu’il se doit dans tous les domaines. Je suis très heureux de cette avancée que nous avons faite dans l’organisation du Hadj. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20200519043107/https://lanationbenin.info/affaires-etrangeres-et-cooperation-sous-la-rupture-limage-du-benin-a-letranger-sest-amelioree-soutient-aurelien-agbenonci/ -- o:id 4615 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4615 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Jeûne du mois de Ramadan : la recherche du pardon capitale au cours de la deuxième décade dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15365 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12964 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-05-20 dcterms:identifier iwac-article-0002384 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar de celle d’autres localités du Bénin et du monde entier, la communauté musulmane de Parakou observe depuis vendredi 24 avril dernier, le jeûne du mois de Ramadan. Elle a abordé, dès lundi 4 mai dernier, sa deuxième décade, une période capitale dans la religion islamique. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13045 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar de celle d’autres localités du Bénin et du monde entier, la communauté musulmane de Parakou observe depuis vendredi 24 avril dernier, le jeûne du mois de Ramadan. Elle a abordé, dès lundi 4 mai dernier, sa deuxième décade, une période capitale dans la religion islamique. Déjà plusieurs jours passés au titre du jeûne du mois de Ramadan, par les fidèles musulmans de Parakou. Lundi 4 mai dernier, ils ont abordé la deuxième décade. Pour bénéficier des grâces de cette période sainte, ils doivent adopter un certain nombre de comportements. En effet, au cours de la deuxième partie du mois de Ramadan, explique le prédicateur en islam, Moussa Daouda, Allah le Tout Miséricordieux accorde son pardon à tous ses serviteurs, sauf à deux catégories de musulmans. « Il y a, en premier lieu, ceux qui pratiquent de l’idolâtrie. Viennent ensuite les personnes qui sont en animosité, en rivalité avec leurs prochains, parlent mal ou ont de mauvaises intentions », fait-il observer. « Dans la première décade, la miséricorde dont il a beaucoup été question, s’est également fait remarquer dans le quotidien des jeûneurs. Au cours de la deuxième décade, l’heure sera surtout au pardon, avant que l’affranchissement ne soit de mise lors de la troisième», soutient l’imam de la mosquée d’Ar Es Salam de Parakou, Idrissou Boukary Traoré. Le pardon consiste, selon lui, à faire vivre la tribu de Dieu. « Tout fidèle doit le faire sentir dans ses actes », a-t-il poursuivi, tout en invitant les fidèles à redoubler d’efforts. « A chaque moment propice, il est recommandé à tout fidèle de demander pardon à Dieu, avant et après la prise des repas. Il doit également se libérer de tout ce qu’il rumine comme mauvaise idée. Le jeûne lui offre l’occasion de se purifier. Dieu regarde dans les cœurs et apprécie les actes qui sont posés », insiste l’imam. « Il faut continuer à jeûner comme cela se doit, en respectant les normes, les critères. Il s’agit de tout ce qu’il faut, pour que le jeûne soit valable», exhorte-t-il également. Selon l’imam, tout ce qui était obligatoire pour ces fidèles dans la première décade, continuera à l’être pour eux au cours de la deuxième. Dans le cadre de la riposte contre le Covid-19, il les a ensuite conviés à ne pas cesser de respecter les gestes barrières édictés par le gouvernement et que la municipalité de Parakou a renforcés. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/jeune-du-mois-de-ramadan-la-recherche-du-pardon-capitale-au-cours-de-la-deuxieme-decade/ -- o:id 4616 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4616 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de l’Aïd-El-Fitr : les places idi restées désertes à Natitingou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-05-25 dcterms:identifier iwac-article-0002385 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les différentes places Idi de la ville de Natitingou sont restées vides, ce dimanche 24 mai, jour de la célébration de l’Aid-El-Fitr, marquant la fin du mois de ramadan. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/469 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les différentes places Idi de la ville de Natitingou sont restées vides, ce dimanche 24 mai, jour de la célébration de l’Aid-El-Fitr, marquant la fin du mois de ramadan. Il est 9 heures 30 minutes ce dimanche matin. Aucun fidèle musulman à la place Idi centrale de la ville de Natitingou. L’espace est d’ailleurs insalubre et les portes de la grande mosquée sont hermétiquement fermées. Or, d’habitude, c’est l’heure de pointe où les fidèles rallient cette place légendaire pour la grande prière en ce jour de la fête de l’Aid-El-Fitr. Constat identique à la place Idi Alpha Daoudou et bien d’autres. Cheick Nourou Dine Mouhamed Sanni, l’imam de la mosquée centrale a répercuté les consignes et insisté: « A travers les médias et les imams des mosquées, j’ai demandé à la communauté musulmane de Natitingou de se conformer à la décision du gouvernement en priant en famille ». Le guide spirituel qui a donné le bon exemple en priant aussi en famille, a convié les fidèles musulmans à la sérénité. Car, rassure-t-il, en de pareilles circonstances, les bénédictions restent identiques, aussi bien pour celui qui prie seul que pour ceux qui le font en groupe. « Le fait de n’avoir pas été à la place Idi pour la prière ne dépend pas de nous fidèles, c’est le contexte qui nous a obligés à prier à la maison, et c’est Allah qui l’a voulu ainsi », s’est résigné Abdou-Chakourou, l’imam du quartier Yimporima de Natitingou. Toutefois, il importe de mentionner que certains fidèles ont prié dans les petites mosquées de quartiers. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20200606230349/https://lanationbenin.info/celebration-de-laid-el-fitr-les-places-idi-restees-desertes-a-natitingou/ -- o:id 4617 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4617 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Comités de gestion contre le Covid-19 : les mesures de prévention rappelées dans les mosquées dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1590 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1940 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-06-05 dcterms:identifier iwac-article-0002386 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Fermés durant plus de deux mois, les lieux de culte ont rouvert ce mardi 02 juin 2020, grâce à l’allègement des mesures restrictives liées à la riposte contre le Covid-19. Dans cet entretien, Abdoul Jalili Yessoufou, imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun et secrétaire général de l’Union Islamique du Bénin (Uib), se prononce sur cette décision du gouvernement et rappelle les dispositions prises dans les mosquées pour qu’il n’y ait pas de faille dans l’observance des mesures barrières à la propagation du coronavirus. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Fermés durant plus de deux mois, les lieux de culte ont rouvert ce mardi 02 juin 2020, grâce à l’allègement des mesures restrictives liées à la riposte contre le Covid-19. Dans cet entretien, Abdoul Jalili Yessoufou, imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun et secrétaire général de l’Union Islamique du Bénin (Uib), se prononce sur cette décision du gouvernement et rappelle les dispositions prises dans les mosquées pour qu’il n’y ait pas de faille dans l’observance des mesures barrières à la propagation du coronavirus. Quel sentiment vous anime face à la décision du gouvernement portant la réouverture des lieux de culte dont les mosquées ? Abdoul Jalili Yessoufou: C’est avec une grande joie que nous accueillons la décision gouvernementale annonçant la réouverture des mosquées. La décision était attendue par toute la communauté musulmane à laquelle les mosquées manquaient. Nous louons Allah qui a exaucé nos prières et qui a permis aux autorités d’avoir la maîtrise de la gestion de la crise à travers une réduction considérable du nombre de cas de coronavirus et la mise en place d’un traitement. Il faut avouer qu’au départ, la maladie du Covid-19 a terrorisé tout le monde. Ce qui a abouti à la fermeture des lieux de culte sur toute l’étendue du territoire national. Nous accueillons très favorablement et avec joie l’allègement des mesures restrictives liées à la riposte contre le Covid-19. Une réouverture autorisée sous conditions ! Monsieur le secrétaire général, la communauté musulmane pourra-t-elle respecter les mesures qui conditionnent la réouverture des lieux de culte ? Ce sont des conditions que nous pouvons faire respecter. Les conditions, entre-temps, sont déjà entrées dans les habitudes de tous les fils et toutes les filles du Bénin. Que feront concrètement les responsables pour faire respecter les mesures barrières à la propagation du Covid-19 dans les mosquées? Les responsables au niveau des départements à savoir les bureaux départementaux de l’Union islamique du Bénin (Uib) ont commencé à recevoir des messages qui ne sont qu’un ensemble de mesures d’application tenant compte des spécificités de la religion musulmane. Il s’agit essentiellement des mesures que doivent respecter toutes les mosquées. Il y a également des mesures qui concernent les fidèles eux-mêmes. En ce qui concerne les mosquées, il est demandé de faire installer des dispositifs de lavage des mains à l’entrée, de procéder à la désinfection régulière des lieux. Nous avons demandé dans les mosquées, où il y a la possibilité, de ranger carrément les tapis de prière pour que le nettoyage se fasse. Cette désinfection est de mise. Nous avons mis un accent particulier là-dessus. Les imams auront à faire respecter surtout à l’intérieur des mosquées la distanciation d’au moins un mètre entre fidèles musulmans. Il est demandé aux responsables de revoir les sermons faits par les imams pour que cela se fasse surtout les vendredis dans une marge de temps raisonnable parce qu’il s’agira de ne pas permettre la propagation de la maladie. Nous avons limité nos prières quotidiennes et canoniques dans un temps donné et les prières du vendredi seront également de courte durée. Nous avons responsabilisé les comités de gestion des mosquées pour veiller au respect des mesures. Quant aux fidèles, nous leur avions demandé de porter chacun un masque et de se laver les mains à l’entrée comme à la sortie de la mosquée. Nous avons demandé à chaque fidèle musulman de venir à la mosquée avec son propre tapis. Ces mesures sont déjà notifiées à tous les démembrements de l’Union islamique du Bénin (Uib). L’Uib a procédé à la finalisation des mesures ce samedi (30 mai 2020, ndlr). La désinfection des mosquées commence le dimanche 31 mai 2020 et sera faite sur toute l’étendue du territoire national avant la tenue du premier culte le mardi 02 juin 2020. Quelles dispositions avez-vous prises en cas de non-respect de ces mesures? Puisque l’allègement des mesures restrictives liées à la riposte contre le Covid-19 est une décision gouvernementale que l’Union islamique du Bénin (Uib) met en application, chaque comité de gestion des mosquées a le pouvoir d’engager la responsabilité des imams en cas de défaillance en ce qui concerne le respect des mesures barrières. L’Uib a pris toutes les dispositions pour qu’il n’y ait pas de failles dans l’observance des mesures dans les mosquées. C’est le moment d’ailleurs de remercier les imams et les fidèles musulmans qui ont respecté les mesures concernant la fermeture des lieux de culte. Nous les invitons à avoir le même comportement à la réouverture pour qu’il n’y ait pas de désobéissance par rapport à toutes les mesures. Il faut avouer que le problème de moyens se pose dans certaines mosquées. Nous réitérons notre demande de soutien à l’endroit de toutes les personnes de bonne volonté au sein de la communauté et au gouvernement pour soutenir les mosquées dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid-19. Par Marc MENSAH (Stag.) fabio:hasURL https://lanationbenin.info/comites-de-gestion-contre-le-covid-19-les-mesures-de-prevention-rappelees-dans-les-mosquees/ -- o:id 4618 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4618 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Face à la montée des cas : les imams de Natitingou sommés de faire respecter les consignes dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-06-29 dcterms:identifier iwac-article-0002387 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La plateforme départementale de gestion des risques, catastrophes et d’adaptation au changement climatique a sommé, jeudi 25 juin dernier, au cours d’une séance, le conseil des imams de la ville de Natitingou de faire respecter les mesures barrières dans les mosquées. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/469 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La plateforme départementale de gestion des risques, catastrophes et d’adaptation au changement climatique a sommé, jeudi 25 juin dernier, au cours d’une séance, le conseil des imams de la ville de Natitingou de faire respecter les mesures barrières dans les mosquées. La séance présidée par le secrétaire général du département de l’Atacora, Abdoulaye Affo et le chargé de mission du préfet, Maguidi Kora Gbéré, a été marquée par l’intervention de Jacob Namboni, directeur départemental de la Santé de l’Atacora. Celui-ci a, dans un langage direct, déploré le laxisme dont font preuve les responsables religieux s’agissant du respect des mesures barrières dans les mosquées. Sur la base d’une projection de photos prises lors des différentes descentes inopinées du préfet de l’Atacora dans les mosquées, le directeur départemental de la Santé a fustigé le non-respect de la distanciation sociale d’un mètre par les fidèles musulmans, la présence et l’attroupement d’un grand nombre d’enfants au niveau des mosquées pendant les prières de vendredi, l’absence de dispositifs de lavage de mains aux entrées des mosquées et le faible taux de port de masque par les fidèles. « La situation est très grave au niveau des mosquées au regard de ce qu’on a constaté; j’exhorte les imams à prendre des dispositions pour corriger le tir au plus vite parce que la police républicaine va veiller au respect des consignes barrières à tous les niveaux », a prévenu le directeur départemental de la Police républicaine de l’Atacora, Cossi Lamas. L’imam de la mosquée centrale, au nom du collectif des imams, a pris l’engagement de redoubler d’efforts pour une meilleure application des consignes sanitaires au niveau de toutes les mosquées de Natitingou. Cheik Nourou Dine Mouhamed Sanni a également sollicité l’accompagnement des autorités pour l’acquisition des dispositifs de lavage de mains dans les mosquées. Des recommandations ont été également faites, notamment sur les services d’ordre à l’entrée des mosquées afin de contraindre les fidèles au respect des mesures barrières. Il sera procédé à la fermeture des mosquées qui persisteraient dans le non-respect des consignes sanitaires, ont averti les autorités. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/face-a-la-montee-des-cas-les-imams-de-natitingou-sommes-de-faire-respecter-les-consignes/ -- o:id 4619 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4619 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Organisation de la coopération islamique : les députés autorisent la ratification de la Charte amendée dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2040 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2043 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1419 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-07-22 dcterms:identifier iwac-article-0002388 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’Assemblée nationale a approuvé ce mardi, la loi n°2020-22 portant autorisation de ratification de la Charte amendée de l’Organisation de la coopération islamique, adoptée à Dakar le 14 mars 2008. Le dossier a été défendu par le ministre en charge des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’Assemblée nationale a approuvé ce mardi, la loi n°2020-22 portant autorisation de ratification de la Charte amendée de l’Organisation de la coopération islamique, adoptée à Dakar le 14 mars 2008. Le dossier a été défendu par le ministre en charge des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci. Le président de la République, Patrice Talon, est autorisé à ratifier la Charte amendée de l’Organisation de la coopération islamique adoptée à Dakar, le 14 mars 2008. Les députés, à leur unanimité, ont adopté ce mardi, la loi n°2020-22 y relative. Selon le rapport de la Commission des Relations extérieures, de la Coopération au développement, de la Défense et de la Sécurité présidée par le député Rachidi Gbadamassi, plusieurs raisons motivent la ratification par le Bénin de cette charte amendée. Le Bénin vise entre autres de grand progrès dans le domaine de la protection des droits de l’homme; la possibilité pour lui de faire consolider son engagement en matière de droits de l’homme sur la scène internationale et conforter sa place dans le concert des Nations unies et du droit international; la possibilité de créer ou de renforcer ses relations bilatérales avec les autres Etats membres et la forte probabilité de son accès à divers mécanismes de financements contenus dans les accords spécifiques. Aussi, à travers cette ratification, le Bénin entend renforcer son éligibilité aux programmes de développement qu’offrent les banques et autres instruments de financement du monde arabe. Le Bénin bénéficie déjà d’importants financements et de prêts à un taux concessionnel qui contribuent à la réalisation du Programme d’action du gouvernement (Pag). Le rapport de la commission parlementaire fait remarquer par ailleurs que la nouvelle charte ne crée aucun nouveau droit susceptible d’entrer en contrariété avec d’autres traités déjà souscrits par le Bénin. La ratification de la charte permettra au Bénin de réaffirmer son engagement au sein de l’Oci et de pouvoir bénéficier davantage de financement. Au regard de ces avantages, les députés qui sont intervenus dans le débat général qui a conduit à l’adoption du texte ont trouvé profitable pour le Bénin la ratification de cette charte amendée, surtout en matière de décrochage des fonds arabes. Mais, tout en saluant l’Oci qui fait beaucoup d’actions positives, le député Benoît Dègla exprime quelques inquiétudes par rapport aux nombreux foyers de contradictions mortelles qui pullulent dans le monde arabe. Il souhaite que le Bénin ne fasse pas les frais des disputes de ces grandes puissances arabes dans le monde avec la ratification de cette charte amendée. Mais Benoit Dègla a été rassuré par le ministre chargé des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci. Selon celui-ci, le Bénin veille au grain dans sa diplomatie au respect de sa souveraineté et de ses intérêts dans ses partenariats avec les autres Etats. Cette loi est une avancée et ne change rien dans le droit positif béninois, insiste le ministre. Il faut préciser que la Charte amendée de 2008 de l’Organisation de la coopération islamique est plus élaborée que la première Charte adoptée à Djeddah en Arabie Saoudite en 1972. Elle est le premier instrument juridique international des droits de l’homme du monde islamique. A ce titre, la charte révisée incarne la nouvelle vision du monde musulman et fait la promotion des principes de la bonne gouvernance, des droits humains, des libertés fondamentales, de la démocratie et de l’Etat de droit. La Charte révisée est entrée en vigueur le 2 avril 2017 et le Bénin est membre de l’Oci depuis 1982. Encadré Budgets de l’Etat gestion 2017: Le Parlement approuve la loi de règlement définitif L’Assemblée nationale a adopté ce mardi la loi n°2020-21 portant loi de règlement définitif du budget de l’Etat gestion 2017. Le document a été validé sans grand débat en présence du ministre chargé des Finances, Romuald Wadagni. Le rapport de la commission des Finances et des Echanges décrit les conditions dans lesquelles ce budget a été exécuté et les différents soldes obtenus. Le dossier a été adopté à l’unanimité des députés présents et représentés. Th. C. N. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/organisation-de-la-cooperation-islamique-les-deputes-autorisent-la-ratification-de-la-charte-amendee/ -- o:id 4620 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4620 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de la Tabaski à Abomey : les musulmans fêteront en respectant les gestes barrières dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-07-30 dcterms:identifier iwac-article-0002389 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Demain vendredi 31 juillet, c’est la Tabaski ou l’Aïd el-Kébir. La communauté musulmane du Bénin va commémorer la Tabaski dans un contexte particulier de crise sanitaire. Cette célébration plus connue sous le nom de “fête du mouton” est définie dans le Coran comme une fête se déroulant lors du pèlerinage à la Mecque. Mais pour une fois, elle se déroule sans ce pèlerinage à la Mecque. L’imam de la mosquée centrale d’Abomey, El hadj Ilias Nondichao, explique les conditions dans lesquelles cette fête se déroule demain à Abomey. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14234 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Demain vendredi 31 juillet, c’est la Tabaski ou l’Aïd el-Kébir. La communauté musulmane du Bénin va commémorer la Tabaski dans un contexte particulier de crise sanitaire. Cette célébration plus connue sous le nom de “fête du mouton” est définie dans le Coran comme une fête se déroulant lors du pèlerinage à la Mecque. Mais pour une fois, elle se déroule sans ce pèlerinage à la Mecque. L’imam de la mosquée centrale d’Abomey, El hadj Ilias Nondichao, explique les conditions dans lesquelles cette fête se déroule demain à Abomey. La Tabaski ou l’Aïd-el-Kébir plus connue sous le nom de “fête du mouton” est définie dans le Coran comme une fête se déroulant lors du pèlerinage à la Mecque. Pour une première fois, elle se déroulera dans des conditions particulières. « A Abomey, c’est loin de la place Idi que cette fête se déroulera », a confié hier El hadj Ilias Nondichao, imam de la mosquée Zongo d’Abomey. C’est à la Mosquée centrale d’Abomey que les musulmans de cette ville devront se retrouver autour de leur imam pour sacrifier à la tradition. « Mais dans le strict respect des gestes barrières », insiste-t-il. C’est donc en respectant la distanciation sociale et les autres mesures barrières que les musulmans fêtent l’événement qui est une grande célébration prescrite par le prophète. Rappelant le sens qu’il faut donner à cette fête, El Hadj Nondichao indique que « c’est après un rêve où Dieu ordonna à Ibrahim de tuer son unique fils Ismaël âgé de 12 ans environ, qu’Ibrahim décida d’exécuter l’ordre avec le consentement de sa femme et de son fils pour prouver à son créateur sa grande ferveur. C’est ainsi qu’au milieu de l’accomplissement du sacrifice à Mouna, actuel lieu d’immolation des moutons de la Tabaski à la Mecque, Dieu lui envoya un bélier bien cornu par le biais de l’ange Jibril qu’il égorgea à la place d’Ismaël. C’est pour se rappeler donc ce geste de foi très significatif du prophète Ibrahim et de sa famille que les musulmans du monde entier perpétuent aujourd’hui la tradition. La Tabaski est la plus grande fête des musulmans béninois. Chaque responsable de famille musulmane doit immoler une ou plusieurs bêtes pour célébrer le sacrifice d’Ibrahim ». Demain vendredi, jour de cette célébration, précise l’imam d’Abomey, cette tradition sera bel et bien respectée, même dans un contexte de crise sanitaire due au coronavirus ayant entrainé aussi une morosité économique. Ainsi, il se note une absence d’effervescence autour des marchés de moutons qui grouillaient de monde de par le passé. Même dans les marchés habituels, la clientèle est rare. Les étalages des marchés attendent désespérément la clientèle pour les préparatifs de la fête du mouton. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/celebration-de-la-tabaski-a-abomey-les-musulmans-feteront-en-respectant-les-gestes-barrieres/ -- o:id 4621 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4621 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Ratification de la Charte amendée de l'Oci : un instrument juridique aux multiples bénéfices dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1500 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/763 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-08-12 dcterms:identifier iwac-article-0002390 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A la faveur d’une conférence de presse animée, ce mercredi 12 août, à Cotonou, le député du parti Bloc républicain, Ibourahima Ousmane et ses pairs de l’Union islamique du Bénin (Uib) ont approuvé la ratification, par le Bénin, de la Charte amendée de l’Organisation de la coopération islamique (Oci). A cette occasion, le conférencier a présenté le contenu de la Charte et l’intérêt pour le Bénin de ratifier un tel document. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A la faveur d’une conférence de presse animée, ce mercredi 12 août, à Cotonou, le député du parti Bloc républicain, Ibourahima Ousmane et ses pairs de l’Union islamique du Bénin (Uib) ont approuvé la ratification, par le Bénin, de la Charte amendée de l’Organisation de la coopération islamique (Oci). A cette occasion, le conférencier a présenté le contenu de la Charte et l’intérêt pour le Bénin de ratifier un tel document. Selon Ibrahim Ousmane, cette Charte adoptée en 1972 à Djedda puis amendée en 2008 à Dakar, repose sur des objectifs et des principes clairs. L’outil promeut, entre autres, la bonne gouvernance, les droits de l’homme, les libertés fondamentales, la démocratie et l’Etat de droit, la protection de l’environnement. Pour le député du parti Bloc républicain, l’autorisation de ratification de cette charte, adoptée par l’Assemblée nationale, montre à quel point le gouvernement du président Patrice Talon est respectueux des droits de l’homme et réaffirme à la communauté internationale et à ses citoyens, son attachement à la défense des droits fondamentaux et à la lutte contre la pauvreté. La ratification de ladite Charte présente aussi des intérêts économiques pour le pays, souligne Ibourahima Ousmane. Le document permettra, en effet, au Bénin d’accéder à divers mécanismes de financements contenus dans les accords spécifiques et surtout d’être éligible aux programmes de développement qu’offrent les banques et autres institutions de financement du monde arabe. En outre, Ibourahima Ousmane a présenté les avantages que la Charte amendée de l’Oci offre à la communauté islamique du Bénin. Pour finir, il a salué la clairvoyance du gouvernement Talon qui a introduit le document à l’Assemblée nationale puis, les nombreuses réalisations du chef de l’Etat à travers tout le Bénin. Tout cela témoigne que « l’amour du chef de l’Etat pour les filles et fils de notre pays est sans égard… », a-t-il soutenu. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/ratification-de-la-charte-amendee-de-loci-un-instrument-juridique-aux-multiples-benefices/ -- o:id 4622 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4622 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Œuvres sociales et humanitaires : l'Ong Humanity First International fête ses 25 ans d'existence dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1500 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13900 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-09-18 dcterms:identifier iwac-article-0002391 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’association Humanity First International est la structure à travers laquelle la Jama’at islamique Ahmadiyya réalise ses œuvres sociales et humanitaires dans le monde. Cette année, elle célèbre ses 25 ans d’actions au profit des couches défavorisées. Mais son installation, au Bénin, remonte à 2003. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/296 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’association Humanity First International est la structure à travers laquelle la Jama’at islamique Ahmadiyya réalise ses œuvres sociales et humanitaires dans le monde. Cette année, elle célèbre ses 25 ans d’actions au profit des couches défavorisées. Mais son installation, au Bénin, remonte à 2003. Créée en 1995 sous l’égide du 4e Calife de la communauté Ahmadiyya, Hazrat Mirza Tahir Ahmad, Humanity First International commémore 25 ans d’existence cette année. Depuis un quart de siècle, elle est l’organisation auxiliaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya. C’est à travers elle que la communauté Ahmadiyya réalise ses œuvres sociales et humanitaires dans le monde. Au Bénin, cette association existe depuis 2003. Elle est très active dans le domaine social et humanitaire. Entre autres, elle organise chaque année des camps médicaux. Des opérations de la cataracte sont organisées dans les hôpitaux de Cocotomey, Porto-Novo et Parakou par la clinique mobile « Eye Clinic » qui parcourt tout le territoire national. Des opérations de hernie et des tumeurs du bas-ventre sont aussi effectuées dans les hôpitaux de Cocotomey, Porto-Novo et Parakou. La construction d‘un module de trois classes au profit de l’École primaire publique de Dodji à Porto-Novo en 2009 et une assistance à plus de cinq mille personnes pendant cette période de Covid-19, font également partie des actions que mène l’Ong Humanity First International, au Bénin, depuis 2003. En dehors de ses activités périodiques dans le pays, l’Ong gère des projets permanents dont un orphelinat abritant trente enfants âgés de deux semaines à quatorze ans avec une prise en charge scolaire. Cet orphelinat est aussi doté d’une école maternelle. Toujours au nombre des projets permanents, il y a l’offre de soins médicaux à prix réduits aux populations dans le grand hôpital construit à Cocotomey. Mais ce n’est pas tout. Un centre qui offre des consultations et des verres optiques à des prix abordables aux populations, un centre informatique qui offre aux jeunes apprenants trois mois d’initiation à l’informatique à un prix modique, la réhabilitation de pompes hydrauliques publiques et de forages, un don annuel de vivres aux populations démunies, depuis dix ans sont aussi à l’actif de cette ong. Sans oublier les dons de moutons pendant la fête de la Tabaski. Une œuvre qui a permis, cette année, à environ quarante-cinq mille personnes de bénéficier de viande au cours de la fête de l’Aïd el-Kébir. Rappelons que l’Ong Humanity First International s’investit à travers le monde, entre autres, dans des secteurs tels que les soins communautaires, la sécurité alimentaire, la fourniture de repas en période de Covid-19, le soutien scolaire, la formation professionnelle, les soins médicaux dans ses hôpitaux et cliniques, l’organisation de camps médicaux, des opérations chirurgicales de la cataracte, la réalisation des forages, l’assistance aux orphelins, les secours humanitaires après les catastrophes naturelles. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/oeuvres-sociales-et-humanitaires-long-humanity-first-international-fete-ses-25-ans-dexistence/ -- o:id 4623 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4623 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Weworld/Promotion de l'éducation : le projet Apprendre II clôturé avec des acquis élogieux dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13870 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14343 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2020-12-31 dcterms:identifier iwac-article-0002392 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le projet Agir pour la promotion d’une école nouvelle pour les droits et la réussite des enfants (Apprendre) phase II financé par l’Ong internationale Weworld est arrivé à terme. Les acquis des trois années d’activités ont été présentés, ce mercredi 30 décembre, aux parties prenantes, toutes fières des résultats atteints et des impacts positifs du projet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15321 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/384 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le projet Agir pour la promotion d’une école nouvelle pour les droits et la réussite des enfants (Apprendre) phase II financé par l’Ong internationale Weworld est arrivé à terme. Les acquis des trois années d’activités ont été présentés, ce mercredi 30 décembre, aux parties prenantes, toutes fières des résultats atteints et des impacts positifs du projet. 1er octobre 2017-30 décembre 2020. Le projet Agir pour la promotion d’une école nouvelle pour les droits et la réussite des enfants (Apprendre) phase II ferme ses 39 mois d’activités. L’heure était au bilan ce mercredi, dernier jour de vie du projet. L’Ong internationale Weworld qui finance le projet a mobilisé toutes les parties prenantes pour passer en revue le chemin parcouru et les perspectives. Occasion pour le chef projet Olympe Dossa de rappeler l’objectif général du projet à savoir contribuer à garantir l’accès aux droits fondamentaux des enfants de 10 villages des communes d’Akpro-Missérété et Avrankou dans l’Ouémé et Ifangni, Sakété, Kétou, Pobé et Adja-Ouèrè dans le Plateau. Le projet vise spécifiquement à renforcer les mécanismes scolaires et communautaires de promotion des droits des enfants dans les deux départements cibles. Les réalisations du projet ont pris en compte trois volets à savoir Education, Protection de l’enfance et Santé Nutrition. Dans le secteur de l’Education, le projet a permis de construire ou de réfectionner des modules de classes et de latrines au profit des écoles maternelles notamment à Pobé et à Avrankou, de doter des écoles en petites tables et chaises ainsi qu’en matériels pédagogiques et ludiques. Le projet a eu également à son actif plusieurs autres acquis, notamment la mise en place de cours de rattrapage pour 195 enfants de Cm2 chaque année, le renforcement des capacités de 155 membres de l’Association des parents d’élèves (Ape) dans la gestion des écoles et le suivi des enfants. En matière de Protection de l’enfance, Olympe Dossa évoque entre autres la réalisation de 60 campagnes de sensibilisation communautaire aux droits des enfants à la santé sexuelle et reproductive ; le renforcement des capacités de 215 enseignants sur la prévention des violations des droits des enfants ; la création de fonds au profit de 80 ménages en difficulté ; le retrait et la distribution de 1 015 actes de naissance aux enfants dépourvus de jugements dans les 10 écoles cibles. Revenant au volet Santé Nutrition, le projet a permis de réaliser un état des lieux sur la situation nutritionnelle des écoliers dans les écoles d’intervention, la distribution de 10 770 kg de farines enrichies au profit de 700 enfants en moyenne dans les écoles maternelles, la création de six jardins scolaires suivie de formation des comités de gestion et des femmes des groupements sur les techniques de mise en jardins et la réalisation de campagnes de déparasitage et de suivi de la croissance des enfants. Vivement Apprendre III ! Le projet a par ailleurs réalisé des spots radio de sensibilisation sur la scolarisation et sur les thématiques de lutte contre le trafic des enfants, la maltraitance des enfants, les violences faites aux femmes, le mariage précoce. Il a aussi distribué plus de 5 000 cache-nez réutilisables aux apprenants des écoles cibles dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid-19. Weworld a été appuyé dans la mise en œuvre de ces trois volets par des Ong partenaires, en l’occurrence Fadec, Autre Vie et Played. Le représentant Pays de Weworld, Charline Corbier, se réjouit du bilan des réalisations présenté. Ce qui témoigne, à l’en croire, de toute la pertinence du projet. Elle a été davantage sidérée de constater que le projet a permis de booster le taux de réussite au Certificat d’études primaires (Cep) dans les 10 écoles cibles qui est passé de 70 % à 83,6 % sur les trois années. Mieux, le taux d’abandon scolaire a drastiquement chuté, passant de 15 % avant le début du projet à 8,36 % à la fin d’année scolaire 2019. « Les résultats préliminaires du projet sont encourageants et nous invitent d’autant plus à défendre cette approche et cette vision, pour le renouveler, voire l’étendre à des zones non ciblées jusqu’ici », promet la représentante Pays. Le représentant du directeur départemental des Enseigne-ments maternel et primaire de l’Ouémé, Ambroise Dangbénon, souhaite vivement l’avènement de cette phase III du projet et son extension aux écoles non couvertes. Car, selon lui, c’est un projet complet qui sème le développement à la base et la promotion de l’éducation. Un constat que partagent les autres acteurs du projet, notamment les groupements de femmes et les écoliers bénéficiaires, qui réclament tous le renouvellement de l’initiative. fabio:hasURL https://lanation.bj/weworld-promotion-de-leducation-le-projet-apprendre-ii-cloture-avec-des-acquis-elogieux/ -- o:id 4624 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4624 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Présidentielle du 11 avril prochain : des religieux appellent au dialogue source de paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1500 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/812 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/210 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14921 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13289 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2046 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-02-24 dcterms:identifier iwac-article-0002393 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’Observatoire chrétien catholique de la gouvernance (Occg) et plusieurs confessions religieuses apportent leur pierre à la décrispation de la situation politique actuelle et au bon déroulement du processus électoral en cours. Face à la presse, ce mardi 23 février, à Cotonou, ils ont appelé les uns et les autres au dialogue et à la fraternité pour « un scrutin présidentiel inclusif, transparent et apaisé et un bon déroulement du processus électoral ». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’Observatoire chrétien catholique de la gouvernance (Occg) et plusieurs confessions religieuses apportent leur pierre à la décrispation de la situation politique actuelle et au bon déroulement du processus électoral en cours. Face à la presse, ce mardi 23 février, à Cotonou, ils ont appelé les uns et les autres au dialogue et à la fraternité pour « un scrutin présidentiel inclusif, transparent et apaisé et un bon déroulement du processus électoral ». La situation politique délétère que traverse le Bénin durant cette période sensible, préoccupe des prêtres et pasteurs de confessions religieuses et de cultes endogènes. Soucieux de la préservation de la paix, de la cohésion nationale et des acquis démocratiques, ces hommes de Dieu et adeptes de cultes traditionnels, sous la conduite de l’Observatoire chrétien catholique de la gouvernance (Occg), apportent leur contribution pour « un scrutin présidentiel inclusif, transparent et apaisé et un bon déroulement du processus électoral ». C’est à travers un message adressé au peuple béninois et aux acteurs politiques tous bords confondus. « Le message vise à nous rassembler pour répondre d’un cœur unanime au défi du rapport de complémentarité à maintenir entre religion et pouvoir politique», a fait savoir père Nathanaël Soédé, président de l’Occg, lors de la conférence de presse animée hier mardi à Cotonou. Appuyé par Roufaï Mani, chargé du dialogue interreligieux à l’Union islamique du Bénin (Uib), le père Nathanaël Soédé a montré en six points, le fondement et la contribution des confessions religieuses à la construction nationale autour des valeurs de défense de la sacralité de la vie humaine à préverser contre toute violence, notamment durant la période électorale. Ainsi, dans leur adresse, les conférenciers évoquent comment les ancêtres sont garants de l’ordre politique, comment le Bénin sait utiliser au mieux les ressources humano-divines de la religion et du pouvoir, quels que soient les problèmes, les réussites et les échecs de son acheminement vers un ordre politique et de développement pour ses filles et fils. Ils évoquent également la contribution constante des religions à la vie politique et à la paix au Bénin en se référant, à titre illustratif, aux recommandations de l’Assemblée plénière de la Conférence épiscopale du Bénin (Ceb) et la déclaration du Cadre de concertation des confessions religieuses (Cccr) du Bénin, du 30 janvier dernier. En outre, les conférenciers édifient l’opinion publique sur le sens de la fraternité qui se trouve au fondement de la vie politique, disent non à des pratiques de haine et de violence. « Il est temps qu’en dépit des difficultés et des torts subis, nous osions faire chacun un pas, un petit pas vers l’échange, le dialogue, même informel entre frères et acteurs politiques de tous bords. Alors, s’ouvrira large la voie vers le dialogue, la fraternité au quotidien », indique père Nathanaël Soédé. Pour clore son message, il invite tout le peuple béninois à des séances de prières et de jeûne nationales du 26 février au 26 mars prochain afin que la paix, la cohésion nationale et les acquis démocratiques soient préservés avant, pendant et après le scrutin présidentiel. Au terme de l’adresse du conférencier principal, les représentants des confessions religieuses présents à la rencontre, ont, chacun, exhorté le peuple béninois et tous les acteurs impliqués dans le processus électoral à la culture de la paix. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20210411104754/https://lanationbenin.info/presidentielle-du-11-avril-prochaindes-religieux-appellent-au-dialogue-source-de-paix/ -- o:id 4625 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4625 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Sensibilisation des communautés à la paix : la Fondation Zul-Kifl Salami missionne les prédicateurs dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1508 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/210 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14401 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/58 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13182 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-03-10 dcterms:identifier iwac-article-0002394 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La culture de la paix, de la tolérance et de la solidarité pour un monde meilleur et en l’occurrence pour un Bénin uni et prospère est l’une des préoccupations de la Fondation Zul-Kifl Salami. Au regard du climat socio-politique actuel et dans la droite ligne de la vision de sa fondation, Zul-Kifl Salami a rencontré hier, mardi 9 mars les guides religieux, prédicateurs et imams pour les exhorter à être des ambassadeurs de la paix et de la bonne conduite. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La culture de la paix, de la tolérance et de la solidarité pour un monde meilleur et en l’occurrence pour un Bénin uni et prospère est l’une des préoccupations de la Fondation Zul-Kifl Salami. Au regard du climat socio-politique actuel et dans la droite ligne de la vision de sa fondation, Zul-Kifl Salami a rencontré hier, mardi 9 mars les guides religieux, prédicateurs et imams pour les exhorter à être des ambassadeurs de la paix et de la bonne conduite. « La paix est le prérequis du développement. La paix se situe en amont de tout processus de développement. Nous avons besoin de la paix et d’une paix durable pour que le pays avance ». C’est essentiellement le sujet au cœur de la première rencontre initiée au titre de l’année 2021 par la Fondation Zul-Kifl avec les imams et prédicateurs venus du département de l’Atlantique. Lors de cette séance, les interlocuteurs ont échangé sur le message de paix de l’Islam, discuté des comportements sociaux que prescrit la religion du prophète Mahomet et mis en exergue l’intrinsèque corrélation entre la paix et le développement. Toutes choses dont l’objectif est de préserver une paix durable et d’accompagner les pouvoirs publics à poursuivre l’œuvre de construction du Bénin. Pour Zul-Kifl Salami, le rôle des leaders et guides religieux dans la promotion de la paix est crucial. « Vous êtes des timoniers, des guides dans vos communautés et donc des vecteurs de paix. Il faudrait que vous prêchiez le bon comportement. Et le meilleur enseignement, c’est l’exemple. Soyez des exemples pour vos fidèles afin qu’ils s’inspirent de vous », leur a-t-il conseillé. Zul-Kifl Salami insiste sur le fait que c’est le climat de paix caractérisant le Bénin qui rassure les investisseurs et permet aux pouvoirs publics de trouver les financements nécessaires pour réaliser des infrastructures impressionnantes. C’est pourquoi, il a invité les prédicateurs à œuvrer davantage pour la préservation de la paix au sein de leurs communautés respectives. Ceux-ci n’en sont pas moins convaincus. « Nous prenons l’engagement que tous les imams ici présents feront de leur mieux pour préserver la paix à travers leurs prêches et leurs comportements », va rassurer l’un des membres de la délégation, au nom de ses pairs. La paix au cœur de l’Islam et de la Fondation Zul-Kifl Salami « L’Islam a pour racine le mot salam et salam désigne la paix. L’Islam est donc le vécu quotidien de la paix. L’Islam bien compris et bien appliqué ne peut apporter que la paix », a rappelé Zul-Kifl Salami à ses interlocuteurs. Il va ensuite s’appuyer sur les prières musulmanes pour démontrer combien l’Islam tient à la paix et prie quotidiennement pour la paix. Il a exhorté les imams à faire en sorte que les fidèles musulmans vivent effectivement les prières qu’ils prononcent. A l’occasion de la rencontre avec les imams et prédicateurs, Zul-Kifl Salami a également présenté aux participants les principales missions et quelques actions fortes de sa fondation. Créée il y a plus d’une dizaine d’années, la Fondation Zul -Kifl Salami pour la solidarité régionale entend soutenir les populations pour qu’elles aient une vie meilleure, prêcher en faveur de la paix et de la cohésion et amener les communautés à réaliser que la paix est le préalable du développement. C’est donc une fondation essentiellement dédiée à la paix et à la solidarité. Entre autres actions de la fondation: la distribution des taureaux sur l’étendue du territoire à l’occasion de la fête de la Tabaski, le soutien aux communautés lors du Ramadan pour aider les fidèles à bien faire le carême, la distribution de cadeaux aux enfants à l’occasion de la fête de Noël. Par ailleurs, la fondation vient au secours des nécessiteux qui la sollicitent. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/sensibilisation-des-communautes-a-la-paix-la-fondation-zul-kifl-salami-missionne-les-predicateurs/ -- o:id 4626 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4626 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Ambiance électorale : le Facica ratisse large dans l'Atlantique dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1507 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2021 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/210 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13570 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2033 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-04-05 dcterms:identifier iwac-article-0002395 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La fête de Pâques n’a pas empêché les caravaniers de drainer la foule dans le cadre de la campagne électorale en cours dans le pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12847 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La fête de Pâques n’a pas empêché les caravaniers de drainer la foule dans le cadre de la campagne électorale en cours dans le pays. La campagne électorale se poursuit dans le département de l’Atlantique. Dimanche 4 avril 2021, jour de la fête de Pâques, le Fan club de l’Imam Chakirou Amoussou (Facica) parcourt les communes du département de l’Atlantique pour ratisser large au profit du duo Talon-Talata. La caravane en direction des communes de Zè, So-Ava, a marqué une pause à Calavi centre avant de poursuivre son périple vers Godomey où un géant meeting est prévu. L’objectif, précise l’Imam Chakirou Amoussou, initiateur de la caravane est de ratisser large pour le duo Talon-Talata, pour qu’au soir du scrutin ledit duo soit crédité d’un taux de 95 %. “Cette campagne ce jour de fête organisée par le Facica vise à ratisser large pour notre duo. Nous informons la population de sortir massivement pour aller voter notre candidat”, a-t-il indiqué. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/ambiance-electorale-le-facica-ratisse-large-dans-latlantique/ -- o:id 4627 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4627 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Consolidation de la paix durant le processus électoral : prédicateurs et imams en mission dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1500 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/210 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14401 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/58 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-04-06 dcterms:identifier iwac-article-0002396 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Des prédicateurs et imams du Bénin faits ambassadeurs pour la consolidation de la paix et la cohésion nationale au sein de leurs communautés respectives en vue d’un processus électoral apaisé. L’acte émane de la Fondation Zul-Kifl Salami pour la solidarité. Ils ont été officiellement envoyés en mission, samedi 3 avril dernier, au terme d’une rencontre de sensibilisation initiée par Dr Zul-Kifl Salami, au siège de la Fondation, à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Des prédicateurs et imams du Bénin faits ambassadeurs pour la consolidation de la paix et la cohésion nationale au sein de leurs communautés respectives en vue d’un processus électoral apaisé. L’acte émane de la Fondation Zul-Kifl Salami pour la solidarité. Ils ont été officiellement envoyés en mission, samedi 3 avril dernier, au terme d’une rencontre de sensibilisation initiée par Dr Zul-Kifl Salami, au siège de la Fondation, à Cotonou. Ils sont des ambassadeurs de la Fondation Zul-Kifl Salami pour la consolidation de la paix et la cohésion nationale au sein des communautés à la base en vue d’un processus électoral. Eux, ce sont es des prédicateurs et imams du Bénin. Venus de plusieurs communes, ils ont été sensibilisés par l’ex-ministre d’Etat, Zul-kifl Salami, président de la Fondation, à la nécessité de maintenir le climat de paix et de cohésion nationale avant, pendant et après le processus électoral en cours. Cette rencontre s’inscrit dans « le cadre des échanges que nous avons engagés sur tout le territoire national, principalement avec les prédicateurs dans cette période très sensible que nous traversons, qui appelle à la concorde nationale, au concours de tous, pour que nous puissions continuer de vivre dans la cohésion et dans la paix (…) », a déclaré Dr Zul-Kifl Salami face à ses hôtes du jour. Cette sensibilisation, dit-il, vise essentiellement à contribuer au renforcement de la cohésion sociale, à l’harmonie au sein de toutes les communautés de la nation. Le président de la Fondation Zul-Kifl Salami va ajouter que cette action qui a également été engagée avec d’autres communautés sur l’ensemble du territoire, se poursuivra jusqu’à la fin du processus électoral. Avec ses hôtes, il a mis un accent particulier sur plusieurs valeurs de l’islam sur lesquelles prédicateurs et imams vont s’appuyer pour leur mission. Zul-Kifl Salami a évoqué, entre autres, le sens de la paix, selon l’islam, et le sens de la patience et de la tolérance. Prédicateurs et imams sont repartis chez eux avec des corans offerts par la Fondation à travers son président Dr Zul-Kifl Salami. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/consolidation-de-la-paix-durant-le-processus-electoral-predicateurs-et-imams-en-mission/ -- o:id 4628 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4628 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Crise sanitaire mondiale : comment les religions abordent la Covid-19 au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14758 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-04-27 dcterms:identifier iwac-article-0002397 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au Bénin, la Covid-19 passe pour un défi quotidien dans le rang des confessions religieuses. Tout en rivalisant d’ingéniosité, elles placent leur foi en Dieu pour conjurer ce sort qui éprouve le monde en perte de repère. Elles retiennent toutefois de l’avènement de ce virus, un message divin à l’humanité dont la crainte de Dieu laisse encore des questionnements. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14530 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13803 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au Bénin, la Covid-19 passe pour un défi quotidien dans le rang des confessions religieuses. Tout en rivalisant d’ingéniosité, elles placent leur foi en Dieu pour conjurer ce sort qui éprouve le monde en perte de repère. Elles retiennent toutefois de l’avènement de ce virus, un message divin à l’humanité dont la crainte de Dieu laisse encore des questionnements. Samedi 27 février à l’Eglise catholique St Martin d’Akpakpa. Une messe de noces venait de s’achever. Autour des mariés, la foule que regorgent habituellement ces genres de cérémonies. Apparemment remplis de joie, les invités semblent momentanément se passer des mesures barrières. Mais cette effervescence fera long feu. Des vigiles sont commis pour rappeler systématiquement les gestes utiles contre la Covid-19. Loin de banaliser la pandémie, le Bénin l’intègre peu à peu dans son vécu, quoique la peur du mal demeure évidente. Alors que le déconfinement total tarde à être effectif dans le monde entier, les religions essayent de s’accommoder de la crise. En leur sein, le mal est interprété comme un appel divin aux errements du monde. « Tout mal est une interpellation divine. Nous sommes déconnectés de Dieu et il faut se recentrer sur lui qui nous apporte la guérison. Si le Seigneur ne veille sur la maison, en vain veilleront les gardiens. Cette maladie a permis à l’Eglise d’utiliser les moyens actuels de communication pour aller à la rencontre des gens tout en espérant que ces nouveaux choix ne suppriment pas la rencontre de l’Homme », admet Hubert Kèdowidé, directeur diocésain de la communication de l’Eglise catholique. Cette confession religieuse établit des liens bibliques historiques pour expliquer la survenue de cette crise. « Dans l’ancien testament, toute forme de pandémie était considérée comme une sentence, la punition divine d’un péché qu’on a commis qui vient comme pour ravager l’humanité. La promesse du Seigneur faite à Moïse pour se libérer des égyptiens, s’est traduite par les sept plaies », raconte-t-il. Pour corroborer sa thèse, il évoque la lèpre comme l’un des premiers signaux divins pour relever le monde en perdition : « Jésus-Christ va se définir d’abord comme celui qui est envoyé vers les malades, surtout la lèpre considérée en ce moment-là comme un péché grave et mortel et qui avait comme conséquence la séparation de l’individu de ses semblables ». Les musulmans ne réfutent pas ce point de vue. La croyance en Allah les aide à mieux surmonter les épisodes sombres de la Covid-19. « La communauté musulmane perçoit le mal comme une épreuve provenant de Dieu. Nous la vivons avec beaucoup de foi. Aucune maladie ne peut arriver si ce n’est le plan divin», se convainc Abdoul-Djalilou Touré, imam de la mosquée ‘’Cité tranquille d’Abomey-Calavi’’. Deux angles d’appréciation L’Eglise catholique analyse la maladie à coronavirus sous deux angles. Le premier est un regard évangélique interpellatif. « Cette pandémie rappelle à l’humanité, ses limites et la renvoie à une prise de conscience collective. L’homme qui, par le développement, se sent insurpassable, le-voilà mis à genoux et interpellé. Nous sommes rappelés à regarder à nouveau le créateur et à nous situer comme créateur et humbles dans nos succès, dans nos exploits, dans notre manière d’être », analyse-t-il. Le second, est un regard de confiance. « Quelles que soient nos précautions, étant donné que le mal nous a montré nos limites, nous ne pouvons plus continuer à compter uniquement sur nos forces. Nous sommes invités à renouveler notre confiance envers celui qui reste pour toujours accessible à nous tout en étant inaccessible de par sa nature », recommande-t-il. La philosophie des autres obédiences religieuses ne s’écarte pas trop de celle des hommes en soutane. Pour elles, la Covid-19 sert de canal pour redresser l’Homme : « A travers cette pandémie, Dieu nous exhorte à une prise de conscience divine dans le but d’être plus humain. Avec la course à la technologie, au matériel, le monde commence par perdre le sens de l’humain et du divin. Nous sommes en train de briser certaines lois de la nature. Dieu nous appelle à corriger notre manière de vivre», souligne Clément Tanasso, pasteur de l’Eglise ‘’la Porte’’ d’Abomey-Calavi. Les communautés évangéliques ne traversent pas la présente crise avec plus de facilité. « La pandémie a complétement changé notre manière de vivre. Le nombre de personne admis pour les cultes a été modifié. Nous faisons des cultes intermédiaires pour combler ces fossés dans le respect des mesures barrières », explique-t-il. Certains chrétiens retracent les origines de cette maladie dans les Saintes Ecritures, en y référant des versets bibliques relatifs aux gestes barrières. Hubert Kèdowidé nuance ces allégations: « La Bible n’a pas prédit la Covid-19. Face à des situations pandémiques à l’époque des prophètes, notamment dans le livre des Lévitiques et des Nombres, la nature s’est déjà confrontée à des maladies graves. Nous pensons peut-être innover des mesures qui en réalité, existaient depuis toujours ». Si la Bible demeure le réservoir dans lequel les chrétiens puisent pour trouver des solutions à cette pandémie, les religions endogènes, se sont inculquées une discipline de groupe depuis des années. Le coronavirus n’a pas eu d’impact sur elles. « Chez nous, les ‘’Throns’’, habituellement, nous lavons toujours nos mains avant d’aller au temple. Aucun fidèle ne peut se prosterner devant les divinités sans respecter cette mesure. Ces gestes faisaient partie de nos habitudes avant la Covid-19», explique Olga Vigouroux, alias Dah Yovo, prêtresse de la divinité Thron Kpéto Déka Alafia. Ici, les divinités ont été accessibles durant la période du cordon sanitaire décrété par le gouvernement en mai 2020 pour freiner la propagation du virus. « On ne ferme pas le temple des divinités. Nous y allions toujours pour prier », assure-t-elle. Seule disposition pratique prise au niveau de cette religion, le respect de la distanciation sociale. La prévention, la meilleure arme De leur côté, les musulmans savent que la prévention est la meilleure arme pour se préserver de toutes souillures, impuretés ou virus. Le lavage des mains est une recommandation divine ancrée dans leurs habitudes. « Les prescriptions musulmanes recommandent l’ablution (lavage des mains, des parties des membres inférieurs et supérieurs et le visage) avant toute prière », explique Abdoul-Djalilou Touré, imam de la mosquée ‘’Cité d’Abomey-Calavi’’. L’Eglise catholique a mis en place un comité de veille dès le début de la crise sous l’égide de l’archevêque de Cotonou en vue de suivre de près l’organisation dans le cadre du respect des mesures barrières. Ledit comité est toujours à pied d’œuvre. « Environ 70% des paroisses ont mis en place un dispositif de rappel sous forme audio qui est répété avant le démarrage des messes en dehors de ce qui se fait dans les annonces en vue de maintenir la sensibilisation », assure Hubert Kèdowidé. Mieux, une série de modifications a été opérée au niveau de la liturgie (la manière de prier et de célébrer) grâce au concours de la commission liturgique de Rome qui donne des indications à suivre aux chrétiens catholiques. Illustration : la célébration du baptême qui impliquait autrefois l’imposition des mains et la signature avec l’huile sainte n’est plus de mise. Le coton tige remplace les doigts dans le cadre de cet exercice. Cette même formule a été adoptée au mercredi des cendres, où les prêtres font tomber la cendre sur la tête des fidèles sans aposer la signature. Idem pour le signe de paix, désormais écarté des rituels chez les catholiques. « C’est un acte religieux que de respecter les gestes barrières tout en vivant pleinement sa foi. Le Covid-19 nous fait gagner en maturité spirituelle », déduit Hubert Kèdowidé. Ces règles seront inchangées durant la semaine sainte. « Il n’y aura pas de procession le dimanche des rameaux. Nous allons également supprimer le dernier chemin de croix dans la rue », informe-t-il. Les communautés évangéliques font preuve d’imagination pour mieux affronter la situation. « Nous sommes obligés de nous adapter à cette pandémie. Nous réfléchissons déjà à la manière d’aborder plusieurs cultes afin de maintenir nos fidèles », projette Clément Tanasso, pasteur de la communauté chrétienne la ‘’Porte’’. Des précautions certes, mais elles ne suffisent pas pour contrer la Covid-19. Les chrétiens placent Dieu au centre de la dynamique de la recherche de solutions à l’arrêt définitif de la pandémie. « L’Eglise sait que les évènements de la vie passée ont déjà participé à beaucoup de modifications structurelles sans que la foi ne soit modifiée. Elle reste ouverte à tous les appels divins, à tout ce que le Seigneur veut révéler au monde à travers cette crise et est à l’écoute de l’Esprit Saint pour des modifications au besoin dans sa manière de transmettre la foi », assure Hubert Kèdowidé. Même si chaque confession religieuse essaye de s’adapter à la crise, l’horizon demeure encore un peu flou, aucun remède définitif n’étant encore effectif contre le virus. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/crise-sanitaire-mondiale-comment-les-religions-abordent-la-covid-19-au-benin/ -- o:id 4629 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4629 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Insécurité : le Nord-Bénin, nouvelle zone de repli des terroristes ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1520 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/755 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/669 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/580 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15107 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13216 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-04-29 dcterms:identifier iwac-article-0002398 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pressés par les forces armées des pays voisins touchés par le terrorisme, il semble que les groupes terroristes qui sévissent dans la sous-région manœuvrent à faire du nord du Bénin une zone de transit, voire de repli stratégique. C’est du moins l’analyse qui découle de certains faits notés jusque-là. D’autres pistes liées à des individus armés non identifiés récemment appréhendés ou aperçus ne sont pas écartées. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13726 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13369 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pressés par les forces armées des pays voisins touchés par le terrorisme, il semble que les groupes terroristes qui sévissent dans la sous-région manœuvrent à faire du nord du Bénin une zone de transit, voire de repli stratégique. C’est du moins l’analyse qui découle de certains faits notés jusque-là. D’autres pistes liées à des individus armés non identifiés récemment appréhendés ou aperçus ne sont pas écartées. Au gré de l’évolution de certains faits, majeurs aux yeux des services de sécurité, il y a lieu de croire qu’une partie du territoire septentrional du Bénin, a tout d’être actuellement une zone d’opération de terroristes d’obédience islamiste. Un dernier cas recoupé, récemment, remonte dans la nuit du 3 avril où des individus armés non identifiés ont été aperçus par les populations à Tanguiéta en direction de Porga sur la route Inter-Etats, via la route menant à Cobly et débouchant sur la frontière du Togo. Selon les sources, notamment les vendeurs d’essence de contrebande près de qui ils se sont approvisionnés, ces individus détiendraient des armes dont des armes de guerre notamment l’AKM encore appelée Kalachnikov, et s’exprimeraient en fulfude (peulh) et en français. Des sources proches des services de sécurité nationale confient que « Plusieurs signalements font état du passage d’hommes en armes, à moto, aperçus par les populations qui portent malheureusement trop tard l’information aux forces de défense et de sécurité». Il est fait état de membres de « l’Etat Islamique dans le Grand Sahara (EIGS) », de la « katiba Macina», de « la cellule terroriste de Torodi au Niger, installée en septembre 2019 en même temps que les cellules de Nassougou et Diabiga au Burkina Faso sous l’égide du Groupe de Soutien à l’Islam et aux Musulmans », de « cellules terroristes du Groupe de Soutien à l’Islam et aux Musulmans (GSIM) implantées à Torodi au Niger, au Burkina Faso et au Mali ». Du moins, la collaboration technique entreprise par les services béninois avec la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) de la France a permis d’identifier plusieurs contacts conduisant à ces pistes terroristes, à partir des données saisies dont des téléphones qui conduisent aux forces terroristes de la sous-région. Menace terroriste Ce qui laisse croire que la menace d’une incursion de combattants terroristes en terres béninoises n’est plus discursive. D’autant plus qu’un groupe de terroristes a été mis en déroute et l’un d’eux, un certain Alou Lookmane, a été interpellé le 25 mars dernier aux confins du parc Pendjari. Détenu, ce dernier, blessé, suite aux échanges de tirs avec les rangers le jeudi 25 mars 2021 à hauteur du village Séri (dont les limites s’étendent jusque vers le Parc Pendjari), et dont le pronostic vital est engagé, reste sous soins dans un centre de référence national. Les enquêtes se poursuivent et ne tarderont pas à édifier bientôt sur les tenants et aboutissants de ses agissements de nature terroriste. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/insecurite-le-nord-benin-nouvelle-zone-de-repli-des-terroristes/ -- o:id 4630 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4630 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Les fidèles invités au respect : des valeurs religieuses à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14974 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1964 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13008 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13573 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-05-14 dcterms:identifier iwac-article-0002399 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les membres de la communauté musulmane de Parakou ont, à l’instar de leurs homologues des autres localités du Bénin, célébré l’Aïd-el-Fitr, hier jeudi 13 mai. Sous la direction des imams, ils ont prié pour la quiétude et le développement du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les membres de la communauté musulmane de Parakou ont, à l’instar de leurs homologues des autres localités du Bénin, célébré l’Aïd-el-Fitr, hier jeudi 13 mai. Sous la direction des imams, ils ont prié pour la quiétude et le développement du Bénin. Le mois de jeûne, de privations, d’intenses prières et de pardon observé par les fidèles musulmans a pris fin, hier jeudi 13 mai, avec la célébration de l’Aïd el-Fitr. Comme toutes les autres localités du Bénin, Parakou n’est pas restée en marge de l’événement. En effet, vêtus de leurs plus beaux habits, les musulmans de Parakou ont pris d’assaut les différentes places Idi. C’est pour remercier et glorifier Allah, le Créateur, pour son immense bonté. Il leur a permis, par sa grâce, d’aller jusqu’au bout. Sur les places Idi devenues trop exiguës par rapport au nombre de fidèles sortis, la prière qui se veut subrogatoire a consisté à dire deux rakats et au sermon des imams. A la place Idi de l’ex-Carder, la prière a été dirigée par l’imam de la mosquée centrale de Parakou, Mohamed Youssouf Wakaya. Son collègue Issa Mohamed Awali de la mosquée de Yarakinnin était à la place Idi de Zongo où on pouvait remarquer la présence du préfet Djibril Mama Cissé et de l’ancien maire Soulé Allagbé parmi les fidèles. Dans leur ensemble, les imams ont exhorté les fidèles au respect des valeurs religieuses. Ils ont également appelé au maintien de la paix et au développement du pays, puis à la tolérance. « Le monde entier vit depuis plus d’un an dans un contexte sanitaire difficile marqué par la pandémie du coronavirus. Une pandémie qui, à tous points de vue, nous a donné la preuve manifeste de l’égalité de la race humaine devant Dieu », a confié le préfet Djibril Mama Cissé, qui a également évoqué la célébration de la fête de l’ascension chez les chrétiens. « Ce jour, jeudi 13 mai, les chrétiens et les musulmans du Bénin sont en communion avec Dieu, chacun selon sa foi. Qui, en célébrant l’Ascension; qui, l’Aïd el-Fitr. N’est-ce pas là un signal fort pour nous convaincre à suffisance de l’indispensable nécessité de notre vivre-ensemble dans la paix, la tolérance mutuelle et l’acceptation de l’autre ? Que les œuvres de Dieu sont insondables ! », a-t-il fait observer. Concernant les gestes barrières contre la Covid-19, certains fidèles se sont montrés réticents à leur égard. Et pourtant, c’est depuis la veille que le secrétaire général du Conseil des imams de Parakou, Seydou Assouma, avait donné l’assurance que la prière de cette célébration va se dérouler dans leur respect strict. « Nous veillerons au port de cache-nez et à l’utilisation de tapis individuels. Toutes les dispositions ont été prises. Des communiqués dans ce sens ont été largement portés à la connaissance des fidèles par les responsables et dignitaires religieux au niveau des mosquées, pour que tout se passe bien », avait-il insisté. Jour de fête, de convivialité et par surcroît de solidarité, l’Aïd-el-Fitr recommande aux fidèles qui en ont les moyens un sens élevé de partage. Après la prière à la place Idi, les festivités se sont poursuivies en famille. Il y avait, autour des mets proposés, des parents et les amis conviés. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/les-fideles-invites-au-respect-des-valeurs-religieuses-a-parakou/ -- o:id 4631 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4631 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration du Ramadan : les musulmans en communion avec l'appui de Matw à Natitingou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14707 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-05-14 dcterms:identifier iwac-article-0002400 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’occasion de l’Aïd-el-Fitr célébré ce 13 mai, Muslims around the world project (Matw), organisation de bienfaisance et d’assistance sociale basée en Australie, a soutenu les fidèles de la mosquée centrale de Kantaborifa à Natitingou. C’est en marge de la séance de prière tenue devant le Ceg 1. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14102 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/347 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13393 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’occasion de l’Aïd-el-Fitr célébré ce 13 mai, Muslims around the world project (Matw), organisation de bienfaisance et d’assistance sociale basée en Australie, a soutenu les fidèles de la mosquée centrale de Kantaborifa à Natitingou. C’est en marge de la séance de prière tenue devant le Ceg 1. C’est par la prière conduite par Bio Imorou Alidou Mouhamadou, imam central de Kantaborifa et une distribution de kits de riz à tous les participants (musulmans et non musulmans) que l’Aïd-el-fitr a été célébré ce jeudi 13 mai à Natitingou. Cela s’est déroulé sur la voie asphaltée passant devant la mosquée centrale Kantaborifa à Natitingou. Tôt ce matin du jour mémorable de célébration, les fidèles et même les non musulmans endimanchés ont convergé vers ladite place. Ils ont prié Allah et imploré sa miséricorde. Pour Bio Imorou Alidou Mouhamadou, imam, « C’est la première fois que l’Aïd-el-fitr est célébré ici. Matw a décidé de nous soutenir pour cette commémoration ». L’imam précise que pour la Tabaski, l’organisation promet de leur faire don de moutons. Ils viennent pour soutenir les pauvres musulmans sans oublier les non musulmans aussi, précise-t-il. Pendant tout le mois du jeûne musulman, Muslims around the world project a procédé également à la distribution de kits de vivres aux populations de Toucountouna, Kouandé et Birni pour les soutenir dans cette période de piété. Plus de 3 000 sacs de riz de cinq kg chacun ont été distribués. Un orphelinat à la sortie de Natitingou d’une capacité de 2000 orphelins musulmans et non musulmans de la ville est également en construction avec l’appui de l’organisation. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/celebration-du-ramadan-les-musulmans-en-communion-avec-lappui-de-matw-a-natitingou/ -- o:id 4632 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4632 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration du Ramadan : la communauté musulmane a prié pour la paix à Bohicon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12838 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1615 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-05-14 dcterms:identifier iwac-article-0002401 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après 30 jours de jeûne, la communauté musulmane de Bohicon a célébré, hier jeudi 13 mai, le Ramadan. Un instant de communion avec le miséricordieux qui a été aussi l’occasion pour les responsables religieux d’inviter les fidèles à l’exemplarité et de prier pour la paix au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après 30 jours de jeûne, la communauté musulmane de Bohicon a célébré, hier jeudi 13 mai, le Ramadan. Un instant de communion avec le miséricordieux qui a été aussi l’occasion pour les responsables religieux d’inviter les fidèles à l’exemplarité et de prier pour la paix au Bénin. Il est 10 h à la mosquée centrale Ahmaddiyya de Sodohomè à Bohicon. Quelques fidèles ont pris place dans l’enceinte de la mosquée autour de leur nouvel Imam-Missionnaire du Zou, Anwar-Ul Haq, pour la prière de ce grand jour pour tout musulman. Ce jour de Ramadan est plein de sens dans l’islam. En effet, le jeûne musulman est l’une des prescriptions du Coran. Le mois du jeûne est donc un mois saint pour tout bon musulman. Le Ramadan ou l’Aïd el-Fitr est une fête musulmane marquant la fin du mois de jeûne. Il est célébré le premier jour du mois lunaire. Loin de Sodohomè, sur la Place Idi de Bohicon, une immense foule attend l’Imam Idrissou Boukari qui descend de son véhicule à 10 h 15 précises. A peine installé, le chef religieux lance la prière en arabe. Le Ramadan vient après 30 jours de jeûne, il faut donc louer Allah pour cette grâce. A l’issue de la prière, l’imam face aux fidèles a prêché essentiellement le bon comportement du musulman, invitant chaque musulman à mettre au centre de tout, le miséricordieux Allah. Puis, il rappelle à chacun son devoir en ce jour de joie, qui consiste à adresser des louanges à Dieu le Créateur pour la grâce faite durant ces 30 jours de jeûne. Il a aussi convié les musulmans à faire preuve de piété, de partage, de tolérance et surtout de solidarité. Ainsi, après un mois de privation, d’abstinence et d’intenses prières, le bon musulman est dans de bonnes dispositions pour que ses prières soient exaucées par Allah. Il a exhorté par ailleurs les uns et les autres à suivre la parole d’Allah et surtout à la traduire en actes dans leurs comportements quotidiens. L’imam Idrissou Boukari mettra un accent sur le devoir de solidarité, la tolérance et la paix au Bénin, surtout après la dernière élection qui a donné des frayeurs à plus d’un. A ce sujet, l’imam Boukari recommande à chacun et à tous, pour cette période de bénédictions, de prier pour le Bénin, ses dirigeants, les malades et tous ceux qui traversent des difficultés diverses en ces jours marqués ainsi par la pandémie du Covid. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/celebration-du-ramadan-la-communaute-musulmane-a-prie-pour-la-paix-a-bohicon/ -- o:id 4633 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4633 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de l'Aïd-el-fitr : le ministre d'Etat Bio Tchané rehausse la prière à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1576 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2047 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-05-14 dcterms:identifier iwac-article-0002402 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar de leurs pairs du monde entier, les fidèles musulmans de Porto-Novo ont célébré ce jeudi 13 mai, la fête du Ramadan encore appelée l’Aid-el-Fitr. La grande prière a eu lieu à la Place Idi d’Agbokou en présence d’un parterre d’autorités dont le ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar de leurs pairs du monde entier, les fidèles musulmans de Porto-Novo ont célébré ce jeudi 13 mai, la fête du Ramadan encore appelée l’Aid-el-Fitr. La grande prière a eu lieu à la Place Idi d’Agbokou en présence d’un parterre d’autorités dont le ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané. La fête du ramadan a été célébrée avec faste à Porto-Novo. La grande prière a été dite à la Place Idi d’Agbokou. Occasion pour l’Imam central de Porto-Novo, Houzéifath Amzath, président de l’Union islamique du Bénin (Uib), d’appeler toute la communauté musulmane à la paix et à la tolérance. Il a invité les uns et les autres à accomplir de bonnes œuvres et à respecter les commandements d’Allah prescrits dans le coran. Ce message d’appel à la paix a été très apprécié par le ministre d’Etat chargé du Plan et du Développement. Abdoulaye Bio Tchané, présent à la prière, a salué la pertinence du message du président de l’Uib. « Nous devons continuer à mener des œuvres de paix dans notre pays. Car ceci est indispensable pour le développement du Bénin et aussi pour l’obtention de la clémence et des bénédictions venant de Dieu. L’imam a donc bien fait de nous rappeler ces valeurs qui sont importantes pour notre pays et la communauté », a indiqué Abdoulaye Bio Tchané. « Cette année est une année particulière. Je pense qu’il ne peut y avoir un moyen plus exemplaire pour exprimer la solidarité, la paix qui existent entre les deux communautés religieuses de notre pays. Car on célèbre toutes ces merveilleuses cérémonies le même jour», a ajouté le ministre d’Etat chargé du Plan et du Développement pour se prononcer par rapport à la fête du Ramadan qui coïncide avec celle de l’Ascension de la religion chrétienne. Le maire de Porto-Novo, Charlemagne Yankoty, précise aussi que cette prière marque la fin du carême qui était une période de sanctification et de consécration pour la communauté musulmane. « En tant que première autorité de la ville de Porto-Novo, notre présence ici est précieuse pour soutenir nos frères et sœurs musulmans», a dit l’édile de la ville capitale. « C’est une faveur divine pour toutes ces deux communautés de célébrer une fête capitale le même jour. L’Islam est une religion de paix », a souligné Charlemagne Yankoty. Par Immaculée HOUEDETE (Stag) A/R Oueme-Plateau fabio:hasURL https://lanationbenin.info/celebration-de-laid-el-fitr-le-ministre-detat-bio-tchane-rehausse-la-priere-a-porto-novo/ -- o:id 4634 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4634 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title L'exhortation à maintenir la dynamique de la solidarité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15276 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1383 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-05-14 dcterms:identifier iwac-article-0002403 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans réunis au sein de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya du Mono n’étaient pas, hier jeudi 13 mai, en marge de la célébration de l’Aïd el-Fitr. Sous l’égide du missionnaire départemental Arif Mahmood, ils ont célébré le Ramadan sous le signe de la solidarité. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/278 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13709 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/297 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans réunis au sein de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya du Mono n’étaient pas, hier jeudi 13 mai, en marge de la célébration de l’Aïd el-Fitr. Sous l’égide du missionnaire départemental Arif Mahmood, ils ont célébré le Ramadan sous le signe de la solidarité. C’est sur leur site principal situé au quartier Agnivèdji, à Lokossa, que les fidèles musulmans de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya du Mono se sont donné rendez-vous, dans la matinée d’hier, pour marquer la fin du jeûne de cette année. Ceci, à travers une séance de prière dirigée par le missionnaire du département Arif Mahmood assisté d’Aboubakar Taofic. « Participer à cette prière est un devoir pour les fidèles de l’islam », selon le missionnaire Arif Mahmood pour qui aucune alternative, y compris la prière faite chez soi, n’est équivalente à la prière collective. « Ce qui se passe aujourd’hui est différent des autres jours et il est fait obligation aux fidèles d’y être présents », indique-t-il à ses coreligionnaires venus d’un peu partout du Mono. Athiémé, Bopa, Comé et Lokossa sont les communes où la Jama’at islamique Ahmadiyya est présente à travers huit sites de prière. Malgré le grand rassemblement d’hier sur le site principal d’Agnivèdji, l’ambiance n’était pas celle des grands jours de fête. Tout s’est déroulé dans la sobriété. Pour les fidèles de l’islam qui se réclament de la Jama’at islamique Ahmadiyya, la fin des privations ne débouche pas automatiquement sur un relâchement total. « L’Aïd el-fitr n’est pas une occasion pour danser, boire, manger et faire n’importe quoi dans la ville », explique Arif Mahmood qui précise que « Chez les Ahmadiyya, la fête réside dans la satisfaction d’avoir fait ce qui plaît à Allah et l’engagement de poursuivre dans cet élan ». Notamment, l’observance des recommandations de Dieu durant les onze prochains mois de l’année et l’apport des aides aux orphelins et autres personnes se trouvant dans le besoin. En exhortant les fidèles à maintenir la dynamique de solidarité, le missionnaire départemental a clarifié que « Le ramadan n’est pas une occasion de penser à sa joie personnelle ». Quelque 1 300 personnes sont déjà impactées dans 36 localités du Mono, par les gestes de solidarité de la Jama’at islamique Ahmadiyya au cours de ce mois de jeûne. Elles ont reçu des vivres grâce aux contributions des membres de la communauté et à la subvention du siège mondial de la Jama’at islamique Ahmadiyya? fabio:hasURL https://lanationbenin.info/lexhortation-a-maintenir-la-dynamique-de-la-solidarite/ -- o:id 4635 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4635 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Implantation gratuite de stimulateurs cardiaques : les patients retrouvent la vie au Cnhu dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14170 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13269 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14479 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-05-28 dcterms:identifier iwac-article-0002404 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les cardiaques en difficultés financières pour s’acheter un stimulateur cardiaque peuvent avoir le coeur tranquille. Humanity first, une branche de la Jama’at islamique Ahmadiyyah Bénin, vient d’offrir une dizaine de ces appareils au Centre national hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou en vue de les sauver. Ce geste s’inscrit dans le plan d’action des donateurs dénommé «Juste un geste pour sauver ». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les cardiaques en difficultés financières pour s’acheter un stimulateur cardiaque peuvent avoir le coeur tranquille. Humanity first, une branche de la Jama’at islamique Ahmadiyyah Bénin, vient d’offrir une dizaine de ces appareils au Centre national hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou en vue de les sauver. Ce geste s’inscrit dans le plan d’action des donateurs dénommé «Juste un geste pour sauver ». « Avant 2006, les soins relatifs aux stimulateurs cardiaques se suivaient dans un autre pays. Seuls ceux qui avaient les moyens pouvaient se l’offrir. Un stimulateur vaut environ deux millions. D’où l’idée d’une association en vue de faire des cotisations pour venir en aide à ceux qui sont dans le besoin ». Le regard et la voix chargés d’émotions, Barthélémy Zomahoun, président de l’Association des porteurs de stimulateurs cardiaques du Bénin, retrace les moments douloureux que lui et ses pairs ont connus jusqu’à un passé récent. Faute de répondant au niveau étatique face à leur misère, il se sont constitués en association afin de s’entraider. Leur initiative n’a pas pour autant prospéré avant l’arrivée de Humanity First, une branche de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, qui vient de mettre à la disposition du Centre national hospitalier universitaire (Cnhu) une dizaine de stimulateurs cardiaques. « Votre arrivée est une chance pour nous. Ne baissez pas les bras », exhorte Kouarfaté Léon, un des bénéficiaires. Faute de moyens nécessaires pour s’acheter l’appareil, ce septuagénaire explique avoir déjà demandé à ses fils de réunir les ressources financières pouvant suffire au moins à organiser ses funérailles. La providence vient d’opérer un miracle dans sa vie par l’entremise des donateurs. L’implantation de stimulateur cardiaque considérée comme un luxe est désormais à sa portée. Le geste des donateurs est une bouffée d’oxygène pour le personnel soignant, les malades et pour le pays. « Il s’agit d’offrir à des patients dont le cœur est en panne électrique un dispositif qui leur permet de reprendre le cours normal de leur vie pour une durée moyenne de 10 ans », se réjouit Martin Houénassi, chef service cardiologie du Cnhu. Depuis son arrivée au Bénin, la mission de Humanity First, avec à sa tête Wajanah Waraich, travaille aux côtés des cardiologues du Cnhu en vue de sauver des vies. En une semaine, elle a permis au service de Cardiologie de réaliser le tiers de son cahier des charges annuel envers les cardiaques. « Cette mission va permettre de poser le stimulateur cardiaque à dix personnes en une semaine. C’est le tiers de notre activité annuelle qui est ainsi accompli en une semaine. La mission a déjà posé l’appareil à sept patients sur dix», apprécie Martin Houénassi. D’une forme minuscule ressemblant à une clé Usb, soutenu par deux fils électriques, l’appareil coûte environ 3000 euros selon les marques et n’est pas accessible à tous les patients. Il représente une dizaine d’années de vie préservée. D’où les gratitudes de Dieu Donné Gnonlonfoun, directeur général du Cnhu . « Vous venez de sauver la vie des personnes qui étaient peut-être condamnées en leur accordant encore en moyenne une dizaine d’années d’espérance de vie. Ce dont elles n’auraient pas bénéficié si cette action n’avait pas eu lieu. Les autorités recevront les plaidoyers et les échos de votre geste ». Humanity First est présente au Bénin depuis une dizaine d’années à travers l’assistance, les dons et les soins de santé dans maints domaines. « Il s’agit pour nous de manifester notre amour à l’égard de l’humanité. Humanity first répond toujours favorablement aux demandes qui lui sont adressées », témoigne Bakary Alimi Moussiliou, président de l’Ong au Bénin. Pour que cette aventure prospère entre le Bénin et l’Ong, le Cnhu et les bénéficiaires sollicitent également l’assistance de l’Etat et des populations pour soutenir les donateurs. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/implantation-gratuite-de-stimulateurs-cardiaques-les-patients-retrouvent-la-vie-au-cnhu/ -- o:id 4636 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4636 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Mesures restrictives au Hadj 2021 : les éclaircissements de l'imam central de Natitingou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1507 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-06-25 dcterms:identifier iwac-article-0002405 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Prenant acte de la décision de l’Arabie Saoudite, le Bénin n’entend pas autoriser le convoyage des potentiels candidats au Hadj 2021. Cette mesure, selon Mohamed Sanni Nourou Dine, imam de la mosquée centrale de Natitingou, vient rappeler les enseignements du prophète en cas de pandémie et tout fidèle musulman est tenu au respect de ladite dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/469 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Prenant acte de la décision de l’Arabie Saoudite, le Bénin n’entend pas autoriser le convoyage des potentiels candidats au Hadj 2021. Cette mesure, selon Mohamed Sanni Nourou Dine, imam de la mosquée centrale de Natitingou, vient rappeler les enseignements du prophète en cas de pandémie et tout fidèle musulman est tenu au respect de ladite mesure. Dans un communiqué en date du 14 juin 2021, William Comlan, directeur de cabinet du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, informe la communauté musulmane du Bénin de la décision des autorités saoudiennes de limiter la participation au Hadj 2021, pour des raisons de sécurité et de préservation de la santé des pèlerins, à cause de la pandémie de Covid-19. Selon le même communiqué, seuls soixante mille Saoudiens y compris les résidents étrangers en Arabie Saoudite seront autorisés à effectuer le Hadj. Mohamed Sanni Nourou Dine, imam de la mosquée centrale de Natitingou, 5e vice-président de l’Union islamique du Bénin (Uib), relève la pertinence de la décision des autorités béninoises qui ont pris acte en appelant au respect des mesures de l’Arabie Saoudite. Selon l’imam, le prophète a prescrit une mesure pareille et il revient aux fidèles de respecter toutes les décisions prises afin de préserver leur santé. Selon lui, dans la législation islamique, le Prophète a dit : « Si dans un pays, il y a une pandémie, ne quittez pas ce pays, parce que quand vous quittez, vous allez contaminer les autres. Quand vous êtes dans un pays et que vous apprenez qu’il y a une pandémie dans un autre pays, n’y allez pas. C’est cela qu’on appelle la quarantaine. Le prophète a déjà prévu la conduite à tenir dans un cas pareil. Nous n’avons pas à nous plaindre des décisions prises par le gouvernement. » « Nous sommes en train de vivre une période exceptionnelle que tout le monde connait. Le Covid-19 sévit dans tous les pays et tous les gouvernements ont pris des mesures barrières pour éviter la propagation du virus. Nous remercions le gouvernement pour son amour. Nous devons respecter la décision de nos autorités, premiers responsables de notre pays. Toutes les décisions prises sont de notre propre intérêt », a insisté l’imam. Le Hadj, 5e pilier de l’islam, pas obligatoire Les fidèles musulmans tiennent beaucoup au respect des prescriptions du prophète. Toutefois, il y a bien des conditions à remplir. Si celles-ci ne le sont pas, il revient aux fidèles de s’abstenir. « Le Hadj est considéré comme le 5e pilier de l’islam que le bon Dieu nous a laissé de faire mais, c’est quand les conditions sont réunies que nous allons faire le Hadj. En cas d’empêchement, ce n’est pas obligatoire parce qu’il faut avoir de l’argent, la santé, de moyens pour aller au Hadj et aussi de la provision. Maintenant c’est la santé qui est en jeu», a indiqué l’imam. En tant que fidèles, nous soutenons le gouvernement dans ces démarches, a ajouté le 5e vice-président de l’Union islamique du Bénin. L’imam exhorte les fidèles à suivre la décision du gouvernement et à ne pas tenter de s’envoler pour l’Arabie Saoudite, qui, précise-t-il, ne va pas les laisser entrer sur son territoire. Il estime que l’année prochaine, si les conditions sanitaires s’améliorent, tout rentrera dans l’ordre. À l’endroit des convoyeurs, l’imam les exhorte à l’honnêteté afin que la décision du gouvernement ne souffre d’aucune insuffisance. « Le bon Dieu veut qu’on soit honnête, que nous ayons un bon comportement. C’est ça qui est la religion. La religion est venue pour nous montrer comment vivre ensemble dans l’amour et la quiétude. Les convoyeurs doivent également faire preuve de sagesse et donner de bons conseils aux clients qui vont venir vers eux parce que la plupart viennent des villages et ne sont pas souvent informés», indique Mohamed Sanni Nourou Dine. «Je leur conseille de dire aux clients que cette année, l’Arabie Saoudite a dit que les gens ne vont pas venir d’ailleurs pour faire le pèlerinage. Donc le Bénin ne va pas partir. Si on procède ainsi, on sera dégagé et nous allons sauvegarder notre honneur», conseille l’imam de la mosquée centrale de Natitingou. fabio:hasURL https://lanationbenin.info/mesures-restrictives-au-hadj-2021-les-eclaircissements-de-limam-central-de-natitingou/ -- o:id 4637 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4637 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de la Tabaski : les fidèles musulmans reconnaissants à Dieu à Akpakpa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1503 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14927 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-07-21 dcterms:identifier iwac-article-0002406 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract D’intenses moments de prière, ce mardi 20 juillet, à la place Idi de Pk5 à Akpakpa. Rassemblés autour de l’imam de la mosquée centrale de Cotonou, Ibrahim Ousmane, les fidèles musulmans ont participé à la traditionnelle prière de l’Aïd el-Kébir. Occasion pour eux d’exprimer leur reconnaissance à Dieu pour les nombreuses grâces dont il les a comblés. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content D’intenses moments de prière, ce mardi 20 juillet, à la place Idi de Pk5 à Akpakpa. Rassemblés autour de l’imam de la mosquée centrale de Cotonou, Ibrahim Ousmane, les fidèles musulmans ont participé à la traditionnelle prière de l’Aïd el-Kébir. Occasion pour eux d’exprimer leur reconnaissance à Dieu pour les nombreuses grâces dont il les a comblés. Vêtus de leurs plus beaux habits, les fidèles musulmans d’Akpakpa et environs ont pris d’assaut, hier mardi 20 juillet, la place Idi de Pk5 pour commémorer l’Aïd el-Kebir encore appelé fête de la Tabaski. A 9 heures précises, l’imam de la mosquée centrale de Cotonou, Ibrahim Ousmane a entamé la prière publique qui n’a duré que cinq minutes. Ce fut pour les fidèles, un moment de recueillement profond et de dévotion qui leur a permis de raffermir leur foi. Il s’agit aussi pour eux, d’un jour d’immolation en guise d’adoration et de sacrifice à Allah. Après la prière, l’imam est passé au sermon. Ibrahim Ousmane a rendu gloire à Dieu pour les avoir dotés d’intelligence et de la raison. Il a aussi imploré Allah d’accepter les prières de chacun d’entre eux et de bénir leurs œuvres comme il a accepté les œuvres des prophètes Abraham et Mahomet. « Il n’y a pas meilleur acte agréé par Dieu que puisse accomplir le fidèle le jour de la Tabaski si ce n’est l’écoulement du sang des bêtes immolées. Dieu n’a pas fait de nous des bêtes exposées à la chasse ni assujetties à l’immolation. En conséquence, le devoir qui nous incombe est d’exploiter cette grâce en guise de reconnaissance à Dieu en lui vouant exclusivement adoration afin que nous puissions nous démarquer des animaux en général », a-t-il fait comprendre. L’imam note que le sang de la bête immolée occupe une place prépondérante dans la science de Dieu avant qu’il ne touche le sol. L’essentiel, selon lui, est d’accomplir l’acte d’immolation avec une foi sincère et une bonne intention. Tout en invitant les fidèles à la dévotion et au partage, l’imam Ibrahim Ousmane a imploré les bénédictions de Dieu sur le Bénin et le chef de l’Etat, Patrice Talon. Après son sermon, l’imam a posé devant les fidèles, l’acte tant attendu qu’est l’immolation du bélier. Présent à cette célébration, Abdoulaye Bio Tchané, ministre d’Etat chargé du Développement et de la Coordination de l’action gouvernementale, a exprimé toute sa joie de se retrouver parmi ses frères musulmans. Il affirme qu’il s’agit d’une fête importante dans l’islam. Une fête qui leur permet d’exprimer leur solidarité envers la communauté musulmane et en particulier envers les plus déshérités. A sa suite, Alain Orounla, préfet du Littoral, dit avoir écouté avec beaucoup d’attention et de recueillement, le prêche de l’imam dont il connait l’éloquence et la connaissance du Coran. « Ma présence ici est le symbole d’une fraternité et surtout du témoignage de la reconnaissance du chef de l’Etat pour ce que fait la communauté musulmane de notre pays », a-t-il ajouté. fabio:hasURL https://lanation.bj/celebration-de-la-tabaski-les-fideles-musulmans-reconnaissants-a-dieu-a-akpakpa/ -- o:id 4638 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4638 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de la Tabaski : sous le sceau du dialogue interreligieux à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2045 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-07-21 dcterms:identifier iwac-article-0002407 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans de Porto-Novo ont aussi célébré, ce mardi 20 juillet, la fête de l’Aïd el Kébir encore appelée Tabaski. C’est la place Idi d’Agbokou, comme tous les ans, qui a accueilli la grande prière en présence des officiels dont le président de l’Assemblée nationale, Louis Vlavonou et des représentants des autres confessions religieuses, notamment les chrétiens et animistes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans de Porto-Novo ont aussi célébré, ce mardi 20 juillet, la fête de l’Aïd el Kébir encore appelée Tabaski. C’est la place Idi d’Agbokou, comme tous les ans, qui a accueilli la grande prière en présence des officiels dont le président de l’Assemblée nationale, Louis Vlavonou et des représentants des autres confessions religieuses, notamment les chrétiens et animistes. L’édition 2021 de la fête de Tabaski célébrée, ce mardi 20 juillet, a été placée sous le signe du dialogue interreligieux à Porto-Novo. La grande prière dite à la place Idi d’Agbokou a connu la participation des représentants des autres confessions religieuses notamment les chrétiens et animistes. Ces derniers ont été invités à prendre part à cette grande prière qui donne le top de l’immolation de moutons dans la ville capitale et marque la fin du pèlerinage à la Mecque. Cette mobilisation des responsables des autres religions qui ont répondu favorablement à l’invitation de l’imam central de Porto-Novo, Houzéifat Amzat, et président de l’Union islamique du Bénin (Uib), a été saluée par ce dernier. Selon lui, elle témoigne de l’ambiance de paix qui règne entre les différentes religions au niveau de la ville capitale. L’imam Houzéifat Amzat a prié pour que cette flamme de coexistence pacifique entre les confessions religieuses ne s’éteigne point. Selon lui, la Tabaski vise à magnifier la dévotion d’Ibrahim, Abraham judéo-chrétien, celui à qui Dieu a demandé de sacrifier sur un autel son fils (Ismaël pour les musulmans, Isaac pour les chrétiens et les juifs). Et au moment de passer à l’acte, Dieu a envoyé un bélier par l’entremise de l’archange Gabriel pour remplacer le fils d’Ibrahim. C’est ainsi que les musulmans sont invités au cours de l’Aïd-el-Kébir à sacrifier un mouton en guise de reconnaissance à Allah. Selon Houzéifat Amzat, au-delà de l’immolation d’un mouton en remplacement d’un homme, la célébration de la Tabaski enseigne également la soumission totale à Dieu. Les valeurs d’humilité, de piété, sagesse, pardon, patience et sacrifie de soi doivent guider tout bon musulman dans tous ses actes afin de mériter son statut auprès de Dieu. Le président de l’Assemblée nationale, Louis Vlavonou partage le sermon du prédicateur. Selon lui, l’homme doit se soumettre à la volonté de Dieu face à toute épreuve et y résister pour ne pas laisser ébranler sa foi et sa croyance. Il a souhaité que tous les conseils donnés par l’imam soient mis en pratique par tous qu’on soit musulman ou non pour la consolidation de la paix à Porto-Novo, dans l’Ouémé et dans tout le Bénin. Le préfet de l’Ouémé, Marie Akpotrossou, et le premier adjoint au maire de Porto-Novo, Rachad Toukourou, représentant le maire, se disent réconfortés aussi par les enseignements de l’imam célébrant. Les deux personnalités se sont par ailleurs réjouies de la présence des autres religions témoignant de la belle harmonie entre les différents courants religieux à Porto-Novo et dans l’Ouémé. fabio:hasURL https://lanation.bj/celebration-de-la-tabaski-sous-le-sceau-du-dialogue-interreligieux-a-porto-novo/ -- o:id 4639 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4639 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de la Tabaski : un mouton sacrifié au miséricordieux Allah à Bohicon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1615 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-07-21 dcterms:identifier iwac-article-0002408 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Comme partout, la communauté musulmane de Bohicon s’est retrouvée à la place Idi de Zakpo, dans la matinée d’hier du mardi 20 juillet, pour commémorer la Tabaski ou la fête du mouton. C’était autour d’El Hadj Aboubacar Idrissou, imam de la mosquée centrale de Bohicon. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Comme partout, la communauté musulmane de Bohicon s’est retrouvée à la place Idi de Zakpo, dans la matinée d’hier du mardi 20 juillet, pour commémorer la Tabaski ou la fête du mouton. C’était autour d’El Hadj Aboubacar Idrissou, imam de la mosquée centrale de Bohicon. Déjà à 9 h, la place Idi de Bohicon était bondée de musulmans venant de tous les quartiers de la commune et d’ailleurs pour sacrifier à la tradition. Comme à l’accoutumée, les fidèles musulmans ont eu droit au “Koutouba”, un sermon, et au rappel des comportements que doit avoir un bon musulman pour bénéficier des grâces de la fête. Entre autres, tous les musulmans doivent être en joie, et partager cette joie avec leurs frères, car c’est une fête de partage avec les autres. Ils ont aussi eu droit à un rappel de l’histoire de la fête. En effet, la fête tire ses origines du temps du prophète Abraham à qui Allah le Créateur a réclamé en songe de sacrifier son fils bien-aimé. Le prophète obéit donc et s’apprêtait à immoler son fils quand Dieu lui envoya un bélier qu’il a sacrifié à sa place. A 9 h 20 mm, la séance de prière démarre comme le prescrit le Saint Coran. Elle est dirigée par El Hadj Aboubacar Idrissou, intérimaire de l’imam de la mosquée centrale de Bohicon en pèlerinage à la Mecque. Prière au cours de laquelle il rend gloire à Allah, le plus grand et miséricordieux. Il rappelle à l’assistance qu’il n’y a aucun dieu excepté Allah. Il est le seul et plus grand. Tous les éloges et reconnaissances sont pour lui. « Musulmans, craignez Dieu le miséricordieux, car quand il est en dévotion, sa faveur est toujours sur le croyant », a rappelé l’imam Idrissou aux fidèles présents hier à la place Idi. Après 20 minutes de prières et de prêche, l’Imam Idrissou a procédé à l’immolation du bélier choisi à cet effet. C’est l’instant tant attendu par les fidèles pour rentrer chez eux afin de répéter le même geste et bénéficier des grâces attachées à ce sacrifice de mouton. Après cette immolation, les fidèles musulmans présents se sont donc séparés pour continuer la fête dans les domiciles et quartiers. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20221206035330/https://lanation.bj/celebration-de-la-tabaski-un-mouton-sacrifie-au-misericordieux-allah-a-bohicon/ -- o:id 4640 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4640 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Imam Chakirou Amoussou à l'occasion de la Tabaski : "Il nous faut prendre exemple sur les figures emblématiques…" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1512 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2021 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13821 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-07-22 dcterms:identifier iwac-article-0002409 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une tradition qui renvoie à la foi et à la fidélité du croyant. Pour les initiés, il s’agit d’un événement majeur dans l’histoire de la religion musulmane. Chakirou Amoussou, l’imam central de Calavi, parle à travers la présente interview des origines de la commémoration de la fête de la Tabaski, de sa contextualisation et prie pour le Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13420 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une tradition qui renvoie à la foi et à la fidélité du croyant. Pour les initiés, il s’agit d’un événement majeur dans l’histoire de la religion musulmane. Chakirou Amoussou, l’imam central de Calavi, parle à travers la présente interview des origines de la commémoration de la fête de la Tabaski, de sa contextualisation et prie pour le Bénin. La Nation : Qu’est-ce qu’on peut comprendre par la fête de la Tabaski ? Imam Chakirou Amoussou : La Tabaski est une fête qui marque la fin du grand pèlerinage, la fin du grand rassemblement à la Mecque. A cela s’ajoute aussi le souvenir de notre ancêtre, notre père Abraham quand il a voulu sacrifier son fils unique Ismaël. L’enfant a accepté de se faire sacrifier par son père pour accomplir la recommandation divine. C’est cet évènement qui est à l’origine de cette fête. Cette tradition qui remonte à notre père Ibrahim a été recommandée à notre Prophète Mahomet. Parlant du sacrifice de son fils, il est effectivement passé à l’acte, puisqu’il a mis le couteau sur la gorge de l’enfant pour la trancher quand Dieu le lui a remplacé par un bélier. C’est cette tradition que nous commémorons chaque année, le 10e jour du dernier mois lunaire. Il s’agit d’un événement majeur de l’histoire des musulmans, un moment de méditation et de reconnaissance à Allah. Donc, on retient tout simplement que la Tabaski est la fête du sacrifice. Quelles sont les différentes phases de la commémoration de la Tabaski ? Tôt le matin, on s’est préparé pour la prière. C’est une étape importante. On se lave, on porte ses vêtements les plus beaux, les plus propres et on se présente au grand rassemblement, là où tout le monde est attendu, même une femme en menstrues. Car en islam, quand la femme est en menstrues, elle ne va pas à la mosquée. Mais cette fois-ci, elle est autorisée, compte tenu de la grandeur, de l’importance de ce grand rassemblement. Elle assiste donc à la célébration même si elle est en menstrues mais elle ne bouge pas. Elle reste sur le lieu de prière pour recevoir la bénédiction divine. Après la prière, il y a le sacrifice de la bête. Pour ceux-là qui ont les moyens, au retour à la maison, ils sacrifient leurs bêtes. Mais il faut rappeler qu’avant d’aller au grand rassemblement, le fidèle ne doit pas manger. C’est après ce culte qu’il passe au sacrifice et mange. Ça fait partie de la tradition du prophète Mahomet. C’est la bête qu’il a immolée qui constitue son premier repas de cette journée. Une fois que la bête est sacrifiée, il donne le tiers en aumône. Il ne garde pas la viande pour lui seul. C’est un jour de reconnaissance, de réjouissance et de partage. Donc, vous donnez une partie en aumône et le reste pour la maison. C’est le moment aussi de visiter vos proches et parents, ceux qui vous entourent et les amis pour leur souhaiter bonne fête. C’est le moment aussi d’exprimer sa joie mais en évitant de prendre tout ce qui est proscrit, tout ce qui est illicite comme la consommation de l’alcool et autres. Voilà en résumé les grandes étapes de cette fête. Quelle est la particularité de la prière de ce jour ? Si je prends par exemple la prière du vendredi, nous disons ‘’Allah Akbar’’ une seule fois, au commencement de la prière, mais le jour de la Tabaski, on répète ‘’Allah Akbar’’ au moins 7 fois au début de la prière. C’est la particularité. L’autre particularité, c’est le fait que la prière de vendredi se tient dans les mosquées, alors que celle-ci se tient à l’air libre. Il s’agit d’un grand rassemblement à l’air libre, du genre congrès entre des musulmans d’une même contrée, d’un même village, d’une même ville. Et quand on parle de grand rassemblement, c’est qu’on pourrait avoir des milliers de personnes lors de cette célébration. Et la prière de la Tabaski se fait une fois par an, tandis que celle du vendredi s’effectue une fois par semaine. Qu’est-ce que la célébration de la fête de la Tabaski apporte à un fidèle musulman ? D’après ce que je viens de décrire, cela renforce notre foi, notre fermeté. Cela nous permet de méditer. Les récits dans le Coran sont des événements dont nous devons tirer des leçons. D’abord, il faut voir la foi et la patience d’Abraham. Il a passé toute sa vie à attendre d’avoir un enfant et à la fin, il a encore voulu sacrifier cet enfant. Comment peut-on aimer Dieu à ce point ? Il est effectivement passé à l’acte et l’enfant s’est plié à la volonté de son père : « Mon père, fais ce que ton Dieu t’a recommandé de faire ». Si nous ramenons ce récit à notre vie d’aujourd’hui, nous pouvons nous demander combien d’enfants sont capables d’obéir à leurs parents à ce point. Si votre père dit aujourd’hui qu’il veut vous sacrifier pour tel, l’accepteriez-vous ? Je ne pense pas. Pour nous, il faut donc méditer et prendre exemple sur ces figures emblématiques de l’histoire de l’islam et demander à Allah de ramener la foi dans notre vie. En réalité, notre Dieu n’a pas besoin de viande, ni de son sang, ni de sa chair. C’est de la piété qu’il veut. Sinon, Dieu ne mange pas la viande et n’a pas besoin de tout ce que nous allons sacrifier. L’essentiel, c’est notre foi. Si vous êtes sincère envers Dieu, vous serez sincère envers les hommes, envers la société, et on aurait une société sincère où nous allons vivre en paix et, ceci, dans la sincérité. Quelle prière avez-vous à adresser à Allah pour le pays ? Je demande à Allah d’unir les Béninois, du nord au sud, de l’est à l’ouest. Je demande aussi qu’il y ait de la compréhension mutuelle, pour la stabilité, la sécurité, la croissance économique. Si une catastrophe touche le Bénin, personne ne sera épargné. L’amour de son pays fait partie de la foi, nous devons aimer le Bénin et prier pour lui. Nous sommes heureux de voir le pays prospérer. Avec la cherté des denrées alimentaires qui est un évènement mondial, nous demandons que Dieu oriente nos dirigeants. Qu’il y ait de l’harmonie au Bénin afin que nous n’assistions jamais dans notre pays à ce que nous voyons dans la sous-région. Nous prions que les objectifs fixés, dans ce second quinquennat annoncé par le président comme hautement social, se concrétisent. Que la bénédiction de la Tabaski couvre le Bénin tout entier. Un appel aux musulmans. Il faut cultiver la sincérité d’Abraham en toutes choses, dans nos relations, dans le couple, dans les affaires. Il faut être aussi sincère en offrant son sacrifice, ne pas dire Allah ‘’si je ne tue pas de mouton, mon voisin d’à côté dira que tel n’a pas tué mouton’’. Je le fais pour la recherche de l’agrément de Dieu seul et non pour toute autre personne. Ne pas trop manger la viande. Car l’exagération nuit à la santé. Il faut être modéré en ayant en pensée la recherche de l’agrément de Dieu. Donc, j’invite les musulmans à penser à méditer l’acte posé par Abraham et prier pour la nation afin que les bénédictions tombent sur notre pays. Il faut penser à notre pays ainsi qu’à ceux qui le dirigent. Qu’ils se portent très bien et que cette fête nous apporte le bonheur, la quiétude, la sécurité et la stabilité. Propos recueillis par Arnaud DOUMANHOUN fabio:hasURL https://lanation.bj/imam-chakirou-amoussou-a-loccasion-de-la-tabaski-il-nous-faut-prendre-exemple-sur-les-figures-emblematiques/ -- o:id 4641 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4641 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Interdiction d'occupation des trottoirs à Cotonou : la communauté musulmane se met au pas dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1533 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14042 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12905 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/238 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-08-16 dcterms:identifier iwac-article-0002410 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’interdiction de l’occupation des trottoirs pour les prières à Cotonou a été globalement respectée, vendredi dernier. A Gbégamey, malgré l’affluence, les fidèles musulmans sont restés dans les limites définies. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13998 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’interdiction de l’occupation des trottoirs pour les prières à Cotonou a été globalement respectée, vendredi dernier. A Gbégamey, malgré l’affluence, les fidèles musulmans sont restés dans les limites définies. Objectif atteint à la mosquée de la place Bulgarie de Cotonou. Aussitôt la prière terminée, le dispositif d’ordre établi est levé. Policiers républicains et agents d’aide à la sécurité civile ont réussi, sans difficulté, à maintenir derrière les trottoirs, les centaines de fidèles. « Les autorités s’étaient rapprochées de nous pour définir les limites. Nous avons essayé avec l’appui de la Police de faire respecter les consignes. Les trottoirs n’ont pas été occupés. Il n’y a pas eu non plus de stationnements de motos et de véhicules. Ça n’a pas été difficile parce que les fidèles ont été sensibilisés », confie Garba, responsable de l’équipe de sécurité interne. En effet, cette mosquée située à Gbégamey dispose d’un service d’ordre pour les prières du vendredi. Mais, avec les consignes données par le préfet du Littoral aux imams de Cotonou, tout un dispositif a été pensé plus tôt. La Police républicaine est venue en renfort. Sous la pluie, les agents veillaient à ce que l’espace public ne soit pas occupé. La place Bulgarie qui accueillait d’habitude autour de la statue des engins à deux roues est déserte. Au fil des minutes, le flux de fidèles et de véhicules devient important. Les hommes en uniforme redoublent de vigilance pour ne céder le moindre espace au-delà des limites définies avec des chicanes et des cordes. « Pas de tapis sur les trottoirs » 13 h 05. La prière démarre. Au début du sermon, Fafana Lawal, un des imams, apporte à la communauté des clarifications au sujet de l’interdiction d’occupation des trottoirs. « Tout le monde sait que malgré le nombre important de fidèles que nous accueillons ici, on ne ferme jamais les voies. Ils sont venus nous voir pour le cas des trottoirs. Contrairement à ce qu’on avait entendu, on ne nous interdit pas de prier au-dehors. Avec le Dgpr, nous nous sommes entendus sur les limites. Il n’y a pas de polémique pour ça. Si c’est pour le bien-être du peuple, on n’a pas le choix», martèle-t-il. Et tout au long du prêche, il ne manquera pas de faire des rappels : « Pas de tapis sur les trottoirs », « suivez les consignes», « il y a encore de la place dans la mosquée ». Pendant ce temps, dehors, les fidèles se mettent spontanément au pas. Il ne saurait en être autrement, selon Fafana Lawal rencontré à la fin. « Une fois que les devanciers passent un message qui ne contredit pas les enseignements du prophète, les musulmans essayent d’appliquer les consignes à la lettre. Avec la sagesse du directeur général de la Police républicaine qui était là tout à l’heure et qui a jugé utile de voir bien avant avec nous comment régler le problème, tout s’est bien passé. Les fidèles ont appliqué les consignes à la lettre», se rejouit-il. Ici, comme à la mosquée de Cadjèhoun, les consignes sont pareilles. Un périmètre a été aussi défini pour éviter le débordement sur les trottoirs. Dans le calme, les fidèles sont rentrés pour vivre le nouveau mois sacré de Muharram, de la nouvelle année islamique 1443. fabio:hasURL https://lanation.bj/interdiction-doccupation-des-trottoirs-a-cotonou-la-communaute-musulmane-se-met-au-pas/ -- o:id 4642 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4642 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Assistance aux personnes vulnérables à Cotonou : des sacs de riz offerts dans le 1er arrondissement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1512 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13493 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-12-15 dcterms:identifier iwac-article-0002411 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin a remis, lundi 13 décembre dernier dans le premier arrondissement de Cotonou, 30 sacs de riz de 25 kg aux plus démunis. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin a remis, lundi 13 décembre dernier dans le premier arrondissement de Cotonou, 30 sacs de riz de 25 kg aux plus démunis. La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin reste fidèle à sa philosophie d’assistance aux plus démunis. Conduite par son président Qamar Ahmad, Ahmadiyya a posé ses valides dans le premier arrondissement de Cotonou, pour assister les couches les plus vulnérables. Au total, trente sacs de riz de 25 kg y ont été offerts. Du lot, cinq sacs sont destinés aux personnes les plus défavorisées de l’arrondissement en général et les vingt-cinq restants aux apprenants de l’Ecole primaire publique de Yagbé, notamment à la cantine. C’est Arlette Bello Saizonou, le chef du premier arrondissement qui a accueilli la délégation de la Jama’at Islamique Ahmadiyya et reçu le le lot destiné aux personnes démunies de sa juridiction. Les donateurs se dirigeront par la suite, vers l’école Yagbé, en vue de soutenir la cantine scolaire. Pour Qamar Ahmad, président de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, ce geste est destiné à accompagner cette politique gouvernementale dont l’objectif est de maintenir les enfants à l’école. Appréciant cette générosité de Ahmadiyya, Arlette Bello Saizonou, chef du premier arrondissement, a noté que le ventre plein, les enfants pourront mieux assimiler le savoir dispensé. Au nom des bénéficiaires, les responsables de l’école, le chef quartier et sa suite ont exprimé leur reconnaissance aux généreux donateurs. A l’occasion, Qamar Ahmad, président de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin, a rappelé que l’association reste fidèle à son credo qui est l’amour pour tous, la haine pour personne, et a réitéré son engagement à aider les couches les plus faibles dans leur combat contre la pauvreté. Il faut noter que la Jama’at islamique Ahmadiyya, est le premier mouvement musulman prosélyte et transnational qui a pu, à la faveur du renouveau démocratique des années 1990 au Bénin, installer des missions et développer ses actions humanitaires. L’action menée ce lundi 13 décembre 2021, entre dans le cadre d’une série d’activités qui visent un mieux-être pour tous. fabio:hasURL https://lanation.bj/assistance-aux-personnes-vulnerables-a-cotonou-des-sacs-de-riz-offerts-dans-le-1er-arrondissement/ -- o:id 4643 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4643 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Apaisement du climat politique : le médiateur de la République rencontre les confessions religieuses dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14779 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12917 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14809 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2021-12-23 dcterms:identifier iwac-article-0002412 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le médiateur de la République, Pascal Essou reste préoccupé par la promotion du dialogue politique, la paix et surtout zéro violence au cours des élections prochaines au Bénin. Il a échangé sur la question, mardi dernier, au siège de son institution à Porto-Novo, avec les confessions religieuses et les chefferies traditionnelles. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le médiateur de la République, Pascal Essou reste préoccupé par la promotion du dialogue politique, la paix et surtout zéro violence au cours des élections prochaines au Bénin. Il a échangé sur la question, mardi dernier, au siège de son institution à Porto-Novo, avec les confessions religieuses et les chefferies traditionnelles. La rencontre qui est la première d’une série s’inscrit dans le cadre du dialogue politique national en vue d’un apaisement du climat politique qui constitue une priorité pour Pascal Essou depuis sa prise de fonction. Il s’agit pour lui de voir avec ses hôtes ce qu’il faut faire pour la consolidation de la paix, surtout avant, pendant et après les joutes électorales prochaines. Les discussions ont été très riches, des propositions concrètes ont été faites pour permettre au Bénin de relever, mieux que par le passé, le défi d’un dialogue politique fécond devant conduire à des élections apaisées et avec zéro violence. La séance a connu la participation des représentants des religions endogènes, de l’Eglise catholique, de l’Union islamique du Bénin, de l’Union des évangélistes du Bénin, de l’Eglise du christianisme céleste, de l’Eglise protestante méthodiste du Bénin et des chefferies traditionnelles. fabio:hasURL https://lanation.bj/apaisement-du-climat-politique-le-mediateur-de-la-republique-rencontre-les-confessions-religieuses/ -- o:id 4644 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4644 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Pour clôturer sa convention annuelle : la jeunesse Ahmadiyya-Bénin fait un don de sang dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13493 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14533 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13554 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2022-02-24 dcterms:identifier iwac-article-0002413 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La jeunesse de la Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin a clôturé en beauté, dimanche 20 février dernier, au Lycée Béhanzin de Porto-Novo, l’édition 2022 de sa convention nationale annuelle avec différentes activités dont une opération de don de sang. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La jeunesse de la Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin a clôturé en beauté, dimanche 20 février dernier, au Lycée Béhanzin de Porto-Novo, l’édition 2022 de sa convention nationale annuelle avec différentes activités dont une opération de don de sang. La jeunesse de la Jama’t islamique Ahmadiyya-Bénin vole au secours des malades anémiés des hôpitaux avec une centaine de poches de sang. Ceci, à travers une opération de don de ce liquide vital inscrite au titre des activités de l’édition 2022 de sa convention annuelle dont les travaux ont été clôturés, dimanche 20 février dernier, au Lycée Béhanzin de Porto-Novo. La collecte a été effectuée par une équipe de l’Agence départementale de transfusion sanguine de l’Ouémé et du Plateau. Pour Ahmad Qamar, président national de la Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin, le sang est un liquide très précieux pour la santé de l’homme. Il est le siège de la vie. C’est pourquoi, souligne-t-il, à chaque convention nationale annuelle de la jeunesse Ahmaddiya, une opération de don de sang est toujours organisée. Les poches de sang sont recueillies au profit des banques de sang des hôpitaux pour sauver ceux qui en ont besoin. Ce sang est donné, selon lui, à l’humanité sans distinction de religion et de race. Une personne sauvée à travers du sang donné, c’est la vie de toute une famille qui est ainsi délivrée, insiste Ahmad Qamar. Le président national de la Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin salue la forte mobilisation des fidèles ahmadis autour de l’opération chaque année. Il les a sensibilisés à toujours continuer de donner de leur sang pour sauver des vies et être utiles à l’humanité. Le président de la jeunesse Ahmadiyya-Bénin, Maliki Assan, rassure de la détermination de ses éléments à répondre favorablement chaque fois à l’appel. Il précise que cette opération de don de sang qu’organise annuellement son association s’inscrit dans la droite ligne du crédo de la Jama’at islamique Ahmadiyya à savoir : « L’amour pour tous et la haine pour personne ». Médard Tokpanou, responsable chargé de la promotion de sang à l’Agence départementale de transfusion sanguine de l’Ouémé-Plateau, et chef de l’équipe de collecte de sang, félicite la Jama’at islamique Ahmadiyya pour son initiative chaque année. Il annonce qu’à la fin de la collecte, l’équipe de transfusion va se retrouver au laboratoire pour analyser, qualifier et valider les poches de sang prises. Médard Tokpanou invite les autres associations de jeunesse sur le terrain à emboiter le pas aux jeunes fidèles Ahmadis pour permettre aux banques de sang de ne pas manquer de ce liquide vital. Outre l’opération de don de sang, plusieurs autres activités ont marqué la dernière journée de la convention qui s’est déroulée du 18 au 20 février. Il s’agit entre autres des compétitions religieuses et sportives telles que le football, le tir à la corde, la course à trois pieds et la vitesse. Les vainqueurs de chacun de ces jeux ont reçu et des prix dont des trophées. fabio:hasURL https://lanation.bj/pour-cloturer-sa-convention-annuelle-la-jeunesse-ahmadiyya-benin-fait-un-don-de-sang/ -- o:id 4645 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4645 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Ramadan 2022 : un appel au retour des valeurs morales dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1533 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/85 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/49 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13231 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14777 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2022-05-02 dcterms:identifier iwac-article-0002414 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract « Je pleure pour la jeunesse... »Au cours de son serment à la fête de Ramadan 2022, l’iman de la mosquée centrale Médine II d’Agori Plateau ( Abomey-Calavi) s’est surtout adressé à la jeunesse. El-hadj Moutawakil Boukari Malick s’est insurgé contre la crise morale que connaît le monde. Lire ci-dessous l’extrait de son sermon. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14655 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content « Je pleure pour la jeunesse... » Au cours de son serment à la fête de Ramadan 2022, l’iman de la mosquée centrale Médine II d’Agori Plateau (Abomey-Calavi) s’est surtout adressé à la jeunesse. El-hadj Moutawakil Boukari Malick s’est insurgé contre la crise morale que connaît le monde. Lire ci-dessous l’extrait de son sermon. Extrait du sermon « Le monde d’aujourd’hui connaît une crise morale sans précédent ; une crise qui se manifeste sur tous les plans et à divers niveaux. Tout le monde est conscient des dangers qui menacent la planète toute entière : les problèmes politique, social, éducatif et économique. Les bonnes vertus ont tendance à céder place aux vices. Les liens conjugaux se détériorent et se brisent ; les liens de parenté n’ont plus leur caractère sacré. Le respect des autres a presque disparu, de même que le respect des enfants envers leurs parents, le respect de la femme envers son mari et vice versa, le respect du subalterne envers la hiérarchie. Bref, on a l’impression que le monde est arrivé au stade où chacun pense être le maître de lui-même et seul détenteur de la vérité. Ainsi, le vice est pratiqué aussi bien secrètement que publiquement. Il s’agit entre autres de l’alcoolisme, la prostitution, de la délinquance juvénile et j’en passe. Les populations souffrent, les pays se meurent, les espèces animales et végétales tendent à disparaître, la nature se dégrade, la miséricorde et les bénédictions d’Allah se font rares…Tout cela à cause de la dépravation morale qui a conduit les âmes à se pencher désormais vers le mal sous toutes ses formes : mensonge, haine, calomnie, méchanceté, corruption, trahison, faux témoignage, détournement…Ainsi, ce qui frappe le monde aujourd’hui n’est que juste rémunération de nos actes, comme le dit Allah le Très-Haut dans le Saint Coran : « La corruption est apparue sur la terre et dans la mer à cause de ce que les gens ont accompli de leurs propres mains, afin qu’Allah leur fasse goûter une partie de ce qu’ils ont œuvré, peut-être reviendront-ils vers Allah »(Sourate 30 verset 41). « Ainsi, le vice est pratiqué aussi bien secrètement que publiquement. Il s’agit entre autre de l’alcoolisme, la prostitution, de la délinquance juvénile et j’en passe » La dépravation morale que nous vivons aujourd’hui, a des causes et manifestations. Les principales causes de cette dépravation sont : l’imitation aveugle des autres cultures importées, la lecture de certains ouvrages nuisibles , le manque d’éducation religieux, la fuite de responsabilités de certains parents, la mauvaise compagnie, le fait de mettre l’intérêt particulier au détriment de l’intérêt général, la facilité de l’accès aux moyens de dépravation avec pour principales manifestations : la débauche, la prostitution, l’alcoolisme, la délinquance juvénile, le non-respect des ainés et des parents, etc. Je pleure pour cette jeunesse que les politiciens manipulent à coup du sonnant et trébuchant. Cette jeunesse qui gagnerait mieux à réfléchir à des projets fructueux censés leur procurer un avenir stable et meilleur. Elle préfère plutôt, se fait instrumentaliser par une catégorie d’hommes politiques qui ne pensent qu’à leurs propres intérêts. Elle passe tout son temps derrière les claviers pendant que leurs homologues d’autres pays vont de l’avant et prennent leur destin en main. La jeunesse a faim et se contente du peu qu’elle trouve pour sa survie. Nos politiciens le savent bien. Alors, ils leur jettent la pitance afin qu’ils s’affrontent sur les réseaux sociaux, créant ainsi des dissensions qui n’existent que dans la tête des valets du clavier. Je pleure à fond pour cette jeunesse quand je vois certains avec une plume fouettée mais qu’ils mettent au service du dénigrement et de la médisance. Ils auraient pu écrire pleins d’ouvrages pour la postérité mais ils préfèrent noyer ce talent dans le mal. La dépravation morale est donc un fléau qui empoissonne notre société particulièrement la jeunesse. Chers frères et sœurs en islam ! Tout être humain est un esclave. Vous êtes soit l’esclave d’Allah, soit l’esclave de vos désirs. Vous vivez la vie selon vos règles ou celles d’Allah. Comment le cœur peut-il voyager vers Allah s’il est enchainé par les plaisirs éphémères de ce bas monde ? Ô fils d’Adam ! Vendez ce bas monde pour l’au-delà et vous gagnerez les deux, vendez l’au-delà pour ce bas monde et vous perdrez les deux. L’islam n’est pas un buffet où vous choisissez ce qui vous convient. Ne pas obéir à vos désirs plutôt obéissez à Allah. Trois choses mènent l’homme à sa perte : « une avarice obéie, une passion suivie et sa propre suffisance ».Ne manquez pas la prière à cause des gens. Vous pouvez esquiver la prière mais pas la mort. La première chose qu’un esclave d’Allah sera tenu de rendre compte le jour du Jugement dernier est la prière. Attendre le Paradis tout en négligeant la prière, c’est comme attendre un train à l’aéroport. Ce bas monde n’est pas un lieu de repos. C’est un lieu de test. Ce bas monde a été créé à cause de l’homme mais l’homme a été créé pour l’au-delà. « Ce bas monde est une prison pour le croyant et un Paradis pour le mécréant » (Rapporté par Mouslim) « Celui qu’Allah a prédestiné pour entrer dans le Paradis, les raisons qui entraineront son entrée proviendront des calamités »« Celui qu’Allah a prédestiné pour entrer dans l’Enfer, les raisons qui entraineront son entrée proviendront des convoitises ». Il faut s’habituer alors à une vie rude, car le luxe ne dure pas pour toujours. « Il faut s’habituer alors à une vie rude, car le luxe ne dure pas pour toujours » Ô adorateurs d’Allah ! Ne soyez pas trop heureux par des temps faciles. En vérité l’or est testé par le feu pour sa pureté. De même, un serviteur pieux est éprouvé par des tribulations. Combien de temps la personne sera-t-elle satisfaite de sa vie mondaine ? …Sachant que sa demeure ultime est la tombe. Chaque membre et organe de votre corps vont témoigner contre toutes les actions que vous avez commises dans ce bas monde. Allah dit dans le Saint Coran : « Il ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt à l’inscrire » (Sourate Qaf verset 18) Chers frères et sœurs en Islam ! Sachez que la vie présente est passagère et que la vie future sera éternelle, rivalisez donc dans les bonnes œuvres, avant qu’il ne soit trop tard et demandez compte à vous-même pour vos fautes et pour votre attachement aux plaisirs de ce bas monde car le fidèle raisonnable est celui qui fait son libre examen de conscience et œuvre pour la vie future. L’homme insensé est celui qui se laisse conduire par ses passions en espérant qu’Allah pardonnera ses péchés. Dans la foulée de la vie, et de ses multiples préoccupations successives, on serait inattentif pour son devoir pour lequel on a été créé à savoir : adorer Allah et l’obéissance à ses ordres. Allah le Très-Haut a envoyé les Messagers et fait descendre les livres, créé l’homme et lui a assujetti tout ce qui se trouve dans les cieux et sur la terre, tous cela afin que l’homme Lui obéisse et réalise les exigences de ce devoir. Allah a promis le Paradis à celui qui l’obéit et l’Enfer à celui qui Lui désobéit. Au jour de la Résurrection, les actions des créatures seront exposées à Allah qui placera les balances exactes, nulle personne ne sera lésée, chaque être humain veut se sauver sans réfléchir sur le sort de sa mère, de son père, de son épouse, de ses fils et de ses frères. Allah dit : « Et que ce jour-là, on amènera l’Enfer, ce jour-là, l’homme se rappellera ». Mais à quoi lui servira de se souvenir ? Il dira : « Hélas ! Que n’ai-je fait du bien pour ma vie future ! » (Sourate 89 versets 23 et 24) Ce jour-là toute personne aura des remords pour avoir mal agit ou pour n’avoir pas augmenté ses bonnes œuvres. Ô Adorateurs d’Allah ! Qu’est-ce que vous avez fait pour votre vie future, quelles sont les bonnes actions, leurs qualités et leurs perfections ? Chaque musulman qui souhaite rencontrer son Seigneur, obtenir son Paradis et cherche refuge auprès de Lui contre le Feu, doit s’efforcer de perfectionner ses actes religieux pour être sauvé au jour du Jugement dernier. Chers frères et sœurs en islam ! Nous allons réfléchir sur le mois béni de Ramadan dont les nuits et les jours ont été chargés des actes de dévotion, de jeûne, de prière nocturne et de récitation du Saint Coran. En ce jour de la fête de l’aïd el-fitr, vous allez jouir des choses licites et des moments heureux, mais il est nécessaire, pour beaucoup de gens de rectifier des mauvaises conceptions sur leurs relations avec Allah le Très-Haut lors du mois béni de Ramadan et après Ramadan. Pour cela on doit accompagner toujours les leçons de Ramadan et de son esprit qui appellent à la patience, à la compassion, à l’examen de conscience, à la lutte contre les maux de l’âme pour vaincre l’ennemi qu’est le diable, et à l’attachement à la charité dans tous les domaines de la bienfaisance en tant que constante inchangeable de la religion. Ces leçons nous permettrons de revenir sincèrement à une bonne compétition dans le domaine de la prière et de la droiture et ce conformément à la tradition du Prophète Mouhammad (SAW). Ces leçons nous permettrons également de quitter l’inattention pour passer au réveil, à la vigilance et à la cohésion sociale pour réactiver les valeurs et les idéaux dans les âmes. Ces leçons nous permettront d’accorder une sollicitude particulière à la jeunesse afin de la protéger des idées déviantes et des idéologies destructrices propagées par les ennemis de l’islam. « Certains jeûneurs ont une attitude inverse ; après l’écoulement de Ramadan, ils reviennent aux plaisirs interdits et aux actes de désobéissances ce qui démontre la faiblesse de leur foi et de leur non application du Saint Coran et de la Sunna du Prophète » Chers frères et sœurs en Islam ! Certains jeûneurs ont une attitude inverse ; après l’écoulement de Ramadan, ils reviennent aux plaisirs interdits et aux actes de désobéissances ce qui démontre la faiblesse de leur foi et de leur non application du Saint Coran et de la Sunna du Prophète Mouhammad (SAW). On ne peut pas envisager un musulman qui passe Ramadan en dévotion et adoration puis il se jette par la suite dans le débauche après ce mois béni de Ramadan. Le Seigneur de tous les mois n’est-il pas unique ? Certes, le fidèle qui souhaite le salut et craint son Seigneur passe sa vie en adoration et en obéissance permanente aux ordres d’Allah pour obtenir son agrément et la piété car il réfléchit toujours au verset coranique : « Et adore ton Seigneur jusqu’à ce que te vienne la certitude (la mort) fin de citation du dernier verset de la sourate-Al Hijr. Ô nation de l’islam ! La personne la plus perdante et la plus privée est celle qui n’a fait aucun acte d’obéissance à Allah en insistant tous les jours inestimables de Ramadan à être détournée du guide et du bon chemin dans cette saison de pardon. Allah dit à propos de telles personnes : « Et s’ils voient le bon sentier, ils ne le prennent pas comme sentier. Mais s’ils voient le sentier de l’erreur, ils le prennent comme sentier » fin de citation de la sourate-Al Aaraf verset 146.L’appel doit être lancé à ces personnes pour qu’elles se repentiss­ent, reviennent à Allah, quittent la mauvaise voie et regrettent pour leur manquement envers Allah car la porte du repentir est toujours ouverte. Allah dit dans la Sourate Ta Ha verset 82 : « Et Je suis Grand Pardonneur à celui qui se repent, croit et fait bonne œuvre, puis se met sur le bon chemin »Ô nation de l’islam ! Par contre, nous pouvons voir des convois de pieux qui s’attachent fermement au livre d’Allah et à la sunna du Prophète Mouhammad (SAW) et leur cœur sont pleins de détermination et d’espoir. Ils supplient leur Seigneur pour obtenir les plus hauts degrés du Paradis. Allah les a qualifiés comme suit : « Ils s’arrachent de leur lit pour invoquer leur Seigneur, par crainte et espoir ; et font largesse de ce que Nous leur attribuons. Aucun être ne sait ce qu’on a réservé pour lui comme réjouissance pour les yeux, en récompense de ce qu’ils œuvraient » fin de citation des versets 16 et 17 de la sourate la prosternation. Ô nation de la foi et de la droiture ! Après avoir vécu le mois béni de Ramadan et de la lumière du Coran, la nation musulmane est invitée à un examen sérieux de conscience. Elle est invitée à s’attacher au livre d’Allah et à la sunna du Prophète Mouhammad (SAW), avec un esprit ouvert, une clairvoyance et une modération, afin d’évaluer bien les causes et les modifications et de procéder sans hésitation à des révisions sérieuses dans la pensée et la méthode en vue de réaliser les intérêts, repousser la corruption, renforcer les valeurs de la religion et sauvegarder les vertus, la sécurité et la stabilité. fabio:hasURL https://lanation.bj/ramadan-2022-un-appel-au-retour-des-valeurs-morales/ -- o:id 4646 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4646 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title L'imam Chakirou Amoussou parle du jeûne du ramadan : "Il faut éviter de contempler sa femme avec désir…" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1512 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2021 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/85 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13231 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13221 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2022-04-05 dcterms:identifier iwac-article-0002415 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Durant 30 jours, à compter du samedi 2 avril, les fidèles musulmans sont appelés à observer le jeûne du ramadan en guise de pénitence. L’imam Chakirou Amoussou évoque la signification de ce principe de l’islam et relève les interdits à observer par le pratiquant pour bénéficier des fruits du jeûne. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Durant 30 jours, à compter du samedi 2 avril, les fidèles musulmans sont appelés à observer le jeûne du ramadan en guise de pénitence. L’imam Chakirou Amoussou évoque la signification de ce principe de l’islam et relève les interdits à observer par le pratiquant pour bénéficier des fruits du jeûne. La Nation : Qu’est-ce que le Ramadan ? L’Imam Chakirou Amoussou: Le Ramadan se situe dans le 9e mois du calendrier musulman qui compte environ 354 jours. Ce 9e mois avance de dix jours, chaque année, ce qui explique que le ramadan a lieu, chaque année, à une période différente. Pour définir le début du ramadan, la tradition se fonde sur l’observation de la lune. L’apparition du premier quartier dans le ciel indique la veille du début du ramadan. Il faut dire que le Coran et la Sounna ont prescrit l’obligation du jeûne de ramadan. A l’unanimité, la communauté musulmane l’a confirmé. Dieu dit : « Le mois de Ramadan est celui au cours duquel le Coran fut révélé pour servir de bonnes directions aux hommes, d’explications claires aux préceptes (devins), de critères à la vérité et à l’erreur. Quiconque aura aperçu la nouvelle lune (marquant le commencement d’un tel mois) observera le jeûne (Sourate 2: versets 185) ». Et le prophète ajoute que les fondements de l’islam sont au nombre de cinq à savoir, l’attestation qu’il n’y a de divinité que Dieu et que Mohamed est son prophète, l’accomplissement de la prière, de la Zakat, du pèlerinage et du jeûne du mois de Ramadan. Comment vivre le temps du ramadan ? Le musulman observe les règles fondamentales et les actes louables du jeûne pour bien vivre le Ramadan. Parlant des règles fondamentales du jeûne, il y a l’intention. A ce niveau, le musulman prend la résolution de jeûner pour témoigner sa soumission à Dieu et demander sa grâce. Quand le jeûne est obligatoire, tel que le Ramadan, l’intention est formulée la nuit avant l’aube. Il y a ensuite l’abstinence. Il s’agit d’éviter ce qui rompt le jeûne, c’est-à-dire le boire, le manger et le rapport sexuel. Nous avons aussi la notion du temps. Pendant toute la journée, de la pointe de l’aube au coucher du soleil, Dieu nous recommande d’observer le jeûne jusqu’à la nuit (Sourate 2 : verset 187). En ce qui concerne les actes louables du jeûne, il est recommandé de rompre le jeûne aussitôt que le soleil se couche. Le prophète dit qu’on ne cesse pas d’être dans la bonne voie tant qu’on s’empresse de rompre le jeûne. Il faut manger des dattes ou boire de l’eau pour rompre le jeûne avant d’effectuer la prière du Maghreb (prière de 19 heures). Il est souhaitable que le nombre de dattes soit impair, trois ou cinq ou sept. Et il faut invoquer Dieu au moment même de la rupture du jeûne. Le prophète le faisait en disant : Seigneur ! C’est pour Toi que j’ai jeûné. J’ai rompu mon jeûne en goûtant de ton bien. Accepte notre œuvre ! Tu es celui qui entend tout et dont la science est infinie. Par ta miséricorde qui s’étend à toutes choses, je t’implore de pardonner mes fautes. Le pratiquant prend un repas à la fin de la nuit (Sahour). C’est celui qu’on prend après minuit avec l’intention d’accomplir le jeûne. Le prophète explique que ce qui distingue notre jeûne de celui des autres, c’est le repas de fin de nuit. Prenez le repas de fin de nuit. Il est toutes bénédictions. Retardez l’heure de ce repas jusqu’à la fin de la nuit, a-t-il indiqué. Le prophète déclare : « Ma communauté se portera bien tant qu’elle hâte la rupture du jeûne et retarde le repas de fin de nuit ». Quelles sont les grâces attendues par le musulman à la fin du ramadan ? Le mois de Ramadan a des mérites exceptionnels, confirmés par les hadiths et dépassant les autres mois. Selon le prophète, les cinq prières rituelles, la prière du vendredi jusqu’au vendredi suivant, le jeûne du mois de ramadan jusqu’au ramadan prochain, tous ont un effet absolutoire si on évite les péchés graves. Celui qui jeûne le mois de ramadan avec foi en comptant sur la récompense divine, ses péchés lui seront pardonnés. Quels sont les interdits pendant le Ramadan ? Certains actes sont à éviter en période de jeûne bien qu’ils soient autorisés. Il ne faut pas exagérer le rinçage de la bouche et l’aspiration de l’eau par le nez au moment des ablutions. Le prophète déclare qu’il faut aspirer profondément de l’eau, à moins qu’on ne soit en jeûne. Il l’a déconseillé en cette période, de peur d’avaler de l’eau et de rompre le jeûne. Il ne faut pas également embrasser (avec un désir charnel), car c’est un excitant capable de rompre le jeûne par l’émission du liquide prostatique ou d’entraîner au rapport sexuel, nécessitant une réparation expiatoire. Il faut éviter de contempler sa femme avec désir, d’évoquer les images concernant la sexualité, de toucher une femme avec la main ou une partie du corps, de mâcher du chewing-gum de peur de laisser glisser des débris dans l’estomac, de goûter une sauce pour voir si elle est suffisamment assaisonnée. Il faudra aussi se rincer la bouche sans nécessité en dehors des ablutions, ne pas pratiquer une saignée par l’emploi de ventouses ou autres de crainte de perdre ses forces et finir par rompre le jeûne, éviter d’enduire les paupières de kohol le matin (peindre les paupières). L’après-midi il n’est pas décommandé. Quelles sont les autres restrictions dont la non-observance peut entraîner la rupture du jeûne ? Il est également interdit aux pratiquants de fumer, de boire ou encore d’avoir des relations sexuelles entre la première prière avant l’aube et la quatrième de la journée. Il s’agit de faire pénitence, de pardonner mais aussi de favoriser une forme d’ascétisme et de réflexion. Pendant tout le mois de jeûne, rien ne doit être avalé, en dehors de sa propre salive, par les musulmans pendant la journée, pas même de l’eau. Il est en revanche possible de se brosser les dents en prenant garde de ne pas avaler d’eau. Pour ne pas être tenté, un petit bâtonnet de siwak peut être utilisé en remplacement de la traditionnelle brosse à dents. Les musulmans peuvent néanmoins prendre des douches et aller à la piscine, tout en évitant soigneusement d’avaler de l’eau. La cigarette et l’alcool sont proscrits. Bien que certains musulmans fument, cette pratique est interdite pendant le jeûne et blâmable pendant le reste de l’année. Il en est de même pour la consommation de drogue. Les relations sexuelles sont interdites. Pendant le mois du ramadan, il est proscrit d’avoir des relations sexuelles pendant la journée. Il est même interdit de provoquer volontairement une éjaculation. En revanche, si elle survient pendant le sommeil ou sans stimulation volontaire, elle est excusable. Mais si des pratiquants ont une relation sexuelle pendant la journée, ils doivent non seulement faire une journée de jeûne supplémentaire, car leur journée est perdue, mais ils doivent également expier leur faute. A l’origine, il fallait affranchir un esclave, jeûner pendant deux mois consécutifs ou bien procurer de la nourriture à 60 pauvres. Ces 30 jours sont destinés à faire de bonnes actions et à resserrer les liens avec ses proches. Le fait de proférer des insultes ou de mentir annule donc une journée de jeûne. Si un pratiquant est provoqué, il lui est conseillé de ne pas renchérir mais de répondre qu’il jeûne. Il est interdit de provoquer volontairement un vomissement. Si on ne peut rien faire parvenir dans son estomac la journée, il est également interdit de provoquer soi-même un vomissement. En revanche, si une maladie provoque un vomissement, le jeûne n’est alors pas rompu et le ramadan peut se poursuivre. Dans le cas contraire, le musulman doit rattraper cette journée perdue par un jeûne un autre jour. Le maquillage est interdit. Le port de fards, de crèmes et d’autres poudres n’annule pas le jour de jeûne en lui-même. En revanche, il est fortement déconseillé. Par ailleurs, l’utilisation de khôl est autorisée par certains préceptes. Quant aux parfums, ils ne sont pas interdits mais il est conseillé de les choisir sans alcool. Quel est le lien entre le Ramadan et la Tabaski ? Ce sont deux événements différents d’une importance capitale pour l’islam. En effet, le Ramadan est l’événement que nous avions déjà décrit précédemment alors que la Taska est cette fête qui a lieu le 10 du dernier mois du calendrier lunaire et qui marque la fin du Hadj, c’est-à-dire le pèlerinage à la Mecque. fabio:hasURL https://lanation.bj/limam-chakirou-amoussou-parle-du-jeune-du-ramadan-il-faut-eviter-de-contempler-sa-femme-avec-desir/ -- o:id 4647 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4647 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de la fête de Ramadan 2022 : sermon d'un retour aux valeurs morales à Abomey-Calavi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1530 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/16 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/49 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13231 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14777 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2022-05-03 dcterms:identifier iwac-article-0002416 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les crises économique, sociale et morale se sont invitées dans les sermons de la fête de l’Aïd El-Fitr qui tourne la page du ramadan. A Abomey-Calavi, imams et fidèles appellent au retour aux valeurs morales et à l’acceptation des uns et des autres. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14655 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les crises économique, sociale et morale se sont invitées dans les sermons de la fête de l’Aïd El-Fitr qui tourne la page du ramadan. A Abomey-Calavi, imams et fidèles appellent au retour aux valeurs morales et à l’acceptation des uns et des autres. Temps clément à Abomey-Calavi, ce premier lundi de mai 2022. A peine le soleil a-t-il pointé le bout de son nez que la cour de l’Epp Finafa à Agori est prise d’assaut. L’atmosphère est chaleureuse contrairement aux deux dernières célébrations en demi-teinte, du fait des restrictions liées à la Covid-19. Quand sonne 10 heures, les fidèles se mettent en posture, sur les tapis dressés pour accomplir les deux raka’ats prescrites pour l’Aïd El-Fitr. En première ligne, on retrouve certaines personnalités dont Nassirou Bako-Arifari, qui sont venues aussi rendre grâce à Dieu pour la traversée du mois béni du ramadan. « Nous avons sollicité sa miséricorde, son pardon. Que le tout-puissant fasse en sorte que sa miséricorde soit, pour l’ensemble de la communauté nationale, un acte de paix qui montre la nature de la religion islamique, une religion de tolérance contre toutes les formes d’extrémisme qui créent désolation, angoisse et psychose au sein de nos communautés », confie-t-il. Après les deux raka’ats, assis, les fidèles suivent alors la khutbah, c’est-à-dire le sermon. Une crise morale qui inquiète L’imam El hadj Moutawakil Boukari Malik de la mosquée centrale Médine II d’Agori Plateau évoque dans son sermon ce qu’il appelle une crise morale sans précédent. «on a l’impression que le monde est arrivé à un stade où chacun pense être le maître de lui-même et seul détenteur de la vérité. Ainsi, le vice est pratiqué aussi bien secrètement que publiquement. Il s’agit entre autres de l’alcoolisme, la prostitution, de la délinquance juvénile et j’en passe. Les populations souffrent, les pays se meurent, les espèces animales et végétales tendent à disparaître, la nature se dégrade, la miséricorde et les bénédictions d’Allah se font rares…Tout cela à cause de la dépravation morale qui a conduit les âmes à se pencher désormais vers le mal sous toutes ses formes : mensonge, haine, calomnie, méchanceté, corruption, trahison, faux témoignage, détournement…», fustige l’imam pour dire que ce qui frappe le monde aujourd’hui n’est que la juste rémunération des actes humains. Fin du ramadan, mais pas des interdits Dans la suite de la khutbah, l’imam invite les croyants à faire un examen sérieux de conscience, à s’attacher au livre d’Allah et à la sunna du Prophète. Et ce, avec un esprit ouvert afin de repousser la corruption, renforcer les valeurs de la religion et sauvegarder les vertus. Ceux qui pensent que la fin du ramadan est le début de la débauche, sont désormais avertis « Certains jeûneurs ont une attitude inverse, après l’écoulement de Ramadan, ils reviennent aux plaisirs interdits et aux actes de désobéissance, ce qui démontre la faiblesse de leur foi et leur non application du Saint Coran et de la Sunna du Prophète Mouhammad (Saw). On ne peut pas envisager un musulman qui passe Ramadan en dévotion et adoration puis qui se jette par la suite dans la débauche après ce mois béni de Ramadan », fait remarquer El hadj Moutawakil Boukari Malik. Un appel aux gouvernants D’une crise à une autre, l’imam évoque aussi la crise économique mondiale et la cherté de la vie. « Cette flambée des prix des denrées alimentaires doit attirer particulièrement l’attention du chef de l’Etat », lance-t-il. Puis, El hadj Moutawakil Boukari Malik fait une série de propositions à l’endroit des gouvernants pour juguler la crise. Mais à côté, il tient à l’unité de tous les fils du pays. « Nous pouvons avoir des idées divergentes dans la manière de construire notre pays. Mais, il est nécessaire de toujours maintenir cet héritage de cohésion et d’unité nationale car notre pays est un », martèle-t-il dans son sermon avant d’appeler à obéir à l’autorité du chef de l’Etat, Patrice Talon : « C’est Dieu qui l’a mis là. Le pouvoir est à Dieu et il ne le donne qu’à celui qu’il veut ». Cette prière ouvre ainsi une journée de fête pour toute la communauté musulmane, en famille, entre amis, voire entre voisins. C’est un rituel immuable auquel se prêtent chaque année plus d’un milliard de musulmans dans le monde. fabio:hasURL https://lanation.bj/celebration-de-la-fete-de-ramadan-2022-sermon-dun-retour-aux-valeurs-morales-a-abomey-calavi/ -- o:id 4648 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4648 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration du ramadan : la communauté musulmane d'Akpakpa implore la bénédiction divine dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1503 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/49 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2022-05-03 dcterms:identifier iwac-article-0002417 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Réunie à la place Idi d’Akpakpa, hier lundi 2 mai, pour la prière marquant la fin du jeûne du Ramadan, la communauté musulmane a prié pour la paix et imploré la bénédiction divine sur le Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Réunie à la place Idi d’Akpakpa, hier lundi 2 mai, pour la prière marquant la fin du jeûne du Ramadan, la communauté musulmane a prié pour la paix et imploré la bénédiction divine sur le Bénin. Grand moment de prière à la place Idi d’Akpakpa derrière l’ex-Sobetex, hier lundi 2 mai. Après trente jours de jeûne et de privations diverses, les fidèles musulmans venus d’un peu partout de Cotonou ont prié pour la paix et imploré la miséricorde de Dieu sur eux et sur tous les fils et filles du Bénin. Dans son sermon, El Hadj Ousmane Ibourahima, imam de la mosquée centrale de Jonquet a mis l’accent sur la portée hautement spirituelle de la nuit de la destinée qui intervient dans la dernière décade du mois de Ramadan. Il souligne que cette nuit est capitale pour Dieu parce que lui-même a choisi ce moment pour la descente du Coran, pour accueillir le prophète Mahomet et pour sa propre descente en sa majesté. « Le dernier tiers de chaque nuit, Dieu lui-même descend de son trône au-delà du 7e ciel et vient au 1er ciel et s’adresse à ses fidèles, fils d’Adam en leur demandant leurs besoins divers », explique-t-il. Le guide islamique a invité tous les musulmans à continuer à prier la nuit. « La veillée en prière dans la nuit pendant que les gens dorment a beaucoup plus d’intérêt que ce qui se fait dans la journée», note-t-il. L’imam a profité de l’occasion pour prier pour le chef de l’Etat et son gouvernement ainsi que pour le peuple béninois. Présent aux côtés de ses frères musulmans, Abdoulaye Bio Tchané, ministre d’Etat chargé du Développement et de la Coordination de l’action gouvernementale, note que le Ramadan est la célébration de la foi du musulman, de sa spiritualité et de sa conscience de fidèle. C’est aussi, à l’en croire, l’expression de la solidarité nationale sur le plan social. «C’est la solidarité avec les autres fidèles que sont les chrétiens. C’est bon que dans ce contexte, les musulmans soient solidaires. Le Ramadan pour nous, c’est la célébration de la paix et cette paix est nécessaire aujourd’hui », a-t-il déclaré. En soutien aux frères musulmans, Gratien Adjagboni, deuxième adjoint au maire de Cotonou, a souhaité une bonne fête à toute la communauté musulmane. Il reconnaît que le mois de Ramadan est un mois béni et les prières des frères musulmans pendant ces trente jours ne rejaillissent pas que sur eux mais aussi sur toute la communauté non musulmane. fabio:hasURL https://lanation.bj/celebration-du-ramadan-la-communaute-musulmane-dakpakpa-implore-la-benediction-divine/ -- o:id 4649 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4649 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration du ramadan : Louis Vlavonou rehausse la grande prière à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2047 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2045 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2022-05-03 dcterms:identifier iwac-article-0002418 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de l’Assemblée nationale, Louis Vlavonou, a honoré par sa présence, hier lundi 2 mai, à la Place Idi d’Agbokou à Porto-Novo, la grande prière de la fête du Ramadan encore appelée Aïd-el-Fitr, marquant la rupture du jeûne musulman. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de l’Assemblée nationale, Louis Vlavonou, a honoré par sa présence, hier lundi 2 mai, à la Place Idi d’Agbokou à Porto-Novo, la grande prière de la fête du Ramadan encore appelée Aïd-el-Fitr, marquant la rupture du jeûne musulman. La communauté musulmane de Porto-Novo, à l’instar de celle du monde, a célébré la fête du Ramadan connue sous l’appellation arabe Aïd-el-Fitr, hier lundi 2 mai, pour marquer la fin de trente jours de jeûne et de pénitence. Munis chacun de son tapis, hommes, femmes et enfants se sont vêtus de leurs plus belles tenues pour assister à la grande prière dite à la Place Idi d’Agbokou dans le deuxième arrondissement de Porto-Novo. La prière a été dirigée par l’imam central de Porto-Novo, Houzéifa Amzat, président de l’Union islamique du Bénin (Uib). Celui-ci, dans son sermon successivement en langues arabe, yoruba et française, a salué la marque de solidarité des autorités dont le président de l’Assemblée nationale, Louis Vlavonou, venues communier avec eux pour la prière de rupture du jeûne. Selon lui, la période du jeûne est un mois d’intenses adorations, de partage et de rachat. «C’est une grâce. D’autres ont commencé mais n’ont pas terminé. Il faut donc rendre grâce à Dieu pour ses bienfaits. « Allah nous dit dans le saint Coran: si vous me remerciez, vous en aurez davantage », enseigne Houézéifa Amzat. Il a prié Dieu de guider les pas du président de la République, Patrice Talon, du président Louis Vlavonou et de toutes les autorités du Bénin. Il implore Allah de leur accorder davantage de clairvoyance, de lumière et de sagesse pour conduire à bien leurs missions ô combien nobles. L’imam a exhorté les fidèles de cultiver les vertus de la paix, du pardon, de la tolérance, de l’humilité afin d’être en harmonie avec Allah et de bénéficier de ses grâces et indulgences. La culture de ces valeurs est gage de la consolidation de la cohésion au sein de la communauté musulmane et de son épanouissement, insiste l’imam. Le président de l’Assemblée nationale, Louis Vlavonou, dit être présent pour sacrifier à une tradition. « C’est une tradition pour nous d’être aux côtés de nos frères musulmans. Que cela soit au temps du Ramadan ou de la Tabaski, nous sommes toujours en ces mêmes lieux pour prier le Dieu unique, le Dieu miséricordieux qui a créé le ciel et la terre, a créé tous ceux qui y vivent, y compris nous-mêmes», précise-t-il. Il a dit tout le plaisir pour lui de communier avec les fidèles musulmans de Porto-Novo. «C’est avec un réel plaisir que je me retrouve ici, priant pour le Bénin, pour le chef de l’Etat, pour le peuple béninois», se réjouit le président de l’Assemblée nationale. Louis Vlavonou a salué la forte mobilisation des fidèles musulmans qui ont prié dans l’ordre et la discipline. Le préfet de l’Ouémé a abondé dans le même sens. Marie Akpotrossou a exhorté toute la communauté musulmane de son département en général et de Porto-Novo en particulier à fêter avec modération et à éviter tout excès. La prière a été rehaussée également par la présence du maire de Porto-Novo, Charlemagne Yankoty et bien d’autres autorités politico-administratives de la ville capitale. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20220927131152/https://lanation.bj/celebration-du-ramadan-louis-vlavonou-rehausse-la-grande-priere-a-porto-novo/ -- o:id 4917 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4917 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Cotonou : mendiants de luxe et escrocs déguisés en action dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/27 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-05-29 dcterms:identifier iwac-article-0002468 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Il se développe de plus en plus dans les grandes villes du Bénin, notamment Cotonou, une forme particulière de mendicité. Des personnes bien portantes, richement habillées vous abordent avec des histoires à dormir debout, dans le seul dessein de vous soutirer de l’argent. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Il se développe de plus en plus dans les grandes villes du Bénin, notamment Cotonou, une forme particulière de mendicité. Des personnes bien portantes, richement habillées vous abordent avec des histoires à dormir debout, dans le seul dessein de vous soutirer de l’argent. Belle, teint clair sur un visage rond surmonté d’un joli grain de beauté, on pouvait tout s’imaginer à la vue de cette belle silhouette, la trentaine, sauf la soupçonner de mendier. Pourtant, c’est ce qu’elle s’est donné comme activité, du moins en cette soirée d’un mardi, sur le parking d’un hypermarché de Cotonou. Assise à bord d’un véhicule Almera Tino, couleur grise et d’immatriculation récente, elle semblait préoccupée sur le volant. Un air soucieux qui n’est en réalité que l’appât qu’elle tend à la plupart des clients qui arrivent ou partent des lieux. « Je suis venue pour faire des achats urgents, mais je me rend compte que mon budget ne me le permettra pas. Pourriez-vous m’aider pour 5000 ou 10 000 francs, s’il vous plaît ? » C’est dans un français impeccable que celle qu’il ne serait pas exagéré de désigner par l’appellation « mendiante » a abordé en un laps de temps, trois passants. Deux d’entre eux ont réussi à s’extirper du piège. Troisième, sur insistance de la mendiante finit par mettre la main à la poche. Difficile de dire de combien il a été délesté. Toujours est-il qu’il s’est laissé prendre au piège.  Cette scène, bien d’autres clients de cet hypermarché de Cotonou l’ont vécue. Loin d’être anodin, le phénomène devient récurrent dans la ville de Cotonou notamment ; et les témoignages sur cette forme d’arnaque ne manquent pas. Il suffit d’évoquer le sujet pour que des victimes ou des témoins de telles scènes se vident, car cela relève désormais du quotidien dans la cité économique du Bénin où la vie a l’air d’être de plus en plus chère. Elles sont en effet devenues très nombreuses ces personnes qui trouvent un motif pour se jeter dans la rue, se rendre dans les administrations publiques et privées, ou tout autre endroit propice pour solliciter l’aide de ceux qu’ils y trouvent. Tous les arguments sont bons pour opérer. Ils vont des plus simples aux plus inimaginables et saugrenus. Ces mendiants d’un autre genre y vont de toute leur intelligence. Christian Boko, cadre de l’Administration publique, a également croisé sur son chemin, un dimanche après-midi, un de ces « mendiants de luxe » qui arpentent les rues de Cotonou. « Le monsieur était d’un certain âge, très bien habillé et coiffé d’un beau chapeau. Il disait chercher de quoi payer son taxi pour Porto-Novo. Je m’y rendais aussi, mais toutes mes tentatives pour le convaincre de faire le voyage à deux n’ont pas prospéré. Il insistait pour avoir un billet, ne serait-ce que 1000 francs ». Celui-ci conclut alors qu’il s’agissait d’une arnaque et que son vis-à-vis n’effectuait aucun voyage. Il dut, confie-t-il, le congédier après un bon sermon. Et c’est « sans remords » que l’intéressé aurait poursuivi son chemin, sans doute pour chercher d’autres victimes. Une ‘‘gangrène’’ sociale Ces exemples, loin d’être isolés, abondent dans la ville, chaque jour qui passe. Aux abords des banques et des restaurants, parfois même à l’intérieur, on rencontre de plus en plus ce type de personnages, souvent très élégants qui vous abordent avec sérénité et confessent des difficultés certainement imaginaires auxquelles très peu parviennent à résister. Si souvent ces « mendiants Vip » parviennent à se tirer d’affaire en soutirant de l’argent à leurs cibles, d’autres comme Euphrem Monsi Gandaho par contre sont catégoriques sur le traitement défavorable que méritent ces personnes. Ce technicien en génie civil est très remonté contre cette pratique et invite même à une dénonciation. « Ces personnes constituent une gangrène pour la société à plus d’un titre », opine-t-il, invitant les autorités « à prendre des mesures contre toutes personnes bien portantes qui arpentent les rues ». Selon lui, « C’est une autre forme de criminalité silencieuse et il faut vite la freiner ».  Précieuse Nadie Sèmanou, une internaute, n’est pas d’avis contraire. « Si vous disposez de vos quatre membres et décidez délibérément de signer un pacte avec l’oisiveté, vous représentez un danger pour la société », publie cette dernière, racontant sur sa page Facebook, l’exemple d’une vendeuse d’ananas rencontrée dans un marché. « Elle portait son bébé au dos, de l’ananas sur sa tête et n’était portée à son tour que par une seule jambe et une béquille. Malgré une jambe amputée, cette femme a décidé de dire à la vie que c’est elle-même qui décide de ce qu’elle fera de sa vie et de montrer à la vie que les mille raisons qu’elle lui donne pour se coucher dans le lit de la fatalité représentent pour elle une motivation », a publié il y a quelques jours. Précieuse Nadie Sèmanou, un peu comme pour dénoncer la facilité recherchée par certaines personnes. Des profiteurs Mais à y voir de près, ce dont profitent ces mendiants dits de luxe, c’est de la réalité sociologique du pays. Karen Houéfa Ganyé, docteur en sociologie, reconnaît cette nouvelle forme de mendicité, qu’elle qualifie de « mendicité de classe ». Elle soutient à ce propos qu’« au Bénin, on nous a inculqué l’esprit d’amour, de solidarité et de soutien aux plus démunis, surtout par le biais de la foi et de la croyance ». Pour elle, en effet, ceux qui se livrent à cette forme de mendicité savent que « le Béninois vient en aide quand il se sait en situation de faire bonne action ou d’être bon Samaritain. Donc ils en profitent ».  Ibrahim Moussa, planificateur de formation et fidèle musulman, indique qu’il est demandé aux musulmans d’être généreux en toute circonstance. Ce qui justifie le fait qu’en tout temps, ces derniers témoignent une certaine affection aux mendiants, toutes catégories confondues, et répondent favorablement à leur quête. Il rappelle à ce propos la prescription du saint Coran qui indique : « Quant au demandeur, ne le repousse pas ». Avis très peu partagé en tout cas, par Fidelia Ahlonsou, responsable d’entreprise et chrétienne, qui oppose à cette vue du planificateur et fidèle musulman, « le passage de la Bible qui indiquera qu’il faut manger son pain à la sueur de son front ». L’autre explication que donne la sociologue à ce phénomène en pleine expansion, ce sont les crises que connaît de plus en plus la société, avec son corollaire de chômage, de vie dure et chère, sans oublier « la crise économique qui fait que certains n’arrivent plus à tenir ». Hormis les raisons sus- évoquées, Dr Karen Houéfa Ganyé, trouve également que « la paresse et la quête du gain facile » ont une bonne part dans cette option faite par certains. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20191030221342/http://www.lanationbenin.info/index.php/societe-2/146-societe/16329-cotonou-mendiants-de-luxe-et-escrocs-deguises-en-action -- o:id 4918 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/4918 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Dégel de la crise sociale : le médiateur de la République prend langue avec plusieurs personnalités dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1404 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-03-27 dcterms:identifier iwac-article-0002469 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le médiateur de la République, Joseph Gnonlonfoun, a invité, pour ce mardi 27 mars à 10 h, plusieurs personnalités sociopolitiques et religieuses pour une séance de concertation. Des sources proches de l’institution soufflent que les échanges porteront sur la recherche des voies et moyens pour une sortie rapide et durable de la crise sociale qui secoue l’Administration publique marquée par des grèves perlées dans plusieurs secteurs depuis deux mois environ. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le médiateur de la République, Joseph Gnonlonfoun, a invité, pour ce mardi 27 mars à 10 h, plusieurs personnalités sociopolitiques et religieuses pour une séance de concertation. Des sources proches de l’institution soufflent que les échanges porteront sur la recherche des voies et moyens pour une sortie rapide et durable de la crise sociale qui secoue l’Administration publique marquée par des grèves perlées dans plusieurs secteurs depuis deux mois environ.  Des personnalités comme Bruno Amoussou, Me Robert Dossou, Théophile Nata, Geneviève Boko Nadjo et Léontine Idohou, pourraient prendre part à cette rencontre informent les mêmes sources. Les différentes confessions religieuses, notamment le clergé catholique, les musulmans, les protestants méthodistes et les têtes couronnées, pourraient être représentées. Ces personnalités sociopolitiques et religieuses réfléchiront sur les voies et moyens pour trouver une solution à la situation sociale. La séance de concertation pourrait déboucher sur la mise sur pied d’une délégation qui rencontrera les deux parties, en l’occurrence le gouvernement et les centrales et confédérations syndicales en grève. La délégation pourrait rencontrer aussi le chef de l’Etat et plaider auprès de lui pour la satisfaction des revendications des travailleurs en grève dans la mesure du possible. Il est vrai que le mouvement de débrayage s’essouffle avec la cascade de suspensions de grève dans le secteur de l’éducation. Mais malgré les levées de motions, la reprise des cours n’est toujours pas encore effective dans toutes les écoles. Le Front des trois ordres d’enseignement n’a toujours pas encore levé sa motion de grève. Il en est de même des centrales et confédérations syndicales. Toutes les tentatives allant dans ce sens sont alors à saluer. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20191026170524/http://www.lanationbenin.info/index.php/actus/159-actualites/15547-degel-de-la-crise-sociale-le-mediateur-de-la-republique-prend-langue-avec-plusieurs-personnalites -- o:id 7010 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7010 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7025 26362 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/df9232750634a5c672f677a52d34cb1f59ca3761.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ab777562113640539f2c39b38b3ec6890b1306b6.tiff dcterms:title Le président Soglo se rend au sommet de l'OCI à Dakar dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14082 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14010 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1991-12-06 dcterms:identifier iwac-article-0003229 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Sur invitation de Son Excellence Monsieur Abdou Diouf, Président de la République du Sénégal, le président Nicéphore Soglo participera à la tête d’une importante délégation, au 6e Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de l’organisation de la conférence islamique qui se tiendra à Dakar au Sénégal du 9 au 12 décembre 1991. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Sur invitation de Son Excellence Monsieur Abdou Diouf, Président de la République du Sénégal, le président Nicéphore Soglo participera à la tête d’une importante délégation, au 6e Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de l’organisation de la conférence islamique qui se tiendra à Dakar au Sénégal du 9 au 12 décembre 1991. Le président Soglo profitera de son séjour dans la capitale sénégalaise pour s’entretenir de questions d’intérêts communs et de coopération bilatérale avec plusieurs chefs d'Etats; chefs de gouvernement, chefs de délégations ou personnalités de haut rang participant au Sommet de l‘O.C.I. Le chef de l’Etat quittera Cotonou dans la matinée du 8 décembre 1991. Cotonou, le 6 décembre 1991 bibo:pages 8 -- o:id 7026 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7026 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7038 26363 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fb4a32044183ef20a14316040c65c2a2bb146b41.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5fef4d56d904a34ffabe341b1796e8c593f598e3.tiff dcterms:title Fête du Maouloud : une célébration loin de l'ambiance festive dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-12-01 dcterms:identifier iwac-article-0003230 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Places Idi et mosquées désertes. C’est l’image que donnaient dans la matinée de ce jeudi 30 novembre, jour du Maouloud, ces lieux de regroupement des musulmans à Bohicon comme à Abomey. Une fête diversement appréciée et qui a suscité peu d’intérêt. A l’occasion de cette journée, des séances de prières et de lectures coraniques sont faites un peu loin des mosquées. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Places Idi et mosquées désertes. C’est l’image que donnaient dans la matinée de ce jeudi 30 novembre, jour du Maouloud, ces lieux de regroupement des musulmans à Bohicon comme à Abomey. Une fête diversement appréciée et qui a suscité peu d’intérêt. A l’occasion de cette journée, des séances de prières et de lectures coraniques sont faites un peu loin des mosquées. A la différence des fêtes chrétiennes, les fêtes musulmanes se font loin des mosquées. Pour la communauté musulmane, la mosquée est un lieu saint de prière et non une place des fêtes. La fête du Maouloud symbolisant l’anniversaire de la naissance du prophète Mohamed, n’est pas une obligation pour le musulman. N’étant donc pas une grande fête musulmane, chaque musulman a fait, selon sa foi et sa conscience. C’est du moins le constat fait, ce jeudi matin, autour des mosquées à Abomey comme à Bohicon. A l’instar des musulmans d’ailleurs, la communauté musulmane de ces deux villes a célébré le Maouloud loin des ambiances festives. Selon Abdou Karim Abou, assistant d’imam, ce jour coïncide avec le douzième jour du troisième mois lunaire du calendrier musulman dénommé le «Rabi al Awal». C’est bien cette date qui correspond à celle de la naissance du prophète Mohamed. Il assure que tous les musulmans savent que cette fête n’est pas inscrite dans le saint-Coran. Ce sont les non-musulmans qui croient que cette date mobilise les croyants à la mosquée. On se retrouve par endroits pour la récitation des louanges au prophète. Pas de sourates à cette occasion. Des musulmans ne voient donc pas l’intérêt de donner un cachet particulier à cette date, en l’absence d’une disposition de la religion elle-même. Pour ce jeudi, comme tous les matins, les prières se sont déroulées dans les mosquées. Puis, le reste de la journée, elles sont restées fermées et les imams loin des lieux. Les groupes de croyants qui le souhaitent, se sont regroupés dans les maisons et autres lieux de rencontre pour lire le Coran tout en se souvenant, à souhait, de ce jour anniversaire de la naissance du prophète. Autour de la mosquée de Zongo à Bohicon, les petits vendeurs vont et viennent, visiblement ignorant cette célébration. Pourtant, non loin, sous des tentes, des groupes se retrouvent. Approché Issa Youssouf, cinquantenaire et vendeur non loin de la mosquée Zongo dira que « la célébration du Maouloud n’est pas une prescription ; le prophète Mahomet, de son vivant, ne l’avait jamais consacrée et avait d’ailleurs toujours insisté sur le strict respect des prescriptions coraniques ». Alors, parce que la fête de Maouloud n’est pas inscrite dans le saint-Coran, tous les musulmans ne se mobilisent pas systématiquement pour sa célébration. Toutefois, Issa Youssouf reconnaît que certains comme lui se sont réunis « le matin à 10 h pour lire les récits de louanges au prophète à cette occasion. C’est juste une reconnaissance de la personnalité du prophète Mohamed, son œuvre en faveur du monde entier». Alors, pour la communauté musulmane d’ici, le Maouloud n’est pas forcément une fête religieuse consacrée par le Coran. Et chaque musulman a fait selon sa foi et surtout le Coran. bibo:pages 9 -- o:id 7027 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7027 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7039 26364 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1a7bf33ea7ce953c8a2d15c2992af3dbdd4c8bf8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/92514e479d49fb976fd64b130ca13fa36a134cb8.tiff dcterms:title Athiémé : la Jama'at islamique Ahmadiyya tient un camp médical dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-02-14 dcterms:identifier iwac-article-0003231 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Un camp médical a été organisé hier, mardi 13 janvier au Centre de promotion sociale d’Athiémé par la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin. Les opérations sanitaires ont démarré après une cérémonie présidée par le chef missionnaire Ahmad Farooq Rana et le maire de la commune Joseph Anani. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/278 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Un camp médical a été organisé hier, mardi 13 janvier au Centre de promotion sociale d’Athiémé par la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin. Les opérations sanitaires ont démarré après une cérémonie présidée par le chef missionnaire Ahmad Farooq Rana et le maire de la commune Joseph Anani. Inscrit dans le cadre d’un vaste programme d’assistance, à l’échelle nationale, aux personnes vulnérables, le camp médical d’hier a permis d’offrir gracieusement des consultations et des médicaments. Les consultations médicales ont porté, notamment, sur les maux d’yeux et quelques autres pathologies. Elles ont été dirigées par le médecin en chef de l’hôpital Ahmadiyya de Porto-Novo, Dr Mahmood Ahmad Bhunnu, et son équipe qui n’ont pas chômé. Des citoyens d’Athiémé et ceux des communes limitrophes ont effectué massivement le déplacement en vue de bénéficier des soins. Cette activité humanitaire est une contribution de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin au développement du pays, a expliqué Ahmad Farooq Rana, président de cette communauté des fidèles de l’Islam. Mais au-delà, ajoutera-t-il, c’est la traduction, dans la vie réelle, de la devise qui caractérise la Jama’at islamique Ahmadiyya à savoir, « l’amour pour tous, la haine pour personne ». Témoin de l’expression renouvelée de cette devise envers ses administrés, le maire, Joseph Anani, se confond en remerciements.Il n’a pas manqué de souligner la constance des interventions de la Jama’at islamique Ahmadiyya dans sa commune, en rappelant quelques assistances obtenues,pendant la période des inondations. A sa suite, le directeur départemental de la Santé, Dr Etienne Hounkonnou, salue l’initiative du camp médical et encourage les responsables de la Jama’at islamique Ahmadiyya. « Votre action conforte la thèse que les problèmes de santé, justifiera-t-il, ne dépendent plus des agents de santé seuls mais de tous ». Les interventions de la Jama’at islamique Ahmadiyya vont bientôt se densifier et s’ouvrir à toutes les populations du Mono, selon le chef missionnaire Ahmad Farooq Rana. « Dans les prochains jours, annonce-t-il, une clinique mobile dotée de bloc opératoire ophtalmologique sera ici dans le département pour aider ceux d’entre vous qui ont des affections aux yeux, et surtout ceux souffrants de la cataracte ». bibo:pages 11 -- o:id 7028 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7028 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7040 26365 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e31658751bbedcd96a1be7c0624ca1facf6e505b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3847d606da25670802e4d036b13253bc6dd518dc.tiff dcterms:title 50 puits du Fonds koweitien pour les populations du département du Mono dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/789 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-12-27 dcterms:identifier iwac-article-0003232 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les populations des villages du Mono dépourvues d’eau potable pourront bientôt bénéficier du secours du projet du Fonds koweitien qui va forer prochainement 50 puits dans le département. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/278 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les populations des villages du Mono dépourvues d’eau potable pourront bientôt bénéficier du secours du projet du Fonds koweitien qui va forer prochainement 50 puits dans le département. C’est ce qui ressort de la séance d’information qu’ont organisée mardi dernier au CEG de Klouékanmé les responsables dudit projet à l’intention des maires, des chefs de village et des membres de l’Association de développement de la sous-préfecture de Klouékanmé. Les techniciens du projet, sous la conduite de M. Jean Pierre Billiault, chef de mission de la Société grenobloise d’étude et d’application hydraulique (SEGREAH) ont déclaré aux participants à la séance que tout bénéficiaire du projet doit fournir une somme complémentaire de 184.000 F CFA. M. Anatole Léon Fassinou, chef du service hydraulique du Mono, appuyé de ses collaboratrices, Véronique Ayissi et Solange Loko, ont apaisé les inquiétudes des populations qui jugent trop élevée cette participation exigée. Les puits à creuser, seront plus durables et plus sécurisants que les puits traditionnels, devait expliquer à l’assistance M. Fassinou. Une réunion de sensibilisation au niveau de chaque village de la sous-préfecture de Klouékanmé permettra d’ici au 14 janvier 1994 de déterminer le nombre de bénéficiaires des puits à forer par le projet. L’équipe de sensibilisation et d’information a rencontré mercredi dernier les populations et les autorités politico-administratives des sous-préfectures de Djakotomey et d’Athiémé. (ABP) bibo:pages 3 -- o:id 7029 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7029 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7041 26366 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/21c169270ed84e654aef7765bc5935c9f296790f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/677bffa14857c7c632b18a6d3b61011845d9c096.tiff dcterms:title Bénin/OCI : vers l'implantation au Bénin de la Banque Islamique d’investissement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/789 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13399 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1428 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-08-13 dcterms:identifier iwac-article-0003233 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’Organisation de la conférence islamique (OCI) aurait jeté son dévolu sur le Bénin dans la sous-région ouest-africaine pour abriter la Banque islamique d’investissement, a annoncé hier, un communiqué de presse du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération. Ce communiqué cite un message du secrétaire exécutif de l’OCI dont le porteur a été reçu en audience hier matin par le ministre béninois des Affaires étrangères, M. Théodore Holo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’Organisation de la conférence islamique (OCI) aurait jeté son dévolu sur le Bénin dans la sous-région ouest-africaine pour abriter la Banque islamique d’investissement, a annoncé hier, un communiqué de presse du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération. Ce communiqué cite un message du secrétaire exécutif de l’OCI dont le porteur a été reçu en audience hier matin par le ministre béninois des Affaires étrangères, M. Théodore Holo. Selon l’envoyé spécial de l’OCI, M. Moussa Oumarou, ce message porte sur l’arrivée très prochaine au Bénin d’une mission conjointe OCI-groupe saoudien Al-Barakah pour la prospection en vue d’implanter une banque d’investissement dans notre pays. Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération a, pour sa part, exprimé le souhait que de telles actions de partenariat avec des hommes d’affaires pouvant mobiliser des ressources financières soient multipliées. (ABP) bibo:pages 8 -- o:id 7030 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7030 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7042 26367 26368 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bea3bf51e3229eadeed727603dd7680bc4a830eb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4aba6f3352a4b4e49f7c102a1ee6751ed817a16e.tiff https://islam.zmo.de/files/original/8016e68ae2256646b405c93369ed6baaee7ed482.tiff dcterms:title Bantè : la communauté musulmane en ébullition dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1496 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14231 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13066 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13822 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13458 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-08-30 dcterms:identifier iwac-article-0003234 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Que se passe-t-il donc au sommet de la hiérarchie religieuse musulmane de Bantè pour que les fidèles de cette communauté en soient parvenus à se scinder en deux tendances distinctes, ayant chacune à sa tête un guide spirituel ou imam ? Le dévouement à Dieu doit-il s’embarrasser de considérations bassement matérielles et égoïstes ou doit-on plutôt, en tant que serviteur de Dieu, s’astreindre à beaucoup d’humilité, d’abnégation et de charité humaine? Tel ne semble pas être le cas aujourd’hui à Bantè où le drame qui se joue au sein de l’importante communauté musulmane confine plutôt à une manifestation de xénophobie, à un relent pur et simple de frivolité et de rejet d’autrui. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14426 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Que se passe-t-il donc au sommet de la hiérarchie religieuse musulmane de Bantè pour que les fidèles de cette communauté en soient parvenus à se scinder en deux tendances distinctes, ayant chacune à sa tête un guide spirituel ou imam ? Le dévouement à Dieu doit-il s’embarrasser de considérations bassement matérielles et égoïstes ou doit-on plutôt, en tant que serviteur de Dieu, s’astreindre à beaucoup d’humilité, d’abnégation et de charité humaine? Tel ne semble pas être le cas aujourd’hui à Bantè où le drame qui se joue au sein de l’importante communauté musulmane confine plutôt à une manifestation de xénophobie, à un relent pur et simple de frivolité et de rejet d’autrui. Les faits A l’origine de la pomme de discorde entre les fils de Bantè se trouve le personnage de l’actuel imam central de Bantè, El Hadj Mounirou Arouna Irénicaché, un septuagénaire sobre, vif et alerte, à l’allure svelte et au regard malicieux. Cet érudit de l’Islam a été aussi l’instituteur principal de Bantè devant qui des générations d’enfants de cette localité oht défilé, les uns pour acquérir l’enseignement moderne, les autres aussi bien instruction moderne que savoir coranique. Arrivé en 1946 à Bantè à sa sortie de l’Ecole Normale de Dabou (Côte d’Ivoire), El Hadj Mounirou Arouna Irénicaché, mû par sa vocation naturelle pour l’Islam, s’est évertué à en approfondir tous les aspects qu’il consacrera par des pèlerinages successifs à la Mecque d’où il reviendra auréolé et ragaillardi pour se lancer dans sa grande quête d’hommes pour l’Islam, et cela surtout à une période où Bantè croulait sous l’emprise du féodalisme et du fétichisme. Mû par sa foi et encouragé par le colonisateur, le jeune instituteur affranchira nombre d’enfants, tout en se consacrant au rayonnement de l’Islam au service duquel il se mettra entièrement après la retraite. Et c’est d’ailleurs pour pérenniser sa confiance en Dieu que l’imam Irenicaché bâtira de ses propres mains et du produit des quêtes récoltées, une imposante mosquée à double niveau au coeur de la ville et à quelques mètres de la modeste case en banco qu’il habite et où accroupi sur le sol, il s’adonne sans relâche à la lecture des écritures sacrées du Coran. Il est naturellement évident que le fait d’avoir réussi dans un milieu aussi «hostile» vous tisse de solides inimitiés, et cela s’est traduit sur le terrain pour El Hadj Mounirou Arouna Irénicaché par des provocations grotesques, des diffamations en tous genres et même par des tentatives d’assassinat. Néanmoins, fort de la confiance des populations et de sa foi inébranlable en Dieu et sentant les premiers stigmates de l’âge, El Hadj Mounirou Arouna s’est finalement résolu à former un successeur que, pendant plus de 8 ans, il a initié à la connaissance et à la culture arabes. Et c’est ce fils spirituel du nom de El Hadj Marna Seïdou qui serait, dit-on, à la base des remous qui agitent aujourd’hui la communauté musulmane. Qu’a donc fait cet homme vertueux pour mériter un tel sort ? A quoi rime la fronde de ces jeunes gens qui piaffent d’impatience à accéder à la charge suprême et qui n’hésitent pas au besoin à rappeler à leur guide ou tuteur spirituel son origine et sa terre de naissance? Les causes de la division En effet, pour El Hadj Marna Seïdou, ses partisans et leur chef de file, Boukari Mohamed qui viennent de fonder une nouvelle mosquée et une association dénommée «Comité An Sor Dine», il s’agit plus que jamais de s’immiscer dans la gestion de toutes les affaires qui concernent le développement spirituel et religieux de la ville de Bantè. Ce à quoi, disent-ils, El Hadj Mounirou Arouna Irénicaché s’est toujours opposé par ses actes. Deuxièmement, la tendance dissidente s’oppose à la rupture des liens de sujétion qui existent entre le grand Imam d’Abomey et la communauté musulmane de Bantè, que El Hadj Mounirou Arouna aurait déjà unilatéralement rompus; en procédant donc ainsi, estiment-ils, l’imam de Bantè en l’occurrence El Hadj Mounirou Arouna se serait de lui-même disqualifié. Enfin, «le Comité An Sor Dine» reproche à l’Imam de Bantè ses airs de suffisance, de fatuité de même que ses prêches acerbes à l’endroit des populations. C’est donc pourquoi en ne contestant pas la charge d’Imam qui lui a été dévolue par leurs parents et les sages, ils souhaitent quand même qu’il renonce volontairement au titre d’Imam central de Bantè d’une part et que de l’autre, il se contente uniquement du titre honorifique d’imam et n’ait plus à jouer aucun rôle officiel lors des manifestations qui se dérouleraient à Bantè. Toutes décisions, que le «Comité An Sor Dine» a d’ailleurs pris le soin de notifier tant aux autorités politico-administratives qu’aux instances religieuses du département. Des motifs de satisfaction Au regard de tous ces faits déplorables, le vieil imam de Bantè éprouve encore beaucoup de motifs de satisfaction même si on l’invite à retourner à Sakété sa terre d’origine car non seulement la dissidence est circonscrite, mais aussi la grande majorité des fidèles n’a pas déserté ses rangs et continue toujours à le considérer comme leur guide spirituel. De plus, c’est encore à lui qu’échoient tous les honneurs officiels cas de manifestations. C’est donc pourquoi l’Imam Mounirou Arouna Irénicaché estime qu’il n’a pas «à éprouver de la frousse face à de telles menées qu’il revient au Tout-puissant de juger». Mais au-delà de cet épiphénomène, ne s’agit-il pas en réalité d’une manifestation congénitale propre aux populations de cette contrée pour qui tout étranger est par essence un «Alédjo» venu par les exploiter et exploiter les richesses de leur soi? Pour cette raison, il doit être craint et haï. C’est donc pourquoi un «Alédjo» ne doit rien «posséder» à Bantè et ne doit pas non plus «s’approprier de terres pour se livrer aux cultures industrielles. A moins que cet étranger ne s’intègre à la communauté par les liens de mariage ou de famille. Et si l’envie ne lui prend pas, qu’il ne soit pas surpris de subir la fameuse règle de joladjè» ou «nous suçons l’étranger» ou bien «nous profitons de l’étranger à Bantè». A bon entendeur... bibo:pages 1 8 -- o:id 7031 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7031 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7043 26369 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/08e83ebcf408f190574688cf51248e061110bdb0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/26d0869be6e3701bac8205edf41c3cf23bf84716.tiff dcterms:title Le président Soglo rencontre les responsables des cultes religieux : haro sur les démons de l'intolérance, de la division et de la violence dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1496 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1396 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1985 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13104 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/116 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-07-28 dcterms:identifier iwac-article-0003235 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Mieux vaut prévenir que guérir! Tel pourrait être en substance l’enseignement principal à tirer de la grande rencontre qui s’est tenue hier malin dans la salle du Peuple du palais de la présidence et qui a réuni le chef de l’Etat, entouré de quelques uns de ses collaborateurs, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, les préfets de nos 6 départements, les responsables de nos forces de sécurité publique (gendarmerie, police) avec les dignitaires des différents cultes religieux de notre pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/300 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15349 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Mieux vaut prévenir que guérir! Tel pourrait être en substance l’enseignement principal à tirer de la grande rencontre qui s’est tenue hier malin dans la salle du Peuple du palais de la présidence et qui a réuni le chef de l’Etat, entouré de quelques uns de ses collaborateurs, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, les préfets de nos 6 départements, les responsables de nos forces de sécurité publique (gendarmerie, police) avec les dignitaires des différents cultes religieux de notre pays. En ouvrant la séance, le président Nicéphore Soglo a indiqué que le but de cette rencontre est de trouver les voies et moyens pour lever les incompréhensions et les équivoques qui ont surgi ces derniers temps entre différentes communautés religieuses et traditionnelles et qui ont abouti dans certains cas à des affrontements fratricides et meurtriers. Il s’agit dès lors de trouver des solutions pratiques pour juguler leur renouvellement et permettre ainsi à tous les citoyens de vivre dans la paix et l’harmonie, grâce au rôle d’arbitrage que l’Etat est appelé à jouer dans les rapports interconfessionnels. Une multitude de signaux d’alarme Prenant ensuite la parole, le ministre Richard Adjaho, dans un exposé clair et concis, a retracé les différents incidents enregistrés depuis le début de l’année sur le territoire national. Il s’agit notamment, indiquera le ministre de l’intérieur et de la Sécurité publique, des regrettables événements survenus en avril 1993 à Porto-Novo entre adeptes du culte Zangbéto et fidèles de la communauté musulmane et qui se sont soldés par des blessés et des pertes en vies humaines. Il s’agit également du récent conflit qui a opposé adeptes du culte vodun et membres du clergé catholique à Covè et qui a conduit à la fermeture momentanée de l’Eglise de Covè. Il s’agit enfin d’un dernier incident interconfessionnel qui a surgi à Tokpadomè. Face à tous ces phénomènes nouveaux qui se développent dans notre pays, le ministre Adjaho a estimé qu’il faudra tout mettre en œuvre pour que ces incidents ne dégénèrent et n’aboutissent en fin de compte à des luttes entre différentes confessions, car elles sont difficilement maîtrisables et peuvent embraser l’ensemble du territoire national. Les griefs formulés La parole fut ensuite accordée aux différents notables religieux qui ont, tour à tour, déploré le manque de tolérance, le sectarisme, la négation des valeurs traditionnelles, la prolifération des sectes et autres confréries, de même que l’extrémisme religieux de certains fidèles. Deux interventions capitales ont cependant dominé cette joute oratoire au sommet et jeté les bases d’un véritables rapprochement interconfessionnel. Il s’agit des interventions de Mgr Isidore de Souza et de M. Sossa Guèdèhounguè. En effet pour le prélat catholique, la question du jour se révèle comme un problème «complexe», compliqué et sérieux» qui appelle d’autres rencontres. Cela requiert des valeurs morales et spirituelles telles que le respect mutuel, la tolérance, l’amour du prochain. Pour ce faire, tout individu doit consentir un effort pour se surpasser afin d’aller à la rencontre de l’autre. Il faut également faire preuve de patience, d’objectivité et de volonté. Mais puisque nous sommes appelés à vivre ensemble, il faut que les uns et les autres se rendent à l’évidence que notre pays est désormais un Etat pluraliste au plan politique, économique, social, culturel et religieux, et toute référence au monolithisme doit être bannie. De plus, nous devons avoir une conscience plus claire de la tolérance dans tous nos rapports et nous astreindre dans nos différents sacerdoces à l’abnégation et à l’humilité pour chanter et magnifier la gloire de Dieu. Aussi Mgr de Souza a-t-il émis le vœu de nouvelles rencontres avec les autres dignitaires de culte pour aplanir les divergences. Embouchant la trompette de son prédécesseur, le chef du culte vodun, Sossa Guèdèhounguè, tout en blâmant les railleries dont est victime sa religion, a émis le vœu ardent de l’organisation d’une grande rencontre nationale des dignitaires religieux pour des concertations plus approfondies et l'amorce d’un dialogue franc et constructif. Préserver la paix publique Au terme de ce riche et passionnant échange d'idées, le président Soglo s’est félicité de cette rencontre dont l’objectif est de retrouver une paix normale et durable sur la base des textes de notre Constitution et sur la nature de notre Etat qui est d’être laïc et neutre. C’est donc pourquoi il a exhorté tous les participants à la tolérance, à la solidarité, au respect mutuel et à la fraternité pour éloigner le spectre du chaos, de la violence, et de la désintégration qui mine certains Etats environnants. Certes, ajoutera-t-il, «la réunion d’aujourd’hui est un début de dialogue qui permet de lever déjà quelques incompréhensions et quelques équivoques. Car après tout, chacun a le droit de pratiquer sa religion, mais cela dans le respect de l’autre. C’est un signal que la providence nous envie par ces différents incidents et il faut dès lors que nous trouvions un mécanisme de dialogue pour régler ce genre de problème. Dans ce cadre, il s’agira de se retrouver périodiquement entre Etat laïc et responsables religieux pour établir un code de bonne conduite. Pour ce faire, le MISAT prendra contact avec chaque groupe pour définir les modalités de cette réunion. Si nous considérons que dans nos familles, il existe toutes les croyances et que cela n’empêche pas l’harmonie, pourquoi n’érigerions-nous pas ce principe au niveau de l’Etat? De nos jours, certaines religions sont monothéistes, d’autres ne le sont pas. Dès lors, la quête de fidèles se révèle comme une compétition qui doit être pacifique. Tous ces faits doivent être expliqués aux fidèles qui doivent se déterminer en toute liberté. C’est donc pourquoi, je formule le vœu que s’instaure rapidement ce mécanisme de dialogue qui devra se mettre en branle chaque fois que surgit un conflit afin d’éviter que la paix publique ne soit pas troublée et qu’il n’y ait pas atteinte à la vie, à la liberté et aux biens des paisibles citoyens, notre devoir étant de bâtir notre nation dans la paix, l’amour et le dialogue». bibo:pages 3 -- o:id 7032 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7032 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7044 26370 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5683f5955ac560e8a7417b4da2bbeb8f34f5415a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/141e7972c91f2615463af361ebc724e3eb7088c4.tiff dcterms:title Rencontre du MISAT avec les communautés en conflit à Porto-Novo : les Ouémènou ont réussi à laver le linge sale en famille dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1498 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14471 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-05-27 dcterms:identifier iwac-article-0003236 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’ambiance fraternelle qui a animé la séance de travail que le ministre de l’intérieur, de la Sécurité et de l’Administration Territoriale, M. Richard Adjaho, a eu mardi dernier avec la communauté musulmane et les représentants des adeptes de culte Zangbéto de Porto-Novo, prouve une fois encore que les deux communautés sont condamnées à vivre ensemble et ont, de surcroît, réussi à laver le linge sale en famille. Cette séance à laquelle ont pris part les principales confréries de Porto-Novo que sont les représentants des sages, la délégation des cinq dynasties royales et les représentants de l’Association de développement de Porto-Novo, le ton adopté a été plutôt modéré et réconciliant. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’ambiance fraternelle qui a animé la séance de travail que le ministre de l’intérieur, de la Sécurité et de l’Administration Territoriale, M. Richard Adjaho, a eu mardi dernier avec la communauté musulmane et les représentants des adeptes de culte Zangbéto de Porto-Novo, prouve une fois encore que les deux communautés sont condamnées à vivre ensemble et ont, de surcroît, réussi à laver le linge sale en famille. Cette séance à laquelle ont pris part les principales confréries de Porto-Novo que sont les représentants des sages, la délégation des cinq dynasties royales et les représentants de l’Association de développement de Porto-Novo, le ton adopté a été plutôt modéré et réconciliant. Le ministre qui s’est fait entourer du préfet du département de l’Ouémé, M. Godfried Johnson, le commissaire central de la ville de Porto-Novo et le sous-préfet de la circonscription urbaine de Porto-Novo, a, pour commencer son message exhortant les deux communautés à la compréhension, déclaré: «Lorsque, pour une raison ou pour une autre, l’ordre établi est rompu, il faut nécessairement chercher et trouver au plus tôt les voies et moyens adéquats à son rétablissement». Pour le ministre de l’intérieur, les événements douloureux des 16, 17 et 18 avril derniers qui ont opposé la communauté musulmane aux adeptes du culte Zangbéto ont surpris plus d’un. En raison, dira-t-il, de la bonne humeur fraternelle qui a toujours caractérisé la population de Porto-Novo. Cette population, fera souligner le ministre Adjaho a, «malgré la diversité des origines ethniques, des religions et des cultes, su depuis des siècles, vivre en symbiose et offrir l’exemple de l’harmonie et de l’équilibre». Il rassurera les uns et les autres en promettant que la séance de mardi dernier n’était pas destinée à établir les responsabilités dans ce qui est arrivé mi-avril à Porto-Novo. Le ministre a affirmé qu’il est plutôt préférable de s’appesantir sur les mécanismes susceptibles de permettre aux deux communautés de se pardonner mutuellement, de renouer le dialogue, de se réconcilier définitivement et de vivre en paix. Après le message du ministre de l’intérieur, les différentes délégations présentes ont, tour à tour, pris la parole pour donner leurs points de vue sur le travail abattu par le comité de crise et de réconciliation. Ce fut d’abord les responsables de ce comité de crise qui ont pris la parole pour rassurer le ministre, en signifiant que des contacts sont déjà pris aux différents niveaux pour que les événements de mi-avril ne se produisent plus. Pour eux, le gouvernement devra contribuer à la procédure de réconciliation en dédommageant les victimes de cette affaire. M. Karim da Silva, qui a épilogué sur cet aspect, a insisté pour affirmer que ce geste du gouvernement peut faciliter davantage le rapprochement entre les deux communautés qui ont déjà compris qu’il n’existe aucun différend fondamental pouvant les diviser longtemps. Tous les autres intervenants ont abondé dans le même sens en demandant au ministre de l’intérieur de plaider leur cas auprès du président de la République. Le ministre de l’Intérieur, M. Richard Adjaho, a repris la parole pour affirmer que toutes les parties peuvent compter sur lui, car il fera l’essentiel pour défendre, comme elles le souhaitent, leur cas auprès du président de la République. bibo:pages 3 -- o:id 7033 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7033 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7045 26371 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fade9dd193c6b1eb442f293d7e01e7a35f82ab53.pdf https://islam.zmo.de/files/original/243b40160a15b2abb1a3e84defc71309b01f634b.tiff dcterms:title Commission mixte Bénin-Emirats Arabes Unis : définir les bases de la coopération entre les deux Etats dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1504 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14631 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-05-11 dcterms:identifier iwac-article-0003237 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Jeter les bases d’une nouvelle forme de coopération arabo-africaine, tel est le but de la première session de la grande commission mixte Bénin-Emirats Arabes Unis qui a entamé jeudi dernier à la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, ses travaux. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13927 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/309 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Jeter les bases d’une nouvelle forme de coopération arabo-africaine, tel est le but de la première session de la grande commission mixte Bénin-Emirats Arabes Unis qui a entamé jeudi dernier à la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, ses travaux. Pendant deux jours, experts béninois et émiratis ont eu à définir les voies et moyens pour faire de la coopération naissante entre les deux Etats, un exemple de coopération Sud-Sud fondée sur la complémentarité, une exploitation judicieuse des compétences de chacun, des aptitudes et des capacités de chaque pays. Qu’il nous souvienne en effet que, fidèle à la volonté des forces vives de la nation qui ont opté en février 1990 pour une diplomatie plus souple, tous azimuts et sans exclusive, le président Soglo a effectué du 15 au 20 mai 1992, une visite de travail dans le Golfe persique. Aux Emirats Arabes Unis où les deux délégations ont abordé les possibilités d’une franche coopération entre Cotonou et Abu Dhabi, Son Altesse Cheikh Zayed Ben Sultan Al Nahyan, président des E.A.U, a suggéré la création d’une commission mixte pour étudier les différents domaines de cette coopération. C’est pour respecter la volonté des deux chefs d’Etat que les techniciens béninois et émiratis se sont concertés pendant deux jours. Intervenant à cette occasion, M. Guy André Ologoudou, secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération a fait remarquer que le Bénin souhaite de tout coeur que ce rapprochement entre les deux pays puisse résister aux affres du temps, s’enraciner et se développer dans les intérêts bien compris des deux peuples. C’est pour cette raison qu’il a invité les membres des deux délégations à tout mettre en oeuvre pour définir les voies et moyens d’une coopération utile et aménager un espace de solidarité et d’interdépendance afin de favoriser l’éclosion d’une coopération féconde au service de laquelle les deux parties se doivent de mobiliser toutes leurs énergies. A son tour, M. Mohamed Khalif Al Yussif, directeur des relations économiques au ministère des Affaires étrangères et chef de la délégation émiratie a réitéré la disponibilité de son Etat à jeter un pont solide d’amitié entre les deux pays. Selon lui, la délégation des Emirats Arabes Unis fera tout ce qui est de son pouvoir pour que les assises de Cotonou dont dépend la suite des relations aboutissent à de bons résultats. Il s’est enfin félicité à l’accueil chaleureux et de l’ambiance de franche collaboration qui caractérisent les négociations entre les deux délégations. C’est dans ce décor rassurant et prometteur que les experts des deux pays ont exploré les domaines de l’agriculture, du commerce, des communications et de l’énergie. bibo:pages 8 -- o:id 7034 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7034 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7046 26372 26373 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e19e0562af4c5e5dadaf02ca06a3dd9b4309ecad.pdf https://islam.zmo.de/files/original/170fef4751aec271fefd869f1ab4f85771a7091b.tiff https://islam.zmo.de/files/original/b319d018986e928ddf94b753cc95a2746959ae02.tiff dcterms:title Incidents socio-religieux à Porto-Novo : Agnambodè Liamidi Adissa, le principal instigateur, sous les verrous dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1497 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14471 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-04-23 dcterms:identifier iwac-article-0003238 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract On ne peut toucher au beignet sans s’enduire la main d’huile. C’est là, un proverbe bien connu de chez nous et le sieur Agnambodè Liamidi Adissa, 38 ans, chauffeur de son état et demeurant au quartier Lokossa à Porto-Novo, l’apprendra à ses dépens. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content On ne peut toucher au beignet sans s’enduire la main d’huile. C’est là, un proverbe bien connu de chez nous et le sieur Agnambodè Liamidi Adissa, 38 ans, chauffeur de son état et demeurant au quartier Lokossa à Porto-Novo, l’apprendra à ses dépens. Progressivement donc, l’étau de la police nationale se resserre autour des auteurs des récents incidents qui ont fait à Porto-Novo plusieurs victimes, dont un mort, une douzaine de blessés, plus de 44 interpellations dont deux femmes et d’importants dégâts. L’on se souvient que lors de la rencontre que le préfet du département de l’Ouémé avait eue lundi dernier avec les représentants des deux parties en conflit, à savoir les Goun des groupes «Zangbéto» et les membres de la communauté musulmane, le nom d’un certain Adissa a été plusieurs fois cité comme étant l’un des principaux instigateurs de ces douloureux événements. Mercredi dernier encore, ce nom a été communiqué au ministre de l’Intérieur, de la Sécurité et de l’Administration Territoriale, M. Richard Adjaho qui tenait une séance de travail avec les responsables politico-administratifs de la ville de Porto-Novo, les sages et autres notabilités de la cité en vue de la recherche des voies et moyens à mettre en oeuvre pour ramener la paix et la concorde au plus vite. Au terme de la séance de travail, des instructions ont été données par le MISAT en vue d’arrêter le délinquant et le mettre hors d’état de nuire. Sitôt dit, toutes les batteries vont être mises en branle par les services de police de la ville de Porto-Novo pour sortir le dangereux Adissa de son trou. Traqué de toutes parts, Adissa se laissera cueillir. Dans le même temps, la Peugeot 504 immatriculée J 5020 RB avec lequel il opérerait (transport des «Djingbins» depuis la frontière de Kraké aux différents foyers de tension) a été «arraisonnée» par les services de la gendarmerie. Depuis mercredi dernier, date de son arrestation, Adissa qui nie avoir été mêlé de près ou de loin à ces incidents, croupit dans les locaux du commissariat central de Porto-Novo avec un certain Agbanrin Nouayo, 40 ans, également chauffeur et domicilié à Porto-Novo, quartier Fièkomey, qui avoue, lui, avoir effectivement pris part aux bagarres du dimanche. Hier soir, la police était aux trousses du propriétaire dudit véhicule, un certain Adéossi Nassirou Adéchian. Les interrogatoires se poursuivent pour établir la responsabilité des uns et des autres dans ces drames. bibo:pages 1 3 -- o:id 7035 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7035 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7047 26374 26375 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d8a94d0465e60d00a97aea561e120d6f6b5527a0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/170ac4be166391a6efe7235670d73f78b614bf98.tiff https://islam.zmo.de/files/original/5cccdcde2772babe1328eb945774a299ef666ded.tiff dcterms:title Affrontement entre "Zangbéto" et musulmans à Porto-Novo : le ministre de l'Intérieur prône la coexistence pacifique dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1544 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2039 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14471 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/116 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-04-21 dcterms:identifier iwac-article-0003239 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le drame, né d’un différend entre un musulman- membre de la secte «Zangbéto»-et ladite secte, trouverait ses racines parmi les fauteurs de troubles invétérés de Porto-Novo. La descente du ministre de l’Intérieur, Richard Adjaho, sur le terrain hier, a permis de cerner quelque peu les origines ainsi que les tenants et les aboutissants du brusque déferlement de violence dans la capitale politique. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le drame, né d’un différend entre un musulman- membre de la secte «Zangbéto»-et ladite secte, trouverait ses racines parmi les fauteurs de troubles invétérés de Porto-Novo. La descente du ministre de l’Intérieur, Richard Adjaho, sur le terrain hier, a permis de cerner quelque peu les origines ainsi que les tenants et les aboutissants du brusque déferlement de violence dans la capitale politique. Point n’est besoin de revenir sur les faits relatés dans notre édition du mardi 20 avril 1993. Le ministre de l’intérieur, accompagné des directeurs de la police et de la gendarmerie et des sages de la ville ainsi que des responsables politico-administratifs, a fait le tour des lieux où s’étaient produits d’importants dégâts. Après cette visite, une séance de travail a réuni tout le monde à la salle de conférence de la préfecture de Porto-Novo. Le préfet du département, Godfried Johnson, dans une introduction liminaire, a rappelé les faits qui avaient dégénéré en affrontements entre les communautés Goun et musulmane, et les efforts déployés jusque-là pour apaiser la tension. A la date d’hier, on a enregistré un mort, Togbé Firmin, décédé dimanche dernier des suites de blessures, douze blessés, 44 interpellations dont deux femmes. Pour le préfet du département, il faut multiplier les rencontres, analyser le problème à la base, puis situer les responsabilités. La visite du ministre, dira-t-il, n’est qu’un prélude à une série de séances de travail en vue de cerner tous les contours du problème posé. Le ministre Adjaho, prenant à son tour la parole, a déclaré qu’il est venu faire un constat, rencontrer les différentes structures de Porto-Novo, et contribuer à l’apaisement de la situation. Il a félicité le préfet, les forces de sécurité publique et tous ceux qui ont oeuvré à calmer la tension. Il a par ailleurs prôné le calme et la compréhension. Adissa, le fauteur de troubles M. Yèkèdo, le président du culte «Zangbéto», a pris le premier la parole pour exposer sa version des faits. Selon lui, le «Zangbéto» joue le rôle de gardien de nuit depuis des temps immémoriaux. Cette secte est arrivée à Porto-Novo depuis 1610 avec Tê-Agbanlin. Les musulmans n’ont jamais voulu du» Zangbéto», Celui-ci, jouant le rôle de la sécurité la nuit, pourrait les prendre la main dans le sac. M. Yèkèdo a révélé que deux jeunes musulmans se sont spécialisés dans les incendies de couvents» Zangbéto». Leurs parents sont venus à plusieurs reprises supplier les responsables «Zangbéto» pour un pardon. Seulement voilà, lors des cérémonies annuelles qui durent neuf jours, il est de coutume que les adeptes fidèles fassent des rites de purification à l’intention de ceux qui ont violé les règles et les principes du couvent. C’est ce qui a été à la base des caricatures pour démontrer que c’est un musulman qui a profané les lieux. Cela a suffi pour déclencher la vague de violence dès vendredi 16 avril dernier. Pourtant, il y a eu les journées de mercredi et de jeudi! Le responsable de la communauté musulmane, Baba Adimi, s’est contenté de rappeler au ministre les démarches qu’il a eu à effectuer en direction du préfet, du chef-circonscription, du ministère de l’intérieur, du comité des sages et même de la présidence de la République. Idem pour le porte-parole des sages de Porto-Novo qui ont, très tôt, mis sur pied un comité de crise et de réconciliation que dirige Urbain Karim da Silva. Pour le porte-parole des cinq dynasties du Palais royal de Honmè, la situation est suffisamment grave parce que les fauteurs de troubles menacent d’intervenir dans le Palais. Il urge donc de prendre des dispositions de sécurité. La grande révélation est venue de messieurs Jean-Pierre Agondanou et de Moucharaf Gbadamassi qui, dans leurs interventions, ont indexé un certain Adissa, le principal fauteur de troubles. Selon eux, il a recruté des jeunes, les a mobilisés pour les embarquer dans un véhicule immatriculé J 5020 RB. Les forces de sécurité ont été informées en temps opportun, mais hélas! Adissa continue d’organiser les «casses,» continue de faire ce qu’il veut dans la ville de Porto-Novo. Messieurs Agondanou et Gbadamassi, respectivement membre du comité des sages et président de l’Association de développement de la ville de Porto-Novo, après avoir condamné «les éléments incontrôlés et incontrôlables» qui troublent la quiétude des populations, ont invité le ministre de l’intérieur à prendre des dispositions urgentes, notamment pour mettre la main sur le sieur Adissa. Le ministre Adjaho a, séance tenante, donné l’ordre aux directeurs de la gendarmerie et de la police pour qu’ils mettent tout en oeuvre pour arrêter le fauteur de troubles, qui aux dires des anciens de la ville de Porto-Novo, saccage et incendie à la fois mosquées, écoles coraniques et couvents de «Zangbéto» . En fait de confusion c’en est une, car tout observateur averti a constaté qu’il existe véritablement entre les deux communautés une volonté de coexister pacifiquement Le ministre Adjaho a renouvelé sa confiance aux responsables de la ville à divers niveaux pour qu’ils tentent le tout pour le tout afin que la situation ne se dégrade davantage. Il a souhaité d’autre part qu’une délégation aille présenter les condoléances à la famille de la victime puis saluer les blessés. Il a enfin promis retourner sous peu à Porto-Novo pour des séances de travail plus approfondies. bibo:pages 1 3 -- o:id 7036 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7036 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7048 26376 26377 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/38d84049de4f9cbc860e1a034c158dde89f531dd.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f52526957c67cc95c7c3a8f3f1cf5a8e7640b312.tiff https://islam.zmo.de/files/original/71c0515a5daf65b8eb374f260896fb6ae2343ddf.tiff dcterms:title Les communautés religieuses doivent jouer leur rôle de garant de la concorde et de la paix dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/213 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/852 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1957 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14809 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-03-10 dcterms:identifier iwac-article-0003240 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Hommage aux différents cultes et aux confessions religieuses et particulièrement, pour la circonstance, à l’Eglise méthodiste du Bénin, qui devra retrouver l’élan créateur pour contribuer au développement national: tel a été le sens du message du chef de l’Etat à l’issue des manifestations grandioses qui ont marqué le 150e anniversaire de l’Eglise méthodiste du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/427 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Hommage aux différents cultes et aux confessions religieuses et particulièrement, pour la circonstance, à l’Eglise méthodiste du Bénin, qui devra retrouver l’élan créateur pour contribuer au développement national: tel a été le sens du message du chef de l’Etat à l’issue des manifestations grandioses qui ont marqué le 150e anniversaire de l’Eglise méthodiste du Bénin. Monsieur le président de l’Assemblée nationale, Monsieur le président de la Cour suprême, Messieurs les anciens présidents de la République, Mesdames et messieurs les ministres, Mesdames et messieurs les membres du corps diplomatique et représentants des organisations internationales accréditées au Bénin, Mesdames et messieurs les députés, Monsieur le vice-président de la Conférence de l’Eglise méthodiste de Grande-Bretagne, Révérend pasteur, représentant l’Eglise évangélique d’Allemagne, Révérend pasteur, représentant les Eglises protestantes suisses, Monsieur le représentant de la Fédération protestante de France, Révérend pasteur, patriarche de l’Eglise méthodiste du Nigéria, Révérend pasteur, président de l’Eglise méthodiste du Ghana, Madame la représentant de l’Eglise méthodiste de Sierra-Leone, Révérend pasteur, président de l’Eglise méthodiste du Togo, révérend pasteur, président de l’Eglise Révangélique du Togo, Révérend pasteur, représentant l’Eglise méthodiste de Côte d’Ivoire, Révérend pasteur, président de la Conférence des Eglises de toute l’Afrique, Mesdames et messieurs les représentants des Eglises-soeurs du Bénin, Révérend pasteur Harry Henry, président de l’Eglise méthodiste du Bénin, Révérend pasteur Moïse Sagbohan, président entrant de l’Eglise méthodiste du Bénin, Révérends pasteurs, révérends pères, Chers frères et soeurs, Au moment où l’Eglise protestante méthodiste du Bénin fête son 150ème anniversaire, je m’associe à la joie de votre communauté à qui j’adresse, au nom de la Nation, du gouvernement et en mon propre nom, mes voeux les plus chaleureux de succès et de longévité. NECESSITE D’UN CONSENSUS MINIMAL J’aime à répéter, vous le savez, que Dieu aime le Bénin. Toutes les filles et tous les fils de ce pays sont conscients que nous devons à une chance extraordinaire - autant dire, si Ton est croyant, à une faveur exceptionnelle de la divinité - d’avoir pu, voici trois ans, effectuer sans effusion de sang, dans la paix et la concorde, le passage à la démocratie; d’avoir pu ainsi échapper, grâce aux vertus du dialogue et de la tolérance, à une guerre civile meurtrière, comme celle qui sévit ou menace de sévir autour de nous, dans la sous-région. Tous les fils et toutes les filles de ce pays sont conscients que nous devons en partie ce privilège aux différents cultes, écoles de pensée et confessions religieuses qui ont su, en cette période cruciale, user de leur influence pour apaiser les esprits, au moment même où ils rappelaient fermement, conformément à leur vocation naturelle, les exigences éthiques universelles, les principes moraux fondateurs des droits de l’homme. Dire le droit sans concession - non le droit positif qui est celui des tribunaux, mais le droit naturel et fondamental, la loi non-écrite qui parle au fond des coeurs - dénoncer vigoureusement tous les abus qui avilissent l’homme, enfant de Dieu, mais tâcher dans le même temps de trouver le ton juste, le ton de l'apaisement qui, plutôt que d’exacerber les conflits, rappelle chaque protagoniste à ses responsabilités et à son sens de l’humain, voilà quel fut, en ce tournant décisif de notre histoire, le rôle des confessions chrétiennes et autres cultes religieux, le rôle des forces spirituelles organisées de notre pays. Permettez-moi donc, à l’occasion de votre 150ème anniversaire, de vous féliciter pour la part que l’Eglise méthodiste du Bénin a prise à cette œuvre collective. Depuis lors, vous le savez, l’histoire, celle de notre résurrection, suit son cours. Chaque jour qui passe nous montre l’impérieuse nécessité mais aussi la fragilité du consensus qui nous a permis voici trois ans, de franchir au moindre coût possible un des caps les plus difficiles de notre vie nationale. Au-delà de la morale et de l’éthique, au-delà de la revendication unanime des droits de l’homme, la politique a repris ses droits - la politique c’est-à-dire, vous le savez, le domaine par excellence des choix contingents et forcément contestables. Je suis presque tenté de dire, en simplifiant un peu: la morale unit, la politique divise. Mais il faut encore, malgré tout, qu’à travers cette inévitable division, à travers les oppositions feutrées, parfois farouches, qui caractérisent la chose politique, nous nous souvenions constamment que nous sommes fils et filles d’un même pays et recherchions avant tout, les uns et les autres, le salut de notre chère patrie. Il faut qu’à chaque instant, à chaque étape de la vie nationale, se recrée, sur les grandes questions d’intérêt commun, un consensus minimal, garant de la cohésion, de la concorde et de la paix. TROIS EVENMENETS MAJEURS AU PREMIER TRIMESTRE 1993 Ma conviction est que les communautés religieuses peuvent et doivent ici jouer un rôle essentiel et contribuer, aujourd’hui comme hier, créer ou à maintenir vivant, cet dispensable consensus. C’est le sens de l’appel que j’ai adressé le 28 février dernier à toute la nation à l’occasion du troisième anniversaire de la Conférence nationale des forces vives, tenue à Cotonou du 19 au 28 février 1990. J’adresse ce jour le même appel à votre communauté, et à travers elle, à toutes les communautés religieuses du Bénin. Par un extraordinaire concours de circonstances, l’actualité nationale aura été marquée entre autres, au cours de ce premier trimestre 1993, par trois événements majeurs: la visite du Saint-Père, le festival «Ouidah 92», et maintenant le 150ème anniversaire de l’Eglise protestante méthodiste, reconnue par toutes les communautés protestantes du Bénin comme leur Eglise-mère. Il ne manque à ce tableau, pour être presque complet, qu’une occasion qui viendra sûrement tôt ou tard, projeter les feux de l’actualité nationale sur l’Islam et la communauté musulmane. Vous avez encore en mémoire la petite controverse suscitée par le festival que je viens de mentionner mais je m’en suis déjà largement expliqué. Par-delà les équivoques regrettables induites par telle ou telle formule inadéquate, peut-être, j’ai souligné clairement qu’il ne saurait être question pour l’Etat laïc et démocratique de faire la promotion d’un culte particulier ou de privilégier une religion par rapport aux autres. Il reste cependant que, dans son effort pour promouvoir le respect des droits de l’homme, moraliser la vie publique, consolider l’Etat de droit et renforcer l’unité nationale, l’Etat trouve dans les différents cultes religieux de précieux alliés. Dieu merci, notre peuple est un peuple profondément tolérant, étranger à ce jour à toute forme d’intégrisme ou de sectarisme. Il nous faut renforcer dans les cœurs et les esprits des citoyens ce penchant naturel à la tolérance, c’est-à-dire à l’acceptation réciproque des uns par les autres, dans leurs différences et leur complémentarité. Il nous faut développer dans le même temps une doctrine claire de la laïcité, formuler de façon cohérente les implications de cette neutralité positive que l’Etat laïc se doit d’observer à l’égard de toutes les religions, qu’elles soient traditionnelles ou révélées. C’est le lieu de rappeler le rôle important joué par votre église dans le développement de l’école. Conformément à une décision de la Conférence nationale des forces vives, l’Etat démocratique a restitué à leurs anciens propriétaires, lorsqu’ils en ont fait la demande, les établissements scolaires précédemment nationalisés. Je souhaite vivement que votre communauté retrouve très vite, dans ce domaine crucial de l’éducation, l’élan créateur qui l’a portée dans le passé, et que renaissent partout des écoles protestantes, des collèges et lycées protestants d’enseignement général, technique et professionnel. Je souhaite aussi que vous retrouviez très vite le même dynamisme dans un autre domaine social, celui de la santé, et que naissent ou renaissent partout des formations sanitaires protestantes. Car l’Etat ne peut malheureusement tout faire. La tâche est tellement immense, les besoins tellement énormes que l’Etat, conscient de ses limites, n’a pas d’autre choix que de compter aussi sur le génie créateur de la société civile et en particulier des communautés religieuses. Ces initiatives, je puis vous l’assurer, seront encouragées et soutenues par mon gouvernement, dans la limite bien entendu de nos ressources et de nos contraintes. VIVE LA FOI AU SERVICE DES AUTRES Chers frères et sœurs de l’Eglise protestante méthodiste, joyeux anniversaire! puisse votre foi vous inspirer de jour en jour, d’année en année, les plus belles initiatives créatrices au service de votre pays, au service de l’Afrique et de l’humanité. Puissent la rigueur et l’esprit de méthode de John Wesley, fondateur de votre mouvement, vous habiter. Puisse la ferveur des grands fondateurs et autres pionniers de l’Eglise méthodiste du Bénin, renaître en vous et se traduire par une fidélité renouvelée aux grands idéaux de justice et de charité. Je formule en outre, en ce jour où votre communauté accède à sa pleine autonomie, mes vœux les plus chaleureux de succès dans tous les domaines. Au révérend pasteur Harry Henry, cher pasteur, je souhaite une retraite heureuse, après ces longues années de dévouement, d’amour et de tolérance consacrées au service de l’Eglise. Au pasteur Moïse Sagbohan, nouveau président de l’Eglise protestante méthodiste, je souhaite d’avoir l’intelligence de l’esprit et du cœur, toute la force et tout le doigté nécessaires pour conduire à bon port votre communauté. Vive l’Eglise protestante du Bénin, Vive la foi au service des autres, Vive le Bénin. (Le titre et les intertitres sont de la Rédaction) bibo:pages 3 5 -- o:id 7037 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7037 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7049 26378 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5d0f448d1edba0f9f40322e4100348205616137a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/735c96a10972805e581d4871be9eb00f585a8146.tiff dcterms:title Tribune libre : les musulmans face au double défi de la démocratie et du développement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1991 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/800 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/59 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/104 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-01-14 dcterms:identifier iwac-article-0003241 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En Occident, des voix s’entendent encore, affirmant que I'Islam est contraire au progrès économique, social et politique. L’Islam continue d’être perçu comme une religion militante, à vrai dire comme une religion militaire, et ses adeptes comme des guerriers fanatiques, enrôlés pour propager leur foi et leur loi par la force armée. Il faut reconnaître que des musulmans intégristes sont à la base de cette image négative que l’Occident retient aujourd’hui de l’Islam. Ces groupes intégristes minoritaires, mais déterminés, la haine dans le coeur et l’insulte à la bouche, continuent de ternir l’image de l’Islam face à l’impuissance de l’écrasante majorité de plus d’un milliard de musulmans pacifiques et épris de justice et de concorde avec les non musulmans. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/443 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content (Par Dr Yacouba Fassassi, président du Bureau exécutif de la Conférence nationale des associations islamiques du Bénin CONAIB-SHOURA) En Occident, des voix s’entendent encore, affirmant que I'Islam est contraire au progrès économique, social et politique. L’Islam continue d’être perçu comme une religion militante, à vrai dire comme une religion militaire, et ses adeptes comme des guerriers fanatiques, enrôlés pour propager leur foi et leur loi par la force armée. Il faut reconnaître que des musulmans intégristes sont à la base de cette image négative que l’Occident retient aujourd’hui de l’Islam. Ces groupes intégristes minoritaires, mais déterminés, la haine dans le coeur et l’insulte à la bouche, continuent de ternir l’image de l’Islam face à l’impuissance de l’écrasante majorité de plus d’un milliard de musulmans pacifiques et épris de justice et de concorde avec les non musulmans. Aux Etats-Unis, on qualifie d’intégristes ou de fondamentalistes, les groupes de chrétiens qui décident de se retirer de la société pour vivre la vie communautaire et primitive des premiers chrétiens, en ce sens qu’ils retournent aux fondements du christianisme originel. Sous l’influence de cette terminologie anglo-saxonne, certains auteurs arabes qualifient de fondamentalisme ou d’intégrisme (usûliyya) islamique, le courant de pensée extrémiste qui s'attache à certains aspects formels et marginaux de l’Islam, qu’il cherche à imposer par la violence. Cette transposition pure et simple en contexte arabo-islamiquc d’une expression empruntée au contexte intellectuel et social nord-américain évacue les différences importantes entre le christianisme originel et l’Islam tel que le vivaient et le pratiquaient les premiers musulmans. Comme le montre la lecture des évangiles (notamment les actes des apôtres), les premiers chrétiens vivaient une vie primitive et communautaire, séparée de la civilisation romaine, qu’ils considéraient comme païenne et impure, et de la société israélite, à laquelle ils reprochaient son application littéraliste de la loi mosaïque, au détriment de sa dimension spirituelle. Cette situation d’isolement des premiers chrétiens prévalut jusqu’à ce que Constantin décida, en 325, de faire du Christianisme la religion de l’Empire. En Islam, la situation est bien différente : dès l’époque de Médine, les premiers musulmans, sous le gouvernement du Prophète, loin de se soumettre aux polythéistes, les combattent et oeuvrent à répandre la foi nouvelle et donner une forme nouvelle au monde qui les entoure. C’est ainsi que s'est constituée une nouvelle civilisation, la civilisation islamique. Autrement dit, si l’on peut à juste titre qualifier d’intégristes ou de fondamentalistes les chrétiens nord-américains qui cherchent à revivre la vie des premiers chrétiens, l’expression ne peut être appliquée aux extrémistes musulmans qui aujourd’hui imposent par la violence des manières de penser et d’agir qui n’ont rien à voir avec celles des premiers musulmans. Néanmoins l’on pouvait parler d’un intégrisme rationaliste et spiritualiste qui, revenant à l’Islam du Prophète (Paix sur lui) et des premiers musulmans, suit les enseignements du Coran et de la Sunna (la Tradition du Prophète) et les utilise pour renouveler la vie spirituelle des musulmans, réévaluer les valeurs du travail et de l’amour et retrouver un rôle actif dans la civilisation mondiale. Cet intégrisme est positif et ne saurait être assimilé à l’intégrisme activiste et politique qui, loin de proposer un authentique renouvellement de la pensée religieuse, se bat uniquement sur le terrain et avec les armes de la politique, rabaissant l’Islam au niveau d’une vulgate politique. Allah voulait que l’Islam fût une religion mais les intégristes activistes ont voulu en faire une politique. L’Islam est une religion de progrès. Allah ne dit-il pas dans le Coran, «Allah ne modifie rien en un peuple avant que celui-ci ne change ce qui est en lui» (XIII,11) : les premiers musulmans comprenant le sens véritable de ce verset, surent que le changement authentique est celui qui commence par s’opérer à l’intérieur de soi, puis se poursuit dans l’action constructive et le travail créateur et que ceux-ci pour être efficaces, ne peuvent s’arrêter à la surface des choses, mais doivent les toucher dans leur essence. C’est pourquoi ils s’ouvrirent à toutes les civilisations de leur temps, étudièrent toutes les sciences et travaillèrent dans tous les domaines ; une génération après la mort du Prophète, (Paix sur lui) ils avaient abandonné la bédouinité et, grâce à leur foi dans l’Islam, ils étaient devenus les acteurs de leur histoire. C’est un des compagnons du Prophète qui définissait ainsi le parfait musulman : il serait «arabe dans sa religion, hébreu par son expérience des choses, chrétien par sa méthode, grec par sa science, hindou par sa clairvoyance, soufi dans sa conduite, soufi dans sa moralité, soufi dans sa réflexion et dans ses connaissances». Autrement dit, le véritable musulman est humaniste et universaliste : ouvert à toutes les cultures, à toutes les formes de connaissance, il sait être tolérant vis-à-vis de toutes les lois divines, et sait prendre dans chaque voie ce qu’elle a de meilleur. Jusqu’au XVè siècle, le monde chrétien n’était guère different du mondé musulman, en ce sens qu’il était, comme lui, dominé par le fait religieux. Mais dans les siècles suivants, il a été le théâtre d’une révolution capitale, sans doute l’événement le plus important de son histoire : s’émancipant du cadre chrétien traditionnel, il a inventé un paradigme nouveau, dans lequel ce n’est plus la religion, mais la connaissance scientifique et technique qui est le domaine privilégié de l’activité humaine. La démocratie occidentale et son corollaire de développement économique ne sont au fond, qu’une réaction longue de trois siècles aux maux provoqués par le fanatisme religieux au Moyen-Age. Les intellectuels européens, profondément écoeurés par les conflits religieux qui avaient ravagé tout le continent, contestaient en même temps qu’ils ne pouvaient se contenter de l'explication biblique traditionnelle du monde. Aussi, mieux valait qu’ils détournent leurs énergies intellectuelles des querelles religieuses stériles et les consacrent à accroître, par le biais de leur nouvel intérêt pour les sciences leur bien-être et leurs richesses. Pour les élites dirigeantes musulmanes, dans un premier temps, elles ont voulu tirer profit du savoir-faire technique de l’Occident. Mais elles devaient réaliser bientôt qu'elles ne pouvaient emprunter à l'Europe son système scientifique et technique sans accepter tout le reste. Une culture est un tout indivisible. Si l’Occident s’est laïcisé en réaction, comme je l'ai dit, aux horreurs des conflits religieux du Moyen Age, il était inévitable qu’il connût, tôt ou tard, un mouvement en sens contraire car le sacré, élément essentiel de la vie humaine, ne peut être ignoré ou réprimé indéfiniment. Les musulmans ont alors constaté qu'en important l’Occident temporel, ils avaient en même temps importé chez eux sa crise spirituelle. D’où un sentiment d’amertume vis-à-vis de l’Occident et une schizophrénie individuelle et collective, dont nous ne nous sommes toujours pas remis : comme le corbeau de la fable qui voulut apprendre à marcher comme le paon, mais n’y parvint pas et oublia en chemin sa propre façon de marcher. Cette situation de confusion religieuse a donné naissance à travers le monde musulman à des mouvements fondamentalistes. Tous ceux qui rejoignent ces groupes ne le font pas par zèle religieux. Souvent, la religiosité, surtout chez les cadres intégristes dissimule une impuissance à se défendre, à se faire une place dans la vie, et répond au besoin d’appartenance à un groupe soudé qui donne sens et force à l’individu, face à un milieu qui le rejette ou le méprise. C’est dire la bombe sociale que peut constituer une communauté islamique non éduquée dans sa culture et mal dirigée. Il faut que les musulmans comprennent que Dieu n’est intéressé avant tout que par la bonté, la générosité et l’amour et non par le fait de se dire «musulmans». Car comme dit le Coran : «Etre Musulman ne consiste point à tourner vos visages du côté du levant ou du couchant. Un musulman. pieux est celui qui croit en Dieu et au jour dernier, aux anges et au livre, aux Prophètes, qui pour l’amour de Dieu donne son avoir à ses proches, aux orphelins, aux pauvres, aux voyageurs et à ceux qui demandent ; qui rachète les captifs, qui observe la prière, qui fuit l’animisme, remplit les engagements qu’il contracte, qui est patient dans l’adversité, dans les temps durs et dans les temps de violences. Ceux-là sont justes et craignent le Seigneur (U : 177). «C’est le Calife Umar qui écrivait à un de ses Lieutenants Sa’d ibn Abi Waquas, qui se préparait à combattre les années sassanides, ceci : «Je t’ordonne à toi et à tes compagnons d’être plus vigilants vis-à-vis de vous mêmes que vis-à-vis de l’ennemi. Les musulmans ne sont secourus par Dieu que parce que leurs ennemis lui (Dieu) désobéissent Sans cela, nous ne pourrions rien contre eux, car ils nous sont supérieurs en nombre et en équipement. Aussi, si nous sommes aussi pécheurs qu’eux, c’est eux qui l’emporteront, grâce à leur supériorité matérielle». Il n’est donc de l’intérêt de personne, musulmans ou non musulmans d’abandonner les musulmans à cette perte d’orientation qu’un leadership totalement moyenâgeux ne peut pas leur procurer. Violence, terrorisme, intolérance n’est-ce pas la seule image que retient aujourd’hui de l’Islam une certaine opinion publique inquiétée par les manifestations multiples et sans cesse renaissantes des «intégristes» musulmans. Mais la grande majorité des musulmans a de la peine à comprendre comment leur religion qui tire son nom du mot paix (assalam) peut être aujourd’hui menacée par des intégristes, minoritaires mais résolus, et quelle doit être leur position dans un monde qui va inexorablement vers une société plus démocratique. La pensée politique et le gouvernement islamique prêtent le flanc à deux malentendus très fréquents. Le premier, les percevant comme théocratiques, l’autre comme despotiques ou meme dictatoriaux. Ces jugements se fondent sur une double méprise. La question de savoir si le régime islamique est ou n’est pas théocratique, est plus sémantique que substantielle, et la réponse dépend largement de la définition qu’on adopte de la théocratie. Si, par théocratie, on entend un Etat gouverné par l’Eglise, c’est-à-dire par les prêtres, l’Islam n’est évidemment pas, et jusqu’à une époque récente, ne pouvait pas être une théocratie. Il n’y a ni Eglise, ni sacerdoce dans l’Islam, pas plus théologiquement, - puisqu’il n’y a ni fonction écclésiastique ni médiation entre Dieu et le croyant - qu’institutionnellement, puisqu’il n’y a ni prélats, ni hiérarchie. Dans la plupart des pays musulmans, il n’était pas d’usage, pour les professionnels de la religion, d’occuper des charges publiques. Il n’y a pas de papauté en Islam, et dans l’histoire musulmane, il n’y a pas d’équivalents des cardinaux Wolsey ou Richelieu, Mazarin ou Alberoni. A cet égard aussi, le régime des mollahs dans l’Iran d’aujourd’hui s’écarte radicalement de tout précédent islamique. Selon le Coran, la souveraineté appartient à tous les hommes. Chacun a reçu en dépôt la responsabilité de direction (Imamah) et il a l’obligation morale de mettre en pratique ce dépôt. Imamah, la charge ou la fonction de l’Imam provient d’une racine signifiant «devant». Le mot imam signifie celui qui dirige la prière et, de là, par extension, le chef politico-religieux de toute la communauté islamique, à qui Dieu a dévolu la tâche d’amener celle-ci à accomplir Ses commandements. Il est remarquable que les juristes aient choisi ce mot plutôt que celui, plus évident de Califat, pour formuler les qualifications, fonctions et devoirs du souverain supérieur. Dieu a fait de l’homme son représentant (Calife) sur terre et lui a donné la charge et la responsabilité (amanat) d’agir en son nom dans ce monde. Cette notion est très coranique. Cette notion est centrale à l’Islam et Dieu la justifie dans le Coran de deux façons. D’une part parce que tout sur cette terre a été créé pour servir l’homme, «C’est lui Allah qui a créé pour vous tout ce qui est sur la terre». (Coran II : 29) et d’autre part que l’homme est supérieur aux anges, «Lorsque nous avons dit aux anges : «prosternez-vous devant Adam ! Ils se prosternèrent...» (Coran II : 34). Par ailleurs, lorsque le poste de responsabilité (Califat) était proposé aux autres créatures, elles ont refusé, seul l’homme avait accepté. «Oui, nous avions proposé là responsabilité aux cieux, à la terre et aux montagnes. Ceux-ci ont refusé de s’en charger, ils en ont été effrayés. Seul, l’homme s’en est chargé, mais il est injuste et ignorant.» (33:72). Cette ignorance et cette ingratitude s’expliquent par le fait que l’homme oublie parfois que ce pouvoir, cette responsabilité lui sont accordés par Dieu, et qu’il n’est qu’un simple représentant qui doit donc rendre compte au détenteur exclusif du pouvoir qu’est Dieu Lui-même. Selon le Coran, l’homme sera également ingrat s’il refuse d’assumer cette responsabilité. Chacun a donc reçu en dépôt la responsabilité de direction, la responsabilité d’être imam, dirigeant, et il a l’obligation morale de mettre en pratique ce dépôt. Comment alors l’homme peut-il être considéré comme responsable, s’il se tient à l’écart de la plus importante des responsabilités : celle d’administrer les affaires de la société dans laquelle il vit ? Chacun a le droit et le devoir de partager la direction de la société dans laquelle il vit ; il a aussi le devoir d’empêcher qu’une règle soit instaurée par la force ou par l’oppression. Donc la démocratie d’un point de vue islamique est, une exigence divine. Cette democratic qui en Islam s'appelle SHOURA, c’est-à-dire la consultation mutuelle dans la prise de toute décision concernant la cité est une partie intégrante de l’Islam. Les musulmans qui connaissent leur religion devront donc être en principe ’d’ardents défenseurs de la démocratie. C’est des musulmans-démocrates, c’est ceux que le Coran définit comme «Ceux qui ne portent pas de faux témoignages, et qui, passent près de la jactance, passent noblement, (...) ceux qui disent «Seigneur ! (...) fais de nous un imam (un dirigeant) pour les pieux !» (25 : 71-74). Cette responsabilité doit être comprise dans le sens que Jésus (Issa Ibn Mariam, que la paix soit sur lui) a donné dans l’Evangile selon Saint Marc : 10:35-44. «Celui qui voudra devenir grand parmi vous, sera votre serviteur, et celui qui voudra être le premier parmi vous, sera l’esclave de tous». Puisque participer aux devoirs de direction est la plus importante des responsabilités qui incombent à l’homme, que c’est l’aspect essentiel de sa personnalité et de sa dignité d’homme, et le plus puissant facteur de son évolution, chaque être humain a le droit et le devoir de se préparer à prendre part à cette direction. Tous les hommes, riches ou pauvres, noirs ou blancs sont candidats au partage de la responsabilité. Assumer cette responsabilité ne peut pas être héréditaire. Lorsque Abraham demanda à Dieu d’accorder la Direction (Imamah) à sa famille par héritage, Dieu répondit que cela se mérite : «Mon pacte ne vaudra point pour les injustes» (II 118/124). La Direction se mérite par la justice, la noblesse de caractère et la sagesse. L’absence de biens ou de position sociale éminente ne doivent constituer des obstacles pour arriver à la Direction. Dieu dit en réponse aux Israélites qui se plaignent que Saul ne soit pas d’ascendance réputée et qu’il n’ait pas de biens. «Il lui a été donné plus de grandeur et de capacité pour ce qui touche la science et le physique» (II/248/247) En conclusion, la démocratie telle qu’elle existe en Occident n’est pas contraire à ce qui est prévu dans le Coran, bien que la pratique démocratique occidentale soit parfois bien éloignée de ce que prévoyaient les auteurs des premières institutions démocratiques à cause du pouvoir des puissances d’argent. Il y a beaucoup d’éléments utiles et bénéfiques dans le système démocratique occidental : la stabilité politique, le transfert pacifique du pouvoir, l'alternance politique, les élections libres et justes, l’Etat de droit, la liberté d’expression et d’opinion. Il s’agit là d’éléments essentiels pour toute société civilisée, et qu’on retrouve dans le Coran mais malheureusement pas dans les sociétés arabes et islamiques. En effet dans le Coran, il y a le célèbre verset : «Pas de contraintes en matière de religion» (Coran II 256 Lâ Ikrah Fil Dih), ce qui suppose la liberté d’opinion dans toutes les autres sphères de la vie sociale. En effet, l’unicité (Tawhid) ne signifie pas uniformité mais perpétuel dépassement des antagonistes et des conflits pour les transformer en accord. Car en effet : «Si ton Seigneur avait voulu, tous ceux qui sont sur la terre, en totalité, auraient cru... Eh quoi, veux-tu contraindre les hommes à être des Croyants (X 99 et 100) ♦ LA CONAIB-SHOURA est l’organisation islamique regroupant plus d’une trentaine d’associations islamiques sur toute l'étendue du territoire. bibo:pages 5 -- o:id 7050 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7050 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7066 26379 26380 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e50279bbb268fc68fee2847f9a8a58f9c9defe92.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b4364199a94a4beea6e9e636aae088048c17274c.tiff https://islam.zmo.de/files/original/23bbd4d177cd0bcd2369425382266efd250678cb.tiff dcterms:title Fête de la Tabaski : les musulmans ont prié pour la prospérité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1498 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13384 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1969 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14610 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1992-06-12 dcterms:identifier iwac-article-0003242 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Il étaient plusieurs milliers de fidèles rassemblés hier jeudi 11 juin, à la grande place ldi d’Akpakpa à Cotonou, pour les offices de prières de la fête de la Tabaski. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Il étaient plusieurs milliers de fidèles rassemblés hier jeudi 11 juin, à la grande place ldi d’Akpakpa à Cotonou, pour les offices de prières de la fête de la Tabaski. L’Aïd al kébir ou la fête du mouton a été célébrée cette année par les musulmans du monde. Ceux de notre pays se sont réunis très tôt, comme toujours à la traditionnelle place ldi d’Akpakpa à Cotonou pour la grande prière de la journée. Tous, jeunes, femmes, enfants et vieux, en tenue d’apparat, les musulmans, en célébrant cette année avec faste la fête de mouton, ont, sans doute voulu manifester leur joie pour la liberté de culte retrouvée au Bénin. L’Etat béninois qui a, depuis la conférence nationale de notre pays, donné la liberté à chaque citoyen de pratiquer une religion ou non de son choix - à condition bien sûr que celle-ci n’entrave pas les libertés individuelles et collectives des citoyens - s’est fait fortement représenter par une délégation du gouvernement comprenant les ministres Théophile Nata de la Jeunesse et du Sport, et Bernard Houégnon du Commerce et du Tourisme. L’Imam Kélani Liamidi de la grande mosquée centrale de Cotonou, porte-parole de la communauté musulmane au Bénin, qui a dirigé la prière hier à la place Idi, a demandé la bénédiction d’Allah, pour que la paix et le bonheur jaillissent sur notre pays. Il a convié les fidèles à l’amour et au respect du bien public. Dans un court entretien exclusif, il nous a déclaré que les Béninois doivent être très satisfaits de ce qui se passe dans notre pays. Nous prions quotidiennement pour que la paix règne dans notre pays, pour que la compréhension s’instaure entre tous les fils de ce pays» a-t-il fait remarquer, en précisant que la situation ailleurs doit nous amener à comprendre qu’Allah aime réellement notre pays. Il convient de rappeler cependant que l'«Aïd Al Kébir» ou l'Aïd al Adha» appelé fête du mouton constitue tout un symbole dans la religion musulmane. Cela rappelle en effet l’histoire du patriarche Abraham. Un septuagénaire sans enfant - qui avait demandé et obtenu de Dieu, Allah le «Père», un fils nommé Ismail Ce dernier devait être sacrifié par son père qui avait fait une promesse allant dans ce sens à Allah. Mais quand le patriarche s’apprêtait le moment convenu à égorger son fils, l’ange Gabriel s’est présenté à lui, avec un mouton qu’il a proposé en remplacement du malheureux fils. L’écriture sainte affirme entre autres, que c’est depuis cette date que les fidèles ont choisi de célébrer l’événement «Tabaski», pour se souvenir de la fidélité d'Abraham à Allah le Tout-puissant Le prophète Mahomet, affirme-t-on, accomplissait lui-même ces rites. L’écriture précise en outre qu’il n’est pas nécessaire pour le musulman de sacrifier chaque fois à cette occasion, un mouton. «Mais un bon musulman doit pouvoir le faire, au moins une fois dans sa vie». Le mouton qui est destiné à cette cérémonie ne devra, à en croire l’écriture, souffrir d’aucune infirmité apparente ou cachée. bibo:pages 1 3 -- o:id 7051 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7051 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7067 26381 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a8661161fab5813e734ac85cd060aa057c0e600b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9ac055282eb8edff381b160128e7ad7cbbc22b41.tiff dcterms:title La tournée présidentielle au Koweit : dynamiser la coopération bénino-koweitienne dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1504 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15260 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1992-05-22 dcterms:identifier iwac-article-0003243 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après les Emirats Arabes Unis, première étape de la visite officielle du président Nicéphore Soglo dans le Golfe, la délégation béninoise a séjourné du 18 au 20 mai 1992 au Koweit où elle a eu des entretiens avec les responsables koweitiens. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/309 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/330 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/427 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après les Emirats Arabes Unis, première étape de la visite officielle du président Nicéphore Soglo dans le Golfe, la délégation béninoise a séjourné du 18 au 20 mai 1992 au Koweit où elle a eu des entretiens avec les responsables koweitiens. Parti d’Abu Dhabi le 18 mai 1992 à 1lh23 heure locale, l’avion présidentiel a, après 1H20 de vol, atterri à l’aéroport international de Koweit City où Son Altesse, Sheik Jaber Al Ahmed Al Sabah, Emir du Koweit attendait son hôte béninois. 21 coups de canon, exécution des hymnes des deux pays, revue de troupes et présentation des officiels, tels sont les éléments qui ont constitué les honneurs réservés a M. Nicéphore Soglo, premier président béninois ayant entrepris un voyage officiel au Koweit. Et peu avant le départ du cortège pour Bayan Palace, un premier tête-à-tête a réuni les deux hommes d’Etat qui ont abordé les questions relatives à la situation dans le Golfe et le monde. Koweït, l’un des plus riches pays du monde L’Etat du Koweit, monarchie constitutionnelle (Emirat héréditaire) a été proclamé indépendant le 19 juin 1961. Ancien protectorat de la Grande-Bretagne et dominé par les intérêts anglo-américains, Koweit est situé en Asie du sud-ouest, dans la partie nord-orientale de la péninsule arabique. Il est limité au nord-ouest par l’Irak, au sud par l’Arabie Saoudite et à l’est par le Golfe Persique. D’une superficie de 17.818 km2, le Koweit a une population de 2.100.000 habitants. Près de 90% de ses habitants sont concentrés sur le littoral du Golfe Persique, surtout aux environ de Koweit City, dans les villages côtiers ainsi que dans les régions pétrolières. Compte tenu de la faiblesse de sa population et de l’importance de ses revenus pétroliers, l’Etat du Koweit est considéré comme l’un des plus riches pays du monde, et dispose d’une capacité de financement digne d’intérêt. Etant un pays désertique, il offre peu de possibilités pour le développement de l’agriculture qui ne se limite la plantation des palmiers dattiers, à la culture maraîchère et horticole. La principale base de son économie est l'exploitation des produits pétroliers et de gaz naturel. En ce qui concerne son industrie, elle s’occupe des dérivés des produits pétroliers. Ce qui fait que la majorité des biens de consommation est importée de l’étranger. Du point de vue politique, le pays était menacé depuis la fin de la guerre (Iran-Irak). Ceux qui ont jugé nécessaire le retour à une vie démocratique ont commencé par s’organiser. Les élections de novembre 1989 en Jordanie pour mettre en place une Assemblée, ont encouragé des députés koweïtiens (trente-deux sur cinquante) dirigés par Ahmad Saadoum, à exiger le rétablissement du parlement dissout en 1986. Ainsi est apparue dans la monarchie constitutionnelle, une grave crise politique. Et pour tenter de mettre fin à cette crise, l’Emir du Koweit a annoncé en avril 1990, la création d’un Conseil national de soixante quinze membres (50 élus au suffrage universel direct et 25 désignés par le souverain). Telle était la situation lorsqu’en août 1990, sous prétexte de revendications territoriales, les troupes irakiennes ont envahi le Koweit. Un important arsenal de guerre a été déversé dans le pays. Les bâtiments stratégiques (ministères, banques et entreprises) ont été assiégés. race à cette situation, l’Emir Sheik Jaber et ses ministres ont opté pour l’exil d’où ils ont mobilisé la communauté internationale grâce à laquelle il a été mis fin à cette agression en février 1991. Malgré la situation de crise qui existait avant l’agression, l’Emir et son gouvernement en exil sont parvenus à réaliser un consensus de toutes les forces politiques pour mener la lutte contre l’envahisseur irakien. Il est vrai que la guerre est terminée et que le pays détruit est en train d’être reconstruit grâce aux énormes ressources financières dont dispose cet Etat dans les institutions financières à l’étranger mais l’amertume demeure. L’Emir et son peuple sont encore loin de se remettre de ce choc venant d’un homme (Saddam Hussein), malgré les vingt milliards de dollars US qui leur ont été accordés pour faire face aux problèmes. Ils pleurent encore les nombreux disparus dont le frère de l’Emir. Les vestiges de la guerre (plus de 2000 tanks, camions, armes de tout genre, les armes chimiques et des instruments de torture) continuent de rappeler les atrocités de cette guerre. Telle a été l’impression de la délégation béninoise qui a parcouru des kilomètres à contempler ce musée, et plus de 7.000 documents secrets, appareils d’espionnage saisis dans certaines représentations diplomatiques à Koweit City. Les Relations bénino-koweitiennes Malgré cet état d’âme, les entretiens entre les deux délégations se sont déroulés normalement: L’accueil n’a souffert d’aucune imperfection. Le 19 mai 1992 dans la matinée, une séance de travail a regroupé les deux délégations pour faire le point de leurs relations, projeter de nouvelles perspectives pour la consolidation de la coopération entre les deux Etats. Du fait qu’il n’existe aucun cadre régissant la coopération bilatérale entre le Bénin et le Koweit, les deux parties ont envisagé la création de ce cadre. Malgré l’absence d’une commission mixte de coopération, le Koweit, par l’intermédiaire du Fonds koweïtien, apporte un concours financier aux projets économiques béninois. Très peu développée par le passé, la coopération entre les deux Etats a connu une évolution sensible vers les années 1980 et a fini par aboutir à l’établissement des relations diplomatiques au cours de l’année 1986. Et depuis lors, le Koweit participe à la réalisation des projets d'intérêt économique, tels que l’extension du Port autonome de Cotonou, la construction du barrage de Nangbéto et le resurfaçage des axes routiers Godomey-Bohicon-Abomey, Porto-Novo-Cotonou-Hilla-Condji et Comé-Lokossa-Dogbo. En dehors de ces projets, la délégation béninoise a sollicité le concours financier du Fonds koweïtien pour la réalisation des projets ci-après: - les projets routiers Savalou-Djougou, Parakou-Diougou-Natitingou. - le projet d’hydraulique villageoise et d'assainissement de la ville de Cotonou. - la construction d’un centre de formation professionnelle en mécanique à Porto-Novo par le comité Dar Al Falah du Koweit. - l’assistance aux écoles islamiques du Bénin par le comité Dar Al Falah et l'offre de bourses d’études au profit de l’Union islamique. - enfin le projet d’aménagement de la vallée au Niger qui est en cours d’évaluation. Nonobstant ses propres difficultés liées à la tragédie que le pays vient de vivre, le gouvernement koweïtien a manifesté le désir de respecter ses engagements. En clair, la tournée du président Soglo dans le Golfe Persique a offert de nouvelles perspectives de coopération. A Abu Dhabi comme à Koweït City, les gouvernements respectifs ont promis d'aider le Bénin dans son effort de relance économique. A l’inexistence totale de relations entre les Emirats Arabes Unis, fera bientôt place la commission mixte de coopération, véritable mécanisme de renforcement des liens d’amitié. Le Koweït qui est en train de reconstruire son économie et qui a décidé d’annuler les intérêts des prêts accordés par le Fonds koweïtien pour le développement économique Arabe aux pays démunis, a souhaite dynamiser la coopération entre les deux Etats. bibo:pages 3 -- o:id 7052 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7052 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7068 26382 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a097d3ba6646e9578d3ae7ea47c0aaf443e91719.pdf https://islam.zmo.de/files/original/93c5782fcc06b5c410576703acb3f001be1920fc.tiff dcterms:title Visite officielle du président Soglo aux Émirats Arabes Unis : un grand pas pour la coopération entre les deux États dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1504 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14881 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14894 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/767 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12933 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/101 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13198 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1428 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13392 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1992-05-21 dcterms:identifier iwac-article-0003244 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Fidèle à la volonté des forces vives de la Nation qui ont opté en février 1990 pour une diplomatie plus souple, tous azimuts et sans exclusive, le président Nicéphore Soglo a effectué du 15 au 20 mai 1992, une visite de travail dans le Golfe Persique. Cette tournée l'a successivement conduit aux Emirats Arabes Unis (E.A.U) et au Koweït.Répondant à l'invitation de son homologue des Emirats Arabes Unis, Son Altesse Sheikh Zaïd Ben Sultan Alnahyan, Emir d’Abu Dhabi, président des E.A.U, le chef de l’Etat béninois a séjourné du 15 au 18 mai 1992 à Abu Dhabi avec une importante délégation dont les ministres Théodore Holo, Robert Tagnon, Aurélien Houéssou, Eustache Sarré, Marna Adamou N’Diaye et le député Eustache Aïna. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13927 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13599 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13698 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/309 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14144 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/427 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Fidèle à la volonté des forces vives de la Nation qui ont opté en février 1990 pour une diplomatie plus souple, tous azimuts et sans exclusive, le président Nicéphore Soglo a effectué du 15 au 20 mai 1992, une visite de travail dans le Golfe Persique. Cette tournée l'a successivement conduit aux Emirats Arabes Unis (E.A.U) et au Koweït. Répondant à l'invitation de son homologue des Emirats Arabes Unis, Son Altesse Sheikh Zaïd Ben Sultan Alnahyan, Emir d’Abu Dhabi, président des E.A.U, le chef de l’Etat béninois a séjourné du 15 au 18 mai 1992 à Abu Dhabi avec une importante délégation dont les ministres Théodore Holo, Robert Tagnon, Aurélien Houéssou, Eustache Sarré, Marna Adamou N’Diaye et le député Eustache Aïna. Après deux escales à Bangui et Djibouti, l’avion présidentiel (Fokker 100 ivoirien) a atterri le samedi 16 mai 1992 à 13h03 soit 10h03, heure béninoise, à Abu Dhabi international Airport. A sa descente d’avion, le président Soglo a été accueilli par le prince héritier, le vice-premier ministre Sultan Ben Zaïd. Sacrifiant à la tradition, les deux hommes d’Etat ont eu un bref entretien au salon d’honneur, avant de prendre la direction de Mushref Palace, résidence de l’hôte béninois. Emirats Arabes Unis, la merveille Les Emirats Arabes Unis, Etat fédéral proclamé indépendant le 2 décembre 1971, sont situés dans la péninsule arabique. Ils sont constitués de sept principautés de l’ancien Oman (protectorat de la Grande-Bretagne): Abu Dhabi, Dubaï, Sarjah, Ajman, Umam Al-Qaïwain, Fujaïrah et Ras-Al-Haïma. Cet Etat fédéral est limité au sud-ouest par le royaume de l’Arabie Saoudite, à l’est par le Sultanat d’Oman, au nord par une grande ouverture sur le Golfe Persique. D’une superficie de 17.700 km2, les Emirats Arabes Unis ont une population de 1.700.000 habitants, dont 20% d’autochtones et 80% d’étrangers. Grâce à la manne pétrolière, principale activité de ce pays, le paysage autrefois désertique, aride, a été progressivement transformé. Au vide créé par le climat désertique défavorable à l’agriculture, a fait place une verdure sans pareille, entretenue à grands frais. A cette verdure non seulement diversifiée, attrayante, mais aussi séduisante, s’ajoute un plan d’urbanisation conçu et réalisé par des mains de maîtres. En un mot, une architecture qui, incontestablement, constitue l’une des merveilles des deux dernières décennies. Abu Dhabi, la capitale fédérale, avec son industrie peu développée et orientée vers la transformation des dérivés du pétrole, son plan de modernisation très avancé, une agriculture se limitant à la plantation des palmiers dattiers et à la culture maraîchère, est le symbole de la profonde transformation qu’a connue ces dernières années cette zone désertique. Sur le plan de la coopération arabo-africaine, en dehors de l’O.C.I. dont le Bénin est également membre, il n’existe pas un cadre politique approprié de relations bilatérales entre les deux Etats. Cela est évidemment dû au marxisme-léninisme-alibi dont la diplomatie était essentiellement orientée vers les pays de l’Est. Mais grâce aux décisions de la Conférence nationale, le Bénin a fait des efforts de rapprochement vers les Emirats Arabes Unis. Ce nouveau pas de notre diplomatie, qui se veut dynamique et plus souple, a ouvert de nouvelles perspectives avec les Etats du Golfe persique. Politique de coopération des Emirats Arabes Unis Respectueux des principes de bonne compréhension, de non-ingérence dans les affaires des autres pays et de coopération mutuelle avantageuse, les E.A.U. ont depuis 1971 entretenu de bonnes relations avec le reste du monde et surtout avec l’Occident et les Etats-Unis d’Amérique. Ils sont membres de la Ligue des Etats Arabes, de l’Organisation de la conférence islamique, du Mouvement des non-alignés. Dans le domaine de l’aide au développement, Abu Dhabi consacre à la consolidation et à la relance économique de ses partenaires, une bonne partie de son PIB qui dépasse largement les objectifs fixés par la décennie du développement des Nations Unies. En dehors du Fonds d’Abu Dhabi (ADFAED) qui centralise les aides, il existe des possibilités d’obtention des financements sous forme d’aide directe du gouvernement auprès de l’Emir d’Abu Dhabi au titre des subventions d’équilibres budgétaires ou d’aides d’urgence aux pays démunis. En ce qui concerne les interventions du Fonds d’Abu Dhabi, il importe de souligner que pour les 15 dernières années, il a élargi son rayon d’action en incluant non seulement des pays arabes ou musulmans, mais également d’autres pays en voie de développement. Il intervient surtout au niveau des projets de développement et d’infrastructures qui n’attirent pas les organismes traditionnels de financement de crédit. Au nombre des prêts déjà consentis par Abu Dhabi, l’on peut retenir 153 milliards de dollars US sous forme de prêts aux pays arabes, 273 millions de dollars US aux pays africains et 137 millions de dollars aux pays asiatiques et qui ont servi à financer 91 projets dans 43 pays. Ces prêts qui sont utilisés dans les secteurs des communications, de l'entreposage, de l’agriculture et de la pêche, dans l’habitat et le tourisme sont des subventions accordées à des taux hautement concessionnels. Le point des entretiens C’est dans ce décor financier prometteur doublé d’un accueil chaleureux, que les travaux entre la délégation béninoise et cette des Emirats ont démarré le dimanche 17 mai 1992 au palais royal. Tout a commencé par un entretien qui a regroupé non seulement les deux présidents, mais aussi les délégations des deux pays. Et pour plus d’efficacité, les ministres du Bénin et des E.A.U se sont retirés pour des débats francs et directs. A cette séance de travail présidée par le prince héritier Sultan Zaïd, les ministres Théodore Holo, Robert Tagnon, Aurélien Houéssou, Eustache Sarré et Marna Adamou N’Diaye ont présenté à leurs homologues des E.A.U., les possibilités qu’offre le Bénin pour une coopération mutuelle et avantageuse. Pour l’essentiel, la délégation béninoise a souhaité qu’à partir de la présente visite, soient établies de bonnes relations de coopération pouvant faciliter l’intervention financière directe du Fonds d’Abu Dhabi dans des projets au Bénin et aussi l’exportation de certains produits béninois vers les Emirats Arabes Unis. Au nombre des projets présentés et qui nécessitent l’intervention d’Abu Dhabi, figurent: - Le projet relatif au réaménagement des principales villes du Bénin et estimé à 15 milliards de dollars. - La traversée de Cotonou, soit 135 km de roules. - La route Savalou-Djougou dont le montant s’élève à 61 millions de dollars, un projet devant faciliter de désenclavement du Burkina-Faso. - La route Togo-Cotonou-Nigéria d’un montant global de 160 millions de dollars; la réalisation de ce projet aidera à l’intégration économique prévue dans le cadre de la CEDEAO - Le barrage d’Adjralala dont il reste à mobiliser 87 millions de dollars des 197 millions de dollars, pour achever sa construction. En ce qui concerne le projet pétrolier de Sèmè, la délégation béninoise a de même sollicité l’intervention d’Abu Dhabi pour renforcer la production et les recherches. La possibilité d’importer des produits pétroliers à un prix concessionnel a été abordée. Soucieuse de diversifier et de renforcer notre production agricole, base essentielle de l’économie, la partie béninoise a fait part de son souhait de voir s’installer à Cotonou une institution financière d’Abu Dhabi pour l’octroi de crédit agricole. Outre ces projets à réaliser, les hommes d’affaires des Emirats Arabes Unis ont été invités à souscrire pour la privatisation de la société sucrière de Savè et de la société des ciments d’Onigbolo. Quant à la coopération dans le domaine de l’éducation, les ministres, ont émis le souhait que soit réorganise le mécanisme d’octroi de bourses aux étudiants béninois. Pour eux, l’Etat de droit ne saurait exclure une quelconque religion; mais un système islamique classique et tolérant serait le bienvenu au Bénin. La question de réhabilitation des écoles, collèges et celle de la dotation d’équipements performants des organes de presse d’Etat ont été aussi évoquées. En réponse à toutes ces propositions, les responsables des Emirats Arabes Unis ont réaffirmé l’idée de création d’une commission mixte émise par Son Altesse Cheikh Zaïd pour l’étude pratique des différents domaines de coopération entre les deux Etats. Ils ont favorablement répondu à l’invitation à Cotonou d’une délégation d’hommes d’Etat et d'affaires, afin de créer les bases d’une saine coopération économique qui, suivie par les institutions de Bretton Woods, ne saurait souffrir de mauvaise gestion. Ce pont d’une nouvelle forme de coopération arabo-africaine que viennent de jeter le président Nicéphore Soglo et Cheikh Zaïd, sera consolidé par la première réunion de la commission mixte qui se tiendra à Cotonou avant la fin de l’année en cours. bibo:pages 3 -- o:id 7053 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7053 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7069 26383 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4f7a16b55616d901349f4a56a6e89fe64392ff94.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8d9d11ecbd0fcd4dea9f387098044549c42c49d1.tiff dcterms:title Arrivée du président Soglo au Koweït dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14371 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13204 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1992-05-19 dcterms:identifier iwac-article-0003245 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président Nicéphore Soglo est arrivé hier à Koweit pour une visite officielle de trois jours dans le cadre d’une tournée dans le Golfe, a indiqué l’agence koweïtienne KUNA. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/309 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président Nicéphore Soglo est arrivé hier à Koweit pour une visite officielle de trois jours dans le cadre d’une tournée dans le Golfe, a indiqué l’agence koweïtienne KUNA. Le président Soglo, qui venait d’Abou Dhabi, a été accueilli à l’aéroport notamment par l’émir du Koweït, Cheikh Jaber Al-Ahmad Al-Sabah. Au cours de son séjour, le président béninois doit examiner avec les responsables koweitiens les relations bilatérales, a ajouté KUNA sans autres précisions. A Abou Dhabi, M. Soglo a notamment évoqué avec le chef de l’Etat des Emirats Arabes Unis (EEAU), Cheikh Zayed Ben Sultan Al-Nahyane, les moyens de renforcer la coopération entre les deux pays dans le domaine économique et commercial, ainsi que la conjoncture internationale, notamment la situation dans le Golfe et au Proche-Orient, selon l’agence WAM. (AFP) bibo:pages 8 -- o:id 7054 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7054 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7070 26384 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/65326cf2293c8b355f6a534be67b2fd2c5fa1c71.pdf https://islam.zmo.de/files/original/afc640b081d5412e275a1a836abf781bd5ce50da.tiff dcterms:title Borgou : menaces sur la prochaine célébration de la fête du Ramadan à Parakou dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15246 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1992-04-03 dcterms:identifier iwac-article-0003246 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Nul ne sait l’atmosphère qui prévaudra lors de la célébration rituelle de la prochaine fête du Ramadan à Parakou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Nul ne sait l’atmosphère qui prévaudra lors de la célébration rituelle de la prochaine fête du Ramadan à Parakou. Des rumeurs persistantes et soutenues colportées de bouche à oreille font croire que l’office religieux qui sera célébré à la place de prière «ldi» sera «noyée dans un bain de sang». Pour prévenir tous les périls, M. Gabriel Pascal Kpèdé vient de rendre public un communiqué au terme duquel chaque musulman de Parakou est invité instamment à participer à l'office religieux relatif à cette fête, le samedi 4 avril 1992, non à «ldi» comme les années passées, mais dans la mosquée de son lieu de résidence. Le communiqué préfectoral est assorti de menaces diverses, notamment pénales à l'endroit de tous ceux qui contreviendraient aux dispositions qui y sont contenues, en perturbant l’ordre public le jour du Ramadan. Depuis le décès de l’Imam Kassimou Aboubacar, il y a un an, la communauté musulmane de la métropole du Borgou est confrontée à des manoeuvres ouvertes de division et d’éclatement, au point de ne pouvoir désigner jusqu’ici un Imam Djamiou qualifié pour officier la prière de la fête du Ramadan. Toutes les tentatives de réconciliation amorcées par les autorités préfectorales sont demeurées vaines et c'est bien pour des raisons évidentes de sécurité que le préfet du Borgou s’est trouvé dans l’obligation d’intervenir dans un domaine strictement religieux. (ABP) bibo:pages 8 -- o:id 7055 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7055 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7071 26385 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cf527662df04405680a874599eb3dfc2b1159d6b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/64f2190962bea0ed4c96820b30690f970f2dd24e.tiff dcterms:title Le Croissant Rouge égyptien au chevet des populations sinistrées dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1493 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14295 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1992-02-17 dcterms:identifier iwac-article-0003247 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une cérémonie fort simple de remise d’un don de médicaments a eu lieu vendredi dernier à la coupole du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération à Cotonou. Ce don de médicaments est un geste symbolique du Croissant Rouge égyptien à la Croix Rouge béninoise à l’intention des victimes des dernières inondations dans notre pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une cérémonie fort simple de remise d’un don de médicaments a eu lieu vendredi dernier à la coupole du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération à Cotonou. Ce don de médicaments est un geste symbolique du Croissant Rouge égyptien à la Croix Rouge béninoise à l’intention des victimes des dernières inondations dans notre pays. La remise a été faite par le Docteur Fayez Bictache, ambassadeur d’Egypte au Bénin, en présence du secrétaire général du MAEC, M. André-Guy Ologoudou et de Mme Véronique Ahouanmènou, présidente de la Croix Rouge béninoise. Le diplomate égyptien a fait observer que c'est dans les moments difficiles que l’on compte ses amis. Il a rappelé les catastrophes et calamités qui se sont abattues sur son pays et l'ont endeuillé. 500 personnes ont péri dans le naufrage d’un navire égyptien en Mer Rouge. Plusieurs inondations ont causé dans le Delta du Nil des dommages très importants et des déplacements de milliers de sinistrés. Mais tous ces fléaux n’ont pas entamé la volonté de solidarité agissante lorsqu’un autre peuple d’Afrique a des difficultés similaires. Il s’agit par ce don de solidarité à la base d'enraciner et de consolider les fondements de l’édifice des rapports interétatiques. C’est cette forme de solidarité concrète qui permet la compréhension mutuelle, le respect mutuel, les véritables et sincères connaissance et reconnaissance de l'autre. Madame Véronique Ahouanmènou, présidente de la Croix Rouge béninoise n’a pu rester insensible à ce geste simple mais significatif du Croissant Rouge et du gouvernement égyptiens dans leur politique constante d'assistance aux sociétés nationales en développement. Des mots de remerciements et des sentiments de profonde gratitude ont été adressés au diplomate égyptien et à travers lui, au gouvernement et au vaillant peuple d’Egypte pour le soutien fort appréciable qu’ils ne cessent de nous témoigner. Au nom du MAEC, M. André-Guy Ologoudou, a remercié les donateurs, et a indiqué que les populations bénéficiaires sauront apprécier à sa juste valeur ce geste très amical et fort symbolique. Un geste qui vient consolider et renforcer l'amitié et la coopération entre nos peuples. bibo:pages 8 -- o:id 7056 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7056 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7072 26386 26387 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a5e54ec3ced52c3cf43315c168712c20ecfaa0d3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b1587526a337473c0d1cddf3641442ff2b82141c.tiff https://islam.zmo.de/files/original/741cac7461ed598c4ed6d56dc2baa1293f0052e1.tiff dcterms:title Sommet de l'Organisation de la Conférence Islamique : le président Soglo à Dakar depuis hier dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1499 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14082 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14010 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1991-12-09 dcterms:identifier iwac-article-0003248 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le chef de l'Etat, le président Nicéphore Soglo a quitté Cotonou hier pour Dakar (Sénégal) pour représenter notre pays au sommet de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) qui s'ouvre ce matin même dans la capitale sénégalaise. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le chef de l'Etat, le président Nicéphore Soglo a quitté Cotonou hier pour Dakar (Sénégal) pour représenter notre pays au sommet de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) qui s'ouvre ce matin même dans la capitale sénégalaise. Hier en quittant Cotonou, le chef de l'Etat a notamment indiqué dans la traditionnelle interview de départ au salon d’honneur de l’aéroport que «l’essentiel, c’est que lé Bénin marque sa présence dans un certain nombre d’institutions». Au sommet de l'OCI de Dakar, a précisé M. Soglo, nous prendrons contact avec les représentants des autres pays ainsi qu’avec nos pairs africains sur un certain nombre de problèmes d'actualité. Le Bénin a-t-il des positions particulières à défendre à cette conférence ? «Non, nous sommes des gens ouverts. Nous allons là-bas pour écouter, voir, entendre et apprendre» a répondu le président Soglo. A son arrivée hier matin à l’aéroport de Dakar à bord d’un avion présidentiel sénégalais, le chef de l’Etat a été accueilli par le président Abdou Diouf. En ce qui concerne la conférence proprement dite, le ministre sénégalais des Affaires étrangères M. Djibo Ka a officiellement annoncé hier la clôture de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’OCI, réunion préparatoire à ce 6e sommet. La séance de clôture, commencée à huis-clos a ensuite été ouverte aux journalistes. «Nous avons terminé notre travail en trois jours par l'action de trois commissions et par cette session plénière», a déclaré le ministre sénégalais, président de la réunion. Les ministres ont examiné «sérieusement tous les sujets proposés et ont élaboré un ordre du jour pour ce 6e sommet», a déclaré M. Djibo Ka qui s’est «réjoui» de ce que tous les projets «ont été adoptés par consensus, conformément à nos traditions». Il a remercié «la contribution de chacun, la générosité et la compréhension qui a permis d’avancer» quelle que soit la sensibilité des sujets abordés». M. Djibo Ka a formulé l’espoir que l’OCI fera preuve de «solidarité et de fraternité» et que le sommet de Dakar marquera une étape significative pour l’Organisation. bibo:pages 1 3 -- o:id 7057 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7057 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7073 26388 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0044b5adfe5335b8e4170c376fd8a1c4c5937dea.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d0512db55d9966e7a7193944457bcafa9fb040f2.tiff dcterms:title La libération de la femme musulmane : une lutte conforme au Coran dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1538 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12828 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/59 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13690 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15327 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14266 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1991-05-08 dcterms:identifier iwac-article-0003249 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le 21 mars dernier, à la mosquée de Cotonou, deux fidèles de sexe féminin se sont vues confier des responsabilités importantes sur le plan religieux. Les deux élues El-Hadja Souradjatou Amari da Silva et Raliatou Akankè Gbadamassi sont respectivement mère spirituelle de l’Islam et mère de la Communauté musulmane de Cotonou. Des récompenses pour leur dévouement pour les affaires spirituelles. Un acte posé nulle part au monde et qui suscite un certain nombre d'interrogations au regard de la place réservée à la femme dans cette religion. S'agit-il de la concrétisation de la lutte des femmes mu- sulmanes pour plus de justice entre l’homme et la femme, de l'application effective des principes de l’Islam conformément aux prescriptions du prophète ou d’un simple encouragement aux femmes musulmanes pour qu’elles s'investissent davantage dans les questions religieuses ? Pour en savoir plus sur le statut de la femme musulmane, et le sens à donner à cet acte lisez plutôt cet interview avec El-Hadja Bio Tchané Modoukpè Aïcha institutrice retraitée et présidente du bureau provisoire de l'union des femmes musulmanes du Bénin (UFMB). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/443 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le 21 mars dernier, à la mosquée de Cotonou, deux fidèles de sexe féminin se sont vues confier des responsabilités importantes sur le plan religieux. Les deux élues El-Hadja Souradjatou Amari da Silva et Raliatou Akankè Gbadamassi sont respectivement mère spirituelle de l’Islam et mère de la Communauté musulmane de Cotonou. Des récompenses pour leur dévouement pour les affaires spirituelles. Un acte posé nulle part au monde et qui suscite un certain nombre d'interrogations au regard de la place réservée à la femme dans cette religion. S'agit-il de la concrétisation de la lutte des femmes musulmanes pour plus de justice entre l’homme et la femme, de l'application effective des principes de l’Islam conformément aux prescriptions du prophète ou d’un simple encouragement aux femmes musulmanes pour qu’elles s'investissent davantage dans les questions religieuses ? Pour en savoir plus sur le statut de la femme musulmane, et le sens à donner à cet acte lisez plutôt cet interview avec El-Hadja Bio Tchané Modoukpè Aïcha institutrice retraitée et présidente du bureau provisoire de l'union des femmes musulmanes du Bénin (UFMB). Question : L'Islam dit-on a effectué certains progrès pour la condition féminine. Comment ? Réponse — On ne saura répondre à cette question sans se replacer dans le contexte historique de la naissance de l’Islam. Dans la Péninsule Arabique avant l’avènement de la nouvelle religion, la naissance d’une fille était considérée comme un malheur et les bébés de sexe féminin étaient enterrés vivants dans certaines classes sociales. C’est l'Islam qui a interdit une telle pratique et conféré un nouveau statut d’être humain à part entière à la femme, avec ses devoirs et ses droits. C’est ainsi qu’une sourate entière a été dédiée à la femme dans le Saint Coran. Sourate 4 intitulée « Les Femmes » et que lors de son discours d’adieu à Arafat le Prophète Mohammad (SWS) invita encore une fois à la bienveillance envers les femmes. Aux Hommes, il dit « le meilleur d’entre vous est celui qui est le meilleur envers sa femme. Q. : La femme selon le Coran apparaît comme une éternelle assistée ; de ce point de vue, elle ne peut défendre ses intérêts parce que influençable par ses sentiments. Ne pensez-vous pas aujourd’hui que dans notre pays cette thèse est en retard vu le dynamisme des femmes musulmanes ? R. — Nous aimerions souligner ici qu'à travers tout le Coran, la femme est considérée comme un être responsable au même titre que l'homme. Elle est responsable de tous ses actes et en répond devant Dieu. Il n'est pas juste de dire que selon le Coran, la femme apparaît, comme une éternelle assistée. La loi Islamique stipule plutôt que la femme a des droits inaliénables qu’elle peut défendre sans recourir à qui que ce soit (Père, Frère, Mari, Fils). S’agissant de notre pays, même si cette thèse était vérifiée à tort ailleurs, elle n’a pas du tout sa raison d'être dans notre communauté où l'on observe chez les femmes musulmanes un certain dynamisme qui fait d’elles des éternelles assistantes plutôt que des assistés. Q. : Pourquoi alors c’est le père qui choisit à sa fille un mari ? Ainsi sous le couvert de la protection à apporter à la femme la domination continue ? R. — Au début de l'Islam, les parents observaient les familles afin de trouver celle où il y a le meilleur homme pour leur fille afin de garantir son bonheur. Les parents proposent un mari à leur fille mais ne la lui imposent pas. Aucun verset du Coran ne prescrit de donner sa fille en mariage à un homme contre son gré. Ce sont les traditions des arabes que certains musulmans appliquent à tort. Q. : On dit souvent qu’il y a inadéquation flagrante entre les prescriptions et les traditions dites islamiques. Donnez quelques exemples et pourquoi ce hyatus ? R. — Vous savez, quand il y a inadéquation entre prescriptions et traditions, on parle de l'hypocrisie et l'Islam condamne fortement l’hypocrisie sous toutes ses formes. Ce serait vraiment étonnant que les prescriptions et les traditions ne s'accordent pas. Vous voulez peut-être parler des prescriptions islamiques et des traditions ethniques de certaines communautés musulmanes ? Car voyez-vous certaines traditions que les prescriptions islamiques sont venues combattre persistent encore du fait de l’hypocrisie des hommes qui n’entendent pas abandonner les privilèges que l’époque de l’ignorance leur a concédés. Pour donner une légitimité à la chose, ils font un amalgame de cette tradition pré-islamique et les prescriptions islamiques. L'exemple le plus frappant de ce hyatus est cette farouche volonté des hommes dans certaines communautés musulmanes à vouloir confiner la femme hors société pour pouvoir continuer de jouir des prérogatives qui font d’eux les maîtres. Déjà du vivant du Prophète Muhammad (SWS), ces erreurs furent relevées et corrigées par le Prophète (exemple de la dispute entre Omar et sa fille Hafsa, l’épouse du Prophète). Q. : L'Islam n'est pas une religion figée ; mais face à cette ouverture en faveur de la femme n’y-a-t-il pas le risque de la montée de l'intégrisme chez nous comme on le note dans beaucoup de pays arabes ? R. — Il est à noter que cette ouverture en faveur de la femme dont vous parlez est aussi vieille que l’Islam même, puisque c’est par l’avènement de l'Islam que Dieu a chassé l'ignorance. Si l’on constate cette ouverture aujourd'hui, c'est du fait de la lutte quotidienne des femmes pour faire respecter la loi islamique. Cela ne peut en aucun cas favoriser la montée de l'intégrisme chez nous quand on sait, et l'homme le sait, le rôle combien important que joue la femme dans notre communauté. On ne peut attribuer la montée de l'intégrisme dans certains pays qu'à l'ignorance pure, l’égoïsme et à l'intolérance de la part de ces partisans. Dans ces pays aussi la lutte que mènent les femmes ne peut aboutir qu'en leur faveur. Tout intégriste s'écarte de la voie islamique telle tracée par le Prophète Muhammad (SWS). Q. : A cette allure, ne voyez-vous pas une réduction effective du pouvoir de l'homme sur la femme ? Exemple : voyez les femmes ne sont pas toujours acceptées dans les mosquées. R. — Evidemment, dans ces conditions, l'homme ne peut que reviser sa position. Il faut qu'il y ait harmonie et équilibre, c'est normal et évident que, quand la femme s'éveille et prend la place qui lui est attribuée dans le Saint Coran et que par ignorance elle n'occupait pas, l’homme revient à sa place jusqu'à ce que la juste mesure soif atteinte. Il ne peut s'en suivre qu'une réduction effective du désir de dominer, et ceci ce n'est pas seulement chez les musulmans mais dans toutes les communautés humaines ou le problème se pose. Pour cette affaire des femmes dans les mosquées, il n'y a ni interdiction, ni ségrégation. C'est tout simplement facultatif pour plusieurs raisons : de convenance, de chasteté, de concentration dans la mosquée. Ainsi dans les grandes mosquées, il y a un espace assigné aux femmes qui veulent bien s'y rendre. Q. : Ne pensez-vous pas que ce désir de domination lui est facilité par l’ignorance de la femme qui ne fait que perpétuer ce qui lui est présenté comme son rôle ? R. — Oui, bien sûr. C'est pourquoi l'ignorance est ici l'ennemi numéro 1 de la femme dans tous les domaines. Il faut la combattre. La meilleure arme contre l'ignorance c'est l'instruction, l'information et l'éducation. Nous devons œuvrer pour sortir toutes nos sœurs des ténèbres de l’ignorance et partant assurer un développement harmonieux pour notre Nation. Car on ne saura parler de développement effectif tant que plus de la moitié de la population demeurera dans l'ignorance. Raison pour laquelle l'Union des Femmes Musulmanes du Bénin se bat pour sensibiliser leurs sœurs et les amener à s'instruire à élever leur niveau d'éducation d'une manière générale, à chercher à s'imprégner des prescriptions islamiques : ce qui les dispenserait de se référer aux hommes pour en saisir la juste compréhension. Q. : Dans ce désir de domination de l'homme sur la femme ne pensez-vous pas que la mystification masculine reste une arme puissante quand on sait que certains hommes lettrés ont des hadiths vrais et faux qu'ils savent asséner en temps utiles sachant que personne ne peut leur apporter la contradiction ? R. — Dans son désir de domination quand l’homme rencontre une résistance, il n'hésite pas en effet à exhiber certains hadiths que l'on ne peut qualifier que de faux car les hadiths non truqués, les vrais mettent en relief l'importance de la femme, le respect et la considération dont elle doit faire l'objet en tant que fille, épouse et mère. Les hommes n'ont qu'à avoir le courage de suivre l'exemple du Prophète. Aux femmes aussi de s'armer de volonté de s’instruire, de s'informer pour distinguer le vrai hadith du faux et combattre ceux qui exhibent le faux pour sauver leurs prérogatives et par là maintenir les femmes sous domination. Q. : Muhammad a dit « on ne peut mener une vie heureuse sans une femme instruite, civilisée ayant un bon caractère ». Pourquoi alors dans le monde musulman les femmes sont cloîtrées à la maison et ce, au nom de la religion ? R. — Voyez-vous, les hommes seront plus heureux à suivre l'exemple du Prophète Muhammad (SWS), c'est-à-dire à se conformer aux enseignements islamiques quant l'importance de la femme dans la communauté. « On ne peut mener une vie heureuse sans une femme instruite et civilisée ayant un bon caractère » dit Muhammad (SWS). Il va plus loin en disant que « le Paradis même se trouve sous les pieds de vos mères ». Tout cela pour mettre en exergue la position de la Femme dans la tradition islamique. Dans l'histoire islamique, les femmes musulmanes exercent tous les métiers à leur convenance. A une époque le marché de Médine était dirigé par une femme et cette femme était . bien lettrée. Par conséquent, la femme n'est pas à confiner à la maison et nulle part dans le coran, la vie de réclusion n'est recommandée. Il est recommandé aux femmes des vertus, la descence et la bonne moralité pour mieux accomplir leur mission. Eu égard à cette tradition islamique et aux pratiques de Muhammad (SWS), comment comprendre que dans une partie du monde musulman, notamment dans certains pays arabes, les femmes soient cloîtrées à la maison ? II n'y a qu'une explication à cela. On a toujours tendance à confondre la tradition islamique et la tradition arabe alors qu'elles sont deux choses distinctes. Cette confusion se fait tout simplement parce que l'islam a été révélée en Arabie. Les traditions arabes comme d'autres traditions existaient des millénaires avant l'avènement de l'Islam. Cette religion est venue d'ailleurs en corriger les abus surtout en ce qui concerne les femmes. Cette distinction entre les deux traditions est très importante et indispensable pour saisir toutes les dimensions de l'Islam. bibo:pages 4 -- o:id 7058 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7058 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7074 26389 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b35037e5c5934a16d330a8386fbbfe441f1307bc.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c543805464de8238fe7aae7865ccc577b158009a.tiff dcterms:title Communauté musulmane du Bénin : l'Imam de la mosquée centrale de Jonquet a été investi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/85 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14108 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-08-28 dcterms:identifier iwac-article-0003250 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La mosquée centrale de Jonquet a été entièrement reconstruite. Dimanche 26 août dernier, la communauté musulmane a procédé à son inauguration et à l’occasion, l’Imam de la mosquée, Ibrahim Ousmane a été intronisé. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/443 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La mosquée centrale de Jonquet a été entièrement reconstruite. Dimanche 26 août dernier, la communauté musulmane a procédé à son inauguration et à l’occasion, l’Imam de la mosquée, Ibrahim Ousmane a été intronisé. Construite, il y a plus de cent ans, la mosquée centrale de Jonquet est l'une des premières de Cotonou. Elle avait besoin d'une réfection pour répondre aux normes actuelles des BTP. La communauté musulmane du Bénin consciente de cette exigence a entrepris sa reconstruction. Les travaux achevés, nous retrouvons aujourd'hui un bâtiment flambant neuf. Un bâtiment qui a été officiellement remis aux fidèles qui pourront y faire leurs ablutions. De même, le nouvel Imam, El Hadj Ibrahim Ousmane, fils de l'Iman sortant Ousmane Aboubakar a été investi et turbanisé. Ce dernier a été désigné par la communauté musulmane pour continuer les œuvres islamiques engagées par son père. Au cours de la cérémonie, une prière a été dite pour honorer la mémoire des huit Imams qui ont dirigé depuis 1914 la mosquée centrale de Jonquet. Rappelons que « Allah » a ordonné aux musulmans de se choisir un chef religieux qu'ils proclament Imam et à qui, ils doivent déférence et obéissance tant qu'il appliquera correctement la loi du Coran et les hadiths du prophète Mahomet. Le nouvel Imam Ibrahim Ousmane Aboubakar a fait des études à l'Université de la ville sainte de Médine. Il a désormais la responsabilité de sortir l'homme de l'obscurité et de l'ignorance. Le représentant du chef de l'Etat à cette cérémonie, Issa Badarou Soulé a transmis les félicitations du Dr Boni Yayi au nouvel Imam. Le chef de l'Etat reconnaît selon lui, que Dieu est au centre de tout et que rien ne peut se faire sans lui, et c'est pour cela qu'il apporte tout son soutien à la cérémonie du jour. bibo:pages 6 -- o:id 7059 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7059 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7075 26390 26391 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8fd102d1843b62ba7a7ecaf3a9d28e80a9f6d4c2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/69e15e04514b48f716bb9fb08bc026471f5844e6.tiff https://islam.zmo.de/files/original/dcc9d224bfa68e51f9624d90e7705d104c902aaa.tiff dcterms:title Prières d'action de grâce à la mosquée centrale : vivement la sagesse de Salomon au président Boni Yayi ! dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15022 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/214 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-04-24 dcterms:identifier iwac-article-0003251 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une prière d’action de grâce dirigée par un collège d’Imams a été organisée à l’intention du Bénin par la communauté islamique nationale, dans la matinée du samedi 22 avril dernier à la Mosquée centrale de Zongo. Présent à cette cérémonie avec son épouse, le chef de l’Etat avait à ses côtés, les personnalités des différentes institutions de la République, les membres de son gouvernement, du corps diplomatique et des organisations internationales accréditées près le Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une prière d’action de grâce dirigée par un collège d’Imams a été organisée à l’intention du Bénin par la communauté islamique nationale, dans la matinée du samedi 22 avril dernier à la Mosquée centrale de Zongo. Présent à cette cérémonie avec son épouse, le chef de l’Etat avait à ses côtés, les personnalités des différentes institutions de la République, les membres de son gouvernement, du corps diplomatique et des organisations internationales accréditées près le Bénin. Après la communauté chrétienne à travers l'église catholique et les protestants, c'était au tour des musulmans béninois de témoigner leur reconnaissance à Allah pour avoir aidé le Bénin lors de l'élection présidentielle. Ils étaient donc nombreux ces fidèles qui ont pris d'assaut la Mosquée centrale de Zongo, pour prier pour la paix et la prospérité de notre pays. C'est par la lecture d'un verset introductif que la prière pour la nation a démarré. Ledit verset s'est appesanti sur le pouvoir, une responsabilité devant Dieu et devant les hommes. Selon ses enseignements coraniques, nous sommes tous responsables de la charge que Dieu nous a confiée. Nous devons être fidèles à nos engagements envers Dieu après les avoir contractés, recommande le Coran, Sourate 16, verset 90 à 93. Dans ses mots de bienvenue, le porte-parole de la communauté, Mohamed Dan Baba, a imploré la grâce d'Allah, afin que le processus du changement prôné se concrétise pour l'épanouissement de tous les Béninois. Il a ensuite souhaité qu'il renforce les capacités, inspire et soutienne le chef de l'Etat pour lui permettre de combler les attentes et les espoirs placés en lui. A sa suite, le collège des Imams amené par Ibrahim Mohamed El Habib de la Mosquée centrale de Zongo, a également prié pour que Dieu fasse du Dr Boni Yayi un président de développement, d'amour, de paix et d'unité pour notre pays. Ledit collège a imploré l'Eternel pour qu'il lui accorde la sagesse de Salomon. Prenant alors la parole, le président de la République a loué l'initiative de la communauté islamique nationale qui, selon lui, fera date dans l'histoire du Bénin. Il a estimé qu'il ne saurait y avoir de vie et de nation en dehors de Dieu le Créateur. Le Dr Boni Yayi a alors appelé à la nécessité de la mise sur pied d'une armée spirituelle islamique, une armée de Dieu qui aura comme mission essentielle de prier pour la nation. Après la remise de présents au couple présidentiel, c'est par les salutations des Imams et des notables de la communauté islamique aux personnalités que la cérémonie de prière a pris fin. «Il n'y a pas de vie en dehors de Dieu» (Extrait de l'intervention du chef de l'Etat à la Mosquée centrale de Zongo) «Je voudrais, au nom de l'ensemble des membres du gouvernement, exprimer à Son Eminence l'Imam de la Mosquée centrale, aux autres Imams de notre pays, à toute la hiérarchie de la communauté islamique de notre pays, du fond de mon cœur, tous mes remerciements. Merci d'avoir pris cette initiative qui fera date dans l'histoire de notre nation. Cette prière que notre Dieu, Créateur du Ciel et de la Terre a déjà acceptée. Et, rendons-lui grâce. Chers Imams, il n'y a pas de vie en dehors de Dieu Tout- Puissant. Il n'y a pas de nation en dehors du Créateur. C'est pourquoi, je vous renouvelle mes remerciements. Le message passé est lourd et demeure divin. Il n'est pas tombé dans les oreilles d'un sourd, à notre niveau, comme au niveau de chacune et de chacun des ministres. Le peuple, le nôtre, notre peuple, notre nation, veut la paix. Et Dieu nous l'a déjà donnée. Notre peuple veut la liberté d'entreprendre. Notre peuple veut le pain également. Demandons à notre Dieu de nous unir et de créer les conditions, dans nos prières, pour que nous puissions vivre dans la prospérité comme du temps du règne de Salomon. Respectueux responsables de la communauté islamique, nous avons maintenant besoin de l'armée spirituelle islamique à côté de notre armée composée par les forces de sécurité, par les militaires, les gendarmes et autres. Nous avons besoin de l'armée de Dieu. Et je vous demande très respectueusement d'y réfléchir pour que, ces prochains jours, nous puissions encore nous retrouver, et que cette armée soit formellement installée. Son rôle, c'est de prier. De prier pour la nation. De prier pour le pays, notre pays, le Benin. De prier pour le gouvernement. De prier pour le président pour que l'on s'assure que notre nation ne tourne pas dos a l'alliance avec Dieu le Créateur. Encore une fois, merci beaucoup. Que le Tout-Puissant, Créateur du Ciel et de la Terre vous comble abondamment de ses bénédictions ». bibo:pages 1 12 -- o:id 7060 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7060 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7076 26392 26393 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/13ef460e96af1e6ae619f5d62bd8a510a2cf1915.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e4cdefe7903055da50cd0cd355a01f842ba31227.tiff https://islam.zmo.de/files/original/46ba450f35c7a60f0c796374920e87d0fc756b97.tiff dcterms:title Fête de Ramadan : les musulmans marquent la fin d'un mois de jeûne dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13529 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15255 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13593 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-10-24 dcterms:identifier iwac-article-0003252 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar des musulmans du monde entier, ceux du Bénin ont célébré la fête du Ramadan, hier, lundi 23 octobre, à la Place ldi à Akpakpa à Cotonou. Les manifestations ont été marquées par des prières dites par l’Imam intérimaire, Ibrahim Ousmane, fils de l’Imam de la Mosquée centrale de Joncquet, en présence du ministre de la Sécurité publique et des Collectivités locales, Edgard C. Alia, du ministre de la Réforme administrative et institutionnelle Gounou Sina, et du préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral, Véronique Brun Hatchémè. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar des musulmans du monde entier, ceux du Bénin ont célébré la fête du Ramadan, hier, lundi 23 octobre, à la Place ldi à Akpakpa à Cotonou. Les manifestations ont été marquées par des prières dites par l’Imam intérimaire, Ibrahim Ousmane, fils de l’Imam de la Mosquée centrale de Joncquet, en présence du ministre de la Sécurité publique et des Collectivités locales, Edgard C. Alia, du ministre de la Réforme administrative et institutionnelle Gounou Sina, et du préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral, Véronique Brun Hatchémè. La pluie qui s'est abattue sur la ville de Cotonou, hier, n'a pas empêché les musulmans de sacrifier à la tradition. Ils ont fait massivement le déplacement comme si de rien n'était, vers la Place ldi d'Akpakpa à Cotonou pour marquer la fin d'un mois de jeûne. En effet, le Ramadan est le 9e mois du calendrier musulman. Ce mois marque, le début de la révélation du Coran, faite à Mahomet. Afin de sacrifier ce mois, il a été décidé que les musulmans pratiqueraient un jeûne. Donc, le mois de Ramadan est un mois au cours duquel le Coran a été prodigué comme guide pour les gens, et preuve claire de la bonne direction et du discernement. Lors des manifestations marquant cette fête de Ramadan hier, Imam intérimaire, Ibrahim Ousmane a accentué ses prières sur la paix dans notre pays. Par ailleurs, il a invité Allah a accompagner le chef de l'Etat et les membres de son gouvernement dans l'accomplissement de leurs missions. Jeûner pendant un mois n'est pas chose facile, a dit le ministre de la Sécurité publique et des Collectivités locales, Edgard C. Alia. La cérémonie d'hier étant un rituel très important pour les musulmans, il estime qu'il faut partir de là pour préparer les autres étapes, à savoir le pèlerinage. A cet effet, il invite tous les convoyeurs à faire preuve de vigilance pour que les parents qui doivent aller à la Mecque puissent aller et revenir sans des surprises désagréables. Ce qui n'est pas souvent le cas. Edgard C. Alia promet que toutes les autres fêtes, à savoir la Tabaski par exemple, seront désormais suivies avec attention pour qu'on prie suffisamment pour la paix, pour qu'il y ait moins de chômage, pour qu'il y ait une bonne récolte, bref pour que toutes les activités sur tous les plans reprennent dans notre pays pour le bonheur de tout le monde. bibo:pages 1 3 -- o:id 7061 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7061 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7077 26394 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/53c1e85ee40ae03d18a0eb3ef0a42c12684cfae1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7859a474b0f41b384be10fb05c705e42fb1d2d00.tiff dcterms:title La Communauté islamique universitaire du Bénin mécontente des critères d'accès à l'ILACI (Institut de la Langue Arabe et de la Culture Islamique) dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1961 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/758 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1961 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13921 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1968 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-07-21 dcterms:identifier iwac-article-0003253 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Plus d’un étudiant musulman a été surpris par les affiches anonymes et manuscrites placardées sur le campus universitaire d’Abomey-Calavi, invitant une certaine catégorie de personnes (candidats âgés de 23 ans au plus, titulaires du BAC A, ou A2) à fournir leurs dossiers en vue d’une éventuelle inscription dans ledit institut. Pour une provocation, c’en est vraiment une. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Plus d’un étudiant musulman a été surpris par les affiches anonymes et manuscrites placardées sur le campus universitaire d’Abomey-Calavi, invitant une certaine catégorie de personnes (candidats âgés de 23 ans au plus, titulaires du BAC A, ou A2) à fournir leurs dossiers en vue d’une éventuelle inscription dans ledit institut. Pour une provocation, c’en est vraiment une. Qu’il vous souvienne que le projet de création de cet institut avait été initié en 1982 entre l’Etat béninois et l’Etat libyen. Les bâtiments ont été édifiés en 1983 par l’entreprise du Bénin (E.B.). Dans une interview accordée au journal «Le Soleil» n° 24 du 04 au 19 décembre 1991, le ministre de l’Education nationale, M. Dramane Karim avait laissé entendre qu’il avait oeuvré pour qu’on alimente les locaux en eau et en électricité, ce qui aurait coûté 35.000.000 F CFA débloqués par l’ambassade de la Libyen. De même, il aurait obligé l’ambassade à commencer à équiper les locaux, d’où la fourniture de 150 chaises et de 150 tables pour les élèves et un laboratoire de langue. Enfin l’institut fut équipé en matériel de bureau et en matériel didactique. Son inauguration a eu lieu le 14 janvier 1991 en présence des autorités religieuses de l’U.I.B. Depuis, plus rien, alors que les professeurs chargés de dispenser les cours se tournent le pouce depuis. La question que se posent les étudiants musulmans, premiers concernés, est de savoir: à qui profitait ce blocage? A qui profitent actuellement les conditions scélérates d’accès à l’institut de Langue Arabe et de la Civilisation Islamique? En tout cas, la grogne a déjà commencé en milieu estudiantin. Les responsables de la C.I.U.B., après s’être réunis, ont décidé de prendre d’abord contact avec les autorités, notamment une audience avec le ministre de l’Education nationale qui tarde à être accordée, et une prochaine audience avec les membres du bureau de l’U.I.B. Visiblement, ils sont résolus à se faire entendre et à exprimer leur mécontentement Compte tenu de la gravité de la situation, la C.I.U.B. lance un appel pressant à toute la communauté musulmane nationale pour qu’elle se mobilise afin de défendre les intérêts des musulmans béninois. «ô les croyants! Soyez stricts (dans vos devoirs) envers Allah et (soyez) des témoins équitables. Et que la haine pour un peuple ne vous incite pas à être injustes. Pratiquez l’équité: cela est plus proche de la piété. Et Craignez Allah, car Allah est certes parfaitement connaisseur de ce que vous faites». Coran, Sourate V verset 8. Affaire à Suivre. Le Président Idrissou Abdel NASSER bibo:pages 3 -- o:id 7062 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7062 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7078 26395 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/32277b40c53f790a82467ddea5ff741d4231e948.pdf https://islam.zmo.de/files/original/76e904bd2120de5912af029dd9ef91c1b5236c71.tiff dcterms:title Inauguration de la mosquée du quartier Zongo d’Abomey dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2026 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1968 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1969 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-06-29 dcterms:identifier iwac-article-0003254 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract C’est en présence de M. Karim Dramane, ministre de l’Education Nationale que s’est déroulée à Abomey, samedi dernier, la cérémonie d’inauguration de la mosquée du quartier de Zongo devant une foule nombreuse. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15204 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content C’est en présence de M. Karim Dramane, ministre de l’Education Nationale que s’est déroulée à Abomey, samedi dernier, la cérémonie d’inauguration de la mosquée du quartier de Zongo devant une foule nombreuse. On notait également, à cette occasion, la présence du préfet du Département du Zou, M. Mathias Gogan, de l’Imam de la mosquée Centrale de Cotonou, des Imams des mosquées de Bohicon et de Zongo, et de plusieurs autres invités de marque. D’un coût global estimé à 20.325.000 FCFA, cette mosquée de Zongo d’Abomey a été entièrement financée par M. Halidou Lawal Daouda, Directeur Général de la Société «COBEXIM» qui est un natif de cette localité. Naturellement, son grand-père fut l’imam du quartier Zongo où on vient d’implanter ce sanctuaire qui sera consacré au culte musulman. L’Imam Kélani a déploré dans son allocution, l’absence de certaines personnalités religieuses d’Abomey qui, compte tenu de l’importance de cet événement, devraient en principe être de la partie. Il a ensuite indiqué que la religion devait conduire tous les musulmans vers une même direction. Pour sa part, le ministre de l’Education Nationale, M. Karim Dramane a souligné que l’Islam n’a pas de nationalité encore moins de territoire. Il faut que tous les musulmans s’unissent pour la même cause de l’Islam. Il a salué pour terminer le geste symbolique et très significatif de M. Daouda Halidou Lawal qui a pensé à doter le quartier Zongo d’Abomey d’une mosquée de valeur. Après l’avoir félicité, le ministre Dramane devrait inviter d’autres bonnes volontés à emboîter le pas à M. Daouda Halidou Lawal. bibo:pages 6 -- o:id 7063 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7063 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7079 26396 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b82b471a46a950dfcfdd4da401a1bb731f8c9eee.pdf https://islam.zmo.de/files/original/462a8c394bf00a1e218f88997f77fe90c6954be7.tiff dcterms:title Soutien du 28 mai : des associations musulmanes appellent à la tolérance et au libre choix des citoyens dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/801 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-05-23 dcterms:identifier iwac-article-0003255 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le 28 mai prochain, les électeurs de Cotonou, et de la 3ème circonscription électorale du Borgou retourneront aux urnes dans le cadre de la reprise partielle des élections législatives du 28 mars dernier. A la veille de cet important événement, la Ligue islamique des droits de l’homme (LIDH) «Fissèbilillahi» et le Cercle d’étude et de recherches «Islam-Développement (CERDI) ont le 18 mai dernier, rendu publique une déclaration conjointe. Les organisations signataires ont dans leur document admis que «tout être a le droit au développement et au plein épanouissement de sa personne, dans ses dimensions matérielle et spirituelle. De ce fait, la foi doit pénétrer tous les actes de la vie personnelle, sociale et politique. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le 28 mai prochain, les électeurs de Cotonou, et de la 3ème circonscription électorale du Borgou retourneront aux urnes dans le cadre de la reprise partielle des élections législatives du 28 mars dernier. A la veille de cet important événement, la Ligue islamique des droits de l’homme (LIDH) «Fissèbilillahi» et le Cercle d’étude et de recherches «Islam-Développement (CERDI) ont le 18 mai dernier, rendu publique une déclaration conjointe. Les organisations signataires ont dans leur document admis que «tout être a le droit au développement et au plein épanouissement de sa personne, dans ses dimensions matérielle et spirituelle. De ce fait, la foi doit pénétrer tous les actes de la vie personnelle, sociale et politique. Les deux organisations islamiques ont aussi unanimement reconnu que le droit à l’élection, le droit de voter, ou le droit à la consultation sont des droits fondamentaux qui font partie intégrante de la foi et que nul n’a le droit d’entraver, de violer encore moins de négliger. Quant aux opérations électorales du 28 mai, tous les Béninois doivent se sentir concernés par ce devoir qui s’impose à tous, en se rendant massivement aux urnes pour librement exprimer leur suffrage. Ne pas accomplir ce devoir est la manifestation et la preuve d’un désintéressement dangereux ne permettant pas de sauvegarder, renforcer, ni promouvoir la démocratie, le dialogue et la tolérance et la cohésion nationale. Abordant le fonctionnement de la Cour constitutionnelle et de la Commission électorale nationale autonome, la LIDH et le CERID ont rappelé que ces deux institutions constituent pour la démocratie et l’Etat de droit des garde-fous très appréciables, et lentement leurs pratiques commencent par rentrer dans les mœurs politiques, juridiques et sociales des Béninois. Par ailleurs, selon les deux organisations islamiques, l’annulation des élections du 28 mars décidée par la Cour constitutionnelle témoigne du souci majeur de celle-ci de faire appliquer la loi dans toute sa rigueur contre les irrégularités flagrantes constatées au niveau des bureaux de vote des circonscriptions électorales mises en cause. En dernière analyse, pour la Ligue islamique des droits de l’homme et le Cercle d’étude et de recherche, le peuple dans la manifestation politique de sa souveraineté a la possibilité juridique de choisir lui-même son destin, en votant sur des programmes, des propositions et des orientations concrètes. Par un libre examen, et un pouvoir de choix, les Béninois doivent résister au mensonge, au mythe et à la propagande. Par conséquent, la politique appartient à tous, et comme l’a dit le prophète Mahomet «Nul n’a le droit de rester indifférent aux affaires de la communauté, car la politique est la meilleure façon d’organiser la cité. Aimer son pays fait partie de la foi». bibo:pages 10 -- o:id 7064 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7064 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7080 26397 26398 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/641dec113b6e352a1487d895ab854a52dce23cf7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e5b88039cdb7630ca9a29f289378e6e9c349db12.tiff https://islam.zmo.de/files/original/7cb4eda19d79ef6206051aa838823cbb26e29ddd.tiff dcterms:title L'administration béninoise aurait-elle empêché l'octroi de bourses libyennes de Pélerinage à des Béninois ? La réaction de l'ambassadeur de Libye au Bénin dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13921 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-05-15 dcterms:identifier iwac-article-0003256 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après les rumeurs faisant état de ce que l’administration béninoise aurait empêché les Béninois de bénéficier des bourses libyennes de pèlerinage, l'ambassadeur de Libye près le Bénin tient à donner des éclaircissements dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après les rumeurs faisant état de ce que l’administration béninoise aurait empêché les Béninois de bénéficier des bourses libyennes de pèlerinage, l'ambassadeur de Libye près le Bénin tient à donner des éclaircissements L’ambassadeur de la Jamahirya arabe libyenne près le Bénin S. E. M. Sanoussi Awad Abdallah rassure tous les Béninois de la bonne santé de la coopération bénino-arabe libyenne. Cette coopération qui date de longtemps n’a pas pu prendre sa forme officielle qu’après l’ouverture des missions diplomatiques de chacun des deux Etats en 1976 et la constitution de la grande commission mixte économique. En outre le fruit de cette coopération qui a embrassé plusieurs domaines vitaux durant toutes ces années passées peut être évalué à plusieurs milliards de F CFA. Par ailleurs les deux parties se sont entendues sur la création de nouvelles institutions économiques qui seront installées sur de meilleures bases de rentabilité. Les rumeurs faisant état de ce que l’administration béninoise aurait empêché les Béninois de bénéficier des bourses libyennes de pèlerinage ne sont qu’une information dénuée de tout fondement. L’ambassade de la Libye près le Bénin n’a jamais octroyé des bourses de quelque nature que ce soit à des candidats au pèlerinage. L’ambassade de la Libye a eu en son temps à confirmer au ministère des Affaires étrangères, suite au contact d’investigation qu’aucune bourse n’est mise à sa disposition au profit des Béninois candidats au pèlerinage de cette année. La procédure normale d’octroi n’est autre que le canal officiel qui consiste à envoyer les bourses au ministère des Affaires étrangères par le biais de l’ambassade; beaucoup de bourses ont été octroyées par la Libye aux frères béninois dans le passé suivant cette procédure. Les deux pays la Libye et le Bénin sont de vieux amis, la coopération bénino-libyenne se porte bien car il existe chez les dirigeants des deux pays la volonté politique de renforcer et développer celle-ci, mais l’embargo imposé contre la Libye n’a pas manqué de porter quelques coups négatifs à cette coopération Sud-Sud. Parmi les dernières réalisations issues de cette coopération, on peut citer l’hôpital de Ouando, fruit de la coopération entre les deux pays et de l'Organisation mondiale pour l’appel à l’islam. Cet hôpital sera bientôt opérationnel, les deux parties parviendront à un accord sur l’organisation administrative dudit hôpital, accord qui, nous le souhaitons, parviendra dans les meilleurs délais. Il y a aussi l’institut de la langue arabe et de civilisation islamique dont la convention a été signée en octobre 1993 qui ne tardera pas non plus à être fonctionnel. Les relations bénino-arabe libyennes sont cordiales et sont des relations d’Etat à Etat. La volonté politique existe de la part du gouvernement du renouveau démocratique béninois pour promouvoir davantage la coopération entre les deux pays. L’ambassade de Libye salue le choix du peuple béninois qui a su, grâce à son génie créateur, tenir sa Conférence nationale sans accroc et dans un délai record comparativement à d’autres conférences nationales tenues dans les autres pays africains. L’ambassadeur de Libye près le Bénin souhaite plein succès et pérennité et que la démocratisation s’enracine dans nos valeurs africaines. S.E.M. Sanoussi Awad Abdallah remercie le gouvernement béninois de la sympathie dont son pays bénéficie de la part de l’administration béninoise, et de toute la sollicitude nécessaire pouvant lui faciliter l’accomplissement de sa mission. bibo:pages 1 3 -- o:id 7065 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7065 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7081 26399 26400 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2df7ace6cc74b52d6b4a829a809b3e34cbccc370.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ff5391868f787b1b0ec7b2ccf2d580a2dbffbcfe.tiff https://islam.zmo.de/files/original/c6d371e454ddc88095fa1620075f316b9a593fa0.tiff dcterms:title Les musulmans du Bénin ont fêté hier l'Aïd al-Adha dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-05-11 dcterms:identifier iwac-article-0003257 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin à l'instar des musulmans du monde entier a célébré hier la fête de la Tabaski dans la grace et la simplicité. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin à l'instar des musulmans du monde entier a célébré hier la fête de la Tabaski dans la grâce et la simplicité. Célébrée deux mois dix jours après le Ramadan, la fête d’Aïd al-Adha revêt une importance particulière pour tout croyant. Car c’est pour mesurer le degré de foi du musulman et commémorer l’acte de sa soumission au Prophète Ibrahim que l’immolation de mouton a été instituée. En effet, c’est au Prophète Ibrahim qu’Allah avait ordonné d’immoler son unique fils Ismaël. Sans hésitation Ibrahim se résolut à se soumettre la volonté de Dieu. Lorsque Allah vit que son serviteur a cru et obéi à sa volonté, et satisfait de lui, il envoya en échange de l’enfant un bélier. Le jour de la fête de l’Aïd al-Adha est le plus grand jour où tous les pèlerins se rencontrent à Mina, situé non loin de la Mecque pour compléter les rites afférents au Hadj et mériter la divine grâce de Allah. Le sacrifice pour être agréé doit se faire en son temps (après la prière) et la Suna recommande de diviser le mouton en trois parties: un tiers pour la famille, un tiers distribué en aumône et le tiers restant offert aux amis. Dans son sermon, l’imam central de la mosquée de Zongo, a indiqué que le jour de l’Aïd Al-Adha est un jour béni et chargé de grâce, où il faut œuvrer pour mériter pleine récompense. Pour ce faire, dira l’Imam, les musulmans doivent œuvrer toujours de manière à renforcer les liens familiaux, assister les pauvres et les orphelins de sorte qu’ils soient gais ce jour-là. Selon l’Imam de Zongo, tout musulman doit savoir qu’en immolant un mouton, le jour du jugement dernier, chacun des poils de la bête sera compté pour la récompense. L’Imam a enfin sollicité la clémence et la compassion d’Allah pour que la paix règne toujours dans notre pays, dans nos maisons et en nous, et pour que la reprise des élections législatives du 28 mai prochain se fasse dans la transparence et sans heurts. Celui qui n'a pas pu faire ce sacrifice hier, pourra encore le faire aujourd’hui et demain. bibo:pages 1 3 -- o:id 7082 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7082 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7091 26401 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/086a42a51ac70a350f493617529c7668db617f7f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/932792d7ca652778f979b3c908a822f19aaebfdf.tiff dcterms:title Don de l'OCI à l’Association des femmes d'affaires dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1498 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14438 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-02-17 dcterms:identifier iwac-article-0003258 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Un chèque d’une valeur de cinq millions (5000.000) de francs CFA a été remis hier mardi par un représentant du Secrétaire générai de l’Organisation de la Conférence islamique (OCI) à l’Association des femmes d’affaires et chefs d’Entreprise du Bénin. La cérémonie de remise de cette importante somme s’est déroulée au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Un chèque d’une valeur de cinq millions (5000.000) de francs CFA a été remis hier mardi par un représentant du Secrétaire générai de l’Organisation de la Conférence islamique (OCI) à l’Association des femmes d’affaires et chefs d’Entreprise du Bénin. La cérémonie de remise de cette importante somme s’est déroulée au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération. M. Robert Dossou, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération a saisi l’occasion pour mettre l’accent sur le fait que son département «constitue le seul cadre privilégié qui légalise les opérations du genre» en faisant allusion «aux Béninois qui pensent à tort qu’ils peuvent négocier sur le dos du gouvernement». Pour le ministre Dossou, ce don de 5 millions aux femmes est hautement appréciable en raison du fait que l’initiative de M. Hamid Algabid, Secrétaire général de l’OCI, est consécutive a sa participation à la cérémonie de remise des attestations aux stagiaires de la 1ère promotion, en fin de formation en Entrepreneuriat organisée par l’Association des femmes d’affaires et chefs d’entreprise du Bénin. Il a expliqué que ce chèque de 5 millions n’est pas de l’OCI, mais de son Secrétaire général en tant que personne physique.» C’est la preuve, dira, M. Robert Dossou, que l’islam est surtout une religion humanitaire et sociale en dépit de la vision négative qu’en font certains». Dans la note remise à son représentant, M. Moutari, et adressée à l’Association des femmes d’affaires du Bénin, le Secrétaire général de l’OCI indique : «l’initiative de l’Organisation des femmes chefs d’entreprise que nous avons pu apprécier lors de la soirée de présentation des agents de l’hôtellerie m’a semblé mériter notre modeste encouragement. Cette somme de 5 millions constitue notre contribution personnelle à l’organisation d’un cycle de formation du même genre». Mme Koubourath Osséni, ministre du Travail, de l’Emploi et des Affaires Sociales, a indiqué pour sa part que le geste du Secrétaire général de l’OCI constitue un encouragement sans pareil aux femmes d’affaires. Elle a, comme son collègue des Affaires étrangères, souligné le caractère humanitaire de ce don, dont l’utilisation, promet-elle, se fera de façon judicieuse et équitable. Pour Mme Grâce Lawani, président de ladite Association, «le geste combien élogieux et éloquent en faveur de notre Association nous invite à redoubler d’effort pour judicieusement préparer la prochaine promotion qui fera bientôt sa rentrée». C’est pourquoi, ajoute-t-elle, «au nom de tous les membres de l’AFACEB et des jeunes béninoises et béninois, nous disons merci à l’OCI qui a bien voulu nous assister et nous encourager dans notre lutte pour le développement social et économique de notre pays». bibo:pages 6 -- o:id 7083 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7083 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7092 26402 26403 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fe8932f16ed851f9b5ee73830918355c289ce5a0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c1e2b244a00f1576cba77a509c9471232a913912.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ae98969751dff02cdcf7dff59ece385490a8444f.tiff dcterms:title Les relations bénino-égyptiennes, l'intégrisme et la coopération arabo-africaine vus par l'ambassadeur d'Egypte au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1499 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13678 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-01-19 dcterms:identifier iwac-article-0003259 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le bilan de la coopération bénino-égyptienne, les perspectives qui s'offrent aux échanges entre nos deux pays, les moyens mis en oeuvre au pays des Pharaons pour parer à l’intégrisme, les atouts et les difficultés de la coopération arabo-africaine, tels sont les points abordés par le Dr Fayez Bictache dans cette Interview exclusive à «La Nation» dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/276 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/308 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13448 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le bilan de la coopération bénino-égyptienne, les perspectives qui s'offrent aux échanges entre nos deux pays, les moyens mis en œuvre au pays des Pharaons pour parer à l’intégrisme, les atouts et les difficultés de la coopération arabo-africaine, tels sont les points abordés par le Dr Fayez Bictache dans cette Interview exclusive à «La Nation». La Nation: Excellence Monsieur l’ambassadeur, où en est aujourd’hui la coopération bénino-égyptienne? Dr Fayez Bictache: Merci à «La Nation» et à vous-même de me donner l’occasion d’avoir un échange d’idées avec vous. S’agissant de la coopération bilatérale entre nos deux pays, il faut bien savoir que cette coopération existe depuis l’ouverture d’une mission diplomatique résidente d’Egypte au Bénin c’est-à-dire depuis 1973. Aujourd’hui, cette coopération a acquis une vitesse de croisière. On peut donc en parler et on peut aussi essayer d’en faire un bilan dans un but bien clair: la dynamiser davantage et accroître ses potentialités. A titre de preuve d’existence de cette coopération, je vous indiquerai que l’Egypte a été invitée à participer en tant que partenaire au développement à la dernière table ronde qui s’est tenue à propos du secteur de la santé. En effet, la santé est l’un des secteurs où l’Egypte en tant que pays africain essaie de développer une coopération technique avec le Bénin. L’Egypte est un pays africain qui lutte contre le sous-développement. Ce n’est pas un pays pourvoyeur de capitaux; c’est un pays qui a besoin de capitaux pour se développer lui aussi. Par contre, il a une certaine expérience et il a des cadres et certaines compétences. C’est pour cela que la coopération technique représente une pierre angulaire de la politique égyptienne. Dans celte politique, le Fonds égyptien de coopération technique avec l’Afrique (FECTA) occupe une place de choix. Dans cette coopération technique, le secteur de la santé est en première ligne. Nous avons actuellement au Bénin 10 coopérants médecins de diverses spécialisations (des chirurgiens, des généralistes, un analyste et des anesthésistes). Ils travaillent à Porto-Novo, à Cotonou, à Abomey et dans le Mono à Aplahoué. La plupart d’entre eux dépendent du FECTA, et trois dépendent du Fonds arabe d’assistance technique pour les Etats africains, un fonds qui dépend de la Ligue arabe. Nous avons pu, à l’ambassade, réussir à réaliser un accord entre le gouvernement béninois et le Fonds arabe afin de développer les possibilités offertes par la coopération technique, c’est-à-dire offrir au Bénin, en plus du fonds égyptien, un autre fonds qui, pour le moment, est déjà arrivé à fournir au Bénin trois nouveaux médecins. Voilà ce qui concerne le secteur de la santé qui bénéficie aussi de temps en temps de dons de médicaments par le truchement du Croissant rouge égyptien qui traite directement avec la Croix Rouge béninoise. En deuxième ligne, se trouve le secteur de l’enseignement. Dans ce secteur, il y a plusieurs sous-secteurs. Il y a d’abord un secteur de l’enseignement de la langue arabe. Là, nous avons sept coopérants. Les uns sont répartis dans des écoles privées. Il s’agit de 4 coopérants qui dépendent de l’université Al Azhar qu’on appelle «la Sorbonne du monde arabe» et trois autres dépendent du FECTA (deux au niveau secondaire et un au niveau universitaire pour l’institut des langues arabes). Nous avons en plus des bourses. A l’heure actuelle, il y a huit bourses pluriannuelles qui sont offertes au Bénin. Chaque année ces 8 bourses sont offertes par Al Azhar pour des études pré-universitaires et une bourse d’université pour les études modernes comme la médecine, l’agronomie etc... Dans le secteur de l'enseignement, nous avons aussi l’Université Senghor qui est un des rouages de la francophonie. C’est une bonne chose de remarquer que pour la promotion 92-93, il y avait 16 Béninois; le Bénin heureusement est bien logé dans cette université qui dispense des cours d’études supérieures orientées sur le développement en Afrique. C’est donc une université francophone pour le développement en Afrique. Le 3e secteur de notre coopération avec le Bénin est l’agriculture. Là, nous avons 5 bourses que nous présentons annuellement au gouvernement béninois, cinq bourses de quatre mois dans dix spécialisations agronomiques dans lesquelles le Bénin peut en choisir cinq à son gré. Mais là, nous sommes en train d’étudier avec nos frères béninois comment dépasser ce niveau et élargir les perspectives de coopération. Par ailleurs, l’institut diplomatique offre chaque année au Bénin en moyenne deux bourses en plus d’invitations qui sont faites pour participer à des colloques thématiques qui se tiennent au Caire. Le dernier en date en 1994 concernait le fameux mécanisme africain de prévention des conflits. La Nation: Après ce bilan succinct de la coopération bénino-égyptienne, quelles perspectives s’offrent à ces relations bilatérales et à travers quels projets ou domaines précis? Dr Fayez Bictache: Du point de vue d’un aperçu général, la valeur moyenne par an de notre contribution se situe à 270.000.000 F CFA pour la coopération technique. C’est assez substantiel, vu que l’Egypte d’abord du point de vue géographique est éloigné du Bénin et vu que le Bénin, malheureusement jusqu’à cette date, n’a pas de mission résidente au Caire. C’est donc déjà un niveau très appréciable. Lorsque j’ai pris fonction ici au Bénin à la fin 1991, nous nous sommes fixé comme objectifs d’utiliser toutes les perspectives de l’actuelle coopération. Pourquoi ? Parce que nous avions constaté qu’il y avait bon nombre de bourses qui n’étaient pas employées. Je vous ai dit qu’il y a 5 bourses en agronomie. Ces 5 bourses n’étaient pas employées tout comme les 8 bourses pour l’enseignement. Le premier objectif était donc d’utiliser toutes les possibilités déjà offertes. Nous pouvons heureusement dire aujourd’hui début 95 que le taux d’utilisation des possibilités est d’environ 90%. Il y a déjà là un grand progrès qui a été fait Ceci dit, nous pouvons déjà passer à un deuxième niveau qui consiste à examiner les possibilités qui n’ont pas encore été expérimentées. Je parle avant tout dans ce domaine de l’agriculture parce que des contacts ont été pris. Il y a une invitation qui a été adressée au ministre du Développement rural et nous avons eu une mission d’agronomes égyptiens qui ont séjourné au Bénin pendant une douzaine de jours fin 92 et qui ont visité le Bénin du Borgou au Mono, et du Mono à l’Atlantique. Nous avons là aussi plusieurs perspectives qui s’offrent à nous. Nous sommes en train d’étudier avec la partie béninoise la perspective de mettre sur pied une uni de production du biogaz. Le 2e volet, c’est l’irrigation, un des aspects qui intéressent le Bénin actuellement, l’Egypte dont on dit qu’il est un don du Nil étant un pays d’irrigation. Nous pensons que lors de la visite du ministre du Développement rural en Egypte en réponse à celle effectuée par une délégation égyptienne lui et ses collaborateurs pourront trouver les modalités pratiques de la coopération en matière d’irrigation, de l’exploitation du biogaz et dans le domaine vétérinaire où nous devons travailler ensemble; je pense aussi à l'enseignement, non pas l’enseignement seulement de la langue arabe mais à l’enseignement moderne. Nous avions un professeur dame qui travaillait à l’Ecole nationale d’administration en informatique et en mathématiques modernes. Je suis personnellement attaché à développer cette dimension de l’enseignement Le directeur de l’institut national d’économie a participé au Caire à une Conférence annuelle des statisticiens et je pense que ce domaine est très important. La Nation: Monsieur l’ambassadeur, nous savons que l’intégrisme constitue aujourd’hui un danger pour les pays africains. Où en est l’Egypte dans sa lutte acharnée contre ce danger? Dr Fayez Bictache: L’intégrisme a plusieurs formes, plusieurs visages et plusieurs degrés. Il se manifeste un peu partout, il se manifeste en Algérie, et dans d’autres pays, en Egypte, au Maroc ou en Tunisie à des degrés différents. Pour ce qui concerne l’intégrisme sous son visage terroriste, c’est-à-dire à travers des actes, des attentats etc..., nous notons depuis maintenant 5 à 6 mois une nette baisse des activités terroristes. Ceci dit, la parade à l’intégrisme ne peut pas dépendre seulement de moyens sécuritaires. Il s’agit de toute une politique et de toute une stratégie culturelle. Dans certains pays où on a mis seulement l’accent sur les moyens sécuritaires pour parer à l’intégrisme, nous voyons que cela est insuffisant parce que l’intégrisme est un phénomène global qui comprend plusieurs dimensions: une dimension politique, une dimension militaire et une dimension culturelle ou idéologique. Il faut donc, à la lecture intégriste de la réalité, proposer une autre lecture. Cette autre lecture que j’appellerai une lecture moderniste est une interprétation moderniste de l’islam parce que l’intégrisme veut s’arroger le monopole de l’interprétation d’une religion. Dans tous les intégrismes, dans toutes les religions, c’est cela. Ils disent en résumé, c’est moi ,1a vraie religion. Or, il y a d’autres lectures de la religion. On le voit dans la chrétienté, on le voit dans la religion juive où il y a plusieurs interprétations. Nous pensons qu’actuellement en Egypte, il faut mettre en avant le volet culturel. Il faut mettre en avant une interprétation moderniste, une interprétation du siècle de l’islam qui viserait à redonner à cette religion ses vraies valeurs, à les réactualiser, c’est-à-dire les valeurs de tolérance, de coexistence, les valeurs de raison et de science car c’était une religion qui mettait l’accent très tôt sur la raison humaine. La raison humaine était considérée dans l’islam comme un argument pour vérifier l’authenticité de Dieu. Pour parer à l’intégrisme, il faut mettre l’accent sur le développement culturel. C’est ce que nous essayons de faire en Egypte et je crois que nous avons réussi à marquer des points importants. Nous avons quand même un développement culturel général significatif qui barre la route à des interprétations réactionnaires et rétrogrades, qui s’alimentent par des conditions sociales, politiques etc... La Nation: Quelles leçons un pays comme le Bénin peut-il tirer de l’expérience égyptienne dans la lutte contre l'intégrisme? Dr F. B.: Je pense que là nous rejoignons les préoccupations des responsables béninois et notamment du président Soglo. Le président Soglo a plusieurs fois mis l’accent sur le fait que la religion ne peut pas être laissée à la seule interprétation des activistes intégristes, que la religion a d’autres interprétations. Même dernièrement, quand il a reçu les chefs religieux, il a mis l’accent sur les vraies valeurs de toutes les religions (les valeurs d’amour, d’entraide, de solidarité et les valeurs de tolérance). Cela rejoint exactement notre propos dans ce sens où toute religion ou toute pensée humaine est susceptible de plus d’une interprétation. S’il y a des interprétations de violence et d’intransigeance, il faut savoir y parer par des interprétations de tolérance, de coexistence et de paix. La Nation: Monsieur l’ambassadeur, nous nous rappelons que la coopération arabo-africaine avait suscité d’immenses espoirs. N’avez-vous pas vous aussi l’impression que cette coopération s’est essoufflée? Quelles peuvent être, selon vous, les causes de cet essoufflement précoce? Dr F. B.: Je suis tout à fait d’accord avec vous dans le sens où la coopération arabo-africaine qui a été institutionnalisée par la conférence des chefs d’Etat africains et arabes tenue au Caire en 1977 avait soulevé de très grands espoirs. On avait cru que c’est fini, que tout est joué et’ qu’on peut sortir mutuellement du sous-développement. C’étaient de grands espoirs mais c’étaient aussi des espoirs qui, comme tout grand rêve, dépassaient les possibilités pratiques car il s’agissait de deux ensembles de pays eux-mêmes en proie au sous-développement Il s’agissait de la première expérience de cette envergure. Nulle part ailleurs, nous n’avons vu deux grands groupes de pays sous-développés qui essayent réellement pas dans les proclamations, des déclarations ou des discours - de mettre sur pied des institutions et des fonds, de se sortir ensemble du sous-développement. De grands espoirs, oui, il faut les garder mais il faut aussi être réaliste. Nous avons tous des insuffisances, des insuffisances notoires. C’est cela les caractéristiques de la coopération Sud-Sud. La coopération Sud-Sud, ce sont des pays qui, eux-mêmes souffrent de certaines lacunes et qui essayent de s’aider. La deuxième chose est que les pays arabes du Golfe qui étaient les pourvoyeurs en capitaux ont vu les prix du brut du pétrole baisser de façon significative depuis 1977 et ces pays eux-mêmes aujourd’hui (les plus grands d’entre eux) sont des pays endettés. Nous avons eu là un frein certain. Le 3e facteur, c’étaient les divergences politiques qui ont paralysé la machine de la coopération arabo-africaine pendant très longtemps. Même l’Egypte, après les accords de Camp David, a dû sortir de ce mécanisme en raison des désaccords contre les pays arabes. Nous avons donc une série de facteurs qui ont obéré, ou qui ont pu gréver la dynamique de cette coopération. Mais malgré cela, quand vous examinez le flux matériel des capitaux qui ont été mobilisés dans les pays africains, il reste très significatif. Il n’y a pas d’autres exemples d’une telle coopération, c’est-à-dire il n’y a pas d’autres groupes de pays du Tiers Monde qui ont fait autant que les pays arabes et les pays africains ensemble jusqu’à ce jour tant en volumes mobilisés que dans la nature des projets impliqués. D’habitude, les pays du Nord sont réticents à investir dans certains secteurs qui ne sont pas à haute rentabilité. Ce qui n’est pas le cas dans la coopération arabo-africaine. Je vais vous donner un exemple plus concret : les grands barrages. Vous vous intéressez au barrage d’Adjaralla. C’est un barrage très important pour l’indépendance énergétique du Bénin, pour le coût de l’électricité, de l’énergie et donc pour les investissements ultérieurs. Un tel projet on peut le dire - je crois que je ne me trompe pas - n’est pas réalisable sans la contribution de la coopération arabo-africaine. Pour preuve, vous avez les barrages de Diama et Manantali au Sénégal. Pour ces deux grands barrages qui sont des monuments, 40 à 45 % de leurs financements ont été assurés par cette coopération. C’est une coopération très importante qu’il faut absolument préserver mais qui a ses problèmes. Je remarque que le président Soglo, en bon connaisseur du financement international est très conscient de l’importance de cette coopération. C’est avec ses efforts et ceux de tous les autres chefs d’Etat africains et arabes que nous pourrons redynamiser cette coopération qui bat de l’aile. bibo:pages 4 6 -- o:id 7084 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7084 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7093 26404 26405 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/271f5a678149e97f9bb06e55ae10f86785e8364c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e667b28b9149c5a7a381522728bb32ed847245b2.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6633ac2557f90797905f7f8f97d73401e3b4cb56.tiff dcterms:title Adeptes des religions traditionnelles, chrétiens et musulmans face à leurs responsabilités communes dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/106 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14672 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1994-10-25 dcterms:identifier iwac-article-0003260 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’Afrique se trouve à un tournant décisif de son histoire, où elle devra faire des choix capitaux dans le domaine culturel -entendez valeurs de civilisation - , dans le domaine politique, économique et social. Dans un premier temps, nous ferons un état des lieux et ensuite nous aborderons les approches de réponses et de solutions aux problèmes posés en tenant compte de certains exemples, tout en relevant les points de convergence de nos responsabilités progressivement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/273 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/297 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/332 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14637 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’Afrique se trouve à un tournant décisif de son histoire, où elle devra faire des choix capitaux dans le domaine culturel -entendez valeurs de civilisation - , dans le domaine politique, économique et social. Dans un premier temps, nous ferons un état des lieux et ensuite nous aborderons les approches de réponses et de solutions aux problèmes posés en tenant compte de certains exemples, tout en relevant les points de convergence de nos responsabilités progressivement. En effet, l’Afrique est aujourd’hui à la croisée des chemins et un constat s’impose : C’est celui de l’aggravation des problèmes auxquels les Africains font face ; - Sur le plan économique (dévaluation et autres inflations) - sur le plan politique (les mouvements démocratiques etc...) - sur le plan identitaire et surtout sur le plan de la crise des valeurs. Et comme réponses à ces problèmes, à ces crises, l’Islam comme système de valeurs, de même que le Christianisme et les religions traditionnelles devront donner leurs réponses qui seront des réponses «sui généris», puisées directement à leurs propres systèmes d’expressions et de valeurs. Entre autres : - L’éthique du travail 1 - le travail non seulement paie et libère l’homme, 2 - mais aussi, il est salvateur et est une forme de prière 3 - l’homme doit travailler pour nourrir, habiller et loger sa famille ; 4 - dans une plus large mesure, contribuer à la prospérité de la Communauté. 5 - la confiance mutuelle ; 6 - la probité intellectuelle et morale 7 - La parole donnée et le respect des engagements 8 - la grandeur d’âme qui préserve de transgresser même en cas de nécessité. 9 - la solidarité dans le bien, dans le bonheur et le malheur 10 - le contentement. 11 - l’amour et le respect du prochain etc ... etc... 12 - la corruption est une anti-valeur qui tue le développement 13 - ainsi le corrupteur, le corrompu et leur intermédiaire sont condamnables. Selon le principe de la démocratie pluraliste qui veut que tous les points de vues aient la même valeur, la différence ne se faisant qu’à la justesse des propos tenus, par leur adéquation au problème posé et à leur dimension communautaire, eh bien, selon ce principe disions-nous, nous discuterons, nous analyserons objectivement, et d’une manière consensuelle, nous retiendrons un canevas de valeurs civilisationnelles à partir desquelles nous fonderons notre engouement et orienterons notre énergie en vue de la réalisation d’une vraie nation. Atmosphère qui génère un véritable brassage de cultures et par extension, une approche viable pour l’ultime voie africaine de développement. La dynamique de l’espoir aidant, la Grâce d Allah parachevant l’effort, nous y parviendrons. Ces différents points constituent le 1er niveau de responsabilité commune - Chers frères et soeurs, pour y parvenir, un certain nombre de préalables doivent être établis et non des moindres, car il s’agira de définir la souveraineté religieuse de chaque confession, les libertés fondamentales et inviolables de celle-ci, l’absence totale et inconditionnelle de toute contrainte en matière de religion. Dieu nous dit dans le Coran (S.2 v.256) «Point de contrainte en religion, la vérité se distingue de l’erreur». Ensuite nous déterminerons les concessions que les différentes communautés doivent se faire dans la tolérance, dans le droit à la différence et dans la paix. En excluant sans appel toute forme de violence. C’est là notre 2ème responsabilité commune Au demeurant, on ne peut pas dissocier le rôle et l’influence plus accrus des religions dans le combat global pour le pluralisme démocratique et le développement qui se fait aujourd’hui en Afrique ; et qui fait que les formations politiques, les différents courants et tendances cherchent dans les valeurs qui sont les leurs, que ce soit dans le capitalisme, que ce soit dans le socialisme ou dans une moindre mesure dans le communisme, ou encore dans certaines dérives ethniques ou religieuses, un discours qui leur permet de s’affirmer en tant Sue structure politique, lais, force est de constater qu’aucune de ces formations politiques ne propose un vrai modèle de société avec des valeurs de civilisation qui suscitent le consensus et l’adhésion de la majorité. Je n’en veux pour preuve que la pluralité de ces partis, et la similitude de leurs discours. Aux dernières nouvelles il y en a 66. Eh bien, seul un vrai dialogue, dans un cadre démocratique de débats pluralistes, que l’on ne peut plus occulter, ni éviter, ni neutraliser par quelque moyen que ce soit, au risque de voir d’une part des dérapages du genre des événements de Parakou, de Porto-Novo, de Comè, etc... d’autre part, des incompréhensions, des blocages intellectuels, des sectarismes de toutes sortes qui entraîneraient inévitablement des extrémismes en tout genre, chacun exultant de la doctrine qu’il professe. (Rwanda, Algérie etc...). Ainsi donc, c’est dans le dialogue que nous parviendrons à des équilibres au sein de nos systèmes de valeurs, qui sont essentiellement des solutions aux situations de crises, étant entendu que les prophètes ont tous apporté des messages divins, des solutions de miséricorde aux situations de crises que la sagesse divine a voulu qui soient en alternance avec des situations de paix et d’épanouissement. Or donc, il est possible qu’il y ait un risque, mais ce risque la, il faut l’assumer de manière démocratique, ouverte et responsable en tenant compte de la structure multiconfessionnelle de nos familles et du long parcours historique de la société béninoise. C’est là notre 3ème responsabilité commune Dès lors, nous pourrions nous permettre d’entrevoir une issue vers le développement vu surtout par les Africains eux-mêmes et en réel partenariat avec les autres. Car en fait, comme le dirait l’autre, «le développement est une atmosphère que l’on crée, c’est une certaine harmonie que l’on crée dans ses relations avec l’environnement et qui de ce fait, demande une action soutenue et collective, c’est-à-dire une profonde solidarité entre les acteurs - individus ou sociétés «-Dieu nous dit dans le Coran (s. 39 v 18): «Ceux que Dieu dirige et qui sont doués d’intelligence sont ceux qui écoutent tous les préceptes et suivent les meilleurs». Qu’est-ce qui définit le bonheur de l’homme africain? A quoi aspire-t-il? Et comment peut-on le lui procurer? Toutes ces questions relèvent du domaine des valeurs, donc des objectifs d’un idéal vers lequel nous devons tendre. On ne peut pas concevoir de progrès sans objectif, on fixe des objectifs et ensuite on essaie de les atteindre. On balise, et on corrige au fur et à mesure que l’on avance. Le problème de développement n’est pas d’abord un problème technique et technologique, c’est un problème humain. Il s’agit que les hommes eux-mêmes, prennent des initiatives et qu’ils aient des incitations; et des motivations pour le faire. Voyez-vous, il y a comme une espèce de complicité cynique à l’échelle mondiale, on nous octroie des crédits; que ce soit de la Banque Mondiale, du Fonds monétaire international etc... - avec la certitude de remboursement «s’il vous plaît» - qui permettent de financer les grosses entreprises occidentales, on nous installe ça en Afrique, on dit qu’on fait du développement, on publie des statistiques pour dire: voyez comme les pays occidentaux sont généreux, ils aident l’Afrique, bien entendu en Afrique il y a quelques-uns qui en profitent aussi, mais le développement ne suit pas, parce qu’il ne vient pas des hommes eux-mêmes, il est conçu purement comme un mécanisme technologique générateur de dollar ou de franc français etc... En plus, il y a le problème de la dette, et celui des termes de l’échange (on ne nous demande pas notre avis sur le prix de nos matières premières pas plus qu’on ne nous le demande sur le prix des produits manufacturés qu’on nous vend). Comment voulez-vous qu’avec ces handicaps on parvienne à quelque chose de sérieux pour le continent? Par ailleurs, du point de vue interne, le premier obstacle est d’ordre institutionnel, dans la mesure où l’on a fait tout reposer sur l’Etat pour ce qui est du développement. Situation qui génère une carence de responsabilité et produit des individus non patriotes; du moment qu’ils rejettent tout sur l’Etat qui est considéré comme une espèce de Léviathan, une abstraction, quelque chose de fugace; par voie de conséquence nos actions et les actes concrets que nous posons ne réflètent pas toujours le souci de la prospection ni de provisions pour la génération future. Notons donc, que derrière toutes ces institutions, sont des hommes qui appartiennent nécessairement à une confession donnée - Car je ne pense pas qu’il y ait en Afrique des athés et même s’il y en avait, ils seraient en nombre insignifiant - Confession dans laquelle ils moulent leurs comportements quotidiens et leurs modes de vie. Il leur est donc loisible d’agir avec noblesse et dignité ou au contraire d’une manière rustre et avec bassesse, selon qu’ils respectent ou non les valeurs cardinales de leur confession. L’homme africain doit définir son propre concept de développement à partir de ses valeurs reconnues de manière consensuelle. C’est là notre 4è responsabilité commune En définitive, nous pouvons dire que les institutions reposent sur des valeurs de civilisation et qu’il n’y a pas de développement sans valeurs stables: le développement de l’Amérique, considérée aujourd’hui comme le modèle occidental, repose sur un certain nombre de valeurs stables qui sont que l’individu est roi, il lui faut la liberté d’entreprendre et de réussir à amasser le maximum de biens et de bien-être matériel. Il va sans dire qu’il ne devra pas s’embarrasser de scrupules communautaires. D’un autre côté, le développement du Japon repose sur un certain nombre de valeurs sous-jacentes qui sont que la communauté est reine, et il faut que l’individu trouve sa place dans le groupe et aide celui-ci à atteindre le maximum de sa productivité! A la lumière de ces deux exemples, quelles sont les valeurs sur lesquelles repose le développement en Afrique aujourd'hui? On ne développe pas un pays avec des statistiques, on n’améliore pas le niveau de vie d’une population avec des taux de croissance, ni avec un équilibre de la balance des paiements. Dieu nous dit dans le Coran (S. 13 V. 11) «Dieu ne modifie nullement le sort d'un peuple tant que ce peuple ne modifie pas ce qui est en lui-même.» Il s’agit là de valeurs. Il faudrait proposer aux Africains des valeurs et un bon projet de société. Les réponses techniques et technologiques viendront en surcroît. L’Islam tout en reconnaissant à l’individu le droit à la propriété privée, lui fait comprendre d’une part qu’il est un usufruitier qui devra rendre compte un «jour certain» de tout ce qu’il aura amassé. D’autre part, que dans sa richesse, le pauvre a un droit inaliénable de 25%. Donc, sa richesse est greffée de charges communautaires. Enfin, il lui fait comprendre qu’une richesse acquise par des moyens malhonnêtes ou illicites; (corruption, vol, escroquerie, jeux de hasard: loteries nationales P.M.U, Télé-Millions etc...) est illicite et toutes les bonnes oeuvres réalisées à partir de celles-ci sont nulles et de nul effet pour le salut de son âme. Telles sont quelques valeurs cardinales qui sous-tendent le développement économique et social en Islam. L’homme africain jouit d’une baraka que je nommerais «Le Contentement»: c’est une qualité, une grandeur d’âme et peut- être même une situation de facilité qui lui permettent de se suffire de très peu, tout en menant une vie digne et noble. Al Hamdou Lillah (louange à Dieu). Pour conclure, nous souhaiterions que pendant que les pouvoirs publics s’ingénient à trouver des solutions caritatives et souvent expéditives aux problèmes qui minent nos sociétés africaines, ils devraient au même moment s’investir davantage dans la recherche des solutions de fonds en les analysant en composant d’une manière démocratique et ouverte avec les différents systèmes de valeurs que sont les confessions religieuses. C’est là essentiellement notre 5è responsabilité commune. bibo:pages 2 7 -- o:id 7085 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7085 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7094 26406 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4b4cb833ac23c6b4222d26f1c8970da14a40c876.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3af46d8e0b23456fc4402f2c43ece023262e480c.tiff dcterms:title Fin hier à Cotonou du séminaire sur le dialogue entre pouvoirs publics et communautés religieuses dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14841 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13741 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1957 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1404 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13104 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1994-10-21 dcterms:identifier iwac-article-0003261 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Commencé le mardi 18 octobre dernier, le séminaire national sur le thème «Dialogue pouvoirs publics, partis politiques et communautés religieuses à l'heure du Renouveau démocratique» a pris fin hier soir à l’INFOSEC sur une note de satisfaction générale. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Commencé le mardi 18 octobre dernier, le séminaire national sur le thème «Dialogue pouvoirs publics, partis politiques et communautés religieuses à l'heure du Renouveau démocratique» a pris fin hier soir à l’INFOSEC sur une note de satisfaction générale. Six communications ont été présentées par d’éminents conférenciers au cours de cette rencontre et au nombre desquelles figurent «La laïcité et l’Etat de droit au Bénin» Présenté par le député Joseph Gnonlonfoun, cet exposé aura montré la nécessité de vivre la laïcité de notre pays dans la tolérance, l’humilité, la fécondation des différences. En ce sens qu’«être laïc, c’est en fin de compte être tout à tous afin d’être tout à Dieu». S’agissant de «La place et le rôle des communautés religieuses dans un Etat laïc» présenté par M. Arsène Capo-Chichi, cet exposé a montré que quand bien même les autorités religieuses n’ont pas eu à participer directement à l’organisation de la vie politique, l’Etat se devait d’être organisé de manière à bénéficier du concours éclairé des citoyens. Quant à l’exposé de El-Hadj Mohamed Bachir Soumanou intitulé «Les adeptes des religions traditionnelles, chrétiennes et musulmanes face à leur responsabilité commune» il met en exergue que les institutions reposent sur les valeurs de civilisations et se basent sur ces dernières pour proposer des éléments de responsabilités communes aux communautés religieuses. Les travaux en ateliers seront essentiellement axés sur deux grandes préoccupations à savoir: - Dialogue pouvoirs publics-partis politiques et communautés religieuses dans la formation civique du citoyen (l’élaboration d’un code moral et civique, contribution à l’éducation des enfants et des adultes). - Dialogue pouvoirs publics-partis politiques et communautés religieuses dans la prévention des conflits sociaux (conflits inter-confessionnels, conflits entre citoyens et pouvoirs publics). Mais ce qui a constitué le clou de ce séminaire aura été la réconciliation entre les deux chefs du culte vodun, Sossa Guèdèhounguè et Dagbo Hounon, qu’une histoire de vote à opposés depuis quelques années. (voir notre article) Dans une allocution qu’il a prononcée à cette occasion, le pasteur Harry Henry, président du comité national du dialogue islamo-chrétien-religions traditionnelles, dira que conscient des responsabilités qui incombent aux communautés religieuses, le comité national, tournant résolument dos aux, confrontations, tentera toujours le dialogue et privilégiera la concertation, la consultation mutuelle avec toutes les composantes de la nation béninoise pour l’instauration de la paix, la justice, l’amour, gages du développement durable de notre pays. Invitée pour présenter son allocution de clôture, Mme Irène Ako, directrice de l’INFOSEC, devait indiquer que ce séminaire aura tracé la voie vers une unité nationale durable en consolidant les acquis de la première rencontre qui avait ouvert la voie à la recherche de la paix entre les diverses communautés de notre pays. Puissent ces assises ouvrir la voie à une parfaite collaboration entre les pouvoirs politiques et les communautés religieuses. Et pourquoi pas entre les adeptes de ces différentes confessions. bibo:pages 6 -- o:id 7086 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7086 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7095 26407 26408 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1862ce17790f14c897c6e2681fbdcfc3b0f6aa02.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0e1685c111d362d5709c84b97b29490071c4004e.tiff https://islam.zmo.de/files/original/71d356ca38bc063b7f7c94e95298c7793afb423d.tiff dcterms:title Dialogue entre les communautés religieuses et les pouvoirs publics : comment concilier la religion et la démocratie au Bénin ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13528 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14887 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1994-10-19 dcterms:identifier iwac-article-0003262 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Comment concilier aujourd’hui la religion et la démocratie, dans notre société? Depuis hier, une cinquantaine de Béninois (religieux, hommes politiques et chercheurs) réfléchissent sur la question à l’Infosec à Cotonou dans le cadre d’un séminaire national. Le but de ces assises qui dureront trois jours est «d’établir le dialogue entre les communautés religieuses et les pouvoirs publics dans le but de faciliter la gestion démocratique et pacifique de la nation béninoise». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Comment concilier aujourd’hui la religion et la démocratie, dans notre société? Depuis hier, une cinquantaine de Béninois (religieux, hommes politiques et chercheurs) réfléchissent sur la question à l’Infosec à Cotonou dans le cadre d’un séminaire national. Le but de ces assises qui dureront trois jours est «d’établir le dialogue entre les communautés religieuses et les pouvoirs publics dans le but de faciliter la gestion démocratique et pacifique de la nation béninoise». Au cours de la cérémonie d’ouverture des travaux, le représentant du comité national du dialogue islamo-chrétien et religions traditionnelles, M. Razzaq Hounkponou a exprimé la joie qui anime les membres de ce comité de voir se poursuivre cette entreprise de dialogue pour une fraternité toujours plus grande, toujours plus féconde et toujours plus au service du développement de notre communauté nationale. Et le représentant de la fondation Friedrich Naumann, M. Roger Gbégnonvi de leur donner mille fois raisons. Car, dira-t-il, à n’en pas douter, le dialogue sans exclusive est notre seul recours au bout de ce siècle du bilan contrasté. M. Gbégnonvi a poursuivi en indiquant que la démocratie est en effet le lieu de la systématisation du dialogue. Et, l’homme en choisissant la démocratie, c’est-à-dire le dialogue, a choisi la pénombre et la quête sans fin. Il vient, sans crier gare, de commencer à s’échapper de la zone des dogmatismes sclérosants pour entrer dans la zone des incertitudes fécondes. L’homme vient de découvrir la nécessité de la tolérance et, plus que la tolérance, les vertus de l’humilité. Il ne lui reste qu’à s’en convaincre activement et à faire de cette conviction le socle de tous les domaines de sa vie. Mais pourra-t-il jamais en faire le socle de sa vie religieuse ? La question reste entière. Selon M. André Tossou-Glèlè, directeur du cabinet du MTEAS qui ouvrait les travaux de ce séminaire, il est impérieux de définir plutôt ensemble un cadre de concertation et de dialogue constructif pour le développement harmonieux de la nation, et de situer les responsabilités de l’Etat de droit à l’égard des communautés religieuses. A l’heure actuelle où notre pays traverse une zone de turbulence caractérisée par des actes de violence, dira M. Tossou-Glèlè, les communautés religieuses ont l’impérieux devoir et la responsabilité de prêcher la tolérance, le dialogue, la paix, la concertation, la justice sociale, l’amour de la patrie et du prochain, et le respect scrupuleux des biens publics. Espérons que ces assises permettront aux religieux et aux hommes politiques de ficeler les liens d’un mariage de raison. bibo:pages 1 4 -- o:id 7087 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7087 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7096 26409 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/55e78cb6aeb2997bcb8b09f36bf4e97167cca18c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4a444a94222f010bf77f98f473fa4a8040d3853f.tiff dcterms:title Réorganisation des voyages aux lieux saints de l’Islam à la Mecque : pallier aux difficultés des années antérieures dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14331 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13584 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-04-01 dcterms:identifier iwac-article-0003263 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une forte délégation du ministère des Travaux publics et des Transports présidée par le directeur de cabinet M. Hêmianon Kakpo, était jeudi dernier à l’aéroport international de Cadjèhoun à Cotonou pour constater l’organisation du départ des pèlerins au lieu saint de l’Islam. Ils sont environ 1.200 pèlerins cette année à aller conquérir la bénédiction d’Allah. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une forte délégation du ministère des Travaux publics et des Transports présidée par le directeur de cabinet M. Hêmianon Kakpo, était jeudi dernier à l’aéroport international de Cadjèhoun à Cotonou pour constater l’organisation du départ des pèlerins au lieu saint de l’Islam. Ils sont environ 1.200 pèlerins cette année à aller conquérir la bénédiction d’Allah. Dans les années intérieures, les voyages des pèlerins à la Mecque étaient dépourvus d’une organisation harmonieuse. Les pèlerins étaient abandonnés sur place, l’aéroport mal utilisé, manque de lieux d’aisance et d’eau... Bref des voyages désordonnés. Ce qui ne rend pas honneur à notre pays. C’est pourquoi le ministère des Travaux publics et des Transports en collaboration avec les organisateurs ont initié de nouvelles dispositions pour que les pèlerins contrairement aux années passées voyagent dans de bonnes conditions. Selon M. Hêmianon Kakpo, directeur de cabinet du ministère, le ministre Kamarou Fassassi a voulu faire de l’organisation des voyages sur la Mecque, une réussite totale cette année. L’accueil des pèlerins, leurs prise en charge, des lieux aménagés, des tentes, des lieux d’aisance, des fontaines sont autant de dispositions prises que le ministre Kamarou compte réitérer les années à venir. Pour El Hadja Salami Mouinath, il importe de remercier les autorités de ce pays qui malgré leurs petits moyens pensent au développement de l’Islam en réorganisant les voyages des pèlerins. Il revient, a-t-elle fait remarquer, aux pèlerins de s’organiser à leur tour pour mettre un terme aux désordres. bibo:pages 6 -- o:id 7088 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7088 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7097 26410 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7fec3435b2bcaab85dd8d70508330a184d1f49b3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f8a2b2850d81342db1cd94c58301b57b359c83f1.tiff dcterms:title Sacrée confession! dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1560 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-03-26 dcterms:identifier iwac-article-0003264 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Cette année, Dieu a voulu que le jeûne et le carême des fidèles musulmans et chrétiens catholiques coïncident presque. En effet, alors que les premiers cessaient leur jeûne, le mercredi des Cendres, les seconds démarraient le temps de carême. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Cette année, Dieu a voulu que le jeûne et le carême des fidèles musulmans et chrétiens catholiques coïncident presque. En effet, alors que les premiers cessaient leur jeûne, le mercredi des Cendres, les seconds démarraient le temps de carême. Un peu comme chez nos frères musulmans où l’apparition de la lune annonce le début du carême, le mercredi des Cendres annonce quarante jours d'abstinence, de sacrifice, de piété, de retenue et d’actions de grâce. La période de carême donne l'occasion aux fidèles catholiques de marquer une pause dans leur vie quotidienne afin de faire le point de leur cheminement dans la foi chrétienne pour laquelle ils ont librement opté. C’est le moment plus que jamais où l’Eglise recommande aux fidèles de recenser leurs péchés, de prier intensément pour se les faire pardonner et enfin de rendre grâce à Dieu pour toutes les merveilles qu’il nous a faites. C’est donc le temps des réconciliations avec Dieu le Tout Puissant, entre les époux, en famille, entre collègues, entre amis dans la vie quotidienne etc... Mais le droit à la différence a voulu que les catholiques confessent leurs péchés à des apôtres de Dieu, les prêtres en l’occurrence, alors que les musulmans s’adressent directement à Allah. En effet, outre les séances de confession des temps ordinaires, l’Eglise catholique recommande pendant la période du carême la confession et la communion pascales. Ces dernières sont très importantes pour l’Eglise. Nous dirons même capitales, car elles font partie des critères qui conduisent les prêtres à absoudre quand Dieu vous rappelle de la planète terre. Alors, que constatons-nous dans les églises? Une inflation des fidèles dont Dieu seul pourrait sonder les reins et les coeurs, prennent d’assaut les lieux saints, la plupart si nous ne nous trompons, pour ennuyer les prêtres. Nous disons ennuyer, parce que nous estimons que beaucoup de fidèles ne savent pas se confesser. On raconte tout et rien de consistant et de réel aux prêtres; empêchant ainsi inutilement les files d’attente de progresser. Nous estimons que l’Eglise et les laïcs catholiques, ont beaucoup à faire à la base pour rééduquer les fidèles. Car, nous savons par exemple que les jeunes gens ou les adultes qui vivent ensemble sans le sacrement de mariage ne peuvent pas communier et par conséquent prétendre faire une quelconque confession pascale. Même, ceux qui estiment qu’ils sont «à jour» ou «en règle» vis-à-vis de l’Eglise doivent savoir dire leurs péchés. Ils doivent savoir que l’ère de la globalisation qui s’annonce à grands pas, ne concerne pas seulement le domaine économique, mais également les secteurs social, technologique et politique pour ne citer que ces quatre principaux. Donc, Soeurs et Frères en Christ catholiques, globalisons nos péchés. C’est aussi le lieu de rappeler qu’il ne faut pas attendre le temps de carême seulement pour se confesser, il faut également savoir profiter des séances de confession des temps ordinaires. Dans l’un des centres de confession de Cotonou, où nous étions pour accomplir aussi notre devoir de chrétien catholique, il a fallu l’intervention remarquée d’un prêtre visiblement fatigué, pour éclaircir le rang: «Ne se confessent que ceux qui sont en règle vis-à-vis de l’Eglise. Nous ne sommes pas là pour des formalités, pour remplir seulement des livrets de catholicité» dit-il !. Nous avons su gré à cet apôtre de Dieu qui nous a permis de voir notre tour arriver à temps pour vaquer à d’autres occupations par la suite. En dehors de l’éducation à donner en matière de confession l’inflation des fidèles et l’impuissance des prêtres à faire au delà de leurs possibilités humaines, posent le problème de l’insuffisance des serviteurs de Dieu. Car, nous savons un peu ce qu’endurent nos prêtres en temps ordinaires et tout le calvaire qu’ils vivent pour nous servir en temps de carême. C’est pourquoi, tous devons prier sans cesse, pour que Dieu nous donne beaucoup de prêtres et que les parents choisis par le Tout Puissant acceptent de laisser les enfants appelés à cette vocation intégrer librement nos séminaires. bibo:pages 2 -- o:id 7089 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7089 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7098 26411 26412 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0095d721040b8afc36ba3cd114b6d559bf097705.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7e5357c48ca769259ecde3ed32daaad4440e2959.tiff https://islam.zmo.de/files/original/b8a4f1ec183d3ffc3360bf0389e7d22fd300473f.tiff dcterms:title Banque Islamique de Développement : faciliter l'exécution des projets financés par la BID dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12897 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-03-13 dcterms:identifier iwac-article-0003265 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Faire le point de l’exécution des projets financés par la Banque islamique de développement (BID) et apporter des solutions aux problèmes y afférents, tel est l’objectif de la seance de travail qui a réuni hier au Bénin Sheraton hôtel à Cotonou, les membres de la délégation de la BID, les chefs des projets financés par cette institution et Mme Célestine Zanou Wètohossou, directrice de cabinet du ministre du Plan, de la Restructuration économique et de la Promotion de l'Emploi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13369 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/392 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Faire le point de l’exécution des projets financés par la Banque islamique de développement (BID) et apporter des solutions aux problèmes y afférents, tel est l’objectif de la seance de travail qui a réuni hier au Bénin Sheraton hôtel à Cotonou, les membres de la délégation de la BID, les chefs des projets financés par cette institution et Mme Célestine Zanou Wètohossou, directrice de cabinet du ministre du Plan, de la Restructuration économique et de la Promotion de l'Emploi. Conduite par M. Zul-Kifl Salami, la délégation de la BID est au Bénin dans le cadre de la revue des projets financés par cette institution dont notre pays est membre depuis 1983. La BID intervient dans beaucoup de domaines au Bénin. Elle a, entre autres, financé des projets dans les secteurs de l’eau, de l'énergie, de la santé, des infrastructures etc... Plus concrètement, elle est intervenue dans le projet de construction du barrage d’Adjaralla, dans la construction des routes Savalou-Djougou, Natitingou-Porga. Donc autant de projets dans lesquels la BID apporte son concours sans oublier la construction de petits barrages dans le Borgou et le Zou qu’elle vient de financer. Le niveau d’intervention de la BID au Bénin est évalué à 65 millions de dollars soit une bagatelle de 34 milliards de nos francs. Pour M. Salami, conseiller aux opérations de la Banque, son institution a opté pour une politique qui vise à renforcer la coopération entre elle et les pays membres. Raison pour laquelle la BID accorde une importance particulière au suivi du portefeuille de ses opérations. Ce qui permet, a dit le conseiller de la BID, d’identifier les problèmes auxquels les projets sont confrontés et d’y apporter des solutions. Et les problèmes généralement connus lors de l’exécution des projets sont de deux ordres à savoir: technique et institutionnel. Au cours de la séance de travail d’hier, chacun des chefs de projets financés par la BID a présenté la situation au niveau de l’exécution desdits projets et des problèmes rencontrés. Durant son séjour de cinq jours, la délégation aura à travailler avec les ministres et autres structures concernés par ces projets. M. Zul-Kifl Salami qui a longtemps été gouverneur du Bénin à la BID et qui est aujourd’hui conseiller aux opérations de la banque en est à sa première mission au Bénin. Il a émis le voeu que cette première mission débouche sur des actions concrètes et ouvre la voie à une intensification des concours de la banque au profit de la nation béninoise. bibo:pages 1 3 -- o:id 7090 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7090 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7099 26413 26414 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/46742581624f759619a05326a5324e32c5c429ec.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3448dd921aac525f9db6d1b76274034554a7e63f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/11150bddea1e976410bcaa056be69a3e4b86a2a9.tiff dcterms:title Célébration samedi dernier de l’Aïd El Fitr : les Béninois ont rendu grâce à Allah dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1377 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1943 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13144 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13584 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1418 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15437 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-02-10 dcterms:identifier iwac-article-0003266 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après 29 jours de jeûne, les fidèles musulmans du Bénin ont pris d’assaut toutes les places Idi du territoire national pour rendre grâce au Tout puissant Allah à travers la pière d’Aïd el fitr marquant la rupture du jeûne. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après 29 jours de jeûne, les fidèles musulmans du Bénin ont pris d’assaut toutes les places Idi du territoire national pour rendre grâce au Tout puissant Allah à travers la pière d’Aïd el fitr marquant la rupture du jeûne. A Cotonou, la prière a été célébrée aux places Idi de Cadjèhoun, d’Akpakpa SOBETEX et PK 10 Route de Porto-Novo. Tôt le matin, les fidèles musulmans hommes, femmes et enfants tous vêtus de leurs plus beaux habits et parfumés sont allés remercier Allah dans ces lieux pour leur avoir donné vie et pour leur avoir permis de terminer le jeûne en santé. La prière d’Aïd el fitr en effet, est une prière recommandée qui caractérise la foi et la vertu. Au matin de ce jour, Allah disperse les anges dans toutes les villes. Compte tenu de l’importance de cette prière, on comprend aisément l’embouteillage qu’a connu la route Cotonou-Porto-Novo. Car tous les fidèles voulaient aller recueillir cette bénédiction d’Allah par le biais de ces Anges. Revenant à la prière proprement dite, elle a été célébrée en trois phases à savoir la prière, le sermon et le prêche. Sur toutes ces places Idi, les prières ont été respectivement dites à Cadjèhoun par l’Imam Issaka Alao Ligali, à la SOBETEX par El-hadj Alassane Ibrahima et au PK 10 Route de Porto-Novo par Habib Ibrahim l’Imam de la Mosquée Centrale de Zongo. Tous les Imams ont imploré Dieu à travers les bienfaits du Prophète Mahomet et ont prié à l’intention du peuple béninois et du gouvernement pour que la paix règne dans notre pays. Les Imams ont recommandé d’accomplir le jeûne de 6 jours de chaw’wal qui est très bénéfique pour le croyant. Signalons que les membres du gouvernement ont aussi pris part à cette prière. On a noté la présence des ministres Théophile N’da et Pierre Osho à la place Idi du PK 10 Route de Porto-Novo et celle de El Hadj Kamarou Fassassi et Félix Chabi Adimi à la Place Idi d’Akpakpa SOBETEX. A Porto-Novo, c’est le premier ministre Adrien Houngbédji qui a représenté le gouvernement. Dans les foyers, on a mangé en famille, répondu aux invitations des frères, parents et amis tels que souhaité par l'Islam. bibo:pages 1 3 -- o:id 7100 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7100 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7113 26415 26416 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/54ee274e00e62adda940b49d55b136f83fee56c3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/334d2ccac4a3abde8870d796652946aad4553576.tiff https://islam.zmo.de/files/original/5c285d22f818a04d8c4a9c20c7ccbc8c947bf53c.tiff dcterms:title Zakat de la rupture du jeûne : l’accomplir avant la prière de la fête dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-02-07 dcterms:identifier iwac-article-0003267 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Zakat ou aumône obligatoire est le troisième pilier de l’Islam. Il est conseillé à tous ceux qui ne l’avaient pas accompli de le faire surtout en cette période de jeûne qui prend fin aujourd'hui. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/443 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Zakat ou aumône obligatoire est le troisième pilier de l’Islam. Il est conseillé à tous ceux qui ne l’avaient pas accompli de le faire surtout en cette période de jeûne qui prend fin aujourd'hui. Un droit dû au pauvre En effet, la zakat est un culte financier qui purifie l’âme et hausse ses mérites, comme il purifie les biens et accroît la richesse. Ce n’est pas une obole offerte au pauvre par le riche, mais un droit dû au pauvre dans les biens du riche. Il fut institué à la Mecque sans précision de taux. Ce droit est mentionné dans plusieurs versets mecquois, mais son taux ne fut fixé qu’à' Médine. Le but de cette institution financière est de faire régner la charité et l’esprit d’amour au sein de la société islamique. La volonté de Dieu a rendu les uns riches et les autres pauvres afin que la vie prenne son cours normal sur terre. Car, si tous les hommes étaient riches, leurs intérêts cesseraient et si tous les hommes étaient pauvres, ils mèneraient une vie incommode et servile, leur existence sans but et l’humanité demeurerait stationnaire dès sa création. En établissant ces deux classes sociales par sa sagesse, Dieu leur a ordonné de vivre dans la coopération et la solidarité, en exigeant des riches le versement d’une part de leurs biens aux indigents, et en exigeant de ceux-ci le déploiement de leurs efforts au service des riches, en vue de réaliser leurs intérêts réciproques. La zakat étant un droit financier imposé par Dieu, tout bon musulman doit le verser au profit des nécessiteux. La zakat de la rupture du jeûne La zakat de la rupture du jeûne ou aumône du mois de Ramadan est exigée par le Coran et bienheureux celui qui se purifie à ce moment-là en payant ce droit. Car le prophète Mahomet l’a imposée en tant que facteur de purification pour celui qui a observé l’abstinence, et facteur de sustentation pour le pauvre. Ce droit doit être acquitté avant l’accomplissement de la prière de la fête de la rupture du jeûne, faute de quoi, il sera considéré comme simple aumône. La zakat de la rupture est imposée à tout musulman tout en évaluant son taux sur l’ensemble de ses revenus. Nous pouvons déjà commencer à souhaiter bonne fête à tous les musulmans. bibo:pages 1 5 -- o:id 7101 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7101 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7114 26417 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cc7d23ff8868dfef4d8fa7fc77e29fba280aaacd.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bec582de33e21c9b5a71c6042f6a2f71e67de067.tiff dcterms:title De l’utilité de la Zakat dans la résolution des problèmes de chômage et d’insécurité au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1594 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/801 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13361 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1996-10-08 dcterms:identifier iwac-article-0003268 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Personne ne peut rester indifférent aux problèmes de chômage des jeunes diplômés sans emploi, des déflatés de la fonction publique ou des entreprises publiques qui sombrent dans la misère et le désespoir. N’est-ce pas cette misère qui engendre l’insécurité dans nos grandes villes? La question mérite d’être posée. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Personne ne peut rester indifférent aux problèmes de chômage des jeunes diplômés sans emploi, des déflatés de la fonction publique ou des entreprises publiques qui sombrent dans la misère et le désespoir. N’est-ce pas cette misère qui engendre l’insécurité dans nos grandes villes? La question mérite d’être posée. Malgré les efforts déployés par les Pouvoirs publics pour endiguer ces deux fléaux, les phénomènes persistent et s’aggravent de jour en jour. Le nombre de diplômés déversés sur le marché du travail et qui sont obligés, pour survivre, de mener des activités de «taxi-moto», les agressions à mains années qui font d'innocentes victimes çà et là sont autant d’éléments qui interpellent toute la communauté. En raison de leur mission, les responsables des communautés religieuses ainsi que leurs fidèles sont, à mon avis, les premiers concernés par cette situation qui perdure et rend la paix sociale Fragile. En tout cas, la communauté musulmane doit se sentir interpellée, plus que tout autre, par cette situation car la religion islamique offre des moyens adéquats pour venir progressivement à bout de ces maux sociaux. Au titre de ces moyens, nous retenons la Zakat, droit légal des pauvres de la communauté sur la fortune des riches. Que peut-on faire de la Zakat et/ou de sa philosophie en ces moments de difficultés économiques et de fragilisation de la paix sociale? Utilité de la Zakat face au problème du chômage Les théories économiques qui traient le phénomène du chômage définissent celui-ci comme la résultante d'une situation d’excès d’offre de travail face à une demande moins importante. Pour résoudre un tel problème, elles proposent dans le cadre de politiques macro-économiques bien précises de créer directement des emplois par l’Etat et/ou par le marché. De nos jours, la création des emplois par le marché est vivement recommandée car ce procédé introduit peu de distorsions dans l’économie. Cet environnement économique fondé sur le marché, malgré ses lacunes, permet cependant la mise en oeuvre de la philosophie de la Zakat pour régler judicieusement le problème du chômage, notamment celui des jeunes. A cause de sa philosophie, le prélèvement légal en Islam pose une double responsabilité. Primo: La responsabilité de chaque musulman riche (c’est-à-dire tout individu qui a possédé un an durant une économie oisive de plus de trois cent soixante dix-huit mille francs CFA (378 000 F) de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des pauvres et nécessiteux de la collectivité. Secundo: la responsabilité de chaque pauvre de la communauté de recevoir de celle-ci un don lui créant une obligation de résultat. Il s’agit pour le bénéficiaire d’utiliser judicieusement ce don de la communauté afin de sortir de l’auberge. Le phénomène du chômage peut être progressivement vaincu si nous tenions l’application effective de cette double responsabilité dans notre communauté. Etudions successivement les conséquences du ces responsabilités du pauvre et du riche. Le pauvre ou le nécessiteux, qu’on peut définir a contrario comme celui qui n’a pas pu détenir une économie annuelle oisive de plus de la somme sus-indiquée, est responsable devant le Tout Puissant Allah de la réussite de son projet de vie. Il dispose d’un flux continuel de richesse qu’il peut exploiter correctement pour sortir de sa galère. L’idéal pour lui est de cesser d'en recevoir très vite afin de participer aussi au resserrement des liens dans la collectivité. Il doit réfléchir et trouver l’activité qu’il entend mener pour assurer sa survie. Sa responsabilité première est de faire le bilan de son existence, d’en déduire les forces et les faiblesses et de s’orienter vers l’activité qui peut lui permettre de vendre ses qualités à la communauté. La prière quotidienne lui permettrait de venir à bout de ses faiblesses. De la responsabilité du riche découle plusieurs conséquences. Il doit verser sa Zakat annuelle pour aider un ou plusieurs pauvres ou nécessiteux à sortir de leur condition misérable. S’il s’abstient de le faire, il se crée un préjudice grave et participe ainsi à la dégradation des conditions de vie dans la cité. Le riche a donc l’obligation de sortir de l’ornière un pauvre. L’application de cette «obligation divine» conduit inévitablement avec l’effet de boule de neige à l’éradication de la pauvreté dans la communauté. En effet, chaque pauvre qui peut se prendre en charge constitue un moindre mal pour la société. Un chômeur (diplôme sans emploi, ou déflaté de la fonction publique ou des entreprises publiques) qui reçoit un don de la collectivité pour le projet de sa vie. demeure le seul comptable de sa vie devant Dieu. Il ne peut plus se prévaloir d’avoir etc abandonné au bord de la voie par le système de redistribution des richesses instauré par Dieu. En outre le pauvre, s’il est musulman, a l’obligation de contribuer à son tour et dans un laps de temps raisonnablement court à la réduction de la fracture sociale. Ainsi, en venant s’ajouter à la masse des donateurs au fonds de la Zakat, il donne plus de chance à la communauté dans la résolution du problème du chômage. La Zakat dans son essence, pose ainsi le problème de la responsabilité de chaque individu riche face à la situation passagère du pauvre ou de l’infortuné. Dans un régime islamique, les pauvres et les chômeurs ne doivent pas se poser des questions relatives au financement de leur projet, car ceci est garanti par la Zakat versée annuellement par les riches, mais ils doivent rechercher des activités susceptibles de changer une fois pour de bon leur situation misérable. Si dans notre pays, chaque riche musulman, tel que défini plus haut, prenait conscience du rôle qu'il doit jouer dans le théâtre de la vie et s’affranchit convenablement de sa tâche, plusieurs activités pourraient être financées sans aucun intérêt financier et libéreraient le pauvre ou le chômeur de ses préoccupations matérielles afin qu’il puisse se consacrer à l'adoration de Dieu l’Unique. En jouant convenablement son rôle dans la gestion de la cité, le riche musulman sauvegarderait non seulement ses biens et assurerait un avenir radieux à sa progéniture mais calmerait la tension, la haine des pauvres vis-à-vis des riches, Le problème d’insécurité se poserait encore moins aujourd’hui dans notre cité. Utilité de la Zakat face au problème d'insécurité La cause du déferlement de l’insécurité sur nos grandes villes peut se résumer, selon le musulman que je suis, en la manifestation concrète de la haine que nourrit le pauvre vis-à-vis du riche. Les agressions de toutes sortes, qu’elles soient le fait des malfrats eux-mêmes ou que ceux-ci soient manipulés par des politiciens, confirment [‘existence d’un terrain fertile à la germination d’un sentiment du genre engendré surtout par le comportement des riches et des pauvres face à leurs obligations divines. En ne respectant pas le troisième pilier de l’Islam, le riche musulman se crée des préjudices graves tant sur ses biens que sur sa famille. En effet, la Zakat purifie les biens que le musulman met à la disposition de sa famille. Elle peut en disposer en toute quiétude. Un musulman qui s’acquitte de sa Zakat annuelle ne s’inquiète pas de l’évolution de ses enfants. Sauf cas exceptionnels, que seul Dieu peut expliquer, ceux-ci réussissent bien dans leurs activités. La sécurité du riche et au delà, la sécurité de tous dans une cité dépend pour une bonne partie du respect que nous donnons aux lois divines. Toutes les polices et les armées de ce monde ne peuvent nous garantir une sécurité sans faille, alors que certaines dispositions de la loi de Dieu peuvent le permettre. Au titre de celles-ci, je cite la solidarité du riche vis-à-vis du pauvre. Par la Zakat, la communauté peut financer, tout au moins en partie, l’acquisition des moyens matériels et la rémunération des fonctionnaires chargés de la sécurité. Mais la plus noble des tâches pour nous garantir une sécurité solide est de témoigner beaucoup plus de solidarité vis-à-vis des couches faibles de la communauté afin qu’elles ne sombrent pas dans le désespoir, antichambre de tous les vices. Tant qu’une communauté reste solidaire et que ses membres s’exhortent à de bonnes œuvres, l’insécurité fuit. La communauté suit et sauvegarde elle-même sa sécurité. Les responsables chargés de la sécurité au niveau du Gouvernement ne marchandent pas la collaboration des membres de la collectivité. Cette collaboration est spontanée. Pour ce faire, les membres de la collectivité qui ont reçu sur cette terre une portion de richesse matérielle et qui se complaisent dans la luxure doivent savoir qu’ils incitent à la haine, au vol. et au meurtre sauf s’ils s'acquittent des obligations divines prévues dans les livres de Dieu. La sécurité qui nous fait tant défaut aujourd’hui peut revenir dans notre pays si chaque individu de notre communauté le désire. En tout cas, tout bon musulman, qui a foi en Dieu et qui respecte la loi divine contribue à la restauration de la sécurité dans notre pays. A l'instar du chômage, la responsabilité de chaque individu est engagée dans l’insécurité qui plane sur nos têtes. Concluons cette partie en citant les Ulémas Behechti et Bâhonar (Philosophie de L'Islam): «La corruption de la société aussi a pour origine la corruption des individus. Si chaque individu se réforme, toute la société sera automatiquement réformée à son tour.» Le chômage, l’insécurité, bien qu’ils constituent des problèmes à gérer par nos gouvernants, engagent cependant la responsabilité individuelle de tous les membres de la communauté devant Dieu. Pourrions-nous répondre de cette lourde responsabilité le jour de la résurrection? Accomplissons-nous correctement nos obligations divines quotidiennes? Telles sont les questions que je pose pour éveiller, si Dieu le veut, chacun des membres de la communauté de notre pays. bibo:pages 2 -- o:id 7102 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7102 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7115 26418 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f24e0c29c070d95702965110094248449ef4ae5a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/362079c9985536a7220682171694ba15385a21b1.tiff dcterms:title Le vice-président de la Banque islamique de développement sur le site d'adduction d'eau d'Ikpinlè dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1501 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1996-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0003269 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le séjour de travail et d’amitié du vice-président de la Banque islamique de développement a été marqué entre autres par la visite du projet d’adduction d’eau d’Ikpinlè, dans le département de l’Ouémé. M. Enam Chandry part satisfait de cette mission fructueuse au Bénin... dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14201 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le séjour de travail et d’amitié du vice-président de la Banque islamique de développement a été marqué entre autres par la visite du projet d’adduction d’eau d’Ikpinlè, dans le département de l’Ouémé. M. Enam Chandry part satisfait de cette mission fructueuse au Bénin... Après le site d’Adjarala, dans le département du Mono, c’est le tour du projet d’adduction d’eau villageoise d’Ikpinlè (Ouémé) d’accueillir la visite officielle du vice-président de la BID, M. Enam Chandry. La délégation comportait les cadres techniques des ministères des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique, et du Plan, de la Restructuration économique et de la Promotion de l’Emploi. A Ikpinlè, M. Enam Chandry et sa suite ont effectué une visite détaillée des installations techniques de tout le système d’adduction d'eau villageoise qui a vu le jour en juillet 1995 pour soulager progressivement la pénibilité des populations en eau potable en milieu rural. Depuis juillet 1995 , le village d’Ikpinlè, situé à 90 km de Cotonou, avec 5.000 habitants peut se frotter les mains dans le domaine d’approvisionnement en eau potable. Pour atteindre ce résultat satisfaisant, le gouvernement béninois a dû faire appel à nos partenaires au développement dont notamment la Banque islamique de développement qui y a répondu favorablement. Afin de s’assurer de son bon fonctionnement, le vice-président de la BID a profité de son passage au Bénin, pour aller loucher du doigt, l’état de santé actuel du projet. Projet qui est géré par l’Association des usagers d’eau de ladite localité, qui sont élus démocratiquement par la population. Dans le domaine de la situation financière de juillet 1995, date de sa mise en service jusqu’au mois de décembre 1995, le volume d’eau vendu est de 12.956,5 m3 pour une recette de 2.832.735 F CFA soit un prix moyen de 218 F CFA le mètre cube. A cette date, le solde dégagé après les charges de fonctionnement s’élève à 2.008.865 F CFA. Cette situation financière adéquate a permis à l’Association de souscrire récemment à un abonnement électrique pour le fonctionnement du système de pompage; le groupe électrogène servira de relais en cas de panne technique du réseau électrique principal. Face à ce tableau très encourageant, les populations bénéficiaires ont souhaité l’extension du réseau et des branchements privés à domicile. Dans son mot de bienvenue, le représentant du ministre des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique, M. Bernardin Ahounou a saisi l’opportunité pour faire un rapide tour d’horizon des différentes réalisations du volet hydraulique villageoise du projet de développement rural intégré de l’Ouémé, financé par la BID. Ce projet a permis de construire. - 254 forages équipés de pompes à motricité humaine, - 5 adductions d’eau villageoises. Cette apport de la BID est louable pour diminuer les multiples peines des populations rurales du département de l’Ouémé a-t-il poursuivi. M. Bernardin Ahounou a, au nom de son ministre empêché, souhaité le financement de la 2ème phase du volet hydraulique seul gage pour les populations d’avoir de l’eau potable en qualité et en quantité afin de pouvoir se mettre à l’abri de toutes les difficultés liées à la consommation en eau potable. «Nous avons pris bonne note de vos différentes doléances et l’institution que je dirige étudiera favorablement votre requête pour l’extension de cette 2ème phase du volet hydraulique» a indiqué M. Enam Chandry. Le vice-président de la BID a salué la bonne ambiance de travail qui se développe entre les cadres techniques et les populations bénéficiaires qui ont compris que la survie de ce projet volet hydraulique dépend d’abord des véritables acteurs que sont les populations rurales. M. Enam Chandry a dit qu’il part satisfait du Bénin avec la avec la l'impression d’une mission officielle bien accomplie. Un séjour qui lui aura permis en outre de discuter avec les autorités béninoises du renforcement de la coopération technique et financière entre la Banque islamique de développement et la République du Bénin. Une mission qui a été aussi pour lui l’occasion de visiter quelques projets à caractère socio-économique en cours d’exécution ou en négociations. bibo:pages 4 -- o:id 7103 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7103 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7116 26419 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/49009875200d779bdaa697c5ae753642b9fde993.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f1a75f087792ae3dc71e2762c5c106bf923c9367.tiff dcterms:title Audience hier au palais de la République : les Béninois étudiants au Koweit et leurs problèmes dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1587 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13921 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1996-09-12 dcterms:identifier iwac-article-0003270 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République, S.E. Mathieu Kérékou a reçu hier en audience une délégation d’étudiants béninois au Koweit qui lui ont présenté certaines de leurs doléances; puis des personnalités mauritaniennes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/539 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République, S.E. Mathieu Kérékou a reçu hier en audience une délégation d’étudiants béninois au Koweit qui lui ont présenté certaines de leurs doléances; puis des personnalités mauritaniennes. L’essentiel de l’entretien qu’a eu le chef de l’Etat avec nos frères étudiants au Koweit, a porté sur la reconnaissance de leurs diplômes. Pour avoir longtemps étudié en langue arabe, ces étudiants souhaiteraient aussi avoir quelques années de formation à l’Université nationale du Bénin (UNB). Le secrétaire général de l’Union des étudiants béninois au Koweit, M. Sourakathou Ousmane a présenté également d’autres desiderata: octroi de bourses universitaires aux jeunes béninois qui obtiennent leur Bac dans ce pays étranger; embauche des étudiants revenus au bercail comme professeurs à l’institut de langue arabe et de la Culture Islamique (ILACI); visite des autorités béninoises aux étudiants évoluant au Koweit... La délégation a foi en l’actuel gouvernement et espère qu’il ne l’évitera pas quand il sera en visite au Koweit, comme le faisait l’autre gouvernement. La délégation mauritanienne a quant à elle, choisi de nous dire que son entretien avec le président Kérékou a porté simplement sur les excellentes relations qui lient nos deux pays. bibo:pages 3 -- o:id 7104 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7104 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7117 26420 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ff1f6a7d3c5f71db566dd566cdb7f22758f41e37.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b7581773a2de12c01483de399f75e0627d97ed84.tiff dcterms:title Séjour au Bénin, du vice-président de la Banque islamique de développement : renforcer la coopération entre les institutions financières et le Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1501 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1393 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1996-09-10 dcterms:identifier iwac-article-0003271 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le vice-président de la Banque islamique de développement, M. Enam Chaudry a entamé depuis samedi dernier, une visite officielle de travail et d'amitié en République du Bénin. Le vice-président de la Banque islamique de développement en provenance de Lomé a été accueilli à la frontière bénino-togolaise d’Hillacondji par le ministre béninois des Mines, de l'Energie et de l'Hydraulique, M. Emmanuel Golou. Il était entouré des cadres techniques du ministère du Plan et de son département... dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13927 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/457 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le vice-président de la Banque islamique de développement, M. Enam Chaudry a entamé depuis samedi dernier, une visite officielle de travail et d'amitié en République du Bénin. Le vice-président de la Banque islamique de développement en provenance de Lomé a été accueilli à la frontière bénino-togolaise d’Hillacondji par le ministre béninois des Mines, de l'Energie et de l'Hydraulique, M. Emmanuel Golou. Il était entouré des cadres techniques du ministère du Plan et de son département... Cette visite officielle du vice-président de la Banque islamique de développement au Bénin entre dans le cadre des discussions avec les autorités béninoises au sujet des différents projets financés par son institution. Dès son arrivée à Hillacondji, il y a eu comme en de pareilles circonstances les formalités protocolaires d’usage avant que le cortège ne s’ébranle vers le site hydraulique d’Adjarala sur le fleuve Mono, situé à une dizaine de kilomètres du centre-ville de la sous-préfecture d’Aplahoué. Tout a démarré à ce niveau à partir de 1968 quand les Républiques togolaise et béninoise ont créé la Communauté électrique du Bénin. Une interconnexion a été mise en service en 1973 entre les deux pays de la Communauté et la République du Ghana. Cette interconnexion assure aujourd’hui 75% de la fourniture de l’énergie électrique consommée au Togo et au Bénin. Avec l’aménagement d’Adjarala conçu dans le cadre de l’aménagement optimal du fleuve Mono, l’énergie électrique locale pourra satisfaire 50% de la demande. C’est pourquoi, le vice-président de la Banque islamique de développement chargé des opérations, M. Enam Chaudry se trouve au Bénin depuis samedi dernier, pour engager avec les autorités béninoises, des concertations pour la réalisation du projet d’aménagement hydroélectrique d’Adjarala sur le fleuve Mono. M. Enam Chaudry a indiqué à la presse qu’il a été profondément impressionné de la visite qu'il a effectuée sur le site d’Adjarala. Il a félicité les autorités béninoises pour avoir choisi cette localité qui regorge d’atouts majeurs pour l’économie béninoise en énergie électrique. Ce choix, à l’instar de son caractère touristique doit permettre également la fourniture en énergie électrique aux populations des deux Etats (Togo-Bénin) a poursuivi le vice-président de la BID. Il a mis l’accent sur le rôle important que l’énergie joue dans le développement des Nations, mais a-t-il fait remarquer, le tout ne s’agit pas de fournir de l’énergie électrique aux populations. Il faut aussi leur assurer le minimum vital à travers leurs déplacements, les difficultés éventuelles qui peuvent surgir dans la mise en place des installations techniques. Bref! Il faudra recenser tous ces différents problèmes afin de garantir la sécurité alimentaire aux populations qui d’une manière ou d’une autre, seront touchées par ce projet du barrage d’Adjarala, d’ou les 2 projets d’accompagnement du projet de barrage, le projet d’aménagement hydro-agricole du bas de la vallée du Mono et le projet de développement de la pêche sur le lac de retenue d’eau créé par le barrage. La consommation d’énergie électrique a toujours augmenté régulièrement au Togo et au Bénin et le fort potentiel de développement de ces deux pays à l’extension continue du réseau interconnecté laisse présager une croissance continue pendant les prochaines années notamment pour la République du Bénin. M. Emmanuel Golou, ministre béninois des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique a indiqué que la Banque islamique de développement est le chef de file de toutes les Banques du Golfe (Fonds saoudien, fonds kowéitien, fonds d’Abou Dhabi) avant de dire toute sa satisfaction d’accueillir le vice-président de la BID sur le site qui abritera le barrage d’Adjarala. M. Emmanuel Golou a souhaité que le vice-président de la BID aille rendre fidèlement compte de ce qu’il a vu et entendu aux autres dirigeants et experts qui n’ont pas fait le déplacement de Cotonou pour toucher du doigt les nombreuses potentialités que regorge ce barrage d’Adjarala. Le ministre Emmanuel Golou a enfin saisi cette opportunité pour inviter tous les partenaires au développement à prendre part effectivement à la table ronde sur le financement du barrage hydro-électrique qui va se dérouler dans le courant du mois de novembre 1996. Le site d’Adjarala se trouve sur le fleuve Mono qui fait frontière avec le Togo et le barrage sera constitué de digues d’une longueur de 3 km environ qui s’étendront de chaque côté du lit du fleuve aussi bien en territoire togolais qu’en territoire béninois. En ce qui concerne la production attendue de ce barrage, M. Crespin Dagba, chef des études de la Communauté électrique du Bénin (CEB) a dit que le productible escompté de ce barrage d’Adjarala est de 326 millions de GWh. Ce productible représente aujourd’hui à peu près 40% des besoins en énergie électrique du Togo et du Bénin réunis. Ce productible ajouté à la production de Nagbéto qui est de l’ordre de 170 millions de GWh fera que les besoins du Togo et du Bénin seront couverts à plus de 50% à l’horizon «2000» a conclu M. Crespin Dagba. Le bassin versant du fleuve Mono dont la majeure partie est au Togo et le bassin du fleuve Ouémé au Bénin constitue l’essentiel du potentiel hydro-électrique des deux pays. M. Nanan Yamba, directeur général adjoint de la Communauté électrique du Bénin a rappelé lui aussi les potentialités de ce barrage d’Adjarala que caressent les deux pays (Togo-Bénin) depuis quelques années. M. Nanan Yamba a déclaré que grâce à la mise en service de ce projet d’Adjarala, les deux Etats jouiront d’une autonomie en matière d’énergie électrique à 80%. Avant de mettre un terme à cette visite de terrain sur le site d’Adjarala, le vice-président de la Banque islamique de développement, M. Enam Chaudry a souligné que son institution est prête à contribuer à la réalisation du projet du barrage d’Adjarala. bibo:pages 8 -- o:id 7105 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7105 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7118 26421 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/beee51adab3e62b050aa4706fcd24f24de10a136.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d105fc314b19408cfa4b10dbcf6be1d081904a3a.tiff dcterms:title Audiences au palais de la présidence de la République : plusieurs personnalités religieuses au cabinet du chef de l’Etat dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1575 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/801 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13104 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1996-09-06 dcterms:identifier iwac-article-0003272 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Plusieurs délégations religieuses, d'anciens cadres de l'armée en retraite et membres du Centre d’Action pour le développement intégré de la Région de Grand-Popo ont été reçus hier en audience au palais de la présidence de la République par le chef de l'Etat. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Plusieurs délégations religieuses, d'anciens cadres de l'armée en retraite et membres du Centre d’Action pour le développement intégré de la Région de Grand-Popo ont été reçus hier en audience au palais de la présidence de la République par le chef de l'Etat. Ce fut l’occasion pour la délégation des adeptes du culte vodoun conduite par sa majesté Sossa Guèdèhounguè de présenter au président Kérékou, leurs félicitations et de prier pour la concorde et l’unité nationales. A son tour, M. Mohamed Bachir Soumanou, président du Cercle d’Etude et de recherche «Islam et Développement» a présenté au chef de l'État, les travaux de son Centre. Ensuite ce fut le tour d’une importante délégation des christianistes célestes venus de plusieurs pays africains et de France, d’être reçus en audience. Conduite par leurs excellences M. Alexandre Bada et Benoît Agbahossi, chefs religieux célestes, cette visite à pour but essentiel de porter devant le chef de l’Etat le conflit de leadership qui déchire depuis plusieurs années cette confession religieuse, afin que soit définitivement enterrée la hache de guerre pour que triomphe l’église céleste. Auparavant, une délégation conjointe de militaires, gendarmes et policiers en retraite a présenté au président Kérékou, selon M. Léopold Ahouéya, porte-parole, les cas d’injustices et d’humiliations dont ils sont victimes depuis plus de cinq ans. Au nombre de ces cas, M. Ahouéya a fustigé la mauvaise liquidation des pensions des retraités de l’armée et la discrimination observée au niveau de l’application du CRAPE. Ce fut également l’opportunité pour discuter des brûlants problèmes d’insécurité qui secouent notre pays. Au cours de cette même audience, les membres du Centre d’action pour le développement intégré de la région de Grand-Popo, ont abordé avec le président Kérékou, plusieurs questions liées à la dégradation de leur environnement. Selon, M. Sèdafio SeriKoulétio, porte-parole de la délégation, la région de Grand-Popo est en proie une érosion côtière, et à une menace de pollution par le phosphate togolais. Les membres du Centre d’action pour le développement intégré de la région de Grand-Popo ont souhaité que des solutions soient trouvées a cette situation très préoccupante. Ils ont ensuite attiré l’attention du chef de l’Etat sur la nécessité du dragage du fleuve Mono et de la redynamisation des activités de pêches. bibo:pages 3 -- o:id 7106 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7106 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7119 26422 26423 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4ef3414c40f3d4d4f2653be6ab9e1cf3158b43f3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/52a8972c57adaa718aead5e72b84aade4d070a66.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6794ceff7899b514ed562a8cfd4a94fdf1e9872b.tiff dcterms:title La communauté musulmane du Bénin a fêté dimanche la Tabaski : les Imams ont prié pour la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14074 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13584 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14089 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1996-04-30 dcterms:identifier iwac-article-0003273 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans du Bénin ont célébré dimanche dernier la fête de la Tabaski à l’instar de ceux du monde entier, conformément aux prescriptions du Saint Coran. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans du Bénin ont célébré dimanche dernier la fête de la Tabaski à l’instar de ceux du monde entier, conformément aux prescriptions du Saint Coran. Tôt le matin, les fidèles ont pris d’assaut les places Idi pour prier en souvenir du prophète Ibrahim et de son fils Ismaël au nom de qui le sacrifice du mouton fut instauré. A la place Idi d’Akpakpa au PK 10 sur la route de Porto-Novo certains fidèles retardataires ont manqué la prière, de même qu’une équipe de reportage. En effet, conformément à l’heure arrêtée par la communauté musulmane, l'Imam central de Zongo a commencé la prière à 9 h 00. Or ces retardataires croyaient que la prière était prévue pour 10 h comme ce fut le cas pour le Ramadan. L’origine de la fête de Tabaski qui a été célébrée dimanche dernier en effet, remonte au temps du prophète Ibrahim, un serviteur totalement soumis à Allah qui affronta une série d’épreuves face auxquelles il se montra obéissant. Parmi les épreuves qu’il a subies, figure l’événement qui a conduit à l’institution de la fête de Tabaski Un jour, le prophète Ibrahim fit un rêve où Allah lui ordonnait de sacrifier son unique fils. Ismaël. Le père en informa son fils qui n’eut pas d’objection. Satisfait de la fidélité et de la soumission du prophète Ibrahim, Allah envoya donc un bélier cornu en échange de l’enfant au moment où son dévot voulait sacrifier son fils pour lui. Et c’est cet acte de foi qui est renouvelé tous les ans. Les mérites de la Tabaski Selon le sermon que l’imam de Zongo a lu, l’homme n’accomplit pas une action plus agréable à Dieu le jour de l'Aïd (Tabaski) que celle d’offrir un sacrifice. Le jour de la résurrection, l’offrande viendra intacte, avec cornes, sabots, poils et laine. Le sang qui en coule, est estimé de Dieu avant même qu’il ne touche le sol. Mais au-delà du caractère religieux ci du simple fait qu’elle procure la viande, la Tabaski est un acte très riche en enseignements: - Elle favorise la fraternité, la charité, la bonté, l’affection et la solidarité entre les membres d’une communauté tout en préservant celle-ci de la dissension, de la haine et des rivalités susceptibles de créer des troubles profonds au sein d’une nation. - Elle rappelle au croyant la profondeur de foi en Dieu et amène le croyant à faire un bilan au niveau de sa foi. A la fin de la prière, l'Imam a imploré le Tout Puissant afin que les foyers de tensions à travers le monde s’éteignent, que la paix règne dans notre pays et qu’Allah fasse que chaque Béninois puisse aisément jouir du fruit de ses efforts. Qu'il accorde son soutien à la nouvelle équipe dirigeante, afin qu’elle réussisse sa mission. Signalons le ministre de l’Environnement, de l’Habitat et de l’Urbanisme, M. Sahidou Dango-Nadey a représenté le gouvernement à la place Idi d’Akpakpa PK 10 tandis que ses collègues du Développement rural, Abdel Aziz Jérôme Sacca Kina et des Travaux publics et des Transports, M. Kamarou Fassassi étaient à la place Idi d’Akpakpa SOBETEX. Ceux qui n’ont pas pu sacrifier un mouton dimanche dernier peuvent encore. bibo:pages 1 2 -- o:id 7107 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7107 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7120 26424 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ba0c55f1bdb4037621604a6a76b3e673ffc36144.pdf https://islam.zmo.de/files/original/dccdb03348bba7f91a63efe9b90922f8427833f4.tiff dcterms:title A l’écoute du gouvernement : la République du Bénin est un Etat laïc respectueux des libertés religieuses dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14719 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1996-01-18 dcterms:identifier iwac-article-0003274 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Commentaire du ministère chargé des Relations avec les institutions, Porte-Parole du Gouvernement dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content (Commentaire du ministère chargé des Relations avec les institutions, Porte-Parole du Gouvernement) Depuis l’avènement de la démocratie au Bénin, la journée des religions traditionnelles est fêtée tous les ans. Toutefois, pour la première fois, elle a été institutionnalisée et fêtée comme telle le 10 janvier 1996, c’est-à-dire chômée et payée sur toute l’étendue du territoire national. Cette évolution intervenue sur la base d’une décision du Conseil des ministres a été évidemment accueillie très favorablement par les pratiquants du culte ancestral et tous ceux qui nourrissent une certaine sympathie vis-à-vis dudit culte. En revanche, certains compatriotes lui ont réservé un accueil allant d’une indifférence plus ou moins marquée à la franche réprobation. En, réalité, ces réactions négatives posent implicitement le problème du sens et de la portée de la fête des religions traditionnelles dans notre pays. La signification et la portée de cette fête ne peuvent être appréciées que par rapport aux dispositions de la Constitution du 11 décembre 1990, texte qui fixe les règles régissant les activités des citoyens et des pouvoirs publics dans notre pays. Son article 2 indique: «La République du Bénin est une et indivisible, laïque et démocratique». Dans le même sens, l’article 23 dispose: «Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience, de religion, de culte, d’opinion et d’expression dans le respect de l’ordre public établi par la loi et les règlements. L’exercice du culte et l’expression des croyances s'effectuent dans le respect de la laïcité de l’Etat.» Ces deux dispositions posent les deux principes de la laïcité de l’Etat et de la liberté du culte. Ce qui est intéressant, c’est de s’interroger sur la manière dont ces principes sont appliqués par le gouvernement du Renouveau démocratique. En effet, ces principes affirmés également dans la Loi fondamentale du 26 août 1977 n’ont pas empêché les autorités politiques du régime défunt d’être à l’origine des tracasseries dont furent l’objet les responsables de diverses confessions religieuses. Au nom d’une soi-disant lutte contre la féodalité et la sorcellerie et parce que pour les marxistes «la religion est l’opium du peuple», de nombreux citoyens ont été persécutés, parfois arrêtés et torturés. Et pourtant, l’article 135 de la Loi fondamentale affirmait: «les citoyens de la République populaire du Bénin ont la liberté de pratiquer une religion. Ils ont la liberté de ne pas pratiquer de religion». A cet égard, le Gouvernement du Renouveau démocratique met en oeuvre effectivement le principe de la liberté de culte. Il permet aux adeptes des différentes religions de s’épanouir et d’exercer leur culte sans aucune entrave. Dans le même sens, il prend des dispositions pour que les grandes fêtes religieuses correspondent à des jours déclarés fériés. La décision du Conseil des ministres du mardi 09 janvier s’inscrit parfaitement dans cette logique. Par ailleurs, pour bien mesurer la portée réelle de la décision, il faut garder à l’esprit deux considérations essentielles: Sur une population d’environ 5.000.000 d’habitants, 61% pratiquent les religions ancestrales, 23% sont chrétiens et 15% sont musulmans. De ce point de vue, l’institutionnalisation de la fête des religions traditionnelles devrait être comprise comme un acte d'équité. Ce sens de l’équité est d’autant louable que dans leur grande majorité, les gouvernants actuels sont pratiquants du christianisme ou de l’islam. La deuxième considération dans le fait que cette institutionnalisation de la fête des cultes traditionnels traduit l’esprit de tolérance constamment prôné par le gouvernement du Renouveau et qui est un instrument nécessaire de la paix sociale. Nous devons plus que jamais développer cet esprit de tolérance, dans l'acceptation de nos différences, pour la construction d’un Bénin uni et prospère. -- o:id 7108 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7108 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7121 26425 26426 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a58b5c9e94a76f11384294ba2a63d97de43d6d1b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/126275deb915d4b5936f2e94321e5f78b9337359.tiff https://islam.zmo.de/files/original/55754565ffeffe579f37dfbc56e0afaa1849c73f.tiff dcterms:title Coopération bénino-koweitienne : contribution du Fonds koweïtien au projet d'alimentation villageoise et pastorale en eau potable dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13122 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-12-08 dcterms:identifier iwac-article-0003275 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pour contribuer au financement du projet relatif à l'alimentation villageoise et pastorale en eau potable, (un programme de la Communauté Economique de l'Afrique de l'ouest 2ème phase-CEAO II) , un accord de prêt supplémentaire a été signé hier jeudi à Cotonou entre le Bénin et le Fonds Koweïtien pour le développement économique arabe dans la salle de conférence du ministère des Finances. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pour contribuer au financement du projet relatif à l'alimentation villageoise et pastorale en eau potable, (un programme de la Communauté Economique de l'Afrique de l'ouest 2ème phase-CEAO II) , un accord de prêt supplémentaire a été signé hier jeudi à Cotonou entre le Bénin et le Fonds Koweïtien pour le développement économique arabe dans la salle de conférence du ministère des Finances. Cet accord a été signé pour le compte du gouvernement du Bénin par M. Paul Dossou, ministre des Finances et du côté du Fonds koweïtien par M. Bader Al-Humaidhi, directeur général du Fonds pour le développement économique arabe. Ce projet vise à produire une quantité d’eau estimée à 2 millions m3 environ par an pour la consommation et la protection de l’environnement dans la province de Borgou. Les composantes de ce projet peuvent être subdivisées en 6 grands points: - la construction d’environ 6 petits barrages en terre d’une capacité minimum de 150.000 m3. - La construction d’un nombre approximatif de 40 mares d’une capacité minimum de 10.000 m3. - La construction d’environ 50 puits productifs. - La construction de 60 forages environ. - La construction d’une superstructure contenant un tablier béton, des canaux, des abreuvoirs et des murs de protection et enfin. - L’assistance technique à la direction de l’hydraulique, ainsi que la fourniture des véhicules et l’amélioration des moyens de communication et des services. De l’eau potable pour tous dans le Borgou Selon le directeur général du fonds, M. Bader, les deux prêts à savoir l’original et le supplémentaire seront accordés conformément à un calendrier d’amortissement unique. Ainsi on appliquera un taux d’intérêt de 1% par an, en sus de 0,5% par an pour couvrir les frais administratifs et autres accords. Pour le ministre des finances, M. Paul Dossou, cet accord de prêt complémentaire pour le financement du projet «Hydraulique villageoise et pastorale CEAO II» comble ses vœux. Surtout quand on sait que c’est dans cette même salle qu'il souhaitait un nouvel accord de prêt, lors de la première signature d’accord d’un montant de 2,5 millions de dinars koweïtiens. Par conséquent, les ressources complémentaires étaient attendues avec impatience car elles permettront la réalisation non seulement d’un aménagement hydroélectrique sommaire mais aussi de mares et barrages conformes à nos besoins réels dans le département du Mono, bénéficiaire de ce projet. Pour finir, M. Paul Dossou a souhaité de nouveau que l’intérêt porté par le Fonds Koweïtien au Bénin ne s’arrêtera pas en si bon chemin. Car, dit-il, cet intérêt trouve sa source dans l’excellence des rapports de coopération que les plus hautes autorités du Koweit et du Bénin ont su tisser. Rappelons que le total des prêts, s’élèvent à 3,5 millions de dinars koweïtiens soit environ 5,8 milliards de francs CFA. bibo:pages 1 10 -- o:id 7109 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7109 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7122 26427 26428 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/77948e1b0d628009c73021a6252e111ade6cb278.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ac3091c45e491630c42248325e67c23ade994421.tiff https://islam.zmo.de/files/original/d0fb5f2f38f1ac7ec7e70fab52fbebc1ba0ff8ed.tiff dcterms:title Escroquerie : quand la religion sert à spolier les citoyens crédules dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1523 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-09-05 dcterms:identifier iwac-article-0003276 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Nombre de personnes aujourd'hui défendent la théorie selon laquelle notre société est en «crise de foi». C'est une théorie qui ne manque pas de sens lorsqu'on sait que cette fin de siècle est turbulente et la réaction de Dieu est souvent évoquée. Mais lorsque celle-ci est utilisée pour faire de victimes innocentes, l'on se pose la question de savoir si c'est réellement d'une «crise de foi» qu'il s'agit ou tout simplement d'une «crise de confiance»? dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Nombre de personnes aujourd'hui défendent la théorie selon laquelle notre société est en «crise de foi». C'est une théorie qui ne manque pas de sens lorsqu'on sait que cette fin de siècle est turbulente et la réaction de Dieu est souvent évoquée. Mais lorsque celle-ci est utilisée pour faire de victimes innocentes, l'on se pose la question de savoir si c'est réellement d'une «crise de foi» qu'il s'agit ou tout simplement d'une «crise de confiance»? Crise de confiance, oui En fait, il n’ est plus rare aujourd’hui de rencontrer d’un coin de rue à un autre des gens avertis, qui interpellent les passants d’une certaine humeur, pour leur dire par exemple: «vous, vous ne croyez en rien, c’est dangereux; or, votre chance est grande. Ayez la foi en telle ou telle croyance et vous serez sauvé». Entre autres manières, celle-là leur permet de se présenter à vous comme des sauveurs envoyés par telle ou telle divinité pour soulager leur victime. Victime, parce que tout finit par l’escroquerie. En réalité, personne ne manque pour autant de foi; c’est plutôt la confiance en la chose en laquelle on a foi qui fait défaut, c’est choquant mais c’est comme ça. Allons plutôt par des exemples concrets, mettre en garde nos compatriotes et aider à démanteler ces réseaux qui se tissent laborieusement dans notre pays. Sous le couvert du vodoun... Si nous pouvions jeter un coup d’œil dans notre passé et voir tout le service (positif) que ces pratiques ancestrales ont rendu à notre société précoloniale, et même jusqu’à nos jours dans tous les domaines sociologiques, on devait respecter ces coutumes et ils ne peuvent être un sujet d’escroquerie. Or, il est fréquent de voir des jeunes comme des vieux avides de gain facile dans nos rues en train de faire du mal aux citoyens. En effet, ils vous abordent, et si vous leur accordez votre attention, ils vous disent que la chance est à votre portée et que vous ne savez pas par où l’atteindre; mais si vous faites certains sacrifices que les imposteurs eux, maîtrisent, vous pourriez découvrir cette chance sans laquelle rien ne pourra marcher ou durer. Si vous êtes naïf, puisque vous semblez toujours avoir de problème dans votre vie, vous lâchez du lest et ils en profitent au maximum. Ils vous prennent au moins de quoi survivre, le temps de faire une autre victime. Mais le mérite que ceux-ci ont et qui m’empêche de les condamner à l’instar d’autres, c’est qu’ils profitent toujours des gens avec leur consentement. Car, ils ajoutent toujours que ces cérémonies peuvent être faites par n’importe. quel praticien. Quel dommage pour la chose sacrée! ... De l'Islam Un chapelet en main et le coup est joué. De la même manière que précédemment, ceux-ci vous abordent, se donnent même le luxe de gagner votre confiance, d’aller jusque chez vous, vous dire que le bonheur est imminent mais qu’à cause des objets souillés dont vous faites usage quotidiennement, la chance vous fuit. Comme ils sont malins! Ils savent que dans la vie, les problèmes que nous avons souvent tournent autour de quelques points et ils en profitent. Ils vous citent un certain nombre de problèmes que vous auriez dû avoir. Par manque de lucidité, vous y croyez et votre compte est réglé. Ils vous prennent vos bijoux, vos vêtements, surtout les plus neufs et chers, sous prétexte que ce sont ces objets qui sont impurs. Et il va falloir les purifier dans son groupe dont la prière de purification est sans pareille. Et ils partent avec vos objets avec toujours une certaine somme d’argent. Ils s’évaporent dans la nature. Ne pouvant saisir ni police, ni brigade de gendarmerie, vous souffrez en silence seul ou avec vos proches. Cet état de chose est arrivé à une de mes amies à Bohicon (département du Zou); elle en souffre jusqu’à présent. On a toujours cru que c’était seulement sous le couvert de ces deux religions que ces pratiques assassines se produisaient lorsque la semaine dernière, un cas dont la répétition dans notre pays risquerait de conduire au suicide s’est produit avec une jeune femme. ... Du christianisme Alors que cette dame fatiguée d’une longue et rude journée de travail rentrait au-delà de 22 heures chez elle, le mauvais sort l’atteignit. A son arrivée au carrefour Toyota, devant les installations électriques d’Akossombo, elle rencontra une autre dame plus âgée qu’elle qui l’interpella. Les échanges de mots ont été tout de suite en faveur de cette dame âgée qui réussit à convaincre la jeune dame qu’elle a besoin d’une prière qui sera faite par elle et son collaborateur (un homme de même âge pratiquement) pour lui purifier ses objets les plus importants tels que bijoux, pagnes, habits et même son engin, une BBCT en bon état, plus tant d’autres choses. L’engin qu’elle conduisait à l’occasion de leur rencontre venait d’être retapé, depuis la peinture jusqu’à la dernière pièce. Alors, notre jeune femme, toute naïve accepta; et remorquant celle-ci sur son engin l’amena jusque chez elle sur son insistance pour chercher les effets. Entre temps, elle avait interdit à notre jeune dame d’avertir qui que ce soit. Au retour, elle demanda à la jeune femme de s’arrêter vers Kouhounou, au lieu de la prière choisi au hasard au bord de la route où l’attendait déjà son collaborateur. Une fois à ce niveau, le collaborateur prend les choses en main en lui demandant de rester debout les yeux fermés et de réciter un certain nombre de fois, certaines prières usuelles du christianisme, après quoi elle devait ouvrir les yeux. Véritable hypnose, n’est-ce pas? Mais lorsque la prière fut terminée, elle constata comme un choc, la disparition des deux escrocs en même temps que celle de tous ses effets même l’engin qu’ on aurait dû lui laisser au nom de Dieu qui a été invoqué tout le long de cette rencontre. Pouvons-nous laisser ces genres de choses impunies dans notre pays? Justement à propos de punition, on se trouve impuissant; car ceux-ci se volatilisent souvent dans la nature sans trace. C’est pourquoi nous proposons aujourd’hui que soit diffusée cette information partout où besoin sera pour que la population soit avertie. bibo:pages 1 2 -- o:id 7110 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7110 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7123 26429 26430 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ff833632cc76330e4047b8e41fbfccbe2db456ba.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0ce83a744da20147ac5cc30c9d33739651141237.tiff https://islam.zmo.de/files/original/86674c711defd295f128f10440032da7a00933b7.tiff dcterms:title UNB : Institut de langue arabe et de la Culture islamique (ILACI). La question de la laïcité de l'Institut revient sur le tapis dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1551 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/758 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/6 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13921 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1968 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15071 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-08-22 dcterms:identifier iwac-article-0003277 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans «La Nation» n° 1282 du vendredi 21 juillet 1995, M. Idrissou Abdel Nasser présentait un article titré: «La Communauté islamique universitaire du Bénin, mécontente des critères d’accès à l’ILACI». De même, le bimensuel «La lumière de l’islam», dans son n° 35 sous le titre d’institut de langue arabe de l’UNB désespérément fermé depuis quatre ans, pourquoi M. Le ministre?», écrivait plus loin, «Eh bien nous souhaiterions que le ministre de l’Education nationale nous explique les raisons de ce manquement grave et de cette offense à la soif de connaissance et de culture...». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans «La Nation» n° 1282 du vendredi 21 juillet 1995, M. Idrissou Abdel Nasser présentait un article titré: «La Communauté islamique universitaire du Bénin, mécontente des critères d’accès à l’ILACI». De même, le bimensuel «La lumière de l’islam», dans son n° 35 sous le titre d’institut de langue arabe de l’UNB désespérément fermé depuis quatre ans, pourquoi M. Le ministre?», écrivait plus loin, «Eh bien nous souhaiterions que le ministre de l’Education nationale nous explique les raisons de ce manquement grave et de cette offense à la soif de connaissance et de culture...». Dans le n° 38, le même journal publiait ceci: «Aux dernières nouvelles, le ministre Dramane Karim ne voudrait pas autoriser l’ouverture et le fonctionnement de l’Institut de la langue arabe et de la culture islamique situé à l’Université nationale du Bénin, parce qu’il a décidé que les fonds convoyés par les Lybiens pour la gestion dudit institut devront être gérés par lui». Enfin dans le n° 39 de ce même bimensuel, on peut lire: «Chers sœurs et frères, ministres de la Santé et de l’Education nationale, nous avons comme impression que vous vous rendez complices, consciemment ou inconsciemment de l’embargo sur les infrastructures socio-communautaires que la République arabe libyenne a installées au Bénin... La Communauté musulmane du Bénin interpelle la conscience des pouvoirs publics sur cet état de choses.» extraits suscitent au niveau de tout lecteur avisé des inquiétudes. Mais il n’appartient pas à un service public comme le nôtre de verser dans une polémique stérile, mais tout simplement d’apporter quelques éléments dans le but d’éclairer l’opinion publique sur certains points équivoques soulevés par les auteurs de ces publications. Lorsque M. Nasser écrit: «Compte tenu de la gravité de la situation, la CIUB (Communauté islamique universitaire du Bénin) lance un appel pressant à toute la communauté musulmane nationale pour qu’elle se mobilise afin de défendre les intérêts des musulmans béninois»; ou bien lorsqu’on lit : ô les croyants! Soyez stricts (dans vos devoirs) envers Allah», faut-il rappeler que le Béninois, quel qu’il soit, tire aujourd’hui une légitime fierté de la paix qui règne dans le pays? Outre ce qui fait la force de notre peuple, c’est son aptitude à surmonter les querelles byzantines et donc les difficultés de la vie. Ce comportement qui transcende les problèmes mineurs a toujours triomphé des forces du mal au Bénin à l’opposé de l’intolérance immature génératrice de tragédies dans certains pays. La promiscuité d’un tel environnement socio-politique lourd de menaces pour le peuple, n’a pas réussi à mettre le Bénin dans l’oeil du cyclone. Dieu en soit loué! L'I.L.A.C.I. ni mosquée, ni une école coranique Est-il besoin de rappeler que l’ILACI est le fruit de la coopération agissante entre le Bénin et la Libye? Cet Institut a été conçu dans le but de combler certains vides dans le système éducatif béninois. Un des constats les plus amers est que l'arabe, bien qu’étant une langue de culture et l’une des trois langues officielles de l’Organisation des Nations Unies, est pourtant la seule à ne pas être enseignée dans nos établissements secondaires et universitaires. Mais déjà, en inaugurant le jeudi 14 novembre 1991 les locaux de cet Institut en présence du secrétaire général de l'Association de l’Appel à l’Islam, le ministre de l’Education nationale M. Karim Dramane avait insisté sur trois points principaux: - Les démarches entreprises pour aboutir à l’équipement de l’institut par l'Association de l’Appel à l’Islam après que le bâtiment ait été construit par l’Etat libyen. - Les objectifs de l’Institut - Le caractère laïc et régional de l’institut Il est donc clair que dès le départ, le caractère laïc de l’institut a été affirmé et accepté par les deux parties. Ainsi l’ILACI est un établissement d’enseignement supérieur qui fonctionne au sein de l’Université nationale du Bénin. A ce titre, il obéit dans sa mission, aux règles académiques de recrutement. Et comme objectifs, il doit former des arabisants associant à la maîtrise effective de la langue arabe, une connaissance approfondie des réalités sociales, économiques et culturelles des pays de langue arabe. Aussi consacrera-t-il ses activités à former dans un premier temps, des professeurs d’arabe pour l’enseignement secondaire dans un but d’offrir aux élèves de nos lycées et collèges, le choix d’une langue autre que l'anglais, l’allemand, l’espagnol et le russe qui leur sont traditionnellement proposés. Plus tard, l’institut formera des bibliothécaires, des animateurs, psychologues et des conseillers pédagogiques, des interprètes, des traducteurs..., des cadres pour la diplomatie. Ainsi les étudiants de toutes disciplines et de toutes religions, les enseignants du supérieur, du secondaire, du primaire et toutes les personnes du secteur public ou privé pourront également y être formés. Les objectifs de l’institut de la langue arabe et de la Culture islamique sont donc clairs et nobles. On comprend mal alors que la Communauté islamique universitaire du Bénin, fine fleur de la culture islamique, «lance un appel pressant à toute la communauté musulmane nationale pour qu’elle se mobilise afin de défendre les intérêts des musulmans béninois» par la voix de son président, Idrissou A. Nasser. Mais l’ILACI, tout comme l’hôpital de Ouando, n’appartient pas plus aux musulmans qu’aux non musulmans. Il est ouvert à tous les Béninois sans distinction de race ou de religion. C’est une conditionnalité de l’accord signé avec l’Appel à l’Islam, c’est aussi une exigence de l’ISESCO qui a d’ailleurs participé à l’élaboration du programme d’enseignement. En citant l’interview que le ministre Karim Dramane a accordée au journal «Le Soleil» dans son n° 24 du 4 décembre 1991, le président de la Communauté islamique universitaire du Bénin a oublié, à dessein certes, de livrer ce qui est fondamental dans les propos du ministre de l’Education nationale: «Nous allons former dans un premier temps des professeurs de langue arabe qui iront dans le secondaire pour enseigner l’arabe, pour permettre aux enfants des musulmans ou des non musulmans de choisir l’arabe. Parce que l’Institut est laïc, il a un statut régional». Comme pour prévenir des dérapages dangereux, Monsieur Karim Dramane précisait que: «L’entrée (à l’institut) se fera sur la base d’un test Ce qui est très important L’institut n’est donc pas une mosquée ou une école coranique. C’est pour tous ceux qui veulent apprendre la langue arabe». Si de cette déclaration, pourtant claire du ministre de l’Education nationale, le président de la Communauté islamique universitaire du Bénin trouve qu’ils (musulmans) sont résolus à se faire entendre et à exprimer leur mécontentement par des appels comme: «ô les croyants ! Soyez stricts (dans vos devoirs) envers Allah...» il est malséant que de tels propos soient lancés dans un cadre pareil, car ils sont symptomatiques d’une marche vers le Jihad. Mais nous avons foi en la sagesse béninoise qui a triomphé des forces du mal et qui a fait aujourd’hui de notre pays une terre d’accueil et un havre de paix. En tout cas, l’ILACI, qui est un institut laïc de l’UNB, ouvrira très bientôt ses portes. Et l’entrée des étudiants se fera sur la base des critères de recrutement universitaire déjà publiés. Quant à ses enseignants, ils doivent également satisfaire aux critères des textes réglementaires. bibo:pages 1 3 -- o:id 7111 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7111 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7124 26431 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5e101e778718664a95f120f183f0c91f9014630d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/02d4978959bd35b0c9c27bc992efc6db091068b6.tiff dcterms:title Décision n° 95-031/HAAC relative au dépouillement de projets d’installation et d’exploitation de stations de radiodiffusion et de télévision ou assimilées du Bénin dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/775 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/790 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-08-02 dcterms:identifier iwac-article-0003278 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract REPUBLIQUE DU BENIN HAUTE AUTORITE DE L’AUDIOVISUEL ET DE LA COMMUNICATION DECISION N° 95-031/HAAC dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content REPUBLIQUE DU BENIN HAUTE AUTORITE DE L’AUDIOVISUEL ET DE LA COMMUNICATION DECISION N° 95-031/HAAC RELATIVE AU DEPOUILLEMENT DE PROJETS D’INSTALLATION ET D’EXPLOITATION DE STATIONS DE RADIODIFFUSION ET DE TELEVISION OU ASSIMILEES DU BENIN. LA HAUTE AUTORITE DE L’AUDIOVISUEL ET DE LA COMMUNICATION. VU la Constitution du 11 Décembre 1990 en ses articles 24, 142 et 143; VU la Loi Organique n° 92-021 du 21 Août 1992 relative à la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication; VU la Loi Organique n° 93-018 du 27 Avril 1994 amendant les articles 15 et 16 de la Loi Organique n°92-021 du 21 Août 1992 relative à la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication; VU le Décret n°94-227 du 13 Juillet 1994 portant nomination des membres de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication; VU le Décret n° 94-277 du 06 Septembre 1994 portant nomination de Monsieur Rene DOSSA en qualité de Président de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication; VU l’installation officielle de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication le 14 juillet 1994; VU l’avis de présélection en date du 26 Mai 1995; VU le Procès-verbal de dépouillement des projets d’installation et d’exploitation de Stations de Radiodiffusion et de Télévision en date du 24 Juillet 1995; Après en avoir délibéré, DECIDE Article premier: Sont déclarés recevables à l’étape de présélection, les projets d’installation et d’exploitation de Stations de Radiodiffusion et de Télévision ci-après: I. - RADIOS NON COMMERCIALES 1. - Radio Immaculée Conception (par Monseigneur Isidore de SOUZA) 2. - Echos du Réveil (Mission EAR) par Monsieur SOTODONOU Salomon 3. - Radio Privée Ondes Courtes (par Pasteur BANI Amos) 4. - Radio Lumen Christi (par Monseigneur Robert SASTRE) 5. - Humanité FM (par YANSUNU Magloire) 6. - FM Unité Nationale (par ASSOGBA Valentin) 7. - Radio ETALEGBEDJE (par OKIOH Sourou François) 8. - FM Emancipation (par Mme TOKPO 9. - Radio Kpanlingan La Voix de la jeunesse (par AGBAHOUNGBATA Séraphin) 10. - Radio Communauté Musulmane de Zongo (par Alfa YARO MAMA Ibrahim) II. - RADIOS COMMERCIALES 1. - Radio Star (par ATINDEGLA Marcellin) 2. - Radio Golfe FM (par SOUMANOU Ismaël) 3. - Radio FM Express (par HODONOU Denis) 4. - Radio Bonheur (par LAGNIDE Christian) 5. - Radio Canal Afrique (par LAWSON L. Laurent) 6. - Radio M. Y. C. (par de CHACUS Mathieu) 7. - Radio BAMUNA FM (par AHOUANMENOU Gratien) III. - RADIOS ETRANGERES 1. - AFRICA N° 1 2. - BBC IV. - PROJETS D’EXPLOITATION DE TELEVISION PAR MMDS OU TELEVISION PAR SATELLITE 1. - KMK/MMDS (par KHEIR Michel KHEIR) 2. - SOBIEX/MMDS PANAFNET (par AKINOCHO Jacob) Article 2. - Sont déclarés rejetés parce que ne s’étant pas conformés aux conditions fixées par la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication les projets suivants: I. - RADIOS NON COMMERCIALES 1. - Radio objet requête Roi KPODEGBE d’Allada 2. - Radio Lama (par AGOSSOU Voyèmè Augustin) 3. - Radio Adja-Kpou (par NOUMONVI Thomas) 4. - Radio Ahémé FM (par DOSSA Michel) 5. - Radio Ekaro (par OFFOUMON Joseph) 6. - Radio HWENDO (par ZINZINDOHOUE Eustache) 7. - Radio Ablodé (par MAHINOU Félix) 8. - Radio Dinaba (par KOUSSEY Koumba Noël) 9. - Radio Voix d’Agonlin (par AWASSI Basile) 10. - Radio Kpassè FM (par GOVO René) 11. - Radio Kissira (par NOMA Oroutoui) 12. - Radio Ondes Ouémé-Sud (par AHOSSI Emile) 13. - Radio Ondes Ouémé-Nord (par GAYET Etienne) II. - RADIOS SCOLAIRES ET UNIVERSITAIRES Radio Univers (Radio essentiellement universitaire devant couvrir le seul champ du campus universitaire) III. - RADIOS COMMERCIALES 1. - Radio Nostalgie (par KINHOUN Jonas) 2. - Radio Vallée (par ROUFAI Latif) IV. - TELEVISION SICOMOR (par Olivier SIEBER) Article 3 - Les promoteurs des Radios et Télévisions/MMDS dont les projets ci-dessus retenus sont autorisés à participer le moment venu à l’appel aux candidatures qui sera lancé par la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication. Article 4. - La présente Décision qui prend effet pour compter de la date de sa signature sera publiée au Journal Officiel de la République du Bénin et partout où besoin sera. COTONOU, LE 31 JUILLET 1995 LE PRESIDENT René MEGNIHO DOSSA ONT SIGNE René MEGNIHO DOSSA Président Sébastin AGBOTA Vice-président Babiao AGBANDOU Rapporteur Marguerite FASSINOU Rapporteur William ALYKO Conseiller Bernard DEGBOE Conseiller Innocent LAWSON Conseiller Fourdounga CHABI MAMA Conseiller Léonce GOUHOUEDE Conseiller. -- o:id 7112 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7112 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7125 26432 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f53a1b17238440f49e566b76cc050ac71c3c3fa2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f6d9b7de10ee77da6d55a635adb495e78147aaae.tiff dcterms:title Le Fonds départemental de la Zakat et Awkaf installé dans l’Ouémé dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/784 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-09-05 dcterms:identifier iwac-article-0003279 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En partenariat avec la Banque islamique de Développement (BID), El Hadj Mohammed Bachirou Soumanou, président du Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin (FONZAB) a procédé à l’installation officielle du Fonds départemental de la Zakat et Awkaf de l’Ouémé. C’était le mercredi dernier à la Maison internationale de la Culture de Porto-Novo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En partenariat avec la Banque islamique de Développement (BID), El Hadj Mohammed Bachirou Soumanou, président du Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin (FONZAB) a procédé à l’installation officielle du Fonds départemental de la Zakat et Awkaf de l’Ouémé. C’était le mercredi dernier à la Maison internationale de la Culture de Porto-Novo. Ce fut l’occasion pour le président national de rappeler aux musulmans de l’Ouémé, les buts essentiels assignés à la Zakat par Dieu, et qui consistent à assurer aux démunis, les besoins vitaux nécessaires d’une part, et à instaurer dans la cité, une atmosphère de fraternité et de convivialité qui découle d’un environnement socio-économique équilibré. Au cours de la cérémonie d’installation, il a été demandé à la Commission équipement et travaux de construction, de répertorier tous les besoins du département en infrastructures sociaux sanitaires, scolaires et tout ce qui rentre dans la satisfaction des besoins primaires des populations. La commission sociale et grandes endémies elle, devra dresser une liste des bénéficiaires de la Zakat, des personnes individuelles et groupes organisés devant recevoir un soutien qui leur permettra de se prendre en charge de manière définitive à plus ou moins brève échéance. Pour M. Karim Urbain da Silva, président d’honneur du Fonds départemental de l’Ouémé, ce fut l’occasion d’inviter toute la communauté musulmane de l’Ouémé à soutenir de manière ferme et irréversible, ce fonds afin de lui permettre d’atteindre ses objectifs. A l’issue de cette cérémonie, un bureau de 17 membres a été mis en place avec pour directeur départemental, le Dr Ganiou Badarou. Après cette installation, le Dr Ganiou Badarou, directeur départemental du FONZAB a sollicité l’aide d’Allah et le soutien de toute la communauté pour mener à bien, la mission combien noble à lui confiée. bibo:pages 3 -- o:id 7126 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7126 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7140 26433 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/34994e6f6cf78c696f7252c698481615b626a254.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ac7ddb64862be1047eac90d25e5482a902846cfd.tiff dcterms:title Le ministre Zannou sur les sites architecturaux de Porto-Novo : des restaurations s'imposent! dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12906 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2018 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15156 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-10-08 dcterms:identifier iwac-article-0003280 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Porto-Novo, la capitale de la République du Bénin doit être réhabilitée. A cette oeuvre, s’attellent bien le gouvernement et les natifs de ladite ville. C’est donc pour s’imprégner de l’évolution des travaux de restauration de certains sites architecturaux que le ministre de la Culture et de la Communication, M. Timothée Zannou était lundi dernier à Hogbonou. Il y a visité la mosquée centrale, le musée de Honmè et le musée ethnographique Alexandre Sènou Adandé. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12866 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/488 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Porto-Novo, la capitale de la République du Bénin doit être réhabilitée. A cette œuvre, s’attellent bien le gouvernement et les natifs de ladite ville. C’est donc pour s’imprégner de l’évolution des travaux de restauration de certains sites architecturaux que le ministre de la Culture et de la Communication, M. Timothée Zannou était lundi dernier à Hogbonou. Il y a visité la mosquée centrale, le musée de Honmè et le musée ethnographique Alexandre Sènou Adandé. La grande mosquée de Porto-Novo est un des rares témoignages sous-régionaux de l’héritage architectural des Africains affranchis, revenus du Brésil et installés à Porto-Novo dès la fin du XIXè siècle. Les travaux de construction de la mosquée centrale de Porto-Novo démarrés en 1910 n’ont pris fin que 25 ans plus tard, soit en 1935. Toutefois, la première prière y a été dite en 1924, par l’Imam Bello. Mais, le temps ainsi que les intempéries ayant fait leurs œuvres, la mosquée a vieilli; la communauté musulmane s’est accrue, et du coup, ce lieu de culte s’est révélé exigu. D’où la nécessité de le restaurer et de l’agrandir. Les premiers travaux d’extension remontent à 1950. Depuis 1980, année de destruction de la Grande mosquée de Lagos, la mosquée centrale de Porto-Novo est devenue l’un des principaux témoins de l’architecture musulmane afro-brésilienne. C’est un exemple historique qui traduit à la fois un symbole de liberté et de fierté des descendants des anciens esclaves réinstallés en terre africaine. C’est donc un joyau à sauvegarder à tout prix. Cela, la communauté musulmane l’a très bien compris. Elle a déjà entrepris des travaux de restauration et d’extension. Tous efforts qui méritent d’être soutenus par le gouvernement béninois. Et l’Imam Moudjadidou Damala n’est pas allé lundi dernier par quatre chemins pour solliciter le précieux concours de l’Exécutif. A cet appel, le gouvernement ne restera pas insensible. Le ministre de la Culture et de la Communication l’a promis, après avoir visité le bâtiment en réfection. «La rénovation de la mosquée centrale de Porto-Novo, fait partie des projets que le gouvernement du général Mathieu Kérékou a soumis aux partenaires au développement», a indiqué M. Timothée Zannou. Il a précisé que les travaux doivent entrer dans leur phase active en décembre prochain. Le ministre de la Culture et de la Communication n’a pas manqué de demander à la communauté musulmane de Porto-Novo d’accompagner les efforts du gouvernement. La délégation ministérielle a également visité le musée de Honmè inscrit lui aussi sur la liste des sites architecturaux à rénover. Le palais de Honmè devenu musée en 1988 s’étend sur une superficie de 2,5 ha. Le royaume de Porto-Novo a connu 25 souverains, dont le premier fut Tê-Agbanlin. Tous ont régné dans ce palais aujourd’hui, hélas en état de dégradation; la cour d’initiation est fermée depuis peu à la suite des conflits de succession. La toiture de la plupart des bâtiments est par endroits défectueuse. Le dernier revêtement remonte à 1995 à l’occasion du VIè sommet de la francophonie au Bénin, tandis que les grands travaux de rénovation financés par la Coopération française ont duré de 1982 à 1988. Le ministère de la Culture et de la Communication conscient de cette situation va entreprendre, à compter de décembre prochain la réhabilitation des temples sacrés de tous les rois et chefs supérieurs de Porto-Novo. «Ce sera fait avec l’appui des partenaires allemands. Après quoi, interviendra la restauration proprement dite du musée», a rassuré le ministre Timothée Zannou. Le ministre de la Culture et de la Communication a bouclé sa visite sur les sites architecturaux de Porto-Novo par un tour au musée ethnographique Alexandre Sènou Adandé. Un musée dont la réserve s’avère de nos jours trop exiguë. Il va falloir construire une autre. La galerie, quant à elle, mérite d’être réaménagée. bibo:pages 6 -- o:id 7127 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7127 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7141 26434 26435 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1f88d4f9fcf86bb410935ab72ccbe02f9b0756ca.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6e5239152e87a2da6aa4611d893feefaa0f1ac95.tiff https://islam.zmo.de/files/original/46440a4d8b0a8672ea0a23d14253974398998c28.tiff dcterms:title Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin (FONZAB) : le Borgou et l'Atacora viennent d'installer leurs structures dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14795 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/784 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1979 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-09-29 dcterms:identifier iwac-article-0003281 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Observant la même logique de décentralisation du Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin, (FONZAB) pour une participation efficiente et un rendement optimal de la communauté musulmane du Bénin au développement économique et social de notre pays d'une part, dans la nouvelle dynamique de croisade contre la pauvreté et le sous-emploi au Bénin, d’autre part; El Hadj Mohamed Bachirou Soumanou, président du Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin (FONZAB) a procédé le mercredi 24 septembre 1997 à Parakou et le jeudi 25 septembre 1997 à Natitingou à l'installation officielle des fonds départementaux du Borgou et de l'Atacora. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Observant la même logique de décentralisation du Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin, (FONZAB) pour une participation efficiente et un rendement optimal de la communauté musulmane du Bénin au développement économique et social de notre pays d'une part, dans la nouvelle dynamique de croisade contre la pauvreté et le sous-emploi au Bénin, d’autre part; El Hadj Mohamed Bachirou Soumanou, président du Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin (FONZAB) a procédé le mercredi 24 septembre 1997 à Parakou et le jeudi 25 septembre 1997 à Natitingou à l'installation officielle des fonds départementaux du Borgou et de l'Atacora. Ce fut l’occasion pour lui de rappeler à l’assistance deux sentences prophétiques: 1/ «Les écoles avant les mosquées»; cette sentence invite les musulmans à former l’homme tout d’abord, l’homme total responsable, capable d’assurer pleinement son humanité, en recommandant le bien et le convenable en parole et en actes concrets par l’exemple de sa propre vie, et en interdisant le mal et le blâmable de la même manière. La 2è sentence dit: «Aimer sa patrie fait partie de la foi, et oeuvrer pour elle est obligatoire». Et bien au-delà de nos contingences dogmatiques, non seulement nous devons vivre ensemble dans la convivialité et le respect mutuel, mais également nous devons oeuvrer obligatoirement aux côtés de nos concitoyens des autres confessions religieuses, pour offrir aux Béninois, le minimum social nécessaire à leur vie de tous les jours à savoir: la sécurité alimentaire, l’éducation de base pour nos enfants, les soins de santé primaires et l’augmentation de la capacité de prise en charge individuelle entre autres. El Hadj Aboubakar Baba Moussa, président d’honneur du Fonds départemental de la Zakat et Awkaf du Borgou, a salué l’initiative en souhaitant que toutes les composantes de la communauté musulmane de Parakou réunies pour l’événement enterrent définitivement la hache de guerre et se mobilisent toutes pour l’oeuvre exaltante qu’on vient de leur confier. Car Dieu leur donne avec cette nouvelle structure, l’occasion de mettre en pratique la dimension économique de l’Islam. Pour El Hadj Ahamadou Mohamed Sanni, Imam central de l’Atacora et président d’honneur du Fonds départemental de la Zakat et Awkaf de l’Atacora, ce fut l’occasion de louer Allah qui permet, à travers cette structure décentralisée, à la communauté musulmane de mettre en pratique le 3è pilier de l’Islam. Les préfets du Borgou et de l'Atacora ont tour à tour souhaité un Changement qualitatif dans le vécu quotidien des populations des deux départements et ont signifié leur confiance aux structures mises en place, l’injonction étant d’origine divine. A la fin des cérémonies, les structures départementales du Borgou et de l’Atacora furent mises sur pied. Rappelons que le Bureau départemental du Borgou est dirigé par El Hadj Karim Soumaïla et a comme secrétaire et trésorier, respectivement Alidou Aboulaye et Boni Douarou. Celui de l’Atacora est dirigé par El Hadj Bio Imourou Alassane; les secrétaire et trésorier sont respectivement Amadou Pédro et Seïbou Idrissou Gomina. bibo:pages 1 3 -- o:id 7128 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7128 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7142 26436 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/40b709bd9cc64a3790ed94ee778b945b726ef498.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c7456445ace8a26cd02f84c20b81a7c4372b1bdf.tiff dcterms:title L'Atlantique a enfin son fonds Zakat et Awkaf dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1498 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/784 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1969 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13929 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13534 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-09-11 dcterms:identifier iwac-article-0003282 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le bureau départemental qui doit gérer le fonds Zakat et Awkaf de l’Atlantique a été officiellement installé hier au siège du FAGACE à Cotonou par El Hadj Bachir Soumanou, président national du fonds Zakat et Awkaf au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le bureau départemental qui doit gérer le fonds Zakat et Awkaf de l’Atlantique a été officiellement installé hier au siège du FAGACE à Cotonou par El Hadj Bachir Soumanou, président national du fonds Zakat et Awkaf au Bénin. L’ouverture des travaux a été précédée d’une prière de l’imam Liamidi Kélani, président d’honneur du fonds départemental. Il a prié pour que «ce qui se fait aujourd’hui soit une réalité». A l’instar du département de l’Ouémé qui a déjà son fonds Zakat et Awkaf depuis un peu plus d’une semaine à Porto-Novo, le département de l’Atlantique, délcare visiblement satisfait, l’Imam de Cadjehoun, est lui aussi consacré. Il a prié Allah le Tout Puissant, de faire en sorte qu’au sein de la Communauté musulmane, l’esprit de partage et d’amour du prochain se développe davantage. Pour El-Hadj Rafiou Toukourou, deuxième président d’honneur, le fonds Zakat et Awkaf qui est constitué de dons des musulmans pour réaliser des œuvres sociales, n’est pas seulement destiné aux seuls musulmans. Il a en outre, indiqué que le chemin sera incontestablement long et semé d’embûches. Mais grâce à la volonté inébranlable des musulmans, les objectifs seront atteints, a-t-il affirmé. Dans le point de presse fait par le président national du fonds, El-Hadj Bachir Soumanou, l’installation du fonds Zakat et Awkaf de l’Atlantique répond à la logique de décentralisation dudit fonds, pour «une meilleure participation de la communauté musulmane du Bénin au développement économique et social de notre pays d’une part, à la croisade contre la pauvreté et le sous-emploi au Bénin d’autre part, et en partenariat avec la Banque Islamique de Développement (BID)». Le fonds Zakat et Awkaf de l’Atlantique qui a deux présidents d’honneur est dirigé par El-Hadj Moustapha Osséni à qui le président national dudit fonds, El-Hadj Bachir Soumanou a remis les statuts du fonds. bibo:pages 7 -- o:id 7129 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7129 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7143 26437 26438 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f576b5a152e7c76ff2e926e978de279d57a179a0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/854acda395522ad7c0cf78297fe0d987b5e999eb.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ec0c5ea9cc1da3e5c1b00c75801c69c6177ccaa7.tiff dcterms:title Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin : assurer aux Béninois le minimum social nécessaire dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/784 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1969 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13534 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-08-04 dcterms:identifier iwac-article-0003283 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Contribuer au processus de développement de notre pays. Telle est l’ambition du Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin (FONZAB) dont la communauté islamique béninoise s’est dotée le 15 juin dernier. Ledit fonds a été officiellement installé et présenté mercredi dernier au siège du FAGACE à Cotonou, en présence des Imams, notables de la communauté musulmane du Bénin et du représentant de la Banque islamique de développement, le docteur Shérif Diallo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/328 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Contribuer au processus de développement de notre pays. Telle est l’ambition du Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin (FONZAB) dont la communauté islamique béninoise s’est dotée le 15 juin dernier. Ledit fonds a été officiellement installé et présenté mercredi dernier au siège du FAGACE à Cotonou, en présence des Imams, notables de la communauté musulmane du Bénin et du représentant de la Banque islamique de développement, le docteur Shérif Diallo. La décision de créer le FONZAB est issue des résolutions du récent séminaire sur «les applications contemporaines de la Zakat et Awkaf dans la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi au Bénin». Cela traduit selon le président du fonds, «la volonté de la communauté musulmane du Bénin de s’investir davantage et de manière structurée dans le processus de développement de notre pays, particulièrement dans la lutte contre la pauvreté et la misère, en assurant à chaque Béninois démuni, le minimum social nécessaire comme prévu dans le Coran. La cérémonie de présentation du FONZAB a été marquée par deux allocutions, précédées de la lecture du Coran et d’une prière dite par l’Imam Liamidi Kélani, porte-parole des Imams du Bénin. La présentation du fonds, faite par son président El Hadj Mohammed Bachirou Soumanou a permis à l’assistance d’avoir une idée claire des objectifs, des mécanismes de fonctionnement, des stratégies et de la structure de cette organisation. Après avoir rappelé les sens de la Zakat et du Wakf qui sont des prescriptions du Coran, El Hadj Soumanou a présenté les objectifs du fonds qui se résument en trois points à savoir: - mettre en oeuvre la solidarité humaine telle que prescrite par les lois divines; - Améliorer les conditions de vie des plus démunis par les bienfaits de la Zakat et Awkaf, conformément aux préceptes du Saint Coran:. - Soutenir, encourager, rechercher et répandre le bien-être social, la culture et l’éducation populaire. La stratégie du fonds consiste à créer des projets sociaux mixtes, alliant les fonds de l’Etat à ceux de la Zakat d’une part, et à valoriser les ressources humaines d’autre part. Pour sa part, le docteur Shérif Diallo, représentant le président de la BID, a dans son allocution, exposé les divers domaines d’intervention de son institution. Il a également fait comprendre à l’assistance que la BID participe activement à la création des projets Awkaf comme ce fut le cas au Bengladesh et présentement en Guinée Conakry. Le docteur Shérif Diallo a salué le mérite de ses frères musulmans béninois qui ont eu l’idée de créer un tel fonds. Il a enfin réitéré la disponibilité de la BID à contribuer avec le FONZAB, à la satisfaction du minimum social commun au Bénin. Il s’agit pour les membres du FONZAB et pour la BID de voir ensemble ce que chacun peut faire pour consolider la collaboration entre les deux structures, a fait remarquer le docteur Diallo. La séance a été clôturée par une prière dite par l’Imam Liamidi Kélani après la présentation des membres du conseil d’administration du FONZAB. Jeudi dernier, le président de la BID, Dr Ahmed Mohammed Ali, en visite officielle au Bénin, s’est rendu au siège du FONZAB sis au quartier Scoa-Gbéto à Cotonou. bibo:pages 1 8 -- o:id 7130 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7130 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7144 26439 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9d1e3fca6128e3cb19393af9d9da49b1c1c87869.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6e32ebfd638a31bb581946741089941e83182260.tiff dcterms:title Commémoration de la naissance du prophète Mahomet : les musulmans du Bénin ont sacrifié à la tradition dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-07-17 dcterms:identifier iwac-article-0003284 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Conformément aux prescriptions islamiques, les musulmans du Bénin ont célébré hier sur toute l’étendue du territoire national, à l’instar de ceux du monde entier la naissance du prophète Mahomet dans la joie et dans l’allégresse. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Conformément aux prescriptions islamiques, les musulmans du Bénin ont célébré hier sur toute l’étendue du territoire national, à l’instar de ceux du monde entier la naissance du prophète Mahomet dans la joie et dans l’allégresse. Le prophète Mahomet en effet, est le dernier envoyé de Dieu sur la terre après les prophètes Moïse et Jésus. Il est né le dixième jour du mois de Nabil-Awal. Ainsi, dès le premier jour de l’apparition de la lune de ce mois, chaque année les fidèles musulmans commencent les préparatifs des festivités de la naissance de celui qui a amené toutes les créatures humaines dans tout ce qu’il faut faire de la naissance jusqu’au jugement dernier en matière d’adoration; c’est-à-dire les cinq prières quotidiennes, le pèlerinage a la Mecque, le jeune, le Zakat et le témoignage de l’unicité d’Allah. La nuit spécifique de cette fête commémorative, est celle de la veille, c’est-à-dire la nuit du 15 juillet où chaque Iman doit propager la bonne nouvelle à ses fidèles. A la mosquée centrale de Cadjèhoun, où les fidèles ont veillé de 23 h à 4 h du matin, c’est l’Iman Issiaka Alao Ligali qui a sacrifié à la tradition. Dans son homélie, l’Iman a retracé la vie du prophète Mahomet en rappelant les circonstances de sa naissance, son œuvre et sa mission. Cette nuit a été aussi marquée par les chants et danses gracieusement exécutés par les chorales de toutes les mosquées. bibo:pages 12 -- o:id 7131 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7131 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7145 26440 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bc409662f86d8a5e207893e24864c1ee47fdd267.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0a8fba477c524979fb58f9b423938b6bacaf4c03.tiff dcterms:title Séminaire international BID - CERID sur la ZAKAT et AWKAF : comment appliquer la Zakat au Bénin et quel est son rôle dans la lutte contre la pauvreté ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1493 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/801 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14719 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13534 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-05-30 dcterms:identifier iwac-article-0003285 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le séminaire international sur les «Applications contemporaines de la ZAKAT et AWKAF dans la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi au Bénin qui s'est ouvert dimanche dernier au Centre International de Conférence de COTONOU, poursuit ses travaux. Plusieurs communications ont animé les travaux et fait objet de débats fort intéressants. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le séminaire international sur les «Applications contemporaines de la ZAKAT et AWKAF dans la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi au Bénin qui s'est ouvert dimanche dernier au Centre International de Conférence de COTONOU, poursuit ses travaux. Plusieurs communications ont animé les travaux et fait objet de débats fort intéressants. Parlant de l’application de la ZAKAT au Bénin, Mohammed Bachirou Soumanou a fait observer en liminaire que les œuvres de charité sont destinées aux besogneux, aux mendiants, à ceux qui s’occupent de ces œuvres, aux sympathisants, aux esclaves, aux sinistrés, aux combattants pour la cause de Dieu, aux voyageurs: c’est là, dira le conférencier un arrêt de Dieu qui est ommiscient et plein de sagesse. Mohammed Bachirou Soumanou indique que Allah décrète huit catégories de bénéficiaires de la Zakat et se demande s’il faut toujours répartir la Zakat dans ces 8 catégories en tout temps et en tous lieux ou s’il faudrait cibler cette Zakat en tenant compte des priorités sociales d’une nation donnée. A cet égard, souligne le conférencier, les fouqaka demandent d’observer une flexibilité puisque Allah s’adresse aux hommes qui réfléchissent. Paraphrasant le professeur Abdel Hamid Brahim, Mohammed Bachirou Soumanou expliquera que l’Islam nous enseigne que la lutte contre la pauvreté passe d’abord par la création d’opportunités d’emploi au profit des gens dépourvus de ressources. L’emploi, selon les propos de Soumanou, permet à l’individu de gagner sa vie dans la dignité et en fait en même temps un agent économique actif, productif et utile à la société. Permettre à chacun de se prendre en charge Le Conférencier avertit que le but de cette croisade de la Zakat contre la pauvreté est de permettre à chaque individu de se prendre en charge dans la société avec dignité et noblesse: l’homme riche jouissant de la quiétude qui résulte du fait d’avoir prélevé la Zakat et l’homme pauvre satisfait d’avoir perçu son droit. Il partage avec l’assistance la notion de revenu d’existence comme celui qui est attribué non pas pour exister, mais qui est attribué parce que l’on existe et qu’on est reconnu comme participant potentiel à la communauté. Le conférencier le justifie à travers les millions de dollars de bénéficie réalisé par les entreprises de produits pharmaceutiques, de protection infantile et maternelle, du simple fait de la naissance d’un nouveau-né. Alors, dit M. Soumanou, refuser de reverser à ce dernier une partie des bénéfices engrangés du fait de sa naissance est criminel... Pour le conférencier Bachirou Soumanou, l’idée du revenu d’existence règle le problème de la pauvreté et le défi de sa mise en œuvre peut être relevé par le genre humain. Car il peut éradiquer la misère, soulagera les pauvres de leur fardeau quotidien de quête de subsistance et les riches de leur devoir d’assistance aux pauvres. Quelle structure pour l'appliquer? Abordant le second volet de son exposé, Bachirou Soumanou s’est référé à l’article 23 de notre Constitution du 11 décembre 1990 qui prône la liberté de pensée, de conscience, de religion, de culte, d’opinion et d’expression dans le respect de l’ordre public établi par la loi et les règlements. L’exercice du culte et l’expression des croyances s’effectuent dans le respect de la laïcité de l’Etat. Pour Bachirou Soumanou, les institutions, les communautés religieuses ou philosophiques ont le droit de se développer sans entraves. Elles ne sont pas soumises à la tutelle de l’Etat. Elles règlent et administrent leurs affaires d’une manière autonome. Tout cela pour dire que la dimension juridique de l’établissement d’une institution zâkataire au Bénin ne pose pas de problèmes car nous sommes régis par la loi de 1901 relative aux ONG. Bachirou Soumanou y voit alors un organe national léger chargé de l’orientation et de la stratégie prospective, qui servira d’instrument de péréquation, de supervision et de contrôle au niveau des différentes structures départementales. Et ceci de façon décentralisée jusqu’au niveau villageois avec brie autonomie de gestion mai-s dépendant de la structure centrale qui devra vérifier si les différentes sous-structures ont un fonctionnement ou un rendement optimal. L’installation et la mise en œuvre d’une telle institution nécessite une adhésion collective de la communauté musulmane du Bénin à condition que règne la confiance dont Bachirou Soumanou détermine les différentes sources en treize points distincts (moyen d’union, représentativité, crédibilité et disponibilité, choix consensuel, s’occuper des problèmes des pauvres, innover là où il n’y a rien etc...) Quel impact sur le budget de l'Etat? Pour sa part, le professeur Omar E-Kettani de l’Université Mohammed IV de Rabat Maroc, dans une communication fort appréciée et intitulée «l’impact de la ZAKAT sur le budget de l’Etat» a défini le rôle de l’Etat du point de vue islamique, le cadre général de la Zakat en tant que ressource particulière de l’Etat. Il a, par ailleurs expliqué l’impact de la zakat sur les recettes de l’Etat, les recettes fiscales et ses relations avec l’impôt sur le revenu. Le professeur El-Kettani n’a pas oublié son impact sur les dépenses de l’Etat... On retiendra essentiellement que dans un régime évoluant vers un système économique islamique, on pourrait s’attendre à une diminution progressive des recettes fiscales de l’Etat parallèlement au développement des recettes de la Zakat. Pour le professeur El-Kettani, l’évolution des dépenses de l’Etat vers plus d’investissement social est au coeur de la réflexion économique dans les pays sous-développés. Ce social prend actuellement la forme de microentreprises ou de valorisation des ressources humaines. La Zakat peut jouer à ce niveau un rôle de support financier important pour l’Etat... Enfin, bien qu’absent, la communication du professeur Abdel Hamid Brahim, directeur du Centre d’Etudes Magrebines à Londres sur le thème «le rôle de la Zakat dans la lutte contre la pauvreté» a été présentée aux participants. Nous y avons retenu qu’il n’existe pas de remède miracle pour vaincre la pauvreté. Le seul miracle réside dans la mobilisation des énergies internes et dans la remise au travail des gens dans ces pays dans le cadre d’une stratégie alternative de développement. Il s'agit de concevoir cl de mettre en œuvre une nouvelle stratégie qui concilie la lutte contre la pauvreté avec le développement économique dans le cadre d’une approche islamique globale. bibo:pages 3 -- o:id 7132 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7132 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7146 26441 26442 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/59f46a919ff4c7e6b605d58d653f9c5d08015546.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c00550e721a6436d45837fc01d9cf4241cf5cbbb.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ded2785a1fe4d9421a736e25f341e79cea2c1397.tiff dcterms:title Fin du séminaire international sur la Zakat : pour une meilleure lutte contre la pauvreté dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13534 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-06-02 dcterms:identifier iwac-article-0003286 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Démarré le 26 mai dernier au siège du FAGACE à Cotonou, le séminaire international sur la Zakat a mis fin à ses travaux le samedi dernier au Centre international de conférence, après 7 jours d’activités sur «les applications contemporaines de la Zakat et Awkaf dans la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi au Bénin ». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Démarré le 26 mai dernier au siège du FAGACE à Cotonou, le séminaire international sur la Zakat a mis fin à ses travaux le samedi dernier au Centre international de conférence, après 7 jours d’activités sur «les applications contemporaines de la Zakat et Awkaf dans la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi au Bénin ». Deux principaux objectifs étaient fixés à ces assises. Il s’agit d’offrir aux participants les différentes techniques de gestion de la Zakat et du Wakf. Il était également question de réfléchir sur le rôle de la Zakat et du Wakf dans la lutte contre la pauvreté. Mais que signifient la Zakat et le Wakf? Il faut noter que la Zakat est une institution religieuse. En tant que telle, elle constitue le troisième pilier de l’Islam. C’est un acte d’adoration d’Allah avec ses biens. Ainsi, Zakat signifie-t-il croître, prospérer et purifier. Elle indique aussi le prélèvement sur toutes les richesses productives pu susceptibles d’être productives. Celles-ci seraient destinées aux pauvres. Quant au Wakf, il se définit comme une aliénation pieuse volontaire, ferme, définitive ou temporaire par un croyant d’un bien (meuble ou immeuble) dans un but d’intérêt public ou privé. Au Bénin, le prélèvement et le payement de la Zakat sont laissés à la discrétion de chaque musulman. A ce jour, aucune institution n’est chargée de sa collecte et de sa distribution. En vérité, la Zakat et le Wakf semblent inconnus chez les musulmans béninois. C’est pourquoi, le séminaire a insisté sur l’application désormais au Bénin de ces deux principes très importants pour l’islam. A la cérémonie de clôture, Mohammed Bachirou Soumanou a dit que la réussite du séminaire a été grande et est de plusieurs ordres. De la participation aux enseignements tirés. Il dira que les enseignements tirés de toutes les communications présentées ont permis aux participants de formuler d’intéressantes recommandations, résolutions et motions. Il s’agit de la création des banques islamiques dans les pays africains pour soutenir le secteur privé et surtout l’installation d’un Fonds national de la Zakat et du Wakf au Bénin. A l’endroit de l’Etat béninois, ils souhaitent la création d’un cadre juridique pouvant permettre la création des Fonds Zakat et Wakf. Pour sa part le représentant de la Banque islamique de développement, M. Boualem Ben Djilali, il a émis le voeu de voir appliquées les décisions issues du séminaire sur le terrain ici au Bénin sous forme d’organisations modernes de la Zakat et du Wakf: des organisations à la hauteur du défi humain à relever. Quant à Albert Tévoédjrè, ministre du Plan, de la Restructuration économique et de la Promotion de l’Emploi, en clôturant les travaux, il a dit toute son admiration pour la communauté musulmane non seulement pour l’unité dont elle a su faire preuve: mais aussi pour les décisions issues de ce séminaire. Toutefois, M. Tévoédjrè a demandé qu’il lui soit transmis officiellement les résultats des travaux afin qu’il puisse introduire une communication en conseil des ministres. En contre partie, Albert Tévoédjrè a sollicité le soutien de la communauté musulmane pour le séminaire sur le minimum social commun qu’il promet d’organiser très prochainement. bibo:pages 1 12 -- o:id 7133 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7133 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7147 26443 26444 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d8468d06189f556726cdd86aa083674453d0a8a6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0a129dae629e809ba7d55e32e41a05f692cb14c1.tiff https://islam.zmo.de/files/original/c210c5dd6e57cccbb46b0299a72d122ab01dc530.tiff dcterms:title Séminaire international sur la « Zakat » : le CERID en guerre contre la pauvreté dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/801 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-05-27 dcterms:identifier iwac-article-0003287 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract «Les applications contemporaines de la Zakat et Awkaf dans la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi au Bénin». C'est le thème du séminaire international de cinq jours qui a ouvert ses travaux hier au FAGACE à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/273 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/328 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/539 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/410 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/413 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content «Les applications contemporaines de la Zakat et Awkaf dans la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi au Bénin». C'est le thème du séminaire international de cinq jours qui a ouvert ses travaux hier au FAGACE à Cotonou. Organisé par le Cercle d’études et de recherches «Islam-développement» (CERID) et l’Union islamique du Bénin en partenariat avec la Banque islamique de développement (BID), ce séminaire regroupe des participants venus des Etats-Unis d’Amérique, de l’Algérie, du Cameroun, du Congo, de Centrafrique, de la Côte-d’Ivoire, de la Guinée, du Maroc, du Tchad, de Tunisie, du Togo, du Congo démocratique, du Sénégal, du Mali, du Niger, de la Mauritanie, du Gabon et du Burkina Faso. A l’orée du 3ème millénaire, le monde vit de grandes mutations. Lesquelles mutations ont engendré des problèmes de sous-emploi, de chômage et de pauvreté. Toutes situations de misère auxquelles le CERID ne saurait rester insensible. C’est pourquoi, à en croire son président Mohamed Bachirou Soumanou, «le CERID» a entrepris des travaux sur les stratégies à mettre en œuvre pour l’éradication de la pauvreté en Afrique, et plus particulièrement au Bénin. Il ressort de ces travaux que la Zakat qui est l’un des cinq piliers de l’Islam en constitue l’ultime alternative». De ces assises qui dureront jusqu’au 31 mai prochain, les participants tireront bien sûr des enseignements. Ces enseignements, a conclu M. Soumanou, seront vulgarisés à travers des séminaires départementaux. Belle manière d’aider à enrayer la pauvreté. Le professeur Albert Tévoédjrè qui a présidé la cérémonie d’ouverture, a encouragé cette initiative. bibo:pages 1 5 -- o:id 7134 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7134 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7148 26445 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a97d951cf015f9348e667faa65ab070f924be69d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e8e2ce5f09201361f08eef6ee74a3d918485c574.tiff dcterms:title Chers frères, chacun a ses préoccupations dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1523 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-05-06 dcterms:identifier iwac-article-0003288 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Nous sommes vendredi. Jour de prière remarquable de nos frères musulmans. Constat. Affluence voir embouteillage aux abords de nos mosquées à Cotonou. Chose normale car, nos frères de religion islamique ont le droit comme tous les autres, de remplir leur devoir religieux. Ce qui mérite admiration de ma part. Car une société pieuse bénéficie «normalement» d'une bonne dose de morale et donc gagne en spiritualité. J’étais plongée dans cette admiration lorsque je constatai que l’abus était aussi de ce monde. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Nous sommes vendredi. Jour de prière remarquable de nos frères musulmans. Constat. Affluence voir embouteillage aux abords de nos mosquées à Cotonou. Chose normale car, nos frères de religion islamique ont le droit comme tous les autres, de remplir leur devoir religieux. Ce qui mérite admiration de ma part. Car une société pieuse bénéficie «normalement» d'une bonne dose de morale et donc gagne en spiritualité. J’étais plongée dans cette admiration lorsque je constatai que l’abus était aussi de ce monde. En effet, l’abus constaté n’est rien d’autre que le passage de l’embouteillage, au barrage pur et simple de la voie pavée à double sens devant la mosquée de Cadjèhoun. Et cette scène se reproduit souvent les vendredis pendant la prière de 13h. La prière est une chose normale encouragée par toutes personnes équilibrées. Mais quand elle doit empêcher d’autres de vaquer à leurs activités, il y a dérapage; pas au niveau de la religion mais au niveau des hommes chargés d’animer, la religion. Devant cette mosquée, il y a un terre-plein, bien nivelé qui peut servir de stationnement. Mais la chaussée, non. Même s’il était possible d’accepter des stationnements au niveau de la chaussée du côté de la mosquée à la limite, la chaussée opposée ne doit souffrir d’aucun encombrement de véhicules en stationnement. Et il faudra que les agents de force de sécurité assurent la fluidité au niveau de la seule chaussée mise à la disposition des usagers tout au long de la prière de nos frères musulmans. Cette disposition prise en compte les jours à venir sera très bénéfique pour tous les usagers et surtout nos frères qui dans leur prière ne seront plus préoccupés par le sort de leur véhicules mal garés. bibo:pages 6 -- o:id 7135 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7135 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7149 26446 26447 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e344c3efb83f74b2461fa042a7fa7ee37952e6d8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/744e1e63a8863c97b709188bf348b084098b14c2.tiff https://islam.zmo.de/files/original/278bd5639306bf7f59254fe9115e9e2a2f488edd.tiff dcterms:title Fête de la Tabaski : les Imams ont imploré la miséricorde d'Allah sur le Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15384 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14394 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13584 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13084 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-04-18 dcterms:identifier iwac-article-0003289 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans du Bénin ont célébré hier la fête de la Tabaski à l’instar de ceux du monde entier, conformément aux prescriptions du Saint-Coran. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans du Bénin ont célébré hier la fête de la Tabaski à l’instar de ceux du monde entier, conformément aux prescriptions du Saint-Coran. Tôt le matin, les fidèles ont pris d’assaut les places Idi pour prier Allah en souvenir du prophète Ibrahim et de son fils Ismaël au nom de qui le sacrifice du mouton fut instauré. Les membres du gouvernement ont aussi participé à la prière. Ainsi, la place Idi SOBETEX d’Akpakpa, on pouvait retrouver les ministres Abdel Aziz Sacca-Kina du Développement rural, Kamarou Fassassi des Travaux publics et des Transports, Assouma Yacoubou de la Fonction publique et de la Réforme administrative. Quant aux ministres Gatien Houngbédji et Léonard Jijoho Padonou, ils étaient respectivement à Cadjèhoun et Porto-Novo. Partout, les musulmans ont célébré cette prière en souvenir du prophète Ibrahim et de son fils Ismaël au nom de qui la fête a été instaurée. Allah avait ordonné au prophète Ibrahim de sacrifier son unique fils Ismaël au cours d’un rêve; celui-ci l’accepta sans objection. Satisfait de cette soumission du prophète Ibrahim, Allah envoya donc un bélier cornu en échange de l’enfant au moment où son dévot voulait sacrifier Ismaël. Et, c’est cet acte qui est célébré tous les ans. Selon le sermon que l’Imam de Zongo a lu à la place PK 10 route de Porto-Novo, l’homme n’accomplit pas une action plus agréable à Dieu le jour de l’Aïd que celle d’offrir un sacrifice. Le jour de la résurrection, l’offrande viendra intacte avec cornes, sabots, poils et laine. Le sang qui en coule, est estimé de Dieu avant même qu’il ne touche le sol. C’est pourquoi, compte tenu de l’importance de cet acte, il est recommandé à ceux qui ont les moyens, de l’accomplir. Mais s’il arrive que l’on se trouve dans l’incapacité absolue de s’acheter une bête, on peut s’en passer et il n’y aura aucun grief, a dit l’Imam Ibrahim Habib de la mosquée de Zongo. Ce dernier, selon le sermon, aura droit à une part de récompense du fait de la bête que le prophète a déjà sacrifiée au nom de tous les musulmans qui se trouveraient dans l’impossibilité de l’accomplir. Ce sermon a attiré l’attention des fidèles sur l’idée non avenante, répandue selon laquelle, une fois le sacrifice commencé, l’individu se doit plus jamais s’abstenir. A la fin de la prière, l’Imam a imploré Allah afin que les foyers de tension à travers le monde s’éteignent, que la paix règne dans notre pays et qu’Allah fasse que chaque Béninois puisse aisément jouir du fruit de ses efforts.. L’Imam a aussi prié pour les fidèles musulmans qui ont trouvé la mort au cours de leur visite au lieu Saint de l’Islam. A l’endroit des pèlerins béninois, l’Imam a prié pour qu’ils reviennent retrouver leurs familles en paix. Rappelons que ceux qui n’ont pas encore sacrifié une bête peuvent encore le faire aujourd’hui et demain. bibo:pages 1 5 -- o:id 7136 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7136 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7150 26448 26449 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d0a61787cff71e36009870962f2b0101030295b4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7e5fbb49b507ebd8be42fe5a9fc9d7a52921fc16.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ae3e4c331e1a5f99d6cd6d7669846b4358396df9.tiff dcterms:title Célébration demain de la fête de la Tabaski : ruée des fidèles et flambée des prix sur les marchés des moutons dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-04-16 dcterms:identifier iwac-article-0003290 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A 48 heures de la célébration de la fête de l’Aïd Al Adha (Tabaski) les fidèles musulmans continuent leur ruée vers Ie marché du mouton de Zongo en vue d’acheter une bête à sacrifier le jour de l’Aïd quel que soit son prix. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A 48 heures de la célébration de la fête de l’Aïd Al Adha (Tabaski) les fidèles musulmans continuent leur ruée vers Ie marché du mouton de Zongo en vue d’acheter une bête à sacrifier le jour de l’Aïd quel que soit son prix. Les prix des moutons varient cette année de 15.000 F CFA à 90.000, voire 120.000 F CFA. Selon les marchands de moutons, cette cherté est liée à l’inflation. Décidément, chaque année on trouve un alibi pour justifier la surenchère. L’année passée, ils avaient lié cette cherté aux tracasseries policières qui aujourd’hui ont disparu. Mais compte tenu de l’importance de ce sacrifice pour les musulmans, ceux-ci font feu de tout bois pour s’acheter une bête chacun selon ses moyens financiers. Et, contrairement à ce que les gens pensent, ce ne sont pas uniquement les mariés qui doivent sacrifier une bête. Tout homme ayant les moyens peut le faire. Les types de bêtes valables pour le sacrifice sont; les béliers ou brebis ayant plus de 7 mois, les boucs ou chèvres âgés de plus d’un an, 2 ans pour les bœufs et vaches et plus de 5 ans pour les chameaux et chamelles. Ces bêtes ne doivent pas avoir un défaut visible. Et, au moment de l’immolation de la bête, il faut éviter de mettre le doigt dans le sang pour en mettre sur la tête, sur le front ou en goûter. Car Allah n’a pas besoin du sang. C’est l’intention et la crainte de Dieu avec laquelle on accomplit l’acte qui lui confèrent une valeur auprès de Dieu. Tabaski acte de foi L’origine de cette fête remonte au temps du prophète Ibrahim qui affronta une série d’épreuves face auxquelles il se montra obéissant. Parmi les épreuves qu’il a subies, figure l’événement qui a conduit à l'institution de la fête de la Tabaski. Un jour, le prophète Ibrahim fit un rêve où Allah lui ordonnait de sacrifier son unique fils Ismaël. Le père en informa son fils qui n’eut pas d’objection. Satisfait de la fidélité et de la soumission du prophète Ibrahim, Allah envoya donc un bélier cornu en échange de l’enfant au moment où son dévot voulait sacrifier son fils pour lui. Et c’est cet acte de foi qui est renouvelé tous les ans. Signalons que le sacrifice de la bête le jour n’est valable que lorsqu’il est fait après la prière de l’Aïd. Donc, tout musulman qui n’a pas pu s’acheter une bête peut encore le faire jusqu’après la prière. bibo:pages 1 9 -- o:id 7137 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7137 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7151 26450 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c3ed6261d90b1ed7cf055c4bfed0d3c756688613.pdf https://islam.zmo.de/files/original/05cc2b02b6e5069f4f33aed9262b8e827596ffd2.tiff dcterms:title Installation des Fonds Zakat dans le Zou et le Mono dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/784 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15377 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15331 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-10-17 dcterms:identifier iwac-article-0003291 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin (FONZAB) a été officiellement installé mardi dernier à Abomey et à Lokossa pour répondre au souci de décentralisation des activités du Fonds. Les cérémonies d’installation ont été présidées par le président du FONZAB, Mohammed Bachirou Soumanou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin (FONZAB) a été officiellement installé mardi dernier à Abomey et à Lokossa pour répondre au souci de décentralisation des activités du Fonds. Les cérémonies d’installation ont été présidées par le président du FONZAB, Mohammed Bachirou Soumanou. A Abomey, le président du FONZAB a rappelé à la structure mise en place et aux autres structures déjà installées, leurs premières tâches essentielles qui consistent à répertorier les besoins primaires des populations en infrastructures socio-sanitaires et scolaires d’une part et, d’autre part, lister tous les bénéficiaires de la Zakat que sont les démunis pris individuellement ou en coopératives, avec des micro-projets, sans distinction de religion. La Zakat étant la part du pauvre dans la richesse du riche et son prélèvement rendu obligatoire par un «décret» divin, a-t-il poursuivi, il est de toute première importance que les structures décentralisées se fassent bien connaître de leurs populations, afin que ceux qui prélèvent la Zakat de leurs biens puissent la mettre à la disposition dans les bonnes conditions de transparence et de saine gestion. Le préfet du Zou, M. Ibrahim Agbétou, dira toute son admiration, sa sympathie, sa disponibilité et son espoir pour le bien-être des populations de son département à travers les futures œuvres du Fonds départemental de la Zakat et Awkaf du Zou. Dans le Mono, à Lokossa, les mêmes engagements ont été pris et les mêmes recommandations ont été faites par les responsables du FONZAB et les autorités locales. Les directeurs départementaux du FONZAB du Mono et du Zou sont respectivement El Hadj Issiaka Yessoufou et El Hadj Mouftaou Alidou. bibo:pages 4 -- o:id 7138 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7138 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7152 26451 26452 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/81d222252a3136b1b5a192506035b81b2a12bdab.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6408740a276f8d439e2c7f8410e91326b946587f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/9ddc1101d0c6b1de37b071c8998e6f85e078fcfb.tiff dcterms:title Tabaski à Cotonou : une fête de réflexion et d'union dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13245 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14089 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-04-08 dcterms:identifier iwac-article-0003292 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Journée de réflexion et d’union. C'est sous ce signe qu’on peut placer la fête de la Tabaski célébrée hier mardi 7 avril sur toute l’étendue du territoire national. Très tôt le matin, les mosquées et les places de prières ont été prises d’assaut par les musulmans. Ils ont rendu grâce à Allah, et prié pour la paix au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Journée de réflexion et d’union. C'est sous ce signe qu’on peut placer la fête de la Tabaski célébrée hier mardi 7 avril sur toute l’étendue du territoire national. Très tôt le matin, les mosquées et les places de prières ont été prises d’assaut par les musulmans. Ils ont rendu grâce à Allah, et prié pour la paix au Bénin. A la place Idi «Les Cocotiers», c’est l’Imam de la Mosquée de Cadjèhoun, El Hadj Issiaka Ligali qui a dirigé la prière. Le gouvernement béninois était représenté par les ministres de l’industrie, des Petites et Moyennes Entreprises, Félix Adimi, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme, Gatien Houngbédji, et de l'Environnement, de l'Habitat et de l’Urbanisme, Sahidou Dango-Nadey. Dans son sermon, l'Imam Issiaka Ligali a dit que la fête d’Aid El Kébir est une fête de réflexion, se référant à l’histoire d’un croyant à qui Allah a ordonné d’immoler son fils en lieu et place d’un mouton. La fête de la Tabaski rappelle donc, a-t-il dit, un événement historique dans le comportement d’un croyant soumis à Dieu et prêt à tout sacrifice. Ce croyant du nom de Abraham a fait un rêve. Au cours de ce rêve, Dieu lui a demandé en sacrifice, son fils Ismaël qu’il a eu dans sa vieillesse. Aussitôt après ce rêve, Satan s’est présenté à Abraham et a tenté en vain de le convaincre à ne pas exécuter la volonté du Bon Dieu. Pour Abraham, c’est Dieu qui lui a donné ce fils, et il lui est loisible de le reprendre par quelque moyen qu’il le désire. Satan s’en fuit voir la mère de Ismaël. Cette dernière non plus ne céda aux tentations de Satan qui, déconcerté, alla tenter vainement de convaincre l’enfant de ne pas se laisser immoler. Le jour du sacrifice venu, le couteau, on ne peut plus tranchant de Abraham n’a pu trancher la gorge de Ismaël. Furieux, Abraham donne un grand coup de ce couteau dans une pierre qui se trouvait non loin des lieux. Il a donc suffi de ce seul coup pour que ce couteau fende la pierre. Alors, Allah a fait apparaître à Abraham, un bélier et lui a ordonné de l’immoler en sacrifice, en lieu et place de Ismaël. C’est cet événement historique qui fait dire à l’Imam Issiaka Ligali que la fête de la Tabaski doit être une occasion de réflexion. La fête de la Tabaski de cette année est placée sous le signe de l’union. L’Union entre tous les fils du Bénin, l’union entre tous les croyants de notre pays. Parce que, explique l’Imam Ligali, cette année, la Tabaski a presque coïncidé avec les fêtes pascales et le Ramadan avec le carême chrétien. Cela veut dire, déduit-il, que tous les Béninois doivent s’unir dans Allah, dans le Christ pour la paix et le bonheur du pays. Pour cela, nous devons toujours prier, prier pour que la vie devienne de moins en moins chère et que le délestage prenne vite fin. Au plus tard à la fin de ce mois. C’est le vif souhait des trois ministres qui ont représenté le gouvernement à cette prière à la place Idi de «Les Cocotiers» à Cadjèhoun. bibo:pages 1 3 -- o:id 7139 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7139 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7153 26453 26454 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2c33854733be5b6b94d6c3f89cc864a2a0399128.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7106bb2a56322c46d34ece633fe4f359f5dde46f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ba625a13d4212ea96c5f35141f2622232141ba2a.tiff dcterms:title Pèlerinage à la Mecque - édition 1998 : de nouvelles dispositions pour une bonne organisation du Hadj dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1497 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13584 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-02-13 dcterms:identifier iwac-article-0003293 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Quelles dispositions prendre et quelle organisation mettre en place pour assurer un succès total au pèlerinage à la Mecque, édition 1998? C’est à cette réflexion que M. Kamarou Fassassi, ministre des Travaux Publics et des Transports a convié hier matin les organisateurs du Hadj, les compagnies aériennes opérant au Bénin, certains ministères et quelques-uns de ses collaborateurs intéressés par le dossier. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/443 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/410 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Quelles dispositions prendre et quelle organisation mettre en place pour assurer un succès total au pèlerinage à la Mecque, édition 1998? C’est à cette réflexion que M. Kamarou Fassassi, ministre des Travaux Publics et des Transports a convié hier matin les organisateurs du Hadj, les compagnies aériennes opérant au Bénin, certains ministères et quelques-uns de ses collaborateurs intéressés par le dossier. Il était 10 h 27 mn quand le ministre Fassassi fit son entrée dans cette salle de conférence du Port Autonome de Cotonou, accompagné de certains de ses collaborateurs concernés par le Hadj édition 1998. Après avoir présenté ses excuses à l’assistance pour le léger retard accusé, le ministre Kamarou Fassassi est allé droit au but: il s’agira de formuler des critiques sur ce qui a été fait l’année dernière. En d'autres termes, étudier ensemble les voies et moyens à mettre en œuvre pour que le pèlerinage de cette année soit une réussite. Ensuite, il sera question de voir ce qu’il y a lieu de faire pour que les prix n’augmentent pas. Prenant le premier la parole, le représentant de la Direction de l’Aéronautique Civile fera le point des structures conviées à cette rencontre avant de parler des dispositions qui avaient été prises l’année dernière dans ce cadre. Il parlera du circuit défini aux pèlerins, de l’achat des bâches et des urinoirs aménagés à l’aéroport pour les besoins de la cause, et débouchera sur les difficultés qu’ils ont rencontrées dans l’organisation dudit pèlerinage. En gros, dira-t-il, il s’est agi de difficultés d’ordre financier, une seule des nombreuses Associations de convoyage des pèlerins s’étant acquittée de sa quote-part. A cette rencontre d’hier, il était apparu clairement que tout le monde ne voyait pas la nécessité de prévoir des bâches. Mais les défenseurs de cette cause ont été vite mis en minorité. Puisqu’en définitive, le ministre Kamarou Fassassi épousera le point de vue de la majorité, pour dire que mieux vaut prévoir des bâches pour pouvoir en disposer en cas de nécessité. Le moins qu’on puisse dire est que, dans l’ensemble, les organisateurs du pèlerinage aux lieux saints de l’Islam, se sont dits très satisfaits des prestations du MISAT, en ce qui concerne l’édition de l’année dernière. Mais ceci ne les a nullement empêché de déplorer voire fustiger la rudesse avec laquelle certains de leurs courtiers ont été traités par les Agents des Forces de sécurité publique, chaque fois que, par inadvertance, ils ont eu maille à partir avec eux. D’aucuns plaideront pour qu’on aménage non seulement des urinoirs mais aussi des toilettes à l’aéroport, vu le temps fou que pèlerins et accompagnateurs sont parfois amenés à y passer avant le décollage des aéronefs. Le commissaire Alé Abassi, directeur de l’immigration qui représentait le MISAT à cette rencontre, a demandé à ce que les organisateurs de pèlerinage soient suffisamment mis au courant de ce qu’ils ont à faire. S’agissant de la délivrance des titres spéciaux de voyage, il a déploré que certaines personnes que les organisateurs leur présentent comme étant des Béninois, ne le sont en réalité pas. Ce qui pose le problème de responsabilité en cas de la survenance d’un malheur. «Chaque pays a son quota et il n’est pas question qu’on aille chercher des étrangers pour leur faire obtenir des titres de voyage béninois» a-t-il insisté. Le représentant de la Douane a souhaité que les colis de chaque groupe de pèlerins soient mis sur une même palette, pour faciliter les choses. Mais, le souci majeur du ministre des Travaux Publics et des Transports a été de veiller à ce que les prix pratiqués n’augmentent pas. Et pour ce faire, il a demandé aux compagnies aériennes présentes à cette réunion à savoir: Air Afrique, Cameroon Airlines, Bénin Air-Express, Trans-Air et autres Nigeria Airways, de faire des efforts dans ce sens. Aussi, les organisateurs ont parlé des royalties qui s’élèvent à quelque 100.000 F CFA par pèlerin alors que des pays comme le Tchad payent dix fois moins par pèlerin. Ils ont également demandé qu’on revoit à la baisse les différentes taxes qu’ils paient au niveau de l’ASECNA et qui s’élèveraient à au moins 6.400 F CFA par tête. Ceci est d’autant plus important qu’un voyage aux lieux saints de l’Islam tourne autour de 800.000 F CFA par pèlerin. Pour montrer la bonne foi de sa compagnie dans ce dossier, le représentant d’Air Afrique à cette séance de travail a dit que chaque année, il fait un peu plus pour diminuer le tarif appliqué aux pèlerins béninois. La preuve, a-t-il fait remarquer, est qu’il y a près de 100.000 F CFA de différence entre ce que paie le pèlerin nigérien et le pèlerin béninois. Ce qui, avouons-le, n’est pas rien! Mais ceci étant, le vrai problème, le problème qui devra nous préoccuper tous, est celui de la crédibilité de notre pays, qui serait sérieusement entamée là-bas, au point que le ministre saoudien du pèlerinage écrive récemment au chef de la diplomatie béninoise, pour se plaindre du comportement des organisateurs béninois du Hadj. A en croire le document dont lecture a été fait hier à cette réunion par les représentants du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, il a été constaté l’absence des responsables d’encadrement depuis l’arrivée des pèlerins jusqu’à leur départ. S’agissant de l’édition-1997, le document parle de l’arrivée d'un nombre plus important de pèlerins que ce qui a été prévu au niveau des établissements Tawafas. Encore que précise le ministre saoudien du pèlerinage, ce nombre n’a pas été déclaré à temps aux différents services du pèlerinage à la Mecque. Ce qui a entraîné une perturbation au niveau de l’organisation des moyens de transports nécessaires et de logements sur les lieux des sanctuaires. Ajoutée à ceci, la non-légalisation des contrats de logement des pèlerins. A preuve, l’année dernière, la délégation du Hadj de notre pays n'a présenté que cinq contrats de bail pour un effectif de 212 pèlerins, alors que le nombre réel de pèlerins ayant fait le déplacement était de 1.666. Dans sa correspondance, le ministre saoudien du pèlerinage a clairement souligné le manque de coordination, de suivi et de communication avec l'établissement des prestations de services pour faciliter le séjour de nos pèlerins là-bas. A la lumière de ce qui précède, il est de bon ton que nous coordonnions nos activités avec les établissements Tawafas des pays africains non arabophones à la Mecque et à Médine afin d’éviter que nos pèlerins ne soient exposés à des déconvenues découlant du non-respect des observations susmentionnées et permettre ainsi le bon déroulement du Hadj, dans la quiétude et toutes les commodités possibles. Le ministre Kamarou Fassassi a promis de s’y employer. Car, «il faut que notre pays soit mieux coté» a-t-il conclu. bibo:pages 1 4 -- o:id 7154 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7154 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7171 26455 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/99d445c5fd17bb3af67b948002cefdfa2b993ff1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0dab379402e674ab5c09e2e0136fd84b9970c7f6.tiff dcterms:title Pour risque de trouble à l'ordre public à Porto-Novo : la mosquée centrale Sofwa de Sèdjèko fermée dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1394 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1402 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-10-21 dcterms:identifier iwac-article-0003294 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La crise qui secoue depuis quelques semaines la communauté musulmane de la mosquée centrale Sofwa de Sèdjèko à Porto-Novo a pris une autre tournure jeudi 20 octobre, avec la fermeture provisoire par le préfet de l’Ouémé de toutes les entrées de ce lieu de prière. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12855 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La crise qui secoue depuis quelques semaines la communauté musulmane de la mosquée centrale Sofwa de Sèdjèko à Porto-Novo a pris une autre tournure jeudi 20 octobre, avec la fermeture provisoire par le préfet de l’Ouémé de toutes les entrées de ce lieu de prière. Les fidèles musulmans de la mosquée centrale Sofwa sise au quartier Sèdjèko dans le 2e arrondissement de Porto-Novo ne pourront plus y avoir accès jusqu’à nouvel ordre pour leurs prières. Ainsi en a décidé le préfet de l’Ouémé, Joachim Apithy qui a fermé temporairement cette mosquée. La décision a été soutenue par l’arrêté préfectoral N°10-737/ SG/SSPCA/SA en date du jeudi 20 octobre. L’article 1 de l’acte précise que cette mosquée a été provisoirement fermée pour des raisons de nécessités de maintien d’ordre. Dès lors, les offices religieux, les manifestations et autres cérémonies à l’intérieur, aux alentours de ladite mosquée sont interdits jusqu’à nouvel ordre. Le directeur départemental de la Police nationale, le commandant de compagnie de Porto-Novo, le commissaire central et le maire de la ville de Porto-Novo ont été chargés chacun en ce qui le concerne de faire une application sans faille de l’arrêté. L’autorité préfectorale garant de la police administrative départementale a pris cette décision suite aux informations persistantes qui lui sont parvenues et faisant état de risque de trouble à l’ordre public sur cette mosquée. C’est vrai, depuis quelques semaines, cette mosquée traverse une crise sans précédent. Laquelle crise serait partie des comportements déviants de l’iman de cette mosquée sur qui pèseraient plusieurs soupçons délictueux. L’affaire est allée jusqu’au niveau du Conseil des imans de l’Ouémé-Plateau qui a décidé de suspendre à vie cet iman à cause de la gravité des actes qui lui sont reprochés. Cette suspension n’a pas été du goût de certains fidèles musulmans de la mosquée qui menacent de semer du trouble sur les lieux et d’empêcher le nouvel iman de prendre place. La menace est remontée vers le préfet qui a réuni ce jeudi en séance de travail extraordinaire le comité départemental de sécurité et en présence du maire de Porto-Novo, Emmanuel Zossou. C’est ainsi que la réunion a recommandé au préfet de prendre ses responsabilités en fermant à titre temporaire cette mosquée jusqu’à ce que les différents protagonistes de la crise trouvent un modus vivendi. Outre l’arrêté de fermeture, le préfet Joachim Apithy a pris une réquisition pour faire ceinturer la mosquée par des policiers afin que force reste à la loi. Les forces de sécurité publique seront déployées sur le terrain ce vendredi 21 octobre pour une bonne application des dispositions de l’arrêté préfectoral. bibo:pages 13 -- o:id 7155 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7155 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7172 26456 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/944010fae0994c04178091cafd4afbeb931ae431.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7f9e78b618f49c9fa6423ec5cfc2c2e9189f1c2f.tiff dcterms:title Crise au Conseil des imams de Parakou : des démissionnaires envisagent un nouveau creuset dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003295 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Des démissions sont enregistrées la semaine dernière au sein du Conseil des imams de Parakou minée par une crise de leadership. Les dissidents entendent créer dans un délai proche le Conseil suprême des affaires islamiques qui se veut plus représentatif avec non seulement des imams mais aussi des savants et prédicateurs de l’islam dans la ville. Ce creuset aura pour objectif de « procurer la quiétude à tout le peuple béninois et à celui de Parakou en particulier et ceci, dans le respect des règles établies par le Coran et la Sunan du prophète, loin de tout extrémisme et en respect des lois et de la Constitution républicaines », a annoncé Moussa Aboubakari, porte-parole des démissionnaires, jeudi dernier face à la presse. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Des démissions sont enregistrées la semaine dernière au sein du Conseil des imams de Parakou minée par une crise de leadership. Les dissidents entendent créer dans un délai proche le Conseil suprême des affaires islamiques qui se veut plus représentatif avec non seulement des imams mais aussi des savants et prédicateurs de l’islam dans la ville. Ce creuset aura pour objectif de « procurer la quiétude à tout le peuple béninois et à celui de Parakou en particulier et ceci, dans le respect des règles établies par le Coran et la Sunan du prophète, loin de tout extrémisme et en respect des lois et de la Constitution républicaines », a annoncé Moussa Aboubakari, porte-parole des démissionnaires, jeudi dernier face à la presse. A l’en croire, la dissension est née des suites d’irrégularités constatées aussi bien dans l’élaboration du règlement intérieur que dans la gestion du collectif. Il cite : la non mise à disposition de tous les membres fondateurs du conseil des textes fondamentaux : statuts et règlement intérieur « taillés sur mesure et en contradiction avec les principes et lois islamiques et aux lois de la République », avant leur adoption et après l’enregistrement auprès du conseil des autorités compétentes. Aussi, les contestataires fustigent-ils la prise de décisions unilatérales par le président du conseil ; l’application ségrégationniste des textes qui se traduirait par la floraison des mosquées dans les autres arrondissements de la ville au détriment du 2e arrondissement. En fait, les imams démissionnaires s’insurgent contre les conditions de création d’une mosquée fixées à une distance de 3 km et pour une population de 1000 habitants au moins, lesquelles ont amené le président du conseil à interdire l’ouverture d’une mosquée Djamiou dans un quartier du 2e arrondissement. Ils déplorent le fait que la police a été saisie pour empêcher la création de cette mosquée alors que des membres du conseil avaient souhaité régler le problème au sein du creuset. « Le Conseil des imams de Parakou au lieu de jouer le rôle d’unification qui est le sien, est plutôt utilisé pour servir un seul homme et ses objectifs politiques », accuse Moussa Aboubakari. Claude Urbain PLAGBETO A/R Borgou-Alibori bibo:pages 6 -- o:id 7156 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7156 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7173 26457 26458 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d4efd14e6b5727ec6403c77b592170fcc5b933a1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a3eac4fa9c998343b813b638843373b78aa333c8.tiff https://islam.zmo.de/files/original/c787dd59c4b3303fa6f621b1e640a67350467841.tiff dcterms:title Crise autour de la désignation de l'imam central de Natitingou : affrontement manqué entre les deux parues en conflit dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13043 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-07-25 dcterms:identifier iwac-article-0003296 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract On avait cru à la fin de la crise ébranlant la communauté musulmane de Natitingou avec l’intronisation le 10 juillet dernier de El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, par l’Union islamique du Bénin. Mais c’est sans compter avec le refus de son adversaire Alaza Ibrahim d’abdiquer. Vendredi 22 juillet dernier, la Cité des Nanto a frôlé les échauffourées avec la tentative des partisans de ce dernier de tenir la traditionnelle séance de prières dans l’ancienne mosquée centrale de la ville. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/469 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content On avait cru à la fin de la crise ébranlant la communauté musulmane de Natitingou avec l’intronisation le 10 juillet dernier de El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, par l’Union islamique du Bénin. Mais c’est sans compter avec le refus de son adversaire Alaza Ibrahim d’abdiquer. Vendredi 22 juillet dernier, la Cité des Nanto a frôlé les échauffourées avec la tentative des partisans de ce dernier de tenir la traditionnelle séance de prières dans l’ancienne mosquée centrale de la ville. La mosquée de Djindjiré-Béri a été le théâtre ce vendredi juillet d'une forte mobilisation des fidèles de la communauté musulmane de Natitingou. D’un côté, les partisans de Alaza Ibrahim, ancien vice-imam de la ville, prétendu imam centra! jusqu’au 10 juillet dernier où l’Union islamique a procédé à la désignation de son challenger d’alors, El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, et de l’autre ceux de l’actuel imam. Ces derniers voient en effet d’un mauvais œil la décision de Alaza Ibrahim de tenir la traditionnelle prière du vendredi dans l’ancienne mosquée centrale. Pour eux il n’est pas question de laisser les partisans de l’ancien vice-imam prier en ce lieu après la cérémonie de port de turban qui consacre son challenger imam central. En tête de la délégation des fidèles, se trouve Alaza Ibrahim, une canne en bronze en main et tenant ferme à sa décision. Si son adversaire ne s’est pas porté sur les lieux il pouvait compter sur la hargne de ses supporters prêts à en découdre avec celui qu’il considère comme un mauvais perdant. Ils menacent de lancer des pierres dans la mosquée si le camp adverse brave l’interdiction à eux signifiée par les forces de sécurité venues par dizaines sur les lieux pour contenir les mouvements d’humeur nés à la suite de l’intrusion de l’ancien vice-imam qui s’est refusé le 10 juillet à toute évaluation comme l'a voulu l’Union islamique pour attribuer le poste d’imam central au plus méritant. Il se considère comme l’imam légitimé de la ville depuis le 13 mars dernier où ses partisans l’ont porté au pinacle. L’état de siège durera quelques minutes aux abords de la mosquée avec la médiation faite par le commandant de la compagnie de gendarmerie de Natitingou et le commissaire central de la ville. Pour Kouérou Ayouba, le commissaire central, bien que le Bénin soit un Etat laïc, l’autorité de l’Etat doit être respectée. L'ordre a été donné pour que la séance de prière demandée par Alaza Ibrahim ne se tienne pas dans la mosquée de Djindjiré-Béri pour éviter des échauffourées dans la ville. Deux imams à Natitingou La tension est encore perceptible dans les deux camps surtout que l'ancien vice-imam ne semble pas avoir encore dit son dernier mot. Dans une correspondance adressée au préfet des départements de l’Atacora et de la Donga, il estime que la ville de Natitingou compte désormais deux imams que personne ne peut contester et qu’il est le premier élu. Malgré que pour lui la désignation du second imam soit faite contre le bon sens et toute valeur morale, il dit concéder à ce dernier le droit d’aller diriger dans la paix les prières au sein de la grande mosquée sise au quartier Santa. Et s'octroie également le droit de diriger les prières de vendredi avec ses fidèles dans l’ancienne mosquée sise au quartier Djindjiré-Béri. En ce qui concerne les grands jours de ldi, il propose à travers sa correspondance, qu’il y ait une permutation qui mettra en scène l’un pour le ramadan et l’autre pour la Tabaski et vice-versa. Cette correspondance datant du 20 juillet n’ayant reçu encore aucune réponse du préfet, les forces de sécurité composées de policiers, gendarmes et de militaires ont été déployées sur les lieux. Une invasion que le camp de Alza Ibrahim peine à comprendre, arguant que le Bénin appartient à tous ses fils et qu'il ne faille pas privilégier une chapelle au détriment de l’autre. Rappelons que dans le contexte de la crise, la fête du ramadan a été célébrée le 6 juillet dernier par les deux parties en conflit. Alaza Ibrahim et El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, alors prétendus imams se sont vus octroyés deux différents espaces pour la traditionnelle séance de prière consacrée à la fin du carême. Ainsi sous haute surveillance policière et militaire, les fidèles ont assisté au sermon des deux imams de circonstance en l’absence des autorités politico-administratives, respectivement à l’Ecole urbaine centre et au stade municipal. bibo:pages 1 10 -- o:id 7157 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7157 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7174 26459 26460 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/60484cf3e3b34a6b6c6daab98e97e37a9b61041e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1739ac498d1c0771c600bbfa59eadfcad1de7e6c.tiff https://islam.zmo.de/files/original/1bd6f182f7ca631bc55d3d223ccfdb2747d2e62d.tiff dcterms:title Crise autour de la désignation de l'imam central de Natitingou : les populations rouvrent de force les mosquées dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13043 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-07-04 dcterms:identifier iwac-article-0003297 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract De nouveaux rebondissements dans la crise qui agite la communauté musulmane dans le processus de désignation de l’imam de la mosquée centrale de la ville. En dépit de l’arrêté préfectoral appelant à la suspension de toute activité en relation avec la désignation et l’installation d’imam, les populations sont allées enlever de force les portes des ancienne et nouvelle mosquées restées fermées jusque-là, samedi 2 juillet dernier pour les traditionnelles séances de prières. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/469 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content De nouveaux rebondissements dans la crise qui agite la communauté musulmane dans le processus de désignation de l’imam de la mosquée centrale de la ville. En dépit de l’arrêté préfectoral appelant à la suspension de toute activité en relation avec la désignation et l’installation d’imam, les populations sont allées enlever de force les portes des ancienne et nouvelle mosquées restées fermées jusque-là, samedi 2 juillet dernier pour les traditionnelles séances de prières. La devanture de l'ancienne mosquée centrale de Natitingou s’est curieusement remplie ce samedi 2 juillet. Désertée depuis le 6 mai dernier par les fidèles musulmans à la suite de l’arrêté N° 6/084/P-SG/ SAG/SA du 4 mai 2016 appelant à la suspension de toute activité en relation avec la désignation et l’installation d’imam, elle s’est vue accueillir du monde. Selon les témoignages recueillis sur place, les fidèles auraient décidé d'enlever les portes des ancienne et nouvelle mosquées centrales en dépit de la décision prise par l’autorité préfectorale de les fermer et de les faire garder par des agents des forces de sécurité jusqu’à l'apaisement des tensions nées de la désignation de l’iman central de la ville après le décès de l’ancien le 1er janvier de cette même année. Les populations auraient à l’approche de la fête du Ramadan et des divers rites y relatifs voulu voir leurs mosquées rouvrir leurs portes pour les traditionnelles séances de prières. Ces séances ont d’ailleurs été tenues à 14 heures et à 16 heures au nez et à la barbe des militaires et des policiers dépêchés sur les lieux pour éviter toute altercation entre les différentes parties en conflit. Des fidèles, natte et chapelet en mains n’ont pas caché leur joie de voir la mosquée de Djidjiré-Béri rouvrir ses portes après la prière de 16 heures. Et d’espérer que la nouvelle mosquée centrale située à quelques encablures de là puisse également servir à la grande prière du Ramadan le mercredi 6 juillet prochain. Un tour en ces lieux montre aussi que les fidèles n’ont laissé aux forces de l’ordre que le soin de faire les constats du retrait des nombreuses portes servant à son accès. Aucune âme humaine n‘est présente dissuadée qu’elle aurait été par l’incursion de cette horde de militaires et de policiers à la devanture du lieu de culte, servant aussi de Place ldi aux rites musulmans. Une nébuleuse La réouverture des mosquées relance s’il n’en est encore la crise qui secoue la communauté islamique avec ce bras de fer entre deux prétendus imans,Alaza Ibrahim, vice-imam, de la mosquée (Nahimi) et El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, fils du défunt iman. Une situation qui perdure en dépit des séances de travail tenues à la préfecture et des tentatives de négociations entre les différentes parties par l’Union islamique du Bénin. La prise de l’arrêté par l’ancien préfet Gervais N’dah Sékou qui a conduit à la fermeture des deux mosquées s’inscrit dans le cadre des nécessités de sécurité publique vu les menaces de troubles à l'ordre public planant sur la Cité des Nanto. Déjà dans le camp de Alaza Ibrahim on soupçonne un coup de force de l’entourage de son challenger. Boni Alassane, son porte-parole n’y va pas de main mode pour condamner ce qu’il qualifie de défiance de l'autorité. «On ne saurait expliquer un tel acte d’autant plus qu’aucun consensus n'a été encore trouvé pour amener les différents protagonistes à accorder leurs violons et à ramener la quiétude dans le rang des fidèles à la veille de la fête du Ramadan», indique-t-il, outré. Loin, il n’occulte une complicité au plus haut niveau car pour lui, ceci a été minutieusement orchestré par la partie adverse. Il avance que les deux parties avaient encore été consultées par le nouveau préfet le vendredi 1er juillet par rapport à la conduite à observer à l’imminence de la fête du Ramadan et de la nécessité pour les fidèles de vivre la grande prière consacrant la fin du carême musulman. Si les voix se sont accordées à voir les rites se tenir à la Place ldi sans problème, la réouverture des mosquées semble avoir divisé les deux parties. Toutes les tentatives peur joindre El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni n’ont point abouti. L’intéressé n'a point décroché nos appels et la visite en son domicile s’est également soldée par un échec. Même son épouse n'a pu le joindre au téléphone. Mais pour ceux qui pourraient se réclamer de son cercle de soutien, ce sont les populations qui ont forcé l’ouverture des portes, excédées par cette crise qui n’augure d'aucun règlement avant Ramadan. Aussi, le préfet et le directeur départemental de la Police nationale contactés n'ont-ils pu accéder à notre requête d’en savoir davantage sur la tournure prise par la situation. Une réunion d’urgence à la Préfecture de Natitingou avec tous les responsables des forces de sécurité devrait consacrer la prise de décision entrant dans l’apaisement des tensions. Jusque tard dans la nuit rien n’a filtré de cette séance. A part le communiqué radio dont s'est fendue le préfet Déré Lydie Martine Chabi Nah dans la soirée pour inviter les populations au calme et promettant qu’une issue certaine sera trouvée à la crise en cours. Aux dernières nouvelles on apprend que l’Union islamique du Bénin fera encore le déplacement sur Natitingou pour un ultime règlement de la crise. bibo:pages 1 5 -- o:id 7158 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7158 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7175 26461 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/75960190dac75e1713d114320c36931913e22cde.pdf https://islam.zmo.de/files/original/40837e8b1d0dbd2c2439ba1ec47ca6679c0a5514.tiff dcterms:title Appui à l'alimentation scolaire béninoise : l'Arabie Saoudite offre 72 tonnes de dattes au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1421 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-05-17 dcterms:identifier iwac-article-0003298 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Royaume d’Arabie Saoudite vient d'appuyer, avec une importante quantité de dattes, les écoles bénéficiaires de cantine scolaire soutenues par le Programme alimentaire mondial (PAM). La remise officielle du don a eu lieu vendredi 13 mai dernier à Porto-Novo en présence des différentes parties concernées. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Royaume d’Arabie Saoudite vient d'appuyer, avec une importante quantité de dattes, les écoles bénéficiaires de cantine scolaire soutenues par le Programme alimentaire mondial (PAM). La remise officielle du don a eu lieu vendredi 13 mai dernier à Porto-Novo en présence des différentes parties concernées. Soixante-douze (72) tonnes de dattes, c’est la quantité de dattes en don que vient de faire le Royaume de l’Arabie Saoudite au Bénin et particulièrement au profit du programme d'alimentation scolaire appuyé par le Programme alimentaire mondial (PAM). Ce don d’une valeur de 58,7 millions FCFA a été officiellement remis vendredi dernier au magasin du PAM à Porto-Novo. La cérémonie a connu la participation du gouvernement béninois représenté par le ministre des Enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou, du représentant résident du PAM au Bénin, Housainou Taal et d’une forte délégation du Royaume d’Arabie Saoudite composée de Abdul-Rahman Al-Salloum, représentant le ministère saoudien des Finances, Khalaf Al-Otaibi, représentant le centre King Salam pour l’Appui humanitaire et de Abdurahman Alsomily, représentant l’ambassade de l’Arabie Saoudite près le Nigeria. Réceptionnant en premier le don avant de le transférer au ministre, le représentant résident du PAM au Bénin, Housainou Taal, a remercié le gouvernement saoudien pour son geste de générosité. Il a précisé que ce don intervient dans le cadre de l’appui du Royaume de l’Arabie Saoudite aux programmes d’alimentation scolaire appuyés par le PAM. Les 72 tonnes de dattes sont donc destinées aux 100 000 écoliers béninois bénéficiaires du Programme d’alimentation scolaire. Housainou Taal ensuite a mis l’accent sur l’importance des dattes dans l’alimentation des enfants. « Compte tenu de leurs teneurs en glucide, les dattes que nous réceptionnons aujourd’hui, ont une valeur énergétique qui permettra d’améliorer l’état nutritionnel des écoliers bénéficiaires et par conséquent leurs performances scolaires. Particulièrement riches en potassium, elles fournissent des vitamines du groupe B et du fer utiles à l'entretien de l’organisme des enfants ». témoigne le fonctionnaire onusien. Contribution complémentaire aux repas L’importance des dattes n’étant plus à démontrer, Housainou Taal remercie le Royaume de l’Arabie Saoudite pour cette contribution complémentaire aux repas scolaires qui contribuera, à l’en croire, à l’atteinte de l’Objectif de développement durable (ODD) nc2 relatif à la « Faim Zéro ». Il a saisi l’opportunité pour réaffirmer la disponibilité du Programme alimentaire mondial à accompagner le Bénin dans le processus d’appropriation des programmes d’alimentation scolaire durable et intégrant tous les secteurs de l’éducation, de la santé, de l'agriculture, de l’hygiène et de l’assainissement. Pour le ministre béninois des Enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou, ce don du Royaume de l’Arabie Saoudite arrive à point nommé en cette veille des évaluations et examens de fin d’année scolaire. Il permettra aux écoliers concernés de bénéficier d’apport énergétique avec la consommation de ces dattes. A travers ce geste, l’Arabie Saoudite vient de donner au Bénin les moyens non seulement de réduire les abandons scolaires dûs entre autres, à la mauvaise qualité de l’alimentation scolaire et d’améliorer les performances des enfants mais aussi de leur apporter des repas nutritifs, fait constater le ministre. Il a promis de faire acheminer l’ensemble des dattes vers les bénéficiaires répartis sur toute l’étendue du territoire national. Salimane-Karimou a remercié, au nom du président de la République, Patrice Talon, le gouvernement saoudien pour tous ses efforts pour maintenir les relations d’amitié, de fraternité et de coopération entre les deux pays. Lesquelles relations ont souhaité voir se renforcer davantage le représentant du ministre saoudien des Finances, Abdul-Rahman Al-Salloumet Khalaf Al-Otaibi, représentant du centre King Salam pour l’Appui humanitaire qui sont tour à tour intervenus en langue arabe. Ils ont précisé que ce don de 72 tonnes de dattes s’inscrit dans le prolongement de l’aide du Royaume d’Arabie Saoudite visant à « fournir de l’assistance à ceux qui en ont le plus besoin et où qu’ils soient ». bibo:pages 13 -- o:id 7159 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7159 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7176 26462 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/18eb50c6b9776c4caf8aeca9d718cb9be839b4f8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/71f745492cf12f1f09c9211715ac8e544c1253a1.tiff dcterms:title Religion et éducation : intégrer l'Islam au milieu scolaire dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1528 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/581 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14961 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/728 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1999-09-08 dcterms:identifier iwac-article-0003299 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le siège de la Commission nationale béninoise pour l’UNESCO à Porto-Novo abrite depuis lundi dernier un stage régional de formation des formateurs pour l’intégration de l’éducation islamique en matière de population dans les programmes d’enseignement. Cette rencontre prévue pour durer du 06 au 12 septembre 1999 a pour but de recycler des professeurs et des directeurs, véritables courroies de transmission des enseignements du prophète Mahomet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/410 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le siège de la Commission nationale béninoise pour l’UNESCO à Porto-Novo abrite depuis lundi dernier un stage régional de formation des formateurs pour l’intégration de l’éducation islamique en matière de population dans les programmes d’enseignement. Cette rencontre prévue pour durer du 06 au 12 septembre 1999 a pour but de recycler des professeurs et des directeurs, véritables courroies de transmission des enseignements du prophète Mahomet. «Assalam Malaikoum Wa Rahmatou Allah Wa Barakatouh». C’est par cette prière solennelle que Mme Mariama N’Diaye, représentant le directeur de l'Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ISESCO) a officiellement ouvert ce séminaire international. Pour Mme Mariama N’Diaye, «le rythme de croissance démographique étant lié au comportement humain et social, l’éducation en matière de population est devenue incontournable dans le processus de formation des générations futures. A cette fin, toutes les ressources intellectuelles morales et traditionnelles doivent être mobilisées». C’est pourquoi, continue Mme Mariama N’Diaye: «... il est plus urgent que par le passé de semer, parmi la population scolaire, les germes d'un comportement conforme aux principes islamiques et, naturellement, propices aux plans de développement économique et social». Les motifs de la rencontre Pendant six jours, les animateurs des écoles coraniques du Niger, du Burkina Faso, du Sénégal, du Mali, du Tchad et leurs homologues béninois vont réfléchir sur les voies et moyens pour une bonne infiltration de l’éducation coranique dans l’enseignement. Un leitmotiv qui a reçu l’aval de M. Rigobert Kpanikpa Kouagou, représentant le ministre de l’Education nationale et de la Recherche scientifique empêché. M. Kouagou a souligné que ce stage est venu à point nommé. Car selon lui, cette rencontre «a pour objectif d’aider les jeunes à appréhender de près les problèmes liés au «phénomène population» dans tous les domaines de la vie humaine et à envisager les moyens de les résoudre de manière responsable. bibo:pages 6 -- o:id 7160 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7160 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7177 26463 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/dcefab695841ff388f152b5767ef9e012ff5fa3c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/556c683da6e634575e665e93a64039dda2d29d06.tiff dcterms:title Audience au CES : le représentant de la Ligue islamique au cabinet de M. Toukourou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/773 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1999-10-18 dcterms:identifier iwac-article-0003300 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le représentant de la Ligue islamique mondiale, Mahamat Saleh Hamid, a été reçu vendredi dernier par le président du Conseil Economique et Social (CES), M. Raphiou Toukourou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le représentant de la Ligue islamique mondiale, Mahamat Saleh Hamid, a été reçu vendredi dernier par le président du Conseil Economique et Social (CES), M. Raphiou Toukourou. Au centre du tête-à-tête entre les deux personnalités, la question du développement du Bénin et la contribution que la Ligue pourrait apporter. Au sortir du cabinet du président du CES, M. Mahamat Saleh Hamid a déclaré que la Ligue islamique est une organisation internationale installée au Bénin depuis vingt ans et menant des activités dans les domaines de la santé et de la culture. Aux dires du représentant, la Ligue a réalisé un certain nombre d’infrastructures au Bénin. Il s’agit notamment de deux centres de santé dont un à Porto-Novo et un autre à Cotonou et d’autres infrastructures à Djougou. Dans le domaine culturel, a-t-il poursuivi, la Ligue projette de construire des écoles coraniques et des Mosquées. Aussi, cette Ligue intervient-elle dans l’organisation du pélérinage à la Mecque en mettant gratuitement à la disposition des fidèles, des visas. M. Hamid ne manquera pas de remercier le gouvernement béninois qui, a-t-il indiqué, ne ménage aucun effort pour faciliter la tâche à la Ligue dans l’accomplissement de sa mission. bibo:pages 4 -- o:id 7161 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7161 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7178 26464 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3614f824858bd9f74230b6e0df6ec4a3f8c40cca.pdf https://islam.zmo.de/files/original/746f8264094220ad43712053004b04cb1a312790.tiff dcterms:title Pèlerinage à la Mecque : "L'Etat béninois doit reprendre en mains l'organisation du Hadj" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1496 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1513 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1999-04-06 dcterms:identifier iwac-article-0003301 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Partie de Lomé le 12 mars dernier par la compagnie Ethiopian Airlines pour effectuer le traditionnel pèlerinage à la Mecque, Hadja Yassarat Amadou est rentrée le vendredi 2 avril dernier dans le lot du premier contingent béninois. Elle évoque dans l’entretien qui suit le séjour des pèlerins béninois à la Mecque les conditions et les tracasseries rencontrées sur les lieux saints, le retard dans l’acheminement des pèlerins de l’aéroport de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Partie de Lomé le 12 mars dernier par la compagnie Ethiopian Airlines pour effectuer le traditionnel pèlerinage à la Mecque, Hadja Yassarat Amadou est rentrée le vendredi 2 avril dernier dans le lot du premier contingent béninois. Elle évoque dans l’entretien qui suit le séjour des pèlerins béninois à la Mecque les conditions et les tracasseries rencontrées sur les lieux saints, le retard dans l’acheminement des pèlerins de l’aéroport de Cotonou. La Nation: Comment s’est passé cette année le pèlerinage à la Mecque? Hadja Yassarat Amadou: Le pèlerinage s’est bien passé dans son ensemble. A ma connaissance, il n’y a pas eu de mort du côté béninois. Nous remercions beaucoup Dieu. La Nation: Selon des informations qui nous sont parvenues, il y aurait eu beaucoup de difficultés au départ avec les pèlerins béninois qui ont dû passer plus d’une semaine à l’aéroport de Cotonou avant de s’envoler. Comment expliquez-vous ce phénomène? H. Y.A.: Ce phénomène est dû au manque d’organisation du pèlerinage au Bénin. Je crois que l’Etat béninois devrait prendre en charge ce secteur. Les convoyeurs béninois pour moi, ce sont des gens cupides. Ils ne voient que l’argent. Le confort du pèlerin ne les intéresse pas du tout. Ce n’est pas normal. Quelqu’un qui quitte chez lui pour un voyage spirituel ne peut pas être abattu moralement en passant la nuit à la belle étoile plusieurs jours avant le départ. Comment voulez-vous que ce pèlerin qui est déjà abattu ait la force de continuer? Mais Dieu merci, des gens interprètent cela sur le plan spirituel en se disant même que c’est le pèlerinage qui commence déjà à l’aéroport de Cotonou. Pour ma part, il est souhaitable que l’Etat béninois revoie un peu ce problème. La Nation: Est-ce à dire que les convoyeurs retenus par le Bénin ont été défaillants? Quel moyen avez-vous emprunté de votre côté? H.Y.A.: Moi, je suis partie par Lomé, j’ai pris «Ethiopian Airlines». On n’a eu aucun problème. Au Bénin, les convoyeurs béninois se sont regroupés pour affréter un vol étranger qui n’est pas arrivé au moment opportun. Ils ont dû se rabattre sur une compagnie nigériane «Kabo Airlines qui a finalement aidé nos pèlerins à effectuer ce voyage. Tout ceci est la preuve d’un manque d’organisation et ce n’est pas normal. La Nation: Comment se sont déroulés l’hébergement, l’accueil et l’encadrement sanitaire de nos pèlerins à la Mecque? H. Y. A.: En ce qui concerne l’encadrement de nos pèlerins, laissez-moi vous dire qu’il reste beaucoup à faire. D’abord, les gens se retrouvent par groupes. Les convoyeurs béninois voyagent avec leur médecin. Les représentants du gouvernement béninois ne se retrouvent pas dans tous les groupes. Et le Bénin n’a pas de représentant à la Mecque; ce qui fait que notre pays n’y est pas connu. C’est par exemple à notre arrivée que nous cherchons les lieux d’hébergement en dehors du cas du groupe de «Ambekem Affiz». «Pour les autres groupes, c’est à l’arrivée que les convoyeurs recherchent pour les pèlerins des lieux d’hébergement. Ce qui crée aux pèlerins déjà fatigués des problèmes supplémentaires. Puisqu’on arrive, deux jours après le départ de Cotonou, très fatigué. Et on n’a pas tout de suite quelque part où on peut faire ses besoins ou prendre une douche. Ce n’est pas normal. Les pèlerins des autres pays sont encadrés par les membres de leur gouvernement. Le Sénégal est très bien positionné à la Mecque. Il en est de même pour le Niger et le Nigéria qui sont très bien connus par les Arabes. Et ils s’occupent très bien de leurs pèlerins. Dès que les pèlerins originaires de ces pays arrivent, ils sont tout de suite logés. Les difficultés que connaissent ceux qui, comme nous, prennent par «Ethiopian Airlines» dépassent encore le cas des convoyeurs béninois. Nous sommes laissés pour compte. Les nouveaux pèlerins qui ne s’y connaissent pas sont perdus. Et les anciens, surtout les femmes, gardent jalousement les secrets des lieux saints surtout En ce qui concerne les rites, il faudrait que dans chaque groupe, que ce soit du côté des hommes ou des femmes, il y ait quelqu’un qui dirige. Sinon, les femmes par exemple se retrouvent toutes seules. Parce que les lieux des rites sont délimités par rapport au sexe. Les femmes sont d’un côté et les hommes de l’autre. Du côté des femmes, pour le Bénin, il n’y a pas de dirigeants ni d’éclaireurs. Excusez-moi, la plupart des femmes expérimentées vont à Djeddah pour les affaires abandonnant ainsi leurs soeurs dans l’ignorance. 90% seulement des pèlerins vont effectivement à la Mecque pour prier Dieu. Ainsi, la majorité des pèlerins se débrouille. Mais comme c’est pour exécuter des rites spirituels, Dieu nous aide à nous en sortir. La Nation: Hadja, dans ce cas précisément, êtes-vous intervenue en faveur de nos pèlerins? H.Y.A.: Moi, j’ai pu faire ce que Dieu m’a demandé de faire en ce qui concerne l’aide à mes consoeurs. J’ai beaucoup aidé les consoeurs. En ce qui concerne les femmes avec qui je suis restée dans la même chambre, je crois que c’est moi qui leur dit ce qu’il faut faire à chaque étape. La Nation: Hadja, dans la même foulée, avez-vous été informée que des pèlerins étrangers auraient bénéficié de titres de voyage béninois? H.Y.A.: Ceci est un fait que j’avais remarqué depuis l’année dernière. Il y a un convoyeur togolais qui vient spécialement à Cotonou pendant la période d'avant le voyage pour l’émission de titres de voyage à ses pèlerins. C’est un fait que j’ai dénoncé en son temps. Mais ça n’a pas été corrigé et s’est répété cette année, ce n’est pas normal. Puisque cet état de choses nous crée des préjudices. A l’aéroport, on ne sait pas qui est qui. Tout le monde étant détenteur de titres de voyage ou même de passeports béninois. Une fois à la Mecque, les Arabes ne savent pas du coup qui est Béninois et qui ne l’est pas. Ce qui fait que les tentes réservées aux Béninois sont envahies par des étrangers. En dehors des Togolais, il y a aussi des Burkinabè. L’année dernière j’ai eu un Burkinabè détenteur de titre béninois mais inscrit dans le groupe des Togolais. Ce qui a fait que cette année-là c’est difficilement que nous avons pu embarquer de Djeddah pour le retour à Cotonou. Parce que les Arabes ont dû remettre nos passeports aux convoyeurs togolais et nous ont remis les titres de voyage des Togolais. Car tous ces titres portent la mention République du Bénin suivi de notre drapeau. C’est au bout d’une lutte terrible que nous avons pu effectuer le voyage retour l’année dernière. La Nation: En quoi, le pèlerinage de cette année revêt-il une particularité? H.Y.A: La particularité du pèlerinage de cette année réside dans le fait que ta fête (le Hadj) s’étant déroulée un vendredi à la Mecque, cela confère à chacun des pèlerins présents sur les lieux Saints à cette date, l’avantage ou le gain de 7 pèlerinages en une seule fois. Quant aux -explications et aux détails, je vous prierais de vous référer aux islamologues. Quant à mon dernier mot, il exprime un souhait. En effet, je suggère qu’à l’avenir, le gouvernement béninois prenne l’organisation du pèlerinage en charge et que les prochains pèlerinages soient organisés par l’Etat. D’autre part, il urge que le Bénin ait un représentant à la Mecque. bibo:pages 3 -- o:id 7162 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7162 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7179 26465 26466 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6ba73e2fff4eccde43383a2e2f6dcc5aeb146903.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9e7b877fe0e827a682e96a7a952bdd52140058be.tiff https://islam.zmo.de/files/original/72e9a670a738eca29c34725116387857a1dde203.tiff dcterms:title L'AMAI vole au secours des populations rurales du Borgou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1559 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14083 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1999-06-03 dcterms:identifier iwac-article-0003302 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A la tête d'une importante délégation dont deux médecins et une assistante de l'hôpital de Ouando dans l’Ouémé, le Dr Mohamed O. Hakimi, représentant régional de l’Association mondiale pour l’appel à l’Islam (AMAl) s’est rendu du 20 au 23 mai 1999 dans le département du Borgou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15414 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A la tête d'une importante délégation dont deux médecins et une assistante de l'hôpital de Ouando dans l’Ouémé, le Dr Mohamed O. Hakimi, représentant régional de l’Association mondiale pour l’appel à l’Islam (AMAl) s’est rendu du 20 au 23 mai 1999 dans le département du Borgou. Le but de cette tournée médico-humanitaire est de soulager les populations rurales de leurs problèmes de santé primaire et de besoins vitaux physiques et physiologiques. En effet, les populations de Goro, Kinnou Kpanon, Badé-Kporou Fobouré, Soka et Guessou-sud ont reçu des consultations, des soins et des médicaments gratuits; ils ont également reçu du riz et des vêtements. Le Préfet du Borgou Monsieur Zour Karneini Toungouh saluant l’heureuse initiative de l’Association Mondiale pour l’Appel à l’Islam (AMAI) a présenté ses remerciements, ceux des populations et du Gouvernement béninois à la Délégation Lybienne pour sa constante sollicitude à l’égard des déshérités et a souhaité voir s’étendre les tournées à tous les autres départements du Bénin. CHEIK OMAR GNANGN bibo:pages 1 4 -- o:id 7163 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7163 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7180 26467 26468 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e10df37e980946992902b7237be4aeaf9f5df9e2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7e2554a22d29af9a54268b6714c408b0c00e1d2d.tiff https://islam.zmo.de/files/original/c2dd5c51a56d317ce70533418d59fb06db50451a.tiff dcterms:title La communauté musulmane a célébré samedi dernier dans l'allégresse la fête de la Tabaski dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1513 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1396 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1999-03-29 dcterms:identifier iwac-article-0003303 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Plus que des réjouissances, les musulmans ont fêté samedi et hier dimanche la Tabaski avec beaucoup de piété et d'allégresse. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Plus que des réjouissances, les musulmans ont fêté samedi et hier dimanche la Tabaski avec beaucoup de piété et d'allégresse. En effet, la communauté musulmane du Bénin a célébré, il y a 48 heures, la fête de l’Aid-El-Kébir plus connue sous le nom de la Tabaski. Si à l’intérieur du pays et plus particulièrement à Porto-Novo, les manifestations ont été très remarquables et ont mobilisé beaucoup de fidèles de l’Islam. Samedi à Cotonou, la fête n’a pas connu l’ampleur habituelle. La raison réside dans la coïncidence de ladite fête avec les funérailles de Mgr Isidore de Souza, dont les obsèques avaient lieu le même jour. Cet événement n’a néanmoins pas empêché les fidèles de sacrifier à la tradition. Sur les places de prière appelées places Idi, les musulmans se sont rassemblés dès 9 heures pour invoquer Allah, le Tout-Puissant et pour implorer ses bénédictions après cette longue période de carême qui, cette année, a coïncidé avec les fêtes du Nouvel An. Après la prière, certains ont procédé aux sacrifices selon le rite traditionnel religieux. Pour d’autres, il a fallu attendre hier dimanche pour immoler les moutons et chèvres. Les repas copieux, les réjouissances et les agapes devaient occuper la soirée de samedi et surtout la journée d’hier dimanche. Ces manifestations qui ont conduit par ailleurs des musulmans de Cotonou surtout les jeunes à une sortie touristique dans la soirée. Ils étaient très nombreux à envahir les plages de la capitale économique pour des pique-niques débordants de chants et de danses. Ils ont été même surprit par la tombée de la nuit. bibo:pages 1 3 -- o:id 7164 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7164 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7181 26469 26470 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9a10a8c96164494bca4dcdbb95eeba5b14496861.pdf https://islam.zmo.de/files/original/95c2747e944e112ccc17a9cfa8bd84be6a144f05.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6b3bdd598a8c382ca9b3cfbc4e2f6943d986155c.tiff dcterms:title Hadj-99 : quelle compagnie aérienne transportera les pèlerins béninois? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14563 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14106 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1999-02-16 dcterms:identifier iwac-article-0003304 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Bientôt des musulmans se rendront au lieu Saint de l'Islam pour y être confirmés ou reconfirmés Hadj. Préparant cet événement, des prétendants à la Mecque souvent confrontés à des difficultés de transport aérien ont pris l’initiative par l’entremise de l’homme d’affaires béninois Issa Sanyo, la compagnie Euroworld Travel Ltd. La réunion de prise de contact entre les deux partenaires s’est déroulée le samedi 13 février dernier. C’était à la Mosquée centrale de Zongo, siège du Conseil national des organisateurs du pèlerinage à la Mecque (CONOPEM-Bénin). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Bientôt des musulmans se rendront au lieu Saint de l'Islam pour y être confirmés ou reconfirmés Hadj. Préparant cet événement, des prétendants à la Mecque souvent confrontés à des difficultés de transport aérien ont pris l’initiative par l’entremise de l’homme d’affaires béninois Issa Sanyo, la compagnie Euroworld Travel Ltd. La réunion de prise de contact entre les deux partenaires s’est déroulée le samedi 13 février dernier. C’était à la Mosquée centrale de Zongo, siège du Conseil national des organisateurs du pèlerinage à la Mecque (CONOPEM-Bénin). C’est suite à une assemblée générale des organisateurs du pèlerinage à la Mecque qu’il a été décidé de la signature d’un contrat de transport avec la compagnie de transport aérien de M. David Smith. Sur la trentaine d’associations membres du CONOPEM, une bonne vingtaine a approuvé cette décision. Quelque huit organisations sont encore hésitantes, redoutant une certaine issue malheureuse de l’initiative. Mais, M. David Smith très honoré de voir sa compagnie retenue pour transporter les pèlerins béninois de Cotonou à Djeddah, a rassuré que sa compagnie, forte de trente années d’expérience, a comme devise première la sécurité. Mais cette assurance n’a pas empêché les responsables du CONOPEM-Bénin de chercher à avoir des éclaircissements sur les questions relatives aux bagages, aux royalties, au calendrier... Du retour de la Mecque, les pèlerins portent souvent avec eux plus de bagages qu’à l’aller. Ils se heurtent alors à des difficultés quant au transport de ces bagages. La convention de navigation aérienne prévoit 20 kg par passager, répond M. Issa Sanyo qui ajoute que le poids autorisé pour les bagages à main est, lui, laissé à la discrétion de chaque aéroport. Par conséquent, et afin que les pèlerins puissent transporter plus de bagages de leur retour de la Mecque, un modus vivendi devra être trouvé pour réduire de 342 à 282 passagers. Ainsi donc, les poids des bagages pourront compenser ceux des passagers. Selon l’homme d’affaires qui a mis le CONOPEM-Bénin en contact avec Euroworld Travel Ltd, si l’avion transporte 342 passagers, il sera astreint à une escale. Ce qui n’est pas tellement souhaité par les pèlerins. Pour transporter les passagers restants, il est prévu, outre les six vols réglementaires, un vol supplémentaire. S’agissant des royalties qui doivent être payées, M. Issa a indiqué que si l’Etat béninois s’y prend à temps, vu qu’il est question de pèlerinage, les pèlerins peuvent en être exemptés. Le calendrier de transport, promettent les partenaires du CONOPEM, ne sera arrêté que sur la base des programmations du pèlerinage. Au cours de cette réunion de près de deux heures d’horloge, la question de signal spécial, à chaque fois qu’on loue un avion, a été posée. Le signal coûte 15.000 dollars US. Mais peut-on, pour des situations spéciales l’obtenir à moindre coût? Le tout dépend et du dynamisme du CONOPEM et de la bonne volonté du ministère des Travaux publics et des Transports d’aider les pèlerins. bibo:pages 1 6 -- o:id 7165 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7165 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7182 26471 26472 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fde7a5350046c3a348082034474b5911b984bc0a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/85444cd6def0fc8e325c7e2848682de6d6aca76d.tiff https://islam.zmo.de/files/original/88945c480260c9b73609dc70a13bf4e87554312d.tiff dcterms:title Célébration de la fête du Ramadan à Cotonou : prière pour le respect des lois divines dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1969 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1999-01-19 dcterms:identifier iwac-article-0003305 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans du monde entier ont célébré hier lundi 18 janvier 1999, la fête d'Aïd El Fitr marquant la fin du jeûne. A Cotonou, les fidèles se sont réunis à la place ldi à Akpakpa pour écouter le sermon de l’Iman (Indien) de la Mosquée centrale de Jonquet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans du monde entier ont célébré hier lundi 18 janvier 1999, la fête d'Aïd El Fitr marquant la fin du jeûne. A Cotonou, les fidèles se sont réunis à la place ldi à Akpakpa pour écouter le sermon de l’Iman (Indien) de la Mosquée centrale de Jonquet. Dans son sermon, l’Iman Cheik Mahfouz Rahmane a prié pour toute la communauté musulmane du Bénin. Il a prié également pour qu’au sortir de ce mois de jeûne, la communauté soit respectueuse des lois divines. Cheik Mahfouz a rappelé la recommandation du prophète Mahomet qui indique six jours de jeun supplémentaires car selon lui, 36 jours de jeûne correspondent à toute l’année. La particularité de la cérémonie de cette année a été que la prière a été dirigée par un étranger. Ceci, parce qu’à la mort de l’Iman Kélani Liamidi de la mosquée de Jonquet, les fidèles n'ont pu s’entendre pour désigner son successeur. Ainsi, deux tendances se sont dégagées de la communauté musulmane. Alors, pour assurer une certaine neutralité à la tête de la mosquée, l’Iman Cheik Mahfouz Rahmane a été désigné. Ainsi, en ont voulu les fidèles de la communauté musulmane. Rappelons que Cheik Mahfouz Rahmane est d’origine indienne. Il est le représentant de l’Arabie Saoudite au Bénin. Rappelons enfin que durant ce mois de Ramadan, les musulmans physiquement aptes s'abstiennent de manger, de boire, de fumer et d'avoir des relations sexuelles de l'aube au coucher du soleil. bibo:pages 1 3 -- o:id 7166 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7166 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7183 26473 26474 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/165c1f2deff7ddf99a7722da3e14fe268411d4cb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ec1cd49620677a81d0b9127e2dd2ec4b045629e3.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6c9dc459b36da03425e8ee58cb27489ed802d08c.tiff dcterms:title Libye-Bénin : un émissaire béninois se convertit à l'Islam devant le colonel Kadhafi dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/51 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15458 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-08-14 dcterms:identifier iwac-article-0003306 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Un émissaire présidentiel béninois a choisi de se convertir à l’Islam, en faisant sa profession de foi devant le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, auquel il remettait un message du président Mathieu Kérékou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/403 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Un émissaire présidentiel béninois a choisi de se convertir à l’Islam, en faisant sa profession de foi devant le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, auquel il remettait un message du président Mathieu Kérékou. Selon l’agence libyenne JANA, Domingo Seriala était chargé avec un autre émissaire, Ahmad Karim, de remettre mercredi dernier au colonel Kadhafi «un message d’amitié» du président béninois au colonel Kadhafi, en convalescense depuis son opération au col du fémur le mois dernier. Au cours de l’entrevue, diffusée hier par la télévision d’Etat libyenne, M. Seriala a annoncé au colonel Kadhafi qu’il avait «décidé de se convertir à l’Islam devant lui, par reconnaissance pour son rôle dans la propagation de l’islam dans le monde». Il a ensuite récité les deux professions de foi en un seul Dieu et en Mohammad comme son prophète, condition nécessaire et suffisante pour devenir musulman. Selon la télévision, M. Seriala aura dorénavant pour prénom Nasser. Une cérémonie a été organisée en son honneur par l'Appel islamique mondial, un important organisme basé à Tripoli et qui finançait durant les années 1970 et 1980 de nombreux projets culturels et sociaux en Afrique. Les sanctions imposées à la Libye en 1992, ont, depuis, réduit ses moyens financiers. (AFP) bibo:pages 1 12 -- o:id 7167 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7167 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7184 26475 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/88bb36b6945eda65647cbd9cd9f9b67fc7982531.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c666c4a75eaa0197cee657bfa5bb983da8cc7c26.tiff dcterms:title Point de vue sur la laïcité de la République du Bénin. La République du Bénin est une et indivisible, laïque et démocratique Art 2 : réalité ou mythe? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1569 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1377 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2039 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13024 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-07-02 dcterms:identifier iwac-article-0003307 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Cette question m’obsède depuis longtemps et davantage encore après la formation du nouveau gouvernement de Kérékou II. En effet, après la formation du gouvernement II de Kérékou II, certains individus tiennent des propos discourtois à l’endroit du chef de l’Etat. Si certains intellectuels qui ne sont pas tarés font un mauvais usage du mot «laïcité» au point de galvauder son sens, voici ma réponse personnelle. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14687 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/440 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/554 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Cette question m’obsède depuis longtemps et davantage encore après la formation du nouveau gouvernement de Kérékou II. En effet, après la formation du gouvernement II de Kérékou II, certains individus tiennent des propos discourtois à l’endroit du chef de l’Etat. Si certains intellectuels qui ne sont pas tarés font un mauvais usage du mot «laïcité» au point de galvauder son sens, voici ma réponse personnelle. Pour leur propre gouverne, le petit dictionnaire Larousse dit ceci: «Laïcité» système qui exclut les églises de l’exercice du pouvoir politique ou administratif et en particulier de l’organisation de l’enseignement public. Tout le monde sait qu’autrefois, l’église était inféodée à l’Etat en France. Ce temps est fini avec Louis XIV, le roi-soleil lequel incarnait l’absolutisme royal, l’imposant même à l’église - l’on connaît la suite avec la révocation de l’édit de Nantes en 1685. Qu’importe! si le président Kérékou tient dans une main le bréviaire ou dans l’autre la Sainte Bible. Où est le problème? Il n’oblige personne à porter sa croix et à le suivre. En Europe, il existe la démocratie chrétienne, mouvement cherchant à concilier les principes démocratiques et les exigences de la foi chrétienne. La démocratie chrétienne s’est développée en France à la fin du 19è siècle et il y fut au pouvoir avec le MRP après la Seconde Guerre mondiale. Elle (La démocratie chrétienne) joue un rôle primordial dans la vie politique de la Belgique (Parti social chrétien) de l’Allemagne fédérale (CDU), de l’Autriche (Parti populiste) et de l’Italie (PCD) ne pas confondre avec le parti communiste du Dahomey. Entre nous, soit dit: Est-ce un péché qu’un chef d’Etat dise qu’il a placé son mandat sous la protection du Tout Puissant Dieu, Allah! Croyez-vous que la conférence des forces vives de la nation aurait réussi si elle n’a pas été présidée par un homme de Dieu Mgr de Souza? Quand on sait tous les Alphas et autres marabouts de Cognac et de Whisky qui avaient élu domicile auparavant au PLM-Aléjo dans le but de faire échouer cette conférence? Le bouillant capitaine Tawès qui n’est pas un «tâcheron de garnison» «officier porte-galons» «s’en foutre et rendre compte», refusant de jeter les armes pour ne pas trahir le général, tant le péril était grand, dit avoir rencontré avec toute sa famille, la lumière du monde, le Tout Puissant, en prêchant le pardon, l’amour et la Foi en Dieu. L’homme a enfin compris que Dieu est amour. Et celui qui dit j’aime Dieu et qui n’aime pas son prochain est un menteur. La plupart des détracteurs du président Kérékou sur ce point de vue ont placé tous leurs enfants dans les écoles, collèges, séminaires catholiques ou protestants. Pleins de talismans aux reins, dans les poches, et diverses bagues de toutes couleurs aux doigts, ils sont les premiers chaque dimanche devant la Table Sainte à recevoir le corps et le sang de Jésus-Christ, Fils de Dieu dont ils ne veulent pas entendre la bonne nouvelle qui est la vie éternelle que prêcherait le général-président que des groupuscules et quelques étourneaux et frelons sans ruche racontent çà et là que le général Kérékou n’est pas un vrai chrétien catholique, qu’importe! C’est Dieu seul qui le jugera sur ses bonnes et mauvaises actions. Certains Béninois de peu de foi vont jusqu’à affirmer que la statue de Lénine retournera très bientôt à sa place qui serait en train d’être aménagée et que l’ère du PRPB (Parti de la révolution populaire du Bénin) n’est pas loin et vient à pas de velours malgré la Sainte Bible. ô chers compatriotes que vous savez de lugubres histoires ! Dieu a voulu que le Général Kérékou revienne au pouvoir. Nous l’avons, grâce à l’inspiration du Saint Esprit prédit le retour du général au pouvoir. «Le forum de la semaine» votre journal dans lequel nous avons écrit l’article intitulé: «Charles de Gaulle et Mathieu Kérékou. Deux généraux - deux destins», a expliqué dans les moindres détails, les circonstances dans lesquelles il sera porté au pouvoir. Et les faits nous ont donné raison. Certains politiciens qui se croient au faîte de la gloire éphémère de ce monde qui finit, prétendent que c’est eux qui sont allés chercher le général pour reprendre le pouvoir. Chers faiseurs de roi, je vous concède volontiers que vous avez raison. Si le ridicule pouvait tuer certains Béninois! Point de vue sur la formation du nouveau gouvernement de Kérékou II Monsieur le président de la République, nous portons très respectueusement à votre déférente autorité, les conseils que voici: Chrétien comme vous, marchons sous l’impulsion de l’esprit - Le fruit de l’esprit: «- Amour, joie, paix, patience, bonté, bienveillance, foi, douceur, maîtrise de soi». Les quatre vertus cardinales qui doivent nous guider: Force, prudence, tempérance, et justice. Notre Seigneur Jésus-Christ en qui vous croyez a pardonné l’apôtre Pierre. Il l’a maintenu à son poste, chef de son église et premier des apôtres. Pourtant l’apôtre Pierre a renié 3 fois son Seigneur. C’est cela l’Amour que Dieu nous enseigne. Aujourd’hui vous êtes le père de tous les Béninois. Quelle que soit la faute ou l’erreur commise par le maître Adrien Houngbédji, Dieu étant Amour vous impose de le remettre au bercail, car il n’y a pas de brebis irrémédiablement galeuse. L’homme qui crée «zizanie» autour de vous, qui veut à tout prix abattre «l’élément gênant» qu’est Adrien Houngbédji, cet homme vous ne le connaissez pas. Le pt Léopold Sédar Senghor connaît sa radioscopie et très tôt sur ses conseils, il n’a pas fait long feu dans le premier gouvernement de ce pays. Pour avoir la paix, on lui trouva un bon poste à l’étranger. Ainsi, tout le monde est tranquille. Il a un complexe de supériorité. Sans Adrien Houngbédji il n’y a pas Kérékou II. Tout le monde le sait. Nous ne sommes pas du PRD. Nous écrivions contre lui dans le temps. C’était de bonne guerre. Mais nous avons horreur de l’injustice et de la méchanceté. Le maître Adrien Houngbédji a été payé en monnaie de singe pour le service qu’il a rendu à ce pays. Mr le président, je vous prierais de. revoir la formation du gouvernement IL Car tous ceux-là qui se passent pour des membres de la société civile ne sont pas apolitiques Chacun milite clandestinement ou ouvertement dans un parti. Les services de police peuvent vous informer sur chacun d’eux. Et tous ces verbeux qui ne veulent pas de Me Adrien Houngbédji ne représentent que leur ombre. Vous aurez le temps de vous en rendre compte aux prochaines législatives. Tout récemment, nous étions dans la vallée de l’Ouémé. C’est le maître Houngbédji qui règne dans ce grenier de l’Ouémé. M. Gbadamassi Moucharafou contrôle toute la ville de Porto-Novo. Dans Houlènou (Sèmè-Podji) qui peut affronter les militants PRD de Polydisco? Son épouse est le sous-préfet de la région. Même si on la déplace, le problème ne sera pas résolu. L’actuel ministre de la Justice qui est un ami de vieille date aura du pain sur la planche pour détrôner le PRD de Houlènou. C’est évident! En conclusion, monsieur le président, il faut tout faire pour que le maître Adrien Houngbéji et ses ministres retrouvent leur place. C'est la justice! L’avenir de notre capitale Porto-Novo en dépend. Merci pour la compréhension. bibo:pages 12 -- o:id 7168 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7168 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7185 26476 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b2487e93b694f575c82823011318da986971f6f9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c855b95cc0032caf4127fd3fbf10d06d7a5eead6.tiff dcterms:title Forum national sur sida et religion : impliquer les leaders religieux et traditionnels dans la lutte contre le sida dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14329 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14647 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/34 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15461 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-05-28 dcterms:identifier iwac-article-0003308 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Ouvert lundi dernier par le ministre de la Santé publique Mme Marina d’Almeida Massougbodji, le Forum national sur sida et religion a clos ses travaux hier à l’hôtel Palm Beach au PK 10 sur la route de Porto-Novo. Au terme de ces assises, les représentants des religions et cultes traditionnels ont pris l’engagement de s’impliquer davantage dans la lutte contre le sida. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Ouvert lundi dernier par le ministre de la Santé publique Mme Marina d’Almeida Massougbodji, le Forum national sur sida et religion a clos ses travaux hier à l’hôtel Palm Beach au PK 10 sur la route de Porto-Novo. Au terme de ces assises, les représentants des religions et cultes traditionnels ont pris l’engagement de s’impliquer davantage dans la lutte contre le sida. Avec un taux de 3,6% en 1997, le Bénin figure certes parmi les pays à faible prévalence du VIH/ Sida. Mais si des actions réalistes et concertées ne sont pas menées, le Bénin risque de rejoindre les pays à fort taux de prévalence du VIH/ Sida. Pour mener efficacement la lutte contre ce mal encore incurable, il est donc impérieux d’associer toutes les catégories de personnes et d’institutions. C’est ce qui justifie la tenue de ce forum national qui regroupe plus d’une centaine de participants représentant les religions et cultes traditionnels, les ONG et autres institutions. Organisé par le Programme national de lutte contre le sida (PNLS) avec l’appui financier de l’Agence américaine pour le développement international (USAID), ce forum vise deux objectifs principaux: informer les participants sur la maladie sida et leur permettre d’adopter des stratégies de lutte contre ce mal. «Quand on connait l’impact social des religions en général et le poids de la communauté religieuse en particulier sur les populations, on peut s’attendre à ce que ce forum inaugure une nouvelle approche dans la lutte contre le sida au Bénin», a notamment déclaré le représentant-résident de l’USAID au Bénin M. Thomas Park, à l’ouverture de ces assises. En organisant ce forum, le PNLS attend donc beaucoup des leaders religieux et traditionnels. Pour le coordonnateur du programme, le professeur Sévérin Anagonou, il y a déjà quelque chose de positif qui se dégage de ces assises. «Nous sommes satisfaits d’abord par leur présence massive, ensuite, ils ont tous, malgré quelques réticences, admis que le sida est une maladie et non une malédiction de Dieu et que par rapport à cela, il faut lutter contre cette maladie surtout que le nombre de malades ne cesse d’augmenter», a-t-il affirmé. Le Pr Anagonou a également rapporté que les participants ont pris l’engagement d’aider les médecins et autres personnes à lutter contre le sida. «Ils ont compris que le sida n’est plus seulement l’affaire des médecins, mais de nous tous», a ajouté le professeur. Au nombre des actions retenues, on retient la sensibilisation et le renforcement de la mobilisation sociale autour du sida auxquelles ils ont décidé de consacrer une semaine dans l’année. Poursuivre les actions déjà engagées Il faut signaler que la plupart des participants ont reconnu que ce furom leur a permis de mieux connaître le sida. Si certaines religions et chefs de cultes traditionnels faisaient déjà la sensibilisation à leur niveau, c’est après ce forum que d’autres essayeront de rattraper le train en marche. Au nombre des religions ayant très tôt pris en compte la question du sida figure l’Eglise Catholique. A travers son projet Sèdékon piloté par Caritas, le volet prise en charge des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) a pu trouver un parrain. A en croire M. André Daniel Agueh, administrateur du Projet, c’est en 1986 c’est-à-dire dès la découverte du 1er malade au Bénin, que la Caritas a démarré ses activités en faveur des PVVIH. La prise en charge spirituelle occupe également une bonne place dans ce projet. Pour M. Agueh, il s’agira, après ce forum, de poursuivre les activités en faveur des PVVIH et dans le domaine de la prévention en insistant sur la position de l’Eglise Catholique qui prône la fidélité et l’abstinence. Pour sa part, le représentant du Conseil des Rois du Bénin, le Roi de Kouandé, Sa Majesté Bagana Ourou Sourou II, estime qu’il faut renforcer la sensibilisation qui se fait déjà à leur niveau. Somme toute, cette rencontre de trois jours aura permis aux leaders religieux et traditionnels du Bénin, de prendre conscience du rôle qui est le leur dans la lutte contre la pandémie du sida, et d’identifier des actions concrètes à mettre en pratique dans un proche avenir. bibo:pages 6 -- o:id 7169 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7169 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7186 26477 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/16d18ae36a64ddb6779063b2cb687424b6a9bbc3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b9aa0ec2a46662dd4cdf35cbec5c1bae9fde180f.tiff dcterms:title Don saoudien à l'occasion du ramadan : 50 tonnes de dattes pour soutenir les musulmans dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13611 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-05-23 dcterms:identifier iwac-article-0003309 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Centre du roi Salman pour le secours et les œuvres humanitaires de l’Arabie Saoudite a procédé, ce lundi 22 mai à Cotonou, à la remise officielle d’un don de 50 tonnes de dattes à la communauté musulmane béninoise. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Centre du roi Salman pour le secours et les œuvres humanitaires de l’Arabie Saoudite a procédé, ce lundi 22 mai à Cotonou, à la remise officielle d’un don de 50 tonnes de dattes à la communauté musulmane béninoise. Dans le cadre du jeûne musulman qui démarre samedi 27 mai prochain, le Centre du roi Salman pour le secours et les œuvres humanitaires de l’Arabie Saoudite fait preuve de générosité envers la communauté islamique béninoise. C’est à travers un don de 50 tonnes de dattes, soit 2500 cartons, destinés à soutenir les musulmans béninois pendant le mois de carême. D’un montant de 42 millions de F Cfa, le geste constitue une véritable bouffée d’oxygène. C’est le secrétaire général du ministère en charge des Affaires étrangères, Marc Hermanne Araba, qui a réceptionné le lot dans les locaux dudit ministère. Les deux parties ont procédé à la signature de l’accord relatif à ce don. Selon le représentant du centre, Ibrahim Al-Mugrin, le geste vise à permettre à la population musulmane du Bénin de bien passer le Ramadan qui débute à la fin de ce mois. Ce geste, dit-il, constitue la première étape d’une série d’activités de ce genre. « Nous sommes de pas- sage et serons certainement de retour encore bientôt », annonce-t-il, en remerciant le Gouvernement du Bénin pour les facilités qu’il lui a accordées dans ce sens. Pour le secrétaire général du ministère en charge des Affaires étrangères, Marc Hermanne Araba, le geste de la partie saoudienne est devenu presqu’une coutume. « Déjà en 2015 et 2016, nous avons bénéficié des mêmes gestes du peuple saoudien », rappelle-t-il. « Il est revenu encore à la charge cette année pour soulager nos frères et sœurs musulmans », se réjouit-il. Il s’agit donc, selon lui, d’une preuve supplémentaire de la diversité et de la vitalité de la coopération bénino-saoudienne. Il a promis une répartition équitable du don en direction des bénéficiaires sur toute l’étendue du territoire national. « Les dispositions sont déjà prises pour que ce don aille effectivement vers les plus démunis », rassure-t-il, avant de souhaiter un mois béni de Ramadan rempli de grâces et de bénédictions divines. bibo:pages 7 -- o:id 7170 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7170 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7187 26478 26479 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/89765fd1afc2e93368c1db64231b87c085db57c2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/898b42bd30c4f004f0c5d4dc08b49bb8d14788fc.tiff https://islam.zmo.de/files/original/c81c8ec32a23f574c843410ac4f3b473fdbad39e.tiff dcterms:title Présidence de la République : dialogue fécond entre le chef de l'Etat et la communauté musulmane dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/238 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-02-06 dcterms:identifier iwac-article-0003310 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République et des dignitaires de la communauté musulmane ont tenu, samedi 4 février dernier au Palais de la Présidence, une séance de travail pour évoquer des questions qui ont soulevé, il y a peu, des vagues. Il s’agit prioritairement de l'occupation des rues et des espaces publics qui jouxtent les mosquées pour la prière du vendredi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République et des dignitaires de la communauté musulmane ont tenu, samedi 4 février dernier au Palais de la Présidence, une séance de travail pour évoquer des questions qui ont soulevé, il y a peu, des vagues. Il s’agit prioritairement de l'occupation des rues et des espaces publics qui jouxtent les mosquées pour la prière du vendredi. Courtoisie, respect de l’autorité... Entre le chef de. l’Etat, Patrice Talon et la forte délégation de la communauté musulmane, reçue en audience samedi 4 février à la Présidence de la République, les échanges se sont déroulés dans une ambiance conviviale. « Cette rencontre montre bien que nous parvenons toujours au Bénin à surmonter nos difficultés », lance à l’entame le président de la République à ses hôtes. « J’ai été assez marqué, attristé par l’amalgame qui a été volontairement instauré et a servi d'intoxication pour remettre en cause l’esprit de l'embellissement de grandes villes », indique par la suite Patrice Talon qui, appelle, en raison «de la volonté d’investissement pour marquer notre pays », à des changements de comportement. Selon lui, le développement des grands pays ne s’est pas fait en un seul jour et les grands changements ne sont jamais l’action collective et consensuelle. « Il n'y a aucune communauté au monde où les grands changements ont été l’effet d'un mouvement spontané. Je mesure la responsabilité qui est la mienne et la responsabilité du mandat, et je mesure la portée des mesures qui peuvent impacter nos vies, parfois difficilement aujourd’hui mais qui peuvent impacter bénéfiquement notre pays dans le temps », renchérit le chef de l'Etat dans son propos introductif. Puis, il confesse : « Je n’ai jamais été animé de mauvaises intentions pour prendre une décision concernant le pays. On ne peut pas volontairement choisir de faire mal à ses concitoyens. Nous ne sommes pas des saints, nous sommes des Hommes, nous pouvons avoir des sentiments humains, mais on ne pèche pas contre le peuple. Je ne peux pas décider de faire mal à mon pays et à mes concitoyens.... » Ces précisions faites, le président de la République s’est ensuite expliqué sur les vastes chantiers ouverts par son régime et les sacrifices que cela imposent à tous ses concitoyens, comme c’est déjà le cas depuis quelques semaines avec les opérations de libération du domaine public. Aussi, reconnaît-il que la mise en oeuvre desdites opérations a généré quelques déviances et sollicité l’indulgence de ses hôtes par rapport à cet état de chose. Ce que rejette le chef de l'Etat, ce sont les dérogations qui peuvent compromettre le bon déroulement du vaste plan d’aménagement prévu pour les grandes villes du pays notamment Au nombre de ses dérogations, les sollicitations de la communauté musulmane pour la prière du vendredi. Exhortations « Les musulmans sont très respectueux des lois de la République... Nous nous référons à votre autorité pour résoudre notre préoccupation essentielle qui est de prier sur une partie de l’espace public les vendredis lorsque nos mosquées sont pleines. Cette pratique est ancienne et ne constitue pas un trouble à l’ordre public. Au surplus, notre démarche repose sur des droits garantis par la Constitution... », plaide l’imam Ibrahim Ousmane de la mosquée centrale de Cotonou, président du collège des imams des départements de l'Atlantique et du Littoral et président du comité d’apaisement. Selon lui, la communauté musulmane est disposée à trouver avec les administrations concernées la mise en pratique de l'utilisation temporaire de l’espace public qui jouxte les mosquées les vendredis. La réponse à cette préoccupation s’est faite sans ambages : « Je suis animé de la volonté la plus farouche de trouver une voie de sortie. Mais au même moment, je ne peux consacrer dans la phase de réforme dans laquelle nous sommes, l’occupation de l’espace public jouxtant les mosquées même les vendredis qui constituent un jour particulier pour les musulmans ». Le faire, insiste le président de la République, c’est pécher. « Nous n’aurons pas fait du bien à l’Islam. Ce que Dieu attend de nous est de nous rassembler dans la sécurité et lé confort pour le prier », indique-t-il à ses hôtes. Il ambitionne comme solution, de trouver plutôt des espaces qu’il faut pour la prière. En sus, le président Patrice Talon pense que cela peut relever d’une exception toute particulière. Une sorte de dérogation qui ne devrait pas être prise comme un acquis, la force publique pouvant intervenir à tout moment pour réguler les choses et agir. Le chef de l'Etat préconise plutôt une solution durable qui consistera en la construction de mosquées spacieuses et modernes. Raison pour laquelle il a invité les personnalités du culte musulman présentes à expliquer aux fidèles et à toute la communauté son ambition et sa volonté à être aux côtés de ses concitoyens. «La communauté musulmane est riche. Elle a les moyens de construire les mosquées partout. Si on décide de construire Cadjèhoun, une année suffit. C’est devenu un spectacle. C'est devenu bien de prier dans les rues. Ce n’est pas sécurisant, ce n’est pas confortable. Dans dix, quinze, vingt ans, si on ne fait Tien, cela va continuer ainsi », martèle-t-il. Il assure tout de même que l’Etat jouera sa partition, accompagnera les communautés religieuses dont tous les droits seront reconnus. A ces dernières, il garantit l’encadrement nécessaire à l’occasion des grands rassemblements et manifestations d'envergure, et même le soutien de l’Etat. Ces explications ont été bien accueillies par la délégation présente qui promet apporter sa pierre car « le Bénin est un havre de paix qui a besoin de justice et de paix pour se révéler ». bibo:pages 1 3 -- o:id 7188 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7188 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7204 26480 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/600a7c93219410012c6feb1d973b4e4115ded799.pdf https://islam.zmo.de/files/original/341a957a8b9b2af421315921ef1a0a84500f5e11.tiff dcterms:title Interdiction de manifestations de foi dans la rue. Joseph Djogbénou : "Nos rues ne peuvent plus être exposées à l’expression de la foi" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1403 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/238 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-01-31 dcterms:identifier iwac-article-0003311 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’expression de la foi induit-elle une occupation du domaine public ? Non, répond Joseph Djogbénou, ministre de la Justice et de la Législation, qui s’est exprimé sur la question à travers une déclaration aux médias, dimanche 29 janvier dernier. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’expression de la foi induit-elle une occupation du domaine public ? Non, répond Joseph Djogbénou, ministre de la Justice et de la Législation, qui s’est exprimé sur la question à travers une déclaration aux médias, dimanche 29 janvier dernier. L’application de la mesure d’interdiction d’occupation du domaine public touche également ceux qui, en raison de leurs activités religieuses, prennent d’assaut les voies et autres emplacements publics pour exprimer leur foi. Ces derniers jours, le sujet a fait couler beaucoup d’encre et de salive. Le ministre de la Justice et de la Législation, Joseph Djogbénou, est monté au créneau, dimanche dernier, pour apporter une clarification. « Sur le plan de l’expression des cultes, il y a un certain nombre de principes et valeurs dont le Gouvernement fait des applications ». Au nombre de ceux-ci, la laïcité de l’Etat qui s’entend comme une sorte de neutralité. « L’Etat n’a pas de foi, n’a pas de religion. Il protège chaque citoyen à travers sa foi et sa religion », tranche le ministre Joseph Djogbénou. Mais quand on affirme ce principe, ajoute-t-il, « On devrait préciser que l’expression de la foi est une affaire privée parce que l’Etat n’a pas de foi, et que son expression est intime ». La Constitution, tout en affirmant la liberté du culte, garantit aussi la liberté de circulation. Dès lors, poursuit le ministre, « Les lieux et espaces publics devront être réservés pour l’usage de tous les citoyens suivant le principe de la liberté de circulation. Ce n’est pas parce que la foi est une affaire privée que l’Etat n’accompagne pas ». Joseph Djogbénou insiste que « Le Gouvernement considère que nos rues, nos espaces publics ne peuvent plus être exposés à l’expression de la foi et de la religion. «De ce point de vue, quelles que soient les confessions, l’expression de la foi ne doit plus être une motivation pour l’occupation de l’espace public. Nous le faisons en application de la Constitution ». Aussi, apporte-t-il la nuance que « Ce n’est pas qu’il n’y aura pas d’espaces pour exprimer sa foi ». Des espaces pour l’expression de la foi, le Gouvernement lui-même, en guise de mesures d’accompagnement, en identifiera afin que les fidèles s'expriment sans occuper les espaces publics, dans l’intérêt général, a promis Joseph Djogbénou. Autre précision apportée par le ministre dans sa déclaration, la mesure d’interdiction ne s’adresse pas à une confession religieuse en particulier, mais à chaque citoyen et à toutes les confessions. Si l'on s’en tient à ses explications, « les grandes manifestations qui conduisent certaines religions dans les rues ne devraient plus être faites ». Loin d’y voir une interdiction de l'expression religieuse, il pense que ces mesures sont prises dans l’intérêt général. « L’Etat, c’est aussi l’ordre, la sécurité, la propreté faire en sorte que les. uns et les autres y vivent librement et que les étrangers viennent et circulent librement », rappelle aussi le ministre Joseph Djogbénou. Il en a profité pour en appeler à la sérénité et inviter chacun à considérer que c’est une mesure républicaine qui nécessite des mesures d'accompagnement, parce les grandes villes du Bénin ont vocation à être des villes modernes. bibo:pages 11 -- o:id 7189 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7189 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7205 26481 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/307e34875b78e2e4bdd787605c666fdd56d862f9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/959d4ddb3f3dea833d0084a93bc34071fbd580a2.tiff dcterms:title Interdiction de manifestations de foi dans la rue : "Le Gouvernement n'est contre aucune religion", selon Sacca Lafia dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/238 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1420 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14809 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-01-31 dcterms:identifier iwac-article-0003312 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Gouvernement n’est pas dans la logique de restreindre les libertés de ses citoyens, encore moins leur interdire le droit à la religion. Ces clarifications ont été faites, le weekend dernier par le ministre de l'intérieur et de Sécurité publique, Sacca Lafia, suite à l'amalgame fait par certains au sujet de l’interdiction des manifestations de foi dans la rue. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14825 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Gouvernement n’est pas dans la logique de restreindre les libertés de ses citoyens, encore moins leur interdire le droit à la religion. Ces clarifications ont été faites, le weekend dernier par le ministre de l'intérieur et de Sécurité publique, Sacca Lafia, suite à l'amalgame fait par certains au sujet de l’interdiction des manifestations de foi dans la rue. L'opération de libération du domaine public déclenchée depuis plusieurs semaines parle le Gouvernement a connu ces derniers jours de nouveaux développements avec l’interdiction de célébrer des offices religieux dans les rues. Cette mesure vue par certains comme une manière de restreindre les libertés de culte n'est en réalité qu'une option pour assurer autant que faire se peut la sécurité des personnes et des biens, soutient le ministre Sacca Lafia en charge de l'Intérieur et de la Sécurité publique. A travers une déclaration de presse visant à apaiser et à sensibiliser les uns et les autres, il a invité à la compréhension et à la sérénité. Pour lui, le Gouvernement est dans une suite logique, puisqu’ayant déjà interdit l'occupation des voies publiques pour des manifestations et autres cérémonies, messes et anniversaires (souvent les week-ends). « Il n’y a pas conflit de religions. Il y a certains citoyens qui veulent récupérer cette mesure du Gouvernement pour se faire remarquer », fustige le ministre pour qui, « aucun précepte d'une religion ne dit que c'est dans la rue qu'on doit manifester sa foi ». Pour ce qui est du cas spécifique des vendredis, allusion faite à la prière musulmane, il a invité les fidèles concernés à se diriger vers des espaces privés sécurisés lorsque les mosquées ne sont pas en mesure de contenir le nombre de fidèles, ou, à défaut, d’en construire de plus grandes. Le ministre Sacca Lafia se veut même intransigeant sur le fait que le Gouvernement est dans la logique de la prévention de tout éventuel problème ou difficulté. Il clame la volonté du chef de l’Etat quant au respect du principe de la laïcité de l’Etat, mais aussi son intérêt pour la paix au sein des communautés religieuses. Il brandit à cet effet deux exemples en guise d'illustration : la réconciliation des ailes dissidentes de l’église protestante méthodiste du Bénin en conflit depuis plus de deux décennies et la médiation pour juguler la crise au sein de la communauté musulmane de Sèmèrè au Nord du pays, divisée autour d’une crise d imamat. « Ce gouvernement n’est contre aucune religion », assure le ministre Sacca Lafia. bibo:pages 11 -- o:id 7190 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7190 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7206 26482 26483 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/28002e5a8cd25dc340c84b900120103e4a1b0341.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f32f1a767b2a00cc276c18aa79d4d15c0ca56559.tiff https://islam.zmo.de/files/original/36825fa73601d2831f523226cdc0dc9516e34303.tiff dcterms:title Fête de Aïd El Kébir à la place Idi à Cotonou : les musulmans ont prié pour le bonheur du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13524 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-02-25 dcterms:identifier iwac-article-0003313 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane a célébré le vendredi 22 février dans l’allégresse Aïd El Kébir ou la fête de la Tabaski. Evénement marqué par des prières dans les mosquées et sur les places Idi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane a célébré le vendredi 22 février dans l’allégresse Aïd El Kébir ou la fête de la Tabaski. Evénement marqué par des prières dans les mosquées et sur les places Idi. La prière sur la place Idi d’Akpakpa PK 10 a été présidée par M. Aboubacar Ousmane, Imam de la mosquée centrale de Jonquet. C’est à 9 h qu’a débuté la prière sur cette vaste place Idi prise d assaut très tôt le matin par une marée humaine. Une cérémonie d’une quinzaine de minutes au cours de laquelle, les fidèles ont prié pour que la paix et le bonheur régnent sur le Bénin. Au terme de la prière, un mouton blanc a été immolé, comme le prophète Ibrahim avait su bien le faire en son temps pour Allah. Du livre saint, le Coran, on apprend que le prophète Ibrahim ayant promis à Allah ce qu’il a de plus cher au monde, s’apprêtait à immoler en offrande son fils quand lui apparut un mouton blanc. C’est ce mouton blanc que Ibrahim finit donc par immoler à Allah. Cela est intervenu le lendemain du jour de Arafat, c’est-à-dire du pèlerinage à La Mecque. C’était donc le jeudi 21 février dernier que le pèlerinage à Arafat a donc eu lieu. Selon l’ancien ministre de l’Industrie et des Petites et Moyennes Entreprise Fatiou Adékountè, porte-parole de la communauté musulmane, la Tabaski est diversement célébrée suivant la fin du carême qui dure 29 ou 30 jours, et par rapport à la position de la lune. C’est ce qui justifie la petite diversité dont on parle. Aussi décide-t-on de la date de la célébration au niveau des confréries, l’écart entre les dates est insignifiant. Le vendredi étant un jour saint, un jour de prière chez les musulmans, d’aucuns racontent que l’immolation de bête ce jour saint est interdite. Mais Fatiou Adékountè explique ces allégations par le fait que certains fidèles souhaiteraient que la tâche leur soit facilitée en leur évitant deux grandes prières dans la même journée : la prière de la Tabaski, le matin, puis la grande prière ordinaire du vendredi après-midi. bibo:pages 1 3 -- o:id 7191 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7191 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7207 26484 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f055f62657851417be65ec11446efdbcf2273991.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9eb39db447b8a3f715f1a32106e55f87b00fc9a7.tiff dcterms:title Colloque international des musulmans de l'espace francophone (CIMEF) : restituer à l'islam son vrai visage de religion de la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/117 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/230 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/146 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1392 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-08-06 dcterms:identifier iwac-article-0003314 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Depuis les tragiques événements du 11 septembre 2001, l’islam est souvent assimilé au terrorisme. C’est pour mettre fin à cette stigmatisation et faire connaître le vrai visage de l’islam que ce colloque a été organisé. L’ouverture des travaux a été présidée par le ministre de l’Intérieur, de la sécurité et de la décentralisation Daniel Tawéma. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Depuis les tragiques événements du 11 septembre 2001, l’islam est souvent assimilé au terrorisme. C’est pour mettre fin à cette stigmatisation et faire connaître le vrai visage de l’islam que ce colloque a été organisé. L’ouverture des travaux a été présidée par le ministre de l’Intérieur, de la sécurité et de la décentralisation Daniel Tawéma. Depuis vendredi dernier jusqu'à hier lundi 05 août 2002, les délégués venus d'Europe, d'Asie, d'Amérique et d'Afrique échangeont au palais des sports de Kouhounou sur le thème : La scène internationale : le discours islamique et les expériences d'une éducation adaptée. Selon le président du Comité d'organisation du CIMEF, Ligali Massaoudou « le silence peut être nuisible à certaines occasions ». La tenue de ce colloque, le 2ème du genre, permet de mener la réflexion et d'aller au-delà de ce qui se dit. Dans un monde marqué par des crises des valeurs, « nous n'avons pas le droit de garder le silence », a dit l'imam de la mosquée centrale de Zongo Mohammad Al Habib qui estime que les musulmans sont souvent mal compris. C'est l'occasion de se faire comprendre et de renforcer les liens de fraternité et d'amour entre musulmans de l'espace francophone, a-t-il poursuivi. Aussi, discuteront-ils au cours de ces assises des problèmes qui interpellent le monde d'aujourd'hui. Au Bénin, dira le ministre Tawéma 33% de la population ont pour religion, l'islam. Il s'est réjoui de ce que cette religion se pratique dans le pays sans intolérance et sans violence aucune. Dans un contexte fortement marqué par les événements du 11 septembre 2001, il revient aux délégués à ce colloque d'échanger et de trouver les voies et moyens pour restituer à l'islam, son vrai visage de religion de la paix, a préconisé Daniel Tawéma. Une tâche pas facile à laquelle les participants au CIMEF se sont attelés. Au nombre des sous-thèmes développés, les événements du 11 septembre et leurs implications ont été en bonne place. bibo:pages 14 -- o:id 7192 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7192 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7208 26485 26486 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7303b5b7d818aa784739281e634546ebe05e7d40.pdf https://islam.zmo.de/files/original/cd1f74d7cde982f51f8e943b9f1b173ffdeee22c.tiff https://islam.zmo.de/files/original/115403f769bccf9459636305911508d6393f6a7a.tiff dcterms:title Visite du ministre de la Santé aux Emirats Arabes Unis : de beaux jours en perspective pour la coopération bilatérale dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13506 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-02-19 dcterms:identifier iwac-article-0003315 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une mission conduite par Madame Yvette Céline Seignon Kandissounon a séjourné aux Emirats Arabes Unis du 05 au 12 février 2002 dans le cadre de la coopération sanitaire entre les Emirats Arabes Unis et la République du Bénin. Au cours de cette mission, autant des activités ont été menées, autant celles-ci promettent de beaux jours pour la coopération entre l’Etat béninois en ce qui concerne la Santé des populations et les Emirats Arabes Unis. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13927 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/309 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une mission conduite par Madame Yvette Céline Seignon Kandissounon a séjourné aux Emirats Arabes Unis du 05 au 12 février 2002 dans le cadre de la coopération sanitaire entre les Emirats Arabes Unis et la République du Bénin. Au cours de cette mission, autant des activités ont été menées, autant celles-ci promettent de beaux jours pour la coopération entre l’Etat béninois en ce qui concerne la Santé des populations et les Emirats Arabes Unis. En effet, le ministre émirati de la Santé, Hamad Rahwan Ahwan Almadfa, en réponse à la requête de la partie béninoise a promis de faire étudier rapidement les besoins en matériels et équipements médicaux exprimés par le Bénin. Avec son Altesse Saqr Mohamed Al Qasimi, gouverneur de l’un des sept Emirats, l’émirat de Ras Al Khaimah, il a été question de moyens de dynamisation de la coopération générale entre les Emirats Arabes Unis et la République du Bénin et d’une manière particulière, la coopération dans le secteur de la santé. Son Altesse Prince Fayçal, président-directeur général de la firme pharmaceutique Julphar a plutôt discuté avec la délégation des modalités de commercialisation des produits de sa firme dans la sous-région ouest-africaine et au Bénin tant dans le secteur public que dans le secteur privé. Très prochainement, une équipe de la firme devrait séjourner au Bénin afin de discuter avec tous les acteurs du sous-secteur pharmaceutique. La visite qu’a effectuée la délégation dans deux hôpitaux d’Abu Dhabi (Alqasimi de Sarjah et Khalifat) a permis de retenir le principe de jumelage du premier hôpital avec le Centre Hospitalier Départemental de Parakou et du second avec le Centre Hospitalier Départemental de Porto-Novo. La visite de la délégation béninoise au Croissant Rouge d’Abu Dhabi a été l’ occasion pour ce dernier de prendre connaissance des besoins du ministère de la Santé Publique du Bénin, ce qui a conduit les responsables de cette institution à donner leur accord de principe pour la mise à la disposition du Bénin de : matériels médicaux et de médicaments. bibo:pages 1 4 -- o:id 7193 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7193 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7209 26487 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/eed9be0ebaba1ba6a2af48e29302653d55db7a7e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/09a44bfec959c7c5604ce57e78078281fdd920ad.tiff dcterms:title Inauguration de la mosquée d’Agla et turbanisation de son Imam : réalisation d’un rêve dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13768 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1972 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14695 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14052 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-01-02 dcterms:identifier iwac-article-0003316 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane de Cotonou et en particulier celle du quartier Agla était en fête le dimanche 30 décembre 2001. L'événement était capital et l’émotion forte. La communauté musulmane d’Agla inaugurait sa mosquée centrale et par la même occasion célébrait la turbanisation de son Imam en la personne de Djamiou Mohamad Salou Migan. Cette cérémonie a été placée sous le signe de la gloire à Dieu le Tout Puissant, l’exauceur. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane de Cotonou et en particulier celle du quartier Agla était en fête le dimanche 30 décembre 2001. L'événement était capital et l’émotion forte. La communauté musulmane d’Agla inaugurait sa mosquée centrale et par la même occasion célébrait la turbanisation de son Imam en la personne de Djamiou Mohamad Salou Migan. Cette cérémonie a été placée sous le signe de la gloire à Dieu le Tout Puissant, l’exauceur. La cérémonie d’inauguration de la mosquée et la turbanisation de l'Imam d’Agla ont été présidées par l'Imam de la mosquée centrale de Zongo, Ibrahim Habib Yaro. On pouvait également noter à cette cérémonie la présence du président de Zoumontchi, El Hadj Daouda Lawal, du président d’Humanité Bénin, Edgard Alia, des Imams de Cadjèhoun, de Pahou, de Zogbo, (...) de plusieurs autres dignitaires de la religion musulmane au Bénin. Splendide maison de Dieu La cérémonie a été conduite sous la psalmonie des élèves coraniques et des membres des groupes de prière. Après la psalmodie de quelques versets du saint Coran et les louanges à Allah, Seigneur et Maître des mondes, le président du comité islamique d’Agla, El Hadj Djibril Oro devait présenter les civilités d’usage, au nom de la communauté musulmane d’Agla, à toute l’assistance. El Hadj Djibril Oro présentera cette splendide maison de Dieu qu’est la mosquée d’Agla Ahogbohouè qui couronne ce 30 décembre plusieurs années de prières, de durs labeurs et de détermination. Un grand évènement qui n’a laissé personne indifférent . Implantée sur une superficie de 220 m2 couverte, la mosquée centrale d’Agla est enfin devenue la propriété des musulmans dudit quartier. C’est grâce aux efforts de l’Imam Mohamad Saliou Migan qui, depuis 1983, a acquis et offert la parcelle sur laquelle est érigée cette gigantesque œuvre mosquée. Le président de la communauté musulmane d’Agla rappelera que c’est par les prières de feu Youssouf Moïbi, que l’organisation islamique internationale pour la charité basée au Koweit a financé cette mosquée par l’entremise de l’Imam de la Mosquée centrale de Zongo. Son Eminence Imam Ibrahim Habib Yaro. Les musulmans d’Agla ont manifesté leur gratitude et prient Allah le très miséricordieux de leur accorder sa grâce. Ames généreuses Malgré sa splendeur, les travaux sont encore inachevés. Les musulmans d’Agla devaient demander aux âmes généreuses de les aider à alimenter cette mosquée, lieu saint, en eau potable, en électricité et à la doter de douze (12) ventilateurs, d’une fosse septique et d’une salle d’ablution. Des demandes qui ne sont pas tombées dans des oreilles de sourds puisque sur les lieux mêmes se trouvait le président de Humanité Bénin, M. Edgar Alia. Il a pris publiquement l’engagement de doter la mosquée de ventilateurs et de fosses septiques. Quant aux dignitaires et autres musulmans présents, ils ont mis la main à la poche afin que les travaux de finition soient rapidement effectués. Pour tous ceux qui aident Dieu, la gloire et la miséricorde. « Qui aide dieu n’est jamais perdant», dira l’autre. Après sa turbanisation, l’Imam Mohamad Saliou Migan, invité à prendre la parole, a laissé entendre que son investiture est l’œuvre d’Allah et de son prophète Mahomet. Il demande le soutien de sa communauté pour bien accomplir sa mission dans la concorde et la paix. Les uns et les autres doivent désormais oublier le passé tumultueux et se tourner résolument vers le futur. bibo:pages 4 -- o:id 7194 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7194 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7210 26488 26489 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c9d0e3e1ba4dd1ad6718fcdc5ff3650a390d3d52.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a6275ea7bb5817b35d2cbf038fe58ba1327201a3.tiff https://islam.zmo.de/files/original/dab9d4212727c7dd157526fc0a9491119390ceae.tiff dcterms:title Visite du président Kérékou à Tripoli : les présidents Kérékou et Kadhafi pour le renforcement de la coopération bénino-libyenne dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1982 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2001-09-05 dcterms:identifier iwac-article-0003317 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Lors de son séjour de 72 heures à Tripoli dans le cadre de la célébration le 1er septembre dernier du 32ème anniversaire de la Révolution d'El Fateh, le président Mathieu Kérékou a eu un tête-à-tête avec son homologue libyen, le colonel Moammar Kadhafi. En outre, le chef de l'Etat béninois a reçu en audience le dimanche 02 septembre au Mahari Hôtel, des hommes d'affaires libyens, ainsi que le bureau de l'Association des Béninois résidant en Libye. Il était conduit par son président, M. Benoît Adambadji. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/403 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Lors de son séjour de 72 heures à Tripoli dans le cadre de la célébration le 1er septembre dernier du 32ème anniversaire de la Révolution d'El Fateh, le président Mathieu Kérékou a eu un tête-à-tête avec son homologue libyen, le colonel Moammar Kadhafi. En outre, le chef de l'Etat béninois a reçu en audience le dimanche 02 septembre au Mahari Hôtel, des hommes d'affaires libyens, ainsi que le bureau de l'Association des Béninois résidant en Libye. Il était conduit par son président, M. Benoît Adambadji. Le tête-à-tête entre le président Mathieu Kérékou et le colonel Moammar Kadhafi a été l’occasion pour les deux chefs d’Etat de passer en revue les relations de coopération existant entre le Bénin et la Jamahiriya Arabe Libyenne. Relations vieilles de plus de deux décennies, et qui méritent d’être réchauffées par de nouvelles actions concrètes. Ainsi, de l'entretien que les deux chefs d’Etat ont eu le samedi 1er septembre dernier, à la résidence du président libyen, il ressort que des sujets relatifs à la création d’une Banque africaine, à la construction d’une usine de coton-graine, et à la construction d'une raffinerie sous-régionale à Cotonou ont été abordés. Les questions de la fourniture d’énergie n’ont pas été occultées, celles de la construction d’un holding non plus. Les dossiers de construction de raffinerie et de holding sont déjà avancés, et dans les mois à venir, les techniciens les finaliseront. Les deux chefs d’Etat ont par ailleurs échangé sur les voies et moyens de régler la question cruciale de l’emploi au Bénin. Communication entre Cotonou et Tripoli Les difficultés qui persistent pourraient être aplanies dès lors que les transports maritimes seront relancés. A la tête du bureau de l’Association des Béninois résidant en Libye, M. Benoît Adambadji est allé soumettre au chef de l’Etat, les difficultés quotidiennes auxquelles sont confrontés les Béninois résidant en Libye. Ils éprouvent quelques difficultés à obtenir leur passeport ou à les faire renouveler en temps opportun. Le chef de l’Etat a promis d’instruire les autorités béninoises compétentes pour aplanir ces difficultés qui ont également trait à l’obtention de visa de séjour en Libye. M. Benoît Adambadji a, par ailleurs, soumis au président Kérékou, la question de foyer ou de résidence transitoire pour les nouveaux arrivants en Libye. M. Mustapha Abouceta, ancien ambassadeur de la Libye près le Bénin a lui rendu une visite de courtoisie au chef de l’Etat avec qui il a discuté affaire en tant que P-DG de «Free Nînos». Il envisage réaliser des projets dans le domaine de l’agriculture et de l’habitat. Il y aura aussi des projets dans le domaine de la santé avec les Organisations non gouvernementales. Le docteur Madani Mohamed, secrétaire général de la Communauté des Etats Sahélo-soudanais a lui, été recueillir auprès du président Mathieu Kérékou, quelques conseils pour une bonne gestion de la Communauté des Etats Sahélo-sahariens créée le 4 février 1998 à Tripoli par six pays. Le nombre des membres de la communauté est porté aujourd’hui à seize. Trois pays viennent de demander leur adhésion, dont le Bénin. L’objectif de cette communauté-est de créer des liens économiques entre les -Etats-membres. -- o:id 7195 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7195 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7211 26490 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8bf430cb3d7b284d7f939250bd9c266e7b31ff00.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ca8e3e40a07be95eea6cd3b45a6cb4bb297e9e61.tiff dcterms:title Fête de Aïd-el-Kébir à Lokossa : grâce à Allah pour ses oeuvres! dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15054 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/215 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2001-03-06 dcterms:identifier iwac-article-0003318 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Hier lundi 05 mars, ce fut la fête de Aid El Kébir, la fête de la Tabaski. Sacrifiant à la tradition, la communauté musulmane de Lokossa est allée prier à la place Idi où elle a immolé un bélier. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/468 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Hier lundi 05 mars, ce fut la fête de Aid El Kébir, la fête de la Tabaski. Sacrifiant à la tradition, la communauté musulmane de Lokossa est allée prier à la place Idi où elle a immolé un bélier. C’est M. Abdoulaye Tahirou, Imam de la Mosquée centrale de Lokossa qui a dirigé la prière. Al Akbar! Dieu est grand. Il a aidé le peuple béninois à voter le 04 mars dernier dans la paix et sans violence. L’Imam après avoir prié pour les malades, les pauvres et les pécheurs a imploré la grâce de Dieu, afin qu’il gratifie notre pays le Bénin de dirigeants à la hauteur de la tâche, de dirigeants soucieux de l’unité nationale et du développement. Aid El Kébir est la fête, dit-on, du mouton. Allah avait demandé au prophète Ibrahim de lui immoler en sacrifice son fils. A cette dure épreuve, Ibrahim céda. Mais auparavant, Satan apparut à Ibrahim et tenta de l’en dissuader. Mais en vain. Ibrahim jeta même de la pierre à Satan pour l’éloigner de lui. Et quand vint le moment d’immoler l’enfant, il apparut à Ibrahim un bélier que Dieu lui ordonna d’immoler en lieu et place de l’enfant. bibo:pages 7 -- o:id 7196 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7196 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7212 26491 26492 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e16a5edaa9ef61e5abe749a1784ac9cf2fe763b1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/93ab59ee18bb1f493c9518f13a81096ff7fadbdb.tiff https://islam.zmo.de/files/original/8149f13d337950ecc22d2379977f57a6abca928f.tiff dcterms:title Tabaski : la communauté musulmane a commémoré hier la fête de l'Aïd-el Kébir dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1539 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2001-03-06 dcterms:identifier iwac-article-0003319 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'Aïd-el-Kébir est la grande fête des musulmans. Elle est célébrée le lendemain du sacrifice et le surlendemain de l'Arafat, le point culminant du pélerinage à la Mecque. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'Aïd-el-Kébir est la grande fête des musulmans. Elle est célébrée le lendemain du sacrifice et le surlendemain de l'Arafat, le point culminant du pélerinage à la Mecque. Cette fête musulmane rappelle l'histoire du prophète Ibrahim et de son fils Ismaël. Le Coran rapporte que le prophète Abraham a promis à Dieu d’immoler, en guise de témoignage de sa bonne foi, son propre fils à Dieu. Pendant le moment du sacrifice suprême, un miracle survint. Dieu demanda alors à Ibrahim de laisser son fils et lui donna un gros bélier pour l’offrande. C’est cette tradition de sacrifice et d'obéissance totale à Dieu qui se perpétue à travers cette fête. En souvenir donc du prophète Abraham, les musulmans du monde entier immolent des moutons. A l'instar des musulmans du monde entier, ceux du Bénin ont aussi célébré hier la fête de l’Aïd-el-Kébir. bibo:pages 1 7 -- o:id 7197 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7197 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7213 26493 26494 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/24bd61ee3cb5da38b61d817b25f5d0b64ec56a33.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8cd3d40a9c51edaca7fe14a0af1f5ad9631e713a.tiff https://islam.zmo.de/files/original/45a79ac8777f580b706330375e9ce42d8099db2e.tiff dcterms:title Cérémonie d'inauguration de la Mosquée Centrale "Imam Hadj Rahimi Mocktar" de Gbokou Porto-Novo : rendre grace a Dieu en tout temps et en tout lieu dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1493 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13256 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2018 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1422 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1990 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-11-20 dcterms:identifier iwac-article-0003320 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Il est des hommes qui aiment se rendre utiles à leur communauté. Il est également des hommes qui ont des passions et s'y adonnent à coeur joie. El Hadj Waïdi Badirou est de ceux-là; sa passion: construire des mosquées et les laisser à la communauté. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15278 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Il est des hommes qui aiment se rendre utiles à leur communauté. Il est également des hommes qui ont des passions et s'y adonnent à coeur joie. El Hadj Waïdi Badirou est de ceux-là; sa passion: construire des mosquées et les laisser à la communauté. Ce sont des hommes rares qu’on ne rencontre pas à tous les coins de rue. Nous étions hier à Porto-Novo, plus précisément à Gbokou. Il y eut une fête et beaucoup de prières et de louanges à Dieu. Waïdi Badirou a fait don hier d’une mosquée à la communauté musulmane de Porto-Novo: Mosquée Imam Hadj Rahimi Mocktar de Agbocou Sourou-Léré. La cérémonie de remise et d’inauguration a eu lieu sous le haut patronage de Son Excellence El Hadj Moudjadidou Damala, Grand Imam Djamiou de Porto-Novo, premier Grand dignitaire de la Communauté musulmane de Porto-Novo. A côté du premier Grand dignitaire, Salomon Biokou, le premier des sages de Porto-Novo, des députés à l’Assemblée Nationale, le président du Conseil Economique et Social, les rois de Porto-Novo et de nombreux invités venus aussi de Cotonou et environs. Les cérémonies ont commencé par le psalmodie de quelques versets du Coran, la présentation du programme des cérémonies. Puis ce fut le mot de bienvenue du président du Comité du Groupe d’Entraide et d’Action pour la promotion de l’Islam GEAPI, M. Tiamiou Adjibadé, tout en saluant l’événement heureux qui rassemble tant de monde, a rendu hommage au sage Salomon Biokou pour ses judicieux conseils en vue de mettre en état le terrain marécageux et boueux offert à la communauté par le Premier ministre d’alors, Nicéphore Soglo. El Hadj Adjibadé a rappelé le chemin parcouru, les embûches qui l’ont parsemé, les volontés qui se sont manifestées jusqu’à l’aboutis-sement aujourd’hui qui est ce fleuron, qui se dresse, géant devant tous. El Hadj Nadjimou Moussédikou a été ensuite invité pour présenter la mosquée. Un grand batiment 56mx33m, hauteur 7,75m, minaret 25m; Salles annexes - Salle d’Accueil, Salle de soins, Salle Médecin, Bibliothèque; Loge pour gardien. Mosquée: une Grande salle de prière pour hommes -Ablution et dépendances pour hommes. Grande salle de prière pour femmes, Ablution et dépendances pour femmes, Salle d’attente Imam, Membar, un mitrale, cinq grandes terrasses. La mosquée est d’une capacité de 3650 fidèles hommes et femmes. Une grande cour pavée avec une salle d’ablution pour hommes et femmes d’une capacité de 8000 fidèles. La mosquée a été entièrement financée par El Hadj Waïdi Badirou avec la grâce d’Allah. Son coût reste un secret entre le promoteur et Dieu. Il n’a pas voulu en parler. Waïdi Badirou lui-même s’est adressé à la communauté très enthousiaste. En substance, nous avons pu entendre: «... un tel projet correspond bien à mes interventions pieuses pour lutter sur le sentier de Dieu, au service de l’épanouis-sement de l’Islam. J’ai donc eu l’intention et Dieu l’a exaucée. Ce qui rend possible la tenue des manifestations de ce jour. C’est à Dieu que je voudrais dire toute ma gratitude et solliciter son concours permanent, pour me permettre encore de nombreuses réalisations du genre dont celles d’aujourd’hui qui concernent une mosquée et une bibliothèque islamique». El Hadj Waïdi Badirou a rassuré sa Communauté que tout en s’investissant de son vivant dans la construction des mosquées des écoles coraniques, des bibliothèques et autres oeuvres pieuses, il n’a pas manqué de prendre les dispositions utiles pour que toutes ces oeuvres pour la face de Dieu survient après lui, qu’elles soient gérées et entretenues correctement quand il ne sera plus de ce monde. El Hadj Waïdi Badirou a rendu un hommage mérité à son épouse Hadja Sikiratou Awero lya Aladjè Adimi pour son précieux soutien qui lui sert d’émulation pour initier une nouvelle oeuvre dans le chemin de Dieu... Puis, on a présenté El Hadj Ousman Alimi, il a été turbanisé en tant qu’imam de la mosquée. Des prières et des invocations de Dieu ont suivi en faveur de l’Imam Ousman Alimi. Ce dernier a dit des mots de remerciements à l’endroit de tous les invités. On a procédé à la pose de la première pierre du Centre Culturel Islamique, à la coupure du ruban symbolique puis visité la Mosquée centrale. Il y eut collation sur place. La joie était dans tous les coeurs. Car comme quoi avec l’argent, on peut se rendre utile à sa communauté. El Hadj Waïdi Badirou en donne l’exemple. bibo:pages 1 6 -- o:id 7198 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7198 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7214 26495 26496 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a25e627118407f2c267fd56f0769e5d165740c30.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0fd0e1741ee0d9c5bbc6859732921bad39d86fd1.tiff https://islam.zmo.de/files/original/3a3657e762acc9bc88bc47ff3de1fe90cb9ecf97.tiff dcterms:title Fête de l’Aïd El Fitr : les musulmans ont prié pour la paix au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1392 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14614 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-12-28 dcterms:identifier iwac-article-0003321 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans du Bénin ont célébré hier la fête de l'Aïd El Fitr ou Ramadan qui marque la fin du jeûne. Comme il est de tradition à l'occasion de cette fête, des prières ont été dites dans les mosquées et autres places. Celle de la place Idi d'Akpakpa a été dirigée par l'Imam Aboubakar Ousmane de la Mosquée Centrale de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans du Bénin ont célébré hier la fête de l'Aïd El Fitr ou Ramadan qui marque la fin du jeûne. Comme il est de tradition à l'occasion de cette fête, des prières ont été dites dans les mosquées et autres places. Celle de la place Idi d'Akpakpa a été dirigée par l'Imam Aboubakar Ousmane de la Mosquée Centrale de Cotonou. Les ministres Daniel Tawéma et Sylvain A. Akindès ont également pris part à cette prière. A en croire les fidèles interrogés surplace, le jeûne constitue le 4ème pilier de l’Islam. Tout musulman doit respecter cette prescription de Dieu, afin de bénéficier de sa grâce. Dans sa prière, l’Imam Aboubakar Ousmane a rappelé ce qu’est le jeûne pour le musulman. Il a ensuite prodigué des conseils aux fidèles, afin qu’ils respectent scrupuleusement les prescriptions du Coran. Aussi les fidèles de l’Islam ont-ils prié pour tout le Bénin; ils ont demandé à Dieu de nous épargner les guerres et les conflits; ils ont prié pour les autorités afin qu’elles dirigent correctement le pays; ils ont enfin prié pour la paix au Bénin. Après 30 jours de jeûne, les musulmans du Bénin ont donc renoué avec leur vie habituelle. bibo:pages 1 4 -- o:id 7199 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7199 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7215 26497 26498 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8d2b6a2c3678f61faa7d8c9d33ff9c76e031f47d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a06b31fc75df834078b150305e049e8dab7c7062.tiff https://islam.zmo.de/files/original/614eb3347b9ac9fe0809f3c21169b44a97f7f03a.tiff dcterms:title Assemblée générale constitutive de l’AICD-Zoumontchi-Bénin : une association pour favoriser la fraternité et la solidarité entre musulmans du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1493 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1945 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/778 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2026 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13700 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-09-18 dcterms:identifier iwac-article-0003322 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'Association islamique et culturelle pour le développement du Bénin, Zoumontchi Bénin, AICD-Bénin a été portée sur les fonts baptismaux samedi dernier au Palais des Sports du Stade de l'Amitié à l'issue d'une Assemblée générale constitutive. Cette assemblée générale a regroupé près de cinq cents participants venus des 12 départements de notre pays. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'Association islamique et culturelle pour le développement du Bénin, Zoumontchi Bénin, AICD-Bénin a été portée sur les fonts baptismaux samedi dernier au Palais des Sports du Stade de l'Amitié à l'issue d'une Assemblée générale constitutive. Cette assemblée générale a regroupé près de cinq cents participants venus des 12 départements de notre pays. Etaient présents à la cérémonie d’ouverture, Mallam Idi Abdoulaye, Ali Houdou, Assouma Nouhoum, Saliou Issifou Aladji Amadou. Une Association apolitique Plusieurs allocutions ont été prononcées à cette occasion, car les uns et les autres ont compris l’importance d'une telle association. C’est ainsi que le président du Comité de réflexion et d’orientation et du Comité préparatoire de l'Assemblée constitutive, El-Hadj Massaoud Ligali, a indiqué qu’il se veut être le creuset incandescent dans lequel s’exprimeront et se sauvegarderont toutes les valeurs morales, culturelles et spirituelles menacées d’extinction face à un monde de plus en plus globalisant. En effet, a souligné El Hadj Massaoud Ligali, l’idée de création d’une telle association est née du constat général que les conditions de vie des musulmans ne sont pas des plus reluisantes dans une nation où ils contribuent fortement à l’économie. On observe, dira Massaoud Ligali, des signes manifestes de pauvreté. De l’avis de l’orateur, cette situation découle de certains facteurs tels que: - l’absence d’une chaîne de solidarité entre les musulmans alors que l’Islam recommande que les richesses des nantis profitent dans certaines propositions aux pauvres, aux déshérités et aux orphelins. - l’inexistence d’organisation digne de ce nom ayant pour vocation de contribuera l’amélioration des conditions de vie des musulmans. « Si nous osons nous interroger, nous trouverons certainement des réponses surprenantes. Combien d’écoles avons-nous construites par nous-mêmes dans cette profusion des formations scolaires professionnelles qui caractérisent notre pays? Combien d’hôpitaux portant la marque de l’effort des musulmans béninois pour soulager la souffrance et la douleur de nos frères et soeurs, puis des citoyens de notre pays en général? Mettre l’Islam au service du développement En réalité, de combien de lieux de cultes décents et d’écoles coraniques convenables pouvons-nous nous enorgueillir et être fiers, que nous avons garanti pour nos enfants les conditions d’une pratique saine de leur religion? Car, c’est une vérité que l’homme ne vit pas que de pain. Mettre l’Islam au service du développement, c’est créer toutes ces conditions-là. Et c’est l’objectif de la rencontre de ce jour..., a fart observer El Hadj Massaoud Ligali «... amener la Communauté musulmane de notre pays à prendre conscience de la nécessité qui s’impose désormais à elle, de réaliser son union afin de préserver les précieux acquis de l’Islam et de mener, dans une démarche participative, des actions de développement... Créer la solidarité et la fraternité entre musulmans Pour sa part, dans son allocution d’ouverture, El Hadj Daouda Lawal, au-delà des mots de bienvenue, a indiqué que l’Association veut créer la solidarité et la fraternité entre musulmans du Bénin. Elle veut aussi engager la Communauté musulmane du Bénin dans une dynamique de développement endogène des populations de nos villes et de nos campagnes afin de lui permettre de faire face aux problèmes liés à son épanouissement moral, spirituel, social et culturel. «La rencontre de ce jour vous permettra donc, souligne Daouda Lawal, d’étudier et d’adopter les projets de statuts et de Règlement Intérieur». Le président du Comité de Réflexion et l'Orientation de l’AICD, a invité les uns et les autres à mener des réflexions profondes pour améliorer les projets de document dans l’intérêt de tous... Daouda Lawal a fait observer, par ailleurs que l’Association est ouverte à toutes les organisations qui travaillent pour la promotion de l’Islam. Elle reconnaît l'Union Islamique du Bénin (UIB) et va collaborer avec elle pour le bien des musulmans et de tous. Pour Daouda Lawal, l’AlCD est apolitique mais peut se prononcer sur toute décision politique qui remet en cause les acquis ou les valeurs de l’Islam..., a conclu Daouda Lawal. Un présidium a été mis sur pied pour conduire les travaux. Il a été dirigé par El Hadj Mallam Idi Abdoulaye. Des amendements ont été apportés aux statuts et au règlement intérieur dans une ambiance de rigueur et de sérieux. A l’issue des travaux qui ont pris fin tard dans la soirée, un bureau exécutif national de 27 membres a été élu. Le président élu a pour nom: El Hadj Daouda Lawal. Premier vice-président: Ouro-Djèri Imorou; 2è Vice-président: Amadou Adamou; 3è Vice-président Abdul Affiz Arbekewe. Le secrétaire administratif, Yessoufou Souleymane. Trois conseillers ont été élus qui ont noms Mallam Idi Abdoulaye, Assouma Nouhoum et Ali Houdou. Daouda Lawal a remercié en sa qualité de président du BEN/AICD, tous les participants pour le travail abattu et le sérieux qui l'a caractérisé. Il a promis de ne pas trahir la confiance placée en lui, car la nation béninoise compte aujourd’hui plus de 28% de musulmans, cohabitant harmonieusement et pacifiquement avec les adeptes des autres religions judéo-chrétiennes et des cultes d’essence animiste. Notre pays doit s’en réjouir et œuvrer à ce que cette tolérance entre les citoyens et ce respect des uns envers les autres fassent du Bénin un havre de paix. bibo:pages 1 5 -- o:id 7200 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7200 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7216 26499 26500 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a1d6e977fcdc210eebe5a3b755bab398550fdbae.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5c13b47bd2a2a4ee14bc5f714a7da922f96b6bd6.tiff https://islam.zmo.de/files/original/cc7739e46e397da0924d90790fd55f72ede5d95c.tiff dcterms:title Célébration de la journée de la Banque Islamique de Développement : le bilan élogieux de 25 ans d'activités dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1609 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/20 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-07-28 dcterms:identifier iwac-article-0003323 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Juillet 1975 - juillet 2000, cela fait exactement 25 ans qu’a été créée la Banque Islamique de Développement (BID) à Riyad en Arabie Saoudite. Aujourd’hui 25 ans d'existence, c’est peu et beaucoup à la fois. Cela justifie la grande mobilisation d’hier au Centre international de Conférence de Cotonou. Le gouvernement était presqu'au grand complet et le chef de l’Etat était représenté par le ministre d'Etat, M. Bruno Amoussou, Gouverneur de la BID pour le Bénin, aux côtés du vice-président de la BID, M. Ousmane Seck. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/531 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Juillet 1975 - juillet 2000, cela fait exactement 25 ans qu’a été créée la Banque Islamique de Développement (BID) à Riyad en Arabie Saoudite. Aujourd’hui 25 ans d'existence, c’est peu et beaucoup à la fois. Cela justifie la grande mobilisation d’hier au Centre international de Conférence de Cotonou. Le gouvernement était presqu'au grand complet et le chef de l’Etat était représenté par le ministre d'Etat, M. Bruno Amoussou, Gouverneur de la BID pour le Bénin, aux côtés du vice-président de la BID, M. Ousmane Seck. Le Bénin, petit pays aux ressources limitées, est très honoré d’abriter la célébration de cette journée marquante de cette institution financière au service du développement des pays membres. Pour la petite histoire, la Banque Islamique de Développement a été créée par la première Conférence des ministres des Finances des pays membres de l'Organisation de la Conférence Islamique (OCI) déjà en 1973. Seulement, elle démarrera réellement ses activités en 1975. Depuis sa création et conformément à ses objectifs d'ensemble, à savoir promouvoir le développement économique et le progrès social dans ses pays membres, la BlD finance des projets et programmes productifs aussi bien dans le secteur public que dans le secteur privé des pays membres. Elle investit dans les projets d'infrastructures à caractère économique et social, fournit de l’assistance technique à ses pays membres et intervient dans la promotion des échanges commerciaux, particulièrement pour des biens et des équipements. La Banque accorde aussi une assistance aux communautés musulmanes dans les pays non membres et entreprend des études de recherche sur la chari’a dans les domaines des opérations bancaires et de l’économie islamique, grâce à des fonds spéciaux établis à cette fin. La BID finance des projets de développement dans les pays membres à travers plusieurs modes de financement compatibles avec la chari’a tels que le prêt, le crédit-bail, la vente à tempérament, la prise de participation, la ligne de financement etc. A la cérémonie d’ouverture solennelle hier au Centre international de Conférence, à laquelle prenaient part beaucoup d’acteurs et d’invités, M. Ousmane Seck, vice-président de la BID, n'a pas manqué de dresser le bilan du parcours de la BID pour ce quart de siècle. Il devait d'abord exprimer sa profonde reconnaissance aux autorités béninoises pour l’organisation de ce symposium et plus particulièrement au président Mathieu Kérékou pour l’attention qu’il n’a cessé d’accorder au renforcement de la coopération entre la BID et la République du Bénin, depuis 1983, année où notre pays a accédé au statut de pays membre. Pour M. Ousmane Seck, le choix est assez significatif à plus d’un titre. D’abord, explique-t-il, voie d’accès naturelle de plusieurs pays membres enclavés, la République du Bénin constitue dans cette région du continent une illustration de l'une des vocations statutaires de la BID: l’intensification de la coopération entre les Etats membres. Ensuite, c’est au Bénin, il y a environ deux ans, que se sont déroulés les travaux de la 22è réunion annuelle du Conseil des gouverneurs de la Banque Islamique de Développement. Un bilan satisfaisant Présentant le bilan de son institution, M. Ousmane Seck, a dit que cet anniversaire est la célébration du Jubilé d'argent de la Banque Islamique de Développement. 25 ans dans la vie d’une institution multilatérale de financement du développement, c’est peu. Mais, a-t-il fait remarquer, c’est assez pour oser jeter un regard critique et objectif sur le chemin parcouru, les résultats encourageants enregistrés, mais aussi les difficultés, source irremplaçable de leçons pour l’avenir. En effet, la vie et l'activité humaine dans le monde sont désormais placées sous le signe de fréquents et profonds changements; l’environnement international évolue à une allure chaque jour plus vive. «Toutes les évolutions de l’environnement font obligation d’évaluer les performances passées pour mieux orienter les opérations futures», devait ajouter M. Ousmane Seck. Il est important de noter que l’assistance de la banque aux Etats membres et aux communautés musulmanes des pays non membres au cours des 25 dernières années s’élève à environ 23 milliards de dollars U$, dont 8 pour les projets. La part de l’Afrique subsaharienne dans cette rubrique représente 20% soit 1,6 milliard de dollars ou environ 1120 milliards de francs CFA. C'est à l’appréciation des besoins et du niveau des revenus du pays de la région que ces concours sont accordés, mais à des conditions très concessionnelles, y compris des subventions non remboursables. L’aide de la BID a contribué à la construction sur le continent africain de 6000 km de routes, 3700 points d’eau, 3200 salles de classe, 170 centres de santé et à l’aménagement de 250.000 ha de terres irriguées. Invité à présenter son discours d’ouverture, le ministre d’Etat, M. Bruno Amoussou, a surtout fait remarquer les différentes interventions de la BID au Bénin. Des interventions qui s’orientent vers les secteurs clés de développement. Priorités données à l’éducation, à l’hydraulique villageoise, aux infrastructures routières, au secteur sanitaire, à la formation de ressources humaines, au commerce, au développement rural, etc... La promotion de la coopération comporte également un volet actif, c’est celui du transfert des compétences par des échanges d’experts des pays membres à diverses fins touchant au développement économique et social. Il faut signaler que de nouvelles perspectives s’offrent désormais aux pays sous-développés au niveau de la BID. Il s’agit d’un nouveau service pour financer des projets en faveur de l’insertion des femmes et des jeunes dans les domaines de développement rural, immobilier, économique, et autres. Ainsi, par des micro entreprises, ces couches sociales pourront participer efficacement au développement de leurs pays. Les financements de la BID au Bénin La toute première assistance de la Banque au Bénin remonte à l’année 1982 au titre des concours aux pays non membres. Un financement d’un montant de 1,4 million de dollars avait alors été approuvé par le Conseil d’Administration pour la construction du Complexe polytechnique de Natitingou, pour la formation des jeunes agriculteurs et techniciens du développement rural. Terminé et mis en service, ce très beau complexe contribue d’ores et déjà à la valorisation des ressources humaines dans un secteur aussi vital que l’agriculture. En 1983, soit un an après cette première approbation par notre Conseil d’administration, le Bénin est devenu un membre à part entière de la grande famille du Groupe de la Banque. Grâce au dynamisme des autorités de ce pays et à celui de ses cadres dirigeants, les interventions de la banque ont depuis lors fait des pas de géant, couvrant la plupart des secteurs du développement économique et social, et atteignant à ce jour, un montant cumulé de 113 millions de dollars des Etats-Unis, soit environ 79 milliards de F CFA. Ces concours à l’économie béninoise ont été accordés à partir de plusieurs guichets du Groupe de la Banque dont notamment: les prêts (44,5 milliards F CFA), le compte spécial pour les pays les moins avancés (9,6 milliards F CFA), l’assistance technique (3,5 milliards F CFA), l’assistance spéciale (1 milliard F CFA), le commerce extérieur (14 milliards F CFA) et enfin un mode spécifique au financement islamique qui s’appelle istisna’a (6,4 milliards F CFA). Ces 34 différents financements ont couvert des projets importants au nombre desquels permettez-moi de citer: la route Djougou-Natitingou (déjà achevée), la route Savalou-Djougou (dont les travaux démarrent), la réhabilitation et la reconstruction du Port Autonome de Cotonou (déjà achevée), la construction d’écoles primaires en milieu rural dans le Borgou, l’Atacora, le Mono et le Zou (en voie d’achèvement), les centres de santé, les pistes de desserte rurale, la construction de deux lycées professionnels à Porto-Novo et Parakou, les infrastructures détruites par les inondations dans le Mono, le projet d’énergie solaire, les petits barrages d’irrigation et d’élevage, l’adduction d'eau dans l’Ouémé et l’Atacora. Au titre du commerce extérieur, quatre opérations d’importation de produits pétroliers ont été approuvées par le Conseil d’admi-nistration et effectivement réalisées. Enfin, douze financements ont été accordés au titre de l’assistance technique pour différentes études de factibilité de projets. BID/BENIN : 11 milliards de FCFA pour des projets socio-économiques Toujours dans le cadre des manifestations marquant le 25ème anniversaire de la BID, le ministre d’Etat, M. Bruno Amoussou et le vice-président de la BID, Ousmane Seck ont donné hier après-midi au Centre Intemationnal de Conférence de Cotonou, une conférence de presse. C'était l’occasion pour les journalistes d’en connaître un peu plus sur la BID et de poser diverses questions. Entre autres, on a voulu savoir pourquoi le Bénin qui n'est pas un pays islamique bénéficie des prêts de la BID, si la BID alloue des crédits dans le domaine de l’habitat social, pourquoi la procédure d’acquisition des prêts au. niveau de la BID est lente. On a voulu aussi savoir si la BID peut aider à la création d’une banque islamique au Bénin, à l’instar des pays comme le Sénégal, le Mali et le Niger. A toutes ces questions, le vice-président de la BID a été on ne peut plus clair. La BID ne s’occupe pas de connaître le pourcentage des musulmans d’un pays, avant de lui octroyer ses prêts. L’essentiel pour ce pays est d’être membre de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI). Et cela relève de la souveraineté des pays. La BID, devait souligner M. Seck, n’intervient pas dans le domaine de l’habitat social. Elle n’intervient dans l’immobilier que si c’est par exemple un magasin dont les bénéfices sont versés aux oeuvres sociales dans les pays musulmans en particulier. En ce qui concerne la procédure de prêt qui est lente au niveau de la BID, son vice-président a promis d’oeuvrer, afin qu’elle soit désormais rapide. Il a également promis d'aider à la création d’une banque islamique au Bénin si les nationaux qui en font la demande participent au capital de cette banque. La conférence de presse a pris fin par la signature de trois nouveaux accords de financement portant sur un montant d’environ 11 milliards de FCFA au profit de trois projets. Le premier projet est relatif à la construction de 6 résidences universitaires, le 2ème à la construction de 285 écoles primaires et enfin le troisième porte sur l’étude du Projet de développement rural intégré de l’Atlantique. bibo:pages 1 3 -- o:id 7201 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7201 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7217 26501 26502 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a2f9a36ed84f46b12d21ec028edded8788af62ee.pdf https://islam.zmo.de/files/original/68a924c1a602a034151205d77fb8e33f96caf889.tiff https://islam.zmo.de/files/original/70c6f3234dec4bae6baeaf238037dded6a57ea58.tiff dcterms:title Visite au Bénin du vice-président de la BID : des crédits spécifiques seront octroyés au secteur privé dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13040 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-07-27 dcterms:identifier iwac-article-0003324 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract M. Ousmane Seck, vice-président de la Banque Islamique de Développement (BID) en séjour dans notre pays a, en marge du symposium marquant le 25ème anniversaire de la banque, rencontré hier le président de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content M. Ousmane Seck, vice-président de la Banque Islamique de Développement (BID) en séjour dans notre pays a, en marge du symposium marquant le 25ème anniversaire de la banque, rencontré hier le président de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin. Le vice-président de la Banque Islamique de Développement, sachant que son institution finance des projets dans plusieurs domaines dont celui du commerce, a profité de son séjour dans notre pays pour rendre visite à M. Wassi Mouftaou, président de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCIB). Au sortir de son entretien avec M. Wassi, M. Ousmane Seck a indiqué qu’il a été reçu dans le cadre du 25ème anniversaire de la BID qui s’ouvre aujourd’hui dans notre pays. Il a rappelé que le développement durable d’un pays ne peut se faire sans le secteur privé. C’est pourquoi la BID a décidé de créer une structure spécifique pour le financement de ce secteur. Les prêts à octroyer peuvent aller de cinq cent millions à plusieurs milliards. Il y aura cadre, des crédits destinés exclusivement à l’Import-Export. bibo:pages 1 3 -- o:id 7202 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7202 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7218 26503 26504 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/dd636431741cdc199c6e1ec943c578783730afa3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6f483d89147679a7c1c02bef53522980a3c53730.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6298bb45884313531ae48d30be5f5483261156bb.tiff dcterms:title Conférence de presse du vice-président de la BID : le Bénin est un membre privilégié de l'institution dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15114 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-07-26 dcterms:identifier iwac-article-0003325 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract M. Ousmane Seck, vice-président de la Banque Islamique de Développement (BID) arrivé au Bénin, depuis le lundi dernier, dans le cadre du 25e anniversaire de son institution, a donné hier mardi une conférence de presse au Centre International de Conférences de Cotonou. Au cours de cette conférence de presse, M. Ousmane Seck devait présenter au parterre de journalistes, la Banque Islamique de Développement (BID), ses structures, son fonctionnement, ses acteurs, ses idéaux et ses interventions au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content M. Ousmane Seck, vice-président de la Banque Islamique de Développement (BID) arrivé au Bénin, depuis le lundi dernier, dans le cadre du 25e anniversaire de son institution, a donné hier mardi une conférence de presse au Centre International de Conférences de Cotonou. Au cours de cette conférence de presse, M. Ousmane Seck devait présenter au parterre de journalistes, la Banque Islamique de Développement (BID), ses structures, son fonctionnement, ses acteurs, ses idéaux et ses interventions au Bénin. Dans son propos liminaire, M. Ousmane Seck a déclaré que la BID fonctionne exactement comme la Banque Mondiale ou la Banque Africaine de Développement (BAD), avec la différence qu’à la BID, la priorité est accordée aux projets à but compatible à l’islam et au développement. La République du Bénin ayant adhéré à la Banque Islamique de Développement en 1983, a bénéficié à ce jour de 34 opérations et projets d’un montant global de 79 milliards de FCFA répartis comme suit: - Education: 34% - Santé: 6% - Infrastructures routières: 31 % -Hydraulique: 23% - Commerce: 6% Toutefois, précise M. Ousmane Seck, tous les projets n’ont pas encore démarré. D’ailleurs, dans ce cadre, la BID a un programme triennal pour le Bénin qui va démarrer très bientôt. Néanmoins, ajoute-t-il, toutes les dispositions sont prises pour mettre en marche les différents projets déjà approuvés par le Conseil d'administration de la Banque. Pour bien comprendre la vraie nature de la BID, dira M. Seck, il faut remonter à la création de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) qui a eu lieu en 1973-1974 et qui réunit les pays ayant des communautés musulmanes plus ou moins larges, pays ayant accepté de souscrire à la Charte de cette organisation. L’OCI est une organisation à essence politique qui a cherché rapidement à promouvoir la coopération entre ses membres dans divers domaines, notamment la culture incluant l’éducation, la formation et l’information, dans le domaine économique et commercial et enfin dans le domaine scientifique et technique. L’OCI a pensé dès le début dans ses dispositifs qu’il était bon de compter une organisation de financement du développement et c’est là le pourquoi de la création de la Banque Islamique de Développement. Au cours du symposium qui s’ouvre demain au Centre international de Cotonou, les responsables de la BID auront pour mission de rendre compte aux pays membres de la BID de ce qui a été fait depuis sa création, il y a 25 ans. Ce sera aussi l’occasion de réfléchir sur l’avenir de l’institution, faire des suggestions devant permettre une amélioration des prestations et enfin faire connaître davantage la Banque qui participe efficacement au développement des pays africains et particulièrement du Bénin. bibo:pages 1 3 -- o:id 7203 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7203 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7219 26505 26506 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/815b1d53ef034688157550a9f227624a8b78a62f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9f23b1e6c6e7c35e1d3867bbc8ab6def6dba3c7f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/5f29ce3b96bdd2b2276fbd216bc9ae36dae8d2aa.tiff dcterms:title 25è anniversaire de la BID : le vice-président de la Banque, M. Ousmane Seck est arrivé hier à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-07-25 dcterms:identifier iwac-article-0003326 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le vice-président de la Banque Islamique de Développement (BID), M. Ousmane Seck est arrivé hier à Cotonou. Il a été accueilli à sa descente d’avion par le ministre d’Etat, M. Bruno Amoussou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le vice-président de la Banque Islamique de Développement (BID), M. Ousmane Seck est arrivé hier à Cotonou. Il a été accueilli à sa descente d’avion par le ministre d’Etat, M. Bruno Amoussou. M. Ousmane Seck est au Bénin dans le cadre de la célébration du 25e anniversaire de la Banque Islamique de Développement qui se déroulera le jeudi 27 juillet prochain. Au salon d’honneur de l’Aéroport international de Cotonou, M. Ousmane Seck a tenu à remercier les autorités béninoises d’avoir accepté d’organiser au Bénin la journée de célébration du 25e anniversaire de la BID. Cette célébration sera faite dans le cadre d’un symposium sur «Les pays membres de l’OCI grâce au 21e siècle: Rôle de la Banque Islamique de Développement». Dans un entretien accordé à la presse nationale, M. Ousmane Seck, faisant un bref bilan de son institution, a déclaré que 25 ans pour une institution comme la BID, c'est à la fois beaucoup et peu. Mais c’est l’âge de raison pour une institution qui est née il y a aujourd’hui 25 ans avec les pays fondateurs au nombre de 20 et qui sont maintenant au nombre de 53. Le Bénin en est membre depuis maintenant près de 20 ans et y joue un rôle très important. Et c’est pourquoi les relations de coopération entre le Bénin et la BID se sont renforcées, approfondies et même diversifiées. A en croire M. Ousmane Seck, le Bénin est le pays où la BID a la coopération la plus diversifiée puisqu’elle s’attache à développer le monde rural, les infrastructures de transport, l'éducation et la santé. La part de l’éducation et de la santé dans les interventions de la BID au Bénin est très importante et est de 40% sur l’ensemble des interventions et de 35% dans l’éducation. Nous avons également, poursuit-il, participé à l’édification des infrastructures routières. Le Bénin est un pays considéré comme une plaque tournante en Afrique de l’Ouest, le port d'entrée de plusieurs pays enclavés dans la sous-région. Au cours de son séjour au Bénin, M. Ousmane Seck signera avec les autorités béninoises, des accords de financement pour la construction de résidences universitaires et de 285 écoles primaires au Bénin. Signalons que le symposium de la BID est placé sous le haut patronage du président Mathieu Kérékou et sous la présidence effective de M. Bruno Amoussou, ministre d’Etat, et en présence bien sûr de M. Ousmane Seck. bibo:pages 1 3 -- o:id 7220 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7220 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7232 26507 26508 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/25a6317d067137f6f6fbf7d3046bc26cd76a9e2b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c4d8aa926d95e99c1b2ef1f384973cd412202238.tiff https://islam.zmo.de/files/original/30b096a3f4e2acb044516ac06dbc299b68d54df6.tiff dcterms:title Prière de la Tabaski à la place Idi d’Akpakpa : l'Imam Ousmane Aboubakar implore la paix pour le Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1571 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-03-17 dcterms:identifier iwac-article-0003327 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La place Idi, sise derrière la SOBETEX à Akpakpa a été prise d’assaut très tôt dans la matinée d'hier jeudi 16 mars 2000 par des milliers de fidèles musulmans. Ils tenaient à aller prier Allah dans le cadre de la Tabaski pour le remercier pour tout ce dont il a dû les combler depuis la dernière fête du Ramadan, il y a quelque 72 jours. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La place Idi, sise derrière la SOBETEX à Akpakpa a été prise d’assaut très tôt dans la matinée d'hier jeudi 16 mars 2000 par des milliers de fidèles musulmans. Ils tenaient à aller prier Allah dans le cadre de la Tabaski pour le remercier pour tout ce dont il a dû les combler depuis la dernière fête du Ramadan, il y a quelque 72 jours. C’est Ousmane Aboubakar, Imam central de Cotonou, Porte-parole de la communauté musulmane du Bénin qui a dirigé la prière faite de deux Rakats et du serment. La prière commencée à 9 h 5 mn n’a duré qu’une quinzaine de minutes. Les fidèles ont imploré la grâce de Allah à qui ils ont confié le Bénin tout entier, afin qu’il l’épargne de tous les malheurs et l’éloigne d’une guerre civile. Aussi dans sa prière, l’Imam Ousmane Aboubakar, a-t-il invité les fidèles à croire davantage en Dieu et à respecter les règles de la Bible et du Coran. Que donc la paix règne sur le Bénin! La fête de la Tabaski rappelle l’histoire de Ibrahim le prophète et de son fils Ismaël. A Allah, Ibrahim a promis d’immoler, en guise de reconnaissance de ses bienfaits, son fils Ismaël. Quand vint le moment de ce sacrifice suprême d’Ismaël, Allah substitua un gros bélier blanc qu’il ordonna à Ibrahim d’immoler en lieu et place de son fils. De plus en plus, certains fidèles, après avoir le jour de la Tabaski immolé le mouton, en goûtent le sang. Ce n’est pas normal, réagit l’Imam Ousmane Aboubakar qui soutient que le sang de la bête est au Tout-Puissant et au Tout-Puissant seul. Au terme de la prière sur la place Idi, l’Imam a immolé un gros bélier blanc... Et commença la fête! A la place publique ’’Les Cocotiers” La place publique du quartier «Les Cocotiers» a connu, hier, tôt dans la matinée, la présence de milliers de musulmans venus assister à la prière de célébration de la Tabaski. C’était sous la direction de l’Imam Issiaka Ligali Alao de la Mosquée de Cadjèhoun. Soixante-douze (72) jours après le Ramadan, la communauté musulmane a célébré hier la fête du mouton ou la Tabaski. Signification de la fête La Tabaski perpétue une tradition islamique. Elle symbolise l’acte d'Ibrahim qui a promis à Dieu de lui sacrifier son fils Ismaël. Mais le jour du sacrifice, en lieu et place de son fils qu’il s’apprêtait à égorger, Dieu lui envoya un bélier, empêchant ainsi que le sang humain coule. La Tabaski est donc le moment de faire revivre aux fidèles musulmans, de leur faire connaître la sommité de la foi monothéiste. Mais quel est l’intérêt de cette tradition? Intérêt de la fête Selon l’Imam de la mosquée de Cadjèhoun, il sera compté aux fidèles pour chaque mouton sacrifié, une bonne œuvre. Celte fêté est surtout célébrée pour rendre grâce à Dieu et aussi pour solliciter sa clémence dans notre vie. Pour cela, le musulman ne doit pas sacrifier à Dieu un mouton malade, mais un mouton cornu et en pleine forme, digne de la foi sincère qu’il a en Dieu. Le fidèle ne doit donc pas lésiner sur les moyens s’il en possède, car Dieu a dit: «Vous les riches, vous êtes le gardien de ma richesse, et les pauvres mes ouvriers». Un bon fidèle ne doit jamais avoir d’argent dans son cœur, mais plutôt dans sa main. A la fin du prêche, un bélier blanc a été immolé pour donner le top de la fête. bibo:pages 1 3 -- o:id 7221 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7221 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7233 26509 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/85ab5776692849d8f05fb111c4641e637534cc73.pdf https://islam.zmo.de/files/original/82f4af25af684ab9ba7f96a93560f84d2ec60f5c.tiff dcterms:title Le général Mathieu Kérékou a fait vive impression à Abu-Dhabi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1493 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-03-10 dcterms:identifier iwac-article-0003328 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le général Mathieu Kérékou est rentré mercredi dernier à Cotonou après trois jours de visite d’Etat à Abu-Dhabi dans les Emirats Arabes Unis. Au cours de son séjour, il a visité la 3ème foire-exposition internationale des matériels de défense et a impressionné une consoeur photographe d’une Agence de presse étrangère. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13340 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/309 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le général Mathieu Kérékou est rentré mercredi dernier à Cotonou après trois jours de visite d’Etat à Abu-Dhabi dans les Emirats Arabes Unis. Au cours de son séjour, il a visité la 3ème foire-exposition internationale des matériels de défense et a impressionné une consœur photographe d’une Agence de presse étrangère. Le mobile? Le chef de l'Etat était à un stand où on lui donnait des explications sur un matériel de communication. A la fin des explications, alors que tout le monde s’attendait à ce qu’il félicite les fabricants, Mathieu Kérékou a posé une question toute simple. «En quoi ce matériel peut-il aider à lutter contre la pauvreté dans mon pays»?, une question hautement philosophique peut-être. Notre expert en armement, qui dans un premier temps, n’a pas appréhendé le sens de la question, s’est mis à expliquer. Le chef de l’Etat a répété sa question. Et l’expert de faire observer que souvent, les systèmes de communication reviennent très chers dans les pays africains et que celui qu’il expose a l’avantage d’être peu coûteux et qu’il est bon pour nos Etats. Notre consoeur, se retourne vers nous et lance, «il est très sympathique votre président. Il se préoccupe de la misère de son peuple». Puis à la sortie, elle s’approche du général et lui demande ses impressions. Calmement, Mathieu Kérékou lui dit: «Nulle part, ce n’est écrit ni dans la Bible, ni dans le Coran... Tout cela, c’est la mort... « puis il a continué son chemin. Notre consœur a gardé de Mathieu, nous raconte-t-elle, une très bonne impression. Comme chef d’Etat, c’en est un». bibo:pages 4 -- o:id 7222 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7222 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7234 26510 26511 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2bcccbf54c44382144c9105f4d8a4c21626d1af1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ce5765932720496736afe9740d1be7c1a3639bbf.tiff https://islam.zmo.de/files/original/f31fbb35b8f0f1d1200b521e8c87ffbc399dfb8d.tiff dcterms:title Fête de Aid El Fitr à Cotonou : les musulmans ont imploré l'union et la paix pour le Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/775 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-01-11 dcterms:identifier iwac-article-0003329 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La fête de Aid El Fitr a été diversement célébrée au Bénin. Les uns ont mis fin à leur jeûne après 29 jours d’abstinence de toutes sortes; les autres l’ont fait après 30 jours. Conséquence, la fête du Ramadan a eu lieu le vendredi 07 janvier pour les uns puis le samedi 08 janvier pour les autres. Samedi dernier donc, la prière consacrant la fin du jeûne s’est déroulée dans la matinée à la place Idi, sise derrière la Société Béninoise de Textile (SOBETEX) à Akpakpa. La cérémonie de prière a été dirigée par l’imam Ousmane Aboubakar de la mosquée centrale de. Jonquet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La fête de Aid El Fitr a été diversement célébrée au Bénin. Les uns ont mis fin à leur jeûne après 29 jours d’abstinence de toutes sortes; les autres l’ont fait après 30 jours. Conséquence, la fête du Ramadan a eu lieu le vendredi 07 janvier pour les uns puis le samedi 08 janvier pour les autres. Samedi dernier donc, la prière consacrant la fin du jeûne s’est déroulée dans la matinée à la place Idi, sise derrière la Société Béninoise de Textile (SOBETEX) à Akpakpa. La cérémonie de prière a été dirigée par l’imam Ousmane Aboubakar de la mosquée centrale de Jonquet. La place Idi était ce samedi-là noire de monde. Tous femmes, hommes et enfants tenaient à aller rendre grâce à Allah le Tout-Puissant pour avoir souffert que les 29 ou 30 jours de jeûne et d’abstinence de toutes sortes se soient déroulés en toute quiétude. En de pareilles circonstances, l’exécutif est toujours représenté par une forte délégation. Hélas! samedi dernier, leurs sièges étaient vides. Ils étaient attendus jusqu’à 10 h 15 mn. Une attente qui a fait dire à un fidèle indiscret «Ce n’est pas la prière pour implorer le gouvernement, mais plutôt pour louer Allah». Et la prière, en présence des autorités comme Allasane Bawa de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) et Raphiou Toukourou du Conseil Economique et Social (CES) commença à 10 h 15 mn par des louanges à Dieu. Allah Akbar Allah Akbar. Dieu est Grand, repris en choeur par les milliers de fidèles musulmans. Cela dura environ. 8 mn. Puis l’Iman Ousmane Aboubakar devrait se rasseoir en tailleur pour se recueillir profondément. Tous les fidèles firent comme lui. Puis, résonna Assala Maleikoun. Il sonnait 10 h 25 mn quand l’Imam monta au podium pour délivrer le Outoubat (serment) par lequel il souhaitait l’union et la paix pour tout le Bénin, et que Dieu nous pardonne nos péchés et nous accorde le bonheur. L’Aid El Fitr est dor une fête de réjouissance, une fete où les musulmans remercient Allah pour tous les bienfaits dont il les a comblés. Le jeûne commence le 9è mois de l’année de l’Egire, et n’est autre qu’une sorte de purification. Purification après laquelle la prière s’avère nécessaire pour rendre grâce à Dieu. bibo:pages 1 12 -- o:id 7223 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7223 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7235 26512 26513 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b77c0d3ebc27a43882035fb237d5701920625827.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9eb20117b0389fcb74d5a411e3a2fe15921b09ce.tiff https://islam.zmo.de/files/original/a238d11108ba9f270fbabebde4826226b0e41952.tiff dcterms:title Inauguration de la mosquée centrale de Zongo : un véritable fleuron pour le rayonnement de l'Islam au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1582 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1377 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1972 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/790 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1999-11-22 dcterms:identifier iwac-article-0003330 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Il est des événements qui ne peuvent passer inaperçus. Leur particularité et l’écho, les propulsent irrésistiblement sur le devant de l’actualité. C’est le cas hier à Zongo, un quartier populeux au sud de Cotonou de l'inauguration de la plus grande mosquée du pays doublée de l'intronisation de son Imam. Les autorités religieuses et politiques de notre pays, des milliers de fidèles étaient venus témoigner et apporter leur soutien à l’oeuvre accomplie. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15482 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Il est des événements qui ne peuvent passer inaperçus. Leur particularité et l’écho, les propulsent irrésistiblement sur le devant de l’actualité. C’est le cas hier à Zongo, un quartier populeux au sud de Cotonou de l'inauguration de la plus grande mosquée du pays doublée de l'intronisation de son Imam. Les autorités religieuses et politiques de notre pays, des milliers de fidèles étaient venus témoigner et apporter leur soutien à l’œuvre accomplie. La mosquée en question est située à Zongo, au sud-ouest de Cotonou à une dizaine de minutes du bâtiment administratif de la BCEAO. Elle domine le paysage urbain très modeste du lieu. Comme pour donner le reflet exact de la main architecturale et du pactole dépensé pour son érection, le bâtiment, tout de carreaux «vêtu» réfléchit la lumière solaire. Son minaret géant l'emporte sur les autres immeubles aux alentours et conquiert tout le ciel. Le bâtiment est suffisamment imposant. Sur le fronton, on pouvait lire «Mahamadou - Allah» comme pour dire qu’il s’agit du domicile du Père, Allah, Dieu Tout-Puissant et son Prophète Mahomet. Un espace de prière aux dimensions exceptionnelles La mosquée centrale de Zongo a une envergure qui dépasse les frontières nationales. Elle est l’une des plus prestigieuses de la sous-région et aura coûté plus de 2 milliards de francs CFA. Cet ouvrage majestueux, il faut le souligner, a cette particularité d’être sorti de terre rien que par la solidarité et l’amour des Béninois. Au plan architectural, elle est l’œuvre de M. Djinadou Agbanrin, géomètre ayant défini et matérialisé les limites de la mosquée et de M. Khar Sarr, entrepreneur et ingénieur des travaux. Sur le plan technique, la mosquée centrale de Zongo couvre une superficie de 12.000 m2 et est composée de spacieuses salles de prière, d’une salle de réunion, de bassin pour les ablutions, de salles annexes affectées aux divers besoins exprimés par la communauté ainsi que d’une grande cour entièrement pavée. La mosquée présente les caractéristiques ci-après: - une ossature entièrement carrelée; - deux minarets (30 m et 13,5 m); - sept dômes; - une verdure composée de palmiers royaux et de dattiers. Entièrement financé par des mécènes nationaux provenant pour la plupart de la communauté musulmane de Zongo, ce lieu de culte éminemment moderne allie luxe et sobriété, arts occidental et oriental. Au-delà de la mosquée qui était le point focal de la cérémonie inaugurale, il y avait aussi la station de radio «La Voie de l’Islam» (91.2 FM), qui jouxte la mosquée et l’Ecole franco-arabe de Zongo un peu en retrait sur l’axe de la voie pavée. Il s’agit donc d’un véritable complexe socio-religieux et éducatif qui vient combler un vide dans la communauté musulmane du Bénin. Une manifestation, deux événements Cette cérémonie d’inauguration a été doublée d’une autre d’aussi grande importance, mais complémentaire. Il s’agit de l’intronisation du nouvel Imam de ladite mosquée. En effet, le poids de l’âge dictant sa loi, l’Imam Malam Yaro Ibrahim, a été jugé physiquement inapte pour continuer d'assurer les charges qui lui confèrent le titre de l’Imam de la mosquée. Ainsi, son fils El-Habib Mohamed Ibrahima a été désigné pour lui succéder. Ce qui a été chose faite hier au cours de la cérémonie d’inauguration de cette mosquée dont la clé lui a été officiellement remise à cette occasion. Mais qui est l’homme? L’Imam El-Habib Mohamed Ibrahima est né vers 1958 à Cotonou. Il fit ses études coraniques et islamiques à Cotonou, à Porto-Novo puis au Koweit. Enseignant à l’Institut Mahad Al-Imâne Acharhi de 1987 à 1990, il est actuellement le directeur de la radio «La Voie de l’Islam». Il est marié et père de trois enfants. Un hommage mérité La cérémonie d’inauguration a rassemblé un parterre impressionnant d’invités de marque et des hautes autorités béninoises. Ainsi, on notait à l’occasion, la présence très remarquée des membres du gouvernement avec à leur tête le ministre d’Etat, Bruno Amoussou et une délégation des honorables députés à l’Assemblée nationale, conduite par Maître Adrien Houngbédji. Deux temps forts ont marqué les cérémonies. Il s’agit de l’intronisation du nouvel Imam à qui les autorités présentes ont présenté leurs félicitations et la coupure du ruban symbolique qui marque la mise en service officielle de la mosquée. Rappelons que la cérémonie a connu également la participation de personnalités étrangères comme l’Imam Deen Aminou, recteur de l’Université de Kano (Nigeria). Vivement, que les populations de Zongo et autres fidèles mettent tout en œuvre pour bien entretenir ce joyau. bibo:pages 1 5 -- o:id 7224 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7224 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7236 26514 26515 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/80e5779942de90e3aec8acb9051d270651aade98.pdf https://islam.zmo.de/files/original/74cc777f7c2446e0e05871a2a2e963b252283874.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6435321128c785ad057def94d12d69faf75cfcad.tiff dcterms:title Au terme d'un jeûne de 29 jours : les musulmans ont célébré hier au Bénin l'Aïd El Fitr dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1392 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-12-06 dcterms:identifier iwac-article-0003331 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Ramadan de cette année a duré au total 29 jours, selon le calendrier lunaire. Ainsi, après 29 jours âpres de jeûne, la communauté musulmane du Bénin a célébré hier jeudi le « Aïd El Fitr » pour marquer la fin de ces moments de privation et d’abstinence. Ils étaient des milliers, hier, à prendre d’assaut la place Idi (SOBETEX) à Akpakpa pour la prière marquant la fin du Ramadan. Cette prière a été dirigée par l’imam de la mosquée centrale de Cotonou, El Hadj Ousmane Aboubakar. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Ramadan de cette année a duré au total 29 jours, selon le calendrier lunaire. Ainsi, après 29 jours âpres de jeûne, la communauté musulmane du Bénin a célébré hier jeudi le « Aïd El Fitr » pour marquer la fin de ces moments de privation et d’abstinence. Ils étaient des milliers, hier, à prendre d’assaut la place Idi (SOBETEX) à Akpakpa pour la prière marquant la fin du Ramadan. Cette prière a été dirigée par l’imam de la mosquée centrale de Cotonou, El Hadj Ousmane Aboubakar. Deux ministres prenaient part à cette cérémonie pour apporter le soutien du gouvernement à la communauté musulmane. Il s'agit du ministre d'Etat, Bruno Amoussou, et du ministre de l'Intérieur, Daniel Tawéma. Il sonnait 9 h 55 quand l'Imam devant conduire les prières fit son entrée sur la place Idi où l'attendaient déjà les fidèles (hommes, femmes et enfants) parés de leurs beaux boubous et en position pour la prière. Installé à son tour sur son tapis, l'imam démarre la prière avec l'invocation du Tout-Puissant Allah, le Miséricordieux à qui il rend grâce pour avoir assisté chaque musulman dans l'accomplissement du devoir de purification qu'est le jeûne. Les fidèles continueront la célébration en famille et ailleurs sur les places de réjouissance populaire. bibo:pages 1 3 -- o:id 7225 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7225 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7237 26516 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5fa2b15e1fa8cc843a6eef96c1762c4c26f50e36.pdf https://islam.zmo.de/files/original/cf6c273cc20e22873adfff8168bb56f164eba5b6.tiff dcterms:title 18ème conférence régionale de la Jama'at islamique Ahmadiyya : la localité de Toui retenue dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13798 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15001 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-12-13 dcterms:identifier iwac-article-0003332 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pour éclairer l’opinion publique sur la tenue effective le 20 décembre prochain à Toui de la I8ème conférence régionale de la Jama’at islamique Ahmadiyya, l'Amir Secundar Essan a donné hier une conférence de presse. C’était à la mosquée de la Jama’at à Akpakpa. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14193 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13251 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14043 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14494 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pour éclairer l’opinion publique sur la tenue effective le 20 décembre prochain à Toui de la I8ème conférence régionale de la Jama’at islamique Ahmadiyya, l'Amir Secundar Essan a donné hier une conférence de presse. C’était à la mosquée de la Jama’at à Akpakpa. Toutes les fois précédentes, la conférence régionale de la Jama'at islamique Ahmadiyya s'est tenue à Porto-Novo. Mais cette année, du 20 au 21 décembre prochain, elle se tiendra à Toui dans la sous-préfecture de Ouèssè dans les Collines. Selon l'Amir Secundar Essan, Toui a été retenu pour abriter cette 18ème conférence parce qu'elle est une localité où vit et travaille une forte communauté musulmane, membre de l'Ahmadiyya. De même, Toui semble être le centre entre le nord, le sud, l'est et l'ouest et peut-être rallié sans grandes difficultés par les membres de la communauté. L'occasion de cette conférence de presse a été saisie par l'Amir, pour rappeler une fois encore que l'islam n'est pas une religion de violence, « c'est une religion de paix », a martelé le Mauricien Secundar Essan qui a indiqué qu'au nom de la solidarité internationale, la Jama'at islamique Ahmadiyya au cours de la 18ème conférence régionale priera beaucoup pour le retour de la paix en Côte-d'Ivoire. A la 18ème conférence sont attendus, à en croire Secundar Essan 40.000 fidèles qui viendront du Bénin, du Nigeria, du Ghana, du Togo, du Niger, du Burkina Faso, de la Centrafrique, de l'Ile Maurice, de Sao-Tomé et Principe. Le Khalife se fera représenter à cette rencontre spirituelle où sont également attendues toutes les têtes couronnées de la région africaine et des personnalités politiques du Bénin et d'ailleurs. bibo:pages 3 -- o:id 7226 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7226 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7238 26517 26518 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c07450819865474288fee3c17a6d73d53ba1766c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/82263b9732afb9833619c9c49eb4674638d5cd73.tiff https://islam.zmo.de/files/original/3281c43b5e26134b237f133f2db43235ba78f6e1.tiff dcterms:title Prière de la Tabaski à la place ldi SOBETEX : bâtir le Bénin dans la cohésion nationale dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2003-02-12 dcterms:identifier iwac-article-0003333 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Et le sacrifice du mouton à l’occasion de la fête de la Tabaski eut lieu, hier mardi 11 février, sur toute l’étendue du territoire national où elle a été diversement célébrée. A Cotonou, à la place Idi à Akpakpa derrière la Société béninoise des Textiles (SOBETEX), c’est Ousmane Aboubakar, imam de la mosquée centrale de Zongo qui a dirigé les prières. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13817 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/410 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Et le sacrifice du mouton à l’occasion de la fête de la Tabaski eut lieu, hier mardi 11 février, sur toute l’étendue du territoire national où elle a été diversement célébrée. A Cotonou, à la place Idi à Akpakpa derrière la Société béninoise des Textiles (SOBETEX), c’est Ousmane Aboubakar, imam de la mosquée centrale de Zongo qui a dirigé les prières. Allah est grand ! Allah est grand ! Allah est grand ! Qu'il soit donc doué pour nous avoir maintenus en vie jusqu'à cette fête de la Tabaski. Après cette grâce à Allah pour ces bienfaits, l'imam Ousmane Aboubakar a fait le sermon que les fidèles ont écouté avec une attention soutenues. Il a prié pour la paix, le développement et le bonheur du Bénin. Il a également prié pour tous les dirigeants du Bénin à quelque niveau qu'ils soient, et les a invités à plus de sérénité, de concorde et de bonne gouvernance afin que régresse la misère dans notre pays. L'imam dans sa prière n'a pas oublié les ouvriers, les commerçants... toutes les couches socio-professionnelles du Bénin. Il a demandé à Allah de nous garder tous en vie jusqu'à la Tabaski prochaine. Aux fidèles, l'imam a demandé de continuer de croire en Allah, l'Alpha et l'Oméga, celui qui donne la vie et la reprend. Enfin, l'imam a invité au nom d'Allah tous les Béninois à s'unir, à s'entendre afin de bâtir dans la cohésion notre chère patrie, le Bénin. Après le sermon de l'imam est intervenue l'immolation du mouton. Et le top fut ainsi donné. Chaque fidèle musulman retourné chez lui va immoler son mouton. A cette prière de la Tabaski, a participé Raphiou Toukourou, président du Conseil économique et social. Pour lui, la fête de la Tabaski est celle de la solidarité avec les pauvres, les démunis. Outre ceux-là à qui une partie du mouton est destinée, il y a aussi les voisins, puis la famille. A l'occasion de cette fête de la Tabaski, le président Raphiou Toukourou dit tourner ses pensées vers les pays frères d'Afrique où les conflits meurtriers sévissent II pense au Libéria, au Rwanda, au Tchad et à la Côte-d'Ivoire. Il plaide pour la paix dans tous ces pays. bibo:pages 1 3 -- o:id 7227 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7227 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7239 26519 26520 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/02ee9982f219e9b33a2051325cef7ea13c184e58.pdf https://islam.zmo.de/files/original/74847ae64398e901b28ebfa34d3c737f06017b8b.tiff https://islam.zmo.de/files/original/0df717550c00ae01f4193c998165d1529a12c7ae.tiff dcterms:title Tabaski : le mouton burkinabé sacrifié par la crise ivoirienne dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1607 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2003-02-07 dcterms:identifier iwac-article-0003334 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A la veille de la Tabaski, ou « fête du mouton », l’excès d'animaux sur les marchés du Burkina tire les prix vers le bas. Depuis la fermeture des frontières avec la Côte d’Ivoire, principal débouché de la filière, les éleveurs n'ont pas le cœur à la fête. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15300 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/488 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A la veille de la Tabaski, ou « fête du mouton », l’excès d'animaux sur les marchés du Burkina tire les prix vers le bas. Depuis la fermeture des frontières avec la Côte d’Ivoire, principal débouché de la filière, les éleveurs n'ont pas le cœur à la fête. Deux béliers pour le prix d'un ! Cette année, à Youba, le quatrième marché de bétail du Burkina, situé, dans la province du Yatenga (nord du pays), les moutons se vendent par paire. Deux beaux mâles, d'environ 50 kg chacun, se marchandent entre 62 500 et 70 000 Fcfa (96 et 107 euros). « L'année dernière, un seul de ces moutons coûtait autant », dit, en secouant la tête de dépit, Hassane Maïga. Cet enquêteur sillonne le marché de bétail, depuis 1995, pour le compte des services statistiques du ministère des Ressources animales. Muni de son inséparable compteur, il dénombre les animaux. A quelques jours de la Tabaski, prévue le 12 février prochain au Burkina, 678 moutons sont en vente sur le marché de Youba. Il s'agit surtout de béliers bali bali, hauts sur pattes, avec de longues cornes torsadées, les plus recherchés pour célébrer l'Aïd el kabir, cher aux cœurs des musulmans. Sur ce marché ouvert aux quatre vents, de la taille d'un terrain de football, les marchandages vont bon train. Tout en prêtant l'oreille aux discussions autour de lui, Daouda Nabassiga veille sur ses 8 moutons. L'homme vient du village de Nogo, tout proche. Comme des milliers de petits paysans, il fait de l'embouche, c'est-à-dire qu'il engraisse les animaux qu'il revend pour la Tabaski, quand les cours grimpent. Habituellement, il fonde ses espoirs sur le marché ivoirien, qui absorbe jusqu'à 90, parfois 95 %, du cheptel burkinabé. Un débouché naturel, lié au fait que la Côte d'Ivoire n'est pas un pays d'élevage, contrairement au Burkina avec ses quelque 23 millions de boeufs, de moutons et de chèvres qui lui rapportent près de 36 milliards de Fcfa. La route et le chemin de fer relient les deux pays. De plus, il existe à et Bouaké, deux villes ivoiriennes, un réseau de commercialisation du bétail aux mains des Burkinabé résidant sur place et surtout un grand marché solvable. Avec l'exacerbation de la crise en Côte d'Ivoire, les éleveurs burkinabé se retrouvent avec leurs animaux sur les bras. Car le marché intérieur est lui aussi déprimé. « Le pouvoir d'achat du Burkinabé moyen est faible. Les gens comptent sur leurs parents à l'étranger pour les aider. Or avec les problèmes, notamment celui de la Côte d'Ivoire, les apports d'argent ont beaucoup diminué », explique le Dr Joseph Sawadogo, directeur provincial des ressources animales du Yatenga. Moutons mal vendus, famine à l'horizon Pour de nombreux éleveurs, à commencer par Daouda Nabassiga, la persistance de la crise en Côte d'Ivoire signe l'arrêt de leur activité. « Cette année, se lamente-t-il, je peux m'estimer heureux si je rentre dans mes fonds. je vais devoir me contenter des déjections de mes bêtes, qui serviront à faire du fumier pour mon champ de mil ». Le plus grave reste la spirale du crédit Pour faire de l'embouche, il faut d'abord s'endetter en achetant les animaux, bien les nourrir et les soigner afin qu'ils doublent de poids en moins de 3 à 4 mois. En temps normal, l'activité rapporte et permet de combler le déficit céréalier chronique de la région. Les animaux constituent donc une caisse d'épargne dans laquelle on puise pour faire face à la famine. « Les femmes vendent habituellement leurs moutons de case pour subvenir à leurs besoins et apporter un appui à leur mari. Cette mévente pourrait même créer des scènes de ménage », craint le plus sérieusement du monde le directeur provincial des ressources animales. Annuler la dette ? L'heure est donc à la réflexion. Et chacun y va de sa stratégie. Nabassiga ira plaider sa cause auprès du projet 6e FED ( Fonds européen de développement ) et demander un report de son crédit. « J'espère qu'ils vont me comprendre », dit-il. Djibrina Bagayan, éleveur-revendeur-exportateur, compte, lui, se rendre au Ghana pour vendre ses animaux. De là, il pourra continuer en Côte d'Ivoire, quels que soient les risques. « On a déjà produit, on n'a pas le choix », explique-t-il. Les gros exportateurs rêvent, quant à eux, de diversification. « Nous devons reconquérir le marché nigérian que le Burkina gérait au cours des années 1978-1979, lance Tidiane Barry, le président de l'Union nationale des commerçants exportateurs de bétail, basé à Ouagadougou. Au Nigeria, l'abattoir de Lagos, à lui seul, a besoin de 7500 têtes par jour, c'est-à-dire autant que le Ghana, le Togo et le Bénin réunis ». Le Dr Sawadogo va jusqu'à proposer, vu la crise alimentaire qui se profile dans toute la région, une annulation des dettes des éleveurs, sur le modèle de l'appui octroyé aux producteurs de coton en cas de sinistre. Une proposition que ne renierait sans doute pas Hassane Maïga, l'enquêteur :« Voyez-vous, notre deuxième champ, c'est le marché à bétail. Quoi qu'il arrive, nous devons poursuivre cette activité », explique-t-il, en essuyant ses larmes que le vent violent et la poussière de l'harmattan n'arrêtent pas de faire couler. bibo:pages 1 5 -- o:id 7228 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7228 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7240 26521 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/80e6929c94f9687b50ed495f7d57b6358be6b29b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7c30eee5ed03e1865051a72cc3aa59755b6631ff.tiff dcterms:title Le "Maouloud" commémoré dans la simplicité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/87 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2003-05-14 dcterms:identifier iwac-article-0003335 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Hier, mardi 13 mai, les musulmans du Bénin ont commémoré la naissance du prophète Mahomet. Kaza do Régo, membre de la communauté musulmane de Zongo, parle ici de cette manifestation et du prophète Mahomed. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Hier, mardi 13 mai, les musulmans du Bénin ont commémoré la naissance du prophète Mahomet. Kaza do Régo, membre de la communauté musulmane de Zongo, parle ici de cette manifestation et du prophète Mahomed. « Maouloud n'est pas une fête, mais c'est une commémoration de la naissance du prophète Mahomet, un messager qui a été envoyé pour clore la liste de tous les prophètes et messagers. Il a apporté ce qui est édifiant pour permettre à l'humanité d'accomplir le bonheur tel que les uns et les autres l'auraient souhaité. Personnellement, je ne peux pas situer dans le temps l'événement que le prophète lui-même a institué. Dieu a envoyé Mahomet pour parachever la religion sous sa forme la plus complète. Avant de mourir, il a dit ceci : « Je vous ai laissé deux choses. Si vous les suivez, vous n'allez jamais vous égarer du droit chemin. Ces deux choses sont : le livre d'Allah (Coran) et la Sounan (l'ensemble des enseignements et dès comportements. Mohamet a enseigné à l'humanité la vraie foi sous sa forme parachevée. Les musulmans sont les plus concernés par le Maouloud parce que cela est lié finalement à la foi. Mais lorsque nous regardons la voie qui a été tracée par le prophète Mahomet et que nous voyons les éléments qui y figurent, nous nous rendons compte que ce sont des éléments édifiants, pour asseoir effectivement la paix. Si les gens s'y adonnent, ils pourront avoir la paix. L'homme qui s'adonne aux activités spirituelles n'a pas le pouvoir de décision, ni l'argent pour décider. Les gens qui ont le pouvoir décisionnel, ont leur façon de voir. Or, on devait normalement tout concilier. Donc, ce n'est que de façon fantaisiste qu'on invite le spirituel à venir meubler les assises, non pas pour intervenir. Si les autorités à travers le monde entier, pouvaient associer les religieux compétents, dignes de ce nom aux prises de décision, je crois que cela fera changer beaucoup de choses dans la vie des hommes. Ce n'est pas seulement la nuit qu'on commémore le Maouloud. Il y a une veillée, et ensuite l'activité du jour. Cela s'organise de jour comme de nuit ». bibo:pages 3 -- o:id 7229 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7229 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7241 26522 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4cbeede71cc4db755aaeb8768a8d7d3f0b621b75.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8d1aa8eb472041b99c8446750e193315c3b891b4.tiff dcterms:title Ramadan à Porto-Novo : les fidèles ont sacrifié à la tradition dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1501 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13096 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13082 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1422 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14777 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2003-11-26 dcterms:identifier iwac-article-0003336 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A la place Idi Suru-Léré d'Agbokou, c’était sous la présidence effective de l’Imam intérimaire de la mosquée centrale de la ville de Porto-Novo, El Hadj Ibrahim Dindé Onifadé que les cérémonies se sont déroulées. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A la place Idi Suru-Léré d'Agbokou, c’était sous la présidence effective de l’Imam intérimaire de la mosquée centrale de la ville de Porto-Novo, El Hadj Ibrahim Dindé Onifadé que les cérémonies se sont déroulées. Une place qui a grouillé de monde, de fidèles et d'autorités politico-administratives dont le maire de la ville de Porto-Novo, Bernard Dossou, des sages comme Salomon Biokou, Karim da Silva et de sa Majesté le roi Onikogné Abessan. Dans son message sommaire, El Hadj Ibrahim Onifadé a rappelé à chacun des fidèles, la descente des anges dans toutes les villes du monde entier. En effet, ces anges sont descendus sur terre et s'installent dans tous les coins des rues pour dire, « Allons vers le Seigneur très généreux qui donne beaucoup et qui pardonne le plus grand des pécheurs ». Quand les anges se retrouvent sur la place, ils ont demandé quelle est la récompense du travailleur qui a bien accompli son devoir. Quel est alors le devoir en question ? Il y a des gens qui chercheront à savoir surtout ceux qui ont consacré leur nuit de Ramadan à l'adoration de Dieu. Ils ont jeûné, ils ont fait des largesses en posant des actes bénéfiques et positifs. Ce mois de carême a permis aux fidèles musulmans d'aider les pauvres. Et aujourd'hui Allah leur a permis également de rompre le jeûne et de comprendre que Dieu vient de libérer les hommes de tout acte de violence. Et pour les fidèles, il s'agit d'aller et de comprendre la faim et la soif que le pauvre endure. Selon les fidèles, c'est un mois de purification pour un nouveau départ. Au total, la prière de cette année est axée essentiellement sur l'amour et la paix dans la vie quotidienne de chacun. bibo:pages 3 -- o:id 7230 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7230 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7242 26523 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c80a4370870ca062bf54c7f1930ff8ac97ca1966.pdf https://islam.zmo.de/files/original/51a5fcca806ea445fcf47c084476432307533fd7.tiff dcterms:title Porto-Novo : on a prié pour le développement social dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1501 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-02-02 dcterms:identifier iwac-article-0003337 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane des départements de l'Ouémé-Plateau a célébré, hier comme dans les autres localités du Bénin, la fête de la Tabaski. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane des départements de l'Ouémé-Plateau a célébré, hier comme dans les autres localités du Bénin, la fête de la Tabaski. A Porto-Novo, les nombreux fidèles tous habillés de leurs boubous neufs ont pris d'assaut, très tôt le matin, les différents lieux de prières sous la direction de leurs imams. Des prières axées surtout sur l'amour, le pardon, la culture de la paix, le développement social du pays etc. Dans la ville de Porto-Novo, c'est la place Idi située à Gbokou qui a servi de cadre à la prière de l'immolation du premier mouton par l'imam et qui donna ainsi le top des manifestations. La Tabaski ou la fête du mouton est l'occasion privilégiée pour tout bon musulman, de sacrifier à la tradition en immolant un bélier au nom d'Allah. Dans les différents marchés de bétail, plus particulièrement à Djeffa, situé à 15. km de Porto-, Novo, l'affluence a été de taille. Plusieurs camions remplis de moutons ne cessaient de venir déverser les bêtes qui sont convoyés pour la plupart du Nord Bénin et surtout des pays limitrophes comme le Niger et le Burkina Faso. Et, c'est pour éviter les encombrements inutiles que les autorités béninoises ont décidé de transférer le marché à Djeffa. Un vaste domaine de plus d'un km2 y a été aménagé pour la vente des moutons. A Porto-Novo, c'est la place publique qui abritait autrefois le garage central situé au boulevard lagunaire qui a servi de cadre à la vente de moutons afin d'éviter les longs déplacements. Des bêtes qui seront immolées juste après la prière. bibo:pages 3 -- o:id 7231 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7231 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7243 26524 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4edce1629bebc99f7e04046a11554613a2f1a73d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/92dc8650bef5f53dd4baf147df3e2dd52e428e7d.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd-El-Kébir à N'Dali : la viande de Allah empoisonnée dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-02-04 dcterms:identifier iwac-article-0003338 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le dimanche 1er février dernier, les fidèles musulmans ont sacrifié à la tradition de l’Aïd-EI-Kébir en immolant plusieurs milliers de moutons afin d’implorer le pardon et la miséricorde de Allah. Au cours de cette célébration dans la commune de N’Dali, Al Hadja Sidikatou a offert de la viande empoisonnée à sa voisine. A la base de cet acte ignoble, la jalousie au marché. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/371 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le dimanche 1er février dernier, les fidèles musulmans ont sacrifié à la tradition de l’Aïd-EI-Kébir en immolant plusieurs milliers de moutons afin d’implorer le pardon et la miséricorde de Allah. Au cours de cette célébration dans la commune de N’Dali, Al Hadja Sidikatou a offert de la viande empoisonnée à sa voisine. A la base de cet acte ignoble, la jalousie au marché. Il est de coutume que chaque année, la communauté musulmane célèbre la Tabaski communément appelée fête des moutons. Au cours de celle-ci, des milliers de moutons sont sacrifiés pour la purification des hommes. A cet effet, peu importe le nombre de moutons tués. L'essentiel est qu'en bon musulman, un mouton soit tué et partagé gracieusement aux amis et frères. Mais force est de constater que désormais, c'est l'occasion pour les musulmans de se faire des règlements de compte. Dans un village de la commune de N'Dali, dame Rizibath Samou a bénéficié de la générosité et de l'action de grâce de l'AI Hadja Sidikatou, toutes deux vendeuses au marché Malanville, en recevant une quantité importante de viande de mouton. Affairée, la dame bénéficiaire n'a pu cuire la viande. Deux heures d'horloge après, la viande puait déjà dans la chambre. Dans la recherche de ce qui dégageait cette odeur nauséabonde, dame Rizibath Samou s'est rendu compte que la viande qui lui a été offerte a augmenté de volume avec maintenant une couleur vert foncé. Dans la tourmente, elle s'apprêtait à alarmer les gens du village quand son fils aîné la ramena au calme. Ce dernier fit un grand trou où il a enterré la viande empoisonnée. Pour son fils, sa maman ne devrait même pas accepter cette offrande quand on sait que, plus de trois fois, les deux dames se sont engueulées au marché de Malanville. Natives du même village, la nature sait faire ses choses au point où les deux dames se sont retrouvées côte à côte au marché de Malanville pour la vente des produits vivriers. La cupidité de l'une d'occuper toute la place, couplée de la jalousie de voir sa seconde (sa sœur) vendre plus, ont conduit à une machination d'empoisonnement et de tuerie. Comme quoi, il y a des hommes apparemment de meilleure foi, qui sont nés faux, qui se trompent eux-mêmes, et qui ne voient jamais les choses comme elles sont. C'est pourquoi dans nos actes, il faut que la raison et le bon sens mettent le prix aux choses, et qu'elles déterminent notre goût à leur donner le rang qu'elles méritent et qu'elles nous convient à leur donner. Il est social d'accepter des cadeaux de nos proches, mais il faut savoir en faire usage. bibo:pages 10 -- o:id 7244 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7244 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7259 26525 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/493367adfd2c9ba95cba6396f72b6609f31384c7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/adaf67b2e21f1e834622533468bea86d3867da96.tiff dcterms:title Profanation de tombes à Sakété : accusé, l'Imam demande pardon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1392 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1404 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-06-03 dcterms:identifier iwac-article-0003339 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pendant quelques jours, les morts du cimetière musulman de Sakété ont, peut-on dire, un « sommeil » agité. Le 23 mai dernier, un événement insolite s'est produit dans la petite ville de Sakété, Le cimetière musulman a été le théâtre d'une scène macabre. Des tombes ont été profanées... dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/388 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pendant quelques jours, les morts du cimetière musulman de Sakété ont, peut-on dire, un « sommeil » agité. Le 23 mai dernier, un événement insolite s'est produit dans la petite ville de Sakété, Le cimetière musulman a été le théâtre d'une scène macabre. Des tombes ont été profanées... Des cadavres en putréfaction sont déterrés. Les morts ne reposent plus en paix. Les auteurs de ces actes délictueux sont vite identifiés et très bien connus. Ils se réclament d’une certaine aile dure de l’islam à Sakété. Le chef de file se trouve être - gardez votre souffle ! - l’Imam Central de Sakété, El Hadj Taofic Akadiri. En sa qualité d’Imam de Sakété, Taofic Akadiri a pris la résolution depuis quelque temps, à en croire ses fidèles, de prêcher pour un Islam dur et radical comme c’est le cas ailleurs. Il serait allé jusqu’à prêcher en faveur de la profanation de tombes. C’est ainsi que certaines personnes se sont constituées en groupes pour mettre en application les idées « diaboliques » de l’Imam Akadiri. Conséquences.: le cimetière musulman de Sakété est saccagé. C’est la panique et la stupéfaction générale à Sakété. Les autorités locales et les forces de l’ordre sont alertées. Une alerte maximum dans la ville de Sakété pour mettre la main sur les « Islamistes » pilleurs des tombes. Une alerte payante, puisque les gendarme ont pu mettre le grappin sur une bande de sept personnes. Parmi ces personnes, se trouvent l’instigateur et l’un de ses fils. Après les enquêtes, 4 personnes ont été libérées. Les 3 restantes ont été présentées au procureur de la République et inculpées. L’Imam de Sakété, son fils et une troisième personne sont tous inculpés. Mais, peu après, l’Imam devait bénéficier d’une liberté provisoire. Les deux autres, poursuivis avec mandat de dépôt, sont jetés en prison. Ainsi, ils méditeront sur leurs actes ignobles du 23 mai dernier. Le vendredi dernier, le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité et de la Décentralisation. Daniel Tawéma et le ministre de la Justice et de la Législation, garde des Sceaux, Joseph Gnonlonfoun se sont rendus à Sakété pour rencontrer la communauté musulmane de la ville. Etait également présent, l'Imam Taofic Akadiri, le principal mis en cause. Prenant la parole pour s’expliquer sur ces actes ignobles dignes d'un intégrisme aveugle, l'Imam Taofic Akadiri n’a rien trouvé d'autre que de se fondre en excuses en pardon. Au grand étonnement de tous, l’Imam, sans aucune explication, déclare qu’il reconnaît avoir offensé et qu’il le regrette. « Aidez-moi à régler ce problème dans la paix », demandera-t-il aux ministres pour terminer. Les deux ministres ont été à Sakété sur instruction du chef de l'Etat, le président Mathieu Kérékou. Ils ont mis en garde contre tout acte d'intégrisme dans la localité. Pour le ministre Daniel Tawéma, le religieux doit respecter les lois de la République. Mieux, ajoute-il, un Imam est un homme de paix ou doit être un homme de paix et non instigateur d’actes de vandalisme. bibo:pages 2 -- o:id 7245 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7245 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7260 26526 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/417cf7fb08b7d431e80f15a458fcbc94f2dc6e92.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6bf6b31c104f2fff13f82b897f2b95465542116e.tiff dcterms:title Fin de la caravane AN NOUR à Cotonou : des centaines de personnes ont recouvré la vue dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-05-15 dcterms:identifier iwac-article-0003340 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract 4671 consultations et 405 opérations effectuées, 1250 paires de lunettes et des médicaments distribués. Tels sont les résultats de la campagne de lutte contre la cécité menée du 8 au 12 mai 2002 par l'Agence des musulmans d’Afrique (AMA) en collaboration avec le ministère de la Santé publique (MSP). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content 4671 consultations et 405 opérations effectuées, 1250 paires de lunettes et des médicaments distribués. Tels sont les résultats de la campagne de lutte contre la cécité menée du 8 au 12 mai 2002 par l'Agence des musulmans d’Afrique (AMA) en collaboration avec le ministère de la Santé publique (MSP). Lancée le 8 mai dernier au Hall des arts de Cotonou, cette campagne dénommée « Caravane AN NOUR » (lumière en arabe) visait à aider les porteurs de cataracte, une maladie des yeux qui, si elle n’est pas traitée, conduit à la cécité. En faisant le point de cette campagne lundi dernier au ministère de la Santé publique, le médecin responsable de l’équipe, le Dr Shariq Massoud a fait savoir que la caravane AN NOUR est intervenue dans plusieurs pays d’Afrique et d’Asie dans le domaine de la prévention de la cécité. Dr Shariq Massoud a indiqué que dans le cadre de la campagne effectuée au Bénin 350 opérations étaient prévues, jusqu’à dimanche, ils en ont effectué 405 et d’autres sont prévues lundi et mardi et ce sont des cas sociaux. Le représentant de l'AMA, M. Faïçal Kharrad, a saisi cette occasion pour rappeler les activités menées par son ONG au Bénin. Depuis 1997 à 2000, les œuvres réalisées par l’AMA ont coûté plus du milliard. Au nombre de : 2 centres socio-éducatifs, 9 écoles ; 3 centres de formation féminine, 102 puits, 6 dispensaires. Aussi l'AMA prend-elle en charge 324 orphelins. La caravane AN NOUR qui s’achève est la 2ème du genre, organisée au Bénin. Au regard de ces réalisations qui visent à contribuer au développement socio-économique du Bénin, les autorités sanitaires du pays ne peuvent que remercier. Et c’est à cela que se sont attelés le représentant de la Direction de protection sanitaire et le directeur de cabinet du MSP. Grâce à cette opération, plus de 400 vues ont été sauvées, a dit le directeur de cabinet, M. Moussa Yarou. Des personnes aveugles ont pu recouvrer la vue et ce, gratuitement. C’est pourquoi, M. Yarou a souhaité que cette caravane ne soit pas la dernière au Bénin. Il a enfin sollicité l’assistance de PAMA et de la Fondation internationale Al Bassar que dirige le Dr Sharraq Massoud en matière d’équipement et de formation. bibo:pages 4 -- o:id 7246 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7246 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7261 26527 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/388e6d76009545590102107aa8d40ca083951e7e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ccbf2b27d7fee004eb7c976161a5f8d9dc36bbdd.tiff dcterms:title M. Fahad Ben Saeed reçu en audience par le président du CES dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/803 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/58 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-07-19 dcterms:identifier iwac-article-0003341 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans la matinée d'hier, le président du Conseil économique et social, Raphiou Toukourou a reçu en audience, au siège de son institution, une délégation d'ONG saoudienne à caractère social et humanitaire conduite par Fahad Ben Saeed, président de l’Assemblée mondiale de la jeunesse musulmane. Cette délégation saoudienne est arrivée au Bénin dans le cadre de la poursuite de son programme de formation des formateurs islamologues. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans la matinée d'hier, le président du Conseil économique et social, Raphiou Toukourou a reçu en audience, au siège de son institution, une délégation d'ONG saoudienne à caractère social et humanitaire conduite par Fahad Ben Saeed, président de l’Assemblée mondiale de la jeunesse musulmane. Cette délégation saoudienne est arrivée au Bénin dans le cadre de la poursuite de son programme de formation des formateurs islamologues. A sa sortie du cabinet, le président de l'Assemblée mondiale de la jeunesse musulmane Fahad Ben Saeed a déclaré à la presse qu'ils ont discuté ensemble avec le président du CES, de comment ils pourront aider notre pays sur le plan de l'éducation et en milieu rural. Il a ensuite indiqué qu'ils procéderont au forage des puits et à la construction des écoles au Bénin. Après avoir fait remarquer que cela fait plus d'un an qu'ils sont arrivés au Bénin, Fahad Ben Saeed a enfin conclu qu'il y a un programme pour sortir les jeunes béninois de la pauvreté. bibo:pages 3 -- o:id 7247 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7247 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7262 26528 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f3f71439aee3db9baff8f3074486ce4b99554526.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7c3fd17bb808b2befb1082c1d718db9b3da969bd.tiff dcterms:title Hôpital libyen El Fateh de Porto-Novo : un CODIR pour mieux résoudre les problèmes dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12827 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-06-06 dcterms:identifier iwac-article-0003342 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Lorsque, le mardi 04 Juin dernier, la ministre de la Santé Publique, Céline Seignon Kandissounon, apres avoir visité l’hôpital El Fateh, a tenu une séance de travail avec le personnel, elle a compris que dans ce centre hospitalier, bien des problèmes opposent les agents à la direction générale tenue par M. Shaomi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Lorsque, le mardi 04 Juin dernier, la ministre de la Santé Publique, Céline Seignon Kandissounon, apres avoir visité l’hôpital El Fateh, a tenu une séance de travail avec le personnel, elle a compris que dans ce centre hospitalier, bien des problèmes opposent les agents à la direction générale tenue par M. Shaomi. Après plusieurs années de péripéties, l'hôpital El Fateh de Porto-Novo semble reprendre son souffle. Sous la direction de M. Shaomi dont le souci, dit-il, est de faire redorer au centre hospitalier son blason. Mais tout ne semble pas encore rose. Des problèmes persistent, et le docteur Aristide Odoulami a saisi l'occasion de la visite de la ministre de la Santé publique Céline Seignon Kandissounon pour les poser. Le pédiatre déplore l'insuffisance de personnel dans son département qui, dit-il, n'a pas de lavabo pour se laver les mains après les interventions. A la Néo-natalogie, en lieu et place de table chauffante, c'est plutôt une table bouillante. Que dire du matériel de nettoyage qu'il faut aller emprunter à d'autres départements, avec tout le risque de contamination que cela comporte ? A ces observations, le directeur a opposé une réaction dans laquelle il a envisagé de déposer son tablier au lendemain du Conseil d'Administration qui se tient ce jour jeudi 06 juin. Va-t-il joindre le geste à la parole ? Certainement pas, d'autant qu'il a été calmé par madame la ministre, présidente d' l'Assemblée générale de l'hôpital, qui l'en a dissuadé. Le directeur général de El Fateh, M. Shaomi ne comprend pas que son personnel puisse verser dans de telles « accusations gratuites », alors qu'en bon révolutionnaire, il déploie des efforts pour subvenir aux besoins de l'hôpital en difficultés financières. Les recettes de l'hôpital étaient il y a un mois de 16 millions de FCFA alors que les charges salariales s'étaient élevées jusqu'à 14 millions de FCFA. « Je ne veux donc pas ajouter des frais aux frais », a déclaré M. Shaomi, dont le personnel doit délier bourse avant de se faire soigner à El Fateh. Autant de problèmes que madame la ministre impute à l'absence d'un Comité de Direction (CODIR) qui, s'il avait existé, aurait coordonné les actions avec les comités techniques, et favorisé la communication. Les difficultés de l'hôpital El Fateh se sont aggravées quand l'Association mondiale de l'Appel à l'Islam (AMAI) a arrêté ses subventions ; elle a toutefois promis 70 millions de F CFA pour cette année 2002. Ce qui est vivement attendu. A la direction de l'hôpital, Mme Céline Seignon Kandissounnon a annoncé que la communication relative aux factures de l'eau et de l'électrification a été adoptée en Conseil des ministres, et qu'il sera fait à El Fateh des conditions Speciales. Enfin, pour résoudre un tant soit peu le problème d'insuffisance de personnel, madame la ministre de la Santé Publique a préconise le recrutement d'agents sur fonds sociaux. Que donc les profils soient définis ! -- o:id 7248 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7248 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7263 26529 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/53014e04ec1a7d6c4dcb89c7ab0ff5c5357dfe5f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b6ea398741d41e7f3692c3451e1146bf83f52fa6.tiff dcterms:title Religion : l'Imam Abdou Karim Daouda de la Mosquée centrale de Zongo-Dassa, intronisé dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13389 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-06-24 dcterms:identifier iwac-article-0003343 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La ville de Dassa-Zoumé a connu, samedi dernier, l’intronisation de l’Imam Abdou Karim Daouda de la mosquée centrale de Zongo-Dassa. C’était devant une foule nombreuse composée d’enfants, d’hommes, de femmes et d’invités de marque. Cette manifestation coïncide avec la célébration du centenaire des intronisations des Imams de la mosquée centrale de Zongo-Dassa. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/302 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14664 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La ville de Dassa-Zoumé a connu, samedi dernier, l’intronisation de l’Imam Abdou Karim Daouda de la mosquée centrale de Zongo-Dassa. C’était devant une foule nombreuse composée d’enfants, d’hommes, de femmes et d’invités de marque. Cette manifestation coïncide avec la célébration du centenaire des intronisations des Imams de la mosquée centrale de Zongo-Dassa. Sixième Imam de Dassa, Abdou Karim Daouda a la lourde responsabilité de gérer la mosquée et la communauté musulmane de Zongo-Dassa. Depuis 1999, la communauté musulmane de Dassa est restée sans imam Djamiou. Elle a été jusque-là dirigée par Alpha Abdou Karim Daouda qui a su conduire la communauté jusqu'à, samedi dernier, date de son intronisation et son investiture officielle. Marié et père de six enfants, l'Imam Abdou Karim Daouda intronisé est né en 1957 à Dassa. Après avoir fait l'école coranique de Sodania à Accra, au Ghana, il a enseigné dans certaines écoles coraniques du Bénin. Ce qui lui a permis d'accumuler des exercices pédagogiques et d'avoir une conscience aiguë de la conduite des hommes et de la communauté musulmane en général. Personne n'a osé récuser sa candidature. Selon les organisateurs de cette importante manifestation, « la religion est un véritable instrument qui sert à guider les pas des hommes ». Le président des Imams du Bénin l'a nommé Imam Djamiou de Dassa (Imam suprême de Dassa). Les cinq imams Djamiou qui ont précédé Abdou Karim Daouda ont noms : - Imam Djamiou Sambo (1891-1894) - Djamiou Adam (1894-1912) - Allassane dit Affa Kotokoli (1912-1965) - Imam Djamiou Médé Moussa (1965-1978) - Imam Djamiou Bawa Abdou Kadiri (1978-1999). bibo:pages 5 -- o:id 7249 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7249 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7264 26530 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0f9d0313079f4708c07f2d8af1959a7e91300bd9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e3d685ffd8695108e711e1c332c88cc71b3ccf7b.tiff dcterms:title Média : renouvellement de conventions pour 12 radios privées dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1624 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15308 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/775 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/790 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-04-07 dcterms:identifier iwac-article-0003344 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC) a tenu, hier 06 avril, une séance d’audition publique avec les promoteurs de radios privées devant renouveler les conventions signées avec elle. Il s’agit en fait des 12 premières radios privées commerciales ou confessionnelles, ayant signé des conventions avec la HAAC en 1998 suite à l’avènement de la loi 97-010 du 20 août 1997, portant libéralisation de l’espace audiovisuel. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC) a tenu, hier 06 avril, une séance d’audition publique avec les promoteurs de radios privées devant renouveler les conventions signées avec elle. Il s’agit en fait des 12 premières radios privées commerciales ou confessionnelles, ayant signé des conventions avec la HAAC en 1998 suite à l’avènement de la loi 97-010 du 20 août 1997, portant libéralisation de l’espace audiovisuel. Valables pour une durée de 6 ans, les conventions de 1998 sont arrivées à terme l'année dernière. Mais la troisième mandature de la HAAC venant de s'installer, il a fallu prendre le temps de s'imprégner des dossiers. C'est ce qui justifie que la séance d'hier soit intervenue avec quelques mois de retard. Ce qui n'enlève rien au sentiment général de satisfaction qui se dégage après 6 ans d'activités ayant permis « d'accumuler des expériences fort enrichissantes faites de succès et de revers » selon le vice-président de la HAAC, Clément Houénontin. Aussi, a-t-il félicité les promoteurs des radios concernées, qui ont eu le courage de se lancer dans cette aventure de l'audiovisuel avec tous les risques que cela comportait. Même s'il note qu'il y a eu des dérives certaines, il reconnaît que ces promoteurs ont contribué à rénover et à enrichir le paysage médiatique béninois, et à renforcer les bases de notre démocratie. Entre autres griefs, la HAAC reproche aux promoteurs le non respect de la puissance des émetteurs, la non communication de la grille des programmes de leurs stations, le manque de professionnalisme et le laxisme dans la conception et la diffusion des émissions interactives et des revues de presse ; ou encore la signature d'accord de diffusion avec des chaînes étrangères sans l'autorisation préalable de l'autorité concédante. Pour leur part, les promoteurs ont fait état de leurs difficultés, qui tiennent au coût élevé des redevances, aux demandes de relais non satisfaites, au non bénéfice de l'aide de l'Etat pour les radios confessionnelles alors qu'elles estiment contribuer au développement du pays, à l'interférence de certaines chaînes étrangères dans leurs fréquences etc. Un nouveau contrat jusqu'en 2010 « Les avenants aux conventions de 1998 qui ont été signés, hier, courent jusqu'en 2010. Ils serviront de base juridique à vos activités et à vos diverses tractations en affaires pendant cette période », a laissé entendre Clément Houénontin, à l'endroit des promoteurs. Mais se tenant, à la veille d'une échéance électorale importante, cette séance a donné l'occasion à la HAAC d'insister sur le rôle des médias et d'en appeler au sens de responsabilité des promoteurs pour que cette période délicate soit bien gérée. En tout cas, la HAAC sera intransigeante sur les déviances, a averti Clément Houénontin. C'est pourquoi, il a recommandé aux promoteurs de faire preuve de sagesse professionnelle et surtout de respecter le peuple béninois. Les 12 radios qui ont bénéficié de cette confiance que le président Ali Zato souhaite durable sont : Golfe FM, Radio Star, CAPP FM, Radio Afrique Espoir, Radio Wêkê, Radio Adja-Ouèrè-FM Ouémé, Radio Maranatha, La Voix de l'Islam, La Voix de la Lama, Radio Immaculée Conception, Radio llèma et Radio Solidarité FM Djougou. bibo:pages 12 -- o:id 7250 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7250 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7265 26531 26532 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e007f4ae6a16e1ba4952f05f930748182f1d62a0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/76f06a0e4d26c3cfd09c0e63adfc8b750e19f197.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ceeb8e809523c83c7939b1deda7dd4de54a77d7b.tiff dcterms:title Bénin - Fonds koweitien : signature d'un accord de 5,709 milliards F CFA dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-02-15 dcterms:identifier iwac-article-0003345 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre d’Etat chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami, a signé, hier, avec une délégation du Fonds koweitien conduite par le directeur général adjoint de ce fonds, Abdul Wahab Al Bader, un accord de prêt d’un montant de 3 millions de dinars koweitiens, soit environ 5,709 milliards de francs CFA. Ce montant servira à une partie du projet de construction de la route Comè-Possotomè-Bopa-Zoungbonou d’un coût total d’environ 10 milliards. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/297 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13242 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13369 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/392 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre d’Etat chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami, a signé, hier, avec une délégation du Fonds koweitien conduite par le directeur général adjoint de ce fonds, Abdul Wahab Al Bader, un accord de prêt d’un montant de 3 millions de dinars koweitiens, soit environ 5,709 milliards de francs CFA. Ce montant servira à une partie du projet de construction de la route Comè-Possotomè-Bopa-Zoungbonou d’un coût total d’environ 10 milliards. Longue de 47 kilomètres, la route Comè-Possotomè-Bopa-Zoungbonou dans le département du Mono sera construite sur la base de trois sources de financement dont le coût global est d'environ 10 milliards. Le fonds kowétien contribue pour 5,709 milliards, la BADEA de 4 milliards environ et le reste par le Bénin. La partie koweïtienne qui a fait l'objet d'une signature hier, est le 8e accord signé par le Bénin avec le Fonds kowétien, a précisé le ministre d'Etat chargé de la Planification et du Développement. Selon Zul Kifl Salami, avec la signature de cet accord, un autre jalon de la coopération entre le Bénin et le Fonds koweïtien vient d'être posé. Il précise qu'obtenir un financement international est une chose, mais consommer les crédits en est une autre. C'est pourquoi le gouvernement, selon lui, est en train de prendre des mesures pour consommer judicieusement les crédits mis à la disposition des projets. Le ministre d'Etat, chargé de la Planification et du Développement estime que le Bénin présente aujourd'hui des avantages comparatifs par rapport à sa position dans la sous-régon. Il dessert les pays de l'hinterland et le Nigeria, un pays de plus de 100 millions de consommateurs. Cette situation est une opportunité que le Bénin doit saisir pour être bien vu par les bailleurs de fonds qui acceptent de financer des projets dans le pays. Après avoir rappelé que c'est depuis 1970 que le processus de coopération entre le Bénin et son institution a démarré, le directeur général adjoint du Fonds kowétien, Abdul Wahab Al Bader a dit que la présence de sa délégation au Bénin fait suite aux efforts faits dans le cadre de ladite coopération. Pour lui, le projet de construction de la route Comè-Possotomè-Bopa-Zoungbonou est un projet important non seulement pour le Bénin mais également pour le Fonds kowétien. Car il permettra de faire écouler les produits du milieu vers d'autres régions. Avant la signature de cet accord, le Fonds kowétien a également contribué au financement de la construction des routes Savalou-Djougou-Porga, Djougou-Parakou puis la construction du barrage électrique de Nangbéto. Autres domaines d'intervention du Fonds Le stratégie du Fonds koweitien s'inscrit dans le cadre de celle des pays développés qui mettent en place dans les pays en voie de développement, des infrastructures pour le décollage économique. Au-delà de la signature d'accord de prêt intervenue hier, entre le directeur général adjoint de ce fonds, Abdul Wahab Al Bader et le ministre d'Etat, chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami, accord de prêt consacré au financement de la construction de la route Comé-Possotomé-Bopa-Zoungbonou à hauteur de 57%, cette institution koweïtienne entend intervenir dans d'autres projets au Bénin. Au terme de sa mission au Bénin hier, la délégation conduite par Abdul Wahab Al Bader a fait part à la presse au cours d'une conférence animée au Bénin Marina Hôtel des autres domaines d'intervention au Bénin et dans le monde entier. Selon le directeur général adjoint du Fonds koweitien, en dehors du domaine des infrastructures routières dans lequel le Fonds a déjà signé cinq accords de prêt avec le Bénin, il intervient également dans le domaine de l'eau, de la santé, de l'énergie et de l'enseignement Les discussions avec les autorités, béninoises durant le séjour de la délégation koweitienne ont tourné autour des projets à venir dans ces domaines, a-t-il précisé. Au plan mondial, le Fonds a signé depuis sa création en 1961, 680 accords de prêt dans 101 pays dont 14 en Afrique avec lesquels, il affirme que son institution a de bon partenariat. bibo:pages 1 12 -- o:id 7251 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7251 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7266 26533 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/234d195fd04f4d3de743fb354486cd2634217fd6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c18d4417597e43b5cd6603b81f6736a96ffde932.tiff dcterms:title Coopération Bénin - BID : faire aboutir les projets financés par la Banque dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1624 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/20 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-03-17 dcterms:identifier iwac-article-0003346 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une délégation de la Banque islamique de développement (BID) conduite par son vice-président chargé des opérations, Boubacar Cissé, séjourne au Bénin du 16 au 18 mars. Au cours de son séjour, la délégation aura des séances de travail avec lé ministre d’Etat chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami. Il s’agira surtout d’échanger les vues des deux parties (Bénin et BID) sur tous les aspects de leur coopération, afin d’explorer les voies et moyens de la développer davantage. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une délégation de la Banque islamique de développement (BID) conduite par son vice-président chargé des opérations, Boubacar Cissé, séjourne au Bénin du 16 au 18 mars. Au cours de son séjour, la délégation aura des séances de travail avec lé ministre d’Etat chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami. Il s’agira surtout d’échanger les vues des deux parties (Bénin et BID) sur tous les aspects de leur coopération, afin d’explorer les voies et moyens de la développer davantage. Au ministère chargé de la Planification et du Développement, on espère que cette visite du vice-président de la Banque islamique de développement, Boubacar Cissé, marquera un nouveau départ de l'excellente coopération qui prévaut entre notre pays et l'institution financière. Les échanges porteront notamment sur la réalisation diligente des projets déjà approuvés par la Banque et sur l'enrichissement du portefeuille du Bénin auprès de la BID. Ceci passera par la proposition de nouveaux projets ayant un véritable impact de développement. Signalons que cette visite n'est pas la première du genre qu'effectue la BID chez nous. En effet, du 24 au 31 octobre 2004, une mission de la Banque a séjourné dans notre pays aux fins d'évaluer le Projet de développement de l'enseignement primaire du programme intitulé « Un élève sous un toit, une classe un maître » financé par la BID et l'Etat béninois. Cette mission conduite alors par Yahya Ould Didi, Belmacem Ouzrourou et Amadou Gonmandakoye Zakin, rentrait dans le cadre de la contribution de la Banque au financement du plan national de développement du secteur de l'éducation. La mission avait eu des séances de travail avec les autorités béninoises en charge de l'enseignement primaire et secondaire. L'objectif du projet était d'apporter un appui à l'exécution du « Plan d'action national pour l'éducation pour tous 2001 -2015 » et plus particulièrement de contribuer au développement qualitatif et quantitatif de l'enseignement de base. Ce projet, localisé dans les départements de l'Atlantique-Littoral, Mono-Couffo, Ouémé-Plateau et Zou-Collines vise la construction de 120 écoles neuves ayant chacune 3 salles de classe, 120 logements pour les enseignants, 1 école normale d'instituteurs à Porto-Novo, 160 blocs de latrines, la réhabilitation de 40 écoles primaires ayant chacune 3 salles de classe, la formation de 1000 enseignants et formateurs... bibo:pages 12 -- o:id 7252 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7252 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7267 26534 26535 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a0ce6682989c31436ecc8c62e8d39ccc569d5a47.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f8a346d931aa0b1c0eb90dfaf097a4cbbe4a9ff4.tiff https://islam.zmo.de/files/original/4399b8be82f5281e9583b6a4b11b5d3f1c5628ab.tiff dcterms:title Célébration de la fête du Maouloud au Bénin : sous le signe de l'union de la communauté musulmane dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14059 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14903 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13085 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15172 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-04-22 dcterms:identifier iwac-article-0003347 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane, à travers le monde entier, a célébré, hier, la fête du Maouloud rappelant la naissance du prophète Mahomet. Au Bénin, diverses manifestations ont été organisées à cette occasion. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane, à travers le monde entier, a célébré, hier, la fête du Maouloud rappelant la naissance du prophète Mahomet. Au Bénin, diverses manifestations ont été organisées à cette occasion. Par rapport à la signification qu'il convient d'accorder à la commémoration du Maouloud, l'imam Issiaka Alao Ligali de la mosquée de Cadjèhoun a expliqué qu'il permet aux musulmans de se remettre en cause en tant que croyants. Le Maouloud leur donne l'occasion d'apprécier s'ils sont en parfaite harmonie par rapport à l'attitude que le prophète Mahomet leur a recommandée, pour magnifier le sceau divin. Le Maouloud reste donc, la célébration du jour où Dieu a donné à Mahomet, sa mission de prophète. Outre l'occasion de se rappeler de lui, cette fête se veut également le moment privilégié pour adorer Dieu, comme il a eu à le faire. C'est la fête de tous ceux qui croient en Dieu, au prophète Mahomet et au Saint Coran, dira quant à lui, le directeur du Centre béninois de la culture et des sciences islamiques, Youssoufou Issa Nouroukpé. Face à la prolifération des mosquées dans les villages ou quartiers de villes, l'imam Issiaka Alao Liagli a prôné l'union de la communauté musulmane du Bénin. Rien ne sert de créer plusieurs mosquées dans une même localité parce que les moyens existent, s'il ne peut y avoir une certaine harmonisation au niveau des appels à la prière, a indiqué l'imam. Cela, avant de déplorer également le manque d'entraide de plus en plus perceptible chez les musulmans. La célébration du Maouloud a été marquée par diverses manifestations. A la mosquée centrale de Zongo à Cotonou, le clou de la célébration aura été la finale du concours de la lecture du Saint Coran. Cette année, le concours initié par le Centre béninois de la culture et des sciences islamiques soutenu par plusieurs donateurs au nombre desquels l'Association de la culture islamique et de développement Zoumountchi, était à sa 7e édition. Il a connu pour sa finale, sur la quarantaine de participants enregistrés au départ, six lauréats à l'arrivée en provenance de tous les départements du Bénin. En jeu, il y avait de nombreux prix dont des billets pour le pèlerinage à la Mecque. L'éducation religieuse des enfants demeure également une préoccupation essentielle à la mosquée de Cadjèhoun. C'est la raison pour laquelle, à la faveur de la célébration du Maouloud, l'imam Issiaka Alao Ligali a procédé à la remise de diplôme à quatre élèves de l'Ecole coranique Sebil-El Fallah. A travers leurs capacités au niveau des études coraniques sous la houlette de l'alpha Amam Marna Abdoulaye, ces élèves peuvent se targuer aujourd'hui de maîtriser le saint Coran. Avant cette cérémonie de remise de diplômes, il a été organisé un concours de lecture coranique ; des Hadjith du prophète ont également été lus. Il y a ensuite eu l'animation entretenue par les enfants et enfin, la distribution de cadeaux. Bref, la fête s'est poursuivie dans les domiciles et les quartiers. bibo:pages 1 3 -- o:id 7253 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7253 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7268 26536 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0d4dee7882194fb2c0cd1cd02214ab4533fa3f5c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/10a79bb9ac79fdc3f5be642d0ccffb23ca78e512.tiff dcterms:title Visite au Bénin de Mohammad Al Shawi : le vice-président du Fonds saoudien à la découverte de l'économie béninoise dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15019 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-05-27 dcterms:identifier iwac-article-0003348 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après son arrivée au Bénin mercredi 25 mai dernier, le vice-président et directeur des opérations du Fonds saoudien, Mohammed Al Shawi, a pris connaissance des caractéristiques de l’économie nationale. C’était hier, jeudi 26 mai au cours d’une présentation faite au ministère d’Etat chargé de la Planification et du Développement, par le directeur général de l’INSAE, Cosme Vodounou, appuyée des explications du ministre d’Etat, Zul Kifl Salami. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après son arrivée au Bénin mercredi 25 mai dernier, le vice-président et directeur des opérations du Fonds saoudien, Mohammed Al Shawi, a pris connaissance des caractéristiques de l’économie nationale. C’était hier, jeudi 26 mai au cours d’une présentation faite au ministère d’Etat chargé de la Planification et du Développement, par le directeur général de l’INSAE, Cosme Vodounou, appuyée des explications du ministre d’Etat, Zul Kifl Salami. Le ministre d'Etat chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami, estime qu'il faut profiter de l'arrivée au Bénin du vice-président et directeur des opérations du Fonds saoudien, Mohammad Al Shawi, pour relancer le développement du Bénin. Car, le vice-president, explique-t-il, est venu à une période ou le pays reçoit un choc : la chute de la filière coton, principale culture d'exportation. Pour Zul Kifl Salami, le Fonds saoudien est le canal privilégié de la coopération entre l'Arabie Saoudite et les autres pays du monde et en particulier les pays en développement. La présence du directeur des opérations du Fonds saoudien, témoigne de l'importance qui est accordée au Bénin, a indiqué le ministre d'Etat qui remercie le Fonds pour le concours qu'il apporte au monde entier et surtout aux pays africains dont le Bénin. Le Fonds saoudien intervient dans plusieurs domaines. Au niveau des institutions comme la Banque mondiale, le Fonds apporte un concours important comme c'est le cas au niveau des Etats où il intervient dans les infrastructures sanitaires, routières, éducatives etc. Le Fonds appuie également ceux qui effectuent le pèlerinage de la Mecque chaque année. Le ministre d'Etat se réjouit du choix réservé à l'Afrique par le Fonds saoudien. Car, dans le cadre de la globalisation, l'Afrique est le continent marginalisé. Zul Kifl Salami précise que si on parle de l'Afrique, c'est l'Afrique subsaharienne. Cette Afrique, dit-il, a eu des performances ces dernières années. Néanmoins, il y a des poches de pauvreté qui existent encore. Et le Bénin ne fait pas exception à cette situation. Avant que le directeur général de l'Institut national de la statistique et de l'Analyse économique (INSAE), Cosme Vodounou, ne présente les caractéristiques de l'economie du Bénin, le vice-président du Fonds saoudien, Mohammad Al Shawi a tenu à manifester sa satisfaction de l'accueil qui lui a été réservé. Selon lui, sa présence au Bénin est une réponse à l'invitation du gouvernement béninois. Au cours de son séjour, il promet de mener avec les autorités béninoises, des discussions allant dans le sens du progrès des populations. Mohammad Al Shawi a indiqué que le Fonds saoudien est prêt à soutenir les institutions et les projets du gouvernement béninois. A cet effet, des instructions ont été données aux représentants du Fonds dans différentes institutions au plan mondial pour appuyer les projets du Bénin. Le Fonds saoudien en bref Le Fonds saoudien est le canal privilégié de la coopération entre l'Arabie Saoudite et les autres pays du monde. C'est une institution séparée du gouvernement saoudien et qui est spécialisée dans le financement de la coopération internationale, c'est-à-dire le financement des projets d'investissement entre les gouvernements des pays en développement et le Fonds saoudien. Les caractéristiques de l'économie béninoise Avec une superficie de 114.763 Km2, le Benin a une population de 6,7 millions environ. Selon la présentation faite par le directeur général de l'INSAE de quelques caractéristiques de l'économie nationale, le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) a été de 4,3% en 1996 pour passer à 4,4% en 2002. Mais ce taux va chuter à 2,7% en 2004. Cette baisse du taux de croissance, selon le ministre d'Etat, chargé de la Planification et du Développement est due au choc reçu par le Bénin à cause des difficultés connues par la filière coton, la seule culture d'exportation. Ce PIB est dominé par les secteurs tertiaire et primaire qui occupent respectivement 55% et 32% à côté du secteur secondaire qui est de l'ordre de 13%. Au niveau du secteur primaire, l'agriculture domine avec une place prépondérante du coton. Quant aux prix, le taux d'inflation est passé de 0,3% en 1999 à 0,9% en 2004. Avec une moyenne de 1 %, ce taux fait partie des meilleurs taux selon le critère de convergence en Afrique de l'Ouest où le taux est fixé a 3%. Le taux brut de scolarité passe de 60% en 1992 à 94% en 2002. Cet accroissement traduit, selon Zul Kifl Salami, les efforts fournis par le gouvernement dans le domaine de l'éducation en général et au cours primaire en particulier. Les exportations du coton sont passées de 41 % en 2000 à 35% en 2002. Cette chute est la conséquence des difficultés de la filière. Malgré ces difficultés, le ministre Salami rassure le vice-président du Fonds saoudien des avantages à investir au Bénin. Des avantages liés à la démocratie pluraliste, à la stabilité politique et à surtout sa position de pays corridor. bibo:pages 3 -- o:id 7254 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7254 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7269 26537 26538 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4d906052b2f73028ac207a49fa8716b7a9ad1f4c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3b6f6193609023c48f96243a13a022a454e3ff3d.tiff https://islam.zmo.de/files/original/7d6604ee6084b8bde9a68520487414724671268c.tiff dcterms:title Fin de séjour au Bénin du vice-président du Fonds saoudien : ce que le Bénin attend de Al Shawi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-05-28 dcterms:identifier iwac-article-0003349 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au cours d’une séance de synthèse qui a sanctionné la fin de sa visite au Bénin vendredi dernier, le vice-président et directeur des opérations du Fonds saoudien pour le développement international, Mohammad Al Shawi, a manifesté sa satisfaction et promet que son institution portera une attention particulière à la coopération entre elle et le Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14218 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au cours d’une séance de synthèse qui a sanctionné la fin de sa visite au Bénin vendredi dernier, le vice-président et directeur des opérations du Fonds saoudien pour le développement international, Mohammad Al Shawi, a manifesté sa satisfaction et promet que son institution portera une attention particulière à la coopération entre elle et le Bénin. La coopération entre le Bénin et l'Arabie Saoudite vient de prendre un nouveau départ avec la visite dans notre pays du vice-président du Fonds saoudien pour le développement international. Mohammad Al Shawi a donné les nouvelles orientations des relations qui doivent lier désormais le Bénin au Fonds. Au cours de son séjour, la délégation saoudienne a eu à visiter le site du projet de protection de la côte contre l'érosion à Siafato dans la commune de Sèmè Kpodji, le centre de santé de Sèmè-Kpodji, la piste Djeffa-Kétonou, une école primaire et un centre de santé dans a commune d'Abomey-Calavi. Après la visite de ces infrastructures, Mohammad Al Shawi a déclaré que ses discussions avec les autorités béninoises ont porté sur l'éducation, l'approvisionnement en eau potable, la lutte contre l'érosion côtière et surtout les pistes rurales. Dans ces domaines, le vice-président du Fonds saoudien affirme que son institution est prête à venir en aide au Bénin comme elle le fait déjà dans d'autres pays. A cet effet, le ministre d'Etat chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami, a estimé que cette visite est importante en ce sens que le Fonds saoudien est une institution de financement international. D'où ses remerciements à l'Arabie Saoudite pour son appui aux pays en développement en général et au Bénin en particulier. Au terme de la séance de synthèse, un mémorandum a été signé par le ministre d'Etat et le vice-président du Fonds saoudien. bibo:pages 1 3 -- o:id 7255 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7255 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7270 26539 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a2991247fd67583918dea377cb8832730077dd86.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2005a221d2d49dd03fac2d0cf1da6249ccec9bb2.tiff dcterms:title Le prince saoudien à Cotonou : vers la réalisation d'infrastructures hôtelières dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14028 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14806 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-06-06 dcterms:identifier iwac-article-0003350 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En tournée dans 22 pays du monde, à la tête d’un groupe d’opérateurs économiques, le prince Al Waleed Ben Talal Ben Abdalazeez Al Saud d’Arabie Saoudite était en visite de quelques heures à Cotonou le vendredi 3 juin dernier. Il a été reçu à l’aéroport International de Cotonou par le ministre d’Etat chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En tournée dans 22 pays du monde, à la tête d’un groupe d’opérateurs économiques, le prince Al Waleed Ben Talal Ben Abdalazeez Al Saud d’Arabie Saoudite était en visite de quelques heures à Cotonou le vendredi 3 juin dernier. Il a été reçu à l’aéroport International de Cotonou par le ministre d’Etat chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami. Le prince saoudien Al Waleed Ben Talal Ben Abdalazeez Al Saud était déjà au Bénin l'année dernière où il a rencontré les autorités politiques et économiques à divers niveaux. Il est maintenant revenu au Bénin sur invitation du président Mathieu Kérékou. Au cours de son bref séjour au Bénin, le prince saoudien a eu une séance de travail au Bénin Marina Hôtel avec les ministres de la Planification, des Affaires étrangères, des Finances, de l'Agriculture et du Tourisme. La séance de travail a été l'occasion pour la délégation saoudienne de s'imprégner des caractéristiques générales de la République du Bénin, de l'indicateur social et des caractéristiques économiques. Au Bénin, la pauvreté est essentiellement rurale et touche au moins 2 personnes sur 7. L'indice de pauvreté est d'environ 47,6% alors que la pauvreté monétaire est moins de 1 dollar par jour. Le taux de croissance en 1996 est de 4,3 % contre 2,5% en 2004 pour un taux d'inflation de 0,9% la même année. Le groupe d'opérateurs économiques dirigé par le prince saoudien s'intéresse essentiellement à l'hôtellerie et au tourisme. C'est au ministre de la Culture, de l'Artisanat et du Tourisme, Antoine Dayori qu'il est échu l'honneur de dire à la délégation saoudienne qu'au Bénin, bien des projets hôteliers sont restés non réalisés par manque de financement. Les études de rénovation de l'hôtel Tata Somba de Natitingou, et du PLM Alédjo de Cotonou sont prêtes, mais faute de financement, les travaux n'ont pas démarré. Le Prince saoudien a également écouté les explications du MCAT sur le projet Route des pêches. Des dossiers que, en plus de bien d'autres, le groupe du prince saoudien va étudier avec une attention particulière. Après cette séance de travail, le prince saoudien a été reçu en audience par le président Mathieu Kérékou. bibo:pages 1 -- o:id 7256 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7256 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7271 26540 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fb5acb03716f55743de01b8f244cffab82ba9cef.pdf https://islam.zmo.de/files/original/39a0df471e7365cc8f88280f3a825f7caa59b748.tiff dcterms:title Présidentielle de mars 2006 : les confessions religieuses mises à contribution dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1524 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13197 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/214 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-08-17 dcterms:identifier iwac-article-0003351 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Lancement des travaux du séminaire national sur la « contribution des confessions religieuses pour les élections crédibles et paisibles au Bénin, par le directeur de cabinet du ministère chargé des Relations avec les Institutions, la Société civile et les Béninois de l’extérieur MCRI/ SCBE Albert Lokossou. C’était hier mardi 16 août à l’INFOSEC de Cotonou. Ce séminaire qui rassemble les dignitaires des différentes confessions religieuses, prendra fin le jeudi 18 août. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Lancement des travaux du séminaire national sur la « contribution des confessions religieuses pour les élections crédibles et paisibles au Bénin, par le directeur de cabinet du ministère chargé des Relations avec les Institutions, la Société civile et les Béninois de l’extérieur MCRI/ SCBE Albert Lokossou. C’était hier mardi 16 août à l’INFOSEC de Cotonou. Ce séminaire qui rassemble les dignitaires des différentes confessions religieuses, prendra fin le jeudi 18 août. Dans son mot introductif, le directeur de l'INFOSEC dont l'institution est en partenariat avec le MCRI/SCBE, a salué la tenue de ce séminaire, parce que conscient du rôle majeur que joue la religion dans le domaine de l'éducation morale et spirituelle. Il souhaite que des réflexions et échanges des confessions religieuses, sortent des propositions d'action et des orientations, outil indispensable pour l'organisation, sans incidents, des prochaines échéances électorales. Ceci permettrait, a-t-il ajouté, de triompher des violences et des situations dramatiques qui guettent notre démocratie en maturation. Pour le directeur de cabinet Albert Lokossou, à qui est revenu l'insigne honneur d'ouvrir le séminaire, notre pays a toujours par le passé, tenu et réussi les échéances électorales et ceci grâce à la coopération active du peuple, à la détermination des responsables politiques à divers niveaux et notamment au rôle irremplaçable d'exhortation à la paix, à la non violence, à la tolérance, à la fraternité, joué par les confessions religieuses. Et c'est pour permettre à l'élection présidentielle de mars 2006 de connaître un heureux dénouement, qu'est sollicitée la partition extrêmement importante des dignitaires religieux. Il s'agira pour eux, a clamé le représentant du ministère, de cultiver en chaque Béninoise et Béninois, l'esprit citoyen en ces périodes critiques des consultations électorales. Comptant sur le grand sens du devoir de ces dignitaires religieux, le représentant du ministre a souhaité voir à travers ces propagateurs de la bonne nouvelle, des actions de grande envergure nationale, pour donner à notre pays, regardé comme un laboratoire de là démocratie en Afrique, un visage plus radieux. Les résultats de ce séminaire; a-t-il conclu, constitueront une précieuse contribution pour le déroulement de l'élection présidentielle prochaine. Rappelons que les réflexions porteront sur le rôle des confessions religieuses dans les élections, les confessions religieuses et la culture de la paix, les dignitaires religieux et l'animation du civisme au Bénin, l'implication des dignitaires religieux dans l'amélioration du système électoral béninois ». bibo:pages 3 -- o:id 7257 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7257 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7272 26541 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8e049c7f7c67784b9d920313e8b99854c5dddb17.pdf https://islam.zmo.de/files/original/76182dc15b01cd0d7a6a50f731f4de844f7aa7d5.tiff dcterms:title Présidentielle 2006 : le portrait robot du futur président par les confessions religieuses dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1524 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13197 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/214 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-08-19 dcterms:identifier iwac-article-0003352 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le séminaire sur la "Contribution des confessions religieuses pour des élections crédibles et paisibles au Bénin " a pris fin hier, jeudi 18 août à l'INFOSEC de Cotonou. La cérémonie de clôture a été présidée par le directeur de cabinet du ministère chargé des Relations avec les Institutions, la Société civile et les Béninois de l'Extérieur (MCRI-SCBE), Albert Lokossou, en présence des dignitaires religieux. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le séminaire sur la "Contribution des confessions religieuses pour des élections crédibles et paisibles au Bénin " a pris fin hier, jeudi 18 août à l'INFOSEC de Cotonou. La cérémonie de clôture a été présidée par le directeur de cabinet du ministère chargé des Relations avec les Institutions, la Société civile et les Béninois de l'Extérieur (MCRI-SCBE), Albert Lokossou, en présence des dignitaires religieux. Au terme de ces travaux et ateliers, plusieurs recommandations ont été faites par les participants au séminaire. Il s'agit de l'institution d'une journée nationale de culte et de prières, où toutes les confessions religieuses, selon leurs réalités propres, invoqueront Dieu pour la paix au Bénin. A l'image de la lettre pastorale des évêques catholiques à la veille des élections un message commun signé par toutes les confessions religieuses sera proposé pour sensibiliser l’opinion publique sur l’importance de l'enjeu électoral. Aussi, faudrait-il que le comité de suivi des recommandations du séminaire, en collaboration avec le MCRI-SCBE, étudie les modalités de la mise en place d'un conseil national des dignitaires religieux. Ils ont dégagé le modèle du type du candidat idéal pour l'élection présidentielle et souhaiteraient qu'il soit vulgarisé. Trois critères ont été retenus : moraux, politiques et celui du bon gestionnaire. Il s'agit pour l'essentiel, d'un homme qui a la crainte de Dieu, humble, respectueux des hommes et de l'économie, et politiquement stable. Dans son mot de clôture, Albert Lokossou a mis l'accent sur la collaboration étroite des dignitaires avec le gouvernement dans l'éducation civique du Béninois, et rassuré les participants au séminaire que le gouvernement mettra tout en oeuvre pour donner corps aux profondes et légitimes aspirations nourries au cours du séminaire. " Ce ne serait que satisfaire le désir des participants au séminaire qui ont recommandé que les conclusions des travaux du séminaire soient portées fidèlement au chef de l'Etat. Albert Lokossou a ensuite convié les dignitaires religieux à prendre date avec lui, afin qu'ensemble, " le message de paix qui vient des entrailles de la Conférence des Forces vives soit sauvegardé et reste l'hymne commun, en vue de construire un Bénin toujours plus solidaire, un Bénin à la démocratie apaisée bibo:pages 1 -- o:id 7258 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7258 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7273 26542 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/eb4e16603567f42028126794914a3c8f1ef5d062.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1bcdcc1488574ab70c1f291e4f8e62d95f9ecb6b.tiff dcterms:title Religion islamique : 40 élèves reçoivent leur diplôme de fin de lecture du Coran dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14181 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13123 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13349 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-10-07 dcterms:identifier iwac-article-0003353 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au centre islamique Institut Dar Assalam de Sikècodji à Cotonou, une quarantaine d'élèves en lecture du Coran ont reçu leur diplôme de fin de formation. C’était le samedi 1er octobre dernier, dans une ambiance de fête. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/443 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au centre islamique Institut Dar Assalam de Sikècodji à Cotonou, une quarantaine d'élèves en lecture du Coran ont reçu leur diplôme de fin de formation. C’était le samedi 1er octobre dernier, dans une ambiance de fête. La cérémonie de remise de diplôme a été l'occasion pour les diverses personnalités de l'Institut Dar Assalam arabo-islamique de rendre grâce à Allah le Miséricordieux et de louer les qualités du directeur de l'institut, l'Indien Cheick Mahfuzur Rahman Al Nadvi et de présenter l'institut. Ceci après la lecture du Coran faite par Saliou Moumouni et la prière d'ouverture dite parle président de l'institut El Hadj Liamidi Aminou Lalèyè. L'histoire de cet institut remonte à 1981, année où lors des cérémonies d'inauguration de la mosquée Oluwa Lowi de Sikècodji, les dignitaires de ladite mosquée ont demandé à El Hadj Abdoul Hamid Kelani de négocier auprès de Cheick Mahfuzur Al Nadvi la création d'une école coranique dans l'enceinte de la mosquée. Grâce à ses relations avec ses amis des pays arabes, Cheick Mahfuzur obtint la création de l'école avec environ 15 élèves. Et parallèlement, les cours d'adultes se donnaient les soirs. Au fil des ans, l'école a grandi, et l'on est passé de l'enseignement arabe maternel à l'enseignement arabe primaire, puis secondaire. Aujourd'hui, cette école grâce à des contributions financières étrangères comporte un rez-de-chaussée plus un étage. Elle compte aujourd'hui environ 300 élèves. Les 40 élèves qui ont reçu leur diplôme le samedi 1er octobre dernier constituent la 7e promotion de Wolimah. Mahfuzur Rehman Al Nadvi est né en Inde en 1951 et a fréquenté l'université de Medine en Arabie Saoudite de 1974 à 1978 d'où il est sorti nanti d'une licence option Droit islamique Charia. Il est installé au Bénin depuis octobre 1978. bibo:pages 3 -- o:id 7274 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7274 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7289 26543 26544 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/76e4be3674d622b8b52005698e7bd1ea538cda87.pdf https://islam.zmo.de/files/original/20e5e495231d357d9b9094636574f45e5491536d.tiff https://islam.zmo.de/files/original/a148ee2365d933255557a9ffba8c53e56521dc17.tiff dcterms:title Bénin - Arabie Saoudite : bref séjour à Cotonou du prince Abdul Aziz dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14550 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1392 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-04-26 dcterms:identifier iwac-article-0003354 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Son Altesse Alwaleed Bin Talal Bin Abdul Aziz a fait, hier, une escale de quelques heures à Cotonou dans le cadre de la tournée africaine qu’il entreprend dans plusieurs pays. Il a été reçu en audience par le président de la République par intérim, Daniel Tawéma. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Son Altesse Alwaleed Bin Talal Bin Abdul Aziz a fait, hier, une escale de quelques heures à Cotonou dans le cadre de la tournée africaine qu’il entreprend dans plusieurs pays. Il a été reçu en audience par le président de la République par intérim, Daniel Tawéma. A sa sortie d'audience avec le chef de l'Etat par intérim, le prince saoudien a indiqué qu'il a été question de coopération bilatérale entre le Bénin et l'Arabie Saoudite. Il a dit que la partie béninoise lui a exprimé ses préoccupations et les domaines dans lesquels elle souhaiterait que les investissements soient entrepris. En retour, il a promis de les étudier convenablement. Dans le cadre des relations bilatérales entre nos deux pays, il a affirmé qu'elles ne sont pas formelles, mais que, très bientôt, il y aura échange d'ambassadeurs entre nos deux Etats. Le Bénin aurait souhaité que l'Arabie Saoudite investisse dans la construction de logements sociaux à Porto-Novo et à Cotonou. La création d'une usine de transformation du coton, la création d'institutions bancaires spécialisées dans le commerce et l'investissement, le développement hôtelier et touristique. Notons que le prince Alwaleed Bin Talal Bin Abdul Aziz est un entrepreneur privé et un investisseur international. Il a commencé par constituer son portefeuille d'investissement en 1979. Né en 1955, il a fait ses études supérieures aux Etats-Unis et s'en est sorti avec un diplôme universitaire de premier cycle avant de créer plus tard dans son pays, la Kingdom Holding Company. bibo:pages 1 14 -- o:id 7275 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7275 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7290 26545 26546 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/139f13a66a27aa205762e308d841efd76dfd7c55.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1efbd2fe0c2a8e29b4c61c2754803209c6493f8b.tiff https://islam.zmo.de/files/original/b6906076fbe23a45c03947832e14177b509d7faa.tiff dcterms:title Introduction du patrimoine islamique dans les musées : préserver la diversité culturelle dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14128 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12906 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13410 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14531 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1848 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/728 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-04-27 dcterms:identifier iwac-article-0003355 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Faire un bilan de parcours, évaluer l’état des lieux et réfléchir sur les perspectives sept ans après le lancement du programme relatif à l’introduction du patrimoine islamique dans les musées des pays d’Afrique subsaharienne. Tel est le but du séminaire qui a ouvert, hier lundi 26 avril, ses travaux. C’était à la Commission nationale béninoise pour l’UNESCO à Porto-Novo en présence du secrétaire général de la commission, Rigobert Kouagou, de Papa Toumané N’Diaye, spécialiste de programmes ISESCO à Rabat, et du directeur de cabinet du ministre des Enseignements primaire et secondaire, Cyprien Lokossou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12894 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/410 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Faire un bilan de parcours, évaluer l’état des lieux et réfléchir sur les perspectives sept ans après le lancement du programme relatif à l’introduction du patrimoine islamique dans les musées des pays d’Afrique subsaharienne. Tel est le but du séminaire qui a ouvert, hier lundi 26 avril, ses travaux. C’était à la Commission nationale béninoise pour l’UNESCO à Porto-Novo en présence du secrétaire général de la commission, Rigobert Kouagou, de Papa Toumané N’Diaye, spécialiste de programmes ISESCO à Rabat, et du directeur de cabinet du ministre des Enseignements primaire et secondaire, Cyprien Lokossou. Organisé par l'Organisation islamique et l'Association mondiale de l'Appel islamique-AMAI en coopération avec la CNBU, ce séminaire de trois jours permettra de confronter les différentes démarches adoptées par les Etats membres concernés, de mesurer leur parcours, d'examiner les problèmes rencontrés, résolus et non encore résolus, en tentant de leur trouver des solutions. Il s'agira aussi de faire profiter aux pays qui viennent de bénéficier du programme comme le Bénin et la Côte-d'Ivoire, de l'expérience des autres. Pour le secrétaire général de la CNBU, Rigobert K. Kouagou, la tenue de ce séminaire à Porto-Novo participe à la fois de la promotion de la diversité culturelle et de sa préservation, dans la mesure où les musées, de par leur contenu, leur vocation et leur fonction, constituent une composante de taille dans la grande mosaïque du patrimoine culturel, tant au point de vue matériel qu'immatériel. Prenant la parole, à la suite du SC de la CNBU, Papa Toumané N'Diaye, spécialiste de programmes ISESCO, a remercié non seulement la CNBU mais aussi le gouvernement pour avoir facilité la tenue de ce séminaire au Bénin. Il a ensuite situé la rencontre dans son contexte et sa signification. Pour lui, ce programme sur l'introduction du patrimoine islamique dans les musées des pays d'Afrique subsaharienne constitue un projet civilisationnel majeur, dont la réalisation se poursuit depuis trois plans d'action successifs et concerne le Sénégal, le Bénin, le Burkina Faso, la Côte-d'Ivoire, le Mali, le Niger, la Gambie, le Nigeria et le Tchad. Les musées, un miroir Papa Toumané N'Diaye a rappelé que le musée étant un miroir qui renvoie l'identité culturelle d'un peuplé dans ses différentes facettes, son reflet devait être conforme aux composantes, tangibles et intangibles, de la société et de la culture de ce peuple. Voilà pourquoi, poursuit-il, l'ISESCO et l'AMAI ont la certitude que le patrimoine islamique a été enrichi et diversifié par les peuples africains, en matière de littérature, de jurisprudence, d'artisanat et d'architecture. Papa Toumané N'Diaye a, de ce fait, réitéré l'engagement de l'ISESCO et de l'AMAI a soutenir les efforts des Etats membres pour une meilleure visibilité du patrimoine islamique dans leurs musées. Ouvrant le séminaire, au nom du ministre des Enseignements primaire et secondaire (MEPS), le directeur de cabinet, Cyprien Lokossou a salué la tenue de ses assises au Bénin qui ne fait l'ombre d'aucun doute que les liens de coopération sont au beau fixe, et il souhaite les voir se consolider de plus en plus dans l'intérêt des deux parties et de toute la famille ISESCO. Le directeur de cabinet du MEPS, M. Lokossou s'est demandé comment on pourrait douter de l'apport du patrimoine islamique à l'enrichissement et au rayonnement des musées des pays respectifs représentés au séminaire. Bref, l'exécution du programme de l'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture concernant l'introduction du patrimoine islamique dans les musées africains contribuera à lever mille et un coin de voile sur l'histoire des peuples d'Afrique, notamment ceux de l'Afrique au Sud du Sahara. bibo:pages 1 3 -- o:id 7276 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7276 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7291 26547 26548 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1d296344acdd4c8fd48ffad5a3b2a0a30ace3124.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6aa5bc2c516b371b916d01c3e1dec0dcc717f817.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6f0eb5574d38325d4e04df8ef338db5d70e5a14f.tiff dcterms:title Bénin - Iran : visite au Bénin du président Khatami pour une coopération réciproquement utile dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1624 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13686 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13584 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15325 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14268 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-01-17 dcterms:identifier iwac-article-0003356 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les relations entre notre pays et la République Islamique d'Iran se portent bien. C'est du moins le constat qui mérite d'être fait avec le séjour chez nous, depuis hier dimanche 16 janvier, du président iranien, Seyed Mohammad Khatami. Arrivé à Cotonou dans le cadre d'une visite d'amitié et de travail, il a été accueilli par le président Kérékou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/331 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14686 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13747 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les relations entre notre pays et la République Islamique d'Iran se portent bien. C'est du moins le constat qui mérite d'être fait avec le séjour chez nous, depuis hier dimanche 16 janvier, du président iranien, Seyed Mohammad Khatami. Arrivé à Cotonou dans le cadre d'une visite d'amitié et de travail, il a été accueilli par le président Kérékou. 20h15, le crépuscule est tombé depuis quelques instants sur Cotonou, lorsque le Boeing 707 transportant le président iranien, Son Excellence Seyed Mohammad Khatami, a atterri sur le tarmac de l'aéroport international de Cadjèhoun. Chaleureusement accueilli par le président Kérékou, il a eu droit à un bain de foule, puis, les deux hommes se sont dirigés vers le salon présidentiel de l'aéroport. Là, situant la presse sur les raisons de sa visite au Bénin, le président iranien dira qu'elle s'inscrit dans le cadre de l'établissement de lien de coopération, notamment avec les pays du Sud. Se faisant l'avocat des pays africains, il invitera la communauté internationale à les aider à sortir du sous-développement. Tout en mettant en relief les bonnes relations qui le lient au président Kérékou et qui unissent également les deux Etats, il a dit que la coopération sera orientée vers les domaines qui leur seront réciproquement profitables; tels que l'agriculture, l'industrie, le social. Et dans le cadre plus général des relations avec l'Afrique de l'Ouest, il a salué la position géopolitique du Bénin. Un peu plus tard, c'est sur le perron du palais de la présidence de la République que le Général Kérékou attendra son hôte. Même accueil chaleureux avant que les deux hommes ne se retrouvent en tête-à-tête. Ensuite, la séance a été élargie aux délégations des deux pays, comprenant ministres et autres cadres. Tard dans la soirée, un banquet a été offert en l'honneur de l'illustre hôte par le président Kérékou. Les échanges entre les deux hommes d'Etat ont essentiellement porté sur les relations entre nos deux pays, puisque c'était une occasion propice pour relancer les différents dossiers et de redynamiser la coopération. Ces relations, si elles semblent jeunes, ne manquent pas d'intérêt. En effet, des visites réciproques d'autorités des deux pays ont eu lieu depuis 1997 à ce jour. Ainsi, le 14 juillet 1997, c'est le ministre iranien des Affaires étrangères, Velayati qui effectuait une visite au Bénin. Celle-ci sera suivie par la visite de travail du ministre des Affaires étrangères et de l'Intégration africaine, Rogatien Biaou à Téhéran, du 26 août au 1er septembre 2001. Entre temps, c'est le président Kérékou en personne qui s'était rendu à Téhéran en décembre 1997 pour prendre part au Sommet de l'Organisation de la Conférence Islamique. Plus tard, plusieurs missions ont été effectuées en Iran par le ministre Biaou et son collègue Kamarou Fassassi, des Mines, de l'Energie et de l'Hydraulique. Elles ont permis notamment d'obtenir de ce pays, le financement de l'électrification du Nord-Bénin et de l'éclairage du tronçon routier compris entre le carrefour Sèmè et le pont de Porto-Novo. Au niveau de l'aide publique au développement, l'Iran a consenti à mettre à la disposition de notre pays, un crédit de cinq millions (5.000.000) de dollars US pour financer des projets dans des domaines aussi variés que ceux de la réalisation de barrage hydraulique, de l'électrification, de l'aménagement de périmètres agricoles et de construction d'infrastructures routières et à caractère social. Mais il convient de préciser qu'en dehors de l'électrification du tronçon Sèmè/Porto-Novo dont les travaux sont achevés; la plupart des dossiers soumis à la partie iranienne sont encore à l'étude. Néanmoins, le ministre Kamarou Fassassi vient de conduire une mission de négociation en Iran, laquelle doit aboutir à la participation de l'Etat iranien à divers projets d'électrification et à la réalisation du projet du barrage hydraulique d'Adjarala. bibo:pages 1 3 -- o:id 7277 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7277 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7292 26549 26550 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9e4458262f811ce2ee90a23c5615b92cfda12fa4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5fdb8cfa5571ea72ccfde0e9103f84d0fbe52d89.tiff https://islam.zmo.de/files/original/f743f381ab9f838570c442b05ea61d36ed50f2c2.tiff dcterms:title Bénin-Jordanie : le prince Ghazi satisfait de son séjour au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15161 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-10-12 dcterms:identifier iwac-article-0003357 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Du dimanche à hier lundi 11 octobre, Son Altesse royale Ghazi Ben Mohamed, prince héritier de la Jordanie a séjourné au Bénin dans le cadre du renforcement de la coopération entre le Royaume hachémite de la Jordanie et le Bénin. Après avoir rencontré les autorités béninoises, le prince Ghazi Ben Mohamed est reparti, hier après-midi, très satisfait des contacts et autres assurances qu’il a eus au cours de son court séjour au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/454 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/407 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Du dimanche à hier lundi 11 octobre, Son Altesse royale Ghazi Ben Mohamed, prince héritier de la Jordanie a séjourné au Bénin dans le cadre du renforcement de la coopération entre le Royaume hachémite de la Jordanie et le Bénin. Après avoir rencontré les autorités béninoises, le prince Ghazi Ben Mohamed est reparti, hier après-midi, très satisfait des contacts et autres assurances qu’il a eus au cours de son court séjour au Bénin. A quelques minutes du départ, le prince Ghazi a eu une séance de travail avec le ministre d'Etat, chargé du Plan, de la Prospective et du Développement, Bruno Amoussou. Occasion pour les deux personnalités de faire le point de la visite. Elles ont évoqué la réalisation au Bénin de trois projets dans l'immédiat. Des projets relatifs au télécom, à l'hôtellerie et au transport aérien. Selon le prince Ghazi Ben Mohamed, le but de sa visite est d'améliorer les liens diplomatiques et d'activer les relations commerciales entre le royaume de la Jordanie et le Bénin. Au plan international, il faut noter que le Royaume hachémite de Jordanie suscite assez d'intérêts du fait de la position géostratégique qu'il occupe dans le Golfe arabe. Ce pays prend une part active dans le processus de paix du conflit israélo-palestinien. Le Royaume hachémite de Jordanie est composé d'une population hétérogène formée à 93% de musulmans (sunnites surtout), alors que la religion chrétienne, toutes tendances confondues, compte environ 186.000 adeptes. Par ailleurs, la communauté palestinienne est l'une des plus fortes de la région proche orientale. Comme principales ressources dont le Royaume tire profit, on peut citer les phosphates dont il est un gros exportateur, le bétail et les cultures (tomates, blé, olive, légumes) ainsi que le pétrole dont les gisements ont été découverts récemment. L'économie jordanienne reste tributaire de l'étranger en matière d'approvisionnement en énergie. Le tourisme, quant à lui, subit à ce jour les conséquences néfastes de la guerre du Golfe. bibo:pages 1 3 -- o:id 7278 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7278 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7293 26551 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6924122d1015cfd553582ed7bd8aa6d8187a7f56.pdf https://islam.zmo.de/files/original/64534502af1981056fbffe371fdcea2309243d5d.tiff dcterms:title Bénin - Jordanie : le prince Ghazi Ben Mohamed à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13451 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1953 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1954 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15161 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1418 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-10-11 dcterms:identifier iwac-article-0003358 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Arrivé hier dimanche 10 octobre en début d'après-midi à Cotonou, Son Altesse royale Ghazi 3en Mohamed, prince héritier de Jordanie a été accueilli à l'aéroport international de Cadjèhoun par une délégation gouvernementale conduite par Pierre Osho, ministre d'Etat chargé de la Défense nationale et comprenant en outre les ministres Dorothée Sossa et Fatiou Akplogan. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/454 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Arrivé hier dimanche 10 octobre en début d'après-midi à Cotonou, Son Altesse royale Ghazi 3en Mohamed, prince héritier de Jordanie a été accueilli à l'aéroport international de Cadjèhoun par une délégation gouvernementale conduite par Pierre Osho, ministre d'Etat chargé de la Défense nationale et comprenant en outre les ministres Dorothée Sossa et Fatiou Akplogan. Le prince héritier est porteur d'un message du Roi de Jordanie, Sa Majesté Abdallah II au président Mathieu Kérékou. Un message relatif à l'établissement, entre la Jordanie et le Bénin, de relations diplomatiques, économiques et commerciales. La Jordanie envisage, a dit lé prince héritier, d'intervenir au Bénin dans le domaine du transport aérien. Par ailleurs, les investisseurs jordaniens s'intéresseront au coton béninois. Le domaine militaire ne sera pas occulté. Les télécommunications au Bénin intéressent également les Jordaniens qui, en outre, ambitionnent de construire un hôtel cinq étoiles à Cotonou. En contrepartie, il sera offert aux opérateurs économiques béninois, la possibilité d'investir en Jordanie. Il est envisagé, dans les jours à venir, la visite au Bénin du Roi de Jordanie, Sa Majesté Abdallah II. Aujourd'hui, Son Altesse s'entretiendra avec le ministre d'Etat chargé du Plan. bibo:pages 1 -- o:id 7279 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7279 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7294 26552 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/eca0369d451b7b46de523ba61529ca796a865e59.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e80130bc4e6d4e1b4366c6577359003d2c3d95d3.tiff dcterms:title Séjour du ministre d'Etat Bruno Amoussou en Arabie Saoudite : près de 10 milliards de F CFA obtenus de la BID dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1499 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-07-07 dcterms:identifier iwac-article-0003359 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après la signature au Caire, en Egypte, d'une convention de financement de la construction de l'Institut régional de mathématiques et de sciences physiques pour un montant de 1.900.000.000 de F CFA, le ministre d'Etat chargé du Plan, de la Prospective et du Développement, Bruno Amoussou a obtenu de la Banque islamique de développement, la signature de nouvelles conventions de financement pour un montant de 9.500.000.000 de F CFA pour la construction de deux lycées agricoles et d'un centre de formation industrielle. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14613 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13709 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/308 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15334 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après la signature au Caire, en Egypte, d'une convention de financement de la construction de l'Institut régional de mathématiques et de sciences physiques pour un montant de 1.900.000.000 de F CFA, le ministre d'Etat chargé du Plan, de la Prospective et du Développement, Bruno Amoussou a obtenu de la Banque islamique de développement, la signature de nouvelles conventions de financement pour un montant de 9.500.000.000 de F CFA pour la construction de deux lycées agricoles et d'un centre de formation industrielle. Après la signature au Caire, le 2 juillet 2004, de la convention de financement de la construction de l’Institut régional de mathématiques et des sciences physiques pour un montant de un milliard neuf cent millions (1.900.000.000) de Francs CFA, c’est en Arabie Saoudite, plus précisément à Jeddah que la délégation conduite par le ministre d’Etat, Bruno Amoussou a rencontré d’autres partenaires au développement. Ainsi, le 4 juillet 2004, la délégation s’est rendue au siège de la Banque islamique de développement pour un entretien avec le président de cette institution, le Dr Mohamed Ali. Entouré de ses proches collaborateurs, le président Ali et le ministre d’Etat Bruno Amoussou ont procédé à un tour d’horizon de la coopération entre le Bénin et la BID et apprécié les résultats obtenus. Il est apparu que certains projets connaissent des retards dans leur exécution, notamment dans le domaine de la mise à disposition de l’eau potable pour les populations en zone rurale. Concernant la construction des résidences universitaires à Parakou, les résultats des appels d’offres n’ont pas été jugés satisfaisants. Le ministre d’Etat a demandé à revoir le dossier à son retour à Cotonou avant toute décision. Les négociations qui se sont poursuivies ont abouti a la signature de nouvelles conventions de financement pour un montant total de neuf milliards cinq cent millions (9.500.000.000) de Francs CFA. Cette somme servira à construire deux lycées agricoles, l’un à Adjahonmè dans le Couffo, l’autre à Banikoara dans l’Alibori. Elle servira également à la construction d’un centre de formation industrielle à Bopa dans le Mono. Ainsi, ces départements jusque-là sans établissement d’enseignement technique secondaire vont pouvoir offrir des possibilités de formation aux jeunes. Après la signature de ces importants accords de financement, le ministre d’Etat s’est entretenu avec les responsables chargés du financement du secteur privé de la Banque islamique de développement. Trois projets à l’étude connaîtront bientôt un heureux dénouement. Le ministre d’Etat Bruno Amoussou a, par ailleurs, remercié le président de la BID pour l’accord déjà intervenu pour le financement d’un important projet privé au Bénin et pour les crédits mis à la disposition de la BOA pour le financement de petites entreprises béninoises. C’est, peut-on dire, après une mission bien remplie que le ministre d’Etat Bruno Amoussou a quitté aussitôt Jeddah pour Washington en vue d’engager des négociations avec la Banque mondiale dans le domaine du financement des projets communautaires à la base. bibo:pages 3 -- o:id 7280 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7280 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7295 26553 26554 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9b145a233b0f6692c6b7ba6a4e549636eaba49c1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/29a9ff567424a6fc6e09a4e7ed28e220e65d2e61.tiff https://islam.zmo.de/files/original/7d1b6d1bb48d3d27bcd55542d3e1a401ee579c0f.tiff dcterms:title Visite au Bénin du roi Mohammed VI du Maroc dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1501 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/894 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-06-16 dcterms:identifier iwac-article-0003360 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Depuis hier mardi 15 juin à 17 h 30, Sa Majesté Mohammed VI, roi du Maroc séjourne au Bénin. A l’aéroport international de Cotonou Cadjèhoun où il a été accueilli par le président Mathieu Kérékou, le roi du Maroc, après les honneurs militaires, s’est rendu au campus universitaire d’Abomey-Calavi où il a inauguré la résidence Hassan II, financée par le royaume du Maroc à hauteur de 800 millions de F CFA. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Reconnaissance réciproque de permis de conduire Depuis hier mardi 15 juin à 17 h 30, Sa Majesté Mohammed VI, roi du Maroc séjourne au Bénin. A l’aéroport international de Cotonou Cadjèhoun où il a été accueilli par le président Mathieu Kérékou, le roi du Maroc, après les honneurs militaires, s’est rendu au campus universitaire d’Abomey-Calavi où il a inauguré la résidence Hassan II, financée par le royaume du Maroc à hauteur de 800 millions de F CFA. L'étape d'Abomey-Calavi a été très brève, juste le temps d'écouter quelques explications sur l'exécution du bâtiment dont la façade est en forme H, immortalisant la mémoire de feu Hasan II. Après la coupure du ruban symbolique inaugurant officiellement la résidence, le président Mathieu Kérékou et le roi Mohammed VI ont visité quelques dortoirs avant de regagner Cotonou. Au palais de la présidence de la République, les deux chefs d'Etat ont eu un tête-a-tête suivi d'une séance de travail élargie aux deux délégations officielles. Séance de travail qui a débouché sur la signature par Mohammed Benaïsa, ministre marocain des Affaires étrangères, et Rogatien Biaou, son homologue du Bénin de quelques accords. Il a donc été signé un protocole d'accord relatif a la suppression de visas pour les détenteurs de passeport diplomatique, de service et spécial. Le second accord, lui, vise à encourager et à protéger de manière réciproque, les investissements au Maroc et au Bénin. Par un autre accord, les deux pays ont convenu de reconnaître réciproquement les permis de conduire délivrés au Bénin et au Maroc. Aussi a-t-il été signé le procès-verbal de la Commission mixte de coopération maroco-béninoise tenue à Cotonou du 04 au 08 mars 2004. C'est par un dîner de gala offert en l'honneur de notre hôte que la journée d'hier s'est terminée. Ce matin, le roi, en compagnie du ministre d'Etat, Bruno Amoussou, se rendra à Porto-Novo où il visitera, le chantier en construction de la Cour suprême. La délégation marocaine, avant de regagner Rabat, rendra public un communiqué. Par Edgard COUAO-ZOTTI Les dispositions particulières de la SBEE Depuis hier après-midi, un hôte de marque séjourne dans notre pays. Il s’agit du roi du Maroc, Sa Majesté Mohammed VI qui séjourne pour 48 h au Bénin. A cet effet, le gouvernement du Bénin a pris des dispositions particulières pour assurer un séjour agréable à notre illustre hôte et à la délégation qui l'accompagne. Dans ce cadre, le ministère des Mines, de l'Energie et de l'Hydraulique a un rôle important à jouer. Il s'agit de la fourniture de l'énergie électrique et de l'eau potable, pendant toute la période du séjour de nos hôtes. Face à l'enjeu qui est de taille, la direction générale de la SBEE et la SONEB ont été mises à contribution depuis que l'annonce a été faite par le conseil des ministres. Aujourd'hui, les deux sociétés ont, peut-on dire, tout mis en œuvre pour éviter toutes ruptures de l'électricité et de l’eau. Selon la directrice générale de la SBEE, Célestine Adjanohoun, tous les services spéciaux ont été mobilisés pour les besoins de la cause ; c'est-à-dire assurer une fourniture de qualité de l'énergie électrique, dans les zones de l'aéroport international de Cadjèhoun, les hôtels, le palais des congrès et autres lieux de manifestations officielles. Les mêmes dispositions sont prises à Porto-Novo si l'on sait que les illustres hôtes marocains vont visiter le nouveau siège qui abrite désormais la Cour suprême et d'autres institutions. Pour sa part, le directeur régional du Littoral 1, Charlemagne Ayité a indiqué que la direction dont il a la charge a sorti les grands moyens pour faire face à cet enjeu. Il a organisé une permanence afin de sécuriser la fourniture de l'énergie électrique dans toutes les zones sensibles d'une part et de toute la ville de Cotonou d'autre part. Ainsi, des équipes techniques ont été positionnées aux postes de distribution et de transformation situés dans les zones sensibles. Ces équipes ont pour mission, dira Charlemagne Ayité, d'intervenir rapidement sur les équipements de distribution de l'énergie électrique en cas d'une éventuelle panne. Ces techniciens vont minimiser les temps d'arrêt de fourniture de l'énergie électrique. La CEB (Communauté électrique du Bénin), de son côté, est invitée à garantir sur les réseaux moyenne tension, les tensions 65 et 15 KV pour éviter tout désagrément. De même, les équipes de dépannage habituelles ont été renforcées. Par ailleurs, la SBEE a porté aussi assistance aux clients moyenne tension qui disposent eux-mêmes des transformateurs et des équipements de protection. Cette assistance a consisté à les aider à entretenir, pour la circonstance, leurs installations électriques. En dehors de ces dispositions, des équipes de supervision encadreront les personnels de la SBEE déployés sur le terrain, pour toute la période du séjour du roi Mohammed VI du Maroc au Bénin. Du côté de la direction régionale de l'Atlantique, d'autres dispositions non moins négligeables ont été mises en place pour sécuriser tout le domaine de l'Université d'Abomey-Calavi où sera inaugurée la résidence universitaire Roi Hassan il du Maroc. A Porto-Novo, le directeur régional a assuré que tout est fin prêt pour fournir de l'énergie électrique. En ce qui concerne la centrale thermique d'Akpakpa, le directeur de cette unité de production se dit lui aussi déterminé à éviter toutes ruptures ou perturbations. Au total, la direction générale sous la conduite de Mme Célestine Adjanohoun est résolument engagée pour relever le défi. Souhaitons que les dieux de la technique accompagnent tous les efforts engagés par la SBEE. Par J. J. SEMONDJI (Collaboration extérieure) bibo:pages 1 3 -- o:id 7281 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7281 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7296 26555 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e3e5333e35564910f7da1da1f689f1b80148c32e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d17b070bd4fe54100e2235785dfcc69686115c4e.tiff dcterms:title Cadre de concertation des confessions religieuses : pour des élections transparentes et paisibles dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1493 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14410 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1986 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-03-13 dcterms:identifier iwac-article-0003361 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le cadre de concertation des confessions religieuses (chrétiens, religions endogènes et musulmans) s’est réuni hier mercredi 12 mars à la maison de la société civile sise à la Haie Vive de Cotonou, sous la présidence du Pasteur Simon K. Dossou, président du cadre de concertation, assisté du pasteur Michel Allokpo et de Dah Gbêdiga Adoko. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le cadre de concertation des confessions religieuses (chrétiens, religions endogènes et musulmans) s'est réuni hier mercredi 12 mars à la maison de la société civile sise à la Haie Vive de Cotonou, sous la présidence du Pasteur Simon K. Dossou, président du cadre de concertation, assisté du pasteur Michel Allokpo et de Dah Gbêdiga Adoko. A l'issue de cette journée de travail, le pasteur Simon K. Dossou s'est réjoui de constater que tous les sujets à l'ordre du jour ont été abordés. Ils ont pu préparer la déclaration du cadre de concertation sur la situation socio-politique et économique. De même, ils ont évoqué les élections municipales, communales et locales qui arrivent. Ils ont pu enfin étudier le plan d'action pour 2008 avec deux séminaires programmés et deux journées de réflexions autour de la question de l'unité nationale, de la paix et du problème de la pauvreté lié au VIH/SIDA. Ils ont été par ailleurs très touchés par le thème de la féminisation du VIH/SIDA et la religion réunie dans le cadre de concertation. Ils se sont dits être obligés de se saisir de ce dossier. « Nous avons souligné de façon très forte, notre vif intérêt à travailler en synergie avec les chefferies traditionnelles et têtes couronnées... Le cadre de concertation a reconnu la place qui lui est faite au sein de notre société et entend jouer pleinement le rôle de ciment de notre société pour une paix durable qui aidera à l'éclosion d'un vrai pays emergent et prospère. Dans la declaration rendue publique, la direction nationale du cadre de concertation, « se fondant d'une part sur Dieu comme sa référence la plus sûre et agissant d'autre part comme membre à part entière a la société civile, a analysé la situation qui prévaut, de façon pernicieuse au niveau national, sur les plans social, politique et économique. Au plan social, elle a déploré les mouvements de grève répétés observés dans certains secteurs de l'administration de nature à entretenir le climat de paix et de quiétude, indispensable pour un développement durable... Elle invite en conséquence les syndicats, toutes centrales confondues et le gouvernement à la modération, au patriotisme, de manière à privilégier le dialogue et la concertation. Au plan politique, la direction nationale du cadre de concertation, déplore, en outre, la situation de crise latente observée depuis quelques mois déjà, même au niveau de certaines institutions de la République. Elle en appelle à tous les acteurs et animateurs de la vie politique, notamment les partis politiques, les élus de la nation, les associations de la société civile à plus de responsabilité pour ne pas fragiliser notre démocratie encore jeune et pour éviter à notre pays, les affres de la discorde et de la guerre que connaissent malheureusement d'autres pays frères ». Enfin, au plan économique, la direction nationale a rendu grâce à Dieu pour les efforts ayant permis de réaliser tant d'investissements en si peu de temps dans notre pays. Elle exhorte et encourage le gouvernement à poursuivre ses efforts d'assainissement des finances publiques, de lutte contre la corruption pour l'éradication de la pauvreté et pour la construction d'un Bénin émergent. Elle invite, en cette veille des échéances électorales, les formations politiques, tous les candidats et leurs partisans à faire preuve de civisme et de tolérance pour des élections transparentes et paisibles. bibo:pages 3 -- o:id 7282 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7282 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7297 26556 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fbe3b7d78e48fcff8c4452cc6b26f16d39233ef1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/889eddabc1942f5150f28150929f3bf83c6ed396.tiff dcterms:title Sommet de l'OCI : Boni Yayi à Dakar ce jour dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14659 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-03-12 dcterms:identifier iwac-article-0003362 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Communiqué du ministère des Affaires étrangères dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Communiqué du ministère des Affaires étrangères A l'invitation de Son Excellence Maître Abdoulaye Wade, président de la République du Sénégal, Son Excellence le Docteur Boni Yayi, président de la République, chef de l'Etat, chef du Couvernement, prendra part au onzième sommet des chefs d'Etat, rois et souverains de l'Organisation de la Conférence Islamique (OCI) qui se tiendra à Dakar, au Sénégal les 13 et 14 mars 2008. Ce sommet sera un événement international de grande portée politique, eu égard aux grands défis auxquels l'Organisation est appelée à faire face a savoir: développement durable, mondialisation, terrorisme, lutte contre la pauvreté. La participation du Bénin à ce sommet permettra au président Boni Yayi de prendre des contacts bilatéraux avec les différentes personnalités arabes et responsables d'institutions islamiques intervenant au Bénin. Fait à Cotonou, le 11 mars 2008 bibo:pages 1 -- o:id 7283 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7283 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7298 26557 26558 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/14d8157f5618057905d024055ac77c54b398916c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/02613169f8a1da0832ddc8bac308ac3dcc1dd7e6.tiff https://islam.zmo.de/files/original/db3200b75382f64d341d72c24e1e20bc85776e54.tiff dcterms:title Célébration de la Fête de la Tabaski : à Cotonou, réjouisances populaires et ferveur au rendez-vous dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1612 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-12-21 dcterms:identifier iwac-article-0003363 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Hier Jeudi 20 décembre, une partie des musulmans a célébré l'Aïd-EI-Kebir. Une horde de musulmans a assisté à ce souvenir du sacrifice d‘Abraham qui s’est tenu à la place « Idi » à Apakpka dans la ville de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Hier Jeudi 20 décembre, une partie des musulmans a célébré l'Aïd-EI-Kebir. Une horde de musulmans a assisté à ce souvenir du sacrifice d‘Abraham qui s’est tenu à la place « Idi » à Apakpka dans la ville de Cotonou. Même si c'est au lendemain d'une première célébration par une partie de la communauté musulmane du Bénin, le reste de la communauté a sacrifié à la tradition de l'Aïd El Kébir. Elle commémore l'acte posé par Abraham a qui Dieu avait demandé de sacrifier son fils unique. Abraham était prêt à le faire, pour montrer sa soumission à Dieu, mais Dieu l'a arrêté et lui a fait sacrifier un mouton à la place de l'enfant. L'Aïd a lieu le 10 du 12e mois lunaire dans le calendrier musulman, qui est aussi le mois du pèlerinage à la Mecque. Au menu de cette commémoration du sacrifice, réjouissances populaires, partage, agapes familiales mais surtout foi et méditation. A la place « Idi » de Cotonou, la foi raffermie de la communauté musulmane s'est encore révélée au grand jour. Des milliers de fidèles, jeunes et moins jeunes, membres du corps diplomatique et du gouvernement, simples fidèles, ont fusionné dans le même élan de soumission à Allah, Pour le président du Conseil économique et social, Rafiou Toukourou, tout comme Moussa Okanla, ministre des Affaires étrangères, la fête montre l'importance du partage et l'unité d'action qui doivent prévaloir en ce qui concerne la date de sa célébration. La prière dirigée par l'Imam de la mosquée centrale de Cotonou, Aboubakar Ousman Ibrahim montre que la crainte d'Allah doit être effective à l'occasion de cette fête de sacrifice. Lors du sermon, l'Imam réprécisera les données conduisant au choix du jour de la fête pour la glorification d'Allah. Pour lui, c'est « l'Union islamique du Bénin » qui a fait le choix de ce jour qui est le jour officiel, mais promet d'œuvrer à une synergie des compréhensions afin qu'on ait moins de cafouillage les prochaines fois. L'Imam procédera à l'immolation symbolique du mouton. Selon lui, la bête à sacrifier doit être en bonne santé. Elle ne doit être ni chétive ni malade. « Le mouton doit avoir au minimum six mois, et à défaut, on peut prendre une chèvre de deux ans minimum, une vache ou un chameau. « Le partage de la viande, selon les spécialistes de l'Islam, devrait se faire en trois parts : une pour la «sadaka «, l'autre pour les voisins, et celle que le fidèle garde pour lui-même. Le coup d'envoi de la Tabaski ainsi donné, la même ambiance de réjouissance et de ferveur religieuse s'est répandue dans les rues et foyers, avec la même expression consacrée sur les lèvres : Barka da sallah ! bibo:pages 1 16 -- o:id 7284 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7284 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7299 26559 26560 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3ab8e51ccf380130b10b0f35d489aaf1cf8e2723.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bc37887283bddc500cbb8c9914f0ef4841babd49.tiff https://islam.zmo.de/files/original/1e76e60838de0de09a56d14e7cb9f0dc5efe8e97.tiff dcterms:title Pèlerinage des musulmans béninois à la Mecque édition 2007 : le président Boni Yayi sauve les pèlerins dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2025 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-12-17 dcterms:identifier iwac-article-0003364 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Iront-ils, ou n’iront- ils pas ? L’inquiétude et la lassitude gagnaient déjà les rangs des pèlerins pour le Hadj 2007. Mais le président Boni Yayi, vendredi 14 décembre dernier, après avoir rencontré, en compagnie de certains de ses ministres, le Conseil national de coordination du Hadj, a sauvé, de justesse, la situation. Il a pu leur trouver des avions pour les convoyer vers la terre sainte de l’Islam. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Iront-ils, ou n’iront-ils pas ? L’inquiétude et la lassitude gagnaient déjà les rangs des pèlerins pour le Hadj 2007. Mais le président Boni Yayi, vendredi 14 décembre dernier, après avoir rencontré, en compagnie de certains de ses ministres, le Conseil national de coordination du Hadj, a sauvé, de justesse, la situation. Il a pu leur trouver des avions pour les convoyer vers la terre sainte de l’Islam. Si les pèlerins béninois ont pu fouler la terre sainte de la Mecque cette année, ils doivent leur salut au chef de l'Etat, le président Boni Yayi. « Deux ou trois avions viendront incessamment pour vous transporter dès demain, en début d'après-midi, sur les lieux saints » leur a-t-il annoncé. Lueur d'espoir sur les visages et des prières pour celui qui vient de sauver une situation qui pourrissait depuis des jours. Le chef de l'Etat a souhaité qu'il y ait dorénavant une solution durable. « Qu'à neuf mois du Hadj, toute négociation d'avion de transport soit terminée» a-t-il suggéré. Le président du Conseil national de coordination du Hadj 2007, Amidou Ouro-Djéri, a salué cette volonté politique et surtout l'acte de bon père de famille que le chef de l'Etat venait de poser. Parce qu'il n'est pas facile de trouver deux à trois avions pour convoyer les pèlerins à la Mecque en un temps record dans cette situation, tel que le Président vient de le faire. Après les mots de gratitude, les pèlerins ont salué le souhait du chef de l'état « qu'une solution durable au transport pour la Mecque soit trouvée ». Pour sa part, l'Iman de la Mosquée centrale de Zongo, Mohamed El Habib, a rappelé toutes les difficultés antérieures rencontrées depuis des années, à chaque fois qu'il y a pèlerinage. Il n'a pas manqué de rendre également un hommage appuyé à l'ancien président Mathieu Kérékou qui, dit-il, apportait lui: aussi son soutien aux pèlerins en difficulté depuis qu'il était en fonction. Son successeur vient lui emboîter les pas « Nous, lui sommes reconnaissants et rendons grâce à Dieu pour tous ces bienfaits » a-t-il dit. L'autorité religieuse a expliqué sa joie par le fait que l'acte du président de la République en leur faveur soit venu à temps « Sinon le dimanche à partir de 00 heure, il n'aurait plus été possible pour les pèlerins de se rendre à la Mecque ». bibo:pages 1 12 -- o:id 7285 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7285 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7300 26561 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/325e70d9256cef223aae285386a1cd660ba19bbc.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b754c9a5a7ceef55718266ad30a0c11d44742b4d.tiff dcterms:title Conseil des ministres : 20 décembre, fête de la Tabaski dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1529 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14672 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-12-10 dcterms:identifier iwac-article-0003365 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au début de la séance, le Chef de l'Etat a fait observer une minute de silence à la mémoire de feus : dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/308 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/456 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15334 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au début de la séance, le Chef de l'Etat a fait observer une minute de silence à la mémoire de feus : -El Hadj Séibou Gomina, père du Colonel Fousséni Gomina, chef du Centre opérationnel Inter Armées de l'Etat-Major Général, décédé le vendredi 16 novembre 2007 ; Albertine Sognorivi, née Tchincounkoi, mère du Colonel René Sognonvi, Directeur du Renseignement militaire de l'Etat-Major Général, décédée le vendredi 02 novembre 2007 ; -Officier de Paix de 2ème classe à la retraite Hyacinthe Avaligbé, membre du contingent béninois en mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti, décédé le dimanche 25 novembre 2007 ; François T. Tchanka, Assistant des Services financiers, Comptable du CARDER-Zou à la retraite, père de Monsieur G. Arnold Tchanka, Chef du Secrétariat administratif de l'Office national des Anciens Combattants et Victimes de Guerre du Bénin, décédé le mercredi 14 novembre 2007 ; Abdoul Razack Soumanou Dramani, conducteur de véhicules, décédé le 02 décembre 2007 des suites d'un accident de circulation alors qu'il conduisait une délégation d'un ancien Président de la République. Au cours de la séance, le Conseil des ministres a adopté plusieurs projets de décrets, notamment : le projet de Décret portant agrément de la Société de Transformation et de Commercialisation (SOTRACOM) «l'œil de Dieu » S.A. au régime « B » du Code des investissements pour le Projet d'extension et de diversification de son unité industrielle de production de yaourt et d'autres produits laitiers à Golo Fongbo dans le Département de l'Atlantique ; le projet de Décret portant approbation du Document de la Stratégie Nationale de l'assainissement des eaux usées en milieu urbain 2008-2015. Le Conseil des Ministres a également examiné et approuvé plusieurs comptes rendus, dont : un compte rendu du Ministre d'Etat Charge de la Prospective, du Développement et de l'Evaluation de l'Action Publique relatif à la réunion des Ministres de la zone franc et des assemblées annuelles de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International, tenues respectivement à Paris, les 15 et 16 octobre et à Washington, du 18 au 22 octobre 2007 ; un compte rendu du Ministre de la Réforme Administrative et Institutionnelle au sujet de la Conférence panafricaine sur le thème : « Vers une administration et une gouvernance axées sur la performance et les résultats (Quels résultats dans les services publics pour mieux affronter les défis du développement économique et social ? » tenue à Cotonou, du 24 au 27 septembre 2007. Le Conseil des Ministres a, par ailleurs, autorisé au cours de la séance : la visite d'échanges à Dakar, en vue de la prise en compte du volet environnemental dans la construction et la gestion de la cimenterie d'Adja-Ouèrè, du 21 au 26 janvier 2008 ; la participation d'une délégation de notre pays à la 7ème édition du séminaire de Télécommunications SAWASAFRICA 2007 qui aura lieu du 11 au 13 décembre 2007 au Caire, en Egypte ; la participation d'une délégation du Bénin à la réunion de création de la plate forme des Associations des Communes du Bénin, du Burkina Faso et du Mali et à la 8ème édition de la Journée des Communes du Mali respectivement le 13 décembre et du 14 au 17 décembre 2007 à Bamako ; - la participation d'une délégation de notre pays à la réunion du Groupe de Haut niveau sur ('Education Pour Tous (EPT), prévue à Dakar, du 11 au 13 décembre 2007. Le Conseil des ministres a en outre autorisé : l'organisation de la 12ème édition de la fête des Agriculteurs, du 07 au 15 décembre 2007 ; l'organisation de la cérémonie de remise de prix aux lauréats du Championnat national de Mathématiques et de Sciences Physiques, édition 2007, à Porto-Novo, les 14 et 15 décembre 2007 ; l'organisation d'un circuit touristique au Bénin au profit de jeunes béninois et ivoiriens résidant en Côte d'Ivoire, du 23 au 30 décembre 2007 ; la célébration de la Fête de la Tabaski, le 20 décembre 2007. Dans ce cadre, la journée du 20 décembre 2007 est déclarée chômée et payée et celle du 19 décembre 2007, continue de 08 heures à 14 heures sur toute l'étendue du territoire national. Enfin, le Conseil des Ministres porte à l'attention de la Communauté musulmane concernée par le pèlerinage à la Mecque Edition 2007 que des mesures urgentes sont entrain d'être prises par les structures et acteurs étatiques en charge de ce dossier afin d'assurer le voyage des pèlerins dans de bonnes conditions et dans les délais requis. Cotonou, le 7 décembre 2007 Le Secrétaire général du Gouvernement, Epiphane Nobimè.- bibo:pages 3 -- o:id 7286 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7286 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7301 26562 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0edcdb22ba00adabf6603524814c229a1ec261b9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e78b4e6c22483a19be20ff4d2d6ae189a1524352.tiff dcterms:title Fête de Ramadan au Bénin : les musulmans étaient à la place Idi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-10-15 dcterms:identifier iwac-article-0003366 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Samedi 13 octobre dernier, les fidèles musulmans ont sacrifié à la tradition en célébrant la fête de Ramadan qui marque la fin du carême. A Cotonou, ils étaient à la place Idi à Akpakpa derrière la Sobetex pour la grande prière. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Samedi 13 octobre dernier, les fidèles musulmans ont sacrifié à la tradition en célébrant la fête de Ramadan qui marque la fin du carême. A Cotonou, ils étaient à la place Idi à Akpakpa derrière la Sobetex pour la grande prière. Après trente jours de carême, les musulmans ont fêté samedi dernier l'Aid El Kébir : le Ramadan. Ils viennent ainsi de se conformer à l'une des prescriptions de l'islam révélé au prophète Mahomet. Comme chaque année la place Idi d'Akpakpa était inondée de fidèles musulmans. Tout au long de la prière, ils ont prêché pour la paix qui est un bien précieux à préserver dans notre pays qui aborde un autre tournant de son développement. Il ne s'agit pas, à entendre, les uns et les autres, d'une fête réservée aux musulmans seuls, mais elle est générale. Car Dieu est pour tous, et il s'agit de remerciements à Dieu pour ses bienfaits et le pardon qu'il nous accorde pour nos multiples péchés. bibo:pages 10 -- o:id 7287 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7287 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7302 26563 26564 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bef3b20ef59c1230fd300bbea36c3af674082501.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5c2f66dc83e2bafac3d23839948f6aa14a68f3ed.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ee1f2bde88bb4098f0c12ab62f96fbe2ecbbb1cd.tiff dcterms:title Jeûne musulman : la prière et ses bienfaits dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/58 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15231 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-10-11 dcterms:identifier iwac-article-0003367 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le mois du jeûne musulman tire à sa fin. A Parakou, c'était la veillée d'armes. Combien de fois le musulman doit-il prier ? Quels bienfaits peut-on tirer de la prière ? Et qui doit lancer l'appel à la prière ? Quelles conditions faut-il remplir pour être imam ? Pour en savoir plus, nous avons approché deux personnes-ressources et un fidèle. Lisez plutôt. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/476 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le mois du jeûne musulman tire à sa fin. A Parakou, c'était la veillée d'armes. Combien de fois le musulman doit-il prier ? Quels bienfaits peut-on tirer de la prière ? Et qui doit lancer l'appel à la prière ? Quelles conditions faut-il remplir pour être imam ? Pour en savoir plus, nous avons approché deux personnes-ressources et un fidèle. Lisez plutôt. « Le bon musulman doit prier cinq fois par jour tel que l'a prescrit le Coran. Il n'empêche que l'on peut prier plus de cinq fois si tel est son choix ou si l'on est à la recherche de plus de bénédictions » a expliqué El hadj Karim Sobabè, secrétaire général à l'organisation de l'Union islamique nationale pour qui la prière a été légiférée par Dieu. Chaque prière a un nom. « Celle de 6 h s'appelle « Salatfadle », celle de 14 h « Azafarou », celle de 16 h « Asr », celle de 19 h «Magalou » et enfin celle de 20 h « Ishaî », informe El hadj Abdoulaye Issa Kiré, imam de la grande mosquée de Yara Kinin. Aucun événement de quelque nature que ce soit ne doit influencer l'heure de prière. Même malade, il faut davantage prier, car ni la maladie, ni la mort n'affectent l'heure de la prière. Ainsi, le malade peut se coucher ou s'adosser à un mur pour prier, indique l'imam qui informe aussi qu'en temps de guerre, il faut beaucoup prier et tout faire pour s'organiser afin de le faire. Même en marchant en temps de guerre, on peut prier. Lorsque la mort surprend l'imam en pleine prière par exemple, quelqu'un s'occupe de lui et la prière continue. Dieu interdirait de regrouper les cinq prières en une seule et punirait celui qui s'y adonnerait. El hadj Karim Sobabè précise qu'il est important de prier au bon moment, c'est-à-dire à l'heure indiquée. « Avant et après l'heure de prière, ce n'est pas bénéfique pour le fidèle ». C'est pourquoi le muezzin est prévu, l'homme qui doit veiller sur l'heure et appeler à la prière. L'orateur informe que partout le muezzin a existé. Bilaï est le premier muezzin d'origine éthiopienne et pour remplir cette fonction, il faut connaître le coran, avoir la volonté et la force de pouvoir se mettre au service des autres. Quel que soit le temps qu'il fait, le muezzin veille. Il doit donc aussi être endurant et en bonne santé. Il peut arriver que le muezzin tombe malade, ou s'absente, pour cas de force majeure. Dans cette hypothèse, l'imam ou quelqu'un d'autre prend la relève. L'appel à la prière signifie en français : « Au nom de Dieu le très miséricordieux et le Tout-Puissant... Dieu est grand. Venez prier ! Venez louer Allah. Venez prier comme l'a fait le prophète Mohamad. Allah est l'Unique que nous pouvons louer. C'est l'heure de la prière. C'est l'heure de rendre grâce. Allah est grand, et il est l'Unique. » Quelques règles de la religion A propos de la nomination de l'imam, El hadj Karim Sobabè avance qu'il s'agit d'un domaine vaste et complexe. La nomination obéit à des critères précis définis par le coran. Il existe un collège électoral pour choisir l'imam. Et il est possible qu'il y ait plusieurs candidats. Et pour être candidat, précise-t-il, il faut connaître parfaitement le coran, maîtriser le message qu'il véhicule et faire valoir l'excellence dans ses interventions, être d'un certain âge, car à un moment donné, il faudra faire preuve de sagesse pour régler les problèmes qui se posent à la communauté, les problèmes religieux notamment pour mettre en œuvre l'œuvre du prophète ; enfin, un dernier critère subsidiaire relatif à la sagesse, car on peut être âgé et ne pas pouvoir faire preuve de sagesse. Il y a cependant de jeunes imams qui font preuve de sagesse. El hadj Abdoulaye Issa Kiré, imam de la grande mosquée de Yara Kinin confirme les propos de Karim Sobabè, au sujet des qualités du prétendant au peste d'imam: « Pour choisir un imam, il faut prendre celui qui connaît et maîtrise le Coran, qui a plus de connaissances et de sagesse. On les met à l'épreuve de la récitation du coran pour apprécier la maîtrise qu'ils en ont. » Et de poursuivre : « Lorsque tous les candidats sont au même niveau, c'est le plus beau et le plus présentable qui est choisi, ou encore celui dont la famille est plus étendue. Le vote permet parfois, en fin de compte, de départager les postulants arrivés à égalité dans la compétition. » Après cette élection, on cherche celui qui peut lui suppléer, une personne disponible, capable d'accepter les conditions de la religion et celui dont la voix peut porter et toucher plus de personnes. Pour Aminou Issiaka, tailleur brodeur, musulman fervent, « La prière a des bienfaits et de bonnes répercussions sur celui qui croit et qui s'y adonne, avec foi. Après mon apprentissage, je voulais du travail ; j'ai prié et je l'ai eu. Je voulais une machine, j'ai prié et j'en ai eu trois déjà. » Ils sont nombreux, les Parakois qui se sont immergés dans la prière, tout le mois de jeûne musulman, et ils espèrent en recueillir diverses fortunes. Certaines activités ont été paralysées, pendant que d'autres ont connu un boom exceptionnel, notamment le commerce du pain, du sucre, et celui des fruits en général Celui de poulets, et bientôt aussi celui de moutons ont de beaux jours devant eux. bibo:pages 1 5 -- o:id 7288 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7288 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7303 26565 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/13ce7785a73834ebd61113722d8f65e11161a5b0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b286979d12ddbb70b5e4261696a35c5ffe6b140b.tiff dcterms:title Communauté musulmane du Benin : le mois du jeûne commence ce jour dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003368 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin entame ce jour le mois du jeûne. Pendant trente jours, nos compatriotes de cette confession religieuse changeront leurs habitudes alimentaires pour l’absolution des péchés. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin entame ce jour le mois du jeûne. Pendant trente jours, nos compatriotes de cette confession religieuse changeront leurs habitudes alimentaires pour l’absolution des péchés. Le jeûne existait avant l'islam, car un verset du Coran dit selon un fidèle musulman du nom de Bachirou Gbadamassi : « Je te recommande le jeûne comme cela se faisait avant ». Mais la différence ici est gu'il faut prendre quelque chose à l'aube, et instruction a été donnée au prophète pour que ça dure 29 jours. Le jeûne commence au croissant et se termine également au croissant. Le cas échéant, il faut compter que le mois de chabane fasse 30 jours et le mois du jeûne commence le second jour comme c'est le cas actuellement. L'autre possibilité, selon Bachirou Gbadamassi, pour déterminer le démarrage du jeûne est que, lorsqu'on vous dit que dans un autre pays il y a eu le croissant et que vous en êtes sûr, vous jeûnez le second jour mais il faut avoir l'information de source crédible. Hier déjà, tout a commencé par la prière appelée « Tarawiyi » ou «Achamou». Selon ce fidèle, le jeûne pour le musulman est une manière de faire reposer l'organisme. L'homme étant composé de matière et d'esprit, le jeûne lui permet d'équilibrer ces deux dimensions de son être. Il lui permet également de savoir ce que ressent le démuni, pour en avoir pitié. En un mot, le jeûne favorise plus la solidarité, puisqu'il y a beaucoup d'aumône et de donation. Durant tout le temps que durera ce devoir religieux, tout le monde s'attelle à respecter les lois religieuses pour devenir comme un homme nouveau. Ainsi, à partir de 4 heures à 5 heures 10 mn au plus tard, tous les musulmans coupent le sommeil pour manger le plat de leur choix et le jeûne dure jusqu'à l'heure du manguib, c'est-à-dire le coucher du soleil. Et il faut éviter pendant cette période tous les autres vices, car le jeûne est un moment de grâce, de pardon et de paix par excellence. bibo:pages 12 -- o:id 7304 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7304 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7310 26566 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e5832572fb417d6a97f60bb640b6af9342d15b05.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7464b320c3120b155c99a902c5f9114723adf516.tiff dcterms:title Christianisme, islam et vodoun : un colloque pour favoriser le dialogue inter-religieux dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/117 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1387 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15031 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14249 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13741 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1955 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1436 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/728 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-08-21 dcterms:identifier iwac-article-0003369 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au Centre international de conférences (CIC) de Cotonou, les dirigeants religieux, les chefs traditionnels, et des universitaires cogitent depuis hier lundi 20 août sur « Le dialogue des religions endogènes, du christianisme et de l’islam au service de la culture de la paix en Afrique ». C’est à la faveur d’un colloque international de deux jours que Christine Ouinsavi ministre de l’Enseignement primaire, de l'Alphabétisation et des Langues nationales a eu l’honneur d’ouvrir. Une cérémonie d’ouverture marquée, outre la kyrielle d’allocutions et le message de Bernardin Cardinal Gantin, par les prestations respectives de chorales chrétienne et islamique, et du groupe « Les Frères Guédéhounguè » qui ont tous plaidé pour la culture de la paix à travers le dialogue. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12886 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/403 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au Centre international de conférences (CIC) de Cotonou, les dirigeants religieux, les chefs traditionnels, et des universitaires cogitent depuis hier lundi 20 août sur « Le dialogue des religions endogènes, du christianisme et de l’islam au service de la culture de la paix en Afrique ». C’est à la faveur d’un colloque international de deux jours que Christine Ouinsavi ministre de l’Enseignement primaire, de l'Alphabétisation et des Langues nationales a eu l’honneur d’ouvrir. Une cérémonie d’ouverture marquée, outre la kyrielle d’allocutions et le message de Bernardin Cardinal Gantin, par les prestations respectives de chorales chrétienne et islamique, et du groupe « Les Frères Guédéhounguè » qui ont tous plaidé pour la culture de la paix à travers le dialogue. Ce colloque organisé sous l'égide de l'UNESCO s'inscrit dans le cadre des recommandations de cette dernière au terme de sa troisième réunion tenue à Tripoli en Libye les 7 et 8 mai 2005. Au cœur de plusieurs conflits en Afrique depuis l'époque coloniale jusqu'à nos jours se trouvent des facteurs religieux. En Afrique les relations entre l'islam, le christianisme et les religions endogènes, du fait des incompréhensions sont souvent sources de tensions. Les musulmans et les chrétiens ont tendance à percevoir les adeptes des religions endogènes africaines comme des païens, des animistes, des panthéistes, des superstitieux ou des adeptes de la magie. En revanche, ces derniers à leur tour traitent les fidèles du christianisme et de l'islam comme « des mercenaires des religions étrangères et colonialistes, des traîtres de l'indépendance africaine et des ennemis à la renaissance de l'identité africaine » Ô! que de suspicions qu'on aurait pu éviter à coups de dialogue inter- religieux. Tous comportements que Nouréini Tidjani Serpos, représentant le directeur général de l'UNESCO, l'Archevêque de Cotonou, Mgr Marcel Agboton, le secrétaire général de la Société mondiale pour l'Appel islamique, Dr Mohamed Ahmed Shérif, le secrétaire général de l'Union islamique du Bénin, Gado Girigissou, le président de Africa Culture, le Vizir Olofindji Akandé, et le Chef du culte Vodoun Dagbo Hounon ont vigoureusement condamnés. Citant divers passages aussi bien de la Bible que du Coran, ces personnalités ont convenu que le dialogue permet de mieux connaître son interlocuteur. Il donne également l'occasion de se redécouvrir et d'approfondir ses propres convictions. Le pouvoir du dialogue Le dialogue selon Bernardin Cardinal Gantin, est une chance offerte aux enfants de Dieu, fils d'un même Père (puisque créés à son image et à sa ressemblance). Il élargit l'espace de la confiance et recherche ce qui unit plutôt que ce qui divise et éloigne. Aucune initiative n'est de trop quand il s'agit de culture de la paix en Afrique. Chacun doit apporter du sien pour ce « Bien Commun ». C'est l'essence même de la tenue de ce colloque international qui doit accoucher des recommandations pour la coexistence pacifique entre ces trois religions. Et au ministre de l'Enseignement primaire, de l'Alphabétisation et des Langues nationales de s'interroger à son tour sur l'origine des violences dans le monde, et de rappeler l'horreur de l'attentat du 11 septembre 2001 à New York Dieu ou Allah n'ordonne jamais de tuer. Il faut arrêter l'intégrisme et le fanatisme. Les dérives donc. Et c'est ce que les responsables de l'islam, du christianisme et des religions endogènes d'Afrique s'attèlent à faire, en cherchant, à coups de dialogue à cultiver la paix, et à rapprocher les religions les unes des autres. bibo:pages 3 -- o:id 7305 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7305 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7311 26567 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0372792bfaa77b68ca847fc8218a61402d73180e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0e7c019a16ddc3430f18997e7aa08c2d84395e1e.tiff dcterms:title Conseil des ministres : la fête du Ramadan pour lundi prochain dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1529 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13716 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-10-20 dcterms:identifier iwac-article-0003370 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au début de la séance, le conseil des ministres a observé une minute de silence à la mémoire de feus : dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au début de la séance, le conseil des ministres a observé une minute de silence à la mémoire de feus : - Rufin Quenum, Magistrat, directeur adjoint de l'Administration pénitentiaire et de l'Assistance sociale, décédé le 15 octobre 2006 à Bantè des suites d'un accident de la circulation alors qu'il était en mission commandée ; - Raphaël Tossi Botoyiye, ex-maire de la Commune urbaine de Bohicon ; - Ayélé Immaculée Essou Azandégbé, mère de Monsieur Marcellin Azandégbé Eni, ex-Directeur Administratif et Financier du Conseil National des Chargeurs du Bénin à la retraite, décédée le 20 septembre 2006 ; - Jean Djossè Elégbédé, père du Commandant à la retraite Elégbédé Moustapha Paul, ex- préfet des départements du Zou et l'Ouémé, 2e vice-président de l'Association des Militaires Retraités du Bénin, décédé le 23 septembre 2006 Au cours de la séance, le Conseil des ministres a adopté plusieurs projets de décrets, notamment : - le projet de décret fixant les conditions de fabrication, de distribution et de délivrance des produits contraceptifs et de promotion des méthodes contraceptives ; - le projet de décret fixant les conditions et modalités de l'assistance aux personnes malades ou porteuses du VIH/SIDA ; le projet de décret fixant les conditions de création, d'agrément, de fonctionnement et de contrôle des structures de soins de santé de la reproduction. Au cours de la séance, le conseil des ministres a examiné et approuvé plusieurs dossiers, notamment : - un compte rendu du ministre de la Sécurité publique et des Collectivités locales relatif à la Conférence panafricaine des ministres chargés de la Gouvernance locale tenue à Maseru au Lesotho, du 30 août au septembre 2006 ; - un compte rendu du ministre du Développement, de l'Economie et des Finances relatif à la 31e réunion annuelle du Conseil des Gouverneurs du Groupe de la Banque islamique de Développement qui s'est tenue au Koweït, les 30 et 31 mai 2006 ; - un compte rendu du ministre Délégué Chargé des Transports, des Travaux Publics et de l'Urbanisme auprès du président de la République relatif à la visite d'une délégation des garde-côtes américains au Port de Cotonou, du 28 au 30 août 2006 ; - un compte rendu du ministre de la Culture, des Sports et Loisirs relatif à la 30e session du Comité du Patrimoine mondial qui a eu lieu à Vilnius, en Lituanie, du 08 au 16 juillet 2006. Le conseil des ministres a, en outre, autorisé au cours de cette réunion : - la participation d'une délégation du Bénin à la Table ronde des bailleurs de fonds du Programme économique régional des pays de l'Union économique et monétaire ouest- africaine, prévue à Dakar, au Sénégal, les 02 et 03 novembre 2006 ; - la participation d'une délégation de notre pays au Gala de l'athlétisme mondial et au conseil de la Fondation internationale d'athlétisme qui se tiendront à Monaco, en France, du 09 au 12 novembre 2006 ; - la participation d'une délégation du Bénin à la 20e exposition internationale de défense navale et de sécurité maritime « EURONAVALE », qui se déroulera à Paris le Bourget, du 23 au 27 octobre 2006 ; - la visite de travail au Swaziland, du 12 au 20 novembre 2006 du ministre de la Justice, chargé des Relations avec les Institutions, Porte-parole du gouvernement. Enfin, le conseil des ministres a autorisé la célébration au Bénin, le 23 octobre 2006, de la fête du Ramadan. Cotonou, le 19 octobre 2006 Le secrétaire général du gouvernement Epiphane NOBIME bibo:pages 3 -- o:id 7306 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7306 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7312 26568 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7466464010e5671effae6c73cd04b6a4050f544a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/159de1d65933110c4ec617e0f15221b8ab28eca1.tiff dcterms:title Activités du chef de l'Etat : un envoyé du Guide libyen au cabinet présidentiel dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1624 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1427 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-11-21 dcterms:identifier iwac-article-0003371 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République, Boni Yayi, a reçu quelques personnalités en audience à son Cabinet, hier lundi 20 novembre dont le ministre-Directeur de Cabinet du Guide libyen, Bachir Saleck Bachir. Seul l'émissaire du Guide de la Révolution libyenne a fait des déclarations à sa sortie d’audience. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14686 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République, Boni Yayi, a reçu quelques personnalités en audience à son Cabinet, hier lundi 20 novembre dont le ministre-Directeur de Cabinet du Guide libyen, Bachir Saleck Bachir. Seul l'émissaire du Guide de la Révolution libyenne a fait des déclarations à sa sortie d’audience. Les questions de développement de l'Afrique étaient au Coeur des échanges entre le président Boni Yayi et son hôte, le Directeur de Cabinet du Colonel Mohammar Kadhafi qui s'est dit honoré d'avoir été reçu par le chef de l'Etat. L'émissaire libyen a déclaré avoir discuté avec le président Boni Yayi des investissements libyens au Bénin notamment du point de vue de la levée des obstacles qui retarderaient la mise en œuvre de nombreux projets. Ceux-ci sont relatifs, entre autres, à la construction de logements sociaux, de logements présidentiels, bâtiments de grand standing, qui pourraient permettre à notre pays d'abriter dans deux ans, le forum de la CENSAD, et d'un hôtel cinq étoiles dont les travaux sont prévus pour démarrer d'ici à juin 2007, sans oublier la question de l'hôtel Croix du Sud, d'un centre commercial moderne, du bloc pétrolier de Sèmè, ainsi que l'a résumé le ministre de l'Artisanat et du Tourisme, Soumanou Toléba. Les questions afférant à la construction d'une tour administrative, au soutien de la Libye dans le domaine de la micro-finance en vue d'atténuer les souffrances des populations, les jeunes et les femmes en particulier, n'ont pas été occultées. Selon le ministre Toléba, des instructions fermes ont été données aux différents ministres concernés afin que l'investissement privé libyen puisse effectivement favoriser la création d'emplois. Par ailleurs, les échanges ont pris en compte les besoins en énergie de notre pays. Sur ce plan, rapporte le chargé de mission Janvier Yahouédéou, les difficultés d'approvisionnement en énergie ont conduit le chef de l'Etat à négocier auprès de la partie libyenne, deux groupes très puissants qui seront disponibles sous peu à Cotonou. De même, il ressort du point de l'audience que le président Boni Yayi a su décider la partie libyenne qui gère un fonds de cinq milliards de dollars qui pourront être investis dans des projets rentables. Signalons par ailleurs que le président Boni Yayi a tenu à se porter au chevet du coopérant français Harfaux à l'hôpital militaire du camp Ghézo, qui a été victime d'un grave accident de la circulation et qui était sur le point d'être évacué. bibo:pages 3 -- o:id 7307 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7307 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7313 26569 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5238a53f8b2b94be3a53311176cf0da03e7dd29a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2df0925e5bc24fb7ed43ec33362e36c4c723b8ce.tiff dcterms:title Pour l'élection de Boni Yayi à la tête du Bénin : la communauté islamique rend grâce à Dieu dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14067 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14241 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/214 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1979 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14722 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2042 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15289 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-04-19 dcterms:identifier iwac-article-0003372 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre du déroulement pacifique de l’élection présidentielle de mars 2006, la communauté islamique du Bénin a organisé une prière d’action de grâce à Allah sur l’initiative d’EI Hadj Sassif dit le Soudeur. C’était à la mosquée centrale de Parakou suivie d’une réjouissance populaire au stade municipal de Parakou, dimanche dernier. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13302 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre du déroulement pacifique de l’élection présidentielle de mars 2006, la communauté islamique du Bénin a organisé une prière d’action de grâce à Allah sur l’initiative d’EI Hadj Sassif dit le Soudeur. C’était à la mosquée centrale de Parakou suivie d’une réjouissance populaire au stade municipal de Parakou, dimanche dernier. Dimanche dernier, tous les Imams du Borgou, de l'Alibori, de l'Atacora et de la Donga se sont retrouvés à Parakou pour une grande prière. Cette dernière a connu la participation de l'ex-préfet du Borgou et de l'Alibori, Zourkarnéiny Toungouh, actuel directeur de cabinet du ministère de la Sécurité publique et des Collectivités locales, Boubacar Arouna, ministre sortant de la Fonction publique, Léon Bio Bigou, premier vice-président de l'Assemblée nationale, Ousmane Batoko, conseiller à la mairie de Parakou, Alassane Gado, préfet des départements du Borgou et de l'Alibori et bien d'autres cadres du septentrion. Cette prière qui a connu une forte participation de la communauté islamique a été sollicitée par Mohamed Sanny, président de la communauté islamique du Bénin et dirigée par l'Imam central de Parakou, Djamiou Wakaya. Dans son intervention introductive, El Hadj Sassif a dit qu'il serait ingrat de ne pas remercier Allah. Car à la veille de la présidentielle, tout le monde priait et demandait à Dieu sa clémence pour un déroulement pacifique du scrutin. Et quand on fait une demande qui est accordée, il importe de remercier sincèrement celui qui l'a accordée. Pour Nazaire Dossa, président du Parti l'UCP-FAABA, le peuple du Bénin est un peuple croyant et pour cette raison tous les souhaits du peuple béninois lui sont accordés par Dieu. Ainsi à l'instar de la communauté chrétienne qui a remercié Dieu le Tout-Puissant, la communauté islamique du Bénin ne voulant pas rester en marge a rendu grâce à Allah pour ses bénédictions et sa miséricorde. Le peuple a voulu du changement et a voté pour le changement. Aussi doit-on accompagner le nouveau président Boni Yayi élu pour un véritable changement afin que le Bénin connaisse un décollage de son développement II a alors invité le peuple béninois à travailler d'arrache-pied, avec soin et éthique pour sortir le Bénin du bourbier. Quant à l'honorable Séka Chabi, la prière est capitale en toutes choses. Elle est une force très efficace. Mais il faut reconnaître que c'est Dieu qui exauce nos prières. C'est pourquoi nous devons savoir lui rendre grâce. Il s'agit d'un signe de reconnaissance envers Allah. Mais après l'effort c'est le réconfort, c'est la fête. Dans l'après-midi du dimanche de Pâques, le stade municipale de Parakou c'était la fête. Tout le monde chantait Boni Yayi. La réjouissance était à son comble et chaque artiste justifiait le succès de Boni Yayi. Pour Ousmane Batoko, conseiller à la mairie de Parakou, le choix de Boni Yayi s'impose au peuple du Bénin et aux populations du Nord qui n'avaient pas d'autre choix. C'est dire que le peuple ne s'est pas trompé surtout qu'il veut du changement. bibo:pages 7 -- o:id 7308 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7308 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7314 26570 26571 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fa8e99f802f58f435c1fee8c79b58e5b485b3f1e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c73e0450ab2ab762b3fe2fa5c16428dbbb57630c.tiff https://islam.zmo.de/files/original/b26ae5d5c2c6dff76692115b6669b96423264884.tiff dcterms:title Visite d'amitié du président Boni Yayi en Libye : consolider l'axe Cotonou-Tripoli dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-04-19 dcterms:identifier iwac-article-0003373 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le chef de l’Etat, le président Boni Yayi accompagné d’une délégation de quatre ministres, celui des Finances, de la Défense nationale, du Commerce et de l’Industrie ainsi que celui des Affaires étrangères, a effectué du lundi 17 à hier 18 avril, une visite d’amitié et de travail à Tripoli, en Libye. Le séjour en terre libyenne a permis non seulement au président Boni Yayi de discuter coopération bilatérale, mais aussi de faire avec le guide de la Révolution libyenne, le tour d’horizon des questions d’actualité sur le continent. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/403 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le chef de l’Etat, le président Boni Yayi accompagné d’une délégation de quatre ministres, celui des Finances, de la Défense nationale, du Commerce et de l’Industrie ainsi que celui des Affaires étrangères, a effectué du lundi 17 à hier 18 avril, une visite d’amitié et de travail à Tripoli, en Libye. Le séjour en terre libyenne a permis non seulement au président Boni Yayi de discuter coopération bilatérale, mais aussi de faire avec le guide de la Révolution libyenne, le tour d’horizon des questions d’actualité sur le continent. Lundi 17 avril à 12h50, heure libyenne, sur le tarmac de l'aéroport de Tripoli Matiga ; une base militaire, un accueil chaleureux. Le général Mustafa Kharubi, l'un des hauts responsables du conseil de la Révolution libyenne embrasse le président Boni Yayi. Des gerbes de fleurs aussi bien du côté libyen que de l'ambassade du Bénin près Tripoli. Honneur militaire et revue de troupe, la forte délégation de la communauté béninoise à Tripoli en liesse chante et danse avec des slogans en l'honneur de leur hôte. Au salon d'honneur, le président Boni Yayi a déclaré qu'il est aujourd'hui au berceau de l'émancipation du contient africain. « La Libye a une grande place dans le cœur des Africains, compte tenu du rôle de premier plan que le guide de la Révolution libyenne, le Colonel Mohamar Khadafi joue. Il est pour nous une référence dans la lutte qui permettra à l'Afrique, notre continent, de se donner véritablement une vision, celle de la prospérité et du bonheur ». Se référant à son homologue et aîné, le guide libyen, le president Boni Yayi a dit qu'il est toujours à l'avant-garde de cette lutte commune pour mettre en place une stratégie sur le continent. « Il nous rappelle toujours les valeurs autour desquelles nous devons libérer le continent de la pauvreté. Il est très proche de nos peuples. Et le peuple béninois est en phase avec lui» », a ajouté le président Boni Yayi. Après avoir remercié le peuple libyen pour tout ce qu'il a fait pour ses frères béninois, le président Boni Yayi a ajouté que le Béninois veut aller au-delà de ce qui a été fait. Ceci, pour consolider sa démocratie et pour l'émergence de son économie. Le chef de l'Etat s'est dit convaincu qu'il est dans un pays ami auprès du guide dont le cœur est proche du nôtre. Le cortège présidentiel a ensuite traversé la ville pour se diriger vers le palais du guide de la Révolution à Bab el Azizia. Une véritable forteresse. Là, drapé dans la tenue traditionnelle libyenne, boubou blanc et grand pagne tissé couleur beige, Mohamar Khadafi a reçu le president Boni Yayi à l'air libre, sous des filaos au milieu des chameaux. Dans une chaleureuse convivialité, le guide libyen entouré du SG/CEN-SAD, Mohamd Al Madani Al Azhari, du vice-ministre des Affaires étrangères, Said Afyana, de l'ambassadeur de la Libye près le Bénin, Mustafa Maatug et du ministre des Finances, Mohamed El Houj a accueilli la délégation. Le président Boni Yayi a réitéré au guide, toute sa gratitude pour tous ses bienfaits et surtout sa contribution au développement et à l'émergence du continent africain. Marque de reconnaissance Il lui a exprimé également la reconnaissance du peuple béninois pour tout ce qui lui a été fait par la Libye dans tous les domaines au plan bilatéral. Puis a suivi un tête-à-tête entre les deux hommes d'Etat. Durant plus d'une trentaine de minutes, ils ont ensemble passé en revue les grandes questions d'actualité sur le continent africain. (Nous y reviendrons) Au terme de ia rencontre avec le guide de la Révolution libyenne, la délégation béninoise a ete installée dans le majestueux hôtel El Mahary au cœur de la ville à Dhahara. Dans l'après-midi, le chef de l'Etat a eu une séance de travail avec ses ministres, suivi de l'ambassadeur du Bénin près la Libye, Chabi Lafia. La nuit, la délégation béninoise a été conviée à un dîner offert par le guide libyen dans un des plus grands hôtels de la ville : la Corinthia. Le colonel Mohamar Khadafi s'est fait représenter par son directeur de cabinet, Béchir Saleh. Les ministres du gouvernement libyen, les sages de la ville de Tripoli ainsi que d'autres invités ont également pris part au dîner agrémenté par la musique traditionnelle. Il s'agit de chants et danses issus de folklore de la région nord-ouest du pays. La délégation béninoise est partie de Tripoli ,hier mardi 18 avril aux environs, de 16h locales soit 15h de Cotonou, avec le même protocole d'au-revoir empreint de solennité et de convivialité. bibo:pages 1 12 -- o:id 7309 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7309 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7315 26572 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/59dfec794f0a5e39d9cf36b60ce0cbf4690dd0d6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4e4505389df9415a3207c12de9009dde1b82ced7.tiff dcterms:title Annonce de décès : El-Hadj Girigissou GADO dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/782 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1955 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-01-28 dcterms:identifier iwac-article-0003374 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Président de l’Union Islamique du Bénin (UIB), Président du Conseil Supérieur de l’Islam du Bénin (CSIB), Président du Bureau Exécutif national (BEN) a la profonde douleur de vous annoncer le décès subit et cruel de El-Hadj Girigissou GADO, Secrétaire Général de l’Union Islamique du Bénin, décès survenu à Paris le 20/01/2009. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/456 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Président de l’Union Islamique du Bénin (UIB), Président du Conseil Supérieur de l’Islam du Bénin (CSIB), Président du Bureau Exécutif national (BEN) a la profonde douleur de vous annoncer le décès subit et cruel de El-Hadj Girigissou GADO, Secrétaire Général de l’Union Islamique du Bénin, décès survenu à Paris le 20/01/2009. Il présente à la famille de l’illustre disparu, à son épouse, à ses enfants, les condoléances et la compassion de l’ensemble de la Communauté musulmane béninoise. Il invite les Imams Jamious et les Imams Ratibis du Bénin à organiser dans leurs mosquées respectives, des prières d’action de grâce à la mémoire du disparu. « Inna Lilahi wa inna ilehi rajiouna » bibo:pages 6 -- o:id 7316 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7316 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7330 26573 26574 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6c1aa53c3a02781cf4ee4925a27d449c146f96da.pdf https://islam.zmo.de/files/original/90957077caf6106cea69f67254e5494e5f89e8a7.tiff https://islam.zmo.de/files/original/491cbc9be1458fc19e102fce0240fd567d330959.tiff dcterms:title Grande Chancellerie : la nomination de Urbain Karim da Silva annulée dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-01-15 dcterms:identifier iwac-article-0003375 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Prévue pour aujourd’hui, la prise de fonction du nouveau Grand Chancelier de l’Ordre national du Bénin, Urbain Karim da Silva, nommé en Conseil des ministres le 3 décembre 2008 n’aura pas lieu. Le décret 2008-744 du 31 décembre portant sa nomination a été abrogé par un autre décret pris parle chef de l’Etat, le mardi 13 janvier dernier. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Prévue pour aujourd’hui, la prise de fonction du nouveau Grand Chancelier de l’Ordre national du Bénin, Urbain Karim da Silva, nommé en Conseil des ministres le 3 décembre 2008 n’aura pas lieu. Le décret 2008-744 du 31 décembre portant sa nomination a été abrogé par un autre décret pris parle chef de l’Etat, le mardi 13 janvier dernier. Qu’est-ce qui pourrait amener le chef de l’Etat à annuler 13 jours seulement après le décret que lui-même a pris le 31 décembre 2008 pour nommer Urbain Karim da Silva, en qualité de Grand Chancelier de l’Ordre national du Bénin? La nouvelle de l’annulation de ce décret mardi 13 janvier dernier a surpris plus d’un. Seulement, si l’on s’en tient aux rumeurs qui ont suivi cette nomination au lendemain du Conseil des ministres du 3 décembre 2008, il y a de quoi ne pas s’étonner. En effet, après la décision du Conseil des ministres du 3 décembre 2008, nommant Urbain Karim da Silva, des recours auraient été introduits à la Cour constitutionnelle pour contester cette nomination. Mais sans attendre les décisions de la Haute juridiction à ce sujet, le président de la République a pris un décret le 31 décembre pour confirmer la nomination du sage de Porto-Novo. C’est sur la base de ce décret que la Grande Chancellerie aurait saisi le ministère de la Justice pour mettre à sa disposition un Huissier de Justice, afin de pouvoir ouvrir le bureau de feu Salomon Biokou pour que le nouveau Grand Chancelier intègre les lieux au plus tard le 5 janvier dernier. Avant cette date, Urbain Karim da Silva aurait déjà fait la connaissance des lieux, mais n’a pas intégré officiellement les bureaux. Il n’attendait que la cérémonie officielle de prise de fonction ce jour, pour s’installer confortablement. Mais hélas ! Le décret 2009-004 du 13 janvier 2009 portant abrogation du décret n°2008-744 du 31 décembre 2008 portant nomination de Monsieur Urbain Karim da Silva en qualité de Grand Chancelier de l’Ordre national du Bénin vient remettre tout en cause. Ceci, alors que le nouveau Grand Chancelier aurait commencé par signer déjà des actes administratifs. Selon la loi 94-029 du 3 juin 1996 portant réorganisation de l’Ordre national du Bénin et la loi 2002-17 du 7 février 2007 qui l’a modifiée et complétée en son article 5, « le Grand Chancelier et le Vice-Grand Chancelier sont choisis parmi les Grand Croix. Ils sont nommés en Conseil des ministres pour un mandat de 5 ans renouvelable une seule fois. Il ne peut être mis fin à leur fonction que dans les cas prévus par l'article 51 de la même loi.» Cet article 51 de la même loi précise qu’ « il ne peut être mis fin au mandat du Grand Chancelier et du Vice-Grand Chancelier que lorsqu’ils sont déchus de leur nationalité béninoise.» En prenant sur lui la responsabilité de signer le décret annulant la nomination de Urbain Karim da Silva, le chef de l’Etat a certainement bien mesuré les contours des dispositions précitées. Sinon, le décret 2009-004 du 13 janvier 2009 ne vient-il. pas poser un problème de respect de la loi n°94-029 du 3 juin 1996 portant réorganisation de l’Ordre national du Bénin dans la mesure où le nouveau Grand Chancelier poserait déjà des actes administratifs ? Les prochains jours nous édifieront. bibo:pages 1 3 -- o:id 7317 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7317 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7331 26575 26576 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7fdad7dfb88cf3b2ebfc02d28143b567643a8d8b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e961d09ef771f93b22961973334b648b771eae97.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6a377daa9f36b032a3bb880b5577a573f5df3668.tiff dcterms:title Aux religions et chefferies traditionnelles : 325.000.000 FCFA remis par le gouvernement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15436 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1966 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1973 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1993 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-12-24 dcterms:identifier iwac-article-0003376 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Zacharie Baba Body, a procédé, hier mardi 23 décembre, dans l’enceinte de son ministère, à la remise officielle de chèques aux religions endogènes, aux Judéo-chrétiens et aux rois et autres chefferies traditionnelles du Bénin. Il avait à ses côtés, les ministres de la Culture et de l’Alphabétisation, Galiou Soglo, de la Réforme administrative et Institutionnelle, Joseph Ahanhanzo et de la Famille, Mamata Méba Djossou. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Zacharie Baba Body, a procédé, hier mardi 23 décembre, dans l’enceinte de son ministère, à la remise officielle de chèques aux religions endogènes, aux Judéo-chrétiens et aux rois et autres chefferies traditionnelles du Bénin. Il avait à ses côtés, les ministres de la Culture et de l’Alphabétisation, Galiou Soglo, de la Réforme administrative et Institutionnelle, Joseph Ahanhanzo et de la Famille, Mamata Méba Djossou. En sa séance du 3 septembre dernier, le Conseil des ministres avait décide d'un appui financier au secteur traditionnel et aux Organisations de la Société civile. Ce qui, à en croire le ministre Zacharie Baba Body, témoigne de l'intérêt que le gouvernement accorde à ces composantes delà Société civile, pour leurs rôles d'importance sociale, d'éveilleur de consciences, de gardien des valeurs morales et traditionnelles, et de maintien de la paix au niveau national. Il a estimé qu'ils sont des acteurs de proximité et partant, des partenaires au développement à la base que l'Etat se doit d'appuyer. C'est donc pour honorer les engagements qu'il avait pris que le gouvernement a procédé à cette remise de chèques. Ainsi, comme promis, les têtes couronnées ont reçu leur chèque de 100.000.000 FCFA. Il en est de même pour les religions endogènes. Outre les 100.000.000 FCFA, les judéo-chrétiens se sont également vu délivrer un chèque de 25.000.000 FCFA pour les différents pèlerinages qu'ils ont l'habitude d'organiser chaque année. Concernant les religions endogènes, le ministre Zacharie Baba Body a indiqué que cet appui du gouvernement, les aidera à revaloriser et à donner plus de visibilité à leurs actions, et non à organiser leurs manifestations dans le cadre de la célébration du 10 janvier. Pour cette dernière festivité, il leur a promis un autre soutien du gouvernement. Le ministre Zacharie Baba Body a ensuite exhorté tous les bénéficiaires à veiller à une répartition judicieuse de ces fonds, afin qu'il n'y ait pas de frustrations et que les objectifs visés par le chef de l'Etat, Boni Yayi, en leur accordant cet appui, soient atteints. Appelant à leur sens de l'équité, il a souhaité qu'aucune cour royale, aucun couvent ou temple de culte traditionnel et aucune tendance judéo chrétienne, ne soit frustré ou laissé pour compte. Les différents représentants des bénéficiaires ont tenu à dire toute leur reconnaissance au président de la République et à son gouvernement. Après avoir formulé leurs vœux de paix et de grande bénédiction pour le Bénin, ils ont promis de faire un bon usage des fonds qui leur ont été alloues. Précisons par ailleurs que, pour avoir déjà reçu les fonds qui leur étaient destinés, les musulmans n'étaient par concernés par la cérémonie d'hier. C'est ce qui expliquait leur absence sur les lieux. bibo:pages 1 3 -- o:id 7318 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7318 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7332 26577 26578 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/37d9be48ce79db5de4f6531363e5eccec138f5ed.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c59f7fafabc1e10f5ebb1a1d87bae1253b0d41c2.tiff https://islam.zmo.de/files/original/b9de56bd191dc632e0325249cabf9eea88e00364.tiff dcterms:title Fête de la Tabaski : la communauté musulmane sacrifie à la tradition dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-12-09 dcterms:identifier iwac-article-0003377 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Comme tous les musulmans du monde entier, la communauté musulmane béninoise a célébré, hier lundi 8 décembre la fête de la tabaski. Une fête placée sous le signe de la foi et de la solidarité. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Comme tous les musulmans du monde entier, la communauté musulmane béninoise a célébré, hier lundi 8 décembre la fête de la tabaski. Une fête placée sous le signe de la foi et de la solidarité. La légende du sacrifice d'Abraham pour Dieu se pérennise dans l'islam et une fois encore, la communauté musulmane du Bénin a célébré, avec faste, la Tabaski. Malgré la morosité économique ambiante, chaque musulman a su donner du sien pour que le sang du mouton coule en guise du témoignage de son engagement et de sa foi en Dieu. «Il s'agit d'une loi divine d'immoler chaque année, une bête, ce jour, pour cause de sacrifice cl d'échanges. On immole cette bête tout en espérant de Dieu de nous faire une compensation de tous les maux visibles et invisibles qui nous entourent», a indiqué El Hadj Ousmane Aboubakar, Imam central de Cotonou. Dans son sermon prononcé avant les festivités à la place Idi à Akpakpa, le responsable religieux s'est surtout focalisé sur l'importance du rêve pour un fidèle musulman. « L'islam interdit le recours aux charlatans et aux marabouts. Mais l'homme a besoin de savoir ce qui lui est caché dans sa vie. Et si vous êtes un homme de Dieu, un homme de prière, Dieu vous montre des choses à travers les rêves », conseille-t-il. L'imam n'a pas manqué non plus de demander la paix et la solidarité pour la nation béninoise, secouée, ces derniers temps, par des crises politiques. «J'ai demandé la paix, que ce soit le sang des bêtes qui coulent dans notre pays et non le sang des hommes », précise-t-il. La Tabaski fêtée par la communauté musulmane du monde entier tire son origine du Coran. Selon les Saintes Ecritures, Dieu a demandé, au cours d'un rêve, au prophète Abraham d'immoler son fils Ismaël pour lui prouver sa foi. Il était sur le point de sacrifier son fils quand l'ange Gabriel lui est apparu et lui a demandé de sacrifier un mouton à la place de son fils, en reconnaissance de son engagement. bibo:pages 1 11 -- o:id 7319 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7319 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7333 26579 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4838764d7bfa687c9ef08799361b7c778d38b18d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d39194720195d9f92e5734b207bae1c2d070bd7a.tiff dcterms:title Coopération bilatérale bénino-koweitienne : l'ONASA reçoit 1500 tonnes de riz étuve dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1535 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13982 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13602 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15443 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-11-10 dcterms:identifier iwac-article-0003378 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'engagement d'aider le Bénin à faire face aux dures réalités de la crise alimentaire mondiale à travers le don d'une importante quantité de riz (4000 tonnes) est l'une des retombées de la visite effectuée en juin dernier au Koweit par le chef de l'Etat, Boni Yayi. Cette promesse d'assistance alimentaire s'est concrétisée par la livraison d'un premier lot de 1500 tonnes de riz. La cérémonie de réception s'est déroulée dans l'enceinte de l'Office national de Sécurité alimentaire (ONASA), le vendredi 7 novembre dernier, en présence du ministre de l'Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche et des ambassadeurs du Koweit près le Bénin et du Bénin près le Koweit. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'engagement d'aider le Bénin à faire face aux dures réalités de la crise alimentaire mondiale à travers le don d'une importante quantité de riz (4000 tonnes) est l'une des retombées de la visite effectuée en juin dernier au Koweit par le chef de l'Etat, Boni Yayi. Cette promesse d'assistance alimentaire s'est concrétisée par la livraison d'un premier lot de 1500 tonnes de riz. La cérémonie de réception s'est déroulée dans l'enceinte de l'Office national de Sécurité alimentaire (ONASA), le vendredi 7 novembre dernier, en présence du ministre de l'Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche et des ambassadeurs du Koweit près le Bénin et du Bénin près le Koweit. Chants de joie d'un groupe de femmes, éloges et prières de bénédiction de femmes musulmanes à l'endroit de l'ambassadeur du Koweit au Bénin, prestation de la troupe « Les Super anges du Bénin ». C'est l'ambiance dans laquelle s'est déroulée cette cérémonie officielle de remise de don alimentaire koweïtien au peuple béninois. Le directeur technique de l'ONASA, Hilaire Kotomalè représentant le directeur général dudit office, a souligné que cette assistance alimentaire vient renforcer les mesures prises au plan interne pour juguler la crise alimentaire que traverse notre pays, soulager les populations et surtout asseoir une politique de la promotion locale visant à atteindre I'auto-suffisance alimentaire au Bénin. Il a ensuite pris l'engagement au nom du directeur général, d'utiliser à bon escient et ce, conformément aux directives du gouvernement béninois, cette assistance alimentaire de 1500 tonnes de riz. L'ambassadeur du Koweït près la République du Bénin, Salah Mouhamad Al Buaijan a rappelé que ce geste qui exprime la solidarité du Koweit avec le peuple béninois s'inscrit dans une double dynamique celle d'une promotion des initiatives visant à mettre de façon rapide à la disposition de ceux qui en sont dans le besoin, des produits alimentaires et celle d'une contribution à l'augmentation des produits agricoles. Il s'est par ailleurs félicité des relations bilatérales renforcées par le rôle que joue le Fonds koweïtien pour le développement économique et de la coopération qui existe entre les deux pays. Le ministre de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche, Roger Dovonou a dans son mot de remerciement, précisé que ce riz koweitien est un riz étuvé de couleur jaune qui a des avantages du point de vue nutritionnel et riche en vitamines hydrosolubles et en sels minéraux. « Il n'y a guère au monde plus bel excès que celui de la reconnaissance ». C'est faisant sienne cette assertion que Roger Dovonou a transmis au nom du gouvernement béninois et de son chef, la joie, les vifs remerciemenls et les sentiments de reconnaissance de tout le peuple béninois à l'endroit de l'Emir, Son Altesse Sheikh Sabah Al Ahmad Al-Jaber Al-Sabah du Koweït et du peuple koweïtien. bibo:pages 14 -- o:id 7320 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7320 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7334 26580 26581 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c0301d2cf1b2f9eadff73dcd3379c0ac4e8e57df.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2358eae0ac25b8c9f8870d5f6a63df2dc3c783fe.tiff https://islam.zmo.de/files/original/489add22d05a8af0eb110831fafc9c577e54afe8.tiff dcterms:title Colloque national sur les confessions religieuses et la laïcité : pour un dialogue interreligieux dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/224 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1993 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-11-07 dcterms:identifier iwac-article-0003379 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Depuis hier 6 novembre, se tient au Conseil national des Chargeurs du Bénin, le colloque national sur les confessions religieuses et la laïcité. Placé sous le haut parrainage du médiateur de la République, ce colloque permettra aux rois et religieux d’apporter leurs contributions à la bonne gouvernance. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Depuis hier 6 novembre, se tient au Conseil national des Chargeurs du Bénin, le colloque national sur les confessions religieuses et la laïcité. Placé sous le haut parrainage du médiateur de la République, ce colloque permettra aux rois et religieux d’apporter leurs contributions à la bonne gouvernance. Ce colloque qui a regroupé les confessions religieuses, les chefs traditionnels et les dignitaires a pour objectifs de clarifier le concept de laïcité d'identifier les mesures susceptibles de favoriser une mise en œuvre du principe constitutionnel de la laïcité de façon à garantir la cohésion nationale et le respect des différences de chacun ; déterminer la place à faire à l'expression des convictions religieuses de chaque Béninois sur son lieu de travail, dans les lieux publics, et au sein des services publics. Ce qui traduit la complexité du concept de la laïcité, c'est-à-dire les difficultés qu'on éprouve à cerner les contours de ce thème. Pour Michel Allokpo, président du comité préparatoire de ce colloque, le concept de la laïcité est un sujet délicat et controversé qui présente plusieurs facettes suivant qu'on est aux Etats-Unis, en Europe ou en Afrique. Un sujet diversement interprété, selon qu'on est un régime capitaliste ou un régime communiste et socialiste. Les rois, chefs religieux et dignitaires venus de tous les départements auront à réfléchir sur le module de la laïcité adapté au contexte africain qui tient compte des réalités historiques, socioculturelles et religieuses du Bénin. La réflexion et la définition s'imposent quand on s'interroge sur les maux dont souffre notre démocratie. Moult réflexions permettront de déterminer la place de l'éthique dans la politique et la gouvernance, la place que Dieu occupe dans la vie des hommes qui ont la mission de conduire la nation. Car, pour lui, « si Dieu ne bâtit la maison, ceux qui bâtissent travaillent en vain, si l'Eternel ne garde la maison, ceux qui la gardent, veillent en vain ». Une laïcité qui rassemble Selon Zacharie Baba Body, ministre chargé des Relations avec les Institutions, les réflexions doivent porter sur les exigences concrètes qui doivent découler pour chacun du respect du principe de laïcité. Car la République laïque respecte l'existence du fait religieux. Elle apprécie la part des diverses traditions religieuses dans son histoire et son patrimoine culturel et immatériel. Il est alors légitime de laisser chaque religion s'épanouir et que les religions dialoguent entre elles. A cet effet, il a préféré une laïcité qui respecte, une laïcité qui rassemble, une laïcité qui dialogue, et pas une laïcité qui exclut ou dénonce. La tâche est ardue à l'heure des intégrismes et des fanatismes, mais elle n'est pas impossible, a-t-il ajouté. Surtout que la nation ne saurait laisser de côté les garants de l'ordre moral et spirituel dans le cadre de la gouvernance concertée. Ce colloque sera marqué par la présentation de plusieurs communications, des travaux en ateliers et des débats. Il prend fin ce jour. bibo:pages 1 7 -- o:id 7321 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7321 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7335 26582 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5c55d163028ff135339cec5bd089cc83d18d3677.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1c54ffbd14654012ba3d1155ffbc0a56e284f255.tiff dcterms:title Confessions religieuses au Bénin : demain, un colloque pour repréciser le contenu de la laïcité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13542 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-11-05 dcterms:identifier iwac-article-0003380 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Cadre de Concertation des Confessions religieuses du Bénin était, hier mardi 4 novembre, face aux hommes des médias. C’était pour les entretenir sur le prochain colloque national sur la laïcité, qu’il organise du 6 au 7 novembre au CNCB à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Cadre de Concertation des Confessions religieuses du Bénin était, hier mardi 4 novembre, face aux hommes des médias. C’était pour les entretenir sur le prochain colloque national sur la laïcité, qu’il organise du 6 au 7 novembre au CNCB à Cotonou. Les travaux de ce colloque national qui porte sur le thème «Confessions religieuses et laïcité » débutent des demain jeudi. Ce rendez-vous se veut une grande rencontre scientifique qui regroupera les sommités dans les domaines juridiques et religieux, les leaders d'opinions, les confessions religieuses, la chefferie traditionnelle et autres autorités politiques et administratives béninoises. Enumérant les raisons qui motivent la tenue dudit colloque, le porte-parole du Cadre de Concertation des Confessions religieuses, le pasteur Michel Allokpo a expliqué que depuis quelques mois, les dignitaires religieux font l'objet de multiples attaques de la part du politique au Benin. On estime, a-t-il poursuivi, que les chrétiens et plus particulièrement les évangélistes, ont pris possession de l'arène politique en assiégeant régulièrement les allées du pouvoir. Aussi, d'aucuns sont-ils vite allés en besogne, en concluant que le principe de la laïcité était violé par l'actuel gouvernement du Changement et que la démocratie béninoise était désormais en danger. Fort de cela, a indiqué le pasteur Michel Allokpo, le Cadre de Concertation des Confessions religieuses a pensé qu'il était nécessaire de recentrer le débat sur la question de laïcité. Laquelle, selon lui, est souvent mal comprise, par certains acteurs. Il a alors fait remarquer que la Constitution du 11 décembre 1990, bien qu'ayant reconnu que le Bénin est un Etat laïc, n'a pas su donner un contenu réel à cette laïcité. Le fait que certaines confessions religieuses concourent à la gestion des affaires de l'Etat, ne saurait toutefois remettre en cause cette laïcité, ajoutera-t-il. A l'en croire, ce colloque vise essentiellement à donner un contenu à ce principe dans le contexte du pluralisme religieux et de la liberté religieuse, ainsi qu'à proposer à cet effet, un projet de loi en direction de l'Assemblée nationale. bibo:pages 3 -- o:id 7322 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7322 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7336 26583 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/372f7359fe71bf06c98cd15f6c95393052a9cc7b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ea18f13899bf5d97b501a91743de7ff4bde6d3ba.tiff dcterms:title Fête du Ramadan : Abomey et Bohicon, pour la paix / Sous signe de la sagesse à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15501 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1431 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-10-03 dcterms:identifier iwac-article-0003381 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l'instar des autres musulmans du Bénin, ceux d'Abomey et de Bohicon ont célébré mercredi 1er octobre, la fête du Ramadan dans les divers lieux de prières. Partout, les Imans ont prié pour le chef de l'Etat et pour que la paix revienne dans toutes les composantes de la nation afin de répondre à cette exhortation de leur ancêtre, qui veut que tous les fils et toutes les filles du pays, bouchent de leurs doigts la jarre trouée. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Abomey et Bohicon, pour la paix A l'instar des autres musulmans du Bénin, ceux d'Abomey et de Bohicon ont célébré mercredi 1er octobre, la fête du Ramadan dans les divers lieux de prières. Partout, les Imans ont prié pour le chef de l'Etat et pour que la paix revienne dans toutes les composantes de la nation afin de répondre à cette exhortation de leur ancêtre, qui veut que tous les fils et toutes les filles du pays, bouchent de leurs doigts la jarre trouée. Ils ont également invoqué Dieu pour que toutes les entités de la nation, députés, gouvernement et autres institutions aient une bonne conscience pour accomplir leurs missions. Pour le préfet Timothée Adjitchè et le 2e adjoint au maire de Bohicon, Agnounbasso, c'est un sentiment de satisfaction car, après tout un mois de jeûne, leurs administrés célèbrent dans la paix, l'ordre et sans incident la fête de Ramadan. A la faveur de cette fête, l'ONG AL Moutadar et Zoumouchi-Bénin conduite par le député Yacoubou Malèhossou a distribué plus de cent cinquante (150) Corans aux fidèles musulmans d'Abomey et de Bohicon. Hyacinthe A. KOUDHOROT PADONOU A/R Zou-Collines) Sous signe de la sagesse à Parakou Les musulmans de tous les âges ont choisi quatre différents sites pour commémorer le Ramadan à Parakou, mercredi 1er octobre dernier, sous le signe de la célébration d'une fête digne du nom et de la sagesse. Vêtus tous d'habits neufs, les fidèles ont pris d'assaut tôt le matin, chacun selon son choix ou selon sa zone d'habitation, les différents lieux choisis pour la fête du ramadan. A l'issue de la célébration, le maire en présence de son directeur de cabinet a estimé que tous les fidèles sont venus implorer les bénédictions et les graces divines sur Parakou. « Nous avons prié Allah afin que le chef de l'Etat jouisse d'une parfaite santé pour conduire le Bénin. », a confié Soulé Alagbé. Didier Pascal DOGUE bibo:pages 7 -- o:id 7323 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7323 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7337 26584 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/67f0432b5681057d2a7ef0fac681a63338075c27.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f37d8e4877f08db64b1f28b65009314e85ed8f4f.tiff dcterms:title Assemblée interreligieuse : promouvoir la paix et le dialogue social dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1535 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1944 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-10-20 dcterms:identifier iwac-article-0003382 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une assemblée interreligieuse pour la paix et le dialogue social s’est tenue à l’hôtel GL de Cotonou le samedi 18 octobre dernier. Cette initiative du Groupe de Médiation pour Réconciliation et la Paix au Moyen-Orient et dans le monde (GMRP) a rassemblé les leaders de différentes confessions religieuses, des leaders d’opinion et de la Société civile. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une assemblée interreligieuse pour la paix et le dialogue social s’est tenue à l’hôtel GL de Cotonou le samedi 18 octobre dernier. Cette initiative du Groupe de Médiation pour Réconciliation et la Paix au Moyen-Orient et dans le monde (GMRP) a rassemblé les leaders de différentes confessions religieuses, des leaders d’opinion et de la Société civile. « La paix, c'est le nouveau nom du développement », dixit Pape Paul VI. C'est s'inscrivant dans cette dynamique que le Groupe de Médiation pour la Réconciliation et la Paix au Moyen-Orient et dans le monde a vu le jour après son assemblée générale constitutive du .29 août 2007. Cette promotion de la paix et de la sécurité passe par une unification des trois grandes familles religieuses que sont le judaïsme, le christianisme et l'islam. Dieu étant le facteur de tout développement, l'organisation d'une assemblée interreligieuse autour du thème « Unifions les familles de foi pour construire une nation solide et prospère », peut se comprendre. Dans son allocution, à l'ouverture des travaux de cette assemblée, Issa Raïmi Lawani, initiateur du GMRP et Consul honoraire d'Israël au Bénin a fait la genèse du groupe de médiation avant de rappeler quelques-unes de ses actions au cours de l'exercice 2007-2008. Le dénominateur commun aux trois grandes religions monothéistes, n'étant que le même Dieu, cette assemblée est un éveil des consciences à la fraternité, au droit à la différence et à l'acceptation du prochain, nonobstant sa conviction religieuse. L'absence d'exemplarité efficiente dans le rang des croyants chrétiens et musulmans a été une cause d'étonnement pour le président du Mouvement Chrétien pour Changer le monde. Quant au professeur Albert Gandonou, il s'étonne que les Croyants supposés avoir un idéal de vie cadrée sur Dieu, source d'amour et de paix, soient les vecteurs de guerres au point de s'exclure mutuellement. Paterne Sosie Lin Zinsou, président du Haut conseil national du GMRP précisant le double objectif de la présente assemblée, a dit qu'elle vise d'abord la mise en valeur de la sagesse des leaders spirituels pour renforcer le cadre institutionnel de dialogue et d'échanges, puis à insuffler une nouvelle dynamique pour un meilleur fonctionnement de l'institution. Il a ajouté que le GMRP veut axer ses activités sur la recherche de la paix au Moyen-Orient et dans les foyers de tensions interreligieux. En conséquence, il fallait créer cette plate-forme aux leaders religieux pour bien mener leurs activités et éviter que ces confessions religieuses s'entre-déchirent, et soient elles-mêmes, à la base des conflits dans le monde. bibo:pages 16 -- o:id 7324 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7324 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7338 26585 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cfa03ba5898eb8df31e28dd91934ce8fd7426e83.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e97e1d3280168b6aafc9c7098d8e1b90b2fd1559.tiff dcterms:title Fin du mois du Ramadan au Bénin : la communauté musulmane a fêté dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14009 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-10-02 dcterms:identifier iwac-article-0003383 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin a fêté, le mercredi 1er octobre, l’Aïd-el-Fitr, une célébration qui consacre la fin du mois de Ramadan. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin a fêté, le mercredi 1er octobre, l’Aïd-el-Fitr, une célébration qui consacre la fin du mois de Ramadan. Pour célébrer la fin du Ramadan, la cherté de la vie n'a pas émoussé la mobilisation de la communauté musulmane. A Cotonou, ils étaient des milliers à répondre présents, Place Idi, rue SOBETEX PK5 Akpakpa, pour prier en communion et remercier surtout Allah, le Miséricordieux, pour avoir protégé le Bénin des soubresauts socio-politiques qu'entraîne ce contexte économique mondial difficile. Plusieurs personnalités politiques du pays étaient également présentes autour d'El Hadj Ousmane Aboubakar, Imam central de Cotonou, qui a demandé pour la communauté en fête et pour tout le peuple béninois, l'onction de bénédiction pour une vie en harmonie avec les Saintes Ecritures. « j'ai prié pour la nation béninoise, j'ai prié pour que la paix, l'entente, l'harmonie, la fraternité régnent dans le pays », déclare-t-il. L'autorité musulmane a également prié pour le président de la République, Boni Yayi afin que Dieu l'accompagne dans la mission que le peuple lui a confiée. L'Aïd-el-Fitr, appelée « la petite fête » par opposition à la « grande fête » de l'Aïd-el-Kébir (marquée par le sacrifice du mouton) consacre la fin d'une période de jeûne que les musulmans du monde entier observent, suivant les prescriptions du Coran. Le mois de Ramadan est perçu comme une bénédiction où Dieu commande de le suivre et indique que ses fidèles ont en eux leurs prophètes de beaux exemples. Le musulman qui jeûne manifeste ainsi son désir de suivre la tradition des prophètes de l'Islam, modèles de piété pour tout être humain vivant sur terre. « La période de Ramadan est une période qui permet à ceux qui s'écartent de la voie do Dieu, se remettre en cause et de renouer avec les bonnes œuvres et ces bonnes œuvres doivent se poursuivre après le Ramadan », soutient l'Imam central de Cotonou. L'Aïd-el-Fitr commence dans la matinée par un sermon d'une vingtaine de minutes. La journée se prolonge par un repas en famille. Pendant le mois du Ramadan, les musulmans s'abstiennent de boire, de manger, de fumer et d'avoir des relations sexuelles du lever du jour à la tombée de la nuit. Quelques personnalités donnent leurs impressions * Moussa Okanla, ministre des Affaires étrangères «C'est la paix qui est notre grand dividende» « Nous avons prié et demandé que ces prières rejaillissent sur le peuple béninois et son président le docteur Boni Yayi, surtout en ces périodes de turbulences dues aussi bien à des raisons internes qu'internationales. Il faut prier pour que le Bénin ait la paix. Lorsque vous regardez autour de nous, le Bénin se porte mieux que beaucoup de pays dans la sous-région. C'est la paix, c'est la démocratie qui est notre grand dividende. Lorsque nous sortons, c'est cela qu'on nous reconnaît, il faut préserver cette paix ». * Moudjaïdou Soumanou, Conseiller technique au Commerce et à l'industrie du Président de la République « Nous formons une seule communauté » « Vous allez remarquer qu'il y a eu une grande affluence. Je veux saluer vraiment cette grande mobilisation parce que la population a suivi le mot d'ordre du gouvernement qui a fixé pour aujourd'hui la fête du Ramadan. Cela a été un mois d'abstinence, un mois d'endurance, de privatisation. Je pense que tout le peuple béninois, quelle que soit la confession religieuse s'est senti concerné. Je puis vous assurer qu'aujourd'hui au Bénin, nous formons une seule communauté, à voir le nombre de chapelets qui ont défilé, les paniers de fruit qui ont circulé, les cadeaux de sucre et de lait. Je tiens vraiment à saluer cette cohésion nationale ». * Zul Kifl Salami, ancien ministre « Un mois plein de sacrifices et de prières » « La fête du Ramadan, c'est la consécration de 30 jours de jeûne, de sacrifices et d'efforts fournis par les musulmans. C'est l'expression également de la miséricorde divine qui a fait descendre pendant ce mois béni une miséricorde sur les croyants. C'est un mois plein de sacrifices et de prières et nous prions Dieu pour que ces sacrifices rejaillissent sur notre pays en termes de paix, de stabilité et de prospérité ». * Véronique Hatchémé, préfet de l'Atlantique et du littoral « Nous nous sommes associés à la fête » « Après de très durs moments de jeûne passés par nos frères musulmans, il était normal qu'ils viennent rendre grâce à l'Eternel et demander des bénédictions pour eux-mêmes d'abord et pour la nation. Nous nous sommes donc associés à eux pour fêter. » bibo:pages 7 -- o:id 7325 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7325 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7339 26586 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/34a51222054d96cb736352778effd5120e6194ae.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1ba1e15d242febf2a0e69a8adca86dd673c640d1.tiff dcterms:title Colloque international de l'ISESCO : améliorer les conditions de vie des personnes handicapées dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14956 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13589 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/581 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/728 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-09-08 dcterms:identifier iwac-article-0003384 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Faire l’état des lieux sur l’enseignement et l’insertion professionnels des personnes vivant avec un handicap et discuter des actions à entreprendre pour une amélioration de leurs conditions de vie et leur intégration socioprofessionnelle. C’est l’objectif du colloque international organisé par l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ISESCO) sous l’égide de la Commission nationale béninoise pour l’Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). C’est le directeur de cabinet du ministre en charge de la Famille et de l’Enfant, Barogui Chabi Toko qui a procédé au lancement et à la clôture des travaux de ce colloque qui a duré du 1er au 5 septembre dernier à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Faire l’état des lieux sur l’enseignement et l’insertion professionnels des personnes vivant avec un handicap et discuter des actions à entreprendre pour une amélioration de leurs conditions de vie et leur intégration socioprofessionnelle. C’est l’objectif du colloque international organisé par l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ISESCO) sous l’égide de la Commission nationale béninoise pour l’Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). C’est le directeur de cabinet du ministre en charge de la Famille et de l’Enfant, Barogui Chabi Toko qui a procédé au lancement et à la clôture des travaux de ce colloque qui a duré du 1er au 5 septembre dernier à Cotonou. La question de l'enseignement et l'insertion professionnels des personnes aux besoins spécifiques se pose de nos jours en termes d'égalité des chances, de respect des droits de ces derniers, de l'amélioration de leurs conditions de vie et de leur intégration socioprofessionnelle. C'est donc pour corriger le tir que l'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ISESCO) en partenariat avec la Commission nationale béninoise pour l'UNESCO a organisé un colloque international et dont le thème est: « l'enseignement et l'insertion professionnels des catégories aux besoins spécifiques », A l'ouverture des travaux, le secrétaire général de la CNBU, René Ahouansou, a fait remarquer que nous côtoyons tous les jours les risques potentiels du handicap. D'où, pour lui, le besoin de disséminer les résultats de cette rencontre qui permettront de changer notre comportement vis-à-vis des personnes aux besoins spécifiques. Abondant dans le même sens, la représentante de l'ISESCO, Mariama Niang, a indiqué que son institution ne ménagera aucun effort pour assurer l'éducation pour tous, en l'occurrence, celle des personnes handicapées. Selon elle, le droit à l'éducation, à la formation et au travail fait intégralement partie do la vie et de la dignité humaine dans toutes les sociétés. En ouvrant le colloque le lundi 1er septembre dernier, le directeur de cabinet du ministre de la Famille et de l'Enfant, Barogui Chabi Toko a souligné que cet atelier s'inscrit dans les objectifs du gouvernement qui est d'assurer une éducation de qualité à tous les citoyens. Après l'ouverture officielle des assisses, place a été laissée aux travaux proprement dits. Les vingt-sept participants venus de sept pays d'Afrique à savoir le Togo, le Maroc, la Tunisie, le Cameroun, le Gabon, la Côte-Ivoire et le Bénin, ont évolué dans le programme du colloque notamment avec le bal des communications. L'honneur est revenu à Mario Niang de présenter la première communication qui a fait l'historique de l'ISESCO, sa mission, scs objectifs et scs réalisations dans le domaine de la prise en charge des personnes handicapées. Intervenant à la suite de Mariama Niang, Begdouri, expert de l'ISESCO, a présente les orientations méthodologiques du colloque. Après ces deux communications, il est revenu à chaque Fiat participant de faire l'état des lieux, et de présenter le bilan des actions menées dans son pays dans le cadre de l'enseignement et l'insertion professionnels des catégories aux besoins spécifiques. Ces différents exposés ont permis de constater que les obstacles liés à la prise en charge des personnes vivant avec un handicap varient très peu d'un Etat à un autre dans les pays subsahariens. Espoir permis Au terme des cinq jours d'assises, les participants ont fait des recommandations tant à l'endroit de l'ISESCO que des Etats membres. Au nombre de quatorze au total, celles-ci visent à accorder une bouffée d'oxygène aux personnes vivant avec un handicap. Le colloque de Cotonou recommande entre autres, à l'ISESCO d'apporter un appui multiforme aux associations et ONG œuvrant pour l'enseignement et l'insertion professionnels des personnes porteuses de handicap dans le renforcement de leurs capacités et d'aider les Etats dans l'élaboration des politiques nationales et plans d'actions on faveur de cette frange. A l'endroit des Etats, les participants recommandent la signature et la ratification, pour les pays qui ne l'ont pas encore fait, de la convention et du protocole facultatif relatifs aux droits des personnes handicapées, et l'élaboration d'une véritable politique nationale qui prend en compte l'approche multisectorielle de prise en charge des stratégies dont le financement est intégré dans le budget de l'Etat. Pour les participants, les personnes vivant avec un handicap ont aujourd'hui besoin d'une action concrète et non des lois bien faites mais qu'on n'applique pas. A la clôture des travaux vendredis septembre dernier, Barogui Chabi Toko a rassuré tous les participants de ce que le gouvernement béninois ne marchandera pas sa collaboration avec ses pairs de la sous-région pour mettre en application les recommandations et les propositions issues de colloque en vue de l'amélioration des conditions de vie des personnes porteuses de handicap. Un engagement qui a été salué par la représentante de l'ISESCO, Mariama Niang et le secrétaire général de la CNBU, René Ahouansou bibo:pages 10 -- o:id 7326 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7326 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7340 26587 26588 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0b0f50768b6456073c776272340987f93c554e5d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b9b1bea7c79c24bdfedd85705cce968f0697404d.tiff https://islam.zmo.de/files/original/26885576f4cd748f3bfb6e04d69341aabbb37c12.tiff dcterms:title Pour apaiser les tensions socio-politiques : des confessions religieuses entrent dans la danse dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1986 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-08-25 dcterms:identifier iwac-article-0003385 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les membres du Cadre de Concertation des Confessions religieuses (CCCR) étaient en conclave, vendredi 22 août dernier à l’Eglise protestante méthodiste Béthel de Guinkomey à Cotonou. A l’issue de leur rencontre, ils ont fait une déclaration sur la crise socio-politique qui secoue présentement le Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les membres du Cadre de Concertation des Confessions religieuses (CCCR) étaient en conclave, vendredi 22 août dernier à l'Eglise protestante méthodiste Béthel de Guinkomey à Cotonou. A l'issue de leur rencontre, ils ont fait une déclaration sur la crise socio-politique qui secoue présentement le Bénin. La situation que le Bénin traverse actuellement préoccupe le Cadre de concertation des Confessions religieuses (CCCR) et son président, le Révérend Pasteur Simon K. Dossou. C'est la raison pour laquelle, à l'issue de ses travaux, il a rendu publique une déclaration par le biais de son porte-parole, le pasteur Michel Alokpo. Pour ce dernier, la période de crise sans précédent que traverse la classe politique béninoise depuis plusieurs mois, n'honore pas notre démocratie. Selon lui, cette situation est marquée par un affrontement ouvert lié surtout à la mauvaise organisation des dernières élections locales, communales et municipales. Il en résulte que certains Conseils communaux n'ont pu être installés. A cela, il a ajouté le fait que la représentation nationale soit devenue ces derniers jours, le champ privilégié d'une crise qui ne cesse de perdurer. De même, les mouvements de grèves se multiplient et s'intensifient avec pour conséquence, fera-t-il remarquer, la baisse de la production nationale dans tous les secteurs d'activités, et un émoussement progressif de la conscience professionnelle. Le CCCR a alors invité le gouvernement, toute la classe politique béninoise et les Organisations de la Société civile, à la modération, au patriotisme et à privilégier le dialogue et la concertation, il les a appelés à plus de responsabilité afin d'éviter à notre pays les affres de la division et de l'instabilité. Le gouvernement a été exhorté à poursuivre ses efforts ainsi que ses grands travaux pour le développement économique et social de notre pays. Il a également été encouragé, pour tout ce qu'il fait avec l'appui des partenaires au développement, pour atténuer les effets de la crise et les souffrances des populations. Le CCCR a enfin demandé à tous ses membres, chrétiens, musulmans et pratiquants des religions endogènes d'organiser des séances de jeûnes et de prières pour le pays. bibo:pages 1 3 -- o:id 7327 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7327 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7341 26589 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/733a91cb78479075c692fd2e5fa55b0e41433bb4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d65053a4ee7383ea3947f65db9b12b86fef4c0e0.tiff dcterms:title Protection de la côte béninoise : le Fonds saoudien de développement boucle le financement dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/774 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14612 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13020 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-06-30 dcterms:identifier iwac-article-0003386 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Par un accord signe samedi 28 juin dernier, le Fonds saoudien de développement (FSD) représenté par son vice-président M. Yousef Ibrahim Al Bassam, accorde à la République du Bénin un prêt de six milliards de F CFA, destiné au financement du projet de la protection de la côte de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Par un accord signe samedi 28 juin dernier, le Fonds saoudien de développement (FSD) représenté par son vice-président M. Yousef Ibrahim Al Bassam, accorde à la République du Bénin un prêt de six milliards de F CFA, destiné au financement du projet de la protection de la côte de Cotonou. Fa réalisation de ce projet contribuera à freiner l'érosion côtière par la construction de sept épis en rochers pour protéger les 7,5 km de côte à l'est du Port de Cotonou et les zones urbaines avoisinantes contre l'érosion maritime, et induire par conséquent l'ensablement des cellules de plage pour la promotion du secteur touristique. "La signature de cet accord de prêt marque le début de la coopération entre le FSD et la et le Bénin. "Ce qui démontre la volonté du gouvernement du Royaume d'Arabie Saoudite d'élargir le domaine de son aide, pour soutenir le progrès et la prospérité du peuple béninois", a indique le ministre de l'Economic et des Finances par intérim, M. Issa Démonlé Moko. Ce projet de protection de la côte estimé à 32,5 milliards de Francs Cfa, est cofinancé par le Fonds koweïtien de développement économique arabe, la Banque arabe de développement en Afrique, la Banque islamique de développement, le Fonds de l'OPEP et le gouvernement du Bénin. ABP bibo:pages 3 -- o:id 7328 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7328 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7342 26590 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8c8455d6e2099f063a31e89dc367b3862d752ef8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5a51175865ad3f9356a95acad083fe49b28ebd82.tiff dcterms:title Coopération Bénin monde arabe : Kogui N'Douro reçoit le président mondial des Banques islamiques dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1948 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1398 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12875 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-05-28 dcterms:identifier iwac-article-0003387 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Assurant l'intérim du président de la République, Kogui N'Douro, ministre d'Etat chargé de la Défense nationale a reçu dans la matinée d'hier, mardi 27 mai, dans son cabinet, Sheick Saleh Kamel, président de la Chambre Islamique et président mondial des Banques islamiques. Ce dernier est venu au Bénin dans le cadre du centenaire de la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Assurant l'intérim du président de la République, Kogui N'Douro, ministre d'Etat chargé de la Défense nationale a reçu dans la matinée d'hier, mardi 27 mai, dans son cabinet, Sheick Saleh Kamel, président de la Chambre Islamique et président mondial des Banques islamiques. Ce dernier est venu au Bénin dans le cadre du centenaire de la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin. Pour la circonstance, le ministre d'Etat chargé de la Défense nationale était entouré de Soulé Mana Lawani, ministre de l'Economie et des Finances et d'Ataou Soufiano, président de la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin (CCIB). Comment établir de bonnes relations avec le monde arabe dans le domaine économique soutenu par des plans bien étudiés ? Tel était le menu des échanges. Car, rien ne peut être réalise et bien fait dans l'improvisation et sans un minimum d'organisation. Le Développement de tout pays doit commencer par l'attirance des investisseurs. Autrement dit, la présence des investisseurs détermine la viabilité et la vitalité de l'économie d'un pays. Mais aucun investisseur ne peut s'installer sans une étude approfondie des réalités du pays d'accueil. Poursuivant sa déclaration à la presse, le président mondial des Banques islamiques Sheick Saleh Kamel a indiqué que le Bénin bénéficie d'un certain nombre d'atouts comme la stabilité politique, la position géographique et la présence non négligeable de musulmans. Ce sont donc des avantages dont dispose le Bénin. Lesquels avantages lui permettront de profiter du monde arabe pour son développement. Il s'agira pour lui de faire du Bénin, un modèle des pays bénéficiant des investissements extérieurs. Parallèlement à cette visite et en sa qualité de ministre de la Défense nationale, Kogui N'Douro a reçu Geng Wenbing, le nouvel ambassadeur de Chine près le Bénin. Pour sa part, Geng Wenbing a déclaré que sa visite s'inscrit dans le cadre d'une série de visites entamées depuis son accréditation au Bénin pour une coopération plus accrue entre les deux pays. Il a promis œuvrer pour le renforcement de la coopération dans plusieurs domaines dont le commerce, la santé, le transport et l'urbanisme entre les deux pays. bibo:pages 3 -- o:id 7329 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7329 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7343 26591 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4f17af16741a13de2fb6315fb352e5033155784e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/678ac16357299a9f0329e103bb66bdce3e1dcc49.tiff dcterms:title 11e sommet de l'OCI : un tournant décisif dans la vie de l'organisation dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15401 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14659 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-03-17 dcterms:identifier iwac-article-0003388 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les travaux du 11e sommet des chefs d'Etat, de gouvernement, rois et souverains des Etats de l'Organisation de la conférence islamique (OCI) ont pris fin vendredi dernier à Dakar au Sénégal. Un sommet qui marque un tournant décisif dans la vie de l'organisation au regard des décisions qui l'ont sanctionné. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/407 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les travaux du 11e sommet des chefs d'Etat, de gouvernement, rois et souverains des Etats de l'Organisation de la conférence islamique (OCI) ont pris fin vendredi dernier à Dakar au Sénégal. Un sommet qui marque un tournant décisif dans la vie de l'organisation au regard des décisions qui l'ont sanctionné. Le sommet de Dakar intervient après la session extraordinaire de l'OCI tenue à Makkah en 2005. Un sommet qui avait en effet adopté le plan d'action décennal de l'organisation. Le sommet de Dakar s'inscrit dans le prolongement de celui de Makkah puisqu'il a permis de repréciser les lignes directrices de ce programme d'action décennal. Selon la déclaration de Dakar lue à la fin des travaux par le ministre sénégalais des Affaires étrangères Cheick Tidiane Gadio, les Etats de l'OCI ont défini les nouvelles orientations qu'il convient de donner à l'organisation à travers des actions et projets concrets dont la finalité est de lutter contre la pauvreté dans les Etats membres et de renforcer la paix dans le monde. Ainsi, au plan economique, le sommet a pris une décision en faveur de l'allègement par les pays donateurs des dettes bilaterales et multilatérales des pays africains à faibles revenus. La situation de l'Afrique a suscité un élan de solidarité du reste des membres de la oummah islamique qui ont décidé d'accorder une urgence à la mise en œuvre des dispositions du plan d'action décennal notamment celles relatives à " l'appui au développement et à la lutte contre la pauvreté en Afrique Un fonds de solidarité islamique et de lutte contre la pauvreté a été mis en place au sein de la Banque islamique de développement (BID) et sera alimenté à hauteur de dix milliards de dollars au moins pour aider à la réduction de la pauvreté. Au plan politique, le sommet a réaffirmé sa détermination à combattre le terrorisme sous toutes ses formes, car il constitue selon l'OCI, " un phénomène mondial qui n'est lié à aucune religion, race, couleur ou pays L'adoption à l'unanimité de la charte révisée de l'organisation constitue un des résultats importants des assises de Dakar. Cette charte est le reflet des aspirations de la oummah islamique et exprime les nouvelles visions de la communauté musulmane face aux défis du 21e siècle. Dans son discours de clôture et à l'occasion de la conférence de presse qu'il a animée à la fin des travaux, Abdoulaye Wade, président en exercice de l'OCI, a indiqué les priorités qui seront les siennes durant son mandat de trois ans. " Ma priorité sera la Palestine et l'extinction de tous les foyers de tension dans les Etats membres", a-t-il précisé. Il se propose de jouer les médiateurs dans la crise qui oppose l'Israël à la Palestine. Face à la montée de l'islamophobie dans certains pays européens, il propose de ne pas répondre à la provocation mais plutôt de montrer les vraies valeurs de l'islam à travers des actes de solidarité et de promotion de la paix dans le monde. Pour mener à bien sa mission, Abdoulaye Wade mettra sur pied une commission de conseillers qui l'assistera durant tout son mandat Au plan économique, le président en exercice de l'OCI se propose de mettre un accent particulier sur la coopération entre les Etats membres. C'est pourquoi il a appelé le secteur privé des pays de l'OCI à investir en Afrique qui constitue selon lui, le continent de demain où le risque politique n'existe plus, Le partage du savoir et du savoir faire occupera aussi une place de choix dans ses actions à travers la mise à disposition des pays des bourses pour le renforcement des capacités des ressources humaines. Autant d'ambitions qui témoignent de la volonté de Wade de donner un autre visage à l'OCI. bibo:pages 16 -- o:id 7344 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7344 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7350 26592 26593 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cced8a800002836258eab8e30aba68b45271588f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4c7ca8a28b8a222bdaaf2431a873d03a29be5b1d.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ee3a4ab2ffce0459d29831c592891dc450b451bb.tiff dcterms:title Fête du Maouloud : la communauté musulmane de Cotonou a sacrifié à la tradition dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-03-01 dcterms:identifier iwac-article-0003389 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Tout comme les musulmans du Bénin et du monde entier, la communauté islamique de Cotonou a commémoré, vendredi 26 février dernier, la fête du Maouloud consacrant le jour anniversaire et de baptême du prophète Mahomet. Tout comme les années précédentes, elle s'est retrouvée à la mosquée centrale de Joncquet pour célébrer les manifestations marquant cette fête. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Tout comme les musulmans du Bénin et du monde entier, la communauté islamique de Cotonou a commémoré, vendredi 26 février dernier, la fête du Maouloud consacrant le jour anniversaire et de baptême du prophète Mahomet. Tout comme les années précédentes, elle s'est retrouvée à la mosquée centrale de Joncquet pour célébrer les manifestations marquant cette fête. La fête du Maouloud est commémorée Ie 12è jour du troisième mois de l’année lunaire. Elle représente pour les fidèles musulmans le jour de l’anniversaire et de baptême du prophète Mahomet. En d'autres termes, c’est ce jour que le bon Dieu a donné le prophète Mahomet aux musulmans. Celui qui les a sortis du mauvais chemin pour les remettre sur la voie divine. A la mosquée centrale de Joncquet à Cotonou, le programme des manifestations a été essentiellement marqué par une cérémonie de louanges au prophète Mahomet. Des représentants de la majorité des mosquées de Cotonou se sont retrouvés dans la matinée du vendredi 26 février dernier pour implorer Dieu et louer les bienfaits du prophète Mahomet. Au cours de cette manifestation, l’histoire, la vie et les réalisations de celui-ci ont été expliquées. Une prière a été ensuite dite pour toute la communauté musulmane du Bénin et toute la nation béninoise. Ces manifestations ont été dirigées par l’imam de la mosquée centrale de Joncquet, Ousmane Ibrahim. Seulement, le constat qui est fait est que cette fête n’a pas suscité la même ferveur populaire au niveau de la communauté islamique de Cotonou comme ce fut le cas lors des autres fêtes en l’occurrence le Ramadan et la Tabaski. Vendredi dernier, dans les mosquées tout comme dans les maisons, il n’y avait aucune ambiance particulière pour annoncer cette fête pour laquelle, la journée a été chômée et payée sur toute l’étendue du territoire national. Pour l’imam Ousmane Ibrahim, cette indifférence se justifie par le fait que la fête du Maouloud n’est pas suivie de prière comme le Ramadan et la Tabaski. Elle ne vient pas à la suite d’un acte religieux contrairement au Ramadan et la Tabaski. La fête de Ramadan par exemple vient 30 jours après le jeûne musulman. « Ici, il s’agit tout juste d’un anniversaire pour lequel, on n’oblige pas les fidèles à venir forcément prier à la mosquée », a expliqué l’imam de la mosquée centrale de Joncquet. Il faut noter que la fête du Maouloud est l'équivalent de la fête de Noël, la naissance de Jésus-Christ, pour les chrétiens. bibo:pages 1 3 -- o:id 7345 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7345 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7351 26594 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/21454c13956d33ade4037317677bc32cc0f58908.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1009e984314c80733e4d5bf0ce4605480369a06d.tiff dcterms:title Audiences du chef de l'Etat : échanges autour du Hadj 2009 et du déménagement de la Cour suprême dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13235 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-10-02 dcterms:identifier iwac-article-0003390 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'après-midi du mercredi 30 septembre dernier n’a pas été de tout repos pour le chef de l’Etat, le président Boni Yayi. Plusieurs délégations étaient à son cabinet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'après-midi du mercredi 30 septembre dernier n’a pas été de tout repos pour le chef de l’Etat, le président Boni Yayi. Plusieurs délégations étaient à son cabinet. Outre le Haut commissaire aux pèlerinages, Raphiou Toukourou, plusieurs délégations, au nombre desquelles, celle conduite par le président de la Cour suprême, Aboudou Saliou, ont été reçues par le président de la République, Boni Yayi. Divers sujets étaient au centre des échanges qu’elles ont eus avec lui. Depuis bientôt deux mois, a expliqué le président Aboudou Saliou, la Cour suprême qu’il préside, est en train de déménager pour occuper son nouveau siège à Porto-Novo. Seulement, a-t-il poursuivi, il y a encore quelques problèmes qui bloquent le bon déroulement du processus. C’est de ces difficultés, que cette délégation conduite par le président Aboudou Saliou, a bien voulu entretenir le chef de l’Etat. Rappelons que ce dernier les avait déjà reçus le mardi 29 septembre dernier, avant de les rencontrer à nouveau avec le ministre de l’Economie et ses collaborateurs, afin de voir comment les satisfaire. Des instructions ont été données par le chef de l’Etat et à en croire Aboudou Saliou, le transfert de son institution à son nouveau siège, sera effectif et elle sera fonctionnelle avant la fin de l’année. Avant lui, c’est le Haut commissaire aux Pèlerinages, Raphiou Toukourou, qui a été reçu par le président de la République, Boni Yayi. Par rapport au bien fondé de sa nomination, il a indiqué que c’est conscient des difficultés que rencontrent les pèlerins dans le cadre du hadj à la Mecque, que le chef de l’Etat a bien voulu lui faire confiance en le nommant à ce poste, afin que l’on ne confonde plus vitesse et précipitation. Dans les tout prochains jours, a-t-il fait remarquer, ii se rendra en Arabie Saoudite, pour négocier la possibilité pour que le Consulat de ce pays soit installé au Bénin. Ce sera pour faciliter l’obtention de visa d’entrée en Arabie Saoudite, aux pèlerins musulmans béninois. Par rapport aux plaintes formulées par certains convoyeurs qui n’auraient pas été associés à la désignation des transporteurs, Raphiou Toukourou a estimé que cette situation est parfaitement gérable. L’essentiel, selon lui, c’est que les pèlerins béninois puissent voyager dans des conditions acceptables. bibo:pages 12 -- o:id 7346 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7346 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7352 26595 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1186008888b0f9d7a556fe62eca29324ff047ba4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/fdab699254e056376be27c92a299cd05494cac60.tiff dcterms:title Séance d'échanges à Radio Maranatha et LC2 Parakou : le dialogue interreligieux et le respect du cahier des charges au menu dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/775 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-09-25 dcterms:identifier iwac-article-0003391 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le vice-président de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication Edouard Loko a conduit une délégation de l’institution dans les locaux de Radio Maranatha et de LC2 basés à Parakou, jeudi 24 septembre dernier. C’est respectivement Louis Togo et Rodrigue Azinnongbé qui ont présenté les institutions visitées et répondu aux préoccupations de l’institution de régulation des médias au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le vice-président de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication Edouard Loko a conduit une délégation de l’institution dans les locaux de Radio Maranatha et de LC2 basés à Parakou, jeudi 24 septembre dernier. C’est respectivement Louis Togo et Rodrigue Azinnongbé qui ont présenté les institutions visitées et répondu aux préoccupations de l’institution de régulation des médias au Bénin. Il n’y a pas si longtemps, Radio Maranatha a diffusé ou relayé une émission qui faisait entorse aux règles du Code de déontologie. Son directeur, Louis Togo, a reconnu face aux conseillers de la HAAC qui étaient en tournée d’échanges et de prise de contact, que la bavure lui était imputable du fait d'une malencontreuse manipulation qui lui a fait diffuser toute l’émission au lieu de l’élément nettoyé qui devrait normalement l’être. Il a également exposé les gardes-fous qu'il mettait dans le travail de diffusion. Edouard Loko a rappelé que la radio ne doit en aucune manière être une source de trouble à l’ordre public. A sa suite, les conseillers, à l’unanimité ont rappelé et exigé le respect des règles professionnelles. Ils ont également témoigné pour les uns, présumé pour les autres de la preuve de l’attachement du directeur de Radio Maranatha au respect desdites règles. Par la suite, au siège de LC2 Parakou, Edouard Loko a exposé l’objet de leur visite relative à une interruption des émissions de cette chaîne à Parakou dont l'antenne régionale de l’institution n’a pas été informée. Une formalité contenue dans les cahiers des charges. C’est Rodrigue Azinnongbé qui a guidé les conseillers dans ses locaux après leur avoir expliqué que ladite interruption des émissions de La Chaîne 2 était due à une panne survenue sur les équipements de la fibre optique de Bénin Télécoms SA. « LC2 Parakou est entrée dans les habitudes et il est inconcevable qu’elle interrompe ses émissions sans s’en référer à l’institution. », a insisté le vice-président. Pour Victorin Agbonon, la fréquence est aujourd’hui une denrée rare. Si quelqu’un en reçoit l’attribution, il faut qu’il sache l’utiliser, car d’autres attendent. Son interlocuteur a pris des engagements pour éviter à l’avenir une telle légèreté. bibo:pages 10 -- o:id 7347 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7347 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7353 26596 26597 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/10f381b598ac9c4ca7922e63c06af85cd3ed986d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/aa28c8bd96af47a171c9a801721320a1cbc96058.tiff https://islam.zmo.de/files/original/9cdc8c879372ba9cdd6dc57c2008833cce5ffe6f.tiff dcterms:title Fête de ramadan à Cotonou : les musulmans ont sacrifié à la tradition de l'Aïd El-Fitr dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15076 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1956 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15069 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-09-22 dcterms:identifier iwac-article-0003392 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au terme de 30 jours de carême, les musulmans du Bénin ont célébré, dimanche 20 septembre dernier, la fête du ramadan. A Cotonou, la grande prière marquant cette fête s’est déroulée à la place Idi sous la direction de l’imam de la mosquée centrale de Cotonou, El-Hadj Ibrahim Aboubakar. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au terme de 30 jours de carême, les musulmans du Bénin ont célébré, dimanche 20 septembre dernier, la fête du ramadan. A Cotonou, la grande prière marquant cette fête s’est déroulée à la place Idi sous la direction de l’imam de la mosquée centrale de Cotonou, El-Hadj Ibrahim Aboubakar. « Nous devons avoir conscience que c’est ensemble que nous allons construire cette nation et c’est ensemble que toutes les communautés dans leurs différences vont pouvoir s’unir pour construire cette nation. C’est donc le lieu de prière, de paix et de bonheur pour chacun de nous tous ». Ainsi s’est exprimé Grégoire Akofodji, ministre de l’AgricuIture, de l'Elevage et de la Pêche, à l'occasion de la grande prière marquant la célébration de la fête du ramadan. Au nom du chef de l’Etat, il a exprimé à la communauté musulmane tous ses vœux de paix, d’union et de bien-être. « Il est important que nous nous retrouvions tous autant que nous sommes, quelle que soit notre confession religieuse pour travailler ensemble », a-t-il souligné, arguant que l’union fait la force. C’est également dans l’unité, à son avis que l'on peut construire durablement notre pays. « Qu’AIlah Tout Puissant nous comble de ses bénédictions et que nous puissions connaître un ramadan heureux pour chacun de nous, porteur de paix, de joie et d’unité pour notre nation », ajoute-t-il. Ce soutien du gouvernement a été apprécié par la communauté musulmane. Un des dignitaires de la mosquée centrale de Cotonou, Fatoké Mouftaou a, au nom de la communauté, remercié le gouvernement pour avoir dépêché une délégation à cette prière. Le ministre Grégoire Akofodji a été invité à transmettre au gouvernement les salutations et les amitiés de la communauté musulmane. Il a enfin prié Dieu Tout Puissant d’aider le gouvernement à préserver la paix dans le pays. Selon l'imam de la mosquée centrale de Cotonou, Ibrahim Aboubacar, la fête de ramadan est un grand jour pour les musulmans. C’est le lieu de prier Dieu afin que tous les vœux formulés à nos familles, à notre pays et à la nation pendant le mois de jeûne passé, soient exaucés. « Que le gouvernement actuel ait la paix, l’harmonie, la fraternité pour que l’émergence du Bénin se fasse par la grâce de Dieu Tout Puissant », souhaite-t-il. Pour Moussa Okanla, ancien ministre des Affaires étrangères, le jeûne du ramadan est l’un des cinq piliers de l’islam. C’est aussi chaque année, indique-t-il, une période de communion, de sacrifice et de renforcement de la foi de tout musulman. « C’est donc une période extrêmement très importante de retour en soi. Ce qui est encore important est que nous sommes dans un pays de paix où chacun peut exprimer sa foi, et le pouvoir en place en est conscient », a-t-il précisé. Il a souhaité que les prochaines échéances électorales se déroulent dans la paix, la compréhension et la tolérance. Il a saisi l’occasion pour souhaiter bonne fête de ramadan à toute la communauté béninoise et à tous les musulmans. Selon les explications d'El-hadj Tidjani Adamou Traoré, dans son sermon, l’imam a spécifié l’importance, l’historique du mois de ramadan et le sens sacré de cette célébration. A l'en croire les propos de l’iman, à travers les versets du coran cités, demandent à tous de pratiquer le jeûne comme les anciennes communautés l’ont pratiqué. Il a enfin souhaité que la paix règne dans notre pays et que prédomine une certaine convivialité au sein de toute la communauté béninoise. bibo:pages 1 12 -- o:id 7348 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7348 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7354 26598 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2b2437f2712ca9fae156f13897333801afa9c375.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ea741ae6a66c9398beda8d2e186c8304817b6790.tiff dcterms:title Ramadan au Bénin : le gouvernement apporte son appui aux musulmans dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1941 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1613 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-09-14 dcterms:identifier iwac-article-0003393 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Afin d’apporter son soutien aux musulmans en carême en ce mois de ramadan, le gouvernement leur a offert des vivres. La cérémonie de remise du don s’est déroulée vendredi 11 septembre dernier au Palais des congrès à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Afin d’apporter son soutien aux musulmans en carême en ce mois de ramadan, le gouvernement leur a offert des vivres. La cérémonie de remise du don s’est déroulée vendredi 11 septembre dernier au Palais des congrès à Cotonou. D’un coût global de 500.000.000 FCFA, ce don est composé de 1.150 cartons de sucre ; de 1.640 cartons de lait ; de 1.140 bidons d’huile ; et de 1.150 sacs de riz. Selon Zakary Baba Body, ministre chargé des Relations avec les Institutions (MCRI), ce geste du gouvernement permet d’alléger les peines des religieux qui sont en carême et qui prient pour la paix au Bénin. Ce don doit être distribué à toutes les composantes de la société musulmane dans les 77 communes du Bénin, souligne-t-il. Il s’agit d’une œuvre sociale de partage de la prospérité qui répond à la philosophie du chef de l’Etat, Boni Yayi, président de la République, a-t-il déclaré, avant de préciser que le Bénin est un pays laïc. Il a souhaité à tous, l’esprit de compréhension et d’amour. Le représentant de l’Union islamique du Bénin, Abou Yèkini, a remercié le gouvernement pour son geste d’amour et a rassuré que, mieux que par le passé, ces vivres seront judicieusement acheminés à tous les ayant droits. bibo:pages 12 -- o:id 7349 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7349 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7355 26599 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a347faf616f7514b1058394d45bd4a3aec5c4773.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d0ce86c799f76ddd96e71707b8e8482313261ff9.tiff dcterms:title Ramadan : comment éviter l'intoxication alimentaire dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-09-02 dcterms:identifier iwac-article-0003394 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Ramadan est le 9e mois du calendrier musulman, c’est-à-dire dans le monde arabe bien avant l'arrivée de l'Islam. Il est le 4e des 5 piliers de l'Islam. Au cours de ce mois, l’événement le plus important est le jeûne. Ce dernier est obligatoire aux musulmans qui ne doivent pas manger, ni boire, ni entretenir des relations sexuelles de l'aube jusqu'au crépuscule. Mais quel type d'aliments prendre pour ne être victime d’une intoxication alimentaire. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13417 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Ramadan est le 9e mois du calendrier musulman, c’est-à-dire dans le monde arabe bien avant l'arrivée de l'Islam. Il est le 4e des 5 piliers de l'Islam. Au cours de ce mois, l’événement le plus important est le jeûne. Ce dernier est obligatoire aux musulmans qui ne doivent pas manger, ni boire, ni entretenir des relations sexuelles de l'aube jusqu'au crépuscule. Mais quel type d'aliments prendre pour ne être victime d’une intoxication alimentaire. Le musulman est soumis au cours du jeûne à trois repas comme tout être humain dans la journée. À la différence des non-musulmans; mange avant le lever et après le coucher du soleil. Ainsi il est soumis à trois repas : le repas de la rupture du jeûne, le repas d’après le jeûne et le repas qui précède le jeûne. Le manque d'hygiène conduit inexorablement à une augmentation du nombre de micro-organismes dans les repas que nous consommons, donc à une plus grande quantité de microorganismes pathogènes. La consommation de ces repas quel que soit le moment a deux conséquences possibles. Il s’agit de l'intoxication alimentaire ou l’empoisonnement due à des toxines produites par les bactéries pendant la préparation du repas et de l’intoxication alimentaire due aux bactéries qui ont survécu aux traitements et sont ingérées dans l'organisme. Elles se multiplient ensuite en produisant des toxines. La virulence de ces bactéries et le rôle du terrain sont des composantes de ces intoxications. Ce qui explique pourquoi les personnes fragiles en sont le plus souvent victimes. Ainsi tout musulman, après la rupture du jeûne, peut s'offrir des repas de qualité. Le premier repas, celui de la rupture du jeûne doit être particulièrement sucré pour sustenter l'organisme et le nourrir rapidement pour récupérer les pertes de calories de la journée. Il se compose généralement de dattes, de noix et de boissons chaudes (thé ou café généralement), des fruits, nécessaires pour réhydrater le corps. Ce repas ne doit pas être surchargé. Il doit juste apaiser les sensations de soif et de faim. Ensuite, le deuxième repas doit être généralement pris 2 ou 3 heures après la rupture de jeûne. Il ne doit pas être très lourd, contrairement à ce qui est pratiqué, la plupart du temps par certains. Non seulement parce que, ce qui est mangé à cette heure n'est pas assimilé, mais reste stocké. Si ce repas est trop lourd, la sensation de faim ne se fera pas sentir au matin et pourrait faire sauter le petit-déjeûner précédant le jeûne journalier. Bouillon de légumes, poisson et viande sont à privilégier au cours de ce repas. Enfin, le troisième repas précède le jeûne. C’est l’un des repas, si ce n'est le plus important. C’est là que l’organisme va pouvoir puiser toute l’énergie nécessaire pour tenir toute la journée, a expliqué Liamidi Ad Souley, un musulman demeurant à Vodjè. Même s'il est difficile pour soi d’être matinal, il ne faut pas négliger ce repas où, cette fois-ci, tout est possible : fromages, viandes, féculents, sucres. Ce repas doit être solide. C’est la que les réserves en eau vont également pouvoir être constituées pour éviter la déshydratation, a souligné Liamidi ad Souley. Ce repas doit être de qualité pour éviter l’intoxication alimentaire. « Ce n’est pas parce que nous ne mangeons pas dans la journée à cause du carême que nous allons prendre n’importe quoi après le jeûne. Nous devons manger qualité pour ne pas nous intoxiquer », a indiqué Boukary Alédji, transporteur. bibo:pages 5 -- o:id 7356 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7356 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7370 26600 26601 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ed108667e6084aa382b3e215315e0048e863ef3c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/dfdf29f164e4222d5d45bef188a9e318aa87ca93.tiff https://islam.zmo.de/files/original/5a84ceb06c056a6c981a25191e8a9bc4be078e3b.tiff dcterms:title Visite du premier ministre koweitien au Bénin : pour le renforcement de l'axe Koweït City-Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-07-16 dcterms:identifier iwac-article-0003395 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le premier ministre, chef du gouvernement koweitien, Son Altesse Cheikh Nasser Mohammed Al-Jaber Al-Sabah est à Cotonou depuis hier. Il a été accueilli à l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin par le président Boni Yayi. Une visite qui témoigne de la vitalité et de l’excellence des relations entre les deux pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le premier ministre, chef du gouvernement koweitien, Son Altesse Cheikh Nasser Mohammed Al-Jaber Al-Sabah est à Cotonou depuis hier. Il a été accueilli à l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin par le président Boni Yayi. Une visite qui témoigne de la vitalité et de l’excellence des relations entre les deux pays. C’est exactement à 13h 40 mn que l'avion tout blanc à parement bleu à l'horizontal et frappé de l’inscription State of Koweit s’est immobilisé sur le tarmac de l’aéroport. Au pied de l'appareil, le premier koweitien habillé de la tenue traditionnelle couleur beige a été accueilli par le chef de l’Etat. Haie d’honneur, poignée de mains et présentation des officiels, bain de foule, puis la délégation s’est rendue au salon d’honneur. Là, l'hôte du Bénin a indiqué à la presse que la coopération entre les deux pays est vieille de plusieurs décennies. « Elle date d'avant les indépendances des deux pays », a-t-il précisé avant de remercier le peuple béninois pour le chaleureux accueil à lui réservé. Il a ajouté que cette coopération ira en grandissant comme le démontre la volonté du président Boni Yayi et celle de l’Emir du Koweit. Au cours de son séjour, le premier ministre koweïtien signera avec le gouvernement béninois des accords qui permettront d’élargir le champ de la coopération entre les deux pays dans les domaines culturel et artistique, du transport et d’échange de main-d’œuvre. Il est également prévu des rencontres et échanges avec les plus hautes autorités de l'Etat ainsi qu’avec les milieux d’affaires. Il faut souligner que la visite du président Boni Yayi au Koweit, l’année dernière, a permis aux deux pays de matérialiser leur volonté de coopérer, à travers la signature d’un certain nombre d’accords dans des domaines d’intérêt commun. Il s’agit, entre autres, de l’accord portant création d'une commission mixte de coopération, l'accord pour la promotion et la protection réciproques des investissements ; l’accord de coopération économique et technique ; l’accord commercial ; l’accord de coopération dans le domaine de l’enseignement technique et de la formation professionnelle ; mémorandum d’entente relatif aux consultations bilatérales entre les ministères des Affaires étrangères des deux pays. Au nombre des acquis de cette visite du président Boni Yayi au Koweit, figure l’octroi de bourses de pèlerinage aux musulmans issus de milieux défavorisés et la décision prise par l’Emir du Koweit d’aider le Bénin à faire face à la crise alimentaire en 2008, à travers un don de près de 4.000 tonnes de riz. Le Fonds koweïtien est également présent au Bénin. Il a contribué à financer la réalisation de plusieurs projets surtout dans le secteur routier. On peut citer, entre autres, le projet d’aménagement et de bitumage de la route Comè-Possotomè-Bopa-Zoungbonou, le projet d’aménagement et de bitumage de la route frontière Burkina Faso-Kérémou-Banikoara-Kandi-Ségbana frontière Nigeria, le projet de construction et de bitumage de la route Ndali-Nikki-Tchicandou, projet de protection de la contre l’érosion à Cotonou Les Koweïtiens interviennent aussi au Bénin à travers le secteur privé et les associations caritatives. Des investissements dans divers secteurs sont attendus les jours à venir. bibo:pages 1 12 -- o:id 7357 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7357 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7371 26602 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/29227a6b61b626a6e144f885180ccd524fe038ea.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b9dc2e96186e5470a4c9b9ef3311f65d683b3ea5.tiff dcterms:title Coopération entre le Bénin et l'Arabie Saoudite : le ministre des Affaires étrangères reçoit le Dr Attourky dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15066 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/773 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15443 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-05-04 dcterms:identifier iwac-article-0003396 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans l'après-midi du jeudi 30 avril dernier, le ministre des Affaires étrangères par intérim, Roger Dovonou, a reçu en audience Sa Sainteté le Docteur Abdallah Abdoul Mouhssine Attourky, secrétaire général de la Ligue islamique mondiale arrivée de la Mecque en Arabie Saoudite pour prendre part à une importante rencontre au Bénin sur le dialogue interreligieux. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans l'après-midi du jeudi 30 avril dernier, le ministre des Affaires étrangères par intérim, Roger Dovonou, a reçu en audience Sa Sainteté le Docteur Abdallah Abdoul Mouhssine Attourky, secrétaire général de la Ligue islamique mondiale arrivée de la Mecque en Arabie Saoudite pour prendre part à une importante rencontre au Bénin sur le dialogue interreligieux. Au cours du tête-à-tête qu’il a eu avec le ministre des Affaires étrangères par intérim, le Dr Attourky a saisi l’occasion pour remercier les autorités béninoises pour leur attachement pour les questions d’intérêt islamique. Il assure qu’en Arabie Saoudite, le Bénin a une bonne image. Mieux, il a, au cours de cette audience avec le ministre, profité pour saluer le peuple béninois et son gouvernement pour la coexistence pacifique entre la communauté islamique et les autres communautés religieuses. Il a souhaité que cette symbiose soit davantage renforcée et remercie le Bénin d’avoir accepté d’abriter cette importante réunion de la Ligue islamique mondiale au Bénin. bibo:pages 13 -- o:id 7358 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7358 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7372 26603 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6703ad4b3cd48bfabe042d08315c853f3e482d0e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f66ef83b012f05ae8f93e21d1aac13abef4162e5.tiff dcterms:title Dialogue avec la Communauté musulmane au Centre culturel américain : homme ou femme, chacun a une mission sur terre dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13071 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13941 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-05-05 dcterms:identifier iwac-article-0003397 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Hier lundi 4 mai, l’Imam américain Bakhach Moujahed Mohammad, titulaire d’une Maîtrise en Droit Islamique et en Droit international, a animé une conférence sur le thème « Femme et Islam ». C’est l’ambassadeur des Etats-Unis prés le Bénin qui a introduit le conférencier, en présence des femmes et hommes de la communauté musulmane du Bénin à la bibliothèque du Centre culturel américain. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/353 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Hier lundi 4 mai, l’Imam américain Bakhach Moujahed Mohammad, titulaire d’une Maîtrise en Droit Islamique et en Droit international, a animé une conférence sur le thème « Femme et Islam ». C’est l’ambassadeur des Etats-Unis prés le Bénin qui a introduit le conférencier, en présence des femmes et hommes de la communauté musulmane du Bénin à la bibliothèque du Centre culturel américain. Arrivé au Bénin sur invitation du programme des visiteurs internationaux, l'Imam américain originaire du Liban a ouvert ce rendez-vous du donner et du recevoir, avec ses frères et soeurs du Bénin par une prière. Imam depuis 28 ans aux Etats-Unis, il était important pour lui d’aborder avec ses frères la question de l’Islam en général, puis de l’Islam aux Etats-Unis d’Amérique en particulier, et de la politique de dialogue du gouvernement avec les musulmans, sous la nouvelle administration américaine. Hier soir, l’Imam américain a développé le thème « Femme et Islam ». La question qui revient souvent est pourquoi la femme musulmane doit porter de voile ou combien de fois, il a déjà battu son épouse. Sur la question de femme battue, l’Imam n’a pas fait de commentaire. Pour ce qui est du port de voile, il interroge si on a vu Marie la mère de Jésus tête nue, ou la Mère Thérésa comme d’ailleurs les religieuses en général tête nue. Pour lui, le Coran comme la Bible ont une similitude en ce point, et c’est pourquoi, il pense que la femme, comme l’homme doit être assez responsable. Car, homme ou femme, chacun a une mission sur terre. Il faut, pour ce faire, éduquer les enfants, filles comme garçons, à connaître et comprendre le Coran. Pour Son Excellence Gayleatha B. Brown, aux Etats-Unis, comme au Bénin et partout dans le monde, « il y a une nouvelle énergie à exploiter, de nouveaux emplois à créer, de nouvelles écoles à construire, de nouvelles menaces auxquelles il faudra faire face, et des alliances à reconstruire. » Voilà pourquoi, le président américain avec son équipe chargée de la politique étrangère, y compris les diplomates en ligne de front, a directement impliqué des hommes et des dirigeants à travers le monde et a démontré que les Etats-Unis feront preuve de force, de vision et de respect pour rendre possible le progrès. Notons qu’au cours de son séjour qui dure jusqu’au 8 mai, l’Imam Bakhach Moujahed Mohammad visitera les villes de Cotonou, Porto-Novo, Parakou et Djougou où il animera des conférences publiques et des ateliers. bibo:pages 3 -- o:id 7359 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7359 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7373 26604 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/14823748cb190f62640883453c2f81a5201458b0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8ba30a9f0d8fce3475499caf886d74e3110770c8.tiff dcterms:title Commune de Toviklin : le refus du maire d'autoriser la marche des musulmans dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15233 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-20 dcterms:identifier iwac-article-0003398 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les imams du département du Couffo avec leurs fidèles mobilisés mardi dernier sont restés sur leur soif au sujet de l’autorisation du maire Jean Agbévo qui devait leur donner carte blanche pour la marche pacifique de protestation contre son autorité vendredi dernier. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/474 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/478 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les imams du département du Couffo avec leurs fidèles mobilisés mardi dernier sont restés sur leur soif au sujet de l’autorisation du maire Jean Agbévo qui devait leur donner carte blanche pour la marche pacifique de protestation contre son autorité vendredi dernier. Cette demande précise que la marche pacifique est la manifestation du ras-le-bol des imams du Couffo suite à la confiscation par la mairie, des vivres offerts par le gouvernement aux musulmans pendant le mois de carême. L’imam de la mosquée centrale de Toviklin, El Hadj Choubaï Ahmed, président de l’Union islamique départementale du Couffo, a déclaré vendredi dernier que le maire de Toviklin a bel et bien pris connaissance de leur requête. C'est du moins ce que lui a confié le secrétaire général de la mairie dans la soirée de jeudi dernier. Décidé à agir dans la légalité et à aller au bout de leur lutte, le conseil des imams du Couffo s’est rapproché vendredi dernier de la mairie pour connaître les raisons de la non autorisation de la marche. A la sortie de la mairie, l’imam de la mosquée centrale de Toviklin a dit que rien de concret n’est avancé, mais que le premier adjoint au maire leur a dit d'introduire une autre requête. « Tant que la situation n’est pas décantée, nous ne serons pas fatigués d’agir », a-t-il ajouté. ABP bibo:pages 13 -- o:id 7360 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7360 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7374 26605 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/55bba1dd1f5447dfb60ad78185e67fb1665d5941.pdf https://islam.zmo.de/files/original/18cc376c84e52a554962b12c835066408d011371.tiff dcterms:title Toviklin : des vivres divisent la communauté musulmane dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-17 dcterms:identifier iwac-article-0003399 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A Toviklin le partage, des vivres offerts par le gouvernement pour soutenir les efforts des musulmans pendant le mois béni du ramadan est devenu source de division. Les musulmans répartis en deux communautés (islamique et Hamadiya) ne parviennent toujours pas à accorder leurs violons. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/478 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A Toviklin le partage, des vivres offerts par le gouvernement pour soutenir les efforts des musulmans pendant le mois béni du ramadan est devenu source de division. Les musulmans répartis en deux communautés (islamique et Hamadiya) ne parviennent toujours pas à accorder leurs violons. En effet les responsables de la communauté islamique (majoritaire) refusent qu’une partie de ce don aille à celle dénommée Hamadiya (minoritaire). A l’insu des autorités départementales en charge de la société civile, ils avaient pris, dit-on, depuis trois ans que dure l’expérience, l’habitude d’accaparer la totalité du don sans rien donner aux membres de la communauté Hamadiya. Cette année il a fallu que les musulmans de la communauté hamadiya maugréent pour que le pot aux roses soit découvert. En attendant de définir les modalités de distribution, les vivres sont gardés à la mairie. D’où la colère des responsables de la communauté islamique qui projettent une marche de protestation sur la mairie ce vendredi. Informé, le directeur départemental de la Société civile M. Bachirou Gilles Coffe, s’est indigné du comportement et a dénoncé la « gourmandise des responsables de la communauté islamique ». Le préfet des départements du Mono-Couffo, M. Corentin Kohoué a une position tranchée sur la question. Pour lui, les vivres doivent aller aux deux communautés, pas question qu’une communauté s’en empare. ABP bibo:pages 14 -- o:id 7361 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7361 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7375 26606 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a1d92619a9d1a4be8f0abdcfa2c9eb9357f3f103.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e10e1fa0c6f0917505fef67636a240e5e723bb8e.tiff dcterms:title Audiences au palais de la République : têtes couronnées et dignitaires religieux prônent l'amour et la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15075 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14360 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1983 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14538 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-14 dcterms:identifier iwac-article-0003400 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Plusieurs délégations de têtes couronnées, dignitaires et responsables de confessions religieuses se sont succédé hier lundi 13 septembre au cabinet du chef de l’Etat. Elles ont apporté au président de la République leur message de soutien, d’amour, de paix et surtout de courage dans la gestion de la situation sociopolitique plus ou moins conflictuelle dans le pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14731 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Plusieurs délégations de têtes couronnées, dignitaires et responsables de confessions religieuses se sont succédé hier lundi 13 septembre au cabinet du chef de l’Etat. Elles ont apporté au président de la République leur message de soutien, d’amour, de paix et surtout de courage dans la gestion de la situation sociopolitique plus ou moins conflictuelle dans le pays. Accompagné d’une délégation de hauts dignitaires de son église, le révérend-pasteur Benoît Bennett Akandé Adéogoun, chef mondial de l’Eglise du Christianisme céleste est ailé remercier le chef de l'Etat pour avoir pris part en personne à la cérémonie de son investiture le 4 septembre dernier à Porto-Novo. Le premier responsable de l’église a saisi l’occasion pour informer le président de la République d’une tournée internationale qu’il entreprend très prochainement et qui l’amènera à Londres le 22 septembre et aux Etats-Unis d’Amérique le 26 septembre prochain. Une prière pour le chef de l’Etat et pour la nation toute entière a sanctionné la rencontre. Ensuite, le président national de l’Eglise baptiste du Bénin, le pasteur Pierre Mèdénou-Kinkponwé a conduit une délégation de son église au cabinet du chef de l’Etat. Au-delà des messages de paix et d’amour, la délégation a demandé au président Boni Yayi de s’armer de beaucoup de courage et a exhorté tout le peuple béninois à cultiver la paix, par ces temps de «turbulence» politique à quelques mois des élections présidentielle et législatives de 2011. Des membres du Cadre de concertation des confessions religieuses étaient également au cabinet du chef de l’Etat hier. A leur sortie d'audience, le porte-parole, le pasteur Nicodème Alagbada, 1er vice-président du cadre, a indiqué qu’ils sont allés réitérer au chef de l’Etat, une de leurs doléances, celle de l’installation des démembrements de leur creuset au niveau des structures décentralisées afin de mieux quadriller le pays. Aussi, le cadre en a-t-il profité pour annoncer sa descente prochaine dans les communes, les arrondissements, les villages et quartiers de ville pour prôner la paix: dans tout le pays. Un collectif des chefs de lignée de la dynastie royale d’Abomey a été reçu aussi par le président Boni Yayi. Le collectif a également exhorté le chef de l'Etat au courage dans la gestion de l’affaire ICC-Services et consorts. «C’est de bonne guerre si les choses se passent ainsi, puisqu’on est sur le terrain politique», a affirmé Dah Gbègbémabou Mêlé Glèlè. bibo:pages 3 -- o:id 7362 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7362 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7376 26607 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bf05b8ee956fa5354274e749677efabb143a6fe3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/986fc6b09d0a8c7dd1ec49b4202f25991e2bbef9.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd-el fitr : la communauté musulmane prêche pour la paix à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1956 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13830 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003401 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après trente jours de jeûne, les musulmans du Bénin, à l’instar de la communauté islamique internationale, ont célébré le Ramadan, vendredi dernier. Cette célébration a été surtout marquée par une grande prière à la place Idi, à Cotonou. Cette grande prière a été dirigée par l’imam central de Cotonou, el Hadj Ibrahim Ousmane qui a plaidé pour le bon déroulement « des élections de 2011 ». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après trente jours de jeûne, les musulmans du Bénin, à l’instar de la communauté islamique internationale, ont célébré le Ramadan, vendredi dernier. Cette célébration a été surtout marquée par une grande prière à la place Idi, à Cotonou. Cette grande prière a été dirigée par l’imam central de Cotonou, el Hadj Ibrahim Ousmane qui a plaidé pour le bon déroulement « des élections de 2011 ». Il est 10 h ce vendredi, ponctualité oblige, les entonnoirs retentissent. C’est l’imam central qui annonce la grande prière. « Allah wak baru », dit-il. Les fidèles tous endimanchés s’accroupirent. Genoux et nez contre les nattes dressées pour la circonstance, chacun répétait les propos de l’imam. Il n’y avait pas de place pour les retardataires. La rue avait même servi de lieu de prière. Que voulez-vous? Il faut prier et le faire intensément pour se rapprocher de Dieu. Et chacun s’y atèle, Pour l’ancien ministre du Commerce et de l'Industrie, Soumanou Moudjaidou, cette prière est capitale. « C’est pourquoi nous avons prié pour la paix dans le pays et surtout pour les élections de mars 2011.» «Nous avons foi en Dieu et tout se passera bien grâce à Dieu», a-t-il ajouté tout confiant. Selon El hadj Tidjani Traoré, l’imam dans son sermon, a apprécié la grandeur du Seigneur Tout puissant qui donne la vie. Il a permis aux musulmans de traverser une trentaine de jours dans le jeûne et beaucoup de turbulences. Par rapport à cela il a rappelé que la vie humaine est essentiellement meublée de foi. Il a invité chaque Béninois à s’armer de foi avant d’énumerer les propos du coran qui édictent bien que l’islam est basé sur la foi. Il a aussi rappelé lés cinq piliers de l’islam qui sont d’abord la profession de foi, les cinq prières quotidiennes, le jeûne du mois de Ramadan, et le Zakat c’est-à-dire l’aumône aux plus pauvres, et enfin, le pèlerinage pour ceux qui ont les moyens. Par ailleurs, il a prié pour toute la nation béninoise, pour le gouvernement et souhaité la prospérité pour chacun et pour tous. Il a également exhorté les fidèles à ne pas tourner dos à l’adoration. Car, ce mois est un mois d’exercice. Il a invité chacun à jeûner comme le prophète l'a fait les lundis, jeudis et les sept jours qui suivent le Ramadan. Le jeûne ne doit pas s’arrêter à la célébration du Ramadan. Il a, pour finir, souhaité la paix pour le Bénin et pour tous les Béninois. La prière, une des conditions pour se rapprocher de Dieu Au terme de sa prière, l’imam central de Cotonou, El hadj Ibrahim Ousmane a présenté à la presse le sens de la prière de Ramadan. Pour lui, Dieu veut que son fidèle se rapproche de lui. Ainsi, il a ouvert grandement sa porte pour l’assister. « Il dit qu'il est proche de nous », a-t-il indiqué. Mais les hommes, aussi de leur côté, doivent essayer de se rapprocher de lui pour son assistance en toute situation. Mais que faut-il faire pour s’approcher de Dieu ? Il faut deux conditions. Il s’agit du jeûne qui est la première condition que les fidèles viennent de remplir et qui fait partie des cinq piliers de l’islam. La seconde condition est que le jeûne ne s’arrête pas au Ramadan. Il y a toujours des jeûnes de lundi et jeudi. Les jeûnes des trois jours successifs de chaque mois lunaire c’est-à-dire le 13e le 14e et le 15e. «Ces conditions nous permettent de nous rapprocher davantage de Dieu en toute situation », a-t-il ajouté. Il a expliqué qu'au jour sacré et jour de fête, le musulman doit continuer d’éviter tout ce qu’il a proscrit pendant le carême afin d’avoir la bénédiction du jeûne dans le mois. La prière de ce vendredi est toute particulière du fait qu’elle est forcément recommandée par Dieu. Il a prié pour que opposants et mouvanciers se comprennent pour que règne la paix au Bénin. Car, cette célébration est une occasion pour chacun d’implorer le Seigneur Tout puissant afin que notre pays se développe dans la paix et dans l’union. il a alors souhaité bonne fête à chacun et à tous. Le représentant du chef de l'Etat et son gouvernement, le ministre de la Justice, Grégoire Akofodji, a dit que le gouvernement se sent uni à la communauté musulmane à l’occasion de cette fête pour dire que la fraternité reste le socle sur lequel nous allons construire ce pays, au-delà de nos différences. Nous devons prier intensément plus que par le passé pour que cette fraternité à laquelle nous tenons tous soit réellement partagée par tous. «Nous n’irons pas au développement, à la construction des hommes si nous ne sommes pas convaincus que la base du développement reste la fraternité, une fraternité vivante dans l'union nationale », a-t-il conclu. bibo:pages 13 -- o:id 7363 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7363 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7377 26608 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e235b589c9b685ecdeabd4a3db529201c831e28a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9ae2cb3a4c767abe2ab06554976532950a5c5dcf.tiff dcterms:title Préparatifs de la fête de l'Aïd El Fitr : des ateliers de couture débordés par les commandes à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-09 dcterms:identifier iwac-article-0003402 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin à l’instar de celle du monde entier, célébrera, demain vendredi 10 septembre prochain, la fête de l’Aïd el Fitr ou Ramadan, après un mois de carême. A Parakou, les préparatifs de cette fête vont bon train. En témoigne la volonté de bon nombre de fidèles qui, soucieux de porter des habits neufs à l’occasion, prennent d'assaut la plupart des ateliers de couture de la ville. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin à l’instar de celle du monde entier, célébrera, demain vendredi 10 septembre prochain, la fête de l’Aïd el Fitr ou Ramadan, après un mois de carême. A Parakou, les préparatifs de cette fête vont bon train. En témoigne la volonté de bon nombre de fidèles qui, soucieux de porter des habits neufs à l’occasion, prennent d'assaut la plupart des ateliers de couture de la ville. Même si la cherté de la vie due à la crise économique et financière qui sévit actuellement, les oblige à fêter selon leurs possibilités chez eux, les fidèles musulmans de Parakou tiennent à aller à la prière de l’Aïd el Fitr et à sortir demain vendredi, parés de leurs plus beaux atours. Du coup, ce sont les couturières et les couturiers de la ville qui, depuis quelques jours, se retrouvent submergés par de nombreuses commandes. Leurs ateliers ne cessent d’être fréquentés par les clients. A Yarakinin, Issa Hamdoulaye et ses sept apprentis s’affairent autour de trois machines à coudre et une à broder. Il y a plus d’une semaine qu’ils travaillent de jour comme de nuit, pour pouvoir satisfaire sa clientèle. Le principal souci de Issa Hamdoulaye est de pouvoir honorer les engagements qu’il a pris auprès de ses clients, à savoir, de ne plus avoir dans son atelier à la veille de la fête, les vêtements qu’ils lui ont demandé de leur confectionner. Au rythme où il s’emploie avec ses apprentis, il s'est dit confiant de pouvoir tenir dans le délai. Ce qui pourrait ne pas être le cas de Bertin Koulo, au quartier Gare. Il est tellement acculé par ses clients qui s’impatientent. Ces derniers lui reprochent déjà, d’avoir accusé trop de retard. Certains auraient même menacé de lui retirer leur tissu, à défaut de venir faire le pied de grue ces derniers jours, dans son atelier. C’est à lui de les rassurer chaque fois, explique-t-il. Tout en déplorant l’attitude de certaines de ses clientes qui attendent le dernier moment pour venir solliciter ses services, Aminata Konaté, dont l'atelier de couture est non loin du marché Azerkê avoue s'être organisée à tel point que, c’est au fur et à mesure, qu’elle essaie de livrer ses différentes commandes. Ceci, insiste-t-elle, au prix des privations de ses sommeils, ainsi que de celles de ses dévouées apprenties dont elle a remercié au passage les parents, pour leur compréhension. Elle a préféré attendre le dernier jour, avant de faire le point de l’affaire qu’elle aura réalisée par rapport à l’année dernière. Toujours est-il qu’elle ne cesse d’être assaillie par les clientes. Malheureusement, précise-t-elle, elles ne payent pas souvent l’intégralité de ce qu’on leur réclame, alors que les prix des fournitures et autres garnitures ont connu une augmentation sur le marché. Des commandes s’enchaînent A peine avait-elle fini de parler, qu’une cliente accompagnée de deux petites filles, firent leur entrée dans l’atelier. Les supplications de cette dernière, ont tôt fait de l’obliger à accepter de prendre les tissus qu’elle lui a amenés. Immédiatement, ses apprenties se sont mises à prendre les mesures des deux enfants, celles de la dame étant déjà disponibles dans leurs cahiers. « Qui contenter et qui ne pas satisfaire, surtout qu’elles sont toutes des habituées à mon atelier ? Refuser de leur rendre service, elles iront ailleurs » s’est résignée la maîtresse couturière, Aminata Konaté. Quant à Séfou Adémola qui a établi son atelier de couture à Kpébié, il remercie le Tout Puissant Allah et le Prophète Mahomet, pour lui avoir trouvé quelques clients cette année, même si c’est seulement à partir d'hier mardi sept septembre, qu’il a commencé avec ses deux apprentis, à veiller pour pouvoir leur donner satisfaction. Pour l’Aïd el Fitr de l’année dernière, il avoue n’avoir pas été sollicité. Par rapport à la question de savoir, comment est-ce qu’ils veillent dans leur atelier, Tadjoudine Issiaka répond qu’il faut savoir s’organiser, en ne perdant pas de vue que tous ses clients vont vouloir porter, demain vendredi, ce qu’ils vous ont demandé de leur confectionner comme tenue pour la prière ou la sortie. Le comble, dira Tadjoudine Issiaka, c’est qu’il y a des clients exigeants qui n’ont pas les moyens pour vous payer la moindre avance, et qui viennent le faire après avoir été relancés à plusieurs reprises. A 72 heures de la fête, il y avait encore sur sa table sept pagnes dans lesquels, le ciseau n’avait pas été mis. Toutefois, il rassure qu’il ne va pas décevoir ses clients. La plupart des couturières et couturiers en activité à Parakou, sont actuellement débordés. Ce qui est loin de ne pas leur plaire, chacun d’eux tenant à faire une très bonne affaire au cours de cette fête de l’Aïd el Fitr, après plusieurs veillées de 22 heures jusqu’à l’aube. bibo:pages 13 -- o:id 7364 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7364 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7378 26609 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6d00f875145149aac803e19311ef94af2382aeb9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/830a10641c60736e973f3b1afbde3a75f582fedb.tiff dcterms:title Préparatifs de la fête de l'Aïd El Fitr : un islamologue explique les conditions d'accomplissement de la "Zakat" dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14462 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-09 dcterms:identifier iwac-article-0003403 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Officiellement les musulmans ont entamé hier mercredi l’avant-dernier jour du mois de jeûne et peuvent, selon les prescriptions de l’islam, commencer par accomplir la « Zakat », un des cinq piliers de la religion, censé valider leurs abstinences mensuelles multiples, à en croire l’islamologue cheik Issaka Ibrahim. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Officiellement les musulmans ont entamé hier mercredi l’avant-dernier jour du mois de jeûne et peuvent, selon les prescriptions de l’islam, commencer par accomplir la « Zakat », un des cinq piliers de la religion, censé valider leurs abstinences mensuelles multiples, à en croire l’islamologue cheik Issaka Ibrahim. La « Zakat » consiste, pour un musulman et père de famille, à faire des dons aux pauvres et démunis, en produits alimentaires de première nécessité de son milieu de vie pour leur permettre de fêter dans la paix et la gaieté, tout comme lui, l’Aïd-el fitr. Cet acte vise également, pour le jeûneur, à se faire pardonner par Dieu pour les petits péchés commis involontairement au cours de ce mois sacré en islam. Il s’impose à tout musulman qui se suffit et l’oblige à faire aumône d’au moins 2,5 kilogrammes de vivres pour chaque membre de sa famille, du plus grand au nourrisson d’au moins 24 heures. Accomplie en direction des pauvres, la « Zakat » oblige également ces derniers à distribuer le reste de l’offre après s’être servis d’une quantité à même de leur suffire dans un futur proche. Pour les démunis circonstanciels, obligation leur est faite de s’en acquitter une fois que les moyens financiers leur souriront, dixit l’islamologue cheik Issaka Ibrahim. Sur le marché des vivres, malgré l’augmentation des besoins en maïs, principale denrée servant à accomplir la «Zakat», les prix n’ont pas flambé. La mesure se vend toujours à 550 FCFA. Chaque père de famille capable d’honorer ce pilier s’affaire pour se procurer la denrée de son choix. bibo:pages 13 -- o:id 7365 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7365 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7379 26610 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/47d8422509daaf2335b00d2c11b2ac855e7b84e7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/388cc5057525f56e7b6fb2345ebf7aa763a17426.tiff dcterms:title Préparatifs de la fête de l'Aïd El Fitr : la communauté musulmane de Cotonou s'active dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2020 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-09 dcterms:identifier iwac-article-0003404 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Demain vendredi 10 septembre, la communauté musulmane va célébrer l’Aïd el-Fitr, la fête du Ramadan. A Cotonou, les préparatifs vont bon train. Nous nous sommes rapprochés de l'imam Ratib de la mosquée centrale de Cadjèhoun, El Hadj Youssouf Ligali, qui nous a entretenus sur les sentiments qui l'animent en cette fin du mois du jeûne musulman, le comportement de chaque fidèle même après ce mois, les dispositions prises pour la célébration de demain. Il s’est également attardé sur les bons comportements dont les jeunes filles doivent faire montre de façon générale. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Demain vendredi 10 septembre, la communauté musulmane va célébrer l’Aïd el-Fitr, la fête du Ramadan. A Cotonou, les préparatifs vont bon train. Nous nous sommes rapprochés de l'imam Ratib de la mosquée centrale de Cadjèhoun, El Hadj Youssouf Ligali, qui nous a entretenus sur les sentiments qui l'animent en cette fin du mois du jeûne musulman, le comportement de chaque fidèle même après ce mois, les dispositions prises pour la célébration de demain. Il s’est également attardé sur les bons comportements dont les jeunes filles doivent faire montre de façon générale. « Je suis triste, car le mois qui finit est un mois béni, plein de grâce divine, de bonté, de partage et d’amour», a expliqué El Hadj Youssouf Ligali. Il s’interroge sur un probable retour des fidèles aux mauvais comportements décriés par la société. Avec les différentes prières, les fidèles ont été transformés par Allah et peuvent être comparés à un linge pur. Un retour aux pratiques souillées serait comme un manquement à Dieu dont la colère compliquerait l’existence aux hommes. «Dieu est déjà propre et souhaite que ses fidèles le soient également sans péché», a-t-il indiqué. Car, Dieu veut qu’on se rapproche davantage de lui. «C’est donc le sens de ce mois de jeûne qui nous rapproche de lui-même si on ne peut totalement être proche de lui. Les hommes sont des êtres pécheurs qui doivent se laver de leurs souillures. Ils doivent faire l’effort d’avoir des comportements exemplaires pour ne pas renouer avec les mauvaises habitudes notamment l’abandon de la prière par les jeunes». Le Ramadan est le 9e mois du calendrier musulman. C’est le mois pendant lequel les musulmans pratiquent un jeûne. Il marque le début de la révélation du Coran fait au prophète Mohamed, c’est-à-dire "la Paix Soit Sur Lui". Le Ramadan est un des cinq piliers de l’islam, avec la profession de foi, la prière, l’aumône et le pèlerinage. Selon l’imam Ratib, le jeûne de 2010 a apporté aux fidèles, la joie et un raffermissement de la foi. Il en veut pour preuves, ses propres sentiments et l’affluence dans les mosquées et l’observation stricte des règles consignées dans le coran. Au cours de ce mois de jeune, les fidèles se sont bien appliqués à la prière. Et on peut également relever qu’il y a eu un changement de comportement dans ce mois béni. Même sur le plan spirituel, on a senti ce changement. Les jeunes qui se foutaient de la prière et pour qui la prière est exclusivement réservée aux vieux s’y sont véritablement adonnés. «Car la mort n’attend pas seulement les vieux, mais tout le monde est concerné», précise-t-il. Il suffit d’observer ce qui se passe dans le monde à savoir, les tueries, les séismes, les catastrophes aériennes, les débordements des eaux avec leurs conséquences. Face à toutes ces anomalies, « Nous avons prié pour la pureté de la terre », a-t-il rappelé. C’est donc le moment d’appeler au secours tous les dirigeants, les sages, les dignitaires et autres religieux qui doivent prier pour la réduction de la dépravation chez les jeunes de notre pays, caractérisée par leur manque de respect aux valeurs spirituelles et leur course à la perdition. La prière peut beaucoup changer l’homme, mais il faudra que les aînés ne soient pas fatigués d’en parler aux jeunes. Car, seule, la prière ne peut tout faire. Il faut une prise de conscience qui est la base de tout changement de comportement. À propos du ramadan qui sera célébré demain, « chacun des musulmans doit s’habiller proprement et bien se parfumer avant de se rendre à la prière. Nous devons prier pour que ce que Dieu m’a donné au cours de la prière soit gardé aussi longtemps », a indiqué El hadj Youssouf Ligali. Depuis près d’une semaine, la place Idi est en train de faire sa toilette et sera prête pour la prière qui met fin au mois de jeûne. Au sortir de la prière, les fidèles vont se régaler entre eux et avec des amis autour de bons plats. L’alcool étant proscrit, toutes les boissons sucrées sont les bienvenues. «Le cœur de l’homme est comme une lampe dont le pétrole est la prière qu’il ne doit jamais laisser tarir», poursuit-il en invitant les uns et les autres à toujours prier. bibo:pages 13 -- o:id 7366 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7366 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7380 26611 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b5bb71d39b63f783e486a8c4cb8e0d67d0da5408.pdf https://islam.zmo.de/files/original/daaac0729fdf38f40849e4373d37044bedb59385.tiff dcterms:title Donga : le gouvernement offre des vivres à la communauté musulmane de Djougou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/789 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14188 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1973 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-06 dcterms:identifier iwac-article-0003405 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La ministre de la Famille et de la Solidarité nationale, Mme Mamatou Mèba Djossou, a réceptionné symboliquement jeudi dernier à la mairie de Djougou un lot de vivres destiné à la communauté musulmane de la localité, après une séance de travail qu’elle a eue avec les Imams de tous les arrondissements. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La ministre de la Famille et de la Solidarité nationale, Mme Mamatou Mèba Djossou, a réceptionné symboliquement jeudi dernier à la mairie de Djougou un lot de vivres destiné à la communauté musulmane de la localité, après une séance de travail qu’elle a eue avec les Imams de tous les arrondissements. Composé de 32 sacs de riz de 50 kilogrammes, de 38 bidons d’huile de 25 litres et de 32 cartons de sucre, ce don vise à « aider » les musulmans dans l’accomplissement du mois de jeûne et s’inscrit dans le cadre de l’aide annuelle du gouvernement aux communautés musulmanes du Bénin à l’occasion du mois de ramadan. Convoyé au domicile de l’Imam de la mosquée centrale de Djougou, Alpha Idrissou Yaya, ce don a été aussitôt distribué à tous les 12 arrondissements de la commune qui y avaient leur représentant, sous la vigilance de la mairie, qui veillait, par le biais du premier adjoint au maire, Adam Arouna Maza, pour que l’aide soit repartie correctement et équitablement. Les bénéficiaires, par la voix de leur guide spirituel, ont remercié le gouvernement pour ce geste effectué à leur égard. ABP bibo:pages 14 -- o:id 7367 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7367 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7381 26612 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d2b2f2644a356ce0555c67894dda1f30c1255852.pdf https://islam.zmo.de/files/original/55e8e51682b751c712937b64830d1e84c119cfa0.tiff dcterms:title Mois de Ramadan : dans l'attente de la "Nuit de la destinée" à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15291 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-01 dcterms:identifier iwac-article-0003406 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar de leurs co-réligionnaires des autres villes du Bénin et du monde entier, les musulmans de Parakou continuent d’observer le jeûne. Depuis le lundi 30 août dernier, c’est avec une certaine ferveur, qu’ils ont entamé les dix derniers jours de ce mois de Ramadan, avec l’espoir de vivre la « Nuit de la destinée ». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar de leurs co-réligionnaires des autres villes du Bénin et du monde entier, les musulmans de Parakou continuent d’observer le jeûne. Depuis le lundi 30 août dernier, c’est avec une certaine ferveur, qu’ils ont entamé les dix derniers jours de ce mois de Ramadan, avec l’espoir de vivre la « Nuit de la destinée ». Au nombre des villes où le jeûne du mois de Ramadan est respecté tel que recommandé par le livre saint « Le Coran », figure Parakou. Aux heures de prières, tous les fidèles musulmans, après avoir arrêté pour quelques minutes leurs différentes activités ou fermé boutiques et bazars, prennent d’assaut les mosquées et autres lieux où ils peuvent adorer leur Dieu. Ce sont surtout les tenanciers des buvettes qui font les frais de cette période de carême. Leurs chiffres d’affaires ont sérieusement baissé et il leur faudra encore tenir quelques jours, avec le démarrage depuis le lundi dernier, de la dernière décade du mois béni du Ramadan. Comme tous les fidèles musulmans, ceux de la cité des Kobourou tiennent également beaucoup à cette dernière décade. Selon l’imam Alidou Adam de la mosquée Bah-Messounah au quartier Agbagba, ces dix derniers jours de carême sont les plus sacrés du mois de Ramadan. Ils sont tellement sacrés au point où le prophète lui-même s’est entièrement investi en quittant sa maison, pour s'établir dans une mosquée, tout en exhortant ses épouses à serrer leur ceinture, pour chercher et mériter la bénédiction du Seigneur tout puissant. C’est au cours de ces dix derniers jours que le prophète s’est donné corps et âme à Dieu, puis a aidé les pauvres et les indigents. Dieu, a-t-il poursuivi, a pris le soin de cacher l’un de ces jours qui est la « Nuit de la destinée » au cours de laquelle le Coran a été révélé au prophète Mahomet. « Il a planifié tout ce qui va se passer dans l’année. Cette nuit équivaut à 1.000 mois d’adoration, soit 83 ans et 4 mois environ. A telle enseigne qu’il est demandé à tout musulman pieux de chercher à bénéficier de cette bénédiction, parmi les jours impairs de ces dix derniers jours, à savoir le 21e, le 23e, le 25e, le 27e ou le 29e jour. Et si un croyant a la chance de vivre cette nuit, il est sauvé à jamais et élira domicile au paradis», a indiqué l’imam Alidou Adam. Pour lui, Dieu n’a pas voulu fixer les fidèles sur le jour exact où cette nuit se produira, tout simplement parce qu’il souhaiterait que la dernière décade du mois de Ramadan soit bénie et vivifiée avec l’intensification de l’adoration du Seigneur. Les fidèles croyants résidant à Parakou ont conscience de l’importance de ces dix derniers jours, surtout de cette « Nuit de la destinée ». Ainsi, depuis lundi 30 août dernier à partir de minuit et tôt hier matin, ils se sont déjà préparés en conséquence. Toutes les mosquées sont désormais remplies. Ils y vont pour invoquer le Seigneur, lire le Coran et se consacrent également aux prières nocturnes jusqu’à l’aube. bibo:pages 11 -- o:id 7368 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7368 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7382 26613 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fe5df6d9c7ddfb8166f6f327ab862567e044ea34.pdf https://islam.zmo.de/files/original/48c5e3824064d70ee4696b9c8582e61afbff5c14.tiff dcterms:title Célébration du mois de Ramadan : quels droits pour la femme dans l'Islam ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2062 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13931 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13071 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-02 dcterms:identifier iwac-article-0003407 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En ce moment où la communauté musulmane entame le dernier virage du mois de jeûne, le Centre culturel américain de Cotonou a servi de cadre lundi 30 août dernier à la projection du film intitulé « Douleurs secrètes », un film qui aborde la problématique des pratiques culturelles rétrogrades à l’encontre des femmes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14388 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En ce moment où la communauté musulmane entame le dernier virage du mois de jeûne, le Centre culturel américain de Cotonou a servi de cadre lundi 30 août dernier à la projection du film intitulé « Douleurs secrètes », un film qui aborde la problématique des pratiques culturelles rétrogrades à l’encontre des femmes. Organisée par le Centre culturel américain, cette projection a été suivie d'une conférence publique sur le thème « Droits de la femme dans l’islam ». Portant sur la tribu des Digba en Sierra Léone, la trame du film s’articule autour des conséquences néfastes de la mutilation de l’organe génital de la femme et de l’impact indélébile de cette pratique sur la vie de ses victimes que sont les filles et les femmes. Une scène qui n’a pas laissé indifférents les participants, au cours du débat qui a suivi. Ainsi, les langues se sont déliées pour condamner cette pratique abominable et avilissante qui empêche la femme de jouir véritablement de tous ses droits et au pire des cas, l’entraîne vers cet inconnu qu’est la mort. Unanimement, les participants ont émis le vœu de voir ce film se projeter plusieurs fois, et encore plus dans les régions du pays où sévit encore l’excision des filles, afin de contribuer à la campagne de sensibilisation pour l'éradication de ce fléau qui aliène la femme. Dans sa présentation liminaire qui a suivi la projection, El Hadj Afis Ambekema, l’islamologue, a peint le tableau sombre du non respect des droits de la femme et ses conséquences non seulement sur la famille, mais également sur la société. Passant par une énumération des pratiques qui violent les droits de la femme, que sont entre autres, le harcèlement sexuel, la non scolarisation des filles, le viol, le lévirat, la polygamie, l’inceste et la pédophilie, le conférencier a fait observer qu’être informé des conséquences fâcheuses de ces tares qui minent l’émancipation de la femme et ne rien faire pour y remédier serait synonyme de complicité coupable. C'est pourquoi il a lancé un appel à toutes les forces positives pour aider les femmes à guérir ce mal. Aussi, se référant au Coran, El Hadj Ambekema a noté que la pratique de l'excision n’est pas une recommandation de l’Islam, et que cette pratique culturelle aux conséquences néfastes devrait être purement et simplement éradiquée. Des approches de solutions fondées sur des témoignages recueillis auprès des exciseuses passent par la formation professionnelle de ces dernières et leur insertion sociale, afin de leur donner les moyens de survie. Dans le discours qu’elle prononcé à l'ouverture de cette séance, Susan Tuller, première conseillère de l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique près le Bénin, a fait remarquer que le problème de la violation des droits de la femme n’est pas propre qu'au Bénin, et qu’il urge d'œuvrer ensemble pour y remédier. bibo:pages 13 -- o:id 7369 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7369 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7383 26614 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f89cdffbb08ee8569bdf85f36ce3cabd36273e22.pdf https://islam.zmo.de/files/original/902919e0ec4043970df37c85ea653529874e8a22.tiff dcterms:title Ramadan : les obligations conjugales pendant le jeûne, selon un islamologue dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13071 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1978 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-08-30 dcterms:identifier iwac-article-0003408 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le mois de jeûne impose aux conjoints le respect mutuel de certaines obligations, conditions nécessaires de l'acceptation du jeûne par Dieu, apprend-on de sources religieuses crédibles. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le mois de jeûne impose aux conjoints le respect mutuel de certaines obligations, conditions nécessaires de l'acceptation du jeûne par Dieu, apprend-on de sources religieuses crédibles. Selon l’islamologue Cheikh Mohamed Sadissou Tamimou, la femme doit, surtout dans ce mois saint de l’islam, une « soumission absolue » à son époux tout comme l’enfant vertueux qui cherche le paradis auprès de sa mère doit la respecter. Obéir à celui-ci, dans les limites permises ne comportant pas de transgression à la loi divine car, a-t-il dit, en citant le prophète Mahomet : «s'il m'avait été permis de faire prosterner quelqu'un devant un autre, c'est bien à la femme que j’aurais demandé de le faire devant son mari». Obligation est faite à la femme de préserver les biens de son mari, son bonheur et de ne pas quitter le foyer conjugal sans son autorisation, de partager la couchette de son époux au risque de s’attirer la colère des anges, de satisfaire le désir sexuel de son homme et de ne pas jeûner sans son autorisation. Le respect scrupuleux de ces principes fait gagner à la femme l’estime de son mari et la bénédiction divine éternelle. Quant à l’homme, il est tenu de nourrir, d’habiller et de loger convenablement son âme sœur, de satisfaire son besoin sentimental, de ne pas la mettre en quarantaine hors de son foyer; d’observer un délai de quatre mois avant de l'approcher en cas de mésentente à l’issue de laquelle il décide volontairement de ne pas partager le lit avec elle et de partager équitablement les biens courants entre les épouses, s’il en a beaucoup. L’homme doit également permettre à son épouse de se rendre au chevet d’un parent malade, aux cérémonies funéraires ou de rendre visite à un proche, flirter avec elle pour éveiller son désir sexuel, éviter de porter son regard sur son sexe et éviter de l’approcher par un coït annal, car le prophète dit : «Quiconque sodomise sa femme, Dieu ne le regardera pas le jour de la résurrection». L’homme qui observe rigoureusement ces principes est dans les bonnes grâces de Dieu, selon Cheikh Mohamed Sadissou Tamimou. ABP bibo:pages 12 -- o:id 7384 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7384 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7396 26615 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3e6f207a6e05f4cb8ab7abd70e84b6b1ff131115.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6ea99c4925abefc8c49c27057a55eb61bb6bb92a.tiff dcterms:title Mois de Ramadan au Bénin : piété et sérénité sont au rendez-vous (Interview de l'Imam Ligali Ala Issiaka de Cadjèhoun) dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1522 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-08-11 dcterms:identifier iwac-article-0003409 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du monde entier observe depuis mercredi 11 août dernier le jeûne du mois de Ramadan. Cette tradition religieuse, démarrant dans la même période à quelques heures de différence près selon les pays, est cette année encore respectée au Bénin à travers le jeûne. Occasion pour les fidèles musulmans de se remettre en question et de se purifier devant Dieu. L’imam Ligali Ala Issiaka de la mosquée centrale de Cadjèhoun livre dans cette interview des explications au sujet de cette période de pénitence. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du monde entier observe depuis mercredi 11 août dernier le jeûne du mois de Ramadan. Cette tradition religieuse, démarrant dans la même période à quelques heures de différence près selon les pays, est cette année encore respectée au Bénin à travers le jeûne. Occasion pour les fidèles musulmans de se remettre en question et de se purifier devant Dieu. L’imam Ligali Ala Issiaka de la mosquée centrale de Cadjèhoun livre dans cette interview des explications au sujet de cette période de pénitence. Comment les fidèles de la mosquée de Cadjèhoun ont-ils préparé le Ramadan ? Nous remercions Dieu qui nous a permis ici à Cadjèhoun de préparer le mois de Ramadan depuis le mois de Rajab, c'est-à-dire deux mois avant le Ramadan. Le mois de Rajab et le mois de Shaaban sont les deux mois qui précèdent le mois de Ramadan, et qui sont propices à la préparation du Ramadan. Le mois de Rajab, le premier mois, c’est le mois de Dieu. Dans ce mois, vous avez les jeûnes de jeudi, vendredi, samedi, qui ont la valeur de neuf cent ans d’adoration. De plus, il y a la possibilité de veiller, et ces veilles durant la nuit vous permettent de passer un mois de Ramadan sans faim, sans soif et sans maladie. Donc on a eu le temps ici d’informer les fidèles, et je pense que la plupart d’entre eux ont compris et suivi ces recommandations. Quant au mois de Shaaban, c’est le mois du prophète Mohamed. Il a dit : « Rajab c’est pour Dieu, Shaaban c’est pour moi. Donnez de la valeur à mon mois en jeûnant au moins trois jours». Ces trois jours de jeûne sont libres, on peut choisir n'importe quels jours de la semaine. « Jeûne seulement trois jours dans le mois de Shaaban, et tu seras abreuvé d’un fleuve dont la racine se trouve au paradis. » La force du Nil provient de « Zem-Zem », l’eau de la Mecque qui ne tarit jamais. L’avantage de ces deux mois de préparation est que les fidèles savent déjà que le mois de Ramadan arrive, et cela ne leur pose plus aucun problème. Nous sommes là, nous sommes sereins. En fait, si tu n’as pas planté, tu ne peux pas manger. Pour dire que nous avons semé, et nous sommes certains que ce que nous avons semé va pousser. Et cela a déjà commencé. Moi je sais, à partir d’hier, ce que j’ai déjà reçu : « Ecoute, ne t’en fais pas, Ramadan est là, tu n’as pas à courir de gauche à droite, ni à te tracasser. » Bref, nous sommes là, c’est un travail qui a été fait avant. De plus, il est à noter que l’essentiel c'est de ne plus faire ce que nous faisons d’habitude. C’est pourquoi, il y a ces nattes et cette bâche devant la mosquée, pour que nos yeux ne croisent plus ces jupettes, et tout ce qui peut troubler l’esprit du croyant. Le jeûne n’est pas que la privation de nourriture, mais les yeux aussi jeûnent, les oreilles, la bouche, en somme tous les sens. Il s’agit d’éviter tous les excès de la vie de l’homme. Est-ce à dire qu’en dehors du mois de Ramadan ces excès sont permis ? Aucunement. Durant toute sa vie, l’homme n’a pas le droit de faire ce qu’il veut parce qu’il y a des interdits. Mais spécialement dans le mois de jeûne, Dieu a enlevé sa démocratie et sa faveur, pour s’imposer. C’est le seul mois où Dieu s’impose. Il dit : « Si vous ne faites pas, je vous punis». Une seule journée de jeûne ratée est remplacée par 60 autres jours de jeûne. Une journée de jeûne peut être ratée à cause des pensées mauvaises, des paroles légères ou des actes contraires aux ordres divins. Et même quand vous faites ces 60 jours, si vous tombez malade le dernier jour, vous recommencez. A cet effet, est-il obligatoire de jeûner malgré sa maladie? Vous savez, l’islam prend tout en compte. Il y a des fidèles qui m’ont déjà téléphoné pour me dire qu’ils sont malades, je leur ai demandé de ne pas jeûner. Mais donnez pour chaque jour de jeûne manqué un bon plat, un repas copieux qui vous plairait vous-même, à quelqu’un qui a jeûné. Ça remplace votre journée manquée. Mais ça n’empêche pas que, une fois rétabli, vous jeûniez autant de jours que les jours manqués. Mais si vous tombez malade toute votre vie, c’est Dieu même qui vous a créé ainsi, là c’est un problème personnel. bibo:pages 11 -- o:id 7385 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7385 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7397 26616 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7d3eb1cbd7b9bc78ab370699fc9b3580830e1d41.pdf https://islam.zmo.de/files/original/37becc4cc837a5a7c4399c6a9d5beb7107e9b28d.tiff dcterms:title Audience au Palais de la Marina : une délégation du Fonds koweïtien au cabinet présidentiel dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15010 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1414 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-06-29 dcterms:identifier iwac-article-0003410 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une mission d’évaluation du projet de construction de la route Ouidah - Allada et de sa bretelle de Pahou-Tori Bossito, en visite au Bénin, a été reçue en audience, mardi 24 juin dernier, par le président Boni Yayi. Il s’agit d’une délégation du Fonds koweïtien pour le développement économique arabe conduite par le conseiller juridique, Nawaf A. Al-Mahamel. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/269 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/280 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/488 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15142 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13551 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une mission d’évaluation du projet de construction de la route Ouidah - Allada et de sa bretelle de Pahou-Tori Bossito, en visite au Bénin, a été reçue en audience, mardi 24 juin dernier, par le président Boni Yayi. Il s’agit d’une délégation du Fonds koweïtien pour le développement économique arabe conduite par le conseiller juridique, Nawaf A. Al-Mahamel. L’arrivée au Bénin de la mission d’évaluation du projet de construction de la route Ouidah-Allada et de sa bretelle de Pahou - Tori Bossito, fait suite au voyage effectué en février dernier par le chef de l’Etat au Koweït et à une table ronde tenue le 24 mars dernier. Ce qui a permis de boucler le financement dudit projet par les partenaires techniques et financiers que sont le Fonds koweïtien, la BOAD, le Fonds d’Abou Dhabi, la BIDC aux côtés du gouvernement béninois, pour un coût total de 23 milliards de francs CFA. A sa sortie d’audience, le conseiller juridique du Fonds koweïtien a exprimé sa joie quant à l’accueil' réservé à sa délégation et aux discussions fructueuses avec le chef de l’Etat. Au cours des échanges, il a été question non seulement de l'importance du financement mais aussi et surtout, de la mise en exécution du projet, a précisé Nawaf A. Al-Mahamel. Il a rappelé que le Fonds koweïtien a déjà contribué à la construction de plusieurs routes au Bénin et au projet de lutte contre l’érosion côtière. Le ministre des Transports terrestres et des Travaux publics, Nicaise Fagnon, a souligné qu’il est alloué à la route Ouidah - Allada - Pahou - Tori Bossito globalement 6 milliards F CFA. Il a souligné que c’est une route importante parce qu’il est prévu la construction d’un port sec à Tori Bossito et que le projet de réaménagement du tronçon Godomey - Pahou a bénéficié d’un financement important de la Banque mondiale dans le cadre du corridor Abidjan-Lagos. Et l’ambition du gouvernement est de faire en sorte qu’on fasse de la plate-forme de Ouidah-Allada-Tori Bossito, une plate-forme pour le transport, la logistique et le commerce, a-t-il ajouté. Signalons qu’une délégation composée de têtes couronnées, sages et notables ainsi que de jeunes de Banikoara était également au cabinet présidentiel. Faisant le point des échanges, le roi Nansounon de Banikoara a indiqué que la délégation est venue remercier le chef de l’Etat pour ses diverses actions en faveur des populations du Bénin en générai et de la commune de Banikoara en particulier. Il cite, entre autres, le bitumage de la route Kandi - Banikoara, la gratuité de la césarienne, la gratuité de l’enseignement maternel et primaire. « Nous avons saisi l’occasion pour réitérer au président Boni Yayi tout notre soutien, car sa réussite est notre réussite », a confié sa majesté Nansounon. bibo:pages 3 -- o:id 7386 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7386 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7398 26617 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5df8132474566a5e67ad0327c4b586577e8c2a11.pdf https://islam.zmo.de/files/original/48d698495216a80f85d62b5bcf6be74b32efafd4.tiff dcterms:title Audience au Palais de la Marina : l'ancien ministre d’Etat Zul Kifl Salami reçu par Boni Yayi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-06-29 dcterms:identifier iwac-article-0003411 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République Boni Yayi a reçu hier lundi 28 juin à son cabinet, l’ancien ministre d’Etat, le Dr Zul Kifl Salami qui est allé lui porter la nouvelle de l’implantation prochaine dans notre pays, d’une organisation internationale spécialisée dans le secteur social soutenue par le gouvernement saoudien. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République Boni Yayi a reçu hier lundi 28 juin à son cabinet, l’ancien ministre d’Etat, le Dr Zul Kifl Salami qui est allé lui porter la nouvelle de l’implantation prochaine dans notre pays, d’une organisation internationale spécialisée dans le secteur social soutenue par le gouvernement saoudien. Le chef de l’Etat. Boni Yayi et son hôte Zul Kifl Salami ont discuté de façon générale sur les efforts déployés pour soutenir l’économie béninoise. En la matière, Zul Kifl Salami qui est également président de G.A. Holding Ltd, a rappelé les différentes actions menées, notamment en matière de mobilisation de ressources au profit de l’Etat, pour la lutte contre l’érosion côtière, la sécurité alimentaire ainsi que le soutien à la Sonacop pour l’approvisionnement en produits pétroliers. Aujourd’hui, plus spécialement, l’ancien ministre est venu dans un cadre très élargi pour annoncer au chef de l’Etat la bonne nouvelle qu’est l’aboutissement des négociations déjà engagées en Arabie Saoudite au profit du Bénin pour l’implantation d’une grande organisation internationale soutenue par le gouvernement saoudien. Cette organisation est spécialisée dans le secteur social, le financement, sous forme de don non remboursable, des activités du secteur éducatif et du secteur sanitaire, l’approvisionnement en eau, l’aide aux orphelins et également aux victimes des catastrophes naturelles, surtout par ces temps où les inondations font parler d’elles au Bénin et dans la sous-région. Ainsi, cette organisation va-t-elle s’implanter assez rapidement au Bénin, une fois les procédures administratives achevées, pour permettre aux populations de bénéficier de leurs expériences. Pour le porteur de la nouvelle, c’est un réel satisfecit car avec ses grandes capacités, elle permettra d’assurer une fluidité des rapports avec les autorités saoudiennes en termes de mobilisation de ressources. C’est le énième acte patriotique posé par Zul Kifl Salami, caractérisé par son engagement personnel vis-à-vis de la chose publique et de la nation pour aider au développement socio-économique de son pays. Mais aussi et surtout pour apporter sa contribution dans cette lutte contre la pauvreté. bibo:pages 3 -- o:id 7387 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7387 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7399 26618 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b03f541966dc63312f9c861b9d97523f8fd9bcd3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d54e82012f5dbbf0949e58532f206e78bf2185ad.tiff dcterms:title Malanville : naissance d'une nouvelle association islamique dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14071 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-06-16 dcterms:identifier iwac-article-0003412 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Des fidèles musulmans de la commune de Malanville ont créé une association islamique dénommée «Ihiyaou Souna Alaa Makana Alaihi Salafou Salihina», samedi dernier dans la salle de réunions de l’arrondissement-centre de la commune. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Des fidèles musulmans de la commune de Malanville ont créé une association islamique dénommée «Ihiyaou Souna Alaa Makana Alaihi Salafou Salihina», samedi dernier dans la salle de réunions de l’arrondissement-centre de la commune. Cette association a pour objectif de promouvoir l’éducation, la culture et la défense des droits et la liberté de l’homme selon l’Islam. Elle entend aussi oeuvrer pour la lutte contre l’intolérance, la discrimination et l’intégrisme, pour l’entraide, la solidarité et la paix et la promotion d’un développement durable dans la commune. Selon les initiateurs, l’enseignement, l’organisation des conférences et les prêches par voie audiovisuelle seront les moyens par lesquels cette association compte réussir sa mission. Les textes fondamentaux de cette association ont été lus, amendés et adoptés. Un bureau exécutif de 13 membres a été mis sur pied pour conduire les activités de cette association, pendant cinq ans renouvelables une seule fois. L’honneur est revenu à Seïdou Mouhamadou de présider aux destinés de cette association. bibo:pages 11 -- o:id 7388 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7388 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7400 26619 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7094fbc2bd25f95d8ab3b9bc297e916e28160897.pdf https://islam.zmo.de/files/original/60a883a85b5b37d3f0db697816b8225b13eba66b.tiff dcterms:title Recensement porte-à-porte pour la réalisation de la LEPI : les confessions religieuses invitent à la sauvegarde de la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-04-28 dcterms:identifier iwac-article-0003413 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les membres du Cadre de concertation des confessions religieuses (CCCR) se sont retrouvés, lundi 26 avril dernier pour adresser un message de paix à toute la classe politique béninoise. C’était au cours d’une rencontre qui a eu lieu à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les membres du Cadre de concertation des confessions religieuses (CCCR) se sont retrouvés, lundi 26 avril dernier pour adresser un message de paix à toute la classe politique béninoise. C’était au cours d’une rencontre qui a eu lieu à Cotonou. La situation politique actuelle du Bénin ne laisse indifférente aucune couche de la société béninoise. Les confessions religieuses et l’ensemble des rois du Bénin ont fait une analyse de la situation politique marquée part de grandes agitations et de violences verbales de tout genre. Selon le secrétaire général du CCCR, Michel Alokpo, plusieurs constats découlent de cette analyse. Il ressort que l’unité nationale est menacée et le processus de réalisation de la LEPI souffre de quelques insuffisances auxquelles il faut apporter des solutions immédiates et consensuelles. En outre, les actions menées par les différents organes de presse ne favorisent guère l’instauration d'un climat de paix dans le pays de même que le mutisme de la Société civile dans le débat sur la LEPI compromet la participation de toutes les couches de notre société au débat politique national. Il a aussi ajouté que les discours politiques sont de plus en plus régionalistes et xénophobes ; et le peuple béninois est de plus en plus intoxiqué et dérouté. C’est pourquoi le CCCR et les têtes couronnées, à travers un appel pressant aux acteurs et animateurs de la vie politique nationale, ont invité à un sens plus aigu de responsabilité et de patriotisme pour ne pas mettre en péril la démocratie béninoise et pour éviter à notre pays des troubles sociaux et les conséquences qui en découlent. Le roi de Kika, Sa majesté Gangorosuanbou, a pour sa part, invité toutes les forces vives du pays et particulièrement les partis politiques à accorder leurs violons pour la réalisation d’une LEPI consensuelle. Ils doivent privilégier la voie de concertation déjà inaugurée par les rencontres du 9 mars et du 6 avril dernier pour régler les différents problèmes ou divergences pouvant apparaître. De plus, il a appelé ces forces à tout mettre en œuvre pour sauvegarder la quiétude et la paix sociale au Bénin. Par ailleurs, les rois du Bénin apportent leur soutien aux travaux en cours au niveau national et dans les coordinations déconcentrées. Pour finir, il a demandé au nom des rois du Bénin aux citoyens de se faire recenser massivement afin de ne pas être privés de leurs droits civiques pour une longue période. La LEPI est pour ces rois un préalable à l'organisation des élections démocratiques transparentes au Bénin. bibo:pages 13 -- o:id 7389 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7389 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7401 26620 26621 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c7c11234af3eb9d3a17876554c5ab8774ef67ccf.pdf https://islam.zmo.de/files/original/531e8e88751ab9b909462343323aea37314c2b32.tiff https://islam.zmo.de/files/original/3f5094f9ff0996823f4eb7bb373d4278894a0df8.tiff dcterms:title Interdiction de construire des mosquées avec minarets en Suisse : la communauté musulmane béninoise appelle au respect de la liberté des religions dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1543 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13330 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13478 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13511 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-03-31 dcterms:identifier iwac-article-0003414 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin est mécontente du gouvernement suisse qui a interdit la construction de mosquée avec minaret sur son territoire. Elle l’a exprimé hier mardi 30 mars à travers une manifestation à la mosquée centrale de Cadjèhoun. Une manifestation qui a connu une forte participation des têtes couronnées du pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/392 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/429 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin est mécontente du gouvernement suisse qui a interdit la construction de mosquée avec minaret sur son territoire. Elle l’a exprimé hier mardi 30 mars à travers une manifestation à la mosquée centrale de Cadjèhoun. Une manifestation qui a connu une forte participation des têtes couronnées du pays. Il y a environ cinq mois le gouvernement suisse a pris la décision d’interdire la construction de mosquée avec minaret sur son territoire. Ainsi, à l’instar des autres communautés musulmanes du monde, la communauté musulmane du Bénin, s’oppose à une telle décision qui, selon le secrétaire général de l'Union islamique du Bénin (UIB), vise à supprimer l’un des emblèmes de l’Islam. Pour Faïz Adégbola, cette décision de la Suisse ne devrait pas surprendre si l’on s’en tient à l’histoire de ce pays. Il faut seulement chercher à connaître et étudier les vraies intensions du gouvernement suisse qui pourrait plus tard interdire l’appel des musulmans à la prière et la construction des mosquées sur son territoire. Une situation qui pourrait « réveiller les vieux démons de la division et les querelles islamo-chrétiennes », a-t-il dit. A travers les différentes motions de protestation et de contestation lues par les têtes couronnées présentes à cette manifestation, la communauté musulmane du Bénin appelle le gouvernement suisse au respect de la liberté des religions. Pour le roi de Savalou, sa majesté le roi Tosso Gbaguidi XIII, l’histoire des mosquées avec minarets remonte à l’antiquité et ne peut aujourd’hui être réfutée par une quelconque idéologie. « Une mosquée sans minaret serait comme une église sans cloche », a-t-il ajouté. Quant au roi d’Allada Kpodégbé Djigla, il a souligné que toutes les communautés religieuses ont le droit de se développer sans entrave et doivent pouvoir cohabiter ensemble pour la sauvegarde de la paix. Une raison qui justifie donc la présence de ces têtes couronnées, venues massivement soutenir la communauté musulmane du Bénin. bibo:pages 1 16 -- o:id 7390 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7390 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7402 26622 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f51b2c0169e81fddac8a905cee95fac2729f9853.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ff57edc4cc993b6cfdfcda34bb6b686f7993a73d.tiff dcterms:title Les politiques exhortés à la tolérance à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12875 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-11-30 dcterms:identifier iwac-article-0003415 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Prières et immolation étaient, vendredi 27 novembre dernier, au menu de la célébration de la fête de l’Aïd el-kébir ou Tabaski, à la place « Idi » d’Akpakpa à Cotonou. A l’occasion, l’imam Ousmane Aboubakar a prié pour la paix au Bénin et exhorté les fidèles à s’inspirer de la vie du prophète Ibrahim et son fils Ismaël. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Prières et immolation étaient, vendredi 27 novembre dernier, au menu de la célébration de la fête de l’Aïd el-kébir ou Tabaski, à la place « Idi » d’Akpakpa à Cotonou. A l’occasion, l’imam Ousmane Aboubakar a prié pour la paix au Bénin et exhorté les fidèles à s’inspirer de la vie du prophète Ibrahim et son fils Ismaël. « Dieu n’a pas besoin du sang ni de la viande, mais de votre foi. Que la foi ne soit pas un habit que l’on porte et enlève à volonté. » Tel était l’essentiel du message délivré par l’imam de la mosquée centrale dé Cotonou, El-Hadj Ousmane Aboubakar. L’imam se fondant sur la sourate Kaoushar, a enseigné aux fidèles que le meilleur des sacrifices qui plaît à Dieu est la soumission de la part des adultes et l’obéissance et la docilité chez les enfants. A l’endroit des centaines de musulmans venus l’écouter, le célébrant a prêché pour une foi sans répit, l’observance des lois divines et la dévotion à Dieu en tout lieu et en tout temps. El-Hadj Ousmane Aboubakar qui est également président de l’Union islamique du Bénin (UIB) du département de l’Atlantique et du Littoral, a rappelé que le croyant ne doit pas craindre la mort. Il faisait ainsi allusion au prophète Ibrahim qui reçut en songe le message divin d’immoler son fils Ismaël à Allah. Et, bien que Ismaël soit son unique fils engendré à 80 ans, Ibrahim était sur le point de l’immoler quand Allah fit remplacer Ismaël par un bélier la fête de mouton de cette année, selon l’imam, était un signe d’abondance de grâce parce qu’elle a coïncidé avec un vendredi qui est d’ordinaire, jour de prêche islamique. A cet effet, les fidèles musulmans ont bénéficié de deux cultes dans la même journée du 27 novembre dernier. Concernant le pays tout entier le président de l’UIB/Atlantique-Littoral, sensible à la convulsion politique ambiante, a invité les différents acteurs à la tolérance et à la patience. Au Seigneur, il a demandé la paix et l’amour pour le Bénin. L'immolation d’un bélier cornu, en présence des anciens ministres Soulé Mana Lawani, Moussa Okanla et Soumanou Moudjaïdou, mit fin à cette célébration. Chaque musulman nanti était invité à immoler un bélier chez lui avant ce jour lundi 30 novembre. La tradition musulmane enseigne de répartir la viande en trois parties : la première pour la famille, la deuxième destinée à l’aumône et la dernière pour les amis. bibo:pages 10 -- o:id 7391 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7391 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7403 26623 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5f0b230adb616d16e1649d0aaf8e97a2d2548b5d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b7705e260fb3130ad15531fa319c07910a5b9634.tiff dcterms:title Coopération Bénin-Libye : des relations diverses et variées à la loupe dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13205 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14772 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13921 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1400 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-07 dcterms:identifier iwac-article-0003416 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste a commémoré, mercredi 1er septembre dernier, le 41e anniversaire de la révolution d’El Fateh. A cette occasion, un bilan de la coopération entre les deux pays qui est vieille de 35 ans a été fait à travers les interventions. Etablie officiellement en 1976, cette coopération entre le Bénin et ce pays d’Afrique du Nord est diverse et variée. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13369 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/403 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste a commémoré, mercredi 1er septembre dernier, le 41e anniversaire de la révolution d’El Fateh. A cette occasion, un bilan de la coopération entre les deux pays qui est vieille de 35 ans a été fait à travers les interventions. Etablie officiellement en 1976, cette coopération entre le Bénin et ce pays d’Afrique du Nord est diverse et variée. Sur le plan sanitaire, la Libye a construit à Porto-Novo l’hôpital d’El Fateh. Dans le même domaine, on peut noter la conclusion d’un accord de coopération en vue d’assurer le bien-être des personnes en situation de handicap depuis 2003. En matière de défense, la collaboration entre les deux pays a permis la formation à Tripoli de nombreux sous-officiers et officiers, la mise à disposition d’équipements militaires et la dotation du Bénin en une station radar. S’agissant des finances et transports, il faut prendre en considération, la réfection de certaines rues de Cotonou, l’étude de faisabilité et le bitumage de la route Parakou-Porga, l’installation de la compagnie aérienne Afriqiyah et la mise en place de la Banque sahélo-saharienne pour l’industrie et le commerce (BSIC). Quant au développement rural, le Bénin a bénéficié en 1980 d’un don de 50 engins de labour dont le coût est estimé à 250 millions de F CFA, notamment 10 bulldozers et des tracteurs de grande puissance. Dans le même registre, il faut citer la signature d’un accord d’aide de 171 millions de francs CFA pour la construction du Centre panafricain de formation coopérative. Dans le domaine socio-culturel, il faut signaler la construction de l’Institut de langue arabe et de la culture islamique (ILACI), dans l’enceinte de l’Université d’Abomey-Calavi, le don à l’Université d'Abomey-Calavi d’équipements scientifiques d’une valeur de plus de 180 millions de francs CFA ; il y a également eu l’équipement du laboratoire de la Faculté d’agronomie de la même entité universitaire. La Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste a offert, également, au Bénin, deux cars de retransmission en direct mis à la disposition de la télévision et de la radio nationales. Pour mieux coordonner les actions, il y a eu l’inauguration le 23 septembre 2005 de la Chancellerie de la Grande Jamahiriya libyenne populaire et socialiste. La Libye a construit un centre comprenant une grande mosquée, une école et un dispensaire à travers l’Association mondiale d’appel à l’islam (AMAI). Avec la mise en place du Fonds de promotion de l’investissement en Afrique, sous l’impulsion du guide de la révolution d’El Fateh, beaucoup de projets seront réalisés, pense le ministre Jean Marie Ehouzou qui a ajouté que la réunion de la Grande commission mixte de coopération cette année devrait permettre de donner un coup de fouet aux échanges bilatéraux. bibo:pages 16 -- o:id 7392 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7392 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7404 26624 26625 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d242a09b40e7f24c23bc469553abe4f2400237b3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/770bf22d3ed1b2a27043234254fc37c031acf777.tiff https://islam.zmo.de/files/original/de4d87bbc3da88d9e93f9d1f2d7219c7fba26551.tiff dcterms:title Présidentielle de février 2011 : l'Union islamique du Bénin prône la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/49 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/102 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2018 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-02-08 dcterms:identifier iwac-article-0003417 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre de la sensibilisation pour des élections apaisées, l’Union islamique du Bénin (UIB) organisera bientôt un symposium national sur le thème « La parole et le comportement : quelle chance pour la paix ? ». Eplorée par la disparition tragique de son vice-président, cette rencontre de plaidoyer pour la paix et la démocratie qui devrait se tenir dans quelques jours, a été reportée sine die, a confié à la presse, hier lundi 7 février à la Mosquée centrale de Jonquet à Cotonou, le secrétaire général du bureau exécutif de ladite union, Faïssou Adégbola. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre de la sensibilisation pour des élections apaisées, l’Union islamique du Bénin (UIB) organisera bientôt un symposium national sur le thème « La parole et le comportement : quelle chance pour la paix ? ». Eplorée par la disparition tragique de son vice-président, cette rencontre de plaidoyer pour la paix et la démocratie qui devrait se tenir dans quelques jours, a été reportée sine die, a confié à la presse, hier lundi 7 février à la Mosquée centrale de Jonquet à Cotonou, le secrétaire général du bureau exécutif de ladite union, Faïssou Adégbola. « Promouvoir la paix et la démocratie au Bénin et participer à la stabilité du climat sociopolitique lors des échéances électorales de 2011 », c’est l’objectif principal assigné au symposium national qu'envisage l’Union islamique du Bénin. Il s’agit, explique le secrétaire général du bureau exécutif de l’UIB, d’instaurer le dialogue entre les acteurs politiques, de sensibiliser les citoyens sur l'importance de la préservation de la paix et les méfaits de la guerre. Aussi, sera-t-il question de rappeler le rôle de la Société civile, des pouvoirs publics et celui de l'Armée lors des échéances électorales, de proposer des approches de solutions pour les problèmes majeurs du processus électoral en cours ainsi que des termes de référence pour les sermons et prêches de vendredi jusqu’aux élections, a ajouté Faïssou Adégbola entouré, lors de la conférence de presse, des personnes ressources de l’union. Mais du fait du décès, samedi 5 février dernier, du premier vice-président de l’UIB, Moudjadidou Damala, imam de la mosquée centrale de Porto-Novo, l’union a décidé de reporter ces assises à une date ultérieure, a confié le conférencier. Toutefois, a-t-il rassuré, le symposium aura bel et bien lieu et regroupera environ 300 participants dont des membres du gouvernement, des députés, des responsables d’autres institutions républicaines, des organisations de la Société civile, du Haut commandement militaire, des partis politiques, etc. Depuis deux décennies, le Bénin s’est caractérisé par un climat sociopolitique apaisé et cité même comme exemple de démocratie et de paix en Afrique. Aujourd’hui, les valeurs comme le consensus, le dialogue, la concertation, sont compromises par un climat sociopolitique de plus en plus tendu. Le conférencier n’en veut pour preuve que les polémiques autour de la réalisation de la Liste électorale permanente informatisée (LEPI), la guéguerre entre l'Exécutif et le Législatif, les controverses suscitées par les décisions de la Cour constitutionnelle, les grèves perlées dans l’administration publique et les déclarations incendiaires provenant des partis politiques aussi bien de l'Opposition que de la Mouvance présidentielle. Prenant la mesure de la gravité de la situation, l’Union islamique du Bénin a identifié le symposium pour la paix et la démocratie au Bénin comme une piste de recherche de solution à l’apaisement de la situation sociopolitique tendue. Elle invite toute la population à cultiver la paix, l’unité et le respect de l’autre, en sachant surtout utiliser le pouvoir du verbe qui, employé à tort et à travers, peut se révéler une arme de destruction pour notre pays. Et, qu’Allah, le Tout Puissant, nous en préserve ! bibo:pages 1 14 -- o:id 7393 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7393 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7405 26626 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/742fb768317289bfa87d230f5da29f78f5a608d7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/acdec5f0128fca6bfeb5f6144ab2e06a00274da8.tiff dcterms:title Malanville : les Koweitiens donnent des vivres aux sinistrés dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13985 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14011 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-01-27 dcterms:identifier iwac-article-0003418 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les Koweïtiens ont offert mardi dernier des vivres aux sinistrés de la commune de Malanville sur le site aménagé de Toungua, par le biais de l'ONG International Islamic Charitable Organisation (IICO), que représente Cheik Abdel Aziz Al Yahaya. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les Koweïtiens ont offert mardi dernier des vivres aux sinistrés de la commune de Malanville sur le site aménagé de Toungua, par le biais de l'ONG International Islamic Charitable Organisation (IICO), que représente Cheik Abdel Aziz Al Yahaya. Ces dons sont composés de 150 sacs de riz de 50kg, 150 moustiquaires, 45 cartons de sucre et de 12 bidons d'huile. Le représentant des sinistrés a remercié les généreux donateurs pour leur geste "combien symbolique". Une prière a été enfin dite afin qu'"Allah le leur rende au centuple". bibo:pages 11 -- o:id 7394 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7394 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7406 26627 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/66695c2bfe6f836ac9b11e5aa65cc72c53b462ff.pdf https://islam.zmo.de/files/original/989ae069795e993b7da7880a458928a9738dc0ff.tiff dcterms:title Religion et laïcité dans la Constitution du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/106 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/812 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14719 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13773 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-12-23 dcterms:identifier iwac-article-0003419 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract « Dans la construction du système d’Etat africain contemporain, l’assertion sous-jacente est que la religion appartient à la sphère privée et que, dans un « vrai » esprit libéral et républicain, elle doit être séparée de l'Etat ». Il ne faut donc pas s’étonner que les auteurs de notre Constitution soulignent ce statut laïc de l’Etat et insistent sur le principe de la séparation de l’Etat et de la religion dans le système de gouvernance béninois. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/300 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content « Dans la construction du système d’Etat africain contemporain, l’assertion sous-jacente est que la religion appartient à la sphère privée et que, dans un « vrai » esprit libéral et républicain, elle doit être séparée de l'Etat ». Il ne faut donc pas s’étonner que les auteurs de notre Constitution soulignent ce statut laïc de l’Etat et insistent sur le principe de la séparation de l’Etat et de la religion dans le système de gouvernance béninois. Cependant il semble clair que la question du rôle de la religion dans la gouvernance ne peut pas être réduite à une question législative/constitutionnelle. Puisque, les raisons et processus sociologiques qui rendent les interpénétrations des sphères publiques et privées telles que les religions et les pratiques religieuses se sont introduites dans la conduite des affaires de l’Etat ; de la même manière elles sont présentes au cours de la création et la reproduction de la sphère publique. Dans les cas extrêmes, des enjeux légaux et politiques directs sont posés, par les partisans des religions dominantes et les porteurs de nouvelles religiosités, au principe et à la pratique de l’Etat laïque pour imposer la reconnaissance du rôle et de la place de la religion dans la vie nationale. De violents conflits ont souvent résulté de la polarisation de tels enjeux De la polarisation sociale causée par de tels enjeux ont souvent résulté, autour de nous, de violents conflits entre chrétiens et musulmans, entre ceux-ci et les adeptes des religions « traditionnelles »; des heurts entre les militants religieux et les forces locales de police ; des conflits ethno-régionaux dans des endroits où la couverture de différentes religions coïncident avec des régions géographiques administratives et l’ethnicité, les pressions continues pour les changements constitutionnels et la réforme de l’administration nationale-territoriale pour s’adapter aux demandes religieuses ; des efforts pour limiter la moralité dans la vie publique à son aspect religieux ; et des campagnes pour la redéfinition des enjeux civiques et les enseignements en accord avec différents credo religieux. La lettre pastorale des évêques catholiques du Bénin; en date du 18 Octobre 2010 m’offre l’occasion de partager avec mes compatriotes des sentiments et des réflexions qui m’habitent à propos de pratiques récentes, porteuses de risques de revendications identitaires. Sans doute serait-il utile et bienvenu d’apporter ma part de réflexion sur les questions comme celles des conflits entre les institutions, de l'obsession des échéances électorales, du grand danger du régionalisme évoquées par cette lettre. Sur cette dernière question, les manifestations du cinquantenaire de l’indépendance du Bénin m'ont permis de préciser mes convictions sur le risque qu'une certaine catégorie de responsables politiques fait courir à notre pays et l’avenir de conflit à l’ivoirienne qu’ils préparent pour les plus jeunes par leur approche parfois ouvertement régionaliste. J’ai dit et je redis, en tant qu’Africain, ma vision du Béninois unique en ce qu’il est à la fois du Nord et du Sud. Je voudrais ici, à partir d’une lecture de notre Constitution, aborder plutôt ma conception de la laïcité de l’Etat et la nature des relations qu’il me parait nécessaire qu’il entretienne avec les organisations religieuses. Je tiens, avant tout, à exprimer ici toute mon adhésion au contenu de cette lettre qui, à mon avis, honore l’épiscopat et trace une démarche concourant à la paix au Bénin et à l'amour réciproque entre nos concitoyens de toutes confessions. Ma satisfaction est d’autant plus grande que nos religieux fustigent l’instrumentalisation politique de la Religion, un phénomène qui a pris son envol depuis ces dernières années. « A ce propos, nous observons depuis quelques années des groupes religieux se transformer de plus en plus en réseau souterrain de clientélisme politique. Cette instrumentalisation de la religion à des fins qui ne sont pas les siennes est dangereuse d’abord pour l’unité même des adeptes ou fidèles de ces confessions, ensuite pour la cohésion nationale », écrivent les évêques. Je sais que la gestion que les Béninois attendent de leurs responsables, et surtout les fidèles, c’est de respecter le sacré, d’éviter d’avilir la foi et la louange faite au Créateur. Ma foi en Dieu, qui conduit et justifie mon engagement aux côtés de mes concitoyens, m’incline à respecter les convictions et pratiques religieuses saines, celles qui, dans l’Islam, les religions chrétiennes, traditionnelles et autres, élèvent le croyant et le rapprochent de son créateur. Ces convictions et ces pratiques sont nécessairement porteuses de paix, d’amour et de tolérance dans la société. De ce point de vue, elles concourent à la stabilité de l’Etat. La mission d’un Président de la République, doit être de promouvoir la cohésion nationale, de prévenir toute tension sociale, de faire procéder à l’extinction de tout foyer de violence. La force dont il doit user pour l’heureux accomplissement de cette mission sera la force d’une politique de justice sociale la plus large possible et qui aura pour socle l’écoute permanente du peuple, l’écoute permanente de toutes les couches de la société, l’écoute permanente des garants de la morale que sont en principe les organisations religieuses. La société béninoise n’est pas encline à la violence, parce qu’elle se tient éloignée de l’intolérance et de ses fanatismes. J’observe, avec bonheur, que la Constitution du 11 décembre 1990 a prévenu notre pays contre tout fanatisme religieux, phénomène qui, je viens de le souligner, n’appartient ni à notre tempérament, ni à notre tradition, ni à notre histoire. Forte de cette convivialité de fait, notre Constitution porte haut le flambeau de la tolérance et de l’acceptation de l’autre en matière de religion. Elle le fait en posant, dès l’article 2 alinéa 1, les balises de la laïcité. La République du Bénin est une et indivisible, laïque et démocratique... L’Etat laïc est en effet un Etat non confessionnel. Cela veut dire que le domaine de la croyance religieuse n’est ni de sa responsabilité ni de ses attributions. Il va de soi que l’Etat n’a pas à se mêler de ce que croient les citoyens ou de ce qu’ils ne croient pas, qu’il n’a pas à se mêler de la foi qu’ils professent ou ne professent pas, ni de la manière dont ils la professent. Il va de soi, mais encore fallait-il le dire et le consigner clairement dans la Constitution ! L’Etat ne favorise ni ne défavorise la croyance religieuse ; il adopte à l’égard des religions une stricte neutralité. S’il faut donner un exemple, je dirai qu’il ne fait ni chaud ni froid à l'Etat béninois que les croyants ou non croyants béninois honorent les Tables de la Loi de Moïse ou les cinq Piliers de l’Islam. Qu’ils les ignorent, les respectent ou les violent, l’Etat n’a rien à y voir, tant que leur attitude pie ou impie ou d'indifférence totale ne porte pas atteinte aux droits humains, ne porte pas atteinte à la paix des citoyens dans la Cité, ne porte pas atteinte au principe sacro-saint du vivre-ensemble des Béninois au Bénin. Et c’est encore notre Constitution qui le stipule en son article 9 : Tout être humain a droit au développement et au plein épanouissement de sa personne dans ses dimensions matérielle, temporelle» intellectuelle et spirituelle, pourvu qu’il ne viole pas les droits d’autrui ni n’enfreigne, l’ordre constitutionnel et les bonnes mœurs. Et il n’y a pas de raison pour que l’Etat et les religions ne s’accordent pas sur "les droits d’autrui, Tordre constitutionnel et les bonnes mœurs” dès lors que la Constitution affirme et reconnaît “la dimension spirituelle” de la personne humaine, dimension sur laquelle revient l’article 10 en énonçant que : ... L’Etat a le devoir de sauvegarder et de promouvoir les valeurs nationales de civilisation tant matérielles que spirituelles ... Valeurs matérielles et spirituelles à égalité. Or, les religions constituent la seule instance qui s’intéresse en priorité à la dimension spirituelle de l’homme. On pourrait dès lors s'étonner et s’interroger sur la capacité de l’Etat, en charge de la dimension matérielle de la personne, à observer une stricte neutralité vis-à-vis du fait religieux en charge de la dimension spirituelle de la personne. La question peut d’ailleurs être inversée. Et cette possible inversion porte en filigrane la nécessité d’une entente cordiale entre Etat et religions. Etonnement et interrogation ne peuvent résulter que d’une certaine incompréhension ou d’une certaine confusion. Et il convient maintenant d’éclairer davantage la laïcité affirmée à l’article 2 de la Constitution. L’Etat béninois coiffe un pays - composé de citoyens aux deux dimensions matérielle et spirituelle. L’Etat béninois coiffe un pays où les citoyens expriment la dimension spirituelle de leur être à travers plusieurs religions, ce qui fait du Bénin un pays multiconfessionnel. Dès lors, et pour être également au service de tous, l’Etat béninois se doit de n’afficher aucune confession religieuse, ce qui se traduit par sa stricte neutralité vis-à-vis des religions. Or, neutralité de l’Etat vis-à-vis des religions ne veut pas dire athéisme de l’Etat, loin de là. Et je n’en veux pour preuve que la présence première de Dieu à la prestation de serment du Président de la République : «Devant Dieu, les mânes des ancêtres, la Nation ... » En son article 53, notre Constitution fait obligation au Président de la République de prendre, en tout premier lieu, Dieu à témoin de son serment. Mais ce Dieu n’est pas identifié parce qu'il est le Dieu de tous, aussi bien des philosophes, des théologiens que de la tradition ancestrale. L’Etat laïc mais non athée se tient à égale distance de toutes les conceptions de Dieu. Cette position lui permet de solliciter également toutes les confessions religieuses pour la consolidation de la République, de la démocratie et de l’Etat de droit. Car neutralité de l’Etat vis-à-vis des religions ne veut pas dire indifférence de l’Etat vis-à-vis des religions et des organisations religieuses. Une telle indifférence est, du reste, impossible. L’Etat laïc et non théocratique doit obtenir des religions et de leurs adeptes qu’ils conjuguent leurs efforts et les fassent converger vers le bien commun des citoyens au sein de la Cité. Ainsi le veut d’ailleurs notre Constitution en son article 14 : Les institutions et les communautés religieuses peuvent également concourir à l’éducation de la jeunesse. Les écoles privées, laïques ou confessionnelles, peuvent être ouvertes avec l’autorisation et le contrôle de l’Etat. Les écoles privées peuvent bénéficier des subventions de l’Etat dans les conditions déterminées par la loi. Dans les faits, cette coopération Etat/religions recouvre toute entreprise qui élève l’homme, qui élève le citoyen béninois. Coopération est en effet le maître-mot. La Constitution du 11 décembre 1990 instaure l’entente cordiale, instaure la paix entre l’Etat et les religions En creux, elle leur interdit de se concurrencer au sens de se combattre ; en relief, elle leur fait devoir de concourir. Concourir au bien de la Cité. Et qu’il me soit permis ici de dire que, par des clins d’œil de l’histoire, qui ne tiennent pas nécessairement du hasard, je me sens personnellement au confluent de trois grandes religions de notre pays. Né et baptisé musulman, j'ai été élevé par un père dont la première épouse de Covè était chrétienne et avait ses racines dans le culte animiste. De ce fait, je connais par cœur et par le cœur affectif la tolérance religieuse. Je suis, comme beaucoup d’autres Béninois, le fruit d’un œcuménisme certain mais pas suffisamment pris en compte. Le problème, si problème il y a, est celui de l’Etat qui, au lieu de solliciter, peut vouloir manipuler voire contrôler le fait religieux à des fins politiciennes. Le problème, si problème il y a, est celui des chefs religieux qui, au lieu de concourir avec l’Etat au bien commun, peuvent vouloir se mettre à son service pour des intérêts non religieux, au risque de laisser l’Etat manipuler, voire contrôler la confession religieuse au nom de laquelle ils parlent. Dans un cas comme dans l'autre, la cohésion nationale y perd, les surenchères malhonnêtes y gagnent, le désarroi des citoyens peut s’ensuivre et un certain désordre s’installer. Il revient donc aux responsables de l’Etat et aux responsables des confessions religieuses d’éviter à tout prix toute confusion des genres, toute collusion indécente entre l’Etat et les religions, parce qu’une telle collusion ne peut que nuire gravement à la nation. Et de préférer une démarche de concertation régulière dénuée de la tentation d’instrumentation que dénoncent les chrétiens. La lettre pastorale, la démarche louable qu'entreprennent des églises chrétiennes et les organisations musulmanes pour faire triompher une démarcation raisonnable d’avec le parti pris politique me donnent espoir et me réconfortent. Elles balisent le chemin que je souhaite aider notre pays à emprunter désormais pour renforcer notre unité nationale et la Paix et renouer avec l’esprit de la conférence nationale. Le concert est beau quand chacun joue convenablement partition. bibo:pages 2 -- o:id 7395 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7395 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7407 26628 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/56a901d70c4214b7c814fa98f446b78069630421.pdf https://islam.zmo.de/files/original/af7e729b1b30f5dc8104481345a06797dca9596d.tiff dcterms:title Lutte contre la pauvreté : des femmes d'affaires koweïtiennes sur les chantiers de l'AMA au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1948 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13945 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15516 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14072 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1973 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13810 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-12-03 dcterms:identifier iwac-article-0003420 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une délégation de femmes d’affaires et chefs d’entreprises de Koweït membres de l’Agence des musulmans d’Afrique (AMA) séjourne au Bénin depuis le mercredi 1er décembre dernier pour visiter les chantiers réalisés par cette agence koweïtienne dans notre pays. A sa descente d’avion, elle a été accueillie à l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cotonou par le premier responsable de l’agence au niveau mondial, Dr Smith Abdouramane, le représentant de cette ONG au Bénin, Hamid Elabsodi et Grâce Lawani qui représentait le gouvernement béninois. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/281 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/384 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une délégation de femmes d’affaires et chefs d’entreprises de Koweït membres de l’Agence des musulmans d’Afrique (AMA) séjourne au Bénin depuis le mercredi 1er décembre dernier pour visiter les chantiers réalisés par cette agence koweïtienne dans notre pays. A sa descente d’avion, elle a été accueillie à l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cotonou par le premier responsable de l’agence au niveau mondial, Dr Smith Abdouramane, le représentant de cette ONG au Bénin, Hamid Elabsodi et Grâce Lawani qui représentait le gouvernement béninois. Ladélégation est composée de Sahar Ali, Abdourazak Assalh, Samard Walid Daoud, Abrar Almouslim et Dalal Assair. Ces quatre femmes d'affaires et chefs d'entreprises koweïtiennes sont en visite de travail au Bénin. Un séjour qui entre dans le cadre du renforcement des capacités économiques et sociales des femmes béninoises et de la dynamisation des relations de coopération et d'affaires qui existent depuis plusieurs décennies entre le Bénin et le Koweït. Les quatre femmes d’affaires sont toutes membres de l’Agence des musulmans d’Afrique (AMA), une ONG internationale présente dans 35 pays d’Afrique et qui a pour crédo de réduire la pauvreté en Afrique. L’AMA intervient au Bénin depuis les années 90. Mais ses activités seront officialisées après la signature en 1997 de son accord de siège avec le gouvernement béninois. Les œuvres sociales de cette ONG sont remarquables à maints égards sur le terrain. Plusieurs centres socio-éducatifs sont à mettre à son actif tant dans les domaines de la santé que de l’éducation. L’agence a construit quatre orphelinats dans quatre communes du Bénin en l’occurrence Cotonou, Pobè, Parakou et Bassila. Chacun de ces orphelinats abrite une école, un centre de santé et une salle informatique. On y compte 200 enfants orphelins, toutes religions confondues. L’éducation, la santé et l’hébergement de ces 800 enfants sociaux sont entièrement assurés par l’AMA aussi soutenue par des donateurs koweïtiens et autres personnes de bonne volonté. L’ONG intervient également dans les domaines de forage de puits aux populations en zones déshéritées. Aujourd’hui, plus de 1000 points d’eau ont été construits sur toute l’étendue du territoire béninois. L’ONG assiste également les couches les plus défavorisées en vivres et en vêtements. Toujours dans sa volonté d'aider les pauvres, l’AMA fait venir chaque année au Bénin une équipe d’ophtalmologues pour consulter et traiter les malades de cataracte. 5 milliards FCFA déjà investis au Bénin Selon une évaluation faite en 2006, plus de 5 milliards de francs CFA ont été déjà investis au Bénin par cette organisation sociale. Il s’agira alors pour cette délégation d’aller toucher du doigt les réalisations financées par cette agence, s’enquérir de leurs impacts sur les bénéficiaires et enregistrer les problèmes et doléances de ces derniers. Pendant leur séjour qui dure une semaine, les quatre femmes d’affaires et chefs d’entreprises accompagnées du premier responsable de cette ONG au niveau mondial, Dr Smith Abdouramane, présent au Bénin depuis le mardi 30 novembre dernier, du représentant de l’AMA dans notre pays, Hamid Elabsodi et des autorités béninoises, auront à visiter les communes bénéficiaires des œuvres de cette agence. Il est prévu qu’elles se rendent dans les orphelinats de Fidjrossè à Cotonou, de Pobè, de Parakou et de Bassila. Aussi auront-elles des séances de travail avec de hautes autorités du Bénin notamment le président de la République, Boni Yayi, le ministre en charge de la Famille, Mamata Mèba Bio Djossou et le président de la Chambre de commerce d’industrie du Bénin (CCIB), Ataou Soufiano. La délégation s’entretiendra naturellement avec les femmes d’affaires et chefs d’entreprises béninoises pour voir quel type de collaboration elles pourraient développer ensemble. Après cette série de rencontres, la délégation va quitter le sol béninois le mercredi 8 décembre prochain. bibo:pages 11 -- o:id 7408 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7408 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7425 26629 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ed2ff9d0d7b6611ac6be81bc468b079152e2fd56.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a3a6f21c2d4e6f7465da01c6449848497d3b7354.tiff dcterms:title Tabaski dans la Donga : un partage de viande du mouton tourne au vinaigre dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-11-22 dcterms:identifier iwac-article-0003421 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une femme au foyer, la cinquantaine environ, a été brûlée au second degré par de l’eau bouillante vendredi dernier au quartier Baparapéi de Djougou par sa coépouse à cause, apprend t-on, d’une dispute liée à la distribution de la viande de la fête de la Tabaski qui a mal tourné. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une femme au foyer, la cinquantaine environ, a été brûlée au second degré par de l’eau bouillante vendredi dernier au quartier Baparapéi de Djougou par sa coépouse à cause, apprend t-on, d’une dispute liée à la distribution de la viande de la fête de la Tabaski qui a mal tourné. Tout a commencé lorsque la victime, dame Safia Yari, a reçu des menaces de sa coépouse, dame Hatika Sériki pour avoir bénéficié, selon celle-ci, de la plus belle part à l’issue du partage de viande opéré par leur mari à l’occasion de la célébration de l’Aïd el Kabîr. Après avoir arraché à sa rivale le lot de viande objet du litige, dame Hatika Sériki multiplie des attaques et provocations. Mécontente d’échouer à chacun de ses coups et résolue à se venger, elle prit sur elle-même la décision d’en finir avec sa coépouse. L’arme du crime qui n’est rien d’autre que l’eau portée à ébullition pendant de longues heures à l’insu de la victime. Hatika Sériki saisit un moment d’inattention de sa rivale ce vendredi vers 19 heures pour commettre son forfait. Elle lui déversa alors l’eau chaude sur le corps, la brulant très gravement dans le dos et sur la poitrine. Face au cri de détresse de la blessée, elle prit ses jambes au cou et demeure introuvable. De sources médicales compétentes, dame Safia Yari est hors de danger. bibo:pages 14 -- o:id 7409 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7409 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7426 26630 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/15c3513790186753dbad3bcc8d97850e3ff8fc34.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2da4131f1fc13f48603b0bd2b6fa82372b59d96c.tiff dcterms:title Fête de Tabaski ou l'Aïd El Kébir : la date selon le calendrier lunaire dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2020 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-11-18 dcterms:identifier iwac-article-0003422 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La date de la Tabaski dépend du calendrier lunaire, elle n’est connue qu’une semaine à l’avance par décision d’une commission nationale. Le grand jour arrive : le matin les hommes se rendent à la prière dans leurs boubous empesés, et les vieilles femmes aux pieds teints au henné. Sur ce point le Saint Coran dans la sourate 10 (5) insiste : «Il est celui qui fit du soleil une clarté et de la lune une lumière et qui détermina des mansions «la lune». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La date de la Tabaski dépend du calendrier lunaire, elle n’est connue qu’une semaine à l’avance par décision d’une commission nationale. Le grand jour arrive : le matin les hommes se rendent à la prière dans leurs boubous empesés, et les vieilles femmes aux pieds teints au henné. Sur ce point le Saint Coran dans la sourate 10 (5) insiste : «Il est celui qui fit du soleil une clarté et de la lune une lumière et qui détermina des mansions «la lune». En faisant l’historique de la Tabaski, El Hadj Youssouf Ligali explique qu’après un rêve où Dieu lui ordonna de tuer son unique fils Ismaël âgé de 12 ans environ, Ibrahim décida d’exécuter l’ordre avec le consentement de sa femme Hadjara et de son fils pour prouver à son créateur sa grande ferveur. C’est ainsi qu’au milieu de l’accomplissement du sacrifice à Mouna, actuel lieu d’immolation des moutons de la Tabaski à la Mecque, Dieu envoya à Ibrahim un mouton par le biais de l’Ange Jibril, qu’il égorgea à la place d’Ismaël. C’est pour se rappeler ce geste de croyance énorme du prophète Ibrahim et de sa famille que les musulmans du monde entier perpétuent aujourd’hui la tradition. La Tabaski est la plus grande fête des musulmans. Chaque père de famille musulmane doit tuer un mouton pour célébrer le sacrifice d’Abraham. bibo:pages 7 -- o:id 7410 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7410 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7427 26631 26632 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5ab3fa91f4818a9c6f9ddc149443885b388557e6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/38063d37af21022fa738681e82bb2c70802d684e.tiff https://islam.zmo.de/files/original/21d539f30955eaf14624d8b97f75eb41e2aec7a9.tiff dcterms:title Fête de Tabaski ou l'Aïd El Kébir : soumission et partage prêchés à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12968 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/49 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/762 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14908 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-11-18 dcterms:identifier iwac-article-0003423 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Des musulmans de la ville de Cotonou ont participé, nombreux mardi 16 novembre dernier à la place Idi à Akpakpa, à la prière de la fête de Tabaski. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Des musulmans de la ville de Cotonou ont participé, nombreux mardi 16 novembre dernier à la place Idi à Akpakpa, à la prière de la fête de Tabaski. Soumission et partage», «telles sont les valeurs morales autour desquelles la prêche de l’édition 2010 de la fête de Tabaski s’est déroulée à la place Idi d’Akpakpa, L'imam Ibrahim Ousmane « invite tout le peuple béninois à prendre conscience de sa situation actuelle et à se soumettre à Dieu ». Il rappelle que la vie est un faisceau d’intérêts où chaque homme lutte pour arracher ou préserver les siens. « Dieu est d’ailleurs contre ceux qui croisent les bras. », proclame l’imam qui s’est empressé d’ajouter qu’un homme n’obtient que ce qui lui est destiné par la providence. « Personne ne peut rien contre la volonté de Dieu », conclut Ibrahim Ousmane. L’imam et les fidèles venus en nombre malgré l’inondation de l’arrière cour de la place remercient Allah de la grâce de vivre une fois encore la Tabaski. Les felicitations et autres civilités s'échangent entre les fidèles d'une part, et l'imam d’autre part. L’instant d’après, Ibrahim Ousmane descend du podium, se saisit d’un couteau, prononce quelques mots sacrés, immole un bélier à longues cornes, ligoté par trois de ses pattes, déposé au bord d’un petit trou rempli au tiers de sa profondeur. Le sang gicle de la gorge de l’animal, l’imam pointe vers le ciel le couteau maculé de sang et prononce à nouveau quelques mots. Le reste des fidèles encore sur place répond en choeur, à leur tour, le doigt pointé vers le ciel. « Le sang du bélier est ainsi échangé contre le sang humain et nos âmes », explique l’imam. Il fait ainsi allusion à la substitution de Ismaël par un bélier. Ce fils que son géniteur Ibrahim devrait immoler en respect de la promesse faite à Dieu. La pratique aussi vieille que la religion va se perpétuer dans les domiciles. La viande de chaque mouton immolé doit être distribuée entre voisins et autres nécessiteux. Outre la matérialisation du concept de partage, ce geste, selon l’ancien ministre Soumanou Moudjaïdou traduit le respect des enfants vis-à-vis de leurs parents, le respect de la parole donnée, la foi en Dieu... Quant au préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral, Jules Honorat Hessou, il a indiqué que la Tabaski est une fête de fraternité entre toutes les communautés béninoises. A chaque Tabaski, sa tentative de vol Dans les rangs des fidèles venus prier hier sur la place Idi à Akpakpa, se trouvait un indélicat. Appareil photographique au cou, la trentaine environ, le sieur profite de l’instant d’immolation du bélier que personne ne voulait se faire conter pour commettre son forfait. Il venait de réussir l’exploit de soustraire de l’ours de la camera de l’équipe de reportage de l’ORTB les deux téléphones portables du reporter Wahab Ali Kpara. Ce dernier croyait y dissimuler ses bijoux de GSM. Mais c’était sans compter avec la vigilance du cadreur de l’équipe de reportage. Il surprend le photographe encore affairé autour de l’ours de la camera. Un chargeur en main et l’un des portables dérobés sonnant dans l’une de ses poches. Emile Lougbégnon reconnaît la sonnerie du portable de son coéquipier de reportage. Interpellé, le photographe tente de mettre maladroitement le forfait sur le compte d’un fidèle musulman qu’il n'a pas réussi non plus à identifier. Le cadreur hèle les agents de sécurité. L’indélicat nie les faits, les portables étant déjà repris par Emile Lougbégnon. A la Tabaski de 2009, ce fut un ancien ministre des Finances qui avait failli se faire dérober une enveloppe de billets de banque. N’eût été sa propre vigilance... C’est à croire que les indélicats sont à l'affût à chaque édition de la Tabaski. D. V. bibo:pages 1 7 -- o:id 7411 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7411 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7428 26633 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/954febcce2bce1944f0c0a0e3ae9b7a0fb4a81c5.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a9ea1eda71516c607fcb1cbde4dba233d4a573b6.tiff dcterms:title Fête de Tabaski ou l'Aïd El Kébir : la tradition sacrifiée à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-11-18 dcterms:identifier iwac-article-0003424 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Fortement recommandé à tout musulman, le sacrifice du mouton qui est l’essence même de l’Aïd El Kébir, une continuité de l’acte exécuté par le prophète Abraham en guise de soumission à Allah le Tout Puissant, n’est pas une obligation imposée aux fidèles qui n’en ont pas les moyens. Mais étant donné que chaque poil d’un bélier immolé est porteur d’une bénédiction et que le moment venu, c’est le même animal qui se présentera à celui qui l’aura sacrifié, pour assurer son transport au paradis, on comprend alors l’obsession des uns et des autres à s’en procurer au moins un, quel que soit son prix. Les fidèles musulmans de la cité des Kobourou, conscients de ces réalités, n’ont pas voulu être du reste. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Fortement recommandé à tout musulman, le sacrifice du mouton qui est l’essence même de l’Aïd El Kébir, une continuité de l’acte exécuté par le prophète Abraham en guise de soumission à Allah le Tout Puissant, n’est pas une obligation imposée aux fidèles qui n’en ont pas les moyens. Mais étant donné que chaque poil d’un bélier immolé est porteur d’une bénédiction et que le moment venu, c’est le même animal qui se présentera à celui qui l’aura sacrifié, pour assurer son transport au paradis, on comprend alors l’obsession des uns et des autres à s’en procurer au moins un, quel que soit son prix. Les fidèles musulmans de la cité des Kobourou, conscients de ces réalités, n’ont pas voulu être du reste. Parés de leurs atouts de fête, ils ont pris d’assaut les places Idi de Zongo, de l'OCBN et du CARDER. Avec à leurs côtés, les autorités politico-administratives de la préfecture et de la commune, ils ont loué et invoqué le Tout Puissant, puis suivi les sermons des imams qui dans leur ensemble, ont prié pour la sauvegarde de la paix au Bénin. Les imams ont demandé au Seigneur d’accorder sa grâce au peuple béninois et à ses dirigeants. C’est après la formalité du sacrifice d’un bélier par l’imam sur les différents lieux de prières en signe d’autorisation, que les fidèles, de retour chez eux, ont procédé à leur tour à l’acte de l’immolation. Pour se faire pardonner leurs péchés, tous ont pris le soin, selon les recommandations, de ne pas perdre de vue le premier jaillissement de sang de la gorge des animaux sacrifiés. Après avoir fait montre de leur sens du partage et de la solidarité en fonction de l’embonpoint de l’animal qu’ils ont tué, chacun d’eux a fêté à sa manière chez lui, en mangeant et en buvant licite. Les festivités se sont poursuivies, à travers des manifestations de réjouissance dans la ville, des visites aux parents et aux amis. bibo:pages 7 -- o:id 7412 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7412 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7429 26634 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/911abd89d586106d0ec9b49bc491fee306481568.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6c1d5fc23d4c01937ad39528e439837de27dfdf5.tiff dcterms:title Fête de Tabaski ou l'Aïd El Kébir : les musulmans de Godomey ont prié pour la paix au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1573 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1946 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1420 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-11-18 dcterms:identifier iwac-article-0003425 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans de Godomey à l’instar de ceux du Bénin, ont célébré, mardi 16 novembre dernier, la fête de la Tabaski. La grande prière précédant les festivités, s’est déroulée à la place publique du CEG de Godomey, en présence de nombreux fidèles dont le ministre de l'Energie et de l’Eau, Sacca Lafia. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans de Godomey à l’instar de ceux du Bénin, ont célébré, mardi 16 novembre dernier, la fête de la Tabaski. La grande prière précédant les festivités, s’est déroulée à la place publique du CEG de Godomey, en présence de nombreux fidèles dont le ministre de l'Energie et de l’Eau, Sacca Lafia. « Aujourd’hui, c’est un grand jour pour tout musulman. C’est un jour de solidarité, de sacrifice et de prières. Nous avons prié pour le Bénin. Nous avons prié surtout pour la paix car, nous sommes à quelques mois des élections. Nous avons prié pour que les prochaines élections se déroulent dans la paix et dans la transparence ». Ce sont les mots du ministre Sacca Lafia à la fin de la prière de la Tabaski. Une prière qui s’est déroulée devant des centaines de fidèles musulmanes et musulmans parés de leurs plus beaux vêtements, reprenant en choeur les cantiques, louanges et prières de l’Imam, destinés à Allah, Dieu Tout Puissant, et à Mahomet son prophète. La grande prière a pris fin par l'immolation du mouton par l'Imam de la mosquée de Godomey Hamidou Dankoro. Pour lui, ce rituel est obligatoire pour tout musulman qui a les moyens de s’acheter un mouton, un bœuf ou même un chameau. « Le musulman tue l’animal et le partage », a-t-il déclaré. Selon l'imam, conformément aux Saintes Ecritures, « Dieu a demandé en rêve à Ibrahim de sacrifier son fils unique Ismaël pour lui prouver sa foi. Ibrahim était sur le point de le faire, quand l’Ange Gabriel est apparu et lui a demandé d’immoler un mouton en lieu et place de son fils, en reconnaissance de son engagement. C’est ce qui explique la célébration de la Tabaski ». Il a ajouté, qu’en plus de la prière pour la paix pour le Bénin, les musulmans ont eu une pensée pour les pèlerins qui sont actuellement à la Mecque. Enfin, il se réjouit de la pérennisation de ce rituel de l’islam avant d’inviter une fois encore, chaque musulman à sacrifier à la tradition selon ses moyens. bibo:pages 7 -- o:id 7413 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7413 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7430 26635 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a96382d487a75ded6b5abc8bc9e9c6abde5aa7bf.pdf https://islam.zmo.de/files/original/19a1ad43e5ed0241fb96fce1e1af778419cfb309.tiff dcterms:title Signature d'accords de prêt du Fonds saoudien de développement : plus de 11 milliards de francs CFA au profit du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13748 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-11-10 dcterms:identifier iwac-article-0003426 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre de l’Economie et des Finances et le vice-président et directeur général du Fonds saoudien de développement ont procédé, hier mardi 9 novembre, à la signature de deux accords de prêt. Les ressources mobilisées sont destinées à la construction du centre universitaire de Kétou et de l’hôpital de zone de Savè. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/343 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/393 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre de l’Economie et des Finances et le vice-président et directeur général du Fonds saoudien de développement ont procédé, hier mardi 9 novembre, à la signature de deux accords de prêt. Les ressources mobilisées sont destinées à la construction du centre universitaire de Kétou et de l’hôpital de zone de Savè. Les travaux de construction du centre universitaire de Kétou et de l’hôpital de zone de Savè vont certainement démarrer dans les jours, voire les semaines à venir. La phase de mobilisation de ressources financières pour ces infrastructures a connu une étape décisive à travers la signature des accords de prêts entre le gouvernement béninois et le Fonds saoudien de développement, hier à Cotonou. Le montant total de ces deux accords est estimé à 11, 15 milliards de francs CFA dont 5,75 milliards FCFA pour le centre universitaire de Kétou et 5,4 milliards FCFA pour l’hôpital de zone de Savè. Selon Youssef I. Al-Bassam, vice-président et directeur général du Fonds saoudien de développement, son institution se réjouit de l’appui important qu’elle apporte au renforcement du système éducatif et des services de santé et, par ricochet, au bien-être des populations béninoises. Ces prêts, indique-t-il, vont ainsi accroître les interventions du fonds qui s’est déjà manifesté au Bénin à travers le financement du projet de protection de la côte Est de la ville de Cotonou. Youssef I. Al-Bassam a rassuré les autorités béninoises de la disponibilité de son institution à donner une suite favorable aux négociations en cours concernant notamment l’appui au projet de bitumage de la route Kandi-Sègbana ainsi que la construction des centres universitaires d’Abomey et de Djougou. Cet important appui du Fonds saoudien permettra, à en croire Idriss Daouda, ministre de l’Economie et des Finances, de réaliser, d’une part, la partie A du projet de construction du centre universitaire de Kétou qui regroupe les travaux de génie civil et l’acquisition de mobilier et équipements ainsi que les services d’ingénierie et de supervision des travaux. « La partie B du projet d'un coût approximatif de 2 milliards de francs CFA concerne les travaux de génie civil et l’équipement du bâtiment administratif à Cotonou, les services d’ingénierie et de supervision et sera, financée par le gouvernement du Bénin », ajoute le ministre. D’autre part, le projet de construction de l’hôpital de zone permettra de doter la commune de Savè d’une infrastructure sanitaire d’une capacité de 100 lits avec tous les services dignes d’un hôpital de zone. « Je suis heureux de constater que le Fonds n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. Il s’est engagé à apporter son appui aux secteurs de l’eau et de l’énergie ainsi que celui de l’agriculture », confie Idriss Daouda qui a rassuré le bailleur des dispositions diligentes qui seront prises pour l’accomplissement des formalités d’entrée en vigueur des accords. Ces financements portent à 18,60 milliards de francs CFA les interventions du Fonds saoudien de développement au Bénin. bibo:pages 11 -- o:id 7414 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7414 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7431 26636 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/55290f722b3075c3b0b0e9179652f07d766033c9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d46868c13457439e10bab67575e843436d852f64.tiff dcterms:title Pèlerinage à la Mecque : le chef de l'Etat s'assure des conditions de voyage des pèlerins à l'aéroport dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-11-08 dcterms:identifier iwac-article-0003427 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans l’après-midi du vendredi 5 novembre dernier, le chef de l’Etat, le président Boni Yayi a rendu visite aux pèlerins à l’aéroport Bernardin Cardinal Gantin, en partance pour la Mecque. Cette descente lui a permis de voir les conditions dans lesquelles ces pèlerins voyagent cette année comparativement aux années antérieures où il n’y avait aucune organisation en la matière. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans l’après-midi du vendredi 5 novembre dernier, le chef de l’Etat, le président Boni Yayi a rendu visite aux pèlerins à l’aéroport Bernardin Cardinal Gantin, en partance pour la Mecque. Cette descente lui a permis de voir les conditions dans lesquelles ces pèlerins voyagent cette année comparativement aux années antérieures où il n’y avait aucune organisation en la matière. La communauté musulmane est contente de l’implication du gouvernement dans l’organisation du voyage des pèlerins à la Mecque pour le compte de cette année 2010. Cette reconnaissance a été révélée, vendredi 5 novembre dernier, par le Haut commissaire au pèlerinage Raphiou Toukourou, à l’occasion de la descente du chef de l'Etat à l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin pour rendre une visite aux pèlerins en partance pour la Mecque. Pour Raphiou Toukourou, les choses se sont bien passées cette année. Il y a eu a-t-il souligné, au total 2205 pèlerins inscrits et transportés par des Boeing 747 et au total 7 vols. C’est l’avant dernier vol qui a été effectué le vendredi dernier après celui du 28 octobre qui a été le premier, a indiqué le Haut commissaire au pèlerinage qui estime qu’il y aura des retardataires mais pas de problèmes. C’est une compagnie saoudienne qui assure le transport des pèlerins informe Raphiou Toukourou qui explique que la compagnie évolue au Niger, au Sénégal, au Mali, et a mis à la disposition des pèlerins des Boeing de 450 passagers. Ce qui a permis de faire moins de vols que les années antérieures. Le chef de l’Etat très rassuré des conditions de voyage, a souhaité un bon séjour aux compatriotes à la Mecque et espère qu’ils vont prier pour la nation béninoise pour qu’il y ait la paix aussi bien au Bénin que dans la sous-région et dans le monde. bibo:pages 16 -- o:id 7415 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7415 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7432 26637 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/dd69e032f3f0a22918f3e3d0d85187b1107ec9b7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/efd34172360babc7218937b9605886d3f1dc82fa.tiff dcterms:title Réalisation de la LEPI : des dignitaires religieux et traditionnels appellent à la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/102 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-11-05 dcterms:identifier iwac-article-0003428 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Maison du peuple de la commune d’Abomey-Calavi a servi de cadre, hier jeudi 4 novembre, à une rencontre à laquelle les dignitaires religieux et les têtes couronnées du Bénin se sont prononcés sur la 3è phase de la réalisation du RENA-LEPI. Occasion pour ces derniers de lancer un message de paix et de réconciliation aux hommes politiques du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Maison du peuple de la commune d’Abomey-Calavi a servi de cadre, hier jeudi 4 novembre, à une rencontre à laquelle les dignitaires religieux et les têtes couronnées du Bénin se sont prononcés sur la 3è phase de la réalisation du RENA-LEPI. Occasion pour ces derniers de lancer un message de paix et de réconciliation aux hommes politiques du Bénin. Organisée par le cadre de Concertation des Confessions religieuses et les têtes couronnées (CCCR et TC), cette rencontre a reçu à son ouverture comme à la fin, la bénédiction de l’Iman président, El hadj Mohamed Sanni afin que tout se passe bien et que le Bénin continue de jouir de sa paix. Cette rencontre a permis aux diverses entités réunies de porter leur message de soutien à cette initiative. Selon la déclaration lue par le secrétaire général dudit cadre, Michel Alokpo, les dignitaires religieux et têtes couronnées sont conscients du chemin déjà parcouru dans le processus de la LEPI et de l'enjeu que le pays va en tirer pour se garantir une arme de paix et de grande crédibilité des résultats des urnes. Voilà pourquoi, le cadre invite le peuple béninois à se saisir plus que jamais de l’opportunité qu’est la LEPI pour affirmer tant au plan national qu’international, sa capacité à gérer sa démocratie en toute responsabilité. Une entreprise dans laquelle le Bénin n’a pas le droit d’échouer pour décourager les partenaires techniques et financiers qui sont à remercier, a renchéri la déclaration. Face à la situation actuelle et vu les avantages liés à la réalisation de cet outil important pour le développement du Bénin, les dignitaires et têtes couronnées renouvellent leur confiance à la CPS LEPI et la MIRENA et les exhortent davantage au courage et à la détermination. Aussi, eu égard à tout ce qui précède, le Cadre de concertation des confessions religieuses et les têtes couronnées invitent-ils tous les Béninois âgés d’au moins 12 ans à se faire enrôler dans leurs localités respectives afin de ne pas rater cet important et historique rendez-vous. A cette déclaration se sont ajoutés d’autres messages pour justifier et renchérir le bien-fondé de cette rencontre que l’Iman Mohamed Sanni, président a clôturé par une prière en langue dendi. bibo:pages 11 -- o:id 7416 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7416 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7433 26638 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/958481bc91549fda7baeec1f8bdf360666e726e4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4dfc51cca19d2637f5fb386ab16f6e40bd8ec960.tiff dcterms:title Financement des organisations de la Société civile : le gouvernement appuie les rois et les confessions religieuses dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12980 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1993 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-11-05 dcterms:identifier iwac-article-0003429 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre chargé des Relations avec les Institutions (MCRI) a présidé, hier jeudi 4 novembre 2010, la cérémonie de remise de chèques aux rois et aux endogènes. Cette cérémonie s’inscrit dans le cadre de l’appui du gouvernement à la chefferie traditionnelle et aux organisations religieuses, de la société civile au titre de l’année 2010. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre chargé des Relations avec les Institutions (MCRI) a présidé, hier jeudi 4 novembre 2010, la cérémonie de remise de chèques aux rois et aux endogènes. Cette cérémonie s’inscrit dans le cadre de l’appui du gouvernement à la chefferie traditionnelle et aux organisations religieuses, de la société civile au titre de l’année 2010. Les Organisations de la société civile (OSC) déterminent la conscience tant individuelle que collective et sont garantes de nos valeurs morales et traditionnelles, a reconnu, Zachari Baba Body, ministre chargé des Relations avec les Institutions. Pour la circonstance, il était appuyé par le ministre des Petites et Moyennes Entreprises, Clément Dègbo. Pour le MCRI, les OSC ont joué dans le cadre de l’avènement de la démocratie pluraliste, un rôle particulièrement déterminant. A l’en croire, les OSC sont à l’avant-garde du développement national, du renforcement du dialogue social et du maintien de l’unité nationale et, à ce titre, ont besoin d’être impliqués dans le processus décisionnel et les actions tendant à faire de notre pays, un havre de paix, de justice sociale et équitable. L’appui du gouvernement vise à les doter de moyens en vue du renforcement de leurs capacités afin de leur permettre de mieux jouer les rôles qui leur sont dévolus. « Cela devient davantage nécessaire si nous nous référons à la situation de crise sociopolitique que traverse actuellement notre pays et le rôle que ces organisations ont joué, par le passé, dans le règlement de ce genre de crises », a soutenu Zachari Baba Body avant de les inviter à plus de vigilance et d’équité dans la répartition de cet appui en vue de l’accomplissement de leur mission de prières et de médiation sociale. Le montant total de l’appui s’élève à 325 millions de Francs CFA. Philibert Kpanou, pasteur de l’Eglise du christianisme céleste, porte parole des bénéficiaires, a reconnu que de mémoire de Béninois, aucun gouvernement n’a déjà accordé autant d’attention aux OSC. Tout en témoignant sa gratitude au donateur pour cette largesse, il a souhaité que la paix revienne et règne au Bénin surtout dans le cadre de la période des turbulences politiques que le Bénin aborde. bibo:pages 7 -- o:id 7417 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7417 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7434 26639 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/97480b18b0b2abfcda27c99b052163c2177e784a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c0c865b20c2cfe74bfde6b0b7f6f2da6e0b4e255.tiff dcterms:title Fêtes religieuses : l'Islam n'a pas sa Toussaint dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13832 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13713 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-10-29 dcterms:identifier iwac-article-0003430 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En cette veille de la Toussaint, les Chrétiens notamment les catholiques s'affairent pour célébrer leur saint patron. Quant aux fidèles de l’Islam, ils pensent plutôt mettre à profit cette journée fériée pour « visiter leur ferme » ou « s’occuper d’autres activités. » Pourtant des figures de proue de la religion au Bénin clament que leur prénom est saint ! dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En cette veille de la Toussaint, les Chrétiens notamment les catholiques s'affairent pour célébrer leur saint patron. Quant aux fidèles de l’Islam, ils pensent plutôt mettre à profit cette journée fériée pour « visiter leur ferme » ou « s’occuper d’autres activités. » Pourtant des figures de proue de la religion au Bénin clament que leur prénom est saint ! Rahamane, Waaliyou, Malik, Karimou, Rachidou sont quelques uns des prénoms de musulmans. Dans l'Islam, ces noms font penser à Allah. Ils font partie d’un lot de « quatre-vingt-dix-neuf noms les plus exaltés d’Allah » dans lequel puissent les géniteurs pour baptiser leur progéniture. En dehors de ce lot, d'autres noms évoquent des prophètes Mohamed ou Issa (Jésus en Islam). Les variables observées tant dans l’orthographe que dans la prononciation de l'un ou de l’autre de ces noms relèvent des influences linguistiques. « Mama, Mamadou, Mouhamed » sont inspirés tous par le nom du prophète Mohamed, a indiqué un retraité du ministère de l’Economie et des Finances, El Hadj Ganiyi Mama. Ces noms bien qu’étant pieux ne sont jamais célébrés en un jour particulier. La Toussaint, fêtée le premier novembre prochain, ne concerne pas les fidèles musulmans. L’Islam ne consacre également aucune fête aux morts. Pour El Hadj Ganiyi Mama, c’est tous les jours et lors de chacune des cinq prières quotidiennes que le musulman prie pour ses morts. Le prophète Mohamed continue de bénéficier des prières des fidèles musulmans pour son passage sur terre. Les musulmans n'ont pas de saint patron. Ils ne recourent à aucune personnalité canonisée au cours de leur prière lorsqu’ils se trouvent dans des difficultés de la vie. Une pratique courante chez les catholiques où des saints tels que Michel, Charlemagne, ... sont régulièrement sollicités. Dans l'islam, les noms évoqués pendant la prière sont les quatre-vingt-dix-neuf différents noms les plus exaltés d’Allah. La prière musulmane ne s’adresse qu’à Dieu ou Allah. Dans l'Islam, on ne traite même pas avec les prophètes car « ce sont aussi des pécheurs comme nous autres encore vivants », a conclu El Hadj Mama. bibo:pages 14 -- o:id 7418 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7418 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7435 26640 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ee6a0b48db0a6e86ea6d4b157a5cfee520a01cbc.pdf https://islam.zmo.de/files/original/12fa850a0dccd095d38c41150e842beae38a97ac.tiff dcterms:title Premier contrôle des Béninois au hadj 2010 : la traque aux noix de cola et autres produits prohibés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-10-28 dcterms:identifier iwac-article-0003431 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Mosquée du quartier Zongo à Cotonou est devenue, depuis mardi 26 octobre dernier, le lieu de rassemblement des pèlerins en partance pour la Mecque. Le cadre sert de poste aux premières opérations de fouilles des bagages par les éléments de la commission mixte constituée des structures en charge du hadj 2010. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Mosquée du quartier Zongo à Cotonou est devenue, depuis mardi 26 octobre dernier, le lieu de rassemblement des pèlerins en partance pour la Mecque. Le cadre sert de poste aux premières opérations de fouilles des bagages par les éléments de la commission mixte constituée des structures en charge du hadj 2010. Visage serré. L’air préoccupé. Les convoyeurs sont visiblement très affairés. Une explication à donner par-ci, un voyageur à assister par-là. Ils jouent les entremetteurs entre les pèlerins et la commission mixte de voyage. Ce sont encore eux, les convoyeurs qui sont interpellés ou appelés à réceptionner les produits prohibés retirés des bagages de leurs clients. Chacun des colis des pèlerins est défait, fouillé avant chargement dans le bus apprêté à cet effet. L’opération, sécurisée par un détachement des policiers et gendarmes de l’aéroport précède le contrôle au scanner obligatoire avant tout embarquement pour le vol sur l’Arabie Saoudite. « Grâce à ce travail effectué le mardi dernier, le scanner n’a rejeté que quatre colis sur plus de dix tonnes de bagages convoyées à l'aéroport.» En justifiant ainsi l’importance de l’opération, Nafiou Mayana représentant d'une compagnie aérienne au sein de la commission mixte, se réjouit en fait du gain de temps obtenu quant aux processus d’enregistrement des voyageurs à l’aéroport international de Cotonou. Les produits prohibés Selon l’équipe chargée de la fouille, les huiles, les bouteilles, les objets tranchants... ne sont pas autorisés dans les bagages. La noix de cola fait aussi partie des produits prohibés. Pourtant elle occupe une place de choix dans les bagages fouillés hier à la Mosquée de zongo. Rien à voir avec la provision pour satisfaire le plaisir des pèlerins! Ce produit, à en croire un agent de sécurité de l'opération, n’est pas autorisé à être embarqué en quantité commerciale. Selon Nafiou Mayana, la noix de cola est prisée à Djeddah, destination des pèlerins. C’est donc pour décourager les intentions commerciales de certains pèlerins que la quantité acceptée pour un pèlerin est limitée à trente. La raison : une nix de cola par jour pour la durée du pèlerinage. Ces opérations tout comme les prières auxquelles participent les voyageurs sont les étapes de préparations de leur vol sur la ville sainte de la Mecque en Arabie Saoudite. bibo:pages 7 -- o:id 7419 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7419 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7436 26641 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/df63f1edcd8b61df9118625164814faf5d6ae94c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a787811bfa22dade18a0aecd921dfea327ff8b6f.tiff dcterms:title Toviklin : enfin la réconciliation entre le maire et les musulmans dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/789 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1938 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-22 dcterms:identifier iwac-article-0003432 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le maire de Toviklin, Jean Agbévo, a enfin invité la communauté musulmane dans sa résidence pour régler le différend relatif à la confiscation des vivres à elle destinés pendant le jeûne du ramadan. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/474 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/478 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le maire de Toviklin, Jean Agbévo, a enfin invité la communauté musulmane dans sa résidence pour régler le différend relatif à la confiscation des vivres à elle destinés pendant le jeûne du ramadan. Cette rencontre de réconciliation tenue dimanche dernier a été applaudie par les différentes parties. En effet, le président de l’Union islamique du Couffo, l’imam Chouaïb Ahmed Chitou de la mosquée centrale de Toviklin, a déclaré à la sortie de la séance qu’il y a eu un déficit de communication entre le maire et ses collaborateurs. Et que le maire a décidé de leur remettre les vivres ce mercredi. La communauté musulmane du Couffo a manifesté aussi son mécontentement envers le maire pour avoir interdit la marche. Pour Chitou, «il n’est pas normal de les coller à Ahmadyya » créé vers 1900 alors que l’islam existait depuis l’an 570 ». Toutefois, l’imam rappelle qu’il y a une seule communauté musulmane au monde, promettant de « travailler pour affirmer cette identité unique et la faire reconnaître à toute autorité ». Le maire de Toviklin a, pour sa part, reconnu qu’il avait entre temps refusé d’autoriser la marche parce que pour lui, la gestion des vivres est simple et il n’était pas nécessaire de soulever toute la commune. Il a dit que tout ce différend est réglé avant d'inviter les musulmans à la patience car, « tout problème a sa solution ». ABP bibo:pages 11 -- o:id 7420 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7420 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7437 26642 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a1757c66ee928dd5b6e22188310286180e093867.pdf https://islam.zmo.de/files/original/331b341246bd58f0f75dc89ccd4582e7ebb5c09f.tiff dcterms:title Déclarations du pasteur Michel Alokpo au sujet de l'affaire ICC-Services : les clarifications du Cadre de concertation des confessions religieuses dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1384 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1983 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-21 dcterms:identifier iwac-article-0003433 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Cadre de concertation des confessions religieuses se désengage des propos tenus par son secrétaire général, Michel Alokpo, au sujet du mémorandum de l’ancien ministre Armand Zinzindohoué incriminé dans l’affaire ICC-Services. Au cours d'un point de presse, donné hier lundi 20 septembre à l'église Bethel à Cotonou, en présence de l’intéressé, des membres du bureau du Cadre ont tenu à apporter la clarification que les déclarations du pasteur Michel Alokpo n’engagent que lui et le Cadre de concertation des cadres chrétiens dont il est également le secrétaire général. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Cadre de concertation des confessions religieuses se désengage des propos tenus par son secrétaire général, Michel Alokpo, au sujet du mémorandum de l’ancien ministre Armand Zinzindohoué incriminé dans l’affaire ICC-Services. Au cours d'un point de presse, donné hier lundi 20 septembre à l'église Bethel à Cotonou, en présence de l’intéressé, des membres du bureau du Cadre ont tenu à apporter la clarification que les déclarations du pasteur Michel Alokpo n’engagent que lui et le Cadre de concertation des cadres chrétiens dont il est également le secrétaire général. « Jusqu’à ce jour, le Cadre de concertation des confessions religieuses n’a fait aucune déclaration officielle sur l’affaire ICC-Services. Les déclarations du pasteur Michel Alokpo sont faites au nom du Cadre de concertation des cadres chrétiens dont il est secrétaire général », a clairement affirmé le vice-président du Cadre de concertation des confessions religieuses, le révérend-pasteur Nicodème Ibiladé Alagbada. En tout état de cause, a-t-il poursuivi au nom du collectif, le Cadre encourage les actions et mouvements qui sont pour la culture de la paix et n’entend pas participer ni contribuer « à tout ce qui pourra compromettre la paix et la justice dans notre pays ». Saisissant l’occasion, le Cadre de concertation des confessions religieuses a alors invité les uns et les autres à oeuvrer pour « la paix et la justice » au sein de la patrie béninoise. Claude Urbain PLAGBETO bibo:pages 16 -- o:id 7421 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7421 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7438 26643 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/090bf0d93d8db52cb8556e5aa4cded479c0b2b8f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/725d68246c48373c35f8fab84f4f2891a920a23a.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd-el fitr : intenses moments de prières à Godomey dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1946 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1420 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003434 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans se sont adonnés à la prière marquant la fin du jeûne du mois saint. Les manifestations solennelles se sont déroulées à la place Idi de Godomey, derrière le Collège d’enseignement général de ladite localité et ont été dirigées par l’imam central, Amidou Dankoro. Le gouvernement était représenté par le ministre de l’Energie et de l’Eau, Sacca Lafia et sa collègue de I’Artisanat et du Tourisme, Claudine Prudencio. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/412 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans se sont adonnés à la prière marquant la fin du jeûne du mois saint. Les manifestations solennelles se sont déroulées à la place Idi de Godomey, derrière le Collège d’enseignement général de ladite localité et ont été dirigées par l’imam central, Amidou Dankoro. Le gouvernement était représenté par le ministre de l’Energie et de l’Eau, Sacca Lafia et sa collègue de I’Artisanat et du Tourisme, Claudine Prudencio. C’est aux sons de « Allah Akbar » accompagné d’autres litanies d’Amidou Dankoro reprises en chœur par les fidèles présents à la place publique que les prières ont été conduites. Très tôt, vendredi dernier, les fidèles avaient pris d’assaut la place publique sise derrière le CEG, chacun muni de son tapis et endimanché selon son goût. Même au moment de l’arrivée de l’imam, ils affluaient toujours. C’est cette arrivée de l’homme de Dieu précédée quelques minutes auparavant de l’arrivée des officiels vers 10 heures qui a marqué le début des manifestations qui n'auront duré qu’environ 10 mn. Après les prières, l’imam devant un pupitre a béni les fidèles tout en leur donnant des conseils sur la conduite à tenir et sur la solidarité à observer en de pareilles occasions. «La paix est le terreau sur lequel germe le développement. L’imam a prié pour la paix, car figurez-vous que nous sommes à la veille des élections chez nous; tout doit être fait dans la paix », a expliqué le ministre de l’Energie et de l’Eau, Sacca Lafia qui précise qu’aucune confession religieuse n’a été écartée des intentions de prières de l’imam. Les chrétiens et toutes les autres communautés ont été pris en compte selon le ministre. Claudine Prudencio quant à elle, n’étant pas musulmane, avait assisté à la prière par esprit de solidarité : « Nous sommes venus prier pour la paix. Nous prions tous le même Dieu et l’invoquons surtout à l'occasion des prochaines joutes que nous voulons dans la paix », a ajouté le ministre de l’Artisanat et du Tourisme. « Pas de Na fila à la place Idi ; dites-le ou rappelez-le à vos voisins ; nous attendons l’imam pour la prière ; on s’assied et on attend l’imam », répétaient deux jeunes à l’endroit de l’assistance, un peu pour entretenir l’ambiance d’avant prière. Les fidèles se sont retirés, à la fin, pour aller cuisiner de bons plats et vivre l’Aïd-el fitr. bibo:pages 13 -- o:id 7422 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7422 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7439 26644 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9f1589c828c7d28981c90c495f824722cb113591.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c41a85db8ced410e2408f2413c69017b1f929af5.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd-el fitr : une célébration entamée par la morosité ambiante à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1963 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12888 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003435 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar de certains pays du monde, le Bénin a célébré, vendredi 10 septembre dernier, la fête du Ramadan ou l’Aïd-EI Fitr. Dans la cité des Kobourou, c’est la place Idi de Zongo 2 et bien d’autres emplacements, qui ont été pris d’assaut par la communauté musulmane, pour prier et louer à l’occasion le Tout-Puissant Allah et le prophète Mahomet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar de certains pays du monde, le Bénin a célébré, vendredi 10 septembre dernier, la fête du Ramadan ou l’Aïd-EI Fitr. Dans la cité des Kobourou, c’est la place Idi de Zongo 2 et bien d’autres emplacements, qui ont été pris d’assaut par la communauté musulmane, pour prier et louer à l’occasion le Tout-Puissant Allah et le prophète Mahomet. Après 30 jours d’intenses prières, de jeûne, de mortification et de partage, les fidèles musulmans se sont rendus sur les différentes places Idi dans la ville de Parakou, pour rendre grâce à Allah, le Miséricordieux. Ils l’ont remercié pour ses nombreux bienfaits et pour les avoir soutenus au cours du mois de Ramadan. A Parakou, c’est la place Idi de Zongo 2 qui a accueilli la cérémonie officielle de cette célébration. Les autorités politico-administratives des départements du Borgou et de l’Alibori, ainsi que le maire de la ville, Soulé Allagbé, étaient aux côtés des nombreux fidèles venus participer à cette prière. C’est l’imam de la mosquée centrale de Yara Kinnin, El Hadj Issa Kiré, qui a dirigé la prière bâtie autour de deux versets. Après son sermon suivi par ses bénédictions de stabilité pour le Bénin, puis de paix pour ses autorités, l’imam a ensuite exhorté les fidèles à plus de bonté, de partage, d’amour et de tolérance. Il leur a demandé de continuer à adorer Dieu, plus qu’ils l’ont fait au cours du mois du Ramadan. Le Ramadan est l’un des cinq piliers de l’islam. Il est recommandé à tout fidèle musulman. A travers le mois de jeûne, Dieu a voulu, en offrant l’occasion à tout musulman de se purifier, qu’il se rapproche davantage de lui. La fête du Ramadan qui consacre la fin du mois béni du jeûne, constitue avec la Tabaski, les deux importantes célébrations chez les musulmans. Ainsi, après cette prière du Ramadan et la grande prière du vendredi qui a suivi à 13 heures, les fidèles ont continué les festivités en famille, à leurs domiciles respectifs, selon leurs possibilités. Toujours est-il que, ce ne fut pas avec l’engouement espéré. Il ne pouvait en être autrement avec cette période de morosité caractérisée par la crise économique et financière qui frappe actuellement de plein fouet le Bénin. Dans l’après-midi, que ce soit à Wansirou, Albarika, Tranza; Dépôt, Banikani, Dokpérou autres quartiers de la cité des Kobourou, ce sont les enfants parés de leurs plus beaux atours, ainsi que quelques cavaliers, que l’on pouvait rencontrer, rappelant s’il en était encore besoin, que la fête se poursuivait. Allant on ne sait plus précisément où, ils ont essayé à leur manière, de créer un peu d'ambiance dans les rues. bibo:pages 13 -- o:id 7423 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7423 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7440 26645 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4194e2fdadd6c49b4e63a3a14521c539ddce0488.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0351c07b89a0796804d85b62de5b418cbd8a6aeb.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd-el fitr : les fidèles exhortés à être des modèles à Bohicon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1615 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1405 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003436 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Vendredi dernier, à l’instar des musulmans du monde, ceux de la ville de Bohicon ont sacrifié à la tradition en commémorant le Ramadan après un mois de jeûne. La célébration a commencé par une prière officiée par l’imam de la mosquée de Zongo, Idrissou Aboubakari, qui a exhorté les Jeunes à écouter leurs parents. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Vendredi dernier, à l’instar des musulmans du monde, ceux de la ville de Bohicon ont sacrifié à la tradition en commémorant le Ramadan après un mois de jeûne. La célébration a commencé par une prière officiée par l’imam de la mosquée de Zongo, Idrissou Aboubakari, qui a exhorté les Jeunes à écouter leurs parents. Dès 8h, vêtus de leurs belles tenues, les fidèles musulmans de Bohicon prennent d’assaut la place Idi sise au quartier Zakpo. Munis de leur tapis de prière ou de natte, ils s’installent pour la prière. Une prière d’environ 10 mn dirigée par l’iman Idrissou Aboubakari en langue arabe, conclue par l’amen des fidèles. A la fin de la prière, l’officiant a, dans son prêche, exhorté les parents à bien s’occuper de l’éducation des enfants, et ces derniers à écouter les parents. « Sans une bonne éducation, la société ne peut pas avancer », a-t-il souligné. Le maire Luc Atrokpo, à la tête d’une forte délégation, prend aussi part au culte. «Les musulmans de Bohicon sont nos frères. Nous sommes venus les assister et prier avec eux pour que les prochaines élections se déroulent dans la paix et dans de bonnes conditions », a déclaré le maire qui a porté pour la circonstance une tenue appropriée. Sanni Mama, premier adjoint au maire et fidèle musulman, précise que le carême fait partie des cinq piliers de l’islam. Donnant des explications sur le carême, il dit que Dieu demande aux musulmans au cours de cette période d’être solidaires, de faire de bonnes œuvres et d’être des modèles au sein de la société. Mais il estime qu’il faut aller au-delà. « Il faut qu’après le carême, chaque fidèle continue d’observer les recommandations de Dieu », a insisté Sanni Marna. Après la prière, les fidèles se sont ébranlés vers les maisons où les manifestations se sont poursuivies par des repas entre parents et amis et par des animations. bibo:pages 13 -- o:id 7424 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7424 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7441 26646 26647 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9e1af30c4480bd6a4f6eebe3f6d3b99952b7df73.pdf https://islam.zmo.de/files/original/511df57c5194be0e99a26dd7da5c8961b873fb01.tiff https://islam.zmo.de/files/original/5bfe8337f1304be85b80d5fa2460c0460285548c.tiff dcterms:title Fête de la Tabaski : Ecobank en communion avec la communauté musulmane dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14324 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13041 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1981 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-11-08 dcterms:identifier iwac-article-0003437 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre de la fête de la Tabaski, Ecobank-Bénin a fait don de vivres à la communauté musulmane. Vendredi 4 novembre dernier, une délégation de cette banque est allée remettre ces vivres composés de sacs de riz, de bidons d'huile et de packs d’eau minérale, successivement dans les mosquées de la place Bulgarie à Gbégamey et de Cadjèhoun à Cotonou ; puis à la mosquée centrale de Porto-Novo. C'était une occasion pour la délégation d'annoncer à la communauté musulmane le lancement par Ecobank dans cette semaine, d'une campagne dénommée « Fête de la Tabaski » qui s'étalera sur tout le mois de novembre. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13998 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre de la fête de la Tabaski, Ecobank-Bénin a fait don de vivres à la communauté musulmane. Vendredi 4 novembre dernier, une délégation de cette banque est allée remettre ces vivres composés de sacs de riz, de bidons d'huile et de packs d’eau minérale, successivement dans les mosquées de la place Bulgarie à Gbégamey et de Cadjèhoun à Cotonou ; puis à la mosquée centrale de Porto-Novo. C'était une occasion pour la délégation d'annoncer à la communauté musulmane le lancement par Ecobank dans cette semaine, d'une campagne dénommée « Fête de la Tabaski » qui s'étalera sur tout le mois de novembre. En cette veille de la fête de «l’Aïd El Kébir, grande fête musulmane qu’est la Tabaski, Ecobank a décidé de soutenir les fidèles de la communauté musulmane, essentiellement ceux à revenus modestes, en offrant ces packs d’eau, l’eau étant la source de vie par excellence, ces bidons d’huile et ces sacs de riz. Que le prophète bénisse ces offrandes afin qu’elles permettent aux bénéficiaires de fêter dans la paix et la joie ». Ce message prononcé par Eunice Loisel de Ecobank à la mosquée de la Place Bulgarie à Gbégamey, à la mosquée de Cadjèhoun et à la mosquée centrale de Porto-Novo, traduit la volonté du Groupe Ecobank de semer la joie dans le cœur des musulmans à revenus modestes. Et les remerciements à cet effet n’ont pas manqué. Pour l’Imam de la mosquée de la Place Bulgarie à Gbégamey, Mouhamadou Kabirou Garba, avec ce geste de Ecobank, la fête sera belle. Il a profité de la cérémonie de remise des vivres pour non seulement sensibiliser les frères musulmans sur les comportements à avoir afin de garantir la paix et la joie dans les familles, mais il est revenu également sur les difficultés du musulman liées au dépôt d’argent dans une banque. Pour lui, la loi interdit à un musulman de déposer de l’argent dans une institution financière pour avoir des intérêts. C’est pourquoi, il a suggéré aux responsables de Ecobank de créer des opportunités spécifiques à la communauté musulmane. S’inscrivant dans la même logique que l’imam Mouhamadou Kabirou Garba, l’imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun, Ligali Issiaka fait remarquer que ce n'est pas parce que la loi interdit d’aller déposer de l’argent dans une institution financière avec intérêt qu’il faut le garder à la maison avec les risques que cela implique. Pour lui, cette contrainte fait que les intérêts issus des fonds déposés par les musulmans servent à des œuvres sociales. L’imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun se réjouit du geste de Ecobank avant de rassurer que la distribution des vivres sera faite sans injustice. « Des gens vont voir les vivres et ne pas en bénéficier, tandis que d’autres qui n’en ont pas vu en bénéficieront », a souligné Ligali Issiaka qui estime que ce sont les musulmans à revenus modestes qui vont recevoir effectivement les vivres. Mais, il a affirmé que les vivres sont destinés exclusivement aux musulmans de Cadjèhoun et non à toute la communauté musulmane béninoise comme d’autres vont le penser. C’est pourquoi, il a averti les musulmans des autres localités du pays que leurs frères de Cadjèhoun mangeront en leur nom. A Porto-Novo, l’imam de la mosquée centrale, Houzaéfath Hamzath a été entouré de tous les imams dont le président des imams de l’Ouémé/Plateau, Landou Sanoussi. Ils ont remercié Ecobank pour le geste avant de bénir tout son personnel. Les vivres remis à la communauté musulmane dans ces mosquées sont composés de 80 sacs de 25 kg de riz ; 30 bidons de 25 litres d’huile et 200 packs d’eau minérale. La cérémonie de remise de ces vivres vendredi dernier, a été une occasion pour la délégation de Ecobank de porter à la connaissance de toute la communauté musulmane, le lancement dans cette semaine et ce dans tout son réseau de 29 agences, d'une grande campagne dénommée « Fête de la Tabaski » qui s'étalera sur tout le mois de novembre. Cette campagne qui n'a rien à voir avec les jeux, consiste, selon les explications de Sévérine Lohento, à chaque envoi d'argent d’un montant donné, de bénéficier d’un lot correspondant. Les précisions complémentaires dit-elle, seront connues au cours de la campagne. bibo:pages 1 13 -- o:id 7442 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7442 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7460 26648 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d33a606a68554d1274e09f0141841c5f1502e92c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d52c194917126e766fb96e4f06eea3f0154b814f.tiff dcterms:title Difficultés relatives au pèlerinage à la Mecque : Boni Yayi rassuré sur le convoyage des pèlerins dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14629 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13259 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-10-24 dcterms:identifier iwac-article-0003438 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Chaque année, les problèmes relatifs au pèlerinage à la Mecque des fidèles musulmans défraient la chronique. Cette année encore les problèmes de transport des pèlerins ont refait surface. Informé sur cette situation difficile des pèlerins béninois, le président Boni Yayi a reçu en audience dans la mi-journée du vendredi 21 octobre dernier, le haut commissaire au Pèlerinage, Raphiou Toukourou et le ministre des Affaires étrangères, Nassirou Bako Arifari pour en savoir davantage. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Chaque année, les problèmes relatifs au pèlerinage à la Mecque des fidèles musulmans défraient la chronique. Cette année encore les problèmes de transport des pèlerins ont refait surface. Informé sur cette situation difficile des pèlerins béninois, le président Boni Yayi a reçu en audience dans la mi-journée du vendredi 21 octobre dernier, le haut commissaire au Pèlerinage, Raphiou Toukourou et le ministre des Affaires étrangères, Nassirou Bako Arifari pour en savoir davantage. Au cours des échanges qu’elles ont eus avec le chef de l’Etat, les deux personnalités ont fait le point de cette situation. Le gouvernement ayant joué sa partition pour la réussite du pèlerinage de cette année à la Mecque, il serait tout de même surprenant que les pèlerins souffrent encore le martyr avant de se rendre au hadj cette année. En ce qui concerne les dispositions pratiques, le gouvernement a pris des mesures importantes en payant une avance devant permettre aux convoyeurs des pèlerins d’obtenir les différentes autorisations auprès des autorités saoudiennes. Puis, au niveau de l’aviation civile internationale, pour que les pèlerins béninois voyagent sans difficultés, le gouvernement a aussi facilité la signature des contrats avec les compagnies aériennes. Raphiou Toukourou a reconnu que des efforts ont été faits par le gouvernement pour faciliter l’organisation du pèlerinage de cette année. Toutefois, il reconnaît des dysfonctionnements au niveau du convoyage des pèlerins. Notamment, le départ des premiers pèlerins accuse deux à trois jours de retard. Cela est dû, selon lui, aux dysfonctionnements constatés au niveau de l’aviation civile saoudienne qui a l'excuse de devoir gérer plus de 10.000 voyages à effectuer en l’espace de deux semaines. Cela étant, tout serait déjà rentré dans l'ordre et il est même prévu que dans la soirée du vendredi 21 octobre dernier, les premiers vols devraient s'effectuer. Il n'y aurait pas donc péril en la demeure. Il s’agit de 350 pèlerins à déplacer à la Mecque, et tout est mis en œuvre pour que le pèlerinage 2011 se déroule bien. Des grands chanceliers reçus Dans la soirée du même vendredi, le président Boni Yayi a reçu une délégation des grands chanceliers qui prennent part à Cotonou à la 5è conférence des grands chanceliers dont le thème principal est "l’Impact des distinctions honorifiques dans les pays en développement pour cultiver la paix". La délégation des chanceliers a été conduite par Koubourath Osséni du Bénin et Henriette Diabaté de la Côte d’Ivoire. A leur sortie de l’audience, les deux chancelières ont insisté sur la place des bénéficiaires des distinctions dans la société africaine. Citoyens dont le mérite est ainsi reconnu et distingué, ils doivent continuer à être des modèles pour les autres. Elles ont également évoqué avec le chef de l'Etat le devoir qui leur incombe de travailler pour le maintien de la paix dans nos pays en accompagnant les efforts des gouvernants a été également évoqué. Il faut signaler que dans la matinée du samedi 22 octobre, le président Boni Yayi s’est entretenu avec une délégation de la société Sigma Consulting & Finance (SICOFI) conduite par son directeur général, Antoine M.F. Ndiaye. Il a été question au cours des échanges avec le chef de l'Etat de la consultance et de l’appui que SICOFI pourrait apporter à l’Etat béninois pour une meilleure efficacité dans ses actions. bibo:pages 3 -- o:id 7443 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7443 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7461 26649 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a574c36f9657e0478f8cf8f4ded68f3af6d1027d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6451bdd22f94b32271dd681faaaa3bc9943a0d19.tiff dcterms:title Hadj 2011 : les grandes étapes du "hadj" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2025 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-10-13 dcterms:identifier iwac-article-0003439 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le grand pèlerinage est considéré comme l'un des cinq piliers de l'islam et le Coran le rend obligatoire pour toute personne responsable qui en a la capacité financière et physique. Pour la tradition musulmane, le pèlerinage permet l'expiation des grands et petits péchés conformément à la parole du prophète Mahomet: «Quiconque fera le pèlerinage sans avoir de rapport sexuel et sans commettre de grand péché est dégagé de ses péchés et redevient comme le jour où sa mère l'a mis au monde». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15128 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14522 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13273 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le grand pèlerinage est considéré comme l'un des cinq piliers de l'islam et le Coran le rend obligatoire pour toute personne responsable qui en a la capacité financière et physique. Pour la tradition musulmane, le pèlerinage permet l'expiation des grands et petits péchés conformément à la parole du prophète Mahomet: «Quiconque fera le pèlerinage sans avoir de rapport sexuel et sans commettre de grand péché est dégagé de ses péchés et redevient comme le jour où sa mère l'a mis au monde». Ainsi, le pèlerinage constitue une série d'efforts réunis, qui sont envisagés comme une manière de calmer son âme, c'est-à-dire de la maîtriser. En effet, il constitue une dépense d'argent, un effort contre ses passions par la faim, la soif, le fait de veiller longtemps, de subir des épreuves. Le président du Conseil national de coordination du « Hadj » au Bénin, Amidou Ouro-Djéri a expliqué que le pèlerinage ou le « Hadj » à la Mecque en Arabie Saoudite se déroule en plusieurs étapes. La grande Mosquée se trouvant à la Mecque est le début du pèlerinage. Il s’agit pour les pèlerins de faire sept fois le tour de la « Kaaba » désignée comme un édifice de 15 m de côté enveloppé de soie noire dans le mur duquel est enchâssée la Pierre noire. La deuxième étape du pèlerinage se passe à Mina à huit kilomètres de la Mecque. Là, les pèlerins sont soumis à d’intenses prières de midi appelées Zuhr, de l’après-midi appelées Asr et du soir appelées Icha au sanctuaire de Mina. Après le lever du soleil, le pèlerin quitte Mina en direction d’Arafat. A la troisième étape, la prière du midi se passe au crépuscule et de l’après midi dans la vallée d’Arafat où le prophète Mahomet a prononcé son dernier sermon. Ces deux types de prière se déroulent au sanctuaire d’Arafat. A Arafat, ce sont les grandes retrouvailles. C’est aussi la préfiguration du jour de la résurrection et l’absolution de nos péchés. Il est également le lieu de purification de nos âmes et la renaissance. A ce moment, le pèlerin se dirige calmement vers Mouzdalifa. La quatrième étape consiste au voyage d’Arafat à Mouzdalifa. A cette étape, le pèlerin doit ramasser des cailloux nécessaires à la lapidation et accomplit les deux prières. Il passe la nuit à Mouzdalifa à n’importe quel endroit. A la différence de Mina et d’Arafat où des tentes sont dressées, Mouzdalifa accueille ses hôtes la nuit tombante à la belle étoile et on se dirige vers Mina de nouveau avant le lever du soleil en récitant le « Talbiyah ». Le retour à Mina est la cinquième étape du parcours des pèlerins où ils doivent procéder à la lapidation de la grande Jamarat (Al Aqaba) à l’aide des 63 cailloux précédemment ramassés à raison de 21 cailloux par jour en trois jours. La cérémonie de lapidation marque le retour à la Mecque avec encore sept fois le tour de la Kaaba et des sacrifices. Désiré GBODOUGBE bibo:pages 11 -- o:id 7444 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7444 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7462 26650 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/36579b7c65d9c4039d1f73454fc0e701470119e2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7a1bf915b73af1e75742d69794bbc3087491c52b.tiff dcterms:title Message pour la fin du Ramadan. Chrétiens et Musulmans : promouvoir la dimension spirituelle de l'homme dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13736 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003440 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Chers amis musulmans, 1. La conclusion du mois du Ramadan fournit au Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux l'agréable occasion de vous adresser ses vœux les plus cordiaux afin que les efforts généreusement consentis durant ce mois portent tous les fruits spirituels escomptés. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Chers amis musulmans, 1. La conclusion du mois du Ramadan fournit au Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux l'agréable occasion de vous adresser ses vœux les plus cordiaux afin que les efforts généreusement consentis durant ce mois portent tous les fruits spirituels escomptés. 2. Cette année, nous avons pensé opportun de privilégier le thème de la dimension spirituelle de la personne humaine. Il s'agit là d’une réalité que nos deux religions considèrent de première importance, face aux défis posés par le matérialisme et la sécularisation. Le rapport de tout homme avec la transcendance n'est pas un moment de l’histoire, il appartient à la nature humaine. Nous ne croyons pas au hasard, nous sommes convaincus - nous en faisons l'expérience - que Dieu fait notre route ! 3. Chrétiens et musulmans, au-delà de leurs différences, reconnaissent la dignité de la personne humaine dotée de droits et de devoirs. Ils pensent que l'intelligence et la liberté sont autant de dons qui. doivent inciter les croyants à reconnaître ces valeurs qui sont partagées parce qu’elles sont fondées sur la même nature humaine. 4. Voilà pourquoi la transmission de ces valeurs humaines et morales aux jeunes générations constitue une préoccupation commune. Il nous appartient de leur faire découvrir qu'il y a le bien et le mal, que la conscience est un sanctuaire à respecter, que cultiver la dimension spirituelle rend plus responsable, plus solidaire, plus disponible pour le bien commun. 5. Chrétiens et musulmans sont trop souvent témoins de la violation du sacré, de la méfiance dont sont l'objet ceux qui se disent croyants. Nous ne pouvons que dénoncer toutes les formes de fanatisme et d’intimidation, les préjugés et les polémiques comme les discriminations dont sont parfois l'objet les croyants dans la vie sociale et politique comme dans les mass media. 6. Nous vous sommes spirituellement proches, chers amis, demandant à Dieu de vous donner des énergies spirituelles renouvelées et nous vous présentons nos meilleurs vœux de paix et de bonheur. Jean-Louis Cardinal Tauran Président Archevêque Pier Luigi Celata Secrétaire bibo:pages 6 -- o:id 7445 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7445 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7463 26651 26652 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8f69987ce520ea69c6f1ac8f687c54555ca69a0b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ff156ac597581ef0fe6f0e7584e84b2e29448ed2.tiff https://islam.zmo.de/files/original/b7fbadad40f5676fc28ffd484632c2b85d029046.tiff dcterms:title Hadj 2011 : plus de 3500 candidats en lice pour la Mecque dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2025 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-10-13 dcterms:identifier iwac-article-0003441 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le 5e pilier de l’islam recommande à tous les musulmans qui en ont les moyens d’effectuer au moins une fois, le pèlerinage de la Mecque. Cette année, ils seront plus de 3500 Béninois à fouler la Terre sainte. Leur calvaire, aux dires du président du Conseil national de coordination du Hadj au Bénin sera moindre, puisque des dispositions idoines se prennent à cet effet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le 5e pilier de l’islam recommande à tous les musulmans qui en ont les moyens d’effectuer au moins une fois, le pèlerinage de la Mecque. Cette année, ils seront plus de 3500 Béninois à fouler la Terre sainte. Leur calvaire, aux dires du président du Conseil national de coordination du Hadj au Bénin sera moindre, puisque des dispositions idoines se prennent à cet effet. Le spectacle des pèlerins qui dorment à la belle étoile, dans les mosquées et sur les parcs automobiles ne sera pas observé dans le cadre du Hadj 2011. Par le passé, cela constituait une étape presque inévitable. Mais en 2011, il n’en sera rien. Sur ce point, Amidou Ouro-Djéri, président du Conseil national de coordination du Hadj au Bénin se veut plus qu’optimiste. Toutes les dispositions ont été prises, dit-il, afin que les pèlerins voyagent dans de bonnes conditions d’autant que le haut commissariat au Pèlerinage à la Mecque s’y est impliqué à fond. Pour preuve, fait-il remarquer, une délégation saoudienne séjourne actuellement à Cotonou et s’active à établir les visas pour les candidats béninois au Hadj. « Déjà 2200 visas ont été délivrés » en deux jours d’activité. Les premiers départs de Cotonou sont prévus pour le 16 octobre et le retour des El Hadj et El Hadja est attendu à partir du 11 novembre. Pour l’instant, selon les explications du président du Conseil national de coordination du Hadj au Bénin, Amidou Ouro-Djéri, 3500 candidats à la Mecque sont certains de voyager. Le reste, un surplus de 163 pèlerins doit patienter, le temps que les négociations en cours pour la finalisation des formalités aboutissent. Amidou Ouro-Djéri rassure aussi les musulmans qui effectuent le départ pour la Terre sainte que le niveau actuel des préparatifs autorise des espoirs et permet d’affirmer que les difficultés seront amoindries. D’ailleurs pour lui, les désagréments souvent enregistrés trouvent une explication au plan spirituel. « Le Hadj n’est pas un voyage de plaisir, mais un voyage de purification », assure-t-il. Dès lors, a-t-il souligné, des souffrances et des écueils, donc des épreuves pour la foi ne peuvent manquer à partir du moment où la date de départ est déjà connue. En clair, pas de Hadj sans soucis, ce qui l’autorise à affirmer : «même dans des pays développés, quand le Hadj s’annonce, il y a toujours des difficultés». 1.800.000F au moins ! C'est le minimum pour prétendre à un Hadj réussi, avance Amidou Ouro-Djéri. Cette somme prend essentiellement en compte le billet d’avion, l’hébergement, le transport urbain, les taxes de l’aéroport (les sites à visiter et l’hébergement au cours des déplacements sur les différents sites). «Pour se mettre à l’abri des désagréments, il faut au moins 500.000 F pour les besoins personnels sur place», selon lui. Pour l’essentiel, les pèlerins au Hadj 2011 peuvent souffler, croiser les doigts et prier Allah, dans l’espoir que tout se déroule au mieux, même si quelques soucis demeurent. «L’Etat a joué sa partition», mais... Si par le passé, on pouvait regretter les interventions de l’Etat en guise de sapeur-pompier, force est de reconnaître que la situation a sensiblement évolué, depuis la nomination d’un haut commissaire avec pour mission de faciliter l'organisation du Hadj. A en croire Amidou Ouro-Djéri sous sa double casquette de convoyeur et de président du Conseil national de coordination du Hadj au Bénin, Rafiou Toukourou n’a pas failli à sa mission. Bien au contraire ! Il l’a plutôt bien assumée et aujourd’hui, selon lui, les fruits se ressentent et le soulagement revient aux candidats au Hadj. «L’Etat a joué son rôle puisque le haut commissaire a fait ce qu’il faut et tout est fin prêt pour que le Hadj se passe dans de bonnes conditions. Il a vraiment obtenu des facilités en tant que répondant de l’Etat», se réjouit-il. L’autre intervention étatique saluée par le président Amidou Ouro-Djéri, c’est le préfinancement du voyage par l’Etat auprès des compagnies pour garantir les vols, en attendant que les convoyeurs reversent l’argent au Trésor public. Quittance en main, il reconnaît avoir déjà reversé les frais de voyage de 150 pèlerins en attendant que le reste suive. Malheureusement, des menaces subsistent sur l’investissement fait par l’Etat. Ceci parce que des individus auraient l’intention d’affrêter un vol privé, indépendamment des démarches officielles. Et cela, Amidou Ouro-Djéri ne le voit pas d’un bon œil. Il estime que si l’Etat a déjà investi les fonds publics, de telles initiatives contribueraient à «mettre la pagaille» dans le convoyage des pèlerins. C’est pourquoi celui-ci souhaite que l’Etat reste strict sur les dispositions déjà prises afin que le Hadj 2011 s’affranchisse des intentions individualistes, pour sa réussite. bibo:pages 1 11 -- o:id 7446 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7446 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7464 26653 26654 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7b12729e7c4956937455cf539486532061845dfc.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f9d808f4f17f69b506ff6c84342f90e9116f5562.tiff https://islam.zmo.de/files/original/a959f146353622c3258523e671085d4883cc0ef3.tiff dcterms:title Université de Parakou : la résidence Mohamed VI inaugurée dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15267 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/894 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-09-08 dcterms:identifier iwac-article-0003442 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Entièrement financée par le Royaume du Maroc, la résidence universitaire Mohamed VI de l'Université de Parakou a officiellement été inaugurée hier, mercredi 7 septembre. Le ministre de l'Enseignement secondaire, de la Formation technique et professionnelle, de la Reconversion et de l'Insertion des jeunes, Alassane Djimba Soumanou qui a présidé la cérémonie en lieu et place de son collègue du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique empêché, avait à ses côtés le secrétaire d'Etat du royaume chérifien, Mohamed Ouzine. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14158 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Entièrement financée par le Royaume du Maroc, la résidence universitaire Mohamed VI de l'Université de Parakou a officiellement été inaugurée hier, mercredi 7 septembre. Le ministre de l'Enseignement secondaire, de la Formation technique et professionnelle, de la Reconversion et de l'Insertion des jeunes, Alassane Djimba Soumanou qui a présidé la cérémonie en lieu et place de son collègue du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique empêché, avait à ses côtés le secrétaire d'Etat du royaume chérifien, Mohamed Ouzine. Grande était hier, mercredi 7 septembre, la mobilisation de la communauté universitaire de Parakou. Et pour cause, une nouvelle résidence est venue s’ajouter à celles dont disposaient les étudiants de cette université. L’historique du projet de la construction de cette résidence universitaire à Parakou, remonte à juin 2003 lors de l’inauguration de celle baptisée Hassan II sur le campus d’Abomey-Calavi par le roi du Maroc Mohamed VI. A l’occasion, le ministre Kémoko Osséni Bagnan avait exprimé la demande de voir l’Université de Parakou être également dotée d’une résidence, mais qui portera le nom du roi Mohamed VI. Le gouvernement du Royaume marocain avait alors accordé une aide financière non remboursable de 8.000.000 dirhams au titre du bienum 2004-2005. Une partie de ce financement a donc été utilisée par le Bénin, pour la réalisation de cette résidence de type R + 1, d’une capacité de 126 lits, son équipement et la garantie de l’entretien de ses installations. Très honoré, le recteur de l’Université de Parakou, Simon Akponan a loué la coopération bénino-marocaine dont l'un des fruits est cette résidence Mohamed VI. Selon lui, sa construction vient aider son institution à régler l'importante question de l’hébergement des étudiants, à laquelle elle est confrontée. Tout comme lui, le secrétaire d’Etat, Mohamed Ouzine, a également insisté sur la profondeur des relations d’amitié qui unissent les deux pays. Le Maroc, a-t-il indiqué, accorde un intérêt au développement des infrastructures de base au niveau de l’enseignement supérieur au Bénin, plus précisément au renforcement des capacités d’accueil des cités universitaires. Il s’est réjoui de constater que les difficultés techniques et conjoncturelles liées particulièrement aux pénuries récurrentes de certains matériaux de construction et qui avaient compromis le bon déroulement des travaux, n’aient pas altéré la volonté des deux pays à les surmonter. Après avoir remercié le royaume chérifien pour sa marque de sollicitude envers le Bénin, le ministre Alassane Djimba Soumanou a estimé que le joyau est l'exemple même de la coopération sud-sud. Pour lui, il traduit l’engagement du Maroc aux côtés du Bénin dans sa lutte pour la réduction de la pauvreté et l’amélioration des conditions de vie et d’étude des étudiants béninois. D'un coût initial de 447.951.299 F CFA, le coût révisé de la résidence est de 568.831.463 F CFA. Le bâtiment comporte 64 cabines de 3 lits, soit 192 lits, une salle de télévision, un magasin, une salle d'étude, 4 postes de télévision écrans plasmas, de l’installation du réseau wi-fi et chacun de ses 2 niveaux dispose d’une cuisine, d’une buanderie, d’un bloc de toilettes, et de 8 ordinateurs. bibo:pages 1 4 -- o:id 7447 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7447 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7465 26655 26656 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3fb464d7211acc0521c40dbe3bee64f19757d0fb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0774a32b0789f481c4494fa5b83a39e1dfd41aa9.tiff https://islam.zmo.de/files/original/28be56866eafc347519e82ab2e631e898803942d.tiff dcterms:title Célébration du Ramadan : les musulmans béninois ont fêté dans l'unité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14943 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14334 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/49 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15250 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-08-31 dcterms:identifier iwac-article-0003443 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une séance de prière a consacré, hier mardi 30 août à la place « Idi » à Akpakpa, la rupture du jeûne chez les musulmans. Une foule de fidèles a assisté à la prédication de l’imam Ibrahim Ousmane à ladite place. Ambiance de la fin d’un mois de vie austère. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une séance de prière a consacré, hier mardi 30 août à la place « Idi » à Akpakpa, la rupture du jeûne chez les musulmans. Une foule de fidèles a assisté à la prédication de l’imam Ibrahim Ousmane à ladite place. Ambiance de la fin d’un mois de vie austère. Dix heures à Cotonou. La rue menant à la Société béninoise de textile (SOBETEX) dans le quartier Akpakpa n’est plus aisément accessible ! Et, pourtant des véhicules et autres engins continuent de déverser des fidèles de part et d’autre de la voie bitumée perpendiculaire à la rue. Depuis l’aube, les musulmans se ruent sur la place « Idi » située non loin de la SOBETEX. La masse humaine grossit sans cesse Leur destination : la place « Idi » qui déborde vers les domaines voisins non occupés. Les ruelles débouchant sur le site de prières contiennent les derniers fidèles retardataires. Un monde impressionnant de la marée humaine est drapé dans de boubous blancs. L’imam Ibrahim Ousmane, aussi, est de blanc vêtu de la tête aux chaussures. Les autorités, à l’instar du haut commissaire au Pèlerinage, Raphiou Toukourou n’échappent pas à la règle. Tout comme les hommes, le haut commissaire est assis en face de l'autel du culte Après les premières rangées occupées par les hommes, viennent ensuite les femmes. Entre les deux sexes, un intervalle facilite la mobilité des cadreurs de télévisions et autres. La marée humaine tantôt se lève, tantôt s’abaisse et projette le front sur le sol. Ces gestes accompagnent les propos du célébrant El-Hadj Ibrahim Ousmane debout sur l’autel de prière avec ses assistants. La prédication du jour, selon l’imam, est axée sur la reconnaissance de sa communauté envers Allah. Cette reconnaissance est relative à la grâce d'avoir accompli le jeûne et trouver des forces pour assister au présent culte. Le célébrant a insisté dans ses enseignements sur la foi et la piété. Car, un croyant, selon lui, doit tendre vers la perfection et l'éclat tel le « soleil au zénith ». Ce rayonnement spirituel lui procure la santé, la paix et l’amour. Le célébrant a rappelé aux fidèles que le ramadan n’est pas synonyme de relâchement par rapport aux prescriptions de l’Islam. Tout musulman doit rechercher au quotidien la grâce divine à travers des actes pieux, conseille l’imam. Après les trente jours de privation, d’abstinence et de prières intenses, le retour à la vie moins austère semble ressouder les rangs au sein de la communauté musulmane. Baba Adimi, (2e personnalité après l'imam) Miftaou Fatoké a noté que l’édition 2011 du ramadan se fête sous le signe de l’unité de toutes les communautés musulmanes du Bénin. Le ministre Jean-Michel Abimbola après avoir participé de bout en bout au culte a justifié sa présence aux côtés de la communauté en fête, par le devoir de reconnaissance du gouvernement au soutien spirituel des fidèles de l’islam aux actes que posent le chef de l’Etat et ses collaborateurs. A l’occasion, il a demandé davantage d'intersections à l’intention du président Boni Yayi et son entourage. Les intentions formulées par le ministre sont relatives à la paix pour le pays, la santé pour le chef de l’Etat et la lucidité dans la gestion des affaires de la République. La place s’est progressivement vidée de ses occupants sous la discipline imposée par le détachement des forces de l’ordre qui ont veillé sur les lieux et régulé la circulation. Transformer le bail de la place « Idi » en don La communauté musulmane par la voix de l’Imam El-Hadj Ibrahim Ousmane demande au gouvernement l'octroi du domaine communément appelé place « Idi ». Cette place est un domaine public situé dans la rue menant à la SOBETEX à Akpakpa (commune de Cotonou). Les musulmans veulent finir avec le bail amphitaire de 99 ans qui a mis l’espace à leur disposition depuis environ une trentaine d’années. « La communauté musulmane serait reconnaissante envers le chef de l’Etat si elle pouvait nous donner définitivement le domaine avant la fin de son mandat », a déclaré El-Hadj Ibrahim Ousmane. L’imam et ses fidèles sollicitent par la même occasion l’aide du gouvernement en vue de l'assainissement de la place « Idi ». Ils ambitionnent de revêtir des pavés la place « Idi ». Ces doléances sont exprimées en présence du ministre Jean-Michel Abimbola qui a promis de les transmettre d’abord au président Boni Yayi puis, au gouvernement. bibo:pages 1 11 -- o:id 7448 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7448 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7466 26657 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a3e50ba492fa376f6bd34653c838e2b55bd612fd.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1ba82d470afe19081f85b855028b17ebdb1db2f0.tiff dcterms:title Ramadan 2011 : célébration particulière de la fête dans la ville de Djougou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1552 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15268 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13661 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13968 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15463 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15252 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14663 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/60 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/762 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-09-07 dcterms:identifier iwac-article-0003444 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après 29 jours de jeune et de privation, les musulmans de la commune de Djougou comme ceux de tout le Bénin ont célébré la fête du Ramadan le mardi 30 août dernier. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13731 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après 29 jours de jeune et de privation, les musulmans de la commune de Djougou comme ceux de tout le Bénin ont célébré la fête du Ramadan le mardi 30 août dernier. Ils étaient des milliers à se rendre à la grande place Idi du quartier Baparapéï dans le 3e arrondissement pour accomplir cette exigence d'Allah. On notait parmi eux la présence très remarquable du ministre de l'Enseignement secondaire, de la Formation technique et professionnelle, Alassane Soumanou Djimba dit Guatéri, assisté de l'honorable député Bida Nouhoum. C'est sa première prière de cette fête à Djougou depuis sa nomination comme ministre et responsable politique de Djougou et du département de la Donga. Une participation qui sans doute a rehaussé l'éclat de la célébration de l'édition 2011 du Ramadan à Djougou, prière à laquelle ont pris part le maire de la commune Bassabi Djarra assisté de son conseiller à la communication El hadj Alassane Yaro, des sages et têtes couronnées dont Sa Majesté Kpetoni Koda 6 VI, roi de Djougou. Ce dernier avait à ses côtés le tout nouveau Baparapeï Darra Salim, drapé d'un impeccable costume traditionnel de circonstance et bien assis sur son cheval blanc. Une autre particularité de cette fête du Ramadan 2011 à Djougou, c'est pour la première fois que l'ORTB couvre en direct une fête musulmane dans la commune de Djougou. Pour plusieurs fidèles musulmans, c'est la preuve que le président de la République et le directeur général de l'ORTB reconnaissent la place qu’occupe Djougou dans la religion musulmane. Le ministre Alassane Djimba a dit que le président appelle souvent Djougou, ville sainte et c'est pour cela qu'il a joint l'acte à la parole en acceptant la retransmission en direct de la prière du Ramadan sur tout le réseau de la Radio nationale et sur les écrans de la télévision ORTB. Pour une telle considération, le maire de la commune Bassabi Djarra a, au nom de sa population et de tous les responsables à tous les niveaux dit merci au président de la République Boni Yayi et au directeur général de l'ORTB, Julien Pierre Akpaki. Quant à la prière proprement dite, après l'exécution des deux Rakats et la lecture de l'Outouba, l'Imam Alfa Yaya Mandè a loué Dieu tout en exhortant les fidèles musulmans à observer tous les bons comportements après le mois de jeûne. Il a aussi prié pour la culture de la paix et de l'union dans notre pays le Bénin et surtout dans les pays où crépitent les armes. Au lendemain de la prière du Ramadan le mercredi 31 août dernier, le ministre Alassane Djimba s'est rendu à Tèbou, un village de l'arrondissement de Kolokondé à 25 km de Djougou sur la route de Ouassa Pehunco où s'était produit un drame le 12 août dernier. En effet, une intoxication alimentaire avait provoqué la mort de 12 personnes dans une même famille dans ce village. C'est donc à cette famille lourdement éplorée que le ministre Djimba, assisté des honorables Daouda Takpara et Bida Nouhoum, est allé présenter leurs vives compassions et celles du chef de l'Etat en attendant la réaction de ce dernier. Pour cette descente ils avaient à leurs côtés le maire de Djougou Bassabi Djarra et son conseiller spécial Alassane Yaro, le chef d'arrondissement de Kolokondé Issa Sidi et certains sages de la ville. La forte délégation est allée se recueillir sur les tombes des victimes. C'était une véritable désolation pour le ministre Djimba de savoir que 12 personnes voulant se nourrir ont trouvé la mort. Il a dit que la question interpelle plus d'un face à la fréquence des cas d'intoxication alimentaire dans notre pays. Après une prière musulmane dite pour le repos des âmes des disparus pendant ce mois de carême, le ministre Djimba et les honorables ont remis des sacs de vivres, maïs, riz, huile végétal et une somme d'un million de franc CFA aux responsables de la famille des victimes. De retour, la délégation a marqué un arrêt sur le chantier de construction de l'hôpital départemental en souffrance depuis plusieurs années. A ce niveau le ministre Djimba, le député Bida Nouhoum, le maire et les sages présents sur les lieux ont lancé un appel en direction du chef de l'Etat et son gouvernement pour l'accélération et la finition rapide des travaux. bibo:pages 6 -- o:id 7449 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7449 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7467 26658 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/90654937e030595bc64d9bbb1922d24ba108cdbe.pdf https://islam.zmo.de/files/original/fc216bc502e38b73392d00caa6e4b8e284411d6e.tiff dcterms:title Célébration du Ramadan : le gouvernement aux côtés des musulmans dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2040 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14975 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1398 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13867 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-08-31 dcterms:identifier iwac-article-0003445 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La plage de Fidjrossè à Cotonou a servi hier mardi 30 août de cadre à certains musulmans pour célébrer la prière de « l’Aïd El Fitr ». Le gouvernement du président Boni Yayi a été fortement représenté en ces lieux. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La plage de Fidjrossè à Cotonou a servi hier mardi 30 août de cadre à certains musulmans pour célébrer la prière de « l’Aïd El Fitr ». Le gouvernement du président Boni Yayi a été fortement représenté en ces lieux. Comme chaque année, la prière de « l’Aïd El Fitr » est toujours dirigée par l'imam central de Cadjèhoun, Issiaka Alao Ligali. Dans son message, il a appelé les fils et les filles de tout le pays à se mettre ensemble. Il a averti, tout de même que cette union ne doit pas servir à faire du mal, mais pour la paix et le pardon réciproque. Le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique, Benoît Assouan Comlan Dègla a dit à l’endroit de nos frères musulmans qui ont eu des jours de privation et de prière dans tout le Bénin, l’attachement du gouvernement à venir célébrer cette fin de carême tout en leur exprimant sa solidarité. « Nous les remercions pour toutes les prières qu'ils ont eues à formuler pour notre pays et pour chaque Béninois », a-t-il indiqué. Par cette présence, dit-il, le président Boni Yayi tient à témoigner une fois encore que nous sommes dans un pays uni. Il ajoute qu’il s’agit d’un message important que nous devons tous avoir dans nos coeurs et faire en sorte que le Bénin soit un et un seul en dépit des différences qu'il peut avoir sur le plan politique ou sur le plan religieux. « Que Dieu tout Puissant continue à verser sur le Bénin et les gouvernants sa lumière, sa miséricorde afin que nos vœux, nos souhaits puissent être exhaussés », a laissé entendre le ministre d’Etat chargé de la Défense nationale, Issifou Kogui N’Douro. Quant au ministre des Travaux publics et des Transports, Lambert Koty, il a précisé qu’à cette occasion, le gouvernement ne peut rester en marge de l'événement. Grâce à sa représentation en ces lieux, le gouvernement s’associe à la prière afin que le Bénin soit toujours dans la paix et bénéficie de la miséricorde de Dieu. Pour lui, Dieu est unique et n’a pas de religion. Par conséquent les Béninois doivent prier en communion avec tous les hommes de la terre. A la suite du ministre Lambert Koty, le directeur au Fonds national pour le développement des Sports, El Farouk Soumanou a prié Dieu d’accepter nos prières, notre jeûne et nous pardonner les erreurs que nous avons eues à faire pendant ce mois béni de Ramadan. Ensuite, il a souhaité qu’il y ait la paix dans notre pays et que Dieu puisse nous prêter vie jusqu’à l’année prochaine. « Que chacun tire profit de ce mois de Ramadan pour se corriger dans ses comportements et puisse prier pour que notre pays aille de l’avant et que la paix règne », a-t-il ajouté. bibo:pages 11 -- o:id 7450 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7450 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7468 26659 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1205522734ddfd9bc8d1239244f690c00e82338f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/95595bdb469ef796b67c81f93da166c22f7d939f.tiff dcterms:title Prison civile de Cotonou : les détenus ont reçu des repas offerts par le chef de l'Etat dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14315 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12851 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-08-31 dcterms:identifier iwac-article-0003446 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’occasion de la fête du Ramadan, hier mardi 30 août, le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, de la Législation et des Droits de l’Homme, Marie-Elise Gbèdo a officiellement procédé, à la remise de repas offerts par le chef de l’Etat et son épouse Chantal Yayi, aux détenus de la prison civile de Cotonou. C'était en présence des membres du cabinet ministériel et du capitaine de la gendarmerie, Herbert Joël Gbègan, régisseur de la prison civile de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’occasion de la fête du Ramadan, hier mardi 30 août, le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, de la Législation et des Droits de l’Homme, Marie-Elise Gbèdo a officiellement procédé, à la remise de repas offerts par le chef de l’Etat et son épouse Chantal Yayi, aux détenus de la prison civile de Cotonou. C'était en présence des membres du cabinet ministériel et du capitaine de la gendarmerie, Herbert Joël Gbègan, régisseur de la prison civile de Cotonou. Il sonnait exactement 12H37 lorsque le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, de la Législation et des Droits de l'Homme, Marie-Elise Gbèdo est arrivée à la prison civile de Cotonou, accompagnée des membres de son cabinet. Construite dans les années 1960 pour une capacité de 400 places, la prison civile de Cotonou abrite aujourd’hui 2253 détenus, toutes catégories confondues, dont 123 femmes, 07 filles, 39 mineurs, 2121 détenus préventifs, 132 condamnés: Il est vrai que les conditions dans lesquelles vivent aujourd’hui les détenus sont misérables voire exécrables. Ils s’en plaignent souvent pour que l'Etat leur vienne au secours. Promesses aux prisonniers Hier mardi, le chef de l’Etat et son épouse ont prouvé effectivement leur générosité à travers ce repas qu’ils leur ont offert avec d’importants casiers de boissons de sucrerie. Ils étaient tous heureux en recevant cet important don. Dans son intervention, le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, de la Législation et des Droits de l'Homme, Marie-Elise Gbèdo a d'abord fait savoir qu’elle est arrivée les voir ici à la prison civile de Cotonou, au nom du chef de l'Etat et de son épouse, pour remettre ce repas. Elle a ensuite dit que c'est lorsque le chef de l’Etat a effectué une visite, le jeudi 18 août dernier, sur les lieux, qu’il a demandé qu’on leur fasse quelque chose et qu’elle lui a fait comprendre qu’il faut attendre la période de la fête du Ramadan pour le faire. Elle a aussi demandé aux détenus de changer de comportement, comme l’a souhaité le chef de l’Etat qui ne les a pas oubliés. Elle leur a demandé de rentrer en eux-mêmes, de réfléchir pour que les fautes commises pour se retrouver dans ce milieu carcéral, leur permettent de penser qu'ils vont véritablement changer. Elle a promis d’intervenir auprès des juges d’instruction afin qu'on puisse se pencher rapidement sur leurs problèmes respectifs pour leur libération dans les jours à venir. Marie-Elise Gbèdo a expliqué que le chef de l’Etat a promis que la SBEE arrivera pour résoudre le problème de l’électricité pour qu'il n’y ait plus fréquemment d’incendie à l’intérieur de la prison civile de Cotonou. Tout en leur souhaitant bonne fête, Marie-Elise Gbèdo a conclu que les détenus auront également des moustiquaires. En prenant la parole, le premier détenu qui est intervenu a d’abord dit que ce repas spécial qui est leur est offert témoigne de la considération que le chef de l’Etat a pour eux. Ce geste symbolique et fraternel prouve qu’ils ne sont pas des délaissés, a-t-il indiqué. Il a remercié infiniment le président de la République et son épouse tout en demandant que Dieu les comble de sa grâce afin que tous ses projets puissent être concrétisés dans la paix. Le second intervenant était une femme qui a fait savoir que les détenus implorent la grâce de Dieu sur le chef de l’Etat et qu'ils ont organisé des séances de prières, regroupant toutes les religions de la prison civile de Cotonou, pour lui. Elle a enfin souhaité que Dieu exauce les vœux du chef de l’Etat et que son objectif soit atteint, tout en le remerciant aussi et son épouse Chantal pour ce geste inoubliable. Le troisième détenu qui serait un mineur, a rappelé que lorsque le chef de l’Etat leur a demandé de changer de comportement, qu'ils en ont pris conscience aussitôt en se mettant à la tâche. Il a aussi expliqué que ce n’est pas en quittant la prison qu’ils vont le faire mais qu’ils ont vraiment pris conscience aujourd’hui. bibo:pages 12 -- o:id 7451 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7451 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7469 26660 26661 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/faf53180396d94ed645efe5653f7c0a0e0b0b592.pdf https://islam.zmo.de/files/original/151c6fe93a5206df1598f8fdea05e9d6c71f72ca.tiff https://islam.zmo.de/files/original/8fc6f7b6194f1f4b10349c9d2c45740551bf8ffe.tiff dcterms:title Appui du gouvernement aux confessions religieuses : le gouvernement octroie plus de 72 millions FCFA de vivres aux musulmans dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1941 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2044 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-08-24 dcterms:identifier iwac-article-0003447 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Hier mardi 23 août à Cotonou, le ministre chargé des Relations avec les Institutions (MCRI), Safiatou Bassabi Issifou Morou, a remis au bureau de l’Union islamique du Bénin plus de 72 millions F CFA de vivres. C’est Abou Yêkini, représentant de ladite union, qui a reçu ce don au nom des bénéficiaires de tous les départements du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13048 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Hier mardi 23 août à Cotonou, le ministre chargé des Relations avec les Institutions (MCRI), Safiatou Bassabi Issifou Morou, a remis au bureau de l’Union islamique du Bénin plus de 72 millions F CFA de vivres. C’est Abou Yêkini, représentant de ladite union, qui a reçu ce don au nom des bénéficiaires de tous les départements du Bénin. D'un coût global de 72 026 320 francs CFA, ce don composé de riz, d’huile et sucre, intervient dans le cadre du traditionnel appui du gouvernement aux chefferies traditionnelles et confessions religieuses au titre de l’année 2011. En effet, décidé par le Conseil des ministres en sa séance ordinaire du mercredi 11 mai dernier, ce don est un symbole de solidarité du gouvernement à l’endroit des fidèles musulmans de tous les départements, qui intervient à moins de dix jours, de la fin du jeûne du ramadan. En initiant cet appui, le gouvernement entend également contribuer à atténuer les peines des fidèles musulmans au cours de cette période de jeûne dans un contexte international de crise mondiale marqué par une récession économique sans précédent. Contexte qui accroît les difficultés d’une grande partie de la population musulmane qui en principe doit disposer de l'essentiel aux fins de mieux se concentrer et de méditer pour prier sans contrainte et sans souci pour le Bénin, qui a plus que jamais besoin de la convergence des efforts de tous ses fils. C’est également dans cette même dynamique, que le gouvernement appuie l’organisation du pèlerinage à la Mecque et le fonctionnement de l’organisation faîtière islamique qu’est l’Union islamique du Bénin. Pour Safiatou Bassabi Issifou Morou, « nul ne doit être marginalisé ». C’est pourquoi, elle a présenté les excuses du gouvernement sur le retard de cette remise, avant de prier le bureau d’aider le gouvernement à amener les vivres dans les coins les plus reculés du pays, afin de soulager cette couche. Aussi, a-t-elle exhorté le bureau à plus de vigilance et d’équité pour permettre à tous les fidèles musulmans qui sont dans le besoin d’en bénéficier. La spécificité du don de cette année, a indiqué le MCRI, est le choix du riz local produit dans les rizeries de Malanville et de Glazoué. Un choix qui répond, selon le ministre, au souci du gouvernement de promouvoir la production locale. En recevant ce don, le représentant de la communauté musulmane, Abou Yêkini, a remercié le gouvernement au nom des bénéficiaires, avant de rassurer le ministre pour une répartition équitable et dans le temps. bibo:pages 1 13 -- o:id 7452 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7452 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7470 26662 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/dbc2b5190b803c6b9282b62b5ec4d57797747333.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0da311e853a42239ce67cf1c2c8c777fef374d8b.tiff dcterms:title Kandi dans l'Alibori : les mosquées comme réfectoires pour musulmans célibataires dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12837 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-08-11 dcterms:identifier iwac-article-0003448 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans ce mois de jeûne à Kandi, les musulmans célibataires, éprouvant de difficultés pour manger à l’aube et pour rompre le jeûne au coucher du soleil, sont obligés de se rabattre sur les mosquées; lieux de rupture collective. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14604 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans ce mois de jeûne à Kandi, les musulmans célibataires, éprouvant de difficultés pour manger à l’aube et pour rompre le jeûne au coucher du soleil, sont obligés de se rabattre sur les mosquées; lieux de rupture collective. Les alfas mettent à profit ce mois pour prêcher dans les mosquées tout ce qui fonde ce mois de jeûne musulman. Le prêche hier mercredi, à la mosquée centrale de Kandi, a porté sur le comportement que la femme doit avoir envers son mari: le respect qui doit être réciproque pour l’harmonie du couple. Le ramadan, qui correspond au neuvième mois lunaire de l’année musulmane, rappelle la révélation du Coran au prophète Mahomet par l’archange Gabriel. Ce mois sacré constitue l’un des cinq piliers de l’islam, avec la profession de foi en un Dieu unique (Allah) et en Mahomet son messager, la prière quotidienne, l’aumône et le pèlerinage de la Mecque. Pendant le ramadan, les musulmans doivent s’abstenir de manger, de boire, de fumer et d’avoir des relations sexuelles du lever au coucher du soleil. Le jeûne est rompu chaque jour par l’iftar. Selon la tradition musulmane, le ramadan permet à tous les croyants de faire l’épreuve de la privation pour amener les plus nantis à songer aux pauvres et à les aider. bibo:pages 4 -- o:id 7453 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7453 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7471 26663 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e6b8a052f443ec095276c70ed561183d8077b605.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d03425a1c851b4f5fa95182d1ffa6b37fb18b9a8.tiff dcterms:title Sur le calendrier de sortie du fétiche Oro dans l'Ouémé-Plateau : musulmans, chrétiens et adeptes accordent leurs violons dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13784 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15420 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-08-09 dcterms:identifier iwac-article-0003449 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La fête du « culte Oro », une divinité de l'aire culturelle Yorouba, a commencé le dimanche 7 août dernier, et va durer 17 jours. Une période qui coïncide avec le mois de ramadan, très cher aux musulmans. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15208 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La fête du « culte Oro », une divinité de l'aire culturelle Yorouba, a commencé le dimanche 7 août dernier, et va durer 17 jours. Une période qui coïncide avec le mois de ramadan, très cher aux musulmans. Le maire de la commune d’Adja-Ouèrè, Djiman Fachola, en convoquant cette réunion, veut amener musulmans, chrétiens et adeptes du culte Oro, à faire des concessions, afin d'éviter des affrontements entre les fidèles des trois religions, pendant cette fête. Devant le chef de la brigade de gendarmerie d’Adja-Ouèrè et les chefs d’arrondissement, musulmans, adeptes du fétiche Oro et chrétiens, ont établi le programme de la fête d’Oro et les comportements que doit avoir chaque partie. Les manifestations marquant cette fête comprennent trois grandes fermetures, pendant lesquelles les femmes et les non initiés vont être condamnés à rester à la maison, les pertes closes. Ces trois sortes de fermeture concernent la 3è journée (mardi 9 août), la 7è journée (samedi 13 août) et la 3è et dernière fermeture (23 août). Les manifestations ont démarré le 7 août dernier à 16 heures devant les forêts d’Oro, en présence des femmes. La fermeture commence à 23 heures (la veille), avec une pause à 4 heures du matin. Elle reprend à 7 heures du matin, et ce jusqu’à l’aube du jour suivant. Durant cette période, les adeptes du culte Oro sont interdits d’accès aux lieux publics, les centres de santé, les lieux des services publics et les voies publiques. bibo:pages 4 -- o:id 7454 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7454 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7472 26664 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6ed3c8edab7564d5138080a75a6bf5efc5939304.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f14459a01a91328f7c7dc3ebea5e1929e9d0d9ea.tiff dcterms:title Selon l'islamologue Cheikh Mohamed Sadissou Taminou : le port de perles, une prescription du prophète Mahomet dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13071 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1978 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-07-20 dcterms:identifier iwac-article-0003450 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les perles, quelle que soit leur forme, couleur ou qualité, figurent parmi les parures de la femme africaine. Elles sont nombreuses aujourd'hui ces jeunes filles qui portent ces petites boules en plastique percées d’un trou autour de leur hanche pour notamment séduire les hommes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les perles, quelle que soit leur forme, couleur ou qualité, figurent parmi les parures de la femme africaine. Elles sont nombreuses aujourd'hui ces jeunes filles qui portent ces petites boules en plastique percées d’un trou autour de leur hanche pour notamment séduire les hommes. Le port de perles est aussi vieux que le temps et est une prescription du prophète Mahomet. Ce dernier indique, selon l'islamologue Cheikh Mohamed Sadissou Tamimou, que " les perles permettent à la femme de séduire son homme, de le garder pour elle seule et consolider ainsi les liens du couple". Cependant, précise le guide spirituel des musulmans, il est interdit aux jeunes filles et aux femmes de placer une grande quantité de perles autour de leur hanche de manière à attirer sur elles l'attention de tout le monde au moindre geste. "Dans un passé lointain, les perles figuraient en bonne place parmi les parures que les mères offraient à leurs filles candidates au mariage", déclare Aissatou Souleymane, agent du Centre communal pour la promotion agricole (Cecpa) de Djougou à la retraite. Elles voyageaient jusqu'au Ghana pour les acheter, insiste-t-elle. Plusieurs jeunes filles qui en portent s'accordent à reconnaitre qu'elles le font pour séduire leur petit ami, se différencier des hommes et se sentir réellement "Femme". D'autres par contre n'en portent du tout pas, car disent-elles, "on a souvent la paresse de changer les rouleaux de perles quand ils se détachent ou quand les perles se brisent ". Elles affirment aussi que les perles arrachent les poils du pubis. Les hommes que celles-ci s'emploient à séduire pensent que ces objets procurent des sensations au cours de l'acte sexuel, stimulent et constituent "un chapelet d'amour". Actuellement le port de perles, une valeur traditionnelle surtout propre à l'Afrique, est mal perçu par certains jeunes garçons et filles. Ces derniers utilisent cette parure pour des pratiques obscènes. bibo:pages 4 -- o:id 7455 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7455 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7473 26665 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0c8460424cd95feebb6e36d3c192196c45f0c9c1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/22d4a7e980b1160bba96ee0d93773d100f053b72.tiff dcterms:title Porto-Novo : devoirs et droits d'un couple en islam au centre d'un séminaire dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/776 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12837 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13571 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13071 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14525 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-07-18 dcterms:identifier iwac-article-0003451 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'Association pour le développement de la culture islamique (Adci-Bénin) a organisé samedi dernier à la Maison des jeunes de Porto-Novo, son 9è séminaire islamique qui a porté sur le thème : « Devoirs et droits du couple en islam» dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/343 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'Association pour le développement de la culture islamique (Adci-Bénin) a organisé samedi dernier à la Maison des jeunes de Porto-Novo, son 9è séminaire islamique qui a porté sur le thème : « Devoirs et droits du couple en islam» A en croire le président de I'Adci-Bénin, El Hadj Moussa Zinsou, l'édition de cette année qui porte sur le présent thème revêt d'une importance capitale. C'est pourquoi, il a signalé que « d'éminents conférenciers ont été identifiés pour développer le thème afin d'échanger sur le sujet». Selon ce dernier, les conférenciers sont venus de différentes localités du Bénin et du Nigeria, afin que les participants soient mieux informés et illuminés sur les préoccupations du Saint Coran, à propos des "devoirs et droits du couple en Islam". « Aucune oeuvre concrète n'est possible si elle n'est pas assortie de ressources humaines et financières», a-t-il conclu. Il faut signaler que le conférencier Cheikh Zoul-Kifouli Djibril, imam central de Kétou, a expliqué aux fidèles musulmans, les contours liés aux droits et devoirs du couple en Islam. bibo:pages 13 -- o:id 7456 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7456 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7474 26666 26667 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f951275a44d0fead2096f5ca46d8f99e59c2e443.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c660a1b48077bb2e1fd8f028b4b5a2978e744ffb.tiff https://islam.zmo.de/files/original/d48d71de8bb87e71ce026d76b399d0fd6a8ebf06.tiff dcterms:title Activités du chef de l'Etat : le secrétaire général de l’OCI au cabinet de Boni Yayi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13071 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13108 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-06-01 dcterms:identifier iwac-article-0003452 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le chef de l’Etat, Boni Yayi, a reçu hier mardi 31 mai au palais de la République, le secrétaire général de l’Organisation de la Conférence islamique (OCI), le Pr Ekmeleddin Ihsanoglu et Vicentia Boco, présidente de l’institut national pour la promotion de la femme (INPF). Au cœur des échanges, la coopération socio-économique et de promotion de la femme. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12894 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13800 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le chef de l’Etat, Boni Yayi, a reçu hier mardi 31 mai au palais de la République, le secrétaire général de l’Organisation de la Conférence islamique (OCI), le Pr Ekmeleddin Ihsanoglu et Vicentia Boco, présidente de l’institut national pour la promotion de la femme (INPF). Au cœur des échanges, la coopération socio-économique et de promotion de la femme. Arrivé au Bénin dans le cadre d’une tournée africaine qui le conduira dans sept pays suite à des invitations des présidents desdits Etats dont le Bénin, le professeur Ekmeleddin Ihsanoglu a été reçu hier par le président de la République. Accompagné dans cette tournée qui le conduira successivement au Togo, en Sierra-Léone, en Guinée-Bissau, en Gambie, au Sénégal et au Niger par une forte délégation, il a eu un entretien très fructueux et instructif avec Boni Yayi sur l’objectif de cette descente. Une visite qui vise à explorer les modalités de renforcer et d’approfondir les relations intra-OCI, promouvoir la solidarité afin d’inciter ces Etats africains à renforcer les actions conjointes et accélérer ainsi, la réalisation de la nouvelle mission de cette organisation et sa vision. Les deux personnalités ont eu des échanges fructueux sur plusieurs sujets, revisité la coopération bilatérale entre le Bénin et l’OCI, ses institutions afin de permettre à ce pays de jouir des apports de cette organisation au plan économique, touristique, scientifique, technique et même humanitaire, tel que cela se passe avec les autres pays membres. Notons qu’avant lui, c’est la présidente de l’Institut national pour la promotion de la femme (INPF), Vicentia Boco qui était au cabinet du président de la République, Boni Yayi. Objectifs, féliciter ce dernier pour avoir honoré son engagement de 30% de femmes au gouvernement et lui faire le point des actions menées par l’institut depuis sa création. En effet, créé il y a un peu plus d’un an par le chef de l’Etat, l’INPF a pour objectif principal de faire la promotion de la gent féminine. Ainsi, lentement mais surement, l’équipe dirigeante s'affaire pour la concrétisation de ce rêve, malgré les maigres ressources dont elle dispose pour l’instant. Selon Vicentia Boco, l’entrée dans le nouveau gouvernement de huit femmes sur les 26 soit 33%, est un signe précurseur de l’atteinte des objectifs. Voilà pourquoi, il était important pour la présidente de l'Institut national pour la promotion de la femme, d’aller remercier le président Boni Yayi, tout en lui rappelant que la promotion de la femme doit s'élargir aux autres institutions et directions. Elle a saisi l'opportunité pour présenter au président, le plan stratégique de l’INPF pour les cinq prochaines années, en matière de besoins et de mise en œuvre de ses actions. bibo:pages 1 16 -- o:id 7457 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7457 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7475 26668 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2765c1ee039322f032ae7aee533e1048d42ce0bb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c5ff065c0922fa8ee11497eddc0d53a60cd71d10.tiff dcterms:title Création d'une banque islamique du Bénin : pour le financement du secteur privé dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14565 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/220 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/20 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/399 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-05-30 dcterms:identifier iwac-article-0003453 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Vendredi 27 mai dernier, le président exécutif de la Société islamique pour le développement du secteur privé, Khaled M. Al-Aboodi était au cabinet du chef de l’Etat. Leur discussion a porté sur la création prochaine d’une banque islamique du Bénin pour la promotion du secteur privé. Le collège des rois de la commune de Tchaourou s'est rendu, lui aussi, chez le président Boni Yayi pour une séance de prières. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Vendredi 27 mai dernier, le président exécutif de la Société islamique pour le développement du secteur privé, Khaled M. Al-Aboodi était au cabinet du chef de l’Etat. Leur discussion a porté sur la création prochaine d’une banque islamique du Bénin pour la promotion du secteur privé. Le collège des rois de la commune de Tchaourou s'est rendu, lui aussi, chez le président Boni Yayi pour une séance de prières. Parmi les freins à la prospérité du secteur privé au Bénin il y a le problème de financement. C’est dans ce souci qu’une banque islamique sera créée bientôt au Bénin pour financer des différents projets de ce secteur. Le président exécutif de la Société islamique pour le développement du secteur privé, Khaled M. Al-Aboodi est allé annoncer la bonne nouvelle au chef de l’Etat, vendredi dernier. Au cours de leurs discussions, le président de la Société islamique pour le développement du secteur privé a expliqué au président Boni Yayi les activités de son institution qui est une filiale du groupe de la Banque islamique de développement, exclusivement orientée vers la promotion du secteur privé. Il a présenté au chef de l'Etat, l'ensemble des activités, la mission et la vision de cette société. Il a annoncé la création d’une Banque islamique du Bénin qui va être un instrument très actif pour la promotion des Petites et moyennes Entreprises (PME). Mais avant, l'arrivée du président exécutif de la Société islamique pour le développement du secteur privé, Khaled M. Al-Aboodi a été annoncée par l’ancien ministre d’Etat, Zul kifl Salami. Pour ce dernier, le lancement de cette future Banque islamique du Bénin va enclencher un certain nombre d’actions visant à épauler l’économie nationale et soutenir surtout le secteur privé et compléter d’une manière générale l’architecture bancaire telle qu’elle est, aujourd’hui, au Bénin. Selon Zul kifl Salami, cette banque apportera un peu plus aux économies nationale et sous régionale. Il a déclaré que l’installation de cette banque permettrait au Bénin d'avoir la possibilité d’appuyer toute la zone franche industrielle qui a été créée depuis des années, mais qui peine à décoller. Les rois de Tchaourou ont prié pour le chef de l’Etat Conduits par l’honorable Chabi Sika, le chef des forgerons, le chef des bouchers, le chef de terre et l’imam et toutes les autres notabilités de Tchaourou sont allés remercier le chef de l’Etat pour les dernières élections présidentielle et législatives. « Ces élections se sont déroulées dans de bonnes conditions sans violence et dans la concorde », a souligné le collège des rois. Ils ont aussi prié pour le chef de l’Etat à qui ils ont exprimé toute leur satisfaction. C’était aussi l’occasion pour eux de demander au président Boni Yayi de continuer de prier pour que le Bénin se porte dans la paix et que tous les problèmes trouvent des solutions. Selon Chabi Sika, le Bénin espère se porter bien dans la paix, la sérénité et la compréhension. Le chef de l’Etat, aussi, a demandé à ces dignitaires de continuer de prier car, notre pays a besoin de la clémence du Tout-Puissant, le seigneur. Une délégation des ministres est allée faire le point global des activités du gouvernement avec le chef de l’Etat, de la vision à donner à la gestion du Bénin pendant les cinq prochaines années. Au cours de leurs échanges, ils ont revu le rôle central que doit jouer le Parlement de la 6e législature dans cette vision. Par rapport à la réforme, l’ex porte-parole du gouvernement, Candide Azannaï, a expliqué qu’il y a urgence à ce que des hommes politiques pétris d’expériences aillent en mission pour donner corps à l’aspect législatif de ces réformes. Le nouveau représentant résident de la Banque mondiale pour le Bénin, Olivier P. Fremond est allé, pour sa part, présenter ses félicitations au chef de l’Etat et lui annoncer son arrivée au Bénin. bibo:pages 3 -- o:id 7458 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7458 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7476 26669 26670 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cd11d94d7915807b36231d7d86c8357100dbf514.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6d4ba7634117763152b2490b8d11ff3daf852a74.tiff https://islam.zmo.de/files/original/e8d3613eeb722b7374de7cc166f4c9cde76b7b43.tiff dcterms:title Cour suprême : Ousmane Batoko chez les autorités morales et religieuses de Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14843 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13663 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/220 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2018 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14093 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2042 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-05-20 dcterms:identifier iwac-article-0003454 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la Cour suprême, Ousmane Batoko, a rendu hier jeudi 19 mai, une visite de courtoisie et de prise de contact aux autorités morales et religieuses de Porto-Novo, ville abritant le siège de la haute juridiction. Au cours de cette tournée, la première depuis sa prise de service en février dernier, Ousmane Batoko a profité de l’occasion pour inviter les populations à « faire confiance en la justice qui est au service de la veuve et de l’orphelin ». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la Cour suprême, Ousmane Batoko, a rendu hier jeudi 19 mai, une visite de courtoisie et de prise de contact aux autorités morales et religieuses de Porto-Novo, ville abritant le siège de la haute juridiction. Au cours de cette tournée, la première depuis sa prise de service en février dernier, Ousmane Batoko a profité de l’occasion pour inviter les populations à « faire confiance en la justice qui est au service de la veuve et de l’orphelin ». Abandonnant robe et maillet, Ousmane Batoko est sorti des quatre murs de ses prétoires pour aller au contact des personnalités morales et religieuses de Porto-Novo, son nouveau lieu de travail depuis le 28 février 2011, date à laquelle il a pris en main les rênes de la Cour suprême. Tour à tour le président de la Cour suprême et sa suite ont rendu visite au président du Conseil des sages et notables de Porto-Novo et président de la Communauté musulmane de Porto-Novo, Karim da Silva, le révérend pasteur de l’église du Christianisme-céleste, Bennett Adéogun, le maire de la ville de Porto-Novo, Moukaram Océni, Sa Majesté Onikoyi Abessan, roi des Yoruba de Porto-Novo, Sa Majesté Dê-Gbézé Ayontinmè Toffa IX, roi de Porto-Novo et Sa Majesté Dê-Kpoto-Zounmè Makpon lll, roi des Goun de Porto-Novo. Au terme de la visite, il a expliqué à la presse le motif de sa tournée : « aller saluer les autorités qui incarnent la ville de Porto-Novo, mon nouveau lieu de travail». Il était donc utile pour lui de prendre langue avec les personnalités à divers niveaux de cette ville comme le veut la tradition africaine. Le sens de la visite Ousmane Batoko a expliqué que « cette visite aurait pu avoir lieu depuis plusieurs semaines, n'eut été l’organisation des élections présidentielle et législatives ». Il dit connaître très bien la ville de Porto-Novo pour y avoir fréquenté le Lycée Béhanzin Ousmane Batoko se dit être chez lui à Porto-Novo pas seulement parce que c’est la capitale de notre pays mais à « cause des liens fraternels tissés par le passé ». C'est pourquoi, Ousmane Batoko n’éprouve aucune difficulté à s’installer très bientôt dans la cité des Aïnonvi pour mieux accomplir sa mission. A propos du rôle de la Cour suprême, Ousmane Batoko a invité les populations à travers ses interlocuteurs à faire confiance en la justice. « La justice béninoise est une justice humaine, démocratique et qui a un visage. Elle est au service de tout le monde sans distinction aucune. Elle décide en tenant compte de l’environnement et des textes adoptés par le législateur », a précisé Ousmane Batoko. Il a exhorté les uns et les autres à croire en la justice surtout aux décisions de la Cour suprême, la plus haute juridiction en matière administrative et des comptes de notre pays. A chacune de ses étapes hier, Ousmane Batoko a livré ce même message. Les autorités morales et religieuses qui ont reçu la visite du président de la Cour suprême ont apprécié cette « démarche originale » d’Ousmane Batoko. Selon les chefferies traditionnelles et les autorités religieuses c'est la première fois qu’un président de la Cour suprême leur rend visite. Elles se disent flattées et ont prié Dieu et les mânes des ancêtres d’assister Ousmane Batoko dans sa mission. La tournée s’est achevée par la visite à la famille de feu El hadj Cheick Imam Moudjadid-Deen Damala, Iman de la mosquée centrale de Porto-Novo décédé tout récemment. Ousmane. Batoko est allé présenter les condoléances de son institution à la famille éplorée. bibo:pages 1 11 -- o:id 7459 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7459 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7477 26671 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cd2ada8e20c0d0d39802452fd1af8a03cc6ecee7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f1fb805ef0dd36d0e14e19126a158933b7b696aa.tiff dcterms:title Fondation œcuménique d'Afrique : El-Hadj Adam Abibou "Owo Lobè" nommé président d'honneur à vie et grand médiateur dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13278 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14280 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12873 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14294 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-04-27 dcterms:identifier iwac-article-0003455 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre de ses activités, la fraternité Ogboni Aborigin a organisé, le 24 avril dernier, au palais de l’empereur mondial des Ogboni, route de Porto-Novo, la prière de septième jour qui fait suite à son pèlerinage international de Savè. A cette occasion, la Fondation œcuménique d’Afrique, institut panafricain de droit divin a élevé au grade de président d’honneur à vie, grand médiateur du « Grand peuple » de Dieu répandu dans le monde entier, El-Hadj Adam Abibou « Owo Lobè ». C’était en présence de nombreux invités, de dignitaires de la fraternité Ogboni, de têtes couronnées et de fidèles de la fraternité. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/393 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre de ses activités, la fraternité Ogboni Aborigin a organisé, le 24 avril dernier, au palais de l’empereur mondial des Ogboni, route de Porto-Novo, la prière de septième jour qui fait suite à son pèlerinage international de Savè. A cette occasion, la Fondation œcuménique d’Afrique, institut panafricain de droit divin a élevé au grade de président d’honneur à vie, grand médiateur du « Grand peuple » de Dieu répandu dans le monde entier, El-Hadj Adam Abibou « Owo Lobè ». C’était en présence de nombreux invités, de dignitaires de la fraternité Ogboni, de têtes couronnées et de fidèles de la fraternité. Après la récitation du Coran par la communauté musulmane, et l’intervention du secrétaire général de la fondation, l’assistance a eu droit à la cérémonie proprement dite de couronnement de l’empereur mondial qui a été nommé président d’honneur à vie de la fondation. Il a reçu successivement la médaille, l’écharpe, la petite canne de commandement, le bâton de commandement, le diplôme d’honneur, l’attestation, la couronne et la clé. Dans son intervention, l’empereur mondial a dit qu’il œuvre toujours pour la paix et que Dieu l’a envoyé en mission pour sauver le monde. Il a ensuite rappelé que l’année 2011 sera difficile tout en exhortant le peuple à savoir parler et manger. Il poursuit qu’« On ne s’amuse pas avec la vie. Il faut qu’il y ait de respect pour les grands. Il y a 45 ans que je lutte contre la sorcellerie bien que je sois âgé de 52 ans. Si vous ne respectez pas les lois de la nature, vous ramasserez les pots cassés. Puis, il demande aux musulmans du monde entier de ramener la balle à terre. C’est dans l’amour qu’il y a la paix et la vérité. Il faut s’aimer et qu’on cesse de se détruire. Il faut que le peuple béninois soit soudé et que tout le monde aille voter dans la paix », a-t-il conseillé. Après avoir fait remarquer qu’il ne faut pas suivre l’argent plutôt que de penser au travail libérateur, l’empereur mondial a expliqué à l’assistance que la fraternité Ogboni qui compte aujourd’hui Plus de 13.500.000 fidèles, n’est pas une religion. Pour sa part, le roi Adjahouto Dodo des Aïzo a dit que le chef de l’Etat pense à la fraternité Ogboni qui fait déjà beaucoup pour le monde entier. Du côté du président de la Fondation œcuménique d’Afrique, Dr Etienne Issa Boglo, il a tout simplement demandé qu’on se mobilise pour leur engagement à la paix, tout en parlant de l’unité dans la foi, et de la fraternité. bibo:pages 14 -- o:id 7478 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7478 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7495 26672 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/695c7ffec99bf202c5c912f3c9243a59cca59f1b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/89797e343e6ddc16ea07662a6510d3b3f11b49c9.tiff dcterms:title Présidentielle de mars 2011 : le Cadre de concertation des confessions religieuses invite à aller aux urnes dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1526 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15227 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13092 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15080 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/102 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-03-11 dcterms:identifier iwac-article-0003456 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Face à l’incertitude qui plane sur la tenue effective du premier tour du scrutin présidentiel pour le 13 mars prochain, le Cadre de concertation des confessions religieuses, le Conseil national des rois du Bénin et le Conseil suprême des souverains du Bénin ont invité les Béninois à aller voter le dimanche prochain dans le calme. C’était lors d’une conférence de presse animée hier jeudi 10 mars, à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Face à l’incertitude qui plane sur la tenue effective du premier tour du scrutin présidentiel pour le 13 mars prochain, le Cadre de concertation des confessions religieuses, le Conseil national des rois du Bénin et le Conseil suprême des souverains du Bénin ont invité les Béninois à aller voter le dimanche prochain dans le calme. C’était lors d’une conférence de presse animée hier jeudi 10 mars, à Cotonou. Trois déclarations ont marqué la conférence de presse animée hier par le Cadre de concertation des confessions religieuses, le Conseil national des rois du Bénin et le Conseil suprême des souverains du Bénin. Tour à tour, les représentants des trois organisations ont passé un message de paix invitant les uns et les autres à se rendre aux urnes le dimanche 13 mars afin d’accomplir leur devoir civique. Tout en reconnaissant les problèmes liés à l’établissement de la Liste électorale permanente informatisée (LEPI), Michel Alokpo, représentant le Cadre de concertation des confessions religieuses (CCCR), a salué le consensus obtenu par la médiation des anciens présidents autour de la Liste. Le CCCR, selon Michel Alokpo, encourage les responsables de la CPS/LEPI et de la MIRENA à tout mettre en œuvre pour que les Béninois qui attendent encore puissent être enrôlés afin de prendre part au scrutin présidentiel. Il invite tout le peuple béninois à se rendre massivement aux urnes le dimanche 13 mars pour faire grandir encore une fois, la démocratie béninoise. A son tour, le secrétaire général et porte-parole du Conseil suprême des souverains du Bénin, Sa Majesté Adjihinto Houindji III, constate que certains citoyens continuent de faire planer le doute sur la tenue effective du scrutin le 13 mars prochain et invite les acteurs politiques à œuvrer pour l’organisation d’une élection paisible, libre et transparente. Le même message de paix et d’exhortation a été adressé par le représentant du Conseil national des rois du Bénin. Tous ensemble, ils ont invité à une mobilisation des citoyens pour l’effectivité du scrutin du 13 mars. bibo:pages 11 -- o:id 7479 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7479 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7496 26673 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d5f4504d2d7697e70b0cdf5ac42142c5ef131e41.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5ce18c062558dbaa0a2f2c9f0825957bc3739051.tiff dcterms:title Pobè : la mosquée centrale Fao militarisée dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15097 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/814 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/343 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14424 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15006 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13498 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-11-06 dcterms:identifier iwac-article-0003457 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une partie de la communauté musulmane de Pobè, soutenue par des islamologues a turbanisé vendredi dernier, un nouvel imam, à la tête de la mosquée centrale Fao de la ville, déclenchant la guéguerre entre les deux camps qui convoitaient les fonctions de premier responsable religieux du sanctuaire islamique, suite au décès le 7 mai dernier de l'ancien imam. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/384 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12919 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une partie de la communauté musulmane de Pobè, soutenue par des islamologues a turbanisé vendredi dernier, un nouvel imam, à la tête de la mosquée centrale Fao de la ville, déclenchant la guéguerre entre les deux camps qui convoitaient les fonctions de premier responsable religieux du sanctuaire islamique, suite au décès le 7 mai dernier de l'ancien imam. Pour rappel, l'autorité communale avait fixé la date du 8 novembre prochain pour réunir la communauté musulmane autour d'une même table, et tenter de trouver un consensus à la crise qui secoue les fidèles musulmans de cette mosquée, après le décès de l'imam Maroufou Oliyikou, alias Banousso. Un des camps antagonistes, celui de Saliou Akandé, turbanisé au palais royal de Pobè contre vents et marée, et à l'encontre des décisions de l'autorité communale qui présidait depuis lors la gestion de cette crise, a mis le feu à la poudre. En réaction, l'aile Achirou Chakirou s'est soulevée remettant en cause l'acte consacrant la turbanisation du jeune imam Saliou Akandé, l'intérimaire désigné par le défunt imam Maroufou Oliyikou, pour diriger la prière du vendredi au moment où ce dernier était souffrant. Pour parer à toute éventualité d'affrontement et éviter que la situation ne dégénère, la mosquée a été fermée à clé, et le maire Saliou Akadiri a pris les dispositions vendredi dernier, pour mettre sous surveillance militaire, ce lieu de prière et d'adoration d'Allah. A sa rencontre, le prétendant déchu, Achirou Chakirou, taxé de Kétois (originaire de Kétou), par une partie de la communauté musulmane de Pobè, a fait savoir que son vis-à-vis, Saliou Akandé ne mérite pas d'être intronisé imam pour plusieurs raisons. «Akandé n'est pas un imam de consensus, et il avait renoncé, au départ, à ce poste, devant le maire, avant de l'accepter finalement. Aussi, Akandé a-t-il 30 ans, alors qu’il faut avoir 40 ans, l'âge de la pointe de perfection, à partir duquel Allah nomme ses messagers», a protesté le prétendant déchu, Achirou. En face, l'imam controversé reconnaît avoir décliné l'offre d'être porté imam de la mosquée, mais s'est vu contraint par la suite, d'accepter la main tendue de la communauté musulmane qui a placé sa confiance en sa personne. «Je n'ai effectivement pas encore 40 ans, l'âge auquel le prophète s'est vu confier des responsabilités du genre, mais le coran a dit, si la communauté te désigne imam ou chef religieux, accepte sans contrainte, pour ne pas tomber dans le péché», a répondu le jeune imam. Le nouveau chef de mosquée, turbanisé vendredi dernier a demandé aux uns et aux autres de s'aligner derrière sa personne pour continuer sur la bonne voie toute tracée par Allah. Il souhaite que la mosquée fermée et fortement militarisée, et dont les clés ont été remises au roi de Pobè, soit rouverte avant vendredi prochain, pour permettre à la communauté musulmane de prier et rendre grâce à Allah, pour ses bienfaits. Toujours est-il que le règlement de la crise qui secoue les fidèles musulmans de la mosquée de la Fao, pour désigner leur imam, est encore dans l'impasse. La mosquée de la Fao, est l'une des trois mosquées centrales que compte la ville de Pobè, construite en 1996 par l'Association pour la renaissance du patrimoine islamique, a-t-on appris. bibo:pages 5 -- o:id 7480 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7480 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7497 26674 26675 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/635b257c2e2f1b009d78c37167cf134e55789495.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9cb2bac61e57ee20fda7821f08a1daff85e0d26c.tiff https://islam.zmo.de/files/original/83f738ac33123c96da77c2a08093c8a63ebfebb8.tiff dcterms:title Fête de Tabaski : communion de prières sous le signe de la convivialité et de la paix à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13631 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13704 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1963 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/49 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12888 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-10-29 dcterms:identifier iwac-article-0003458 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Finies la course et les négociations houleuses autour des prix des moutons, place au sacrifice précieux pour implorer la miséricorde et la paix au Bénin et dans le monde. Après la communion de prière et le sermon sur les places Idi, les musulmans de Parakou ont fêté dans la joie et l'allégresse l’Aïd el-Adha (fête du sacrifice) ou encore l’Aïd el-kébir (Aïd al-Kabîr : la grande fête), en dépit de la cherté de la vie et de la flambée des prix des animaux. C’était vendredi 26 octobre dernier. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Finies la course et les négociations houleuses autour des prix des moutons, place au sacrifice précieux pour implorer la miséricorde et la paix au Bénin et dans le monde. Après la communion de prière et le sermon sur les places Idi, les musulmans de Parakou ont fêté dans la joie et l'allégresse l’Aïd el-Adha (fête du sacrifice) ou encore l’Aïd el-kébir (Aïd al-Kabîr : la grande fête), en dépit de la cherté de la vie et de la flambée des prix des animaux. C’était vendredi 26 octobre dernier. « Aïdkoum Mabrouk ! Taqabbal-Allahu minna wa minkum. Amin ». Ce n’est pas une incantation, mais une formule arabe qui était sur les lèvres vendredi dernier pour se souhaiter entre musulmans « Joyeuse fête ! Qu'Allah agrée nos bonnes actions et les vôtres. Amen ». Vendredi 26 octobre, jour doublement sacré pour la communauté musulmane : jour auguste de prières et de surcroit jour de l'Aïd el-kébir. Parakou, ville à forte implémentation islamique, s’est réveillée comme d’habitude par l’appel des muezzins à la prière "adhan” et surtout les bruits des mortiers et des pilons qui se font particulièrement assourdissants, en cette saison de floraison de l’igname pilée. Et la sauce qui accompagnera le repas dans les familles et entre amis ce jour, l’on peut le deviner aisément, c'est principalement la sauce du mouton en cette occasion du sacrifice du mouton. En tout cas, il n’est pas question de jeûner ce jour de l'Aïd-el-adha, comme d’ailleurs le jour de l’Aïd el-fitr (Ramadan). Autrement, cela est contre les règles de l’islam. Aux environs de 8h30, les artères principales de la ville connaissent une circulation peu ordinaire. Les conducteurs de taxi-moto en profitent pour faire de bonnes affaires. Les mendiants réclamant l’aumône, les vendeurs de gâteaux et de petits objets eux aussi. Les voitures sont bondées de monde ; même les malles-arrière sont sollicitées pour convoyer les enfants au lieu sacré de prières. La joie se lit sur la plupart des visages. En fait, la grande prière devait se dérouler partout autour de 9 heures et les fidèles accourent pour rejoindre à temps la place Idi de leur choix pour la communion de prières. Parés de leurs beaux habits, les hommes avec leur bonnet et les femmes avec leur voile sur la tête, tiennent à ce rituel, à défaut de se rendre à la Mecque en Arabie Saoudite pour prier là où le prophète Mahomet a eu à faire son pèlerinage. Au milieu des groupes de fidèles qui déambulent, les cavaliers remarquablement endimanchés s’offrent en un spectacle équestre fort attrayant. Les chevaux parés de belles couleurs se font admirer dans leurs parades dignes des jours spéciaux. A Guèman où le maire Soulé Allagbé et d’autres membres du Conseil communal de Parakou ont choisi pour l'union de prières, des milliers de fidèles ont répondu à l’appel de l’imam Sarki Aboubacar. Dans son prêche, ce dernier rendra grâce à Dieu pour tous ses bienfaits à l’égard des hommes et priera pour qu'Allah comble de sa miséricorde tous les fidèles musulmans ainsi que les non musulmans. Il plaidera également pour l’union, l’entente et la paix dans les foyers et dans le monde. A la fin de la prière marquée par la présence de têtes couronnées, el-hadj Soulé Allagbé a imploré Dieu pour qu’il continue de veiller sur le Bénin tout entier et particulièrement sur le président de la République et les élus du peuple. Le préfet des départements du Borgou-Alibori, Denis Ali Yérima, quant à lui, s’est rendu sur la place Idi de Zongo, en face de la fondation islamique Ahaloulbatyti, également prise d’assaut par un monde fou de fidèles et des non musulmans. Là, c’est l’imam central Issakiri qui a dirigé la séance de prière et de sermon. Au-delà des bons voeux de santé, de longévité, de prospérité, les uns et les autres ont prôné le pardon, la réconciliation et le rapprochement entre les frères divisés. bibo:pages 1 7 -- o:id 7481 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7481 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7498 26676 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/af2de4e54636bd941fe5e29720156ab8f765172a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/05f77a6c35af028b465dfca8c1bc61265669559e.tiff dcterms:title Aïd el-Kébir à Parakou : la fête aura lieu, en dépit de la morosité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-10-25 dcterms:identifier iwac-article-0003459 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’Aïd el-Kébir (Aïd al-Kabïr : la grande fête en arabe) ou l'Aïd el-Adha (Aïd al-Adha : la fête du sacrifice) aura lieu demain vendredi 26 octobre chez les musulmans. A Parakou, la communauté musulmane se prépare activement à sacrifier à cette tradition annuelle de pardon, de réconciliation et de rapprochement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’Aïd el-Kébir (Aïd al-Kabïr : la grande fête en arabe) ou l'Aïd el-Adha (Aïd al-Adha : la fête du sacrifice) aura lieu demain vendredi 26 octobre chez les musulmans. A Parakou, la communauté musulmane se prépare activement à sacrifier à cette tradition annuelle de pardon, de réconciliation et de rapprochement. Des moutons transportés sur les épaules, sur les motos, dans des véhicules, aux coins de la rue. Des bêtes prêtes à être sacrifiées pour la fête, attachées aux alentours des maisons. Tabaski, la fête du mouton est en pleine préparation dans la cité des Koburu. Des cours, des arrière-cours, des garages sont transformés pour l’occasion en parcs de moutons. Au marché du bétail à Guèman, à la sortie de la ville en allant vers Kandi, l’animation est bien perceptible depuis mardi dernier. Vendeurs et potentiels acheteurs discutent. Ces derniers regardent, tâtent la chair des moutons puis s'engagent dans le marchandage. Il faut noter cependant que l’affluence n’est pas forte. Des vendeurs expliquent cela par le fait que beaucoup attendent le dernier moment c'est-à-dire la veille de la fête pour s’approvisionner. La morosité économique ambiante de même que la cherté de la vie sont également évoquées, en empêchant certains musulmans de sacrifier à la tradition observée chaque année en souvenir du miracle opéré par Dieu en substituant un bélier au fils unique qu'Abraham lui offrait en sacrifice à sa demande. Avec la flambée des prix, il faut débourser en moyenne 50.000 F CFA pour s’acheter un mouton. Les bêtes peuvent coûter jusqu’à 150.000 F CFA. Malgré cela, ceux qui en ont la capacité, ne lésinent pas sur les moyens pour se conformer à cette prescription du Coran. En attendant le jour fatidique, les fidèles musulmans ont le regard tourné vers ce jeudi, jour d’Arafat. Tout musulman qui n’a pas effectué le Hadj et qui remplit les conditions, doit observer le jeûne à cette occasion. Certes il ne s’agit pas d’une obligation, mais d’un acte subrogatoire pour celui qui n’a pas fait le pèlerinage à La Mecque. Et c’est vers La Mecque que l’homme "pieux" chargé de trancher la carotide de la bête dirigera la tête de l’animal, tout en prononçant le nom d’Allah. Ce sera après les psalmodies du Coran dans les mosquées et les lieux retenus pour les prières. La grande fête musulmane ou la fête du sacrifice est l'occasion d'implorer la rémission des péchés par Allah, d'effacer les rancœurs envers ses tiers. C’est à la fois une fête de pardon, de réconciliation et de rapprochement des gens, dans la joie et la gaieté. Les musulmans pourront alors se féliciter mutuellement et échanger des vœux de tout genre. Selon la tradition, une partie de la viande du mouton sacrifié est donnée en aumône notamment aux voisins, une autre est destinée à la consommation en famille et entre amis et une autre peut être conservée. Signalons que comme d’habitude, les fidèles ont été une fois encore divisés quant à de la date de tenue effective de la fête. Certains estimaient que c’est demain vendredi tandis que d’autres soutenaient qu’elle devrait avoir lieu samedi prochain. Vendredi 12 octobre dernier, une dispute à ce propos aurait laissé place à des échauffourées au quartier Zongo-Zénon, a-t-on appris. bibo:pages 7 -- o:id 7482 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7482 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7499 26677 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3cba34bd7c332501433fe79956a1d3c2588de165.pdf https://islam.zmo.de/files/original/950e741e86fa254ef5089577a26a37e8a422d9a8.tiff dcterms:title Ibrahim Ousmane Imam de la mosquée centrale de Cotonou (Jonquet) : "Il ne faut pas s'endetter pour immoler une bête à Dieu" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1506 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/104 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-10-25 dcterms:identifier iwac-article-0003460 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane est en fête. La célébration demain vendredi 26 octobre de l’Aïd El Kébir ou fête du mouton, occasion de renouvellement du sacrifice d’Abraham se fera cette année sous le signe de la flambée du prix des bêtes sur les marchés. Mais peu importe ! La fête aura lieu. Les bénédictions jailliront. C’est aussi l’avis de l’Imam Ibrahim Ousmane de la mosquée centrale de Cotonou (Jonquet) qui donne ici, quelques détails sur cette fête, l’une des plus importantes de la religion musulmane. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane est en fête. La célébration demain vendredi 26 octobre de l’Aïd El Kébir ou fête du mouton, occasion de renouvellement du sacrifice d’Abraham se fera cette année sous le signe de la flambée du prix des bêtes sur les marchés. Mais peu importe ! La fête aura lieu. Les bénédictions jailliront. C’est aussi l’avis de l’Imam Ibrahim Ousmane de la mosquée centrale de Cotonou (Jonquet) qui donne ici, quelques détails sur cette fête, l’une des plus importantes de la religion musulmane. La Nation : Imam Ibrahim Ousmane, quelle est la date exacte de la fête de la Tabaski ? Ibrahim Ousmane : Par la grâce de Dieu, je crois que c'est demain, vendredi 26 octobre. Pourquoi assiste-t-on parfois à des contestations autour de la date des célébrations musulmanes ? Pour la fête de la Tabaski, le problème ne se pose pas souvent parce que ça vient au beau milieu du mois lunaire. Souvent il n’y a pas de problème. Le problème se pose au niveau du mois de Ramadan parce que c’est tout au début du mois lunaire, c’est la veille et il faut d’abord, selon d’autres enseignements islamiques, nécessairement voir la lune sortir, nous sommes dans un pays laïc, nous ne sommes pas dans un pays islamique, là où nous avons aussi besoin d’informer le gouvernement au moins deux ou trois jours avant notre jour de fête pour que l’on nous le férie parce qu’il y a quand même des musulmans qui sont fonctionnaires. Donc c’est cela qui pose souvent problème. A la Tabaski, il n’y a pas souvent ce souci. C’est très rare. Cela peut arriver si nous disons que la Mecque d’abord c’est en Arabie Saoudite et c’est là bas qu’il y a l’Arafat. Et il faut vivre le jour de l’Arafat et le lendemain, célébrer la fête de la Tabaski. Donc si les Saoudiens eux, depuis le début du mois lunaire, durant les sept premiers jours, n’ont pas réussi à dégager le jour exact et c’est à la veille de la Tabaski qu’on nous dégage un jour, au motif que les nuages avaient caché la lune et tout ça, le problème peut se poser aussi au niveau de la Tabaski. Mais cela n’arrive pas souvent. Que représente alors la Tabaski pour les Musulmans ? Cette fête représente un échange d’âme. Nous sommes tous censés avoir des dangers qui cherchent à nous arracher l’âme. Donc en faisant de tels sacrifices, Dieu nous aidera à toujours changer d’âme. Dites-nous Imam, quelle est la différence entre la fête de la Tabaski et celle du Ramadan ? C’est très clair qu’il y a une grande différence entre les deux fêtes. La fête du Ramadan vient juste après le mois de Ramadan, le jeûne de 29 ou 30 jours que nous faisons, et c’est précisément durant le mois de Ramadan. C'est le mois qui correspond au neuvième mois de l’année lunaire ou de l’année islamique. Donc c’est dans ce mois que nous jeûnons et après le nombre de jours voulu par Dieu, nous fêtons maintenant le Ramadan. Celle-ci maintenant, la Tabaski, c’est dans le douzième mois de l’année lunaire que nous appelons Zolahidja. Et cela ne se passe, ni au début, ni à la fin du mois, mais au beau milieu du mois, le 10e jour du 12° mois lunaire. C’est ce jour-là que nous fêtons la Tabaski. C’est vrai que le 9e jour de ce mois, il est recommandé de jeûner et le prophète Mohamed a dit que si nous jeûnons ce jour là, qui correspond au jour d’aujourd’hui, nous aurons la bénédiction et il nous pardonne les péchés de deux ans. Donc nous les musulmans nous tenons compte de ce jour si Dieu nous prête santé et longévité, nous allons jeûner aujourd'hui et demain, ce sera la fête. Combien de jours séparent les deux fêtes ? Très souvent, si ce n’est pas 69 jours, c'est 70. Imam, vous avez certainement votre opinion sur la commercialisation des bétails et la flambée des prix qui se veut récurrente ! Il faut dire que cette situation n’a rien à voir avec la religion musulmane. Parce qu’il n’y a pas que des musulmans qui vendent les moutons. Il y a aussi des non-musulmans qui viennent vendre. Donc, c’est une opportunité pour Ces derniers, et ils en profitent pour faire leur commerce. Tout ce que je peux dire, c’est que la bénédiction vaut plus que tout. Il est vrai que c’est permis dans toutes les religions de pratiquer le commerce, mais il ne faut pas trop abuser des bénéfices. S'il y a trop de bénéfices et que Dieu enlève les bénédictions, c’est comme si vous n’avez plus rien gagné. Si tu achètes à 20 francs et que tu peux revendre à 25 ou 30 francs, c’est déjà bon. Mais si en raison de la nécessité pour les musulmans d’acheter des moutons pour la fête, tu veux revendre à 100F, ce que tu as acheté à 20F, c’est déjà trop. Nous, Dieu nous donnera les moyens de nous en procurer. Quel que soit le prix du mouton, les musulmans vont s’en procurer. Mais ce que je dois dire, c’est que les bénédictions valent plus que tout. Est-ce que l’immolation de la bête le jour de la Tabaski est une obligation ? L’immolation est une obligation pour les musulmans qui ont les moyens. Celui qui survient au besoin de sa famille et a des économies doit les sortir pour acheter ce mouton quel que soit son prix, pour l'immoler pour Dieu. C'est une obligation. Mais celui qui n’a pas les moyens et qui se trouve dans le besoin peut s’en passer. Il ne faut pas s’endetter pour dire qu’on veut immoler une bête à Dieu. Parce que Dieu ne nous crée pas des problèmes, il nous offre plutôt des solutions. Sous quel signe alors sera placé la fête de la Tabaski cette année ? Cette fête représente pour nous les musulmans, un lien avec notre prophète Abraham à qui Dieu a dit d’immoler son fils Ismaël. Et au moment où ils étaient prêts, le fils pour être sacrifié et le père pour faire l’offrande, Dieu, à la dernière minute, quand il a vu vraiment que les deux sont des fidèles en ce moment, il a échangé l’enfant contre une bête. Donc mon message à la communauté sera de remercier le gouvernement pour l’organisation réussie du Hadj 2012. La grande partie est allée au Hadj dans de bonnes conditions et tout le monde en remercie le gouvernement et implore Dieu à l’aider à en faire davantage. Ceux qui pensent que le gouvernement a tort de s’ingérer dans des actes religieux, je leur dit non! Il faut distinguer les actes purement religieux qui s’organisent à la Mecque et l’organisation d’un pèlerinage qui n’est pas un acte religieux. Donc le gouvernement en tant que responsable de la population a le droit de s’en mêler et de s’impliquer. Impressions de quelques fidèles musulmans Chakirou Ayilou : Muézin à la Mosquée de Cadjèhoun Une célébration héritée La fête de la Tabaski, c’est d’abord une pratique de nos aïeux. C’est une sunna du prophète Abraham révélée au dernier prophète, Mohamed. Les musulmans doivent se souvenir de cette pratique. Car, la Tabaski est une fête héritée. Elle est aussi une action de grâce et de remerciement à Dieu. En effet, du fait de sa miséricorde, Allah le miséricordieux a épargné le fils aîné du prophète Abraham (Ismaël) du sacrifice, pour accepter un bélier qu’il lui a offert en lieu et place. Le mouton, je ne l’ai pas encore acheté. J’attends le dernier moment. Mais ce n’est pas une obligation quand on manque de moyens. Le fidèle musulman achète ce dont il a la capacité. A la fin du sacrifice, les récompenses sont proportionnelles au nombre de poils que porte la bête tuée. Zariatou Atanda née Taïrou : Vendeuse Une fête familiale La célébration de la fête de la Tabaski est une mission que nous accomplissons tous les ans. Elle nous réjouit parce qu’elle rassemble toute la famille. Par exemple, les membres de la famille qui sont à l'extérieur, font l’effort de marquer de leur présence ce jour-là. J’ai déjà acheté un mouton. Il a coûté 120 000FCFA. En posant ce geste, la rétribution est énorme. Sanguirou Moumouni : Commerçant Expression de la foi La Tabaski est une fête pour tous les musulmans. Elle a été consacrée depuis Abraham à qui Dieu a demandé de lui sacrifier son fils, Dieu voulait éprouver sa foi. Serait-il capable de lui sacrifier Ismaël ? C'est ce rite que nous continuons. J'ai commandé cinq moutons depuis Parakou à 600.000FCFA et qui sont déjà là. Seul Dieu accorde la récompense qui lui plaît au fidèle musulman qui immole le mouton. Mais le plus important de cette fête, ce n'est ni le sang du mouton versé, ni la viande du mouton. L'essentiel, c'est la foi qu’on a, en faisant le sacrifice. bibo:pages 6 -- o:id 7483 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7483 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7500 26678 26679 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/006517b8b268a7e493ae3921d0cc09c252ed80f4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0da34b7f9add96941e746c9177b72e0ef217b83f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/340f7cedb48d694cea325f63c90dbd9f341e59a3.tiff dcterms:title A l'approche de la Tabaski : flambée des prix du mouton sur les marchés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-10-24 dcterms:identifier iwac-article-0003461 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans béninois, à l’instar de leurs homologues de la communauté internationale, célèbreront la Tabaski ou Aïd El Kébir, vendredi 26 octobre prochain. A la veille de cette fête qui commémore l’obéissance et la soumission d’Abraham à Allah, le prix du mouton a pris l’ascenseur sur les marchés de bétail. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14218 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans béninois, à l’instar de leurs homologues de la communauté internationale, célèbreront la Tabaski ou Aïd El Kébir, vendredi 26 octobre prochain. A la veille de cette fête qui commémore l’obéissance et la soumission d’Abraham à Allah, le prix du mouton a pris l’ascenseur sur les marchés de bétail. Chaque année, se procurer un mouton à l'approche de la fête de la Tabaski, devient un casse-tête pour de nombreux fidèles musulmans. Approprié pour accomplir le sacrifice indiqué pour la circonstance, l'animal se présente comme une denrée assez précieuse. Son prix ne cesse de flamber. Il échappe à tout contrôle et n'est plus à la portée de tout le monde. Du coup, l’affluence sur les différents marchés de bétail où les vendeurs attendent désespérément, laisse à désirer. Au même moment, les démarcheurs qui sont à leurs services, scrutent l'horizon en guettant l'arrivée d'un éventuel client. Pour s'en convaincre, il suffit de faire un tour à Zongo à Cotonou ou au marché de bétail de Sèmè-Podji. Aujourd’hui, pour s'offrir un mouton, les fidèles musulmans sont invités à débourser plus. Ils viennent d’abord prospecter, avant de se décider. Des clients rencontrés au marché de bétail de Sèmè-Podji se disent ne plus être surpris par cette situation. Selon certains, les prix des bêtes ont pratiquement doublé. Ce qu’ils pouvaient s'offrir avec 35.000 F CFA, il y a quelques jours, est subitement passé à 50.000, sinon 80.000 F CFA. Des bêtes de 90.000 hier coûtent aujourd'hui, 200.000 et d'autres jusqu'à 1.200.000 F CFA, sont proposées. Aboubakari Kélani a dû retourner bredouille chez lui. Des moutons de 90.000 et de 100.000 francs CFA qu'il espérait plutôt prendre respectivement à 45.000 et 60.000, lui ont été présentés à Zongo. Comme Aziath Osséni rencontrée du côté de Sèmè-Podji, il dénonce la surenchère qui a court. Seydou Séni ne partage pas leurs avis. Il trouve le marché abordable. « Le marché est pourvu en bêtes, mais les vendeurs ne parviennent malheureusement pas à s'entendre avec les clients. Sinon, comparativement à l'année dernière, les prix semblent être plus intéressants. Les vendeurs montent les enchères. Il suffit seulement que le client soit patient et il finit par trouver ce qui lui convient », avouera-t-il. Très prévoyant, Affissou Anonrin, s'y est pris à temps. Il a déboursé 90.000 F CFA pour avoir deux brebis. Si ce n’est pas à cause de l’envolée spectaculaire que connaissent actuellement les prix de ces animaux sur le marché, il se serait déjà procuré un troisième. Les causes de la flambée Pour Radji Soumanou surpris également à Zongo, ce sont les vendeurs qui profitent de la situation. « Ils savent que le croyant musulman ne doit pas trop marchander le prix d’une bête qui est destinée pour le sacrifice. Un sacrifice n’a pas de prix », a-t-il expliqué. « Vu l’importance du sacrifice du mouton, le jour de la Tabaski, il y a des fidèles qui pensent qu’ils sont obligés de l’acheter, quelque soit son prix », déplorera Séïdou Zakari. « A l’impossible, nul n’est tenu. On ne doit pas voler pour aller acheter un mouton destiné à ce sacrifice. Le Saint Coran n’a pas non plus recommandé d'aller l’acheter à crédit », a-t-il poursuivi. La flambée des prix du mouton, selon quelques vendeurs, serait due à plusieurs raisons. Cette année, la plupart des enclos sont restés vides, parce que les Maliens, les Burkinabé et les Nigériens ont décidé de ne pas exporter une grande quantité de moutons vers le Bénin. A en croire le vendeur Sagné Allassan, ce sont les animaux venus du Burkina Faso qui coûtent les plus chers. Ils sont les plus convoités à cause de leur race et de leur teneur en viande. Malheureusement, ils ont été décimés par une épidémie. Ainsi, l'offre en la matière ne permet pas de faire face à la demande sur les marchés. Outre l'achalandage du marché, les taxes et l'entretien auxquels les bêtes sont assujetties, contribuent également à la flambée de leurs prix. «En dehors des 2.000 F CFA comme taxe, tous les jours, nous payons 50.000 au Burkina Faso et 55.000 au Bénin. Le transport nous revient à 400.000. A l’approche des fêtes de la Tabaski, ils nous arrivent de débourser parfois jusqu’à 900.000 F CFA pour assurer le transport des animaux du Burkina Faso au Bénin», ajoutera Sagné Allassan. Il sera d’ailleurs appuyé dans ses propos par le Nigérien Zibo Arouna qui craint de voir son commerce se solder par une perte. « Nous louons des enclos et payons des taxes à la mairie. En plus de cela, il nous faut acheter du fourrage pour nourrir nos animaux. C’est tout ceci que nous sommes obligés de répercuter sur les prix. Nous sommes des commerçants et nous devons réaliser des bénéfices, surtout lorsque le marché est moins approvisionné », a-t-il déclaré. Le prix du mouton n’a donc pas fini d’augmenter. Au fur et à mesure que la date du vendredi 26 octobre s’approchera, il sera toujours à la hausse. En attendant le moment où ils feront de bonnes affaires sous les regards des agents de la compagnie mixte constituée des militaires et des éléments de la gendarmerie qui assure leur sécurité, les vendeurs du marché de bétail de Sèmè-Podji continueront à prendre leur mal en patience. De petites activités créées sur le dos du mouton Pendant que l’absence des clients constitue un souci pour les vendeurs, il y en a qui se sont rapidement trouvés des occupations sur le marché de bétail de Sèmè-Podji, le temps de la fête de la Tabaski. Il s’agit des démarcheurs qui jouent le rôle d’intermédiaires. Postés au bord de la voie, ils rabattent les éventuels clients vers les vendeurs à la disposition desquels, ils se sont mis. Ils le font en contrepartie d'une rémunération ou d'une commission sur le montant de la bête vendue grâce à leurs services. A côtés de ces démarcheurs, ce sont également de jeunes enfants qui s’amusent à laver les moutons dans un lac de circonstance. « Le mouton totalement blanc est très prisé par la clientèle. C’est pourquoi, nous veillons à ce que sa toison soit propre et d’un bon éclat », explique le vendeur Moudachirou Abdel Rahim. Sur la vingtaine de ses brebis qu’il a conduites au bord du lac, une quinzaine avaient déjà été contrainte, sous la houlette de cinq garçonnets conviés à cette tâche, à prendre ce bain forcé. Avant la mi-journée de ce mardi 23 octobre, Azizou, 17 ans révolus, avait déjà lavé 11 moutons, à raison de 200 F CFA par bête. Il a de quoi se réjouir comme Anicet Dékakpoévou qui aide les vendeurs à approvisionner leurs bêtes en fourrage. Anicet Dékakpoévou n’est pas le seul à s’adonner à cette activité. De même que ses "collègues", il propose également le ballot de fourrage à 1.800 F CFA. Certains clients, pour que leurs bêtes ne manquent pas de fourrage, ont également recours à eux. M.G. Les vendeurs dans l’expectative Contrairement à l’année dernière, reconnaît le vendeur Sagné Allassan, originaire du Burkina Faso, ce n’est pas encore la grande affluence. « Les clients viennent seulement demander les prix, pour se retourner ensuite. Il m’arrive de vendre par jour, 12 moutons contre 28 à la même période, l'année dernière », regrette-t-il. « Les rares clients qui viennent, proposent des prix qui sont loin de nous arranger », précise Sagné Allassan. Il a toutefois tenu à les rassurer qu’ils peuvent avoir des moutons, selon le cordon de leurs bourses. « Les prix varient de 35.000 à 245.000 voire même 1.200.000 F CFA. Ceux de 1.200. 000 viennent de Porto-Novo. Leurs propriétaires ont l’habitude de s'approvisionner auprès de nous. Un an après, ils les ramènent sur le marché après les avoir soumis à une alimentation spécifique différente de celle à laquelle, ils ont droit avec nous. Ils sont bien entretenus », justifie Sagné Allassan. Il garde espoir que les clients finiront par les envahir au dernier moment. Dans le cas contraire, Sagné Allassan compte, tout comme les autres vendeurs, attendre encore une semaine après la Tabaski, pour voir s’il pourra vendre le reste. Il a d’ores et déjà exclu l’hypothèse de retourner chez lui avec des bêtes. Quant à Moumouni Djibril, il est sur le site de Sèmè-Podji depuis plus d'une semaine. Venu de Zinder pour écouler des moutons d’origine nigérienne, il semble ne pas être encore satisfait. Anxieux il prie, chapelet en main, pour que les clients viennent à lui. « Les clients ne se pressent pas. Hier je n’ai vendu que quatre moutons. Actuellement, je suis à 7 », a-t-il confié. M.G Mévente à Bohicon Dans quelques jours, les fidèles musulmans du Bénin à l’instar de leurs coreligionnaires du monde vont célébrer la fête du mouton. Mais les préparatifs ne sont pas aisés du fait de la cherté du bétail spécifique. Mais les vendeurs de bétail du marché Houétchénou de Zakpo à Bohicon, tout en se plaignant de la mévente, la lient plutôt aux effets de la crise économique. Par Alain ALLABI Au marché de mouton de Zapko, les fidèles musulmans se font rares à quelques jours de la tabaski. Ce n’est qu’à Zongo, que certains fidèles de l’islam ont pu être rencontrés. Comme d’autres musulmans, Osséni Mon-Hibi trouve que la célébration de cette année n’est pas aisée. La preuve, selon le directeur de l’école publique franco-arabe de Bohicon, en est la cherté du mouton. Poursuivant ses explications, il estime que cette année, l’animal coûte plus cher que par le passé. « Le mouton destiné à la Tabaski n’est pas à la portée de n'importe qui. Vous pouvez en trouver entre 45.000, 70.000, voire 120.000 F CFA », a-t-il précisé avant d’ajouter que le prix varie selon la grosseur de l’animal. Quant à lui-même, il a remercié Allah de lui avoir permis d’en acheter pour sa famille. Il a fait savoir qu’en temps ordinaire, ce type de mouton ne coûte pas si cher et a conclu que les commerçants profitent toujours des occasions pour monter les enchères. « Ce qui se vend aujourd'hui à 50.000F CFA pouvait s’acheter, quelques semaines plus tôt, 35.000F CFA», démontre Osséni Mon-Hibi. D’autres difficultés ont aussi jalonné les préparatifs. A ce sujet, il évoque l’habillement des enfants et de leur mère qui préoccupe aussi. Gratien Gangan, vendeur de mouton au marché Houétchénou de Zakpo à Bohicon, reconnaît qu’il y a moins d’affluence des clients musulmans cette année au marché en prélude à la tabaski. De 8heures jusqu'à à 12heures passées, il dit n'avoir encore rien vendu. A son avis, cet état de choses n’est pas lié à la cherté du mouton. « Les prix ont baissé légèrement par rapport à l’année dernière », fait-il observer, précisant que le coût n’explique pas la mévente ni la rareté des clients musulmans. Expliquant la situation, il estime qu’elle serait plutôt due à la crise économique généralisée qui n'épargne aucun secteur ni aucun pays. Toutefois, il nourrit l’espoir que les clients arriveront en masse les jours à venir ou le dernier jour du marché avant la fête. De son côté, Florentine Hounsinou, vendeuse de mouton dans ce même marché, apporte des précisions. Elle reconnaît qu'à l’approche de la tabaski comme de toute fête, le prix des animaux connaît toujours un léger renchérissement. Mais comparant le coût actuellement pratiqué à celui de l’an dernier, elle soutient que les prix sont moins élevés. Devant l'impossibilité de s'offrir un bélier comme le recommande le Coran, le fidèle n'a pas trop de soucis à se faire. Il peut se contenter du poisson, acheter de la viande de bœuf ou autre pour fêter. C’est ce que propose Osséni Mon-Hibi, selon les prescriptions du Coran. Comme quoi, sans moyen, l’on peut quand même célébrer la fête du mouton sans mouton. bibo:pages 1 16 -- o:id 7484 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7484 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7501 26680 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1af16bc92faecb28d326684d5a7c265a4e75be66.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7ce21ea05b7bc5320a753a162b61b7ca746f4ecf.tiff dcterms:title Djougou : la crise économique plane sur la célébration de la Tabaski dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-10-23 dcterms:identifier iwac-article-0003462 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A cinq jours de la célébration de la fête de la Tabaski, les opérations d'achat de moutons se font désirer au marché de petits ruminants de la ville de Djougou, à cause, apprend-t-on, principalement de la crise économique qui frappe de plein fouet la population. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A cinq jours de la célébration de la fête de la Tabaski, les opérations d'achat de moutons se font désirer au marché de petits ruminants de la ville de Djougou, à cause, apprend-t-on, principalement de la crise économique qui frappe de plein fouet la population. Pour se procurer un petit mouton, il faut débourser 15.000 Francs CFA. 70.000 Francs CFA pour un animal moyen et 200.000 pour un grand bélier. Le sentiment de méfiance qu'affichent ceux qui immoleront des moutons à l'occasion de la Tabaski se justifie également par leur incapacité à nourrir convenablement les bêtes avant le jour J. Les risques de vol et de maladies que courent les animaux qu'ils achèteraient à quelques jours du sacrifice les dissuadent aussi. Au marché de petits ruminants de Djougou, les plus courtisés sont les démarcheurs de bêtes qui profitent de la situation pour s'en mettre plein les poches. Beaucoup de musulmans choisissent d'aller chercher leur mouton ou boeuf dans des villages environnants du centre urbain où les bêtes coûtent moins chères, évitant les vendeurs locaux et ceux ambulants venus du Burkina Faso. A noter que l'Aïd El Kebîr sera célébré le 26 octobre prochain. bibo:pages 13 -- o:id 7485 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7485 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7502 26681 26682 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8271b52625fbfef2d0aa84519d52fefff888b499.pdf https://islam.zmo.de/files/original/dc2fcd384949d275f8560b1d22019ab0ee1eaead.tiff https://islam.zmo.de/files/original/223ed48fbc47a5d4ebd7cada656d8a46327139a9.tiff dcterms:title Hadj 2012 : Boni Yayi lance le premier vol des pèlerins béninois dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-10-15 dcterms:identifier iwac-article-0003463 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République, Boni Yayi, a lancé, vendredi 12 octobre dernier, le premier vol de convoyage des pèlerins béninois pour le Hadj 2012 à la Mecque en Arabie Saoudite. Le coup d’essai de la prise en charge de l’organisation du convoyage par le gouvernement est en passe de devenir un coup de maître. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13233 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République, Boni Yayi, a lancé, vendredi 12 octobre dernier, le premier vol de convoyage des pèlerins béninois pour le Hadj 2012 à la Mecque en Arabie Saoudite. Le coup d’essai de la prise en charge de l’organisation du convoyage par le gouvernement est en passe de devenir un coup de maître. Les tracasseries habituelles liées au voyage des pèlerins béninois à la Mecque semblent aujourd’hui conjuguées au passé. L’implication effective du gouvernement dans l’organisation du convoyage des postulants au Hadj 2012 s’est soldée par un résultat satisfaisant. C’est donc un réel sentiment de soulagement qui a animé le président de la République, vendredi 12 octobre dernier, à l’inauguration du premier vol des pèlerins en terre saoudienne. « J’ai toujours dit que la République est dans les mains de ceux qui ont la crainte de Dieu, c’est pour cela qu’au nom de la République, j’ai tenu à venir saluer les pèlerins qui font ce premier départ. Je leur souhaite un excellent vol et un beau séjour en terre sainte de l’Islam », a indiqué le chef de l’Etat, quelques heures avant son départ pour Kinshasa. Selon Nassirou Bako-Arifari, ministre des Affaires étrangères, et président du comité d’organisation du Hadj 2012, ce départ des premiers pèlerins dans le délai prescrit est le fruit des diverses actions entreprises par le gouvernement pour assurer un voyage sans incident en Arabie Saoudite. Le principe retenu cette année, dit-il, est que tous les convoyeurs devaient partir de Cotonou. Un contrat a été négocié avec la compagnie Ethiopian Airlines pour assurer le départ des pèlerins. «Le gouvernement a viré deux milliards cent cinquante millions de francs CFA comme avance pour garantir cette compagnie », précise le ministre. Nassirou Bako-Arifari souligne que 3954 pèlerins ont été enregistrés, sur le quota de 4000 personnes que l’Arabie Saoudite a accordé au Bénin. « Le planning convenu avec la compagnie éthiopienne a été respecté», assure le ministre qui a relevé des difficultés créées par un petit groupe de pèlerins qui n’ont pas respecté les consignes érigées par le comité d’organisation. « Je voudrais savoir compter sur nos compatriotes car, notre préoccupation, c’est mettre de l’ordre. Je voudrais demander à tous ceux qui sont encore hésitants de comprendre le sens de responsabilité que nous voulons apporter dans le cadre du Hadj cette année », poursuit le président de la République qui a demandé aux pèlerins de prier pour la paix au Bénin. bibo:pages 1 10 -- o:id 7486 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7486 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7503 26683 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8139f29106a7649224b22af5964e76d9ab04b1e8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/dd3e803d39227d08a9dbd12c07384e0419528cd6.tiff dcterms:title Hadj 2012 : le premier vol prévu pour ce jour eu début d'après-midi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1506 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14937 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12868 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13170 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-10-12 dcterms:identifier iwac-article-0003464 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le top du premier vol sur les dix réguliers qui sont programmés dans le cadre du Hadj 2012 sera donné ce vendredi 12 octobre, en début d’après-midi. Pour le compte du gouvernement, jusqu’au jeudi prochain, 2580 pèlerins partiront de Cotonou. Pendant ce temps, 1420 candidats au pèlerinage se frotteront les mains pour ne pas manquer au grand rendez-vous du 25 octobre 2012 à la Mecque. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le top du premier vol sur les dix réguliers qui sont programmés dans le cadre du Hadj 2012 sera donné ce vendredi 12 octobre, en début d’après-midi. Pour le compte du gouvernement, jusqu’au jeudi prochain, 2580 pèlerins partiront de Cotonou. Pendant ce temps, 1420 candidats au pèlerinage se frotteront les mains pour ne pas manquer au grand rendez-vous du 25 octobre 2012 à la Mecque. 258, c’est le nombre de fidèles musulmans béninois qui s’envolent ce jour, vendredi 12 octobre à 15 heures en direction de la Mecque, afin de sacrifier aux exigences de leur foi. Après eux, 2322 pèlerins partiront de Cotonou suivant un calendrier qui s'étend jusqu’au jeudi 18 octobre prochain. Ils seront au total, 2580 pèlerins béninois, pour lesquels, le gouvernement, par l’entremise du ministère des Affaires étrangères, de l'Intégration africaine de la Francophonie et des Béninois de l'Extérieur, organise officiellement le vol. Pour Mohamed Biokou, le secrétaire général du groupe Al-Haramein Hadj, l’un des groupes chargés du convoyage, « le gouvernement a déjà versé près de 90% des frais de voyage à la compagnie devant transporter ces pèlerins ». L’effectif global des candidats béninois au Hadj 2012 est estimé à 4000 selon Mohamed Biokou. D’où l’inquiétude de quelques pèlerins rencontrés mardi 11 octobre dernier à la Mosquée centrale de Zongo à Cotonou. Selon leurs propos, tout se passe normalement pour l’heure. Mais il faudrait, soulignent-ils, attendre l’opérationnalisation de l'organisation des voyages pour s’assurer que tous les pèlerins quitteront Cotonou. Abdel Aziz Bello, membre du comité d’organisation, explique que le Conseil national de coordination du Hadj, l’organe chargé d’organiser le convoyage des pèlerins, compte au total 20 groupes de convoyage des pèlerins à la Mecque. Et sur les 20, 13 ont accepté fédérer leurs efforts avec celui du gouvernement. Résultat, les dix premiers vols de 258 places chacun sont programmés pour les pèlerins inscrits sur leur liste. Quant aux sept autres groupes de convoyage et leurs pèlerins, ils bénéficieront de l’attention du gouvernement, après que tous les pèlerins « des vols réguliers » soient partis de Cotonou. C’est-à-dire, après le jeudi 18 octobre, date du dernier vol régulier. En principe, tous les pèlerins doivent être à la Mecque avant le 25 octobre 2012, le jour de l’Arafath, le grand jour de la prière. Le jour où le fidèle ayant effectué le déplacement de la Mecque est sacré El Hadj, selon les mots de Mohamed Biokou. Djèmila, venue de Djougou, après l’expérience de 2001 est décidée à ne pas manquer ce rendez-vous de 2012. Elle est sereine. Et pour cause : « je suis programmée pour le premier vol. Le lundi dernier, j’ai fait l'enregistrement de mes bagages », a-t-elle confié. Pour atteindre cet objectif, elle a déboursé «1.900.000 FCFA» pour les frais de voyage et prévu, un peu moins de 500.000 FCFA pour l’argent de poche. bibo:pages 11 -- o:id 7487 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7487 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7504 26684 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4ead6bc8a13043989ccdf67caafb0c79515b9de9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/77471434ddef1cf913de6d1d43e6a2af2c5579e1.tiff dcterms:title Fête du Ramadan édition 2012 : de la tolérance prescrite pour le Bénin à Akpakpa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2027 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-08-20 dcterms:identifier iwac-article-0003465 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane d’Akpakpa PK3 et environs s'est réunie, hier dimanche 18 août à la place Idi située dans la « rue SOBETEX », pour célébrer l'édition 2012 de la fête de ramadan. Fidèles et représentants du gouvernement ont adressé leurs intentions à Allah sous la direction de l’imam de la mosquée centrale de Jonquet, Ousmane Ibrahim. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/302 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane d’Akpakpa PK3 et environs s'est réunie, hier dimanche 18 août à la place Idi située dans la « rue SOBETEX », pour célébrer l'édition 2012 de la fête de ramadan. Fidèles et représentants du gouvernement ont adressé leurs intentions à Allah sous la direction de l’imam de la mosquée centrale de Jonquet, Ousmane Ibrahim. Le bon usage de la majesté du pouvoir ou des autres grâces qu'accorde Allah à certains selon sa bonté a été la teneur du prêche de ce ramadan à la place Idi d’Akpakpa PK3. Un peu comme Dieu lui-même qui se positionne en protecteur de veuve et des orphelins, l’imam Ousmane Ibrahim a enseigné faux fidèles que les bénédictions dont Allah comble des bien-aimés doivent être mises au service de la communauté, notamment des plus faibles des hommes. Le prédicateur en s’appuyant ainsi sur les versets coraniques, a fait une incursion sur l’actualité politique du pays. Mais il s’est contenté d’exhorter à la paix et à la tolérance, surtout dans les rangs des politiques. L’imam Ousmane Ibrahim entrevoit les vertus de la tolérance et de l’endurance comme remède aux convulsions politiques qui agitent la cité Bénin. Pendant une quinzaine de minutes qu'a duré le prêche, l’imam de la mosquée du quartier Jonquet à Cotonou, a également adressé des prières à Allah dans le but d’obtenir des grâces divines sur le pays et les fidèles ainsi que les dirigeants avec en prime le chef de l'Etat. Ces invocations sont venues s'ajouter à celles entamées depuis 8heures du matin par la communauté des fidèles avant l’arrivée de l’imam et la délégation gouvernementale conduite par le ministre François Abiola, Le ministre en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique trouve dans la célébration de l’édition 2012 de Ramadan un signe divin. Il l’explique par la coïncidence du jour de la célébration de Ramadan avec le pèlerinage qui se déroule parallèlement à la grotte mariale d’Arigbo de Dassa. Selon le ministre Abiola, le fait n’est pas anodin, et il doit interpeller les consciences. Un ramadan en baisse de forme ! Cette année, la place Idi d’Akpakpa PK3 sur la route de Porto-Novo, n’a pas rejeté du monde dans les ruelles. Aussi la principale voie perpendiculaire à l’entrée de la place était-elle plus libérée pour la circulation. Ce constat est à l’antipode des situations observées lors des deux précédentes éditions de Ramadan dans cette même rue. En effet, par le passé, la place Idi d’Akpakpa PK3 grouillait de fidèles. Du moins lors des éditions 2010 et 2011 du Ramadan, il était presque impossible de se mouvoir à la devanture de la place Idi sans piétiner son voisin. La circulation des véhicules était difficile voire impossible pour des voitures dès l’arrivée de l’imam. On comprend alors pourquoi, hier dimanche, la baisse de fréquentation de cette année était au cœur des échanges entre riverains et fidèles. Ces derniers se demandaient ce qui peut justifier tant de défection dans leurs rangs à une pareille occasion ? A défaut d’une réponse scientifique, les spéculations sur cette préoccupation allaient bon train, et tournaient autour de la cherté de la vie et la situation socio-politique du pays. Inutile de croire que les absents seraient restés dans leur mosquée. Car, la tradition islamique, informe-t-on, veut que le jour du Ramadan ou El Fitr se célèbre sur des places publiques. Fidèles et imams sont alors autorisés à laisser leur mosquée pour investir sur ces places-là. D.V bibo:pages 11 -- o:id 7488 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7488 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7505 26685 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/964921b16235cf6a23f02c027793378551ae1608.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3c321c934cfe54a582e65064f822cf88cfea8126.tiff dcterms:title Fête du Ramadan édition 2012 : Abomey-Calavi célèbre l'événement sous le signe de la repentance dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14787 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15169 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/762 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-08-20 dcterms:identifier iwac-article-0003466 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Hier dimanche 19 août, c'était le Ramadan qui consacre la fin des trente jours de jeûne prescrit par l'islam. A l'instar des autres communautés musulmanes du Bénin, celle d’Agori-Plateau et de Zogbadjè dans la commune d'Abomey-Calavi a célébré l'événement. C’est la place Idi située dans l’enceinte du site de l'ORTB à Abomey-Calavi qui a accueilli la séance de prière de cette célébration conduite par l'imam Moutawakil Malik Boukari de la mosquée centrale Plateau Médina II. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/491 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Hier dimanche 19 août, c'était le Ramadan qui consacre la fin des trente jours de jeûne prescrit par l'islam. A l'instar des autres communautés musulmanes du Bénin, celle d’Agori-Plateau et de Zogbadjè dans la commune d'Abomey-Calavi a célébré l'événement. C’est la place Idi située dans l’enceinte du site de l'ORTB à Abomey-Calavi qui a accueilli la séance de prière de cette célébration conduite par l'imam Moutawakil Malik Boukari de la mosquée centrale Plateau Médina II. L'Aïd el-Fitr ou la fête de la rupture du jeûne est une fête musulmane marquant la fin du Ramadan, mois de jeûne et de prières pour les musulmans. Elle est célébrée le premier jour du mois de shawal. Elle est aussi parfois appelée la petite fête par oppositions l'Aïd el-Kébir, la grande fête des musulmans. Tous les ans, la date de l'Aïd el-Fitr est avancée de 10 à 12 jours par rapport au calendrier grégorien car, le calendrier musulman est essentiellement lunaire, La date de l'Aïd el-Fitr est donc le jour suivant le dernier jour du mois sacré de Ramadan. C’est dire que l'Aïd el Fitr est un jour spécial qui marque la fin du ramadan pour tous les musulmans. L’Aïd el Fitr représente surtout une occasion de rassemblement des membres de la communauté entre eux. Et ceux d’Abomey-Calavi ne pouvaient pas déroger à la règle prescrite par le Prophète. A preuve, très tôt hier matin avant 10 heures, les fidèles musulmans ont pris d’assaut la place de prière pour sacrifier à la tradition coranique. On pouvait distinguer entre autres fidèles plusieurs autorités gouvernementales, députés à l’Assemblé nationale, et directeurs généraux de société. Parmi ces personnalités, il y a les ministres Mêmouna Kora Zaki, Fatoumata Amadou Djibril, le député Karimou Chabi Sika et Soumanou Toléba, directeur général de la SOBEMAP. Il sonnait 9h55 quand le cortège de l’imam Moutawakil Boukari s’immobilise sur la place de la prière. Aussitôt démarre la séance de prière comme elle a été pratiquée par le Prophète Muhammad. " Allahu Akbar, Allahu Akbar, illallahu Wallahu Akbar, Allahu Akbar, lillahil Hamd d'ilaaha de Laa de Wa" qui signifie « Allah est le plus grand, il est le plus grand. Il n'y a aucun dieu excepté Allah. Il est le plus grand. Tous les éloges et merci sont pour lui ». Après les moments consacrés pour la prière, l’Imam Boukari dans son sermon enrichi par les sourates a invité les musulmans à emprunter le chemin tracé par le Prophète en ayant des comportements vertueux. Car, dit-il, l’Islam est la religion de la tolérance, de la miséricorde et de la paix. Mais elle rejette catégoriquement la mauvaise conduite. « Musulmans, craignez Allah le très haut car, la piété est la marchandise la plus lucrative. Allah dit dans la Sourate -la famille d'imran-verset 102 : Ô les croyants ! Craignez Allah comme il doit être craint. Et ne mourez qu’en pleine soumission ». Ainsi, a-t-il lancé un appel à tous ceux qui se sont égarés momentanément à se repentir, à revenir sincèrement à Allah en quittant la mauvaise voie et prier pour que leurs manquements envers Allah leur soient pardonnés. Il finit en souhaitant une bonne fête de Ramadan à tous les musulmans du Bénin et du monde entier et priant pour que chacun reçoive en abondance les bénédictions du mois de carême. bibo:pages 11 -- o:id 7489 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7489 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7506 26686 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8605d1399ef84a947f4333d2a51d4ba1cdce90db.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d7147e3166cc367831cc1b8d328c2aa1b6120ecf.tiff dcterms:title Fête du Ramadan édition 2012 : les musulmans de Parakou attachés aux vertus de la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15441 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1963 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2041 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2043 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1992 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-08-20 dcterms:identifier iwac-article-0003467 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après un mois de jeûne fait de privation, d’abstinence et d’intenses prières, les fidèles musulmans de Parakou à l'instar de leurs homologues de la communauté internationale, ont célébré hier dimanche 19 août, l’Aïd El Fitr. Ils se sont, en fonction de leur lieu de convenance, repartis entre les trois grandes places Idi de la ville, pour la traditionnelle grande prière consacrant la célébration. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/476 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après un mois de jeûne fait de privation, d’abstinence et d’intenses prières, les fidèles musulmans de Parakou à l'instar de leurs homologues de la communauté internationale, ont célébré hier dimanche 19 août, l’Aïd El Fitr. Ils se sont, en fonction de leur lieu de convenance, repartis entre les trois grandes places Idi de la ville, pour la traditionnelle grande prière consacrant la célébration. Dans le cadre de la grande prière de fin du Ramadan, les trois grandes places Idi de Parakou ont été prises d'assaut par les fidèles musulmans parés de leurs plus beaux atouts. Il s'agit des places Cheminots, Zongo et Carder où, les imams El Hadj Abdoulaye Téyami de la mosquée de Dépôt, Issa Kiré de Yarakinnin et El Hadj Wokaya de la mosquée centrale de Yébou Béri ont respectivement dit les prières. Partout, la célébration a consacré l'accomplissement des deux rakats et la récitation des versets coraniques, suivis du sermon de l'imam officiant. Les fidèles ont remercié Allah pour ses bienfaits et la grâce qu'il leur a accordée pour pouvoir tenir au cours du mois de Ramadan. Ils ont souhaité qu’il comble le Bénin et ses dirigeants, de ses nombreuses bénédictions. A la place Idi installée au niveau du Carder, le ministre de l'Economie et des Finances, Jonas Gbian, a honoré de sa présence la cérémonie. Il avait à ses côtés le préfet des départements du Borgou et de l’Alibori, Dénis Ali Yérima et le député Rachidi Gbadamassi. Avant le démarrage de la prière, ils ont d'abord procédé avec l'imam El Hadj Wokaya, à l'inauguration du nouvel autel sur lequel, il a fait son sermon. Dans sa koutouba, l'imam a imploré la miséricorde d’Allah à tous les musulmans. Il lui a ensuite demandé d'assurer la paix, la concorde et la prospérité à la ville de Parakou et au Bénin. Son message a beaucoup plu au préfet Dénis Ali Yérima selon qui, un pays ne saurait se développer sans la paix. Heureux de se retrouver à Parakou pour la circonstance, le ministre Jonas Gbian qui représentait le gouvernement a tenu à expliquer l’importance de la fête de l'Aïd el fitr Outre la fin du jeûne qui fait partie des recommandations du Coran, il a indiqué que le mois du Ramadan est une période bénie. Après la prière, la fête s’est poursuivie dans les domiciles avec la prisé des repas en famille où avec les amis, comme l’exige le Ramadan Dans l’après-midi, les fidèles musulmans de Parakou, chacun à sa manière, ont essayé de laisser libre cours à leur joie à travers les rues de ladite ville. bibo:pages 11 -- o:id 7490 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7490 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7507 26687 26688 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4f30140424e9e80eee9c2d64b4a278577ef613fc.pdf https://islam.zmo.de/files/original/dd2b67b80561a596e186dd2f6b2a08aeb5a532e1.tiff https://islam.zmo.de/files/original/122a360b6818bd77c85de7a287b45e9c680b0356.tiff dcterms:title Appui aux musulmans en carême : le gouvernement offre des vivres à la communauté islamique du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2044 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-08-13 dcterms:identifier iwac-article-0003468 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le gouvernement du Bénin accorde chaque année au cours du mois du ramadan une aide aux musulmans pour leur manifester sa solidarité. Vendredi 10 août dernier, le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Me Safiatou Bassabi, a procédé au stade de l'Amitié de Kouhounou à Cotonou à la remise d’un lot important de vivres aux responsables de l’Union islamique du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le gouvernement du Bénin accorde chaque année au cours du mois du ramadan une aide aux musulmans pour leur manifester sa solidarité. Vendredi 10 août dernier, le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Me Safiatou Bassabi, a procédé au stade de l'Amitié de Kouhounou à Cotonou à la remise d’un lot important de vivres aux responsables de l’Union islamique du Bénin. Le Conseil des ministres, en sa séance du 24 juillet 2012, a décidé de reconduire l’appui institutionnel aux organisations religieuses, notamment les musulmans. Un acte qui témoigne, selon le ministre en charge des Relations avec les Institutions, de l’importance que le gouvernement accorde aux composantes de la Société civile pour leur rôle de médiation sociale, de gardien des valeurs traditionnelles, de maintien de la paix et de l’unité nationale. Elle a précisé que la vision du président de la République et du gouvernement en procédant de la sorte est de contribuer à atténuer les peines des fidèles musulmans au cours de cette période de jeûne du ramadan, qui a lieu dans un contexte international de crise mondiale marqué par une récession économique sans précédent. Les vivres sont constitués de 1820 sacs de riz, 860 bidons de 25 litres d’huile, 680 sacs de cinquante paquets de sucre, de 799 cartons de lait peack. L’achat de ces vivres a été convenu avec l’accord de la communauté musulmane du Bénin et ils seront répartis sur l’ensemble du territoire aux fidèles musulmans pour soulager un tant soit peu leurs peines au cours de ce mois de ramadan. Le ministre a aussi indiqué que personne ne doit être marginalisé, et rassure que ses services compétents tant au niveau national que départemental seront aux côtés des distributeurs pour superviser l’acheminement de ces vivres dans les coins les plus reculés de notre pays. Elle a exhorté les fidèles à plus de vigilance et d’équité pour permettre à tout le monde de bénéficier de cet appui et d’être dans les meilleures conditions pour mieux accomplir le jeûne et leur prière pour implorer la paix divine et la cohésion nationale sur le Bénin. bibo:pages 1 16 -- o:id 7491 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7491 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7508 26689 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d49fe5d827594b23e5fe0b3fb9431ee42c6e5acf.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7db8d00bc36f39a0a92cb364b8e9ce8b42654b68.tiff dcterms:title Audiences à la présidence de la République : un émissaire iranien chez Boni Yayi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15151 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-06-15 dcterms:identifier iwac-article-0003469 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le chef de l’Etat, Boni Yayi, a reçu hier jeudi 14 juin à son cabinet, un émissaire porteur d’un message du chef de l’Etat iranien. Ce dernier a été suivi dans l'après-midi d'une délégation du Conseil des ministres de l’OHADA. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/331 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le chef de l’Etat, Boni Yayi, a reçu hier jeudi 14 juin à son cabinet, un émissaire porteur d’un message du chef de l’Etat iranien. Ce dernier a été suivi dans l'après-midi d'une délégation du Conseil des ministres de l’OHADA. Morteza Bakhtiari, ministre iranien de la Justice a remis hier au président de la République une invitation pour le Sommet des pays non alignés qui se tiendra du 30 au 31 août prochain à Téhéran. « Le chef de l’Etat a manifesté son intérêt de participer à cette rencontre importante qui permettra d’échanger sur un certain nombre de questions concernant les pays en développement », a souligné l’émissaire iranien. Morteza Bakhtiari a dit avoir, par ailleurs, fait avec le président de la République béninoise un tour d’horizon de la coopération entre le Bénin et la République islamique d’Iran. Au nom de son gouvernement, il a rassuré le chef de l’Etat du respect de tous les engagements que son pays a pris vis-à-vis du peuple béninois. Le président de la République s’est également entretenu hier avec les membres du Conseil des ministres de l’Organisation pour l’harmonisation du droit des affaires en Afrique (OHADA), en marge de la réunion de l’organisation qui se tient à Cotonou. Selon Pierre Mabiala, ministre congolais des Affaires foncières et du Domaine public, les échanges ont notamment porté sur la place et les perspectives de l’OHADA dans la promotion de l’investissement en Afrique. A l’en croire, cette Organisation contribue aujourd’hui à fonder les espoirs du développement de ses pays membres. « Le président de la République nous a encouragés à travailler pour que l’OAHADA soit considérée comme un instrument d’appel et de garantie pour l’investissement. Car, l’investissement permet d’améliorer les conditions de vie des populations », indique-t-il. Pierre Mabiala a souligné la détermination de l’organisation à s’engager dans la lutte contre la pauvreté, le développement économique et social. bibo:pages 16 -- o:id 7492 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7492 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7509 26690 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/465386186c1a555675127c7f349d66037e146f43.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a4ca41153599f8c509cc9339b0d23497e8abcb8f.tiff dcterms:title Projet intégré d'appui à la microfinance au Bénin : la finance islamique, le nouveau type de finance des projets dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/20 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13163 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14804 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2030 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-05-30 dcterms:identifier iwac-article-0003470 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La finance islamique a été au centre d’une séance d’échanges organisée hier mardi 29 mai, à Cotonou, par le ministère en charge de la Microfinance dans le cadre de la mise en œuvre du Projet intégré d’appui à la microfinance au Bénin (PIAMF-BEN). La présentation de ce nouveau type de finance a été une occasion pour l’expert de la finance islamique au plan mondial, Anasse Elhasnaoui de révéler les insuffisances et les faiblesses de la finance conventionnelle, avant d’annoncer les modèles d’application de la finance islamique qu’il faut dans le contexte béninois. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La finance islamique a été au centre d’une séance d’échanges organisée hier mardi 29 mai, à Cotonou, par le ministère en charge de la Microfinance dans le cadre de la mise en œuvre du Projet intégré d’appui à la microfinance au Bénin (PIAMF-BEN). La présentation de ce nouveau type de finance a été une occasion pour l’expert de la finance islamique au plan mondial, Anasse Elhasnaoui de révéler les insuffisances et les faiblesses de la finance conventionnelle, avant d’annoncer les modèles d’application de la finance islamique qu’il faut dans le contexte béninois. La Banque islamique de développement (BID) dans le cadre de son appui au Bénin pour ses efforts de lutte contre la pauvreté, vient de mettre à sa disposition, son plus grand programme en Afrique subsaharienne. Il s’agit du Projet intégré d’appui à la microfinance au Bénin (PIAMF-BEN). Ce nouveau type de finance vient corriger les insuffisances et les faiblesses de la finance conventionnelle. En effet, la finance conventionnelle, selon le directeur général du Fonds national de microfinance, Komi Kountché, est le type de finance dans lequel le prêteur attend que son argent soit remboursé. Cette finance qui est pratiquée au Bénin depuis des décennies a montré aujourd’hui, selon lui, des insuffisances et des limites qu’il va falloir corriger. Et c’est dans la recherche d’autres formes de finance que la Banque islamique de développement a répondu à l’appel du Bénin à travers le Projet intégré d’appui à la microfinance au Bénin. Ce projet a pris en compte la finance islamique encore appelée finance participative. Pour Komi Kountché, la finance islamique est une finance de type nouveau qui est développée dans d’autres pays. Et cette finance, selon l’expert Anasse Elhasnaoui, considère le pauvre comme une source de richesse, un consommateur conscient et un partenaire dans les affaires. Autrement dit, le pauvre est au centre de cette forme de finance. Mais il ne peut agir, selon Anasse Elhasnaoui, que si on saute quatre obstacles: l'opportunité d’investissements, l’investissement support, l’Association et partenariat, puis le financement. Au terme des débats ayant suivi la présentation hier, le ministre en charge de la Microfinance, Réckya Madougou, a fait savoir que les acteurs du secteur financier béninois en général et les acteurs du secteur de la microfinance en particulier avaient besoin véritablement de s'approprier ce type innovant de financement qu’est la finance islamique encore appelée finance participative, afin de l'implémenter dans le contexte de la finance conventionnelle. bibo:pages 16 -- o:id 7493 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7493 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7510 26691 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/186c6dfa6fba1903082698f818d93c306c3bd5b4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/004a39a0bf034781b660c065f8acec3e391e992f.tiff dcterms:title L'ambassadeur du Bénin près l'Arabie Saoudite à la Cour suprême : l'organisation parfaite du pèlerinage musulman au cœur des échanges dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14213 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15504 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2042 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-03-22 dcterms:identifier iwac-article-0003471 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la Cour suprême, Ousmane Batoko, a reçu hier mercredi 21 mars, au siège de son institution à Porto-Novo, le nouvel ambassadeur du Bénin près l’Arabie Saoudite, Mouhaman D. Danbaba. Les deux personnalités ont échangé entre autres, sur l’épineuse question d’organisation du pèlerinage musulman. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la Cour suprême, Ousmane Batoko, a reçu hier mercredi 21 mars, au siège de son institution à Porto-Novo, le nouvel ambassadeur du Bénin près l’Arabie Saoudite, Mouhaman D. Danbaba. Les deux personnalités ont échangé entre autres, sur l’épineuse question d’organisation du pèlerinage musulman. Nommé il y a quelques semaines, le nouvel ambassadeur du Benin près l’Arabie Saoudite, Mouhaman D. Danbaba n’est pas un diplomate de formation. Mais, il bénéficie cependant d’une solide formation en relations internationales. Précédemment conseiller du chef de l’Etat, il est un cadre outillé et a fait ses preuves sur le plan international, successivement au Haut commissariat pour les Réfugiés et à la Croix-Rouge internationale. Comme il est de coutume avant tout départ en poste de rendre une visite de courtoisie aux différentes personnalités du pays, à sa demande, Mouhaman D. Danbaba, a été reçu en audience par le président de la Cour suprême. Ainsi, il a bénéficié de sages conseils du président de la Cour suprême, Ousmane Batoko. Selon le nouvel ambassadeur, même si Ousmane Batoko n’était pas président de l’institution, il l’aurait visité pour ses conseils, parce qu’il a été le premier ministre sous lequel, il a forgé les premières armes de sa carrière. Mouhaman D. Danbaba a confié que les échanges avec le président de la Cour suprême se sont focalisés surtout sur la question du « Hadj », le pèlerinage à la Mecque pour lequel, le président lui a conseillé d’être patient, courageux et d’avoir un langage ferme avec tous les acteurs. Pour le nouvel ambassadeur, cette organisation n’est pas facile, et la réussite parfaite du hadj, dépend à 95% du succès de l’organisation du transport que détiennent les convoyeurs. Mouhaman D. Danbaba pense signer avec ces derniers, un contrat ferme, avec un cahier de charges claires. Une fois que le transporteur agréé jouera parfaitement son rôle, c’est-à-dire, que le pèlerin parte et arrive à bonne date, il n’y aura plus de problème, car sur les lieux du pèlerinage, l’organisation est très aisée. Le nouvel ambassadeur, Mouhaman Danbaba promet en faire une priorité. En retour, il invite la communauté musulmane à être disciplinée et respectueuse de l'organisation qui sera mise en place. Bref, que chacun sache ce qu’il a à faire, pour la réussite du hadj. bibo:pages 3 -- o:id 7494 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7494 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7511 26692 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/19a40bc4cd87a7344939a3115c2bfccbe7e66fde.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1101f9fb674573b7cde58ecd54e4191aed30e75b.tiff dcterms:title Sur la situation économique et sociopolitique nationale : les confessions religieuses et têtes couronnées réagissent dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/808 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-02-29 dcterms:identifier iwac-article-0003472 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Cadre de concertation des confessions religieuses, de concert avec les têtes couronnées, a fait, hier mardi 28 février, une déclaration sur la situation économique et sociopolitique aux plans national et international. Elle a été faite dans l’enceinte de l’Eglise méthodiste Béthel de Guinkomey, par Michel Alokpo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Cadre de concertation des confessions religieuses, de concert avec les têtes couronnées, a fait, hier mardi 28 février, une déclaration sur la situation économique et sociopolitique aux plans national et international. Elle a été faite dans l’enceinte de l’Eglise méthodiste Béthel de Guinkomey, par Michel Alokpo. La crainte d'une année blanche, probable résultat de la grève perlée des enseignants du primaire et du secondaire, préoccupe le Cadre de concertation des confessions religieuses et les têtes couronnées. Après s’être penchés sur ce conflit qui oppose les enseignants au gouvernement, les têtes couronnées et le cadre « encouragent tous les acteurs à faire preuve de patriotisme et de responsabilité en vue d'un dénouement rapide et satisfaisant de cette crise ». Ils ont, hier, invité les enseignants à reprendre le chemin des classes dans l’intérêt supérieur de la nation et encouragé le gouvernement à toujours privilégier le dialogue en vue d’un règlement rapide et pacifique de cette tension. En ce qui concerne le vote de la loi sur la corruption, « Le Cadre de concertation des confessions religieuses et les têtes couronnées félicitent la représentation nationale pour avoir voté ladite loi et le chef de l'Etat pour l’avoir promulguée, permettant enfin à notre pays d'engager une lutte véritable et efficace contre les fossoyeurs de l'économie nationale ». A cet effet, ils déplorent la marginalisation des personnalités religieuses et morales au sein de l'Autorité nationale de lutte contre la corruption. A propos du Programme de vérification des importations nouvelle génération, Michel Alokpo le qualifie d'instrument capital pour la relance et le renforcement de l’économie nationale. « C’est une réforme nécessaire et indispensable pour notre pays. Le Cadre de concertation et les têtes couronnées dénoncent toutes les manœuvres de sabotage et invitent tous les acteurs portuaires à faire preuve de patriotisme, de plus de sagesse et d’esprit de responsabilité en associant tous les partenaires sociaux en vue de la réussite du programme», a encouragé Michel Alokpo. S’agissant du reversement frauduleux des agents contractuels, le courage du gouvernement a été salué pour avoir confié la gestion du dossier à l’Inspection générale d’Etat en vue de faire la lumière sur ce dossier. Le Cadre de concertation et les têtes couronnées se sont également intéressés à la situation en Afrique et dans le monde. Pour Michel Alokpo, la situation sécuritaire en Afrique très inquiétante notamment au Nigeria, au Niger et au Mali a également retenu l’attention du Cadre de concertation et des têtes couronnées. Pour le Niger et le Mali, ils invitent les belligérants des deux pays à mettre un terme aux hostilités, tandis qu’au Nigeria, les deux groupes religieux ont été invités à faire preuve de tolérance. Michel Alokpo a vivement souhaité que la classe politique sénégalaise oeuvre pour des élections transparentes, pacifiques et crédibles, invitant par ailleurs les chefs d'Etat africains au respect des lois et Constitutions de leurs pays, afin d’éviter des bains de sang inutiles. Le Cadre de concertation et les têtes couronnées ont enfin félicité Dr Boni Yayi pour sa brillante élection à la tête de l’Union africaine. bibo:pages 10 -- o:id 7512 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7512 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7523 26693 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bcf449b36a8ead390dc39698234d5c8c2d6452b5.pdf https://islam.zmo.de/files/original/15d1832836840f792b606930c4e035e947084a38.tiff dcterms:title Assemblée nationale : les clarifications du gouvernement aux députés sur l'organisation du Hadj 2011 dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1451 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2044 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2037 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1431 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-12-09 dcterms:identifier iwac-article-0003473 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La question d'actualité relative aux difficultés que rencontrent chaque année les pèlerins béninois pour se rendre au lieu saint de l’islam à Djéddah en Arabie Saoudite était au cœur de la séance plénière d’hier jeudi 8 décembre à l’Assemblée nationale. Le gouvernement représenté par le ministre en charge des Relations avec les Institutions, Me Safiatou Bassabi, a apporté des éléments de réponse jugés laconiques par l’auteur de la question, en l'occurrence le député Yacoubou Malèhossou, président du bureau des musulmans députés et fonctionnaires parlementaires du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La question d'actualité relative aux difficultés que rencontrent chaque année les pèlerins béninois pour se rendre au lieu saint de l’islam à Djéddah en Arabie Saoudite était au cœur de la séance plénière d’hier jeudi 8 décembre à l’Assemblée nationale. Le gouvernement représenté par le ministre en charge des Relations avec les Institutions, Me Safiatou Bassabi, a apporté des éléments de réponse jugés laconiques par l’auteur de la question, en l'occurrence le député Yacoubou Malèhossou, président du bureau des musulmans députés et fonctionnaires parlementaires du Bénin. Quelle est la compagnie retenue par le comité d’organisation du Hadj 2011 pour convoyer les pèlerins à la Mecque ? Quel a été le rôle joué par le Haut commissariat aux pèlerinages ? Quelles sont les mesures prises par le gouvernement pour assurer le retour au pays des pèlerins béninois actuellement bloqués à la Mecque? Et quelles sont les dispositions envisagées par l’Exécutif pour que les situations de ce genre ne se reproduisent plus dans notre pays? Telles sont, entre autres, les questions posées par les députés au gouvernement dans le cadre d’une question d’actualité. Cette interpellation est la première de la sixième législature depuis son installation. Dans ses éléments de réponses, hier au Parlement, le ministre en charge des Relations avec les Institutions, Me Safiatou Bassabi, a expliqué que les difficultés rencontrées par notre pays cette année sont dues à la compagnie qui devrait convoyer les pèlerins en terre sainte. Elle a jeté tout le tort sur cette compagnie qui n’a pas respecté les engagements qu’elle a pris avec le comité d'organisation du Hadj au Bénin. L'affréteur avait convenu avec l’Etat béninois de convoyer les pèlerins avant de déclarer son indisponibilité à la dernière minute. Selon le gouvernement, ce désistement a été beaucoup plus à la base de la situation déplorable que notre pays a vécu dans l’organisation du Hadj de cette année. Mais Me Safiatou Bassabi rassure que tout rentrera désormais dans l'ordre. Plus rien ne sera comme avant. En effet, elle a expliqué que suite à la mauvaise organisation de cette année, l’Exécutif a décidé de prendre le taureau par les cornes en entrant en négociation avec une compagnie internationale spécialisée dans le convoyage des pèlerins en Arabie Saoudite. Il s’agit d’Ethiopian Airlines. Les pourparlers ont déjà abouti entre le gouvernement et cette compagnie. A en croire le ministre en charge des Relations avec les Institutions, le directeur général de cette société est attendu au Bénin dans les tout prochains jours pour la finalisation des accords. Le gouvernement rassure qu’avec le niveau des négociations avec Ethiopian Airlines, il y a espoir que le prochain pèlerinage se déroule dans de très bonnes conditions. Me Safiatou Bassabi n'a pas manqué de rappeler les efforts faits par le gouvernement pour une organisation sans faille du pèlerinage de cette année. Le Bénin ferait partie des rares pays au monde qui préfinance le voyage de ces citoyens en terre sainte de l’islam. Il fait cela pour éviter les tracasseries inutiles auxquelles font face ces derniers chaque année. Et c'est toujours dans cette même dynamique que le chef de l’Etat a créé le Haut commissariat aux pèlerinages. Le gouvernement a regretté le cafouillage noté cette année encore malgré l'existence de cette structure. Me Safiatou Bassabi a rassuré que les pèlerins béninois bloqués encore en Arabie Saoudite vont rentrer au bercail. Toutes les dispositions sont prises pour que la dernière vague arrive ce vendredi 9 décembre. Selon elle, d’ici ce soir il n'y aura plus de pèlerins béninois en terre sainte de l’islam. Des députés restés sur leur faim Mais ces explications du ministre en charge des Relations avec les Institutions n'ont pas convaincu la Représentation nationale en général et l’auteur de la question d'actualité en particulier. Dans ses appréciations, le député Yacoubou Malèhossou n’est pas allé par quatre chemins pour titiller le gouvernement. Pour lui, les explications fournies seraient laconiques. Il est resté sur sa faim. Pour l’honorable Yacoubou Malèhossou qui a une très bonne maîtrise et expérience du milieu arabo-saoudien, le gouvernement doit prendre simplement ses responsabilités pour une organisation sans faille du pèlerinage au Bénin. Il propose que soit mise en place une structure forte pour gérer la question. A l’analyse du député de la Renaissance du Bénin, l’idée de la création d’un Haut commissariat aux pèlerinages n’est pas une mauvaise chose. Mais selon lui, il faut mettre l’homme qu’il faut à la place qu'il faut. Aux dires du député, celui qui doit être à la tête de cette organisation doit être un connaisseur du milieu arabo-saoudien et ayant fait ses preuves dans le domaine. Il doit être accompagné d'une équipe nommée par le gouvernement et composée des cadres émérites des ministères concernés par la question. Yacoubou Malèhossou martèle que ce n’est qu’à ce prix que l'Etat béninois réussira ce pari. Outre cette question, les députés devraient se pencher sur deux autres dont l’une relative à l’immortalisation de la mémoire des anciens présidents Sourou Migan Apithy et Justin Ahomadégbé et l’autre portant sur le point financier du Plan décennal de développement du secteur de l’éducation (PDDSE). L’examen de ces deux questions a été différé sur demande du gouvernement qui a dit qu’il n'a pas encore tous les éléments pour éclairer la lanterne des députés. bibo:pages 11 -- o:id 7513 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7513 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7524 26694 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/92a61c04423f9606dd150438ce3e257270cf6f53.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e3fdd44d24f13c1a86171cee608e41459e06dd83.tiff dcterms:title Célébration de la fête de Tabaski : les fidèles musulmans de Calavi rendent grâce à Allah dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1572 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13093 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/762 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-11-08 dcterms:identifier iwac-article-0003474 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le dimanche 6 novembre dernier les fidèles musulmans de la commune d’Abomey-calavi, ont célébré la fête de l’Aïd El Kébir par une grande prière. C’était sur la grande place Idi, aménagée à cette fin, à Agori-plateau dans l’enceinte du centre émetteur de l’ORTB. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12911 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le dimanche 6 novembre dernier les fidèles musulmans de la commune d’Abomey-calavi, ont célébré la fête de l’Aïd El Kébir par une grande prière. C’était sur la grande place Idi, aménagée à cette fin, à Agori-plateau dans l’enceinte du centre émetteur de l’ORTB. Dimanche 6 novembre, les fidèles musulmans béninois, à l’instar de ceux des autres pays, ont célébré la fête de la Tabaski. Grand jour marquant la fin du Hadj et représentant le dernier mois du calendrier islamique. En ce jour, les fidèles musulmans rendent hommage à Abraham pour sa soumission à Dieu, symbolisé par le fait qu’il ait accepté de sacrifier son fils unique, Ismaël qui, sous l’ordre de Allah, sera remplacé au dernier moment par un mouton sous l’entreprise de l’ange Gabriel. Un acte qui explique le rituel habituel de l’immolation. Et c'est par une prière pour glorifier Dieu et ensuite par la lecture du sermon qu’EI Hadj Boukari Malik Moutawakil, Imam de la mosquée centrale Nourou Dine d’Agori-Plateau, dans la commune d’Abomey-calavi, a débuté, ce jour, la célébration de la grande prière. Prière qui marque le début de la fête de Tabaski. Par la lecture du sermon, l’imam a expliqué ce qu’est la fête de la Tabaski, et aussi l’importance du sacrifice. «... En ce qui concerne le sacrifice en Islam, ce n’est pas la chair ou le sang qui plait à Dieu. C'est l’expression de reconnaissance à lui, l’affirmation de foi en lui », a-t-il prêché. L’offrande du sacrifice, a-t-il dit, « est une célébration annuelle pour commémorer l'événement et remercier Allah de ses faveurs ». Tout bon musulman qui a les moyens doit pouvoir sacrifier à cette tradition. Dans les trois jours qui suivent l’Aïd (le jour de la Tabaski), il doit immoler un ou des moutons, le partager avec ses voisins, puis distribuer en aumône aux indigents ; gage de grâces, de bénédictions et de rédemptions ; l’aumône étant l’un des piliers essentiels de l’Islam. « Le prophète Mohammad dit : une fois le premier sang coulé, Dieu vous pardonne vos péchés passés, présents et futurs », a affirmé l’imam. El Hadj Boukari Malik Moutawakil par le sermon a aussi rappelé aux fidèles qu’il est proscrit en islam de passer les jours de fête en s’adonnant aux interdits et en consommant ou en offrant des boissons alcoolisées. Il place ce jour de fête sous le signe de la paix, de la fraternité, de la quiétude et de l'amour. La cérémonie a pris fin par un grand rituel d’immolation et de sacrifice. Rappelons que cette grande prière a connu la présence de quelques personnalités à l’image de Fatouma Amadou Djibril, ministre de la Famille, de Adam Bagoudou, l’intendant du Palais de la République et de Chabi Sika, député à l’Assemblée nationale. bibo:pages 12 -- o:id 7514 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7514 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7525 26695 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/78f27ae779732d77e9e85494cfaf4bfe5c663e36.pdf https://islam.zmo.de/files/original/50577cb4219106c1b94e41ebde045fdca242f179.tiff dcterms:title Célébration de la fête de Tabaski. Parakou : sous le signe renouvelé de la soumission et du partage dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1963 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-11-08 dcterms:identifier iwac-article-0003475 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin a célébré, dimanche 6 novembre dernier, la fête de Tabaski ou de l’Aïd El Kébir, qui intervient quelques jours après celle de l’Aïd El Fitr ou Ramadan. Celle de Parakou n’est pas restée en marge de l’évènement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/476 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin a célébré, dimanche 6 novembre dernier, la fête de Tabaski ou de l’Aïd El Kébir, qui intervient quelques jours après celle de l’Aïd El Fitr ou Ramadan. Celle de Parakou n’est pas restée en marge de l’évènement. Etant l'essence même de l’Aïd El Kébir, le sacrifice du mouton est recommandé à tout musulman. Sans être une obligation imposée aux fidèles qui n’en ont pas les moyens, il est une continuité de l'acte exécuté par le prophète Abraham en guise de soumission à Allah le Tout Puissant. A l’occasion de cette commémoration, dimanche 6 novembre dernier au Bénin, grande était la mobilisation des fidèles musulmans de la cité des Kobourou. Parés de leurs atouts de fête, ils ont pris d’assaut la place Idi de Zongo pour accomplir la prière sous la direction de l’imam Issa Kiré de la mosquée centrale de Yara Kinnin. Ce dernier a, après l’exécution des deux rakats, son prêche et la lecture de son sermon, procédé à l’immolation d’un bélier témoin. Un geste essentiel qui autorise les fidèles, une fois de retour chez eux, à tuer à leur tour, leurs bêtes. Toutefois, convaincus que celui qui a vu le sang de l’animal sacrifié par l’imam, a également procédé au sacrifice, certains parmi eux ont tenu, avant de quitter les lieux, à ne pas se faire compter l’évènement. Au cours de son sermon, l’imam Issa Kiré a surtout insisté sur les caractéristiques du mouton à immoler, avant de prier pour ceux qui ont effectué le pèlerinage à la Mecque. En dehors de Zongo, Allah le Miséricordieux a également été imploré et invoqué par les fidèles qui ont préféré se rendre sur les places Idi de Banikani, Sinangourou, Titirou, Dépôt, Tourou, Albarika, Guéma et CARDER. Tout comme Issa Kiré, les différents imams ont souhaité la grâce et la bénédiction pour le Bénin et ses dirigeants. Fondées comme celles des précédentes éditions, sur les valeurs morales de la soumission, du partage et de la solidarité, les festivités de la Tabaski de cette année se sont ensuite poursuivies à travers les manifestations de réjouissances dans la ville, des visites aux parents ou amis, et des retrouvailles autour de quelques plats. A défaut de manger, ce qu’ils auraient souhaité, les fidèles musulmans de Parakou soucieux de sacrifiera la tradition, se sont donc contentés de ce qu’ils ont trouvé. Il ne pouvait en être autrement, à cause de la flambée qu’ont connue les prix des moutons sur le marché, puis de la morosité ambiante. Pendant encore quelques jours, place sera à la consommation et à la distribution de la viande de la Tabaski. bibo:pages 12 -- o:id 7515 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7515 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7526 26696 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/da027265e53ddc8cec20444e094cabfcba833068.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9650b74efb4b299bfb62abe45643e80a0a35a420.tiff dcterms:title Célébration de la fête de Tabaski : prières et bénédictions pour la nation dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2041 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-11-08 dcterms:identifier iwac-article-0003476 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane était en fête lundi dernier à travers la célébration d’une de ses plus importantes fêtes. L’Aïd El Kébir ou encore la fête du mouton ou de la Tabaski a été commémorée par des milliers de fidèles musulmans. À la place Idi à PK 5, cette célébration a été un moment de prière et de bénédictions pour la nation béninoise toute entière. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane était en fête lundi dernier à travers la célébration d’une de ses plus importantes fêtes. L’Aïd El Kébir ou encore la fête du mouton ou de la Tabaski a été commémorée par des milliers de fidèles musulmans. À la place Idi à PK 5, cette célébration a été un moment de prière et de bénédictions pour la nation béninoise toute entière. Le rituel qui consacre la célébration de la fête de la Tabaski n’a pas varié lundi dernier à la place Idi PK5 à Akpakpa. En présence des fidèles musulmans, venus par centaines recevoir à la fois les bénédictions et l’autorisation pour égorger les moutons de la fête, l’Imam Ibrahim Ousmane a délivré une exhortation à la paix, au pardon et à la tolérance mutuelle. Le gouvernement s’est fait représenter par le ministre des Affaires étrangères, Nassirou Bako-Arifari et son collègue de l'Energie, Jonas Gbian. Plusieurs hauts fonctionnaires, cadres et personnalités de la communauté musulmane étaient aussi présents à la prière de la place Idi PK5. Dans un refrain constant d’Allah Ak Barr, les fidèles ont répondu à la prière du célébrant. Une prière faite essentiellement de plaidoyer en direction d’Allah pour un Bénin plus uni et plus prospère, sur fond d’entente entre ses fils et d'inspiration pour ses dirigeants. « A travers ma prêche, j’ai prié pour toute la nation béninoise, afin que tout un chacun de nous bénéficie de ce sauvetage de dernière minute que Dieu a accordé à notre prophète et son fils qui allaient déjà exécuter la volonté de Allah », commente le célébrant, El Hadj Ibrahim Ousmane. C’est pourquoi, son exhortation a été faite aussi d’intercessions pour la protection de tous contre les « maux et les dangers ». Le moment le plus attendu de cette prière, comme on le sait, c’est celui de l’immolation du bélier blanc, un geste qui autorise tous les musulmans à accomplir le sacrifice en souvenir de celui fait par Abraham en lieu et place de son fils. C’est l’imam Ibrahim Ousmane en personne qui s’en est chargé lundi dernier à la place Idi, devant les fidèles musulmans qui eux aussi, une fois chez eux, peuvent faire le même geste et partager la viande autour d'eux. Quoique sobre et succincte la prière faite à la place Idi ne manquait pas de symbolique. Venu recevoir au nom du gouvernement et du peuple, la prière de la communauté musulmane en ce lieu, le ministre Nassirou Bako-Arifari, à la fin de la prière, a laissé entendre que c’est en hommage à un phénomène spirituel que « chaque année, la communauté islamique se réunit pour célébrer la foi qu’un des patriarches de la religion universelle a manifestée à l'endroit de son seigneur ». « Nous en sommes les poursuivants et les adeptes, nous croyons profondément ». commente aussi le ministre des Affaires étrangères pour qui cette journée est essentiellement faite « de bénédictions, de grâces » et doit être une opportunité et une occasion d'entente, de réunification, de consolidation de l’unité nationale pour que « la paix, la sérénité et le calme règnent dans notre pays ». Même message de la part de Raphiou Toukourou présent également à la célébration, pour qui, le peuple doit essentiellement avoir à l'esprit, un acte majeur : celui du fils remplacé par le mouton. bibo:pages 12 -- o:id 7516 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7516 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7527 26697 26698 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6e1ddf336bb22cb27e6a568b1312c9b5d1858440.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3fdf0ec7a3a5c6c81416dca63fb15ca04f2fd468.tiff https://islam.zmo.de/files/original/f65c7bb36fcde1c89b0b7ebd3c5e81a761498e31.tiff dcterms:title Préparatifs de la Tabaski : la cherté des prix, un casse-tête dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-11 dcterms:identifier iwac-article-0003477 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans cinq jours, ce sera la fête de la Tabaski. Généralement, c'est l'immolation de mouton par la communauté musulmane qui donne le cachet spécial à la fête. Mais celle de cette année risque de faire exception à la règle, au regard du constat fait sur les différents sites de vente de moutons à Cotonou. Dans les différents marchés, les vendeurs crient à la mévente pendant que les acheteurs eux se plaignent du prix trop élevé des bêtes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans cinq jours, ce sera la fête de la Tabaski. Généralement, c'est l'immolation de mouton par la communauté musulmane qui donne le cachet spécial à la fête. Mais celle de cette année risque de faire exception à la règle, au regard du constat fait sur les différents sites de vente de moutons à Cotonou. Dans les différents marchés, les vendeurs crient à la mévente pendant que les acheteurs eux se plaignent du prix trop élevé des bêtes. Un peu moins d’une semaine et ce sera la fête de l’Aïd El Kébir, communément appelée Tabaski. Bien que les marchés de mouton sillonnés soient bien achalandés, les clients ne sortent pas comme souhaité. C’est le constat fait à Zongo et à Vodjè dans la ville de Cotonou. Sur le site de Zongo, la majorité des vendeurs se plaint de la morosité économique qui touche les populations. Au niveau de ce point de vente, l’espace grouille de bêtes, mais les clients sont rares. Pour Ibrahim Adamou, cette situation peut s’expliquer par le fait que les bêtes coûtent relativement plus cher que l’an dernier. Cette cherté, explique-t-il, est due aux tracasseries que subissent les convoyeurs qui viennent du Burkina, du Niger et même du Mali. Les policiers et les douaniers leur prennent beaucoup de sous sur la route au point où ils sont obligés de céder les moutons à un prix élevé, révèle-t-il. Pour chaque mouton, les convoyeurs déboursent jusqu’à 5 000F. Dans ces conditions, soutient-il, «nous sommes obligés d'augmenter 10 000 FCFA sur le prix d’un mouton pour trouver aussi notre compte», précise Ibrahim Adamou. Il souligne que le mouton qui est acheté l’année dernière à 50 000F ou 60 000F lui est cédé cette année à 70, 80, voire 90 000 CFA. En plus, il faut payer le tas d’herbes pour nourrir les bêtes. Ce qui coûte en moyenne, 3 500 FCFA. Or, il faut en donner trois par jour pour un mouton. Faute de quoi, les bêtes perdront du poids et seront vendues en dessous du prix d’achat. Même si l’achat des moutons est une priorité pour bon nombre de musulmans, cette année, les bourses ne permettent pas de les acheter aisément. Seuls les individus d’un certain rang arrivent à tirer leur épingle du jeu. Il faut réunir au moins 150 000FCFA pour un mouton de taille moyenne. Jusqu’à 10h30 hier, Ibrahim Adamou n'a pas encore enregistré le moindre client. Et pourtant, il s’était installé avant même le lever du soleil. Pour l’heure, il compte sur la providence pour se tirer d’affaire. Dans les années antérieures, déjà à deux semaines de la fête, l’affluence était à son comble. Même dix jours après la fête, les vendeurs continuaient de faire de bonnes recettes. Mais avec la crise économique et financière cette année, il y a risque de faire des pertes sèches. «Les clients attendent sûrement les derniers jours ou la veille de la fête pour se mettre au pas», espère Ali Issa, un autre revendeur sur le même site. Le pouvoir d’achat ne favorise pas la vente La vente n’est pas rentable cette année, à cause du faible pouvoir d’achat des ménages. Le chiffre d’affaires est en baisse, car la grande majorité des clients se fait désirer. A cette allure, les vendeurs avouent ne pas compter sur les clients fidèles, tant le prix des bêtes est élevé. Contrairement à Ali Issa et Ibrahim Adamou un autre vendeur sur le même site, arrive quand même à se tirer d'affaire. D’un air souriant, il confie avoir déjà réalisé pour le compte de la matinée d’hier, une recette de 800 000 FCFA. Mais chez lui, les prix ne sont pas aussi flexibles. Pas possible de s’acheter un mouton de taille moyenne dans l’ordre de 80 000 F CFA. Après de longues négociations avec Amadou. Nouroudine Bassabi et Akamina Socohou sont repartis, désespérés. Ces deux clients estiment que les prix ne sont pas proportionnels à la taille des moutons. «Plus on s’approche de la fête, plus cela devient plus cher ; or l’achat des moutons est une contrainte pour nous. Nous irons donc ailleurs pour voir ce qui correspond à notre bourse», ont-ils confié. Plus loin ailleurs, sur le site de Vodjè, le marché est très florissant et la fête semble plus prometteuse. Les prix pratiqués ici semblent plus abordables apparemment. L’affluence se fait remarquer, même si tous les clients qui viennent n’achètent pas systématiquement. Sur ce site, les prix des moutons varient entre 150 000 et 170 000 F CFA. On peut également en trouver dans l’ordre de 35 000 à 50 000 F CFA pour les petits moutons. La stratégie adoptée ici vise à revoir les prix à la baisse en vue d’avoir le plus grand nombre de clients, explique Honoré Affokou, revendeur de mouton. Malgré cette possibilité, les "vrais acheteurs” se font rares. La plupart des clients qui viennent, négocient et repartent bredouilles. C’est le cas de Kolawolé Alao qui a fini par laisser les trois moutons qu’il a marchandés à 180 000 F CFA. Les raisons évoquées par la plupart des clients, tiennent principalement aux dépenses effectuées pour les préparatifs de la rentrée, indique Mélanie Zossiga, revendeuse de mouton sur le site de Vodjè. bibo:pages 1 7 -- o:id 7517 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7517 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7528 26699 26700 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d2868ee02cc5ab790c4dc782427719be3d46f1bb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/30cb9544f7b8d7b72ffa60a1accc17a6eb10aef7.tiff https://islam.zmo.de/files/original/bb03ab1ff8d5c932dc969abc11d5a86202374c74.tiff dcterms:title Pèlerinage Hadj 2013 : pari tenu pour l'organisation / la prière de Boni Yayi aux pèlerins béninois dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1518 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-03 dcterms:identifier iwac-article-0003478 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Considérée au départ, aussi bien par le gouvernement que par le collectif des convoyeurs comme un challenge, l’organisation du pèlerinage à la Mecque édition 2013, peut déjà s’inscrire en lettre d’or. Les premiers pèlerins béninois à destination de Djeddah ont effectivement embarqué hier de l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cadjèhoun à bord d’un boeing 777-200 de la compagnie Ethiopian Airlines. Le chef de l’Etat, le président Boni Yayi comme à ses habitudes, est allé témoigner de la sympathie et de la solidarité de la République aux candidats béninois en partance pour le pèlerinage au lieu saint de l’Islam. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pari tenu pour l'organisation Considérée au départ, aussi bien par le gouvernement que par le collectif des convoyeurs comme un challenge, l’organisation du pèlerinage à la Mecque édition 2013, peut déjà s’inscrire en lettre d’or. Les premiers pèlerins béninois à destination de Djeddah ont effectivement embarqué hier de l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cadjèhoun à bord d’un boeing 777-200 de la compagnie Ethiopian Airlines. Le chef de l’Etat, le président Boni Yayi comme à ses habitudes, est allé témoigner de la sympathie et de la solidarité de la République aux candidats béninois en partance pour le pèlerinage au lieu saint de l’Islam. A 11h 17mn exactement hier, après un tour de piste bien mené, l'appareil ET 8542 de la compagnie Ethiopian Airlines s’est envolé de Cotonou. A bord de ce boeing 777-200 se trouvaient les 320 premiers pèlerins béninois en partance pour le pèlerinage Hadj 2013 à la Mecque. Que de joies de part et d'autre. Les candidats au pèlerinage, très enthousiasmés, sourires aux lèvres n’avaient qu’un seul souci, celui de prendre place à bord du vol affrété pour la circonstance. En effet, à 9h 35mn ! d’un ton lourd, El-hadj Bachir Gbadamassi, secrétaire général du Conseil national de coordination de Hadj (CONACO) déjà dans sa tenue d’IHRAM c’est-à-dire celle de la sacralisation, demande à chaque pèlerin de vérifier ses documents afin de les mettre à jour pour le contrôle avant embarquement. Une fois l'annonce pour l'embarquement faite, un pèlerin se détache du lot. Il sonnait exactement 9h 40 mn. Après son ablution, il se retire du groupe. Puis se met à prier. Une manière pour lui d’implorer le très miséricordieux Allah afin qu’il bénisse le voyage et partant, tout le pèlerinage. Aux environs de 9h 50mn, la phase d'embarquement est lancée. En file indienne, les pèlerins l'un après l'autre passent le 1er cordon sécuritaire avant de monter à bord des bus pour le tarmac. Là également, est érigé un autre cordon de sécurité, le dernier avant l'accès des pèlerins à bord du vol. A ce niveau également, a prévalu de la discipline au niveau des pèlerins qui en ordre, se sont prêtés au contrôle des agents de sécurité avant de gravir les escaliers pour monter à bord de l'avion de la compagnie Ethiopian Airlines. Dans l’expectative que tous les autres vols prévus se dérouleront sans anicroche, on note déjà une satisfaction quasi-générale chez les acteurs impliqués dans l’organisation du hadj 2013 pour l’accomplissement du 5è pilier de l’Islam. La prière de Boni Yayi aux pèlerins béninois Comme à ses habitudes désormais, le chef de l’Etat, Boni Yayi s’est donné comme mission d’accompagner de prières ses compatriotes qui prennent le départ de Cotonou pour l’accomplissement du 5è pilier de l’Islam qu’est le pèlerinage à la Mecque. Hier, le président de la République malgré son calendrier chargé a tenu à honorer cette mission qu'il s’est donnée. Il était à l’aéroport international Bernadin Cardinal Gantin de Cadjèhoun aux cotés des tout premiers pèlerins devant embarquer pour l’Arabie Saoudite. Et en bon père de famille, le président Boni Yayi a comblé de prières ses compatriotes candidats au hadj 2013. Il est vrai, la République du Bénin est laïque, a rappelé le chef de l'Etat. «Mais la laïcité de l'Etat n’interdit pas la croyance en Dieu le père céleste, Allahou-Akbar», s’est exclamé le chef de l’Etat. Il poursuit d’ailleurs : « Vous ferez un excellent voyage, un excellent séjour au lieu saint de l’Islam. Vos prières, vos jeunes vont nous accompagner pour la sécurité et la prospérité de notre pays. Priez ! Jeunez ! Puisse Dieu vous exaucer pour le bonheur de notre peuple, des peuples de notre sous-région et pourquoi pas des peuples de la planète. Encore une fois bon voyage, bon séjour, excellent voyage au lieu saint de l’Islam et que Dieu vous bénisse ! ». En réponse à ce vœu du chef de l’Etat, et presque tous en chœur, les pèlerins reconnaissants lui ont souhaité beaucoup de courage dans sa mission. MS. bibo:pages 1 11 -- o:id 7518 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7518 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7529 26701 26702 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0c60404eb4f6b0ac9a7c00df57d121fbaf3d1ffe.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e8d33581b6eca3d83ba63ee60e0fa03c84476bd3.tiff https://islam.zmo.de/files/original/76d8426ba2d07212e456326a619e1b89eac18f80.tiff dcterms:title Pèlerinage à la Mecque 2013 : l'enregistrement des bagages des pèlerins pour ce jour dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1518 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2025 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-01 dcterms:identifier iwac-article-0003479 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'organisation du voyage au lieu saint de l'Islam édition 2013 entend porter un cachet spécial. Le tout premier vol est prévu pour demain. Commence dès ce jour l’enregistrement des bagages de soute à partir de 7 heures à la mosquée centrale de Zongo à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'organisation du voyage au lieu saint de l'Islam édition 2013 entend porter un cachet spécial. Le tout premier vol est prévu pour demain. Commence dès ce jour l’enregistrement des bagages de soute à partir de 7 heures à la mosquée centrale de Zongo à Cotonou. Le pèlerinage à la Mecque édition 2013 revêt un cachet spécial au Bénin. Non seulement la compagnie devant assurer le transport des pèlerins est déjà connue, mieux encore, un dispositif organisationnel pratique se met en place. Ainsi, pour compter de ce jour mardi 1er octobre 2013, tous les 320 premiers pèlerins devant embarquer demain à destination de Djeddah sont invités à procéder à l’enregistrement de leurs bagages de soute. Selon les propos du président du Conseil national de coordination du hadj, Ouro-Djéri Amidou, l’opération qui démarre ce jour à 7 heures est prévue pour se terminer aux environs de 17 heures dans l’après-midi. Il invite à cet effet tous les pèlerins et leurs différents accompagnateurs à faire preuve de discipline afin que tout se déroule sans heurts ni désagréments. La compagnie aérienne «Ethiopian Airlines» est celle qui a signé le contrat de transport avec le gouvernement béninois dans le cadre de l’acheminement des candidats au lieu saint de l’Islam. C’est à bord du vol ET 8542 de cette compagnie prévu pour décoller demain mercredi 2 octobre aux environs de 09h 55 mn que les 320 premiers pèlerins embarqueront de Cotonou pour Djeddah. Au nom du Conseil national de coordination du hadj (CONACO-HADJ/ BENIN), son président Ouro-Djeri Amidou exhorte l'ensemble de la communauté musulmane au strict respect des prescriptions retenues afin que l'organisation ne souffre d’aucun manquement. bibo:pages 1 6 -- o:id 7519 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7519 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7530 26703 26704 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/53156b0684051f90b78669101c0b60c5955fb3c0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/da0978f6af1ee6ec6f90d52d925fdb8b9bd167a9.tiff https://islam.zmo.de/files/original/f656e8302c904d31216fe9bc2f3584f68b717bc0.tiff dcterms:title Fête de Ramadan : la double particularité de la célébration à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1506 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2027 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-08-09 dcterms:identifier iwac-article-0003480 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Prier pour le Bénin et obtenir des grâces après un mois de jeûne, ce sont les deux temps forts de la célébration de la fête du Ramadan, hier Jeudi 8 août à la place Idi de PK5 à Akpakpa à Cotonou. Pour témoigner du soutien du gouvernement aux fidèles musulmans à cette célébration, François Abiola, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a représenté le chef de l'Etat. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Prier pour le Bénin et obtenir des grâces après un mois de jeûne, ce sont les deux temps forts de la célébration de la fête du Ramadan, hier Jeudi 8 août à la place Idi de PK5 à Akpakpa à Cotonou. Pour témoigner du soutien du gouvernement aux fidèles musulmans à cette célébration, François Abiola, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a représenté le chef de l'Etat. La première particularité de l’Aïd El Fitr 2013 est la prière faîte pour toute la nation béninoise. «Nous avons prié pour toute la nation entière et pour le gouvernement», indique l’imam central de Joncquet, à Cotonou Ibrahim Ousmane au terme de la prière de Ramadan dite sur la place Idi de PK5 à Akpakpa à Cotonou, hier jeudi 8 août. C’est la raison pour laquelle «je suis venu rencontrer les gens polir que s’organisent les séances de prières demandées par le chef de l’Etat», souligne le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, François Abiola. Cette requête du chef de l’Etat : «prier pour qu’il y ait la pluie afin d’atteindre les objectifs de la sécurité alimentaire», répond à la démarche naguère menée par les fidèles confrontés à la sécheresse où ils ont demandé au prophète Mahomet de prier pour qu'advienne la pluie, révèle l’imam. «Nous sommes prêts à accompagner le chef de l’Etat», s’engage-t-il avant de déclarer qu’ils vont implorer la miséricorde d’Allah afin qu’il accorde les grâces demandées. La seconde particularité de la fin du jeûne musulman au Bénin est liée au fidèle lui-même. Il s’agit «de la purification et de la sanctification» de ce dernier au terme des 30 jours de privation, explique l’un des fidèles, Salif Ouédraogo. Ainsi, à la fin de la prière, renchérit-il, «nous devenons des hommes nouveaux». C’est-à-dire, ceux ayant été pardonnés par Dieu, ajoute-t-il. Toutefois pour bénéficier de cette grâce, clarifie Mohamed Kabir Sounon, au cours de la période du jeûne, le fidèle musulman aurait déjà quotidiennement respecté les cinq prières et après avoir fait la dernière prière, se consacrer aux « Nafila ». Une prière qui peut durer une heure de temps pour solliciter les grâces de pardon d’Allah. Outre les prières dites, le fidèle musulman doit avoir posé des gestes de générosité envers les pauvres et recourir ou accorder le pardon, complète-t-il. Le sacrifice physique matérialisé par le jeûne doit avoir également été observé, renseigne-t-il. Hommage aux femmes musulmanes Aminatou Chanou, fidèle musulmane, rend un hommage à toutes les femmes, notamment celles musulmanes « qui se réveillent avant le muezzin ». Les femmes ont été un pilier pour la réussite du mois du jeûne, apprécie cette fidèle musulmane. En effet, durant les 30 jours, développe Aminata Chanou, les femmes musulmanes ont joué un rôle du renforcement de l’éducation des enfants et de promptitude dans les foyers pour éviter les retards lors des séances de prières et au cours du repas. Tous ces efforts se conjuguent désormais au passé. Car, comme l’indique Harouna Saka, fidèle musulman venu pour la prière de fin de jeûne, les regards sont tournés vers la fête de la Tabaski qui interviendra dans les trois mois qui suivent. Cette attente appelle le fidèle musulman à continuer à marcher dans les pas du prophète Mahomet, conclut Mohamed Raouf, un autre fidèle musulman. Une exhortation que mettront à coup sûr en application Raphiou Toukourou, l’ex-président du Conseil économique et social et Moussa Okanla, l'ex-ministre des Affaires étrangères, qui ont élevé la voix pour rendre grâce à Dieu des bienfaits du mois de jeûne. bibo:pages 1 10 -- o:id 7520 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7520 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7531 26705 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1eafabfc2d278e100c82161a0f0ffbe076576edf.pdf https://islam.zmo.de/files/original/231f08e90d0c699e46b0c39646318fd6be9d9edd.tiff dcterms:title Fête de Ramadan : les musulmans prient pour la paix, la prospérité et la pluie à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/27 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12888 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13055 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13434 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1992 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-08-09 dcterms:identifier iwac-article-0003481 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après trente jours de carême, les musulmans ont célébré dans l'allégresse, hier jeudi 8 août, l'Aïd el-Fitr, la fête de la rupture du jeûne du mois de ramadan. A Parakou, ville à prépondérance islamique, cette « petite » fête s’est déroulée avec faste et surtout en prières. Ce qui annonce déjà la grande fête de Tabaski, l’Aïd e/-Kébir qui a lieu au cours du dernier mois du calendrier musulman. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13868 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14553 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après trente jours de carême, les musulmans ont célébré dans l'allégresse, hier jeudi 8 août, l'Aïd el-Fitr, la fête de la rupture du jeûne du mois de ramadan. A Parakou, ville à prépondérance islamique, cette « petite » fête s’est déroulée avec faste et surtout en prières. Ce qui annonce déjà la grande fête de Tabaski, l’Aïd e/-Kébir qui a lieu au cours du dernier mois du calendrier musulman. Ouf ! Le mois de ramadan est terminé et vive l'Aïd el-Fitr ! C’est dans une ferveur remarquable que les musulmans de Parakou ont poussé ce cri de joie hier, premier jour du 10e mois lunaire "chawal” qui fait suite à celui du ramadan, le mois de jeûne. En habits de fête, c'est par centaines qu’ils se sont rendus sur les places Idi pour les prières en commun. Comme d’habitude, les femmes étaient en retrait et les hommes devant, alignés en rangs sur les tapis et peaux d’animaux, égrenant des chapelets. Dans les allées, les enfants musulmans se promènent, agitant de petites caisses contenant des pièces de monnaie, pour solliciter l’aumône ordinaire. Sur le terrain de sports de l’Ecole primaire publique OCBN au quartier Camp Adagbè, à l'heure cruciale de la prière, l’honneur est revenu à l’imam Tégnami Abdoulaye de la mosquée centrale Dépôt de diriger la séance de prières. Il a insisté dans son sermon sur le sens de la prière en commun à la place Idi, en indiquant qu'en ce lieu, Dieu pardonne tous les péchés, après l’observance du mois de jeûne. Ainsi, les fidèles se retournent purifiés dans leurs maisons respectives. Mais pour bénéficier d’une grâce spéciale d'Allah, le Dieu Tout-Puissant, a-t-il rappelé, le prophète Mahomet (sallallahu alayhi wa sallam : que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui !) a conseillé aux fidèles d’observer les six jours de jeûne de chawal, soit 36 jours au total. Car, dans la tradition musulmane, celui qui jeûne six jours après la rupture du jeûne de ramadan a complété l’année, et s'arme ainsi d’un « bouclier » pour se sanctifier et se protéger de l’enfer. Les mahométans ont imploré la bénédiction et la clémence de Dieu pour que règnent la sécurité, la paix au Bénin et que chacun de ses citoyens ait la santé, la longévité, la prospérité dans les affaires. Les festivités rimant souvent avec des excès de tout genre, depuis la place Idi du CARDER Borgou/Alibori dans le 2e arrondissement où il a prié aux côtés des populations sous la direction de l’imam Youssouf Wokaya de la mosquée centrale Yébou-Béri, le préfet Denis Ali Yérima a exhorté les uns et les autres à circuler avec prudence sur les axes, à s’en tenir au respect du Code de la route et à éviter l’abus de l’alcool et respecter les autres prescriptions de l’islam. Même appel du côté du maire de Parakou, Soulé Alagbé, qui a prié plutôt à la place Idi de Tourou dans le 1er arrondissement de la ville, sous la houlette d’EI hadj Yacoubou Issifou Alfa Tamim. Prières pour l’abondante pluie L’autorité communale, conformément à la semaine de prières décrétée par le gouvernement depuis mercredi dernier pour contrer la rareté des pluies, a saisi l’occasion pour exhorter la communauté musulmane, les autres confessions religieuses et hommes de foi à intensifier les prières pour que Dieu Tout puissant ouvre les écluses du Ciel et que la pluie devenue rare, tombe en abondance. « Nous avons prié pour la pluie. On ne le fera jamais assez pour cette pluie-là dans la mesure où c’est elle qui conditionne le reste. Il faudrait que nous prospérons dans l’agriculture afin que notre nation puisse se bâtir dans la paix et la sérénité », a laissé entendre El hadj Soulé Alagbé. Puis, après les prières, les uns et les autres: amis, voisins, même d’autres confessions, se sont donné rendez-vous pour se dire bonne fête, se présenter des vœux, partager un pot ou des repas, et remercier Dieu pour ses bienfaits pendant et après la période de jeûne observé. Les enfants endimanchés ou non, ont continué leur ballet de mendicité dans l'après-midi dans les rues et les familles musulmanes ou non où ils chantent pour percevoir quelques sous ou autres cadeaux. CUP bibo:pages 11 -- o:id 7521 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7521 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7532 26706 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d2ca9f2de76a515f17fd67a27d6e01d4d4fb59b6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9cab8fb8c9e018f91d13cc5597fd477a204cd87a.tiff dcterms:title Fête de Ramadan : sous le signe de la reconnaissance à Allah à Abomey-Calavi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14172 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/762 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15424 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-08-09 dcterms:identifier iwac-article-0003482 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Sous la direction de l’imam, Arouna Abdoulaye, la cour intérieure de la mairie d’Abomey Calavi a servi de cadre, hier jeudi 8 août, à la célébration de l’Aïd el Fitr, qui marque la fin du jeûne musulman à l’occasion du carême. Après un mois d’accomplissement de cette prescription des Ecritures saintes, les fidèles se sont regroupés pour remercier Allah et recueillir chacun, les bénédictions et récompenses attachées à leur loyauté. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Sous la direction de l’imam, Arouna Abdoulaye, la cour intérieure de la mairie d’Abomey Calavi a servi de cadre, hier jeudi 8 août, à la célébration de l’Aïd el Fitr, qui marque la fin du jeûne musulman à l’occasion du carême. Après un mois d’accomplissement de cette prescription des Ecritures saintes, les fidèles se sont regroupés pour remercier Allah et recueillir chacun, les bénédictions et récompenses attachées à leur loyauté. Cour intérieure de la mairie d’Abomey-Calavi, ce jeudi 8 août retenu pour la célébration de l’Aïd el Fitr. Il est 9 heures. Déjà, quelques fidèles s’installent. Les autres débouchent de tous côtés, les uns à moto, les autres en véhicule, d’autres encore à pied ou en taxi. Ils sont parés de leurs plus beaux vêtements. Pas de modèle spécial pour la circonstance en tout cas. La cour se remplit au fil des minutes et au fur et mesure qu'elles s'égrènent, en attendant l’arrivée de l’imam, la place avant réservée aux hommes, s’épaissit et tend à se confondre presque à l'arrière réservée aux femmes. Sur des tapis assortis de toutes sortes et des nattes étalés à même le sol, sous l’ombre des arbres, chacun adopte la position qui lui sied. Vers 9h 55, le maire d’Abomey-Calavi, Patrice Houssou-Guèdè fait son apparition sur les lieux. Soudain, le publiphone retentit et le maître de cérémonie déclare : «Repentons-nous après ces moments de privation prescrits et qu’Allah le miséricordieux nous aide à ne plus aller au péché». L’imam Arouna Abdoulaye se lève et plante le décor pour la prière. Un silence plat règne soudain une nouvelle fois, et la prière commence à 10h05. Après les différentes récitations, l’imam prêche : « Paix, bénédictions sur vous qui avez cru et qui craignez Allah parce qu’il connaît parfaitement ce que vous faites. Le jeûne amène les serviteurs à dominer leur passion et à veiller ».Ceux qui ont écouté et observé les instructions doivent recevoir la récompense et c’est le moment ce jour, précise-t-il. La récompense, poursuit-il, est le lot de bénédictions réservées et attribuées à chaque fidèle, selon son mérite. Les anges sont là et veillent, selon lui, au partage des récompenses. L’Aïd el Fitr est un jour de récompense mais également de fête. Cependant, rappelle l’imam Arouna Abdoulaye, ce n’est pas l’occasion de l’utilisation à profusion de mets ou de l’usage de ce qui est proscrit Il a saisi l’occasion pour témoigner sa reconnaissance à tout ce que font les autorités à divers échelons, notamment le conseil communal et le président de la République. Il a prié afin que Allah le miséricordieux les inspire et les assiste avant d’appeler la prospérité sur le Bénin et tous ses fils. A noter que la célébration a regroupé d’autres fidèles derrière le centre émetteur de l’ORTB à Abomey-Calavi et Aïtchédji dans la même localité. bibo:pages 10 -- o:id 7522 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7522 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7533 26707 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1d4ca22a12d0ff52ff33b83ec37bc4d9a603e995.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4e3bae3a8df1633fc952fd9bb3b9d8f541fec9e2.tiff dcterms:title A l'occasion du jeûne musulman : la Jamaât islamique Ahmadiyya fait don de vivres à Porto-Novo et Adjarra dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15222 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13077 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-07-30 dcterms:identifier iwac-article-0003483 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Comme il est de tradition depuis un certain nombre d'années, l'Organisation non gouvernementale Jamaât islamique Ahmadiyya Bénin a offert encore, hier lundi 29 juillet, des dons à la prison civile de Porto-Novo, à l'hôpital de la même ville et à l'orphelinat Notre Dame de la miséricorde d'Adjarra. Ils ont été remis par Nasir Ahmad Mahmood, chef missionnaire par intérim de Jamaât islamique Ahmadiyya Bénin et Moussiliou Bakary, vice-président de la même organisation. Ce geste entre dans le cadre des prescriptions de la religion islamique et du fondateur de l'Ong. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Comme il est de tradition depuis un certain nombre d'années, l'Organisation non gouvernementale Jamaât islamique Ahmadiyya Bénin a offert encore, hier lundi 29 juillet, des dons à la prison civile de Porto-Novo, à l'hôpital de la même ville et à l'orphelinat Notre Dame de la miséricorde d'Adjarra. Ils ont été remis par Nasir Ahmad Mahmood, chef missionnaire par intérim de Jamaât islamique Ahmadiyya Bénin et Moussiliou Bakary, vice-président de la même organisation. Ce geste entre dans le cadre des prescriptions de la religion islamique et du fondateur de l'Ong. Un kit comprenant du riz, des pâtes alimentaires, du savon et du sucre pour les malades du Centre hospitalier départemental Ouémé/ Plateau sis à Porto-Novo, du riz, de l’huile et du savon pour les pensionnaires de la prison civile de Porto-Novo et les orphelins de l’Orphelinat Notre Dame de la Miséricorde d’Adjarra. C’est le don fait, hier lundi 29 juillet par une délégation de l’Organisation non gouvernementale à vocation religieuse Jamaât islamique Ahmadiyya Bénin. Pour Nasir Ahmad Mahmood, chef missionnaire par intérim de Jamaât islamique Ahmadiyya Bénin, cette communauté islamique a pris l’habitude depuis un certain temps, d’accomplir ce geste tous les ans vers la fin de la période du jeûne musulman. Il s'agit, selon lui, selon les recommandations de la religion et du fondateur de partager un peu de bonheur avec les démunis, les pauvres et les personnes en difficulté. Ainsi, à l’en croire, environ 523 localités du Bénin bénéficieront de ce geste pour une valeur d’environ 20 millions FCFA. Porto-Novo constituant le point de départ de cette action humanitaire, la délégation est allée rendre une visite de courtoisie aux autorités de la ville. L’honneur était échu à Martine Adéloui, chargée de mission à la préfecture de l’Ouémé/Plateau de recevoir les civilités. « Nous vous remercions d’avoir pensé à partager avec les pauvres, les malades, les orphelins et les prisonniers », a-t-elle confié, recevant la délégation et quelques dons à titre symbolique au nom des bénéficiaires. Après la prison civile de la ville où la presse n’était pas la bienvenue, respect des droits de l’homme oblige, cap a été mis sur l’hôpital de Porto-Novo. Là, les malades des services chirurgie, traumatologie, pédiatrie et maternité entre autres ont bénéficié de kits faits pour la circonstance. Conduisant la délégation qui a procédé au dispatching des dons au pied des lits des malades à l’hôpital, Géraud Hounkpatin a témoigné sa gratitude au nom des attributaires et prié Dieu pour qu’il le leur rende au centuple. Des actions humanitaires que Moussiliou Bakary, vice-président de Jamaât islamique Ahmadiyya inscrit dans le cadre du fonctionnement normal de l’organisation. Devant les orphelins rassemblés pour la circonstance à Adjarra, il a expliqué que les dispositions seront toujours prises pour essayer tant soit peu de satisfaire les besoins des jeunes innocents. Aujourd’hui et les jours suivants, d’autres localités recevront la visite de ces généreux donateurs à quelques jours de la fin du jeûne musulman. bibo:pages 16 -- o:id 7534 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7534 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7551 26708 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f1c1095b4b79ba77c498db18bd397092d668be08.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a9c9f2f33c2208df8cfe6ebe5533c18c5e7c311c.tiff dcterms:title Carême musulman : un chemin de conversion par la prière, le jeûne et la charité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2020 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-07-09 dcterms:identifier iwac-article-0003484 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans entament dès ce mardi 9 juillet, leur marche vers le Ramadan. Pendant trente jours, ils devront jeûner, prier et s'abstenir de certains plaisirs afin de bénéficier de la miséricorde d'Allah. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans entament dès ce mardi 9 juillet, leur marche vers le Ramadan. Pendant trente jours, ils devront jeûner, prier et s'abstenir de certains plaisirs afin de bénéficier de la miséricorde d'Allah. Le carême c’est un moment de prière, de jeûne, d’abstinence et de privation auxquels tout musulman doit sacrifier. Il fait partie des cinq piliers de l’Islam auxquels tout musulman doit se conformer, s’il espère bénéficier de la miséricorde d’Allah. Afin de permettre aux fidèles d'entrer dans le bain du carême, il a été organisé hier lundi 8 juillet dans les mosquées, un grand rassemblement au cours duquel, ils se sont retrouvés pour formuler des intentions à l’endroit d’Allah, explique El Hadj Youssouf Ligali, Imam Ratibe de la Mosquée centrale de Cadjèhoun. C’est «la formulation de l’intention» qui marque le coup d’envoi du jeûne, informe-t-il. L’objectif de tout musulman est de plaire à Dieu afin d’être accueilli au paradis. Plaire à Dieu c’est lui obéir. Ainsi, ce mois de Ramadan qui est une façon de remémorer la retraite de Mahomet, est perçu comme une bénédiction d’Allah. En effet, l’avènement du mois de Ramadan est défini en fonction de l’apparition du ’’Croissant” qui s’observe précisément à partir du troisième jour du carême, a-t-il indiqué. Le Ramadan a été institué pour être le mois du jeûne, le 9è de l’année lunaire. Il est obligatoire pour tout musulman, homme ou femme, dès la puberté. Quelles sont les personnes concernées par le jeûne ? Le carême est obligatoire pour le musulman croyant, qui se sent physiquement apte à pouvoir le faire. Les vieillards, les femmes enceintes et les nourrices qui craignent pour leur état de santé, peuvent s'en passer. Les enfants aussi ne sont pas les premiers concernés. Pour ces derniers, les parents peuvent les soumettre à un essai, en réduisant de moitié leurs rations quotidiennes de nourriture. Le malade mental n’est pas également tenu de se conformer à cette prescription de l’islam, a clarifié l’Imam Ratibe de la Mosquée centrale de Cadjèhoun. «Dieu ne veut que notre bonheur. C’est pourquoi, les personnes qui se retrouvent dans ces cas de figure ne doivent pas se soucier de n’avoir pas pu jeûner», apaise-t-il. Toutefois, les fidèles qui choisissent librement de se déroger à la règle, même pendant une seule journée, devront rattraper leur exonération du jeûne au cours de l’année, en compensant soixante jours consécutifs. Par contre, le jeûne peut être interrompu quand il y a lieu de sauver par exemple la vie d’une personne en danger, a-t-il nuancé. Dans ce cas, il n’y a qu’un seul jour à compenser, précise-t-il. La portée du jeûne Le jeûne est d’abord un acte social. La communauté prend conscience d’elle-même, de son unité. Le sens de la communauté est renforcé par le fait que tout un peuple vit au même rythme. Le repas de rupture du jeûne qui intervient le soir, constitue un rituel de fraternité, selon El Hadj Youssouf Ligali. D’autre part, le jeûne se base sur des règles strictes. Le mois de Ramadan est un mois consacré à Dieu, pendant lequel le croyant insiste sur la purification. C’est une période d’activité ralentie et de recueillement intense. Il protège en effet celui qui s’y consacre du péché et de certaines dérives et le libère de la dépendance. C’est un moyen de délivrance de l’esprit humain des griffes du désir. Tout musulman doit suivre la tradition du Prophète Mahomet, modèle de piété. Les règles du carême Le jeûne du mois de Ramadan est l’un des cinq piliers de l’islam, avec la profession du Dieu unique, la prière cinq fois par jour, l’aumône et le pèlerinage. C’est un moment de prédilection pour rappeler aux riches la compassion généreuse qu’ils doivent exprimer à l'endroit des pauvres. C’est un moment de communion, de fraternité et de charité. Pendant ce temps, aucune distinction n’est observée entre les riches et les pauvres. Pendant le jeûne, il faut réserver trois parties à son ventre, a expliqué El Hadj Youssouf Ligali. Une pour le repas, une pour l’eau et une autre pour la respiration. «Il ne faut pas se bourrer le ventre les matins, sous prétexte que la rupture intervient le soir à 19 heures», a-t-il conseillé. «Onze mois de plaisirs et de liberté, un seul pour se rapprocher de Dieu et charger l’énergie spirituelle, est insignifiant», indique-t-il. Le jeûne du Ramadan est observé chaque jour, à partir de l’aube. Il cesse lorsque le soleil disparaît de l’horizon. Selon l’Imam Ratibe de la Mosquée centrale de Cadjèhoun, il ne se limite pas à la privation de manger et de boire. «Tous les sens du corps, notamment la bouche et les yeux doivent aussi jeûner». «Pendant le mois du Ramadan, les portes du paradis sont grandement ouvertes et celles de l’enfer entièrement verrouillées et les démons sont enchaînés et ligotés quelque part », informe-t-il. Le carême prend fin le 7 août prochain et la fête du Ramadan est prévue pour le 8 du même mois. bibo:pages 16 -- o:id 7535 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7535 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7552 26709 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0aa381f7657c6eb3cd10f11bdf64f228c722e2b0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4d1c02ea6744f2cf18ad900b893d73b30f44d56e.tiff dcterms:title Signature d'accord de siège entre l'ONG Ahmadya et le gouvernement : beaucoup de facilités accordées aux œuvres humanitaires dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-06-07 dcterms:identifier iwac-article-0003485 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'ONG Ahmadya a signé dans l'après-midi d’hier jeudi 6 juin un accord de siège avec le gouvernement. C’est le ministre des Affaires étrangères, de l'Intégration africaine et des Béninois de l’Extérieur, Nassirou Bako-Arifari et le président national de l’ONG Ahmadya, Rana Farooq Ahmad qui ont posé leur signature au bas des documents d’accord en présence des cadres du ministère et autres membres de cette organisation à but humanitaire. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'ONG Ahmadya a signé dans l'après-midi d’hier jeudi 6 juin un accord de siège avec le gouvernement. C’est le ministre des Affaires étrangères, de l'Intégration africaine et des Béninois de l’Extérieur, Nassirou Bako-Arifari et le président national de l’ONG Ahmadya, Rana Farooq Ahmad qui ont posé leur signature au bas des documents d’accord en présence des cadres du ministère et autres membres de cette organisation à but humanitaire. « Parce que vous faites beaucoup pour soulager les peines des populations, la contribution de l’Etat béninois aux actions que vous menez depuis plus de 25 ans au Bénin sera d’exonérer vos produits importés dans le cadre de vos actions des droits de douanes et de TVA ». Ce sont les facilitées que le gouvernement vient d’accorder à l'ONG Ahmadya. Enregistrée au Bénin en 1987, cette ONG vient de signer avec le gouvernement un accord de siège. Les documents ont été paraphés dans l’après-midi d’hier jeudi 6 juin, à Cotonou, entre le ministre en charge des Affaires étrangères, Nassirou Bako-Arifari et le président national de cette ONG, Rana Farooq Ahmad. « Nous nous engageons à respecter les engagements contenus dans le présent accord afin d’accompagner le gouvernement dans ses efforts de promotion du développement », a dit Rana Farooq Ahmad qui a rappelé en partie les actions de son ONG à travers tout le territoire national. Des actions qui vont du domaine de l’humanitaire à l’éducation, à la santé et à la religion. « L’amour pour tous et la haine pour personne », tel est le crédo de Cette ONG dont les responsables expliquent qu’ils ont un devoir aussi bien envers le créateur que ses créatures. Car, n’est pas croyant qui désire pour son prochain ce qu’il ne souhaite pas pour lui-même, ont-ils conclu. Pour le ministre Nassirou Bako-Arifari, cette ONG fait la promotion de l’homme dans toute son intégrité. Il précise que le gouvernement place son espoir en elle pour toutes les actions de bienfaisance vis-à-vis des populations béninoises et surtout des couches vulnérables. bibo:pages 11 -- o:id 7536 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7536 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7553 26710 26711 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9c895ba42586750345597e51917d41e3f40f088d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ae7afcb17e4448d21c88b96a07a8a7d1fa3773ea.tiff https://islam.zmo.de/files/original/d899e45a1e7001fe95c6d66329190fd2a52784eb.tiff dcterms:title Mendicité à Cotonou : phénomène de société ou effet de misère ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1593 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/27 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14941 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13270 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-06-05 dcterms:identifier iwac-article-0003486 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Il n’y a plus de carrefour où l’on ne rencontre des hommes et des femmes handicapés accompagnés ou non d’un guide, tendant la main et espérant une petite pièce. Avec le nombre de personnes qui s’adonnent de plus en plus à la mendicité, on est en droit de réfléchir sur ce phénomène. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Il n’y a plus de carrefour où l’on ne rencontre des hommes et des femmes handicapés accompagnés ou non d’un guide, tendant la main et espérant une petite pièce. Avec le nombre de personnes qui s’adonnent de plus en plus à la mendicité, on est en droit de réfléchir sur ce phénomène. Ils sont nombreux aux différents carrefours de la ville de Cotonou, mendiant bols en main. Boubous sales, cheveux au vent, crasseux, cannes en main, ils sont souvent des personnes handicapées moteurs, conduites par un proche à eux. Parfois aveugles ou sourdes muettes, on les voit dans les rues fredonnant des litanies ou prières afin d'amener un généreux à faire un petit geste à leur endroit. Les sourds muets ont souvent des ardoises accrochées à leur cou et sur lesquelles des messages sont écrits. Ils n’ont que pour seul moyen, cette pratique pour subvenir à leurs besoins. Selon leur comportement sur les lieux, ils sont classés selon trois catégories les mendiants professionnels, les mendiants occasionnels et les mendiants escrocs. Les trois catégories de mendiants Les mendiants occasionnels, sont des personnes qui, pour des concours de circonstance, pratiquent la mendicité. Les mendiants professionnels, quant à eux vont jusque dans les services ou des endroits publics, exposent leurs problèmes pour y trouver une solution. Par contre certains parmi eux n'ont souvent pas le courage de le faire et se contentent du peu qu’ils trouvent dans les coins de rues, de peur d’être démasqués. Enfin la dernière catégorie de mendiants est celle des escrocs. Ces derniers sont des personnes qui se font passer pour handicapés, sourds, ou aveugles et qui arrivent à prendre de l’argent. Simulant un handicap, ils apostrophent les usagers des voies et n'hésitent pas à les injurier quand ces derniers se montrent indifférents à leur demande. D’autres arrivent à dépouiller les usagers distraits de leurs biens (portables, porte-monnaie, etc.). Le phénomène de la mendicité prend aujourd’hui de l’ampleur à Cotonou. Certains coins de la ville sont pris d'assaut. Profitant des recommandations des Saintes écritures, certaines personnes s’adonnent à cette pratique en assiégeant les mosquées, les églises, ou les maisons mortuaires. Le chef du quartier de Zongo à Cotonou, Orou Djeri Amidou, estime que les causes de ce phénomène sont dues au fait que beaucoup de personnes manquent de moyens financiers pour subvenir à leurs besoins. «D’origine étrangère pour la plupart, elles se retrouvent à Cotonou pour pouvoir trouver une solution à leur misère », explique-t-il. De religion musulmane, le chef du quartier précise à cet effet que « l’islam permet de demander quand le besoin se fait sentir, mais qu’il n’est pas conseillé d’en faire une habitude ». Selon lui, les habitants de ce quartier déplorent la présence de ces individus autour de la mosquée malgré tous les efforts déployés pour les chasser. Un phénomène propre aux étrangers Dame Rabbi, une mendiante, venue du Niger et logeant dans les locaux de la mosquée, pense que quitter cet endroit lui serait très difficile, puisqu’avec l'accord de son mari, cette pratique lui permet de participer aux dépenses du foyer. Son mari, un agent de sécurité des environs, n’arrive pas à subvenir à tous les besoins, surtout à la scolarité des enfants. « Je n’arrive pas à collecter beaucoup d’argent car lorsque les gens viennent faire l’aumône, les délinquants des alentours s’empressent de venir nous piller parfois », ajoute-t-elle. « Chez moi au Niger, rien ne va. En venant au Bénin, c’est pour chercher de l’argent. A mon arrivée j'ai constaté que le seul moyen était de mendier, je n'ai aucun diplôme», explique une autre dame du nom de Adjara. Comme ces deux femmes, bien d’autres se donnent à cette pratique et vont même initier leurs enfants. La mendicité n’est pas seulement l’affaire des grandes personnes. Des adolescents aussi s’adonnent à cette pratique honteuse. Le jeune Bernard rencontré à la mosquée de Cadjehoun déclare que cette pratique lui permet de manger, de s’acheter des habits et des chaussures pour être à la mode comme les autres garçons de son âge dont les parents sont aisés. Comme lui, certains enfants s'adonnent à la mendicité par contrainte. Moussa, âgé de 11 ans avoue qu’il le fait parce que ses parents sont très vieux et qu’il a l’obligation de subvenir à leurs besoins. Cette situation pose de nombreux autres problèmes liés au travail des enfants. Beaucoup d’enfants nourrissent leurs tuteurs ou leurs parents. Certains subissent des menaces, quand la récolte n'est pas consistante. Il est donc nécessaire que l’Etat béninois prenne des mesures contre ce fléau qui déshonore le pays et développe l’insécurité à Cotonou. La mendicité n’est donc plus seulement pour les nécessiteux. Il y a aussi des paresseux qui estiment que c’est un moyen facile pour se faire de l’argent. bibo:pages 1 14 -- o:id 7537 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7537 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7554 26712 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cf9d2f95cd5cacda415f1a04c6dd9c94b0f3ce30.pdf https://islam.zmo.de/files/original/af415756b5650cbd1715c9588ec0ca970d3e3d6b.tiff dcterms:title Journées du Groupe de la Banque : la coopération entre le Bénin et la BID au beau fixe dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/773 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12954 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15367 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-04-11 dcterms:identifier iwac-article-0003487 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les Journées du Groupe de la Banque islamique de développement (BID) ont été ouvertes hier mercredi 10 avril, sous la présence effective du président de la République. Elles ont été placées sous le signe de la coopération fructueuse entre la BID et le Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14035 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12886 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/456 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La coopération entre le Bénin et la BID au beau fixe Les Journées du Groupe de la Banque islamique de développement (BID) ont été ouvertes hier mercredi 10 avril, sous la présence effective du président de la République. Elles ont été placées sous le signe de la coopération fructueuse entre la BID et le Bénin. C’est une coopération agissante entre le Bénin et la Banque islamique de développement (BID) qui a été unanimement saluée hier, à l’ouverture des Journées du Groupe de la BID à Cotonou. Présidée par le chef de l’Etat en personne, ces journées ont permis de faire le bilan du partenariat de l’institution avec le Bénin, de partager avec le grand public son mode de fonctionnement et surtout d’apprécier les progrès réalisés par la BID, devenue aujourd'hui l’un des symboles de réussite de la coopération sud-sud. « La coopération entre la BID et le Bénin est excellente et est jalonnée de succès en termes de volume de financement », soutient le chef de l’Etat. La tenue de ces journées, dit-il, marque l’intérêt croissant de la Banque pour les investissements dans les secteurs sociaux et économiques béninois, intérêt qui s’est traduit par la signature, à l’occasion, d’un nouvel accord-cadre de financement et surtout le financement de deux nouveaux projets de développement à la base. Le total des investissements de la banque au Bénin est estimé à environ 154 milliards francs CFA. Son portefeuille actif est composé de sept projets pour un financement global de 101,6 millions de dollars, soit environ 50 milliards francs CFA, auquel il faut désormais ajouter le projet de construction d’un pont à Tovè-Bamè dans la commune d’Adjohoun et le programme d’amélioration de la productivité des petites exploitations agricoles pour un montant cumulé de 24 millions de dollars, soit 12 milliards francs CFA. Boni Yayi fait remarquer que si la BID s’est imposée dans le paysage bancaire mondial comme l’une des institutions importantes de financement des pays en développement, c’est avant tout parce qu’elle a toujours fait preuve d’une gouvernance de qualité qui lui vaut encore la notation triple A auprès des institutions de notation de renommée mondiale. C’est également, poursuit-il, le fruit du management exceptionnel de son président, Ahmad Mohamed Ali qui malgré ses 36 ans de gestion, continue à faire preuve d’un leadership et d’une gouvernance irréprochable. « Notre souhait est que notre coopération soit davantage renforcée car nous avons surtout besoin de la BID dans le financement des secteurs structurants de notre économie », insiste le président de la République qui, quelques heures plus tôt, avait au cours d’un tête-à-tête avec le président de la BID, exprimé une demande de financement de l'ordre de 600 millions de dollars auprès de son institution. Boni Yayi a surtout saisi l'opportunité de cette Journée pour partager avec les responsables de la BID les enjeux de la tenue de la Table ronde sur le financement de l’économie béninoise que le gouvernement organise dans les semaines à venir à Paris en France. « Le souci majeur du gouvernement est de faire du partenariat public-privé, un puissant outil devant permettre l’accélération de la croissance de la création de la richesse et de l’emploi. Nous vous prions d’accepter notre invitation à la Table ronde et surtout de sensibiliser tous les investisseurs du monde arabe à y prendre part », plaide le président de la République. Institution de coopération sud-sud « La BID a pour vocation d’apporter son appui permanent à ses Etats membres et de contribuer au bien-être de leurs populations. En tant que véritable institution de coopération sud-sud, elle a une parfaite compréhension des défis Bénin », indique le président de la Banque qui rassure que son appui sera en conformité avec les priorités définies à travers la Stratégie de croissance pour la réduction de la pauvreté. Ahmed Mohamed Ali soutient que la position stratégique du Bénin par rapport aux pays de l’hinterland fait de lui l’incarnation même de l’une des missions de la BID, à savoir le renforcement de la coopération et de l'intégration des Etats membres et la promotion du co-développement Les Journées du groupe delà BID qui ont démarré le mardi 9 avril dernier ont également initié des échanges économiques avec le secteur privé béninois. « Il y a eu un panel de la BID avec les opérateurs économiques du Bénin et surtout des réunions des filiales de la banque avec les porteurs de projets. Il s’agit pour le secteur privé béninois de se familiariser avec le mode de financement de l’institution pour créer les conditions de l’éclosion des affaires au Bénin », résume Marcel de Souza, ministre en charge du Développement, gouverneur de la BID pour le Bénin. Le président de la BID fait Grand croix Le président de la Banque islamique de développement (BID), Ahmed Mohamed Ali a été élevé à la dignité de Grand croix de l’Ordre national du Bénin, en marge d’un déjeuner offert hier par le chef de l’Etat, Boni Yayi. Selon Marcelline Afouda Gbèha, vice-présidente de la Cour constitutionnelle, qui officiât hier à la place de la grande chancelière, cette distinction est une marque de reconnaissance du gouvernement et du peuple béninois des mérites de l’homme et de son attachement à la coopération entre le Bénin et la BID. De nationalité saoudienne, Ahmed Mohamed Ali dirige la BID depuis environ 37 années. Titulaire d’un doctorat en administration publique à l’Université de New York aux Etats-Unis, il a été recteur par intérim de l’Université de l’Arabie Saoudite, député, ministre et secrétaire général de la Ligue islamique mondiale. « C’est un honneur au groupe de la BID et à toutes les institutions avec lesquelles, elle opère », a confié le récipiendaire. A l’en croire, depuis sa création, la Banque islamique de développement a contribué à l’amélioration du bien-être de l’humanité. « Je voudrais remercier le peuple béninois et réitérer notre engagement à continuer à œuvrer pour le développement et à jouir des retombées de notre coopération », conclut Ahmed Mohamed Ali. G.A. Environ 225 milliards francs CFA au profit du Bénin En marge des Journées du Groupe de la BID, le Bénin a pu obtenir de l’institution financière islamique, le financement de plusieurs projets de développement et surtout la mise en place d’un nouvel accord-cadre de financement pour un montant global de 225 milliards francs CFA. La signature de ces divers accords a eu lieu, hier mercredi 10 avril, entre le ministre en charge du Développement, Marcel de Souza et le président de la Banque islamique de développement, Ahmed Mohamed Ali. Les deux projets concernent la construction du pont de Tovè-Bamè et la mise en œuvre du Programme d'amélioration de la productivité des petites exploitations agricoles. L’accord-cadre quant à lui couvre la période 2013-2016. « Ce nouveau accord-cadre va prendre en compte plusieurs projets dans les secteurs de l’éducation, de la santé, de l’eau et de l’assainissement. La BID entend aider le Bénin à gérer les impacts de la crise économique et financière et à offrir des possibilités d’emplois dans les villes », souligne Ahmed Mohamed Ali qui rassure que le portefeuille de la banque au Bénin va s’accroître dans les années à venir. G. A. bibo:pages 6 -- o:id 7538 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7538 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7555 26713 26714 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d95dfaa23e831658e523ac4da56c40bad877dc88.pdf https://islam.zmo.de/files/original/cefea2de575940dd7cd1ce41c4b79eff23208206.tiff https://islam.zmo.de/files/original/d0cd04700b4a96f7c613fd7a924b371e0e190dff.tiff dcterms:title Supposés risques d'attentat, de terrorisme et d'enlèvement au Bénin : le ministre de l'Intérieur réfute et rassure les populations dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2040 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12927 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-02-25 dcterms:identifier iwac-article-0003488 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'information a fait le tour du monde, tout le week-end écoulé, suite à une alerte donnée par la diplomatie française à travers plusieurs médias internationaux. Le Bénin serait devenu une zone rouge, susceptible de connaître des attaques islamistes, notamment contre les intérêts de la France. Face à la gravité du sujet, les autorités béninoises ont réagi promptement. Dans la soirée du samedi dernier, le ministre en charge de l’Intérieur, à travers une déclaration de presse a rassuré, aussi bien les nationaux que les étrangers : le Bénin demeure un pays de haute sécurité. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'information a fait le tour du monde, tout le week-end écoulé, suite à une alerte donnée par la diplomatie française à travers plusieurs médias internationaux. Le Bénin serait devenu une zone rouge, susceptible de connaître des attaques islamistes, notamment contre les intérêts de la France. Face à la gravité du sujet, les autorités béninoises ont réagi promptement. Dans la soirée du samedi dernier, le ministre en charge de l’Intérieur, à travers une déclaration de presse a rassuré, aussi bien les nationaux que les étrangers : le Bénin demeure un pays de haute sécurité. « L’information est alarmante, mais elle n’est pas fondée. Et cela ne nous empêche pas de renforcer la sécurité, tant au niveau des parcs nationaux qu’au niveau du pays en général ». Pour le ministre en charge de l'Intérieur, de la Sécurité publique et des Cultes, Benoît Dègla, l’alerte donnée par des médias internationaux, relayant une information qui émanerait du Quai d’Orsay, au sujet de menaces terroristes au Bénin ne sont pas fondées. Dans une déclaration de presse faite dans la soirée du samedi 22 février, celui-ci reconnaît que plusieurs ressortissants des pays incriminés séjournent sur le territoire béninois, mais « ils ne sont pas encore organisés en groupe de malfaisance, pas plus qu’il n’y en aura pas », selon les propos du ministre Benoît Dègla assurant que la Police nationale et toutes les Forces de sécurité publique et de défense sont en état d’alerte et veillent au grain, de sorte qu'aucune tentative du genre ne pourra prospérer au Bénin. D’ailleurs, soutient-il, le Bénin est si organisé que certains expatriés, selon lui, se sont vus refuser le séjour sur ses terres. Le ministre de l’Intérieur n’a pas caché sa surprise, de voir son pays mis à l’index comme étant sous la menace islamiste, alors que depuis de nombreuses années, des dispositions ont été prises, notamment en raison de la proximité avec le Nigeria, pays où le groupe Boko Haram sévit De ses explications, il ressort que l’ensemble du territoire national est sécurisé. Les supposées menaces sur le Bénin et des intérêts français à partir du Nord, notamment la commune de Malanville, ne sont pas fondées. « C’est une fausse rumeur » soutient-il. Il ne saurait même en être autrement selon ses explications, car le Bénin a toujours pris des dispositions sécuritaires préventives pour parer à toute menace. Sans ambages, Benoît Dègla soutient « qu'il n'y a pas encore de groupes islamistes dans notre pays, et je puis dire qu'il y en aura pas ». Néanmoins, rassure-t-il, la sécurité sera renforcée autour des parcs nationaux, zones de prédilection des touristes en visite au Bénin, et même sur tous les axes qui y mènent. Pour finir, le ministre de l’Intérieur appelle les ressortissants étrangers au Bénin, à la sérénité et demande une forte collaboration de la part de toutes les populations, puisque les jours à venir, la sécurité sera renforcée dans le pays. Fouilles, contrôles et interpellations seront de mise. Le ministre des Affaires étrangères demande des éclaircissements à la France Communiqué du ministère des Affaires étrangères de la République du Bénin C’est avec étonnement et stupéfaction que le gouvernement de la République du Bénin a appris par l’intermédiaire des médias français que le Bénin serait un pays à risque d’attentat et d’enlèvement dirigés contre des ressortissants français. Le gouvernement dément formellement ces allégations dénuées de tout fondement qui créent une psychose artificielle dans l’opinion publique nationale et internationale autour d'un pays pourtant reconnu pour sa stabilité et le bon fonctionnement de ses institutions démocratiques. Le Bénin qui entretient par ailleurs d’excellentes relations avec la France souhaite obtenir de plus amples éclaircissements sur ces allégations diffusées par les médias français en invoquant le Quai d’Orsay comme source. Le gouvernement béninois, à l’instar de tous les Etats engagés au sein de la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA) dans le combat contre le terrorisme international aux côtés des forces françaises, prend des mesures sécuritaires préventives pour faire face à toute éventualité. En conséquence, le gouvernement de la République du Bénin rassure l’opinion publique nationale et internationale que toutes les dispositions sont prises pour garantir la liberté de circulation à tous les ressortissants étrangers, notamment français, sur l’ensemble du territoire national. Enfin, le gouvernement exhorte les uns et les autres au calme et à la sérénité et les invite à ne pas céder à la panique. Le Bénin reste et demeure un lieu de séjour sécurisé. Fait à Cotonou, le 23 février 2013 bibo:pages 1 3 -- o:id 7539 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7539 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7556 26715 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b8542209803bad5ff81b27ecf63137a7b9a85ce0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4a91a01556ac11c338e59a339b09ca46e2dc5eee.tiff dcterms:title Séance de travail entre le MISPC et les responsables du culte musulman : prévenir d'éventuelles répercussions de la crise malienne sur le Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2040 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/808 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-01-18 dcterms:identifier iwac-article-0003489 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Sécuriser le Bénin et prévenir d'éventuelles répercussions de la situation au nord du Mali sur le pays. C'est l’objectif de la rencontre d'échanges qui a eu lieu hier jeudi 17 janvier, entre le ministre en charge de la Sécurité publique, Benoît Dègla et les responsables du culte musulman. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Sécuriser le Bénin et prévenir d'éventuelles répercussions de la situation au nord du Mali sur le pays. C'est l’objectif de la rencontre d'échanges qui a eu lieu hier jeudi 17 janvier, entre le ministre en charge de la Sécurité publique, Benoît Dègla et les responsables du culte musulman. Poser l’épineux problème d’insécurité grandissante qui menace toute la sous région ouest-africaine et en particulier le Bénin et recueillir des suggestions de la part des principaux responsables religieux musulmans. C’est l’exercice auquel s’est attelé hier le ministre Benoît Dègla. Mine serrée et d'un ton ferme le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité publique et des cultes a expliqué à ses invités que le Mali est loin certes, mais ce qui se passe là-bas ne peut pas rester sans répercussions sur le Bénin. A cela, il ajoute la situation qui prévaut dans le pays depuis un certain temps avec de prétendus prédicateurs venus de l’extérieur pour détruire la base de notre culture de paix, mettre à mal la cohabitation pacifique entre les religions et semer l’insécurité dans le pays. Benoît Dègla en donne polir preuve les propos tenus par certains de ceux-là, en début de semaine, sur une chaîne de télévision de la place. Puis, il évoque les bourses d’études de nature douteuse qui sont maintenant offertes régulièrement, depuis quelques années, à de jeunes Béninois qui vont, souligne-t-il, étudier dans des écoles coraniques de certains pays reconnus par la communauté internationale comme étant de réputation douteuse. Le ministre en charge de la Sécurité a multiplié à foison les exemples avant de revenir sur le cas récent relatif aux propos de certains groupes intégristes musulmans qui ont menacé de représailles le Bénin, pour avoir demandé, au nom de la présidence de l’Union Africaine, une intervention militaire au nord du Mali. Le groupe terroriste qui sévit chez le grand voisin de l’Est n’a pas été occulté. Bref, il y a une série de cas qui sont de nature à inquiéter chaque Béninois vu la porosité de nos frontières. « Non, nous ne laisserons personne abuser de l’hospitalité légendaire du peuple béninois » a martelé le ministre pour qui, il ne sera plus question désormais de laisser qui que ce soit venir prêcher quoi que ce soit sur le sol béninois sans remplir toutes les formalités requises. Pour leur part, les responsables musulmans ont unanimement salué la démarche de l’autorité et souhaité que des rencontres de cette nature se répètent. Puis, chacun des groupes présents a donné sa version de ce qu’il connaît de la situation et fait des propositions. Que ce soit le représentant de l’Union islamique du Bénin, El Hadj Ligali Siaka, le président de la Jamaat islamique ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad, ou le représentant du Collège des imams, El Hadj Ousmane Ibrahim, ils ont été unanimes. « L’Islam est une religion de paix et d’amour. », ont-ils dit avant de préciser que comme dans toutes les religions du monde, il y a toujours des fanatiques. C’est le cas malheureusement de ceux qu’on appelle aujourd’hui « intégristes qui salissent le nom de la sainte religion musulmane » ont-ils regretté. Puis, ils ont pris l’engagement d’apporter leur aide à l’Etat béninois dans cette nouvelle lutte contre l’insécurité. Surtout celle provenant de ceux qui ont choisi de se mettre en marge de cette religion de tolérance qu’est l’Islam. bibo:pages 3 -- o:id 7540 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7540 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7557 26716 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5b688208d65916f4611e6d292b571d7bd024c657.pdf https://islam.zmo.de/files/original/457a7649a51c406727ebd763909c185990b07930.tiff dcterms:title Fête de Tabaski : la communauté musulmane a célébré la fête à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-10-29 dcterms:identifier iwac-article-0003490 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin a célébré le vendredi 26 octobre dernier la fête de la Tabaski ou l’Aïd el-Kébir, à l'instar de la communauté internationale musulmane. A la grande place Idi d’Akpakpa à Cotonou, c’est l’imam Ibrahim Mohamed Habib qui a dirigé la prière suivie de l’immolation du bélier au nom de la communauté. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin a célébré le vendredi 26 octobre dernier la fête de la Tabaski ou l’Aïd el-Kébir, à l'instar de la communauté internationale musulmane. A la grande place Idi d’Akpakpa à Cotonou, c’est l’imam Ibrahim Mohamed Habib qui a dirigé la prière suivie de l’immolation du bélier au nom de la communauté. Il était 9h 15 ce vendredi quand le véhicule transportant l’imam Ibrahim Mohamed Habib s'immobilise à la grande place Idi où l'attendait déjà une foule impressionnante de fidèles musulmans pour la prière d’avant l'immolation du mouton du sacrifice. Avant son arrivée, les adjoints de l’imam récitaient des sourates du saint Coran devant les fidèles. Saisissant aussi cette occasion, ils sont revenus sur le sens à donner à cette célébration de l’Aïd el-Kébir. Cette fête qui, plus qu'un simple événement religieux, est l'occasion, d'échanges avec la famille et les proches. Elle est synonyme de partage et de générosité envers les pauvres et les nécessiteux. C’est la fête la plus importante du calendrier musulman. Selon les explications de ces prédicateurs de l’Islam, cette fête marque la fin du pèlerinage à la Mecque qui a lieu chaque année le 10 du mois de «Dhou Al Hijja» qui est le dernier mois du calendrier musulman. Selon l'histoire de la religion de l’Islam, la fête de la Tabaski commémore l'asservissement d'Ibrahim (Abraham chez les chrétiens) à Dieu qui lui a ordonné de sacrifier son fils Ismaël. Cette fête commémore la soumission d'Ibrahim à Dieu, symbolisée par l'épisode où il accepte d'égorger le seul fils qu'il avait en ce moment-là, Ismaël, sur ordre de Dieu. Après son acceptation de l'ordre divin, celui-ci envoie l'archange Gabriel qui substitue au dernier moment l'enfant par un mouton qui servira d'offrande sacrificielle. En souvenir de cette soumission totale d'Ibrahim à son Dieu, les familles musulmanes sacrifient un mouton ou un bélier, mais parfois d'autres animaux comme des vaches ou des chèvres, en l'égorgeant, couché sur le flanc gauche et la tête tournée vers la Mecque, après la prière et le sermon de l'Aïd. Ce rituel sera scrupuleusement respecté le vendredi dernier puisqu’après les prières d’usage, l’imam Ibrahim Mohamed Habib devait, à travers les sourates, inviter les musulmans à emprunter le chemin tracé par le Prophète en ayant des comportements vertueux. Car, dit-il, l'Islam est la religion de la tolérance, de la miséricorde et de la paix. Elle rejette catégoriquement la mauvaise conduite. « Musulmans, craignez Allah le Très Haut, il est unique et sans associés. Soyons heureux pour le sacrifice ! » Le prophète ajoute d’ailleurs que « l’homme n’accomplit pas une action plus agréable à Allah le jour de l’Aïd que celle d'offrir un sacrifice. Le jour de la résurrection, l'offrande viendra intacte, avec cornes, sabots, poils et laine. Le sang qui en coule est estimé d'Allah avant qu’il ne touche le sol. Soyez-en heureux », enseigne-t-on. Après quoi, l’imam se dirige vers la bête à immoler pour la circonstance. Une fois l’animal égorgé, l’imam pointe vers le ciel le couteau en sang comme pour dire à Dieu, votre volonté est faite, donnez- nous votre bénédiction ! Il finit par les vœux de bonne fête de Tabaski à tous les musulmans et prie le Miséricordieux pour que chacun reçoive en abondance les bénédictions du sacrifice. bibo:pages 7 -- o:id 7541 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7541 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7558 26717 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/31e9b139cc3372c9451a49c8925d1d01fe7d456a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c100daf02bf3a3d1a8af12102d72b2c814fa76ea.tiff dcterms:title Fête de Tabaski : la parole aux enfants à Abomey-Calavi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1506 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-10-29 dcterms:identifier iwac-article-0003491 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Généralement, ce sont les grandes personnes qui sont mises en exergue lors de la célébration de la fête de la Tabaski. Pourtant, à côté d'eux, se trouvent les enfants, qui prennent une part active à la réussite de l’événement. Le vendredi 26 octobre dernier, à la place Idi d’Agori-Plateau à Abomey-Calavi, à l’occasion de la célébration de la Tabaski, cette tradition était en passe d’être respectée jusqu’au moment où, les enfants ont accepté de donner leur avis sur la commémoration de l’Aïd El Kébir. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/491 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Généralement, ce sont les grandes personnes qui sont mises en exergue lors de la célébration de la fête de la Tabaski. Pourtant, à côté d'eux, se trouvent les enfants, qui prennent une part active à la réussite de l’événement. Le vendredi 26 octobre dernier, à la place Idi d’Agori-Plateau à Abomey-Calavi, à l’occasion de la célébration de la Tabaski, cette tradition était en passe d’être respectée jusqu’au moment où, les enfants ont accepté de donner leur avis sur la commémoration de l’Aïd El Kébir. Je ne suis pas allée à l’école aujourd’hui parce que c’est un jour de fête ». Bintou Konaté, bientôt six ans, en classe de CE1 ; était le vendredi 26 octobre à la place Idi d’Agori-Plateau à Abomey-Calavi, l’espace choisi par la communauté musulmane de la mosquée centrale Médine II desdites localités, pour la prière marquant la célébration de la Tabaski. A en croire Massourou Badara, 14 ans, élève en classe de 4e, « il s’agit d’une fête d’obéissance et de sacrifice ». Pour être précis, Hamza Aboubacar, 13 ans, en classe de 5e, ajoute que « c’est la fêté du sacrifice du mouton à Dieu ». Un moment qu’il aime particulièrement, selon ses propres mots. En revanche, c’est l’organisation annuelle de la fête de la Tabaski, au regard des prescriptions du prophète Mahomet qui retient l’attention de Massourou Badara. « J’aime cette fête parce qu’elle est organisée tous les ans selon les ordres prescrits par le prophète », confie-t-il. Et, en bonne place de ces ordonnances, figurent, selon lui, « les deux prières que l’on fait avant d’aller immoler la bête ». Parlant de prière, en voici quelques-unes formulées par les enfants en cette fête d’Aïd El Kébir. La première émerge du cœur de Falilatou Abdoulaye, élève en classe de 5e: « qu’Allah nous donne la santé et la grâce de célébrer d’autres fêtes de la Tabaski ». A sa suite, Hamza Aboubacar souhaite que « la fête soit merveilleuse et porteuse de bénédictions et de grâce pour tous ». C’est dans cette attente de voir ces vœux exaucés, qu’à 9 heures 13 minutes, Malik Moutawakil Boukari, Imam de la mosquée centrale Médine II d'Agori Plateau d’Abomey-Calavi, prononce les deux «Rakat». Dans chaque famille, explique Falilatou Abdoulaye, « les hommes vont sacrifier les moutons et les femmes vont s’atteler à préparer le repas de la fête ». bibo:pages 7 -- o:id 7542 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7542 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7559 26718 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/689e55096b086a2159a94c4261237540ad907943.pdf https://islam.zmo.de/files/original/efdcb549286014334fcf950c1a3162102ab0aa67.tiff dcterms:title Fête de Tabaski : l'iman Idrissou Boukari a sacrifié à la tradition à Bohicon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1615 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-10-29 dcterms:identifier iwac-article-0003492 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans de Bohicon ont célébré, vendredi 26 octobre dernier, la fête de la Tasbaski. Conformément aux prescriptions du Coran, l’iman de la mosquée centrale de la ville, Idrssou Boukari a sacrifié le mouton en l'honneur d’Allah, le miséricordieux. C’était à la place Idi de Zakpo en présence d’une délégation du conseil communal. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans de Bohicon ont célébré, vendredi 26 octobre dernier, la fête de la Tasbaski. Conformément aux prescriptions du Coran, l’iman de la mosquée centrale de la ville, Idrssou Boukari a sacrifié le mouton en l'honneur d’Allah, le miséricordieux. C’était à la place Idi de Zakpo en présence d’une délégation du conseil communal. Après la prière, l’iman de la mosquée centrale de Bohicon, El Hadj Idrissou Boukari, a sacrifié le mouton comme prescrit par le prophète Mahomet sur instructions d’Allah. A l’issue du rituel, il a expliqué le geste. Selon lui, la célébration a commencé au temps d’lbrahim(Abraham) à qui Dieu a demandé le sacrifice de son fils Ismaël. Comme il ne saurait désobéir, il a conduit son fils au lieu du sacrifice mais au moment de procéder à son immolation, Dieu a pourvu un bélier en remplacement d’Ismaël. En faisant ce sacrifice, a soutenu l’iman de Bohicon, le musulman obtient des grâces. Parlant de la fête de cette année qui intervient un vendredi, il a assuré que c’est une grâce. Sanni Mama, fidèle musulman et premier adjoint au maire, a tenu à préciser que ce n’est qu’après l'immolation faite par l’iman que les fidèles peuvent sacrifier leurs moutons chez eux. Se référant à l’actualité socio-politique nationale, il a invité ses concitoyens à croire en Dieu et en eux-mêmes et à s’accepter pour faire avancer le pays. Quant au 2e adjoint, Isidore Agnoun-Basso, conduisant la délégation communale, il a précisé que leur présence aux côtés des fidèles musulmans est une marque de soutien. Il a aussi souligné l'importance de la foi. « Quand on croit en Dieu, on s'en sort toujours vainqueur», a-t-il fait savoir souhaitant par la suite que la fête soit belle pour les musulmans de Bohicon. bibo:pages 7 -- o:id 7543 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7543 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7560 26719 26720 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/738cf38e7e15dfb63d3164e90704bb81b84d9e18.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9d361b0c88b79c0c9f6f98e20df3cc25dfcca4fe.tiff https://islam.zmo.de/files/original/504ee171166623655a7a0160f29f22ed918888c7.tiff dcterms:title Construction d'une université koweitienne à Porto-Novo : TASK-Force dénonce des manœuvres de détournement du projet dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14834 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13536 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1825 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13557 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-05-14 dcterms:identifier iwac-article-0003493 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans l'après-midi d’hier mardi 13 mai, les membres de l’association TASK-Force regroupant les cadres retraités de l’Ouémé-Plateau ont tenu une séance d’échanges avec la presse. A l’ordre du jour, le détournement du projet de construction d’une université koweïtienne à Porto-Novo vers Comé dans le département du Mono. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/297 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14793 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12857 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans l'après-midi d’hier mardi 13 mai, les membres de l’association TASK-Force regroupant les cadres retraités de l’Ouémé-Plateau ont tenu une séance d’échanges avec la presse. A l’ordre du jour, le détournement du projet de construction d’une université koweïtienne à Porto-Novo vers Comé dans le département du Mono. Les membres de l’association TASK-Force sont mécontents. Ils n’admettent pas que le projet de construction d'une université koweïtienne prévu pour Porto-Novo soit déporté vers Comé. C’est ce qui ressort des explications que les membres ont fournies à la presse à la suite de la lettre ouverte adressée au peuple et au chef de l’Etat sur la même question. Pour Nourou Osséni, trésorier général de TASK-Force, l’idée de ce projet remonte à 2006 et a été lancée par l’Agence des Musulmans d’Afrique (AMA) qui a été mandatée par le Koweit. Depuis lors, plusieurs correspondances ont été échangées entre les différentes parties prenantes. Entre autres, il a mentionné que pour en savoir davantage sur le dossier et mieux approfondir les négociations, le président Boni Yayi a envoyé une mission exploratoire au Koweit. Ladite mission a été conduite par Mathurin Coffi Nago, alors ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Selon lui, ce dernier a précisé que cette université koweïtienne sera dans la région de Porto-Novo, car la municipalité a déjà envoyé une lettre au gouvernement pour signifier la mise à disposition d’un domaine de 100 ha pour abriter l’université. Poursuivant ses explications, Nourou Osséni indiquera que ces propos du ministre Nago ont été confirmés par la correspondance N°096/MESFP/ DC/SGM/DGES/SP du 21 février 2007 adressée au président du Conseil d’administration de l’Agence des Musulmans d’Afrique (AMA). Cette disponibilité du domaine a été saluée par le président du Conseil d’administration de l’AMA lors de la visite du président Boni Yayi au Koweit le 9 juin 2008. Depuis 2008 jusqu’en 2011, le projet n'a plus connu d’évolution, a fait observer Nourou Osséni, qui ajoutera que cela est dû « au peu de diligence avec laquelle sont traités les projets de développement national en général et ceux concernant l’Ouémé-Plateau en particulier». L’indignation de TASK-Force Mais grande a été la surprise de TASK-Force d’apprendre, il y a quelques semaines, de la bouche de Nassirou Bako Arifari, ministre des Affaires étrangères intervenant sur une chaîne de télévision après une visite du chef de l’Etat au Koweit, que Porto-Novo ne va plus abriter cette université et que c’est plutôt Comé qui va l’accueillir. Cette information a profondément déçu cette association qui n’entend pas laisser Porto-Novo une nouvelle fois déposséder d’un projet qui lui a été destiné et pour lequel cette ville capitale du Bénin a déjà mobilisé le domaine. Les membres dénoncent les manœuvres et velléités tendant à détourner de la capitale du Bénin ce projet. Ils exigent qu’il soit restitué à Porto-Novo. «Nous n’accepterons jamais que nos droits continuent d’être bafoués», a dit Nourou Osséni avant de rappeler, avec beaucoup de peine, qu’en 1970 le même scénario s'est produit pour que l'Université nationale soit détournée vers Abomey-Calavi. Les arguments avancés pour détourner ce nouveau projet de Porto-Novo ne tiennent pas. C’est ce qu'a estimé Noukpo Agossou. Le caractère humide du site de Lokpodji retenu pour accueillir cette université ne justifie pas cette manœuvre. Sous sa casquette de professeur géographe d’université, il a avancé qu’étant doté d'intelligence, l’être humain est capable de transformer ce milieu à travers l’aménagement. De même, il a indiqué que l’éloignement du site dont on argue ne résiste pas à l’analyse. A l’en croire, quand on dit campus, cela renvoie à la campagne. «Lokpodji n’est qu’à 6 km de Porto-Novo. Et on ne peut pas prétendre que c’est éloigné», a-t-il soutenu. Aussi l’association a-t-elle lancé un appel au chef de l'Etat pour qu’il fasse en sorte que Porto-Novo, la capitale du Bénin, ne soit pas une fois encore victime. bibo:pages 1 11 -- o:id 7544 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7544 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7561 26721 26722 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4d6da8a8a5a6403ee139bb61c837c636e55401cf.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c94224d1bc9164eb76db4d19c4c830e99b5499bd.tiff https://islam.zmo.de/files/original/c1baba88d98bb2dbabc90054a56b49634502cca3.tiff dcterms:title Espacement des naissances : l'Islam adhère-t-il à la planification familiale ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14876 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13569 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/31 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13138 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/34 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2020 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-03-26 dcterms:identifier iwac-article-0003494 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Alors que les spécialistes de la santé trouvent que la planification familiale est un moyen de lutte efficace contre les mortalités maternelle et infantile et la recommandent vivement, certaines religions dont l’Islam proteste et estime qu'elle est contraire aux recommandations du Coran. Vu dans ce sens on se demande si la religion est un frein pour l'espacement des naissances. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Alors que les spécialistes de la santé trouvent que la planification familiale est un moyen de lutte efficace contre les mortalités maternelle et infantile et la recommandent vivement, certaines religions dont l’Islam proteste et estime qu'elle est contraire aux recommandations du Coran. Vu dans ce sens on se demande si la religion est un frein pour l'espacement des naissances. Doit-on continuer à enregistrer des décès maternels et infantiles chaque année? Au Bénin, 1500 femmes meurent chaque année en donnant la vie. Ce fort taux de décès est dû à des grossesses rapprochées ou à des grossesses non désirées. Pour prévenir les naissances imprévues, le moyen le plus efficace et sans risque indiqué est la planification familiale. Et pourtant, ce moyen n’est pas toujours la bienvenue chez tout le monde. Qu’en est-il au niveau de la religion musulmane? Pour l’imam adjoint de la mosquée centrale de Cadjèhoun, El hadj Youssouf Ligaly, Dieu a créé l’homme et la femme pour qu'ils vivent ensemble et procréent. Il ne s’agit pas pourtant de remplir la terre d’êtres humains. Dieu n'a jamais recommandé d'enfanter contre sa volonté de par ses explications, l’espacement des naissances ne paraît pas contraire à la religion musulmane. En tout cas, vu sous ses bienfaits: elle permet d’organiser la vie et la santé de la femme et contribue au bien être de la famille. «L’islam ne s’oppose pas à ce qui permet d’organiser la vie, le bien-être et la santé des humains et qui émane des sciences et des spécialistes qui ont les compétences et la responsabilité de dire ce qui est bon et ce qui est mauvais pour la santé des personnes», confirme El hadj Youssouf Ligaly. Il n’y a aucune contradiction entre l’Islam et la planification familiale, vu que ce moyen permet d'éviter des risques et des dangers à la santé de la femme et des enfants », a insisté l’imam adjoint de la mosquée centrale de Cadjèhoun. El hadj Youssouf Ligaly, souligne, par ailleurs, que Dieu a doté l’homme de moyens pour ne pas tomber dans le fatalisme. Il n’est pas permis qu’une femme puisse perdre la vie en donnant la vie, parce que tout ce qui devait être fait pour l’éviter ne l’a pas été, conçoit-il. L’imam a invité les uns et les autres à plus d’ouverture d’esprit. L’essentiel, confie-t-il, est de veiller sur ce que Dieu a créé et dont il est si fier, c’est-à-dire l’homme. Tous les efforts doivent permettre de réduire la mortalité maternelle, infantile et néonatale. Car, « La planification familiale permet à la femme de s’occuper de ses enfants et de son mari, bref d’assurer l’épanouissement de la famille », estime-t-il. Pour El hadj Youssouf Ligaly, tout est question d’interprétation et de clairvoyance pour faire la part des choses. « Donc, je ne vois pas de mal à espacer les grossesses », dit-il, en citant le chapitre 2 verset 233 du Coran qui exige l’allaitement maternel pendant deux ans. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), la planification familiale est un ensemble de mesures et de moyens mis à la disposition des individus, des couples et de la communauté pour permettre à chacun d’avoir le nombre d’enfants voulus, au moment voulu ; d'offrir aux couples infertiles ou stériles la possibilité de procréer et pour permettre une prise en charge responsable de la sexualité y compris la prévention des IST/ VIH/SIDA. L'utilisation de la planification familiale permet d'éviter les grossesses trop rapprochées qui constituent un danger pour la santé de la mère et de l’enfant, pour le bonheur de la famille, le développement du village et de la nation toute entière. « Ses avantages sont immenses », précise le chargé de programme à l'Association béninoise pour la promotion de la famille, Serge Kitihoun. Elle est importante pour la mère, l’enfant, les parents et toute la communauté. Une mère qui espace les naissances a plus de temps pour retrouver ses forces entre deux grossesses. Elle dispose du temps nécessaire et d’assez d’énergie pour vaquer à ses occupations quotidiennes. La planification permet d’éviter les grossesses trop rapprochées et non désirées. bibo:pages 1 5 -- o:id 7545 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7545 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7562 26723 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/90eabace055345d3f65af92b9900ff3a9e0b66d4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/73522d9b774ac0871bd84a82ada30fb463a1f708.tiff dcterms:title Mise en service d'un centre islamique à Karimama : une mosquée et une école franco-arabe inaugurées à Kompa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1939 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14939 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/786 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-02-26 dcterms:identifier iwac-article-0003495 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La localité de Kompa dans la commune de Karimama dispose désormais d’un centre islamique constitué d’une mosquée et d’une école franco-arabe faite d’un module de trois classes. Ces infrastructures offertes par l’Organisation humanitaire pour l’entraide islamique (OHEI) ont été inaugurées lundi 24 février dernier, en présence du ministre des Affaires étrangères, Nassirou Bako-Arifari et du maire de la commune, Moussa Maman Bello. C’est avec enthousiasme que musulmans et non musulmans se sont mobilisés pour assister à la mise en service officielle de ces bâtiments flambants neufs, signe de la cohabitation pacifique des différentes communautés religieuses dans cette localité, s’est réjoui le président de l'ONG OHEI, Abdelhamid Sanni Chitou Alao. Pour lui, l’islam est « une religion de paix » et c’est martelé à plusieurs reprises dans le Coran. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/334 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13694 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La localité de Kompa dans la commune de Karimama dispose désormais d’un centre islamique constitué d’une mosquée et d’une école franco-arabe faite d’un module de trois classes. Ces infrastructures offertes par l’Organisation humanitaire pour l’entraide islamique (OHEI) ont été inaugurées lundi 24 février dernier, en présence du ministre des Affaires étrangères, Nassirou Bako-Arifari et du maire de la commune, Moussa Maman Bello. C’est avec enthousiasme que musulmans et non musulmans se sont mobilisés pour assister à la mise en service officielle de ces bâtiments flambants neufs, signe de la cohabitation pacifique des différentes communautés religieuses dans cette localité, s’est réjoui le président de l'ONG OHEI, Abdelhamid Sanni Chitou Alao. Pour lui, l’islam est « une religion de paix » et c’est martelé à plusieurs reprises dans le Coran. Le parrain de la cérémonie, Nassirou Bako-Arifari, natif de Karimama, a placé la mise en service officielle de ce centre islamique sous le signe de l’enracinement de la culture de la paix. Le Bénin est un pays laïc et cette laïcité n’est pas synonyme d’absence de Dieu mais plutôt de tolérance et d’acceptation, ce qui permet à chacun de vivre sa propre conviction religieuse et, ses propres choix sans entraver ceux des autres, a-t-il expliqué. Les différents intervenants ont exhorté les élèves de ce centre d’enseignement du français et de la langue arabe d’être sages et d’incarner les valeurs fondamentales de l’islam pour la paix. Claude Urbain PLAGBETO A/R Borgou-Alibori bibo:pages 12 -- o:id 7546 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7546 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7563 26724 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/abacb394816ab1a8de4febf529120cf6ca9398df.pdf https://islam.zmo.de/files/original/08c0dee7ab514e7d1808ea8d77be221895a0108c.tiff dcterms:title Décès de El Hadj Bouraïma Diallo : Boni Yayi exprime sa compassion à la famille éplorée dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13770 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/813 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13659 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-02-17 dcterms:identifier iwac-article-0003496 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République est allé exprimer, hier dimanche 16 février, sa compassion à la famille de El Hadj Bouraïma Diallo, décédé le jeudi 13 février dernier à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République est allé exprimer, hier dimanche 16 février, sa compassion à la famille de El Hadj Bouraïma Diallo, décédé le jeudi 13 février dernier à Cotonou. El Hadj Bouraïma Diallo était reconnu comme un acteur politique très influent au sein de la Majorité présidentielle. Chargé de mission du président de la République et conseiller communal à Ouidah, il a été fauché par la mort, jeudi 13 février dernier, plongeant notamment la famille des Forces Cauris pour un Bénin émergent (FCBE) dans une profonde tristesse. Hier, le chef de l’Etat s’est rendu au domicile du disparu pour exprimer sa compassion à la famille éplorée. «Il a accompli sa mission sur cette terre. Dieu l’a sans doute rappelé pour lui confier d’autres missions célestes», confie Boni Yayi qui lui a rendu un hommage. Agé de 62 deux ans, El Hadj Bouraïma Diallo a été inhumé le jour de son décès suivant les rites musulmans. bibo:pages 3 -- o:id 7547 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7547 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7564 26725 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9076616307c92ed0ce9aec718f54fca5c9b65323.pdf https://islam.zmo.de/files/original/dface002fab3c648da794e7e16df4cba2e54434c.tiff dcterms:title Echos du Centre : une prière des musulmans à l'intention de Désiré Vodonon à Zogbodomey dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14938 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14393 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-01-20 dcterms:identifier iwac-article-0003497 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le département du Zou, l'honorable Désiré Vodonon est perçu comme un messie. Un philanthrope qui a beaucoup fait dans le social surtout par la construction d’écoles un peu partout, en les équipant de tables-bancs ou encore par des fournitures scolaires à des milliers d’écoliers à chaque rentrée scolaire. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13772 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/406 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le département du Zou, l'honorable Désiré Vodonon est perçu comme un messie. Un philanthrope qui a beaucoup fait dans le social surtout par la construction d’écoles un peu partout, en les équipant de tables-bancs ou encore par des fournitures scolaires à des milliers d’écoliers à chaque rentrée scolaire. Et, depuis qu’il croupit en prison, c’est la consternation et la désolation au sein des populations bénéficiaires de ces nombreux dons à Zogbodomey et environs. Ne parvenant à oublier ce généreux donateur en prison, l’association des jeunes dénommée « Le Cercle des Amis de Désiré Vodonon » a organisé une prière d’action de grâces à l’intention de ce mécène à la Mosquée centrale de Cana dans la commune de Zogbodomey. C’était samedi dernier. Une séance de prière qui a regroupé plusieurs grands Imams de la localité et même de certains acteurs politiques proches du mécène prisonnier. bibo:pages 11 -- o:id 7548 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7548 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7565 26726 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0cf6e5bdca7368a4c20c065d43fa3be0709da811.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e559c33c9766429c64f2130ede4ae876e615b353.tiff dcterms:title Consolidation de la paix au Bénin : le gouvernement offre 500 millions de F CFA à la chefferie traditionnelle et aux confessions religieuses dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13630 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2029 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12906 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14547 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-12-10 dcterms:identifier iwac-article-0003498 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Bio Toro Orou Guiwa, a présidé, hier lundi 9 décembre, dans l’enceinte de son département, la cérémonie de remise de chèques aux représentants des confessions religieuses et chefferies traditionnelles du Bénin. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Bio Toro Orou Guiwa, a présidé, hier lundi 9 décembre, dans l’enceinte de son département, la cérémonie de remise de chèques aux représentants des confessions religieuses et chefferies traditionnelles du Bénin. « Cet appui n’est ni une aumône, ni un instrument ou un outil de division, de discorde ou de manipulation, mais plutôt, un encouragement pour des partenaires sociaux du gouvernement, un geste de solidarité nationale », a souligné Bio Toro Orou Guiwa, ministre chargé des Relations avec les Institutions, en remettant hier lundi 9 décembre, des chèques d’un montant de 500 millions de FCFA aux représentants des confessions religieuses et des chefferies traditionnelles. Il s’agit en l’occurrence des représentants des religions judéo-chrétiennes, de celles endogènes et de l’Union islamique du Bénin. Ainsi, les institutions que constituent lesdites confessions et chefferies, fait remarquer Bio Toro Orou Guiwa, doivent demeurer des citadelles imprenables pour la promotion des valeurs de l’éthique et de la morale. Lesquelles valeurs se perdent au Bénin. Le MCRI a alors rappelé que l’appui n’est destiné à corrompre ni les mœurs ni les individus mais d’en faire un usage qui les honore et justifie par ailleurs la confiance et l’espoir placés en eux pour continuer d’œuvrer à la sauvegarde des valeurs morales essentielles, à la promotion de nos savoirs endogènes, à la préservation de notre patrimoine culturel. «L’idéal serait que cette tradition puisse se perpétuer et se renforcer ; il faudrait engager dès maintenant de profondes réflexions sur le meilleur usage à en faire pour le débarrasser de suspicions légitimes et de critiques plus ou moins fondées », a souhaité Bio Toro Orou Guiwa. Une suggestion également faite par Eric Hector Hounkpè qui dans une déclamation poétique a insisté pour que des panthéons, des musées et des festivals soient érigés à la gloire de la culture béninoise. Les donataires ont délivré un message de gratitude et promis de faire bon usage des chèques reçus. Allassane Tigri, le conseiller spécial aux Affaires culturelles du chef de l’Etat a loué cet appui du gouvernement et a souhaité qu’il permette au Bénin de connaître le développement dans la paix et la concorde. bibo:pages 16 -- o:id 7549 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7549 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7566 26727 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2eb58df88d63e68873f49efc245ebd25195535b9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ca477efd32617163ffc2893606c0208aa29492d1.tiff dcterms:title Troisième sommet afro-arabe : la déclaration de Koweït adoptée dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14431 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-11-21 dcterms:identifier iwac-article-0003499 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pari gagné, peut-on dire, pour l’Etat du Koweït qui a organisé avec succès le troisième sommet afro-arabe. Les travaux ont pris fin, hier mercredi 20 novembre, avec l’adoption de la déclaration du sommet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15133 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/531 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pari gagné, peut-on dire, pour l’Etat du Koweït qui a organisé avec succès le troisième sommet afro-arabe. Les travaux ont pris fin, hier mercredi 20 novembre, avec l’adoption de la déclaration du sommet. L’adoption de la déclaration de Koweït a bouclé les travaux du troisième sommet afro-arabe. Le document est un condensé des grands axes du partenariat stratégique futur que l’Afrique et le monde arabe entendent sceller. La volonté de renforcer la coopération sud-sud sur les bases des principes d’égalité, des intérêts et du respect mutuels ressort clairement de cette déclaration. Les leaders africains et du Monde arabe ont ainsi convenu de créer les conditions nécessaires pour favoriser l’investissement dans les pays respectifs. «Nous réaffirmons la nécessité d’augmenter le volume des échanges et les flux d’investissement entre les deux régions et d’appuyer la mise en œuvre des initiatives en cours en faveur du développement industriel afin de lutter contre la pauvreté et de créer l’emploi à nos populations de jeunes», clament-ils. Le document souligne l’intérêt des deux régions pour les questions énergétiques. A ce propos, le sommet fait de la promotion des sources d’énergies nouvelles et renouvelables et l’accès des populations aux services énergétiques modernes un réel défi. Le renforcement de la coopération sur les questions de développement rural et agricole et la sécurité alimentaire tient une bonne place dans ce partenariat stratégique. Raison pour laquelle, le sommet a félicité le royaume d’Arabie Saoudite pour avoir organisé avec brio la deuxième réunion afro-arabe sur l'agriculture et la sécurité alimentaire, le 2 octobre dernier à Riyad. Pour donner un contenu concret à l’ambition de rapprochement économique, le sommet a convenu de renforcer le Forum économique Afrique-Monde arabe, de provoquer des réunions régulières entre les chambres de commerce, d’inviter les institutions financières africaines et arabes à soutenir le commerce interrégional Afrique-Monde arabe. La tenue en mars 2014 de la Foire commerciale Afrique-Monde arabe au Maroc est perçue comme un rendez-vous autour duquel les secteurs publics et privés des deux régions doivent être fortement mobilisés. Les assises de Koweït marquent également l’engagement des pays africains et arabes à adopter des positions communes sur les grandes questions internationales. Au niveau de l’Organisation mondiale du Commerce, ils entendent coordonner leurs positions dans les négociations multilatérales afin de parvenir à des résultats équilibrés à l'occasion de sa neuvième Conférence ministérielle en décembre prochain à Bali. Les sujets concernent en l’occurrence la facilitation du commerce, l’agriculture et un ensemble de mesures acceptables pour les Pays les moins avancés, ainsi que des dispositions de traitement spécial différencié en faveur des pays en développement. Les deux régions ont aussi affirmé leur ferme engagement pour une réforme globale du système des Nations Unies. Leur souci est que le Conseil de sécurité «reflète les réalités internationales actuelles et qu’il soit plus représentatif et équilibré, plus démocratique, plus efficace et équitable». La paix et la stabilité des pays africains et arabes n’ont pas été occultées. «Nous soulignons notre détermination à nous attaquer résolument aux causes profondes des conflits et de la violence en Afrique et dans les pays arabes, en vue de la création d’un environnement propice à la prospérité et au bien-être des peuples des deux régions», signale la déclaration, qui renseigne aussi sur la ferme volonté des leaders africains et arabes de combattre le terrorisme sous toutes ses formes. bibo:pages 16 -- o:id 7550 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7550 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7567 26728 26729 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/99fe1c8607b4c7959379295f468e544c48fcb8ad.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d4a92441673143f4d929c69ffab3616d824f39ed.tiff https://islam.zmo.de/files/original/49ff20e82400abe855ecb36c1e7efe369f9f39e0.tiff dcterms:title Séjour du chef de l'Etat au Koweït : des retombées positives pour le Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14431 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-11-22 dcterms:identifier iwac-article-0003500 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le séjour du président de la République au Koweït City du 18 au 21 novembre a été tout bénéfique pour le Bénin, Boni Yayi étant revenu de ce voyage avec d’importants projets de financement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/394 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le séjour du président de la République au Koweït City du 18 au 21 novembre a été tout bénéfique pour le Bénin, Boni Yayi étant revenu de ce voyage avec d’importants projets de financement. Alors qu’il était au Koweït dans le cadre du sommet afro-arabe, le président de la République a fait, comme à son habitude, d’une pierre deux coups. Boni Yayi a profité de son séjour koweïtien pour pousser un certain nombre de dossiers en difficulté au niveau de la coopération avec les Etats arabes en général et de l’Etat du Koweït en particulier. D’abord, les écueils relatifs au financement de la route Kandi-Sègbana ont été levés auprès des Saoudiens à l’issue de l’entretien qu’il a eu avec Youssef Al Bassam, directeur du Fonds saoudien pour le développement. Du compte rendu que Nassirou Arifari Bako, ministre des Affaires étrangères a fait de ces échanges, il est attendu incessamment l’avis de non objectif du Fonds saoudien afin que l’entreprise adjudicataire du marché démarre les travaux. Les nouvelles options prises par le gouvernement dans le projet de construction des épis de protection de la côte Est de Cotonou ont induit un gap de financement de l’ordre de 10 millions de dollars, soit environ 5 milliards de francs CFA. Le chef de l’Etat a pu décrocher ces ressources auprès du Fonds koweitien qui permet au gouvernement de boucler le financement de ce projet. Mais la meilleure nouvelle provenant de Koweït City est sans doute le projet de création d’une université de classe internationale au Bénin. Ce projet dont le coût est estimé à environ 40 milliards de francs CFA sera réalisé par l’ONG Directaid du Koweït, connu dans le monde arabo-musulman sous le nom de l’Agence Afrique Musulmans. Le mémorandum d’entente entre le gouvernement et cette organisation a été signé hier à Koweït City en présence de Abdul Rahman Al-Muhailan, président du Conseil d’administration de Directaid. La réputation de cette organisation dans le domaine humanitaire a d’ailleurs amené l'émir du Koweït, Sheikh Sabah Al Ahmad Al Jaber Al Sabah, à créer un prix en mémoire de son fondateur Abdulrahman Al Sumait, décédé cette année. Ce prix doté d’une enveloppe d’un million de dollars, soit environ 500 millions de francs CFA, est dédié aux recherches sur le développement en Afrique. A ces investissements, vient s’ajouter l’appui financier de quatre millions de dollars, soit environ 2 milliards de francs CFA que l’Etat du Koweït a accordé au Bénin au titre de l’aide à l’autosuffisance alimentaire. Cette aide fait suite au don de plus de trois mille tonnes de riz en 2008 et à la mise en place d’un programme d’installation de jeunes filles et garçons dans l’agriculture grâce au fonds pour la "Vie décente" que l’émir a créé au plus fort de la crise alimentaire mondiale. Le gouvernement entend également tirer avantage de la décision des autorités koweitiennes d’accorder aux pays africains des prêts bonifiés d’un montant d’un milliard de dollars, soit environ 500 milliards de francs CFA, pour les cinq années à venir. Boni Yayi a donc profité de son séjour pour multiplier les contacts avec les autorités de ce territoire du Golfe dont la richesse crève l’œil à tout visiteur de Koweït City. bibo:pages 1 16 -- o:id 7568 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7568 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7586 26730 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/69fcede067564b4ad8e9a08899da5dabbef0a186.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ecc4022fcfbb7531c4d87985f0ef4333860c54c5.tiff dcterms:title Troisième sommet afro-arabe : Boni Yayi prône une alliance du donner et du recevoir dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14431 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-11-21 dcterms:identifier iwac-article-0003501 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République a pris la parole, hier mercredi 20 novembre, au sommet afro-arabe pour exiger plus de soutien en faveur des pays les moins avancés. Entre Africains et Arabes, Boni Yayi prône une alliance du donner et du recevoir. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République a pris la parole, hier mercredi 20 novembre, au sommet afro-arabe pour exiger plus de soutien en faveur des pays les moins avancés. Entre Africains et Arabes, Boni Yayi prône une alliance du donner et du recevoir. « Le troisième sommet peut être le point de départ pour une nouvelle alliance du donner et du recevoir dans la marche déterminée de notre communauté de destin ». Le président de la République, qui assure la présidence du Bureau mondial de coordination du Groupe des Pays les moins avancés, n’a pas tari de propositions dans le sens du partenariat stratégique afro-arabe. Dans la nouvelle dynamique qui se profile, il juge nécessaire qu’une attention soutenue soit accordée aux PMA dont 34 sur les 49 proviennent du continent africain. Boni Yayi propose ainsi la mise en place d’un comité de réflexion de haut niveau pour relever le défi de l’adéquation des flux financiers entre le Monde arabe et l’Afrique, dans sa composante PMA. «Tout en saluant ce qui a été fait jusqu’ici, il reste que les ressources des banques et institutions financières soient renforcées, leurs procédures et règles d’intervention adaptées au contexte particulier des PMA », énonce-t-il. Boni Yayi estime que les Etats africains ayant placé la gestion des défis sous le signe du miracle du secteur privé, il y a lieu de développer les mécanismes de partenariat entre les secteurs privés arabes et africains de manière à renforcer la présence des investisseurs privés arabes en Afrique et en particulier dans les PMA. Il suggère à cet effet, l’institutionnalisation du forum économique afro-arabe en une rencontre annuelle pour la promotion des investissements. Le chef de l’Etat revient sur des mesures préconisées par le forum économique de Koweit-City pour suggérer qu’une résolution spéciale de soutien soit adoptée en faveur des PMA. Ces mesures concernent notamment l'accroissement des investissements pour la promotion de l'exploitation des ressources naturelles, le développement de l'agriculture portée par les petits fermiers et exploitants, l'acquisition de la technologie et de l'innovation pour la transformation locale des produits agricoles et miniers. La création d'un fonds de la jeunesse avec la BADEA et la BAD, en vue de financer des projets concrets en liaison, tant dans le domaine de l'entreprenariat que de la mobilité des jeunes pour les échanges d'expertise et d'expériences a été fortement recommandée. Accompagner les PMA ! Le président de la République rappelle que les PMA restent secoués par des défis que le partenariat stratégique doit aider à relever. Le premier est sans surprise celui de la pauvreté. A 900 jours de l’échéance des OMD, plus de 50% de la population des PMA vit toujours avec moins d’un dollar par jour et l’extrême pauvreté affecte près de 47% de la population. «Il y a donc urgence à agir», martèle-t-il. Pis encore, la poussée démographique que connaissent les PMA, conjuguée avec le chômage galopant des jeunes constituent, à son sens une véritable bombe à retardement. Des efforts continus méritent d’être déployés, dit-il, pour assurer la sécurité humaine. Boni Yayi évoque aussi le renforcement des capacités de production et de transformation. Cela nécessite des investissements dans les infrastructures notamment l'énergie, la modernisation de l'agriculture et la hausse de la productivité du monde rural par la mécanisation et la promotion de la recherche et développement. «L’Agenda du développement pour l’après 2015 devra être centré sur les problèmes des PMA», affirme le président de la République. «Nous devrons œuvrer ensemble à l'avènement d'un monde nouveau fait de gouvernance concertée, de prospérité partagée et de dynamique inclusive de manière à ne laisser personne sur le quai », conclut-il. bibo:pages 16 -- o:id 7569 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7569 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7587 26731 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4251bdbd801b847148965834e96194eb0932fc20.pdf https://islam.zmo.de/files/original/62b2605892decc6e8e6681659bdfa608c76abaf1.tiff dcterms:title Ouverture du troisième Sommet Afrique-monde arabe au Koweït : le partenariat stratégique arabo-africain se construit. Boni Yayi reçu par l'Emir dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14431 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-11-20 dcterms:identifier iwac-article-0003502 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République a été reçu en audience hier par l’émir de l’Etat du Koweït Au menu des échanges, des questions de coopération bilatérale. En marge du sommet afro-arabe, le président de la République a eu un entretien avec Sheikh Sabah Al Ahmad Al Jaber Al Sabah, l’émir du Koweït. Les discussions qui se sont déroulées à huis clos auraient essentiellement porté sur la coopération bilatérale entre le Bénin et l’Etat du Koweït. Les deux Etats entretiennent de cordiales relations qui se manifestent notamment par la mise en œuvre de plusieurs projets d’investissements sous financement du Fonds koweitien de développement au Bénin. Dans ce registre, l’Etat koweïtien vient d’accorder un appui financier de quatre millions de dollars, soit environ 2 milliards de francs CFA au Bénin au titre de l’aide à l’autosuffisance alimentaire. Cette aide fait suite au don de plus de 3000 tonnes de riz en 2008 et à la mise en place d'un programme d’installation de jeunes filles et garçons dans l’agriculture grâce au fonds pour la «Vie décente» que l’émir a créé au plus fort de la crise alimentaire mondiale. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République a été reçu en audience hier par l’émir de l’Etat du Koweït Au menu des échanges, des questions de coopération bilatérale. En marge du sommet afro-arabe, le président de la République a eu un entretien avec Sheikh Sabah Al Ahmad Al Jaber Al Sabah, l’émir du Koweït. Les discussions qui se sont déroulées à huis clos auraient essentiellement porté sur la coopération bilatérale entre le Bénin et l’Etat du Koweït. Les deux Etats entretiennent de cordiales relations qui se manifestent notamment par la mise en œuvre de plusieurs projets d’investissements sous financement du Fonds koweitien de développement au Bénin. Dans ce registre, l’Etat koweïtien vient d’accorder un appui financier de quatre millions de dollars, soit environ 2 milliards de francs CFA au Bénin au titre de l’aide à l’autosuffisance alimentaire. Cette aide fait suite au don de plus de 3000 tonnes de riz en 2008 et à la mise en place d'un programme d’installation de jeunes filles et garçons dans l’agriculture grâce au fonds pour la «Vie décente» que l’émir a créé au plus fort de la crise alimentaire mondiale. Il est aujourd’hui question de raffermir l’axe Cotonou- Koweït-City, le Bénin ayant affiché sa ferme volonté de profiter de la relance du partenariat stratégique avec les pays arabes en général et l’Etat du Koweït en particulier. Le président de la République s’est d’ailleurs entretenu avec le directeur général du Fonds qui n’a pas aussi fait de déclaration à la fin de l’audience. Cheikh Nasser Al Mohammad Al Ahmad Al Sabah, ancien Premier ministre de l’Etat du Koweït a également eu des échanges avec Boni Yayi. G.A. bibo:pages 1 -- o:id 7570 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7570 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7588 26732 26733 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9d2037766bea440d381fba76ffb076338a8d8ff2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a3de3ad8ab77acb239b7319d12f7801534eacd06.tiff https://islam.zmo.de/files/original/10463085316a1d8acc357637d674bbc31756562a.tiff dcterms:title Ouverture du troisième sommet Afrique-monde arabe au Koweït : le partenariat stratégique arabe-africain se construit dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14431 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14955 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/808 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-11-20 dcterms:identifier iwac-article-0003503 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Un nouveau partenariat stratégique se construit entre le continent africain et le monde arabe. Le troisième sommet afro-arabe ouvert, hier mardi 19 novembre à Koweït City en fait un leitmotiv. Le président de la République Boni Yayi y prend part activement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/548 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Un nouveau partenariat stratégique se construit entre le continent africain et le monde arabe. Le troisième sommet afro-arabe ouvert, hier mardi 19 novembre à Koweït City en fait un leitmotiv. Le président de la République Boni Yayi y prend part activement. L’atmosphère générale de la grand’messe afro-arabe se résume à cette conviction : la capacité pour l’Afrique et le monde arabe de développer un partenariat stratégique qui étonnera le monde. Le troisième sommet des États africains et arabes s’est donc ouvert sous le signe du rapprochement de deux pôles de croissance autour des enjeux de développement et d’investissements. « Nous sommes convaincus de l’importance de la coopération économique qui servira de base à nos intérêts communs à travers lesquels, nous irons vers la réalisation du partenariat stratégique que nous recherchons », affirme Sheikh Sabah Al Ahmad Al Jaber Al Sabah, émir de l’Etat du Koweit, à l’ouverture des travaux. Le choix de consacrer une bonne partie des discussions aux questions économiques et de développement répond, selon lui, à la volonté commune des deux régions de créer les conditions d’une coopération sud-sud durable et profitable à leurs populations respectives. Pour lui, les conditions de ce partenariat reposent notamment sur les bienfaits et richesses que Dieu a octroyés aux Etats africains et arabes. « Le développement durable que nous recherchons consiste à exploiter nos richesses sans excès, en investissant nos ressources dans des projets favorisant notre intégration », souligne l’émir. Et l’un des défis vers lesquels le potentiel afro-arabe doit être orienté, poursuit-il, c’est celui de la sécurité alimentaire. Sheikh Sabah Al Ahmad Al Jaber Al Sabah pense que les facteurs pour assurer la sécurité alimentaire existent dans leurs espaces géographiques, il suffit de les exploiter de manière optimale. Mieux, il soutient que la tenue du forum économique arabo-africain constitue un grand élan pour réactiver l’investissement entre les deux régions et bâtir une stratégie économique porteuse d’intégration et de progrès. L’Afrique promet ! « Le thème "Partenaires dans le développement et l’investissement” résume parfaitement notre ambition », confie le président gabonais Ali Bongo Ondimba, co-président du deuxième sommet afro-arabe. Il indique que l’Afrique s’illustre aujourd’hui par sa forte attractivité économique. Ses efforts de bonne gouvernance et d’ouverture, ses ressources multiples et variées en font un partenaire de confiance qui offre de nombreuses opportunités d’investissement. Pour le président gabonais, l’Afrique a, sans aucun doute besoin de valoriser son potentiel, en nouant des partenariats avec le monde arabe qui l’aidera à transformer localement ses matières premières. Il recommande un partenariat gagnant-gagnant qui peut se traduire, à son sens, par une politique d’affectation des terres aux activités du secteur agricole et de mise en œuvre concertée de différents programmes respectueux de l’environnement. Le rapprochement des secteurs privés arabes et africains lui tenant aussi à cœur, il suggère la création d’une chambre de commerce mixte ainsi que celle d’un conseil d’affaires afro-arabe. Les tendances lourdes du développement sont d’ailleurs en faveur de l’Afrique, soutient Nkosazana Dlamini Zuma, présidente de la Commission de l’Union Africaine. A côté de ses richesses naturelles, elle gage sur le potentiel humain du continent dont sa jeunesse est souvent présentée comme un grand atout. Pour en arriver là, elle pense que les pays africains doivent tirer leçon de l’expérience des pays arabes qui, en un laps de temps, ont su se servir de leurs ressources naturelles pour moderniser leurs économies, développer les infrastructures et construire une prospérité partagée. Le troisième sommet afro-arabe qui se déroule autour du thème intitulé « Partenaires dans le développement et l’investissement », se tient trois ans après le deuxième organisé à Syrtes en Libye en 2010. Le quatrième sommet est annoncé pour 2016 sur le continent africain. Un milliard de dollars aux pays africains L’émir du Koweït a voulu marquer le troisième sommet afro-arabe d’un signal fort, dans la perspective du partenariat stratégique qu’il appelle de tous ses vœux. Il a annoncé hier avoir donné des instructions aux responsables du Fonds koweïtien de développement économique pour accorder aux pays africains, pour les cinq années à venir, des prêts bonifiés d'un montant d’un milliard de dollars, soit environ 500 milliards de francs CFA. Ces ressources seront orientées vers des projets d’infrastructures susceptibles de créer de la valeur ajoutée aux. économies africaines. « Le Koweït est aujourd’hui déterminé à travailler en coopération avec les institutions internationales en investissant et en sécurisant l’investissement sur le continent africain », affirme-t-il. Ce financement, assure-t-il, sera renforcé par des investissements des sociétés koweitiennes dans différents secteurs, d’autant qu’il estime que le secteur privé est appelé à jouer un rôle pionnier dans le partenariat stratégique qu’il projette. Mais la riche monarchie du Golfe persique ne s’arrête pas là. Sheikh Sabah Al Ahmad Al Jaber Al Sabah confie également l’intention de son pays d’attribuer un prix annuel d’un million de dollars, soit environ 500 millions de francs CFA qui sera consacré aux recherches sur le développement en Afrique. Le prix qui sera décerné au nom de feu Abdulrahman Al Sumait, un éminent humanitaire koweitien, sera supervisé par la Fondation koweitienne de développement scientifique. L’émir du Koweït indique que ce prix vient s’ajouter au travail bénévole qu’abattent de nombreuses associations koweïtiennes sur le continent africain. G.A bibo:pages 1 16 -- o:id 7571 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7571 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7589 26734 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fa18a12ff664214a1117868ab59b4f01baa83dec.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7f5fa6be4c472040b7ab5c8b784003df475ffc28.tiff dcterms:title Audiences à la Cour constitutionnelle : la culture, la politique et la religion au menu des échanges dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13226 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1404 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1428 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13779 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-11-18 dcterms:identifier iwac-article-0003504 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la Cour constitutionnelle, le professeur Théodore Holo, a reçu vendredi 15 novembre dernier, à son cabinet, plusieurs personnalités. Le médiateur de la République Joseph Gnonlonfoun, l’empereur mondial des Ogboni Owo-Lobé, à l’état civil Brice Dotché, et Antoine Bonou, coordonnateur général de Wémèxwé, (Union générale pour le développement des communes de la Vallée de l’Ouémé) ont abordé avec le président Théodore Holo, des questions ayant trait à la culture, la religion et la politique. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/308 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la Cour constitutionnelle, le professeur Théodore Holo, a reçu vendredi 15 novembre dernier, à son cabinet, plusieurs personnalités. Le médiateur de la République Joseph Gnonlonfoun, l’empereur mondial des Ogboni Owo-Lobé, à l’état civil Brice Dotché, et Antoine Bonou, coordonnateur général de Wémèxwé, (Union générale pour le développement des communes de la Vallée de l’Ouémé) ont abordé avec le président Théodore Holo, des questions ayant trait à la culture, la religion et la politique. La Cour constitutionnelle «est l’institution qui nous cadre en ce qui concerne nos décisions y compris celles du médiateur de la République», a déclaré le médiateur de la République, Joseph Gnonlonfoun au sortir du cabinet du président de la Cour constitutionnelle, Théodore Holo. Le médiateur de la République estime que son hôte est professeur de droit constitutionnel et qu’à ce titre il fallait recueillir quelques-unes de ses recommandations et conseils. «Il m’a donné des conseils, des informations et nous avons échangé sur le travail que je dois faire », a révélé Joseph Gnonlonfoun. Pour le médiateur de la République, l’article 7 de la loi relative à son institution a été déclaré contraire à la Constitution. «Cet article doit être réinventé. Heureusement que la Cour constitutionnelle avait estimé qu’il est détachable de la loi. Cela permet à l'institution de fonctionner», a confié Joseph Gnonlonfoun qui pense à ce sujet que l’Assemblée nationale doit revoir ledit article. A sa suite, l’empereur mondial des Ogboni Owo-Lobè, à l’état civil Brice Dotché, conduisant une délégation de son organisation a déclaré avoir rendu une visite de courtoisie au président de la Cour constitutionnelle afin de l’encourager pour le travail qu’il fait pour la nation. Ensuite, l’empereur mondial demande à tous les Béninois d’œuvrer pour la paix, quelle que soit leur position dans la société. Dans cet ordre d’idées, Brice Dotché, désapprouve l’attitude de ceux qui affirment qu’ils incarnent Dieu sur terre. «Personne ne peut faire comme Jésus», indique-t-il, appelant les autorités à ne pas cautionner de pareilles positions, ce qui éviterait des troubles à l’ordre public. En ce qui le concerne, Antoine Bonou, coordonnateur général de Wémèxwé, (Union générale pour le développement des communes de la Vallée de l’Ouémé), il a affirmé être allé remercier le président de la Cour constitutionnelle pour son soutien à Wémèxwé. Sa visite s’inscrivait également dans la présentation du plan d’action de son Union dans le cadre du développement de la Vallée de l’Ouémé. Antoine Bonou a déclaré avoir sollicité le soutien du professeur Théodore Holo à propos du forum que les fils et filles des communes de la vallée organisent les 4 et 5 janvier prochains pour mener des réflexions sur cette vallée qui, a-t-on dit, est la 2e après celle du Nil en Egypte. «Quelles conditions remplir pour que cette vallée assure effectivement le développement de la région ?», s’est interrogé Antoine Bonou qui voudrait bien aller à l’école des gestionnaires de la vallée de l’Afrique du Nord qu’est le Nil. «Nous avons été épatés par ses conseils et les orientations à mettre en œuvre pour réussir le forum», s’est-il réjoui. bibo:pages 3 -- o:id 7572 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7572 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7590 26735 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ce60f6791d5849d9e23800aa1fb649655a401416.pdf https://islam.zmo.de/files/original/587b697c57acc0791767e43f09cea7c5b23b250b.tiff dcterms:title Coopération entre le Bénin et le Qatar : le projet de construction d'hôpitaux en passe de finalisation dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13372 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-11-06 dcterms:identifier iwac-article-0003505 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre de la Santé, Dorothée A. Kindé Gazard a reçu, hier mardi 5 novembre à Cotonou, la visite de l’ambassadeur du Qatar près le Bénin, Mohamed Aikowani. Au cœur des échanges que les deux personnalités ont eus, les promesses faites au président de la République, Boni Yayi lors de sa visite au Qatar. Ces promesses sont relatives au renforcement du système de santé au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/542 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre de la Santé, Dorothée A. Kindé Gazard a reçu, hier mardi 5 novembre à Cotonou, la visite de l’ambassadeur du Qatar près le Bénin, Mohamed Aikowani. Au cœur des échanges que les deux personnalités ont eus, les promesses faites au président de la République, Boni Yayi lors de sa visite au Qatar. Ces promesses sont relatives au renforcement du système de santé au Bénin. Le ministre de la Santé, Dorothée A. Kindé-Gazard, s’est réjouie de recevoir l’ambassadeur du Qatar. C’est une opportunité qu’elle se devait de saisir surtout que les pourparlers engagés entre les deux pays notamment pour la construction d’hôpitaux de haut standing au Bénin se poursuivent. «Le Bénin ne peut pas rater cette opportunité qui m’a permis de présenter déjà des projets concrets que le Qatar pourrait l’aider à réaliser», a plaidé le ministre. A cet effet, un document portant sur les projets qui sont déjà préparés comme ceux de l’hôpital départemental de l'Ouémé-Plateau et d’autres centres de santé au niveau des arrondissements, ont été remis au diplomate. Désiré GBODOUGBE bibo:pages 11 -- o:id 7573 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7573 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7591 26736 26737 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6267078b44ec79f3b59a630378350a1869cb02f5.pdf https://islam.zmo.de/files/original/81cf833a4aca73589afc5566ba6ccc58ef281427.tiff https://islam.zmo.de/files/original/bf30be62f91703372bf0217edeba45ecc44073d8.tiff dcterms:title Hadj 2013 : retour des 320 premiers pèlerins béninois demain dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1952 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15137 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14597 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12832 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-30 dcterms:identifier iwac-article-0003506 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Partie le 1er octobre dernier, la première vague (1er vol) des pèlerins béninois revient demain jeudi, soit deux jours avant la programmation prévue et annoncée auparavant. Le coordonateur national du Hadj, le ministre Nassirou Bako Arifari, s’est employé à mettre en œuvre les recommandations faites par le chef de l’Etat, Boni Yayi, en se rendant lui-même sur place. Grande ferveur, intenses émotions, souvenirs inoubliables, quantité de prières en faveur du Bénin, telles sont les retombées que les compatriotes ramènent dans leurs bagages à l’aéroport international de Cadjèhoun où ils sont attendus impatiemment par parents et amis. Au total, huit vols sont programmés et s’échelonneront du 31 octobre au 6 novembre 2013. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/443 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/531 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Partie le 1er octobre dernier, la première vague (1er vol) des pèlerins béninois revient demain jeudi, soit deux jours avant la programmation prévue et annoncée auparavant. Le coordonateur national du Hadj, le ministre Nassirou Bako Arifari, s’est employé à mettre en œuvre les recommandations faites par le chef de l’Etat, Boni Yayi, en se rendant lui-même sur place. Grande ferveur, intenses émotions, souvenirs inoubliables, quantité de prières en faveur du Bénin, telles sont les retombées que les compatriotes ramènent dans leurs bagages à l’aéroport international de Cadjèhoun où ils sont attendus impatiemment par parents et amis. Au total, huit vols sont programmés et s’échelonneront du 31 octobre au 6 novembre 2013. « Pas d’incident majeur, j’ai noté une très bonne tenue des pèlerins béninois, et le comité technique a fait un travail admirable sur tous les sites du pèlerinage», se réjouit Aziz Ichabi Imorou, directeur de l’Informatique du ministère des Affaires étrangères et membre du Comité technique Hadj, joint à Médine où se trouve actuellement les 2760 pèlerins béninois, désormais nantis de leurs titres d’El hadj ou d'El Hadja. A la vérité, l’organisation de cette année a connu une réussite parce que, très tôt, des précurseurs provenant notamment du ministère des Affaires étrangères, des Finances et de l’Economie, et de la présidence de la République, ont été envoyés sur le terrain. Ces derniers ayant pris langue avec les autorités saoudiennes, se sont mis en rapport avec l’Ambassade du Bénin à Riyadh et le Consulat du Bénin à Djeddah, pour mieux s'organiser. De leur côté, les voyagistes (communément appelés convoyeurs) ont aussi envoyé des précurseurs, des mois auparavant, pour réserver les logements des pèlerins. Quant à l’enregistrement des pèlerins, il a été totalement informatisé et géré grâce à un logiciel dénommé «Gestion Hadj». Ce qui a induit la confection plus rationnelle des manifestes (listes) des différents vols. Enfin, la vente sur place à Cotonou des taxes saoudiennes (NDLR : les années antérieures, c’était la principale cause du maintien des pèlerins à l’aéroport de Djeddah. Ceux-ci passaient la nuit à la belle étoile, dans des conditions éprouvantes, et n'étaient libérés qu’après que les services de l'aéroport avaient la preuve du paiement des taxes saoudiennes appelées «Tannazzoul»). Au total, tous les rites ont été accomplis cette année par les pèlerins béninois, dans la discipline, la ferveur, et le maintien de la bonne image du Bénin à l’extérieur. Pas de cas de maladies graves, pas de morts. Le coaching efficace d’EI Hadj Nassirou Bako-Arifari Depuis deux ans qu’il a été nommé coordonateur national du Hadj par le chef de l’Etat, Boni Yayi, le ministre des Affaires étrangères a réussi à associer toutes les parties prenantes impliquées dans l’organisation du pèlerinage musulman. Le comité de supervision constitué des ministres sectoriels (Finances, Transport, Santé, Intérieur, Relation avec les Institutions, Famille), ainsi que le Comité technique constitué de leurs représentants et ceux du Conseil national des convoyeurs du Hadj (CONACO), puis de l’Union islamique du Bénin (UIB), ont participé à l’élaboration d’un cahier des charges signé par toutes les parties prenantes. Une feuille de route a été élaborée et validée. Plusieurs réunions d’étape ont été tenues. Par ailleurs, un contrat de transport de 3 200 pèlerins a été signé entre les représentants d’Ethiopian Airlines et l’Etat béninois, sous le contrôle technique de l’Agence nationale de l'aviation civile (ANAC). La compagnie aérienne éthiopienne a perçu, comme le prévoit le contrat, au moins 75% des frais de sa prestation. Il a alors suffi au comité technique, organe opérationnel, de mettre en œuvre toutes les décisions prises. De sorte que tout s’est déroulé comme une note de musique. Enfin, le ministre Nassirou Bako-Arifari, s’est déplacé en personne pour aller sur les sites du pèlerinage. En bon manager, il a répercuté les recommandations du chef de l'Etat, Boni Yayi. La rigueur de l’organisation Une polémique inutile est en train d’être entretenue par les détracteurs au sujet de 150 pèlerins dont les passeports auraient été retenus par le ministère des Affaires étrangères. Malheureux ment ! Ce qu’on oublie d’ajouter c’est que ces potentiels pèlerins n’avaient pas payé (la traçabilité des paiements peut être vérifiée par toute personne intéressée au niveau de la banque partenaire ECOBANK). Ce qui fait manque à gagner à l’Etat puisque d’une part le 9e vol est parti avec exactement 67 places vides et d’autre part, les responsables de ces potentiels pèlerins ne voulaient pas voyager à partir du Bénin. Une entorse au cahier des charges. Difficile pour une structure sérieuse d’accepter que le cahier des charges, signé par 23 groupes de convoyages et fixant les règles validées de commun accord, soit appliqué selon les intérêts des uns et des autres. Les victimes innocentes que sont les candidats au Hadj doivent désormais réfléchir et être plus rigoureux dans le choix des groupes auxquels ils confient la réalisation de leur visite aux lieux saints de l’islam. De la Mecque où il se trouve en ce moment, le secrétaire permanent du Comité technique Hadj, l’ambassadeur Issiradjou Gomina, s'indigne contre les accusations et l’attitude de certains de ces convoyeurs. Il estime que ces derniers traînent les dossiers des pèlerins par devers eux et attendent les derniers jours pour commencer à courir. « Ils ne voulaient pas payer et tenaient à ce qu’on leur rende leurs passeports pour voyager par un autre pays alors qu'ils ont obtenu les visas au Bénin», révèle le diplomate. L’accomplissement de l'acte religieux qu'est le 5e pilier de l’islam commande la sincérité la crainte de Dieu, et le respect des biens d’autrui de la part de toutes les parties impliquée dans l’organisation du Hadj. Au détriment du « tout profit » et de la gloutonnerie de certains de nos compatriotes. C’est un point d'honneur pour le coordonateur national du Hadj, le ministre Nassirou Bako-Arifari. bibo:pages 1 10 -- o:id 7574 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7574 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7592 26738 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/02e765ead376105ee38365cc28ebc0e467495f4b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f18acccf58391b4a0b34f7c55be604da2a61031c.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el Kébir : Parakou fête dans la paix et l'allégresse ! dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13704 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15403 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2041 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12888 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-16 dcterms:identifier iwac-article-0003507 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Occasion pour le sacrifice précieux en vue d’implorer la grâce divine et prier pour la paix, la grande fête musulmane Aïd el-kébir ou fête du sacrifice Aïd el-Adha a tenu une fois encore ses promesses à Parakou. Les fidèles musulmans ont communié avec faste sur les places Idi puis dans les maisons dans la joie et l’allégresse, en dépit de la morosité ambiante et la hausse des prix des animaux. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/476 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Occasion pour le sacrifice précieux en vue d’implorer la grâce divine et prier pour la paix, la grande fête musulmane Aïd el-kébir ou fête du sacrifice Aïd el-Adha a tenu une fois encore ses promesses à Parakou. Les fidèles musulmans ont communié avec faste sur les places Idi puis dans les maisons dans la joie et l’allégresse, en dépit de la morosité ambiante et la hausse des prix des animaux. Ils sont tout endimanchés : les hommes avec leur bonnet et, ou leur turban sur la tête, les femmes soigneusement maquillées avec leur voile traditionnelle qui cache les chignons et autres tresses fraîchement faites. Les grandes marques de tissu : bazin riche brodé et autres wax de valeur sont sortis des garde-robes. La bonhomie remarquable dans les salutations traduit une certaine joie de vivre ou du moins cette exultation d’avoir vu ce jour auguste, celui de l’Aïd el-Kébir. Dans les rues de Parakou, hier matin, les artères ont connu un mouvement peu ordinaire des fidèles musulmans vers les places Idi qui ont fait leurs toilettes, grâce aux bonnes volontés, pour accueillir la grande prière d’ouverture des festivités. Les motos et les voitures sont surchargées ; même les malles-arrière sollicitées pour convoyer les enfants au lieu sacré de prières n’ont dérangé visiblement personne. C’est la fête ! Ce qui rime d'habitude avec anarchie, surtout à Parakou où l’excès de vitesse, l’ignorance du code de la route et la conduite en état d’ivresse sont de mise en de pareilles occasions. Hier encore, les fêtards n’ont pas dérogé à la «tradition»; en témoignent plusieurs cas d’accidents dénombrés surtout le matin à l'heure de la prière et plus tard dans la soirée. Place Idi de Zongo en face de la Fondation islamique Ahaloulbatyti, l’affluence était monstre. Les fidèles musulmans sont sortis nombreux pour la grande prière dirigée par l’imam de la Mosquée centrale de Yarakinnin, Issakiri Abdoulaye. Même les femmes en menstrues sont autorisées à faire le déplacement, mais tout en se mettant à l'écart de la masse. Les mendiants remuant les piécettes contenues dans leurs caisses pour attirer l’attention, sont aussi nombreux que les vendeurs de gâteaux et de petits objets à l’arrière de la foule. Sur les lieux, le ministre en charge des Finances, représentant le gouvernement, Jonas Aliou Gbian, le maire de Parakou, Soulé Alagbé et des autorités municipales de Parakou, ont été les hôtes de marque lors de la séance de prières. Dans son sermon, le célébrant a exhorté au pardon et à la réconciliation. Les uns et les autres ont prié pour la paix, l’unité dans la nation toute entière et particulièrement en direction du chef de l'Etat afin qu'il soit fortifié pour poursuivre les oeuvres entamées. Des vœux de longévité et de succès ont été également exprimés. A la fin de la prière et ce, conformément au rituel musulman, tout en prononçant le nom d’Allah, l'imam a égorgé sur place un mouton, donnant ainsi le top pour l’immolation des moutons, béliers et autres dans les maisons par les musulmans qui s’en sont procurés, en dépit de la morosité économique et de la cherté des bêtes. Jusqu’à hier matin, les courses et les négociations houleuses autour des prix en vue de l’achat des moutons se poursuivaient encore aux devantures des écoles, aux carrefours et autres places publiques transformés en marchés circonstanciels de bétail. La fête s’est poursuivie autour des assiettes avec au menu de l’igname pilée, du riz, du couscous, de la pâte, accompagnés de la viande des bêtes immolées. En tout cas, comme à l’occasion du ramadan (l’Aïd el-Fitr), il n’est pas recommandé de jeûner le jour de l’Aïd el-Kébir. Le spectacle équestre orchestré à travers la ville de Parakou par quelques cavaliers paradant avec leurs chevaux, a apporté également du mordant à la fête. bibo:pages 10 -- o:id 7575 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7575 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7593 26739 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/12ccdd3791cdb27ef726614b6fb4789dc3da225b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6d1e404b3179e4b87ca72623edc4ef0afadf32c6.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el Kébir : les musulmans de Bohicon invités à consacrer un temps à Dieu dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1509 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15491 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-16 dcterms:identifier iwac-article-0003508 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans de Bohicon ne sont pas restés en marge de la célébration de la fête de l’Aïd el Kébir. Hier mardi 15 octobre, ils ont assisté à la traditionnelle immolation de mouton à la place Idi de la commune. Une cérémonie dirigée par Bachir Boukari, intérimaire de l’imam de la Mosquée centrale de Bohicon. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans de Bohicon ne sont pas restés en marge de la célébration de la fête de l’Aïd el Kébir. Hier mardi 15 octobre, ils ont assisté à la traditionnelle immolation de mouton à la place Idi de la commune. Une cérémonie dirigée par Bachir Boukari, intérimaire de l’imam de la Mosquée centrale de Bohicon. La Tabaski ou la fête de l'Aïd el Kébir plus connue sous le nom de «fête du mouton» est définie dans le Coran comme une fête se déroulant lors du pèlerinage à la Mecque. Et les musulmans de Bohicon ont sacrifié à cette tradition. Hier matin, ils ont pris d'assaut la place Idi sise au quartier Zakpo pour assister à la prière et à l’immolation de mouton qui symbolise cette commémoration. A cette occasion, Bachir Boukari, intérimaire de l’imam de la Mosquée centrale de Bohicon a invité les fidèles à consacrer une place à Dieu dans leur quotidien. Pour lui, cette exhortation fait suite au constat selon lequel dans la communauté musulmane, beaucoup s’amusent avec le temps, soit à vaquer à leurs occupations ou à des futilités en marginalisant le créateur. Raison pour laquelle, il appelle la communauté à gérer de façon efficiente le facteur temps car, insiste-t-il, une fois qu'il est perdu ne peut être rattrapé. Au cours de la prière, il rend toute gloire à Allah, le plus grand. D’ailleurs, indique-t-il, il n’y a pas un autre Dieu excepté Allah. Il est le plus grand. Tous les éloges et gratitudes sont pour lui. «Musulmans, craignez Allah le très haut car, la piété est la marchandise la plus lucrative. Allah dit dans l'une des Sourates : Ô les croyants ! Craignez Allah comme il doit être craint. Et ne mourez qu’en pleine soumission», a prêché l’imam. Après les prières, l’imam intérimaire a procédé à l’immolation du robuste bélier choisi à cet effet. C'est l’instant tant attendu par les fidèles pour rentrer chez eux pour faire le même geste. A l'issue de ce sacrifice, l'imam Bachir Boukari confie que «pour ce jour saint de la Tabaski, certains comportements sont indispensables à un bon musulman pour bénéficier des grâces de ce sacrifice de mouton. Ainsi, après l'immolation chaque musulman doit non seulement assouvir son ventre mais aussi penser à partager sa viande avec ses voisins et surtout les personnes démunies. Tout ceci doit se passer dans un esprit d’amour et de tolérance qui concourt inéluctablement à instaurer un climat de paix et de cohésion dans un pays». La cérémonie a connu la participation de plusieurs autorités de la ville dont les 1er et 2e adjoints au maire de Bohicon, Sanni Mama et Isidore Agnoun-Basso. bibo:pages 11 -- o:id 7576 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7576 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7594 26740 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/adbfc94dcdb3671d97f96623cc2b2efb53f0fce0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/75a5168f9a430faab62828d80e950a72cc50b8f2.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el Kébir : Bio Orou Guiwa et Aké Natondé prient avec les musulmans de Godomey dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1946 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2029 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12993 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-16 dcterms:identifier iwac-article-0003509 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane de Godomey dans la commune d'Abomey-Calavi a également sacrifié dans la matinée d’hier, mardi 15 octobre, à la tradition de l’Aïd al-Kébir encore appelé Tabaski ou fête du mouton. C’était en présence du gouvernement représenté par les ministres Bio Toro Orou Guiwa et Aké Natondé. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/412 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane de Godomey dans la commune d'Abomey-Calavi a également sacrifié dans la matinée d’hier, mardi 15 octobre, à la tradition de l’Aïd al-Kébir encore appelé Tabaski ou fête du mouton. C’était en présence du gouvernement représenté par les ministres Bio Toro Orou Guiwa et Aké Natondé. A la place Idi de Godomey, les fidèles musulmans s’étaient rassemblés autour de leur iman, El Hadj Amidou Dankoro pour la prière et le sacrifice qui donnent le top de la célébration de la Tabaski ou Aïd al-Adha ou encore Aïd al-Kébir. A l'entame de la prière, ils ont manifesté leur reconnaissance par des « Allah Akbar ». Ensuite, l’iman, El Hadj Amidou Dankoro s’est fait le devoir de conduire la prière faite de remerciement à Dieu et d’intercession pour la paix. Il a ensuite délivré un bref message dans lequel il a expliqué le sens de la fête de la Tabaski qui, selon lui, est une fête de partage. Il en a profité également pour rappeler à ses fidèles, quelques-uns des principes fondamentaux de cette fête qui, dit-il, se poursuit jusqu’au vendredi. « Ceux qui n’ont pas encore tué leurs moutons ont jusqu’au vendredi pour le faire », a-t-il fait savoir. Mais les moutons immolés, poursuit-il, doivent être distribués aux amis, aux pauvres, aux indigents et à ceux qui n’ont pas à manger et non conservés en famille. Sur place, l’iman Amidou Dankoro a lui-même immolé un grand bélier et a ensuite brandi le couteau maculé de sang. Ce geste autorise alors toute la communauté musulmane de Godomey à en faire de même, en guise de sacrifice à Allah et donne par la même occasion, le top de la célébration de l'Aïd al-Kébir. Cette fête, faut-il le préciser, rappelle l’épisode coranique du sacrifice d'Abraham (Ibrahim) prêt à immoler son fils unique pour Dieu, en signe de soumission et d’obéissance. L’Aïd al Kébir, la plus importante fête de l’islam, marque aussi chaque année la fin du Hadj, pèlerinage musulman. Le ministre chargé des Relations avec les Institutions (MCRI), Bio Toro Orou Guiwa et son collègue des Travaux publics et des Transports (MTPT) Aké Natondé, qui ont assisté à cette prière au nom du gouvernement ont, à la fin de celle-ci, remercié les fidèles musulmans pour leurs prières à l'endroit des autres confessions religieuses, du peuple béninois, de l'Exécutif et du chef de l’Etat, «C’est le jour où tous les frères doivent pouvoir se donner la main et se mettre ensemble», précise le ministre Aké Natondé. bibo:pages 10 -- o:id 7577 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7577 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7595 26741 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c45f11d4e4c0c7993af0dcee64ee1d7df282458f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8d309bb39618ef4c72567e16c0771b3fb15b8f2c.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el Kébir : les fidèles exhortés à pratiquer la vérité à la place Idi d'Akpakpa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15457 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-16 dcterms:identifier iwac-article-0003510 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Comme leurs coreligionnaires du monde, les fidèles musulmans du Bénin ont célébré, hier mardi 15 octobre, la fête de la Tabaski. C’est à la place Idi SOBETEX d’Akpakpa à Cotonou que l’imam de la Mosquée centrale de Cotonou, Ibrahim Ousmane a conduit la prière puis immolé le mouton comme le prescrit le Coran. La célébration a connu la présence d’un envoyé du gouvernement en la personne de Raphaël Edou, ministre en charge de l’Environnement et des Changements climatiques. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Comme leurs coreligionnaires du monde, les fidèles musulmans du Bénin ont célébré, hier mardi 15 octobre, la fête de la Tabaski. C’est à la place Idi SOBETEX d’Akpakpa à Cotonou que l’imam de la Mosquée centrale de Cotonou, Ibrahim Ousmane a conduit la prière puis immolé le mouton comme le prescrit le Coran. La célébration a connu la présence d’un envoyé du gouvernement en la personne de Raphaël Edou, ministre en charge de l’Environnement et des Changements climatiques. Parés de leurs plus beaux habits, les fidèles musulmans de Cotonou, hommes, femmes et enfants ont pris d’assaut, hier mardi 15 octobre, la place Idi SOBETEX d’Akpakpa pour prier Allah, le miséricordieux qui leur a permis de célébrer la Tabaski qui marque la fin de l’année suivant le calendrier lunaire. La cérémonie a été marquée par trois temps forts à savoir la prière dirigée par Ibrahim Ousmane, imam de la mosquée centrale de Cotonou, le sermon et l’immolation du mouton qui donne le top à tous les musulmans béninois de le faire chez eux. Ce qui aura retenu l’attention, c’est le prêche au cours duquel l'imam Ibrahim Ousmane a exhorté ses fidèles à pratiquer la vérité en fuyant le mensonge. A l’en croire, le mensonge est la mère de tous les péchés. Dans le Coran, Allah a qualifié le prophète Mahomet comme son ami intime, car il n’a jamais menti alors qu’il a vécu pendant plus de 200 ans. C’est la preuve, a-t-il souligné, que Dieu aime la vérité et y tient beaucoup. «Dites la vérité ou observez le silence», a-t-il recommandé, regrettant qu’aujourd’hui le mensonge domine le monde. Parlant des conséquences du mensonge, Ibrahim Ousmane a mentionné que ce vice conduit à la trahison. Et la trahison conduit à l’enfer. Collant à l’actualité, il a tenu à faire savoir que l’islam n’est pas une religion de terrorisme. «C’est plutôt une religion de liberté et de paix», a-t-il rectifié. En tant que représentant du gouvernement, le ministre Raphaël Edou a tout simplement souhaité bonne fête à la communauté musulmane avant de se retirer des lieux. bibo:pages 11 -- o:id 7578 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7578 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7596 26742 26743 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2dbaa42cfa82a1a44b933a5887b20f5f13ccfa26.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8efa03763ee8e2d05d3121427aec2b0603d4cf79.tiff https://islam.zmo.de/files/original/5d4e338ffe1591eb57a5134f6a8c722c4a572792.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el Kébir : sous le signe de l'obéissance à Dieu et de l'union dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2035 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14000 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-16 dcterms:identifier iwac-article-0003511 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans ont sacrifié à la tradition de l’Aïd el Kébir à la place Idi sise derrière l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cadjèhoun. Tôt le matin, ils ont pris d’assaut ladite place où Issiaka Ligali, Imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun a officié, appelant les fidèles à l’obéissance à Dieu et à l’union, en présence de différentes personnalités politico-administratives. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans ont sacrifié à la tradition de l’Aïd el Kébir à la place Idi sise derrière l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cadjèhoun. Tôt le matin, ils ont pris d’assaut ladite place où Issiaka Ligali, Imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun a officié, appelant les fidèles à l’obéissance à Dieu et à l’union, en présence de différentes personnalités politico-administratives. 8 h 15mn ce mardi 15 octobre à la place Idi sise derrière l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cadjèhoun. Certains fidèles à pied débouchent de tous côtés et prennent place avec leurs tapis. Les autres à motos, d’autres encore en véhicules descendent et s’installent. Ils n’ont pas porté d’uniformes, mais sont habillés chacun à sa guise. Pendant que les uns arboraient les traditionnels boubous trois pièces avec chapeau, les autres étaient vêtus de costume ou de tenues locales simples. Avec un porte-voix, un fidèle d’un certain âge conseille aux musulmans installés pour la prière : «Pas de nafila, égrenez votre chapelet, n’oubliez pas d’éteindre vos cellulaires. La viande du mouton qui sera égorgée est à partager ; ce n’est pas à mettre dans les réfrigérateurs». Au fur et à mesure que les minutes s’égrenaient, la foule de fidèles s’épaississait et même après 9h03 minutes, où l’Imam fit son apparition saluant les fidèles, les musulmans affluaient toujours. Puis, place à la prière sous la conduite d’Issiaka Ligali, Imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun. «Allah Akhbar Allah Akhbar...» repris en chœur par les fidèles au nombre desquels on pouvait compter Naomie Azaria, ministre en charge du Commerce représentant le gouvernement, Léhadi Soglo, le premier adjoint au maire de Cotonou et bien d’autres personnalités. L’office religieux prend fin et les fidèles s’assoient décontractés à l’écoute de l’Imam. «Les remerciements sont à Dieu parce qu’il est le plus grand. Akhbar, c’est lui Seul, l’alpha et l’oméga ; c’est lui qui nous a réunis», a-t-il déclaré, avant de poursuivre que le mouton n’est jamais cher. C’est parce qu'il n’y a pas d’argent, souligne l’Iman. Le sacrifice du mouton est, selon l’Imam Issiaka Ligali, une prescription à laquelle nul ne devrait se soustraire. Car pour lui, vu le nombre de fêtes de sacrifice auxquelles on doit souscrire depuis la naissance, on peut se faire une idée du nombre d’enfants qu’on doit égorger, explique l’imam, avant de rappeler les circonstances dans lesquelles Dieu a demandé à Abraham d’offrir son fils Isaac. Sur cette base, il a montré l’humilité et la soumission dont Abraham a fait preuve et qui lui ont valu d’être gratifié par Dieu lui-même qui lui a offert en lieu et place d'un enfant, un bélier. Sur ce point précis, Issiaka Ligali a expliqué que quiconque sacrifie le mouton avant lui n'a pas respecté les prescriptions de l’islam. « Quand je vais finir, je viendrai vous montrer le courteau ensanglanté, ce qui vous autorise à faire de même. », a expliqué l’Iman, appelant les fidèles et tous les Béninois à l’union, une force qui permet de vaincre les obstacles. bibo:pages 1 10 -- o:id 7579 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7579 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7597 26744 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/78bdf687fb48ef42b97d12f516c6c372b791e0bb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0e62dc61954b93065fa936f40179ace373f25708.tiff dcterms:title El Hadj Abdou Rahamane de la mosquée de Zongo à propos de la Tabaski : "La communauté musulmane de Bohicon ne fera pas exception…" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1509 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14341 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8364 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-14 dcterms:identifier iwac-article-0003512 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Demain mardi 15 octobre, les musulmans du Bénin vont célébrer la Tabaski. A quelques jours de cette commémoration, ceux de Bohicon s’activent à perpétuer la tradition héritée du prophète Abraham. A ce propos, El Hadj Abdou Rahamane, alpha de la mosquée de Zongo à Bohicon et président des ressortissants haoussa précise ici le sens de cette célébration. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Demain mardi 15 octobre, les musulmans du Bénin vont célébrer la Tabaski. A quelques jours de cette commémoration, ceux de Bohicon s’activent à perpétuer la tradition héritée du prophète Abraham. A ce propos, El Hadj Abdou Rahamane, alpha de la mosquée de Zongo à Bohicon et président des ressortissants haoussa précise ici le sens de cette célébration. La Nation : Comment vont les préparatifs de la fête de la Tabaski au niveau de la communauté musulmane de Bohicon ? El Hadj Abdou Rahamane : La fête de mouton étant une tradition, la communauté musulmane de Bohicon à l’instar de celle des autres localités du Bénin et du monde, est en effervescence. Dans chaque famille, on peut dès lors sentir la fête venir car chaque chef de famille prend déjà des dispositions pour acheter le mouton qui sera immolé le jour de la Tabaski. Le nombre de moutons varie par conséquent en fonction de la potentialité de chaque ménage. Certains prévoient jusqu'à deux et plus, d’autres tuent des bœufs. En général, je dirai que tout va bien. A votre niveau, y aura-t-il une particularité pour la fête de cette année ? Il n'est pas prévu quelque chose de particulier. Dans tous les cas, c’est depuis la veille que chaque famille prépare son festin et attend le jour fixé. C'est l'Imam qui est le premier à immoler l’animal. Ce n’est qu'après ça, du retour de la place Idi que les fidèles pourront réitérer le geste chez eux. Quel sens revêt cette fête pour les musulmans ? Cette fête est, depuis des lustres, une tradition pour les musulmans. Elle est célébrée en souvenir du prophète Abraham, qui avait promis de donner son enfant Ismaël en sacrifice à Dieu, pour tous ses bienfaits. Donc, c’est ce souvenir qui se perpétue jusqu’aujourd’hui. Pour les musulmans, c’est aussi une occasion de reconnaissance à Dieu. A partir de là, nous pouvons dire que les bêtes tuées ce jour, contrairement à ce qu'on tue les jours ordinaires, ont un cachet spécial en ce sens que le geste élève l’intention du fidèle vers son créateur. Immoler un mouton est-il une obligation pour tous les fidèles musulmans ? C’est une obligation pour tout musulman qui en a la possibilité, car Dieu n’a pas dit d'aller voler une bête pour tuer. Aussi, est-il nécessaire d'avoir un âge donné avant d’accomplir cet acte. Il s’agit notamment des personnes adultes et responsables. Si elles ont les moyens, c’est alors une obligation pour elles de tuer. En réalité, c’est une question de foi, ce n’est pas discutable parce qu’il est prescrit dans le Saint Coran et celui qui a la foi, n’a pas besoin d’être supplié pour le faire. C’est de sa propre volonté qu’il ira acheter et tuer le mouton ce jour là. C'est d’ailleurs pour ça que nous prions afin que Dieu nous donne la force et les moyens nécessaires à chacun, pour honorer ce jour saint de la Tabaski. Un mot à l’endroit de vos fidèles de Bohicon? Je les invite tous demain mardi à 9 heures précises, pour la grande prière qui se tiendra à la grande place Idi de Bohicon. Et que la fête soit belle ! bibo:pages 6 -- o:id 7580 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7580 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7598 26745 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6ab292dbbcc862d9bd5db41588673187f64c5e5c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2889e853712e1137f54639290275a6aebf95c5d8.tiff dcterms:title La dépigmentation à la lumière de l'islam et du christianisme : un acte de désobéissance et injurieux envers Dieu dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1509 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14374 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1615 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-08 dcterms:identifier iwac-article-0003513 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le phénomène de la dépigmentation gagne du terrain et de nouveaux adeptes au Bénin. En dehors des femmes de tous âges qui en sont championnes, des hommes âgés et même des jeunes sont aussi entrés dans cette danse en blanchissant leur peau noire. Devant l’ampleur de ce phénomène qui traduit la négation de la race noire, les milieux religieux expriment leur désapprobation et l’analysent plutôt comme une désobéissance et une injure au Dieu créateur des races et auteur de diversité raciale. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/548 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le phénomène de la dépigmentation gagne du terrain et de nouveaux adeptes au Bénin. En dehors des femmes de tous âges qui en sont championnes, des hommes âgés et même des jeunes sont aussi entrés dans cette danse en blanchissant leur peau noire. Devant l’ampleur de ce phénomène qui traduit la négation de la race noire, les milieux religieux expriment leur désapprobation et l’analysent plutôt comme une désobéissance et une injure au Dieu créateur des races et auteur de diversité raciale. Appelée tcha-tcho au Mali, khessal au Sénégal, ambi au Gabon, akonti au Togo, dorot au Niger et bodjou au Bénin, la dépigmentation est un phénomène qui n’honore pas Dieu. C’est une pratique déviante, injurieuse pour Dieu, le Créateur de toutes les races. Autrement dit, changer la peau noire en peau blanche est un acte grave qui ne plaît pas à Dieu. C’est du moins ce qui ressort des philosophies chrétienne et musulmane selon lesquelles, le phénomène est perçu comme un acte de désobéissance vis-à-vis de Dieu de la part de l’être humain qui s’y adonne. Dans l’Islam, la dépigmentation est perçue comme un interdit. Cette pratique est répréhensible, indique El hadj Idrissou Boukari, imam de la mosquée centrale de Bohicon, qui reconnaît qu’elle est également observée chez des fidèles musulmans. Il estime qu’une grande proportion s’y adonne malgré les prescriptions du Saint Coran et les divers prêches islamiques. Certes, certaines femmes se ressaisissent, mais d’autres persistent encore, se désole-t-il. A l’en croire, cet acte relève de Satan qui, chassé du paradis par Dieu, a menacé d’entraîner les humains à agir contre sa volonté et ce, en modifiant toutes ses créatures. Cette affirmation trouve tout son sens dans les versets 118-119 de la Sourate femme qui rapportent les propos du diable qui dit : «Certainement, je saisirai parmi tes serviteurs une partie déterminée. Certes, je ne manquerai pas de les égarer, je leur donnerai de faux espoirs, je leur commanderai, et ils fendront les oreilles aux bestiaux ; je leur commanderai, et ils altéreront la création d’Allah ». Dieu a maudit Satan pour cela et selon le Coran, celui ou celle qui prend le diable pour allié au lieu d’Allah, sera voué à une perte évidente, ajoute l’iman Idrissou Boukari pour préciser ce qui attend tous ceux qui suivent les prescriptions contraires à la volonté de Dieu. Au-delà de ce que cette pratique doit être considérée comme une insulte à Dieu, elle peut aussi être interprétée, ajoute l’imam de la mosquée centrale de Bohicon, comme un reproche adressé à Dieu par l’être humain de l’avoir fait Noir. Se dépigmenter, c’est trouver Dieu imparfait Du côté de l’Eglise catholique, le phénomène est aussi décrié. L’abbé Samson Amoussou, administrateur de la paroisse Ste Trinité de Zassa à Abomey, estime que le phénomène n’est pas dénoncé de façon explicite par la parole de Dieu. Mais, soutient-il, quand on se réfère à certains passages de la Bible, on peut aisément trouver des raisons qui peuvent sous-tendre la désapprobation de l’Eglise vis-à-vis de la dépigmentation. D’une part, sur la base du texte de la Genèse au chapitre 1, verset 27, selon lequel Dieu a créé l’homme à son image, l’abbé Samson Amoussou trouve que l’être humain qui vient au monde doit se considérer comme image de Dieu. Cela veut dire que le Blanc, le Jaune, le Rouge et le Noir sont tous à l’image de Dieu ; Lui qui est l’auteur de la diversité des races. Et après avoir créé l’être humain tel qu’il est, et suite aux autres créatures, il a apprécié toutes ses œuvres. C’est ce qui ressort de Genèse 1, verset 31 : « Dieu vit tout ce qu’il avait : cela était très bon... ». Dans cette référence, l’abbé Amoussou soulignera l’expression « très bon » pour montrer à quel point Dieu est satisfait de son œuvre, de sa création. «Dieu en nous créant tels que nous sommes a vu que nous sommes bons comme cela et il en est content», explique-t-il pour déduire que la dépigmentation est un signe d’insatisfaction de celui qui la pratique par rapport à l’œuvre de Dieu qu’est son corps. « Cela signifie que Dieu rie m’a pas bien créé et je vais alors me créer », poursuit-il pour mettre en évidence la gravité de l’acte. Cette gravité est mieux saisie quand on sait que la dépigmentation exprime une négation de la perfection de Dieu. Celui qui trouve que l’œuvre de Dieu n’est pas parfaite ni bonne, trouve aussi que Dieu n’est ni parfait ni bon, tente d’expliquer l’abbé Amoussou. En matière de foi, cette démarche pose un grave problème : la négation d’un attribut de Dieu. «Un tel individu nie la perfection de Dieu», relève-t-il tout en soulignant que Dieu dans sa perfection sait que la race noire pourra vivre sans souci en Afrique où il fait beaucoup soleil. «L'être humain serait-il plus intelligent que Dieu, son créateur, pour décider de la couleur de sa peau?», ironise-t-il. La dépigmentation comme refus de son corps Après avoir interprété la dépigmentation comme le refus de son corps par le Noir, l’abbé Samson Amoussou indiquera qu’il s’agit surtout «d’une négation de soi». En effet, relève-t-il, l’être humain est comme vecteur principal de tout ce qui bonifie son intégrité physique. Toutefois, le père Sam-son Amoussou note que «toute modification est une déformation». Dans cette perspective, le changement du teint noir en blanc est une sorte de déformation et de dénaturation; ce qui correspond à l’altération d’une forme antérieure. Analysant le phénomène, il indique aussi que si le Noir en vient à faire subir une modification à son corps, c’est qu’il n’en est pas satisfait contrairement à Dieu qui le juge très bon. «De façon implicite ou explicite, il y a un rejet du corps qui est sien à un moment du temps, avec un désir tacite ou explicite d’acquérir un autre type de corps», soutient l’abbé Samson Amoussou avant de montrer que la dépigmentation est l’expression d’un rejet du créateur. A ce niveau de son analyse, il se réfère aux convenances sociales pour déduire que le refus d’un don peut être interprété de façon négative. Car, souligne-t-il, l’on rejette rarement le don d’un ami ou d’une personne aimée, même quand il ne nous plaît pas. A l’en croire, pour les humains en général et pour le croyant en particulier, la vie humaine et tout ce qui la porte sont des dons de Dieu. «Le corps est donc un don de Dieu et, quel qu’il soit, il devrait être accepté comme tel», recommande-t-il. Dans ces conditions, refuser un don de Dieu correspond, sans le moindre doute, à un rejet de Dieu lui-même ou à une injure à Dieu. Ce qui est un acte grave. «Les modifications corporelles peuvent être interprétées comme des refus du corps donné par Dieu, et donc comme un rejet de Dieu lui-même», fait-il valoir en se demandant si le fait de troquer le corps avec lequel on est né contre un autre type voulu ne cache pas une volonté de se passer de Dieu et de ses vues afin de correspondre à un modèl défini par l’homme. bibo:pages 13 -- o:id 7581 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7581 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7599 26746 26747 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/413195707ae09d2cb160a1dc56221e0cd5308c5a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2544ce0808e119a58646268d082243996e4b4ac6.tiff https://islam.zmo.de/files/original/174983bed3b76d2a88455e50a459da06c2620dce.tiff dcterms:title Visite de travail du chef de l'Etat au Qatar : le Bénin vend ses atouts à Doha dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13416 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-11-12 dcterms:identifier iwac-article-0003514 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République a entamé, hier mardi 11 novembre, une visite de travail au Qatar. L'une des étapes charnières du séjour de Boni Yayi dans cet Etat du Golfe, c'est la rencontre avec la communauté des affaires de Doha qu'il invite à investir dans son pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13001 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/456 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/542 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République a entamé, hier mardi 11 novembre, une visite de travail au Qatar. L'une des étapes charnières du séjour de Boni Yayi dans cet Etat du Golfe, c'est la rencontre avec la communauté des affaires de Doha qu'il invite à investir dans son pays. Quiconque cherche à capter les capitaux des Etats Golfe arabo-persique fait du Qatar une escale incontournable. Ce petit Etat du Golfe, 10 fois moins grand que le Bénin, s’est transformé en une puissance économique et financière émergente, avec en toile de fond la création d’un fonds d’investissement d’environ 115 milliards de dollars. En 2010, le fonds d’investissement du Qatar a représenté à lui seul près du quart des investissements totaux directs des fonds souverains dans le monde. C’est donc en bon connaisseur de l’importance stratégique du Qatar que le chef de l’Etat a décidé, lors de son séjour à Doha, de mobiliser le milieu d’affaires de ce géant du monde arabe autour des enjeux de développement du Bénin. «Nous avons décidé d’aller à la recherche de la croissance et ramener cette croissance pour la prospérité du Bénin. Notre pays a décidé d’accélérer le rythme de création de la richesse. Nous voudrions mutualiser nos richesse et ressources avec vous et suivre les pas du Qatar», déclare-t-il. Au cours d’une session de présentation des opportunités d’affaires du pays initiée par la Chambre de Commerce et d’Industrie du Qatar, Boni Yayi indique qu’en dépit des efforts que fournit son gouvernement, le Bénin reste toujours confronté à un gap entre la croissance économique et la croissance démographique. «Ce gap est d’autant significatif lorsqu’il s’agit de régler la question de la sécurité humaine», affirme-t-il. Le défi que s’est imposé le pays, soutient-il, c’est d’améliorer son climat des affaires. Déjà, le chef de l’Etat se réjouit des fruits produits par les réformes entreprises par son gouvernement pour faciliter le processus de création des entreprises. Il en veut pour preuve, le dernier classement Doing Business qui a permis au Bénin de se compter parmi les 10 pays les plus réformateurs du monde en 2014. «Nous avons fait un saut de 23 points qui dénote de notre volonté d’accélérer la création de la richesse. Ce qu’il nous faut maintenant, c’est de mettre en place un partenariat non seulement dans la sous-région, en Afrique mais aussi avec les pays du Golfe arabo-persique, un partenariat placé sous le signe du partenariat public-privé. Nous avons des choses à partager ensemble, les richesses du sous-sol, des hommes de qualité», vante-t-il. Des projets structurants ! La communauté des affaires de Qatar s’est enquise des grands projets structurants autour desquels le Bénin entend mobiliser des capitaux étrangers, notamment ceux des hommes d’affaires du Qatar. Selon Aurèle Houngbédji, conseiller technique du président de la République auprès du Conseil présidentiel de l’Investissement (CPI), cinq projets phares sont aujourd’hui déclencheurs de croissance. Il s’agit notamment du Projet Epine dorsale, du Programme de construction d’infrastructures énergétiques, de restructuration et d’extension du réseau de distribution de l’énergie, du Projet touristique de la Route des pêches; du projet de développement des aménagements hydro-agricoles au Bénin, le projet de l’hôpital de référence. D’autres projets tels que la construction du Champ de foire de Cococodji, le développement du transport fluvio-lagunaire, de transport aérien et de construction routière ont été aussi évoqués. Au-delà de ces projets présentés lors de la Table ronde de Paris, en juin dernier, le président de la République estime que le Bénin a besoin du secteur privé du Qatar pour le financement de l’agriculture, la transformation des produits agricoles ainsi que l’exploitation des ressources minières. «Nous voulons développer de nouvelles filières et jeter les bases d’une véritable diversification, mais notre principale faiblesse, c’est la faiblesse du financement de notre agriculture», affirme-t-il, appelant le Fonds d’investissement du Qatar à la rescousse. Il enchaîne : «Nous sommes venus vous inciter à venir chez nous. Nous sommes aussi venus apprendre de vous car avec notre vision Alafia 2025, nous avons décidé de jeter les bases d’une puissance émergente». Boni Yayi annonce pour ce jour la signature d’un protocole d’accord pour la protection réciproque des investissements entre les deux Etats. Un document censé rassurer les investisseurs qataris qui auront choisi la destination Bénin. Rapprocher le Bénin du Qatar ! L’intérêt des hommes d’affaires qataris pour l’Afrique de l’Ouest, est de plus en plus marquant, indique Mohammed Bin A. Bin Towar, vice-président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Qatar. Qui salue l’initiative du président de la République de venir en personne à la rencontre de la communauté des affaires de Doha. «Vous offrez une occasion pour les hommes d’affaires qataris d’étudier les opportunités d’investissement dans votre pays et de les mobiliser autour des projets d’infrastructures de développement, de manière à servir l’intérêt du peuple béninois», affirme-t-il, soulignant la nécessité d’un rapprochement entre le secteur privé des deux pays. Le Qatar, poursuit-il, s’est inscrit dans une vision de développement social et culturel à l'horizon 2030. L’organisation de la Coupe du monde 2022 constitue à ses yeux un véritable challenge que l’Etat arabe entend relever pour renforcer sa place dans le concert des nations. Des opérateurs économiques qataris ont exprimé leur désir d’investir dans des secteurs tels que le tourisme, l’industrie, l’immobilier et l’énergie. Le séjour du chef de l’Etat se poursuit ce jour à Doha et devrait être sanctionné par la signature de plusieurs accords de coopération. bibo:pages 1 16 -- o:id 7582 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7582 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7600 26748 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/afbdbd31463906c5eccd8c04218954013bd6e53b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0e2aa35ade0eb3eca727874602e20fe9cc7e14e0.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el-Kébir : de Savalou à Zogbodomey, les musulmans étaient en fête dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14988 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12910 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-10-06 dcterms:identifier iwac-article-0003515 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar des autres départements, la communauté musulmane des départements du Zou et des Collines n’est pas restée en marge de la célébration de la fête de l’Aïd El-Kébir. Samedi 4 octobre dernier, les musulmans de ces deux départements ont assisté à la traditionnelle immolation de mouton sur les différentes places Idi. A Savalou et à Zogbodomey, une cérémonie était dirigée respectivement par El Hadj Aliou Mohamed, imam de la mosquée centrale de Savalou et par l’imam Souahib Moussa de la mosquée de Cana. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13772 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13840 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/392 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/406 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar des autres départements, la communauté musulmane des départements du Zou et des Collines n’est pas restée en marge de la célébration de la fête de l’Aïd El-Kébir. Samedi 4 octobre dernier, les musulmans de ces deux départements ont assisté à la traditionnelle immolation de mouton sur les différentes places Idi. A Savalou et à Zogbodomey, une cérémonie était dirigée respectivement par El Hadj Aliou Mohamed, imam de la mosquée centrale de Savalou et par l’imam Souahib Moussa de la mosquée de Cana. La Tabaski ou fête de l'Aïd-el-Kebir plus connue sous le nom de "fête du mouton", est définie dans le Coran comme une fête se déroulant lors du pèlerinage à la Mecque. Et les musulmans de Bohicon ont sacrifié à cette tradition de l’Aïd el-Kébir. Samedi matin, ils ont pris d’assaut les places Idi pour assister à la prière et à l’immolation de mouton qui symbolise cette commémoration. La place Idi de Cana par exemple, était devenue trop exigüe pour contenir les fidèles musulmans ce 10e jour du mois de Dhul al-Hijja, dernier mois du calendrier musulman. En grand nombre, ils étaient venus commémorer la Tabaski. L’Imam Souahib Moussa dans sa prédication a exhorté les fidèles à la patience dans les moments de dures épreuves et à faire confiance à Allah en toutes circonstances. Car, pour sonder le cœur de ses enfants, il arrive qu’il les éprouve. L’imam a fait recours à l'historique de cette fête pour expliquer le bien fondé de cette requête. Rendre toute la gloire à Allah A Savalou, l’imam Aliou Mohamed a fait pareil. Il a procédé à la lecture des Sourates du Saint Coran. Prière au cours de laquelle il rend toute gloire à Allah, le plus grand. D’ailleurs, indique-t-il, il n'y a aucun Dieu excepté Allah. Il est le plus grand. Tous les éloges et remerciements sont à lui. Il appelle les musulmans à craindre Allah le très haut car, la piété est la marchandise la plus lucrative. Allah dit dans l’une des Sourates : «Les croyants ! craignez Allah comme il doit être craint. Et ne mourez qu’en pleine soumission». Les imams Souahib Moussa et Aliou Mohamed ont recommandé aux fidèles du monde entier de fêter en sagesse. Ils doivent éviter le piège de l’alcool, car dit-il, quand le musulman boit même s il ne s'est pas saoulé, il lui faut 40 jours pour rentrer dans les grâces de Allah. Il faut dire qu’à Savalou, la communauté musulmane a été soutenue par Gabin Allognon, directeur des Ressources financières et matérielles du ministère en charge des Finances et natif de la localité. Il a fait don d’un bœuf et d’une importante enveloppe, et a saisi l’occasion pour inviter les uns et les autres à rester ensemble pour travailler au développement de leur localité. Pour les fidèles, ce geste symbole même de la Tabaski est aussi une rencontre avec les proches, un moment de partage et de générosité envers les pauvres et indigents. D’ailleurs, la Tabaski tire son existence de l'asservissement d'Ibrahim à Dieu qui lui a ordonné d'immoler Ismaël, son fils. Ce qu’lbrahim était sur le point de faire quand Allah échangea Ismaël contre un mouton. bibo:pages 10 -- o:id 7583 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7583 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7601 26749 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4dfdc25be4f48d3e7816d84ababb39735a88b719.pdf https://islam.zmo.de/files/original/473331bac313363879ccc00680372bc5458dfce7.tiff dcterms:title Validation du rapport du forum de la CEDEAO sur le dialogue interreligieux : un nouveau départ pour l'éducation à la culture de la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/807 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14739 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15265 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/728 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-10-30 dcterms:identifier iwac-article-0003516 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Il se déroule depuis hier mercredi 29 octobre à Cotonou, pour soixante-douze heures, un atelier de validation de l’étude de faisabilité du forum de la CEDEAO sur l'éducation à la culture de la paix à travers le dialogue interreligieux. La cérémonie d’ouverture officielle a été présidée par le ministre de l'Intérieur, de la Sécurité publique et des cultes, Simplice Codjo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14540 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Il se déroule depuis hier mercredi 29 octobre à Cotonou, pour soixante-douze heures, un atelier de validation de l’étude de faisabilité du forum de la CEDEAO sur l'éducation à la culture de la paix à travers le dialogue interreligieux. La cérémonie d’ouverture officielle a été présidée par le ministre de l'Intérieur, de la Sécurité publique et des cultes, Simplice Codjo. Notre siècle est caractérisé par d’immenses progrès scientifiques et technologiques. Mais paradoxalement, les plus grands défis auxquels il est confronté sont, entre autres, la pauvreté, le chômage, l’exclusion sociale et l’extrémisme religieux. Le tout sous-tendu par une logique implacable de compétition et d’accaparement du pouvoir et des ressources qui ne favorisent qu’une petite minorité. Ces tensions, souvent très vives, dégénèrent en conflits armés, en guerres civiles hypothéquant le développement économique et social des pays. L’organisation d'un forum de la CEDEAO sur l’éducation à la culture de la paix, à travers le dialogue interreligieux, débouchant sur des activités concrètes, se justifie d’autant plus que le concept de «Culture de la paix» est né en Afrique, à l’occasion du congrès international de l’UNESCO sur le thème "La paix dans l’esprit des hommes”, organisé à Yamoussoukro, en Côte-d’Ivoire en 1989. Selon les organisateurs, c’est bien après, en 1989, que l’Assemblée générale des Nations Unies s’est appropriée le concept. Dans son intervention, docteur Togagayewea McIntosh, vice-président de la Commission de la CEDEAO a d’abord exprimé sa gratitude au président de la République, au gouvernement et au peuple béninois pour leur appui. Il a ensuite demandé au ministre en charge de l’intérieur d’être leur porte-parole auprès du chef de l'Etat, espérant bénéficier de leur mine de connaissances. Il a indiqué qu’il faut promouvoir un environnement favorable paisible dans l’intérêt de nos populations, en prônant l’Etat de droit, la justice, la bonne gouvernance. Car, selon lui, il y a un prix pour réaliser la paix, et il faut diffuser les principes de la vie religieuse. Pour sa part, le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité publique et des Cultes, Simplice Codjo, a rappelé que dans le cas d’une société pluraliste et d’un monde multiculturel, les citoyens devraient être en mesure de comprendre qu’aucun individu ou groupe de leur société ne détient la réponse unique aux problèmes auxquels ils sont confrontés. Leur interprétation des situations et des problèmes, a-t-il ajouté, découle de leur vie personnelle, de l’histoire de leur société, et de leurs traditions culturelle et religieuse. Le ministre de l’Intérieur, de la sécurité publique et des Cultes, a indiqué que pour éradiquer dans le long terme les germes de ces conflits sur de faux fondements religieux, la stratégie la plus indiquée reste l’éducation à la culture de la paix à travers le dialogue interreligieux. Il a aussi souligné que cette éducation vise la formation intégrale et harmonieuse de l’individu, afin qu’il soit un citoyen sain, équilibré, épanoui et acquis aux valeurs de paix, de respect des droits de l’Homme et de la démocratie. «Chaque citoyen devrait être un véritable agent de développement, un défenseur acharné et un promoteur de ces valeurs dans son milieu de vie», précise-t-il. bibo:pages 3 -- o:id 7584 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7584 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7602 26750 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bfb768b45bc3eaa9614352c1621273ad16fc6168.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d6c79771cec21f2ed9b57ca6020a0f0f069b7ed7.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el-Kébir : l'imam Ousmane Aboubakar prône l'union et la paix à Maro-militaire dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-10-06 dcterms:identifier iwac-article-0003517 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les cérémonies de prière entrant dans le cadre de la célébration de la fête de l’Aïd El-Kébir ont également eu lieu à la mosquée centrale Tawakaltou de Maro-militaire à Cotonou sous la conduite de l’imam Ousmane Aboubakar. C’était samedi 4 octobre dernier. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14327 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les cérémonies de prière entrant dans le cadre de la célébration de la fête de l’Aïd El-Kébir ont également eu lieu à la mosquée centrale Tawakaltou de Maro-militaire à Cotonou sous la conduite de l’imam Ousmane Aboubakar. C’était samedi 4 octobre dernier. Après la prière qui a regroupé de nombreux fidèles à la place de prière sise dans la vons de la mosquée centrale de Maro-militaire, l’iman Ousmane Aboubakar a immolé un mouton au son de : «Allah Akbar» scandé par les fidèles présents. Il a expliqué que la célébration de l’Aïd el-Kébir est un décret divin prescrit au prophète Abraham devant immoler son fils pour éprouver son degré de croyance. Ce dernier a aussitôt informé sa femme et ses enfants qui étaient tous d’accord pour qu’il fasse la volonté divine. Même l’enfant choisi était pressé de se soumettre à la volonté divine. L’imam de la mosquée centrale de Maro-militaire a indiqué que pour ne pas sacrifier une vie humaine, cet enfant a été substitué par un mouton. Aussi, a-t-il rappelé que la fête de l’Aïd el-Kébir est une fête de partage, de paix au cours de laquelle on immole un mouton. C’est pourquoi, il a invité ceux qui se servent de la foi musulmane pour tuer leur prochain à arrêter leur sale besogne. Il a souhaité pour le Bénin, une ambiance marquée de dialogue permanent entre tous ses filles et fils. bibo:pages 10 -- o:id 7585 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7585 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7603 26751 26752 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5b6aa005f5a3c680e96598b3a02b88a230964e6a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6198fbc5c56c18e96e7228698c3aa1dc60fffb14.tiff https://islam.zmo.de/files/original/47170f93233cc42403a10083056524af8a911a71.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el-Kébir : sous le signe de la paix, de la tolérance… à Akpakpa Sobetex dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2027 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-10-06 dcterms:identifier iwac-article-0003518 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans ont commémoré, samedi 4 octobre dernier, sous la direction de l’imam central de la mosquée de Joncquet, Ousmane Ibrahim, la fête de l’Aïd El-Kébir. C’était à la place Idi d’Akpakpa Sobetex à Cotonou, en présence du ministre d’Etat, chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, François A. Abiola, représentant le gouvernement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans ont commémoré, samedi 4 octobre dernier, sous la direction de l’imam central de la mosquée de Joncquet, Ousmane Ibrahim, la fête de l’Aïd El-Kébir. C’était à la place Idi d’Akpakpa Sobetex à Cotonou, en présence du ministre d’Etat, chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, François A. Abiola, représentant le gouvernement. « Nous avons prié pour plus de cohésion, de solidarité et d’union pour aller au développement que nous appelons de tous nos vœux », a confié, samedi 4 octobre dernier, à la fin de la prière, le ministre d’Etat, François A. Abiola. Une prière marquée par la ponctualité dont s’est réjoui le ministre d’Etat. Ponctualité à travers laquelle il souhaiterait voir souvent s'illustrer tout le peuple béninois. En de pareils moments de repentance, de prière et de communion, François A. Abiola a fait part du message spécial du chef de l’Etat qui appelle à la cohésion nationale, à la solidarité entre tous les Béninois et au pardon réciproque. S’inscrivant dans le même registre, Ibrahim Ousmane, l’imam central de la mosquée de Jonquet, officiant la prière, a déclaré avoir imploré Dieu pour qu’il accorde la paix et la bénédiction au pays, car pour lui, la fête de l’Aïd El Kébir est liée à la paix. Il a poursuivi que Dieu a accordé la paix contre le feu à Abraham. Dieu a accordé la paix à Ismaël contre le couteau tranchant. «Nous avons prié contre les fléaux et risques sur la Nation afin qu’il y ait la paix», a confié Ibrahim Ousmane qui en a donc profité pour exhorter les fidèles qui ont les moyens à sacrifier un mouton comme cela a été fait à la fin de la prière et comme il a été prescrit dans le Saint Coran. A défaut, il pense qu’il n’y a pas de problème, dès lors que c’est une question de moyens et que cela est encore possible jusqu’à mardi prochain. La plus grande fête musulmane Pour Zul Kifl Salami, fidèle musulman présent sur les lieux, l’Aïd El Kébir est la plus grande fête musulmane et constitue l’expression de la soumission profonde des fidèles à Allah. «C’est la commémoration du geste historique d’Abraham qui s’est soumis à Dieu. Allah lui a fait descendre un bélier ; nous témoignons ce geste à travers El Kébir», a expliqué l’ancien ministre. Ainsi, poursuit-il, la deuxième expression de cette soumission réside dans la solidarité inter communautaire. Zul Kifl Salami relève que l’Islam prie pour la paix. Cela se traduit même dans les salutations quotidiennes du musulman. «L’Islam est une religion de paix, de fraternité et de tolérance. Je souhaite que cette paix rayonne sur notre pays et au-delà et qu’il lui permette d’être conduit vers des horizons plus hauts», a-t-il souhaité. Les bêtes à immoler en offrande à Allah, selon les spécialistes, ne doivent être ni boiteuses, encore moins affectées par une quelconque maladie ; et l’on doit également tenir compte de leur âge : soit au moins un an révolu pour le mouton, deux ans pour le bœuf, cinq ans pour le chameau. Et la tradition voudrait que la viande soit partagée en trois parties : une partie en aumône aux voisins, une destinée à la consommation en famille et entre amis et une autre à conserver. Le rituel du sacrifice constitue pour les fidèles, l’occasion d’implorer Allah pour la rémission des péchés, d’effacer les rancœurs envers ses voisins, de se féliciter mutuellement et d’échanger des vœux de tout genre. bibo:pages 1 10 -- o:id 7604 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7604 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7620 26753 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9865aa0f65fe9a37d964f3488d552d14bc8a7223.pdf https://islam.zmo.de/files/original/09b4a813649905fbef2e2c3a92950dd928600ad8.tiff dcterms:title Aïd el-Kébir : la Jama'at islamique Ahmadiyya fait don de moutons aux personnes vulnérables de Jacquot dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14786 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15222 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13065 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-10-03 dcterms:identifier iwac-article-0003519 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya poursuit sa mission d’assistance au profit des personnes vulnérables. A la veille de la fête de la Tabaski, elle est allée faire don de moutons aux pensionnaires du Centre national hospitalier psychiatrique Jacquot de Cotonou, à ceux de la Prison civile de Cotonou et aux personnes du troisième âge. C’est le préfet des départements de l’Atlantique-Littoral, Placide Azandé qui a procédé à la distribution officielle des moutons hier jeudi 2 octobre, à la préfecture de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya poursuit sa mission d’assistance au profit des personnes vulnérables. A la veille de la fête de la Tabaski, elle est allée faire don de moutons aux pensionnaires du Centre national hospitalier psychiatrique Jacquot de Cotonou, à ceux de la Prison civile de Cotonou et aux personnes du troisième âge. C’est le préfet des départements de l’Atlantique-Littoral, Placide Azandé qui a procédé à la distribution officielle des moutons hier jeudi 2 octobre, à la préfecture de Cotonou. Des dons de moutons pour permettre aux pensionnaires de la Prison civile de Cotonou, du Centre national hospitalier psychiatrique Jacquot et aux personnes du troisième âge, de partager au même titre que leurs frères, la joie de la Tabaski. C’est un geste de l’ONG First Humanity à travers la communauté islamique Jama’at Ahmadiyya. A travers ce geste, c’est la fête du mouton qui s’annonce plutôt bien pour les pensionnaires des différents centres visités. Plus qu’une simple action sociale, le don de la Jama’at islamique Ahamadiyya revêt tout un symbolique. Il permettra aux pensionnaires musulmans ou non de ces différents centres, de vivre quelque peu l’ambiance de la Tabaski, même internés ou privés de liberté. En témoigne la joie qui se laissait transparaître sur les visages des bénéficiaires. Au Centre national hospitalier psychiatrique de Jacquot, l’on a beaucoup chanté, dansé et imploré la miséricorde d’Allah sur les donateurs. Pour le vice-président de ladite communauté, Moussiliyou Bakari, «nul n’a le droit d’être heureux tout seul. Au moment où les gens bien portants seront en train de manifester la joie dans leurs familles demain, nous aimerions également que les personnes démunies et celles en détresse, ne se sentent pas isolées », a-t-il souligné. Quoiqu’étant modeste, soutient-il, le geste était nécessaire. A travers cet appui, la communauté islamique Jama'at Ahmadiyya, vient apporter sa modeste contribution aux musulmans afin d’aider les moins favorisés à s’acquitter de leur devoir religieux en immolant un mouton lors de la fête de la Tabaski, a précisé le président de ladite communauté, Rana Ahmad Farook. Au ministère en charge de la Famille, première étape de la tournée de distribution de moutons, l’on avait aussi le sourire aux lèvres. «Ces bêtes vont nous aider à donner à manger à des orphelinats ou à des structures de personnes du troisième âge», se réjouit le secrétaire général dudit ministère, Geneviève Ogoussan. Du ministère de la Famille à la prison civile de Cotonou, en passant par le Centre national hospitalier psychiatrique de Jacquot, les mots ont manqué pour exprimer les gratitudes aux donateurs. En réalité, la Jama’at islamique Ahmadiyya n’est pas à son premier geste au profit des personnes vulnérables du Bénin. Sur ce point, tous les responsables des différents centres visités étaient unanimes et n’ont eu assez de mots pour exprimer leurs reconnaissances et remerciements au nom des bénéficiaires. Comme chaque année, cette démarche vise à venir en aide aux nécessiteux qui n’ont assez pas les moyens financiers de s’offrir un mouton à l’occasion de la Tabaski, afin qu’ils commémorent le sacrifice d’Abraham, événement qui relève d’une grande importance pour tout musulman. C’est donc fidèle à ses habitudes qu’elle a effectué le geste d'hier. En dehors des départements de l’Atlantique-Littoral, les personnes vulnérables des autres départements du Bénin, ont également bénéficié de ce geste d’amour de la communauté islamique Jama’at Ahmadiyya. bibo:pages 7 -- o:id 7605 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7605 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7621 26754 26755 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5048cd63a8f7fc264f1cb25800e4f3354e4f0964.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7ecaf0f8ca5d48e54e211f944769712b3f657088.tiff https://islam.zmo.de/files/original/002200c31c3b12efa2605756798a9b99747fd7d7.tiff dcterms:title Aïd el-Kébir : les prix des moutons flambent, mais la Tabaski aura lieu dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1964 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-10-03 dcterms:identifier iwac-article-0003520 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les préparatifs de la Tabaski prévue pour demain samedi 4 octobre vont bon train à Parakou et à Tchaourou. Malgré la flambée des prix des moutons, les musulmans s'activent à sacrifier à cette tradition annuelle de pardon, de réconciliation et de rapprochement dénommée fête du sacrifice "Aïd el-Adha” ou encore grande fête "Aïd el-Kébir”. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/399 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les préparatifs de la Tabaski prévue pour demain samedi 4 octobre vont bon train à Parakou et à Tchaourou. Malgré la flambée des prix des moutons, les musulmans s'activent à sacrifier à cette tradition annuelle de pardon, de réconciliation et de rapprochement dénommée fête du sacrifice "Aïd el-Adha” ou encore grande fête "Aïd el-Kébir”. En dépit de la morosité économique et de la cherté de la vie, la Tabaski se tiendra. La fièvre de la fête se ressent petit à petit à Parakou, Tchaourou et environs, malgré la psychose des préparatifs de la rentrée des classes qui fait saigner financièrement chaque année les parents. Beaucoup de fidèles musulmans ont pu déjà s’offrir une bête en vue de sacrifier à la tradition annuelle, en souvenir du miracle opéré par Dieu en substituant un bélier au fils unique qu'lbrahim lui offrait en sacrifice à sa demande. Les bêlements de moutons et d’autres ovins se font entendre. Dans la circulation, il est fréquent depuis quelques jours de voir des bêtes transportées sur les épaules, sur les motos, dans des véhicules. Aux coins de rues, des moutons prêts à être sacrifiés pour la fête sont attachées aux alentours des maisons. Des cours, des arrière-cours, des garages sont même transformés pour la circonstance en parcs de moutons, de boucs, de chèvres. En cette veille de la Tabaski, une certaine ruée vers les banques et les marchés de bétails, de vivres et de légumes reste perceptible. Au marché du bétail à Guèman à la sortie Nord de Parakou, au marché circonstanciel au quartier Okédama à la sortie Sud de la ville et au marché de bétail de Tchaourou, l’affluence quoique faible, est remarquable. Les potentiels acheteurs regardent, tâtent la chair des moutons puis s’engagent dans le marchandage avec les vendeurs. Les bêtes coûtent un peu plus cher cette année, fait observer Soulémane qui venait de s’offrir un bélier moyen à 85 000 F CFA pour un prix de base annoncé à 110 000 F CFA par le vendeur. Avec 60 000 F CFA, Razack faisait depuis plus d’une heure le tour du marché, à Okédama sans pouvoir s’offrir ce qui lui plaît. En effet, il faut débourser en moyenne 80 000 F CFA pour payer un mouton qui peut faire l’affaire de la fête. Les prix varient en général de 50 000 F CFA à 200 000 F CFA, voire plus. Il y a même des moutons de 300 000, de 350 000 F CFA, confie Alassane, un peulh nigérien venu à Parakou depuis deux semaines avec une trentaine de moutons. Les mairies trouvent également leur compte dans ce commerce, en prélevant une taxe qui s’élève à 1000 F CFA par tête de bête à Tchaourou par exemple. En attendant la grande affluence Certains expliquent le peu d’engouement noté jusque-là par la mévente enregistrée l’année passée et qui aurait ainsi découragé de nombreux vendeurs qui viennent du Niger, du Burkina Faso, du Togo. Aussi, de nombreux acheteurs attendent-ils le dernier moment pour s’approvisionner, surtout qu’il est permis de sacrifier à la tradition même deux jours après la célébration. En cette veille de la fête dite « jour d’Arafat », certains croyants observent un jeûne, un acte qui n’est pas obligatoire mais plutôt subrogatoire au fait qu’ils n'ont pas effectué le pèlerinage "hadj” à La Mecque. Et c’est en direction de La Mecque que l’homme “pieux” chargé de trancher la carotide de la bête dirigera la tête de l’animal, tout en prononçant le nom d’Allah et autres psalmodies du livre saint, après les prières sur les places Idi et autres lieux retenus qui font déjà leurs toilettes. Les bêtes à immoler en offrande à Allah ne doivent être ni boiteuses ni affectées par une quelconque maladie et l’on se doit également de tenir compte de leur âge : soit au moins un an révolu pour le mouton, deux ans pour le bœuf, cinq ans pour le chameau, insiste l’islamologue Mohamed Awali. Selon la tradition, la viande sera divisée en trois parties : une partie est donnée en aumône notamment aux voisins, une autre est destinée à la consommation en famille et entre amis et une autre peut être conservée. La fête du sacrifice est pour les mahométans l'occasion d’implorer la rémission des péchés par Allah, d'effacer les rancœurs envers ses tiers, de se féliciter mutuellement et d'échanger des vœux de tout genre. bibo:pages 1 7 -- o:id 7606 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7606 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7622 26756 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/eaf4d5c5a093f52ec06e1b2f3260228f6f1ad574.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2530ba3c7ae5d3df54404c727047c3a8d881027b.tiff dcterms:title Appel à la paix pour le développement du Bénin : le contrat du MCRI avec les OSC et les confessions religieuses dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13643 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/782 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13999 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13464 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13896 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15193 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-09-05 dcterms:identifier iwac-article-0003521 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Gustave Dépo Sonon, a rencontré, hier jeudi 4 septembre dans l'enceinte de son ministère, le Cadre national de concertation des Organisations de la Société civiles, les représentants des confessions religieuses, puis les têtes couronnées. Le nouveau locataire dudit ministère entendait ainsi prendre contact avec ses hôtes en attendant de recueillir leurs problèmes et suggestions pour le développement du pays. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Gustave Dépo Sonon, a rencontré, hier jeudi 4 septembre dans l'enceinte de son ministère, le Cadre national de concertation des Organisations de la Société civiles, les représentants des confessions religieuses, puis les têtes couronnées. Le nouveau locataire dudit ministère entendait ainsi prendre contact avec ses hôtes en attendant de recueillir leurs problèmes et suggestions pour le développement du pays. Assainir l’espace des Organisations de la Société civile sur la base d'un contrat de relation de confiance mutuelle. Tel était l'objet des différents échanges que le ministre Gustave Dépo Sonon a eus successivement avec le Cadre national de concertation des Organisations de la Société civile hier, les représentants des confessions religieuses, puis les têtes couronnées. «Toutes les minutes comptent; nous ne pouvons aborder les problèmes au fond, mais ma porte est ouverte pour que nous puissions aborder les problèmes dans le cadre d’un partenariat basé sur des relations de confiance», a déclaré le ministre chargé des Relations avec les Institutions, justifiant que l’imminence des prochaines consultations exige une telle attitude. Pour lui, toutes les suggestions sont les bienvenues étant entendu que très prochainement il y aura les communales/municipales, législatives et présidentielle. Gustave Dépo Sonon a estimé qu’en termes d'échéances, la prochaine rentrée en était une et que les organisations de la Société civile devraient pouvoir jouer leur partition pour une rentrée apaisée. Pour lui, le rôle de son département est de recueillir leurs propositions et d’en faire la synthèse au chef de l’Etat et au gouvernement en vue de leur résolution. «Tout se construit dans le dialogue. Je sollicite de votre part, un dialogue franc et vous invite à nous aider à assainir l'espace afin que la société en général continue à accorder un certain crédit à la Société civile dans son rôle d’interface», souhaite le ministre. Un souhait et des vœux qui ont rencontré l’adhésion de Rigobert Mahougnon Chacha, président du Cadre national de concertation des Organisations de la Société civile. Une disponibilité que n’entend pas marchander le vice-président dudit cadre, Jean-Marie Gomido Botchi qui a reconnu que la confiance est le meilleur lubrifiant des acteurs sociaux. Cependant Gbègninou Assogba, le secrétaire général adjoint du Cadre de concertation pense que les Organisations de la Société civile sont engagées dans un processus où les ressources humaines sont disponibles au moment où celles financières font largement défaut. Travailler pour consolider le dialogue interreligieux Avec les confessions religieuses, le discours du MCRI était pratiquement le même. Gustave Dépo Sonon a fait part de sa joie de voir ensemble les représentants des différentes confessions religieuses rassemblées. Ce qui augure, à son avis, que le dialogue interreligieux est déjà une réalité : «Vous êtes le dernier rempart ; on se chamaille mais vous êtes là et tout le monde vous obéit. C’est un signe de paix et cela permet de bien gouverner». Selon lui, si le socle sur lequel les confessions religieuses sont bâties est solide, il y aura la paix et le développement. Il faut donc, selon lui, travailler dans le sens de la consolidation du dialogue interreligieux. Ainsi, Urbain Karim da Silva, président du Conseil supérieur de l’islam au Bénin, a déclaré confier le nouveau ministre à Dieu afin que le pays connaisse un réel développement avec ses actions à la tête de ce département ministériel. Avec les mêmes bénédictions, Faïssou Adégbola, secrétaire général de l’Union islamique du Bénin (UIB), a affirmé que l’UlB lui garantit que son souci de consolidation du Cadre de concertation des confessions religieuses sera réalisé. S’inscrivant dans le même esprit, dah Gbédiga Adoko, porte-parole des religions endogènes du Bénin, a promis leur soutien en lui assurant que Dieu et les mânes de nos ancêtres l’accompagneront dans sa mission. Des prières que le ministre a acceptées, ajoutant qu’il ne doute pas de leur engagement. Pour clore la série des échanges, le MCRI s'est entretenu avec les membres du comité de suivi des rois. Ces derniers l'ont béni et assuré de leur soutien. bibo:pages 7 -- o:id 7607 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7607 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7623 26757 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cea10a32461ccf6e42c4d991014ddd13afca665c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c8fc978015fab6bc7ccfdbf2d7b48dbabbac5aa9.tiff dcterms:title Lutte contre l'insécurité au Bénin : la contribution des confessions religieuses attendue dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13916 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12957 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14820 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13737 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14739 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-09-03 dcterms:identifier iwac-article-0003522 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité publique et des Cultes poursuit ses séances de prises de contact entamées depuis sa nomination, Il a rencontré, hier mardi 2 septembre à Cotonou, les responsables des confessions judéo-chrétiennes et de la religion musulmane. C’était pour prendre connaissance de leurs doléances et échanger avec eux sur la question de la sécurité des biens et des personnes, puis solliciter leur implication pour sa sauvegarde au Benin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre de l’Intérieur, de la Sécurité publique et des Cultes poursuit ses séances de prises de contact entamées depuis sa nomination, Il a rencontré, hier mardi 2 septembre à Cotonou, les responsables des confessions judéo-chrétiennes et de la religion musulmane. C’était pour prendre connaissance de leurs doléances et échanger avec eux sur la question de la sécurité des biens et des personnes, puis solliciter leur implication pour sa sauvegarde au Benin. Le maintien de la paix et de la stabilité à travers la sauvegarde de la sécurité, préoccupe beaucoup le nouveau ministre de l’Intérieur, la Sécurité publique et des Cultes, Simplice Dossou Codjo. En témoignent les nombreuses séances de prises de contact qu'il n’a cessé d’organiser pour réfléchir sur la question, depuis son entrée en fonction. Après les rois et têtes couronnées, ainsi que les membres de la chefferie traditionnelle, jeudi 28 août dernier, il était avec les responsables des confessions religieuses hier, mardi 2 septembre. Selon lui, il n’y a qu'un seul et unique Dieu, celui qui a créé la terre et le ciel et qui occupe la première place en tout. « On ne peut pas réussir à instaurer la sécurité sans Dieu. C’est lui le gardien de la paix et ses églises et mosquées prêchent pour la paix », a-t-il poursuivi. Toutefois, déplorera-t-il, en fustigeant la montée depuis quelques jours au Bénin des actes liés à la criminalité, au banditisme et aux braquages dans les villes et sur les axes routiers. « Aujourd’hui, il y a une situation préoccupante qui nous poursuit partout. Il n'y a plus la quiétude dans l’exercice des activités. Il n’y a pas de pays où on peut investir, s’il n’y a pas la sécurité», a insisté le ministre. Confiant au rôle important qu’elles peuvent être amenées à jouer dans le maintien de la paix et la reconversion des personnes mal intentionnées qui commettent ces actes, il s’en remet alors aux prières. «Nous ne pouvons rien sans la prière», se justifie-t-il. Intensifier les prières Le ministre a alors invité les responsables religieux à redoubler d’ardeur dans leurs prières, dans leurs églises et mosquées. Face à la foule de fidèles qu’ils drainent derrière eux, il a voulu compter sur leurs engagements pour œuvrer davantage au maintien de la sécurité au Bénin. Pour lui, les églises et les mosquées ont une mission essentielle, celle de prier pour la paix, la concorde et d'intercéder auprès de Dieu afin qu'il comble de ses bénédictions la nation et ses dirigeants. Il a exhorté les églises quelle que soit leur dénomination, ainsi que les mosquées, à poursuivre leurs prières et à continuer à invoquer le nom de Dieu sur le Bénin. Une préoccupation que le ministre de la Défense nationale, Robert Théophile Yarou qui entre temps l’a rejoint, partagé aussi. En louant l’initiative de cette rencontre, les responsables des églises évangélistes, de l’Eglise des Assemblées de Dieu, des églises protestantes méthodistes du Bénin, de l’Eglise des Séraphins et Chérubins, de l’Eglise du christianisme céleste, de l’Eglise de l'Union Renaissance des Hommes en Christ, l’Eglise apostolique du Bénin y ont vu une certaine volonté du ministre Simplice Dossou Codjo, de rester à l’écoute de toutes les églises. La sécurité étant l’affaire de tous, les révérends pasteurs et leaders de cette communauté chrétienne évangélique du Bénin avec à leur tête, le président du Collectif de l'association des Eglises évangélistes du Bénin (CAEEB), le révérend pasteur Nazaire Hounkpadododé, ont pris l’engagement d’accompagner le gouvernement dans sa lutte contre l’insécurité. Cet appui, les responsables de la communauté musulmane reçus quelques minutes plus tard, ont aussi promis, par la voie du secrétaire général de l’Union islamique du Bénin (UIB), Faïssou Adégbola, de ne pas le lui marchander. Pour ce qui est de la préoccupation relative à la création anarchique des églises et des associations religieuses, le ministre n’entend pas laisser la situation perdurer. Quant à celle exprimée par l’UlB de voir la sécurité des imams assurée et leur autorité respectée par les policiers, il a promis de voir, de connivence avec les responsables des Forces de sécurité publique, sa faisabilité. bibo:pages 11 -- o:id 7608 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7608 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7624 26758 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/aa68d01ab3e37f70beed9a7de7e179328cccfe42.pdf https://islam.zmo.de/files/original/32e072536fde9dcc9e6ea42b41fcf5a450b31cd0.tiff dcterms:title Clôture des travaux du symposium pour une nouvelle conscience : des engagements pour un réarmement moral des citoyens via la religion dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15199 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-08-19 dcterms:identifier iwac-article-0003523 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après trois jours de travaux, les participants au symposium pour une nouvelle conscience se sont séparés dimanche 17 août dernier au Centre Fifamen dans la commune de Tori-Bossito, heureux et fiers d'avoir jeté les bases pour un réarmement moral et une «conscience citoyenne». Pour eux, les ressources existent pour parvenir à cet idéal, et ce sont les leaders religieux qui, les premiers, doivent se jeter à l'eau. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14655 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13520 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après trois jours de travaux, les participants au symposium pour une nouvelle conscience se sont séparés dimanche 17 août dernier au Centre Fifamen dans la commune de Tori-Bossito, heureux et fiers d'avoir jeté les bases pour un réarmement moral et une «conscience citoyenne». Pour eux, les ressources existent pour parvenir à cet idéal, et ce sont les leaders religieux qui, les premiers, doivent se jeter à l'eau. « Celui qui ne sait pas remercier l’homme, ne peut pas être reconnaissant à Dieu. Nous disons tous nos remerciements au directeur fondateur du centre Fifamen, initiateur du présent symposium, pour nous avoir permis de jeter les bases d'une conscience nouvelle que nous appelons conscience citoyenne». C’est par ces mots que l’imam Malick Moutawakil Boukari de la mosquée centrale Medine II Agori d’Abomey-Calavi a voulu signifier la gratitude de l’ensemble des participants au premier symposium pour une nouvelle conscience, avant de dire la prière de clôture de ladite rencontre. Au cours des trois jours qu’ont duré les travaux, les communications et les échanges ont permis aux participants de travailler à susciter au sein de la population, un nouvel éveil du côté des dignitaires religieux, une prise de conscience sur le rôle qui est le leur. «Travaillons pour élargir notre conscience, l’approfondir afin que tout acte soit vu dans sa globalité, de sa naissance à sa finalité avant de prendre une décision», a fait savoir le Dr Paul Tobossi à la fin des travaux. Celui-ci définit d'ailleurs la conscience comme étant «une cour suprême», donc une instance de décisions de haute importance. La façonner et l’adapter aux besoins du moment, aux vœux de développement et donc aux actes de grande portée qui promeuvent la personne humaine, devient dès lors, le défi essentiel à relever à partir des travaux qui ont eu lieu au centre Fifamen. Mais tout ceci ne se passera pas sans l’aval de Dieu. L'homme étant, selon Dr Paul Tobossi, un co-créateur aux côtés dé Dieu le créateur, celui-ci devrait alors se soumettre à ses décisions, estime-t-il. Là encore, l’apport, sinon l'accompagnement des leaders religieux est très attendu. Et après les 72 heures de réflexions auxquelles ils ont pris part, l’initiateur estime sans ambage qu’ils sont plus que jamais conscients de ce rôle capital qui est le leur. Ces leaders ont reçu pour mission de travailler à une «conscience citoyenne», admet l’imam Malick Moutawakil Boukari. Mais à ce niveau, le citoyen c’est aussi bien le gouvernant que le gouverné qui sont tous des fidèles des lieux de culte. «Dans nos mosquées, dans nos églises, dans nos temples, on doit appeler les citoyens à la conscience, les amener à revenir vers Dieu», soutient-il, au nom des participants. Ses pairs et lui, fait-il savoir par ailleurs, ne constituent que le juste milieu quand on parle de conscience. L'objectif de la religion, poursuit-il, «c’est de réconcilier les peuples pour amener la paix, la justice, l'équité, la transparence, l’amour, la solidarité, le partage et le développement». En guise de conclusion, l’imam de la mosquée centrale Medine II Agori d’Abomey-Calavi a insisté sur le rôle prééminent des dignitaires religieux pour le développement économique et social des nations. bibo:pages 7 -- o:id 7609 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7609 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7625 26759 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ed18f7cced223261ddf65d3f45653cfa60b5511b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6b40a5745a2fa1feff6802a8bd1a9f880c2d6c28.tiff dcterms:title Célébration de la fête de Ramadan : une fête réussie à Abomey-Calavi, malgré l'averse et quelques incidents dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/762 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-07-29 dcterms:identifier iwac-article-0003524 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La fin du jeûne musulman a été célébrée hier lundi 28 juillet, à la Mosquée centrale Médine II d’Agori-Plateau à Abomey-Calavi. En dépit de la forte pluie qui s'est abattue sur la ville, autorités, imam et fidèles musulmans ont rendu grâce à Allah pour ses grâces durant le mois béni de Ramadan. La prière a été dirigée par l’imam de ladite mosquée, El Hadj Moutawakil Malik Boukari. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14655 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La fin du jeûne musulman a été célébrée hier lundi 28 juillet, à la Mosquée centrale Médine II d’Agori-Plateau à Abomey-Calavi. En dépit de la forte pluie qui s'est abattue sur la ville, autorités, imam et fidèles musulmans ont rendu grâce à Allah pour ses grâces durant le mois béni de Ramadan. La prière a été dirigée par l’imam de ladite mosquée, El Hadj Moutawakil Malik Boukari. Fortes pluies depuis la veille de la célébration de la fête de l’Aïd El Fitr jusqu’à l’heure de la prière du jour, voies d’accès à la mosquée centrale Médine II d’Agori-Plateau impraticables, sol humide, quelques dégâts matériels dans le rang de certains techniciens venus couvrir l’évènement. Voilà entre autres incidents qui ont failli perturber la célébration de la fête de Ramadan 2014, à Abomey-Calavi hier. Mais, plus de peur que de mal, la fête a eu lieu. Malgré ces contretemps, les fidèles musulmans ont répondu présents à l’appel d’Allah en récitant le Saint Coran, pendant une heure environ pour ses bénédictions pendant tout le mois de Ramadan. Et même si la prière prévue pour se dérouler à la place Idi du domaine de l'ORTB à Abomey-Calavi, a été transférée à la mosquée centrale Médine II et a commencé avec quelques minutes de retard, elle n’a souffert d’aucune insuffisance. Ils étaient des dizaines de fidèles, petits et grands à braver la pluie, en signe de reconnaissance et de remerciement au Très miséricordieux Allah pour ses grâces incommensurables sur la communauté musulmane béninoise et d’ailleurs et sur tout le monde entier, notamment le Bénin et les pays dévastés par la guerre, la famine et les épidémies. Dans une prière unanime, ils ont réfléchi sur le mois béni de Ramadan dont les nuits et les jours ont été chargés des actes de dévotion, de jeûne, de prières nocturnes et de récitation du Saint Coran. «La communauté musulmane a fait ses adieux à cette saison qui appartient aux saisons spirituelles : bienheureux est celui qui a su profiter de cette occasion bénite pour se consacrer aux bonnes actions qui ont été agréées par la grâce d’Allah !», a dit l'imam El Hadj Moutawakil Malik Boukari. Le mois de Ramadan lorsqu’il s’achève, constitue une précieuse occasion dans la vie de chaque musulman. Raison pour laquelle, il les exhortera à bannir certains mauvais comportements pour toujours plaire à Allah. «Dans ces jours de fête et de joie, vous jouissez des moments heureux, mais il est nécessaire pour beaucoup de gens de rectifier des mauvaises conceptions sur leurs relations avec Allah le Très haut après Ramadan», a-t-il conseillé. Les temps de privation sont désormais terminés, place maintenant à la fête et aux réjouissances, mais pas d'excès à la débauche, prévient-il. «Après avoir goûté à la douce saveur de la dévotion durant le mois de Ramadan, il ne convient pas au musulman une fois le mois terminé de ruiner ce plaisir en sombrant dans les péchés au goût amer», a-t-il rappelé. Prières pour le gouvernement et le peuple béninois L’éclat de la fête a été rehaussé par la présence de plusieurs autorités. Au nombre de celles-ci, le ministre de l’Agriculture; de l’Elevage et de la Pêche, Fatouma Amadou Djibril, le directeur général de la SOBEMAP, Soumanou Toléba, les cadres du ministère de la Famille... Ces dernières, tout comme l’imam de la mosquée Médine Il dAgori-Plateau ont beaucoup imploré la clémence d’Allah pour la stabilité, la paix, la réduction de la pauvreté au Bénin, le pardon du prochain, la charité et la solidarité. Ils ont également imploré l'assistance d’Allah sur le chef de l'Etat, Boni Yayi et son gouvernement, l'ensemble des institutions de la République, les partis politiques, les acteurs de la Société civile et les dignitaires religieux pour qu’ensemble, ils construisent un Bénin de paix, de fraternité, de justice, d'équité et de transparence. bibo:pages 12 -- o:id 7610 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7610 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7626 26760 26761 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b986bbd6658ec6242f2547b575168c532432c335.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e7a912740bd4ba16a0cee67453a5755b2e02fa33.tiff https://islam.zmo.de/files/original/58524379350c61d22744426c465b050e0b8b6964.tiff dcterms:title Célébration de la fête de Ramadan : des prières pour la Nation à la Place Idi d'Akpakpa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1514 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2027 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14908 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-07-29 dcterms:identifier iwac-article-0003525 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans ont commémoré hier lundi 28 juillet la fin du mois de jeûne qui consacre la célébration de la fête de Ramadan. C’est la place Idi à Akpakpa qui a abrité les prières conduites par l’imam central de Cotonou, El-Hadj Ibourahima Ousmane, en présence du ministre d’Etat François Abiola. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans ont commémoré hier lundi 28 juillet la fin du mois de jeûne qui consacre la célébration de la fête de Ramadan. C’est la place Idi à Akpakpa qui a abrité les prières conduites par l’imam central de Cotonou, El-Hadj Ibourahima Ousmane, en présence du ministre d’Etat François Abiola. La pluie qui s'est abattue hier sur la ville de Cotonou n’a pas empêché les fidèles musulmans de se rendre massivement à la Place Idi pour assister à la prière de Ramadan. Bien vêtus en tenue locale, ils sont venus de tous les arrondissements de Cotonou pour prendre part à la prière dite par l’imam de la mosquée centrale de Cotonou, El-Hadj Ibouraïma Ousmane. C’est le ministre d’Etat François Abiola qui a représenté le gouvernement à cette commémoration. Au rang de personnalités venues assister à cette prière, il y avait l’ancien président du Conseil économique et social, Rafiou Toukourou et l’ancien ministre du Commerce, Soumanou Moudjaïdou. Au cours de cette cérémonie, l’imam Ibourahima Ousmane a dit des prières pour la Nation béninoise, le gouvernement et son chef. Il a mis l’accent sur l’importance de la tolérance religieuse. «Pour une bonne entente entre les confessions religieuses, il faut que chacun se respecte et qu’une confession religieuse ne se mêle pas des pratiques des autres», explique-t-il. Le mois de jeûne est l’occasion pour les musulmans de recevoir la bénédiction divine parce qu’on se débarrasse de toutes les souillures avant d’adresser des prières à Allah. Aussi, a-t-il insisté pour que les fidèles ne retombent pas dans le péché une fois le jeûne interrompu. Car, tendre vers la vertu doit être une quête permanente. Représentant le gouvernement, le ministre d’Etat François Abiola dit être venu témoigner de la sympathie du chef de l’Etat envers la communauté musulmane. «D’autres délégations ministérielles sont à d’autres endroits pour le même exercice afin d'être de cœur avec les musulmans en ce jour béni de Ramadan», a-t-il souligné. La prière terminée, les fidèles sont invités à poursuivre la fête dans leurs maisons. Après un mois de privation, adultes, jeunes et adolescents peuvent maintenant laisser libre cours à leur envie gloutonne. bibo:pages 1 12 -- o:id 7611 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7611 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7627 26762 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e60cfa1d0d18d509579cc05e5a36a6d8eb7ea304.pdf https://islam.zmo.de/files/original/84d767adfd47d5f8bb7e82f738533ef4e8922196.tiff dcterms:title Don de la Jama'at islamique Ahmadiyya au Bénin : des vivres pour soulager les personnes en situation difficile dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-07-24 dcterms:identifier iwac-article-0003526 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté islamique Jama’at Ahmadiyya fait œuvre utile au Bénin. C’est à travers un important lot de vivres destinés aux patients du Centre hospitalier et départemental de l’Ouémé-Plateau, aux détenus de la prison civile de Porto-Novo et aux pensionnaires de l’orphelinat Notre-Dame de la Miséricorde d’Adjarra. La délégation a été conduite dans ces trois centres hier mercredi 23 juillet par le président de ladite communauté au Bénin, Rana Farooq Ahmad. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté islamique Jama’at Ahmadiyya fait œuvre utile au Bénin. C’est à travers un important lot de vivres destinés aux patients du Centre hospitalier et départemental de l’Ouémé-Plateau, aux détenus de la prison civile de Porto-Novo et aux pensionnaires de l’orphelinat Notre-Dame de la Miséricorde d’Adjarra. La délégation a été conduite dans ces trois centres hier mercredi 23 juillet par le président de ladite communauté au Bénin, Rana Farooq Ahmad. Mois de carême, mois de privation, mais aussi de partage, de solidarité et d'amour. Une fois encore la communauté islamique Jama’at Ahmadiyya ne s’est pas écartée de cette prescription musulmane. Comme à ses habitudes, elle a saisi cette période de carême pour réchauffer le cœur des pensionnaires de l’orphelinat Notre-Dame de la Miséricorde d’Adjarra, les détenus de la prison civile de Porto-Novo et des patients du Centre hospitalier départemental de l’Ouémé-Plateau (CHD-OP). Avec des bras chargés de vivres, les membres de cette communauté sont allés exprimer leur compassion, mais surtout les aider à réduire leurs dépendances en besoins nutritionnels. Constitués de riz, de pâtes alimentaires, d’huile, de sucres, de tomates concentrées, ces lots de vivres viennent donner du souffle aux responsables des différents centres dans la réduction de la dépendance nutritionnelle qui constitue parfois un véritable souci pour les bénéficiaires. La Communauté islamique Jama’at Ahmadiyya n’est pas à ses débuts en matière d’œuvre charitable au Bénin. Chaque année, elle multiplie les actions sociales à l’endroit des personnes en situations difficiles. Pour elle, la période de carême est la plus favorable pour faire l’aumône. Le geste d’hier ne constitue donc qu’un respect de la tradition qu’elle s’est fixée en vue de l’épanouissement des couches défavorisées du Bénin. Dans les trois centres visités, les bénéficiaires se sont laissé aller à leur émotion. Le sourire se lisait sur les visages après réception des vivres. C’est ce sentiment qui a également animé les autorités ayant réceptionné les lots au niveau de chacun des trois centres. Ceux-ci après avoir salué à sa juste valeur le geste des donateurs, ont souhaité qu’ils ne s’en arrêtent pas en si bon chemin. «Nous soignons des malades qui éprouvent beaucoup de difficultés à se prendre en charge sur le plan nutritionnel. Avec ce geste, ils seront certainement guéris à moitié», se réjouit le surveillant général du CHD-OP, Géraud Hounkpatin qui, tout comme la chargée de mission de la préfecture de Porto-Novo Martine Adéloui, salue la promptitude et le renouvellement des actions sociales de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin. Toutefois, les besoins des bénéficiaires sont divers, variés et étendus à d’autres domaines. Leurs mains restent donc tendues pour des futurs dons, dira le porte-parole des enfants de l'’Orphelinat Notre-Dame de la Miséricorde, Angélique Agbotounso. Répondant à ce cri de cœur, le président de la Jama’at islamique Ahmadiyya, Rana Farooq Ahmad, promet au nom de la communauté de revenir très prochainement avec des gestes plus forts. bibo:pages 11 -- o:id 7612 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7612 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7628 26763 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5bc17ece78ce99e1f1cd3b9aad7532241a793858.pdf https://islam.zmo.de/files/original/369dacf420f19aec88ca26e46f89dc166a3fa2d1.tiff dcterms:title Appui aux musulmans de la prison civile de Cotonou : un acte de sollicitude posé à l'égard des détenus dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1508 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2020 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-07-24 dcterms:identifier iwac-article-0003527 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Conduite par son président El Hadj Youssouf Ligaly, une délégation de l’ONG Bourack a apporté des vivres, hier mercredi 23 juillet aux détenus musulmans en carême de la prison civile de Cotonou. Ce geste affable, est la réponse à la sollicitation de la communauté musulmane de cette maison pénitentiaire. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14711 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Conduite par son président El Hadj Youssouf Ligaly, une délégation de l’ONG Bourack a apporté des vivres, hier mercredi 23 juillet aux détenus musulmans en carême de la prison civile de Cotonou. Ce geste affable, est la réponse à la sollicitation de la communauté musulmane de cette maison pénitentiaire. Plus de 500 fidèles musulmans, toutes nationalités confondues, sont incarcérés à la prison civile de Cotonou. Et une centaine de personnes se sont converties à l’Islam au sein de la prison. Pour faire face aux difficultés rencontrées en ce mois de carême, la communauté musulmane de cette maison carcérale a adressé vendredi 18 juillet dernier à l’ONG Bourack, une demande d’assistance dans les diverses activités liées à la période du jeûne. Celle-ci a répondu favorablement à l’appel. Sa réponse s’est manifestée hier mercredi 23 juillet, 26e jour du mois de Ramadan, par une remise de vivres de tout genre à ladite communauté. C’est le président de l'ONG El Hadj Youssouf, qui a conduit la délégation venue honorer les détenus musulmans. Des sacs de riz, de gari, des bidons d’huile, des paquets de sucre, et de spaghetti, des cartons de lait, des chaussures, et tapis pour la prière, des pains de savon, des bouilloires. Voilà quelques uns des vivres et équipements qui ont été offerts à la communauté musulmane de la prison civile de Cotonou. Recevant officiellement les présents de la main du président El Hadj Youssouf Ligaly, le gardien-chef de la prison civile de Cotonou, Théophile Sehounon, a salué l’ONG pour cette preuve d’amour et de charité envers ces musulmans détenus. Le représentant des bénéficiaires El Hadj Zato, secrétaire général de la communauté musulmane de la prison civile, a lui aussi, remercié l’ONG Bourack pour ce don qui témoigne de leur bonne foi. Pour le président de l’ONG Bourack, El Hadj Youssouf Ligaly, c’était un devoir fraternel. « Nous ne pouvions pas rester insensibles à cette forte demande de nos frères et soeurs. C’est avec joie que nous sommes venus apporter notre modeste contribution à cet appel », explique-t-il. La délégation s’est ensuite rendue à la mosquée de la prison civile pour une prière coutumière. Là, il a été remis à l’imam de ladite mosquée, Oumarou Ibrahim, un Coran et une enveloppe de 50 000F CFA pour les besoins usuels de la communauté. Celui-ci n’a pas caché sa joie: «Nous sommes- très satisfaits de ce geste. Ça vient nous soulager de la misère que nous vivons. Merci à tous ceux qui ont contribué à ce don », a-t-il mentionné. C’est après ce geste empreint de sollicitude, que la délégation de l’ONG Bourack a pris congé des détenus. bibo:pages 11 -- o:id 7613 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7613 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7629 26764 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/924a45738661e83c848054d8a7702a5f0116272f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d8e2fa4721ff1f996e166a02a92b5934d7e59e99.tiff dcterms:title Carême musulman 2014 : Libercom SA distingue ses meilleurs clients musulmans dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-07-21 dcterms:identifier iwac-article-0003528 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La société de téléphonie mobile, Libercom SA a gratifié de présents, vendredi 18 juillet dernier à son siège à Cotonou, ses meilleurs clients musulmans consommateurs de ses produits. C’était à la faveur d’une cérémonie fort simple placée sous l’égide de son directeur général, Idrissou Djima. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La société de téléphonie mobile, Libercom SA a gratifié de présents, vendredi 18 juillet dernier à son siège à Cotonou, ses meilleurs clients musulmans consommateurs de ses produits. C’était à la faveur d’une cérémonie fort simple placée sous l’égide de son directeur général, Idrissou Djima. Une quarantaine de clients musulmans de Libercom ont reçu des mains de la direction générale de cette société GSM des dons pour les accompagner dans leur carême. Les récipiendaires ont été distingués pour leur attachement aux produits de Libercom SA. Ce geste à l’endroit des fidèles musulmans, gros consommateurs des produits de la société GSM de l'Etat, intervient après celui effectué en faveur des meilleurs clients catholiques, en avril dernier, à l’occasion du carême catholique en prélude à la fête de Pâques 2014. Ces différents dons s’inscrivent dans le cadre des actions de fidélisation de la clientèle, dira le directeur commercial et marketing de Libercom SA, Roger Adjadja. Ils visent à rapprocher chaque jour un peu plus Libercom SA de ses clients, ajoute-t-il. Roger Adjadja remercie tous les abonnés de Libercom en général et les gros clients en particulier qui, malgré les difficultés de la société, ne cessent de soutenir le réseau à travers leurs achats. Il a exhorté les clients musulmans distingués, à tout faire, pour ne jamais quitter le cercle des consommateurs privilégiés des produits de Libercom SA et à élargir ce groupe. Le directeur commercial et du marketing a prié Dieu par ce temps de carême, de leur donner les moyens financiers nécessaires pour relever ce défi. Libercom SA promet-il, pour sa part, continuera d’être le réseau GSM qui pratique les prix les plus compétitifs sur le marché GSM béninois. Et ceci en phase avec son slogan "communiquer en toute liberté". Le directeur général de Libercom SA, Idrissou Djima, témoignera également la reconnaissance de sa société aux récipiendaires. Selon lui, si le jeûne est l’un des cinq piliers de l’islam, les clients, quant eux, constituent l’unique pilier de Libercom SA qui demeure le réseau le moins cher au Bénin et pratique la vérité des prix. Sur certains services comme la connexion Internet, il dispose des offres qui défient toute concurrence, rapport qualité/prix, insiste Idrissou Djima. Il exhorte tous ceux qui n’ont pas encore fait l’expérience de ce réseau à s’abonner pour bénéficier des avantages incommensurables de cette société. Issa do Régo, au nom des récipiendaires, a remercié le directeur général de Libercom SA d’avoir pensé à eux pendant ce mois de carême. Il a réitéré toute la détermination des récipiendaires à ne jamais quitter « ce réseau national leur patrimoine commun ». bibo:pages 3 -- o:id 7614 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7614 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7630 26765 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a1b666d00d25a7b366f0c330df6087b109b6f0a7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/497c1e2778be77fc79bff331e7fe35cfb2b18ced.tiff dcterms:title Appui du gouvernement à la communauté musulmane : un geste de solidarité nationale d'environ 100 millions dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1508 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2029 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14004 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-07-21 dcterms:identifier iwac-article-0003529 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Samedi 19 juillet dernier, sur l'esplanade intérieur du stade de l’Amitié, le ministre chargé des Relations avec les Institutions Bio Toro Orou Guiwa a procédé à la remise officielle de vivres aux communautés musulmanes qui vivent depuis quelques jours le carême du Ramadan. Ce geste de solidarité nationale effectué par le gouvernement est composé des sac de riz, de cartons de sucre, de lait Peak et de bidons d’huile dont le coût s’élève à 85 millions de francs CFA. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Samedi 19 juillet dernier, sur l'esplanade intérieur du stade de l’Amitié, le ministre chargé des Relations avec les Institutions Bio Toro Orou Guiwa a procédé à la remise officielle de vivres aux communautés musulmanes qui vivent depuis quelques jours le carême du Ramadan. Ce geste de solidarité nationale effectué par le gouvernement est composé des sac de riz, de cartons de sucre, de lait Peak et de bidons d’huile dont le coût s’élève à 85 millions de francs CFA. En sa qualité de garant de la solidarité nationale, principe cardinal consacré par la Constitution du 11 décembre 1990, le chef de l’Etat a fait preuve de sollicitude à l’égard de la communauté musulmane en carême depuis trois semaines. Cette sollicitude s’est manifestée samedi 19 juillet dernier à travers une remise de vivres aux fidèles musulmans. La cérémonie officielle de remise des dons s’est tenue sous l’égide du ministre chargé des Relations avec les Institutions (MCRI) Bio Toro Orou Guiwa, président du Comité ministériel du Cadre de gestion de l’appui du gouvernement aux confessions religieuses et à la chefferie traditionnelle, en présence d’imams et de hauts dignitaires musulmans. En tant que président du comité de pilotage de l’appui, le directeur de cabinet du MCRI, Nassirou Maman, a dévoilé le don d’une valeur de 85 millions F CFA, composé de 1000 sacs de riz de 50kg, 771 bidons d’huile de 25 litres, 500 cartons de sucre, 309 cartons de lait Peak de 48 boîtes. Les communautés musulmanes de l’Atacora-Donga, de l’Ouémé-Plateau, du Mono-Couffo, de l’Alibori-Borgou, de l’Atlantique-Littoral et de l’Union Islamique du Bénin (UIB) ont eu chacune leur part. «Ce geste s’inscrit à la fois dans le cadre de la reconnaissance par l’Etat de la qualité, et de l’immense contribution des Organisations de la Société civile à la stabilité démocratique ; puis de la mise en œuvre de la politique de la prospérité partagée qui réside dans la répartition équitable des richesses du pays entre filles et fils du pays sans distinction aucune», a expliqué le ministre Bio Toro Orou Guiwa. Avant de procéder à la remise symbolique des vivres, il a annoncé que la communauté musulmane bénéficierait dans les prochains jours, d’une somme de 25 millions F CFA pour appuyer l’organisation du Hadj 2014 ; et de quinze millions F CFA pour le fonctionnement de l’Union islamique du Bénin. Ce qui fait au total un appui de 125 millions F CFA à la communauté musulmane. Devant ce geste fort, le secrétaire général de l’UIB, El Hadj Faissou Adégbola, a exprimé toute la gratitude de la communauté musulmane à l’égard du gouvernement. «Par ma voix c’est tous les fidèles musulmans qui vous remercient. Soyez rassurés de nos prières à votre, intention», a laissé entendre le secrétaire général de l’UIB. bibo:pages 3 -- o:id 7615 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7615 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7631 26766 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/12c7b9441616de664692426b5d1f9e6713a9e435.pdf https://islam.zmo.de/files/original/12b30154aeffb9cd9d7adaf97955dc5a9baede35.tiff dcterms:title Cherté des fruits en période de carême : clients, détaillants et grossistes se rejettent la responsabilité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1550 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1514 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-07-10 dcterms:identifier iwac-article-0003530 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Loin d’être une prescription du Coran, la consommation de fruits en période de carême répond à l’envie de la grande majorité des musulmans de suivre à la lettre l’un des enseignements du prophète Mahomet. C’est lui qui a conseillé aux fidèles qu’après toute une journée de privation d'aliment, il est souhaitable que le croyant rompt le jeûne en commençant par les fruits. Mais cela suffit-il à expliquer la fluctuation des prix des fruits en période de carême ? Au marché de fruits de Cadjèhoun comme à Ganhi et chez les grossistes à Dantokpa, la chose est décriée tant par les clients que par les détaillants qui rejettent la responsabilité sur les grossistes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Loin d’être une prescription du Coran, la consommation de fruits en période de carême répond à l’envie de la grande majorité des musulmans de suivre à la lettre l’un des enseignements du prophète Mahomet. C’est lui qui a conseillé aux fidèles qu’après toute une journée de privation d'aliment, il est souhaitable que le croyant rompt le jeûne en commençant par les fruits. Mais cela suffit-il à expliquer la fluctuation des prix des fruits en période de carême ? Au marché de fruits de Cadjèhoun comme à Ganhi et chez les grossistes à Dantokpa, la chose est décriée tant par les clients que par les détaillants qui rejettent la responsabilité sur les grossistes. Charlotte Kpatènon, vendeuse de fruits à Cadjèhoun « La papaye que nous prenions à 3000 ou 3500 le lot de 40 est subitement passée à 12000 FCFA » « La papaye que nous prenions à 3000 ou 3500 le lot de 40 est subitement passée à 12000 FCFA. Il en est de même pour l'ananas qui est passé de 3500 FCFA le tas de 40 à 6000 FCFA. En période de carême, les fruits prennent du prix mais les clients ne veulent pas en attendre parler. Ils nous boudent et bonjour la mévente? Même chez les musulmans ce n’est pas la grande affluence. Après le carême, les prix ne baissent pas automatiquement. Cela prend du temps. Il faut d’abord que l’on écoule le stock actuel ». Abibatou Damata, vendeuse en gros d’ananas à Dantokpa «En période de carême généralement les fruits augmentent de prix, depuis la source» « Je ne peux pas vendre cet ananas à 2500 FCFA. Regardez bien vous-même sa grosseur. Nulle par ailleurs vous n’allez acheter ça à 2500 FCFA ». Ainsi s’exprimait dame Abibatou Damata face à un client devant un tas d’ananas. Interrogée sur le prix actuel de ce fruit tant prisé en ces temps de carême, elle répond : « Je ne peux pas dire que le lot de 40 ananas se vend à tel prix. Cela dépend du prix de cession, de la grosseur et de la qualité. Les prix ne sont jamais les mêmes au marché. Un tas de 40 ananas peut coûter 3000 FCFA aujourd’hui et demain 2500 FCFA. En période de carême généralement les fruits augmentent de prix. Mais c’est depuis la source. Les clients ne comprennent pas cela et parfois on est obligé de les liquider pour éviter la perte parce que ce sont des denrées périssables ». bibo:pages 11 -- o:id 7616 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7616 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7632 26767 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/518a92efa98326a1acb2dacd25d3d3b40d79e933.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6f4a207c7958367d285310a540cac20ae8dba6d6.tiff dcterms:title Divergences autour du début du jeûne musulman : croire au calendrier lunaire ou au calcul des astrologues ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1508 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2020 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-07-10 dcterms:identifier iwac-article-0003531 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Depuis samedi 28 juin dernier, les musulmans, pour la plupart, ont entamé le mois de jeûne du ramadan qui sera célébré lundi 28 juillet prochain. Ce sont là, les dates retenues par l'Union islamique du Bénin en se basant sur les calculs des astrologues et la loi islamique, pour faire consensus autour de la question. Malgré cette initiative consensuelle, il y a encore des brouilles. Pour preuve, tous les musulmans n’ont pas commencé le mois de jeûne le même jour. D’autres l’ont débuté dimanche 29 juin prenant exclusivement pour base, la Loi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Depuis samedi 28 juin dernier, les musulmans, pour la plupart, ont entamé le mois de jeûne du ramadan qui sera célébré lundi 28 juillet prochain. Ce sont là, les dates retenues par l'Union islamique du Bénin en se basant sur les calculs des astrologues et la loi islamique, pour faire consensus autour de la question. Malgré cette initiative consensuelle, il y a encore des brouilles. Pour preuve, tous les musulmans n’ont pas commencé le mois de jeûne le même jour. D’autres l’ont débuté dimanche 29 juin prenant exclusivement pour base, la Loi. Le calendrier musulman est lunaire. Une année lunaire compte 12 mois et chaque mois fait 29 ou 30 jours. Le "Ramadan" est en fait le neuvième mois, le mois qui suit le "Cha bân", huitième mois. C’est par l’apparition du croissant de lune qu’on connaît la fin d’un mois et le début d’un autre. Cette année, le Cha bân, huitième mois, a commencé le 29 mai. D’après les calculs astrologiques, le croissant de lune devait apparaître le vendredi 27 juin, ce qui fait du samedi 28 juin, le premier jour du Ramadan, et donc le premier jour de jeûne. C’est la date retenue par l’Union islamique du Bénin. Mais le croissant n’a pas été vu le vendredi 27 juin. Comment l’expliquer ? C’est là, la cause de la discorde. L’Union islamique du Bénin qui dans sa programmation, a tenu compte de l’astrologie, l'explique par la saison pluvieuse. Mais un autre groupe de musulmans l’explique par la Sounnah (Tradition prophétique) qui stipule : « N’anticipez pas le Ramadan d’un jour ou de deux. Jeunez à la vue du croissant et interrompez le jeûne à la vue du croissant. Si vous ne l’avez pas vu, poursuivez le compte de Cha bân à trente jours». C’est en se basant sur ces écrits que certains ont 30 jours pour le Cha bân (huitième mois). Ce qui justifie le fait qu’ils aient débuté leur jeûne le dimanche 29 juillet. Qu’en disent les uns et les autres ? Pour Fawaz Bello, fidèle musulman qui a commencé son jeûne le dimanche 29 juillet, se baser sur le calcul des astrologues n’est pas conforme à la Sounnah (Tradition prophétique). « Il n’est pas permis de se baser sur la parole d’un astrologue pour déterminer le début du mois de Ramadan. On connaît le début et la fin des mois lunaires par l’observation du croissant lunaire. Le messager de Allah a interdit de commencer le jeune sans avoir, soit vu préalablement le croissant de lune de Ramadan, soit complété le mois de Cha Bân par un trentième jour au cas où les nuages auraient empêché l’observation du croissant », confirme le communiqué publié à cet effet sur le site www.islamreligion.fr. Par opposition à cette idée, El hadj Youssouf Ligaly, Imam adjoint de la Mosquée centrale de Cadjèhoun, pense : « S’il y a une science qui calcule l’éclipse solaire et cela se produit, pourquoi ne pas croire aussi en celle qui établit le calendrier lunaire. C’est Dieu qui leur a donné la science». Pour conforter son argument, il ajoute : « L’année dernière le même phénomène s’était produit. Certains ont compté 30 jours au lieu du 29 et ceux qui ont commencé le 29 ont eu raison. L’Arabie Saoudite qui avait compté 30 jours s’en était même excusée. Cette année, c’est la même chose. Le croissant de lune est réapparu le lundi 30 juin, le troisième jour, ce qui donne raison à ceux qui ont considéré vendredi pour l’apparition du croissant de lune ». « Le petit nombre devrait suivre la voix de la majorité » "Lors de la concertation, la majorité a décidé que le samedi 28 juin soit le premier jour de jeûne. Le fait que d’autres aient commencé dimanche 29 juin au lieu du samedi 28 juin n’est pas en soi un péché. Mais du point de vue coranique, ce comportement se traduit comme une désobéissance. Si l’Union des islamistes du Bénin, association qui coiffe la communauté musulmane a décidé que ce serait le vendredi, tous devraient se soumettre à cet ordre hiérarchique”. C’est ce qu’a fait comprendre El hadj Youssouf Ligaly. En cas de divergences, le Coran dit «Faites de la concertation! Si la majorité décide quelque chose, la minorité est tenue de se soumettre», a-t-il rappelé avant d’ajouter que l’obligation pour la minorité de se soumettre à la voix de la majorité est le gage de l’union et de la cohésion et que tout musulman doit se baser sur les paroles de Dieu et sur les pratiques du prophète Mahomed. bibo:pages 11 -- o:id 7617 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7617 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7633 26768 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7bed16e92576e87f88c5c984fb1052894c86e8b5.pdf https://islam.zmo.de/files/original/962854898e037816adf86bef62b57085f59d7ca0.tiff dcterms:title Pose de première pierre à Comé : les travaux de l'Université internationale du Koweït démarrent bientôt dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2027 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-06-24 dcterms:identifier iwac-article-0003532 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Alors que le président de la République était annoncé, c’est finalement le ministre d’Etat chargé de l’Enseignement supérieur qui a procédé, dimanche 22 juin dernier, à la pose de la première pierre de l’Université internationale du Koweït à Comé. Cet établissement sera dédié à la science, à l’art et à la technologie. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/297 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12857 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Alors que le président de la République était annoncé, c’est finalement le ministre d’Etat chargé de l’Enseignement supérieur qui a procédé, dimanche 22 juin dernier, à la pose de la première pierre de l’Université internationale du Koweït à Comé. Cet établissement sera dédié à la science, à l’art et à la technologie. L’événement revêt une importance capitale pour les habitants de Comé, d’autant que c’est la première fois de son histoire que la localité veut accueillir une infrastructure d’une telle envergure. L’Université du Koweït a ainsi connu sa première pierre dans la commune, à la grande satisfaction des élus locaux. «La mise en place de cette université viendra rehausser l’image de Corné», déclare le maire Bertin Tossou. Ce projet dont le coût est estimé à environ 40 milliards de francs CFA sera réalisé par l’ONG Directaid du Koweït, connue dans le monde arabo-musulman sous le nom de l’Agence Afrique Musulmans. Sa construction fait suite à la signature d’un mémorandum d’entente, le 22 novembre 2013 à Koweït-City, entre le gouvernement et cette organisation, en marge du sommet arabo-africain tenu dans la capitale koweïtienne. Abdul Rahman Al-Muhailan, président du Conseil d’administration de Directaid, indique que la construction de l’Université internationale du Koweït au Bénin, la quatrième du genre sur le continent noir s’inscrit dans la droite ligne du souci d’investir dans l’éducation en Afrique qui a toujours animé le fondateur de Directaid, Abdulrahman Al Sumait, fauché par la mort l’année dernière. La réputation de cette organisation dans le domaine humanitaire a d’ailleurs amené l’émir du Koweït, Sheikh Sabah Al Ahmad Al Jaber Al Sabah, à créer un prix en mémoire de son fondateur Abdulrahman Al Sumait. Ce prix doté d’une enveloppe d’un million de dollars, soit environ 500 millions de francs CFA, est dédié aux recherches sur le développement en Afrique. «La construction d’une université est un événement fondateur car, il s’agit d’un instrument de culture et de formation pour toute la jeunesse», souligne François Abiola, ministre d’Etat chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Pour lui, l’implantation de ce joyau à Corné concrétise le partenariat entre l’Etat et les collectivités locales et constitue l’expression de l’intérêt du président de la République à tout ce qui touche à la cohésion nationale. Il soutient que Corné a été retenu pour être l’épicentre de cette nouvelle université bilingue, à vocation scientifique et technologique dans la mesure où il s’agit d’une Université des sciences, des arts et de la technologie. Elle devra donc accueillir des filières scientifiques et technologiques et être orientée vers la recherche-développement. L’enjeu pour le gouvernement, poursuit François Abiola, c’est de renforcer les bases du système éducatif béninois qui exprime un besoin important dans les filières scientifiques et technologiques. Les travaux démarreront avant la fin de l’année en cours. bibo:pages 3 -- o:id 7618 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7618 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7634 26769 26770 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b18200296fe3778a3db19c2b92a340fa9fcbb3da.pdf https://islam.zmo.de/files/original/60d009f77587b46a30f54589c80f1d48c9462ea9.tiff https://islam.zmo.de/files/original/927e1b55e3da950b82fff56a08d2fdabcfffc9a5.tiff dcterms:title Lancement officiel du Hadj 2014 : 4000 places octroyées au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2041 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12993 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-05-23 dcterms:identifier iwac-article-0003533 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre des Affaires étrangères, de l'Intégration africaine, de la Francophonie et des Béninois de l'Extérieur a procédé hier jeudi 22 mai à Cotonou au lancement officiel des activités entrant dans le cadre de l’organisation du pèlerinage à la Mecque édition 2014. Il avait à ses côtés, son collègue en charge des Finances et de l'Economie, Jonas Aliou Gbian et celui en charge des Travaux publics et des Transports, Aké Natondé. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre des Affaires étrangères, de l'Intégration africaine, de la Francophonie et des Béninois de l'Extérieur a procédé hier jeudi 22 mai à Cotonou au lancement officiel des activités entrant dans le cadre de l’organisation du pèlerinage à la Mecque édition 2014. Il avait à ses côtés, son collègue en charge des Finances et de l'Economie, Jonas Aliou Gbian et celui en charge des Travaux publics et des Transports, Aké Natondé. Les groupes de convoyeurs de pèlerins reprendront à nouveau du service pour l’organisation du voyage des concitoyens qui sont appelés à remplir le cinquième pilier de l’islam. Depuis 2012 en effet, le gouvernement a décidé de mettre en place un nouveau dispositif pour amorcer une meilleure organisation du Hadj, afin que les pèlerins voyagent dans de bonnes conditions. Pour montrer l’importance que revêt ce voyage dans la vie du musulman, le secrétaire général de l'Union islamique du Bénin, Adébola Faîs, a rappelé qu’il constitue le cinquième pilier de l’islam et surtout qu’il est obligatoire pour tout musulman disposant les moyens. Il a invité les musulmans à enrayer à jamais le spectre de la division de leur rang et rester ensemble pour atteindre les objectifs qui leur sont fixés par le prophète. Adébola Faîs a rassuré que les responsables de l’Union islamique du Bénin sont conscients de leur responsabilité. Le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine, de la Francophonie et des Béninois de l'Extérieur, Nassirou Bako-Arifari, a tenu à rappeler que le chef de l’Etat a placé l’organisation du Hadj parmi les priorités du gouvernement et que pour mieux l’organiser à la satisfaction des fidèles musulmans, il a pris la décision en 2011 de créer un comité technique national d'organisation de l’évènement. Un comité doté d’un appui financier, matériel et moral nécessaire. Le ministre en charge des Affaires étrangères a tenu à remercier ses collègues qui n’ont ménagé aucun effort pour accompagner les pèlerins lors de l’édition 2013, à travers les unités de vaccination, de délivrance des documents de voyage dans les délais en vue de l’obtention de visas, de négociations avec la compagnie de transport, des décaissements à temps des crédits nécessaires à la réussite de l’opération. Nassirou Bako-Arifari a affirmé que l’organisation jugée satisfaisante de l’édition du Hadj 2013, par l’ensemble des acteurs nationaux et par les autorités saoudiennes a été incontestablement possible grâce à l’engagement et au sens de responsabilité de chacun. Pour l’édition de cette année, il a informé les acteurs nationaux, que le quota alloué au Bénin par les autorités saoudiennes est de quatre mille (4 000) places irréductibles, soit une augmentation de huit cents places de plus que le quota de 2013. Une augmentation obtenue après de sérieuses négociations avec la partie saoudienne et qui est le fruit de la bonne conduite du Hadj 2013. Le ministre en charge des Affaires étrangères a averti les convoyeurs que l’édition de 2014 sera marquée par une application sans faille des nouvelles mesures prises par les autorités saoudiennes qui ont été travaillées et introduites dans le nouveau cahier des charges dont la signature sera rendue obligatoire pour tous les convoyeurs. Pour être agréés, les convoyeurs devront désormais se conformer aux conditions suivantes : respecter le tarif unique applicable sur toute l’étendue du territoire dont le montant est de 1 925 000 F CFA toutes taxes comprises. De même, les convoyeurs ont l’obligation de faire partir tous les pèlerins de l'aéroport international de Cotonou-Cadjèhoun et ils devront inscrire ces derniers deux semaines avant leur départ, pour éviter les flottements. Nassirou Bako-Arifari a demandé aux uns et aux autres d’éviter les actes qui pourraient compromettre le Hadj de cette année avant de prévenir les réseaux de faussaires en ce qui concerne les visas. bibo:pages 1 10 -- o:id 7619 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7619 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7635 26771 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/433ef29830764a5eaa85d6ab973a2e2fb296ca8d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7d35e57d9f5be4ffab72a879eecbbdb71a7ef141.tiff dcterms:title Ouvrage "Dialogue interreligieux, qu'en dit l'islam ?" : une contribution de El hadj Youssouf Ligali à la paix sociale dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13999 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14716 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14487 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1983 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2020 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-05-05 dcterms:identifier iwac-article-0003534 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La paix et la cohésion sociale sont devenues des préoccupations quotidiennes pour les leaders religieux. Selon eux, le dialogue interreligieux est l’une des voies les plus sûres pour y parvenir. C’est dans ce cadre que l’imam Youssouf Ligali vient de publier un recueil intitulé « Dialogue interreligieux, qu’en dit l’islam? » et dont le lancement a eu lieu samedi 3 mai dernier à la Tour administrative à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La paix et la cohésion sociale sont devenues des préoccupations quotidiennes pour les leaders religieux. Selon eux, le dialogue interreligieux est l’une des voies les plus sûres pour y parvenir. C’est dans ce cadre que l’imam Youssouf Ligali vient de publier un recueil intitulé « Dialogue interreligieux, qu’en dit l’islam? » et dont le lancement a eu lieu samedi 3 mai dernier à la Tour administrative à Cotonou. Plus qu’une simple cérémonie de présentation et de lancement de livre, la cérémonie organisée samedi dernier à la Tour administrative de Cotonou était devenue pour nombre de leaders religieux, une occasion pour réaffirmer leur attachement à la paix et au dialogue entre les différentes confessions. De leur discours, il ressort que le Bénin est un pays où l’adoration de l’être suprême se fait de mille manières. Mais malgré cette différence, les objectifs des confessions restent les mêmes, à savoir la paix et le développement. Pour le père Justin Bocovo, représentant l’Eglise catholique, «on ne peut pas aimer Dieu et haïr». Le souci majeur de toute communauté religieuse, selon lui, doit être orienté vers le développement. Pour l’imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun, «nulle part dans le Coran, on n'a demandé de s’entretuer». Selon ses explications, le respect entre les religions et l’acceptation mutuelle sont des valeurs cardinales qui permettent aux nations de corriger les carences des politiques et d’éviter les catastrophes. Dans la même veine, Nicodème Allagbada, président de l’Eglise protestante méthodiste martèlera que «le dialogue interreligieux est un moyen de lutte contre la négation de l’autre». Dah Gbèdiga, au nom des religions endogènes n’en dira pas le contraire. Ses pairs et lui, rassure-t-il, ont déjà pris la mesure des responsabilités qui sont les leurs afin que le Bénin soit épargné de tout éventuel affrontement. Le pasteur Philibert Kpanou de l’Eglise du christianisme céleste, pour sa part, va insister sur l’opportunité d’une telle rencontre et souhaiter que la famille et les cercles religieux soient des creusets d’éducation et de sensibilisation. Intervenant au nom des Eglises évangéliques du Bénin, Edgard Soukpon proposera un cadre permanent d’échanges entre confessions pour discuter aussi des questions de développement. Ces multiples interventions, El hadj Youssouf Ligali, imam de la mosquée de Cadjèhoun, auteur du livre «Dialogue interreligieux, qu’en dit l’islam ?» les identifiera comme étant le résumé de son livre. Lequel est subdivisé en trois parties et aide à comprendre le concept de dialogue interreligieux et tout particulièrement ce qu’en dit l’islam. Le directeur de cabinet du ministère chargé des Relations avec les Institutions, Nassirou Mamam, a salué les efforts de l’auteur à travers cet outil de sensibilisation qui permettra à toutes les religions du Bénin de mieux échanger et se comprendre. bibo:pages 13 -- o:id 7636 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7636 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7652 26772 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bd44b2a1c91c77bed70844c26df27e376edef2d8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/adf08a7f71fd22de6e186595fdf852d374d347c2.tiff dcterms:title Conférence de Muhammad Sharif Odeh à l'Université de Parakou. Ahmadiyya : un nouveau regard sur l'islam ! dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13986 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13620 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-06-11 dcterms:identifier iwac-article-0003535 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Venu au Bénin dans le cadre du symposium international sur la paix et le développement par le dialogue interreligieux et interculturel qui s’est tenu du 26 au 28 mai dernier à Cotonou, le représentant du 5e calife, chef mondial de la Jama'at islamique Ahmadiyya, s'est entretenu avec les jeunes sur le thème «Problèmes des temps modernes et solutions de l’islam». Après l'Université d’Abomey-Calavi, Muhammad Sharif Odeh était mardi 9 juin dernier face aux étudiants de l’Université de Parakou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14158 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Venu au Bénin dans le cadre du symposium international sur la paix et le développement par le dialogue interreligieux et interculturel qui s’est tenu du 26 au 28 mai dernier à Cotonou, le représentant du 5e calife, chef mondial de la Jama'at islamique Ahmadiyya, s'est entretenu avec les jeunes sur le thème «Problèmes des temps modernes et solutions de l’islam». Après l'Université d’Abomey-Calavi, Muhammad Sharif Odeh était mardi 9 juin dernier face aux étudiants de l’Université de Parakou. Dans ses propos liminaires, le conférencier a fait observer que le monde a basculé dans l’obscurantisme et dans des guerres inutiles parce que les hommes ont choisi de tourner dos. à Allah et ses enseignements, lui qui les a pourtant créés pour l’adorer. Il s’insurge contre la mesquinerie, l’usure à travers le microcrédit, la haine, les conflits, toutes choses qui éloignent l’homme de son créateur et conduisent à sa perte. C’est ainsi des Arabes et des musulmans se sont détournés des principes d’amour et de paix de Dieu unique et de la religion musulmane et «il ne reste que des ruines», indique-t-il, allusion faite aux affres de l’extrémisme religieux à travers les agissements terroristes et barbares de Boko Haram, de l’Etat islamique. Selon Muhammad Sharif Odeh, ces gens qui sont devenus des « pires ennemis de Dieu » ne sont pas de vrais musulmans. En fait, l’islam qui signifie amour et paix, paix avec soi-même, avec sa famille et avec la société, est une religion qui insiste sur le caractère sacré de la vie et ne tolère la violence sous aucune forme, insiste le conférencier. « Nous vivons actuellement une période d’ignorance et d’obscurantisme », conclut Muhammad Sharif Odeh. Il a invité les jeunes à en prendre conscience, en prônant et en cultivant l’amour, la tolérance et la paix autour d’eux au quotidien. bibo:pages 6 -- o:id 7637 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7637 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7653 26773 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/efe668db53e7b1f4f92dbb8e1e581c60f5ebd56e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1dbfae66f43fea2853334f281345a8d78180c933.tiff dcterms:title Infrastructures socio-éducatives : bientôt, une école bilingue anglais-français à Amanwignon à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15240 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-06-11 dcterms:identifier iwac-article-0003536 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une école primaire bilingue anglais-français et laïque ouvrira bientôt ses portes au quartier Amanwignon à Parakou. La pose de la première pierre de cette infrastructure socio-éducative a eu lieu hier mercredi 10 juin sous l’égide du président de la communauté Ahmadiyya de Palestine en visite au Bénin, Muhammad Sharif Odeh. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/407 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une école primaire bilingue anglais-français et laïque ouvrira bientôt ses portes au quartier Amanwignon à Parakou. La pose de la première pierre de cette infrastructure socio-éducative a eu lieu hier mercredi 10 juin sous l’égide du président de la communauté Ahmadiyya de Palestine en visite au Bénin, Muhammad Sharif Odeh. Un bâtiment de type R+1 qui comprendra six classes et un bloc administratif, le tout implanté sur un espace d’environ 500m2. Ainsi se présente le plan de l'école bilingue français-anglais et laïque que la communauté Ahmadiyya entend mettre en place au quartier Amanwignon dans le 1er arrondissement de Parakou. C’est Muhammad Sharif Odeh, président de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya de Palestine en visite au Bénin qui a procédé hier à la pose de la première pierre du joyau attendu. C'est en présence du préfet du Borgou-Alibori, Salamatou Kora Ponou, du deuxième adjoint au maire de Parakou, Pierre K. Arayé, du président d’Ahmadiyya au Bénin, Ahmad Rana Farooq, et autres membres de ladite communauté. Au nom des potentiels bénéficiaires, Pierre Arayé a salué cette initiative qui s’inscrit dans «le sens du savoir», avant d’insister sur la nécessité de savoir parler anglais de nos jours dans un monde devenu un village planétaire. Il sera appuyé par le préfet Salamatou Kora Ponou qui, en présentant la gratitude des populations aux missionnaires de la communauté musulmane, a souligné que ce geste «louable» participe de l’accompagnement des efforts du gouvernement dans le renforcement du système éducatif. Et la communauté Ahmadiyya présente dans environ 360 localités du Borgou et de l'Alibori depuis plusieurs années n’est pas à son premier geste, se réjouit-elle. Elle n'en veut pour preuves que les nombreuses œuvres sociocommunautaires menées, à savoir le traitement gratuit de certaines maladies dont l’opération de la cataracte chez certains patients, la construction de modules de salles de classe, de centres de santé, de puits à grand diamètre, des dons divers, pour soulager les peines des populations. Salamatou Kora Ponou a saisi l’occasion pour souhaiter que cette sollicitude de la Jama'at islamique Ahmadiyya ne s'arrête point. Elle sera rassurée par le représentant du 5e Khalifa (calife), Muhammad Sharif Odeh qui, au nom du chef mondial de cette communauté musulmane, a réitéré l’engagement de cette dernière à œuvrer davantage pour un mieux-être des populations. Une place de choix est accordée à l’éducation des enfants afin de combattre l’ignorance et qu’ils deviennent de grands connaisseurs, de grands savants, car ils constituent l’avenir et le fer de lance du développement, justifie-t-il. Muhammad Sharif Odeh s’est dit sidéré par les milliers d’hectares de terres arables du Bénin et n’occulte pas des actions futures de coopération dans le domaine de l'agriculture en vue d’assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle. Lundi dernier, deux modules de trois salles de classe chacun d'un coût total de 50 millions francs CFA ont été inaugurés au profit de l’école primaire privée Ahmadiyya de commune de pour tous, la haine pour personne », telle est la devise de la communauté Ahmadiyya qu’elle véhicule à travers ses œuvres au profit des populations, souligne Ahmad Rana Farooq, l’Amir Saheb, président de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin. Entre autres projets, cinquante forages seront bientôt réalisés, confie-t-il. bibo:pages 11 -- o:id 7638 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7638 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7654 26774 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1a108c4f2d1fff1ec54740b87f5df47ce5929171.pdf https://islam.zmo.de/files/original/94f60799d6a871f2a540edf9e463799385a27e95.tiff dcterms:title Dassa-Zoumè : une école bilingue inaugurée par les Ahmadis dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14688 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-06-08 dcterms:identifier iwac-article-0003537 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une école de trois classes avec un bureau pour la direction. Il s’agit de l’école primaire bilingue de Dassa-Zoumè construite par la communauté Ahmadiyya au Bénin. Une école qui, loin d’être confessionnelle, s’ouvre à tous les enfants sans distinction de religion. L'inauguration officielle a été faite jeudi 4 juin dernier en présence du président des Ahmadis du Bénin entouré des présidents des communautés Ahmadiyya d’Egypte et de la Palestine. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/302 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/308 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une école de trois classes avec un bureau pour la direction. Il s’agit de l’école primaire bilingue de Dassa-Zoumè construite par la communauté Ahmadiyya au Bénin. Une école qui, loin d’être confessionnelle, s’ouvre à tous les enfants sans distinction de religion. L'inauguration officielle a été faite jeudi 4 juin dernier en présence du président des Ahmadis du Bénin entouré des présidents des communautés Ahmadiyya d’Egypte et de la Palestine. La première école bilingue (français-anglais) de la ville de Dassa a été inaugurée le jeudi dernier. C’était au cours d'une cérémonie officielle qui a réuni les populations de Dassa, le préfet du Zou et des Collines, et la communauté Ahmadiyya au Bénin, les responsables Ahmadis du Bénin, de l’Egypte et de la Palestine. Une forte mobilisation de cette communauté autour de l'Amir Rana Farooq Ahmad, président de cette congrégation au Bénin. D’une valeur estimée à environ 20 millions de FCFA, le module de classes construit et équipé l’année dernière n’a rien à envier aux autres complexes scolaires. Mieux, l’école est déjà fonctionnelle et compte déjà ses premiers élèves même s’ils ne sont que quatre (4) pour un début. A travers ce geste, la communauté Ahmadiyya veut encore donner la preuve de son engagement pour le partage et l’amour des autres. Une école qui devrait être confessionnelle, a été rendue laïque. Ici, c’est le programme scolaire officiel qui est enseigné et la direction est confiée à un non musulman. Ce qui signifie que l’école n’a rien de confessionnel. D’ailleurs, à la cérémonie d’inauguration, les différents responsables présents ont salué cette ouverture d’esprit des Ahmadis qui consiste à accepter tout le monde. Le directeur de l’école, Séverin Gbédji et les porte-paroles des écoliers, Mirabelle Dédali et Espoir Sossouvi ont dit leur joie d’être dans cette école qui est une première dans la localité. Ils ont réaffirmé leur gratitude à l’endroit des Ahmadis grâce à qui cette initiative est devenue une réalité en un temps record. Initiative louée Toutefois, ils souhaitent que l’école soit dotée d’un dispensaire, d’un moyen roulant, d’un point d'eau, d’une salle de jeux, d'une salle informatique pour rendre les conditions de travail plus confortables. Quant au préfet du Zou et des Collines Armand Maurice Noua-tin et au président des cultes Vodoun, Balogoun Koutchoro, chacun d’eux a loué ce geste humaniste des Ahmadis. Prenant la parole, tour à tour, le président de cette communauté au Bénin, l’Amir Rana Farooq Ahmad, le président de la communauté Ahmadiyya d’Egypte, Hatmi Shafi et le président de cette communauté en Palestine, Sharif Oedeh, les membres de la communauté unie par le principe de l’adoration à Allah, l’assistance à l’Homme, et la lutte contre l’ignorance, qu’il n’est pas question de les remercier pour ce geste. Ils disent n’avoir fait que leur devoir, la volonté d’Allah le miséricordieux, rappelle le président Rana Farooq Ahmad. Ce qui n’est d'ailleurs pas la première action de cette communauté au Bénin. Elle a déjà à son actif, à travers le pays, la construction de plusieurs mosquées, des écoles, des centres de santé, des orphelinats et des fontaines d’eau pour soulager les peines des populations. Il est à noter qu’avant la coupure symbolique du ruban consacrant l’inauguration de cette école, les responsables présents ont mis en terre des plants sur la cour afin que d'ici quelques années ces arbres donnent de l’ombrage aux écoliers. bibo:pages 11 -- o:id 7639 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7639 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7655 26775 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/981b78ca8322e6ed465443fbe63e38b63c9be53a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/62e23d329086424622e880b2df4e6065d908108d.tiff dcterms:title Dialogue interreligieux : la contribution de la communauté Ahmadiyya dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1549 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14257 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-06-01 dcterms:identifier iwac-article-0003538 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une délégation de la communauté islamique Ahmadiyya a donné vendredi 29 mai dernier une conférence publique sur les solutions que propose l’islam aux problèmes des temps modernes. C’était en présence des étudiants à l'Université d’Abomey-Calavi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/308 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/407 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une délégation de la communauté islamique Ahmadiyya a donné vendredi 29 mai dernier une conférence publique sur les solutions que propose l’islam aux problèmes des temps modernes. C’était en présence des étudiants à l'Université d’Abomey-Calavi. Dans le cadre du symposium international sur le dialogue interreligieux et la paix organisé au Bénin, les présidents de la Jama’at islamique Ahmadiyya de l’Egypte et de la Palestine séjournent au Bénin depuis quelques jours. Après leur forte contribution à cette rencontre capitale à laquelle étaient invités aussi les chrétiens, les musulmans, des dignitaires des religions endogènes, entre autres, les présidents de la Jama’at islamique Ahmadiyya de l’Egypte, du Bénin et de la Palestine ont entretenu les étudiants sur la manière dont leur communauté pourrait contribuer au dialogue interreligieux en Afrique et dans le monde. Pour Muhammad Hatem Muhammad Helmi Alshafi, président de la Jama’at Islamique Ahmadiyya d’Egypte, si les musulmans n’agissent pas dans le sens des droits de leurs prochains, ils ne peuvent pas être en de bons termes avec leur créateur. C’est pourquoi, il invite les Béninois quelles que soient leurs obédiences religieuses à œuvrer pour la paix et à cultiver l’amour du prochain. Muhammad Sharif Odeh, l’Amir de la Jama’at islamique Ahmadiyya de la Palestine, a laissé entendre qu’un nombre impressionnant de biens et services, ainsi que des armes sont déversés dans le monde aux mains des puissances économiques. Malgré cela, explique-t-il, personne n’a pu instaurer la paix parce que les peuples, les communautés sont repliés sur eux-mêmes. Pour lui, le vrai musulman, c’est celui qui œuvre pour le bonheur des autres. C’est pourquoi, la communauté Ahmadiyya s’évertue à aider les peuples du monde entier. «Si vous ne vous servez pas de la richesse dont Dieu vous a fait grâce, en la partageant avec les autres communautés, il vous l’arrachera », a martelé Muhammad Sharif Odeh. La communauté Ahmadiyya est une organisation religieuse implantée dans plus de 200 pays dans le monde avec environ 200 millions de membres. Au Bénin, la communauté opère depuis 1967. Elle a mené des œuvres sociales dans les secteurs de la santé, de l’éducation. Des hôpitaux, des adductions d'eau potable dans les villages et des panneaux solaires ont été installés grâce à elle. bibo:pages 13 -- o:id 7640 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7640 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7656 26776 26777 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b88e0e24d937a8fc5ac99c6985474147188d6b83.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a8eff91311d2f3aa7f25355573fdb9fb73604b30.tiff https://islam.zmo.de/files/original/b90bdf803c23c166772539d5f86bfb744d997676.tiff dcterms:title Symposium international au profit des dignitaires religieux et autres acteurs : puiser du dialogue interreligieux les solutions pour un monde apaisé dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14769 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14688 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-05-27 dcterms:identifier iwac-article-0003539 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Trois jours, c'est peut-être peu, mais largement suffisant pour évoquer le dialogue interreligieux et interculturel, gage de paix et de développement, surtout en ces années où flambent l’intolérance, les crimes religieux et autre fanatisme qui se réclament aussi de la même obédience. Depuis hier et jusqu'à demain jeudi 28 mai, des acteurs et dignitaires de toutes les religions du monde s’y penchent à Cotonou. Pour eux, il faut un nouvel ordre mondial, et conformément aux vœux du président de la République, Boni Yayi, gagner aussi « le défi de l’intolérance». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Trois jours, c'est peut-être peu, mais largement suffisant pour évoquer le dialogue interreligieux et interculturel, gage de paix et de développement, surtout en ces années où flambent l’intolérance, les crimes religieux et autre fanatisme qui se réclament aussi de la même obédience. Depuis hier et jusqu'à demain jeudi 28 mai, des acteurs et dignitaires de toutes les religions du monde s’y penchent à Cotonou. Pour eux, il faut un nouvel ordre mondial, et conformément aux vœux du président de la République, Boni Yayi, gagner aussi « le défi de l’intolérance». « Adorateurs de Dieu, nous voulons en finir avec le sang qui coule comme un océan ravageur... et c’est la raison pour laquelle nous disons que nous créons ici le front contre la barbarie...». Ces mots du président du Comité de pilotage du symposium international sur la paix et le développement par le dialogue interreligieux et interculturel, le professeur Albert Tévoédjrè ont retenti, hier, à l’occasion de la cérémonie officielle d’ouverture de ladite rencontre, non sans échos, devant un parterre de personnalités, religieuses pour la plupart et représentants de toutes les confessions, quelles qu’elles soient. Défis majeurs des temps présents Une rencontre, rendue nécessaire par l’intolérance religieuse, devenue par la force des choses, l’un des défis majeurs des temps présents. L’initiative, en plus d’être applaudie par ses acteurs, est aussi très soutenue par eux et ils en attendent, que se lève, depuis Cotonou au Bénin, terre du Vodoun, un autre jour. Celui de la cohabitation et de la coexistence pacifique entre frères et sœurs du monde, peu importe leur foi, tous étant adorateurs du seul et même Dieu. C’est donc une rencontre de mille espoirs, pour freiner une «nature humaine totalement destructrice» qui se tient un an après l'invitation adressée par le pape François à Shimon Peres pour venir prier avec lui au Vatican. Pour le professeur Albert Tévoèdjrè, cette démarche est vraiment utile aujourd’hui et il en remercie profusément le chef de l’Etat béninois, le président Boni Yayi qui lui également, comme tous les dirigeants africains, en a visiblement marre du sang innocent qui coule à profusion du fait des attaques des groupes terroristes et extrémistes. Raison pour laquelle il dit attendre de la rencontre de Cotonou, des propositions concrètes. Pour faire du dialogue interreligieux, un début de solutions à ces multiples crises aux racines religieuses. Afin que nous n’ayons plus à désespérer de l’humanité... «Le phénomène du terrorisme radical à connotation religieuse a pris une envergure si dévastatrice dans notre monde, que la communauté internationale s’est obligée à adopter des méthodes fortes pour espérer l’endiguer avec des moyens militaires...». Lesquels ont laissé transparaître leurs failles, obligeant ainsi d'autres acteurs à envisager autrement la lutte. Notamment pour venir à bout des meurtres et assassinats individuels et collectifs, des enlèvements, des prises d’otages, des attaques de campus universitaires... ou encore d’autres organisations à visée criminelle comme les Shebab, Boko Haram. Autant d’évènements qui secouent l’Afrique surtout et qui imposent un nouvel ordre. Mais aussi une solution qui pourrait venir du dialogue interreligieux. En tout cas l’agenda du symposium de Cotonou fait une place de choix aux actions à engager contre l’intolérance religieuse et se propose à terme, «une boussole, une espérance, une réalité concrète». Ces moyens qui constitueront un gouvernail pour la jeunesse paraissent déjà comme un début de solutions, insinuera le professeur Albert Tévoédjrè. Toujours est-il que pour lui, tout comme pour le président Boni Yayi, il faut en arriver là, afin que «nous n’ayons plus à désespérer de l’humanité» face à ce que ce dernier qualifie de « tant d’horreur... toutes ces cruautés...». Rebelles à espérance têtue Cette espérance paraît « têtue », ainsi que le relève le professeur Albert Tévoédjrè, mais il faut y croire. Et le président Boni Yayi, face à ses hôtes, notamment les représentants des chefs d'Etat de la sous-région, du pape François, et divers responsables et dignitaires des religions du monde n'a pas manqué de relever tout l’espoir qu’il fonde sur ce symposium. II voudrait surtout qu’il se penche sur la situation de la femme et des enfants «qui paient le plus lourd tribut», face au «désastre humain causé par une presse de haine à l'instar de la radio mille collines...» Les médias, dira-t-il, «sont au centre de nos préoccupations, au regard de leur prolifération et de l’impact de leurs messages sur les populations», surtout que plus d’un font actuellement dans les «provocations gratuites aux conséquences fâcheuses». Pour Boni Yayi, le symposium de Cotonou doit penser à «créer un organe à l’échelle du continent pour que le dialogue franc devienne pérenne et soit relayé à grande échelle». Peut-être, via un manifeste pour la tolérance ou encore un document-boussole qui «tiendra la promesse des fleurs pour que l'Afrique soit un continent qui part de bon pied dans un contexte de fraternité renouvelée et qui fera gagner le défi de l’intolérance». De quoi faire dire au professeur Albert Tévoèdjrè «que nous sommes des rebelles» ayant aussi une «espérance têtue». Et comme, s'il fallait aux participants à ce symposium, une illustration de la cohabitation interreligieuse, des bénédictions ont été dites par des dignitaires des religions endogène, musulmane, judaïque et chrétienne, suivies de messages de soutien dont les plus importants sont ceux du secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies et du pape François. bibo:pages 1 3 -- o:id 7641 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7641 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7657 26778 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/982d8af16b5a74452a940064fc8620cc8a022a07.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ccc152afbcabb6efadff20d01963b43f3e431e1e.tiff dcterms:title Dialogue interreligieux et interculturel : promouvoir la paix permanente dans le monde à partir du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1624 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1387 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/807 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15081 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/808 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/728 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-05-15 dcterms:identifier iwac-article-0003540 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract 13 mai 2008-13 mai 2015, 7 ans que disparaissait Bernardin Cardinal Gantin. En cette date anniversaire, mercredi dernier, le professeur Albert Tévoédjrè, ancien médiateur de la République, a annoncé la tenue à Cotonou, du 26 au 28 mai prochain, d’un symposium international sur le dialogue interreligieux. Avec pour leitmotiv «COEXISTER, la clé du dialogue», ce symposium découle du projet «Initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content 13 mai 2008-13 mai 2015, 7 ans que disparaissait Bernardin Cardinal Gantin. En cette date anniversaire, mercredi dernier, le professeur Albert Tévoédjrè, ancien médiateur de la République, a annoncé la tenue à Cotonou, du 26 au 28 mai prochain, d’un symposium international sur le dialogue interreligieux. Avec pour leitmotiv «COEXISTER, la clé du dialogue», ce symposium découle du projet «Initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel». Suivant les têtes de ponts du symposium interreligieux à venir, «le phénomène du terrorisme radical à connotation religieuse a pris une envergure si dévastatrice dans notre monde, que la communauté internationale s’est obligée à adopter des méthodes fortes pour espérer l'endiguer avec des moyens militaires que mettent en place des coalitions de forces d’Etats épris de paix». Mais « lorsque l'on sait que des peuples séparés par l’histoire ou la guerre se sont réconciliés bien des décennies plus tard, cela signifie que la paix est toujours possible. Et le chemin pour y parvenir est celui incontournable du dialogue...» Voilà pourquoi « vivre ensemble pour agir ensemble», est l’objectif ultime visé par le projet. A propos duquel le médiateur émérite Albert Tévoédjrè indique que le choix de la date pour procéder à l’annonce officielle relève d’un bel ordonnancement des choses par la providence, le souvenir de Bernardin Cardinal Gantin, étant célébré; son nom évoquant le service à tous justifie-t-il. Diango Sissoko, ancien Premier ministre et médiateur malien, associé à cette initiative, porte témoignage de l’engagement permanent d’Albert Tévoédjrè pour la paix, aussi bien au Bénin que dans le monde. Et relève le caractère universel de son idée d’organiser ce symposium qui, assurément, rendra service à l’humanité entière. Quant au représentant de l’UNESCO, Yed Yao, il fait observer que la plupart des pays de la CEDEAO ont connu des violences de tous ordres au cours des dix dernières années, ce qui est nuisible au développement. Pis, les jeunesses de ces pays ont souvent été détournées de leurs objectifs pour se retrouver dans les conflits. Mais le dialogue interreligieux à promouvoir par ce symposium sera sans doute de nature à inverser la donne, assure-t-il. Une initiative pratique Déjà, Albert Tévoédjrè vante cette idée béninoise de dialogue interreligieux, appréciée par l’ONU dans une résolution du 15 décembre 2014, et portée par l’Union Africaine qui a décidé de l’appuyer. Ce qui en atteste de la dimension mondiale, l’UNESCO ayant par ailleurs décidé de parrainer l’initiative dont les discussions et décisions ne manqueront pas d’impacter le monde entier. Le monde intéressé d’ailleurs par la démarche novatrice. En témoignent les 200 participants de l’extérieur qui y prennent part, contre les 60 initialement prévus. Mieux, se satisfait Albert Tévoédjrè, toutes les religions ont tenu à être au symposium, signe que ce sera vraiment un dialogue interreligieux inclusif. Précisément, sont attendus à cette rencontre, des représentants d’organismes du Système des Nations Unies, du Saint Siège, de l’Union Africaine et des organisations de la sous-région. De même, des chercheurs, universitaires de grande renommée, intellectuels de haut rang, membres de cercles de philosophie, professionnels des médias, membres d’associations et/ou d’ONG spécialistes de la question en provenance d’Asie, d’Amérique, d’Europe ou d’Afrique, des religieux, des spiritualistes... Autant de participants qui viendront avec des propositions concrètes pour enrichir les débats. En tout cas, renseignent les organisateurs, l’initiative veut s’appuyer sur le dialogue interreligieux et interculturel pour tisser la paix autour de préoccupations concrètes de développement et de la lutte contre la pauvreté. Un manifeste de Cotonou En clair, l’initiative prise par le Bénin vise à rapprocher davantage les peuples dans le respect de la diversité de leurs croyances et de leurs cultures. Raison de la prise en compte, pour la première fois et pleinement, des religions endogènes et des spiritualités de découverte. Ainsi cette initiative vise à promouvoir les expériences de vie entre chrétiens, musulmans et les adeptes des autres religions. C’est pourquoi elle donnera lieu à un Manifeste de Cotonou pour la tolérance, le dialogue et la rencontre. Ceci dans le but de promouvoir et accomplir entre adeptes des confessions religieuses, des œuvres communes ; sensibiliser les jeunes du continent, région par région, sur les enjeux et défis du vivre ensemble par le dialogue interreligieux et interculturel ; promouvoir une culture opérationnelle de la laïcité ; promouvoir des mécanismes et des mesures de sécurité préventives associant les forces publiques et des groupes citoyens de vigilance sociale... bibo:pages 3 -- o:id 7642 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7642 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7658 26779 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7c7f8e693ef91cd17f6d3dcc2aedf2de468ff5b7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4718122fb7929c75f04be6abae601391d5103a61.tiff dcterms:title Fin de la 13e édition de la convention annuelle Ahmadiyya du Bénin : 32 poches de sang recueillies à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15197 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-04-14 dcterms:identifier iwac-article-0003541 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La 13e édition de la convention annuelle de l’Organisation de la jeunesse musulmane Ahmadiyya a vécu. Les activités ont été clôturées dimanche dernier au Lycée Béhanzin de Porto-Novo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La 13e édition de la convention annuelle de l’Organisation de la jeunesse musulmane Ahmadiyya a vécu. Les activités ont été clôturées dimanche dernier au Lycée Béhanzin de Porto-Novo. Ainsi, du 10 au 12 avril dernier, les participants se sont débattus autour du thème retenu pour cette édition à savoir : « Islam-e-Ahmadiyya : meilleur formateur pour une jeunesse patriotique ». Le dernier jour a été surtout consacré au don de sang. 32 poches de sang ont été recueillies auprès des participants. A travers ce don, l'organisation de la jeunesse musulmane Ahmadiyya entend témoigner son attachement à l’enseignement de l’islam qui enjoint aux fidèles musulmans de donner leur vie, leurs biens et leur honneur pour la survie de l’humanité. Cette 13e édition a permis aux participants de mesurer le niveau de progrès physique et moral. Raison pour laquelle elle s’est essentiellement consacrée à l’organisation de compétitions religieuses et sportives. Cette convention a connu la participation des jeunes Ahmadiyya de tous les départements du Bénin. Il y a eu également des représentants des Organisations de la jeunesse musulmane du Nigeria, du Burkina Faso, du Niger et de la Côte d’Ivoire. Il faut signaler que l’organisation de la jeunesse musulmane Ahmadiyya est une entité auxiliaire de la communauté musulmane Ahmadiyya composée des jeunes hommes dont l’âge est compris entre 15 et 40 ans. Créée en 1938 par le deuxième chef suprême de la communauté musulmane Ahmadiyya, cette organisation a pour rôle d’œuvrer pour le développement aussi bien communautaire que patriotique. Thibaud C. NAGNONHOU, A/R Ouémé-Plateau bibo:pages 3 -- o:id 7643 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7643 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7659 26780 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ee3b455a6b290f0ead676383ce8ea8d40ff5d16a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/06ff76421a370fca7310a761faba5e04538af7e1.tiff dcterms:title En partance pour l'Arabie Saoudite : le Consul général du Bénin à Djeddah chez le médiateur de la République dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13922 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1404 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/531 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-03-27 dcterms:identifier iwac-article-0003542 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le médiateur de la République, Joseph Gnonlonfoun, a reçu en audience hier jeudi 26 mars, le Consul général du Bénin à Djeddah placé sous tutelle de l’ambassade du Bénin près l’Arabie Saoudite. Alassane Loya est allé prendre les conseils de son hôte afin de réussir sa nouvelle mission diplomatique. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14560 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le médiateur de la République, Joseph Gnonlonfoun, a reçu en audience hier jeudi 26 mars, le Consul général du Bénin à Djeddah placé sous tutelle de l’ambassade du Bénin près l’Arabie Saoudite. Alassane Loya est allé prendre les conseils de son hôte afin de réussir sa nouvelle mission diplomatique. Le Consul général du Bénin à Djeddah, Alassane Loya est désormais mieux outillé pour réussir la mission que lui a confiée le gouvernement en le nommant à ce poste. Il était hier chez le médiateur de la République, Joseph Gnonlonfoun qui lui a prodigué des conseils avisés. A travers cette visite, Alassane Loya entend sacrifier à la tradition qui veut que les nouveaux ambassadeurs nommés, avant: de rejoindre leurs postes, fassent le tour des présidents des institutions de la République, pour recevoir d’eux ces conseils et puiser de leurs expériences. C’est dans ce cadre que le nouveau Consul général du Bénin à Djeddah, un consulat sous tutelle de l’ambassade du Bénin près l’Arabie Saoudite basée à Ryad, a rencontré le médiateur de la République à Porto-Novo. Au sortir du tête-à-tête, Alassane Loya a remercié Joseph Gnonlonfoun pour ses sages conseils qui lui seront très utiles à son nouveau poste, dit-t-il. Laissant le volet coopération sous la compétence de l’ambassadeur du Bénin près l’Arabie Saoudite, il précise que sa mission se résume essentiellement à la gestion des problèmes consulaires et aux difficultés de la communauté béninoise vivant à Djeddah. L’autre volet de sa mission, souligne le Consul général, sera l’organisation du Hadj qui mobilise annuellement près de 4500 pèlerins béninois. Ce dossier va plus l’occuper, pense-t-il. Il dit avoir aussi une très bonne connaissance des problèmes de ce pèlerinage pour avoir été déjà chef service Organisation du Hadj au niveau du ministère en charge des Affaires étrangères. Il promet de déployer toute son énergie pour relever le défi surtout du convoyage des pèlerins béninois en Terre sainte et de leur sécurité sur les lieux, puisque lequel le chef de l’Etat accorde une attention toute particulière à ce rituel réligieux. Pour finir, le consul Alassane Loya compte travailler étroitement avec l’ambassadeur en poste pour protéger les intérêts des Béninois vivant en Arabie Saoudite dont l’effectif est estimé à près de 4500. bibo:pages 3 -- o:id 7644 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7644 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7660 26781 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5ebfbadfdd060d57bc0fa34ea2ea1aa29b6eb872.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0e12624dd3af4fd1bad37fab36809241cf52ef36.tiff dcterms:title Exposition "Saint-Coran en 60 langues et littérature islamique" : les valeurs de l'islam exaltées à travers divers ouvrages dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15523 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15240 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/116 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-03-02 dcterms:identifier iwac-article-0003543 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract «L'amour pour tous, la haine pour personne», tel est le message que la communauté Jama'at islamique Ahmadiyya entend passer à travers une exposition du saint-Coran traduit en 60 langues et des ouvrages divers sur la religion musulmane, qui se tient à Parakou. Le vernissage a lieu samedi 28 février dernier à la place Bio Guéra. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/547 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content «L'amour pour tous, la haine pour personne», tel est le message que la communauté Jama'at islamique Ahmadiyya entend passer à travers une exposition du saint-Coran traduit en 60 langues et des ouvrages divers sur la religion musulmane, qui se tient à Parakou. Le vernissage a lieu samedi 28 février dernier à la place Bio Guéra. Le Coran en français, anglais, russe, espagnol, perse, dioula, japonais, igbo, grec, tchèque..., des livrets de prières quotidiennes et occasionnelles, de versets coraniques, des ouvrages sur «La vie du prophète Muhammad», «Les dix conditions de la Bai’ah et les responsabilités d’Ahmadi», «La véritable histoire de Jésus», «La philosophie des enseignements de l’islam», «Le gouvernement britannique et le djihad», etc. Ce sont quelques documents disponibles sur les stands de l’exposition «Saint Coran en 60 langues et littérature islamique» qui se tient du 28 février au 4 mars prochain à Parakou. Le but visé, à en croire le président de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin, Ahmad Rana Farooq, est d’aider les musulmans à approfondir leurs connaissances sur l'islam afin de mieux le pratiquer et les non musulmans à découvrir les valeurs prônées à travers cette religion que sont : la paix, l’amour, la soumission à la volonté de Dieu, la tolérance interreligieuse. Il sera appuyé par le président de la Jama'at islamique Ahmadiyya de Parakou, El hadj Ibrahim Hamza Ognibo qui indique que l’exposition parle de la grandeur de Dieu et de la nécessité de sa crainte par les hommes en vue du salut. Elle se tient dans un contexte où l'islam, traverse une turbulence née de la mauvaise compréhension de certaines personnes, souligne-t-il, allusion faite à la secte Boko Haram qui sévit dans le Nord du Nigeria et du Cameroun et au Sud du Niger. Les hommes passent mais les paroles de Dieu contenues dans les documents resteront, insiste-t-il. Le préfet du Borgou-Alibori, Salamatou Kora Ponou, se réjouit de cette vulgarisation du saint-Coran en cette période pré-électorale où les uns et les autres doivent cultiver davantage l'amour du prochain, l’amour de la patrie et l’amour du travail bien fait. «L’islam, c’est l’amour, c’est la paix, c’est le développement», affirme la musulmane pratiquante, en invitant le public de Parakou et de ses environs à effectuer le déplacement de la place Bio Guera pour mieux s’informer sur cette religion et ses valeurs. Malheureusement, aucun des livres exposés n’est écrit dans les langues locales. bibo:pages 13 -- o:id 7645 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7645 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7661 26782 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b739486050514178436c83f84c16a49f0ad4f081.pdf https://islam.zmo.de/files/original/baf9d1c050200ddb683c29e155378beab2962e2d.tiff dcterms:title Sécurité intérieure du Bénin : la CAD informe d'une menace de Boko Haram dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/116 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-02-19 dcterms:identifier iwac-article-0003544 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La secte nigériane Boko Haram menace de frapper /e Bénin à travers les régions frontalières du pays. A sa réunion mensuelle tenue hier mercredi 18 février, la Conférence administrative départementale (CAD) s'est prononcée sur ce péril terroriste dans l’Atacora-Donga. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/547 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13369 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/410 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La secte nigériane Boko Haram menace de frapper /e Bénin à travers les régions frontalières du pays. A sa réunion mensuelle tenue hier mercredi 18 février, la Conférence administrative départementale (CAD) s'est prononcée sur ce péril terroriste dans l’Atacora-Donga. Boko Haram serait sur le point de commettre des actes terroristes sur le territoire béninois en représailles à la décision du gouvernement de combattre cette secte dont les incursions au Cameroun, au Tchad et puis récemment au Niger suscitent l’émoi de la communauté internationale. Cette information, que Baguidi Yérima, directeur départemental de la Police nationale, tient de ses supérieurs, a été partagée à la réunion mensuelle de la CAD pour inviter les populations des départements de l'Atacora et de la Donga à la vigilance. A ses dires, les services de sécurité nationale prennent au sérieux cette information et n’entendent pas laisser une quelconque faille à leur niveau pour favoriser une éventuelle mise en exécution de la menace de ce groupe qui a mis à feu et à sang les régions du nord du Nigeria et nourrit des ambitions d’expansion de ses exactions. Déjà cette secte aurait ciblé les postes frontaliers pour commettre ses crimes. Les villes de Malanville, de Parakou et de Djougou seraient sous la menace de ces terroristes. Relevant la porosité des frontières béninoises, le directeur départemental de la Police nationale a souligné la nécessité pour eux de renforcer le dispositif sécuritaire et de contrôler toute entrée suspecte d’étrangers dans les départements de l’Atacora et de la Donga. Tout récemment des nomades voyageant à chameau et qui se réclameraient vendeurs de médicaments ont été refoulés de la ville de Porga sur instruction des services sécuritaires. Leurs comportements prêtant à espionnage, ils ont été passés à la loupe. « Ces gens dormaient à la belle étoile, n’allaient ni à l’église ni à la mosquée et passaient le clair de leur temps à épier. Si l’on admet que des armes sont acheminées par voie terrestre et qu’il nous est parvenu que ceci se fait à dos de chameaux, nous ne sommes pas à l’abri d'une menace de Boko Haram », précise-t-il. Gervais N’dah Sékou, préfet des départements de l’Atacora et de la Donga, a appelé à une vigie populaire. « Personne ne peut dire qu’elle maîtrise le mode opératoire de Boko Haram et il ne faut pas attendre le coup avant de réagir. Il nous faut faire l’effort de parer à tout risque», prévient-il. bibo:pages 12 -- o:id 7646 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7646 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7662 26783 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fd98366a2cc78b81fcdf4f632c1f118006c89549.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9b6f229ff3c5feece14dec436bbe01e09f9dc855.tiff dcterms:title Symposium international sur le dialogue interreligieux et interculturel : les confessions religieuses de Sakété et d'Ifangni imprégnées des objectifs dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15110 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/807 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2027 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/808 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14210 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-02-06 dcterms:identifier iwac-article-0003545 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une délégation des confessions religieuses de Sakété et d’Ifangni était hier jeudi 5 février, au Centre panafricain de prospective sociale (CPPS) de Porto-Novo, Elle est allée s’imprégner des objectifs du symposium international pour le lancement de l’initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel, un projet initié par le professeur Albert Tévoèdjrè. La réunion s’est tenue en présence du ministre d’Etat, François Abiola et président du comité de pilotage de ce projet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14246 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/388 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une délégation des confessions religieuses de Sakété et d’Ifangni était hier jeudi 5 février, au Centre panafricain de prospective sociale (CPPS) de Porto-Novo, Elle est allée s’imprégner des objectifs du symposium international pour le lancement de l’initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel, un projet initié par le professeur Albert Tévoèdjrè. La réunion s’est tenue en présence du ministre d’Etat, François Abiola et président du comité de pilotage de ce projet. Du 26 au 28 mai prochain, se déroule le symposium international pour le lancement de l’Initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel. Ce projet est placé sous le parrainage du ministère d’Etat, chargé de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Il est une initiative de l’ancien médiateur de la République, le professeur Albert Tévoèdjré et vise à contribuer à la promotion d'une paix durable en Afrique, en faisant du dialogue interreligieux et interculturel une priorité, avec le Bénin comme point d’appui. Il s’agira d’établir des rapports de confiance entre adeptes de religions diverses en vue de meilleures connaissances et enrichissements conséquents des différences respectives pour des actions concertées et ainsi mieux construire ensemble une société de développement et de paix. Hier jeudi 5 février, face à une délégation des confessions religieuses de Sakété et d’Ifangni, conduite par le maire de Sakété, Raliou Arinloyé, Albert Tévoèdjrè a expliqué de long en large les objectifs de son initiative de dialogue interreligieux visant surtout à promouvoir les expériences de vie entre chrétiens et musulmans et les adeptes des autres religions. Il a annoncé l’organisation du 26 au 28 mai prochain à Cotonou, d’une Conférence internationale de haut niveau pour lancer l’Initiative et dégager les principaux axes du projet sur le plan africain. Ce symposium international sera sanctionné par le « Manifeste de la tolérance, du dialogue et de la rencontre». Albert Tévoèdjrè n’a pas manqué de dire sa satisfaction au regard de l’engouement que suscite aujourd’hui son projet fortement soutenu par le gouvernement du Bénin, l’UEMOA, la CEDEAO, l’Union Africaine, l’ONU. Il ambitionne de voir ce programme faire du Bénin le siège de l’éclosion et de la promotion d’une initiative africaine, porteuse d’espérance nouvelle face aux mouvements de l’intransigeance d’apparence religieuse qui se propagent dans le monde. Le ministre d’Etat, François Abiola et les responsables des confessions religieuses de Sakété et d’Ifangni ont salué la vision du professeur Albert Tévoèdjrè qui vise à vanter les vertus du dialogue pour un Bénin, voire l’Afrique et le monde en paix. Selon eux, cette vision cadre bien avec les efforts de réconciliation et de l’unité des filles et fils de Sakété en cours depuis le 14 décembre 2013, à l’occasion de la célébration des 50 ans du décès du père du ministre d’Etat, François Abiola. Le souhait de la délégation présente hier au Centre panafricain de prospective sociale de Porto-Novo, est de voir cette initiative basée sur la culture du dialogue et de tolérance se renforcer à Sakété et faire tache d’huile dans les 77 communes du Bénin. Les confessions religieuses de Sakété et d’Ifangni ont promis hier au professeur Albert Tévoèdjrè, non seulement, de prendre activement part aux travaux du symposium mais de matérialiser bientôt cette initiative à Sakété par des actes concrets pour la promotion du «vivre ensemble». bibo:pages 7 -- o:id 7647 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7647 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7663 26784 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/07893103c108a1ecdd3ebe7d9bfbfc4fdf26beac.pdf https://islam.zmo.de/files/original/453739e6f63bfb2ef655d1772d2454d2235b3dee.tiff dcterms:title Vie des médias : la Voix islamique de la Donga renaît dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2032 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/775 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13613 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-01-22 dcterms:identifier iwac-article-0003546 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Onze ans après sa suspension par la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC), la Voix islamique de la Donga émet à nouveau pour le bonheur de la communauté musulmane. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Onze ans après sa suspension par la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC), la Voix islamique de la Donga émet à nouveau pour le bonheur de la communauté musulmane. Le vendredi 9 janvier 2015 restera gravé dans la mémoire des populations de la commune de Djougou. Outre que ce jour matérialisé le démarrage des manifestations commémorant la fête de la Gaani, il consacre également la remise en marche de la fréquence 92.2. Un évènement, surtout que cette radio dédiée à la communauté musulmane est suspendue depuis onze ans par la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC). La Voix islamique de la Donga qui émet dans la Cité des Yom a été interdite de diffusion par manque d'équipement à la suite d’un contrôle de la HAAC. «La HAAC a estimé que notre radio était sous-équipée et que son émetteur ne répondait pas aux normes requises», se rappelle Ismaël Tandari, son rédacteur en chef. Pour l’équipe qui l’anime désormais, c’est un retour en grâce qu’elle doit à la volonté de l’imam central de Djougou, Abdul Razacki Issa Samari qui en a fait sa priorité dès son avènement à la grande mosquée de la ville. En essai pour une période de six mois autorisée par l’instance de régulation des médias après audit de ses nouvelles installations, cette radio confessionnelle a bénéficié de la contribution de bonnes volontés dont celle du ministre Alassane Soumanou pour se rééquiper pour les besoins de la cause. L’ambition de l’actuelle équipe dirigeante est de poursuivre l’aventure en gagnant le cœur des conseillers de la HAAC par son sens du professionnalisme et du respect de l’éthique et de la déontologie. La Voix islamique de la Donga s’est singularisée dans l’univers des radios par la promotion des versets coraniques et les émissions éducatives et de sensibilisation. bibo:pages 12 -- o:id 7648 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7648 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7664 26785 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5dfbc31d1ef18450f3c9574a08b3b1fe8da897d9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3645d38a289516f5cac87ea7f2bb9f17aa21030e.tiff dcterms:title Célébration du Maouloud au Bénin : célébration dans une grande indifférence à Bohicon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13287 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-01-05 dcterms:identifier iwac-article-0003547 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l'instar des musulmans d’ailleurs, la communauté musulmane de Bohicon a célébré samedi 3 janvier dernier, la fête du Maouloud qui est l’anniversaire de la naissance du prophète Mohamed. Une célébration diversement appréciée qui n 'a pas mobilisé grand monde. A l’occasion de cette journée, une séance de prière a été organisée loin de la mosquée de Zongo, au domicile d’un des responsables de cette mosquée. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l'instar des musulmans d’ailleurs, la communauté musulmane de Bohicon a célébré samedi 3 janvier dernier, la fête du Maouloud qui est l’anniversaire de la naissance du prophète Mohamed. Une célébration diversement appréciée qui n 'a pas mobilisé grand monde. A l’occasion de cette journée, une séance de prière a été organisée loin de la mosquée de Zongo, au domicile d’un des responsables de cette mosquée. Selon l'alpha Karim Abdou Abou, le samedi 3 janvier dernier correspondait au douzième jour du troisième mois lunaire du calendrier musulman dénommé le "Rabi Al Awal". Cette date correspond à celle de la naissance du prophète Mohamed. D’ailleurs, tous les musulmans sont unanimes sur cette date. Seulement, c'est la célébration de cet anniversaire qui ne fait pas l’unanimité au sein de la communauté musulmane de Bohicon. A preuve, dans la matinée de ce samedi, la plupart des mosquées comme la grande mosquée de Zongo était fermée et l'imam introuvable. Les croyants et autres marchants qui étaient présents autour de cette maison de prière ignoraient même qu'il y avait une pareille célébration. Pour eux, il n’y a aucune fête musulmane prévue pour ce jour-là. C’est dans la ruelle jouxtant celle de la mosquée à environ 500m dans un domicile que nous avons pu retrouver un groupe d’à peine dix à quinze fidèles qui s'y sont réunis pour la récitation des louanges au prophète et des prières à l’intention des morts. Pas de sourates à cette occasion. L’un des responsables de ce groupe, Karim Abdou Abou, alpha à la mosquée de Zongo reconnaît que la célébration du Maouloud ne fait pas l'unanimité au sein de la communauté parce que le prophète Mahamed lui-même de son vivant ne l’avait jamais célébré et a toujours insisté sur le strict respect des prescriptions coraniques. Etant donné que la fête de Maouloud n’est pas inscrite dans le saint Coran, tous les musulmans ne l’approuvent donc pas. L’anniversaire de la naissance du prophète Mohamed n’étant donc pas inscrit dans le Coran comme une fête, alors le fidèle n’a pas l'obligation de lui donner un caractère particulier. Certains musulmans ne voient pas l'intérêt de donner un cachet particulier à cette date, en l’absence d'une injonction de la religion elle-même. Toutefois, l'alpha Karim Abdou Abou soutient aussi que ceux qui comme lui se regroupent pour lire les récits de louanges au prophète à cette occasion n’ont pas non plus tort. C’est une reconnaissance, poursuit-il de la personnalité du prophète Mohamed, son œuvre pour l’humanité, le nombre de personnes suivant son enseignement et ceux portant son nom, il est important qu'à la date anniversaire de sa naissance il soit célébré. Une célébration qui ne doit pas forcément être perçue comme une fête religieuse recommandée, mais comme un jour de souvenir ou d’anniversaire juste pour se rappeler l’œuvre du prophète et voir en quoi elle peut servir aujourd’hui. En ce qui concerne la mosquée qui est restée fermée, l’alpha Abou assure que ceci n’a rien à voir avec l'anniversaire célébrée puisqu’aucune fête ne se célèbre à la mosquée, même pas la Tabaski qui est une grande fête musulmane. La mosquée est et demeure un lieu consacré pour la prière et non pour les réjouissances, conclut-il d'aire avec l'ère grave. bibo:pages 10 -- o:id 7649 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7649 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7665 26786 26787 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2322c1273df84a8fb48c75563f998e1bf41610a8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/14f3ccb20d11f068190561e76d7310286afb17bb.tiff https://islam.zmo.de/files/original/193619a9e4594969684c6d2a59bb36efaf599bb2.tiff dcterms:title Célébration du Maouloud au Bénin : sous le signe de la paix à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1517 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/31 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-01-05 dcterms:identifier iwac-article-0003548 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'esplanade extérieur de la mosquée Centrale de Jonquet a servi de cadre, samedi 3 janvier dernier, à la célébration du Maouloud. Cette fête musulmane qui marque la naissance du prophète Mohamed a été conjointement commémorée par le collège des imams des départements du Littoral et de l'Atlantique. La cérémonie a connu la participation des fidèles de la religion musulmane venus nombreux, des imams et des autorités politico-administratives. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/553 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'esplanade extérieur de la mosquée Centrale de Jonquet a servi de cadre, samedi 3 janvier dernier, à la célébration du Maouloud. Cette fête musulmane qui marque la naissance du prophète Mohamed a été conjointement commémorée par le collège des imams des départements du Littoral et de l'Atlantique. La cérémonie a connu la participation des fidèles de la religion musulmane venus nombreux, des imams et des autorités politico-administratives. Les fidèles musulmans du Bénin, à l’instar de leurs pairs des autres pays du monde entier ont pris d’assaut l'esplanade de la mosquée de Centrale de Jonquet à Cotonou, samedi 3 janvier dernier. Ils y ont célébré le Maouloud marquant la naissance du prophète Mohamed. Cette cérémonie qui intervient au 12è jour du 3è mois lunaire du calendrier musulman, est une occasion pour les fidèles d’invoquer Allah le miséricordieux leur créateur et de rendre un vibrant hommage au prophète de l'Islam. Cette année encore, ils n'ont pas dérobé à la tradition. Ainsi sous la houlette du collège des imams des départements du Littoral et de l’Atlantique et de l’Union des associations islamiques du Bénin, ils ont prié pour la paix, la justice, la tolérance et pour la Nation béninoise. En effet, c'est par une prière implorant la grâce divine sur tout le peuple béninois que cette fête a débuté. Les fidèles musulmans ont prié pour que Allah couvre toute la nation de ses bénédictions afin que les différentes élections prévues pour cette année se déroulent dans les règles de l’art. Aussi, ont-ils prêché à travers la lecture du saint Coran pour que le prophète comble de ses grâces le président de la République. Une prière particulière a été adressée aux différents membres du gouvernement et aux différents pays actuellement menacés par des troubles. Pour le président du collège des imams des départements du Littoral et de l’Atlantique, Ibrahim Ousmane, la célébration de la naissance du prophète est une occasion pour chaque fidèle musulman de s'inspirer des sens réels de ses actions. Il a par ailleurs exhorté tout le peuple béninois quelle que soit son obédience religieuse de cultiver en lui la paix, la tolérance afin que notre pays ne connaisse jamais des mouvements de trouble. Cette cérémonie a été également l’occasion de remise d’attestions de fin de formation aux imams qui ont participé à un atelier sur l'importance du planning familial organisé par le Royaume des Pays-Bas. Cette formation, aux dires de l’ambassadeur des Pays-Bas près le Bénin, Jos Van Aggelen, a permis aux différents participants de s’approprier les méthodes de planning familial son importance dans la société afin de mieux passer le message dans les différents lieux de cultes. Selon l'ambassadeur, cette méthode permet l’espace ment des naissances mais aussi d’atteindre les Objectifs 4 et 5 des OMD. Jos Van Aggelen, ambassadeur des Pays-Bas près le Bénin a reçu un tableau d’honneur de la part du collège des imams. Très heureux de la marque de distinction qui lui est faite, l’ambassadeur Jos Van Aggelen a remercié tous ceux qui ont contribué à la réussite de la cérémonie et a saisi l’occasion pour affirmer le soutien son faille des Pays-Bas au Bénin. Les différentes démonstrations des élèves des écoles coraniques ont mis un terme à la cérémonie dans une ambiance festive. bibo:pages 1 10 -- o:id 7650 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7650 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7666 26788 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9c725f18b2c8ddcc3526c94d034d617284bd89bc.pdf https://islam.zmo.de/files/original/df1a6047dd05a53d25bc80eef43b74fb3764c954.tiff dcterms:title Aux apprenants de l'école franco-arabe d'Akpakpa : l'ambassade du Venezuela à Cotonou offre des kits scolaires dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14145 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-12-30 dcterms:identifier iwac-article-0003549 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre de son programme «Parrainer une école en Afrique», l’ambassade de la République bolivarienne de Venezuela à Cotonou a fait don, le 16 décembre dernier, de kits scolaires aux apprenants de l’école franco-arabe Alaja Naimatou Akadiri d’Akpakpa-Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14605 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre de son programme «Parrainer une école en Afrique», l’ambassade de la République bolivarienne de Venezuela à Cotonou a fait don, le 16 décembre dernier, de kits scolaires aux apprenants de l’école franco-arabe Alaja Naimatou Akadiri d’Akpakpa-Cotonou. Selon l’ambassadeur de la République bolivarienne de Venezuela à Cotonou Alejandro Correa Ortega citant le président vénézuélien Nicolas Maduro, l’éducation est l’axe central dans tout processus de développement humain ; l’éducation étant le domaine dans lequel le gouvernement vénézuélien investit beaucoup. C’est pourquoi, souligne l’ambassadeur Alejandro Correa Ortega, le Programme «Parrainer une école en Afrique» revêt un caractère humanitaire inclusif avec l’espoir que ce programme renforcera davantage les relations entre le Venezuela et les peuples d’Afrique Pour Dissou Adékpédjou, le directeur de l’école récipiendaire, c’est un geste noble qui témoigne de la solidarité de la République bolivarienne de Venezuela envers une école de confession musulmane fréquentée surtout par des enfants de condition modeste. E. C-Z bibo:pages 13 -- o:id 7651 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7651 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7667 26789 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f0b3a1a44e2087d586351124fe3d88cf6bac2aa2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/249886b0b9b918dbf0ec3a7e63d46a6f5fc37e98.tiff dcterms:title 26è conférence annuelle de la communauté Jama'at Islamique : d'intenses séances de prières pour la paix et l'amour au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1517 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14780 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/116 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-12-22 dcterms:identifier iwac-article-0003550 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Place Idi de la communauté Jama’at Islamique de Djèrègbè dans la commune de Sèmè-Podji a servi de cadre pendant trois jours à la conférence annuelle de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin. Ouverte vendredi 19 décembre dernier, cette rencontre annuelle qui a drainé beaucoup de fidèles venus de toutes les contrées du Bénin a pris fin hier dimanche 21 décembre. C’est le président de la Jama’at Islamique Rana Farooq Ahmad qui a procédé à la clôture officielle de cette fête en présence de diverses personnalités. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14218 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Place Idi de la communauté Jama’at Islamique de Djèrègbè dans la commune de Sèmè-Podji a servi de cadre pendant trois jours à la conférence annuelle de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin. Ouverte vendredi 19 décembre dernier, cette rencontre annuelle qui a drainé beaucoup de fidèles venus de toutes les contrées du Bénin a pris fin hier dimanche 21 décembre. C’est le président de la Jama’at Islamique Rana Farooq Ahmad qui a procédé à la clôture officielle de cette fête en présence de diverses personnalités. Placé sous le thème «Toutes les bénédictions passent par Muhammad (S.A.W)», les fidèles musulmans de la communauté Jama’at islamique du Bénin ont trois jours durant prié et imploré la grâce divine pour que la paix règne à jamais dans le monde. Démarrée le vendredi 19 décembre dernier, sous la houlette du président de la Jama’at Islamique Ahmadiyya Rana Farooq Ahmad, cette conférence annuelle qui a connu la présence de nombreux fidèles venus de toutes les localités du Bénin est désormais conjuguée au passé. Les temps forts de cette rencontre de donner et de recevoir se résument à la récitation du saint Coran, la présentation de différents exposés prônant la paix et l'amour et également des prières de congrégation. En effet, l’objectif Visé par cette conférence annuelle est d'atteindre la Taqwa, c'est-à-dire la crainte d’Allah et de créer en même temps l’amour d’Allah dans les coeurs, de porter une attention particulière aux injonctions d’Allah et ensuite de les pratiquer. C’est d’ailleurs ce qui explique la place de choix qu’a occupé la prière avec plus de rectitude et l’adoration d’Allah. Ainsi les fidèles musulmans pourront progresser dans le désir et la volonté d’apporter une reforme pure pour atteindre un haut niveau spirituel. Les différentes personnalités présentes à la cérémonie de clôture de cette fête annuelle, très fières de l’engouement des fidèles autour de la parole d’Allah ont-elles aussi convergé leur message de soutien vers la culture de la paix et de l’amour. Que ce soit le roi de Kika, celui de Corné ou encore le consul honoraire de la Centrafrique au Bénin et l’ambassadeur du Togo près le Bénin, tous ont apprécié à sa juste valeur les différents travaux qui ont meublé les trois jours de conférence. Le président de la communauté Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin, Rana Farooq Ahmad, pour sa part, s'est inspiré des chapitres du saint Coran pour entretenir la foule sur les nombreuses réalisations du prophète Muhammad (S.A.W) à travers le monde. Pour lui, Dieu a suscité le messie qui est venu rétablir la foi dans le monde. Selon Rana Farooq Ahmad, seul le système Khilafat pourra ramener la paix, la tranquillité et l’amour de Dieu dans le monde qui est aujourd’hui victime des troubles, a-t-il déclaré. Et ceci passe par cette rencontre annuelle. «Qu’Allah fasse que tous les fidèles bénéficient de cette bénédiction du saint prophète en obéissant et en respectant strictement le système Khilafat afin que tous nous méritons le salut de Dieu», a imploré le président de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin. Avant de tourner leurs différents regards vers l’édition prochaine les fidèles au cours de cette fête annuelle, ont porté un regard critique sur les pays qui sont troublés par des sectes qui disent qu’ils sont musulmans mais font du mal partout. bibo:pages 14 -- o:id 7668 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7668 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7683 26790 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/34d490fc18ca3f100e91be0d22ffb044e7a70dec.pdf https://islam.zmo.de/files/original/de10c1d1d85b9a0ab51c0e180e27abfdaaa9cca9.tiff dcterms:title Réunion du Comité technique d'organisation du Hadj : le bilan de l'édition 2014 au menu des échanges dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1604 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15061 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13103 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-12-09 dcterms:identifier iwac-article-0003551 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Comité technique d’organisation du Hadj a tenu, vendredi 5 décembre dernier, une rencontre avec les convoyeurs et autres acteurs impliqués dans l’organisation de l’édition 2014 du pèlerinage. L’objectif était de faire le bilan de la participation des pèlerins béninois à ladite édition. C’était en présence du ministre en charge des Affaires étrangère, Nassirou Bako-Arifari qui est le coordonnateur national dudit Comité. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Comité technique d’organisation du Hadj a tenu, vendredi 5 décembre dernier, une rencontre avec les convoyeurs et autres acteurs impliqués dans l’organisation de l’édition 2014 du pèlerinage. L’objectif était de faire le bilan de la participation des pèlerins béninois à ladite édition. C’était en présence du ministre en charge des Affaires étrangère, Nassirou Bako-Arifari qui est le coordonnateur national dudit Comité. C’est une séance-bilan qui intervient après la fin du Hadj 2014. Pour ce faire, le secrétaire permanent du Comité, Chabi Imorou, dans son intervention, a souligné que globalement, le Hadj 2014 s’est bien passé pour les pèlerins béninois. «L’équipe du consulat béninois sur place en Arabie Saoudite s’est jointe à la délégation venue de Cotonou pour assurer l’accueil des pèlerins à l'aéroport international de Djeddah- ainsi que leur transport vers La Mecque. Sur le terrain, nous avons pu constater qu'à l'exception de quelques rares convoyeurs, la plupart ont hébergé les pèlerins dans de très bonnes conditions», a-t-il signalé, à propos de la qualité de l'accueil et de l’hébergement sur la Terre sainte. Toutefois, il y a eu quelques difficultés liées notamment au transport aérien et à la délivrance des passeports et visas: «nous avons eu un peu de difficultés liées au respect des horaires à l’aller comme au retour. Mais ces difficultés sont la conséquence du problème de la gestion des passeports». Le Comité dit avoir été confronté à «un nouveau système imposé par les services saoudiens». Il a dû recourir au Nigeria pour obtenir les derniers visas. Ce qui a permis, selon le Comité, d’avoir environ 4150 visas sur les 4200 destinés au Bénin au départ. L'attitude de certains convoyeurs déplorée Dans cette logique, le coordonnateur national du Comité, Nassirou Bako-Arifari, a déploré l’attitude de certains convoyeurs qui font voyager des personnes d’autres nationalités en lieu et place des Béninois. Cette année, informe-t-il, il y en a eu encore plusieurs centaines qui ont voyagé avec des passeports béninois. «Un certain nombre de convoyeurs ont organisé des pratiques frauduleuses en Arabie Saoudite. Une Ghanéenne a voulu voyager avec un passeport béninois qui ne lui appartenait pas. La police saoudienne l’a appréhendée. Et le passeport béninois est confisqué», a expliqué Nassirou Bako-Arifari qui ajoute que le consulat général s’occupe actuellement du dossier. Par ailleurs, le coordonnateur national signale que neuf pèlerins béninois, portés disparus, sont actuellement recherchés en Arabie Saoudite. Il invite alors chacun à plus de vigilance pour éviter à l’avenir des situations du genre. Dans la perspective du Hadj 2015, il invite les acteurs à réfléchir sur certaines questions, notamment l’exigence des passeports biométriques électroniques au plan international. bibo:pages 7 -- o:id 7669 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7669 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7684 26791 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/dabf989be268457bfbfbee0e2b0f51e78483424f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/dfba71f317539874a0c6ea36bb24711556cda013.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el-Kébir : communion de prières pour la paix et le pardon à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13704 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1963 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2043 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15240 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-10-06 dcterms:identifier iwac-article-0003552 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract «Aïdkoum Mabrouk ! Taqabbal-Allahu minna wa minkum. Amin : Joyeuse fête ! Qu'Allah agrée nos bonnes actions et les vôtres. Amen». Tels sont les vœux que se sont échangés les musulmans à l’occasion de la fête de la Tabaski qui s’est déroulée samedi 4 octobre dernier dans une communion de prières et dans l’allégresse à Parakou et ce, en dépit de la morosité économique ambiante. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content «Aïdkoum Mabrouk ! Taqabbal-Allahu minna wa minkum. Amin : Joyeuse fête ! Qu'Allah agrée nos bonnes actions et les vôtres. Amen». Tels sont les vœux que se sont échangés les musulmans à l’occasion de la fête de la Tabaski qui s’est déroulée samedi 4 octobre dernier dans une communion de prières et dans l’allégresse à Parakou et ce, en dépit de la morosité économique ambiante. Ce samedi matin à Parakou, les artères principales de la ville connaissent une affluence peu ordinaire : la circulation est dense. Les véhicules sont bondés de monde ; même les malles-arrière sont fortement sollicitées. C’est la ruée vers les places Idi. En fait, le stress des préparatifs de la fête et les houleuses négociations autour des prix des moutons, sont désormais du passé pour bon nombre. C’est la joie qui se lit sur les visages : la grâce de se retrouver en pleine forme parmi les vivants pour cette fête du sacrifice (Aïd el-Adha), la plus grande fête dans la tradition musulmane (Aïd el-Kébir). A Zongo, au lieu sacré de prières sis en face de la fondation islamique Ahaloulbatyti, c’est un monde fou attendant l’imam central Issa Kiri qui dirigera la célébration. Parés de leurs beaux habits, les hommes avec leur bonnet et leur turban et les femmes tout aussi endimanchées avec leur voile sur la tête, se sont déplacés par centaines pour ce rituel, à défaut de se rendre à La Mecque. Les cavaliers et leurs chevaux parés de belles couleurs se sont invités pour donner du mordant à la fête à travers leurs parades. Les mendiants, en grand nombre, rivalisent d’ardeur pour réclamer l’aumône. Les vendeurs d’objets divers sont aussi nombreux. A l’heure de la prière proprement dite, l’imam dans son prêche rend grâce à Dieu pour tous ses bienfaits et sa miséricorde à l’égard des hommes. Il prie pour qu'Allah comble tous les fidèles musulmans ainsi que les non musulmans en leur accordant la santé et la prospérité. Il plaide également pour le renforcement de la foi en Allah, la culture du pardon, l’union, l’entente et la paix dans les ménages, la nation et le monde entier. Le secrétaire général de la préfecture Borgou-Alibori, Mahamadou Imorou, le premier adjoint au maire de Parakou, Mohamed Alidou Nonsou, le conseiller municipal Hamed Touré rencontrés sur les lieux, ont abondé dans le même, tout en appelant les jeunes à la retenue, afin de ne pas transformer les moments de fête en occasions de douleurs, de deuils par les excès de vitesse, en boissons alcoolisées. Quant à la préfète du Borgou-Alibori, Salamatou Kora Ponou, elle était plutôt à la place Idi du CARDER Borgou avec le député Rachidi Gbadamassi, le directeur général de la SONAPRA, Idrissou Bako et d’autres personnalités. A la fin du sermon au bout d’une trentaine de minutes, conformément au rituel musulman, tout en prononçant le nom d'Allah, l’imam a procédé à l’immolation sur place d’un bélier. Le top est ainsi donné pour les sacrifices de mouton, béliers, bœufs et autres dans les maisons pour la fête. Les musulmans qui en ont eu la capacité, se réjouissent d’avoir accompli ce devoir de commémoration de la soumission d’Ibrahim (Abraham) à Dieu, en acceptant de sacrifier son fils unique Ismaël qui sera substitué en un animal par l’archange Gabriel. La fête s’est poursuivie tout le week-end autour des assiettes avec au menu de l’igname pilée, du riz, du couscous, de la pâte de maïs, accompagnés évidemment de la viande des bêtes immolées. Comme à l’occasion du ramadan (Aïd el-Fitr), il n’est pas recommandé de jeûner le jour de l’Aïd el-Adha ; autrement, c’est enfreindre les règles de l’islam. bibo:pages 11 -- o:id 7670 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7670 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7685 26792 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/591406674ebd3c93c52fc71d261e5214f15d98a4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/540836b464ad1c0d577b9ebb1be5dc0286f92bf3.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el-Kébir : à Abomey-Calavi, l'Imam El hadj Souleymane Traoré invite à la crainte de Dieu dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13093 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14131 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-10-06 dcterms:identifier iwac-article-0003553 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin a célébré à l’instar des autres du monde entier, samedi 4 octobre dernier, la Tabaski ou l'Aïd el-Kébir. A Agori-Plateau dans la commune d'Abomey-Calavi, les festivités ont eu lieu sous la conduite de l’Imam El hadj Souleymane Traoré qui a enseigné aux croyants d'avoir la crainte d'Allah. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14655 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin a célébré à l’instar des autres du monde entier, samedi 4 octobre dernier, la Tabaski ou l'Aïd el-Kébir. A Agori-Plateau dans la commune d'Abomey-Calavi, les festivités ont eu lieu sous la conduite de l’Imam El hadj Souleymane Traoré qui a enseigné aux croyants d'avoir la crainte d'Allah. Vêtus pour la plupart de leurs boubous blancs, les musulmans d’Abomey-Calavi ont pris d’assaut l’école primaire publique de Zogbadjè tôt le matin du samedi dernier. L’Imam de la mosquée centrale Médine II dAgori-Plateau à Abomey-Caiavi, El hadj Souleymane Traoré, dans son sermon, a invité les fidèles à craindre Allah le Très haut et miséricordieux. Après la prière commune et selon les règles de la religion musulmane, l'imam a procédé à l'immolation du bélier en guise de sacrifice, destiné, selon ce dernier, à rendre grâce à Dieu le miséricordieux : «prie ton maître et sacrifie», rappelle-t-il. La Tabaski est un moment de communion, de retrouvailles, et de pardon, au cours duquel le musulman renouvelle en permanence sa soumission à Dieu. Autrement dit, il s’agit d’une fête religieuse au cours de laquelle le musulman qui a les moyens et la possibilité, immole un mouton en guise de sacrifice; d’où l’appellation : Fête du mouton. Mieux, l’Aïd el-Kébir offre à chaque musulman l’occasion de méditer sur la conduite exemplaire d’Annabi Ibrahim et sa famille, considéré en Islam comme l’Ami d’Allah, un exemple de piété et de soumission à Allah et une référence de l’Ihsaane. En rappel, c’est ce jour-là, dixième jour de Dhul-Hijja, qu’Allah avait demandé à Annabi Ibrahim de sacrifier son fils. Un commandement qu’il exécuta dans une complète soumission à son Créateur. Allah, cependant, dans son infinie bonté, choisit d’épargner l’enfant qu’il substitua par un bélier qui fut sacrifié. De cet acte de totale soumission, provient le fait que les musulmans qui en ont les moyens accomplissent ce rituel, et distribuent la viande qui en est issue aux pauvres et aux nécessiteux. Chaque famille, dans la mesure de ses moyens, immole un animal en l’égorgeant couché sur le flanc gauche, la tête tournée vers la direction de La Mecque. L’animal à sacrifier, ainsi que son immolation, répondent à des règles précises portant sur la nature de l’animal, ses caractéristiques, et aussi le respect qui est dû à l’animal, à qui il faut épargner une longue souffrance. Selon le député Chabi Sika rencontré sur les lieux de prière, la foi s’exprime à travers la soumission. La première leçon de cette entière soumission, dit-il, est que la foi n’est authentique que dans la soumission à une volonté qui dépasse les seules vues humaines. Le second enseignement, poursuit-il, est que «Allah», dans son infinie miséricorde, n’a jamais eu le dessein de voir se réaliser le sacrifice du fils qu’Annabi Ibrahim a tant chéri. Derrière la volonté inflexible du Tout-Puissant, se trouve aussi son amour incommensurable pour sa création. L’Aïdd el-Kébir, a conclu l’imam El hadj Souleymane Traoré, est donc d’une grande richesse, car, elle permet de comprendre de façon pratique le sens de la soumission à Dieu, la dimension d’une miséricorde lumineuse, qui épargne les hommes et les invite au partage. bibo:pages 11 -- o:id 7671 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7671 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7686 26793 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0004c1cbbe1aa01768ea1246aa08035de0747c96.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4c8a559c3c74058ac66acfae57e749480e92c1fc.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el-Kébir : des dons de moutons aux nécessiteux à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-10-06 dcterms:identifier iwac-article-0003554 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les détenus musulmans de la Prison civile de Porto-Novo, de même que les enfants vulnérables de l’Orphelinat Notre-Dame de la Miséricorde (ONDAM) d’Adjarra, n’ont pas été du reste de la fête de la Tabaski. La communauté islamique Jama’at Ahamadiyya est allée leur faire don de moutons à la veille de ladite fête, vendredi 3 octobre dernier. Mais avant de procéder à la distribution des bêtes, elle est allée recevoir l’aval du préfet des départements de l’Ouémé-Plateau, Moukaram Badarou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les détenus musulmans de la Prison civile de Porto-Novo, de même que les enfants vulnérables de l’Orphelinat Notre-Dame de la Miséricorde (ONDAM) d’Adjarra, n’ont pas été du reste de la fête de la Tabaski. La communauté islamique Jama’at Ahamadiyya est allée leur faire don de moutons à la veille de ladite fête, vendredi 3 octobre dernier. Mais avant de procéder à la distribution des bêtes, elle est allée recevoir l’aval du préfet des départements de l’Ouémé-Plateau, Moukaram Badarou. Partager le bonheur avec les nécessiteux est une œuvre sociale que recommande le St Coran. C’est pour répondre à cette obligation que la communauté islamique Jama'at Ahamadiyya, s’est rendue, vendredi dernier, à la Prison civile de Porto-Novo et à l’Orphelinat Notre-Dame de la Miséricorde (ONDAM) d’Adjarra pour faire dons de moutons aux pensionnaires de ces deux centres. Cette année encore, la règle n’a pas varié. Fidèle à ses habitudes, elle a prioritairement pensé à ses frères et sœurs en détresse, afin de leur permettre de vivre également la Tabaski. Le geste de la Jama’at Ahmadiyya, combien social et important permettra aux bénéficiaires de sacrifier au devoir coranique, événement majeur pour tout musulman qui consiste à immoler un mouton le jour de la Tabaski. «A l’instar des citoyens du Bénin, ils pourront également partager un repas en commun avec la viande des bêtes offertes le jour de l’Aïd el-Kébir», se réjouit le président de ladite communauté, Rana Farook Ahmad. Ce témoignage de solidarité et d’amour est devenu pratiquement une coutume pour la Jama’at islamique Ahmadiyya. Chaque année, elle ne ménage aucun effort en faveur des nécessiteux, ont reconnu aussi bien le représentant du régisseur de la Prison civile de Porto-Novo, Wiliam Lokonon que la coordonnatrice de l’ONDAM, Martine Dossou. Pour le préfet des départements de l’Ouémé-Plateau, Moukaram Badarou, «être heureux seul, c’est ne pas l’être du tout. C’est lorsque l’on partage avec les nécessiteux que l’on est vraiment heureux», a-t-il souligné pour apprécier le geste des donateurs. En effet, la communauté islamique Jama’at Ahamadiyya est présente au Bénin depuis plusieurs années. A chaque occasion, elle fait parier d’elle dans les domaines socio-économique et éducatif. Le geste du vendredi dernier, constitue donc une suite logique de la mission qu’elle s’est assignée. Un geste qu’elle s’engage à renouveler autant de fois qu’il paraît nécessaire pour le bien-être des personnes en situation difficile. «Nous ne ménagerons aucun effort pour assister les pauvres, les démunis dans notre combat en faveur de l’amélioration des conditions de vie des personnes vulnérables», a réitéré le président de ladite communauté. En dehors de Cotonou et de Porto-Novo, les musulmans nécessiteux des autres localités du pays, n’ont pas non plus raté le rendez-vous de la Tabaski. Ceci grâce à la générosité de la Jama’at islamique Ahmadiyya. bibo:pages 11 -- o:id 7672 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7672 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7687 26794 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/233d5ff77e37d3fd0d4209823ee1cf235917e2fe.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e3f43f8d98fffe597626d656eda36cf94d86f7e8.tiff dcterms:title Accident mortel à la Mecque : l'Ong Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin prie pour le repos des victimes dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-10-02 dcterms:identifier iwac-article-0003555 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Bénin à l’instar des pays du monde entier pleure les victimes de la bousculade qui a endeuillé le Hadj 2015. L’Ong Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a organisé, hier jeudi 1er octobre à la mosquée Ahmadiyya de Cotonou à Kpankpan, une prière inter-religieuse pour exprimer sa compassion aux parents éplorés et surtout pour le repos des âmes des défunts. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13213 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Bénin à l’instar des pays du monde entier pleure les victimes de la bousculade qui a endeuillé le Hadj 2015. L’Ong Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a organisé, hier jeudi 1er octobre à la mosquée Ahmadiyya de Cotonou à Kpankpan, une prière inter-religieuse pour exprimer sa compassion aux parents éplorés et surtout pour le repos des âmes des défunts. Pendant que des centaines de milliers de pèlerins accomplissent le Hadj, l'un des cinq piliers de l'islam que tout fidèle musulman est censé accomplir au moins une fois dans sa vie, s'il en a les moyens, un drame s’est produit avec comme bilan, plus de 700 décès et des blessés graves. Parmi ces disparus figurent des Béninois dont le nombre n’est pas encore bien connu. Ainsi de nombreuses familles sont-elles lourdement attristées. L’Ong Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a organisé, hier à Cotonou, une grande prière ensemble avec d’autres confessions. Cette célébration à laquelle des fidèles de l’église du Christianisme céleste, des catholiques, des musulmans, des orthodoxes, des méthodistes et bien d’autres ont participé, a permis aux uns et aux autres, de se souvenir des victimes de l’accident de la Mecque 2015, et dé prier pour la paix dans le monde. Le président de l’Ong Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad, très ému, a rappelé que cette initiative vise à partager la douleur que connaissent les familles éplorées. Pour lui, c’est le lieu de se conformer aux commandements de Dieu et de se soumettre à ses enseignements. Tour à tour, les représentants des confessions religieuses présentes ont prié pour le repos des âmes des défunts et pour une parfaite santé de leurs parents. Pour eux, «Dieu connaît où chacun doit rendre l’âme». Pour eux, «On sait où on naît, mais on ne sait où chacun doit rendre l’âme. Car, la mort surprend». Ce rassemblement, qualifie le président Rana Farooq Ahmad, est un grand signe de solidarité et de convivialité entre toutes les religions, étant donné qu’il ne doit pas avoir de guerre entre elles. Ces différentes sollicitudes visaient surtout à soulager les parents des victimes pour les aider à supporter ces brusques disparitions. bibo:pages 10 -- o:id 7673 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7673 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7688 26795 26796 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5d6bedb522a2f2d6af9149b52529fd01ba12228a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ff0dc8e753653309ac692b556864190e0126cb74.tiff https://islam.zmo.de/files/original/bf4903cee1feab485597fa70821884481bf059cf.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el Kebir : commémoration placée sous la tolérance religieuse et la soumission à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1534 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-25 dcterms:identifier iwac-article-0003556 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l'instar de leurs homologues du monde entier, les fidèles musulmans d'Akpakpa à Cotonou ont aussi célébré la fête de l'Aïd el Kébir. A l'occasion, c'est l'imam Ibrahim Aboubakar de Akpakpa qui, après avoir conduit la prière pendant plus d'une vingtaine de minutes, a immolé le mouton apprêté pour la circonstance. Ce sacrifice, a été fait, en présence de milliers de fidèles et d'une délégation gouvernementale conduite par te Garde des Sceaux, ministre de la Justice, de la Législation et des Droits de l'Homme, Evelyne da Silva Ahouanto. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l'instar de leurs homologues du monde entier, les fidèles musulmans d'Akpakpa à Cotonou ont aussi célébré la fête de l'Aïd el Kébir. A l'occasion, c'est l'imam Ibrahim Aboubakar de Akpakpa qui, après avoir conduit la prière pendant plus d'une vingtaine de minutes, a immolé le mouton apprêté pour la circonstance. Ce sacrifice, a été fait, en présence de milliers de fidèles et d'une délégation gouvernementale conduite par te Garde des Sceaux, ministre de la Justice, de la Législation et des Droits de l'Homme, Evelyne da Silva Ahouanto. C’est à travers une prière qui a duré près d'une trentaine de minutes qu’ont démarré les moments forts de la célébration de l’Aïd el Kébir à la place Idi d’Akpakpa à Cotonou. Conduite par l’imam Ibrahim Aboubakar, cette prière constitue l'étape la plus essentielle avant l’immolation du mouton pour reproduire l’acte qu’a posé le prophète Abraham en lieu et place de son fils unique. Elle vise à se confier à Allah et de lui faire des doléances. Après cette prière, l’imam a prêché pendant plus d’une demi-dizaine de minutes devant les fidèles attentifs. Pour lui, les festivités de cette année sont placées sous le signe de la tolérance religieuse et de la soumission. Car, les deux termes constituent des facteurs essentiels pour qu’existe la paix dans une cité. La tolérance religieuse, selon lui, doit permettre à chaque individu de la société de choisir ou non, sa religion, peu importe son origine, car tout provient de la descendance d’Abraham. La soumission quant à elle, une fois observée par chacun, permet de bénéficier des multiples dons divins. Ce n’est qu’après cela que l’imam s’est dirigé vers le mouton et l’a immolé. Pour Zul Kifl Salami, ancien ministre, la Tabaski est une fête œcuménique. Elle est l’expression vivante du symbole de la solidarité et de la charité. Ceci pour permettre aux personnes vulnérables de s’épanouir. C’est pourquoi, l’aumône est l’une des pratiques les plus prisées de la religion islamique. Pour finir, il a invité les citoyens musulmans ou non, à vivre dans une bonne ambiance fraternelle. A cette même occasion, une délégation gouvernementale avec à sa tête Evelyne da Silva Ahouanto, ministre de la Justice, de la Législation et des Droits de l'Homme, était présente sur les lieux. Pour elle, la présence du gouvernement vise à soutenir la religion musulmane qui commémore comme de droit, la fête de l’Aïd El Kébir. Elle s’est dit satisfaite du fait que la célébration de cette année soit placée sous le signe de la tolérance religieuse et de la soumission, car la tolérance religieuse constitue un élément essentiel pour le rayonnement d’une famille voire même celle d’une nation. Evelyne da Silva Ahouanto n’a pas manqué de transmettre les remerciements du gouvernement aux responsables de la communauté musulmane pour toutes les prières qu’ils ont eues à faire pour la stabilité du pays. bibo:pages 1 10 -- o:id 7674 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7674 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7689 26797 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e94f3719f96a93f82a6fa407865113d919bf6b7f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9920acc06f5080b93ab83c940e1384d7f46c9dc2.tiff dcterms:title Don d'une dizaine de moutons aux couches défavorisées : Jama'at Islamique Ahmadiyya Bénin fait œuvre utile dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1534 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15099 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13443 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-23 dcterms:identifier iwac-article-0003557 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les membres de la communauté Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin ont organisé hier, mardi 22 septembre à Cotonou, une cérémonie de distribution de moutons. Ce don composé essentiellement d’une dizaine de moutons, est destiné aux pauvres, orphelins, malades, et prisonniers. A cette occasion, la délégation conduite par Rana Farooq Ahmad, président de la Jama'at Islamique Ahmadiyya Bénin s'est rendue successivement à la préfecture de Cotonou, au ministère de la Famille, à la prison civile de Cotonou et au Centre psychiatrique de Jacquot. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les membres de la communauté Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin ont organisé hier, mardi 22 septembre à Cotonou, une cérémonie de distribution de moutons. Ce don composé essentiellement d’une dizaine de moutons, est destiné aux pauvres, orphelins, malades, et prisonniers. A cette occasion, la délégation conduite par Rana Farooq Ahmad, président de la Jama'at Islamique Ahmadiyya Bénin s'est rendue successivement à la préfecture de Cotonou, au ministère de la Famille, à la prison civile de Cotonou et au Centre psychiatrique de Jacquot. Fidèle à leur principe de prospérité partagée, les membres de la communauté Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin ont offert aux personnes vulnérables, une dizaine de moutons. Première descente de cette délégation, c’est à la préfecture de Cotonou qu’elle l’a effectuée. Ici, c’est avec joie et satisfaction qu’elle a été reçue par Epiphane Quenum, préfet de l’Atlantique et du Littoral. Pour ce dernier, Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin a toujours été et demeure un exemple à suivre, de par ses nombreuses actions sociales tant sur le plan sanitaire que celui de l’éducation et de l’accessibilité à l’eau potable des populations. Il s’est dit honoré de la considération qui lui a été faite par Rana Farooq Ahmad, président de la Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin. Cependant, il a rappelé que les nombreuses actions que mène la communauté islamique sur le plan social, accompagnent le gouvernement béninois dans sa lutte contre la pauvreté en vue de permettre à la population béninoise de s’épanouir. Avant la remise du mouton symbolique au préfet, Rana Farooq Ahmad a tenu, à rappeler que ce geste n’est qu’un petit échantillonnage du don qui est fait par sa communauté sur toute l’étendue du territoire national. Au ministère de la Famille, la délégation a eu droit à un tête-à-tête de plus d’une trentaine de minutes avec le ministre, Honorine Attikpa. Après leurs échanges qui se sont déroulés à huis clos, Rana Farooq Ahmad a procédé à la remise d’une demi-dizaine de moutons. Le ministre Honorine Attikpa a, à son tour, promis de faire leur repartion en fonction des structures qui sont sous sa tutelle. Ce geste, s’est-elle réjouie, va permettre aux populations défavorisées de profiter de la solidarité des autres. Elle s’est dite aussi satisfaite de constater que la solidarité partagée constitue le leitmotiv de Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin. Honorine Attikpa a, par ailleurs, exhorté le président de la Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin à venir en aide aux populations sinistrées des départements du Borgou et de l’Alibori. Ce dont il l’a rassurée. C’est par la prison civile de Cotonou et le Centre psychiatrique de Jacko, que la descente de la délégation a pris fin. Dans la maison d’arrêt, c’est en présence du lieutenant Bariou Fatoumbi, régisseur par intérim, que s’est déroulée le don de deux moutons. Le geste d’hier, loin de leurs familles, ont indiqué les membres de la communauté musulmane de ladite prison, va permettre aux détenus de fêter la tabaski tout comme les autres musulmans du monde entier. Le Centre psychiatrique de Jacquot a aussi connu le même geste de générosité avec la remise de deux moutons. Sur les lieux, la délégation a signé le cahier de condoléances ouvert au lendemain du décès de Mathieu Tognidé, directeur du centre. La cérémonie de distribution de moutons se poursuit ce jour dans les départements de l’Ouémé et du Plateau. bibo:pages 11 -- o:id 7675 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7675 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7690 26798 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4e3bc0488657eec9ff077ce44524103b3faab470.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6e4b3df62d549f21b77d6a6a10179b77824b3263.tiff dcterms:title Développement communautaire : la Jama'at islamique Ahmadiyya désenclave Soyo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14721 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13633 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/775 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12901 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0003558 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les populations du village de Soyo dans la commune d’Allada peuvent pousser un ouf de soulagement. La Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin vient de faire d’eux le premier village modèle dénommé «village du millénaire» au Bénin. La cérémonie d’inauguration de ce village a eu lieu hier mardi 15 septembre en présence du président de la HAAC, Adam Boni Tessi et de nombreuses autorités politico-administratives. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14731 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14608 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les populations du village de Soyo dans la commune d’Allada peuvent pousser un ouf de soulagement. La Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin vient de faire d’eux le premier village modèle dénommé «village du millénaire» au Bénin. La cérémonie d’inauguration de ce village a eu lieu hier mardi 15 septembre en présence du président de la HAAC, Adam Boni Tessi et de nombreuses autorités politico-administratives. La Jama’at islamique Ahmadiyya, présente au Bénin depuis 1967, a réalisé beaucoup d’infrastructures et de nombreux projets au profit des populations à la base. A sept kilomètres de la commune d’Allada, dans le village de Soyo, cette organisation religieuse a construit un village modèle dénommé «village du millénaire». Un village équipé de panneaux solaires permettant d’alimenter convenablement en électricité et en eau potable toutes les maisons, ainsi qu’un centre communautaire d’apprentissage en couture doté d’une cellule informatique équipée de trois ordinateurs. Le village modèle de Soyo dispose également d’une unité de pisciculture. Le coût global du projet est de 80 millions de francs CFA. Le maire de la commune d’Allada, Djimath Mathias Djigla a dit toute sa gratitude aux donnateurs qui, selon lui, ont compris que nul n'a le droit d’être heureux tout seul. Il a pris l’engagement au nom de son Conseil communal de jouer toute sa partition afin de faciliter la tâche à la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin pour toutes les actions qu’elle entreprendra en vue du bien-être des populations. Le représentant du siège mondial de la Jama’at islamique Ahmadiyya venu spécialement de Londres pour la circonstance, Akram Ahmedi, a rappelé la vision de leur chef, le 5è Kalife de l’organisation religieuse qui est de rendre heureux tous ses semblables. Aussi, a-t-il affirmé que l’eau et l’électricité et les nouvelles technologies font partie des éléments essentiels de cette vision. Akram Ahmedi a indiqué que le souci de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin est de tout faire pour une pérennisation de ses œuvres et le fonctionnement normal des projets initiés. Quant au préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral, Epiphane Quenum, il a rappelé que le développement à la base n’est pas une tâche aisée et qu’il ne saurait être l’affaire de l’Etat à lui seul. Il a dit que les populations manquent de ce qu’il leur faut pour agrémenter leur vie. C’est-à-dire de l’eau, l’électricité pour leurs besoins vitaux. C'est pourquoi, Epiphane Quenum a remercié la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin pour ce cadeau qu’il offre aux populations de Soyo pour les désenclaver totalement. Le président de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication, Adam Boni Tessi, invité d’honneur de la cérémonie, a remercié les donateurs et les a invités à continuer les œuvres qu’ils ont entreprises depuis plusieurs années. L’Amir président de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Farook Ahmad, a indiqué que le centre communautaire permettra aux enfants et aux jeunes du village de Soyo.de se former pour contribuer au développement de leur localité bibo:pages 10 -- o:id 7676 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7676 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7691 26799 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/126bae1c2cac004e51e0182483959f33ee6e7f8c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9f5bcc4b096f0c58dbb7b83f54e0d73de1f7ca60.tiff dcterms:title Pèlerinage musulman à la Mecque : la première vague de 268 pèlerins a embarqué dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1505 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2027 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/85 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15425 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-14 dcterms:identifier iwac-article-0003559 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Prévu pour commencer le 21 ou le 22 septembre prochain, le pèlerinage en Arabie Saoudite sera effectif pour les musulmans béninois. Ainsi, la première vague de 268 pèlerins a embarqué avec le Boeing 767-300ER d’Ethiopian, vendredi 11 septembre dernier à l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Prévu pour commencer le 21 ou le 22 septembre prochain, le pèlerinage en Arabie Saoudite sera effectif pour les musulmans béninois. Ainsi, la première vague de 268 pèlerins a embarqué avec le Boeing 767-300ER d’Ethiopian, vendredi 11 septembre dernier à l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cotonou. Le Hadj est une obligation pour tout musulman ayant les moyens financiers et la santé physique nécessaires afin d'entreprendre le voyage jusqu'à la Mecque. A cet effet, la première vague de 268 pèlerins béninois sur les 4000, a embarqué vendredi 11 septembre dernier à l’aéroport international Bernardin cardinal Gantin. Le déroulement du pèlerinage s'effectue selon différents rites choisis d’avance par le pèlerin lui-même. Des trois types de Hadj, il y a : "le Tamattoua "l'al Qiran" et Tal ifrad". Mais au préalable, les pélerins doivent un respect sacré dans l'un des lieux du Hadj tels que le Dzoul Houleifa, l’AI Johfah, Qarnoul Manazil el Yalamlam destiné pour chaque région du monde. Issifou Akobi, un des pèlerins, déclare qu’une fois arrivée, qu’il doit faire le premier Hadj qu’on appelle communément oumourat et après le tawaf autour de la kaba et le marou s’en suit. C’est après cela que les pèlerins enlèvent leurs habits pour mettre une étoffe blanche pour l’oumoura. Il a également remercié le gouvernement pour ses efforts. A cet effet, une délégation ministérielle composée entre autres du vice-Premier ministre, François Abiola et du ministre des Affaires étrangères Saliou Akadiri, sont venus leur souhaiter un bon voyage. «Le chef de l’Etat, vous le savez est très attaché à tout ce qui concerne les religions dans notre pays. Il n’est pas là maintenant, c’est pourquoi il nous a mandatés pour vous souhaiter un excellent voyage. Vous y allez pour prier pour vous-même et vos familles mais également pour le Bénin, le chef de l’Etat Thomas Boni Yayi, tout son gouvernement et pour toutes les institutions de la République pour qu’il y ait toujours la paix, la concorder et la solidarité au Bénin», a indiqué François Abiola. Cinq conditions essentielles Notons qu’il existe cinq conditions: essentielles à remplir par le pèlerin avant d’effectuer son pèlerinage. Il y a l'islam, la pureté, la raison, la liberté et la capacité. Mais une sixième condition est imposée à la femme. Celle-ci doit être accompagnée par son mari ou par une personne masculine. Le Hadj est l’un des 5 piliers de l’Islam. Tous les musulmans aptes devraient si possible l'effectuer au moins une fois dans leur vie. Sa pratique remonte à l’an 9 du calendrier musulman, année aussi appelée "l’année de la délégation” et qui est marquée par la révélation de la sourate Al Imran. Le pèlerinage musulman est le plus grand du monde avec deux millions de pèlerins par an. Il se déroule entre le 8 et le 13 du mois musulman de Dou Al Hadja qui est le dernier mois du calendrier islamique. Avant le départ de la Terre sainte, les pèlerins doivent effectuer un dernier tour autour de la Maison sacrée qu’on appelle «tawaf al wadaa», conformément aux paroles du prophète Mohamed qui a dit selon ce qu’a rapporté Mouslim : «que le tawaf soit le couronnement de ce que vous faites avant de quitter la Mecque». bibo:pages 3 -- o:id 7677 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7677 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7692 26800 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4f5e87ae0542e984e95be8429b036ddcbf8c828c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/55c004f562380361d9e649e03c68f39162a87519.tiff dcterms:title Remise de dons aux patients des hôpitaux du Bénin : l'Ong Jama'At islamique Ahmadiyya au secours du CNHU- HKM dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-11 dcterms:identifier iwac-article-0003560 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Afin de permettre au Centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou de bien accueillir les malades et de les mettre dans de bonnes conditions sanitaires, l’Ong Jama’At islamique Ahmadiyya du Bénin lui a offert gracieusement un important lot de matériel. La remise de ces matériels a eu lieu, hier jeudi 10 septembre à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Afin de permettre au Centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou de bien accueillir les malades et de les mettre dans de bonnes conditions sanitaires, l’Ong Jama’At islamique Ahmadiyya du Bénin lui a offert gracieusement un important lot de matériel. La remise de ces matériels a eu lieu, hier jeudi 10 septembre à Cotonou. Malgré les efforts du gouvernement, il est rare qu’un centre de santé dispose de tout le nécessaire pour son confort. C’est dans cette situation que les dons issus des œuvres humanitaires deviennent salutaires. C’est bien le cas du CNHU de Cotonou et bien d’autres hôpitaux de grande réputation. C’est donc pour trouver solutions aux besoins des patients du CNHU que l’Ong Jama’At islamique Ahmadiyya du Bénin vole de temps en temps à son secours. «Ce n'est pas la première fois que nous collaborons avec le CNHU», a lâché le président de la Jama’At Islamique Ahmadiyya, Farooq Ahmad. Il a remis hier 2000 draps de lit et 10 chaises roulantes au directeur général du CNHU de Cotonou, le général Abdoulaye Idrissou avant de promettre y revenir dans les tout prochains jours avec une machine pour les cardiaques. Le CNHU accueillera aussi la visite d’une équipe de professionnels de santé pour encadrer et intervenir dans les opérations d’hernies. Une autre équipe de chirurgiens et professeurs viendront passer 10 semaines au Bénin pour encadrer les médecins du Bénin. «Le premier plus grand hôpital du Bénin a besoin de ces actions énergétiques et nous sommes prêts à apporter notre appui logistique», a-t-il promis. Il n’a pas manqué d’apprécier la qualité des soins apportés aux malades et en a profité pour remercier le directeur général du CNHU pour son effort d'encadrement de tout le personnel. Il l’a alors encouragé à continuer dans la même lancée afin de continuer à bénéficier des accompagnements de l’Ong. «La communauté ne ménagera aucun effort pour accompagner le développement des hôpitaux du Bénin et précisément le CNHU», a rassuré Farooq Ahmad. Le directeur général du CNHU a reconnu tous les actes de générosité constante de l’Ong en faveur des malades et de tout le personnel du centre. Il a déploré qu’il y ait tellement de priorités que malgré les moyens que l’Etat met à la disposition du centre, on n’arrive pas à combler les attentes des populations. Il a pris l’engagement au nom de tout le personnel et des malades qu’un bon usage sera fait de ces dons. Le directeur général du CNHU, Abdoulaye Idrissou a saisi l’occasion pour dénoncer l’incivisme des malades ou des gardes malades. Cet incivisme s’explique par le fait qu’après leur hospitalisation, des malades rentrent avec les draps de lit et autres matériels du centre. Ce comportement, selon Abdoulaye Idrissou n’honore guère les Béninois, surtout qu’il s’agit des dons offerts par de bonnes volontés. bibo:pages 6 -- o:id 7678 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7678 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7693 26801 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/dc3d1ba04936a94c42449c578fcb3395c7a56e6b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/056d5e8742bfa1ad0f1558316a73826d7e140f69.tiff dcterms:title Remise de chèques aux chefs traditionnels et confessions religieuses : reconnaître leur contribution au développement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15234 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-08-28 dcterms:identifier iwac-article-0003561 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le souci de reconnaître la contribution de la chefferie traditionnelle et des confessions religieuses au développement du Bénin, le gouvernement a instauré à leur intention depuis 2008, une dotation. Hier jeudi 27 août au ministère chargé des Relations avec les Institutions à Cotonou, il leur a été remis des chèques à cet effet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le souci de reconnaître la contribution de la chefferie traditionnelle et des confessions religieuses au développement du Bénin, le gouvernement a instauré à leur intention depuis 2008, une dotation. Hier jeudi 27 août au ministère chargé des Relations avec les Institutions à Cotonou, il leur a été remis des chèques à cet effet. A l’instar des autres composantes de la Société civile comme les organisations syndicales et les médias, la chefferie traditionnelle et les confessions religieuses jouent un rôle important dans la construction et le développement du Bénin. C’est pourquoi chaque année, le gouvernement apporte aux chefs traditionnels du Bénin, têtes couronnées, dignitaires des religions endogènes, ainsi qu’aux religions judéo-chrétiennes et islamique, son soutien financier afin que règne la paix dans le pays. C’est dans ce cadre qu’il leur a été remis hier une somme de 540 millions FCFA. Le ministre chargé des Relations avec les Institutions (MCRI), Thomas Yombo a estimé que cette cérémonie est d’une grande importance dans la mesure où elle porte le témoignage de l’attachement et de la sollicitude du gouvernement envers la chefferie traditionnelle et les organisations religieuses. Ce geste du gouvernement, déclare-t-il, est non seulement un acte de reconnaissance de mérite, mais surtout un appel à une veille permanente sur les piliers de la démocratie béninoise et de la cohésion nationale. Cet effort soutenu du gouvernement témoigne de son engagement à poursuivre inlassablement le maintien et le renforcement du système démocratique, estime-t-il. Cette pratique instaurée relève de la conscience que l’intolérance religieuse génère des bouleversements tragiques dans la société. C’est pourquoi, rappelle-t-il, il a été organisé sur l’initiative du professeur Albert Tévoédjrè le premier forum international sur le dialogue interreligieux au Bénin. Ces retrouvailles, a noté Thomas Yombo, ont permis d’identifier les racines profondes de l’intolérance religieuse, de maîtriser les contours de la notion de laïcité, d’allumer les flammes pour la promotion de la tolérance religieuse, du dialogue interreligieux et œcuménique, de prendre résolument l’engagement d’impliquer toutes les forces vives dans le maintien de la paix et de la stabilité. Le ministre Thomas Yombo a aussi rappelé qu’hormis les 540 millions distribués hier, une somme totale de 3 milliards a été octroyées aux chefs traditionnels du Bénin, les têtes couronnées, les dignitaires des religions endogènes, judéo-chrétiennes et islamique depuis 2008. bibo:pages 10 -- o:id 7679 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7679 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7694 26802 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/31356ec5649a828ecd3f670f34c76dae96b3c884.pdf https://islam.zmo.de/files/original/edb192e0691d426730f3dc9b157ca0fb741f7a6d.tiff dcterms:title Célébration du Ramadan 2015 : l'imam Boukari Idrissou a prié avec les musulmans de Bohicon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1615 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15485 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-20 dcterms:identifier iwac-article-0003562 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le vendredi 17 juillet dernier, c’était le Ramadan qui consacre la fin des trente jours de jeûne prescrit par l’islam. La communauté musulmane du Bénin et en particulier celle de Bohicon a célébré l’événement. C’est la Place Idi située non loin du CEG 2 de Bohicon qui a accueilli la séance de prière de cette célébration conduite par El Hadj Boukari Idrissou, imam de la mosquée Zongo de Bohicon. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le vendredi 17 juillet dernier, c’était le Ramadan qui consacre la fin des trente jours de jeûne prescrit par l’islam. La communauté musulmane du Bénin et en particulier celle de Bohicon a célébré l’événement. C’est la Place Idi située non loin du CEG 2 de Bohicon qui a accueilli la séance de prière de cette célébration conduite par El Hadj Boukari Idrissou, imam de la mosquée Zongo de Bohicon. L’Aïd-el-Fitr est un jour spécial qui marque la fin du Ramadan pour tous les musulmans. Un instant qu’aucun musulman ne doit se faire conter. Ce qui sans doute explique la grande mobilisation enregistrée le vendredi dernier sur la Place Idi de Bohicon. On pouvait noter la présence, entre autres, du député Issa Salifou, de l’adjoint au maire de Bohicon, Marna Sanni et des autorités politico-administratives à divers niveaux. Il sonnait 9h50 mn lorsque le cortège de l’imam s'est immobilisé sur la place de prière. Cinq minutes après, exactement à 10h, démarre la séance de prière comme prescrit et pratiqué par le prophète Mohamet. «Allah Akbar, Allah Akbar » qui signifie «Allah est le plus grand, il est le plus grand. Il n’y a aucun dieu excepté Allah. Il est le plus grand. Tous les éloges et merci sont pour lui». Après les moments consacrés pour la prière, l’imam Boukari Idrissou, dans son sermon enrichi par les sourates a exhorté les musulmans présents à emprunter le chemin tracé par le prophète en ayant des comportements vertueux. Car, dit-il, l’islam est la religion de la tolérance, de la miséricorde et de la paix. Mais elle rejette catégoriquement la mauvaise conduite. «Musulmans, craignez Allah, le très haut, car la piété est la marchandise la plus fructueuse», devait-il faire observer avant d’inviter tous ceux qui s'éloignent du chemin de Dieu à se repentir, à y revenir afin de retrouver le salut qu’à Allah accorde à tout repenti. Allah sait aussi pardonner. Il conclut en souhaitant une bonne fête de Ramadan à tous les musulmans du Bénin et de Bohicon en particulier et prié pour que chacun reçoive en abondance les bénédictions du mois de jeûne. L’Aïd el-Fitr représente surtout une occasion de rassemblement des musulmans entre eux. Faut-il le rappeler, l'Aïd el-Fitr ou la fête de la rupture du jeûne est une fête musulmane marquant la fin du Ramadan, mois de jeûne et de prières pour tout musulman. Elle est aussi considérée par les musulmans comme la petite fête par opposition à l'Aïd-el-Kebir, la grande fête des fidèles musulmans. bibo:pages 11 -- o:id 7680 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7680 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7695 26803 26804 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cf61d28ce9fde797cf19f0f5900a23556dfc981d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b7d6c701c9054f6e21bdb6427c209e00e8925782.tiff https://islam.zmo.de/files/original/c50d90207e93b2ec7d29b30b7609c7c619d092a7.tiff dcterms:title Célébration du Ramadan 2015 : les musulmans de Porto-Novo invités à promouvoir les valeurs de l'islam dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13323 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-20 dcterms:identifier iwac-article-0003563 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l'instar des fidèles musulmans du monde entier, la communauté islamique de Porto-Novo a célébré vendredi 17 juillet dernier, la fête de l’Aïd-el-Fitr, édition 2015. C’est la Place Idi de la mosquée centrale de la ville qui a été choisie comme point de ralliement pour la grande prière de fin du jeûne musulman. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l'instar des fidèles musulmans du monde entier, la communauté islamique de Porto-Novo a célébré vendredi 17 juillet dernier, la fête de l’Aïd-el-Fitr, édition 2015. C’est la Place Idi de la mosquée centrale de la ville qui a été choisie comme point de ralliement pour la grande prière de fin du jeûne musulman. C'est dans la joie et l’allégresse que les fidèles musulmans de la ville de Porto-Novo ont célébré vendredi 17 juillet dernier la fête du Ramadan. Ils étaient vêtus de leurs plus belles tenues faites surtout de bazin et étaient très nombreux à prendre d’assaut la grande Place Idi de la mosquée centrale de la ville qui sert de cadre chaque année à cette ultime prière de la fin de leur carême. Une période au cours de laquelle ils ont subi 29 jours de privation, de sacrifice et d’intenses prières. On notait à cette séance de prière, la présence de plusieurs personnalités politico-administratives du Bénin dont le préfet des départements de l’Ouémé et du Plateau, Moukaram Badarou, le directeur de cabinet du président de l’Assemblée nationale, Falilou Akadiri, représentant la deuxième personnalité de l’Etat, le président de l’Alliance pour un Bénin triomphant (ABT), Abdoulaye Bio Tchané. Ils étaient tous mobilisés pour cette prière annonciatrice de la fin du carême musulman et de la fête de l’Aïd-EI-Fitr. Laquelle a duré une vingtaine de minutes. Elle a démarré à 10 heures et s’est achevée à 10h19 mn par des accolades entre fidèles. Dans son sermon, Hamza Houzéifa, imam de la mosquée centrale de Porto-Novo, a saisi l’occasion pour mettre l’accent sur certaines valeurs qui fondent la religion musulmane. Lesquelles valeurs sont la tolérance, la paix, l’équité, la solidarité, l’amour, le respect de la personne humaine, la bonne conduite et la cohésion sociale. Selon lui, tous les compagnons du prophète Mahomet doivent faire leurs, ces fondamentaux de l’islam qui sont un don dudit prophète. Ils doivent reconnaître, préserver et honorer ces valeurs de l’islam qui interdisent la turpitude, la haine, la médisance, la méchanceté gratuite ainsi que tous les actes blâmables. « A travers ces enseignements, le prophète Mahomet recommande de s’honorer mutuellement, de reconnaître la supériorité des uns sur des autres surtout les détenteurs du pouvoir qu’il soit politique, économique, social, culturel, intellectuel, spirituel, moral ou charismatique et de ne pas nuire à leurs réputations dans le seul but de se venger et de les déstabiliser sans motif valable », souligne l’imam Hamza Houzéifa. Toutefois, reconnaît-il, il est un devoir pour le fidèle musulman de dénoncer l’autorité quand elle se montre injuste. Mais cette dénonciation doit se faire dans les normes, insiste l’imam de la mosquée centrale de la ville de Porto-Novo, avant de prier Allah à fortifier les coeurs des fidèles musulmans du Bénin en général et de Porto-Novo en particulier vers la voie islamique. bibo:pages 1 10 -- o:id 7681 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7681 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7696 26805 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3a81bc76cb1e9aa0f62abe4d0f8d6363eedae41b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3453f3286b1246adb9d24a09fcb3d9f87c310009.tiff dcterms:title Célébration du Ramadan 2015 : intenses prières à la mosquée Tawakalitou de Maro militaire dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1549 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1377 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-20 dcterms:identifier iwac-article-0003564 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans de Cotonou ont célébré vendredi 17 juillet dernier, l’Aïd-el-Fitr, la fête de Ramadan. A la mosquée Tawakalitou de Maro militaire en présence de El Hadj Ousmane Aboubacar, imam de la mosquée centrale de Cotonou, des centaines de fidèles ont prié à cet effet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14327 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans de Cotonou ont célébré vendredi 17 juillet dernier, l’Aïd-el-Fitr, la fête de Ramadan. A la mosquée Tawakalitou de Maro militaire en présence de El Hadj Ousmane Aboubacar, imam de la mosquée centrale de Cotonou, des centaines de fidèles ont prié à cet effet. Très tôt, vendredi 17 juillet dernier, une partie de la communauté musulmane de Cotonou a pris d’assaut la Place Idi située devant la mosquée Tawakalitou de Maro militaire. Assis sur des nattes et des tapis de tout genre, ces fidèles n’ont pas attendu l’arrivée de l’imam pour s’installer. Les hommes étaient alignés au premier rang et les femmes voilées, assises à l’intérieur de la mosquée. La foule de croyants reprend en chœur, et presque sans arrêt, «Allah akbar», «Allah est le plus grand» en Arabe. A 10 heures, l’imam Ousmane Aboubacar arrive accompagné de son cortège. Il est rapidement installé et commence aussitôt la prière de l’Aïd-el-Fitr au cours de laquelle les fidèles répètent en chœur les mots et les gestes de l'imam Ousmane Aboubacar. A la fin de la prière officielle du Ramadan, l’imam a fait un sermon dans lequel il invite les populations à cultiver la tolérance, la paix et l’amour du prochain. Il a imploré Allah afin qu’il bénisse le chef de l’Etat, Boni Yayi et le président de l’Assemblée nationale, Me Adrien Houngbédji ainsi que toutes les autres autorités à divers niveaux de la vie publique. Il a invité les musulmans à n’abuser ni de l’alcool, ni de la nourriture ni d’aucun autre plaisir de la vie en ce moment de Ramadan. « Le mois de Ramadan, c’est le plus grand de tous les mois. Au cours de ce mois, Dieu demande de prier afin de se purifier. Les musulmans ne doivent pas se comporter comme s’ils adoraient ce mois mais ce qui est important c’est l’observance des prescriptions de la religion. Ne vous lancez pas dans l’alcool. Restez toujours dans une autre forme de religiosité », a conseillé l’imam Ousmane Aboubakar à la communauté musulmane. bibo:pages 11 -- o:id 7682 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7682 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7697 26806 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c8c4afef9b2df8416798e8c6155509e20b0555ce.pdf https://islam.zmo.de/files/original/58491e0e0edb82ed428a3b53369e8cfc43dcdfa8.tiff dcterms:title Célébration du Ramadan 2015 : mobiliser les musulmans à demeurer dans la piété à Lokossa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15148 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1383 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-20 dcterms:identifier iwac-article-0003565 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans de Lokossa et ses environs ont célébré vendredi 17 juillet dernier l’Aïd-el-Fitr. Cette journée de réjouissance a été faite d’intenses prières au sein de la communauté Jama’at islamique mais surtout à la Place Idi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans de Lokossa et ses environs ont célébré vendredi 17 juillet dernier l’Aïd-el-Fitr. Cette journée de réjouissance a été faite d’intenses prières au sein de la communauté Jama’at islamique mais surtout à la Place Idi. L’Aïd-el-Fitr s’est tenu sous un air festif à Lokossa et ses environs dans le département du Mono sans que le Couffo ne soit du reste. Mais avant de s’adonner à la réjouissance, les fidèles musulmans ont été conviés à des séances de prières. L’une des plus importantes a été dite par l’imam Abdoulaye Torhir à la Place Idi située à l’entrée de la ville de Lokossa. Pour la circonstance, la prédication a porté sur la Sourate "Ou Touba Aïd Fitr" qui est, selon Saliou Liamidi porte-parole de l’imam, un discours destiné à motiver les musulmans aux pratiques religieuses notamment le jeûne et les prières en vue de se maintenir, au-delà du Ramadan, dans les grâces divines. Pour le porte-parole, une chose est de remercier Allah d’avoir pu achever le mois de carême et de s’attendre par la suite à des bénédictions mais le plus important, indique-t-il, est de demeurer dans la piété. Puisqu’Allah qui accorde les grâces et le paradis aux fidèles qui font jusqu'à terme le carême, prévient Saliou Liamidi, reste le seul à choisir celui qu’il veut. Ces enseignements étaient précédés de ceux par lesquels Aboubakar Wassiou, maître coranique, a entretenu les fidèles avant l’arrivée du prédicateur aux environs de 10 heures. Au même moment à Athiémé et dans bien d’autres mosquées, à l’instar du siège départemental de la communauté Jama’at islamique, des fidèles se sont mobilisés dans une union de prières envers Allah. Le missionnaire Mahmood Arif qui a prêché la sainte parole à l’endroit de ladite communauté a également assuré que l’Aïd-el-Fitr est plus une occasion d’intenses prières que de relâchement. Selon les préceptes de sa communauté révèle-t-il, la journée de l’Aïd-el-Fitr se singularise par l’observance d’au moins six séances de prières enrichies chaque fois par une récitation abondante de takbir. L’édition 2015 de l’Aïd-el-Fitr a, comme par le passé, enregistré la présence de l’autorité préfectorale. Elle a été représentée par Gildas Mahoussi, chargé de mission à la préfecture du Mono-Couffo. «Nous souhaiterions que les grâces du Tout-puissant Allah nous soient accordées. Et que la solidarité, l’union et la cohésion sociale règnent entre les fils du Mono et du Couffo quelle que soit leur religion», a-t-il laissé entendre. A la fin des prières, place a été faite aux agapes dans les domiciles en compagnie des invités non musulmans. Les actes de charité, apprend-on, confortent l’Aïd-el-Fitr. Au niveau de la communauté Jama’at islamique, cette charité s’est traduite à travers la distribution des vivres aux ménages. bibo:pages 10 -- o:id 7698 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7698 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7713 26807 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/42864ffb4bda4420ddb6d3309d22e672d66800bf.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8cf66fa0c2c28c083af1f4c2634e56754674a007.tiff dcterms:title Célébration du Ramadan 2015 : la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin distribue des cadeau dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-20 dcterms:identifier iwac-article-0003566 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin a célébré vendredi 17 juillet dernier la fête du Ramadan marquant la fin du jeûne. A l’occasion, la communauté religieuse Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, a offert des vivres dans divers lieux dans la ville de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin a célébré vendredi 17 juillet dernier la fête du Ramadan marquant la fin du jeûne. A l’occasion, la communauté religieuse Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, a offert des vivres dans divers lieux dans la ville de Cotonou. La communauté religieuse Jama’at islamique Ahmadiyya a offert des vivres successivement au ministère en charge de la Famille, au Centre national hospitalier Hubert Koutoucou Maga, à la prison civile de Cotonou, au Centre hospitalier et universitaire psychiatrique de Jacquot et à l’Office central de protection des mineurs. A chaque étape, les bénéficiaires ont reçu des sacs de riz, des bidons d’huile, des cartons de pâtes alimentaires, des boîtes de tomate concentrée et des cartons de savon. Le président et chef missionnaire de cette communauté religieuse. Rana Farook Ahmad, a dit partout où il est passé que le geste vise à partager la joie de la fête du Ramadan avec tout le monde, à créer l’espoir dans le cœur des pauvres et à susciter l’amour de Dieu afin qu’il exauce les prières des uns et des autres. Il a également indiqué qu’il vise à aider ceux qui sont malades et qui souffrent. Aucune couche sociale n’a été donc oubliée à l’occasion de ce geste de charité qui a lieu chaque année. La secrétaire générale du ministère de la Famille, Geneviève Ogoussan a affirmé que ce geste habituel illustre l’importance que la communauté Ahmadiyya accorde aux personnes vulnérables. Elle l’a remerciée pour tout ce qu’elle fait dans le pays et dans plusieurs domaines, avant de rassurer les donateurs que les vivres offerts iront aux personnes ciblées. Au centre psychiatrique de Jacquot, les malades par le biais de leur porte-parole Emile d’Almeida ont apprécié à sa juste valeur ce geste fait à leur endroit, et qui répond aux valeurs de l’islam qui a pour principe de partager l’amour et la joie dans les cœurs. Ils ont souhaité que la collaboration avec le centre ne s’arrête pas aux dons et se transforme en un partenariat Un souhait qui a reçu un avis favorable émis sur place par le président national et chef missionnaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya, Rana Farooq Ahmad. Le directeur du Centre national hospitalier Hubert Koutoucou Maga de Cotonou, Idrissou Abdoulaye, a, au nom du gouvernement et de tous les malades du centre remercié les donateurs, avant de rappeler que le mois du jeûne musulman est un mois de partage et de générosité au cours duquel ceux qui sont en bonne santé, doivent se souvenir des malades. Il a rappelé que le CNHU-HKM bénéficie tous les ans de la générosité de la communauté Ahmadiyya. A la prison civile de Cotonou, le gardien chef, l’adjudant Henri Gnancadja, a aussi salué ce geste qui vient semer la joie au cœur de personnes qui se rendent compte qu’ils ne sont pas des oubliés. A l’Office central de la protection des mineurs, ce sont des enfants en situation difficile qui ont manifesté leur joie de recevoir ces personnes généreuses venues vers eux avec les mains chargées de vivres pour leur permettre de fêter dans de meilleures conditions, à travers des chants pleins de sens et de reconnaissance. Le représentant du ministre de l’Intérieur, de la Sécurité publique et des Cultes, Michel Alokpo, a dit toute la reconnaissance du gouvernement qui salue les nombreuses actions qu’entreprend la communauté Jama'at islamique Ahmadiyya au Bénin. Aussi, a-t-il rappelé que ce don effectué à l’Office témoigne de l'amour que cette communauté religieuse accorde à l’enfance. bibo:pages 11 -- o:id 7699 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7699 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7714 26808 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d06d3566de6f6a66fac8208f2d65e3e9a01ed795.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f30f3068eed3b4493b5630eff4f431972f8af3aa.tiff dcterms:title Célébration du Ramadan 2015 : une ferveur et une cadence à double vitesse à Djougou et Natitingou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12978 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13169 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15252 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14663 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-20 dcterms:identifier iwac-article-0003567 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au terme d’un mois de jeûne, les fidèles musulmans ont célébré aussi bien à Natitingou qu’à Djougou l’Aïd-el-Fitr. Quoique la fête n’ait pas la même envergure dans ces deux villes, elle a permis à la communauté musulmane de retrouver une vie normale mais cette fois-ci avec la conviction d’avoir conjuré les mauvaises passes et fortunes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au terme d’un mois de jeûne, les fidèles musulmans ont célébré aussi bien à Natitingou qu’à Djougou l’Aïd-el-Fitr. Quoique la fête n’ait pas la même envergure dans ces deux villes, elle a permis à la communauté musulmane de retrouver une vie normale mais cette fois-ci avec la conviction d’avoir conjuré les mauvaises passes et fortunes. Tôt ce vendredi 17 juillet, les rues de Djougou étaient bondées de monde. Un beau monde en apparat tout blanc ou aux couleurs douces. Boubous et bonnets de divers tons et styles se côtoient, offrant à la vue, une parade digne des grands jours. Personne ne semble vouloir rater les premières prières de ce jour béni de Dieu. Le Ramadan à Djougou vaut aussi bien ailleurs au Bénin, son pesant d’or. Seulement qu’elle ne revêt pas la même envergure. A Natitingou, la ferveur dans le cœur des fidèles musulmans est intacte sauf que les rues sont clairsemées. Pas grand-monde à croiser contrairement à Djougou. Quelques personnes parées de chasubles blanches donnent le ton d’une célébration qui s’annonce belle. A la Place Idi de Natitingou, l’imam Ibrahim Yari invoque Allah pour ce temps solennel de carême et exhorte les fidèles musulmans à poursuivre la méditation qui a marqué ces trente jours de jeûne, tel que recommandé par le coran. «Il faut que le fidèle musulman soit un exemple dans tout ce qu’il fait. Qu’à travers ses comportements, sa pensée et sa parole, il puisse influer positivement son univers», note-t-il. Devant fidèles et autorités politico-administratives de la commune, il mettra en garde contre toute déviance et appellera à la prière permanente pour préserver la paix dans le pays. Cette prière qui sanctionne la fin du mois de Ramadan, pour Gervais N’dah Sékou, préfet des départements de l’Atacora-Donga, raffermit davantage la foi des fidèles et participe à cette paix que le peuple béninois appelle de tous ses vœux. A Djougou, les différentes places Idi aménagées pour accueillir la prière de l’Aïd-el-Fitr ont été prises d’assaut par des milliers de fidèles. Convaincus qu’ils sont de s’être réconciliés avec Dieu durant ses 30 jours d’abstinence et de diverses privations, ils invoquent une fois encore le pardon sous l’égide des imams. A la Place Idi centrale d’Irikpè-gannan dans le troisième arrondissement, ils joindront leurs voix à celle de Dara Taïrou, substitut de l’imam central, en pèlerinage à la Mecque pour magnifier la grandeur de l’Eternel. L’intonation «Allah Akbar» résonnera de plus belle et de façon chaloupée sur cette place qui a enregistré la plus grande mobilisation. Avec la présence remarquée du ministre d’Etat en charge de l’Enseignement secondaire, Alassane Soumanou Djimba, de Sa Majesté, le roi Kpétoni Koda VI et du maire Micäel Bassabi Djara. «Les fêtes musulmanes comme le Aïd-el-Fitr ne doivent pas être pour le musulman des occasions d’errance, de péché et de déviance. Le musulman doit se respecter et se faire respecter à travers l’islam, toujours s’investir dans de bonnes œuvres et privilégier l’amour du prochain, être un modèle dans la société en matière de solidarité, de l'unité, de la promotion des valeurs de paix», a exhorté le substitut de l'imam central. Invitant les fidèles à un ultime sacrifice après la célébration: accompagner une fois encore le mois de Ramadan avec six jours de jeûne supplémentaire. Un appel à la modération a été lancé par les différentes autorités présentes sur les lieux. La célébration s’est poursuivie par la suite dans les ménages et bien tard dans la nuit. bibo:pages 10 -- o:id 7700 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7700 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7715 26809 26810 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e6494c6b9e34c87c195b920cbde6eb326fa8f52a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4a79412b695700b5d48d5bb18448d1c86a25539f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/17d8bd9c0403ce9f37a2583a2267fb60ff1da1a1.tiff dcterms:title Le mois de Ramadan : en attendant que Djougou se lâche dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1978 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-16 dcterms:identifier iwac-article-0003568 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Ville habituellement animée, Djougou perd de sa superbe en ce mois de Ramadan. Bars et maquis se vident de leurs aficionados. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Ville habituellement animée, Djougou perd de sa superbe en ce mois de Ramadan. Bars et maquis se vident de leurs aficionados. Sortie ouest de Djougou, sur la voie menant à Ouaké, quartier Founga 2. Pleine à craquer d’habitude,la buvette ‘’Zoumou Baani”, ce samedi 11 juillet, peine à rassembler son monde de noceurs. Dans la moiteur de la nuit, les décibels s’enflent... Les serveuses, très actives, les soirs, se tournent les pouces. Pas grand-monde à servir si ce n’est un groupe de jeunes installé à l’arrière-plan de la terrasse où sont disposées tables et chaises. Comme s’il était frappé d’atonie, cet espace où la place se discute, attend désespérément depuis le démarrage du carême sa clientèle. Cheveux au vent, buste entrouvert, Samira (nom d’emprunt) originaire de Kara, au nord du Togo, sert à l’instar d’autres dans cet antre de détente réputé l’un des plus animés de Djougou. «Zoumou Baani c’est le cœur de l’ambiance. Il n’y a pas son pareil à Djougou. Mais depuis le début du carême nous chômons presque », confie-t-elle, l’air revêche. A quelques lieues de là, à Royal verdure, à la Place de l’Indépendance, en face de l’hôtel de ville, le scénario n’est guère différent. Sauf qu’ici, la présence d'un expatrié focalise l'attention des serveuses, toutes émoustillées qu’elles sont. Le teint halé, les cheveux denses portés courts, il est aux petits soins. Les chaises vides, on ne peut que comprendre la scène qui s’offre au regard des plus indiscrets. «Pourboire oblige», glisse un habitué des lieux. Jean H. note qu’il n’y a qu’en cette période de l’année où Djougou observe une accalmie. «Nous sommes traités de païens quand nous nous retrouvons dans les bars en cette période de jeûne où la communauté musulmane observe un respect strict des préceptes de l’islam». Même la cafétéria qui jouxte les abords de la buvette connaît une baisse de son taux d’affluence habituel. Tout comme nombre de gargotes et restaurants de la ville. Certains tenanciers, fort de la spécificité du mois de Ramadan ont dû ranger les ustensiles de cuisine et mettre la clé sous le paillasson. C’est le cas de cette gargote de vente d’igname pilée au quartier Yalouwa sur la route de N’dali où convergent de nombreux gourmets. Aucune âme n’y pointe son nez, ce vendredi 10 juillet. Le mois de carême à Djougou constitue une période par excellence de mévente qui conduit parfois à la fermeture de certains maquis. La chute drastique des recettes justifie cette situation qui n’est pas pour faciliter la vie aux non musulmans. Moment de diverses privations, le Ramadan est vécu par les fidèles musulmans comme une période de grâce, de bénédictions et de bienfaits. Toute chose qui justifie, selon l’islamologue Cheikh Mohamed Sadissou Tamimou, le comportement des croyants. Même ceux qui d’ordinaire mènent une vie peu pieuse se plaisent à afficher ouvertement leur foi en Allah ou à respecter scrupuleusement les interdits. Toutefois, cet engouement ne saurait être, aux yeux du spécialiste de l’islam, une situation conjoncturelle ou un effet entraînant. « L’islam est le même que ce soit au mois de carême ou dans les autres mois. La fornication, la calomnie, la médisance, l’adultère, le mensonge, l’alcool et tous les autres interdits de l’islam doivent être respectés par les musulmans de façon quotidienne et non seulement dans le mois de carême », défend-il. Cette foi qui conduit aujourd’hui à la désaffection des bars et débits de boisson devrait se manifester au quotidien et non se limiter au mois de carême. Quoique, à ses dires, le jeûne soit une période de privations diverses recommandée par Dieu à travers le Saint Coran. bibo:pages 1 12 -- o:id 7701 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7701 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7716 26811 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a56becfb70d6b20e4704bb5c744355942ed1ab6a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/83295f0c13fc3885410f239b0d76126629ad1b16.tiff dcterms:title Soutien du gouvernement pour le Ramadan : des vivres reçus par la communauté musulmane du Mono-Couffo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14073 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1383 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-15 dcterms:identifier iwac-article-0003569 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre du soutien du gouvernement aux fidèles musulmans pour la période du Ramadan, un lot de produits alimentaires a été distribué lundi 13 juillet dernier à Lokossa à la communauté musulmane du Mono et du Couffo, C’était au cours d’une cérémonie présidée par Gilles Bachirou Coffè, directeur départemental en charge des Relations avec les Institutions (DDCRI)et le représentant du préfet, Gildas Mahoussi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/297 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre du soutien du gouvernement aux fidèles musulmans pour la période du Ramadan, un lot de produits alimentaires a été distribué lundi 13 juillet dernier à Lokossa à la communauté musulmane du Mono et du Couffo, C’était au cours d’une cérémonie présidée par Gilles Bachirou Coffè, directeur départemental en charge des Relations avec les Institutions (DDCRI) et le représentant du préfet, Gildas Mahoussi. Le soutien du gouvernement dans le cadre du Ramadan est effectif depuis hier, lundi 13 juillet à Lokossa. Il s’est manifesté par un don de vivres constitué de 122 sacs de riz et 86 bidons de 25 litres d’huile avec des cartons de lait concentré puis 58 de sucre. Agissant au nom du gouvernement, Gilles Bachirou Coffè, directeur départemental en charge des Relations avec les Institutions rejoint par le représentant du préfet, Gildas Mahoussi, a, à travers cette remise symbolique, ouvert la séance des formalités suivie de la réception effective des vivres par les bénéficiaires. Tour à tour, les leaders musulmans ont été invités à enlever la part qui revenait à leurs mandants. Au total, 14 groupements de musulmans ont été finalement servis. Ils proviennent des 12 communes, en plus de la communauté Jama’at islamique du Mono-Couffo et de l’Union islamique départementale (UID). L’un après l’autre, Arif Mahmood de la Jama’at islamique et Boukari Marna, imam venu de Houéyogbé tout comme son homologue Moustapha Dossoumon de Comè se sont répandus en gratitude à l’endroit du gouvernement. «Nous sommes heureux que l’Etat se soit souvenu de nous une fois encore», s’est réjoui Abdoul Matine Chitou, représentant de l’UlD. Pour le directeur départemental en charge des Relations avec les Institutions, il s’agit d’un geste annuel qui montre l’attachement du chef de l’Etat et du gouvernement à tout ce qui a trait à la religion au Bénin, sans occulter que le pays demeure laïc. Prolongeant la partie officielle, le représentant du préfet a, quant à lui, invité les musulmans à accepter le caractère symbolique du don. A la suite de la cérémonie officielle de remise, indique Gilles Bachirou Coffè, il est prévu aussitôt la redistribution des vivres aux fidèles à la base. bibo:pages 10 -- o:id 7702 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7702 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7717 26812 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2c9be139c78d4b0c4c98bd9fe6e633616d968020.pdf https://islam.zmo.de/files/original/27f0ca9d675a8e58f32f4ad85253af3ccc7d001d.tiff dcterms:title Soutien du gouvernement pour le Ramadan : les fidèles musulmans de l'Atacora-Donga pas du reste dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15234 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-15 dcterms:identifier iwac-article-0003570 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A quelques jours de la fin du jeûne musulman, la communauté islamique des départements de l’Atacora-Donga s’est vue remettre un important lot de vivres. La cérémonie de remise de ce don qui témoignage de l’esprit de solidarité du gouvernement s’est tenue lundi 13 juillet dernier à la préfecture de Natitingou sous l’égide du ministre en charge des Relations avec les institutions. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A quelques jours de la fin du jeûne musulman, la communauté islamique des départements de l’Atacora-Donga s’est vue remettre un important lot de vivres. La cérémonie de remise de ce don qui témoignage de l’esprit de solidarité du gouvernement s’est tenue lundi 13 juillet dernier à la préfecture de Natitingou sous l’égide du ministre en charge des Relations avec les institutions. 181 sacs de riz de 50 kg, 126 bidons d’huile de 25 kg, 79 cartons de sucre de 50 paquets et 77 cartons de lait Peak de 48 boîtes. Tel est composé le don de vivres fait à la communauté islamique de l’Atacora-Donga dans le cadre de la solidarité du gouvernement à son égard dans un moment aussi solennel que celui du jeûne. A la suite du directeur départemental en charge des Relations avec les Institutions qui a présenté la clé de répartition des vivres aux treize différentes communes de l’Atacora-Donga, Gervais N’dah Sékou, préfet desdits départements, a précisé tout le sens que revêt ce geste du gouvernement. Il s’agit, à ses dires, de magnifier et manifester la solidarité du gouvernement à l’endroit d’une communauté qui s’est toujours dévouée à implorer la paix dans le pays à travers ses diverses prières. Et le mois de Ramadan constitue une opportunité de plus pour raffermir ces prières. Thomas Yombo, ministre en charge des Relations avec les Institutions, n’a pas manqué de reconnaître ce rôle et mettre en exergue la vision de prospérité partagée du gouvernement. Depuis 2008, cette volonté de mettre au profit des différentes communautés un peu de la richesse du pays est appréciée. D’où l’appel du ministre à envoyer les vivres dans toutes les contrées pour qu’ils profitent à tous. Issifou Imorou, représentant de l'iman de Natitingou, a réitéré l’engagement de la communauté islamique à oeuvrer pour la consolidation de la paix par ses prières et à partager équitablement le don. bibo:pages 10 -- o:id 7703 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7703 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7718 26813 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ea8b628a57010256d92fddcec2273a70dc3e2eb3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/dca5e7f21f5e7e3573c2f4b932bf7a91677dd585.tiff dcterms:title Organisation du Hadj 2015 : les musulmans du Mono-Couffo fixés sur les conditions du voyage dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14704 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-09 dcterms:identifier iwac-article-0003571 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une délégation de la Commission nationale chargée de l’organisation du Hadj 2015 a organisé, lundi 6 juillet dernier à Lokossa, une séance de sensibilisation au profit des fidèles musulmans du Mono-Couffo. Au menu des échanges, il était question des conditions de participation au pèlerinage à la Mecque pour le compte de l’année en cours. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13407 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une délégation de la Commission nationale chargée de l’organisation du Hadj 2015 a organisé, lundi 6 juillet dernier à Lokossa, une séance de sensibilisation au profit des fidèles musulmans du Mono-Couffo. Au menu des échanges, il était question des conditions de participation au pèlerinage à la Mecque pour le compte de l’année en cours. Conduite par El Hadj Fatiou Alli, représentant le secrétaire permanent du Comité technique du Hadj, la délégation s’est entretenue avec les fidèles à la mosquée centrale Bilal de Zongo à Lokossa. Outre les musulmans de cette ville, on notait également la présence des fidèles venus des autres communes du Mono et du Couffo. Ensemble, ils ont reçu de leurs hôtes les explications relatives aux conditions de convoyage à la Mecque pour le compte du pèlerinage de l’année en cours. Des frais de voyage portés à 2,75 millions FCFA du fait de la flambée du dollar, en passant par les formalités nécessaires à remplir et les dépenses mises à la charge des pèlerins, El Hadj Fatiou Alli relayé par les autres membres de la délégation n’ont rien oublié. La sensibilisation s’est étendue aux interdits comme le transport des stupéfiants et autres produits pharmaceutiques tels que le viagra et le tramadol. A la suite de l’exposé des membres de la délégation, les fidèles se sont prononcés notamment au sujet du sort réservé aux fidèles n’ayant pas pu effectuer le pèlerinage en 2014 bien qu’ils aient déjà payé les frais exigés. «Ces derniers sont bel et bien pris en compte », assure le représentant des convoyeurs, Bachir Gbadamassi. Sauf que cette catégorie de pèlerins sera astreinte à s’acquitter d’un complément dont le montant est encore en étude, complète-t-il. Au plan général, il a été rappelé aux fidèles que pour le transport des 4000 potentiels pèlerins autorisés pour le compte du Bénin, l’Etat n’a agréé que 30 convoyeurs qui ne sauraient opérer en deçà des frais fixés. Aussi a-t-il été retenu d’afficher dans les prochains jours, la liste desdits convoyeurs et celles des hôpitaux indiqués pour la vaccination puis celle des frais relatifs à l’établissement dé passeport du Hadj. bibo:pages 5 -- o:id 7704 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7704 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7719 26814 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a846e2740d57ac966c000208d44b4aaae9d5a35d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8fd2a0fce3aaacd318a5419ce960ef7026c3f30d.tiff dcterms:title Alimentation en période de jeûne du ramadan : des mesures pour éviter l'intoxication dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-01 dcterms:identifier iwac-article-0003572 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans du Bénin, à l’instar de ceux du monde entier, observent, depuis le 18 juin dernier, le jeûne, une prescription du 4e pilier de l’islam. Selon les enseignements du Coran, au cours de la journée, les croyants doivent s’abstenir pendant un mois de nourriture, de boisson ou encore de relations sexuelles. Mais après le coucher du soleil, ils sont autorisés à manger pour reprendre un peu de forces. Quels types d’aliments doivent-ils consommer pour éviter l’intoxication alimentaire ? dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans du Bénin, à l’instar de ceux du monde entier, observent, depuis le 18 juin dernier, le jeûne, une prescription du 4e pilier de l’islam. Selon les enseignements du Coran, au cours de la journée, les croyants doivent s’abstenir pendant un mois de nourriture, de boisson ou encore de relations sexuelles. Mais après le coucher du soleil, ils sont autorisés à manger pour reprendre un peu de forces. Quels types d’aliments doivent-ils consommer pour éviter l’intoxication alimentaire ? Après avoir jeûné toute la journée, doit-on manger tout ce qui tombe sous la main ? Toute nourriture est-elle bonne pour la consommation pendant le mois de ramadan ? Autant de questions qui obligent à savoir quoi choisir avant toute consommation, car il est demandé avant le lever du soleil, de manger raisonnablement et de jeûner jusqu’à son coucher, au cours de cette période. Les nutritionnistes conseillent à cette occasion, d’équilibrer les repas. Une préférence doit être accordée aux fruits et légumes, surtout aux sucres lents tout en privilégiant les viandes maigres et les poissons non gras. La datte constitue une source importante de fibres et de minéraux. Mais il ne faudrait pas en abuser. Une à deux dattes au petit déjeuner suffisent amplement. «Remplir son estomac ne signifie pas avoir bien mangé», souligne l’Imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun de Cotonou, Ligali Issiaka qui précise que ce mois marque, pour les musulmans, le début de la révélation du Coran faite à Mahomet. Qu'en est-il des habitudes ? Aboudou Aïdaz est menuisier. «L’essentiel est de respecter le coran en priant et en mangeant le soir ce qu’on a», soutient-il avec force détail avant d’ajouter que c’est Dieu qui donne la force et non la nourriture. Avis que partage Aziz Seidou. Selon lui, «Même si tu n’as rien, des amis peuvent te donner à manger. Et mieux, se rendre chez son voisin pour partager avec lui son repas n’est pas interdit». A travers ces propos, il est à déplorer un hasard dans l'alimentation de certains musulmans en lieu et place d'un choix conséquent des aliments. L’estomac devient de ce fait un fourre-tout. Cette situation expose généralement à une intoxication alimentaire avec son corollaire de complication. Selon les nutritionnistes, une intoxication alimentaire se produit à la suite de l'ingestion d'eau ou d’aliments contaminés par des micro-organismes. La contamination peut avoir lieu à n'importe quelle étape du processus alimentaire. Dans la majorité des cas, les bactéries, les virus ou les parasites sont transmis aux aliments, sources d'intoxication alimentaire. Toutefois, dans certains types d’intoxications alimentaires moins fréquentes, le poison ou la toxine fait naturellement partie de l’aliment. Que disent les nutritionnistes ? Les nutritionnistes estiment que presque toutes les formes d'intoxication alimentaire se signalent par de la nausée, des vomissements, des crampes abdominales et de la diarrhée. Les intoxications alimentaires d'origine bactérienne causent ces symptômes. Elles s'accompagnent aussi d'une fièvre et de maux de tête. Les symptômes peuvent apparaître quelques heures ou quelques jours après l'ingestion de la nourriture contaminée et durer 1 jour à 1 semaine. Ils ajoutent que beaucoup d'intoxications alimentaires non infectieuses influent sur le système nerveux central et entraînent les symptômes caractéristiques aux neurotoxiques. La consommation des fruits de mer contaminés par exemple par la saxitoxine, déclenchera en quelques minutes, la faiblesse ou la paralysie de la bouche, et elle se propagera lentement au reste du corps. Les signes d'intoxication par la ciguatera consistent principalement en une douleur au visage, des maux de tête, une démangeaison et une alternance d'étranges sensations de chaud et de froid. L'intoxication par des scombroïdes génère des symptômes caractéristiques d'un excès d'histamine. Elles se manifestent en l'espace de quelques minutes sous forme de bouffées de chaleur, d’éruptions cutanées et de douleurs causées par la surstimulation des organes atteints, notamment l'estomac et les intestins. Intoxication par les champignons Une intoxication par les champignons agit aussi sur le système nerveux. Elle produit des symptômes comme un rétrécissement du diamètre des pupilles, des larmoiements, une salivation excessive ou de l'écume aux lèvres, de la sudation, des vertiges, de la confusion, un coma. Quelquefois, des crises convulsives apparaissent dans les 2 heures qui suivent l'ingestion d’un champignon vénéneux. Les insecticides à base d'organophosphates causent des symptômes très semblables. Ils ont cependant tendance à être plus légers, étant donné qu'il arrive extrêmement rarement qu'une vraiment grande quantité d'insecticide soit avalée accidentellement. Elle entraîne le plus souvent une complication comme la déshydratation, un trouble résultant d'une très importante perte d'eau et d'électrolytes. Une intoxication alimentaire due à la bactérie Listeria peut causer des problèmes pour l'enfant à naître tandis qu’une infection par Escherichia coli peut créer des problèmes avec les reins. D'autres complications comme l'arthrite et des problèmes de saignement pourraient survenir. Une intoxication alimentaire non infectieuse peut parfois mener à des troubles permanents du système nerveux et même à la mort. Prévenir l’intoxication Pour prévenir une intoxication alimentaire ou en réduire le risque, il importe de prendre certaines mesures de précaution. Le musulman au temps de jeûne doit : - Laver ses mains au savon sous l'eau chaude pendant au moins 20 secondes, avant et après la manipulation des aliments, après avoir été aux toilettes. - S’abstenir de préparer les repas pour d'autres personnes s’il y a une infection cutanée comme un impétigo déclenché par des bactéries comme les staphylocoques, tout au moins tant que des cloques ou des lésions sont visibles. - S’efforcer de séparer les différents types de denrées alimentaires durant leur préparation et leur conservation. - Découper les aliments crus et les aliments cuits sur 2 planches de découpage distinctes avec 2 couteaux différents. - Réchauffer les aliments en veillant à ce que la température interne atteigne au moins 75 °C (170 °F). - Savoir que certaines denrées sont plus susceptibles que d'autres de causer une intoxication alimentaire, et il doit par conséquent les manipuler avec de grandes précautions. Le risque de toxicité des légumes verts et des carottes, par exemple, sera probablement moindre que celui du poisson, de la viande, de la volaille, des œufs et des produits laitiers. - Veiller tout particulièrement au degré et au temps de cuisson de la viande et de la volaille, il est essentiel d’atteindre la température interne recommandée. - Réfrigérer au plus tôt les restes qu’il a l’intention de garder. Il doit les garder à l'air libre pour une heure tout au plus et ne pas les laisser refroidir à la température ambiante. - Mettre au réfrigérateur les aliments qu’il désire décongeler. - Jeter toute denrée alimentaire qui pourrait être contaminée. - Ne pas conserver pas au réfrigérateur pour plus de 2 jours les mets préparés. Sinon, il doit les congeler. - Conserver les aliments froids au froid et les aliments chauds au chaud. -Faire en sorte que la première chose qu'il mange ne soit pas du pain blanc, du sucre ou autre graine de couscous. Commencez votre repas par une source de protéines : du poisson, de la viande blanche et des œufs. Pour fonctionner correctement, votre cerveau a besoin de graisses essentielles et votre cœur a besoin de protéines. Si votre organisme reçoit des hydrates de carbone (glucides) en premier, un « message » au sujet d'un éventuel manque de lipides et de protéines est envoyé à votre système digestif, et vous allez stocker plus « gras ». Par conséquent, la meilleure façon de prévenir le gain de poids et de favoriser la perte de poids est de commencer votre repas avec des protéines, ou des aliments qui ont un faible impact sur votre glycémie. -Boire beaucoup d'eau pour éliminer les toxines générées par ce changement brutal de logique alimentaire et pour refaire vos stocks de liquides dans le corps. -Rompre son jeune avec un jus de citron fraîchement pressé dans de l’eau à température ambiante. Cela aidera son système immunitaire à éliminer les toxines accumulées dans la journée, lorsqu’il est plus sédentaire qu'à l’ordinaire. Puis, continuer par une tasse de thé vert, sans sucre ou édulcoré au Stévia. Source : Canoësanté bibo:pages 5 -- o:id 7705 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7705 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7720 26815 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1df0bbe2ea34fd44d56c14352def0fd8fe7816be.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6868dd46fc7301642939f1a519a573688a8a8f62.tiff dcterms:title Ramadan musulman : un mois sacré pour les purifications spirituelles dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1531 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14097 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14155 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-06-22 dcterms:identifier iwac-article-0003573 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans béninois observent depuis jeudi 18 juin dernier, le jeûne du Ramadan qui prendra fin probablement le 17 juillet prochain. Ils doivent s'abstenir de boire et de manger du lever jusqu'au coucher du soleil. En plus du jeûne, ils sont encouragés à lire l'intégralité du Coran au cours de cette période. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans béninois observent depuis jeudi 18 juin dernier, le jeûne du Ramadan qui prendra fin probablement le 17 juillet prochain. Ils doivent s'abstenir de boire et de manger du lever jusqu'au coucher du soleil. En plus du jeûne, ils sont encouragés à lire l'intégralité du Coran au cours de cette période. L’objectif de tout musulman est de plaire à Dieu pour gagner le paradis. Plaire à Dieu, c'est l'aimer, le craindre et lui obéir. Le Coran indique clairement que le jeune est une obligation pour tout musulman en âge et capable de le faire. Quatrième pilier de l’islam, il s'impose à tout musulman pubère. Des dispenses appelant des compensations - par un jeûne différé - sont prévues pour les voyageurs, les malades, les personnes âgées, les femmes enceintes ou venant d'accoucher. Le Ramadan est aussi une période au cours de laquelle les musulmans se concentrent, se purifient spirituellement, établissant un lien entre Allah et eux par la prière, la supplication, la charité, les bonnes actions, la gentillesse et l’entraide. Comme il s’agit d’un mois de don et de partage, les musulmans préparent des aliments particuliers et achètent des cadeaux pour leur famille et leurs amis, pour les pauvres et les nécessiteux qui ne peuvent pas se le permettre. Interrogé, Bassirou Lassissi, assistant administratif à l’Association mondiale de l’appel à l’Islam (Centre Islamique de Cotonou), a indiqué en présence de l’Imam Abdel Yékini Abdallah, que le Ramadan est un mois sacré, plein d’honneur pour les musulmans qui doivent se sacrifier. Il s’agit, selon lui, pour tout musulman d’avoir au cours de ce mois, la crainte de Dieu qui a prescrit le jeûne. Il explique qu’au cours de cette période, les musulmans doivent éviter maints comportements qui consistent à manger, à fumer et à boire entre 5h20 et 19h06, à s'abstenir de faire des rapports sexuels. Les musulmans doivent se consacrer aussi à la lecture du Coran, à l’évocation à Dieu et aux prières surérogatoires. Par rapport à ce que les musulmans peuvent manger avant et après le jeûne. Bassirou Lassissi explique qu’il n’y a pas une nourriture spécifique exigée. Chacun d’eux insiste-t-il, est libre de consommer ce qu'il veut selon ses moyens. bibo:pages 14 -- o:id 7706 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7706 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7721 26816 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7be019b323d8abcb3694491913493c8c6387be8f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5e57d54082216169f3ea5e29597c837901493edd.tiff dcterms:title Prise en charge gratuite des affections courantes : Ahmaddiyya et Humanity First au chevet des populations de Toui dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-05-10 dcterms:identifier iwac-article-0003574 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Plus de 350 patients ont bénéficié, dimanche 8 mai dernier à Toui, département des Collines, de consultations foraines et de prise en charge gratuite de diverses affections courantes, initiées par la Jama dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13688 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14494 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Plus de 350 patients ont bénéficié, dimanche 8 mai dernier à Toui, département des Collines, de consultations foraines et de prise en charge gratuite de diverses affections courantes, initiées par la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin et l’Ong Humanity First. Après Ouèssè la veille, les populations de cette localité ont été conviées à poser leurs problèmes de santé aux médecins et infirmiers de l’hôpital Ahmadiyya de Parakou qui se sont déplacés, et à recevoir des soins gratuitement. Paludisme, hypertension, fièvre typhoïde, diabète, maux de ventre, plaie incurable, sont entre autres les maux fréquents diagnostiqués chez les patients par le docteur Mohammad Hassan et son équipe. Ahmad Rana Farooq, président de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, précise qu’il s’agit d’une action humanitaire visant à soulager les peines des populations afin qu’elles se sentent plus en forme pour vaquer normalement à leurs occupations quotidiennes. L’organisme intervient depuis dix-huit ans à Toui, rappelle-t-il. Mosquée, infirmerie, école primaire privée y sont construites pour accompagner les actions du gouvernement dans les domaines de l’éducation et de la santé, fait savoir Ahmad Rana Farooq. En marge du camp médical marqué par une prière musulmane à l’intention de tous les malades, un médecin recruté par Ahmadiyya pour exercer en permanence dans la localité a été présenté aux populations. C’est avec enthousiasme et une acclamation nourrie que le roi Olou-lgbo Akambi Oyédépo, les autorités locales et l’assistance ont accueilli cette nouvelle. Julien Challa, chef du village, et Philibert Worou, chef d’arrondissement de Toui, ont tour à tour exprimé leur gratitude pour la sollicitude constante de la Jama’at islamique Ahmadiyya à leur endroit. Ils ont appelé les patients à suivre scrupuleusement les doses de médicaments à eux gracieusement offerts. Les populations de Gogounou et de Karimama sont les prochains bénéficiaires de la série de camps médicaux gratuits d’Ahmadiyya. Claude Urbain PLAGBETO A/R Borgou Alibori bibo:pages 7 -- o:id 7707 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7707 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7722 26817 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/941aa947243067a43136deb97f928f2ef169a132.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4fd89093703f7826da2a5900eb8abfe5a9643d33.tiff dcterms:title Camp médical dans les Collines et l'Alibori : Ahmaddiyya offre des soins gratuits aux populations dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-05-09 dcterms:identifier iwac-article-0003575 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin en collaboration avec l’ONG Humanity First, organise du 7 au 11 mai une série de consultations foraines et de prise en charge gratuite de diverses affections dans les Collines et l’Alibori. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13503 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/334 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13688 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14494 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin en collaboration avec l’ONG Humanity First, organise du 7 au 11 mai une série de consultations foraines et de prise en charge gratuite de diverses affections dans les Collines et l’Alibori. L’équipe médicale de l’hôpital Ahmadiyya de Parakou conduite par le docteur Mohammad Hassan était samedi dernier au Complexe scolaire de Ouèssè où a eu lieu le premier camp médical au profit des patients de cette localité. Au total, 275 patients de tous âges: hommes et femmes, enfants, jeunes et vieux, souffrant du paludisme, de fièvre typhoïde, de maux de ventre, de diabète, d’hypertension artérielle, etc. ont été accueillis et soignés. Ils sont consultés sur place sans payer le moindre sou et repartent avec des médicaments à eux gracieusement offerts pour soulager leurs ennuis de santé. «Cette action vient comme pour combler un vide parce que Ouèssè n’a jusque-là pas bénéficié des œuvrés humanitaires de notre organisation », a laissé entendre Ahmad Rana Farooq, président de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin. « C’est le premier pas mais ce ne serait pas le dernier. Nous nous battrons à vos côtés pour combattre les maladies et créer de bonnes conditions sanitaires aux populations », a-t-il rassuré. Dès le mois de septembre prochain, a-t-il annoncé, un camp d’opération gratuite d’hernie, d’hydrocèle et d’autres pathologies du bas-ventre sera organisé à Parakou et la liste des patients de Ouèssè qui se feront enregistrer est attendue. De même, il a promis d'envoyer dans les tout prochains jours au moins 100 draps de lit pour le centre de santé communal qu’il a visité. Aussi, Ahmad Rana Farooq envisage-t-il la réfection dès 2017 des forages de la localité à l’instar du programme de réhabilitation de 75 forages en cours dans plusieurs localités du Borgou-Alibori. Reconnaissantes, les populations par la voix de Gaston Sossou, secrétaire général de la mairie représentant le maire ; de Sylvestre Akouta, major du centre de santé de Ouèssè et du représentant des sages, ont salué cet élan de générosité de la Jama'at islamique et son bras opérationnel : l’ONG Humanity First. Outre le plaidoyer pour la construction d’une mosquée centrale dans la localité, tous les intervenants souhaitent que les oeuvres humanitaires en faveur des couches défavorisées se poursuivent. Après Ouèssè, l’équipe médicale d’Ahmadiyya était attendue dimanche à Toui pour la même opération. Puis, cap sera mis mardi prochain sur Gogounou et Karimama où Dr Mohammad Hassan et sa suite seront accueillis par les populations. bibo:pages 10 -- o:id 7708 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7708 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7723 26818 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4c5ac7899fbddb958987e36315fc727b79163938.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f15b50d74527157476413f168a2dda9f4ae9ec42.tiff dcterms:title Scrutin du 28 février 2016 : l'appel à une élection apaisée de Jama'at Islamique Ahmadiyya dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/211 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-02-08 dcterms:identifier iwac-article-0003576 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin qui a toujours fait de la promotion de la paix une priorité, appelle tous les acteurs du processus électoral, et en particulier les candidats à l’élection présidentielle de 2016 à agir chacun à son niveau avec crainte de Dieu pour des élections libres, transparentes et surtout paisibles. Selon un communiqué signé du président de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin Farooq Ahmad, tous les membres de cette communauté sont d’ores et déjà en prière pour que ces élections se déroulent dans de très bonnes conditions. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin qui a toujours fait de la promotion de la paix une priorité, appelle tous les acteurs du processus électoral, et en particulier les candidats à l’élection présidentielle de 2016 à agir chacun à son niveau avec crainte de Dieu pour des élections libres, transparentes et surtout paisibles. Selon un communiqué signé du président de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin Farooq Ahmad, tous les membres de cette communauté sont d’ores et déjà en prière pour que ces élections se déroulent dans de très bonnes conditions. A l’endroit des Béninois, la communauté rappelle que l'un des principes du concept de la démocratie présenté par l’Islam est que le processus d'élection doit être basé sur l'intégrité et l'honnêteté la plus totale. C'est-à-dire que nous devons voter pour ceux qui sont les plus capables de faire face à leurs responsabilités nationales. Le Bénin de par son histoire démocratique, selon le communiqué, mérite une fois encore des élections, paisibles gage de stabilité et donc de développement, La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin appelle enfin les autorités à faire des efforts supplémentaires afin d'assurer le caractère inclusif, paisible et transparent du processus. Bruno SEWADE bibo:pages 14 -- o:id 7709 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7709 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7724 26819 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c8402fffbf3386c1f2810ae31ed179554f1cfe51.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4838240e9dac6112bd368ce701cdb43c5b5c7160.tiff dcterms:title Colloque international sur le dialogue interreligieux : œuvrer pour la coexistence pacifique de toutes les religions dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1541 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1944 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15102 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/108 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-01-19 dcterms:identifier iwac-article-0003577 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’association Chrétiens pour changer le monde (CPCM) a organisé un colloque international sur le dialogue interreligieux en vue d’une coexistence pacifique de toutes les religions. Les travaux se sont déroulés à l’Infosec de Cotonou du vendredi 15 au dimanche 17 janvier dernier, avec la participation de plusieurs pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’association Chrétiens pour changer le monde (CPCM) a organisé un colloque international sur le dialogue interreligieux en vue d’une coexistence pacifique de toutes les religions. Les travaux se sont déroulés à l’Infosec de Cotonou du vendredi 15 au dimanche 17 janvier dernier, avec la participation de plusieurs pays. Œuvrer pour la coexistence pacifique des uns et des autres quelque soit leurs croyances, leurs opinions philosophiques en vue de bien réussir le développement. C’est le but visé par les organisateurs du colloque international sur le dialogue interreligieux. L’association Chrétiens pour changer le monde (CPCM), à l’origine de cette rencontre d’échanges, entend donner une occasion aux différentes religions pour se parler, s’écouter et s’accepter et arrêter de s’exclure. Selon les responsables de l’association, l’humanité est en une seule espèce et non en quatre races. Le thème de ce colloque est sans ambigüité. «La rencontre des religions et des laïcités pour le réveil de la fierté africaine et la promotion d’un patriotisme éclairé en Afrique». Avec ce thème, le CPCM entend œuvrer pour l’instauration au Bénin et en Afrique, d’un véritable dialogue interreligieux assorti d’une ouverture respectueuse sur les laïcités et les non croyants. Il s'agit aussi de tout faire pour la réalisation d’un monde d’équité, de justice et de partage. Les travaux qui se sont déroulés à Cotonou pendant trois jours ont permis aux participants venus de la France, de l’Allemagne, de la Côte d’Ivoire et du Togo, d’échanger sur le réveil de la fierté africaine, le vivre ensemble et surtout sur la promotion de la culture de développement endogène. «Notre pays souffre du manque du développement accéléré du capitalisme. L’import-export n’est pas le développement, il tue plutôt la production nationale. L’exportation des matières premières ne fait pas le développement mais la production des biens», déclare Albert Gandonou, président de l’association Chrétiens pour changer le monde. Pour lui, il faut se méfier du capitalisme. «Le capitalisme n’est pas charitable. C’est le profit. Si les capitalistes nous aiment tant, c’est parce qu’ils tirent beaucoup de profits faciles de nous» avertit-il. bibo:pages 10 -- o:id 7710 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7710 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7725 26820 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d81e67d43272912611e4852978a3d5d6b591ba63.pdf https://islam.zmo.de/files/original/99a260ad2a4b4bfdbd1ed8cd51ffd905a83fd103.tiff dcterms:title Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin : la 27e édition de la conférence annuelle a vécu à Djrègbé dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13751 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2048 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2020 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-12-28 dcterms:identifier iwac-article-0003578 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a organisé du 18 au 20 décembre dernier à Djrègbé, commune de Sèmè-Podji, la 27e édition de la conférence annuelle de l’association pour le compte de 2015. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15390 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14218 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a organisé du 18 au 20 décembre dernier à Djrègbé, commune de Sèmè-Podji, la 27e édition de la conférence annuelle de l’association pour le compte de 2015. «Nous musulmans ahmadis». C’est le thème principal de la 27e édition de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin qui s’est déroulée en trois sessions. La première session a démarré avec la cérémonie de montée des couleurs présidée par Ameer Sahib du Bénin suivie de la récitation du Coran et d’une poésie en hommage au prophète Muhammad. Cette cérémonie a connu la participation de plusieurs invités spéciaux dont le préfet de l’Ouémé-Plateau, Moukaram Badarou et l’imam Youssouf Ligali de la mosquée de Cadjèhoun à Cotonou qui sont intervenus pour donner leur caution à l’initiative. La série d’interventions a été suivie de l’allocution d’ouverture de Ameer Sahib. Il a expliqué à l’assistance les efforts de la Jama’at islamique Ahmadiyya pour la paix et le développement. Selon lui, tout musulman a des devoirs vis-à-vis de Dieu et de l’humanité. C’est en application de cette injonction coranique que les musulmans ahmadis, volent au secours des populations surtout celles les plus démunies, à travers l’organisation des camps médicaux gratuits, la construction des forages de puits, des hôpitaux et écoles et plusieurs autres œuvres sociales gratuites. Les participants ont suivi plusieurs exposés sur des thèmes comme «La mort de Jésus-Christ et les prophéties du second avènement», «La vie du messie promis, son amour pour Allah et son messager», «La restauration du système de Khilafat en islam», «Les répliques aux critiques contre l’Ahmadyya» et «La nécessité de l’Ahmadyya». Les travaux de clôture ont été rehaussés dimanche 20 décembre dernier par la présence de plusieurs personnalités dont le député Eric Houndété, premier vice- président de l’Assemblée nationale. bibo:pages 13 -- o:id 7711 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7711 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7726 26821 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/229e13c02ae7c44d81975422879c205d1189c09e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/862afbbcaffc006ccb8f20f71ddc3e21910c46ce.tiff dcterms:title Célébration de Maouloud à Cotonou : une journée de partage en hommage à Mahomet dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1508 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-12-24 dcterms:identifier iwac-article-0003579 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane a célébré, mercredi 23 décembre, la fête de Maouloud qui désigne la naissance du prophète Mahomet. Pour marquer l’événement d’un sceau particulier, le collège des Imams de l’Atlantique-Littoral a organisé une demi-journée de partage en l'honneur de l’illustre prophète à la mosquée centrale de Joncquet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane a célébré, mercredi 23 décembre, la fête de Maouloud qui désigne la naissance du prophète Mahomet. Pour marquer l’événement d’un sceau particulier, le collège des Imams de l’Atlantique-Littoral a organisé une demi-journée de partage en l'honneur de l’illustre prophète à la mosquée centrale de Joncquet. Dans la matinée du mercredi 23 décembre, fanfares et tambours ont résonné aux alentours de la mosquée centrale de Joncquet à Cotonou. «La célébration qui nous rassemble est la naissance du prophète Mahomet. C’est une fête qui est célébrée au douzième jour du troisième mois du calendrier lunaire», informe Ibrahim Ousmane, Imam de la mosquée centrale de Joncquet. Encore appelée Mawlid ou Maouloud, cette fête a été instituée au IVè siècle. «Vous avez dans le messager de Dieu un excellent modèle à suivre, nous dit Sourate 33, verset 21. Mais comment suivre notre illustre prophète si on ne le connaît pas ? Cette célébration nous donne justement l’occasion de mieux le connaître et de l’honorer» C’est sur cette exhortation que la célébration a effectivement démarré. Les élèves de l’école coranique des mosquées Joncquet, Fidjrossè et Gbégamey ont, à tour de rôle, récité en arabe quelques enseignements donnés par le prophète Mahomet. Ensuite le collège des Imams de l’Atlantique-Littoral a fait l’éloge du prophète Mahomet avant de diriger une prière de paix à l’intention de la nation. Pour l’Imam de la mosquée centrale de Joncquet, cette fête est l’occasion d’appeler les croyants à la culture de la fraternité et de la solidarité, à l’image de ce qu’était l’illustre prophète lui-même. C’est d’ailleurs ce que va généraliser Rafiou Toukourou, ancien président du Conseil économique et social, en ces termes : «Maouloud est pour le musulman, ce que Noël est pour le chrétien. Les musulmans et les chrétiens devraient apprendre à faire de Jésus et de Mahomet leurs modèles». Selon l’ancien ministre Zul Kiffl Salami, Malouloud évoque le souvenir de la miséricorde et de l’amour de Dieu. C’est pourquoi il appelle à la tolérance et à la solidarité. bibo:pages 13 -- o:id 7712 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7712 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7727 26822 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/84003a00c2a65b53d6ec871c9972b5df3d505b5d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7e8c3691365d9851a9b10d09861d6c7612e035e2.tiff dcterms:title En prélude au colloque sur les religions et les laïcités : Albert Gandonou appelle à l'acceptation de la différence dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1531 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1944 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15373 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-12-16 dcterms:identifier iwac-article-0003580 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’animateur du mouvement «Chrétiens pour changer le monde», Albert Gandonou, en partenariat avec l’institut universitaire du Bénin a organisé vendredi 11 décembre dernier, une conférence de presse dans le cadre des préparatifs d’un colloque international prévu pour les 15, 16, et 17 janvier 2016. Ce colloque a pour thème : «La rencontre des religions et des laïcités pour le réveil de la fierté africaine et la promotion d’un patriotisme éclairé en Afrique». dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’animateur du mouvement «Chrétiens pour changer le monde», Albert Gandonou, en partenariat avec l’institut universitaire du Bénin a organisé vendredi 11 décembre dernier, une conférence de presse dans le cadre des préparatifs d’un colloque international prévu pour les 15, 16, et 17 janvier 2016. Ce colloque a pour thème : «La rencontre des religions et des laïcités pour le réveil de la fierté africaine et la promotion d’un patriotisme éclairé en Afrique». « Chrétiens pour changer le monde», né le 1er mars 1997 est une association qui regroupe des hommes et des femmes de foi et de conviction par la bonne nouvelle d’amour et de miséricorde de Jésus-Christ. Le colloque sur le thème «La rencontre des religions et des laïcités pour le réveil de la fierté africaine et la promotion d’un patriotisme éclairé en Afrique», qu’entend organiser le mouvement "Chrétien pour changer le monde” les 15, 16 et 17 janvier 2016 vise à sortir des gens des idées reçues et des préjugés. Selon le conférencier Albert Gandonou, l’Islam par exemple a longtemps donné l’exemple de la tolérance tandis que ce n’est pas le cas au niveau du christianisme. Pour lui, la laïcité est un mode d’organisation politique visant la protection de la liberté de conscience et l’égalité entre les citoyens. Dans sa vision, il pense que la religion, est un besoin de l’être humain en tout temps et en tout lieu. C’est un fait social, un produit de la société, indique-t-il. A travers ce colloque le CPCM entend ramener les Béninois et les Africains à se réconcilier avec leurs racines. «En Afrique, nous devons apprendre à réfléchir par nous- mêmes, interroger librement les apports étrangers et mieux assumer les croyances et les réalités endogènes», a-t-il dit». Albert Gandonou estime que l’Afrique n’a rien à envier aux religions étrangères. La religion africaine, selon le conférencier, est ouverte sur les autres et n’a pas la prétention de celles qui fomentent les guerres de religions ou de tortures ignobles. C’était aussi l’occasion pour l’animateur du CPCM, de revenir sur l’importance de la culture de la tolérance et l’acceptation de la différence des diversités de croyances ou de religions, gage de la paix et du développement d’une société. Trois panels vont meubler le colloque de janvier. Le premier, vise à promouvoir la fierté africaine. Le deuxième entend œuvrer à faire vivre ensemble la reconnaissance mutuelle. Car selon le conférencier, l’article 1er de la Déclaration universelle des droits de l’Homme stipule que les hommes naissent et demeurent égaux en droit. Le troisième panel vise à promouvoir la culture du développement endogène. Albert Gandonou estime que tous les malheurs de la jeunesse proviennent de l’absence de développement qui fait d’elle une proie facile à la merci des vendeurs d’illusions. bibo:pages 7 -- o:id 7728 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7728 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7743 26823 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4c65ae31ab33d170bc5994f147ddf41ef3607b29.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4bc4b2b808239332c58de52da0adf6cfca25797e.tiff dcterms:title Cadre de concertation des confessions religieuses : des critères proposés pour le choix du président de la République dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1537 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14853 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/211 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-11-26 dcterms:identifier iwac-article-0003581 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Cadre de concertation des confessions religieuses (CCCR) du Bénin a tenu sa session ordinaire mercredi 25 novembre au Chant d'oiseau de Cotonou. A l'issue des travaux, il a rendu public une déclaration sur la situation socio-politique et économique du pays avec le profil du prochain président du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Cadre de concertation des confessions religieuses (CCCR) du Bénin a tenu sa session ordinaire mercredi 25 novembre au Chant d'oiseau de Cotonou. A l'issue des travaux, il a rendu public une déclaration sur la situation socio-politique et économique du pays avec le profil du prochain président du Bénin. Des fidèles chrétiens de tout bord, des têtes couronnées, des adeptes de Vodoun et des fidèles musulmans, étaient nombreux mercredi 25 novembre à la session ordinaire du Cadre de concertation des confessions religieuses du Bénin. Après une analyse dite responsable du contexte socio-politique du pays, ils ont, dans une déclaration lue par leur porte-parole, Michel Alokpo, invité la classe politique à une prise de conscience en vue de sortir le Bénin de l’impasse. Ils proposent, une fois la tempête des élections terminée, la révision de la Constitution en ses points querellés en vue d'assainir le système partisan et de redorer le blason de la démocratie. Le peuple béninois a été aussi exhorté à un réarmement moral et éthique afin que l’argent cesse d’être son idole. Les animateurs de la vie politique ainsi que les citoyens sont appelés à considérer la fonction du président de la République comme une fonction hautement sacrée engageant la destinée du peuple. Le CCCR rappelle à tous, le caractère laïc de l’Etat et invite au respect de la Constitution béninoise. Plus loin, ils appellent les autorités en charge des élections au respect du consensus, maître-mot de la Conférence nationale afin d’éviter toute forme d’exclusion. Ils prennent à nouveau l’engagement de continuer à prier pour la paix avant, pendant et après les élections. Profil du futur candidat «Un homme de consensus, patriote et reconnu pour sa probité et son intégrité», tel est le premier indice d’éligibilité du prochain candidat selon le CCCR. A l’en croire, cet homme doit être un rassembleur épris de justice, d’équité et de paix, de vérité, qui a la crainte de Dieu et qui respecte ses engagements vis-à-vis du peuple. Pour le CCCR, le prochain président doit être un homme politique ayant acquis des compétences managériales reconnues et des qualifications professionnelles solides, un homme qui a une audience et un rayonnement au niveau national et international, un homme qui a une parfaite connaissance du pays et des compatriotes béninois. Le prochain élu sera également un homme détenteur d’un projet de société séduisant qui répond aux attentes du Bénin et qui jure de le mettre en œuvre une fois élu. Il doit être un homme naturellement humble qui sait se mettre au-dessus de la mêlée pour ne voir que l’intérêt de la nation, un homme capable de s’engager pour la dépolitisation de l’administration publique, qui assure la bonne gouvernance et l’égalité de chance à tous les citoyens béninois et éviter la gabégie et les malversations financières. C’est celui qui doit s’engager à promouvoir les valeurs éthiques et morales ainsi que l’éducation civique au peuple. A la fin de la déclaration du CCCR, le représentant du ministre en charge des Relations avec les Institutions, Comlan Edjalowe a souligné l’importance et l’opportunité de cette initiative des confessions religieuses du Bénin. bibo:pages 12 -- o:id 7729 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7729 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7744 26824 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d948a10178bf5f2896995528e7210a6faa64a89a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d7edc87165c76d9ed2287f985276c48aef85410e.tiff dcterms:title Lancement du camp médical Jama'at islamique Ahmadiyya : une cinquantaine de patients opérés à Cotonou et à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14953 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-11-24 dcterms:identifier iwac-article-0003582 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En présence d’un nombre impressionnant de patients, la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a procédé officiellement au lancement du camp médical lundi 23 novembre à l’hôpital Ahmadiyya Humanity-First de Cocotomey. La cérémonie d’ouverture officielle a été présidée par Musliou Bakari, représentant cette communauté au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En présence d’un nombre impressionnant de patients, la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a procédé officiellement au lancement du camp médical lundi 23 novembre à l’hôpital Ahmadiyya Humanity-First de Cocotomey. La cérémonie d’ouverture officielle a été présidée par Musliou Bakari, représentant cette communauté au Bénin. La Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin reçoit du 14 au 25 novembre prochain, une équipe de professeurs médecins, chirurgiens allemands, membres de l’ONG Humanity-First Allemagne, arrivée au Bénin pour opérer gratuitement les personnes souffrant de maladies du bas-ventre telles que l’hernie, la prostate, l’appendicite..., etc. La délégation est composée de sept personnes. Elle a déjà opéré au cours de son séjour, une cinquantaine de personnes à Cotonou et à Parakou. Toutes les opérations ont impeccablement réussi. D’entrée, les organisateurs ont imploré la bénédiction d’Allah à travers la citation de quelques versets du Saint Coran prononcée par le missionnaire local. Cette prière a permis de commencer la manifestation proprement dite. Le représentant de la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin, Musliou Bakari a remercié l’ONG Humanity-First Allemagne pour ses nombreuses actions. Il explique que Humanity-First International est un organe auxiliaire de la Jama’at Islamique Ahmadiyya, une organisation religieuse, et en profite pour souhaiter un bon rétablissement aux malades opérés. Pour sa part, Hamad Ahmad, membre de la délégation allemande, indique que l’Islam impose deux devoirs à ses croyants. Le premier devoir, précise-t-il, consiste à accomplir la volonté d’Allah. Tandis que le second est de remplir ses devoirs envers l’humanité et son prochain. Il souligne que chaque religion a ses propres règles. Hamad Ahmad s’est réjoui de constater que le présent camp prend en compte les malades de toutes obédiences religieuses. Il souhaite qu'ils trouvent le soulagement, après avoir réitéré sa volonté de voir toutes les religions du monde collaborer. A sa suite, le Dr Haiene exprime sa joie d’être de nouveau au Bénin pour la cinquième fois. Il remercie les représentants de Humanity-First de l’Allemagne, et ceux du Bénin qui ont prouvé leurs capacités à leur offrir chaque fois, une organisation remarquable et sans laquelle il ne leur sera pas possible de travailler au Bénin. Quant au représentant du commissaire de Gbodjè, l'inspecteur de police Paul Houes-sou il a rappelé que la santé est un secteur très important du développement. Il souhaite revoir l’année prochaine au Bénin, cette équipe de professeurs et médecins chirurgiens allemands pour gratuitement d'autres maladies. bibo:pages 11 -- o:id 7730 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7730 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7745 26825 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c1c63e234bf7bc0de86b562fd6448b79dd3b6b71.pdf https://islam.zmo.de/files/original/721c478fd6abf6284debdc95a8e9988e302993f4.tiff dcterms:title Attentats meurtriers à Paris vendredi dernier : la Communauté islamique Ahmadiyya du Bénin compatit dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1537 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13261 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-11-17 dcterms:identifier iwac-article-0003583 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les membres de la Communauté islamique Ahmadiyya du Bénin condamnent avec fermeté les attentats meurtriers perpétrés à Paris le vendredi 13 novembre dernier. Ils l'ont fait savoir hier lundi 16 novembre à travers un communiqué de presse dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/456 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les membres de la Communauté islamique Ahmadiyya du Bénin condamnent avec fermeté les attentats meurtriers perpétrés à Paris le vendredi 13 novembre dernier. Ils l'ont fait savoir hier lundi 16 novembre à travers un communiqué de presse « Le meurtre d'un individu équivaut à celui de l'humanité toute entière» déclare le Saint Coran selon les membres de la communauté islamique Ahmadiyya du Bénin. C'est par ce passage coranique qu’ils dénoncent le caractère inhumain de ceux qui ont organisé les attentats meurtriers perpétrés à Paris en France vendredi dernier. Pour eux, les biens, l’honneur et la vie d'un homme sont sacrés. Ainsi, ont-ils confirmé, les auteurs et instigateurs de ces barbaries, qui tentent de les légitimer au nom de la foi, ne font que salir l'islam de la pire des manières. Raison pour laquelle: «nous prions et espérons qu'ils soient rapidement appréhendés et traduits en justice pour leurs actes maléfiques.» Très touché par le drame qui entache la crédibilité de la religion islamique, ils adressent leurs prières et leur sympathie aux familles endeuillées, à tous ceux qui sont de près ou de loin affectés par cet acte odieux, aux autorités gouvernementales ainsi qu'aux forces de l'ordre qui doivent faire face aux conséquences dramatiques de ces attaques barbares, inhumaines. «Que Dieu le Tout-Puissant accorde de la patience à tous et préserve l'humanité de ces actes ignobles. Amine». Telle est la prière de la Communauté islamique Ahmadiyya du Bénin pour implorer la paix à tous. Gilles Gregory GNIMADI (Stag) bibo:pages 12 -- o:id 7731 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7731 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7746 26826 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/97fcb46db31604786c7af8b4dfd6c77865d7e773.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6fc8b3ed723fabf2f6d2984407ebac244a600b85.tiff dcterms:title Action socio-humanitaire : la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin lance la 2e édition des opérations pédiatriques dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1505 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-10-14 dcterms:identifier iwac-article-0003584 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin en collaboration avec l’ONG Humanity first d’Allemagne, organise une campagne gratuite d'opérations pédiatriques de deux semaines qui sera dirigée par des professeurs et chirurgiens pédiatriques venus d’Allemagne. Le lancement officiel des opérations a eu lieu hier, mardi 13 octobre en présence des autorités communales et préfectorales dans les locaux de l’hôpital Humanity first à Abomey-Calavi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/334 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin en collaboration avec l’ONG Humanity first d’Allemagne, organise une campagne gratuite d'opérations pédiatriques de deux semaines qui sera dirigée par des professeurs et chirurgiens pédiatriques venus d’Allemagne. Le lancement officiel des opérations a eu lieu hier, mardi 13 octobre en présence des autorités communales et préfectorales dans les locaux de l’hôpital Humanity first à Abomey-Calavi. «Le ministère chargé des Relations avec les Institutions (MCRI), est un ministère transversal qui travaille beaucoup avec les Organisations non gouvernementales notamment la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin qui est un partenaire fidèle dudit ministère avec ses œuvres sociales, qui sont connues de tous parce qu’elles vont en direction des populations les plus démunies», a déclaré hier le directeur départemental Atlantique-Littoral du ministère chargé des Relations avec les Institutions, Modeste Chincoun à l'occasion de la cérémonie de lancement de la 2è édition des opérations pédiatriques. Il n’a pas manqué de louer cette initiative de la Jama’at islamique Ahmadiyya qui implique le bien-être des enfants. Il a saisi l’occasion pour réitérer les remerciements de son ministre de tutelle et de tout le gouvernement. Selon Eulalie Tossou Dossou, représentante du directeur départemental de la Santé Atlantique-Littoral, cette action humanitaire cadre bien avec la politique nationale de la santé publique du gouvernement béninois. Elle vient donc à point nommé, pour soulager les peines de la population béninoise en ce qui concerne les besoins de prise en charge des pathologies dont l’hernie, la sténose du méat, les tumeurs du tissus mou non soignés faute de moyen financier. Pour finir, elle a exhorté la population à faire sortir massivement les enfants pour se faire consulter en vue d’une prise en charge gratuite et efficace. Le président de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, Rana Farooq Ahmad a expliqué que sa communauté ne ménagera aucun effort pour accompagner le Bénin dans ses actions au profit des plus faibles et des plus démunis afin de les soutenir et de leur donner d’autres opportunités pour mieux vivre. Il a ajouté que la communauté islamique Ahmadiyya a établi un programme d’assistance pour les populations sinistrées des commune de Karimama, Kandi et Malanville qui sont frappées par des inondations pour leur permettre de reconstruire leur vie. bibo:pages 5 -- o:id 7732 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7732 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7747 26827 26828 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/34ac74a2679a7ba42f178520b44682d9ef423b92.pdf https://islam.zmo.de/files/original/428a86b3626132b15a10dba1c0536096990d7eab.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6c4183de4495a85d6ce4b6962d41335235d5e568.tiff dcterms:title Après le deuil survenu en Arabie saoudite : Boni Yayi accueille les pèlerins revenus de la Mecque dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-10-08 dcterms:identifier iwac-article-0003585 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République est allé, hier mercredi 7 octobre, à la rencontre des tout premiers pèlerins revenus sains et saufs de la Mecque. Boni Yayi a réitéré les condoléances de la Nation aux familles de ceux qui sont morts en Arabie Saoudite. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14522 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République est allé, hier mercredi 7 octobre, à la rencontre des tout premiers pèlerins revenus sains et saufs de la Mecque. Boni Yayi a réitéré les condoléances de la Nation aux familles de ceux qui sont morts en Arabie Saoudite. L’émotion était à son comble à l’aéroport international Cardinal Bernadin Gantin de Cotonou, lorsque le président de la République, au cri de «Allah Akbar», accueillait les premiers pèlerins béninois de retour de la Mecque. Le drame survenu lors du rituel de la lapidation du diable à Mina, qui a connu la mort de plusieurs de leurs frères et des centaines de disparus, a fait d’eux des rescapés de l’édition 2015 du Hadj. Et pour Boni Yayi, il y a de quoi rendre grâce à Dieu le Miséricordieux. «Nous sommes heureux de vous retrouver. Nos chers parents qui nous ont quittés dans les conditions que vous connaissez sont déjà dans les mains du Père céleste. Ils ont rempli leur mission sur cette terre. Soyons en union de prière pour eux», déclare le chef de l’Etat sur le tarmac de l’aéroport. Il précise que cette tragédie n’a pas frappé le Bénin seul. «C’est un deuil mondial», souligne-t-il, réitérant les condoléances de toute la nation aux familles éplorées. Boni Yayi a alors souhaité un bon retour aux rescapés dans leurs foyers respectifs, en les invitant à raffermir leur foi dans la prière et le respect des prescriptions divines. Le président de la République annonce qu’une prière nationale sera organisée, dès l’arrivée du dernier pèlerin. «Le gouvernement va organiser cette prière nationale pour que nous soyons en union de prière pour ceux qui nous ont quittés. Nous allons prier pour vous aussi pour la Nation et le monde entier», insiste-t-il, avant de souhaiter une prompte guérison à tous les blessés. bibo:pages 1 3 -- o:id 7733 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7733 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7748 26829 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4c2450c5267d06541a12c5ae13bfb6c6997a5c5b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7924c71fe17c3325502c79b5925a21d1f86fb725.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el Kebir : la signification de la Tabaski dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1383 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-25 dcterms:identifier iwac-article-0003586 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar de toutes les communautés musulmanes la communauté de la Jama’at islamique Ahmadiyya de Bohicon a aussi commémoré hier jeudi 24 septembre la Tabaski Pour les Ahmadiyya qui sont à 100% fidèles au saint Coran, la Tabaski est aussi importante. Arif Mahmood, responsable de la mission de la Jama’at islamique Ahmadiyya de Bohicon évoque ici la signification de cette célébration. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar de toutes les communautés musulmanes la communauté de la Jama’at islamique Ahmadiyya de Bohicon a aussi commémoré hier jeudi 24 septembre la Tabaski Pour les Ahmadiyya qui sont à 100% fidèles au saint Coran, la Tabaski est aussi importante. Arif Mahmood, responsable de la mission de la Jama’at islamique Ahmadiyya de Bohicon évoque ici la signification de cette célébration. La Jama’at islamique Ahmadiyya n’est pas restée en marge de la célébration hier de la fête de la Tabaski à Bohicon. Comme partout ailleurs, les Ahmadiyya de la région de Bohicon étaient aussi en fête. Très tôt hier matin, comme l’exige le Coran à tout bon musulman, ils ont sacrifié à la tradition. En faisant l’historique de la Tabaski, Arif Mahmood le responsable de la mission Jama'at islamique Ahmadiyya de Bohicon explique qu’après un rêve où Dieu ordonna à Ibrahim de tuer son unique fils Ismaël âgé de 12 ans environ, Ibrahim décida d’exécuter l’ordre avec le consentement de sa femme Hadjara et de son fils Pour prouver à son créateur sa grande ferveur et toute sa reconnaissance. C’est ainsi qu'au milieu de l’accomplissement du sacrifice à Mouna, actuel lieu d’immolation des moutons de la Tabaski à La Mecque que Dieu lui envoya un mouton par le biais de l’ange Jibril qu’il égorgea à la place d’Ismaël son fils. C’est donc pour se rappeler de ce geste de croyance énorme du prophète Ibrahim et de sa famille, que les musulmans du monde entier perpétuent aujourd’hui la tradition. La Tabaski est la plus grande fête pour tout musulman pour dire sa reconnaissance à Allah-le Miséricordieux. Ainsi, chaque père de famille musulmane qui en a les moyens doit tuer un mouton le jour de la Tabaski pour célébrer le sacrifice d'Ibrahim, ajoute-t-il avant de préciser que la viande de la bête tuée est subdivisée en trois parties. Une pour la famille, une autre pour les nécessiteux qui n'auraient pas pu tuer une bête, et la troisième partie pour les amis. Tout ceci pour rappeler le sens du partage, de la solidarité et de l’amour du prochain. Des valeurs cardinales qu’enseigne le saint Coran et que véhiculent les Ahmadis partout où ils sont sur la terre. Selon Arif Mahmood, l’Ahmadiyya prône la renaissance même du vrai islam, car aujourd’hui, les valeurs humaines sont bafouées dans un monde qui se déchire et est inondé de souffrances inutiles. «Il ne faut rien ajouter ni rien soustraire à ce qui est dit dans le saint Coran», indique Arif Mahmood qui fait observer que la communauté islamique Ahmadiyya pratique le vrai islam dans toute sa pureté et son authenticité. D’ailleurs, il ne se fatigue pas à rappeler que l’islam est une religion de fraternité, de solidarité et de paix. Et la signification de la Tabaski en est, s’il en était encore besoin, une preuve tangible pour tous ceux qui en douteraient. Précédemment responsable à Lokossa, le nouveau missionnaire Ahmadiyya de la région Bohicon, Arif Mahmood dit travailler avec ses frères dans sa nouvelle juridiction pour «l’islam qui promeut la justice, l’équité, la fraternité et la solidarité entre les hommes». Et, il croit que chaque célébration de la Tabaski doit réveiller en tout musulman, ces valeurs coraniques. bibo:pages 11 -- o:id 7734 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7734 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7749 26830 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/34836b970e6018121cfde8a450ea1ae6b8d76bcb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4e72bfe1fe3727763b72c174f1aab2077f82fecf.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el-kebir à Parakou : Tabaski en communion de prières et en convivialité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2043 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1988 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1992 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-25 dcterms:identifier iwac-article-0003587 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Prière, sermon et immolation des bêtes sur les places Idi puis partage de repas en famille et entre amis, les musulmans de Parakou ont fêté dans l’allégresse l’Aïd el-Adha (fête du sacrifice) encore appelé l’Aïd el-kebir (la grande fête). D’intenses moments de communion et de partage pour implorer la miséricorde et la paix au Bénin et dans le monde. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Prière, sermon et immolation des bêtes sur les places Idi puis partage de repas en famille et entre amis, les musulmans de Parakou ont fêté dans l’allégresse l’Aïd el-Adha (fête du sacrifice) encore appelé l’Aïd el-kebir (la grande fête). D’intenses moments de communion et de partage pour implorer la miséricorde et la paix au Bénin et dans le monde. Place au sacrifice précieux des bêtes et à la fête. Après le carême de la veille et le stress relatif à l’achat des animaux dont les prix ont flambé ces derniers jours, les musulmans dé Parakou ont sacrifié à la tradition de l’Aïd el-Adha (fête du sacrifice) ou encore l’Aïd el-kebir (la grande fête), en dépit de la morosité économique ambiante. Autour de 9 heures ce jeudi, c’est la ruée vers les places Idi qui ont fait leur toilette pour accueillir la grande prière et le sacrifice de l’imam, lequel donne le top des sacrifices dans les maisons. La fraîcheur due à la pluie de la nuit contraste avec l’enthousiasme des fidèles musulmans en route pour les lieux. Comme lors de chaque fête musulmane, les artères principales de Parakou connaissent une effervescence. La circulation est dense avec des véhicules bourrés de monde des places habituelles aux malles-arrière et aux toitures. La surcharge est faite au vu et au su des forces de l’ordre, les excès semblent être permis au nom de la fête. Personne ne respecte non plus les feux tricolores. C’est le laisser-aller total dans cette ruée vers les places Idi. La joie se lit sur les visages de fidèles qui se réjouissent de la grâce de se retrouver en pleine forme parmi les vivants en ce jour spécial de la fête du sacrifice. Chants et récitations coraniques sont au bout des lèvres en chemin et au lieu de la prière. A la place Idi du CARDER à Parakou où les principales autorités de la ville ont prié, c’est l’imam Youssouf Wakaya qui a dirigé la prière et le sermon. A la fin, conformément au rituel musulman, tout en prononçant le nom d’Allah, il est égorgé sur place un mouton. Le top est ainsi donné pour l’immolation des moutons, béliers et autres dans les maisons pour la fête. Les musulmans qui en ont eu les moyens, peuvent se réjouir d’avoir accompli cet acte subrogatoire mais un devoir de commémoration de l’obéissance d’Ibrahim (Abraham) à Dieu. Ce dernier, en soumission à Dieu, avait accepté de sacrifier son fils unique Ismaël mais celui-ci sera substitué par un animal par l’Archange Gabriel, avec la volonté du Tout Puissant Allah. Appels à la modération «Nous saisissons l’occasion pour demander à Dieu Tout Puissant de garder le Bénin, de protéger le peuple béninois, de faire en sorte qu’en 2016, tout se passe dans la paix, sans violence», laisse entendre le député Rachidi Gbadamassi. Le maire Karimou Adamou Souradjou, lui aussi, a imploré la clémence divine pour que la paix règne toujours au Bénin, avant d’inviter les fêtards de la cité de Koburu non seulement à la modération dans la consommation des aliments et des boissons mais aussi à plus de civisme et de compréhension par rapport aux réformes de la nouvelle équipe municipale. Le préfet du Borgou-Alibori; Salamatou Kora Ponou qui était également de la partie, a abondé quelque peu dans le même sens pour appeler à la prudence sur les routes et à la bonne cuisson des viandes avant toute consommation. «Pas de rallye, pas de vitesse excessive ! Ayez pitié de vous-même, de vos parents et des autres pour qu’on n’enregistre pas des cas d’accident et de grincement de dents dans les familles. Je ne voudrais pas qu’on donne du travail aux sapeurs pompiers», a-t-elle lancé aux jeunes. Au-delà de la formule habituelle: «Aïdkoum Mabrouk ! Taqabbal-Allahu minna wâ minkum. Amin : Joyeuse fête ! Qu’Allah agrée nos bonnes actions et les vôtres. Amen », la fête s’est poursuivie en famille et entre amis autour de copieux repas. Au menu, il y a naturellement la sauce de la viande du mouton, de cabri, de bœuf et autres bêtes immolées, accompagnée d’igname pilée, de couscous, de riz, de pâte noire ou autres. bibo:pages 14 -- o:id 7735 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7735 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7750 26831 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3470339e52911e0a40d69726782d11eb11d300af.pdf https://islam.zmo.de/files/original/270961c9d0224ffd7a478365a2f0280174873c11.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el Kebir : Paul Hounkpè et le député Rosine Dagniho aux côtés des musulmans à Lokossa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13888 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15148 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/813 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14992 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12985 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-25 dcterms:identifier iwac-article-0003588 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles de l’Islam se sont retrouvés hier, jeudi 24 septembre sur les deux places Idi de Lokossa pour la fête de la Tabaski. A l’occasion, ils ont enregistré la visite d’une forte délégation du gouvernement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles de l’Islam se sont retrouvés hier, jeudi 24 septembre sur les deux places Idi de Lokossa pour la fête de la Tabaski. A l’occasion, ils ont enregistré la visite d’une forte délégation du gouvernement. Le caractère officiel de la prière de la Tabaski à la place Idi de Lokossa a été renforcé cette année par la présence du ministre en charge de la Culture, Paul Hounkpè et du député Rosine Dagniho aux côtés du préfet du Mono-Couffo, Corentin Kohoué. A l’endroit des dignitaires musulmans de la localité, les officiels déclarent avoir fait le déplacement pour témoigner le soutien du gouvernement aux fidèles de l'Islam du Mono-Couffo. Tout comme le ministre, le député des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) a remercié la communauté pour les prières portant sur la paix tant pour le Bénin que pour les pays voisins. Le préfet a, quant à lui, insisté sur la nécessité pour les fidèles musulmans de se maintenir dans cette ferveur de prière. La prédication du culte du jour a été dirigée par l'imam Abdoulaye Torhir qui s’est appuyé sur la sourate "Ou Touba Aïd Kébir" pour rappeler à l’intention de la communauté musulmane, la notion de soumission puis celle relative au partage que couve le rituel de l’immolation de bélier. Un peu plus loin dans la ville, d’autres fidèles sont pris leurs quartiers à la place Idi de Zongo. Ceux-ci ont également fêté à leur manière la Tabaski. Selon leur chef religieux, Abdou Nouhou alias Babavi, la Tabaski fait partie des plus importantes célébrations pour tout fidèle de l’islam. C’est pourquoi, animé d’une pensée pieuse envers ses coréligieux qui, faute de moyens, n’ont pu immoler le bélier, il a prié pour qu’ils s’en acquittent pendant l’édition de 2016. «Nous venons de sacrifier à un important devoir de notre religion et notre prière s’est déroulée autour de la paix et la prospérité pour le Bénin. Qu’Allah éloigne de nous les scènes de violence qui se déroulent dans les autres pays », se satisfait le fidèle musulman, Rabiou Garba. Au niveau de chacune des deux places de prières, les cultes ont pris fin par l’immolation de béliers dans une ambiance rythmée par le refrain « Allah Akbar ». Ces actes censés être les tout premiers pour le compte de la fête, ont donné le top de l’immolation des moutons au sein des ménages. bibo:pages 10 -- o:id 7736 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7736 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7751 26832 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/20017dfff45053ebe99b4e2df24c326b2373626b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9bd3b5b1fbe1c82dd1ea1b06f96c4e154f1437fa.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el Kebir : sous le signe de la paix et de l'éducation de l'enfant à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1394 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12948 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-25 dcterms:identifier iwac-article-0003589 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans de la ville de Porto-Novo ont une fois encore sacrifié hier à la tradition de la fête de Tabaski aussi appelée fête de mouton ou l’Aïd el-Kebir. Ils étaient très nombreux à prendre d’assaut la Place Idi de la mosquée centrale de Porto-Novo. Jeunes, vieux, femmes et enfants se sont parés de leurs plus belles tenues pour assister à la traditionnelle prière consacrée à cette fête. Laquelle fête vise à magnifier la dévotion d’Ibrahim, l’Abraham judéo-chrétien, celui à qui Allah a demandé de sacrifier sur un autel son fils (Ismaël pour les musulmans, Isaac pour les chrétiens et les juifs). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans de la ville de Porto-Novo ont une fois encore sacrifié hier à la tradition de la fête de Tabaski aussi appelée fête de mouton ou l’Aïd el-Kebir. Ils étaient très nombreux à prendre d’assaut la Place Idi de la mosquée centrale de Porto-Novo. Jeunes, vieux, femmes et enfants se sont parés de leurs plus belles tenues pour assister à la traditionnelle prière consacrée à cette fête. Laquelle fête vise à magnifier la dévotion d’Ibrahim, l’Abraham judéo-chrétien, celui à qui Allah a demandé de sacrifier sur un autel son fils (Ismaël pour les musulmans, Isaac pour les chrétiens et les juifs). Et au moment de passer à l’acte, le tout puissant a envoyé un mouton par l’entremise de l’Archange Djibril pour remplacer le fils d’Ibrahim. C’est ainsi que depuis lors, les musulmans sont invités au cours de l’Aïd el-Kebir à sacrifier un mouton en guise de reconnaissance à Allah pour son geste. La prière musulmane dite hier par l’iman de la Mosquée centrale de Porto-Novo, Amzat Houzéifath a été rehaussée par Ia présence de plusieurs personnalités. Au nombre desquelles il y avait le ministre chargé de l’Urbanisme, Noël Fonton, venu représenter le gouvernement, le préfet des départements de l’Ouémé-Plateau, Moukaram Badarou, le directeur de cabinet du président de l’Assemblée nationale, Falilou Akadiri et le maire de Porto-Novo, Emmanuel Zossou. Ces autorités ont tous écouté religieusement le sermon de l'imam. Amzat Houzéifath a surtout invité les fidèles à se soumettre totalement aux prescriptions de Allah afin de bénéficier de ses bienfaits. Et ensuite à obéir aux autorités et à cultiver la paix autour d'eux. L’islam est une religion de la paix, a-t-il insisté. Il a, par ailleurs, invité les fidèles à accorder une place de choix à l’éducation de leurs enfants. Car, selon lui, l’éducation d’un enfant est source de miséricorde divine. Un enfant non éduqué est une menace pour la paix et le développement de son pays, observe-t-il. Après la prière musulmane et le sermon, il a procédé à l’immolation symbolique sur place de quelques moutons. Ce n’est qu’après ce rituel que les fidèles musulmans qui en ont les moyens sont autorisés à tuer aussi leurs moutons chez eux en signe de reconnaissance à Allah. bibo:pages 11 -- o:id 7737 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7737 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7752 26833 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b010695d1dc43560e23be90689b413d9e010dd37.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4d0f31a56acd7e49f15d55e00200d09c2e33c8b5.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el Kebir : la communauté Ahmadiyya Bénin partage sa joie de fête avec les pauvres dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-25 dcterms:identifier iwac-article-0003590 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une délégation de la communauté de la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin était dans le département de l’Ouémé, mercredi 23 septembre dernier. Elle a fait don de moutons à des couches vulnérables afin de leur permettre de fêter elles-aussi dans la joie, la Tabaski célébrée hier dans le monde entier. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13612 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une délégation de la communauté de la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin était dans le département de l’Ouémé, mercredi 23 septembre dernier. Elle a fait don de moutons à des couches vulnérables afin de leur permettre de fêter elles-aussi dans la joie, la Tabaski célébrée hier dans le monde entier. Prisonniers et orphelins ont été les deux cibles dans l’Ouémé de la délégation de la communauté de la Jama’at islamique Ahmadiyya conduite, mercredi dernier, par Rana Farooq, président de cette association au Bénin. Elle était à la prison civile de Porto-Novo et ensuite à l’Orphelinat «Notre Dame de la Miséricorde» d’Adjarra. A chacune de ces étapes, la délégation avait les bras chargés de cadeaux de fête. A la prison civile de Porto-Novo, la communauté de la Jama’at islamique Ahmadiyya a fait don de deux moutons aux 857 pensionnaires de cette maison carcérale pour une capacité estimée à 500 prisonniers dont environ 200 musulmans. Les deux bêtes ont été remises à l’imam de la mosquée de cette prison en présence du gardien chef, Parfait Dangou. Ils ont tous deux remercié la délégation pour son geste fréquent à l’endroit des prisonniers à la veille des fêtes musulmanes, Ramadan comme Tabaski. L’imam de la mosquée de la prison civile de Porto-Novo a prié Allah de faire prospérer les activités des membres de cette communauté islamique afin qu’ils améliorent l’année prochaine leur don. Son souhait est que prochainement, outre des moutons, que la communauté leur donne des condiments devant permettre de préparer la viande. Une doléance à laquelle a été très sensible le président de la communauté islamique Ahmadiyya Bénin. Sans attendre l’année prochaine, Rana Farooq a remis au gardien chef une enveloppe modique pour permettre aux pensionnaires d’acheter les condiments pour préparer la viande des deux moutons et passer ainsi un agréable moment de fête. Il n’a pas manqué de prodiguer plusieurs conseils aux prisonniers. Il a insisté sur l’importance de la prière dans la vie d’un homme, surtout du musulman. Il a invité les pensionnaires de la prison à changer de comportement une fois sortie de la prison. Ils doivent éviter de tomber encore aux travers de la loi et avoir une vie correcte pour accompagner le développement du Bénin. Le président de la communauté Ahmadiyya Bénin a émis le vœu de voir le gros lot des prisonniers libérés avant sa visite prochaine, à l’occasion de la fête de tabaski de 2016. Après la prison civile, la délégation a mis le cap sur l’Orphelinat «Notre Dame de la Miséricode» à Adjarra. Ici, elle a donné un mouton à la vingtaine d’enfants en situation difficile recueillis dans ce centre. Le don a été remis à la responsable de l’orphelinat, la sœur Christine Nyiransabimana de nationalité rwandaise. Elle a remercié la Jama’at islamique Ahmadiyya pour son geste qui vient après celui effectué lors de la dernière fête de ramadan. Pour Rana Farooq, l’initiative de son association est une exigence du Coran qui recommande le partage du mouton aux couches déshéritées et même non musulmans pour leur permettre de fêter aussi au même titre que les personnes nanties. Mais avant ces deux étapes, la délégation a effectué une visite de courtoisie au préfet de l’Ouémé-Plateau, Moukaram Badarou à qui, il a fait un don symbolique d’un mouton pour lui souhaiter une bonne fête de l’Aïd el-kebir. bibo:pages 11 -- o:id 7738 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7738 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7753 26834 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2c07a98baab2d25763859ae9d6d23ba4c6579d9a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a98e037289a43a82ec29ec045664d5d3fe3cdc2b.tiff dcterms:title Célébration de l'Aïd el Kebir : une fête placée sous le signe de l'unité nationale à Abomey-Calavi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/49 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-25 dcterms:identifier iwac-article-0003591 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans d'Abomey-Calavi ont aussi immolé le mouton, hier jeudi. 24 septembre, en signe de reconnaissance à Allah pour les bienfaits immenses dont ils ne cessent de les combler. C’était à l’occasion de la fête de Tabaski, à la place Idi d’Agori-Plateau. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/491 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans d'Abomey-Calavi ont aussi immolé le mouton, hier jeudi. 24 septembre, en signe de reconnaissance à Allah pour les bienfaits immenses dont ils ne cessent de les combler. C’était à l’occasion de la fête de Tabaski, à la place Idi d’Agori-Plateau. Les frères et sœurs en Islam de la commune d’Abomey-Calavi ne se sont pas fait prier à l’appel de l’imam Malik Boukari Moutawakil, hier jeudi, à l’occasion de la Tabaski. A 9 heures déjà, la place réservée pour la prière musulmane dans le cadre de l’Aïd el-Kebir à Agori-Plateau était devenue trop exiguë pour contenir la foule de fidèles qui l’a prise d’assaut. Sous un ciel menaçant, l’imam donna le top de la cérémonie. La prière durera environ 45mn avant que l’on immole le mouton en signe de sacrifice, de reconnaissance et de remerciement au très miséricordieux Allah, pour ses grâces incommensurables sur la communauté musulmane béninoise et d’ailleurs. Dans son sermon, l’imam n’a omis aucune couche de la société. Pour lui, tout le monde doit bénéficier de la bénédiction d’Allah pour une vie terrestre apaisée et épanouie. C’est pourquoi il a imploré sa clémence sur tous les enfants, les adultes, les autorités à divers niveaux, les sages, les religieux, les pays déchirés par les conflits, les épidémies et les catastrophes en vue d’un monde de quiétude et de paix. Le prêche islamique dit en ce jour d’allégresse a également intégré les personnes malades. C’est le moment pour les fidèles, souligne l’imam, de leur apporter de la joie et de rendre visite aux membres de leurs familles. En ce qui concerne la bête sacrifiée le jour de la tabaski, il est recommandé d’en partager la viande en trois parties: un tiers pour la famille, un tiers pour les voisins et les amis et le dernier distribué en aumône aux indigents. «Il ne sert à rien d’accumuler pour soi la viande et de ne rien partager. Ce serait une forme d’avarice condamnée en islam...», a-t-il averti. Ceux qui ont les moyens peuvent même offrir une bête entière aux personnes pauvres pour qu’elles puissent aussi faire le sacrifice de l’Aïd el-kebir, a-t-il souligné. La Tabaski, selon l’imam de la mosquée centrale Médine II d’Agori-Plateau, Malik Boukari Moutawakil, doit être célébrée de la manière la plus simple possible. Sur ce point, il a mis l’accent sur les dérives à éviter en cette occasion. «Le pire moyen de passer le jour de l’Aïd el-kebir, c’est de s'adonner aux interdits et de consommer ou d’offrir des boissons alcoolisées», prévient-il. Il a également profité "occasion pour dénoncer les maux qui handicapent le développement harmonieux de la société, en s’attardant longuement sur le phénomène de la corruption qu’il considère comme l’un des plus graves fléaux. L’imam a aussi imploré l’assistance d’Allah sur le chef de l’Etat, Boni Yayi, afin qu’il puisse bien achever son second mandat. Aux acteurs sociopolitiques à divers niveaux, il a imploré l’assistance d’Allah sur eux afin que l’unité et la cohésion nationales soient renforcées et que la paix puisse demeurer au Bénin. L’éclat de la fête a été rehaussé par la présence de plusieurs autorités et cadres à divers niveaux de l’administration publique béninoise. Ils ont joint leurs voix à celle de l’imam, pour prier en faveur de la stabilité, la réduction de la pauvreté au Bénin, la tolérance religieuse et la solidarité nationale. bibo:pages 10 -- o:id 7739 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7739 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7754 26835 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/da255ed251df44bcac5c631099bebe693edecc39.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b8d4cb559eafcf99d7a79d67bbd4e55b1141c942.tiff dcterms:title Réduction des accidents de la route : les leaders religieux sensibilisés pour gagner la bataille dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15297 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-11-11 dcterms:identifier iwac-article-0003592 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les responsables des confessions religieuses ont suivi, jeudi 10 novembre, un séminaire sur la sécurité routière à l'Institut de formation sociale, économique et civique (Infosec) à Cotonou. Portant sur le thème « Implication des religions dans le développement de la sécurité routière au Bénin », ce séminaire initié par l’Ong Attention Sécurité Pour Tous vise à impliquer les responsables religieux pour sensibiliser leurs fidèles. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les responsables des confessions religieuses ont suivi, jeudi 10 novembre, un séminaire sur la sécurité routière à l'Institut de formation sociale, économique et civique (Infosec) à Cotonou. Portant sur le thème « Implication des religions dans le développement de la sécurité routière au Bénin », ce séminaire initié par l’Ong Attention Sécurité Pour Tous vise à impliquer les responsables religieux pour sensibiliser leurs fidèles. Dans son mot de bienvenue aux participants, Bruno Ahouangan, président de l’Ong Attention Sécurité Pour Tous, a souligné l’ampleur des accidents de la route en se référant aux statistiques. Il a indiqué que « L’accident de la route tue plus de 800 Béninois par an, soit deux tués et 14 par jour ». Parmi ces victimes, 80 % sont des jeunes qui représentent la force du développement. Face à ce tableau sombre, il a fait savoir que la rencontre mérite d'être organisée. Mieux, a-t-il ajouté, elle permet de préparer la journée mondiale de souvenir des victimes des accidents de la route et la journée africaine de sécurité routière prévues pour le 20 novembre prochain. Plusieurs thématiques ont été présentées aux participants dont le port obligatoire du casque pour les usagers à moto, et de la ceinture de sécurité en voiture, le respect strict du code de la route, la limitation de vitesse en agglomération, l'utilité du permis de conduire catégories A2 et A3 au profit des deux roues, défense de téléphoner au volant et au guidon. Pour Moussibaou Fassassi, directeur général de l’Institut de formation sociale, économique et civique (Infosec), les accidents de la route sont responsables de la morbidité comparable à celle de certaines maladies comme le paludisme et le Sida. Mais ce sont les pays en développement qui en sont particulièrement frappés. Il a déploré que la sécurité routière ne mobilise pas autant d’attention et ressources que ces maladies. Il a également, dans son discours d’ouverture, mis l’accent sur les causes de ces accidents. Selon lui, les facteurs humains sont souvent incriminés dans la survenance des accidents. Il s’agit, a-t-il noté, de l’excès de vitesse, du défaut de maîtrise, des dépassements ou stationnements défectueux, de la fatigue, de l’état d'ébriété, du respect de la priorité, des changements de direction sans un minimum de précaution, du non-respect des feux de circulation et des surcharges. Par rapport au choix porté sur les leaders religieux, il fera remarquer que ces derniers sont en contact avec leurs fidèles à qui ils doivent faire comprendre les comportements à avoir en circulant sur la route. « Il faut être vivant pour adorer Dieu », a-t-il martelé. Il convient de signaler que les corps habillés notamment la Police nationale, le Groupement national des sapeurs-pompiers et le Centre national de sécurité routière ont été associés à cette initiative. bibo:pages 7 -- o:id 7740 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7740 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7755 26836 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/369c45ca92bfce61734aa47aee3e66b38343e59c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/406e1896a014dfef5b8c6639bc81b51663af4fe5.tiff dcterms:title Célébration de la Toussaint et de la fête des morts : le regard de la communauté musulmane dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1505 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13713 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/79 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-11-02 dcterms:identifier iwac-article-0003593 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Célébrée le 1er novembre, veille du jour de la commémoration des fidèles défunts, la Toussaint est une fête joyeuse, celle de la communion des saints, c’est-à-dire de tous ceux, vivants ou morts, qui sont déjà réunis en Dieu par la foi. Entendue comme telle, elle n'a pas toujours eu la même connotation chez les musulmans. Loin d’être considérée pour les chrétiens catholiques comme une journée d’appel pour tous de devenir des saints, elle est perçue comme une journée ordinaire par d’autres. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Célébrée le 1er novembre, veille du jour de la commémoration des fidèles défunts, la Toussaint est une fête joyeuse, celle de la communion des saints, c’est-à-dire de tous ceux, vivants ou morts, qui sont déjà réunis en Dieu par la foi. Entendue comme telle, elle n'a pas toujours eu la même connotation chez les musulmans. Loin d’être considérée pour les chrétiens catholiques comme une journée d’appel pour tous de devenir des saints, elle est perçue comme une journée ordinaire par d’autres. Fidèle musulman à la Mosquée centrale de Zongo et technicien à la radio "La voix de l’Islam", Koudhouhs Amoussa indique qu’au cours de leurs prières quotidiennes, les fidèles musulmans demandent déjà des bénédictions pour leurs défunts. Ils n’attendent donc par la célébration de la fête de Toussaint ou le 2 novembre pour commémorer leurs parents morts. «Nous n’avons pas de jour fixé comme les catholiques pour nous consacrer à eux parce qu’après l’enterrement de la personne, nous, nous allons n’importe quel moment avec des groupes de cinq personnes pour aller rendre propre les tombes, enlever les herbes, faire en sorte que tout le cimetière soit propres», a-t-il signifié. A cet effet, il a laissé entendre que les musulmans ne célèbrent pas cette fête du 1er novembre. A ce propos, il a donc confié que comme cette journée est chômée, les fidèles musulmans restent à la maison comme les chrétiens catholiques mais pour continuer à faire leurs prières de tous les jours, sans que rien ne change. Floride Ronie AGAMMA (Stagiaire) bibo:pages 5 -- o:id 7741 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7741 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7756 26837 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/abe2d8bb680ae80f47b1afad5ae36848e7c4c768.pdf https://islam.zmo.de/files/original/62a3dcedec30fcdd510a37f11f7441386876795d.tiff dcterms:title Promotion de la planification familiale : faire des leaders religieux des champions dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1520 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14970 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15392 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14542 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/31 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14809 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-10-25 dcterms:identifier iwac-article-0003594 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Malgré ses bienfaits, martelés par ses différents promoteurs, la planification familiale a encore du mal à s'ancrer dans les habitudes des couples au Bénin. Diverses pistes sont envisagées pour remédier à cet état de choses, au nombre desquelles la sollicitation des leaders religieux. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Malgré ses bienfaits, martelés par ses différents promoteurs, la planification familiale a encore du mal à s'ancrer dans les habitudes des couples au Bénin. Diverses pistes sont envisagées pour remédier à cet état de choses, au nombre desquelles la sollicitation des leaders religieux. Engager les leaders religieux dans la promotion de la planification familiale. Tel est le défi de la Coalition des Organisations de la Société civile pour le repositionnement de la planification familiale au Bénin. A cette fin, la Coalition a initié un "Atelier de plaidoyer et d’orientation des leaders religieux sur les tendances de la planification familiale et leur implication”. Jeudi 20 et vendredi 21 octobre derniers au Codiam de Cotonou, des leaders des religions chrétiennes, musulmanes et traditionnelles, ont été entretenus sur la situation et les défis de la planification familiale au Bénin, les liens entre la planification familiale et les Objectifs de Développement durable ainsi que leur rôle pour la promotion de ce qui s'est avéré un puissant moyen pour une vie familiale épanouissante. Des chiffres qui interpellent Faisant conjointement l’état des lieux de la planification familiale au Bénin, Jérôme Chatigre, coordonnateur de la Coalition des Organisations de la Société civile pour le repositionnement de la planification familiale au Bénin et Dr Gaston Ahounou, chef Service planification familiale et santé de reproduction des adolescents et jeunes au ministère de la Santé, ont souligné la nécessité d’une politique ambitieuse en faveur de la planification familiale. Ce qui intègre l’implication des leaders d’opinion et des décideurs, la sécurisation des produits de la santé de reproduction, l’amélioration des services. Malgré les efforts consentis jusqu’à présent, les indicateurs sont faibles, rien qu’à en juger par le taux de la prévalence contraceptive (7,9% selon l’Enquête démographique et de santé 4), très faible. Dans un contexte national marqué par un taux de mortalité maternelle élevé (397 décès pour 100 000 naissances vivantes), un indice synthétique de fécondité de 4,9 enfants par femme, un taux de fécondité pour les adolescents de 8,9 grossesses pour 1000, Jérôme Chatigre et Dr Gaston Ahounou estiment qu’il faut engager des actions stratégiques plus affinées. Ceci passe notamment par une augmentation substantielle de la part du budget de l’Etat allouée à la planification familiale, le développement de la planification familiale au niveau communautaire, la revue du plan d’action national, le renforcement des capacités des prestataires, un meilleur suivi-évaluation... Confrontée à des goulots d’étranglement, la planification familiale n’est toujours pas considérée comme une priorité par les décideurs et souffre fortement des pesanteurs socio-culturelles qui ne sont pas sans influencer négativement l’implication des hommes dans les activités y afférentes et la mobilisation sociale, encore faible. D’où l’importance des leaders religieux en tant que relai social et catalyseurs des changements de comportement. Du rôle des leaders religieux Abordant la problématique du rôle des leaders religieux dans la promotion de la planification familiale, Révérend Ayi Mensah de l’Eglise protestante méthodiste du Bénin s’est voulu très pédagogique. Sans tabou ni transgression aucune, il a avec tact et intelligence, à partir d’exemples tirés de la bible, démontré qu’on peut en bon chrétien, sans rien renier de sa dévotion, être champion de la planification familiale. Rappelant que l’Eglise recherche le bonheur de ses fidèles, Révérend Mensah fait appel au comportement responsable des couples, les invitant à une conscience et connaissance de leurs limites, de l’harmonie de la famille... Les enfants sont une bénédiction de Dieu, défend-t-il, s’inspirant de Psaume 127 qui évoque poétiquement ceci: «Voici, des fils sont un héritage de l’Eternel, le fruit des entrailles est une récompense». Le même Psaume déclame «Heureux l’homme qui en a rempli son carquois, ils ne seront pas confus, quand ils parleront avec des ennemis à la porte». Toutefois, décrypte Révérend Mensah, "Tout couple, en fonction de ses ressources financières et émotionnelles, est libre de décider combien de flèches (enfants) il lui faut pour remplir son carquois”. La bible, soutient-il, ne nous dit pas que c’est un péché de pratiquer la contraception pour contrôler les naissances. Elle en appelle au sens de responsabilité des conjoints, martèle-t-il, soulignant que la planification familiale est une intervention pour la santé de la mère, de l’enfant et pour le bien-être de toute la famille, encore qu’elle contribue au développement socio-économique du pays. Vivre bien Le bien-être des populations, tel qu’envisagé par les Objectifs de Développement durable (ODD), a été l’objet d’une communication présentée par Josaphat Avocè, membre de la Coalition des Organisations de la Société civile pour le repositionnement de la planification familiale au Bénin. Il a mis en exergue les liens fonctionnels entre les ODD et la planification familiale. Des 17 ODD, la planification familiale contribue directement à l’objectif 3, et indirectement à tous les autres, renseigne-t-il. En effet, la planification familiale est une clé et un bon instrument pour l’atteinte des ODD, la feuille de route pour combattre la pauvreté, les inégalités et le dérèglement climatique, a soutenu le Secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon. Ainsi bien documentés, les leaders religieux ont su, après des débats et travaux de groupe, décliner leurs objectifs de plaidoyer et prendre un engagement consensuel et solennel sur la manière de traiter les questions liées à la planification familiale. Engagement des leaders religieux « Nous leaders religieux, déclarons que toute vie vient de Dieu et à ce titre est sacrée. Planifier les naissances n’a jamais été considéré comme un mal. A cet effet, pour promouvoir la planification familiale au Bénin et partout ailleurs, nous nous engageons à œuvrer aux côtés des acteurs de la planification familiale et des autorités politico-administratives à divers niveaux afin d’améliorer le taux de prévalence contraceptive de notre pays. Ceci permettra aux populations de connaître l’épanouissement sur tous les plans. Ainsi nous pourrons amorcer le développement durable tant escompté pour notre nation. Que Dieu nous vienne en aide ! ». bibo:pages 13 -- o:id 7742 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7742 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7757 26838 26839 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c1f44665fbe0756dca838b1fed59ac6fa365cdaf.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8d6fe1ac60deebfada1874e6e05a9647895bfb9b.tiff https://islam.zmo.de/files/original/5ea1504c3aaf25a4699646a6fae5c7d79ccb2b29.tiff dcterms:title Dernier vol retour du Hadj 2016 : le gouvernement accueille des pèlerins satisfaits dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15293 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-10-05 dcterms:identifier iwac-article-0003595 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre des Infrastructures et des Transports, Hervé Hèhomey, a accueilli, lundi 30 octobre dernier, à l’aéroport international Bernardin cardinal Gantin de Cotonou, les pèlerins qui sont revenus du Hadj 2016. Ce sont des fidèles satisfaits qui ont foulé le sol de leur pays, après avoir accompli ce devoir du bon croyant musulman. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre des Infrastructures et des Transports, Hervé Hèhomey, a accueilli, lundi 30 octobre dernier, à l’aéroport international Bernardin cardinal Gantin de Cotonou, les pèlerins qui sont revenus du Hadj 2016. Ce sont des fidèles satisfaits qui ont foulé le sol de leur pays, après avoir accompli ce devoir du bon croyant musulman. «Je suis venu accueillir les pèlerins du dernier vol qui consacre le retour de nos frères qui sont allés en Arabie Saoudite pour le Hadj 2016. Je remercie Dieu que tout se soit bien déroulé de même que toutes les sommités qui ont œuvré pour un bon accomplissement de cette manifestation », a déclaré d’entrée Hervé Hèhomey, ministre des Infrastructures et des Transports, à quelques pas de l’Airbus A 330 de la compagnie Flynas qui venait ainsi de débarquer environ 280 fidèles de retour de La Mecque. Il n’a pas oublié de témoigner sa gratitude aux agents de l’Agence nationale de l’aviation civile (Anac) qui ont également joué une partition appréciable et tous les services impliqués dans cette aventure religieuse qui venait ainsi de prendre fin. Pour lui, à travers leurs prières, les pèlerins ont imploré l’indulgence d’Allah pour la paix et la prospérité sur le Bénin. Ce que, peut-on dire, confirme Bachirou Gbadamassi, secrétaire général du Conseil national de coordination du Hadj au Bénin visiblement satisfait des conditions d’organisation du voyage en 2016. « On rend grâce à Dieu, car c’est lui qui gère l’aller et le retour », a-t-il déclaré, témoignant sa gratitude au ministre des Affaires étrangères et de la Coopération et à celui de l’Economie et des Finances pour les rôles qu’ils ont joués dans le déplacement en terre sainte de plus de deux mille pèlerins. « Le voyage s’est bien déroulé ; les bonnes choses rencontrées l’emportent sur les mauvaises ; nous prions le gouvernement afin qu’il fasse des efforts pour améliorer les conditions l’année prochaine », a expliqué Awaou Boussari qui doit rentrer à Kandi dans l’Alibori les prochains jours. Des propos que renchérit Alimi Soukéré Maroufou interviewé à sa descente. « Nous avons fait un bon pèlerinage ; les autorités saoudiennes ont pris la mesure d’une meilleure organisation du Hadj cette année. », explique-t-il. La particularité, relève-t-il, est que la discipline était au rendez-vous. Ainsi, poursuit-il, il y a eu prise en compte des événements regrettables du passé et des mesures correctives ont été imprimées à l’organisation. A titre de recommandations, le fidèle suggère qu’il y ait une uniformisation au niveau des tarifs, car justifie-t-il, il a déploré la dichotomie observée dans les prix de voyage où certains auraient payé moins cher et d’autres plus. Pour mémoire, rappelons que certains pèlerins béninois avaient subi quelques tracasseries lors du départ, des déboires qui ont été relayés à l’époque. Espérons comme l’ont souhaité quelques pèlerins, que les autorités à divers niveaux se donnent la main pour une meilleure organisation du Hadj 2017 pour davantage de bénédictions qui rejailliront sur les fidèles et le pays. bibo:pages 1 7 -- o:id 7758 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7758 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7773 26840 26841 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/21f1d164e7b6e8861c024096f7ebd23b900ed2a2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/15760836a7e3679f36c2a42f50dd42186c211e1f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/fda16e4787e72e1924b3f3403b97a7f3910ee2bd.tiff dcterms:title Fête de la Tabaski 2016 : double peine pour les vendeurs de bétail dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1527 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1547 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-08 dcterms:identifier iwac-article-0003596 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A quelques jours de la fête de la Tabaski, il y a très peu d'affluence auprès des vendeurs de bétail. Déjà frappés par la chute de la clientèle en provenance du Nigeria, ils font également face à une timide demande au plan local. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A quelques jours de la fête de la Tabaski, il y a très peu d'affluence auprès des vendeurs de bétail. Déjà frappés par la chute de la clientèle en provenance du Nigeria, ils font également face à une timide demande au plan local. Site de vente de bétail d’Ekpè. Chaque véhicule stationné est rapidement assailli par les marchands. «Ici, ici, ici. Tu en veux pour combien? Je vais te faire un bon prix». Ces propos qui fusent de toutes parts, traduisent le désarroi sur place. Le bétail s’étend à perte de vue mais la clientèle se fait rare. Il faut donc user de toutes les approches pour intéresser les passants. Parfois, aller jusqu’à la persécution. «Vraiment, rien ne va cette année. Je n’ai pas encore vendu une seule bête depuis le matin. D'ailleurs, je ne sais même pas encore ce que moi-même je vais manger», fait savoir Ismaïla Fataï, à la mi-journée. Pour ce vendeur de chèvres assis près de son bétail, le Naïra, monnaie nigériane est le coupable tout désigné. En effet, la proximité avec de pays, avait favorisé l’écoulement des moutons pour les vendeurs béninois. Insatisfaits chez eux, les Nigérians venaient régulièrement s’approvisionner au Bénin. Mais en juin dernier, la monnaie nigériane a été dévaluée. Pis, le voisin de l'Est est en récession depuis le 31 août 2016. De fait, les propriétaires de cheptel accusent le coup à Cotonou. A en croire Omar, les Nigérians ont préféré s'approvisionner chez eux cette année. «Ils trouvent les prix trop chers ici», ajoute-t-il. Le même refrain est repris par un autre vendeur. Corde enroulée autour du cou, Adnane Adéléké se faufile entre les bêtes à la recherche du client. Pour ce jeune entremetteur également, la situation est difficile. Les clients qu’il a l’habitude d’aider à marchander le prix des moutons contre un pourboire, se font attendre. Pareil pour cette vendeuse d'eau pour bétail, qui va d'un point de vente à un autre avec sa bassine sur la tête, sans être interpellée. Les vendeurs d'herbes non plus ne sont épargnés. Regards inquisiteurs devant les étalages, ils admirent les passants, en attendant un probable acheteur. «C’est toute la filière autour de la vente de bétail qui a pris un coup», assène Adnane Adéléké. Faible demande au plan local «Le Nigeria est en difficulté, mais la situation économique ici aussi n’est pas des meilleures», révèle Achirou Zoul. Fraîchement arrivé sur le site en provenance de Porto-Novo, ce trentenaire trouve les prix des bêtes relativement moins chers par rapport à l’année écoulée. Il en profite tout de même pour amoindrir au maximum avec le vendeur, le coût du mouton désigné. Ce dernier ne le lui accorde pas. «Certains s’attendent à ce qu'on brade les moutons à cause de la situation au Nigeria. Il n’en sera rien. Nous allons rester ici jusqu’au dernier jour», se rassure-t-il, sous les vrombissements incessants des bus. A un rythme soutenu, ces derniers déchargent le bétail en provenance du Burkina Faso, du Niger, sans le moindre empressement de la clientèle. «L’année dernière, même avec l’argent, c’était difficile d’acheter des moutons. Cette fois-ci, les moutons sont là mais il manque de ressources», déclare Moutaïrou, venu avec sa famille. Malgré cela, beaucoup trouvent toujours les coûts exorbitants. «C’est le pays. Tout est verrouillé. Il n'y a pas d’argent», lance un passant. Pour s'assurer de dépenser peu, d'aucuns attendent les derniers instants de la fête de Tabaski pour approcher les moutons. Cela peut expliquer par ailleurs, aux dires de plusieurs personnes rencontrées sur place, le peu d’engouement actuellement à Ekpè. Après avoir indiqué qu’il n’avait pas de moutons à 30 000 Fcfa, Wahab use de philosophie pour ferrer un client. «Tout est question de chance. Entrez et faites le tour du marché. Vous pourriez trouver de mouton à votre guise». Le beuglement un peu plus loin d'un bœuf, semble lui dire niet. bibo:pages 1 16 -- o:id 7759 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7759 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 16469 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/44537a37f648eddcd81d7c0dff1e85cbe4fe4211.tif dcterms:title 14e Convention annuelle de la jeunesse Ahmadiyya du Bénin : Mahomet, un modèle pour les dirigeants du monde dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13987 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13883 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14163 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/462 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-07 dcterms:identifier iwac-article-0003597 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les Jeunes musulmans Ahmadiyya du Bénin ont tenu, du jeudi 1er au dimanche 4 septembre dernier, au Lycée Béhanzin de Porto-Novo, la 14e édition de leur convention annuelle. Les échanges ont surtout tourné autour du thème : « Le saint prophète Mahomet : un modèle pour les dirigeants de ce monde ». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/384 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les Jeunes musulmans Ahmadiyya du Bénin ont tenu, du jeudi 1er au dimanche 4 septembre dernier, au Lycée Béhanzin de Porto-Novo, la 14e édition de leur convention annuelle. Les échanges ont surtout tourné autour du thème : « Le saint prophète Mahomet : un modèle pour les dirigeants de ce monde ». Ils étaient au total 973 participants à prendre part à la 14e édition de la convention annuelle de la jeunesse musulmane Ahmadiyya du Bénin dont le rideau est tombé le dimanche 4 septembre dernier au Lycée Béhanzin de Porto-Novo. Comme tous les ans, les délégations sont venues des différentes communes du Bénin et même de la sous-région notamment de la Côte d’Ivoire et du Nigeria. Pendant quatre jours; les jeunes Ahmadiyya ont loué et magnifié le prophète Mahomet à travers des séances de prières, de poésies, des jeux sportifs, des compétitions de récitation du saint coran et des questions réponses sur la culture islamique. Lors des assises, les participants ont eu droit à un exposé présenté par Ibrahim Adbul Aziz, missionnaire de la commune de Pobè. Dans sa présentation, celui-ci a fait ressortir les qualités exceptionnelles du saint prophète Mahomet qui serait, selon lui, un dirigeant patient et miséricordieux pour toute l’humanité. Il a aussi mis l’accent sur plusieurs valeurs dont la justice qu’enseigne le prophète Mahomet. Sans la justice, aucune paix n'est possible, a insisté Ibrahim Abdul Aziz. S’appuyant sur le coran, le communicateur a démontré comment l'injustice a conduit certains peuples à la ruine. L’un des moyens d’établir la paix sociale et d’éradiquer la pauvreté est le paiement de la Zakat qui est une aumône légale qu’un riche doit prélever dans ses biens pour sortir les démunis de la précarité, recommande le missionnaire Ibrahim Abdul Aziz. A la communication, a suivi dimanche dernier, la cérémonie de clôture présidée par le président de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, Rana Farooq Ahmad au cours de laquelle des prix ont été remis aux lauréats des différentes compétitions sportives telles que le football, le tir à la corde, Je tennis de table, le scrabble, la vitesse et des prix spéciaux aux délégations étrangères pour leur participation à la convention. Toujours au cours de la dernière journée du dimanche 4 septembre dernier, une séance de don de sang a été organisée. A l'occasion, la Croix-rouge béninoise a prélevé 38 poches de sang pour sauver des vies humaines. Il faut souligner que déjà le samedi 3 septembre dernier, il y a eu un défilé de plus de 900 jeunes musulmans Ahmadiyya dans la ville de Porto-Novo. Il s’agit d’une marche pour la paix à travers les principaux axes de la ville capitale du Bénin. bibo:pages 11 -- o:id 7760 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7760 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7775 26842 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d7963eb901c2b0f49ecda866326f20eb81dc935b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/efb64a8ad2b68cfe6aa53d7a29273f6ce8cb90f4.tiff dcterms:title Education à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel : les membres des coordinations régionales de l'Initiative africaine formés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15110 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13686 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-08-25 dcterms:identifier iwac-article-0003598 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Avec le soutien du gouvernement béninois et de la coopération japonaise, le Centre panafricain de prospective sociale (Cpps) a entamé mercredi 24 août à son siège à Porto-Novo, une session de formation de deux jours à l’intention de ses messagers régionaux de paix pour les aguerrir à s’acquitter au mieux de leur mission par le dialogue interreligieux et interculturel dans leur région de compétence. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/332 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Avec le soutien du gouvernement béninois et de la coopération japonaise, le Centre panafricain de prospective sociale (Cpps) a entamé mercredi 24 août à son siège à Porto-Novo, une session de formation de deux jours à l’intention de ses messagers régionaux de paix pour les aguerrir à s’acquitter au mieux de leur mission par le dialogue interreligieux et interculturel dans leur région de compétence. «Il y a un autre chemin pour la paix». Ces propos de Albert Tévoédjrè, président du Centre panafricain de prospective sociale (Cpps), à l'ouverture des travaux, met en exergue toute la quintessence de la formation organisée par ce centre au profit des membres de ses coordinations régionales engagés dans l’initiative africaine de l’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel. Selon lui, c’est la foi inébranlable en cette alternative nouvelle, celle du dialogue interreligieux qui doit permettre d’éviter la voie de la guerre, des massacres d’êtres humains, de la violence, de la barbarie, de l’extrémisme religieux et du terrorisme. Cette session de formation initiée à l'intention de ces femmes et hommes, responsables de confessions religieuses et d’associations de jeunes doit leur permettre d’être plus efficaces sur le terrain, d’être davantage éclairés sur leurs missions, leurs attributions, leurs fonctionnements, les limites de leurs compétences et les perspectives de ce projet d’éducation à la paix. Elle fait suite au symposium international de lancement de l’Initiative tenu à Cotonou en mai 2015, à l’atelier de relance du projet tenu en mai 2016 et aux sessions d’échanges et de sensibilisation avec les responsables des confessions religieuses, des associations de jeunes et de femmes au terme desquelles ont été installées les coordinations régionales pour quadriller au mieux le territoire national, a précisé Albert Tévoèdjrè. Plusieurs communications vont meubler les deux jours de formation. Celles-ci seront suivies des séances d’échanges et de partages d’expériences vécues dans le domaine du dialogue interreligieux ainsi que l’état des lieux. «Allez leur dire une fois de retour chez vous, qu’au lieu de nous battre ou de nous tuer pour nos territoires, battons-nous pour que les nôtres vivent mieux», a recommandé le président du Cpps avant d’exhorter à nouveau les participants à être et à rester de véritables éducateurs à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel. bibo:pages 11 -- o:id 7761 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7761 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7776 26843 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/20073f6f34222f0ad8b7efc2aa3cf26e37006d80.pdf https://islam.zmo.de/files/original/23d183bf657bc5451e93e9e21a5c010a9fb3be17.tiff dcterms:title Attentat terroriste à Nice : la communauté Ahmadiyya du Bénin condamne et compatit dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-07-19 dcterms:identifier iwac-article-0003599 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’attentat terroriste qui a frappé la ville française de Nice il y a quelques jours n’est pas du goût de la communauté islamique Ahmadiyya du Bénin, éprise de paix et de cohabitation pacifique. A travers un communiqué de presse signé de son président, elle condamne cet acte, compatit à la douleur des éplorés et en appelle à la promotion des actes de paix. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15178 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/456 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’attentat terroriste qui a frappé la ville française de Nice il y a quelques jours n’est pas du goût de la communauté islamique Ahmadiyya du Bénin, éprise de paix et de cohabitation pacifique. A travers un communiqué de presse signé de son président, elle condamne cet acte, compatit à la douleur des éplorés et en appelle à la promotion des actes de paix. Un acte qui ne repose que sur la haine. C’est ainsi que la communauté islamique Ahmadiyya du Bénin explique l’attentat perpétré à Nice (France) le 15 juillet dernier, quelques minutes après le feu d’artifice du 14 juillet, jour de la célébration de la fête nationale de la France. Cet attentat fait suite à celui de Paris, il y a huit mois, revendiqué par des groupes terroristes. Pour cette communauté religieuse, cet acte « ne peut aucunement être justifié». À travers un communiqué de presse signé de son président, Rana Farooq Ahmad, elle «dénonce avec vigueur cet acte qui ne repose que sur la haine» et en profite pour «présenter sa compassion aux victimes». Au peuple français et au monde entier, la communauté islamique Ahmadiyya du Bénin exprime également sa douleur pour «cet attentat de masse tuant au moins 80 personnes». Aussi, rappelle-t-elle que l’islam est une «religion de paix et de tolérance», soulignant par ailleurs qu’elle «reste favorable à toute initiative devant conduire à bannir ces pratiques déshumanisantes». bibo:pages 6 -- o:id 7762 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7762 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7777 26844 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/53f5a24a5f1715317fdad04bf1383087cb92f5ca.pdf https://islam.zmo.de/files/original/22f2bbd01972be9b45b5e1ad8c9ac12361e1ccaf.tiff dcterms:title Assistance aux mineurs en situation difficile au Bénin : la communauté Jama'at islamique Ahmadiyya au secours des enfants… dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1515 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15287 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-07-01 dcterms:identifier iwac-article-0003600 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La délégation de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya conduite par son président, Rana Farooq Ahmad a offert, jeudi 30 juin, un important lot de vivres aux enfants de l’Office central de la protection des mineurs de Cotonou. Le directeur général de la Police nationale du Bénin et ses collaborateurs n’ont pas manqué de souligner à cette occasion la portée de ces œuvres humanitaires. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La délégation de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya conduite par son président, Rana Farooq Ahmad a offert, jeudi 30 juin, un important lot de vivres aux enfants de l’Office central de la protection des mineurs de Cotonou. Le directeur général de la Police nationale du Bénin et ses collaborateurs n’ont pas manqué de souligner à cette occasion la portée de ces œuvres humanitaires. De tous les âges, dans leurs habits ordinaires, assis sur des chaises, les yeux allant tantôt sur les vivres, tantôt sur la délégation des donateurs et sur leurs responsables hiérarchiques, les enfants en situation difficile de l’Office central de la protection des mineurs du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique (Misp) n’avaient que leurs voix pour exprimer leur gratitude. En effet, c'est avec des slogans de remerciement et de bénédiction qu’ensemble, tel un chœur que les enfants ont chanté à l’endroit des généreux donateurs. Ceci pour des raisons bien fondées. Composé de huit sacs de riz de 50 kg, de deux sacs de sucre, .de trois bidons d’huiles de 25 litres, deux boîtes de cartons à sardines et des sachets moustiquaires, ce don est le fruit d’une demande adressée à la communauté de Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin. En effet, il y a moins d’une semaine que cette communauté islamique a effectué une descente dans ce centre pour toucher du doigt les conditions de vie des enfants. Alors, elle est revenue mais cette fois-ci les mains chargées «pour diminuer la peine de ces enfants, afin de leur permettre de traverser ou de fêter le mois de Ramadan, la gaieté au cœur», a expliqué Rana Farooq Ahmad président de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin. Pour lui, il est important de soutenir ces enfants afin qu’ils puissent passer de bons moments dans le centre avant de retourner respectivement dans leur famille pour contribuer au développement de leur pays. Sans détours, le représentant du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Moukaïla Idrissou, directeur général de la Police nationale du Bénin, a indiqué que la communauté islamique est connue, pour ses œuvres sociales, à l'endroit des personnes en situation difficile et déshéritées. « Cette nouvelle action vous honore à plus d’un titre et sachez que, qui donne aux pauvres prête à Dieu», a déclaré le directeur général de la Police nationale, avant de remercier les donateurs, pour l’amour qu’ils portent pour les vulnérables, au nom de son ministre et du peuple béninois tout entier. La cérémonie s’est achevée avec la remise officielle des biens devant les enfants bénéficiaires, qui n’ont cessé de louer les membres de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin. bibo:pages 10 -- o:id 7763 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7763 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7778 26845 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0ce76e7acf830f148a717413874451f9aed85ac0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/95cb888be56211960d7d5a9ca7a29d7a263257a7.tiff dcterms:title Audiences du président de l'Assemblée nationale : les musulmans de Porto-Novo grognent, Adrien Houngbédji apaise dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1377 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1394 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15248 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-06-23 dcterms:identifier iwac-article-0003601 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Plusieurs personnalités et délégations ont été reçues en audience mercredi 22 juin, par le président de l'Assemblée nationale au palais des Gouverneurs à Porto-Novo. Parmi elles, il y a la délégation du Haut conseil de la communauté musulmane de Porto-Novo qui est allée surtout dénoncer la politique de deux poids deux mesures dans la pose des lampadaires solaires dans la ville capitale. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Plusieurs personnalités et délégations ont été reçues en audience mercredi 22 juin, par le président de l'Assemblée nationale au palais des Gouverneurs à Porto-Novo. Parmi elles, il y a la délégation du Haut conseil de la communauté musulmane de Porto-Novo qui est allée surtout dénoncer la politique de deux poids deux mesures dans la pose des lampadaires solaires dans la ville capitale. Le président de l’Assemblée nationale, mercredi 22 juin, a eu des échanges avec une délégation du Haut conseil de la communauté musulmane de la ville de Porto-Novo. Elle est allée évoquer avec Me Adrien Houngbédji des difficultés de financement de l’extension de la Mosquée centrale de Porto-Novo. La délégation a saisi l’occasion pour solliciter le soutien du président de l’Assemblée nationale pour une bonne évolution du chantier. Selon Gafari Akanni, secrétaire général du Haut conseil de la communauté musulmane de Porto-Novo, sa délégation a par ailleurs abordé avec Me Adrien Houngbédji la politique de deux poids deux mesures dans l’implantation de lampadaires solaires dans la ville. Divers édifices publics, privés et même religieux en ont bénéficié pendant que la Mosquée centrale est laissée pour compte, dénonce-t-il. En apaisant les responsables de cette communauté, le président de l’Assemblée nationale a promis d’intervenir auprès des pouvoirs publics pour qu’une solution rapide soit trouvée aux problèmes soulevés. L’audience s’est déroulée en présence du maire de Porto-Novo, Emmanuel Zossou. A la suite de la délégation musulmane, le président Adrien Houngbédji a reçu en audience Lucy Tamlyn, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire des Etats-Unis d’Amérique près le Bénin. Ce dernier dit être venu rendre une visite de courtoisie au président de l’Assemblée nationale. Les échanges entre les deux personnalités ont porté sur les travaux du Parlement et la lutte contre le terrorisme, une grande préoccupation pour les Etats-Unis d’Amérique. Le président de l’Assemblée nationale s’est ensuite entretenu avec une délégation de la Confédération nationale des employeurs du Bénin (Coneb) portée sur les fonts baptismaux le 5 décembre 2015. La délégation conduite par le président de cette confédération, Albin Fèliho, est allée se présenter au président Adrien Houngbédji avec qui elle a partagé les ambitions, les actions et les attentes de son organisation. bibo:pages 3 -- o:id 7764 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7764 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7779 26846 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d8d98e9daeea1e4f1c48feb85940a23bd72946f7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/80c64ac62473ff9e07c16c89d3c5e13d5c9df16b.tiff dcterms:title Carême musulman 2016 : les candidats musulmans aux examens de fin d’année à l’épreuve… dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1515 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13547 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-06-09 dcterms:identifier iwac-article-0003602 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar de la communauté internationale des musulmans, les croyants musulmans béninois ont commencé depuis lundi 6 juin dernier, leur carême annuel qui prendra fin le 4 juillet prochain. Une période qui coïncide, avec celle de la série des examens de fin d’année, enclenchées le lundi dernier par le Certificat d’études primaires (CEP) et qui s’achèvera avec le baccalauréat le 23 juin prochain. Si selon la religion musulmane ce rite n’épargne que les malades et les enfants de moins de 9 ans, quel serait l’impact du jeûne sur les candidats musulmans? dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar de la communauté internationale des musulmans, les croyants musulmans béninois ont commencé depuis lundi 6 juin dernier, leur carême annuel qui prendra fin le 4 juillet prochain. Une période qui coïncide, avec celle de la série des examens de fin d’année, enclenchées le lundi dernier par le Certificat d’études primaires (CEP) et qui s’achèvera avec le baccalauréat le 23 juin prochain. Si selon la religion musulmane ce rite n’épargne que les malades et les enfants de moins de 9 ans, quel serait l’impact du jeûne sur les candidats musulmans? Le carême en dehors du partage et de la prière exige le jeûne. Un acte qui oblige les musulmans à rester à jeun de 5heures30mn jusqu’à la fin de la prière de 19 heures. Tout comme les fidèles musulmans, les candidats musulmans ont aussi, pour obligation de se conformer à cette prescription. Ainsi « aucun candidat en bonne santé ne doit prendre pour justification les examens et manquer une seule journée de jeûne. Puisqu’une journée de jeûne perdue est récompensée par 60 jours de jeûne», explique Soulé Gougbé, secrétaire de la mosquée centrale de Cadjèhoun. Or, pour réussir à leurs examens, les candidats passent la plupart de leur temps à veiller pour réviser leurs cours. Mais à en croire Soulé Gougbé les révisions et les trois jours de concentration lors des compositions des épreuves d’examen «ne peuvent nullement impacter négativement les candidats». Au contraire, «le carême leur permettra de mieux se concentrer, d’avoir les idées fixes et claires», poursuit-il. Même si les candidats seuls sont habiletés à bien décrire leur mode d’organisation, Malick Salifou confie que «c’est une période idéale pour les candidats» en ce sens, explique-t-il, qu’elle «est une période de grâce divine». Son jeune frère de 10 ans, candidat au Certificat d’études primaires observe actuellement les rites de carême, a-t-il poursuivi. Pour preuve, Jabina Imorou jeune candidate de 14 ans au Certificat d’études primaires (cep) rencontrée au centre de composition de Gbégamey Nord, explique que personne ne la contraint à jeûner. «Je n’ai pas mangé ni à 10h ni à 12h puisque je suis en carême. Je l’observe volontairement et cela n’agit pas sur moi et cela ne m’empêchera pas de composer dans les épreuves sportives». Si Jabina Imorou, ne se plaint pas, rien qu’à voir Youssouf Sanouon, on sait qu’il souffre. En effet, tout fatigué, le jeune candidat de 13 ans ne pouvait terminer la composition de la matinée du lundi 6 juin dernier. Etant en carême, il a refusé toute consommation. Difficilement, il confie qu’il était souffrant depuis la veille de l’examen. Mais dans la matinée du lundi dernier, mon état de santé s’est aggravé». Obligé donc d’être conduit au centre de santé, il sera donc présenté à la session des malades. En attendant que les candidats musulmans au Brevet d'études du premier cycle (bepc) et ceux du baccalauréat ne s’adonnent à ce même exercice, vivement que les parents prennent des dispositions pour éviter les dégâts qui pourraient découler des efforts intellectuels fournis par leurs enfants dans de telles conditions. bibo:pages 3 -- o:id 7765 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7765 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7780 26847 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8dd5695c9bfefc8567de696c8a31ab8fb4ae141f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/98dc35649a2f6b2ce6fb2d78307b49a7af5110a3.tiff dcterms:title Rencontre gouvernement-convoyeurs des pèlerins : trois ministres lancent le Hadj 2016 dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13428 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15226 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14418 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1420 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-06-02 dcterms:identifier iwac-article-0003603 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Hadj 2016 a été lancé officiellement mercredi 1er Juin au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération. Entouré de ses collègues en charge de l'Intérieur et des Transports, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération et coordonnateur national du Hadj, Aurélien Agbénonci, a réaffirmé rengagement du gouvernement à réussir le pèlerinage à la Mecque édition 2016. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Hadj 2016 a été lancé officiellement mercredi 1er Juin au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération. Entouré de ses collègues en charge de l'Intérieur et des Transports, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération et coordonnateur national du Hadj, Aurélien Agbénonci, a réaffirmé l'engagement du gouvernement à réussir le pèlerinage à la Mecque édition 2016. Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Aurélien Agbénonci et ses collègues dont celui de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Sacca Lafia, et des Infrastructures et des Transports, Hervé Hêhomey, rassurent les pèlerins de Hadj 2016. En présence des groupes de convoyage de ces pèlerins à la Mecque, ils ont procédé, mercredi 1er juin au lancement officiel dudit Hadj. A la cérémonie de lancement, le chef de la diplomatie béninoise Aurélien Agbénonci a remercié ses collègues ministres et l’équipe du Secrétariat permanent du Hadj pour le travail déjà fait dans le cadre des préparatifs de cette cérémonie. Il a également salué la présence des responsables de convoyage des pèlerins à la Mecque, qui ont effectué le déplacement d’hier et qui sont regroupés dans des structures faîtières, le Conseil national de coordination du Hadj au Bénin (CONACO) et la Fédération béninoise des organisations de convoyage de pèlerins à la Mecque (FéboHaj). Après le ministre en charge des Affaires étrangères coordonnateur du Hadj, chaque ministre sectoriel a donné des précisions sur l’état des préparatifs du Hadj 2016. Les vaccins déjà disponibles Pour le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique Sacca Lafia, l’établissement des passeports a déjà démarré pour les potentiels pèlerins sur toute l’étendue du territoire national. Tandis que son collègue en charge des Infrastructures et des Transports Hervé Hêhomey a rassuré que toutes les dispositions seront prises, au niveau de son département ministériel, pour veiller au bon convoyage des compatriotes. Pour sa part, le Secrétaire permanent du Hadj, Abdoulaye Zimé, a informé l’assistance que le ministère de la Santé a déjà pris toutes les dispositions le concernant. Ainsi donc, les vaccins indispensables pour le pèlerinage à la Mecque sont-ils entièrement disponibles. Le ministre des Infrastructures et des Transports a lancé, au cours de la cérémonie, l’ouverture des plis concernant le recrutement d’une compagnie aérienne devant rendre une prestation de qualité aux pèlerins, les deux propositions d’offres retenues seront soumises à un comité technique ad’hoc composé d’experts de l’aviation civile et du ministère de l’Economie et des Finances, une évaluation sera faite sous 48 heures. Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération et coordonnateur national du Hadj, a souligné que la signature du cahier des charges liant les convoyeurs à l’Etat béninois sur le lancement du Hadj interviendra avant la fin de la semaine. La tournée nationale de sensibilisation sur le Hadj édition 2016, quant à elle, informe le ministre, est annoncée pour démarrer demain vendredi. Pour mettre un terme à la cérémonie de lancement, Aurélien Agbénonci a rassuré que dans le cadre du Nouveau départ, le convoyage des pèlerins à la Mecque se fera dans la plus grande transparence. « J’invite d’ores et déjà la trentaine de groupes de convoyage et les deux structures faitières à se mettre en ordre de bataille pour qu’ensemble, nous relevions le défi d'un pèlerinage à la Mecque 2016 réussi», souhaite-t-il. bibo:pages 6 -- o:id 7766 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7766 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7781 26848 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/62d9b1baf42b1d44f9eb02aa02a2a5d2d66cc1d0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1731b740e6df1fa9c1effaad81d29dabfda637f7.tiff dcterms:title Assemblée nationale : le gouvernement interpellé sur l'organisation du Hadj 2016 dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1625 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1625 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-06-01 dcterms:identifier iwac-article-0003604 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le député Nourénou Atchadé demande des comptes au gouvernement par rapport à l’organisation du pèlerinage à la Mecque de l’année 2016. Il a adressé à cet effet, mardi 31 mai, à l’Exécutif, une question d’actualité pour inviter le régime de la Rupture à expliquer à la Représentation nationale les mesures qu’il envisage pour permettre aux pèlerins d’accomplir dans les meilleures conditions le 5e pilier de l’islam. Lire sa question. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le député Nourénou Atchadé demande des comptes au gouvernement par rapport à l’organisation du pèlerinage à la Mecque de l’année 2016. Il a adressé à cet effet, mardi 31 mai, à l’Exécutif, une question d’actualité pour inviter le régime de la Rupture à expliquer à la Représentation nationale les mesures qu’il envisage pour permettre aux pèlerins d’accomplir dans les meilleures conditions le 5e pilier de l’islam. Lire sa question. Question d’actualité au gouvernement Dans le cadre de l’organisation du pèlerinage au lieu saint de l’Islam (La Mecque) en Arabie Saoudite de cette année, le gouvernement est prié de faire connaître à la Représentation nationale, les dispositions qui sont en train d’être prises aux fins de permettre aux pèlerins d’accomplir dans les meilleures conditions, le cinquième pilier de l’Islam. A cet effet, l’Assemblée nationale voudrait savoir : Le point de l’organisation de la partie béninoise ; L’accompagnement du gouvernement aux pèlerins ; La structure faitière qui est actuellement en charge de cette organisation et son entourage institutionnel ; Le degré d’implication des convoyeurs dans l’organisation ; La compagnie retenue pour le transport des pèlerins. Porto-Novo, le 30 Mai 2016 Nourénou ATCHADE Député à l’Assemblée nationale bibo:pages 3 -- o:id 7767 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7767 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7782 26849 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1a2b44134c147705d2a9f872024bd17c271610c6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b0ca9461f1acfc1b2f49395f5c1096b02cf94f61.tiff dcterms:title Camp médical gratuit Ahmadiyya à Gogounou : plus de 380 patients consultés et traités dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-05-13 dcterms:identifier iwac-article-0003605 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Maison du peuple de Gogounou, mercredi 11 mai dernier. De plus de 380 personnes souffrant de diverses affections courantes, ont été prises en charge gratuitement par une équipe médicale dépêchée par la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin. Elles sont consultées puis ont bénéficié gracieusement de médicaments pour leur traitement dans le cadre de la série de camps médicaux gratuits organisés par cette organisation religieuse en collaboration avec son ONG, Humanity First. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13503 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/334 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13688 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14494 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Maison du peuple de Gogounou, mercredi 11 mai dernier. De plus de 380 personnes souffrant de diverses affections courantes, ont été prises en charge gratuitement par une équipe médicale dépêchée par la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin. Elles sont consultées puis ont bénéficié gracieusement de médicaments pour leur traitement dans le cadre de la série de camps médicaux gratuits organisés par cette organisation religieuse en collaboration avec son ONG, Humanity First. L’étape de Gogounou constitue la quatrième après celles de Ouèssè et Toui dans les Collines et de Karimama dans l’Alibori. L’objectif visé est de soulager les patients qui ont difficilement accès aux soins à cause de la longue distance entre leur domicile et le centre de santé ou du manque de moyens financiers, précise Ahmad Rana Farooq, président de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin. «Le développement d’une nation passe par l’éducation et la santé de ses habitants. C’est ce que nous avons compris en islam qui est une religion d’amour et de partage, en investissant dans la construction des écoles, des hôpitaux, des dispensaires et l’organisation des camps médicaux gratuits », explique-t-il. Les populations de tous âges, sans distinction de religion, sont sorties massivement pour poser leurs problèmes de santé au Dr Mohammad Hassan et son équipe. Les maux les plus fréquents détectés ont noms : malnutrition, anémie chronique, paludisme, infections respiratoires, ulcère, hypertension, fièvre typhoïde, diabète. A l’ouverture du camp, Idrissou Worou Aboudou, chef d’arrondissement de Gogounou centre, s’est réjoui du choix porté sur sa commune parmi tant d’autres pour recevoir gratuitement des soins. «Merci infiniment. Que le Seigneur vous accompagne afin que tous les malades recouvrent leur santé pour le développement de toute la commune !», prie-t-il. «Traiter gratuitement une population, c’est une œuvre d’Allah. C’est génial. Car, l’éducation et la santé font partie des besoins vitaux de l’homme. Un groupe qui s’intéresse à ces deux domaines comme Ahmadiyya mérite d'être félicité », appuie le maire Bachabi Salifou également reconnaissant. « La commune de Gogounou forte de plus de 107 000 habitants ne dispose que d’un seul médecin pour un besoin d'au moins douze médecins. Le gouvernement seul ne peut pas tout faire », souligne-t-il. Au nom de tous les bénéficiaires, le maire témoigne sa gratitude à Ahmadiyya et Humanity First avant de se faire examiner. Claude Urbain PLAGBETO bibo:pages 10 -- o:id 7768 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7768 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7783 26850 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/55f63b15080504583256bfb7bf0946e2b1441304.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d5ca97816914e773f6e4d8dd26337883bf30f5f9.tiff dcterms:title 4e édition du programme "les invités du Roi" pour la Oumra : la délégation béninoise satisfaite de son séjour en Arabie Saoudite dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15012 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13064 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/103 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13549 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-05-10 dcterms:identifier iwac-article-0003606 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une délégation béninoise composée d’une trentaine de hauts dignitaires de la religion islamique a pris part du 23 mars au 3 avril dernier à la 4e édition du programme « Les invités du roi » pour la Oumra et les sorties spirituelles. Vendredi 6 mai dernier à Sèmè-Podji, Dr Abdelhamid Chitou Sanni qui assure au Bénin la présidence des points focaux de cette structure a jugé utile de faire le point aux fidèles du séjour de la délégation en Arabie Saoudite pour les inciter à s’accrocher à l’œuvre. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/547 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/343 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/443 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14218 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une délégation béninoise composée d’une trentaine de hauts dignitaires de la religion islamique a pris part du 23 mars au 3 avril dernier à la 4e édition du programme « Les invités du roi » pour la Oumra et les sorties spirituelles. Vendredi 6 mai dernier à Sèmè-Podji, Dr Abdelhamid Chitou Sanni qui assure au Bénin la présidence des points focaux de cette structure a jugé utile de faire le point aux fidèles du séjour de la délégation en Arabie Saoudite pour les inciter à s’accrocher à l’œuvre. Conduite par l’imam de la mosquée de Zongo, Mohamed Habib, la délégation béninoise comprenait également les imams des mosquées centrales de Joncquet, de Porto-Novo, de Kétou, de Bohicon, de El Hadj Raphiou Toukourou et autres dignitaires de la religion musulmane au Bénin. Elle a pris part à la 4e édition du programme intitulé « Les invités du roi » pour la Oumra qui s’est déroulée à Médine et à la Mecque du 23 mars au 3 avril dernier. Les manifestations ont été placées sous l’égide du nouveau roi de l’Arabie Saoudite, Salmane Bin Saoud. Elle a été une occasion d’échanges fraternels entre les dignitaires de cette grande communauté religieuse dans le but de consolider les liens et de promouvoir la religion dans le monde entier. En décidant d'organiser plusieurs éditions au cours de cette année, les officiels saoudiens ont voulu permettre à plusieurs délégations de bénéficier de ce programme. Ainsi, outre la délégation du Bénin, il y avait beaucoup d’autres dont celles du Ghana, du Cameroun, du Nigeria, du Mozambique, du Congo, du Madagascar, de la Tanzanie et de l’Ouganda, fait remarquer le conférencier Dr Abdelhamid Chitou Sanni aux fidèles, en marge de la prédication du vendredi dernier à Sèmè-Podji. En effet, la Oumra consiste en dehors des prières, à visiter plusieurs tours dont la Kaaba et les marches entre Safa et Marwa. Ces délégations ont donc découvert à Médine l’imprimerie Roi Fadh d’édition du Coran et le Musée des archives du Coran où des exemplaires du 7e siècle ont été numérisés. Une fois à la Mecque, les membres de ces différentes délégations ont visité le Centre de recherche astronomique, situé au cœur de la tour de la montre murale de la Mecque et l’Unité de décoration et de calligraphie de la grande couverture noire de la Kaaba. L’occasion était également donnée aux participants de découvrir la technique d’observation de la lune par les Saoudiens. Aussi, ont-ils été honorés par la visite du célèbre lecteur du Coran à la Mecque du nom de Cheikh AbdRahmane As Sudeiss, a souligné Dr Abdelhamid Chitou Sanni. Selon lui, les membres de la délégation béninoise se sont réjouis de ce que l’islam a été ce qui les a réunis au-delà de leurs différences raciales et ethniques. Ceci est la preuve, à l'en croire, du caractère pacifique de la religion islamique. Il faut noter que le programme « Les invités du roi » est placé sous la tutelle du ministère saoudien des affaires islamiques, des Waqfs, de la prédication et de l’orientation. bibo:pages 10 -- o:id 7769 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7769 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7784 26851 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7b703d241f545c9366bb2a2871dfd5e19b485d0e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b77e1f74d68140a9c1281bdea992ed6a725be03a.tiff dcterms:title Dialogue interreligieux : l'expérience de l'Atacora inspire les Suisses dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1381 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14677 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15410 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14272 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-02-13 dcterms:identifier iwac-article-0003607 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre des rencontres bénino-suisses sur le dialogue interreligieux, l’évêché de Natitingou a accueilli des leaders de diverses confessions religieuses de l’Atacora pour des échanges avec une délégation conduite par Mgr Alain Raemy et Samuel Dossou, président de la Fondation Espace Afrique et Barthélémy Adoukonou, secrétaire du Conseil pontifical de la culture. L'objectif est d’évoquer l’expérience du département en matière de cohabitation pacifique entre ces confessions. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/429 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre des rencontres bénino-suisses sur le dialogue interreligieux, l’évêché de Natitingou a accueilli des leaders de diverses confessions religieuses de l’Atacora pour des échanges avec une délégation conduite par Mgr Alain Raemy et Samuel Dossou, président de la Fondation Espace Afrique et Barthélémy Adoukonou, secrétaire du Conseil pontifical de la culture. L'objectif est d’évoquer l’expérience du département en matière de cohabitation pacifique entre ces confessions. Les relations qu’entretiennent entre elles les différentes confessions religieuses dans l’Atacora sont assez pacifiques et il y a matière à s'inspirer de cette expérience. C'est ce qui justifie la rencontre initiée à l’évêché de Natitingou à l'intention des responsables de ces diverses congrégations religieuses. A la suite du colloque international sur le dialogue interreligieux, certaines villes ont été retenues pour accueillir la délégation suisse pour des échanges sur les fondements de la pacifique cohabitation entre les confessions religieuses. Et Natitingou pour son expérience en matière de vivre-ensemble n'a pas été du reste. C’est donc avec une pointe de fierté que Lydie Déré Chabi Nah, préfet de l’Atacora, a fait cas de la spécificité du département. Selon elle, la cohabitation interreligieuse prévalant dans l’Atacora et qui fait école, doit tout son sens à la grandeur d’esprit des leaders religieux, de toutes obédiences. Ces relations, a-t-elle souligné, sont empreintes de cordialité et de respect mutuel et de tolérance. D’ailleurs, l’implication de ces derniers dans la préservation de la paix en périodes électorales constitue à n'en douter le témoignage de ce dialogue permanent entre les différentes religions. Les témoignages des responsables religieux ont permis à la délégation de mesurer tout l’intérêt de cette cohabitation. Aussi bien à travers l’éducation, la santé, le vivre-ensemble, ce dialogue est une réalité dans le département. Mgr Antoine Sabi Bio, évêque de Natitingou, a précisé dans son intervention la particularité de l’Atacora qui réside, à son avis, dans la cohabitation pacifique, harmonieuse et merveilleuse des populations malgré leurs différences religieuses. « Chez nous le dialogue interreligieux, est un dialogue entre les religieux et tous ceux qui se déclarent sans religion » a indiqué le chef de la délégation suisse Mgr Alain de Raemy, tout en saluant les efforts inlassables faits au quotidien pour préserver cette quiétude notée à travers les relations. L’initiateur du colloque international sur le dialogue interreligieux n’en est non plus sorti insatisfait. « Cette initiative ne vient pas d’un homme car aucun homme ne peut réunir tout ce qu’il y a de plus grand dans la foi à Natitingou et dans plusieurs villes du Bénin. C’est Dieu qui nous réunit », a souligné Samuel Dossou, président fondateur de l'Espace Afrique. bibo:pages 13 -- o:id 7770 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7770 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7785 26852 26853 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4bfeac8ab44d158a057a533970205fa9f3d3b8cf.pdf https://islam.zmo.de/files/original/01ba5a6760773b78a2652a1f0fccb4215ad2f58f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/48d3c4bb7518b80d20a091bdcec583a9a4fe8ab5.tiff dcterms:title Dialogue interreligieux : une rencontre bénino-suisse se tient du 4 au 9 février prochain dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1416 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14818 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14677 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-01-30 dcterms:identifier iwac-article-0003608 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Du 4 au 9 février prochain à Cotonou, se tiendra une rencontre internationale sur le thème «Le vivre ensemble entre adhérents de différentes communautés religieuses au Bénin et en Suisse; défis, risques et chance». C’est une initiative de la Conférence des évêques suisses (Ces) en collaboration avec la Fondation Espace Afrique (Fea). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14819 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/429 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Du 4 au 9 février prochain à Cotonou, se tiendra une rencontre internationale sur le thème «Le vivre ensemble entre adhérents de différentes communautés religieuses au Bénin et en Suisse; défis, risques et chance». C’est une initiative de la Conférence des évêques suisses (Ces) en collaboration avec la Fondation Espace Afrique (Fea). Les religions coexistent pacifiquement et contribuent à asseoir le vivre ensemble dans une certaine tolérance religieuse au Bénin. En témoignent, en dépit de quelques réticences, les mariages ethniques et interreligieux, les cadres de concertation et de dialogue interreligieux et œcuménique, les commémorations "conjointes” des fêtes confessionnelles. La ferveur religieuse observée chez les Béninois, toutes obédiences religieuses confondues, autour de la visite du Pape Benoît XVI au Bénin, en novembre 2011, en est une illustration. Cependant, cette paix relative est menacée par la montée de l’extrémisme religieux en Afrique de l’Ouest, en l’occurrence le groupe Boko Haram qui sévit au Nord du Nigeria et dans la sous-région. Comment maintenir le climat de pacification des relations interculturelles et interreligieuses, dans ce contexte sous-régional où les conflits associés aux appartenances religieuses prennent une place de plus en plus importante en Afrique et dans le monde ? La question sera, entre autres, au cœur d’une rencontre internationale du dialogue interreligieux au Bénin qui se déroulera dès le samedi 4 février prochain au Cievra à Glo-Djigbé, sur l’initiative de la Conférence des évêques suisses et avec le soutien de la Fondation Espace Afrique (Fea). Le projet du dialogue interreligieux s’inscrit, selon les organisateurs, dans la perspective du Concile Vatican II qui affirme dans le préambule de Nostra A Etate : « A notre époque où le genre humain devient de jour en jour plus étroitement uni et où les relations entre les divers peuples augmentent, l'Eglise examine plus attentivement quelles sont ses relations avec les religions non chrétiennes. Dans sa tâche de promouvoir l'unité et la charité entre les hommes, et même entre les peuples, elle examine ici d'abord ce que les hommes ont en commun et qui les pousse à vivre ensemble leur destinée ». L’objectif visé à travers les échanges est de « mieux appréhender et faire appréhender la situation culturelle, politique et religieuse, ainsi que la cohabitation entre musulmans, chrétiens et autres croyances dans un pays de l’Afrique subsaharienne, pour en tirer les leçons pour les différentes communautés vivant en Suisse. Pendant une semaine, acteurs de la société civile, politiques confessions religieuses, chercheurs et universitaires procéderont, au cours des travaux, à une étude approfondie du modèle de dialogue interreligieux béninois et à une comparaison entre les modèles de société suisse et béninois. Car, l’urgence d’un véritable engagement des religions et des citoyens en faveur de la paix reste toujours d’actualité. Il importe donc de prôner lé dialogue entre les différentes religions, les traditions spirituelles pour que régnent la paix, la stabilité, la concorde et l'unité, en œuvrant à aplanir les divergences basées sur la foi et à en finir avec toutes les formes d’exclusion y liées. Dans le cadre du projet, d'autres activités se tiendront après la rencontre, à Cotonou, Ouidah, Porto-Novo, Abomey, Parakou et Natitingou. bibo:pages 1 14 -- o:id 7771 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7771 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7786 26854 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/dd679b7b9fb5251c67fcc05ca3464e2006e68d53.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4d9f3c8779deb5b18bdb5bace3955fc2bf156e00.tiff dcterms:title Cour d'assises de Parakou / Assassinat (7e dossier) : un imam égorge un mendiant et écope de vingt ans de réclusion dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14814 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15526 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14536 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-01-27 dcterms:identifier iwac-article-0003609 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Mercredi 25 janvier dernier, a eu lieu l’examen du septième dossier inscrit au rôle de la 1ère cour d’assises de la Cour d’appel de Parakou, relatif à une affaire d’assassinat. Reconnu coupable de cette infraction, l’imam Abdou Wahab Djibril a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle. En détention depuis 2004, il lui reste encore près de sept ans en prison. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/394 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Mercredi 25 janvier dernier, a eu lieu l’examen du septième dossier inscrit au rôle de la 1ère cour d’assises de la Cour d’appel de Parakou, relatif à une affaire d’assassinat. Reconnu coupable de cette infraction, l’imam Abdou Wahab Djibril a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle. En détention depuis 2004, il lui reste encore près de sept ans en prison. Malgré les recommandations, les prescriptions et les invites de la morale et des livres saints à la droiture et au travail, seul créateur de la vraie richesse et du paisible bonheur, un “homme de Dieu”, à la quête de la réussite rapide, a préféré s’illustrer par des sacrifices humains. Au mépris de tout bon sens et du modèle qu’il devrait constituer, cet individu a fini par devenir une menace sociale. Telle est la substance de l'affaire pour laquelle Abdou Wahab Djibril, imam du village de Waranzi, dans l’arrondissement de Liboussou, commune de Ségbana, a comparu devant la cour, mercredi 25 janvier dernier. Les faits Le dimanche 30 mai 2004, un vieil homme mendiant errant est allé demander l’hospitalité auprès de l’imam du village de Waranzi, Abdou Wahab Djibril. Ce dernier la lui a accordée, puisqu’il a été recommandé par le roi dudit village. Il lui offrit le gîte et le couvert. Entre-temps, il avait menacé de frapper sa femme qui est rentrée tardivement du moulin. Son épouse est allée se réfugier chez ses parents. Mais dans la nuit, pendant que son hôte dormait, l’imam lui asséna des coups à la tête avec le manche d’une houe jusqu’à son dernier soupir, avant de l’égorger sauvagement à l’aide d'un coupe-coupe. Il a caché les armes du crime et la tenue qu’il portait au moment de la commission de l’acte, toutes tachetées de sang, sur le plafond de la chambre de sa femme, avant de chercher à réveiller son cousin et ami Moumouni Boukari aux environs de 2 h, afin qu’il se rende compte de la concrétisation du bonheur dont il lui a souvent parlé. En réalité, il s’agissait de la dépouille mortelle ensanglantée du vieil homme enveloppée dans une natte, et dont il voulait qu’il l’aide à la faire disparaître. S’excusant pour aller s’apprêter en conséquence, Moumouni Boukari court informer le chef traditionnel et le chef du village. Avant leur arrivée sur les lieux, Abdou Wahab Djibril avait déjà jeté le corps de sa victime dans Un profond puits abandonné, situé à proximité de sa maison. Interpellé et inculpé d’assassinat, Abdou Wahab Djibril a reconnu les faits à toutes les étapes de la procédure, tant à l’enquête préliminaire que devant le juge d’instruction, mais en essayant d’occulter l’usage du coupe-coupe pour égorger sa victime. Devant la cour, mercredi 25 janvier dernier, il a varié dans la relation des faits, ne reconnaissant pas au passage les objets avec lesquels il a commis son crime et qui lui ont été présentés. Il a expliqué que c’est par maladresse que le vieux mendiant a reçu le coup qu’il tentait de porter à sa femme qui l’a esquivé. Un accusé pas collaboratif Réalisant que l’accusé a choisi « le mensonge et la dénégation comme stratégie de défense » pour maquiller l’infraction dont on l’accuse, le président du céans, Adame Nouhoum Banzou, et le représentant du ministère public, Léon Pape Yèhouénou, lui rappelleront que la cour a de la mémoire. Acculé de questions, l’accusé Abdou Wahab Djibril se mit subitement à verser des larmes et finit par avouer qu’il a effectivement égorgé sa victime. Le vieux qui, malgré ses 60 ans, aime l’aventure et ne vit que de la mendicité, confiera-t-il à la cour, ne lui a rien fait. En effet, selon les déclarations faites par l’imam à l’enquête préliminaire et devant le juge d’instruction, c’est après la prière de 20 h que l’idée de tuer le vieux mendiant lui est venue. Aucun des cinq témoins cités ne s’est présenté à l’audience. Presque tous avaient reconnu dans leurs témoignages qu’il arrive parfois qu’Abdou Wahab Djibril perde toute sa lucidité. Son bulletin n°1 ne porte aucune mention. Des circonstances de préméditation Pour le représentant du ministère public, Léon Pape Yèhouénou, la réunion de trois éléments permet d’asseoir la culpabilité d’Abdou Wahab Djibril. S’agissant de l’élément légal, il s’est référé aux articles 296 et 298 du Code pénal en définissant le crime d’assassinat comme étant l’homicide volontairement commis avec des circonstances aggravantes de préméditation ou de guet-apens. L’assassinat, rappellera-t-il, est puni par l’article 302 du Code pénal. Quant à l’élément matériel, il a consisté, selon lui, en des coups portés avec un élément tranchant et dont le résultat tangible s'est manifesté par une mort d’homme. « Dans le dossier, l’accusé a porté des coups avec le manche d’une houe. C'est après l'avoir achevé qu’il a pris un coupe-coupe pour l’égorger, en le tuant pour une deuxième fois, Il y a eu le décès du vieux mendiant », explique l’avocat général. « A défaut du certificat médical au dossier, nous avons, à travers les différents témoignages, les constatations faites par la gendarmerie et l’acte de décès de la victime, des preuves que le mendiant errant qui a trouvé refuge chez notre cher imam du village de Waranzi, est bel et bien décédé des suites des coups qu'il a reçus », a poursuivi Léon Pape Yèhouénou. Par rapport à l'élément intentionnel ou moral associé à l’existence des circonstances de préméditation ou de guet-apens, il indique qu’il est clair et sans ambages que l’accusé avait manifesté une volonté ferme de supprimer la vie au mendiant. Il a eu, selon lui, la conception et l’exécution d’un plan meurtrier. « L’accusé a soigneusement choisi sa cible, un mendiant dépourvu de parents, ne pouvant se mettre à sa recherche. Il n’a pas manqué de préparer les circonstances favorables à la commission paisible du crime en simulant une dispute avec sa femme qui est allée se réfugier chez ses parents. C’était pour s’assurer une tranquillité et une discrétion totale dans la maison. Il a ensuite choisi un bon moment pour commettre son crime, la nuit profonde », a fait remarquer l'avocat général. Pour Léon Pape Yèhouénou, il s’agit d’un crime parfait dans la mesure où, pour ne pas se faire découvrir, l’accusé a caché les instruments du meurtre et fait disparaître le corps. Le mobile du crime, insistera-t-il, c'est pour s'assurer une certaine prospérité en tuant le mendiant pour recueillir son sang et se livrer à une partie rituelle. Situant la responsabilité pénale et l’imputabilité du crime à l’accusé, Léon Pape Yèhouénou a également démontré qu'il était parfaitement d’esprit saint, en témoignent les résultats de l’examen psychiatrique. « Il avait le contrôle de ses actes et la pleine possession de ses moyens au moment du crime. Il n’est pas “fou” comme se plaisent à le rapporter les divers témoignages de ses proches. Le fou ne camoufle jamais. Il ne s’accommode d’aucune dissimulation. Il a tué. Il est présent et se montre. Mais quelle perversité !, s’exclame l’avocat général. Ce pauvre mendiant, qu'a-t-il fait à ce représentant de Dieu, notre cher et grand imam du village de Waranzi ? », s’interroge Léon Pape Yèhouénou. Sous le bénéfice de ces observations, il requiert qu’il plaise à la cour de la déclarer coupable de crime d’assassinat et de le condamner à la peine de réclusion criminelle à perpétuité. Un accusé "déguisé” Dans sa plaidoirie, la défense de l’accusé estimera que le ministère public avait préparé ses réquisitions qu’il n’a pas voulu modifier et l’adapter aux faits de la cause, après l’instruction à la barre. Comme questions fondamentales pour la bonne compréhension du dossier, il s’en est posé deux. « Qu’est-ce qui a pu pousser un homme simple, un homme de Dieu, un homme qui a la crainte de Dieu, à commettre un tel acte ? Ne devrions-nous pas procéder à une introspection pour savoir si l’état dans lequel Abdou Wahab Djibril a été amené à cet acte, était normal ? », a fait observer Me Nestor Ninko. Il a ensuite balayé du revers de la main le meurtre aggravé par des circonstances de la préméditation retenue par le ministère public. Pour lui, son client a agi sous l’impulsion d'une force violente et de la colère ; il n’a donc pas pu préparer l’acte. L’élément de circonstance aggravante faisant cruellement défaut, il y a lieu, selon lui, de requalifier l’infraction d’assassinat en coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Pour Me Nestor Ninko, son client, qui comparaît en accusé déguisé, n’est qu’une victime de la société, et les constances prouvant qu’il ne jouit pas de toutes ses facultés mentales sont patentes dans le dossier. Il rapporte certaines déclarations et témoignages à l’enquête préliminaire dont celles de l’ancien chef de l’arrondissement de Liboussou, du chef de village, ainsi que du roi de Waranzi, Gounou Baguiri, âgé de 90 ans à l’époque. Tous reconnaissent que son client fut un aliéné mental et qu'il y a 7 ans, il a été fou et ligoté puis envoyé chez un guérisseur à Piani, un village nigérian, pour être soigné. « Un homme normal qui vient de commettre un homicide, va chercher un parent en lui demandant de venir découvrir le bonheur qui vient de lui arriver ? En fait de bonheur, c’est la dépouille du mendiant qu’il lui a montré ! », a-t-il souligné. « A la question, il vous est reproché d'avoir volontairement commis un homicide sur la personne d’un inconnu qui lui a été posée au cours de l’interrogatoire de première comparution, il a réagi en disant : non. Ce n’est pas un inconnu. Je ne reconnais pas ces faits », souligne Me Nestor Ninko. De l’enquête préliminaire, de l'instruction au premier degré, de l’instruction au second degré jusqu’à la rémission de l’arrêt de mise en accusation, aucun expert n’a pu fixer la chambre d’accusation sur l’état psychologique et psychiatrique de l’inculpé, déplore l’avocat. Pour prouver que le fou n’était pas fou, ironisera-t-il, plus de douze ans après, les résultats d’un examen dont le rapport a été produit le 6 janvier 2017, attesteront qu’il était en possession de ses facultés mentales en 2004, au moment où le drame est survenu. « Lorsque vous avez un citoyen malade, la société a l’obligation de le traiter », a indiqué Nestor Ninko. Pour finir, il sollicite au principal de requalifier l’assassinat en coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ; de dire que son client était en état de démence au temps de l’action et ne saurait en être pénalement responsable. « Vous l’acquitterez purement et simplement », a souhaité l’avocat. Au subsidiaire, il invite la cour à tenir compte du temps déjà passé en prison par son client. Répliquant, le ministère public trouvera la plaidoirie « truffée de dénaturations des faits et de contradictions ». Avant de rejeter l’hypothèse des coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner, il pense que le conseil n’est pas en phase avec son client. Après sa délibération, la cour déclare Abdou Wahab Djibril coupable d’homicide volontaire commis avec préméditation, crime puni par les articles 295, 298 et 302 du Code pénal. Elle le condamne à la peine de vingt ans de réclusion criminelle et au paiement des frais à l’Etat, fixe la contrainte par corps au maximum et ordonne la confiscation et la destruction du scellé. En prison depuis 2004, l’imam a encore plus de sept ans à y passer. Le président la cour, Adame Nouhoum Banzou avait pour assesseurs Alexis A. Mètahou et Lucien Djimènou. Le fauteuil du ministère public était occupé par Léon Pape Yèhouénou. Le greffier a nom Me Jacques Marie Agoï. Me Nestor Ninko a assuré la défense de l’accusé. Comme jurés, il y avait Léopold Chabi Boukoh, Soulémane Dramane, Anselme Sossou et Bio Dancoré. bibo:pages 7 -- o:id 7772 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7772 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7787 26855 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ebe4a3831871e01cdf9b3a0ad23f2db0f1258e35.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a2b7bd0dcd17c7087d75b48cb11cf5bf731b7555.tiff dcterms:title Cinquantenaire de la Jama'at islamique Ahmadiyya : la communauté islamique réitère son engagement dans le social dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1579 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2019 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14934 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-01-17 dcterms:identifier iwac-article-0003610 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’occasion d’une conférence de presse tenue samedi dernier à Cotonou, Bissirou Mohamed Loukman, président du Comité d’organisation du cinquantenaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin a dévoilé les grands axes de leurs actions pour l’année 2017. C’était en présence de Rana Farook Ahmad, président de la Jama’at Islamique Bénin, au siège de ladite communauté. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’occasion d’une conférence de presse tenue samedi dernier à Cotonou, Bissirou Mohamed Loukman, président du Comité d’organisation du cinquantenaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin a dévoilé les grands axes de leurs actions pour l’année 2017. C’était en présence de Rana Farook Ahmad, président de la Jama’at Islamique Bénin, au siège de ladite communauté. Installée au Bénin depuis 1967, la Jama’at Islamique Ahmadiyya aux dires de Rana Farook Ahmad a pour vocation première d’œuvrer pour le maintien de la paix et l’instauration d’une société juste et égalitaire. Cette communauté intervient depuis 50 ans dans plusieurs domaines tels que l’éducation, le forage de puits, l’installation de système solaire, la construction de mosquées et bien d’autres domaines. A l’occasion de son cinquantenaire, un point de presse a été donné samedi 14 janvier dernier pour informer le public béninois sur les différentes activités qui meubleront cette cinquantenaire et pour présenter les projets sociaux et humanitaires que la Jama’t Islamique Ahmadiyya prévoit réaliser au Bénin pour le compte de l’année 2017. Pour le président du comité d’organisation de la célébration du cinquantenaire de la Jama’t islamique Ahmadjiyya Bénin, Bissirou Mohamed Loukman, le programme a démarré depuis le 31 décembre 2016 avec la prière de "Tahajud” qui a été observée dans les mosquées durant 03 jours afin d’invoquer l’aide d’Allah pour la réussite de l’évènement. A cet effet, la journée du 9 janvier a été également consacrée pour implorer la grâce et la bénédiction d’Allah. Ensuite, des conférences interreligieuses seront organisées dans les villes phares du Bénin dans le but de promouvoir la paix et une coexistence pacifique entres les différentes religions du Bénin. Le président du comité d’organisation a fait savoir que, « cette série de conférences va démarrer à Allada le 21 janvier prochain à la salle des jeunes de la ville et a pour thème : "Religion, tolérance et laïcité” ». Il est aussi prévu le 23 mars 2017, l’organisation d’une foire du cinquantenaire à l’occasion de laquelle, les copies du Saint Coran en Arabe et dans diverses autres langues seront présentées et où il sera procédé à la vente de la littérature islamique. La communauté islamique prévoit toujours lancer un projet de réhabilitation de 100 forages de puits dans le but de contribuer à l’accès à l’eau potable aux populations. En outre, à l’instar du village du Millénaire construit à Sovo (Allada), électrifié et approvisionné en eau grâce à la technologie de l’énergie solaire, la communauté compte également réaliser un autre village du millénaire. Dans le domaine de la santé, la Jama’at islamique Ahmadiyya prévoit l’organisation de camps médicaux gratuits et de cent opérations de hernie et de prostate au cours du mois de septembre 2017. Toujours dans sa vocation de rester proche des enfants démunis, la communauté fera au cours de cette année 2017 la prise en charge des orphelins du drame de Tori Avamè, au sein de l’orphelinat Ahmadiyya Darul-Ikram de Porto-Novo. « Dans le cadre des activités sportives, un tournoi de football sera organisé par l’association de la jeunesse musulmane Ahmadiyya du 9 au 23 septembre 2017. » a précisé Bissirou Mohamed Loukman. Les activités officielles du cinquantenaire prendront fin avec l’organisation annuelle (Jalsa Salana) qui se tiendra du 22 au 24 décembre 2017. bibo:pages 9 -- o:id 7788 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7788 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7804 26856 26857 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/675b9efa96a1e77a4f988ae59f7192e06f058eb2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4a96411bc61908fa5952e7406f0b2b63914a577a.tiff https://islam.zmo.de/files/original/fb61d7ac3149b414d2e53bbb17fcffe632aa2804.tiff dcterms:title Visite du chef de l'Etat : Patrice Talon séduit les dirigeants et investisseurs du monde arabe dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1419 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13293 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-11-24 dcterms:identifier iwac-article-0003611 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République est rentré à Cotonou, mercredi 23 novembre, d’un périple doublé d’offensives diplomatique et économique dans le monde arabe. Un séjour marqué par plusieurs engagements décrochés sur le plan du développement et du renforcement des liens diplomatiques existants. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14458 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/531 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13196 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République est rentré à Cotonou, mercredi 23 novembre, d’un périple doublé d’offensives diplomatique et économique dans le monde arabe. Un séjour marqué par plusieurs engagements décrochés sur le plan du développement et du renforcement des liens diplomatiques existants. Dans l’histoire du Bénin, c’est la toute première fois qu’un chef d'Etat est reçu en audience par le roi d’Arabie Saoudite. Un honneur et un prestige à l’actif du président Patrice Talon qui s’est entretenu dans la capitale saoudienne Riyad avec sa majesté le roi Salmane Bin Abdulaziz Al Saoud, serviteur des deux saintes mosquées. L'audience entre les deux personnalités a été l'occasion d'aborder diverses questions portant sur la coopération bilatérale. Non seulement ils ont passé en revue la coopération, mais ils ont surtout décidé d’insuffler un dynamisme nouveau à la relation et aux rapports existants, précise le ministre des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci au cours d’un point de presse tenu hier à l'aéroport, de retour à Cotonou. Mais avant de rencontrer le souverain, note-t-il, le président Patrice Talon a eu des entretiens avec plusieurs ministres du gouvernement saoudien. L'échange avec le ministre du Commerce et de l'Investissement, ancien acteur du secteur privé de son pays aura été l’une des plus porteuses pour le Bénin. Avec lui, le chef de la délégation a échangé sur les possibilités qu’offre l’Arabie Saoudite d'aujourd’hui. Les perspectives que l’on peut attendre de ce renouveau dans les relations entre ce royaume et notre pays ont eu également une place de choix. La bonne santé de notre diplomatie et la perception fort positive que projette le chef de l’Etat et son gouvernement ont fait sensation en Arabie Saoudite si on s’en tient aux déclarations du patron de la diplomatie béninoise qui, de retour à Cotonou, se dit particulièrement satisfait de cette offensive diplomatique menée par le chef de l'Etat en personne auprès des autorités saoudiennes. Une ambassade du royaume saoudien à Cotonou Le lundi 14 novembre dernier, Abdullah Muhammad Sefyan, nouvel ambassadeur agréé du royaume d’Arabie Saoudite au Bénin avec résidence à Abuja au Nigeria, a présenté les lettres de créance qui l’accréditent au président de la République Patrice Talon. Mais le séjour en terre saoudienne du chef de l’Etat lui a permis d’obtenir des autorités de ce royaume, l’ouverture prochaine d’une ambassade avec résidence à Cotonou. A cette requête du président Patrice Talon, lesdites autorités ont donné une suite favorable et cela devrait se faire dans les prochains jours, indique le ministre des Affaires étrangères. Le président Patrice Talon s’est entretenu aussi avec le vice-président du Fonds saoudien qui finance déjà plusieurs projets dans notre pays dans le domaine de l'éducation et de la santé. L’autre bonne nouvelle ici, c’est que le Nord du Bénin, en raison de sa proximité avec la région du Sahel, bénéficiera d’une enveloppe destinée à la réalisation des forages. A ces nombreux acquis obtenus au cours de ce séjour, s’ajoutent des échanges avec des personnalités du sérail politique et du monde économique pour donner un souffle nouveau aux relations bilatérales. Plusieurs missions de prospection et d’exploration de nouveaux chantiers de coopération sont aussi attendues à Cotonou. La fascination pour le Bénin est venue surtout de la présentation faite par le président Patrice Talon de son nouveau paradigme de coopération. Lequel suggère de « mettre en place un fonds d’investissement en apportant une contribution et en invitant les autres pays ou le partenaire intéressé à mettre aussi une contribution afin que ce fond d’investissement puisse aussi lever les fonds dont nous avons besoin pour soutenir et financer des activités des infrastructures d'investissements productifs, durables pour structurer notre économie », développe le ministre Agbénonci. Aux côtés du ministre en d’Etat en charge du Plan, Abdoulaye Bio Tchané, de celui de l’Economie et des Finances, Romuald Wadagni, du ministre des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci, et de l'ancien ministre d’Etat Zul Kifl Salami, le président de la République a eu des échanges au siège de la Banque islamique de Développement (BID). Renforcer l’intervention de la BID au Bénin Il s’est notamment entretenu avec le nouveau président de l’institution financière avec qui il a partagé sa vision du développement. Laquelle suggère de transformer l’économie pour la mettre au service d’un développement pour changer le quotidien des Béninois. Le président de la BID, précise le ministre des Affaires étrangères, a été particulièrement impressionné par cet élan du président et son rêve pour son pays. « Le chef de l’Etat et sa délégation ont eu ensuite une séance conjointe de travail avec les cadres de la BID et d'autres investisseurs du golf ». Il a été essentiellement question du renforcement de la coopération entre le Bénin et les débats ont aussi porté sur les moyens pour accroître les interventions de l’institution au Bénin. bibo:pages 1 3 -- o:id 7789 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7789 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7805 26858 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9ff066794e787f174607fe4810a8d82fc85db580.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8d85ab912f94c335792e355b94560c85e3159227.tiff dcterms:title Coopération : l'Afrique et le monde arabe pour une économie durable dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14153 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13563 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-11-24 dcterms:identifier iwac-article-0003612 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président Patrice Talon a également pris part, le mercredi 23 novembre au quatrième sommet Afrique-monde arabe prévu à Malabo en Guinée équatoriale. La rencontre des chefs d’Etat qui faisait suite au sommet ministériel se proposait, pour l’essentiel, de dynamiser la coopération avec le monde arabe et le continent noir. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14232 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président Patrice Talon a également pris part, le mercredi 23 novembre au quatrième sommet Afrique-monde arabe prévu à Malabo en Guinée équatoriale. La rencontre des chefs d’Etat qui faisait suite au sommet ministériel se proposait, pour l’essentiel, de dynamiser la coopération avec le monde arabe et le continent noir. Le chef de l’Etat a pris une part active au quatrième sommet Afrique-monde arabe tenu à Malabo en Guinée équatoriale. « Ensemble pour la coopération et le développement économique durable », tel était le thème de ce sommet qui a mobilisé des dirigeants d’Afrique et du monde arabe dont l’Emir du Koweït. Ce que projettent ces dirigeants réunis à Malabo, conformément à l’esprit de la rencontre, c’est de faire en sorte que le monde arabe et l’Afrique se donnent des possibilités de se mettre ensemble à travers des initiatives concrètes à même d’impulser le développement. Un fonds d’un milliard de dollars permettra de financer des projets et là-dessus, le Bénin ne voudrait pas être du reste, a expliqué le ministre des Affaires étrangères Aurélien Agbénonci. A ce propos précise-t-il, le chef de l’Etat a donné des instructions afin que le Bénin fasse le suivi des projets soumis et introduise aussi de nouvelles fiches de projet à financer. Au cours de son séjour à Malabo, le président de la République s’est aussi entretenu avec son homologue équato-guinéen. Entre les deux personnalités, rapporte le ministre des Affaires étrangères, il a été encore question de développement et de coopération. Sur ces chantiers, le président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo a affiché son intérêt pour le financement de certains projets. En somme, note le ministre, le dynamisme et la détermination dont fait preuve la diplomatie béninoise portée par le chef de l’Etat lui-même ont séduit et convaincu des partenaires, à tel enseigne que nombre des interlocuteurs du président Patrice Talon ont annoncé leur arrivée au Bénin pour explorer des possibilités d'investissements structurants et rentables. bibo:pages 3 -- o:id 7790 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7790 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7806 26859 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/19b5597f89e87397269d195698dacff4b94a9565.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9104fd63183f825d8d262246220af77a9a14e608.tiff dcterms:title Lancement du projet de réhabilitation de forages à Zinvié : Jama'at Islamique Ahmadiyya Bénin redonne espoir aux populations dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-10-14 dcterms:identifier iwac-article-0003613 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Très active dans les œuvres sociales et humanitaires, la Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin a procédé, jeudi 13 octobre, au lancement du projet de réhabilitation de 75 forages dans l'arrondissement de Zinvié, commune d’Abomey-Calavi. La cérémonie de lancement a eu lieu dans le village de Sokan en présence de Georges Bada, maire de la commune, et de Rana Farooq Ahmad, président et chef missionnaire de la communauté musulmane. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14731 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/487 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Très active dans les œuvres sociales et humanitaires, la Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin a procédé, jeudi 13 octobre, au lancement du projet de réhabilitation de 75 forages dans l'arrondissement de Zinvié, commune d’Abomey-Calavi. La cérémonie de lancement a eu lieu dans le village de Sokan en présence de Georges Bada, maire de la commune, et de Rana Farooq Ahmad, président et chef missionnaire de la communauté musulmane. L'espoir renaît au sein des populations des villages d'Adjagansa, de Sokan dans l'arrondissement de Zinvié à Abomey-Calavi en matière d'approvisionnement en eau. 75 des forages hors d’usage pour cause de panne ont commencé à être réhabilités par la Jama'at Islamique Ahmadiyya Bénin. A la cérémonie de lancement des ouvrages dont le délai de non usage varie entre 1 et 5 ans, Jean Houssou Azo, chef du village de Dovidji, n'a pu s’empêcher d'exprimer sa joie. « C'est la première fois que des musulmans nous permettent de disposer à nouveau d’eau », s'est-il réjoui en remerciant la délégation de la Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin. Abondant dans le même sens, Arnauld Tènio a, représentant du ministre de l’Energie, de l'Eau et des Mines, a notamment insisté sur l'importance de l’eau. « L’eau est source de vie et facteur de développement. Elle est la source unique à partir de laquelle sont satisfaits les besoins fondamentaux concourant au bien-être des hommes, au développement économique et à un meilleur cadre de vie dans notre pays », a-t-il fait comprendre aux populations pour leur faire toucher du doigt la valeur du geste de la communauté musulmane Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin. Pour lui, on en a besoin dans la vie domestique, dans l’industrie, l’agriculture, dans le domaine de l’énergie, de la santé, de l'artisanat, etc. Ainsi la réhabilitation des 75 forages contribuera à l’accès à une eau potable disponible en quantité suffisante. Dans la même veine, Georges Bada, maire d'Abomey-Calavi, a indiqué qu'au regard de l’important rôle de l’eau dans la vie quotidienne, les populations bénéficiaires, en particulier les femmes doivent prendre grand soin des ouvrages réhabilités. Du bon usage des forages dépend la disponibilité des bienfaiteurs d’en faire plus et de penser à d’autres villages de la commune a-t-il signifié. Pour sa part, le président et chef missionnaire de la Jama'at Islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad Amir, précisé que le projet de réhabilitation coûte 112 millions 50 mille FCFA pour les 75 forages d'Abomey-Calavi et d’autres communes du Nord Bénin. L’option de réhabilitation faite par la communauté est motivée par le fait que les forages réalisés par des Ong et autres partenaires du Bénin sont abandonnés. Dès lors, en attendant de réaliser aussi les siens, la Jama'at Islamique Ahmadiyya Bénin a choisi de réhabiliter ces derniers d'abord. Rana Farooq Ahmad Amir a précisé que son organisation intervient dans d'autres domaines tels que la construction d'écoles et des centres de santé, l’installation de panneaux solaires, l'organisation de camps médicaux gratuits, l'assistance aux populations victimes de catastrophes naturelles. Pour le projet de réhabilitation des forages, une équipe d’ingénieurs spécialisés en la matière sont mobilisés depuis le siège de l'organisation à Londres. bibo:pages 6 -- o:id 7791 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7791 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7807 26860 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/142774c2a2f80b0e17a222745fb761393aee90a3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/da974a459713c1cf44e641a194c06e3feab6d0c9.tiff dcterms:title Fête de l'Aïd-el-Fitr 2016 : intenses moments de spiritualité et de communion à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14884 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1992 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-07-07 dcterms:identifier iwac-article-0003614 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après trente longs jours de sacrifices et de méditation, les musulmans dans la prière, l'allégresse, le partage et l’échange de vœux, ont célébré mercredi 6 juillet, l’Aïd el-Fitr, la fête de la rupture du jeûne qui annonce déjà la Tabaski. A Parakou, la ferveur était palpable. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après trente longs jours de sacrifices et de méditation, les musulmans dans la prière, l'allégresse, le partage et l’échange de vœux, ont célébré mercredi 6 juillet, l’Aïd el-Fitr, la fête de la rupture du jeûne qui annonce déjà la Tabaski. A Parakou, la ferveur était palpable. Finis la peine volontaire privative de nourriture et de plaisirs sexuels de l’aube au coucher du soie.il, vive l'Aïd el-Fitr ! C’est la joie chez les musulmans qui ont observé ou non le jeûne, quatrième pilier de l’islam. Hier à l’orée du 10e mois lunaire dénommé "chawal”, ceux de Parakou ont fêté dans la joie et le partage la fin du carême. Parés de leurs plus beaux habits: wax de grande marque, bazin riche brodé, parures de valeur, le tout auréolé de parfum pour les hommes, les musulmans se sont rués par centaines sur les places Idi pour les prières en commun en ce jour spécial, chantant tout au long du chemin. C’était après le petit déjeuner tel que recommandé par la tradition musulmane. Sur la place Idi du Carder où ont prié le préfet Moussa Djibril Maman Cissé, le maire Souradjou Karimou Adamou, le député Idrissou Bako, la prière a été dirigée par Youssouf Wokaya, chef des imams de Parakou. Alignés sur les tapis et peaux d’animaux, les hommes aux premières loges et les femmes derrière, ils ont loué en chœur Allah, le Tout-Puissant, pour leur avoir permis de finir en beauté le jeûne et de voir ce nouveau jour. Deux rakats (génuflexions d’ensemble), des cris "Allahou akbar” (Dieu est le plus grand), une récitation de passages coraniques (al-fâtiha et sourate), ont rythmé la séance de prières marquée par un sermon tout en arabe. Le dignitaire a insisté sur la nécessité pour les musulmans de rester dans le droit chemin, de tourner dos aux vices, notamment l’alcool, le tabac, et autres mauvaises pratiques qui n'honorent pas Allah. Aussi, les a-t-il exhortés à pardonner leurs prochains et à s'acquitter de l’aumône obligatoire de fin de jeûne; toutes choses qui leur permettront de jouir pleinement des fruits de l’observance des règles du ramadan. La fin de la prière est ponctuée par une salve, laissant place à des embrassades, des souhaits mutuels de vœux de bonne santé, de longévité, de prospérité, un partage de repas entre parents, amis et voisins. Le préfet Moussa Djibril Maman Cissé a tenu à remercier Dieu pour ses bienfaits à son égard. «Pour moi particulièrement, c’est un mois de grâce parce que c’est au cours de ce mois qu’est intervenue ma nomination à la tête du département du Borgou», se réjouit-il. Après avoir exprimé ses sentiments de joie et de gratitude envers Dieu, le maire de Parakou a, quant à lui, saisi l’occasion pour lancer un appel à la fraternité, à la tolérance et au dialogue interreligieux. «Que les populations puissent vivre en parfaite symbiose ! Qu’on soit chrétien, musulman, animiste, nous sommes tous les mêmes et nous prions le même Dieu», laisse entendre Souradjou K. Adamou. Il a saisi l'occasion pour inviter les jeunes à faire preuve de sagesse, de prudence et de modération, en respectant le code de la route, en évitant l’excès de vitesse en circulation, l’abus d’alcool, etc. «On ne souhaite pas entendre qu’il y a des accidents et que les sapeurs pompiers sont sollicités à gauche et à droite», insiste-t-il. «Que Dieu accepte nos prières et les sacrifices que nous avons consentis au cours de ce mois de Ramadan ! Nous prions aussi pour que les dirigeants de ce pays aient la santé et soient bien inspirés afin d’assurer une bonne gouvernance de notre chère nation! », implore le député Idrissou Bako. bibo:pages 10 -- o:id 7792 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7792 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7808 26861 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/226c31b04f3648a0f5a9a6dd1399822094d3727b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2e1ab12c28757f30224dc9986e4d0cd228bcee0d.tiff dcterms:title Fête de l'Aïd-el-Fitr 2016 : les musulmans ont prié pour la paix et la concrétisation ds réformes à Lokossa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13497 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15148 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-07-07 dcterms:identifier iwac-article-0003615 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La fin des 30 jours de jeûne observé par la communauté musulmane de Lokossa a été marquée, mercredi 6 juillet, par des séances de prières sur les différentes places Idi de la commune. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La fin des 30 jours de jeûne observé par la communauté musulmane de Lokossa a été marquée, mercredi 6 juillet, par des séances de prières sur les différentes places Idi de la commune. L’une après l’autre, les deux places Idi de Lokossa ont enregistré, de grands moments de ferveur à l’occasion du Ramadan. Et c’est à la place Idi située à l’entrée de la ville que tout commencé avec Aboubakar Wassiou, maître coranique qui s'est entretenu avec les fidèles avant la prédication de l’imam Abdoulaye Torhir. S’appuyant tous sur la Sourate "Ou Touba Aïd Fitr", les deux ont prêché des valeurs de dévotion et la nécessité pour la communauté de ne pas rompre avec l'aumône et les autres pratiques pieuses. Ils encourageront par la suite la communauté à prolonger le jeûne pendant six jours. Selon Aboubakar Wassiou, il s’agit-là d’un effort supplémentaire qui permet aux fidèles d’obtenir le pardon des péchés commis pendant toute une année. « Il est donc important de demeurer dans l’effort mais également de vivre dans une bonne cohabitation avec les autres confessions religieuses pour préserver la paix au pays », a laissé entendre le maître coranique. A la suite des dignitaires religieux, le préfet du Mono Komlan Zinsou a salué les intentions de prière à propos de la paix. «Que cette même ferveur accompagne les réformes initiées au plan national par le gouvernement», a intercédé, à son tour, le préfet. A la place Idi de Zongo, c’est autour de l’iman Abdoul Kadr Aboubakar qu’un autre groupe de musulmans a accompli le même rituel. Les prêches ont débuté un peu plus tard, à ce niveau, avec l’arrivée de la délégation du serki, Abdou Nouhou. La vénération d’Allah pour avoir accompli le jeûne puis des prières paix ont meublé la séance. Le chef de cette communauté religieuse, Abdou Nouhou, s’est particulièrement préoccupé de la concrétisation des promesses faites aux populations par le chef de l’Etat. Il a assuré que leur séance a pris en compte cette intention et que leurs prières ne feront pas défaut au gouvernement et au président de la Républiques. bibo:pages 11 -- o:id 7793 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7793 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7809 26862 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/895e752af2e7c2b109ca1607da27660d0cb04135.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ca8261646c7ab449ea01a3937b580ca062bceb46.tiff dcterms:title Fête de l'Aïd-el-Fitr 2016 : les musulmans de Bohicon ont aussi prié dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12970 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15485 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-07-07 dcterms:identifier iwac-article-0003616 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l'instar des musulmans du monde entier, ceux de Bohicon ont aussi célébré mercredi 6 juillet, le Ramadan ou Aïd-el-Filtr qui consacre la fin des trente jours de jeûne, quatrième pilier de l'Islam. C'est la place Idi de Bohicon qui a accueilli la brève séance de prière de cette célébration conduite par El Hadj Boukari Idrissou, Imam de la Mosquée de Zongo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l'instar des musulmans du monde entier, ceux de Bohicon ont aussi célébré mercredi 6 juillet, le Ramadan ou Aïd-el-Filtr qui consacre la fin des trente jours de jeûne, quatrième pilier de l'Islam. C'est la place Idi de Bohicon qui a accueilli la brève séance de prière de cette célébration conduite par El Hadj Boukari Idrissou, Imam de la Mosquée de Zongo. L’Aïd el fitr est le jour qui marque la fin du Ramadan pour tous les musulmans. Un moment privilégié de jeûne, de prières, de pénitence et de soumission à Allah par tout bon musulman. Aucun musulman ne désire se faire conter le Ramadan. Ce qui, sans doute, explique la grande mobilisation enregistrée dans la matinée du mercredi 6 juillet sur la place Idi de Bohicon. On pouvait noter la présence de nombreux musulmans autour de l’Imam Boukari Idrissou, dont le député Issa Salifou et l’adjoint au maire de Bohicon, Marna Sanni. Il sonnait 10 h quand l’Imam Boukari Idrissou prend place pour la prière comme prescrite et pratiquée par le prophète Mahomet. Les premiers mots de l’Imam sont «Allahu Akbar, Allahu Akbar ....» qui signifie Allah, Dieu le créateur est le plus grand. Il est le plus grand car, il n'y a aucun Dieu excepté Allah. Il est le plus grand. Tous les éloges et merci sont pour lui. Des prières reprises en chœur par la foule de fidèles amassés devant lui. Après les moments consacrés à la prière, l’Imam Boukari Idrissou dans son bref sermon enrichi par les Sourates, a exhorté les musulmans à emprunter le chemin tracé par le prophète en ayant des comportements vertueux dans la société. Car, ajoute-t-il, l’Islam est la religion de paix et de tolérance. Le mauvais comportement est à proscrire catégoriquement chez le musulman. Pour lui, tout musulman craint Allah, le très-haut. Alors, il les convie tous à retrouver la voie de l’Islam pour qu’Allah leur accorde le salut et sa bénédiction. L’Imam Boukari Idrissou conclut en demandant la paix et la prospérité pour le Bénin et en souhaitant une bonne fête de Ramadan à tous les musulmans. Et, que chacun reçoive en abondance les bénédictions du mois de carême qui vient de s’achever. bibo:pages 12 -- o:id 7794 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7794 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7810 26863 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3f012e74066f71e071db648c69262f13ee9f3755.pdf https://islam.zmo.de/files/original/339051e984e25eda74b0b4ca25acf3753baad786.tiff dcterms:title Fête de l'Aïd-el-Fitr 2016 : l'iman de Porto-Novo appelle ses fidèles à la solidarité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1394 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1402 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12925 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-07-07 dcterms:identifier iwac-article-0003617 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar de ceux du monde entier, les fidèles musulmans de Porto-Novo ont fêté mercredi 6 juillet, l'Aïd-el-Fitr qui sanctionne la fin de trente jours de carême et de privation. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar de ceux du monde entier, les fidèles musulmans de Porto-Novo ont fêté mercredi 6 juillet, l'Aïd-el-Fitr qui sanctionne la fin de trente jours de carême et de privation. Fidèles musulmans et autorités politico-administratives de la ville de Porto-Novo étaient très nombreux, mercredi 6 juillet, à prendre d’assaut la place de la mosquée centrale de la ville capitale pour la grande prière de l’Aïd-el-Fitr consacrant la fin du Ramadan. Il y avait le préfet de l’Ouémé, Joachim Apithy et le maire de Porto-Novo, Emmanuel Zossou. Ces autorités ont été les témoins de ce culte musulman conduit par l’iman de la ville de Porto-Novo, Ouzaefath Amoussa. Il sonnait 10h 02 quand ce dernier a foulé le sol de la place de la grande mosquée où l’attendaient déjà plusieurs milliers de fidèles musulmans bien disposés conformément aux instructions du prophète Mahomet qui exigent que les hommes restent devant et les femmes derrière dans les lieux de prières musulmanes. Tous étaient bien habillés avec les tissus bazzin en dominance. Deux temps forts ont marqué cette prière du Ramadan. Il y a eu une première étape marquée par d’intenses prières. Les fidèles sous le guide Ouzeafath Amoussa ont remercié Allah pour leur avoir permis de boucler en beauté les 30 jours de jeûne. La prière a duré 12 minutes. La seconde étape a été celle du sermon du muezzin. L’iman Ouzeafath Amoussa a entretenu son assistance dans trois langues: d'abord en arabe, ensuite en yorouba et puis en français. Il a surtout appelé les fidèles de la communauté musulmane de la ville de Porto-Novo à l’union, à l’entraide mutuelle et à la solidarité entre eux. Car selon lui, ce sont ces valeurs qui fondent la religion musulmane et l’Aïd-el-Fitr, ou fête de la rupture du jeûne célébrée avec beaucoup d’entrain par les musulmans à travers le monde entier. L’iman Ouzeafath Amoussa les a invités à promouvoir ces valeurs pour impulser le développement de Porto-Novo et renforcer la paix dans la ville capitale. Il n’a pas oublié les autorités politico-administratives à divers niveaux de Porto-Novo, du département de l’Ouémé et du Bénin dont le président de la République, Patrice Talon. Il a imploré Allah de les éclairer et de les assister dans leurs tâches pour le bien-être de la population. Après la prière, la fête sera poursuivie en famille autour des mets spéciaux et occasion aussi des emplettes et des visites rendues aux proches en attendant l’Aïd-el-Kébir encore appelée la fête du mouton. bibo:pages 11 -- o:id 7795 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7795 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7811 26864 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f1112533fa31cf8e18b9894dfbafa546e87497b7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1fe1d413875f292403a3677a8ebc54de1d491680.tiff dcterms:title Fête de l'Aïd-el-Fitr 2016 : Ahamdiyya Bénin partage la joie avec des ménages pauvres de l'Ouémé dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1402 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14764 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-07-07 dcterms:identifier iwac-article-0003618 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'association islamique Ahamdiyya était lundi 4 juillet dernier dans l'Ouémé. Fidèle à ses habitudes à la veille de la fête de l’Aïd el Fitr encore appellée Ramadan, elle est allée semer la joie dans les cœurs des ménages pauvres et autres couches de la population en situation difficile. L’association était au Centre hospitalier départemental de l’Ouémè-Plateau (Chd/O), à la prison civile de Porto-Novo, à l’Orphelinat Notre Dame de la misércorde d’Adjarra et au Centre des malades mentaux Saint Camille d’Avrankou. A chacune des étapes de son périple, la délégation de la Jama’at islamique Ahamdiyya conduite par son président Rana Farooq Ahmad, avait les bras chargés de vivres constitués des sacs de riz de 50 kg, des bidons d’huile végétale, des cartons de savon, des pâtes alimentaires et des boites de conserve. De quoi permettre à ces âmes en détresse de célébrer aussi dans la joie et l’allégresse à l’instar des autres populations, la fête de Ramadan prévue pour ce mercredi 6 juillet. A la prison civile de Porto-Novo, le président Rana Farooq Ahmad a demandé aux prisonniers de prendre la ferme résolution au cours de ce mois de jeûne musulman de changer de comportement et de ne plus tomber dans les travers de la loi une fois qu’ils seront libérés. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15321 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'association islamique Ahamdiyya était lundi 4 juillet dernier dans l'Ouémé. Fidèle à ses habitudes à la veille de la fête de l’Aïd el Fitr encore appellée Ramadan, elle est allée semer la joie dans les cœurs des ménages pauvres et autres couches de la population en situation difficile. L’association était au Centre hospitalier départemental de l’Ouémè-Plateau (Chd/O), à la prison civile de Porto-Novo, à l’Orphelinat Notre Dame de la misércorde d’Adjarra et au Centre des malades mentaux Saint Camille d’Avrankou. A chacune des étapes de son périple, la délégation de la Jama’at islamique Ahamdiyya conduite par son président Rana Farooq Ahmad, avait les bras chargés de vivres constitués des sacs de riz de 50 kg, des bidons d’huile végétale, des cartons de savon, des pâtes alimentaires et des boites de conserve. De quoi permettre à ces âmes en détresse de célébrer aussi dans la joie et l’allégresse à l’instar des autres populations, la fête de Ramadan prévue pour ce mercredi 6 juillet. A la prison civile de Porto-Novo, le président Rana Farooq Ahmad a demandé aux prisonniers de prendre la ferme résolution au cours de ce mois de jeûne musulman de changer de comportement et de ne plus tomber dans les travers de la loi une fois qu’ils seront libérés. A la prison civile de Porto-Novo comme dans les autres endroits visités, les bénéficiaires ont été très sensibles au geste renouvelé chaque année de la communauté Ahamdiyya Bénin. Ils ont prié Dieu de le combler au centuple de ses bienfaits. Même les malades mentaux du centre Saint Camille n'ont pas tari de mots pour remercier Rana Farooq Ahmad et sa suite. Il faut souligner qu’avant l’entame de la tournée de remise de dons, la délégation a d’abord rencontré à la préfecture de Porto-Novo, les préfets de l’Ouémé et du Plateau respectivement Florès Apithy et Valère Adéchina, à qui ils ont expliqué le sens de leur initiative à l'endroit des populations démunies à chaque veille des fêtes du Ramadan et de la Tabaski. Thibaud C. NAGNONHOU, A/R Ouémé-Plateau bibo:pages 11 -- o:id 7796 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7796 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7812 26865 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e35c440d0071da3462952b3c8836899fbe9a505c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6fb68c6bac5c0f36cd09b9aec5178d5caca5788a.tiff dcterms:title Fête de l'Aïd-el-Fitr 2016 : les fidèles musulmans rendent grâce à Dieu pour ses bénédictions à Maro-militaire dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1515 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14630 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-07-07 dcterms:identifier iwac-article-0003619 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après 30 Jours de carême, les fidèles musulmans béninois, à l’instar de leurs collègues de la communauté internationale ont célébré sur tout le territoire national la fin du Ramadan, mercredi 6 juillet. A la mosquée centrale de Maro-militaire Tawakaltou de Cotonou, les fidèles musulmans ont, sous l’égide de leur Imam Ousmane Aboubakar Ahmed Gnora, rendu grâce à Dieu pour les bénédictions dont ils ont été comblés. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après 30 Jours de carême, les fidèles musulmans béninois, à l’instar de leurs collègues de la communauté internationale ont célébré sur tout le territoire national la fin du Ramadan, mercredi 6 juillet. A la mosquée centrale de Maro-militaire Tawakaltou de Cotonou, les fidèles musulmans ont, sous l’égide de leur Imam Ousmane Aboubakar Ahmed Gnora, rendu grâce à Dieu pour les bénédictions dont ils ont été comblés. Le saint mois de Ramadan est terminé. Les fidèles musulmans se sont alors réunis à cet effet, pour implorer davantage la miséricorde de Dieu sur eux et sur la nation béninoise. Cela fait 30 jours que les fidèles musulmans se sont conformés aux recommandations de leur religion, l’Islam. Ils ont, durant cette période, jeûné, prié et partagé avec leurs semblables. Ceci, afin de purifier leur esprit et d’acquérir les grâces de Dieu. Les fidèles musulmans de la mosquée centrale de Maro-militaire Tawakaltou de Cotonou, dans leurs belles tenues, chapelet à la main, ont fait massivement le déplacement pour la prière exigée par le Coran en cette occasion. Ces hommes, des milliers, assis sur des nattes et tapis dans la rue, ont laissé les femmes et les enfants dans l’enceinte de la mosquée. A son arrivée, pour la plupart, chaque fidèle a fait une prière en attendant l’arrivée de l’Iman. L’Imam Ousmane Aboubakar Ahmed Gnora, a dit la prière qu’il a conduite en arabe. Les rites de la prière ont été en communion exécutés par l’ensemble des fidèles. Après ladite prière, l’iman a rappelé aux fidèles musulmans qu’ils doivent faire l'effort de demeurer dans la piété et de respecter les recommandations de l’Islam. « Bien que nous soyons à la fin du Ramadan, nous les fidèles musulmans devons continuera bien nous comporter à l’égard de nos frères. Aussi devons-nous être assidus aux recommandations de Dieu pour que demeure une fraternité entre les Béninois et les responsables de notre pays », souligne-t-il. Pour Alli Fatiou, un fidèle musulman qui n’a pas voulu se faire compter l'évènement, la période du Ramadan permet aux fidèles musulmans de vivre la peine des pauvres et de les assister. C’est une période de grâce. bibo:pages 10 -- o:id 7797 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7797 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7813 26866 26867 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e1bcebbcaa53e02205dabcd5289cfbb0ad275669.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1e0cbd6db6038db5b5239e7e43ae783356eef46c.tiff https://islam.zmo.de/files/original/0e6a3267358f9a2426b9032ed11e7a15795a3bca.tiff dcterms:title Fête de l'Aïd-el-Fitr 2016 : sous le sceau de la piété à Akpakpa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1974 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14908 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-07-07 dcterms:identifier iwac-article-0003620 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans ont fini, mercredi 6 juillet, les moments de jeûne et de privations. C'est dans ce cadre qu'ils ont célébré l'Aïd-el-fitr, qui marque la fête du Ramadan. Ceux d’Akpakpa ont été également au rendez-vous à la place Idi Sobetex de la localité. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14751 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans ont fini, mercredi 6 juillet, les moments de jeûne et de privations. C'est dans ce cadre qu'ils ont célébré l'Aïd-el-fitr, qui marque la fête du Ramadan. Ceux d’Akpakpa ont été également au rendez-vous à la place Idi Sobetex de la localité. Finis, les moments de privations, faits de jeûne, de prières intenses et d’interdiction de loisirs tous azimuts. Place maintenant à la reconnaissance à Allah, le Miséricordieux pour ses grâces infinies durant le carême. A la place Idi d’Akpapka, mercredi 6 juillet, la mobilisation était grande. Enfants, jeunes, vieux et personnalités ont rallié en un temps record l'espace dédié à la prière commémorative du Ramadan. Aux environs de 10heures, l'imam Ibourahima Ousmane, fait son apparition. Commence alors la grand-messe, appelée” Hotuba” en yoruba, qui durera une trentaine de minutes. A cet instant précis, que d’invocations n’ont pas été formulées à Allah ! «Gloire à Dieu! Quelles ont pris fin, toutes ces séances de prêches et ces assises de transmission du savoir coranique! Gloire à Dieu ! Que de belles formations spirituelles ont été reçues par les âmes durant le mois de Ramadan», remercie l’imam. Il explique que le but visé par Allah en prescrivant le jeûne du mois de Ramadan est la piété. Trois catégories de jeûnes Le jeûne du mois de Ramadan se divise en trois catégories, précise l'imam. La première, détaille-t-il, est relative au jeûne mal observé. Il prend en compte une partie de la communauté qui se livre à des actes blâmables, durant la période. La deuxième catégorie de jeûne concerne le jeûne bien accompli. Il s'agit du « jeûne de ceux qui s’abstiennent de tout acte de turpitude et fournissent des efforts dans l’accomplissement des bonnes œuvres». La troisième catégorie concerne le jeûne de l'excellence et s’applique à ceux qui se soumettent totalement à Dieu. Cette catégorie est considérée comme l’étape de la perfection dans la piété. Insistant toujours sur le sens de la piété, El hadj Ibouraïma Ousmane, a rappelé aux fidèles quel doit être leur comportement une fois le carême terminé. A l’instar du prophète Saw, il les a exhortés à adopter de bonnes attitudes de haut niveau de piété, en essayant de raffermir leur foi. Avant de mettre un terme à la prière, il a invoqué Allah d’accepter leurs jeûnes et prières, en effaçant leurs défauts et péchés. L’imam a également dédié la prière du Ramadan au peuple béninois et à ses dirigeants à divers niveaux. « Qu’Allah répande sur le Bénin les bénédictions de ces jours d’adoration, en commençant par le gouvernement et son chef, le président Patrice Talon, au plus simple des citoyens, afin que la paix, la prospérité et la quiétude règnent dans notre pays», a-t-il souhaité. Le jeûne étant désormais terminé, place maintenant à la réjouissance. Mais pas d'excès ni de débauche, prévient-il. « Continuez chers frères et sœurs, à faire preuve d'altruisme, d’affection et d'attendrissement envers les démunis comme vous en aviez fait tout au long de mois de Ramadan», a-t-il conseillé. Impressions de quelques personnalités Soumanou Moudjaïdou, ancien ministre du Commerce: « Le mois de Ramadan s’est achevé, mais la religion demeure. Il faudrait que nous puissions rester en communion de prière pour la paix dans notre pays. J’ai prié pour la quiétude, la paix et la prospérité au Bénin». Modeste Toboula, préfet du Littoral: «Le Littoral regorge d’une forte communauté musulmane. Le chef de l’Etat nous a envoyé dire à cette communauté qu'il est de cœur avec elle, que son gouvernement est prêt à l’accompagner pour ses différents projets, dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des populations. Dans un autre registre, la question de la sécurité est un grand défi. De ce fait, nous comptons beaucoup sur nos frères musulmans pour réussir ce challenge ». bibo:pages 1 10 -- o:id 7798 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7798 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7814 26868 26869 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bcbbfd70ff2189ea7cc2769d91054b787f22984d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/968774bbd418d0684c03ded25eacca010e9be591.tiff https://islam.zmo.de/files/original/592f1c8790e1a2d10548f3cb66b846e08eac766b.tiff dcterms:title Visite du MCRI-SCBE aux confessions religieuses : Alain Adihou prêche la sauvegarde de nos valeurs culturelles dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13347 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2018 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2003-07-24 dcterms:identifier iwac-article-0003621 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La tournée entamée par le ministre Alain Adihou pour se présenter aux institutions de l’Etat et les confessions religieuses se poursuit. En début de cette semaine, il s’est rendu successivement à l'Eglise protestante Bethel, à l’Eglise évangélique Vie Nouvelle, ainsi que chez l’Imam de Jonquet, celui de Zongo et l’imam de la mosquée centrale de Porto-Novo. Partout où il est passé, le message est le même : présenter le rôle de son cabinet ministériel, la vision qu’il a de la collaboration avec les communautés religieuses qui ont, dit-il, une grande part de responsabilité dans le changement du cœur des hommes afin qu’ils transforment à leur tour le pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La tournée entamée par le ministre Alain Adihou pour se présenter aux institutions de l’Etat et les confessions religieuses se poursuit. En début de cette semaine, il s’est rendu successivement à l'Eglise protestante Bethel, à l’Eglise évangélique Vie Nouvelle, ainsi que chez l’Imam de Jonquet, celui de Zongo et l’imam de la mosquée centrale de Porto-Novo. Partout où il est passé, le message est le même : présenter le rôle de son cabinet ministériel, la vision qu’il a de la collaboration avec les communautés religieuses qui ont, dit-il, une grande part de responsabilité dans le changement du cœur des hommes afin qu’ils transforment à leur tour le pays. « Le mal dont souffre le Bénin, ce n'est pas la méchanceté des hommes mauvais, mais le silence des hommes bons », a martelé le ministre Alain Adihou partout il est passé. Lundi 21 juillet dans l'après-midi, à la tête d'une délégation de son ministère, le tout nouveau ministre est allé en « frère chrétien » expliquer aux responsables de l'Eglise protestante Bethel, sa vision du développement du Bénin. « Le développement n'est que le produit de la culture. Et si nous laissons mourir notre propre culture, nous n'aurons aucune chance de nous développer », a dit le ministre aux responsables de cette église tout en les exhortant à toucher le coeur de leurs fidèles lors des prêches. Pour le ministre, ce ne sont pas les ajustements structurels, les gros documents sur la réduction de la pauvreté qui vont déterminer la conscience de l'homme dans la société. Ce sont plutôt les confessions religieuses. En réponse à cet appel, les responsables de l'Eglise protestante Bethel ont d'abord remercié leur hôte. Ils ont saisi l'opportunité pour lui présenter les difficultés que rencontre l'Eglise protestante. Ils ont ajouté qu'ils sont sur la voie de la réconciliation et ont demandé que le ministre soit leur porte-parole auprès du gouvernement, afin que l'Etat les aide à venir à bout de la crise qui secoue cette église. Très sensible à cet appel, le ministre a dit qu'il a noté la disponibilité de chacun d'eux. Quant à la crise, il leur a demandé de prier, le reste, Dieu lui-même s'en chargera, a-t-il conclu. Les confessions religieuses porteuses de valeurs positives A l'Eglise évangélique Vie Nouvelle, l'accueil est presque le même. Le pasteur Michel Alokpo a remercié le ministre pour sa démarche à tout le moins inédite. Car dit-il, c'est la toute première fois de l'histoire de cette église qu'une autorité de ce rang se déplace pour échanger avec ses dirigeants. Dans les échanges, les responsables de l'église ont cité John Kennedy pour qui « on ne peut gouverner sans Dieu et la Bible ». Puis ils ont ajouté que le cœur de l'homme est mauvaise que c'est en écoutant l'évangile qu'il se transforme. « C'est en tant que frère chrétien et responsable au niveau de la nation que je suis venu vous voir », a laissé entendre le ministre pour qui la démocratie béninoise, encore en chantier, ne pourra aboutir que si l'on change le cœur de l'homme béninois. Le ministre Alain Adihou a cité assez d'exemples : la corruption, la dépravation des mœurs, la paresse la recherche de gain facile comme obstacle au développement. Et « si la jeunesse d'aujourd'hui en mal de boussole ne se ressaisit, si elle n'a pas de modèle, elle ne pourra rien de positif demain ». C'est pourquoi le ministre a plaidé pour un changement de mentalité, la lutte contre la peur, l'amour du travail et pour son prochain. Autant de valeurs positives que seules les religions peuvent inculquer à leurs fidèles, afin que l'on n'aie plus à condamner la méchanceté des hommes, mais plutôt le silence des hommes bons. Car si la frange de bons a peur de dénoncer, critiquer et corriger, ce serait plus tard le règne de la médiocrité, a indiqué le ministre Alain Adihou. Puis à Jonquet chez l'Imam Ousmane Aboubakar, ou à Zongo chez l'Imam El Hadj Ibrahim Habib Mohamed tout comme à Porto-Novo chez l'Imam central Moudjadid Damala, le message ministériel a été le même : « Le Bénin appartient à nous tous et nous devons le construire ». Et pour ce faire, quel que soit le milliard qu'on aura à investir dans les écoles, les centres de santé et la construction des routes, si les hommes n'ont pas le cœur bon, les ouvrages ne résisteront pas au temps, a expliqué le ministre qui a exhorté la communauté musulmane très active à prier aussi pour le pays. Que les Imams en prêchant touchent le cœur des fidèles. Car ce sont ces confessions religieuses qui éduquent l'homme et sans le cœur de l'homme positif, il n'y a point de développement. Changer le cœur pour aboutir au développement En réponse, les imams ont presque unanimement répondu que : « C'est Dieu qui est Etat. Et il ne peut descendre. C'est pourquoi il se manifeste à travers les hommes ». Ils ont chacun en ce qui les concerne prié pour le ministre, l'Etat béninois et le peuple tout entier. L'Imam de Zongo a recommandé au ministre qu'il soit le porte-parole de sa mosquée auprès du gouvernement pour qu'il y ait moins de discrimination. Il a saisi l'opportunité pour poser un certain nombre de problèmes dont notamment la part belle faite aux autres religions au détriment des musulmans sur les antennes de l'ORTB, plus précisément dans l'émission dominicale. Des doléances prises en compte par le ministre qui a promis les transmettre à qui de droit. Alain Adihou compte faire le tour de toutes les confessions religieuses, les chefferies traditionnelles et royautés afin de sensibiliser les uns et les autres sur la nécessité de bâtir notre démocratie sur l'amour du travail, l'amour du prochain et surtout nos valeurs culturelles. Après cela, il y aura un grand forum où toutes les religions et chefferies traditionnelles s'asseyeront ensemble pour se regarder dans le miroir national. Et se demander pourquoi nous construisons notre pays sur la peur, la méfiance, la perte de nos valeurs intrinsèques. Et ce sont les réponses à ces questions qui serviront à bâtir notre développement. Car « nos valeurs sont en train de perdre du chemin ». bibo:pages 1 5 -- o:id 7799 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7799 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7815 26870 26871 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b1d5becad0c2bf2274958ddc03e77edd1c8977c3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3d465590854ddf866a58e15153a18033cfd392c3.tiff https://islam.zmo.de/files/original/5d48c4c5af2656af0d50c77be78f1e91d7e892fc.tiff dcterms:title Moammar Al-Kadhafi élevé à la dignité de Grand croix de l'ordre national du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1497 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13471 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/108 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-07-14 dcterms:identifier iwac-article-0003622 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En visite d'amitié et de travail dans notre pays, le Bénin, depuis mercredi dernier, Moammar Al-Kadhafi, le Guide de la Révolution libyenne qui quitte Cotonou ce jour, vendredi 14 juillet 2000, à destination de notre géant voisin, le Nigeria, a été élevé hier nuit par son homologue béninois, à la dignité de Grand Croix de l'Ordre national du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/457 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En visite d'amitié et de travail dans notre pays, le Bénin, depuis mercredi dernier, Moammar Al-Kadhafi, le Guide de la Révolution libyenne qui quitte Cotonou ce jour, vendredi 14 juillet 2000, à destination de notre géant voisin, le Nigeria, a été élevé hier nuit par son homologue béninois, à la dignité de Grand Croix de l'Ordre national du Bénin. C’était au cours d’un dîner de gala offert en son honneur par le chef de l’Etat, le président Mathieu Kérékou, dans la salle du peuple du palais de la présidence de la République à Cotonou, en présence d’un parterre d’invités et autres personnalités politiques du pays. Dans le toast qu'il a prononcé à cette occasion, le locataire du palais de la Marina, parlant des relations d’amitié qui ont toujours caractérisé nos deux pays, a indiqué que ni le temps, ni les vicissitudes de l'histoire n’ont pu altérer, de quelque manière que ce soit ladite amitié. Et c’est justement la raison pour laquelle, la présente visite, la deuxième après celle de 1983, a suscité en nous d’intenses souvenirs. Pour le président Mathieu Kérékou, le Guide de la Révolution libyenne, Moammar Al-Kadhafi, a choisi parmi tout la voie de l’unité africaine. Ce que démontrent, à loisir, toutes ses différentes et pertinentes interventions et principalement celles qu’il a tenues, tout dernièrement à Lomé à l’occasion du 36ème Sommet de l’OUA. Pariant de l’adoption et de la signature de l’acte instituant l’Union Africaine, qui ont sanctionné le récent Sommet de l’OUA de Lomé au Togo, le président Mathieu Kérékou dira qu’il s’agit là d’une décision qui augure des lendemains meilleurs au développement de notre continent, l’Afrique. Car, c’est dans l’union, la cohésion que tous les peuples africains pourront effectivement préserver l’intégrité du continent. Le chef de l’Etat profitera de l’opportunité qui lui a été ainsi offerte pour rendre un vibrant hommage bien mérité à son hôte, pour sa constante sollicitude envers notre pays, la République du Bénin. Ce n’est donc pas pour rien qu’il a été décidé de l’élever à la dignité de Grand Croix de l’Ordre national du Bénin, distinction qu’il lui a remise lui-même et de ses propres mains. En réponse, le colonel Moammar Al-Kadhafi a exprimé toute sa joie devant les progrès réalisés par notre pays depuis son premier séjour en terre africaine libre du Bénin. Pour le dirigeant libyen, c’est à cause du sérieux et de l'efficacité du président Mathieu Kérékou qu’il a été la cible de l’agression impérialiste de janvier 1977, comme ce fut le cas de Abdel Nasser en 1956. A l’en croire, la mentalité coloniale très basse et rétrograde est maintenant vaincue, et les acteurs de ces coups bas doivent être considérés comme des ennemis de la paix, les usurpateurs du pain quotidien des autres. Pour le Guide de la Révolution libyenne, ce sont la paix, la stabilité et la coopération qui fabriquent l’avenir du monde. Pour lui, la discrimination sur la base de la couleur de la peau est une hérésie. «Il faut que les autres nous respectent», a-t-il martelé, estimant que nous ne sommes pas des enfants qui ont besoin d’instituteurs pour s’organiser et se prendre en charge. Il en a profité pour dire tout le bien qu’il pense de la globalisation, tout en se refusant à attribuer sa paternité à l’Amérique. Pour lui, la globalisation va créer le nouveau monde basé sur la paix, la justice. Selon lui, l’Etat-Nation a survécu et c’est maintenant l’heure de la fusion et de l’union. Pour terminer, il a remercié, du fond de son cœur, les autorités politico-administratives de notre pays pour la confiance qu’elles ont placée en lui, en lui remettant la clef de leur ville-phare: Cotonou et en l’élevant à la dignité de Grand Croix de l’Ordre national du Bénin. Ce qui, pour lui, est une responsabilité dont il mesure toute la portée. Mais auparavant, il a rencontré la communauté musulmane du Bénin qui est venue s’entretenir avec lui sur les problèmes de leur religion, l’islam. Avant de prendre congé du «Guide du Commandement populaire islamique mondial», les dignitaires béninois lui ont offert divers présents. bibo:pages 1 3 -- o:id 7800 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7800 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7816 26872 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/db911ac0864f021a540d85f4c7e6ea31f130f693.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4548c75a31872f3d18308ed525a4360c336d41aa.tiff dcterms:title Bilan de l'an I de Kérékou II. La laïcité de l'Etat : quels constats ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1580 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-04-10 dcterms:identifier iwac-article-0003623 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au-delà du bilan classique sur les plans social, économique et politique, de l'an I du régime Kérékou II, il serait peut-être intéressant à mon avis, d'approfondir le débat en attirant l’attention de l’opinion publique sur cet autre aspect non moins important, à savoir celui du respect des droits de l’homme par les dirigeants actuels. «La République du Bénin est une et indivisible, laïque et démocratique... La forme républicaine et la laïcité de l’Etat ne peuvent faire l’objet d’une révision». Ainsi en a décidé le peuple souverain dans la Constitution du 11 décembre 1990. En son temps, le président Kérékou avait pris l’engagement de «veiller à la primauté de la légalité constitutionnelle et au respect des règles du jeu démocratique... et de revaloriser le patrimoine culturel national...». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au-delà du bilan classique sur les plans social, économique et politique, de l'an I du régime Kérékou II, il serait peut-être intéressant à mon avis, d'approfondir le débat en attirant l’attention de l’opinion publique sur cet autre aspect non moins important, à savoir celui du respect des droits de l’homme par les dirigeants actuels. «La République du Bénin est une et indivisible, laïque et démocratique... La forme républicaine et la laïcité de l’Etat ne peuvent faire l’objet d’une révision». Ainsi en a décidé le peuple souverain dans la Constitution du 11 décembre 1990. En son temps, le président Kérékou avait pris l’engagement de «veiller à la primauté de la légalité constitutionnelle et au respect des règles du jeu démocratique... et de revaloriser le patrimoine culturel national...». Sur ce chapitre, nous avons noté avec satisfaction les bonnes intentions du régime Kérékou pour avoir créé dès son avènement le ministère de la Justice, de la Législation et des Droits de l’Homme. Les droits de l’homme c’est avant tout la liberté d’expression qui comprend aussi la liberté de pensée, de conscience, de religion, de culte et d’opinion. La loi fondamentale y a mis un accent particulier en stipulant que «... L’exercice du culte et l’expression des croyances s’effectuent dans le respect de la laïcité de l’Etat... Les institutions, les communautés religieuses ou philosophiques ont le droit de se développer sans entrave. Elles ne seront pas soumises à la tutelle de l’Etat...». Seulement voilà, dès l’investiture du président Mathieu Kérékou les signes annonciateurs de violation de la Constitution, ont été enregistrés; notamment sur le plan de la laïcité de l’Etat. Après l’omission délibérée du terme «Mânes de nos ancêtres» contenu dans le texte du serment du président de la République, c’est la rafle opérée nuitamment qui a fait disparaître, de l’entrée du Port Autonome de Cotonou et du Carrefour Vêdoko-Akossombo les statues-Vodun, œuvres d’inspiration de nos artistes nationaux, fierté de notre peuple. A partir de ces constats, le commun des mortels s’interroge sur le sens à donner désormais à la nature libérale et laïque de notre Etat. D’un point de vue large, ces actes constituent une violation des droits de l’homme, une atteinte à la liberté d’expression cultuelle, voire culturelle du peuple, l’étouffement moral des initiatives créatrices de nos artistes traditionalistes, la destruction ou l’enfouissement délibérés du patrimoine culturel national, objet de curiosité des touristes étrangers et par conséquent générateur de devises. Le vodun n’est pas que culte il est également culture. Tout le monde reconnaît que le Vodun est l’un des points communs des six départements qui composent le territoire national béninois. Il est une réalité constante de chez nous; et il suffit de parcourir le pays pour se rendre compte que le peuple béninois porte, quelque part au-dedans de lui-même, dans son for intérieur, la marque du Vodun. Ne pas vouloir y croire, c’est possible mais c’est tricher avec sa conscience; et ne pas y croire vraiment, c’est mal connaître les subtilités du Béninois. Composante de notre identité et de notre culture, le Vodun n’est pas à éliminer; même s’il est devenu de plus en plus nécessaire aujourd’hui de le débarrasser d’un certain nombre de tares afin de l’adapter aux exigences de l’évolution. L’acculturation au contact de l’Occident ne doit pas nous déboussoler au point de nous faire perdre les repères de nos origines. Je ne fais pas ici la promotion du Vodun; mais il faut reconnaître aussi aux animistes le droit au respect de leur foi, au même titre que les autres communautés confessionnelles. La liberté de croyance et de religion est un facteur extraordinaire de promotion de l’unité nationale et partant, de paix. C’est pour cette raison, sans doute, que le constituant a fait de la laïcité l’un des piliers forts sur lesquels doit se construire notre démocratie. La philosophie de laïcité de l’Etat repose sur les principes du droit à la différence dont la finalité est la cohabitation pacifique, l’unité nationale (si chère au président Kérékou) et enfin la paix. Aux termes de notre Constitution, la laïcité de l’Etat ne peut faire l’objet de révision. (Art 156). Ainsi de par son importance, ce concept devient l’une des plates-formes d’édification de notre société. La question qui se pose actuellement est de savoir si cette disposition constitutionnelle de première importance est respectée et protégée par le Pouvoir en place qui doit en garantir l’application. Malheureusement - sur ce terrain - des violations flagrantes se sont multipliées tout au long des douze mois écoulés: - Le refus du président Kérékou de prendre à témoin «les mânes de nos ancêtres» terme contenu dans le texte constitutionnel du serment du président de la République. - La citation répétée des extraits de textes bibliques lors des manifestations officielles. - Les prises de position hostile aux édifices publics dont l’architecture évoque le vodun; - L’interdiction de la célébration, cette année, de la fête du Vodun instituée par le régime précédent; etc... Voilà autant de comportements déchirants qui font entorse au principe sacré de laïcité de notre Etat. Un tel élan vers le mépris de la vie spirituelle des autres, de la part du premier magistrat de la République, doit faire craindre des retombées sociales; surtout lorsqu’on sait que le Béninois est enclin à la croyance religieuse et fortement attaché à sa foi. Et, d’un autre côté, n’oublions pas que la dignité de la personne humaine passe également par l’exercice du droit à la liberté d’expression. Les actes persistants attentatoires à la vie privée des personnes aboutissent toujours à l’accumulation des frustrations aux conséquences souvent désagréables. Enfin, pour le futur espérons que la sagesse l’emporte sur le fanatisme. bibo:pages 10 -- o:id 7801 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7801 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7817 26873 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bbf67bc5853bfb8f1745fc3821dea51c9fc8e0e2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0b3fadd5df0ed36d3af17d671b3a3c4b67d775f3.tiff dcterms:title Le séminaire sur le Leadership en Islam s'ouvre demain à l'INFOSEC dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/800 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12862 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14849 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13294 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12940 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1991 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1994-11-24 dcterms:identifier iwac-article-0003624 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Demain s’ouvre à Cotonou à l’INFOSEC un séminaire sur le Leadership en Islam organisé conjointement par la Conférence Nationale des Associations Islamiques du Bénin (CONAIB-SHOURA), une organisation mère de plusieurs associations islamiques que dirige le Dr Yacouba Fassassi, l’Institut International pour la Pensée Islamique de Washington (IIIT-USA) avec la collaboration de l’Union Islamique du Bénin (UIB) que dirige l’Imam Kèlani, le Porte-Parole des Imams du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13121 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15334 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Demain s’ouvre à Cotonou à l’INFOSEC un séminaire sur le Leadership en Islam organisé conjointement par la Conférence Nationale des Associations Islamiques du Bénin (CONAIB-SHOURA), une organisation mère de plusieurs associations islamiques que dirige le Dr Yacouba Fassassi, l’Institut International pour la Pensée Islamique de Washington (IIIT-USA) avec la collaboration de l’Union Islamique du Bénin (UIB) que dirige l’Imam Kèlani, le Porte-Parole des Imams du Bénin. Pendant trois jours, du 25 au 27 Novembre 1994, d’éminents experts de l’Islam venus d’Angleterre, des Etats-Unis et de l’Afrique auront à faire des exposés sur des sujets aussi importants que le leadership, la planification, la communication et la gestion du temps devant un auditoire composé de représentants d’une cinquantaine d’associations islamiques essentiellement membres de la CONAIB-SHOURA. Interrogé sur l’importance de ce séminaire, le Dr Yacouba Fassassi, président de la CONAIB-SHOURA a indiqué qu’il s’agit d’une occasion unique pour permettre aux musulmans du Bénin de réaliser la profondeur de l'Islam. La qualité des documents et des papiers à présenter nous permettra, poursuit-il, de découvrir une dimension jusque-là insoupçonnée de l’Islam : l’analyse islamique; il s’agit d’un domaine qui fait appel à plusieurs disciplines scientifiques et sociales. Quand on sort d’un tel séminaire, on devient plus humble en sachant qu’en fait on ne connaît rien de l’Islam, car l’Islam, c’est la science. Le Prophète de l’Islam ne demandait-il pas à ses disciples de chercher la science même jusqu’au bout du monde? Et il ajoutait que les savants sont les héritiers des Prophètes. L’Islam, c’est donc le contraire de l’ignorance, de l’émotion porteuse de haine, de violence et de l’intolérance. Il ajoute, «quand on a la chance d’être membre comme nous-même de l’Institut International de la Pensée Islamique aux Etats-Unis et d’être membre associé de la Islamic Foundation en Angleterre, les Think Tanks des intellectuels musulmans de l’Occident, on est tenté de se demander si l’Islam n’est pas un habit trop large pour la plupart des pygmées en Islam qu’on voit s’agiter un peu partout dans le monde. C’est Dieu qui dit dans le Saint Coran: Certains ont dit: «Nous avons la foi». Dis-leur: «Vous n’avez pas encore la foi. Dites plutôt: nous portons des noms musulmans, car la foi n’a pas encore pénétré vos coeurs». (Le Coran: 49:14). C’est donc la foi seule qui compte, elle est à l’opposé de la bêtise, de l’ignorance, de l’envie, de la haine et de la violence aveugle.» Parlant du rôle déterminant des associations islamiques en Côte d’Ivoire et au Sénégal où elles sont à l’avant-garde de l’aide aux pauvres, qu’ils soient musulmans ou non musulmans, le président de la CONAIB-SHOURA a indiqué qu’il souhaite insuffler un nouveau dynamisme à son organisation en la mettant résolument au service des populations à travers les oeuvres sociales. Les oeuvres entreprises depuis la création de l’organisation il y a exactement deux ans, telles que la construction des puits, la création de centres de santé, de centres de lecture et l’aide aux orphelins seront poursuivies, de nouveaux chantiers tels que la création de centre de formation professionnelle seront ouverts. Pour ce faire, le président de la CONAIB-SHOURA nous assure qu’il demandera aux représentants des associations islamiques que les membres du Bureau Exécutif national de la CONAIB-SHOURA dont les associations membres ne se seront pas acquittées de leurs cotisations annuelles soient débarquées du Bureau Exécutif. Ceux qui pensent qu’on peut faire des oeuvres sociales sans ressources propres et en vivant sur le dos des autres comme des «cocos» pourront se retrouver entre eux. bibo:pages 10 -- o:id 7802 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7802 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7818 26874 26875 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9fbfcf6f155b554244a0ef694a9f308b43f62012.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1d1d8159451b79d0d573aa7f4ff4bb079c32166b.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6706b9ef233dee8b6650d5b89421acfe94e46211.tiff dcterms:title Dévaluation du franc CFA : les confessions religieuses solidaires des mesures prises par le gouvernement et son chef dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1497 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15338 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14167 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15343 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1428 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1994-01-28 dcterms:identifier iwac-article-0003625 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre des concertations qu’il a initiées tout récemment pour rendre compte de ce qui s’est passé à Dakar du 10 au 11 janvier 1994 et qui a abouti à la dépréciation de 50% du franc CFA, le chef de l’Etat, le président Nicéphore Dieudonné Soglo a rencontré hier en fin de matinée à la salle du peuple du palais de la présidence de la République à Cotonou, le corps religieux et autres représentants des cultes traditionnels de chez nous. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/547 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre des concertations qu’il a initiées tout récemment pour rendre compte de ce qui s’est passé à Dakar du 10 au 11 janvier 1994 et qui a abouti à la dépréciation de 50% du franc CFA, le chef de l’Etat, le président Nicéphore Dieudonné Soglo a rencontré hier en fin de matinée à la salle du peuple du palais de la présidence de la République à Cotonou, le corps religieux et autres représentants des cultes traditionnels de chez nous. Ils étaient donc une bonne soixantaine de membres du clergé, de pasteurs des Eglises protestantes méthodistes, de «gbigbowiwé», de Chérubins et Séraphins, de représentants du fa-church et d’imams venus de tous les horizons de notre pays à répondre à l’invitation du chef de l’exécutif, Son Excellence Monsieur Nicéphore Soglo. Nan Kpolidji Kpodégbé, représentante personnelle de sa Majesté Kpodégbé Toyi Djigla, 16è roi d’Allada avait également pris part à la rencontre qui, démarrée à 11 h 30 mn, n’a pris fin qu’à 15 h 25 mn. Une dévaluation programmée depuis plusieurs années D’entrée de jeu, le président Soglo annonça les couleurs: «il s’agira de vous dire exactement comment les choses se sont passées à Dakar et recueillir vos conseils et suggestions. A vrai dire, c’est maintenant que je me remets des effets du coup de massue que nous avons reçu dans la capitale sénégalaise. Cela a été très pénible pour tout le monde. Ce qui s’est passé à Dakar n’est pas facile à digérer. Je n’oublierai jamais ça», dira-t-il. A en croire le président Soglo, cette dévaluation est programmée depuis plusieurs années, les Français étant fatigués de payer nos factures. Ceci est d’autant plus normal qu’ils l’ont fait pendant 46 ans. Et aujourd’hui ils se retrouvent eux-mêmes avec des millions de chômeurs sur le bras. Mais ce qui a profondément déçu le chef de l’Etat, c’est que certaines personnes font une exploitation indécente de ce qui s’est effectivement passé à Dakar. Et cela, le président Soglo n’a pas manqué de le dire à ses hôtes. Un tableau apocalyptique de la zone La vérité est que, peu avant Dakar, on perdait une bagatelle d’un milliard de franc CFA par jour. Il y avait des pays qui avaient le couteau sur la gorge et qui ont dit à Dakar que si on ne dévaluait pas le CFA, ils ne sortiraient pas de la salle où se tenaient les huis clos. Le Cameroun avait dû diviser le salaire de ses travailleurs par deux, le Sénégal l’ayant amputé de 15%. Parlant de la fameuse lettre circulaire du premier ministre français, M. Edouard Balladur, le président Soglo a dit qu’elle est sans équivoque, qu’elle présente un tableau apocalyptique de la zone franc. A ce niveau, le chef de l’Etat fera son «mea culpa» en disant que c’est de notre faute, puisqu’on ne pouvait pas à ce point abdiquer son destin dans les mains d’autrui. Mais le Bénin était déjà sous ajustement structurel. Pourquoi lui appliquer le même taux de 50% de dévaluation? La réponse est simple: il s’agit là d’une décision solidaire, uniforme et simultanée. Pour le président Soglo, nous payons ce faisant, le prix de notre mauvaise gestion. C’est sûr qu’avec cette dévaluation de 50% du franc CFA, il va y avoir des grincements de dents; «les gens vont pleurer, mais il faut bien qu’on se réveille un jour» a martelé le chef de l’Etat dans les oreilles de ses invités. Ce qui a fait plaisir au chef de l’Etat, après son retour de Dakar, c’est qu’il a écouté un jour à la radio un sermon dans lequel on invitait les commerçants à ne pas augmenter abusivement les prix des produits suite à la dévaluation du franc CFA. Des objectifs d’ores et déjà atteints C’est certainement pour encourager dans cette voie les confessions religieuses qu’il les a invitées hier à prendre part à cette rencontre. Mais d’ores et déjà, ses objectifs sont atteints parce que prélats, pasteurs, "vodounnon" et autres musulmans sont maintenant acquis à la cause du chef de l’Etat et ont promis, une fois retournés chez eux, de sensibiliser leurs adeptes et autres fidèles sur les problèmes qu’entraînera cette dévaluation. Chacun des intervenants (et il y en a eu une vingtaine) a eu à saluer à leur juste valeur les récentes décisions prises en conseil des ministres et qui leur ont été rappelées au cours de la séance de travail par le ministre porte-parole du gouvernement chargé des Relations avec le Parlement, M. Théodore Holo et relatives à la réforme tarifaire, la stabilisation du prix des produits pétroliers et la suppression de la taxe civique. Des suggestions pertinentes Entre autres choses, les représentants des confessions religieuses ont eu à parler de la détérioration des termes de l’échange, ont eu à plaider pour la diminution des autres taxes et la suppression des droits d’écolage, et ont suggéré au président de la République l’organisation des meetings publics pour sensibiliser toute la population sur cette dévaluation du franc CFA. Ils ont aussi suggéré que des séances de prières soient organisées partout pour implorer la miséricorde du Tout-Puissant sur le Bénin. D’aucuns ont même demandé au chef de l’Etat pourquoi les pays de notre sous-région, ne pouvaient pas se rassembler pour battre une monnaie commune dépendant par exemple du dollar? C’était vraiment l’heure de vérité puisque d’aucuns, pour permettre à notre pays de pouvoir faire face dignement à la situation, ont suggéré à l’Etat de réduire son train de vie. Puisque, disent-ils, le sacrifice doit être fait à tous les niveaux et par tout le monde. Pour ce faire, personne ne doit rester indifférent à cette question et toutes les machines devront désormais être mises en branle pour faire comprendre aux uns et aux autres la nécessité de nous réveiller. C’était là le mot de fin des représentants des cultes et dans sa réponse, le chef de l’Etat a apaisé les inquiétudes des uns et des autres. bibo:pages 1 3 -- o:id 7803 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7803 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7819 26876 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d8a6146edc9e7212eb63fcab81760cd3a755fafe.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f9f5cdd06a50af21f414da564a314c95cb4144ea.tiff dcterms:title A l'orée du mois du Ramadan : Parakou attaint par la fièvre des mariages musulmans dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/25 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-05-26 dcterms:identifier iwac-article-0003626 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans 48 heures, débute le mois du Ramadan. En attendant, les mariages musulmans se célèbrent en cascade à Parakou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans 48 heures, débute le mois du Ramadan. En attendant, les mariages musulmans se célèbrent en cascade à Parakou. La veille du mois du jeûne de Ramadan est par excellence la période au cours de laquelle les mariages musulmans se multiplient Parakou, à l’instar des autres villes fortement islamisées au Bénin, n’est pas épargnée par cette fièvre. En témoigne, la plupart de ses mosquées qui n’ont cessé de se désemplir ces derniers jours pour les célébrations nuptiales. Au quotidien, elles accueillent entre trois et quatre cérémonies de mariage en moyenne. Pour d’autres, en dehors des jeunes, c’est l’occasion pour prendre une autre femme en plus, la religion ayant autorisé jusqu’à quatre épouses. Le démarrage du jeûne étant annoncé pour demain samedi 27 mai, la fièvre monte ces dernières heures. On s’attend à voir les mosquées de la cité des Kobourou prises d’assaut par les retardataires. Jusqu’au samedi 27 mai, les mosquées de Parakou, que ce soit à Ladjifarani, Albarika, Gah, Kpébié, etc, continueront donc à vibrer au rythme des célébrations tous azimuts du mariage musulman. Selon une idée répandue, la religion musulmane ne tolère pas que dans un foyer, une femme non mariée s'occupe de la cuisine pendant la période du jeûne. Ainsi, un couple qui vit sans avoir été uni à la mosquée ne peut bénéficier de la grâce du mois d’Allah pendant le Ramadan. La plupart des musulmans qui vivent dans cette situation s'évertuent donc à se mettre en phase avec leur religion. « Le mariage n'est pas une condition du jeûne du mois de Ramadan. Si quelques jours avant qu’il ne commence, les jeunes se précipitent pour se marier, c’est parce que les récompenses se multiplient au cours de ce mois », a expliqué l’islamologue Issa Mohamed Awali. « Lorsque vous faites un acte surérogatoire dans le mois de Ramadan, Dieu vous donne la récompense d'un acte obligatoire. A l’auteur d’un acte obligatoire, il donne le double de la récompense », insiste-t-il. Unions de circonstance Pour tout musulman, ces mariages célébrés à l’orée de ce mois ont beau être des actes de foi, la plupart ne survivent souvent pas et se révèlent des unions éphémères et sans lendemain. Un grand nombre de ces mariages ne dure que le temps du mois du Ramadan. C’est à croire que les deux conjoints ne s'y étaient pas préparés en réalité. Ils n’avaient pas appris à se comprendre, à se respecter mutuellement et à être fidèles. « Leurs parents se connaissent et ont l’habitude de se fréquenter souvent. Le besoin se faisant sentir, ils profitent de la période, pour sceller leur union. Peu importe si les deux conjoints s'acceptent », confie Djalilou Cissé, un fidèle musulman. Comme lui, Ibrahim Soulé estime que c’est la faute des parents, si ces mariages sont tellement fragiles. « Soucieux de voir leur enfant se marier, ils vont lui négocier l’âme sœur auprès d’une famille voisine », se défend-il. Selon lui, c’est peut-être la femme qui a des fréquentations qui ne sont pas du goût de l’homme. «Après les trente jours de carême, elle se fait surprendre dans un débit de boisson ou une chambre de passage, après avoir jeté quelque part son "tèkentè” (voile) », déplore Ibrahim Soulé. Les parents ne sauraient être les seuls responsables de ces échecs. La preuve, certains de leurs enfants se marient sans même avoir reçu leur aval. Comment occulter le cas de ces femmes en âge de se marier qui, sans être sérieusement et psychologiquement préparées, n’ont jamais caché leur rêve d’aller passer cette période auprès d’un homme. Pour ce faire, elles sont prêtes à toutes sortes de compromissions. Au moindre conflit, elles n’hésitent pas à abandonner leurs conjoints pour retourner chez-elles après le Ramadan. Il y a aussi des jeunes qui se laissent guider par leur orgueil ou leur ambition, après avoir vu les autres le faire. L’essentiel pour eux, c’est de se marier. Pour eux, c’est une question de prestige et d’honneur. La finalité de l’acte ne constitue pas leur priorité. Une attitude que ne partage pas Wassiou qui convole en justes noces avec Samira, depuis samedi 20 mai dernier. « Nous n’avons rien à craindre pour notre union puisque nous nous aimons avant de nous engager », se réjouit-il. « A partir d’un certain âge, les jeunes en âge de se marier sont appelés à vivre l’expérience d’un foyer. Ils le savent, mais leur grande majorité ignore les dispositions à prendre pour ne pas connaître la désillusion. On n’épouse pas une femme comme l’on achète du pain», fait remarquer El hadj Bio Abdoulaye Idrissou alias VP. « C’est arrivées au foyer que certaines femmes réalisent que c’est l’homme qui est le chef. Lorsque l’homme aussi n’est pas préparé à jouer ce rôle, il y a problème», poursuit-il. L’homme et la femme, conseille le septuagénaire, doivent apprendre à bien se connaître pendant un moment, avant de s’engager à vivre ensemble. « Dans ces conditions leur mariage a toutes les chances de réussir et de résister au temps », rassure le sage. « Les jeunes se marient sans réellement maîtriser le sens et la portée de l’acte qu’ils sont en train de poser»,reconnaîtra à sa suite l'islamologue Issa Mohamed Awali. « Mariez-vous à celui qui craint Dieu et vous serez heureux. Même si le prophète autorise et bénit le mariage, il déteste et maudit le divorce », prend-il également le soin de prévenir. Pour l’islamologue, « lorsqu’un couple divorce, le trône du Seigneur s’agite ». Mais devrait-on se marier pour tout juste bénéficier des avantages liés au Ramadan ? bibo:pages 6 -- o:id 7820 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7820 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7835 26877 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0a5859dcf26a166fced4acae689faa07f25e9043.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ee64c6003771b0a3b3ac7584101a407b3bfdeedd.tiff dcterms:title Tabaski 2016 : la soumission et la fraternité prêchées à Lokossa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13497 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003627 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans de Lokossa ne sont pas restés en marge, lundi 12 septembre, de la fête d’Aïd El kébir. Et pour le compte de cette édition 2016, marquée par la morosité économique, les prêches ont insisté sur la soumission et la fraternité avant de donner lieu à l’immolation des moutons. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans de Lokossa ne sont pas restés en marge, lundi 12 septembre, de la fête d’Aïd El kébir. Et pour le compte de cette édition 2016, marquée par la morosité économique, les prêches ont insisté sur la soumission et la fraternité avant de donner lieu à l’immolation des moutons. Si fête de Tabaski rime avec immolation des moutons, c’est dans le quartier Zongo à Lokossa que l’illustration de ce symbole, cette année, a eu lieu. Une dizaine de cet animal a été immolée, non loin de la mosquée sous la supervision du commanditaire, le chef religieux Abdou Nouhou alias Babavi. Un tour dans la ville, révèle que seulement quelques rares fidèles ont pu sacrifier à la tradition. Au nombre des raisons expliquant cette situation, Malick Taïrou et certains fidèles pointent la morosité économique et le coût élevé des moutons sur le marché. Toutefois, ces derniers ne perdent pas l’espoir de se rattraper dans les jours à venir. L’immolation de bélier apparaît comme l'acte majeur de cette célébration ainsi que l'ont relevé les prêches du jour. Symbole de soumission à Allah, l’historique de ce rituel et les bénédictions qui en découlent seront rappelées par l’imam Abdoulaye Torhir à travers la Sourate "Ou Touba Aïd Kébir" à la Place Idi située à l’entrée de la ville de Lokossa. Les prières qui ont précédées l’acte d’immolation proprement dit, ont porté sur la nécessité de se soumettre pendant toute sa vie à Allah, avant d’implorer la clémence de celui-ci pour la paix sur le Bénin, le succès pour les actions entreprises par les autorités, les grâces d’un pèlerinage réussi aux Béninois à la Mecque. Les festivités à ce niveau ont enregistré la présence du préfet du Mono, Komlan Zinsou et celle du directeur régional de la Police nationale. La communauté des fidèles ayant prié sur la Place Idi de Zongo sont eux-aussi restés dans la même intention. Leur chef religieux, Abdou Nouhou alias Babavi a surtout mis l'accent sur les vertus de fraternité et de solidarité, utiles au développement du pays et pour sortir de la morosité ambiante. « Nous devons rester en prières pour une solution à la crise qui frappe notamment le Nigeria et dont les répercussions ne sont pas sans lien avec l'austérité observée au Bénin. Il nous faut développer la fraternité entre nous citoyens et la patience», dira-t-il. bibo:pages 12 -- o:id 7821 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7821 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7836 26878 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9114f0d45d49b74411772c4ef9da42c57054c302.pdf https://islam.zmo.de/files/original/12d4144321e1e72f6501c9d66aaffd619f74f296.tiff dcterms:title Tabaski 2016 : les musulmans de Bohicon ont sacrifié à la tradition dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14552 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003628 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar des autres musulmans, la communauté musulmane de la ville de Bohicon n’est pas restée en marge de la célébration de la fête de l’Aïd el Kébir. Lundi 12 septembre, ils ont sacrifié à la traditionnelle immolation de bélier à la place Idi. Une prière dirigée par El Hadj Idrissou Boubakari de la mosquée centrale de Bohicon. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar des autres musulmans, la communauté musulmane de la ville de Bohicon n’est pas restée en marge de la célébration de la fête de l’Aïd el Kébir. Lundi 12 septembre, ils ont sacrifié à la traditionnelle immolation de bélier à la place Idi. Une prière dirigée par El Hadj Idrissou Boubakari de la mosquée centrale de Bohicon. Déjà à 9h30, à Bohicon, tout était en place pour la grande prière dirigée par l'Imam de la Mosquée centrale de Bohicon. Sur place, les fidèles, femmes, enfants et hommes sont installés sur leurs tapis de prières. A l’heure prévue, l’Imam s’installe. Il procèd à la lecture des Sourates du Saint Coran. Prière au cours de laquelle il rend gloire à Allah, le plus grand et miséricordieux. Il rappelle qu’il n’y a aucun Dieu excepté Allah. Il est le seul et le plus grand. Tous les éloges et remerciements sont à lui. Il appelle en suite les musulmans à accepter et suivre Allah le Très haut car la piété est la marchandise la plus fructueuse. Puis, il ajoute qu'Allah dit dans l’une des Sourates «les croyants ! Craignez Allah comme il doit être craint. Et ne mourez qu’en pleine soumission ». Le sens de la Tabaski ou fête de l'Aïd-EI-Kébir plus connue sous le nom de "fête du mouton" est selon ce qu’en dit le Saint Coran, une fête se déroulant lors du pèlerinage à la Mecque. Célébration au cours de laquelle, il est recommandé aux fidèles musulmans de fêter avec sagesse et surtout dans la solidarité. Et l'Imam de rappeler aussi que les fidèles doivent éviter le piège de l’argent car, dit-il, le musulman doit partager la viande de l'animal sacrifié pour Dieu. Même la peau de la bête tuée en l’honneur du créateur ne doit point être vendue. Car, avertit-il, rien de ce qui est offert à Dieu ne doit être commercialisé. Il était environ 9h50 mn quand l’Imam procède à l’immolation du robuste bélier choisi pour la Tabaski de 2016. C’est l’instant tant attendu par les fidèles pour rentrer chez eux afin de faire le même geste que l’Imam. La bête immolée et le couteau pointé vers le ciel avec le cri « Allahu-Allahu Akbar, Allahu Akbar.... » qui exprime qu’Allah, Dieu le créateur est le plus grand et à lui la gloire. A l’issue de ce geste prescrit par le Coran, l’Imam Idrissou Boubakari confie que pour ce jour saint de la Tabaski, certains comportements sont obligatoires à un bon musulman pour bénéficier des grâces de ce sacrifice de mouton. Ainsi, après l’immolation, chaque musulman doit non seulement assouvir son ventre mais aussi penser à partager sa viande avec ses voisins et surtout les personnes démunies». Ce qui signifie que la Tabaski n’est que partage, solidarité et amour pour les autres. bibo:pages 11 -- o:id 7822 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7822 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7837 26879 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b10166e70b00b37257260638b89193fad4837582.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bc7fb982681d48fd0cc78d2d31d7105114a22f06.tiff dcterms:title Tabaski 2016 : la fête a eu lieu à Parakou, en dépit de la morosité économique dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13947 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003629 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans ont communié lundi 12 septembre sur les places Idi puis dans les maisons à l’occasion l’Aïd-el-kébir, la grande fête musulmane encore appelée aïd-el-adha ou fête du sacrifice. Malgré le pouvoir d'achat en baisse, la tabaski a eu lieu dans une certaine allégresse à Parakou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans ont communié lundi 12 septembre sur les places Idi puis dans les maisons à l’occasion l’Aïd-el-kébir, la grande fête musulmane encore appelée aïd-el-adha ou fête du sacrifice. Malgré le pouvoir d'achat en baisse, la tabaski a eu lieu dans une certaine allégresse à Parakou. Prononçant le nom d'Allah et autres psalmodies du coran, l’imam Djamiou de la mosquée de Yarakinnin, El hadj Adamou Idrissou, tranche la carotide d’un grand bélier blanc imposant par ses grandes cornes et ses volumineuses burnes pendantes, place Idi de Zongo à Parakou. Le top était ainsi donné pour l’immolation des moutons, béliers et autres dans les maisons, après la prière en communauté qui aura duré une trentaine de minutes. Dans l'entendement des musulmans, le premier jet de sang de l’animal égorgé dont la tête est dirigée vers La Mecque, lave les péchés du fidèle qui accomplit cet acte de foi et de grande portée. En dépit de la morosité économique et la flambée des prix des animaux notée depuis dimanche, veille de la fête, nombre de mahométans ont sacrifié à la tradition annuelle du 10e jour du 12e mois lunaire, en commémoration de l’obéissance, la soumission d’Ibrahim (Abraham) à Dieu, lui qui a accepté de sacrifier son fils unique Ismaël substitué en un bélier par l’archange Gabriel. Dans son sermon, l’imam Adamou Idrissou a exhorté les fidèles au respect des prescriptions du coran, au pardon et à la réconciliation afin de bénéficier de la grâce divine. L’accent est mis sur la qualité des bêtes à immoler en offrande à Allah, lesquelles ne doivent être ni boiteuses, ni borgnes, ni atteintes par une quelconque maladie et doivent avoir un âge raisonnable ; au moins cinq ans pour le chameau, deux ans révolus pour le bœuf, un an pour le cabri et six mois au moins pour le mouton. Certains ont même procédé au lavage de la bête avant de l'immoler, car ils croient que le jour de la résurrection, c’est cet animal qui apparaîtra ainsi propre tel qu'il était le jour de la Tabaski, en vue de l'absolution de leurs péchés sur terre. Comme la place Idi de Zongo, les autres places Idi de la ville : Carder, Yarakinnin, Guèma, Cheminots, ont également accueilli massivement les mahométans pour les louanges avec les cris Allahou akbar (Dieu est grand), les rakats (génuflexions d’ensemble), la récitation de passages coraniques (al-fâtiha et sourate) avant l’immolation symbolique des animaux. La bonhomie remarquable sur les visages traduit l’exultation d'avoir vu ce jour auguste, celui de l’aïd-el-kébir. Le défilé équestre a aussi focalisé l’attention, comme à toutes les fêtes à Parakou, une ville de tradition cavalière. Souhaits et solidarité La formule consacrée était sur les lèvres : «Aïdkoum Mabrouk! Taqabbal-Allahu minna wa minkum. Amin (littéralement : Joyeuse fête ! Qu'Allah agréé nos bonnes actions et les vôtres. Amen ». Les uns et les autres ont prié pour la paix, l’unité et la concorde nationale. Des vœux de longévité, de succès et de prospérité sont également formulés, notamment à l'endroit du chef de l’Etat, du gouvernement et des autorités politico-administratives. « Que l’exemple de la soumission du prophète puisse nous inspirer et renforcer notre foi ! », souhaite le préfet du Borgou, Moussa Djibril Maman Cissé, qui était à la place Idi de. Zongo. Il a eu une pieuse pensée pour ceux qui ne sont plus et prié que Dieu les accueille dans son royaume et leur accorde sa paix céleste. A l'endroit de ceux qui sont souffrants et admis dans les centres de santé, il implore Allah de leur donner un prompt rétablissement. Akilou Zakari, commandant de la Brigade anti-criminalité (Bac), rencontré sur les lieux, a prié, quant à lui, pour la paix au Bénin et dans le monde entier. « L’islam, c’est une religion de paix. Pour tous ceux qui utilisent la religion pour la violence, la tuerie, que Dieu apaise leur cœur afin qu’ils expriment mieux les vraies vertus de l’islam dans le monde pour la gloire d'Allah et de tous les musulmans !», exhorte-t-il. «Que Dieu nous compte encore parmi ceux qui auront encore la grâce de voir la fête l’année prochaine ! », formule le maire de Parakou, Souradjou Karimou Adamou, depuis la place du Carder. Après la prière, la fête s’est poursuivie autour des plats d’igname pilée, de riz, de couscous, de pâte, garnis naturellement de la viande des bêtes immolées. Comme à l’occasion du Ramadan (l’aïd-el-fitr), il n’est pas recommandé de jeûner le jour de l’aïd-el-adha. Selon la tradition, la viande de l'animal égorgé ne devrait faire l’objet de vente et devrait être divisée en trois parties : une partie offerte en aumône notamment aux voisins et aux pauvres, une autre destinée aux parents et l’autre partie réservée pour la consommation en famille et entre amis. Déjà la veille, dimanche peu après 19 h, le ton de la fête était donné par les klaxons assourdissants et l’excès de vitesse de quelques fêtards à moto, à la rupture du jeûne de la veille, jour d’Arafat. L’on se réjouit de la prise de conscience progressive des jeunes qui se traduit par la régression des cas d’accident pendant la fêté. Comme quoi l'appel à la retenue et à la modération lancé par le préfet, le maire et autres autorités locales a été quelque peu suivi. bibo:pages 11 -- o:id 7823 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7823 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7838 26880 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e12d314e4a33c2b211515d03b70dfc9f62a99c31.pdf https://islam.zmo.de/files/original/19ee2ca6097174edd1c1813cf7e30965b39d412c.tiff dcterms:title Tabaski 2016 : la Jama'at Islamique Ahmadiyya soutient les défavorisés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1545 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003630 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En vue d’aider les orphelins, les personnes du troisième âge, les prisonniers, les malades mentaux à célébrer la Tabaski, l’organisation musulmane Jama’at Islamique Ahmadiyya a procédé à des dons de moutons, vendredi 9 septembre dernier à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En vue d’aider les orphelins, les personnes du troisième âge, les prisonniers, les malades mentaux à célébrer la Tabaski, l’organisation musulmane Jama’at Islamique Ahmadiyya a procédé à des dons de moutons, vendredi 9 septembre dernier à Cotonou. Fidèle à son credo « L’amour pour tous, la haine pour personne», l’organisation musulmane Jama’at Islamique Ahmadiyya n’a pas dérogé à sa règle de bienfaisance en cette célébration de l’Aïd El Kébir, la Tabaski. Elle a procédé à une cérémonie de distribution de moutons à l’endroit des pauvres, des orphelins, des malades mentaux et autres. « C’est une tradition pour nous, de partager la joie de la fête avec les couches démunies et les couches vulnérables », confié Rana Farooq Ahmad, président et chef missionnaire de la Jama’at Islamique Ahmadiyya au Bénin. En effet, l’horloge affichait 17 heures, vendredi 9 septembre dernier, lorsque le cortège du donateur a effectué son entrée à la préfecture de Cotonou. Le but de cette descente est d'offrir des moutons aux personnes démunies. Chose faite. Les membres de l’organisation ont ensuite mis le cap sur le ministère du Travail, de la Fonction publique et des Affaires sociales (Mtfpas), animés du même esprit de charité. « Notre présence ici, c’est pour appuyer le ministère afin de permettre aux personnes du troisième âge, aux handicapés et aux orphelins de bien célébrer cette grande fête musulmane qu’est la Tabaski», explique Rana Farooq Ahmad, le regard plein de compassion. C’est avec des mots de reconnaissance et de gratitude que Izbath Djaboutouboutou, secrétaire général adjoint du Mtfpas, représentant le ministre, a reçu les cinq moutons remis en la circonstance. « Votre mission humanitaire apportera le sourire, la joie à ces couches vulnérables qui méritent plus d’attention », déclare-t-elle. Elle rassure par ailleurs les donateurs que seuls les bénéficiaires de cette offrande seront servis. Les personnes incarcérées à la prison civile de Cotonou n’ont pas été laissées en rade dans cet élan de solidarité de la Jama’at Islamique Ahmadiyya. Elles ont également eu droit à leur lot de moutons. Il en est de même pour les malades mentaux du Centre psychiatrique de Jackot. bibo:pages 12 -- o:id 7824 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7824 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7839 26881 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6289c7e1c012007edb02304013c7f90401ad5d53.pdf https://islam.zmo.de/files/original/22262ed2a23bb8910cf7ca05bcd365e688d4f502.tiff dcterms:title Tabaski 2016 : l'Imam central de Cotonou prêche l'éducation dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1545 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13785 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003631 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans de Cotonou ont célébré, lundi 12 septembre, à l’instar de ceux du monde entier, la fête de la Tabaski. A la Place Idi aménagée à Maro-militaire, la prière a été officiée par Ahmed Gnonra Ousmane, imam de la mosquée centrale de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans de Cotonou ont célébré, lundi 12 septembre, à l’instar de ceux du monde entier, la fête de la Tabaski. A la Place Idi aménagée à Maro-militaire, la prière a été officiée par Ahmed Gnonra Ousmane, imam de la mosquée centrale de Cotonou. Matinée du lundi 12 septembre dans la ville de Cotonou. Les rues affichent l’aspect d’une journée de fête de la Tabaski ou de l'Aïd El Kébir communément appelée la fête du mouton. Quelques appels rythmés d’appels de muezzins résonnent en écho. Vêtus de boubou pour la plupart, des hommes et des femmes convergent avec empressement à la place de la prière de la mosquée centrale « Tawakaltou » de Maro-militaire. Quelques minutes viennent de s’ajouter à 9 heures. « L’imam arrive, l’imam arrive », annonce énergiquement un homme débout sur l’estrade. Cette phrase reprise en écho par des haut-parleurs fait accélérer la cadence des installations. En déroulant leur tapis de prière, c'est une multitude de personnes qui s'apprêtent, de part et d’autre de la rue, à prendre place. Conduit par son cortège, l’imam Ahmed Gnonra Ousmane arrive enfin sur les lieux. En sa qualité d'imam de la mosquée centrale, il se place majestueusement devant ses frères et sœurs de foi. Puis, il accomplit les deux unités de prières (rakats) que recommandent les rites de l’Eid. Education Après cette étape, il prononce son sermon, un message axé sur l’importance de l’éducation dans la culture de la paix et la promotion de la bonne gouvernance au Bénin. « C’est pour obéir à la demande de Allah que son messager Abraham a voulu sacrifier son fils Isaac. Ce dernier ne s’est pas opposé à la volonté de son père mais au contraire, ii l’a pressé de réaliser l'ordre divin », souligne-t-il pour évoquer la genèse du culte du jour. Il en ressort que ces deux personnages ont fait preuve d'une bonne éducation. En commémorant cette fête, éclaire l’imam, il ne s'agit pas de reproduire le geste de Abraham mais plutôt d’imiter toute la splendeur de son acte, c’est-à-dire l’éducation spirituelle et morale qu’il a inculquée à sa famille et sa soumission à Dieu. C’est de la cellule familiale, renchérit Ahmed Gnonra Ousmane, que nous pouvons bâtir une nation. « Alors si chaque père de famille peut inculquer cette éducation à sa famille, tout le pays sera bien gouverné », a-t-il indiqué. Dans cette posture de solennité, l’imam a imploré le pardon et la clémence de Dieu sur les fidèles et la nation béninoise. Ensuite, Ahmed Gnonra Ousmane passe à l’acte ultime en égorgeant un mouton. Le sang de la bête gicla au moment où de l’assistance, fusaient des « Allah akbar, Allah akbar... » et sous les objectifs des portables et tablettes de certains de ses coreligionnaires décidés à immortaliser la scène. Abdoulaye Issa, Nigérien de nationalité, se réjouit d'avoir filmé la séquence de l’immolation. « Maintenant, nous irons immoler nos moutons à la maison », informe-t-il l’air déjà ailleurs. Une petite flaque de sang s’est déjà formée près de la bête immolée qui gît sur le sol. « Que ce sang versé, aujourd’hui, apaise le cœur de chaque Béninoise et de chaque Béninois afin que nous puissions toujours vivre dans l’harmonie, la paix, l’amour et le bonheur partagé », prie l’imam central. Sa requête semble avoir été exaucée instantanément. En témoignent, les tapotements de mains, les rires et les cris. En bref, la bonne humeur sur les visages des fidèles prédit une bonne fête. bibo:pages 10 -- o:id 7825 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7825 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7840 26882 26883 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9a068c110809783786769ff2009b7a9936405db2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/72e7d933313544e464c63bd559f236fad64b2795.tiff https://islam.zmo.de/files/original/3040b7174e1e6e52cbac474bbff76c559437acc0.tiff dcterms:title Tabaski 2016 : les musulmans de Porto-Novo invités à marcher dans les pas d'Allah dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15366 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15122 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003632 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar de leurs pairs du monde, les fidèles musulmans de Porto-Novo ont aussi célébré lundi 12 septembre la fête de Tabaski. C'est la Place Idi de la mosquée d’Agbokou, comme tous les ans, qui a servi de lieu de ralliement aux officiels conduits par le préfet de l’Ouémé, Joachim Apithy. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar de leurs pairs du monde, les fidèles musulmans de Porto-Novo ont aussi célébré lundi 12 septembre la fête de Tabaski. C'est la Place Idi de la mosquée d’Agbokou, comme tous les ans, qui a servi de lieu de ralliement aux officiels conduits par le préfet de l’Ouémé, Joachim Apithy. La communauté musulmane de la ville de Porto-Novo a une fois encore sacrifié à la tradition de la fête de Tabaski encore appelée fête de mouton ou l’Aïd El Kébir. Ils étaient très nombreux à prendre d’assaut la Place Idi de la mosquée d’Agbokou. Jeunes, vieux, femmes et enfants parés de leurs plus belles tenues, pour assister à la traditionnelle prière consacrée à cette fête. Laquelle intervient en mémoire de Dieu, Allah qui a demandé de sacrifier sur un autel son fils (Ismaël pour les musulmans, Isaac pour les chrétiens et les juifs). Et au moment de passer à l’acte, Dieu a envoyé un mouton par l’entremise de l’Archange Gabriel pour remplacer le fils d'Ibrahim. C’est ainsi que depuis lors, les musulmans sont invités au cours de l’Aïd-el-Kebir à sacrifier un mouton en guise de reconnaissance à Allah pour son geste. Au cours de la prière musulmane présidée par l’imam central de Porto-Novo, Amzat Houzéifath, ce dernier est revenu, dans son sermon, sur cette histoire retracée par le coran. Conformément aux prescriptions de Dieu, il a rappelé l’obéissance que les enfants doivent avoir vis-à-vis de leurs parents. Et selon le muezzin, cette obéissance est établie par Dieu lui-même. L’imam Amzath Houzéifath a, par ailleurs, demandé aux jeunes musulmans de Porto-Novo d’éviter des comportements déviants tels que la consommation du tabac, de l'alcool et autres pratiques qui les éloignent de Dieu. Après la prière musulmane et le sermon, l'imam a procédé à l’immolation symbolique sur place de quelques moutons. Ce n’est qu'après cette immolation que les fidèles musulmans qui en ont les moyens sont autorisés à tuer aussi leurs moutons chez eux en signe de reconnaissance à Allah. Parlant justement de ce rituel, le préfet de l’Ouémé, Joachim Apithy, tirant leçon de ses constats par le passé, a invité les fidèles musulmans à attendre d’abord que l’imam central de la ville donne le top depuis la Place Idi avant de commencer à égorger leurs moutons. Et ceci comme le prescrit Dieu lui-même. Car, selon lui, c'est un désordre qui s’observe sur le terrain dans l’accomplissement du rituel de l’immolation du mouton où certains fidèles sans attendre le quitus du chef religieux central passent à l’acte. Présente aussi à la cérémonie de prière, la 1ère adjointe au maire de Porto-Novo, Jocelyne Zinsou, représentant le maire en mission à l’étranger, a adressé un message de paix et souhaité bonne fête à l’endroit de toute la communauté musulmane de la ville capitale. bibo:pages 1 10 -- o:id 7826 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7826 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7841 26884 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/986dff314eaaa1969e5f26383d4d2aa12383ead3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/86049ed0d8c07e687c256057cdfcd948f76ec8de.tiff dcterms:title Tabaski 2016 : l'union retrouvée à Natitingou au sein de la communauté musulmane dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15454 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003633 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A la place Idi de Natitingou, au quartier Santa, les fidèles musulmans ont sacrifié à la traditionnelle prière consacrant la fête de la Tabaski sous l’égide de El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, imam central de la commune, lundi 12 septembre. Un appel à l’union et à la paix a été lancé à cette occasion au lendemain de la crise qui a marqué le processus de désignation de l’imam central. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A la place Idi de Natitingou, au quartier Santa, les fidèles musulmans ont sacrifié à la traditionnelle prière consacrant la fête de la Tabaski sous l’égide de El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, imam central de la commune, lundi 12 septembre. Un appel à l’union et à la paix a été lancé à cette occasion au lendemain de la crise qui a marqué le processus de désignation de l’imam central. Elle est désormais loin la crise autour de la désignation de l’iman central de Natitingou. C'est le moins qu’on puisse dire avec la tenue de la prière consacrant la fête de la Tabaski à la place Idi sise au quartier Santa. Dans une communion totale, les fidèles musulmans ont réitéré une fois encore leur foi en Allah le Tout-puissant. La grande prière dirigée par le nouvel imam central, El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, a été l’occasion pour chacun des fidèles d’implorer la miséricorde de Dieu pour cette paix qui entre-temps a déserté les mosquées de la commune avec la crise de désignation de l’imam central. Aux litanies invocatrices qui rythment la place Idi, s’est jointe la voix du célébrant nourrie par la lecture de sourates reprises en chœur par l’immense foule tout de blanc vêtue pour l’occasion. A genoux sur de larges nattes couvrant toute l’étendue de la place, les fidèles ont renouvelé ce sacrifice à vivre leur foi dans la piété et l’amour pour un monde juste et débarrassé de toute iniquité. La paix et rien que l’union pour une nouvelle vie, c’est l’essentiel d’ailleurs de tous les messages délivrés par les personnalités à la séance de prières. Pour Déré Lydie Martine Chabi Nah, préfet de l’Atacora, il convient de saluer l’union retrouvée au sein de la communauté, divisée qu’elle a longtemps été avec le processus de désignation de l’imam central. Occasion de dire sa reconnaissance à toutes les forces et personnalités qui ont contribué de par leurs énergies à ramener la paix dans la demeure de Dieu. « Dieu ne peut être objet de division. Que cette fête renforce la foi des fidèles musulmans et unisse davantage les fils et filles de la commune de Natitingou et du département en général », a-t-elle souhaité. Tout autant que l’évêque de Natitingou invité à la séance de prière qui a indiqué que la place Idi doit être un symbole d’unité pour les fidèles, elle a plaidé pour la contribution de tous à la construction du pays. bibo:pages 11 -- o:id 7827 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7827 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7842 26885 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3d559df7b15ec524c2650248fb4159188d9a6bcb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/07a8000308c48e6378f43f776733ed03b00d8e01.tiff dcterms:title Tabaski 2016 : les mauvais sorts conjurés par le sang de la bête dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-13 dcterms:identifier iwac-article-0003634 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin, à l’instar de celle du monde entier, a célébré, lundi 12 septembre, la fête de la Tabaski. Comme chaque année, c’est à la Place Idi, rue de la Sobétex Pk 5 à Akpakpa, qu’lbrahim Ousmane, imam de la mosquée centrale de Cotonou, a conduit la prière suivie de l’immolation de la bête suivant les prescriptions du Coran. Cette fois-ci, il explique le rôle du sang de la bête immolée. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin, à l’instar de celle du monde entier, a célébré, lundi 12 septembre, la fête de la Tabaski. Comme chaque année, c’est à la Place Idi, rue de la Sobétex Pk 5 à Akpakpa, qu’lbrahim Ousmane, imam de la mosquée centrale de Cotonou, a conduit la prière suivie de l’immolation de la bête suivant les prescriptions du Coran. Cette fois-ci, il explique le rôle du sang de la bête immolée. Après la prière d’ouverture et la lecture coranique, le célébrant Ibrahim Ousmane, imam de la mosquée centrale de Cotonou, adresse son message à la foule des fidèles venus accomplir leur devoir de foi. Dans son sermon de circonstance, il instruit l’assemblée des fidèles sur le sens du sang versé de l'animal immolé. Selon lui, rien n'est plus grand pour Allah, le jour de la Tabaski, que le sang de l’animal immolé. Ce sang, précise-t-il, avant de toucher le sol, atteint un niveau où on lui intimera l’ordre d’aller jouer un rôle dans la vie du fidèle selon la volonté de Dieu. « Qu'Allah fasse que ce sang dissipe les mauvais sorts qui planent sur la vie de chaque fidèle et sur celle de toute la nation», prie-t-il. Il va implorer la grâce et la miséricorde du Seigneur sur les autorités du Bénin ainsi que sur les populations en général. Après ses explications et ses prières, l’imam Ibrahim Ousmane invitera les fidèles à sacrifier les bêtes dans cet esprit. Puis, accompagné de ses collaborateurs, il passe à l’acte en immolant la bête conformément aux prescriptions du prophète Mahomet, donnant ainsi le top du sacrifice pour que les fidèles ayant les moyens puissent aussi le faire dans leurs domiciles respectifs. A l'issue de la prière et de l’immolation inaugurale, Ibrahima Adamou, un fidèle venu à la Place Idi d’Akpakpa avec ses enfants, confie sa joie de pouvoir célébrer la fête. Pour lui, c’est un jour béni, un jour où Dieu exauce les prières de tous. Sa joie est d’autant plus grande que cette année, le pèlerinage à la Mecque n’a enregistré aucun drame comme l’édition 2015. Il prie Dieu qu’il en soit ainsi pour toujours. Pour sa part, Kassim Traoré, un fidèle, se dit aussi très heureux que dans son sermon, l’imam ait exhorté les fidèles à être de très bons musulmans. A l’en croire, être un bon musulman, c'est se battre pour l’unité du pays, la paix entre les religions de ce pays. « Chez nous la guerre entre les religions n’a pas eu lieu et n’aura jamais lieu », se réjouit-il. Mais pour que cette paix soit sauvegardée de façon durable, ajoutera-t-il, il faut que musulmans, chrétiens, animistes et autres comprennent qu’ils n’ont que ce seul pays qu’ils doivent transmettre aux générations futures sans le détruire. bibo:pages 10 -- o:id 7828 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7828 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7843 26886 26887 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e7c8dd8ab4b073481f17c4773045d6ff554ad227.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4a3dc5c8a1393a6b3594f9bc0e05a4bc6b7c35cb.tiff https://islam.zmo.de/files/original/8e65704066b61263f215af423008a79eddac2508.tiff dcterms:title Fin du 8ème Sommet de l'Organisation de la conférence Islamique : le pari réussi des dirigeants iraniens dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1496 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14642 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14419 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15062 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14443 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/767 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13301 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13215 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14916 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1418 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14951 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-12-15 dcterms:identifier iwac-article-0003635 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les rideaux sont tombés Jeudi dernier à Téhéran sur les travaux du 8ème Sommet de l’Organisation de la conférence islamique (OCI) qui se sont tenus du 9 au 11 décembre au majestueux palais des conférences, un édifice flambant neuf de style irano-islamique bâti en 6 mois de travaux intensifs et couvrant une superficie de 24.500 m2 au nord de Téhéran et doté d’un chapiteau avec une charpente d’acier d’une hauteur de 20 m. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13698 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/331 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13522 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/407 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/542 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13747 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/545 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15334 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les rideaux sont tombés Jeudi dernier à Téhéran sur les travaux du 8ème Sommet de l’Organisation de la conférence islamique (OCI) qui se sont tenus du 9 au 11 décembre au majestueux palais des conférences, un édifice flambant neuf de style irano-islamique bâti en 6 mois de travaux intensifs et couvrant une superficie de 24.500 m2 au nord de Téhéran et doté d’un chapiteau avec une charpente d’acier d’une hauteur de 20 m. Ce Sommet dont la session a été dénommée, session de la dignité, du dialogue et de la participation a regroupé effectivement les 55 membres de l’OCI. Il s’est déroulé en présence d’une trentaine de chefs d’Etat et de gouvernement, de princes héritiers et d’un parterre de 7.000 participants dont 700 journalistes. On notait également la présence d’éminentes personnalités parmi lesquelles M. Kofi Annan (le secrétaire général de l’ONU), Yasser Arafat (Palestine), Hafez El Assad (Syrie), Abdelatif Filalhi (Maroc), Taha Yassine Ramadan (Vice-président irakien), Abdallah Ben Abdel Aziz (le prince héritier d’Arabie Saoudite), M. Ezzédine Laraki (secrétaire général de l’OCI), Abdel Meguid (secrétaire général de la Ligue Arabe). Notre pays, le Bénin était représenté par le président Mathieu Kérékou entouré des ministres Pierre Osho (MAEC) et Albert Tévoédjrè (MPREPE). Tout comme ils semblaient avoir débuté, les travaux de ce 8ème Sommet de l’OCI - qui constituent la plus grande manifestation organisée par l’Iran depuis la Révolution islamique de 1979 et les fastueuses cérémonies du 2500ème anniversaire célébrées par le Chah en 1971 à Persépolis se sont achevés dans une atmosphère d’apothéose surtout après le discours de clôture du président iranien Mohammad Khatami et en dépit des 5 heures de retard enregistrées par la conférence pour sa clôture à cause de la querelle sur la tenue du lieu du prochain Sommet de l’OCI. Ce contretemps n’a nullement affecté le triomphalisme de la presse iranienne qui voit en la tenue de ce Sommet à Téhéran marqué par la présence des délégations dies 55 pays membres «camouflet cinglant pour les Etats-Unis» dans leur politique d’isolement international de l’Iran aux motifs que ce pays est non seulement un bastion du terrorisme mais poursuivait inlassablement sa quête de se doter de l’arsenal nucléaire. Cas du quotidien de langue anglaise Iran News pour qui «Le Sommet est un signal clair comme du cristal indiquant que contrairement à ce que l’Occident veut faire croire, l’Iran n’est pas isolé». Des échanges riches et fructueux Après les deux premières journées qui ont été consacrées au cérémonial d’accueil ainsi qu’à la cérémonie de transmission du témoin au pays hôte, Mohammad Khatami président de la République islamique d’Iran est devenu président de la 8e Session de la Conférence islamique au Sommet. Le Sommet a également élu la Palestine, la République de Sierra-Léone et la République de Djibouti comme vice-présidents. Le Royaume du Maroc a été élu comme rapporteur général. Ce fut ensuite la litanie des messages dont les principaux après les discours du Guide Suprême de la Révolution Islamique Ali Khamenei et du président iranien Mohammad Khatami ont été ceux de MM. Kofi Annan; Ezzedine Laraki et Hafez El Assad. La troisième et dernière journée du Sommet fut une séance marathon pour les délégations des 55 pays membres présents. Au cours de cette journée trois événements majeurs ont marqué les travaux: l’adoption des 142 résolutions élaborées par la session des experts et le Conseil des ministres de l’OCI. Ce fut ensuite la querelle intervenue à propos du lieu de la tenue du prochain Sommet en l’an 2000 et enfin le discours de clôture. Mais avant les travaux ont connu deux phases palpitantes: la lecture de la «Déclaration de Téhéran» et du Communiqué final ainsi qu’un document intitulé: la Vision de Téhéran. Des 142 résolutions et de la Déclaration de Téhéran C’est un nombre record de 142 résolutions qui a été adopté par l’Organisation de la Conférence islamique (OCI) à son 8è Sommet à Téhéran. Une illustration claire de cette organisation de s’impliquer davantage dans les affaires mondiales ainsi que dans plusieurs conflits qui agitent le monde musulman. II s’agit surtout d’une condamnation sans appel d’Israël et «de ses mesures répressives et terroristes contre les Palestiniens» et de la politique israélienne actuelle hostile à la paix. L’OCI réaffirme les droits de ces derniers à l’établissement d’un Etat indépendant avec pour capitale «Al Qods» (Jérusalem en arabe). La question lancinante et cruciale du terrorisme et la nécessité de renforcer la coordination en vue de circonscrire le phénomène sous toutes ses formes, y compris le terrorisme intellectuel et l’extrémisme.» 4 résolutions ont été consacrées à cette seule question et les participants se sont prononcés pour la tenue d’une conférence internationale sur le terrorisme sous les auspices de l’ONU. S’agissant des sanctions décrétées par Washington ou l’ONU contre l’Iran et la Libye, l’OCI «exhorte tous les Etats à considérer comme nulle et non avenue la loi dite d’Amato». Par ailleurs, l’OCI demande la levée de l’embargo aérien imposé à Tripoli pour les vols à caractère religieux (pélerinages) humanitaire et la participation des dirigeants à des conférences officielles à l’étranger. De nombreuses autres résolutions détaillées traitent par ailleurs des moyens d’intensifier la coopération entre pays membres de l’OCI dans tous les domaines, de l’information à la préparation d’un marché commun islamique. Les pays de l’OCI dénoncent en outre le «caractère exclusif et discriminatoire des systèmes de contrôle» des technologies de pointe et réclament «l’élaboration de lignes directrices multilatérales négociées, destinées à régulariser le transfert de telles technologies au Tiers-Monde. D’autres textes soulignent enfin la volonté de l’OCI d’intensifier la coopération avec les organisations internationales ou régionales comme l’ONU, la Ligue Arabe, l’OUA et le Mouvement des Non-Alignés. Pour sa part, la «Déclaration de Téhéran» adoptée jeudi dernier appelle «à la libération de tous les territoires arabes occupés et au recouvrement des droits usurpés du peuple palestinien. Cette déclaration appelle également «à faire du Moyen-Orient une zone exempte d’armes nucléaires et d’armes de destruction massive». Le document apporte son soutien total à toutes les communautés et minorités et appelle tous les Etats à «garantir leurs droits religieux, politiques, civiques, économiques, sociaux et culturels.» La Déclaration met enfin l’accent sur le «respect de la dignité et des droits des femmes musulmanes et sur la nécessité de renforcer leur rôle dans tous les aspects de la vie sociale, en harmonie avec les principes islamiques (lire l’intégralité du document ci-après). Dans le communiqué final, l’OCI relève «qu’Israël a gravement ébranlé le processus de paix par sa violation des principes et fondements du processus de paix, son recul sur les obligations, engagements et accords auxquels le processus a permis d’aboutir ainsi que ses atermoiements. Partant, l’OCI «exhorte les Etats islamiques qui ont fait des pas sur la voie de l’établissement des relations avec Israël à reconsidérer ces relations, y compris la fermeture de leurs bureaux et missions diplomatiques, jusqu’au retrait total d’Israël de l’ensemble des territoires arabes». Par ailleurs, le Qatar a été désigné après plusieurs heures de discussions à abriter en l’an 2000 le prochain Sommet de l’OCI. En effet au départ, le projet du Qatar d’organiser le prochain Sommet de l’OCI dans sa capitale Doha s’est heurté au mécontentement de nombreux pays arabes qui lui reprochent d’avoir maintenu et accueilli en novembre dernier une conférence économique à laquelle Israël a participé et que beaucoup de pays arabes ont boycottée. De même l’OCI a exprimé «sa profonde préoccupation» face «au fait que certains de ses Etats membres établissent des relations de coopération militaire avec Israël (cas de la Turquie, seul pays musulman lié depuis 1996 par des accords militaires avec l’Etat hébreu). Clôturant enfin le 8è Sommet de l’OCI, le président iranien Khatami qui avait déjà beaucoup impressionné avec son discours inaugural «sur le dialogue entre les civilisations» a de nouveau reçu beaucoup d’éloges des observateurs qui se sont félicités de l’avenir radieux de l’OCI dont les destinées seront placées pendant trois ans sous 1a présidence efficace et inspirée de M. Khatami» au ton modéré et nouveau. C’est peut-être là encore une des explications des vives ovations qui ont salué la fin de son discours de clôture. A cela, il faut ajouter l’organisation presque parfaite du Sommet, la présence massive d’invités de tous horizons, la sérénité et la convivialité des débats et la sécurité drastique des lieux des manifestations que beaucoup de participants ne semblent pas avoir boudée pour autant. bibo:pages 1 6 -- o:id 7829 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7829 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7844 26888 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bc16ea7d3700617c0e74cb8dd8086c0206f2eb2a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f225a38917ae25c0a3195da9d356a7ffca23e2d1.tiff dcterms:title Politique et religion : les liaisons dangereuses dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1602 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1377 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15364 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15043 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1951 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13363 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1967 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1406 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/101 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14653 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14294 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15127 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0003636 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au Bénin, la politique et la réligion se tutoient depuis toujours. Avec l’avènement du renouveau démocratique en 1990, les relations entre les deux pôles d’intérêts prennent de l’ampleur. Et dans l’air, flottent de plus en plus des odeurs de compromission. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au Bénin, la politique et la réligion se tutoient depuis toujours. Avec l’avènement du renouveau démocratique en 1990, les relations entre les deux pôles d’intérêts prennent de l’ampleur. Et dans l’air, flottent de plus en plus des odeurs de compromission. LA POLITIQUE et la religion cohabitent depuis toujours au Bénin. Déjà sous le régime marxiste-léniniste (1972-1990), le pouvoir, tout en déclarant officiellement la guerre contre la sorcellerie, usait pourtant de forces occultes pour se maintenir en place. C’est ainsi que l'ex-dictateur, Mathieu Kérékou, avait loué les services du célèbre marabout malien Mohamed Cissé pour veiller sur sa personne. Ce qui n’a pas empêché l’écroulement du régime révolutionnaire, et le départ du général Kérékou en 1991. L’homme effectue son retour aux affaires en 1996 en troquant le treillis contre la Bible (lire page 6). Les Saintes Ecritures deviennent sa référence et ses compatriotes le surnomment « le pasteur». En 1992, son successeur et prédécesseur, Nicéphore Soglo initie la fête du vodoun en se mettant à dos le clergé béninois. Mgr Isidore de Souza, figure emblématique de la Conférence nationale, lui retire sa confiance. Conséquence : il échoue aux élections présidentielles de 1996 malgré la présentation d’un bilan économique positif. Depuis le renouveau démocratique, politique et religion font bon ménage. Car les politiques ne ratent maintenant aucune occasion pour s’attirer la sympathie des chefs religieux. De leur côté, ces derniers s’activent pour gagner la confiance des premiers. Ce sont d'ailleurs les périodes électorales qui illustrent au mieux cette volonté de se servir l'une de l’autre. Ainsi en mars 2001, la force réelle ou virtuelle des lobbies religieux pousse les 17 prétendants à la présidence à évoquer tout au long de la campagne le nom de Dieu. Les églises, les mosquées, les couvents sont devenus du coup des viviers électoraux très prisés et convoités. Mathieu Kérékou, Nicéphore Soglo, Adrien Houngbédji, Akandé Olofindji se sont particulièrement distingués en « arrachant » le soutien de groupes religieux. Parfois la divergence des intérêts conduit les groupes religieux à l’éclatement, chaque « troupeau » ayant choisi son « berger ». C’est ainsi que Akandé Olofindji, le « candidat révélé des dieux vodoun », est abandonné en pleine course électorale par les rois et chefs traditionnels au profit des candidats Kérékou et Soglo (lire page 7). Il crie à la trahison, mais reste impuissant devant les « arguments financiers » de ses adversaires. Depuis, c’est le règne de la division au sein des chefferies traditionnelles et dans les couvents. Il est maintenant fréquent de voir deux rois « assis » sur le même trône comme à Abomey et à Porto-novo. Même lutte de clan au profit d’hommes politiques au Conseil national du culte vodoun : deux hauts dignitaires se sont octroyés, chacun, le litre de président. La situation est identique chez les évangéliques et les protestants. Seuls les catholiques et, dans une moindre mesure, les musulmans arrivent à parler encore d'une voix. Mais qui du politique et du religieux influence l'autre ? Les réponses divergent d’un interlocuteur à un autre. Akandé Olofindji affirme que « ce sont les hommes politiques qui envahissent les églises, les mosquées, les couvents dans le seul dessein de se hisser au pouvoir » Ce faisant déplore-t-il, « ils détruisent le monde religieux ». Dans le même sens, le professeur Roger Gbégnonvi, président local de Transparency International explique : « loin d'être des croyants, les politiques sont des opportunistes ». Selon lui. Kérékou, qui affiche à toutes les occasions sa foi chrétienne, n'est qu'un farceur et n'a jamais été croyant dans sa vie. Par contre, à en croire un proche collaborateur du ministre Joseph Attin, c'est plutôt la religion qui « embrigade » des politiciens pour mieux influencer les décisions du pouvoir. Mais le sociologue Albert Tingbé-Azalou nuance : « La religion est omniprésente dans l'arène politique et les politiciens l'utilisent pour parvenir à leurs fins. Chacun tire profit de l’autre. Ils ont des rapports de tricherie, de déviance, de machiavélisme ». La promiscuité entre la religion et la politique déteint aussi sur la composition du gouvernement ou les nominations dans les différentes institutions de l'Etat. Les ministres Joseph Attin, Luc Gnacadja, Claire Ayémonna sont soupçonnés par exemple de bénéficier du parapluie des églises évangéliques. En contre-partie, ils sont appelés à « ouvrir des portes » aux fidèles, mais surtout aux principaux pasteurs. La non observation de ce « contrat » débouche souvent sur des conflits dans lesquels les deux camps se promettent mutuellement le pire : détruire l'adversaire auprès du Chef de l'Etat. En effet, le grand intérêt qu’accorde le président Kérékou aux « propositions» des lobbies religieux est un secret de polichinelle. Le garant de la constitution veille également sur des intérêts religieux. Sous les cieux béninois, la religion et la politique filent le parfait amour. Rodrigue Hode -- o:id 7830 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7830 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7845 26889 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1c8bea80bfd4e94d3112b6b5ccc39d4d704a2eda.pdf https://islam.zmo.de/files/original/fbac46cd7edcc503a6b1e99944115b5aba434954.tiff dcterms:title Un musulman entre le vodoun et les affaires dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1554 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15200 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0003637 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract On lui reproche de se servir du vodoun pour s’enrichir. Mais Mohamed Dossou se considère en mission. Son objectif : révéler au grand monde ce qu’on lui cache à tort. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content On lui reproche de se servir du vodoun pour s’enrichir. Mais Mohamed Dossou se considère en mission. Son objectif : révéler au grand monde ce qu’on lui cache à tort. MOHAMED DOSSOU vit à Cotonou où il est plus connu sous le nom de «Sagittaire», son signe zodiacal. L'homme, qui affirme se retrouver d'emblée à travers ce signe, n’affiche aucune gêne lorsqu'on l’aborde sur ses activités touchant à la religion. Grand de taille. Mohamed arbore au cours de l’entretien un de ces longs boubous qu'il affectionne. La couleur sombre du tissu met en évidence son teint clair. Calme et décontracté, il explique : « c'est parce qu’on n'a pas suffisamment valorisé nos vodouns que le Blanc a eu le dessus sur nous, en nous imposant la Bible ». Le ton est péremptoire. Loin de lui toute intention de vendre ce qui est sacré. Et si l’on devait en arriver là, ce n’est pas lui, fils d’un chef vodoun qui le ferait. Né d’une mère nigérienne musulmane qui vil avec lui présentement et d’un père maître spirituel du vodoun Sakpata hêbioso, Mohamed est, dès son jeune âge, fortement marqué par la religion. Quand il voit le jour en 1955, ce sont des sœurs religieuses qui l’accueil lent. Il sort de la maternité avec le nom de Théophile. Par respect pour la religion de sa mère, il devient Mohamed, fréquente l’école coranique puis, entre au couvent. Parcours illogique ? L’homme y voit plutôt un mystère divin. Mohamed est convaincu qu’il n’a pas un destin banal. En réalité, raconte-t-il, « j'ai vu le jour dans la forêt, sous un Iroko. C'est quand il s'est agi de m’inscrire dans le registre de naissance que ma mère est retournée chez les sœurs qui s’occupaient de son suivi médical ». Au couvent de Sakpata Hêbioso, Mohamed entre en contact avec le vodoun Lissa, un vodoun rare dont le symbole est le caméléon. Des différentes étapes du parcours qu’il retrace, le musulman, adepte du vodoun, voit un point convergent : Dieu. « Le symbole de l'Iroko signifie que je suis avec les esprits ; Mohamed dans la tradition musulmane signifie messager de Dieu; Théophile, l’ami de Dieu ». Pour lui, Dieu est partout. Il est le ciel, la terre, le vent...autant de choses que vénéraient nos ancêtres. Il poursuit : « Nous devons avoir du respect pour ce que nos aïeux ont adoré ». Pourtant, Mohamed est à l’origine d’un événement qui suscite polémique quant au respect du vodoun et, plus généralement, des religions traditionnelles : le Marché béninois des arts et spectacles (Mabas) dont le point d’attraction est le vodoun Zangbéto. Ces spectacles au cours desquels les Zangbéto, maîtres de la nuit depuis les temps ancestraux, sortent en plein jour, donnent lieu à des démonstrations de forces surnaturelles. Le grand public, les touristes et autres curieux en raffolent. Assis, légèrement voûté, Mohamed accompagne ses explications de gestes de mains. « Il y a deux sortes de Zangbéto, le Bliguédé qui sort la nuit et le Zangbéto de spectacle. El puis, c'est quand il y a des clameurs autour de lui que le Zangbéto se met en exergue » explique-t-il. Le promoteur du Zangbéto reconnaît cependant qu’il y a quelques dérives qui s’observent dans les initiatives qui sont prises de nos jours pour sortir quelque peu le Zangbéto du couvent. Les spectacles sont organisés dans le désordre. Pour lui, cela se justifie par la misère. Secrétaire à l’organisation de la communauté nationale du culte vodoun, il souhaite une réglementation plus stricte dans le domaine, Citant son propre exemple, il rappelle : « Il y a deux ans, les chefs suprêmes du vodoun se sont opposé à la tenue de la cérémonie dite Tokplokplo qui interdit la sortie des Zangbéto. J’ai sursis au spectacle programmé pour la période malgré les fonds que j’avais déjà investis. Il faut respecter les interdits, Aujourd’hui, ceux qui font les compétitions de Zangbéto ne visent pas sa promotion : ils le font parce qu’ils ont faim ». L’organisateur du Mabas se dit déçut; mais ne raccroche pas pour autant. « Si je dois encore faire un spectacle Zangbéto ce ne sera qu'un festival international pour donner à la chose l'envergure qu'elle mérite ». Sur ce que lui génère ses spectacles, il reste évasif, se contentant d’énumérer ses autres activités qui, dit-il, lui procurent l’essentiel de son revenu. Il est directeur général adjoint de Adéola et fils, une société de vente de véhicules d'occasion, et s'adonne aussi à d'autres activités dont la géomancie. « Je suis initié au Fa... ». Cela marche-t-il ? « Je suis assez sollicité... ». Les mains sur la table, tirant du doigt des traits imaginaires, il affirme : «Je n'exige rien au départ La consultation ne coûte que... 100 francs. Le reste est laissé à la discrétion du client ». Armand Hountondji -- o:id 7831 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7831 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7846 26890 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/693d6568ba611264bf939b5bd1caa155eab0b592.pdf https://islam.zmo.de/files/original/21166dfa661823440e866b953273eb0a4462ea2d.tiff dcterms:title "Prémices" sans per diem dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13006 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12862 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14409 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0003638 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La formule la plus prisée, qui consiste à faire signer des états et à remettre à la fin une enveloppe aux participants, est absente du rituel des formations organisées à Cotonou par l'Ecole supérieure de journalisme de Lille (ESJ) dans le cadre du Projet d'appui au secteur des médias au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La formule la plus prisée, qui consiste à faire signer des états et à remettre à la fin une enveloppe aux participants, est absente du rituel des formations organisées à Cotonou par l'Ecole supérieure de journalisme de Lille (ESJ) dans le cadre du Projet d'appui au secteur des médias au Bénin. Et pourtant, l’initiative a fait son chemin, drainant à sa suite, depuis juin 2001, un nombre grandissant de bénéficiaires armés de leur seule volonté de bien faire, d’exercer au mieux le métier qu'ils ont commencé. Sans brandir une solution miracle au mal de professionnalisme dont souffre la presse béninoise, les différents programmes de formation ont néanmoins le mérite de mettre un accent particulier, au-delà de la maîtrise des principes et règles, sur l'amélioration de la pratique professionnelle des différents intervenants : patrons de presse, rédacteurs-graphistes, formateurs, journalistes, photo-journalistes, secrétaires de rédactions. Cette démarche pédagogique traduit bien la volonté des gouvernements béninois et français qui, en signant en mars 2000 la convention « Appui au secteur des médias au Bénin » voulaient professionnaliser la presse béninoise et valoriser l'expertise et les compétences béninoises. Une démarche qui, à l'exécution, s'est révélée efficace et attrayante : de 45 stagiaires pour un programme de trois cycles de formation en 2001, on est passé à un effectif de 105 candidats retenus pour sept cycles de formation au titre du programme de l’année en cours. Sans compter ceux qui attendent... Mais bien avant, il a fallu sélectionner de bons formateurs, retenir des stagiaires motivés et surtout convaincus de n'avoir, en guise de rétribution, que leur savoir-faire renforcé en fin de formation. Il a fallu également s'appuyer sur un dispositif composé d’un Comité de pilotage fonctionnant comme un conseil d'administration, du Service de coopération et d'action culturelle (SCAC) de l’Ambassade de France près le Bénin chargé de la mise en œuvre du projet, de l'Ecole supérieure de journalisme (ESJ) de Lille garante de la qualité pédagogique du programme et d'une structure locale retenue pour apporter son expertise en matière de formation. C'est donc sur ce socle que, depuis juin 2001, l’ESJ, en collaboration avec le Centre Wanad et l'agence Proximités, participe au renforcement des capacités de professionnels de la presse béninoise... Et voilà, entre vos mains, chers lecteurs, les premiers fruits lisibles de cette expérience qu'on voudrait durable. En lisant « Prémices », vous suivez là le regard des stagiaires qui, sans prétendre traquer la religion, se sont essayés à découvrir les différentes figures sur lesquelles l'homme a souvent tendance à projeter sa foi. François Laïbi Coordonnateur local du volet Formation du Projet d'appui au secteur des médias au Bénin -- o:id 7832 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7832 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7847 26891 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f6fdc7cc3188156721b626583ff86bbfe379b3d3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4fdd8b502ef4bfdac94ace77d86de49db8320360.tiff dcterms:title Albert Tingbé Azalou : "Au Bénin, la religion et la politique ont des rapports de tricherie" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1570 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14205 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14653 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0003639 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Quels rapports la religion et la politique entretiennent-elles dans notre pays ? dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Quels rapports la religion et la politique entretiennent-elles dans notre pays ? La religion est omniprésente dans l’arène politique, quelle que soit la forme que prend cette religion : le vaudoun, le christianisme, l’islam et autres. Mais quelle pratique les hommes politiques en font ? Les politiciens, dans une démarche machiavélique, instrumentalisent la religion pour faire passer leur message. Il suffit de porter un regard sur les élections dans notre pays. Les communautés religieuses constituent des relais lors des campagnes électorales et, au nom de la cause sociale, prennent des positions parfois très marquées par rapport aux clivages politiques. La plupart de nos ministres ont un référent religieux susceptible de leur porter protection dans les actions politiques qu’ils mènent (lire notre article en page 6). Le recours religieux est une démarche par laquelle on pense qu’on peut être protégé. Rares sont les hommes politiques qui n’ont pas de conseiller occulte, que ce soit pendant les élections ou en temps normal. Nombreux sont les devins qui en parlent. Tout cela entraîne une transhumance religieuse. On renie facilement sa religion pour embrasser celle du chef, car quand on est de la religion du chef, on a vile de la promotion ; la communauté religieuse est une communauté de solidarité qui exclut la trahison. Et dès lors qu’on se retrouve à un poste politique, on pense spontanément à s’entourer de coreligionnaires. C’est en cela que la religion est une véritable rampe de lancement de fidèles sur l’échiquier politique. Quelle est l’ampleur de cette pratique dans notre pays ? Ce n’est pas une tendance majeure, ce sont des actions sporadiques fortement individualisées. Mais ce sont des faits, quand bien même ils sont isolés, qui existent. Et de plus en plus ceux qui ont des ambitions politiques sont convaincus qu’il leur faut le soutien de quelque dignitaire religieux. Est-ce que l’appartenance religieuse, à l’instar de l’appartenance ethnique est une condition importante pour accéder aux postes administratifs et politiques ? Ce n’est pas un passage obligé. Car tous ceux qui sont à des postes administratifs ou politiques ne sont pas passés par l’arène religieuse. C’est une opportunité simplement dont se saisissent certains pour assouvir leur appétits politiques. La chose se pose donc en terme d’opportunité ! c'est pareil pour l’appartenance ethnique. Ce qui est une condition sine qua non dans notre pays, c'est le parrainage. Mais ce qui est difficile à saisir dans le sujet, c’est que l'élément politique apparaît peu dans ce qu'on fait dans la communauté religieuse. Ce n’est pas apparent parce qu'on sait que ce n'est pas déontologique. Comment les ministres arrivent à être ministres de par leur croyance ? On ne peut le démontrer. Ce dont on est certain, c'est que la religion cl la politique dans notre pays ont des rapports de tricherie, de déviance, de machiavélisme. Le grand principe, c’est: « la fin justifie les moyens ». Propos recueillis par Gervais Loko -- o:id 7833 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7833 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7848 26892 26893 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0de1b9ef7cd008048b8143d0eaddcf2903b49ba6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/83a185f664cc449bc1a401798cf798aa9a441a0b.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ba58e04cc3e249a64bc3529c073e50facb6a5a31.tiff dcterms:title Islam béninois : extrémisme ou respect des lois coraniques ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1525 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1601 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1521 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2062 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14342 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13296 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15396 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/41 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14596 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14741 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15002 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/790 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15243 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0003640 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au Bénin, l’Islam ne semble pas constituer de foyer d’extrémisme, même au nord du pays où il est majoritaire. Et ses relations avec les autres religions sont paisibles. Cet équilibre est-il menacé ? dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au Bénin, l’Islam ne semble pas constituer de foyer d’extrémisme, même au nord du pays où il est majoritaire. Et ses relations avec les autres religions sont paisibles. Cet équilibre est-il menacé ? LE RESPECT des lois islamiques est-il synonyme d'extrémisme ? Voilà la grande question que se posent fidèles et pratiquants de la religion musulmane. Pour le juriste en droit islamique Ibrahim Mouhéboudine, « l'extrémiste est par définition un individu qui extrapole le sens des textes du Coran bien au-delà de l'intention de l'auteur. » Selon lui, « l'extrémisme prône l'application intégrale de la charria (voir lexique ci-contre) et se caractérise par l'intolérance, l'intransigeance et la violence ». Mais il rassure : « Rien de tout cela n'existe au Bénin. » Même son de cloche chez l'islamologue béninois El-Hadj Abdoul-Afis Ambékema et le chef missionnaire de Ahmaddiyya, une communauté musulmane au Bénin, Amir Secundar. « Ce vocable n'existe nulle part », renchérit un journaliste de la radio La Voix de l'islam, Bachirou Gbadamassi. Il estime que ce terme « a tout juste été inventé pour jeter du discrédit sur cette religion qui prend de plus en plus de l'ampleur dans le monde en général et au Bénin en particulier. » Pour El-Hadj Mama Issifou, un sage de la ville de Djougou, « l’extrémisme est une atteinte grave aux libertés élémentaire de toute personne ». Selon lui, le Bénin est un Etat laïc où chacun pratique sans aucune contrainte la religion de son choix. L'islamologue Ambékema le soutient sur ce point quand il affirme que « chacun choisit sa religion sans s'attaquer à qui que se soit » Pour l'Imam intérimaire de Parakou, Saré Yacoubou, « les femmes ne sont plus obligées de se couvrir le visage. Mais une fille en tenue extravagante ne doit pas se présenter à la mosquée au risque de distraire les autres fidèles qui ne seront plus concentrés sur leurs prières ». Raoufou Aliou, un fidèle musulman, précise que le port du voile est un signe de respect mais ne signifie pas qu'on doit couvrir obligatoirement tout le visage. Sur la question du port de barbe, les uns et les autres n’y voient pas une obligation. Selon eux, le prophète avait laissé la sienne pour convenance personnelle mais n’en avait pas fait une obligation aux fidèles. L'islamologue Ambékéma sourit lorsque la question lui était posée de savoir si le port de la barbe n’était pas obligatoire pour tout musulman. El comme réponse il dit : « Si c'était une obligation, est-ce que moi je n'en porterais pas ? Que dira-ton alors d’un imberbe que la nature a privé de lu barbe ?» L'Imam Saré Yacoubou répond aussi qu'en tant que personnalité religieuse, il ne laisse jamais pousser la barbe : « Et pourtant je suis Imam », fait-il remarquer. Au Bénin, les différentes religions se côtoient et vivent en harmonie. « Mes enfants logent avec des chrétiens à la maison : nous sommes les mêmes, chrétiens ou musulmans », affirme l'Imam intérimaire de Parakou, Saré Yacoubou. Abondant dans le même sens, l'islamologue Ambékéma dit qu'il y a « une cohabitation pacifique au Bénin. La preuve, c’est qu'on retrouve dans une même famille des adeptes de plusieurs religions ». En effet selon l'imam intérimaire Saré Yacoubou, si une chrétienne épouse un musulman, elle n'est pas obligée d’aller à la mosquée : elle peut continuer à fréquenter son église. Le journaliste de la Voix de l'Islam, Bachirou Gbadamassi ajoute que « les musulmans vivent en cohabitation avec les autres tout en respectant leurs droits. ». A la question de la cohabitation, des responsables chrétiens répondent qu'ils n’y voient aucun inconvénient. Pour l'archevêque de Parakou, Mgr Fidèle Agbachi, « il y a une paix passive » (lire ci-contre). Le pasteur Bernadin Abayomi de l'Eglise protestante méthodiste conférence ajoute : « On se rend visile lorsqu'un malheur arrive à l'un ou à l'autre, qu"on soit musulman ou chrétien. » Raoufou Aliou, un fidèle musulman à Parakou, raconte pour confirmer ces dires : « J'ai deux cousins musulmans, l'un devenu chrétien et mieux l'autre un pasteur à Parakou. Quand ils reviennent en famille au village, on ne fait aucune distinction entre nous. » Et il raconte pour anecdote que, l'an passé, « un chef animiste du nom de Bambélémou a rencontré l'Imam de la mosquée de Zongo à Parakou et ses fidèles pour leur demander l'union des prières pour le développement de la ville. » La cohabitation se remarque aussi dans les actes que posent les uns et les autres. A Djougou, Bio Jacques (lire page 9), un sage de la ville raconte que lors du sacre du Mgr Paul Vieyra, une forte délégation musulmane, dirigée par l'Imam central, assistait aux cérémonies. Mgr Agbachi avait été invité un jour à une cérémonie de couronnement d’un haut dignitaire musulman. Il n'y était pas pour cause de voyage. « Nous adorons le même Dieu, à quoi bon s'entre-déchirer ? » se demande Bio Jacques. Bachirou Assouma Razack Adjatan, Séraphin Assiongbon L’application de loi coranique en question L'Islam est fondée au VIIe siècle par le prophète Mahomet en Arabie Saoudite. Il est répandu en Asie, en Afrique et en Europe. On estime aujourd'hui à plus de 800 millions le nombre de fidèles musulmans dans le monde entier. L'Islam repose sur le Coran et les recommandations du prophète Mahomet, appelées Sunna. La religion musulmane a été révélée au prophète par Dieu (Allah). Le Coran est, avec la tradition, le fondement de la vie religieuse. Le dogme fondamental de l’Islam est un strict monothéisme. La charria est la loi islamique recommandée par le Coran L'aspect pénal de cette loi n'est pas appliqué au Benin qui n’est pas à ce titre un pays islamique. La charria fixe les droits et devoirs des fidèles et peut être considère comme un véritable « code pénal ». En cas d'adultère, par exemple, la charria exige trois témoins en plus du premier qui a surpris les amoureux pour confirmer l'acte prohibé et passer au jugement des coupables. La charria ne s'applique que dans les pays islamiques, où elle se substitue alors à la constitution de l’Etat et à ses lois. -- o:id 7834 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7834 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7849 26894 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1463c46e575f1b528a167479dc1dda7a9c137593.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f56bf839d19aaadc83613ebb4f90bbae824f7518.tiff dcterms:title "Père Jacques", un sage entre deux feux sacrés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1525 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0003641 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les leaders d’opinion au Bénin jouent le plus souvent le rôle de sapeur pompier dans la préservation de la paix entre les religions. Bio Jacques en fait partie. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les leaders d’opinion au Bénin jouent le plus souvent le rôle de sapeur pompier dans la préservation de la paix entre les religions. Bio Jacques en fait partie. « ICI À DJOUGOU, nous vivons en symbiose avec nos frères musulmans. Seulement il y a parfois des dérapages que nous essayons, autant que faire se peut, de vite maîtriser. » Ainsi s'exprime Bio Jacques, 64 ans, médecin retraite depuis onze ans et premier vice-president du comité paroissial de Djougou. Dans cette ville du Nord Benin, où vivent près de 98 % de musulmans, la population a parfois recours à ce leader d'opinion en cas de malentendu entre musulmans et chrétiens. « Père Jacques», comme on l'appelle affectueusement, est aussi le responsable de l'équipe paroissiale de Cari-tas. Cohabitant de façon permanente avec les musulmans, l'homme passe le reste de sa vie aux cotés de sa femme, de quelques uns de ses enfants et petits-fils. Assis dans son sobre salon, le « Père Jacques » évoque son passé : « J'ai passé ma jeunesse aussi bien à Parakou qu'à Djougou. Mon feu père était un ancien combattant. Il a activement participé à la Deuxième Guerre mondiale. C'est donc par la force des choses qu'il a embrassé la religion chrétienne. Il nous a donc moulés dans cette confession religieuse et nous y sommes actuellement », confie-t-il l'air détendu. Marié à une femme et père de neuf enfants, « Père Jacques » fait partie des sages de la ville. Il est l'une des personnes ressources qu'on consulte en cas de litige. « Il n’y a que l'eau qui puisse éteindre le feu et non le contraire », affirme-t-il en caressant ses cheveux grisonnants. « Père Jacques » pense que la religion chrétienne autant que sa sœur musulmane prônent l'unité, la paix et la tolérance. Mais cela n'empêche qu'il y ait des déviances, précise-t-il. Quand on évoque devant lui d’éventuelles poussées extrémistes venant des musulmans à Djougou, ce sage répond sans sourciller qu'il n'en a jamais constaté. « On m'a bien informé un jour que nos fidèles étaient menacés dans une maison en location. Leur tort était d'exercer leur séance de prière dans cette maison. Mais je me suis rendu rapidement sur les lieux et le calme est revenu. » Dans celte ville, l'évêque, Mgr Vieira, a ouvert une école privée fréquentée aussi bien par les enfants de musulmans que ceux des chrétiens. « Je me souviens que lors d'une émission diffusée en langue locale dendi, le journaliste informait les populations de ce que l'école en question a été créée dans le but de détourner la mentalité des élèves musulmans de leur religion d'origine. Ses propos m'ont scandalisé. C'est pourquoi je suis allé immédiatement me plaindre aux sages musulmans et ce foyer de tension a été vite éteint ». « Ce qui est sûr, c’est que dans un troupeau, tout le monde ne peut pas être sur un pied d’égalité. Il y a des flémards, des retardataires », ironise le sexagénaire, le regard perdu dans son salon modeste ou règne une propreté notoire. Chaque chose semble être disposée à sa place. On y note un poste téléviseur, une radio, un fauteuil pliant, d'anciens meubles et des représentations de Jésus. Pour attester de la bonne ambiance qui règne entre les religions dans cette ville, ce médecin par accident affirme que lors de l'ordination de l'évêque de Djougou, une forte délégation musulmane dirigée par l'Imam de la ville avait assisté à cette cérémonie grandiose. Et les autres confessions religieuses n'étaient pas en reste. Bachirou Assouma -- o:id 7850 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7850 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7864 26895 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9c87e61d76ced218c932be83c15e39d32d508052.pdf https://islam.zmo.de/files/original/34edbecca687921ef21fdc589a3e28c8674cbd5a.tiff dcterms:title Une paix provisoire ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1521 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15396 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0003642 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract IL EXISTE aujourd'hui quelques divergences au sein de l'Islam béninois. En effet, la communauté musulmane semble être divisée par l'émergence de l'Ahmaddiyya au Bénin. Présentée comme un mouvement reformateur, Ahmaddiyya se réclame d'Ahmad Goulam, né en 1835, et non du seul prophète Mahomet comme les autres musulmans. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content IL EXISTE aujourd'hui quelques divergences au sein de l'Islam béninois. En effet, la communauté musulmane semble être divisée par l'émergence de l'Ahmaddiyya au Bénin. Présentée comme un mouvement reformateur, Ahmaddiyya se réclame d'Ahmad Goulam, né en 1835, et non du seul prophète Mahomet comme les autres musulmans. Les fidèles de Ahmaddiyya affirment être les vrais pratiquants de la religion musulmane. Le coran aurait annoncé qu'après Mahomet, un autre prophète viendrait et, selon les fidèles de ce courant, c'est Ahmad Goulam. Du côté des « conservateurs », il est dénié la qualité de musulmans aux fidèles d'Ahmaddiyya. Le seul prophète dont il faut suivre les recommandations est Mahomet, soutiennent-ils. Aujourd'hui, cette divergence au sein de l'lslam semble donner raison à Mgr Fidèle Agbachi, archevêque de Parakou : « Nous vivons pour le moment en paix. Mais c'est une paix passive et non active ». Est-ce à dire que cette paix est provisoire ? Mgr Agbachi répond que les éléments de tension qui se dessinent à I'horizon pourraient mettre en péril la paix actuelle. II l'explique par la détermination légitime de l'Islam à s'étendre, comme les autres religions, et se demande si, un jour elles ne se marcheront pas sur les pieds. La divergence au sein de l'Islam ne porte-t-elle pas le ferment d'un extrémisme ? Séraphin Assiongbon -- o:id 7851 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7851 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7865 26896 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/aeda266bbbd8a7c961a1a824e01626cc24744605.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9babb7c8e5accec3b31135cb32c690393540ecb7.tiff dcterms:title Zourkarneyni Toungouh, préfet du Borgou-Alibori : "Il n'y a pas de conflit entre les religions" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1521 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0003643 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Vous êtes depuis quelques années préfet d'un département où se côtoient plusieurs religions et où l'Islam est majoritaire. Quelles sont les relations qu'entretiennent entre elles ces religions ? dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Vous êtes depuis quelques années préfet d'un département où se côtoient plusieurs religions et où l'Islam est majoritaire. Quelles sont les relations qu'entretiennent entre elles ces religions ? Je sais que dans le département du Borgou-Alibori, il y a un nombre important de religions pratiquées. Il est fort possible qu'elles aient à entretenir des relations entre elles du fait même qu'elles dois eut coexister sur un même territoire. Je sais par exemple que depuis un certain temps, des dispositions sont en train d'être prises par les responsables de l’Islam pour discuter avec leurs homologues chrétiens. Je peux avouer que dans notre département, il n'y a pas de conflit entre les religions. Qu’est-ce que vous faites pour associer les religions au développement du département ? Les religions participent déjà au développement grâce à leurs fidèles qui habitent le Borgou-Alibori. Nous avons, dans le cadre d'un certain nombre d'actions comme le développement humain durable, des structures qui sont représentées au sein du comité. El à ce litre, les religions se sont concertées pour dégager un représentant qui siège au comité départemental. A chaque Ibis que nous parlons du développement durable, nous invitons les structures et au-delà de celles-ci, certains responsables de culte pour qu'il y ait diversité de points de vue. Propos recueillis par Séraphin Assiongbon -- o:id 7852 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7852 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7866 26897 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/66ee73239e7f65a9b2c5c323506779ef12813434.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a09e7b8a4956ef8b48da8a5a3fa3e5be60b93732.tiff dcterms:title Installation et exploitation de radiodiffusions sonores et de télévisions privées au Bénin : la balle est maintenant dans le camp des promoteurs agréés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1497 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/775 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/790 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-11-17 dcterms:identifier iwac-article-0003644 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Donnant un coup d’accélérateur au processus de libéralisation de l’espace audiovisuel dans notre pays, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication a rendu publique samedi dernier, en fin de matinée à Cotonou, la Décision n°97-102/HAAC portant sélection des promoteurs agréés pour l’installation et l’exploitation de radiodiffusons sonores et de télévisions privées au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14206 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Donnant un coup d’accélérateur au processus de libéralisation de l’espace audiovisuel dans notre pays, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication a rendu publique samedi dernier, en fin de matinée à Cotonou, la Décision n°97-102/HAAC portant sélection des promoteurs agréés pour l’installation et l’exploitation de radiodiffusons sonores et de télévisions privées au Bénin. En effet, suite à l’appel à candidatures contenu dans la Décision n°97-084/HAAC du 21 octobre 1997, c’est en tout et pour tout, douze projets de radiodiffusion sonore privée commerciale, dix projets de radiodiffusion sonore privée non commerciale, un projet de télévision privée commerciale (Diffusion conventionnelle classique) et quatre projets de télévision MMDS qui sont parvenus dans les délais prescrits à la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC) et ont fait l'objet d’un dépouillement public. C’était le lundi 10 novembre dernier au siège de l'institution à Cotonou. Les motifs du rejet de certains dossiers Après étude des dossiers, dix projets de radiodiffusion sonore privée commerciale, neuf projets de radiodiffusion sonore privée non commerciale et trois projets de télévision MMDS ont été déclarés recevables au concours. Malheureusement, deux projets de radiodiffusion sonore privée commerciale, un projet de radiodiffusion sonore privée non commerciale et un projet de télévision MMDS seront rejetés pour les motifs ci-après: - Radio MYC Nostalgie (groupe MYC International SARL) de M. Mathias de Chacus, pour conditions juridiques non réunies. En effet, la Décision précise que ce promoteur n’offre aucune garantie de l’exploitation par lui-même de l’autorisation dans les conditions prévues par la loi. - Radio Contact, de M. Gilbert Bouraïma, pour dossier hors norme, le promoteur n’ayant pas acheté le cahier des charges. - Radio FM-Emancipation (Mouvement des femmes pour la liberté au peuple et le progrès social) de Madame Ida Gisèle Léocadie Tokpo pour financement non garanti. S’agissant de la TV-Gbégnon (Aérial Empire) de M. Anthony Glass, elle a été disqualifiée pour propositions non conformes aux dispositions de la loi n°97-010 du 20 août 1997 et aux obligations du cahier des charges en ce qui concerne le statut juridique et la libre concurrence. En conséquence, sur la base du nombre de fréquences mises en compétition par zone, 8 projets de radiodiffusion sonore privée commerciale, 7 de radiodiffusion sonore privée non commerciale, 1 projet de télévision privée commerciale et trois projets de télévision MMDS sont retenus à l’issue du concours et selon l’ordre de mérite ci-après: * Radiodiffusion sonore privée commerciale: Cotonou - Radio Star (Radio Star SARL) de M. Yaovi Marcellin Atindégla: 94.30 MHZ; - CAPP FM (Centre Africain de la Pensée Positive) de M. Jérôme Carlos: 99.60 MHZ; - Golf FM-Magic Radio (groupe La Gazette du Golfe) de M. Isamaël Soumanou: 105.70 MHZ; Ce promoteur doit régulariser son augmentation de capital social conformément à la réglementation en vigueur en la matière. (Faire inscrire au Registre du commerce l’augmentation du capital intervenue). * Porto-Novo - Radio Wêkê (ICOM SARL) de M. Soulé Issa Badarou): 107.00 MHZ; - Radio Afrique Espoir FM (Afrimédias Sarl) de M. Ramanou Kouféridji: 99.10MHZ; * Adja-Ouèrè - Radio Adja-Ouèrè FM-Ouémé (SARL) de M. Séfou Fagbohoun: 92.60 MHZ; * Sakété - Radio Adja-Ouèrè FM-Ouémé (SARL) de M. Séfou Fagbohoun: 100.60 MHZ; * Grand-Popo - Radio Star (Radio Star SARL) de M. Yaovi Marcellin Atindégla: 95.70 MHZ; Radiodiffusion sonore privée non commerciale * Cotonou - Radio MARANATHA (Conseil des églises protestantes évangélistes du Bénin) du Révérend Pasteur Romain Zannou: 103.10 MHZ - La Voix de l’Islam (Communauté musulmane de Zongo de l'Imam de la Mosquée centrale de Zongo (Cotonou): 91.20 MHZ; * Allada - Radio Immaculée Conception (Eglise catholique) de Mgr Isidore de Souza: 100.80 MHZ; - La Voix de la LAMA (African Expertise) de Mme Séraphine Dady: 103.80 MHZ * Possotomè - Ahémé FM (Centre Africa OBOTA) de M. Rufin B. Godjo: 99.60 MHZ; * Dassa-Zoumè-Glazoué - Radio Communautaire de Dassa-Zoumé et Glazoué - RCDG (Association culture-communication et développement) de M. François Sourou Okioh: 104.50 MHZ * Djougou - Radio Solidarité FM-Djougou (Union sous-préfectorale des producteurs) de M. Daouda Takpara: 94.60 MHZ; * Télévision privée commerciale (Diffusion conventionnelle classique) - LC 2 (Société LC 2 Médias) de M. Christian Lagnidé: Canal 44 (Bande V) couvrant un spectre de fréquences allant de 654 à 662 MHZ avec une fréquence porteuse image de 655.25 MHZ * Télévision MMDS - ATVS: (African Television System-SOBIEX) de M. Jacob Akinocho: 2540- 2548 MHZ 2548-2556 MHZ 2556-2564 MHZ 2564-2572 MHZ 2572-2580 MHZ - TELCO (TELCO Sarl) de M. Joseph Jébara: 2580-2588 MHZ 2588-2596 MHZ 2596-2604 MHZ 2604-2612 MHZ 2612-2620 MHZ - TV+ International (TV+ International SARL) de M. Claude Karam: 2620-2628 MHZ 2628-2636 MHZ 2636-2644 MHZ 2644-2652 MHZ 2652-2660 MHZ. La présente décision qui vaut permis d’installation pour les promoteurs dont les projets ont été agréés, précise par ailleurs que la convention ne pourra être signée avec chaque promoteur qu’après présentation à la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication du rapport technique du ministre de la Culture et de la Communication. Les fréquences et canaux ainsi attribués le son à titre indicatif et provisoire, l’attribution définitive devant intervenir lors de la signature de la convention. Le président de la HAAC, M. René Mêgniho Dossa qui, au nom de ses collègues de la HAAC et en son nom propre, a adressé ses chaleureuses félicitations aux promoteurs ainsi sélectionnés, a dit que la balle aujourd’hui est dans leur camp. «Nous souhaitons pouvoir écouter, le plus tôt possible ces radios commerciales et non commerciales et voir très rapidement aussi, ces nouvelles télévisions qui viennent d’être agréées» a-t-il conclu. bibo:pages 3 -- o:id 7853 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7853 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7867 26898 26899 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/043e8fa1d4e3ae2511da3430069d19219f94eac6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3b69e2b96898aeefc4a118704247ad0c2e78420d.tiff https://islam.zmo.de/files/original/d1d9dd606f438f845aab8518485df9232c4481b8.tiff dcterms:title Audiences au palais de la République : rencontre hier entre le chef de l'Etat et le "Petit saint Homme" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1564 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-10-09 dcterms:identifier iwac-article-0003645 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le chef de l'Etat, le général Mathieu Kérékou a reçu plusieurs personnalités hier à son cabinet. Dans la matinée un homme d'affaires béninois vivant en France, M. Max Choupas a fait le point au président de la République sur le projet de construction d’un nouvel aéroport à Glo-Djigbé. La soirée a été marquée par la visite au président de Sheikk Khalifa, l'enfant de 4 ans qui fait des miracles. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14819 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15429 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le chef de l'Etat, le général Mathieu Kérékou a reçu plusieurs personnalités hier à son cabinet. Dans la matinée un homme d'affaires béninois vivant en France, M. Max Choupas a fait le point au président de la République sur le projet de construction d’un nouvel aéroport à Glo-Djigbé. La soirée a été marquée par la visite au président de Sheikk Khalifa, l'enfant de 4 ans qui fait des miracles. Au sortir du cabinet présidentiel, M. Max Choupas a déclaré avoir fait au chef de l’Etat, le point de l’évolution des dossiers relatifs à la construction d’un aéroport international à Glo-Djigbé et d’un palais des congrès à Cotonou. Concernant l’aéroport de Glo-Djigbé, l’homme d’affaires béninois a précisé qu’il y a cinq ans, il avait été contacté par le précédent régime pour procéder à une étude de faisabilité de ce projet initié depuis plus de 20 ans. L’étude de faisabilité devrait permettre la recherche de financement propre à la réalisation du projet. En novembre dernier, il a été relancé par le général Kérékou pour faire progresser le dossier, et après douze mois de recherche, il est heureux de venir annoncer au président de la République qu’il a trouvé le financement nécessaire à la construction de l’aéroport international de Glo-Djigbé. Le coût de réalisation de cet aéroport s’élève à 122 milliards F CFA. L’aérogare couvrira une superficie de 42.000 m2, la piste d’atterrissage fera 4000 m de longueur et le tarmac pourra contenir à la fois plusieurs avions. Cet aéroport sera une véritable plate forme aéroportuaire qui permettra au Bénin de jouer son rôle de troisième pôle d’attraction de la sous-région, et de devenir une plate forme financière et économique. Toutes choses que ne permet pas l’aéroport de Cadjèhoun qui selon M. Choupas, ne fait pas la fierté de notre pays. D’après les études de faisabilité, la mise en place de toutes les infrastructures de cet aéroport est prévue pour l’an 2004. Le démarrage des travaux aura lieu en l’an 2000. La célérité des travaux dépendra du gouvernement béninois qui doit satisfaire aux conditions des bailleurs de fonds attendus très prochainement à Cotonou pour boucler le financement. M. Max Choupas a également présenté au chef de l’Etat un projet de construction d’un palais des congrès à Cotonou. Le dossier architectural de ce palais a été réalisé par l’un des meilleurs architectes de Paris, et son coût s’élève à 87 milliards de F CFA. M. Salomon Biokou, deuxième personnalité reçue par le général Kérékou était accompagné de son fils Simonel Biokou. Ils ont rendu une visite d’amitié au chef de l’Etat à qui ils ont offert un objet d’art. L’enfant mystérieux chez St Mathieu Il sonnait 19 h 48 mn quand finalement la troisième personnalité a terminé sa longue audience avec le chef de l’Etat. Il s’agit de Sheikk Shariffidi Khalifa âgé de 4 ans 10 mois. Lorsqu’il s’est mis à répondre aux questions des journalistes, beaucoup de confrères croyaient rêver. Apparemment rien ne distinguait ce petit garçon de tous ceux de sa génération. Il était entouré de sa soeur et de son beau-frère, de son interprète et d’une forte délégation de la communauté islamique du Bénin que conduisait l’Iman de Porto-Novo le Sheikk Ismaëli. Né à Arusha en Tanzanie le 04 décembre 1993 de parents catholiques, Sheikk Khalifa a commencé à opérer les miracles à l’âge de deux mois. Il parla à 4 mois et à 9 mois marchait déjà. Il commença à prêcher le Coran et convertit ses propres parents à l’islam. Il connaît autant le Coran que la Bible. Arrivé au Bénin depuis une semaine, après avoir visité la République Démocratique du Congo, le Kénya, la Tanzanie, le Burundi, le Rwanda, le Congo, le Tchad et la Libye, il devait repartir depuis le mercredi dernier après sa croisade islamique. Mais il avait un message particulier pour le président Kérékou. C’est ce message qu’il était allé porter au chef de l’Etat. Il est venu implorer Dieu afin qu’il bénisse et accorde la longévité au président Kérékou. Au peuple béninois, il est venu apporter le message du prophète Mahomet et rappeler aux musulmans qu’il n’y a qu’un seul Dieu. Ce qui le différencie des autres enfants, est son don de prédication. Modestement, il ne se souvient pas avoir fait des miracles, ce sont les autres qui ont dit qu’il était capable de produire n ’importe quel mi racle. Mais le fait pour un garçon de 4 ans 10 mois d’avoir l’insigne honneur d’être reçu par le chef de l’Etat béninois et de se retrouver devant la presse avec une parfaite maîtrise de ses propos n’est-il pas déjà un miracle? bibo:pages 1 3 -- o:id 7854 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7854 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7868 26900 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3639c830bf5661eeec25ba8a053a2d781ce9a2ab.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d30ac23b6d425265405a9e96a774245106f2bd5d.tiff dcterms:title Signature de conventions à la HAAC : le satisfecit du président René M. Dossa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1497 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/775 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/790 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-09-30 dcterms:identifier iwac-article-0003646 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les conventions devant lier désormais les radiodiffusions sonores privées non commerciales à la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication ont été signées hier matin au siège de l’institution à Cotonou, en présence des promoteurs desdites stations et des hauts conseillers au grand complet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les conventions devant lier désormais les radiodiffusions sonores privées non commerciales à la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication ont été signées hier matin au siège de l’institution à Cotonou, en présence des promoteurs desdites stations et des hauts conseillers au grand complet. Le président de la HAAC, M. René Mègniho Dossa, qui s’est sincèrement réjoui de l’acte historique que constituait la signature desdites conventions, a indiqué qu’il s’agissait là de l’aboutissement heureux du long chemin que les promoteurs des stations: Radio Immaculée Conception, Radio Maranatha, la Voix de l'Islam, Radio Solidarité FM-Djougou, la Voix de la Lama et Radio Ilèma «Le nouveau Tam-Tam»; puisque c’est de celles-là qu’il s’agissait, ont parcouru avec foi et abnégation, jusqu’à ce jour. Cela faisait trois ans pour certains, un an pour d’autres. Périodes au cours desquelles, ils ont dû mobiliser beaucoup de ressources et d’énergie, beaucoup de courage et de ténacité pour surmonter les nombreuses difficultés liées à la réalisation de leurs projets. Une voie, pas facile Pour le président de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication, ces promoteurs ont du mérite et il le leur a dit clairement. Car, en choisissant d’installer et d’exploiter des stations de Radiodiffusions sonores non commerciales, ils n’ont pas opté pour une voie facile. Chacun sait en effet ce que cela représente tant en matière financière qu’en investissement moral. Mais au-delà de toutes ces considérations, M. René Mègniho Dossa a estimé que le plus important à retenir aujourd’hui est l’opportunité qu’ils offrent aux Béninois d’avoir un accès différent à la communication. En tant que Radios communautaires et associatives, elles ont un ancrage local fondamental, car nées des communautés de base et faites pour elles. Elles sont donc le prolongement sonore de la vie quotidienne. A ce titre, dira le président de la HAAC, elles ont deux missions essentielles: animer la vie culturelle locale et contribuer sainement au débat démocratique le plus large possible à la base. «Votre succès sera le témoignage que la libéralisation de l’espace audiovisuel au Bénin était devenue une nécessité impérieuse» a-t-il dit aux promoteurs desdites stations, avant de les fixer sur les nouvelles difficultés qui les attendent, notamment au niveau de la survie financière de leurs stations qui n’ont pas vocation particulière à faire du commerce et qui, partant, devront compter sans doute sur la contribution sonnante et trébuchante de généreux donateurs. Et c’est particulièrement à ce sujet qu’il a bien fait d’attirer l’attention des promoteurs desdites radios sur le danger qui les guette. Le Bénin bientôt dans une phase de turbulence politique! En effet, dans quelques mois pour ne pas dire dans quelques semaines, au regard de l’effervescence qui anime déjà les Etats-majors des partis politiques, notre pays entrera dans une phase de turbulences politiques. En ce sens que les élections législatives sont annoncées et l’on peut même dire sans risque de se tromper que la campagne non officielle est déjà lancée. Il ne fait donc point l’ombre d’un doute qu’ils seront sollicités de diverses manières, et il est à craindre, au regard de la modicité des ressources financières dont disposent ces promoteurs, qu’ils n’éprouvent des tentations. Pour M. René M. Dossa, la capacité de ces promoteurs de radiodiffusions sonores privées non commerciales, à résister aux pressions de quelque nature qu’elles soient, sera un atout majeur pour leur propre crédibilité. Pour y parvenir, il leur a soufflé la conduite à tenir, à savoir: faire en sorte que leurs stations n’apparaissent jamais comme des outils de propagande de tel homme politique ou de tel parti politique. En ce qui concerne la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication, son président a pris l’engagement qu’elle veillera, en temps opportun, à faire respecter toutes les normes en matière d’équilibre de l’information. «Vous avez vocation à aider nos populations à s’intégrer sainement dans le monde moderne. Il serait inconvenant que vous utilisiez ce medium fantastique qu’est la radio pour les polluer culturellement, les aliéner mentalement et les entraîner dans des voies absolument contraires à leur épanouissement individuel et collectif» les a-t-il prévenus, avant de manifester toute la disponibilité de l’Institution qu’il préside à être à leurs côtés pour les aider et pour les soutenir. «Nous voulons avoir auprès de vous, un rôle de conseiller permanent et non de gendarme occasionnel» leur a-t-il dit avant de les rassurer qu’ils trouveront à la HAAC, une institution réellement à leur service et des personnes attentives à leurs problèmes. Des échos enthousiasmants Pour terminer, il a décerné un satisfecit aux prestations des stations confessionnelles, qui ont commencé depuis quelques semaines, la diffusion de leurs programmes. «Les échos enthousiasmants des auditeurs nous incitent à leur recommander de se maintenir sur cette lancée, de continuer à nourrit spirituellement nos populations. Elles en ont grand besoin», a-t-il dit avant de souhaiter de tout coeur que toutes les radios non commerciales qui viennent de signer les présentes conventions, participent effectivement, chacune dans sa spécificité, à ce ressourcement moral auquel nous aspirons tous. En réponse à l’allocution du président de la HAAC, les promoteurs des radios privées sonores non commerciales se sont, par la voix de leur porte-parole, M. François Sourou Okioh, président de l’Association culture communication et développement (ACCD), engagés à ne jamais trahir les attentes de nos communautés respectives. Ils se sont également engagés à n’être point des mandarins du micro ou des vendeurs des virus de la division, d’exclusion, de haine et de guerre de religion ou de simples marionnettes. Car, ils savent que le rôle que devront jouer désormais les radios dans notre pays, s’inscrit dans la promotion de l’éducation dans toute sa globalité afin que la participation éclairée des différentes communautés de l’ensemble du pays, aux affaires de l’Etat et au fonctionnement de la société en arrive à influer sur les tares inhérentes à toute société. François Sourou Okioh, épate le président Dossa par son bagout Ces promoteurs des radio-diffusions sonores privées non commerciales, disent également savoir que l’outil radiophonique, confessionnel ou communautaire doit aussi contribuer à la promotion des langues locales, pour permettre aux communautés illettrés de faire des choix dans le domaine de la production, du commerce, de la politique ainsi que dans la vie personnelle; d’approfondir et d’élargir leurs connaissances et de mieux connaître leur propre société. Car, estiment-ils, une société qui n’est pas informée sur elle-même ne peut façonner son avenir. Ils savent enfin que vivre libres, dignes et prospères, leur commande d’incarner leurs grands rêves de vie dans des actions ou des émissions qui libèrent les énergies de l’espoir. Vivre libres, dignes et prospères, leur commande d’inscrire leurs émissions et leurs actions de transformation sociale dans de grands rêves de vie qui donnent à chacun de nous sa vraie stature d’homme. M. François Sourou Okioh vraiment épaté le président de la HAAC, tous les conseillers et l’ensemble de l’auditoire quand il a terminé par ce proverbe, qui a fait tilt «Celui qui s’engage dans le désert, ne peut revenir sur ses pas. Et quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure manière d’aller de l’avant». Tout un programme, n’est-ce pas! bibo:pages 12 -- o:id 7855 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7855 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7869 26901 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/edd5a35db82a4fc76f96b6df946188d4346447e5.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e8cf5e952edfd078c26adb43ab507b97613771b7.tiff dcterms:title Processus de paix au Moyen-Orient : quel rôle doivent jouer les parlementaires Afro-Arabes ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14789 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13928 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-03-06 dcterms:identifier iwac-article-0003647 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le rôle des parlements africains et arabes dans la consolidation du processus de paix au Moyen-Orient, et l’application des résolutions internationales légitimes, y compris celles relatives à la préservation du statut légal de la ville sainte de Jérusalem. C’est la question qui a préoccupé, les participants à la 8è conférence du Dialogue parlementaire afro-arabe. Ils ont exprimé leurs points de vue à travers des mémoires. Voici en résumé, les propositions des groupes nationaux du Bénin, du Burkina Faso, du Niger et du Sénégal. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13522 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le rôle des parlements africains et arabes dans la consolidation du processus de paix au Moyen-Orient, et l’application des résolutions internationales légitimes, y compris celles relatives à la préservation du statut légal de la ville sainte de Jérusalem. C’est la question qui a préoccupé, les participants à la 8è conférence du Dialogue parlementaire afro-arabe. Ils ont exprimé leurs points de vue à travers des mémoires. Voici en résumé, les propositions des groupes nationaux du Bénin, du Burkina Faso, du Niger et du Sénégal. Bénin La consolidation du processus de paix au Moyen-Orient, indique le groupe national du Bénin, influence non seulement le devenir des peuples arabes, mais aussi des peuples d’Afrique. La question de la paix au Moyen-Orient constitue un des points névralgiques de la coopération afro-arabe. Selon le groupe national du Bénin, le principe capital pour le maintien et la consolidation de la paix, réside dans l’action pour le renforcement des relations pacifiques et dans le règlement des différends par la négociation. Le parlement est une composante du pouvoir d’Etat. Les politiques décidées par le gouvernement étant susceptibles de sanction au niveau parlementaire, et la plupart des accords internationaux faisant l’objet d’autorisation de ratification, il revient donc aux parlements et aux parlementaires d’utiliser effectivement cette arme capitale. Car pour le processus de paix au Moyen-Orient, il n’y a pas que les gouvernements pour agir, les parlements doivent pouvoir indiquer des orientations; étant donné qu’ils représentent aussi l’opinion publique. Pour le groupe national du Bénin, la consolidation du dialogue parlementaire afro-arabe peut constituer une possibilité pour les peuples arabe et africain de réaffirmer l’exigence radicale d’une paix juste au Moyen-Orient. Niger Pour le groupe national du Niger, les parlementaires africains et arabes ont le devoir d’apporter leur contribution à la reprise du dialogue entre les parties concernées. Il invite les parlements à s’impliquer davantage dans toutes les conférences internationales où la question du Moyen-Orient est à l’ordre du jour. Dans ce cadre, l’Union interparlementaire qui a conclu un accord de coopération en 1996 avec l’ONU a un rôle important à jouer. Elle doit pouvoir, au cours des réunions internationales, sensibiliser les différentes délégations sur la question. Pour mieux sensibiliser les populations, les parlements pourront directement à travers leurs gouvernements, saisir l’occasion de la commémoration de la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien célébrée le 2 novembre de chaque année. Sénégal Le groupe national du Sénégal conseille aux parlementaires de dépasser leur fonction première qui est de légiférer pour étendre leurs activités au domaine de la coopération au développement. Selon ce groupe, sans solution pour la question de Jérusalem, il ne saurait avoir de solution au conflit israélo-arabe. Les parlementaires, estime le groupe sénégalais, doivent stimuler l’esprit de coopération entre tous les habitants de la ville. L’action des parlements pour la consolidation de la paix peut être un moyen extrêmement efficace si elle est mise à contribution dans la recherche des solutions aux problèmes. Declaration du Groupe national du Burkina Faso Le Groupe national du Burkina Faso salue la 8e Conférence parlementaire afro-arabe et souhaite plein succès à ses travaux. Il suit avec une vive préoccupation les lenteurs accusées du processus de paix au Moyen-Orient et déplore le recours répété à la violence. Le Parlement burkinabé partage la position du Gouvernement du Burkina Faso en accord avec les Résolutions pertinentes des Nations Unies sur la question du Moyen-Orient. Il en appelle à leur application. Enfin le Parlement Burkinabé est également solidaire des Résolutions de l'Organisation mondiale des Parlements, l'Union interparlementaire qui invite à redoubler d’efforts pour relancer le processus de paix. Le Groupe national du Burkina assure la Conférence de son entière disponibilité à oeuvrer, avec les autres Parlements à la résolution inébranlable de ce si lancinant conflit. Le point des travaux d'hier Les travaux de la 8è conférence du dialogue parlementaire afro-arabe se sont poursuivis hier au Centre international de conférences sous la direction effective du président Bruno Amoussou. Les participants à cette conférence ont, après avoir suivi le rapport du comité de suivi, prêté une oreille attentive aux communications suivantes: 1 - Rôle des Parlements africains et arabes dans la consolidation du processus de paix au Moyen-Orient, et l’application des résolutions internationales légitimes, y compris celles relatives à la préservation du statut légal de la ville sainte de Jérusalem. 2- La Promotion des investissements en Afrique et dans le monde arabe. 3- Dynamisation des échanges scientifiques et culturels entre les pays africains et arabes, et préservation de leur patrimoine culturel. Après ces communications, les parlementaires afro-arabes ont approuvé la requête du Conseil national palestinien de devenir membre à part entière de l'Union interparlementaire. S’agissant de la constitution du nouveau comité de suivi, l’ancien comité a été purement et simplement reconduit. Quant à la date et le lieu de la 9è conférence parlementaire afro-arabe, elle sera fixée après consultation entre le comité de suivi et les chefs des groupes nationaux. Les deux unions, c’est-à-dire l’Union parlementaire africaine et l’Union parlementaire arabe participeront aux réunions du comité de suivi. bibo:pages 3 -- o:id 7856 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7856 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7870 26902 26903 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b9d3947014990a3f43420c4892d5cc466f9bcf69.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0a4f387527d25f5032ab49dbc85383a543c617d8.tiff https://islam.zmo.de/files/original/670b4e20dd1a2273595f9cdabd648cb7c971adcc.tiff dcterms:title Visite au Bénin de Sa Majesté le roi Mohammed VI dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14831 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14643 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/894 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-06-15 dcterms:identifier iwac-article-0003648 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Tout le peuple béninois est heureux d'accueillir, ce jour, sa majesté le roi Mohammed VI du Maroc. Sur invitation du président de la République, chef de l’Etat, Mathieu Kérékou, cette visite de sa majesté Mohammed VI, la première d’un souverain marocain dans notre pays, vient consolider les excellentes relations de coopération qui existent entre le Bénin et le Maroc. Au-delà des relations existant déjà dans maints domaines (formations universitaire, militaire et douanière), pêche et recherche halieutique, coopération interparlementaire etc... La visite de sa majesté le roi Mohammed VI, ce jour, permettra de signer de nouveaux accords dans les domaines économique et consulaire. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/456 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Tout le peuple béninois est heureux d'accueillir, ce jour, sa majesté le roi Mohammed VI du Maroc. Sur invitation du président de la République, chef de l’Etat, Mathieu Kérékou, cette visite de sa majesté Mohammed VI, la première d’un souverain marocain dans notre pays, vient consolider les excellentes relations de coopération qui existent entre le Bénin et le Maroc. Au-delà des relations existant déjà dans maints domaines (formations universitaire, militaire et douanière), pêche et recherche halieutique, coopération interparlementaire etc... La visite de sa majesté le roi Mohammed VI, ce jour, permettra de signer de nouveaux accords dans les domaines économique et consulaire. Qui est Sa Majesté le roi Mohammed VI ? Cet après-midi, le Bénin reçoit un hôte de marque. Il s'agit de Sa Majesté le roi Mohammed VI du Maroc. Il séjournera au Bénin jusque dans l'après-midi de demain mercredi 16 juin. Avant de visiter à Porto-Novo, le chantier de la Cour suprême, Sa Majesté se rendra au campus universitaire d'Abomey-Calavi où il inaugurera la résidence universitaire Hassan II. Mais alors, qui est Mohammed VI ? Sa Majesté le roi Mohammed VI est de la lignée des Alaouites, originaire de Yanboo'An Nakhil, oasis de la côte d'Arabie, sur la mer Rouge. Descendante directe du prophète de l'Islam Sidra Mohammed par la voie de sa fille Lala Fatima Zohra, la famille royale est venue s'installer à Sigilmassa dans le sud du Maroc, au milieu du Xlllème siècle. Sa Majesté le roi Mohammed VI est le 23ème roi de la dynastie alaouite dont le règne a débuté au milieu du XVIIème siècle. Fils de feue Sa Majesté Hassan II, Sa Majesté le roi Mohammed VI est né le 21 août 1963 à Rabat. A l’âge de 4 ans, il entre à l'école coranique du palais royal. En juin 1973, il obtint son CEPE et entra au collège royal d'où il sort avec un baccalauréat en 1981. En 1985, le prince héritier Sidi Mohammed obtient une licence en droit à la Faculté des Sciences juridiques, économiques et sociales de Rabat. Le sujet de son mémoire porte sur "l'Union arabo-africaine et la stratégie du royaume du Maroc en matière de relations internationales". Le prince héritier est également titulaire d'un Certificat d'études supérieures (CES) en Sciences politiques, puis en droit public. Sa première sortie officielle remonte au 6 avril 1974 date à laquelle il a représenté son feu père Hassan II à l'office religieux célébré en la Cathédrale Notre Dame de Paris en mémoire du président français Georges Pompidou. Le 11 avril 1985, le prince héritier fut nommé président de la Commission chargée de l'Organisation des 6èmes jeux panarabes. En novembre de la même année, il devint le coordonnateur des bureaux et services de l'Etat Major général des Forces armées royales. Les grands axes de la coopération bénino-marocaine La coopération bilatérale bénino-marocaine remonte au 7 mars 1991. C'est à cette date qu’ont éloignés l'accord de coopération économique, scientifique, technique et culturelle et l'accord portant création de la grande commission mixte de coopération dont la première session s'est tenue à Rabat du 06 au 07 mars 1991. Cette première session a vu les deux parties signer le règlement intérieur de la commission mixte, l'accord commercial et l'accord de coopération économique. Au cours de la deuxième session tenue à Rabat du 22 au 24 avril 1997, il a été signé l'accord de coopération entre les ministres des Affaires étrangères du Maroc et du Bénin. Accord qui a permis au Maroc d'accorder au Bénin une subvention de 1.100.000.000 de F CFA pour financer des projets tels que : la construction de la résidence universitaire Hassan II d'Abomey-Calavi, la recherche scientifique et la construction de la Cour suprême à Porto-Novo. Le royaume du Maroc soutient également la pêche et la recherche halieutique. Après avoir évalué les ressources crevetières du Bénin, le Maroc a débloqué une enveloppe financière de 30.000.000 de F CFA. Le Maroc aide aussi le Bénin dans les domaines scientifique et culturel. Quelque 35 bourses sont offertes chaque année aux Béninois titulaires du baccalauréat pour poursuivre leurs études supérieures au Maroc. Le nombre de bourses accordées de 1999 à 2003 se chiffre à 132. La coopération militaire est également fructueuse. Le Maroc assure la formation des officiers des forces armées béninoises. La douane béninoise jouit, elle aussi, des fruits de la coopération bilatérale bénino-marocaine. Entre 1999 et 2000, quatre cadres de l'administration Douanière ont bénéficié de la même formation. Au titre de l'année 2003, trois bourses marocaines ont été offertes aux cadres de l'administration douanière. La coopération interparlementaire a amené le Maroc à mettre à la disposition du Bénin, 20.000 dollars US comme contribution à l'organisation de la 20ème session de l'Union des parlementaires africains tenue à Cotonou du 18 au 28 août 1997. Des perspectives existent au plan institutionnel et socio-économique. Le dynamisme des relations entre les deux pays les favoriserait. La carte d'identité du Maroc Le Maroc est un Etat du Maghreb. Il est limité à l'Est et au Sud-Est par l'Algérie, au Sud par la Mauritanie, à l'Ouest par l'Océan Atlantique et au Nord par la mer Méditerranée. Il s'étend sur une superficie de 710.850 km2. Sa population est de 30 millions d'habitants avec un taux de croissance de 1,8% et une espérance de vie de 67 ans en moyenne. La capitale du Maroc est Rabat. Les autres grandes villes sont : Casablanca, Fès, Marrakech, Mélènes, Tétouais, Agadir, Tanger, Laayoune. Le Maroc est une monarchie constitutionnelle. Actuellement en vigueur la Constitution du 13 septembre 1996. Sa Majesté le roi Mohamed VI est le cher de l'Etat marocain. Il a été intronisé en juillet 1999. Son premier ministre est Driss Jettou. Il existe un parlement composé de deux Chambres. La Chambre des représentants. Ils sont au nombre de 325, élus pour cinq ans au suffrage universel direct. La Chambre des conseillers, 270, élus au suffrage indirect pour neuf ans et renouvelable par tiers tous les trois ans. Outre l'arabe, langue officielle, le berbère est pratiqué. Comme langues étrangères pratiquées, le français, l'espagnol et l'anglais. Le Maroc dispose d'importantes ressources minières. Il est le troisième producteur et le premier exportateur mondial de phosphate (environ 20 millions de tonnes). Il existe d'autres gisements de fer et de métaux non ferreux dans les montagnes : baryte, plomb, manganèse, cobalt, cuivre, fer, zinc, antimoine, malybdère, fluor. Le pétrole et le gaz, eux, couvrent à peine les 20% des besoins. Les richesses halieutiques sont très importantes. Le Maroc a 3.500 km de côte. L'élevage occupe une place prépondérante dans le secteur agro-pastoral. Le secteur industriel représente près de 28% du produit intérieur brut (PIB). Les industries alimentaires dominent, suivies de celle du textile, du cuir et du bâtiment. Le réseau routier couvre 59.474 km, tandis que le réseau ferroviaire est de 1.893 km. Le tourisme génère 2,6 milliards de dollars US au titre de l'année 2002. Signature de nouveaux accords attendue (Communique de presse du ministère des Affaires étrangères et de l'Intégration africaine) bibo:pages 1 12 -- o:id 7857 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7857 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7871 26904 26905 26906 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b31a14f9a1783c9afb12dc504af2e1eaed15d1e2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c05e164780b90a317eebd6608b64235ab9c669c2.tiff https://islam.zmo.de/files/original/dec164c873117319d9409802078c61d4f64fb12f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ee28103ed6fa7bca2b63c5013584692a283b51e2.tiff dcterms:title Visite au Bénin du président Khatami : une riche et dynamique coopération en vue dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1624 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15143 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15325 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15047 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-01-18 dcterms:identifier iwac-article-0003649 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président iranien, Seyyed Mohammad Khatami, est reparti de Cotonou satisfait de son séjour, ainsi qu’il Ta déclaré hier 17 janvier, au salon présidentiel de l’aéroport international de Cadjèhoun, peu avant de s’envoler pour le Zimbabwe. Désormais, s’ouvre pour la coopération bénino-iranienne, une nouvelle ère que les présidents Khatami et Kérékou espèrent fructueuse... dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/330 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/331 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/407 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15378 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président iranien, Seyyed Mohammad Khatami, est reparti de Cotonou satisfait de son séjour, ainsi qu’il Ta déclaré hier 17 janvier, au salon présidentiel de l’aéroport international de Cadjèhoun, peu avant de s’envoler pour le Zimbabwe. Désormais, s’ouvre pour la coopération bénino-iranienne, une nouvelle ère que les présidents Khatami et Kérékou espèrent fructueuse... Bain de foule, honneurs militaires faits d'exécution des hymnes nationaux et de la revue de troupes, le président Khatami est maintenant au pied de son avion en compagnie de Mathieu Kérékou. Chaudes accolades entre les deux hommes, le président Khatami gravit majestueusement les marches de l'escalier, se retourne et agite les mains en direction des autorités béninoises et de la foule en guise d'au revoir. Puis il s'engouffre dans la carlingue de son boeing 707 qui décolle quelques minutes plus tard. Le président Khatami a ainsi pris congé de notre pays et s'en va poursuivre son périple africain. Mais avant, le point de son séjour au Bénin a été fait au salon d'honneur de l'aéroport. Là en effet, le ministre des Affaires étrangères et de l'Intégration africaine, Rogatien Biaou et son homologue iranien, Dr Kamal Kharazi, ont procédé à la signature du communiqué conjoint sanctionnant la fin de la visite de la délégation iranienne. Il ressort de ce communiqué que les deux chefs d'Etat ont eu des entretiens fructueux sur des questions relatives à la coopération entre les deux pays, à la situation en Afrique, au Proche et Moyen-Orient, en Asie et dans le reste du monde. Redynamiser la coopération bilatérale Les deux chefs d'Etat se sont réjouis du dialogue politique permanent qui existe entre les institutions iraniennes et béninoises. L'évaluation de la coopération entre les deux pays leur a permis de faire le point des actions menées pour consolider cette coopération dans le domaine commercial, la réalisation de projets d'électrification, d'aménagements hydro-électriques et agricoles. Aussi les deux présidents ont-ils instruit leurs ministres respectifs, afin que soit traduite en réalisations concrètes, leur volonté commune d'entraide mutuelle. Par ailleurs, ils se sont félicités de la stabilité politique et du climat de paix qui prévalent depuis de nombreuses années dans leurs deux pays. A ce sujet, ils ont exprimé leur totale conviction que la paix, la stabilité et la solidarité internationale sont des • conditions essentielles pour la réalisation d'un développement économique et social. Et la partie béninoise a marqué sa satisfaction par rapport à l'annonce faite par la partie iranienne, de mettre à la disposition du Bénin, une subvention au titre de l'aide au développement. Enfin, le président Khatami a adressé une invitation au président Kérékou à se rendre en visite officielle en Iran. Celui-ci a accepté avec plaisir cette invitation dont la date sera fixée par voie diplomatique. Des actions concrètes envisagées L'entretien que les deux présidents ont accordé à la presse a permis de lever le voile sur un certain nombre d'actions envisagées pour relancer la coopération entre les deux pays. C'est d'abord le président iranien, Seyyed Mohammad Khatami qui a remercié le gouvernement et le peuple béninois de l'accueil chaleureux dont il a été l'objet. Après avoir indiqué les sujets de discussion qu'il a abordés avec le président Kérékou, il a insisté sur la nécessité de la stabilité en Afrique. Pour lui, le Bénin a un plan cohérent pour son développement et l'Iran ne manquera pas d'y contribuer. Il va s'agir par exemple, à cette fin, d'octroyer à notre pays, des aides au développement, des lignes de crédits pour réaliser des projets. La formation de jeunes béninois dans les domaines technique et agricole a été aussi plaidée. De façon plus concrète, le président iranien a dit avoir discuté avec son homologue béninois, de la possibilité de construire chez nous, une centrale électrique de 120 mégawatts ; et celle de constituer des équipes de spécialistes pour explorer les domaines de coopération mutuellement utiles pour les deux parties. Pour sa part, le président Kérékou s'est félicité de la bonne santé de la coopération entre les deux pays, laquelle sera véritablement relancée à partir de cette visite. Remontant dans l'histoire, il a rappelé qu'au plus fort de l'agression de l'Iran par l'Irak, le Bénin avait eu le courage de dénoncer l'agresseur, avant d'indiquer que notre pays attend beaucoup de l'Iran, notamment dans le domaine de l'apport technologique. Sensibles aux difficultés du reste du monde... Les présidents Khatami et Kérékou ont réaffirmé la solidarité de leurs gouvernements aux populations victimes du raz-de-marée sur les côtes de l'Asie du Sud et de l'Afrique de l'Est. Ils ont également exprimé leurs inquiétudes face à la poursuite des conflits au Moyen-Orient et ont insisté sur le droit légitime du peuple palestinien à un Etat indépendant. La situation en Irak a aussi retenu l'attention des deux présidents. A ce propos, ils ont exprimé leur grande préoccupation face à l'instabilité qui s'est instaurée dans ce pays et qui, à la longue, aura des conséquences sur les pays voisins d'Irak. C'est pourquoi ils ont lancé un appel à la communauté internationale pour qu'elle s'implique davantage dans la recherche de solutions durables à la crise, et ont formulé leurs vœux pour un bon déroulement des prochaines élections dans ce pays. Préoccupés par la paix et la sécurité internationales, les deux chefs d'Etat ont condamné le développement du terrorisme international, l'extrémisme, l'intolérance etc... 1.- L'accueil du président iranien à son arrivée à l'aéroport international de Cotonou 2.- Le premier tête-à-tête Seyed Mohammad Khatami-Mathieu Kérékou 3.- Le président iranien salue les imams du Bénin 4.- Une vue du banquet offert au palais de la République 5.- Le président iranien en compagnie du président de l'Assemblée nationale Antoine Kolawolé Idji 6.- Une facette des danses folkloriques présentées au président iranien 7.- Un tête-à-tête entre les présidents Khatami et Kérékou à la présidence de la République 8.- La communauté iranienne hier, au départ du président iranien 9.- Les membres du gouvernement saluant le président Khatami 10.-La communauté musulmane au départ du chef de l'Etat iranien 11.-La délégation des femmes musulmanes de la famille Corrib au Bénin 12.- L'échange des documents à l'issue de la visite bibo:pages 1 3 7 -- o:id 7858 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7858 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7872 26907 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f7f1030ca5d44c06980a61eed3ec3569f2da475a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b3e654216f73beb6d6df765ab250bfde2b55029a.tiff dcterms:title Conseil mondial de l'Appel islamique : programme des repas de rupture du jeûne dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2001-12-06 dcterms:identifier iwac-article-0003650 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Bureau de l’Association mondiale pour l’appel à l’islam en République du Bénin porte à la connaissance du public qu’à partir du Mardi 04 Décembre 2001, des repas pour la rupture du jeûne seront offerts à près de 1.000 personnes selon le programme ci-après : dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Bureau de l’Association mondiale pour l’appel à l’islam en République du Bénin porte à la connaissance du public qu’à partir du Mardi 04 Décembre 2001, des repas pour la rupture du jeûne seront offerts à près de 1.000 personnes selon le programme ci-après : bibo:pages 6 -- o:id 7859 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7859 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7873 26908 26909 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ef1da069e281a5942b9d0a83552357d83baab59e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/face8832cf612e273efed7b93db1c61e4a49db6a.tiff https://islam.zmo.de/files/original/d8bfc673e83879052037188d78f6ce5361142be5.tiff dcterms:title Visite du guide de la Révolution libyenne au Bénin : le président Kadhafi fait citoyen d'honneur de Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/108 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13426 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-07-13 dcterms:identifier iwac-article-0003651 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'Illustre hôte du Bénin que des milliers de Cotonois attendaient depuis hier après-midi, a foulé le sol de la capitale économique de notre pays en fin de soirée. C'est dans une ambiance de grande fête que le Colonel Moammar AI-Kadhafi, président de la République Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire Socialiste a été acceuilli au Stade de I'Amitié de Cotonou où le Grand Guide du Commandement Populaire Islamique mondial a été fait citoyen d'honneur de la ville. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/457 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'Illustre hôte du Bénin que des milliers de Cotonois attendaient depuis hier après-midi, a foulé le sol de la capitale économique de notre pays en fin de soirée. C'est dans une ambiance de grande fête que le Colonel Moammar AI-Kadhafi, président de la République Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire Socialiste a été accueilli au Stade de l'Amitié de Cotonou où le Grand Guide du Commandement Populaire Islamique mondial a été fait citoyen d'honneur de la ville. Agissant en sa qualité de Chef de la Circonscription urbaine de Cotonou, M. Maximilien Kiniffo, a souhaité à notre illustre hôte la bienvenue en terre africaine libre du Bénin. «Votre arrivée, Monsieur le président, au Bénin est un événement historique et fort apprécié des Béninois», a dit le chef de la Circonscription urbaine de Cotonou, qui se fonde sur l’accueil délirant dont le président Moammar AI-Kadhafi a été l’objet pour réitérer un agréable séjour à Cotonou au Guide de la Révolution libyenne. Puis, M. Maximilien Kiniffo a notifié au Colonel Moammar AI-Kadhafi, la décision des autorités de la ville de Cotonou, sous l'impulsion du général Mathieu Kérékou, président de la République du Bénin, de faire de lui un citoyen d’honneur de Cotonou. Ainsi donc, le Chef de la Circonscription urbaine de Cotonou remit à Son Excellence Moammar Al-Kadhafi, la clé de la ville de Cotonou; «la clé représentant les attributs de propriété et d’exclusif patrimoine d'une maison, d’une ville et d’un pays». Avec l’espoir que le président Kadhafi visitera fréquemment Cotonou, ville où tout sera concocté pour le mettre à l’aise. La cérémonie de remise de la clé de la ville de Cotonou au président Kadhafi est chargée, selon M. Maximilien Kiniffo, de symbole. Elle peut être considérée comme une saine graine semée dans le sol fertile de l’Unité africaine. Le président Moammar AI-Kadhafi, on s'en doute, est un ardent défenseur de l'unité africaine; Cotonou étant elle-même une ville cosmopolite africaine, symbole elle aussi d’unité. Face au grand honneur, qui lui a été fait, le président Moammar Al-Khadafi s’est déclaré très comblé, très à l’aise à Cotonou au Bénin, terre libre et prospère d’Afrique. D’un gestuel démonstratif, il a exprimé sa totale satisfaction de voir l’acte constitutif des Etats-Unis d'Afrique adopté à Lomé au Togo au 36e Sommet des chefs d’Etat de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA). Pour lui, la date du mercredi 12 juillet doit être gravée en lettres d’or dans les annales de l’histoire africaine. Car, c’est pour toute l’Afrique un grand jour, un jour où tous les fils d’Afrique, tout le peuple africain a changé la carte du monde. Que tous les peuples du monde l’écoutent bien! Les peuples africains ont amorcé la transformation positive de leur continent! a lancé le colonel Khadafi qui croit dur comme fer que l’Afrique est une et indivisible nation, solidaire et libre. Il a plaidé pour l’intégration et la levée des barrières afin que tout Africain où qu’il se trouvera sur le Continent puisse librement y résider, travailler et jouir de tous les droits de la personne humains. Ce fut un véritable discours d’africaniste, et par excellence d’anticolonialiste. bibo:pages 1 3 -- o:id 7860 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7860 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7874 26910 26911 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bc8577969945ea9d5279c1e4cf0fc25f9e4993da.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8fd43a4b4c4b1c280631dbd4a1b8c9fe51bd0bf0.tiff https://islam.zmo.de/files/original/a8b3abab3bd5398e5f823976482e8af158f8b71b.tiff dcterms:title Visite du guide de la Révolution libyenne au Bénin : un accueil délirant dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1497 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14214 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13823 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14645 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/108 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13010 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1404 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1967 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14329 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14916 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14217 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14729 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14890 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-07-13 dcterms:identifier iwac-article-0003652 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une délégation présidentielle forte de quelque 1.500 personnes avec des centaines de véhicules tout-terrain et de toutes marques, et fonçant à tombeau ouvert... Incroyable, mais vrai! C'est pourtant à ce spectacle de roman qu'il nous a été donné d'assister hier, après-midi à la frontière bénino-togolaise de Hilla-Condji et de là jusqu'à Cotonou, à l'occasion de la visite du Guide de la Révolution libyenne dans notre pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/457 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une délégation présidentielle forte de quelque 1.500 personnes avec des centaines de véhicules tout-terrain et de toutes marques, et fonçant à tombeau ouvert... Incroyable, mais vrai! C'est pourtant à ce spectacle de roman qu'il nous a été donné d'assister hier, après-midi à la frontière bénino-togolaise de Hilla-Condji et de là jusqu'à Cotonou, à l'occasion de la visite du Guide de la Révolution libyenne dans notre pays. Après donc les étapes du Burkina Faso, du Niger et du Togo, c’était hier, le tour de notre pays, le Bénin de recevoir l'ennemi juré de l’impérialisme international et farouche défenseur de la cause des «sans cause»: le président Moammar Al Kadhafi, qui effectue présentement un périple Ouest-Africain. Hier donc, à la frontière bénino-togolaise de Hilla-Condji, le gouvernement était presqu’au complet, pour accueillir l’illustre hôte du peuple béninois. On notait en effet, sur les lieux, la présence du ministre d’Etat, chargé de la Coordination de l’Action gouvernementale, du Plan, du Développement et de la Promotion de l’Emploi, M. Bruno Amoussou, qui avait à ses côtés, Madame Ramatou Baba-Moussa, ministre de la Protection sociale et de la Famille; MM. Joseph Sourou Attin, ministre des Travaux publics et des Transports, Sylvain Akindès Adékpédjou, ministre chargé des Relations avec les Institutions, de la Société civile et des Béninois de l’extérieur, Félix Essou Dansou, ministre des Mines, de l’Energie et de l'Hydraulique, John Pierre Igué, ministre de l'Industrie et des Petites et Moyennes Entreprises, Mme Marina d’Almeida Massougbodji, ministre de la Santé publique, Damien Zinsou Alahassa, ministre de l'Education nationale et de la Recherche scientifique, Valentin Aditi Houdé, ministre de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs, Joseph Gnonlonfoun, Garde des Sceaux, ministre de la Justice, de la Législation et des Droits de l’Homme, Abdoulaye Bio Tchané, ministre des Finances et de l’Economie. Ils seront rejoints, sur les lieux par leurs collègues Gaston Zossou et Antoine Idji Kolawolé, respectivement ministres de la Culture et de la Communication, Porte-Parole du gouvernement et chef de la diplomatie béninoise, à l’arrivée du chef de l’Etat, le président Mathieu Kérékou qui venait de Lomé, où il a pris part aux travaux du 36ème Sommet de l'Organisation de l’Unité Africaine (OUA). Il était 16 h 45 mn, quand la délégation présidentielle béninoise arrivait à Hilla-Condji. Et ce n’est qu’à 18 h 15 mn que le président Mathieu Kérékou sera rejoint par son frère et ami Moammar Al Kadhafi, Guide de la Révolution Arabe Libyenne Populaire et Socialiste. L’homme, vêtu d’une tenue traditionnelle «trois pièces» avec chapeau et accompagné d’une mégadélégation était visiblement impressionné par la foule, disons la marée humaine venue l’accueillir. Et il le leur a bien rendu par de larges sourires, avec des gestes de mains, en signe de sa reconnaissance pour l’amour fraternel que nous lui témoignons. Après l’exécution des hymnes nationaux de nos deux pays, en commençant bien entendu par celui de la Libye, exécution d’hymnes rythmée par une salve de vingt-et-un coups de canon et le folklore monolais, les deux chefs d’Etat ont eu un bain de foule au cours duquel, des civilités leur ont été rendues, par une foule en liesse. Une délégation présidentielle de cette taille avec tout ce qu’elle comporte comme arsenal de guerre, cela ne se voit pas tous les jours dans un petit pays aux ressources limitées comme le nôtre. Et c’est d’ailleurs ce qui a le plus impressionné les populations, sorties nombreuses tout le long du trajet Hilla-Condji-Cotonou. A Cotonou, c’était l’apothéose et les mots nous manquent pour décrire, comme cela se doit, ce que nous avons vu. En cela, nous nous devons de tirer un sacré coup de chapeau au préfet Barnabé Dassigli et au chef de la Circonscription urbaine de Cotonou, Maximilien Kiniffo, sans oublier ceux du Mono et du Couffo, pour le travail abattu. bibo:pages 1 3 -- o:id 7861 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7861 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7875 26912 26913 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b0054ef8a6fb6d571611ec17e33b07b3d5a30592.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8f83896c0e1b429856aa2e6605c5a1e8e337b4f1.tiff https://islam.zmo.de/files/original/f730c0b06885564ce3f6d5bdc6153ae7e2700078.tiff dcterms:title Visite d'amitié et de travail du président Kérékou aux Emirats Arabes Unis : donner un nouveau souffle à la coopération entre nos deux pays dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1493 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13530 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14867 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14632 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13666 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-03-09 dcterms:identifier iwac-article-0003653 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le général Mathieu Kérékou est rentré hier des Emirats Arabes Unis où il vient d'effectuer une visite d'amitié et de travail de trois jours (5 au 7 mars 2000). Le chef de l'Etat béninois a en effet quitté Cotonou samedi dernier tard dans la nuit à bord d'un avion spécial de l’Emir Shaikh Zayed Bin Sultan Al Nahyan, président de la Fédération. Il était accompagné, outre son épouse, la première dame du Bénin, du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Idji Kolawolé, du ministre des Finances et de l’Economie, Abdoulaye Bio Tchané, du conseiller technique Amos Elègbè et de El Hadj Séfou Fagbohoun, opérateur économique agissant en son nom propre et au nom de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13340 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14821 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/309 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le général Mathieu Kérékou est rentré hier des Emirats Arabes Unis où il vient d'effectuer une visite d'amitié et de travail de trois jours (5 au 7 mars 2000). Le chef de l'Etat béninois a en effet quitté Cotonou samedi dernier tard dans la nuit à bord d'un avion spécial de l’Emir Shaikh Zayed Bin Sultan Al Nahyan, président de la Fédération. Il était accompagné, outre son épouse, la première dame du Bénin, du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Idji Kolawolé, du ministre des Finances et de l’Economie, Abdoulaye Bio Tchané, du conseiller technique Amos Elègbè et de El Hadj Séfou Fagbohoun, opérateur économique agissant en son nom propre et au nom de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin. C’est à 9h45, heures locales, que l’avion présidentiel atterrit à l'aéroport international d’Abou-Dhabi, capitale des Emirats Arabes Unis. Mathieu Kérékou a été accueilli par Rakad Bin Salem Bin Rakad, ministre des Travaux publics, ayant des compétences très étendues au sein de la Fédération. Après les honneurs militaires, le général Mathieu Kérékou a eu quelques minutes de tête-à-tête avec Rakad Bin Salem, au salon d’honneur avant d’être conduit au palais El Nacharaf au centre ville. Lundi matin, le cortège présidentiel s’est ébranlé vers Dubaï, capitale économique des Emirats, une plaque tournante industrielle et commerciale dans le Golfe. Là, le chef de l’Etat, le général Mathieu Kérékou a été reçu par le général Shaïk Mohammed Bin Rashid Al Maktoum, Prince héritier de la couronne de Dubaï et ministre de la Défense au sein de la Fédération. Au cours d’un long entretien, les deux hommes ont échangé sur les rapports de coopération entre nos deux pays et sur l’état des relations afro-arabes. Le général Shaikh Mohammed s’est préoccupé de la nécessité de dynamiser la coopération entre le monde arabe et les Etats africains, en ce qui concerne leur communauté d’intérêt aux plans politique, géographique, économique et culturel. Quant au président Mathieu Kérékou, il s’est senti réconforté par le besoin de création de nouveaux espaces de coopération entre les Etats arabes et africains. Mathieu Kérékou a vivement apprécié le haut niveau de développement atteint par les Emirats Arabes Unis dans tous les domaines de la vie, sous la conduite sage et clairvoyante du président, Son Altesse Shaikh Zayed Bin Sultan Al Nahyan. Il n’est pas inutile de préciser que cette rencontre du président Kérékou a été rendue possible par Rakad Bin Salem Bin Rakad, ministre des Travaux publics et chargé de la visite du président Kérékou. Peu après, le président du Bénin a visité la tour arabe, (Bur Jal Arab) un hôtel de luxe en forme de pirogue. Le luxe était insolent. Le chef de l’Etat et sa délégation étaient émerveillés, par «l’architecture du plus grand hôtel du pays dont le luxe rappelle au commun des mortels que nous sommes ce que pouvait être le jardin d’Eden» (citation). «...Nous, membres de la délégation béninoise adressons nos vives et chaleureuses félicitations aux hommes qui ont bâti cette grande oeuvre du siècle pour interpeller la conscience de la créature de Dieu et les conséquences de son obéissance. Au personnel qui travaille dans ce magnifique hôtel, à son directeur général et à son adjoint, nous disons merci pour nous avoir permis d’apprécier ce que l’homme peut faire quand il a les moyens pour servir son peuple en craignant son créateur, le Dieu Tout Puissant. Dubaï, le 6-03-2000 général Mathieu Kérékou (dans le livre d’or)» Dans l’après-midi du lundi 6 mars 2000, le président du Bénin a visité la troisième foire-exposition du matériel de défense et des conférences (TRIDEX 2000) à Abu-Dhabi. La dernière journée de la visite mardi a été celle d’un marathon fait d’audiences et de séances de travail. La première audience a été accordée à Monsieur Ali Shorafa, un homme d’affaires qui s’est refusé à toute déclaration à la presse. La seconde personnalité à être reçue a été Monsieur Ahmed Badr, directeur du Fonds d’Abu-Dhabi à qui le chef de l’Etat a soumis certains projets à financer. Le président Kérékou était entouré des ministres Idji Kolawolé, Abdoulaye Bio Tchané, du conseiller technique Amos Elègbè et de Mme Varango Gisèle, épouse Ali DGA/CAA). Au nombre de ces projets, on a pu retenir: L’assistance financière pour la réalisation de micro-projets en faveur des femmes en milieu rural. L’assistance financière pour la réalisation de micro-projets sociaux en faveur des couches les plus défavorisées. En ce qui concerne les grands projets, le Bénin a sollicité la participation des Emirats Arabes Unis au financement de la filière manioc. Aménagement des voies d’accès et de la traversée de Cotonou-Phase II. Aménagement et bitumage de la voie Ouaké-Djougou-Nikki-N’Dali Tchikandou. Bitumage de la route Ouidah-Allada Aménagement et bitumage de la route touristique Comè-Possotomè (18 km). Participation au financement du barrage d’Adjarrala. D’autres points non moins importants sont inscrits sur l’agenda du président Kérékou, notamment, la crise énergétique lorsqu’on sait que les Emirats Arabes Unis sont de gros producteurs de pétrole. Toutes ces questions ont fait l’objet d’entretien avec le directeur général du Fonds d’Abu-Dhabi qui a jugé de leur pertinence. Le Fonds créé en 1971 a pour objectif d’aider les pays non alignés et les pays frères et amis. Le Bénin n’y échappera pas, a déclaré en substance M. Badr. Pour sa part, M. Obeid Salem Al Za’Abi, directeur adjoint du Croissant-Rouge au niveau des Emirats Arabes Unis est venu discuter avec le président Kérékou, des possibilités de coopération avec le Bénin surtout en matière sanitaire. «Les résultats de cet entretien sont encourageants et se concrétiseront dans les tout prochains jours, a notamment indiqué M. Obeid Salem Al Za’Abi. La délégation béninoise et les responsables de la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Abu Dhabi, ont également eu une longue séance de travail au cours de laquelle, chacune des deux parties a mis sur la table, ce qu’elle avait à proposer à l’autre. L’avenir est très porteur. Il reste aux Béninois à mieux s’organiser et à se discipliner pour gagner la confiance de leurs partenaires des Emirats Arabes Unis. Enfin, le chef de l’Etat, selon le programme établi pour la journée du mardi 7 mars 2000, devrait rencontrer la famille royale en lieu et place de son Altesse Shaikh Zayed Bin Sultan Al Nahyan, très souffrant et épuisé par son âge (82 ans). Mathieu Kérékou a donc eu le privilège et l’honneur d’être reçu pendant plus de 90 minutes par le Prince Héritier le plus influent de la famille royale, celui-là même qui liquide les affaires courantes, prend certaines hautes décisions et signe des contrats avec l’extérieur au nom du président des Emirats Arabes Unis. Mathieu Kérékou qui était toujours accompagné du ministre des Travaux publics, Rakad Bin Salem Bin Rakad, n’a rien laissé de côté en ce qui concerne les préoccupations qui étaient les siennes. A ce niveau très élevé de la hiérarchie, même s’il n’est pas le président des Emirats Arabes Unis, c’est comme si le chef de l’Etat béninois peut donc se frotter les mains d’avoir réussi sa visite, ayant eu toujours en face des interlocuteurs dignes. C’est cela aussi qui a permis aux autorités des Emirats Arabes Unis, de passer au dernier acte de la visite d’amitié et de travail d’un hôte de marque (selon la tradition): le tour de la ville. Mathieu Kérékou, son épouse et tous ses collaborateurs ont sacrifié à la tradition en parcourant les grandes artères de la capitale, pour apprécier l’architecture, la beauté et la propreté de la ville d’Abu Dhabi avant d’aller déguster les mets typiquement locaux au Port d’Al-Nina, au restaurant Al Dhafra dans une ambiance très détendue. Et tard dans la nuit, la délégation béninoise a repris le chemin du retour, puis est rentrée à Cotonou hier matin, confiante, à travers cette visite d’avoir insufflé un nouveau souffle à la coopération entre le Bénin et les Emirats Arabes Unis. bibo:pages 6 7 -- o:id 7862 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7862 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7876 26914 26915 26916 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/78b84eed1e56ee66772ec9852b0681563d35c25e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4388dc8a0442fe3441749da209f7b04c7ef2ff26.tiff https://islam.zmo.de/files/original/df4b4352e477e39e0efdb9563b853cd408c594c3.tiff https://islam.zmo.de/files/original/599b30435086ddb8dc313d39222e2396c62fe167.tiff dcterms:title Visite d'amitié et de travail du Pt Kérékou au Koweit : vers une coopération fructueuse et agissante entre les deux Etats dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1496 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14214 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14935 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15260 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14867 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14365 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-01-21 dcterms:identifier iwac-article-0003654 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le 17 janvier de chaque année est généralement considéré au Koweit, depuis quelques années, comme le jour de la libération du territoire. En effet, ce fut ce jour que les forces alliées déclenchèrent la riposte contre les troupes ennemies de l'Irak de Saddam Hussein qui, sous le prétexte d'un contentieux politico-financier, avaient franchi le 2 août 1990 au petit matin les frontières du Koweit, ce minuscule Etat du Golfe de 17818 km2 coincé entre l'Irak et l'Arabie Saoudite, avec plus de 1 910 000 habitants et un produit national brut de 28 milliards dollars (1990). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14320 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/330 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le 17 janvier de chaque année est généralement considéré au Koweit, depuis quelques années, comme le jour de la libération du territoire. En effet, ce fut ce jour que les forces alliées déclenchèrent la riposte contre les troupes ennemies de l'Irak de Saddam Hussein qui, sous le prétexte d'un contentieux politico-financier, avaient franchi le 2 août 1990 au petit matin les frontières du Koweit, ce minuscule Etat du Golfe de 17818 km2 coincé entre l'Irak et l'Arabie Saoudite, avec plus de 1 910 000 habitants et un produit national brut de 28 milliards dollars (1990). Ce fut donc en pleins préparatifs de cette fête commémorative que la délégation officielle du Bénin, conduite par le chef de l’Etat, le président Mathieu Kérékou accompagné de son épouse Mme Marguérite Kérékou ainsi que des ministres Antoine Idji Kolawolé, Abdoulaye Bio Tchané, de l'Ambassadeur Alassane Yasso, de MM. Wassi Mouftaou (CCIB), Raphiou Toukourou (CES), El Hadj Séfou Fagbohoun (opérateur économique), Jean Marie Ehouzou (directeur des ressources extérieures), Francis Loko (DAMO) et Pedro Boni Ibrahim (CAA) a atterri par un froid glacial après 7 heures de vol sur l’aéroport international de Koweit. Au bas de la coupée, son Altesse l’Emir Cheikh Jaber Al Ahmed al Sabah est venu en personne accueillir son hôte de marque. Chaudes poignées de main, échanges d’amabilités et l’on se dirige à pas de sénateur sur le tapis rouge vers le podium pour le cérémonial d’accueil. La fanfare résonne et l’assistance s’immobilise. La garde d'honneur revêtue d’une tenue d’apparat rouge entonne aussitôt l’exécution des hymnes nationaux des deux pays. Les deux délégations se dirigent ensuite vers le pavillon d’honneur d’où le cortège officiel s’ébranlera en direction du Palais de Bayane, lieu de résidence des hôtes de marque. Après une courte pause, le cortège de l’Emir prend congé de son hôte et s’en retourne vers le palais de Dasmane. Une ostentation de splendeur et de modernité Aussitôt, l’émerveillement s’empare du visiteur. Sinon comment s’expliquer que dix ans à peine après le déluge de feu et de flammes qui s’est abattu sur ce gigantesque site au lendemain des événements tumultueux du 2 août 1990, sous les décombres, une nouvelle ville soit née, géométrique, traversée d’autoroutes, ponctuée d’édifices monumentaux, de tours vertigineuses (la Tour Al Dasmane culminant à 123 m), de stations balnéaires et de parcs attrayants? En somme, une véritable débauche de lumière, de fleurs et de bitume. A l’intérieur de ces bâtiments ultra chic et huppés, on aperçoit partout des corridors sans fin recouverts d’immenses panneaux de marbre multicolores avec suspendus à la voûte et sur les flancs des moucharabieh (sortes de balcons couverts de bois ouvragé, permettant aux femmes d’observer sans être vues) et des fantaisies. L’art architectural de l’Orient transfigure tout ici et l’on est subjugué aussi bien par les arabesques que par les lustres chatoyants, les dorures et les ciselures des parements, les dômes des mosquées, le plâtre, les miroirs gigantesques, les lapis moelleux et soyeux, ainsi que les fleurs de décoration et d’ornement. L’on estime en tout cas le coût de la reconstruction en 10 ans à 20 ou 30 milliards de $. Dans le lointain, les derniers flouflous annoncent l’arrivée imminente du président Georges Bush, le libérateur du Koweit attendu pour un bref séjour dans le cadre de la cérémonie du souvenir. De même, l’on signale le retour au pays de Cheikh Saad Al-Abdullah Al Sabah, le premier ministre qui revient après quelques jours de soins médicaux aux Etats-Unis. Puis, soudain, la nuit s’abat sur Koweit, la capitale de 58 456 âmes jonchée de myriades d’ampoules et d’enseignes lumineuses. Cette mégalopole s’assoupit sur ses rêves pharaoniques et démentiels et nul ne doute plus que dans ce «coffre-fort» flottant sur une mer de pétrole (12,9 milliards de tonnes soit 9% des réserves mondiales), subsistent des poches de misère que les autorités au pouvoir s’efforcent de réduire ou d’éradiquer par une meilleure redistribution des richesses conformément aux préceptes du Coran dans ce pays fortement islamisé. Un séjour studieux et fructueux Le séjour de 72 heures de la délégation béninoise au Koweit (17-19 janvier 2000), bien que bref, s’est révélé des plus fructueux et des plus prometteurs. Il s’est inscrit dans une suite logique de tête à tête à audiences et à entretiens officiels. Le point d’orgue de ces manifestations protocolaires a été la visite que le président Kérékou a rendue dans la matinée du mardi 18 janvier à son Altesse, l’Emir Jaber Al Ahmed Al Sabah au Palais de Bayane qui a duré environ 1h 00 d’horloge. Des indiscrétions qui en ont filtré, l’on retiendra que les deux hommes d’Etat ont évoqué les voies et moyens pour renforcer les liens de coopération existant déjà entre les deux pays. Toutefois, le président Kérékou aurait soumis à son distingué hôte, son un mémorandum dans lequel outre les secteurs dans lesquels le Koweit intervient déjà chez nous (hydraulique villageoise, infrastructures), sont inscrits 2 nouveaux projets très importants à savoir: - la restructuration du secteur cotonnier - l’appui à la filière manioc qui se révèle de plus en plus comme une filière porteuse. Avec le directeur général du Fonds koweitien pour le développement économique arabe, les questions abordées ont porté notamment sur l’hydraulique villageoise, la réalisation d’infrastructures (routes, ponts, ports, aéroports). Les secteurs de la santé, de l’éducation et de l’industrie ont été exclus du champ d’intervention du fonds koweïtien. Dès lors, il a été demandé à la partie béninoise de définir le plus tôt possible et selon l’ordre de priorité, une liste de 3 à 5 projets bancables ainsi que les dossiers techniques en vue d’un examen pouvant déboucher sur un planning d’exécution. Quant à l’audience du président Kérékou avec le président et les membres de la Chambre de Commerce et d’industrie du Koweit, ainsi que des hommes d’affaires au palais de Bayane, les entretiens se sont focalisés sur des échanges de points de vue relatifs aux opportunités d’affaires au Bénin, les conditions d’investissement et de travail des hommes d’affaires au Bénin, ainsi que sur le code d’investissement. Par ailleurs, au nombre des préoccupations des hommes d’affaires du Koweit figurent l’intérêt qu’ils éprouvent pour le Bénin, la sécurité de leurs investissements dans notre pays. D’autre part, des explorations de nouveaux secteurs seront engagées d’autant plus que certains hommes d’affaires koweitiens très avertis s’intéressent déjà à l’importation des noix d’anacarde ou du charbon de bois. Au-delà des échanges, le vœu des membres de la CCIB est de faire en sorte que les hommes d’affaires koweitiens viennent s’installer au Bénin en qualité d’opérateurs économiques en partenariat ou non dans notre pays. En somme, conclura ultérieurement M. Raphiou Toukourou, le président du Conseil Economique et Social: «Le présent contact entre la CCIB et la Chambre de Commerce du Koweit doit contribuer à entretenir une relation très étroite en matière d’investissements. Au terme de ce beau séjour sanctionné par des dîners-banquets privés offerts par les hautes autorités, le président Kérékou a adressé un message de remerciements à Altesse Cheikh Jaber Al Ahmed Al Sabbah dont la teneur est la suivante: «Altesse, Au moment où je quitte votre beau et splendide pays après le bref mais inoubliable séjour que je viens d’y passer, je voudrais exprimer à votre Altesse, au gouvernement et au peuple du Koweit, mes remerciements pour l’accueil et l’hospitalité généreux qui m’ont été réservés ainsi qu’aux membres de la délégation qui m’accompagnait. Je souhaite que les relations étroites qui lient nos deux pays se consolident davantage. Veuillez recevoir, Altesse, mes voeux de santé et de bonheur pour votre personne et de progrès et de prospérité continus au peuple ami du Koweit, sous la conduite sage et éclairée de votre Altesse». Signé Mathieu Kérékou P.R.B. La rencontre du chef de l’Etat avec les élèves et étudiants béninois au Koweit L’autre temps fort des activités du président de la République au Koweit a été l’audience qu’il a accordée le mardi 18 janvier à une délégation des élèves et étudiants béninois résidant au Koweit. Après avoir souhaité la bienvenue au chef de l’Etat et à sa délégation, le porte-parole et président de l’Association de ces élèves -étudiants, M. Ousmane Sourakatou devait énoncer leurs doléances qui s’articulent autour de 6 points: - la reconnaissance officielle par l’Etat koweitien de leur statut - la jouissance des bourses universitaires octroyées par le Koweit à notre pays - l’équivalence de leurs diplômes au terme de leurs études - la poursuite de leurs études dans des écoles et facultés béninoises dès leur retour au pays. - la représentation de leur association au sein de toute délégation officielle béninoise lors des discussions avec les autorités koweitiennes - l’érection d’un consulat au Koweit pour résoudre les problèmes éventuels qui pourraient surgir au cours de leur formation. Répondant à leur adresse, le président Kérékou s’est tout d’abord félicité de leur initiative avant de résumer leurs préoccupations en deux points: - une intervention officielle auprès des autorités koweitiennes en vue de leur reconnaissance et d’autre part, le bénéfice de bourses octroyé par le Koweit au Bénin. Le chef de l’Etat devait alors soulever toute une série de préalables relatifs à leur présence au Koweit, degré de formation reçue; aux conditons à remplir pour postuler une bourse universitaire; de même quel la tutelle qui les régit au Koweit. Toutes choses qui contribuent, selon le président Kérékou, à la précarité de leur situation au Koweit. Somme toute, le président Kérékou devait aussitôt instruire le ministre des Affaires étrangères pour qu’une suite soit donnée à ces jeunes ressortissants béninois afin qu’ils soient recensés d’une part et que d’autre part leurs doléances soient répertoriées et portées officiellement à la connaissance du gouvernement béninois. Enfin, le président Kérékou devait leur adresser ses vœux de bonne année, de réussite afin que cette année nouvelle leur apporte une foi plus grande, une robuste santé et l’amour du travail bien fait. Les interventions du Fonds Koweitien au Bénin C’est en 1977 que s’amorcent les premiers rapports entre le Fonds koweitien après la visite au Bénin du président général du Fonds koweitien. Depuis cette date, plus de 20 milliards de francs provenant de cette institution ont été injectés dans notre pays. 5 projets s’inscrivent dans cette enveloppe dont 3 sont totalement achevés: a) 3è projet de routes de dessertes rurales b) le barrage de Nangbéto c) la route Djougou-Natitingou Les 2 projets en cours d’exécution d) le projet d’hydraulique villageoise CEAO e) le projet de bitumage de la route Savalou/Djougou dont l’accord a été signé en juin dernier pour lequel le Fonds koweitien intervient pour plus de 6 milliards sur un total de 22 milliards (soit plus de 1/4 du coût de l’ouvrage). Le Fonds koweitien n’intervient pas dans les secteurs de la santé, de l’éducation et de l’industrie. Toutefois, notre pays entend solliciter son concours dans 2 filières nouvelles: - la restructuration du secteur cotonnier - la filière manioc Enfin, le Bénin se réjouit dans le cadre du service de la dette de n’accuser aucun arriéré vis-à-vis du Fonds koweitien. Par ailleurs, il faut souligner que le Fonds koweitien intervient également chez nous dans le domaine religieux à savoir la construction de mosquées. bibo:pages 1 6 7 -- o:id 7863 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7863 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7877 26917 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/300e0978468ab3f9dbfc1d7135883d3643be0c04.pdf https://islam.zmo.de/files/original/58e31f052481d0169866ed0fb70e076ab5b4361b.tiff dcterms:title Demain, les musulmans célèbrent la Tabaski : après le Ramadan, la fête des sacrifices dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1513 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1999-03-26 dcterms:identifier iwac-article-0003655 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’Aïd-el-Kébir, ou Tabaski encore appelée fête des sacrifices, est la quatrième fête musulmane après successivement la Muharram, l’anniversaire du prophète et le Ramadan (ou l’Aïd-el-Fitr). Dans 24 heures, la Communauté musulmane du Bénin et du monde vont sacrifier à la tradition. Cette fête est la plus grande après le jeûne du Ramadan. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’Aïd-el-Kébir, ou Tabaski encore appelée fête des sacrifices, est la quatrième fête musulmane après successivement la Muharram, l’anniversaire du prophète et le Ramadan (ou l’Aïd-el-Fitr). Dans 24 heures, la Communauté musulmane du Bénin et du monde vont sacrifier à la tradition. Cette fête est la plus grande après le jeûne du Ramadan. Célébrée chaque année pendant la période du pèlerinage à la Mecque, cette fête est l’occasion de sacrifices en souvenir d’Abraham qui, par obéissance à Dieu, s’apprêtait à immoler son fils auquel fut miraculeusement substitué un bélier. Ainsi, les adeptes de l’Islam dès le matin se retrouvent sur une place de prière en dehors des Mosquées, pour prier profondément en choeur et en intimité. Après quoi, ils passeront à la cérémonie de sacrifice proprement dite qui consiste à égorger de nombreux moutons et chèvres. C’est dans cette foulée que nous pouvons constater ces derniers jours une montée des ventes de montons et chèvres sur le marché central de Zongo. Ce qui a entraîné un renchérissement des prix. Certains musulmans ont été prévoyants et se sont ravitaillés depuis plusieurs mois. Dans les mosquées, les préparatifs vont bon train. Les séances de prière du soir connaissent une affluence peu ordinaire. Les fidèles de l’Islam se préparent ainsi spirituellement à ce devoir religieux qui mobilise habituellement des personnes de toutes confessions religieuses. Car la viande issue des sacrifices est distribuée par les musulmans à leurs amis d’autres religions. bibo:pages 3 -- o:id 7878 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7878 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7893 26918 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fb00d812512a93f27831498c3de15238b0886dbc.pdf https://islam.zmo.de/files/original/93335a15bd9b955f2e9dd4b13ff3500c946b3b89.tiff dcterms:title Fin de la visite officielle du Dr Ezidine Laraqi au Bénin dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1999-02-05 dcterms:identifier iwac-article-0003656 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Secrétaire général de l’Organisation de la Conférence Islamique (O.C.I.), le Dr Ezidine Laraqi a effectué une visite de travail et d’amitié au Bénin. Il s’est entretenu tour à tour avec le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération et le ministre du Plan, de la Restructuration Economique et de la Promotion de l’Emploi, assurant l’intérim du chef de l’Etat, le président Mathieu Kérékou. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Secrétaire général de l’Organisation de la Conférence Islamique (O.C.I.), le Dr Ezidine Laraqi a effectué une visite de travail et d’amitié au Bénin. Il s’est entretenu tour à tour avec le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération et le ministre du Plan, de la Restructuration Economique et de la Promotion de l’Emploi, assurant l’intérim du chef de l’Etat, le président Mathieu Kérékou. Cette première prise de contact de Monsieur Ezidine Laraqi avec le Bénin depuis son élection à la tête de l’Organisation suprême de la Oummah Islamique en remplacement du Dr Hamid Al Gabid, se situe dans le cadre des prises de contact périodiques avec les chefs d’Etat membres en vue de recueillir leurs avis et conseils pour l’élaboration des approches de solutions politiques aux différents conflits et zones de tension telles que l’Afganistan, le Proche Orient, le Kosovo, l’Irak, la Sierra-Léone, la Somalie etc... Par ailleurs, les questions de pauvreté, de solidarité entre les peuples, de commerce, d’industrie et de culture ont été également abordées, afin de permettre l’intégration des nobles valeurs de sociétés prônées par l’Islam dans la résolution des différents problèmes posés. Le deuxième volet de la visite a consisté en la rencontre avec la Communauté musulmane du Bénin. Le SG de l’OCI a invité les musulmans béninois à être des citoyens d’avant-garde à participer de manière conviviale dans notre contexte multiconfessionnel aux affaires de la cité. Enfin Monsieur Laraqi a offert une assistance financière à 3 (trois) Organisations musulmanes toutes affiliées à l’Union Islamique du Bénin, Organisation mère du monde musulman béninois. bibo:pages 4 -- o:id 7879 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7879 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7894 26919 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/765fb07ec384f7aa1a158e2e745d03b399f040e2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e4b563d0b02232c27f5a5f0692c236bf34c6be43.tiff dcterms:title Le bilan accablant du Ramadan dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1581 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1999-01-19 dcterms:identifier iwac-article-0003657 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A quoi a-t-on assisté hier dans la ville de Cotonou et ailleurs? Des accidents graves partout La joie de la fête du ramadan n’aura duré que quelques heures dans certaines familles. A Gbédjromèdé, un taxi est monté carrément sur un zémidjan, un taxi-moto. Au Cadmes, un camion a cogné une voiture par derrière. Une moto mate 50 a été brisée par une voiture se trouvant derrière elle. Le cas le plus dangereux a été observé entre l’Etoile rouge et Vèdoko sur la double voie bitumée récemment réalisée à grands frais. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A quoi a-t-on assisté hier dans la ville de Cotonou et ailleurs? Des accidents graves partout La joie de la fête du ramadan n’aura duré que quelques heures dans certaines familles. A Gbédjromèdé, un taxi est monté carrément sur un zémidjan, un taxi-moto. Au Cadmes, un camion a cogné une voiture par derrière. Une moto mate 50 a été brisée par une voiture se trouvant derrière elle. Le cas le plus dangereux a été observé entre l’Etoile rouge et Vèdoko sur la double voie bitumée récemment réalisée à grands frais. Le véhicule Toyota, immatriculé M 4949 RB a perdu son chemin et s’est retrouvé sur la piste de séparation des deux artères. Il n’aura rien laissé sur son passage. Tout a été cassé et endommagé. Les durs petits poteaux ont été déracinés, les bouquets de fleurs renversés. La voiture elle-même a reçu des chocs violents devant et du côté du chauffeur. Les trois personnes qui s’y trouvaient ont été grièvement blessées et furent transportées d’urgence au CNHU. Un monde fou s’était attroupé pour constater les faits vers 13h30mn surtout que le véhicule dans sa course destructrice avait provoqué un vacarme autour de lui. Ce ne fut donc pas une surprise pour la plupart des personnes qui l’avaient précédemment vu. Ils s’attendaient déjà au pire, le chauffeur étant fou de rage et pressé peut-être d’en finir avec la vie. Il roulait à vive allure. Le zémidjan portant le numéro 1023 arrivé sur les lieux, sans attendre une minute, a déclaré: «Je serais vraiment étonné d’entendre que celui-là est rentré chez lui sain et sauf. La façon dont il conduisait le véhicule, quand je l’ai vu entre le Cadmes et l’Etoile rouge, m’avait beaucoup intrigué.» Il n’avait même pas fini de parler quand un homme à Vespa, en provenance de l’Etoile rouge, arriva sur les lieux. Aussitôt, sans être interpellé par quiconque, il a déclaré: «Je savais qu’il en arrivera là. Il a failli ramasser tout le monde sur son chemin». Curieusement les témoignages du genre se multipliaient si bien que, finalement, la tristesse qu’aurait engendrée un tel incident n’a plus été le lot des spectateurs. Décidément! Les jours de fête sont des occasions rêvées pour rendre bêtement l’âme. Pourtant, on ne cesse de dire que la prudence est mère de sûreté. Si tous les hommes pouvaient comprendre qu’il faut se discipliner un peu pendant ces jours qui sont en fait comme les autres, ils pourraient éviter de troubler la quiétude des autres qui sont condamnés à suivre les spectacles désobligeants qu’ils offrent. bibo:pages 3 -- o:id 7880 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7880 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7895 26920 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e11c14df8adcff61786710aed82d3b0d921a03f3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7d7a5aad466d3cd71585a0d47a7d01b47f3fa2d3.tiff dcterms:title Radios et Télévisions privées : l'étude des dossiers a commencé hier dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/775 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/790 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-10 dcterms:identifier iwac-article-0003658 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après le lancement de la procédure devant aboutir à la libéralisation effective de l’espace audiovisuel le 14 septembre dernier, la Haute Autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) vient de démarrer le dépouillement des dossiers des promoteurs de radios et télévisions privées. Trente-trois dossiers sont pour l’instant enregistrés. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après le lancement de la procédure devant aboutir à la libéralisation effective de l’espace audiovisuel le 14 septembre dernier, la Haute Autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) vient de démarrer le dépouillement des dossiers des promoteurs de radios et télévisions privées. Trente-trois dossiers sont pour l’instant enregistrés. Le processus de libéralisation de l’espace audiovisuel est donc entré dans sa phase décisive avec le démarrage hier du dépouillement des trente-trois dossiers parvenus à la HAAC. Pour le président de cette institution, René M. Dossa, «il reste encore un bref chemin à parcourir». Après le dépouillement et l’étude des dossiers, les résultats seront rendus publics le 21 octobre 1997 et l'appel de candidatures pour l’acquisition des cahiers de charge sera lancé le 23 octobre 1997. Tout se passe donc conformément au calendrier établi, a dit M. Dossa qui assure que «les dossiers seront traités à toutes les étapes, dans l’équité et la transparence». Il était donc demandé aux promoteurs de radios et télévisions privées de faire parvenir leurs dossiers à la HAAC, dans les préfectures ou par la poste avant le vendredi 10 octobre à 18 h 30. C’est dire que d’autres dossiers peuvent encore parvenir à la HAAC dans les prochains jours. Le dépouillement des trente-trois dossiers a donné les résultats suivants: - 12 postulants pour les radios privées commerciales - 14 postulants pour les radios privées non commerciales - 01 postulant pour la télévision privée commerciale - 01 postulant pour la télévision privée non commerciale - 05 postulants pour la télévision par système de diffusion MMDS. Signalons que trente-deux dossiers ont été déposés en cinq exemplaires conformément à la règle et un dossier en un exemplaire. La HAAC appréciera lors de l’étude ce cas, a précisé M. Dossa. bibo:pages 3 -- o:id 7881 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7881 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7896 26921 26922 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/075928cd12aaeeace36b859e202882ee4c87b115.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3e69c685de2775bef7da3a42e5652cccb309f904.tiff https://islam.zmo.de/files/original/1b9a05c5894b9c06335d5dc97664dd3ec93bfc3b.tiff dcterms:title Audiences du chef de l'Etat : cinq personnalités au cabinet du président Kérékou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14906 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14441 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13956 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15500 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13100 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14445 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15073 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14066 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-10-12 dcterms:identifier iwac-article-0003659 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le chef de l’Etat, le président Mathieu Kérékou a reçu en audience dans la matinée du vendredi 9 octobre dernier, cinq personnalités. Il s’agit de l’Ivoirien Paul Kouamé, de M. Romain Vilon Guézo, de Basile Noukpliguidi, de Tiburce Monteiro et de Sheikk Shariffidi Khalifa. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le chef de l’Etat, le président Mathieu Kérékou a reçu en audience dans la matinée du vendredi 9 octobre dernier, cinq personnalités. Il s’agit de l’Ivoirien Paul Kouamé, de M. Romain Vilon Guézo, de Basile Noukpliguidi, de Tiburce Monteiro et de Sheikk Shariffidi Khalifa. M. Paul Kouamé, secrétaire , administratif du Conseil de l’Entente accompagné de M. Tanoh Niamké Djoha était allé faire à M. Mathieu Kérékou, président en exercice du Conseil de l’Entente le point des activités destinées à commémorer le 40ème anniversaire du Conseil. M. Paul Kouamé a laissé entendre au sortir du cabinet présidentiel qu’une série de manifestations sont prévues dans le cadre de la commémoration des 40 ans du Conseil de l’Entente. Cette fête sera célébrée à Yamoussoukro en Côte-d’Ivoire en hommage à feu Félix Houphouet-Boigny. Il sera organisé à l’intention des ressortissants des pays membres du Conseil de l’Entente des concours agricoles, scolaires... M. Paul Kouamé dit avoir reçu du chef de l’Etat des instructions particulières, relatives à l’organisation de ladite fête. M. Basile Noukpliguidi, président du Parti pour le Rassemblement des ouvriers du Bénin (PROB) est allé exposer au chef de l’Etat la situation critique que vivent les ouvriers béninois. Sans vouloir verser dans des explications, M. Basile Noukpliguidi en tant qu’animateur de la vie socio-politique dit ne pas souffrir de voir le Bénin aller à la dérive et se taire. M. Tiburce Monteiro de la Mission Secours de Dieu, prédicateur sans frontière était en audience avec un tonnage de paperasses qu’il a dû transporter en deux temps, dit être allé faire des révélations spirituelles au président Mathieu Kérékou. Pour lui, «le Bénin du futur, est et sera sauvé sous la mouvance de l’Esprit Saint vers le Jubilé de l’An 2000 jusqu’à l'an 2001». Tiburce Monteiro qui est un christianiste céleste prédit que le Bénin servira de modèle en Afrique pour prévenir de nouvelles dévaluations, à l’avènement de l’Euro. Le bonheur de l’Afrique viendra par le Bénin, soutient le prédicateur Tiburce Monteiro qui indique que le Bénin frappera une monnaie qui aura le même cours légal et pouvoir libérateur dans tous les Etats de l’Union monétaire ouest-africaine. Les bénédictions de Shariffidi La deuxième personnalité à avoir été reçue par le chef de l’Etat, est M. Romain Vilon Guézo, ancien président de l’Assemblée nationale révolutionnaire (ANR). Il n’a fait aucune déclaration au sortir du cabinet présidentiel. Toutefois, il a eu le bonheur de retrouver dans le hall d’attente le Petit Saint Homme qui l’a béni. Sheikk Shariffidi Khalifa a imploré le père Tout Puissant afin qu’il fasse recouvrer à Romain Vilon Guézo l’usage de son membre supérieur. Le «Petit Saint Homme», est allé faire ses adieux au chef de l’Etat, et échanger par la même occasion avec lui un Coran contre une Bible. Ce fut dans l’intimité spirituelle sans la presse. Sheikk Shariffidi Khalifa aime jouer comme tous les gamins de son âge. Et tomba sa coiffe qui a laissé apparaître un crâne bien ovoïde fendillé en quatre. Lorsque vous le fixez trop, il fait quelques petites grimaces, puis détourne le regard. Il a des moments de recueillement. Aux ordres intimés, il ne réagit pas de manière spontanée. N’aime certainement pas qu’on lui force la main. Comme d’ailleurs tout enfant. Il parle Swahili, prononce des fois des bribes de phrases françaises: «Non ! Ça va! c’est fini», Sheikk Shariffidi Khalifa est accompagné de Djouma Lubambi, son interprète, et de Waziri Fibo, l’époux de Shamila Oumari, sa soeur. Aujourd’hui encore il sera avec St Mathieu. bibo:pages 1 4 -- o:id 7882 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7882 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7897 26923 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/218998e79c805e9a322f16ccf75c7fe0b42c3648.pdf https://islam.zmo.de/files/original/905be6fabd71edd1919a689a504d39c94c375f54.tiff dcterms:title Signature de conventions HAAC-Radios sonores privées : vers une mutation notable de l'espace audiovisuel béninois dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/775 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/790 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-10-01 dcterms:identifier iwac-article-0003660 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La première procédure engagée par la HAAC pour la délivrance des autorisations d'installation et d’exploitation a pris fin hier par la signature de conventions entre l’institution et cinq radios sonores privées. Cette cérémonie fort simple qui a eu lieu au siège de la HAAC tourne ainsi une page de l’histoire de notre démocratie. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La première procédure engagée par la HAAC pour la délivrance des autorisations d'installation et d’exploitation a pris fin hier par la signature de conventions entre l’institution et cinq radios sonores privées. Cette cérémonie fort simple qui a eu lieu au siège de la HAAC tourne ainsi une page de l’histoire de notre démocratie. M. René Dossa dans son allocution a salué la patience et l’esprit de compréhension de nos populations; ensuite la persévérance et la ténacité des promoteurs qui ont su attendre dans la plus grande sérénité l’aboutissement de la procédure. Patience parce que l’aboutissement de la procédure a pris du temps. Par rapport à ce retard, le président de la HAAC a dit que le temps nous donne raison dans la mesure où, partout ailleurs où les choses se sont déroulées dans la précipitation, et sans méthode, tout est désolation. Il a rappelé que dès le départ, 36 promoteurs se sont manifestés. Mais au décompte final, après les phases éliminatoires seuls 16 promoteurs se sont vus attribuer des fréquences et ont été admis à signer les conventions avec la HAAC. Il s’agit pour les radios sonores privées commerciales de: Radio Star. CAPP-FM, Golf-Magic Radio. Radio Wèkè, Radio Afrique Espoir et Radio Ouèrè-FM Ouémé. Pour les radios sonores privées non commerciales nous avons: Radio Immaculée Conception, Radio Maranatha, la Voix de l’Islam, La Voix de la Lama, Radio Ilèma, Radio Solidarité FM-Djougou. En ce qui concerne les télévisions privées commerciales, il y a LC2 et les Télévisions MMDS, il y a ATVS, TELCO et TV-International. M. René Dossa avertit les uns et les autres et indique que la signature de la convention n’est pas une fin en soi, car c’est maintenant que le plus dur commencera pour les promoteurs. Car il ne sera pas facile de rassembler les ressources nécessaires pour faire face aux charges de fonctionnement, pour faire face à la gestion du personnel, de l’information et surtout au respect scrupuleux de l’ensemble des obligations des cahiers de charges. Sur le dernier point, rappelle le président de la HAAC, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication se montrera intransigeante quant à la mise en oeuvre des cahiers des charges et des dispositions des conventions librement signées. Ainsi, chaque promoteur a été obligé de prendre l’engagement écrit de respecter la puissance maximale de 100 watts. M. René Dossa a ensuite invité les promoteurs à contribuer à la valorisation de la culture béninoise en accordant une place de choix aux prestations et productions de nos compatriotes artistes et autres créateurs d’oeuvres d’art. Pour terminer, il a mis en garde les promoteurs en déclarant: «Vos antennes ne doivent en aucun cas servir de tribunes de règlements de comptes, de déballages ou d’épandages de propos grossiers, orduriers, obscènes ou injurieux. Elles ne doivent sous aucun prétexte, devenir de dangereux instruments de propagande partisane ou régionaliste». Pour sa part, M. Jérôme Carlos, le porte-parole des promoteurs, a rappelé que le progrès sous le signe duquel est placée cette cérémonie est, la mutation notable de l’espace audiovisuel béninois. Le progrès, dira-t-il, c’est le combat de la HAAC pour donner vie, pour donner corps et forme, consistance et épaisseur à l’idée même de radiodiffusions sonores privées, un combat dur, long, épique, parfois pathétique, mais en définitive un combat admirable et victorieux. Le progrès est également pour Jérôme Carlos la réponse des fils de ce pays à l’appel au changement. Le porte-parole des promoteurs indique qu'avec la présente cérémonie, la parenthèse se referme sur un processus commencé plusieurs mois plutôt. L’avenir immédiat étant déjà «enceinte» de la deuxième génération des radios sonores privées. Il a saisi l’occasion pour dire que les cahiers de charges établis par la HAAC, mériteraient d’être nettoyés des scories d'une expérience encore à ses balbutiements. Pour terminer. M. Jérôme Carlos a dit que les promoteurs savent en ces temps de turbulences où le ciel politique commence à se charger, que toute dérive politicienne de leur part les affaiblira. bibo:pages 3 -- o:id 7883 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7883 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7898 26924 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ac9c162165838d9fd3652159b92ee484e7559461.pdf https://islam.zmo.de/files/original/689fd9998a61f080302fe2481b4a52115b8b83b1.tiff dcterms:title Le président de la Banque islamique de développement au cabinet du président Kérékou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1498 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-05-26 dcterms:identifier iwac-article-0003661 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Accompagné de quelques-uns de ses collaborateurs, le président de la Banque islamique de développement (BID), M. Mohamed Ali a été introduit hier au cabinet du président de la République par le ministre du Plan, de la Restructuration économique et de la Promotion de l’Emploi dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Accompagné de quelques-uns de ses collaborateurs, le président de la Banque islamique de développement (BID), M. Mohamed Ali a été introduit hier au cabinet du président de la République par le ministre du Plan, de la Restructuration économique et de la Promotion de l’Emploi A l'issue de cette audience qui a duré plus de deux heures d’horloge, M. Mohamed Ali, président de la BID a tenu à faire une déclaration à la presse. Mais c’est le ministre du Plan, de la Restructuration Economique et de la Promotion de l’Emploi, M. Albert Tévoédjrè qui a fait une petite introduction dans laquelle il a précisé que la principale raison de la visite du président de la Banque islamique de développement, M. Mohamed Ali, au Bénin, est relative à la désignation de notre pays pour accueillir la prochaine conférence annuelle de la Banque. «Cette audience sort de l’ordinaire, parce que c'est le suivi d’une décision prise par le Conseil des gouverneurs à Damas, qui a choisi le Bénin comme terre d’accueil pour la prochaine conférence de la banque. C'est un grand honneur pour le Bénin. Le chef de l’Etat a pu entendre de la bouche du président de la Banque, la confirmation que c’est nous qui allons accueillir du 15 au 18 novembre 1998, cette conférence de haute importance...» Le président de la BID, M. Mohamed Ali a déclaré pour sa part qu’il est venu s’informer des dispositions prises par le gouvernement béninois en vue des préparatifs de ce sommet. bibo:pages 12 -- o:id 7884 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7884 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7899 26925 26926 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1ea38fd93dc633857bf8ed7d565fb94abb566718.pdf https://islam.zmo.de/files/original/65f62bdb13a9266352048c65f515417760f04460.tiff https://islam.zmo.de/files/original/e2fec2f5979bb9dca746df95e1ae87c136a5d313.tiff dcterms:title Réception dans l'Ordre national du Bénin : El Hadj Gafari Badirou fait officier de l'Ordre national dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1493 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1950 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15189 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1422 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-03-17 dcterms:identifier iwac-article-0003662 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Lorsque au soir de sa vie, une vie bien remplie, on reçoit une distinction honorifique à 84 ans, c’est bien un mérite qui ne saurait passer sous silence. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Lorsque au soir de sa vie, une vie bien remplie, on reçoit une distinction honorifique à 84 ans, c’est bien un mérite qui ne saurait passer sous silence. Samedi dernier, 14 mars 1998, à son domicile à Porto-Novo, devant un monde impressionnant d’invités, de parents, d’amis et de sympatisants, El Hadj Gafari Badirou, commerçant propriétaire de grande notoriété et d’une considérable popularité a été décoré et fait officier de l’Ordre national du Bénin. Il a été décoré par le Doyen Salomon Biokou, membre du Conseil de l’Ordre, représentant le Grand Chancelier. En présentant le récipiendaire, le Doyen Biokou devait indiquer que El Hadj Gafari Badirou a été nourri de valeurs solides de la morale Yorouba, imprégné de vérités islamiques. Il a été et demeure un homme formé, bien informé qui n’a jamais manqué d’ambition ni d’inspiration pour l’action constructive. Il privilégie la vertu de l’action sur celle du verbe. Ceux qui le connaissent disent de lui qu’il est un bon père de famille, mettant un point d’honneur à assurer la concorde, l’entente et la solidarité entre ses frères, leurs épouses et leurs enfants. Il a mis tout le prix à donner une éducation, une bonne formation ou un mérite à chacun de ses enfants sans discrimination, enfants, qui, même adultes, continuent d’être suivis avec la plus grande tendresse et le plus grand soin. Sur le plan des activités commerciales, le représentant du Grand Chancelier a fait observer que El Hadj Gafari Badirou est un commerçant très entreprenant, ayant par une pratique saine, honnête et loyale, bâti sa propre prospérité et assuré sa retraite personnelle dans la plus totale indépendance. Aujourd’hui, âgé de 84 ans, El Hadj Gafari Badirou s’est, pendant longtemps forgé une réputation. Soucieux de la bonne gestion de la chose publique, homme politique courageux, plein de conviction, respecté par les uns, craint par les autres pour son franc parler, son allant et son respect profond du bien public. El Hadj Gafari Badirou, c’est aussi et surtout, un adepte sans réserve de l’Islam. Il s’est exclusivement consacré à la promotion de l’Islam. Son souci, faire de la Communauté musulmane de Porto-Novo, de l’Ouémé et du Bénin, un exemple de paix, de conviction, d’amour et de solidarité agissante, paix et solidarité entre musulmans eux-mêmes, entre musulmans et non musulmans, et entre les diverses communautés religieuses etc... Malgré son âge avancé, El Hadj Gafari Badirou continue de s’investir pour la promotion économique et sociale de sa ville et de son pays. Il s’est particulièrement fait distinguer par son dynamisme et ses idées fertiles au sein du Comité des sages, notables et cadres de Porto-Novo, dont il reste un des grands et pondérés animateurs. Activités politiques - Conseiller municipal de la ville de Porto-Novo - Conseiller urbain de la ville de Porto-Novo - Membre du Conseil de la rénovation nationale de Porto-Novo - Conseiller consultatif urbain et départemental Activités éducatives et sociales - Président de l’Association des parents d’élèves de l’Ecole urbaine d’Attakè - Président fondateur de l’Ecole franco-arabe An-Sar Dine de Porto-Novo - Membre fondateur du Comité des sages de Porto-Novo Activités au sein de la Communauté musulmane Commissionnaire, conseiller, assistant des Imams Djamiou, dignitaire, notable et aîné de la Communauté musulmane de Porto-Novo Bada Adini. (De janvier 1978 à ce jour) et Sériki Adini (25 septembre 1994) Distinctions honorifiques - Officier de l’Ordre du mérite du Bénin (Août 1963) - Commandeur de l’Ordre du mérite du Bénin (Août 1970) - Chevalier de l’Ordre national du Bénin (Août 1972) - Officier de l’Ordre national du Bénin (Depuis 1991) Et c’est la remise de cette médaille qui a valu la cérémonie de samedi dernier, une cérémonie grandiose et riche en couleurs, qui nous fait dire que les organisateurs n’ont pas lésiné sur les moyens. Devinez le reste. El Hadj Gafari Badirou était tout heureux au milieu de sa famille, et de ses amis. Il remerciait sans cesse tous ceux qui ont effectué le déplacement sur Porto-Novo. bibo:pages 1 5 -- o:id 7885 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7885 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7900 26927 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2901b0de49b90781b39005e67ebea6c7c40c3cd4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b93309fb050dcf64d636851c1c2813c5315ddab1.tiff dcterms:title Audience du chef de l'Etat : un responsable de la Banque islamique de développement au cabinet du président Kérékou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-10-28 dcterms:identifier iwac-article-0003663 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans la soirée d’hier, le président Mathieu Kérékou a reçu en audience une délégation de la Banque islamique de développement (BID) conduite par M. Barder Eddine Nouioua, administrateur de ladite banque. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans la soirée d’hier, le président Mathieu Kérékou a reçu en audience une délégation de la Banque islamique de développement (BID) conduite par M. Barder Eddine Nouioua, administrateur de ladite banque. La délégation qui séjourne au Bénin du 25 à ce jour 28 octobre a bien voulu rendre au président Mathieu Kérékou une visite de courtoisie pour lui rendre compte de ses activités et prendre des directives concernant les nouvelles priorités pour le Bénin. A sa sortie du cabinet présidentiel, M. Nouioua a déclaré à la presse que la coopération entre le Bénin et la Banque islamique de développement se porte bien. «Le fait que le président Kérékou et son gouvernement ont invité la Banque islamique de développement à tenir sa prochaine assemblée annuelle à Cotonou a donné encore une nouvelle impulsion à la coopération entre le Bénin et l’institution bancaire», a laissé entendre M. Barder Eddine Nouioua. A cette assemblée annuelle, deux grands projets concernant le Bénin y seront débattus et approuvés. Il faut dire que la BID apporte son appui à plusieurs secteurs vitaux de notre pays. Il s’agit des transports, de l’éducation, sa santé et du développement rural. bibo:pages 3 -- o:id 7886 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7886 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7901 26928 26929 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e01927217c7872dd4f69a5a00f0424d6b406b6fc.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4fec3485fa8989fe1c20906fde132c1293ece662.tiff https://islam.zmo.de/files/original/31cbf9df225240e643927b5e740dffff8ea39d44.tiff dcterms:title Sommet de l'O.C.I. à Dakar : le grand tournant dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1493 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14010 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14114 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15223 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15260 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15538 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14997 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14476 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1991-12-11 dcterms:identifier iwac-article-0003664 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Parti dimanche dernier de Cotonou pour Dakar (Sénégal) en vue de prendre part au 6e sommet de l’Organisation de la Conférence Islamique, le chef de l’Etat, le président Nicéphore Soglo est rentré hier matin à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15116 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/555 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12894 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/330 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/331 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/353 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/407 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Parti dimanche dernier de Cotonou pour Dakar (Sénégal) en vue de prendre part au 6e sommet de l’Organisation de la Conférence Islamique, le chef de l’Etat, le président Nicéphore Soglo est rentré hier matin à Cotonou. Dans une interview à la presse nationale, le président Soglo a insisté sur le fait que la guerre du Golfe a laissé de profondes plaies avant de souhaiter que progressivement ces plaies se cicatrisent. «On voulait mettre le somme de l’OCI de Dakar sous le signe de la réconciliation» a ajouté le chef de l’Etat. Par ailleurs, à propos de la situation au Togo qui demeure préoccupante au point que le président Abdou Diouf avait estimé qu’une intervention militaire française ne serait pas choquante, le chef de l’Etat a révélé que son séjour dans la capitale sénégalaise lui a donné l’occasion de prendre des contacts utiles en vue de parvenir à renouer dans ce pays voisin tous les fils du dialogue. Pour le président Soglo qui n’admet pas que ce soit une puissance extérieure qui vienne se substituer aux Africains pour résoudre la crise Togolaise, seul le dialogue peut aboutir à l’instar de ce qui s’est passé dans notre pays. «Il y a certains équilibrer à respecter» a estimé le chef de l’Etat qui demeure convaincu que le dialogue peut permettre aux Togolais de résoudre la crise. L'histoire retiendra dans les annales de l'Organisation de la Conférence Islamique la participation au Sommet d'un chef d'Etat béninois en la personne de M. Nicéphore Soglo. Il s'agit du 6e sommet islamique qui s'est ouvert lundi dernier au Complexe du Roi Fahd à Dakar. En effet, dimanche 8 décembre 1991, à 11 h 30, heures locales, l’avion spécial transportant le président Soglo atterrit à l'aéroport international de Dakar-Yoff au milieu d'un dispositif impressionnant de sécurité. A l’accueil, le président Abdou Diouf. Accolade, exécution de l'hymne national. Honneur militaire, Salve de coups de canon et revue des troupes... Tel était le décor à l'arrivée du président Soglo. Le chef de l’Etat béninois a été immédiatement à la résidence «Pasteur» en face de l'hôpital A. Le Dantec, résidence gui lui était réservée pour le deroulement du sommet de l’O.C.I. Le 6e sommet islamique qui s’est ouvert lundi dernier et dont les travaux se poursuivent encore dans la capitale sénégalaise a mobilisé plus de 3500 participants dont une trentaine de chefs d’Etat. L’organisation de la conférence islamique (O.C.I.) est un ensemble de plus d’un milliard d’habitants repartis dans 45 pays. Créée le 21 août 1969 l’OCI avait pour objectif de relever les multiples défis au monde islamique par la marginalisation croissante dont il était victime et par les nombreuses agressions extérieures qui avaient frappé certains de ses membres, notamment la Palestine. Au fil des ans, l’OCI s’est tranformée en un forum de réflexion et d’action, service de développement, de la coopération et de la solidarité entre les pays islamiques. L’OCI fait son chemin avec les difficultés inhérentes à toute organisation. Elle a 22 ans aujourd'hui et le 6e sommet qui se tient actuellement intervient dans un contexte critique où ses pays membres viennent de subir le plus grave choc de toute leur histoire. Les plaies sont encore ouvertes. Pas seulement dans le Golfe où les séquelles de la guerre dominent les esprits, et le comportement des Etats, mais aussi dans les autres pays islamiques, confrontés à l’effondrement de l'empire soviétique et à l'émergence de nouvelles nations islamiques. L’Afghanistan n'est plus sous occupation étrangère. Cela fait dire aux observateurs, que l'OCI se trouve face à de nouveaux défis autrement plus redoutables. Comment allier authenticité et modernité, progrès et attachement aux valeurs spirituelles ? Comment gagner l'un sans perdre l'autre? Quelles stratégies économiques adopter face aux marchés communs en Occident et en Asie ? Comment maintenir la paix au Proche Orient et au Moyen Orient? La paix, cette conquête Permanente. Comment démontrer à la face du monde que pour l’OCI les concepts de tolérance, solidarité, unité et coopération, ont une signification profonde et agissante entre les Etats musulmans ? Comment enfin, prouver au monde entier que les Etats de l'OCI, parlent d’une même voix nonobstant leur diversité parce que le ciment de leur unité est intangible : l’Islam. Ce sont là les préoccupations exprimées dans toutes les interventions enregistrées lors de la séance inaugurale du 6e sommet dans la salle des congrès du complexe du Roi Fahd. C'est d'abord le président sortant de l’OCI, son altesse royale Cheikh Jaber Al Ahmed Al Sabah, émir du Koweit, qui a pris la parole pour saluer tous les participants et appeler les musulmans divisés à une fraternité de la foi. Mais pour y arriver la lutte sera longue et exigera «science et conscience, sacrifices et abnégations» Son altesse royale rappelera les cinq principes fondamentaux de l’OCI qui s’imposent à tous et auxquels tous les pays membres ont adhéré et qui pourtant subissent de flagrantes violations de la part de certains pays comme l’Irak. L’Emir du Koweit a rappelé cette guerre de triste mémoire qu'a été la guerre du Golfe, qui lui a valu l’invasion de son territoire. Son bilan aurait pu meilleur si des circonstances exceptionnelles ne l’avaient pas entravée au cours de son mandat. Il rappelle les gros dossiers en cours de règlement et ceux à entreprendre... Puis, il rappelle les qualités exceptionnelles d’homme d’Etat du président Abdou Diouf, ayant les ressources nécessaires pour conduire durant les prochaines années, les destinées de l'OCI. Il lui passe le témoin et le président Diouf vient s'installer à la table d’honneur en tant que président de la 6e conférence. C’est pour la première fois que se tient un tel sommet en Afrique au Sud du Sahara. Remerciant les chefs d’Etat et tous les participants, M. Diouf a fait observer «votre présence ici est une manifestation d’amitié à mon égard... Ce pays est le vôtre...» Ses mots de remerciements sont allés vers tous les pays qui ont contribué par diverses manières à la tenue de ce 6e sommet. Le contexte historique actuel, les espoirs et craintes qui secouent le monde, les préceptes de l'Islam, la crise du Golfe, l’évolution de la situation dans la région du Moyen-Orient, la conférence de Madrid et le recours à la solidarité internationale, ont été les temps forts de son intervention, solidarité à l'égard de certaines communautés musulmanes du monde, solidarité à l'égard de l'Afrique du Sud également. Le président Diouf a émis l'espoir qu'avec l'aide et la bénédiction de Dieu, les résultats du 6e sommet à travers les décisions qui seront adoptées favorisent la renaissance de la foi islamique. «Il nous restera alors à maintenir ardente et lumineuse la flamme ainsi rallumée. La meilleure façon de le faire est de reserrer nos rangs ,en continuant de nous soutenir mutuellement et de nous entraider avec engagement et générosité...» Après lui, des porte-parole de groupes arabe (Liban) asiatique (Iran) et Afrique (Gambie) ont pris la parole ainsi que le Docteur Hamid Algabide SG/OCI), le SG sortant de l'ONU, le SG de l'OUA «le secrétaire général adjoint de la ligue arabe pour prévenir les querelles, et maintenir le processus de paix engagé au Proche Orient et faire de l'OCI, un véritable outil de coopération fructueuse entre ses membres»,.. Les travaux de ce 6e sommet se poursuivront jusqu’à demain. EN MARCHE DU SOMMET Dimanche dernier, peu après son arrivée à Dakar, le président Nicéphore Soglo a été chaleureusement accueilli par une délégation de la communauté béninoise à la résidence «PASTEUR». Les Béninois de Dakar ont demandé spécialement une autre visite au chef de l’Etat, visite au cours de laquelle ils pourront discuter de certains problèmes internes du pays, et rechercher les voies et moyens pour relancer l’économie. Il a ensuite tenu une séance de travail avec le bureau de la colonie béninoise de Dakar. Nos compatriotes étaient heureux de l'entendre parler des grands axes de son programme de développement et ont déploré le manque de communication entre Dakar et Cotonou. Les étudiants béninois à Dakar se sont également manifestés et ont eu à soumettre au président de la République, quelque unes de leur doléance. INTRETIENS BILATERAUX Dans la soirée de dimanche le président Amadou Toumani Touré du Mali a rendu visite au président Soglo ainsi que le secrétaire général de l'OUA M. Salim Ahmed Salim et le premier ministre du Niger M. Amadou Cheffou. Au centre de tous ces entretiens, les difficultés économiques du continent, le processus démocratique en Afrique, le drame du Togo. Puis, lundi peu avant l’ouverture officielle du 6e sommet, le président Soglo s'est entretenu avec Mme Sadako Ogata, Haut commissaire des Nations-Unies pour les Réfugiés avec qui il a discuté des réfugiés togolais au Bénin. Mme Sadako a promis examiner avec diligence cette question. Le président Soglo a eu par ailleurs après la séance inaugurale une longue entrevue en tête-à-tête avec son Altesse royale M. Cheikh Jaber Al Ahmed Al Sabah, émir du Koweit. Les problèmes de coopération bilatérale ont dominé cet entretien. Il en a été de même avec le président de l'Iran Son Excellence H. W. M. Akbar Hachemi Rafsandjani et le premier ministre marocain. Le président Soglo a enfin discuté avec son homologue gabonais Omar Bongo des questions d’intérêt commun. bibo:pages 1 3 -- o:id 7887 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7887 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7902 26930 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1a60dbfb843d295eccc6c4710d02accfb0809cdb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/49d294fbe1569fbed8c89860d2c6ead7f1cec05f.tiff dcterms:title Innovation dans le secteur bancaire béninois : Coris Bank international Bénin lance la Finance islamique "Baraka" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14154 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/20 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-06-07 dcterms:identifier iwac-article-0003665 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Coris Bank International Bénin a désormais une branche qui s'occupe du financement islamique. Dénommée Coris Bank International Baraka, c’est une finance éthique, responsable et non spéculative qui a été lancée, mardi 5 juin dernier à Cotonou, en présence du ministre d’Etat, chargé du Plan et du Développement, Abdoulaye Bio Tchané, et d’une forte délégation de la communauté musulmane au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Coris Bank International Bénin a désormais une branche qui s'occupe du financement islamique. Dénommée Coris Bank International Baraka, c’est une finance éthique, responsable et non spéculative qui a été lancée, mardi 5 juin dernier à Cotonou, en présence du ministre d’Etat, chargé du Plan et du Développement, Abdoulaye Bio Tchané, et d’une forte délégation de la communauté musulmane au Bénin. Le directeur général de Coris Bank International Bénin (Cbi-Bénin), Jean-Jacques Golou est fier du lancement de la branche Finance islamique de sa banque. A la cérémonie de lancement de cette nouvelle opportunité qui est donnée aux investisseurs béninois comme étrangers, il estime que son institution perpétue son développement sur la satisfaction des clients en leur apportant des solutions à leurs problèmes. Et c’est dans ses innovations que la banque, selon lui. a décidé de lancer la finance islamique. Selon le directeur général de Cbi-Bénin, la finance conventionnelle connaît actuellement beaucoup de changements. C'est face à ces changements que la finance islamique apparaît comme une alternative d’autant plus intéressante qu’elle est connectée à l’économie réelle et repose sur le partage des risques. Présent à l'ouverture de cette nouvelle branche de Coris Bank International, le ministre d'Etat, chargé du Plan et du Développement, Abdoulaye Bio Tchané, s'est réjoui de voir l'institution Coris Bank International grandir au fil des années. Elle est aujourd'hui, selon lui, un modèle de réussite dans la sous-région. Fidèle à l'ambition de son président directeur général, Idrissa Nassa, la Cbi-Bénin souligne Abdoulaye Bio Tchané, poursuit son expansion au Bénin. « Connaissant son histoire et son dynamisme, j’avais prédit, lors de son installation il y a quelques mois, qu’elle bousculerait l’écosystème de l’offre de services bancaires sur la place », rappelle le ministre d'Etat qui donne comme preuve le lancement de la branche Finance islamique dénommée « Cbi Baraka ». Une alternative intéressante Pour le ministre d'Etat, la Finance islamique est à ses débuts au Bénin, ou du moins est restée à l'étape embryonnaire jusqu'à ce jour. Mais il est bien clair, dit-il, que l'économie béninoise ne saurait s'en passer encore longtemps au regard du vif intérêt qu'elle suscite auprès des Etats et des organismes internationaux. Il explique que dans le contexte actuel d'implémentation des normes plus rigoureuses pour la profession bancaire, la finance islamique apparaît comme une alternative intéressante à la finance conventionnelle puisqu'elle s'adosse à des actifs tangibles. « Je précise toutefois que la finance islamique n'est pas réservée aux seules personnes de confession musulmane Elle reste une finance inclusive et non spéculative qui se base sur les préceptes de l'Islam qui interdit l’intérêt en promouvant une répartition juste et équitable des revenus et de la richesse», informe le ministre d’Etat. Il conclut que cette initiative de Coris Bank International vient renforcer les instruments de financement de l'économie béninoise, à l’heure où le gouvernement est en pleine mobilisation des ressources pour la réalisation des projets de son Programme d’actions. En effet, la finance islamique en pleine croissance depuis plus de 40 ans est de plus en plus pratiquée à travers le monde, et notamment en Afrique subsaharienne. Elle est fortement promue par la Banque islamique de développement (Bid) et d’autres institutions internationales. Pour le président du Comité de conformité du Groupe Cbi, Docteur Khouildi, c’est une finance critique Elle ne finance pas les casinos, ne finance pas l’achat des armes. Elle interdit la thésaurisation. Depuis 1974, la banque a installé plus de 1000 institutions dans le monde, fait savoir le président du Comité de conformité. Coris Bank international Baraka est donc une solution de financement islamique qui permet à tous de jouir du confort d’une institution de renommée comme Cbi, mais aussi et surtout de rester conforme aux prescriptions de la loi islamique. Dans sa vision de faire la banque autrement, et pour satisfaire les divers besoins de financement, Cbi Baraka offre différents produits aussi bien aux particuliers qu’aux entreprises. Des produits qui ont été présentés par la directrice générale de Cbi Baraka, Soré Sylvie Sally Keada Compaoré. Les quatre catégories de produits offerts par Cbi Baraka La finance islamique, en termes d'offre de produits bancaires islamiques, se décline en quatre catégories. Les plus couramment utilisés sont présentés par la directrice générale de Cbi Baraka, Soré Sylvie Sally Keada Compaoré, mardi dernier lors du lancement de la branche au Bénin. Sur le plan commercial, il y a trois produits. Le premier produit, indique-t-elle, est « Mourabaha financement ». Ce produit désigne un contrat de vente d'un bien meuble ou immeuble conclu entre une banque islamique propriétaire et un client sur la base d’un coût d’acquisition et d'une marge connus d'avance par les deux parties. Le deuxième produit est « Moussawarna financement ». Il s’agit ici d’un contrat de vente d’un bien meuble ou immeuble conclu entre une banque islamique propriétaire dudit bien et un client sur la base d’un prix convenu d’accord parties sans obligation, pour le vendeur, de déclarer le montant de sa marge bénéficiaire. Quant au troisième, appelé «Istisn'a », il désigne tout contrat conclu entre un établissement de crédit et un fabricant ou un constructeur, par lequel ce dernier s'engage à livrer un bien manufacturé ayant des caractéristiques convenues, à un prix fixe selon des modalités de paiement arrêtées d’accord parties, notamment au comptant, en différé ou à terme. La deuxième catégorie qui est sur le plan participatif comporte aussi trois produits. Le premier est « Moudahara financement». Il s'agit ici d’un contrat selon lequel la banque islamique apporte des capitaux à un client en vue de la réalisation de projets d'investissements. Le deuxième produit dans cette catégorie est « Moucharaka » Il désigne un contrat selon lequel un ou plusieurs investisseurs et une banque islamique mettent en commun des capitaux avec décaissement immédiat ou différé, pour réaliser un projet d'investissement déterminé Le troisième et dernier produit de la catégorie s’appelle « Compte d’investissement Moudaraka». Dans un cadre général, il désigne tout dépôt à terme effectué par un client auprès d'un établissement de crédit, en vue de la réalisation d’investissements dans le respect des principes et règles de la finance islamique. Les investissements peuvent porter sur tout ou une partie de l’activité de l’établissement de crédit. Mais dans un cadre spécifique, il désigne tout dépôt à terme effectué par un client auprès d'un établissement de crédit, à charge pour ce dernier de les investir dans des opérations spécifiques d'accord parties La troisième catégorie est sur le plan locatif. Il n'y a qu’un seul produit ici : « Ijara financement». Il est relatif a tout contrat de location d’un bien meuble ou immeuble établi entre une banque islamique et un client. Il prend la forme d'un Ijara financement lorsque d’une part, le bien acquis est destiné à un usage professionnel et d'autre part, la possibilité est offerte au client d'exercer à terme ou avant terme du contrat, une option d'achat sur tout ou une partie du bien loué, sur la base d’un prix convenu. La quatrième et dernière catégorie de produits est « Salam». Dans cette catégorie, il y a deux produits. Le premier est «Salam». Il désigne tout contrat par lequel l’une des parties, le vendeur, s'engage à livrer à l’autre partie, l'acquéreur, dans un délai convenu, un bien déterminé dont le prix est intégralement payé au comptant. Le deuxième produit s'appelle «Qardh». C’est une opération de prêt sans contrepartie accordé par un établissement de crédit. Il n est assorti d’aucuns frais facturés aux clients, à l'exécution du remboursement des débours ou des frais réels liés à son octroi. Pour Soré Sylvie Sally Keada Compaoré, la Cbi a fait l'option stratégique d’introduire ces produits progressivement. C'est ainsi que sont déjà disponibles aux guichets de Cbi Baraka. La Mourabaha (vente commerciale avec marge bénéficiaire); la Ijara (Location) et les Comptes Wadi'a (compte de dépôt à vue). Ces instruments ont été adaptés. selon elle, pour répondre aux besoins de chaque catégorie de la clientèle. Un rêve de trente ans enfin réalisé Le lancement de Coris Bank international Baraka, mardi dernier, a été une occasion pour l'imam de la mosquée centrale de Cadjèhoun, Ligali Alao Issiaka, de rappeler qu’il s’agit d'un rêve de trente ans qui vient de se réaliser « Si aujourd'hui nous avons l'opportunité de voir créée cette banque islamique, c'est bien », se réjouit l'imam. L'imam Ligali Alao Issiaka a prié pour l'évolution des activités de la nouvelle branche de Cbi Bénin. Il sera soutenu dans ses prières par le secrétaire général du Conseil national de coordination du Hadj Gbadamassi Bachirou. B.S. bibo:pages 11 -- o:id 7888 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7888 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7903 26931 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/48a16816a270b2b015736280fc0904061c29012b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5292a462155001847f90bbfa27beb1bf7df262f6.tiff dcterms:title Don de matériels au Lycée technique Coulibaly : la Jama'at islamique Ahmadiyya accompagne l'enseignement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1516 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15505 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-02-07 dcterms:identifier iwac-article-0003666 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En présence du ministre des Enseignements secondaire, technique et de la Formation professionnelle, Mahougnon Kakpo, la Jama'at Islamique Ahmadiyya a offert, ce mardi 6 février au lycée technique Coulibaly, un lot de matériels didactiques. D'une valeur de 15 millions de F Cfa, ce don est constitué de tables, chaises, tableaux, et d’ordinateurs de bureau et accessoires. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En présence du ministre des Enseignements secondaire, technique et de la Formation professionnelle, Mahougnon Kakpo, la Jama'at Islamique Ahmadiyya a offert, ce mardi 6 février au lycée technique Coulibaly, un lot de matériels didactiques. D'une valeur de 15 millions de F Cfa, ce don est constitué de tables, chaises, tableaux, et d’ordinateurs de bureau et accessoires. La Jama’at islamique Ahmadiyya a fait don, ce mardi, au lycée technique Coulibaly de Cotonou d'un important lot de matériels scolaires d’une valeur de 15 millions F Cfa. Il s'agit de 200 tables, 200 chaises, des ordinateurs de bureau et divers matériels didactiques. « Ce geste répond à notre devise l'amour pour tous, la haine pour personne », a déclaré le président de la Communauté de la Jama'at Islamique Ahmadiyya, Rana Farooq Ahmad. Selon lui, cette contribution de la Jama’at islamique Ahmadiyya vient accompagner le gouvernement du Bénin dans ses efforts de résolution des problèmes de l’éducation. Il remercie le président Patrice Talon et promet de travailler aux côtés du gouvernement pour le développement du Bénin. Le ministre des Enseignements secondaire, technique et de la Formation professionnelle, Mahougnon Kakpo, s’est réjoui de cet appui qui vient de l'initiative personnelle de la Jama’at islamique Ahmadiyya. « J’accueille ce don avec joie, car les gouvernement ne l'a pas sollicité. C'est venu de façon désintéressée de la part de nos donateurs », a-t-il souligné. Il salue cet élan de générosité de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya qui a offert des matériels dont les apprenants ont besoin pour leur formation. « Tout le monde connaît l'utilité et l’importance de ces matériels », a-t-il conclu. bibo:pages 5 -- o:id 7889 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7889 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7904 26932 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bbde2fcefd6287daaccbc8ef39e8ec2349c8a2a2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9af92e4b7c05852cc9387967d07b4bbf080f02da.tiff dcterms:title Négociations pour une issue à la fronde sociale : le Ces et les confessions religieuses jouent les sapeurs-pompiers dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15106 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15079 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13172 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13999 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14923 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13171 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14809 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-03-14 dcterms:identifier iwac-article-0003667 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le president du Conseil économique et social, Augustin Tabé Gbian, a réuni autour d'une même table, dans la soirée de ce mardi 13 mars, au siège de l'institution à Cotonou, les secrétaires généraux des centrales et confédérations syndicales et les représentants des confessions religieuses. Il s'agit de trouver une solution à la crise sociale qui secoue le Bénin actuellement et qui risque de conduire le système éducatif à une année blanche. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le president du Conseil économique et social, Augustin Tabé Gbian, a réuni autour d'une même table, dans la soirée de ce mardi 13 mars, au siège de l'institution à Cotonou, les secrétaires généraux des centrales et confédérations syndicales et les représentants des confessions religieuses. Il s'agit de trouver une solution à la crise sociale qui secoue le Bénin actuellement et qui risque de conduire le système éducatif à une année blanche. Le Conseil économique et social joue les sapeurs-pompiers dans la crise sociale qui oppose les travailleurs en général et les enseignants en particulier au gouvernement, et qui risque de conduire à une année blanche. En face des secrétaires généraux des centrales et confédérations syndicales, hier, il y avait les responsables des confessions religieuses. La démarche du Conseil économique et social (Ces) est d’écouter les travailleurs en grève afin de savoir quelle solution trouver pour sauver l'année scolaire. Selon le président du Ces, Augustin Tabé Gbian, la rencontre d’hier, est la suite d’un travail qui a commencé depuis un moment avec les secrétaires généraux des centrales et confédérations syndicales. Et avec l'évolution de la situation sociale son institution a voulu que cette rencontre soit étendue aux garants de la morale et de la paix Dans les situations les plus difficiles, explique-t-il, c'est à ces derniers que les populations font recours. Car, ils leur inspirent plus confiance, souligne-t-il. Augustin Tabé Gbian indique que le rôle du Ces est de tout mettre en œuvre pour que la paix, la stabilité et la cohésion sociale soient de mise et que les efforts économiques puissent porter leurs fruits. En initiant la rencontre d'hier, le Ces, selon son président, a voulu que les secrétaires généraux fassent le point des négociations en cours avec le gouvernement aux représentants des confessions religieuses. Puis par la suite, la parole sera donnée aux autorités morales pour se prononcer sur la situation qui prévaut actuellement. « Il n'y a pas eu de détails dans les échanges. On nous a écoutés, nous avons parlé. Ils ont pris l’engagement d'aller rencontrer le gouvernement et après la synthèse sera faite », a déclaré, à la sortie de la rencontre, Mathurine Sossoukpè, secrétaire générale adjointe de la Confédération syndicale des travailleurs du Bénin (Cstb). A part cette dernière, les secrétaires généraux des autres centrales et confédérations syndicales ont opté pour le silence. Plaidoyer des confessions religieuses Si du côté des représentants de l'Eglise catholique, aucun membre de la délégation de la Conférence épiscopale du Bénin n’a voulu placer un mot, les représentants des autres confessions religieuses ont dit ce qu'ils pensent de la situation avant d’inviter les uns et les autres à s’entendre. L'imam central de la mosquée d’Aïdjèdo, Yessoufou Abdul Djèlili, secrétaire général de l'Union islamique du Bénin, estime que c’est un début de médiation entre les travailleurs et le gouvernement, la rencontre initiée par le Conseil économique et social. « Vous n’êtes pas sans savoir que l’heure est grave ! » s’exclame-t-il. Depuis un moment rappelle-t-il, le pays est paralysé au niveau de l'Administration. C'est ainsi que le Ces, salue-t-il, a voulu associer les faitières des religieux afin qu’ensemble des voies et moyens soient trouvés pour sortir de cette crise. « Nous venons de démarrer la première séance qui a été consacrée à l’écoute des secrétaires généraux des centrales et confédérations syndicales qui nous ont fait la genèse de la crise avec les différentes revendications qui ont déclenché la grève ». dit-il, avant de promettre que la synthèse sera faite afin de savoir quelle stratégie adopter. Comme il s'agit d'une médiation qui est le rôle du Ces, selon l'imam Yessoufou Abdul Djèlili, il faut forcément écouter l’autre partie. « Notre souhait est qu'une solution soit trouvée pour que chacun retrouve le chemin du travail pour que l’économie reprenne », espère-t-il. Le pasteur Amos Agbindo Bankolé de l'Eglise protestante méthodiste du Bénin, pour sa part, se réjouit d'avoir écouté avec intérêt les responsables des centrales et confédérations syndicales. Son souhait est de tout mettre en œuvre pour éviter une année blanche. « Les parents d'élèves ont assez de difficultés pour payer les scolarités », regrette-t-il avant de plaider pour que l'avenir des enfants ne soit pas hypothéqué. Le représentant des religions endogènes, Dah Gbèdiga Adoko, a plaidé comme les autres pour que l'année scolaire soit sauvée « Restons tous en prière », conseille-t-il. Après avoir écouté les représentants des travailleurs, il promet que le gouvernement sera écouté aussi pour qu’une solution soit trouvée à la crise. bibo:pages 3 -- o:id 7890 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7890 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7905 26933 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2959fd81a0af1da7523ecde3057df2d3b21cec80.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1ac29a7b6a1027bfd2c37889716793e3d3ee2e80.tiff dcterms:title Audience à la présidence de la République : Patrice Talon reçoit l'ambassadeur du Qatar dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15044 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-06-07 dcterms:identifier iwac-article-0003668 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président Patrice Talon a reçu en audience, ce mercredi 6 juin, l’ambassadeur du Qatar près le Bénin, Mohamed Bin Jaber Al-Kuwari. Le renforcement de la coopération bilatérale était au cœur de l'entretien entre les deux personnalités. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/542 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président Patrice Talon a reçu en audience, ce mercredi 6 juin, l’ambassadeur du Qatar près le Bénin, Mohamed Bin Jaber Al-Kuwari. Le renforcement de la coopération bilatérale était au cœur de l'entretien entre les deux personnalités. A sa sortie de l’audience que le président Patrice Talon lui a accordée, ce mercredi 6 juin, Mohamed Bin Jaber Al-Kuwari, ambassadeur du Qatar près le Bénin, s'est dit heureux de cet entretien qui a permis d'évoquer avec le président de la République de nombreux sujets portant sur la coopération entre les deux Etats.« Nous avons discuté de plusieurs sujets, notamment le renforcement de la coopération entre le Bénin et le Qatar », a déclaré le diplomate qatari à la fin de l'audience. Aussi, a-t-il saisi cette opportunité pour rassurer des bons rapports entre les deux pays. « La coopération entre le Bénin et le Qatar sont au beau fixe. L'exemple, c’est la récente visite de son altesse royale dans certains pays africains et la signature de certains accords », se réjouit-il. « Nous travaillons également pour être plus proches du Bénin et cela justifie la récente visite du ministre d’Etat béninois au Qatar et le renforcement de la coopération à travers la signature de certains accords », soutient-il. Mais les choses ne devraient pas en rester là. Mohamed Bin Jaber Al-Kuwari souhaite un renforcement des liens de coopération déjà existants et promet y travailler. bibo:pages 3 -- o:id 7891 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7891 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7906 26934 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d0d1c8591e07c87f225201ae9b461f58c953b919.pdf https://islam.zmo.de/files/original/eaa07e5f02256f95565dc9f716612c9b8ed753bd.tiff dcterms:title Préparatifs de la fête de Tabaski 2018 : forte spéculation autour du prix du mouton à Sèmè-Podji dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-20 dcterms:identifier iwac-article-0003669 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les moutons coûtent plus cher par rapport à l'an dernier sur le site du nouveau marché de bétail de Tohouè à Sémè-Podji où se sont installés les vendeurs déguerpis de Djeffa dans la même commune. Mais cette hausse sur fond de spéculation est loin d'émousser les ardeurs des musulmans tenant à honorer Allah en immolant un mouton pour la Tabaski qui a lieu demain. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14218 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les moutons coûtent plus cher par rapport à l'an dernier sur le site du nouveau marché de bétail de Tohouè à Sémè-Podji où se sont installés les vendeurs déguerpis de Djeffa dans la même commune. Mais cette hausse sur fond de spéculation est loin d'émousser les ardeurs des musulmans tenant à honorer Allah en immolant un mouton pour la Tabaski qui a lieu demain. J'ai prévu 100 000 francs « Cfa, comme d’ailleurs à chaque Tabaski depuis trois ans, pour acheter deux moutons, un gros et un moyen pour la fête demain. Mais je n'ai pu prendre, après un long tour dans le marché, qu’une seule bête. Tout simplement parce les moutons coûtent trop cher cette année », se désole Bastou L., un jeune fonctionnaire en service à Akpro-Missérété. Il ressort tout déçu du nouveau marché de bétail de Tohouè dans la commune de Sèmè-Podji dans l'après-midi du samedi 18 août dernier. Il devra se contenter pour la fête du seul mouton qu'il a pris à 80 000 F Cfa et qui demeure très insignifiant par rapport à ses objectifs de trouver de la viande pour sa petite famille, ses parents et quelques amis du quartier. « Je suis obligé de faire avec. Je ne peux pas faire autrement », poursuit Bastou L. qui a attaché le seul mouton derrière sa moto dame. La même déception est partagée par dame Karamatou Bello, vendeuse du riz qui dit avoir écumé mais en vain les stands du marché de bétail avec une enveloppe de 30 000 F Cfa dans l'espoir d'acheter un mouton pour la fête. Elle avait encore en main la corde qu'elle avait prévue pour attacher la bête. Le coût de tous les moutons trouvés dépasse sa bourse. Le plus bas prix, selon elle, est à 55 000 F Cfa. Mais Karamatou Bello ne désespère pas pour autant. Elle pense chercher du côté des éleveurs de cabri de son quartier à Porto-Novo. Car, elle tient à immoler coûte que coûte une bête, conformément à la tradition musulmane pour l’aïd el-Kébir à laquelle elle sacrifie depuis sept ans. Comme Bastou L. et Karamatou Bello, les clients approchés sont unanimes sur la cherté du prix des bêtes par rapport à l’année dernière sur le nouveau marché de bétail Tohouè où se sont installés les vendeurs déguerpis de leur ancien site de Djeffa situé au bord de la route Cotonou - Porto-Novo. Ruée vers le marché sénégalais ! Cette hausse du prix est confirmée par Arouna Moumouni, président de l’Association des importateurs et vendeurs de moutons du Burkina Faso, du Niger, du Mali, de Guinée et du Nigeria. Selon lui, jamais le mouton n’a coûté aussi cher depuis seize ans qu’il opère dans le domaine de l'importation et de la vente du bétail au Bénin. Cette situation est surtout due, à l’en croire, aux problèmes qui prévalent actuellement dans la filière où ils sont sommés de rejoindre le site de Zè après des formalités administratives. La polémique a découragé le grand nombre d'importateurs surtout burkinabè qui convoient le gros lot de moutons au Bénin à la veille de chaque fête de Tabaski. « Cette année à peine nous avons enregistré 40 camions de moutons provenant du Burkina Faso alors qu'on était à 150 à la même période en 2017. Les importateurs burkinabè ont préféré aller vers le Sénégal à cause de la situation de déguerpissement du marché de bétail de Djeffa », renseigne Arouna Moumouni. Il trouve normal que, face à la situation, les quelques vendeurs qui ont pris le risque d’importer vers le Bénin fassent de la spéculation autour du prix du mouton. C’est la loi du marché : quand la demande dépasse l'offre, les prix augmentent sur le marché explique Arouna Moumouni. Selon lui, un mouton vend à 30 000 francs Cfa en 201 est cédé cette année à plus de 50 000 F Cfa. Le client peut aussi trouver dans le marché de Tohouè des bêtes bien en chair vendues à plus de 600 000 F Cfa. Malgré la hausse des prix, le président de l’Association des importateurs et vendeurs de moutons du Burkina Faso, du Niger, du Mali, de Guinée et du Nigeria se réjouit de l’affluence des clients. Arouna Moumouni constate avec satisfaction qu'en dépit du repli sur le nouveau site dans la brousse à Tohouè où l'on ne peut plus leur reprocher de salir l'image du pays, les clients ne se font pas prier pour venir jusqu'à eux. Il était très difficile de se frayer le chemin cet après-midi du samedi 18 août dernier. Le marché de bétail grouillait de monde même si les clients en ressortaient avec diverses fortunes. Pour cela, Arouna Moumouni implore l’indulgence des autorités préfectorales et gouvernementales qu’elles leur permettent de rester sur le site de Tohouè que leur a trouvé la mairie de Sèmè-Podji et de ne pas les chasser vers Zé. Car, les histoires de casse et de va-et-vient n’arrangent pas du tout le marché où les bêtes reviendront plus chères aux clients, plaide-t-il. bibo:pages 8 -- o:id 7892 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7892 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7907 26935 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/902c69d990a56de544c2bfbc6837ab20b1efc364.pdf https://islam.zmo.de/files/original/37a6a1787c1ac273817cefe09a6be485a1d91db6.tiff dcterms:title Préparatifs de la fête de Tabaski 2018 : flambée des prix du mouton à Bohicon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-20 dcterms:identifier iwac-article-0003670 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract À quelques heures de la célébration de la fête de Aïd el-Kébir encore appelée la fête de la Tabaski, la communauté musulmane de Bohicon fait face à la flambée des prix de la bête à immoler. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content À quelques heures de la célébration de la fête de Aïd el-Kébir encore appelée la fête de la Tabaski, la communauté musulmane de Bohicon fait face à la flambée des prix de la bête à immoler. La communauté musulmane se prépare à sacrifier à la tradition annuelle de l'Aïd el-Kébir, la grande fête de pardon, de réconciliation et de rapprochement. Le Coran prescrit à chaque membre de la communauté musulmane d'immoler une bête à l’occasion de la fête de la tabaski. A Bohicon, les préparatifs vont bon train mais ce n’est pas encore la grande affluence au niveau des marchés de mouton de Bohicon, conséquence de la morosité économique et de la cherté de la vie qui sévissent. beaucoup préfèrent attendre les dernières heures de la fête pour faire leurs achats. Au marché de bétail Gbôhi situé au quartier Zakpo à Bohicon, ce week-end, on note plus de mouvements que d’ordinaire, même si les visages sont quelque peu crispés du côté des vendeurs comme des rares acheteurs. Des va-et-vient incessants et des négociations interminables entre vendeurs et acheteurs. Des bêtes sont aussi débarquées dans le marché par des vendeurs occasionnels qui espèrent faire des affaires en profitant des enchères. Mais curieusement, très peu de montons quittent ce marché parce que les preneurs au pouvoir d’achat limité se sentent visiblement dépassés par les prix fixés par les vendeurs. « Les frères musulmans viennent pour voir les moutons mais ils demandent les prix et s’en vont », raconte Karimou, vendeur occasionnel de bétail dans ce marché. Son voisin Issa vient de céder un mouton au prix de 90 000 F Cfa à un père de famille qui n’a pas voulu avoir des surprises désagréables au dernier jour. Ce dernier dit ne pas attendre le dernier jour parce que les bêtes coûteraient encore plus cher. Le jour de la tabaski, prévient-il, les animaux coûtent plus cher allant dans l’ordre de 200 000 F Cfa. Rassurant, Waliou Abdouramane, maître coranique à Zongo (Bohicon), estime que malgré le prix coûteux de la bête, la tabaski aura bel et bien lieu. Les bêtes seront immolées par les croyants qui ont les moyens de le faire. Et le sacrifice à faire à Dieu n’a pas de prix. Le maître coranique rappelle que les prescriptions du saint Coran indiquent que « C’est un geste en souvenir du miracle opéré par Allah en substituant un bélier au fils unique qu'Abraham lui offrait en sacrifice à sa demande ». Puis il avertit que les bêtes en offrande au Miséricordieux Allah ne doivent être ni boiteuses ni affectées par une quelconque maladie. Par ce sacrifice du mouton, le matin de l'Aïd el-Kébir, le musulman renouvelle en permanence sa foi et sa soumission à Dieu, le Tout Puissant et le Miséricordieux, dans le même esprit que celui d’Ibrahim. « Celui-ci, s'apprêtant à sacrifier son fils à Dieu sur ordre de ce dernier, vit s'approcher de lui, à l’ultime minute, un mouton envoyé du ciel ». Et c'est bien ce sacrifice qui doit être renouvelé demain comme chaque année par tout bon musulman. bibo:pages 9 -- o:id 7908 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7908 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7926 26936 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fadc9d0b9b598daaa3bb22545c4144ddfed65b40.pdf https://islam.zmo.de/files/original/80c69748559521fd9e64ed5255c57133911d04bf.tiff dcterms:title Camp médical de la Jama'at islamique Ahmadiyya : des malades de la cataracte pris en charge à Abomey dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-03-08 dcterms:identifier iwac-article-0003671 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin organise un camp médical gratuit à l’intention des malades souffrant de la cataracte dans la ville d’Abomey et environs. Cette opération qui dure trois jours a démarré, ce mercredi 7 mars, sur l’esplanade du musée historique d’Abomey avec les équipes médicales de Humanity First. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin organise un camp médical gratuit à l’intention des malades souffrant de la cataracte dans la ville d’Abomey et environs. Cette opération qui dure trois jours a démarré, ce mercredi 7 mars, sur l’esplanade du musée historique d’Abomey avec les équipes médicales de Humanity First. Conduite par des spécialistes de renommée, l’opération gratuite de la cataracte organisée par la Jama’at islamique Ahmadiyya et l’Ong Humanity First, vise à prendre en charge des malvoyants qui nécessitent une intervention chirurgicale prompte. L’équipe médicale dispose d’un bus médicalisé et spécialisé dans les opérations ophtamologistes, donc doté d’un plateau technique de la dernière génération, à en croire les témoignages. Informées de la présence de l’équipe médicale à Abomey, les populations de la ville et environs ne se sont pas fait prier. Enfants, femmes et hommes étaient nombreux hier devant le bus médicalisé dans l’espoir d’être pris en charge dans l'intervalle des trois jours que dure cette opération humanitaire. Des personnalités de la localité ont répondu présentes au démarrage de ce camp médical. Parmi elles, le préfet Firmin Kouton a salué ce geste humanitaire des responsables de la Jama’at Islamique Ahmadiyya et surtout pour le choix porté sur la ville d’Abomey. Il a saisi l’occasion Pour remercier les responsables de Ahmadiyya au Bénin pour cette assistance permanente aux populations du Zou dans ses diverses missions humanitaires. Des actions humanitaires de grande portée qui sont profitables pour les populations vulnérables qui soufrent d'un accès difficile aux soins de qualité et surtout relatifs aux maladies d'yeux. A sa suite, l’Amir Rana Farooq Ahmad, président de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a rappelé que ce geste humanitaire à Abomey traduit l'obligation qui est faite à tout bon musulman de soutenir ses frères et sœurs qui sont dans le besoin. Un geste qui est donc fait, non pas pour la gloire des bienfaiteurs, mais celle de Dieu. Et, c'est dans cette ligne que s’inscrivent les actions de la Jama'at islamique Ahmadiyya au Bénin, à travers diverses activités humanitaires et de solidarité. De nombreux gestes humanitaires qui témoignent et traduisent effectivement de la fraternité et de la solidarité prônées au sein des Ahmaddis. Après Abomey, cap sera mis sur Parakou puis sur Malanville. bibo:pages 7 -- o:id 7909 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7909 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7927 26937 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/64c850586a49ef301c6f33a5574f6a78d8a6c13f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/589086205184b04ccda3f9f272f8246a16821f84.tiff dcterms:title Assistance sociale : la Jama'at islamique Ahmadiya au secours des sinistrés de Cobly dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/30 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-10-26 dcterms:identifier iwac-article-0003672 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiya a offert, mardi 23 octobre dernier, aux sinistrés du drame qui a endeuillé certaines populations de la commune de Cobly, divers dons. C’était en présence des donateurs et des autorités politico-administratives. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13726 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiya a offert, mardi 23 octobre dernier, aux sinistrés du drame qui a endeuillé certaines populations de la commune de Cobly, divers dons. C’était en présence des donateurs et des autorités politico-administratives. Composés de vivres et de fournitures scolaires, les dons faits par la Jama’at islamique Ahmadiya, d’une valeur de quatre millions de francs CFA, viennent réconforter les sinistrés des échauffourées qui avaient opposé peulhs transhumants et agriculteurs vivant dans cette communauté du département de l’Atacora. L'amir et missionnaire de la Jama’at islamique Ahmadiya du Bénin, Faruq Rana, a demandé aux sinistrés d'accepter avec joie ce geste modeste. Il les a également exhortés à cultiver la paix dans leur localité. Une recommandation, gage de développement. Tour à tour, le représentant du préfet de l’Atacora, Nestor M'Po N'Dah, le maire de Cobly, Théophile Nekoua, le chef d'arrondissement de Datori, Emmanuel Solly et le représentant de la Direction départementale de la Famille et des Affaires sociales, Guy Joël Sèna, ont aussi salué à juste titre ce geste de la Jama’at islamique Ahmadiya qui vient une fois encore justifier sa devise qui se traduit par l'amour pour tous, la haine pour personne. Le représentant des bénéficiaires, Abdraman Kanweni a profité de l'occasion pour solliciter à nouveau l'assistance de la communauté Ahmadiya dans le domaine de la construction des infrastructures. Car, soutient-il, le village de Tila où les sinistrés sont relogés a besoin d'écoles, de latrines sans oublier les forages. bibo:pages 13 -- o:id 7910 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7910 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7928 26938 26939 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/731d6852141277e55172ee19c565a18f5b4e950a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7c551091abd4f205e76a6c185d804f624a5e3b8c.tiff https://islam.zmo.de/files/original/e07fe703a7900a95f58945786d187aee0d17c4c8.tiff dcterms:title Hadj 2018 : les premières vagues de pèlerins béninois déjà en terre sainte dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-10 dcterms:identifier iwac-article-0003673 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les Béninois candidats au hadj 2018 effectuent depuis trois jours le déplacement vers la Mecque dans une ambiance de fête et surtout une organisation suivant les directives retenues par le comité national en charge de l’évènement. Dans la nuit du mercredi 8 au jeudi 9 août, la deuxième vague de pèlerins béninois a rallié la terre sainte, sous le regard soulagé de plusieurs responsables. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les Béninois candidats au hadj 2018 effectuent depuis trois jours le déplacement vers la Mecque dans une ambiance de fête et surtout une organisation suivant les directives retenues par le comité national en charge de l’évènement. Dans la nuit du mercredi 8 au jeudi 9 août, la deuxième vague de pèlerins béninois a rallié la terre sainte, sous le regard soulagé de plusieurs responsables. Quelque 3051 Béninois sont attendus à La Mecque en Arabie Saoudite pour l’édition 2018 du Hadj, un des piliers majeurs de la religion musulmane. Parmi eux, 1665 ont déjà rallié la terre sainte par vols réguliers pour accomplir leur pèlerinage. Les 1386 autres doivent effectuer le déplacement par vols charters. Depuis la nuit du mercredi 8 août dernier, la première vague de pèlerins dans cette catégorie, 282 voyageurs au total dont deux bébés, ont pris départ de l’aéroport de Cotonou et ont rallié le sol saoudien sains et saufs à la grande satisfaction des membres du comité d’organisation du hadj. La deuxième vague comprenant 311 voyageurs s’est également envolée à destination de l’Arabie saoudite, à bord d’un Boeing 777. Embarquement sans anicroche dans l’ordre et la discipline qui caractérisent cette année l’organisation du hadj. Les uns sereins, les autres dépaysés parfois trop pressés d’embarquer, ces candidats au hadj ont rejoint l’appareil affrété pour leur déplacement avec des signes de reconnaissance et de remerciements aussi bien à l’endroit de l’organisation que d’Allah dont le nom sera abondamment invoqué tout le long du voyage. Cette discipline dans l’organisation est une exigence du chef de l’Etat et du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération qui préside le comité d’organisation de ce pèlerinage. « Les instructions données ont été suivies à la lettre », confie Bachirou Gbadamassi, secrétaire général du comité d’organisation du hadj. « Il n’y a aucun problème avec les convoyeurs cette année même si deux hadj ne se ressemblent jamais », laisse-t-il entendre, soupirant, sans doute soulagé de constater que le deuxième embarquement à l’instar du premier a été une parfaite réussite. D’autres innovations, selon lui, sont à mettre à l’actif de l’édition 2018 du hadj et celles-ci concernent, entre autres l’accueil et les formalités d’avant-voyage. A ce niveau, deux appuis ont été déterminants, souligne Bachirou Gbadamassi : la Police républicaine qui a permis de gagner en discipline et la compagnie aérienne Air Bénin Taxi. C’est en effet cette dernière qui a été retenue après l’avis d’appel d’offres pour la sélection d’un transporteur aérien dans le cadre de ce pèlerinage et son apport et son expertise n’auront pas été vains, admet Bachirou Gbadamassi. La compagnie a prévu cinq vols charters au total pour en finir avec le convoyage des candidats au hadj. Pour Frédérique Chaffa Shobanke, directrice commerciale d’Air Bénin Taxi, le ton ne peut qu’être à la satisfaction au niveau de la compagnie qui a pu mettre les pèlerins dans les conditions indiquées et exigées par les autorités béninoises. «Avec le concours du comité, le conseil des convoyeurs et l’appui du chef de l’Etat, nous avons réussi à économiser du temps avec des tarifs plus bas pour le déplacement d’un plus nombre grand de Béninois », indique-t-elle. Pendant ce temps, le bruit du Boeing 777 s’élançant dans le ciel en direction de la terre sainte de La Mecque envahit l’aéroport de Cadjèhoun, sous le regard soulagé des membres du comité d’organisation et du personnel aéroportuaire. Le retour des pèlerins est programmé du 9 au 13 septembre prochain. bibo:pages 1 13 -- o:id 7911 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7911 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7929 26940 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/80ba394197a50176fda5c0c52b8a78d4640f00c9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5728b86e5d55cc39189ef314c6a310cfa356382f.tiff dcterms:title Ramadan : le jeûne musulman démarre ce jour ("Une école", selon l'imam Mouhamadou Kabirou Garba) dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1511 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1981 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-05-17 dcterms:identifier iwac-article-0003674 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Ce jeudi est le premier jour du mois de ramadan, période du jeûne musulman. Mouhamadou Kabirou Garba, imam des mosquées centrales de Gbégamey et de Sèkandji, au détour d’un entretien, affirme que « le Ramadan doit servir d’école ». dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Ce jeudi est le premier jour du mois de ramadan, période du jeûne musulman. Mouhamadou Kabirou Garba, imam des mosquées centrales de Gbégamey et de Sèkandji, au détour d’un entretien, affirme que « le Ramadan doit servir d’école ». Grand moment de jeûne et de prières, le ramadan débute ce jeudi 17 mai. Même si le fameux croissant de lune annonciateur n’était pas visible, le jeûne peut démarrer chez les mahométans. Car, indique Mouhamadou Kabirou Garba, imam des mosquées centrales de Gbégamey et de Sèkandji, « On ne peut pas commencer le jeûne ou arrêter de jeûner alors que le mois fait vingt-neuf jours, sauf que si on voit le croissant de la lune ». Le jeûne au cours du mois de ramadan, dira l’imam, est une prescription divine. « Cela fait partie des cinq piliers de l’islam », précise-t-il, ajoutant que c’est obligatoire pour le musulman d’observer le mois de jeûne, qui est un mois béni. Mais, avertit l’imam Garba, le musulman doit remplir des conditions d’abord. « Il doit être adulte, être en bonne santé, ne pas être en position de voyageur », dit-il. Pour lui, les enfants qui jeûnent ne sont pas contraints. Il signale qu’ils sont plutôt en apprentissage. « Ce n’est pas obligatoire. Si entretemps, il ne jeûnait pas, ce n’est rien », affirme-t-il, soutenant qu’il et ne sera pas puni contrairement à un adulte qui remplit les critères et qui n’observe pas le jeûne. Les obligations L’imam Mouhamadou Kabirou Garba rappelle que, pendant le mois de ramadan, il faut se lever à l’aube pour manger et s’abstenir toute la journée jusqu’au coucher du soleil. Selon lui, même si l’organisme ne supporte pas la nourriture matinale, « il est conseillé de prendre du fruit et de l’eau pour sacrifier à cette exigence cultuelle ». Car, poursuit-il, « il y a une bénédiction dans ce qu’on mange lorsqu’on a l’intention de jeûner ». L’imam insiste aussi sur l’abstinence sexuelle pendant le mois du ramadan, expliquant qu’il faut se priver de tous désirs et plaisirs charnels. Outre les privations, l’imam signale que le fidèle musulman doit s’éloigner des calomnies et médisances tout en se gardant de regarder n’importe quoi, précisant que ce n’est pas seulement le ventre ou la bouche qui jeûne, mais le corps et l’âme. Il met l’accent, par ailleurs, sur des traitements défendus pendant le mois tels que l’administration par voie nasale ou les injections qui remplacent l’alimentation. Mener une vie de piété Pour l’imam Garba, il faut être sage et sain avant, pendant et après le ramadan. D’où sa désolation lorsqu’il évoque les plaintes de méventes des gérants de bars et débits de boissons dans la période du ramadan. « Ce qui veut dire que les clients sont des musulmans, Sinon, pourquoi se plaindront-ils ? », reproche-t-il. L’homme de Dieu assure que les musulmans qui pensent que c’est seulement dans le mois béni de ramadan qu’il faut mener une vie pieuse se trompent. Selon lui, « Le ramadan doit être une école ». Il soutient que c’est la période où l’on raffermit sa foi, pour se montrer digne dans la société ». Il ajoute que l’islam c’est la tolérance, la compréhension, la facilité, l’amour, la sagesse, surtout l’assistance aux démunis sans distinction de religion. L’imam souhaite qu’« il faut qu’après le mois de ramadan, les musulmans du Bénin changent l’image de notre pays ». Les personnes exemptes du jeûne ramadan « Il y a deux catégories de personnes exclues du jeûne », explique l’Imam Garba de Gbégamey. Le vieillard qui ne peut plus supporter la faim est exempt du jeûne. Mais, il a l’obligation de nourrir chaque jour un pauvre. Il y a des maladies temporaires, là aussi, la personne ne jeûne pas, mais lorsqu’elle est rétablie, il va compenser. Il y a des maladies sans espoir de guérison. Par exemple, une personne souffrant d’ulcère ou autres maladies incurables, donc sous traitement à vie. Celle-là doit aussi chaque jour du ramadan, doit nourrir un pauvre. Les femmes en menstruation ou nourrices ne doivent pas jeûner. Elles attendent la fin de la période de menstruation ou d’allaitement pour compenser. D’autres par contre suggèrent qu’elles nourrissent également les pauvres en compensation. bibo:pages 11 -- o:id 7912 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7912 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7930 26941 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/85185721d2b48915015c13113ef74c215174d5d7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0a1ab5c15133faaa42b1f81cc3680de5f9979c46.tiff dcterms:title Education : Ahmadiyya offre 100 tables et bancs à l'Epp d'Adjan dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14890 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-04-20 dcterms:identifier iwac-article-0003675 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les enseignants et apprenants de l’Ecole primaire publique du village d’Adjan dans la commune de Zè peuvent pousser un ouf de soulagement quant à leurs difficultés liées à l’insuffisance de mobilier scolaire. La communauté Jama’at islamique  Ahmadiyya a mis à leur disposition, ce jeudi 19 avril, 100 tables métriques et bancs pour équiper le module de trois classes entièrement construit par le député Valentin Aditi Houdé, un natif du village. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12847 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les enseignants et apprenants de l’Ecole primaire publique du village d’Adjan dans la commune de Zè peuvent pousser un ouf de soulagement quant à leurs difficultés liées à l’insuffisance de mobilier scolaire. La communauté Jama’at islamique Ahmadiyya a mis à leur disposition, ce jeudi 19 avril, 100 tables métriques et bancs pour équiper le module de trois classes entièrement construit par le député Valentin Aditi Houdé, un natif du village. Cent tables métriques et bancs d’une valeur de 5 millions de francs Cfa, c’est le don que la Jama’at islamique Ahmadiyya a fait à l’école primaire publique du village d’Adjan dans la commune de Zè pour équiper les salles de classe construites par le député Valentin Aditi Houdé pour améliorer les conditions d’études des apprenants de cette école. Un geste qui a suscité la satisfaction du directeur de l’Epp Adjan, Virgile Mèdjigbodo qui a dit toute sa reconnaissance aux donateurs. « Au-delà de nos paroles, ce sont nos actes qui témoignent de ce que nous sommes », déclare-t-il, avant d’affirmer que la Jama’at islamique Ahmadiyya, par ce geste, a démontré qu’il a un cœur qui partage. La représentante du conseiller pédagogique de la région 13, Maxime Lèbonon, salue la générosité des donateurs qui contribuent ainsi au développement de l’école béninoise et à la formation des futurs cadres et élites du Bénin. « Sans école, il n’y a pas de développement, donc nous devons contribuer à faire en sorte que nos apprenants se retrouvent dans de bonnes conditions d’études, l’évènement qui nous réunit est à inscrire en lettres d’or dans l’histoire de l’Ecole primaire publique d’Adjan », affirme-t-elle. L’élève Samuel Saclé, au nom de ses camarades, a affirmé que cette cérémonie de remise de don doit être considérée comme celle de la signature d’un partenariat entre l’Epp Adjan et la Jama’at islamique Ahmadiyya, pour le bien et le progrès de l’école béninoise. Il dit sa reconnaissance au député Valentin Aditi Houdé dont la générosité et les démarches ont permis de combler les attentes des apprenants et enseignants de l’école qui a contribué à sa formation. Samuel Saclé n’a pas manqué de demander aux autorités du ministère des Enseignements maternel et primaire, d’envoyer des enseignants dans l’école. Car selon lui, des écoliers restent à la maison pendant des semaines parce que les parents n’ont pas les moyens de payer les 1500 F Cfa qu’on exige d’eux pour payer les salaires des enseignants recrutés par l’école. De même, tous les élèves n’arrivent pas à payer les 25 francs exigés pour avoir accès à la cantine, relève-t-il. Le maire de la commune de Zè, Joseph Dangbénon, rappelle que la communauté Ahmadyya a déjà prouvé à plusieurs occasions son engagement à accompagner le développement de la commune. Il remercie le député qui a doté l’école d’un module de classes et s’est battu pour trouver des donateurs du mobilier. Le député Valentin Aditi Houdé a dit que son geste vient en réponse à une doléance du directeur de l’école qui est allé le voir pour l’informer du manque de salles de classe dans ce lieu où il a été formé lui-même pour y avoir fait les classes du CI au Cm 2. En ce qui concerne les problèmes posés par le représentant des écoliers, il a promis de contribuer à la construction de la clôture de l’école. « C’est ma manière à moi d’accompagner le président Patrice Talon dans sa volonté de faire des merveilles pour l’école béninoise », dira le député. Le président de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin, Rana Farooq Ahmad, a rappelé que le geste de son organisation vise à lutter contre les maux qui menacent le système éducatif béninois en y améliorant les conditions de travail. bibo:pages 11 -- o:id 7913 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7913 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7931 26942 26943 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5372a83e36dc72f797cba8ea50aea0d07788f2d8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/aaf06612fda0093f320d7e553bd6434c1850dbec.tiff https://islam.zmo.de/files/original/bd2447d5cdcd4e2387a73e13fb0e904437e993ff.tiff dcterms:title Rencontre de Patrice Talon avec les membres de l'Union islamique du Bénin : le langage de vérité du président de la République dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-02-23 dcterms:identifier iwac-article-0003676 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République, Patrice Talon a reçu, ce jeudi 22 février au palais de la présidence, les membres du bureau provisoire de l’Union islamique du Bénin. Avec ses hôtes, le président Patrice Talon a discuté de questions d’intérêt national comme il l’a fait avec les autres responsables de confessions religieuses. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République, Patrice Talon a reçu, ce jeudi 22 février au palais de la présidence, les membres du bureau provisoire de l’Union islamique du Bénin. Avec ses hôtes, le président Patrice Talon a discuté de questions d’intérêt national comme il l’a fait avec les autres responsables de confessions religieuses. Dès le début des échanges, le président de la République a remercié ses hôtes pour le rôle qu’ils jouent, et surtout, il leur a exposé le contenu des réformes qu’il a engagées depuis quelques mois et qui ne sont pas comprises de ses concitoyens, et les raisons qui les ont motivées. Patrice Talon a toutefois rassuré les membres du bureau de l’Union islamique du Bénin de la bonne foi du gouvernement qui tient à balayer la maison commune pour qu’elle soit agréable à vivre. « Les dirigeants n’ont pas vocation à changer chaque Béninois en un être parfait, mais d’œuvrer à ce que le comportement de chacun ne soit pas préjudiciable à la vie en commun ; en favorisant l’émergence des valeurs… Le rôle des dirigeants est de bien gérer ce que la nation leur a confié pour l’intérêt général », soutient le chef de l'Etat. C’est pourquoi, martèle-t-il, quand nous faisons le constat de notre responsabilité collective dans la situation du pays, surtout les élites, et qu’on a l’avantage, l’opportunité, la grâce d’être là où on peut agir pour réparer, corriger, ce n’est pas bien d’y renoncer pour son confort personnel. Il a rappelé une phrase qu’il a prononcée pendant la campagne présidentielle et à travers laquelle il affirmait qu’il sait comment trouver l’argent, et qu’il connaît le chemin par lequel passer pour améliorer nos conditions de vie. Ce chemin, selon lui, c’est celui du travail. Patrice Talon n’a pas manqué de préciser à ses interlocuteurs que le Bénin est le pays qui a le plus de patrimoine touristique en Afrique et que le tourisme est une mine d’or. Concernant les évacuations sanitaires, il a dit être au courant des reproches qu’on lui fait et que, malgré cela, il a décidé de ne plus autoriser les évacuations sanitaires et qu’à long terme, il a l’ambition de les supprimer carrément, pour construire un hôpital de référence internationale, tout ceci pour économiser de l’argent pour le Bénin, pour améliorer la vie du plus grand nombre. Les évacuations, dira-t-il, se limiteront aux cas urgents. Le président de la République a réaffirmé sa conviction que le Bénin est un pays béni, ce qui, dit-il, le motive et l’amène à faire des efforts, sinon il aurait pu baisser les bras. Ses hôtes lui ont témoigné leur reconnaissance pour les efforts qu’il déploie pour redresser le pays. Ils ont rappelé qu’un bon musulman a le devoir d’obéir aux lois de Dieu et surtout de respecter l’autorité établie et les décisions prises par lui. L’Union islamique du Bénin souhaite la mise en place d’un Comité regroupant toutes les confessions religieuses, et à défaut avec l’Uib. Une proposition qui a reçu l’assentiment du chef de l’Etat qui a précisé que c’est le sens qu’il faut donner aux rencontres initiées avec les confessions religieuses. bibo:pages 1 16 -- o:id 7914 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7914 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7932 26944 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4286fa0d7750975401f6459b05708936c02e2704.pdf https://islam.zmo.de/files/original/fe86cd6fcbc71f8a658632ac36f2748e17d4f5cb.tiff dcterms:title Conférence interreligieuse de la Jama'at islamique Ahmadiyya : l'unité sociale dans la diversité prônée dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-11-05 dcterms:identifier iwac-article-0003677 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya a convié, samedi 3 novembre dernier, les populations de Djougou et environs, toutes obédiences confondues, à une conférence interreligieuse. En présence du premier adjoint au maire de la commune de Djougou, Idrissou Amadou et du président national de la Jama’at islamique Ahmadiyya, Rana Farooq Ahmad, le missionnaire de l’organisation, Yaya Assani a abordé une thématique relative à «Diversité religieuse et unité sociale». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya a convié, samedi 3 novembre dernier, les populations de Djougou et environs, toutes obédiences confondues, à une conférence interreligieuse. En présence du premier adjoint au maire de la commune de Djougou, Idrissou Amadou et du président national de la Jama’at islamique Ahmadiyya, Rana Farooq Ahmad, le missionnaire de l’organisation, Yaya Assani a abordé une thématique relative à «Diversité religieuse et unité sociale». Pour la coexistence pacifique des différentes religions, la paix et l’unité. Tel est le credo de la Jama’at islamique Ahmadiyya, selon son président national. D’où la tenue de la conférence, qui est rééditée à Djougou samedi dernier en raison de son impact. Appelé à développer le thème retenu pour l’occasion, Yaya Assani l’a fait en quatre grands points : l’homme dans sa nature et dans ses dimensions, le concept de diversité dans la religion, la pluralité religieuse et le principe universel, et enfin la paix et l’unité sociales. La nature de l’homme, selon le communicateur, porte en elle-même la diversité dans son élan vers le spirituel, retient-il. Chaque homme fait un choix et l’homme incarne la diversité en lui-même. Dans Genèse1, verset 27, il est écrit que « Dieu créa l’homme à son image », fait observer Yaya Assani. Pour lui, les sept milliards de voisins que nous constituons sur terre ne sauraient être sans une certaine diversité. Le communicateur, abordant le second point du thème, évoque les concepts de la trilogie divine en une, de Dieu 7 en un, de Dieu 41 en un et à l’infini. Il s’appuie sur Apocalypse 10 versets 1 à 3. Pour lui, la divinité porte en elle-même la diversité. La divinité enseigne la sagesse. Il propose à ce sujet Coran 67 versets 4 et 5. Pour retenir que Dieu est un, l’humanité est une et la religion est unique. Concernant la pluralité religieuse et le principe universel, sept grandes religions partagent les hommes selon différentes dénominations. Toutefois, en réalité, il n’y a qu’une seule religion sur la terre, ce qui signifie qu’il faut cultiver l’amour sur terre. Enfin conclut-il, par rapport à la paix et à l’unité sociale, la diversité religieuse constitue une richesse de sagesse pour le monde. « En dépit de nos divergences, nous devons relever le défi de l’unité sociale » retient-il. A sa suite, le premier adjoint au maire salue l’initiative, noble selon lui car elle permet de mettre ensemble plusieurs confessions religieuses pour conforter la paix. bibo:pages 13 -- o:id 7915 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7915 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7933 26945 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/03caa89a7fd7ee1ba3f853338689e7509ef2766e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4a662f56d2f4a4ddb1621ca288e4dfd48577e39f.tiff dcterms:title Affaire Cissé : Sylvain Akindès révèle les combines du "marabout" du président dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13348 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1975 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14729 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-03-01 dcterms:identifier iwac-article-0003678 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le dimanche 11 février dernier, le Bénin apprend avec émoi la disparition de Mohamed Amadou Cissé. Celui qui a été ministre occulte du président Mathieu Kérékou et impliqué dans plusieurs dossiers de malversations et de détournement de deniers publics a laissé à son pays d'accueil un lourd passif sur lequel revient l’ancien ministre Adékpédjou Sylvain Akindès. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le dimanche 11 février dernier, le Bénin apprend avec émoi la disparition de Mohamed Amadou Cissé. Celui qui a été ministre occulte du président Mathieu Kérékou et impliqué dans plusieurs dossiers de malversations et de détournement de deniers publics a laissé à son pays d'accueil un lourd passif sur lequel revient l’ancien ministre Adékpédjou Sylvain Akindès. Presque dans l’anonymat Mohamed Amadou Cissé s'est éteint dans la nuit du samedi 10 au dimanche 11 février sur sa terre natale. Au Bénin, pays qui l’a adopté un moment et banni pour ses impairs par la suite, sa disparition n'est pas passée sous silence. L'émoi a été grand. Et des témoins privilégiés de l’histoire politique du pays ne se sont pas privés de revenir sur le passé de l'homme fort de la période révolutionnaire. Si l'ancien ministre Adékpédjou Sylvain Akindès ne s'est pas prononcé publiquement sur la mort du célèbre marabout du Grand Caméléon, il s’est épanché sur le rôle non moins majeur qu'il a tenu au cours de la période révolutionnaire à travers son livre Essai d'histoire du temps présent au Bénin postcolonial : Problématique d'un engagement politique Tome II. Pour ce dernier. Mohamed Amadou Cissé était considéré comme le "charlatan” du président Kérékou. Et à ce titre, il bénéficiait de tous les passe-droits. « Il régna en maître sur le Bénin, au centre des promotions aux très hauts postes de l’Etat : ministres, directeurs généraux des sociétés d’Etat (notamment du secteur économique et surtout du secteur financier), etc.» Son action la plus importante et la plus néfaste a été le pillage de la Banque commerciale du Bénin, souligne l’ancien ministre. La principale banque des petits épargnants béninois a en effet connu le détournement de leurs avoirs au profit du marabout. Quoique l’on note un clair-sombre autour des montants exacts soutirés des comptes de la banque, il est toutefois admis qu'une somme totale de 1 825 000 000 francs Cfa a été frauduleusement versée par la banque sur des comptes en France ouverts au nom de Cissé Mohamed Amadou, en une seule année, de novembre 1987 à novembre 1988. Par ailleurs, le ministre révèle dans son ouvrage que pour avoir eu la faveur d'être nommé ministre des Finances et de l’Economie, Barnabé Bidouzo, s'est engagé le 2 mars 1986 à tout mettre en œuvre pour que les projets économiques et financiers qu’il sera amené à réaliser en République populaire du Bénin engendrent d’ici cinq ans à compter de sa date de nomination, un profit cumulé de 4 milliards de francs Cfa dont 3,5 milliards seront remis au fur et à mesure de leur production au camarade Cissé M. Amadou, en espèces ou par virements bancaires dans des comptes à désigner par le bénéficiaire. Autant de faits qui ont conduit à son extradition le 27 juillet 1990 de la Côte d’Ivoire où il retrouvait une nouvelle vie à l’avènement du Renouveau démocratique au Bénin. Condamné à une peine d'emprisonnement de dix ans et d'interdiction de séjour pendant 20 ans au Bénin pour ses crimes, l'homme responsable de la faillite de nombreuses banques du pays, libéré le 8 juin 2001 sur ordonnance de la Cour suprême, s'est définitivement retiré de la scène. Après une longue procédure judiciaire engagée contre Moustapha Niasse, actuel président de l’Assemblée nationale sénégalaise avec qui il était en affaires à une certaine époque. Une bataille qu’il a fini par perdre, débouté par la justice sénégalaise. bibo:pages 16 -- o:id 7916 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7916 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7934 26946 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1ff402fba927af2b4a457792c6bf2a55d5bf39f9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/cd49d1c8f7ab2b2822dee68b048d744e6dd969f3.tiff dcterms:title Camp médical gratuit de la Jama'at islamique Ahmadiyya à Kpomassè : des soins et médicaments pour soulager les populations de Vivio dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-03-22 dcterms:identifier iwac-article-0003679 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les populations de Vivio dans la commune de Kpomassè bénéficient de l’assistance et de l’accompagnement de la Jama’at islamique Ahmadiyya, qui organise un camp médical gratuit en leur faveur. Avec pour finalité des soins et médicaments gratuits. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13164 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les populations de Vivio dans la commune de Kpomassè bénéficient de l’assistance et de l’accompagnement de la Jama’at islamique Ahmadiyya, qui organise un camp médical gratuit en leur faveur. Avec pour finalité des soins et médicaments gratuits. Ce mercredi à Vivio, commune de Kpomassè, des femmes, des hommes et des enfants rassemblés, attendaient patiemment leur tour pour être examinés et recevoir les produits médicaux. Bokpè Amoussou, chef du village, se réjouit de l’arrivée de la Jama’at islamique Ahmadiyya dans son village. « Dieu nous a envoyés de bonnes choses ; si quelqu’un sent des maux, on va lui donner des médicaments pour le soulager », a-t-elle déclaré. Elle a témoigné sa gratitude à Pascal Irénée Koupaki pour avoir initié cette action de solidarité. Son représentant à la cérémonie de lancement du camp, André Tossou, a fait part de la joie qui l’anime avec l’arrivée de la Jama’at islamique Ahmadiyya à Vivio. Pour lui, celui qui offre la santé vous donne la force. Après avoir témoigné sa gratitude à l’initiateur, il a rassuré de la disponibilité des populations à recevoir les soins et médicaments. Le préfet de l’Atlantique, par la voix de son représentant, Séraphin Yokossi, a imploré la grâce du miséricordieux sur les populations bénéficiaires. Il a témoigné sa gratitude à la Jama’at islamique Ahmadiyya. Les œuvres, apprécie-t-il, viennent en appui aux actions. Séraphin Yokossi a souhaité que ces actions soient renforcées, car la santé n’a pas de prix, encore moins de couleur religieuse. Aussi, le représentant du préfet convie-t-il les populations à se prêter aux consultations et soins gratuits offerts. « Qu’Allah bénisse les soins et permette aux malades de recouvrer la santé », a-t-il souhaité pour finir. Pour Dr Ijaz Ahmad, pédiatre consultant, l’un des membres de la paire formant l’équipe médicale déployée à Vivio, ils sont là pour accompagner et soutenir les populations, surtout les enfants afin qu’ils prospèrent dans les études. Il a convié l’assistance à la soumission à Dieu et plaidé pour une meilleure éducation en faveur des enfants. « Quelles que soient les maladies, vous serez pris en charge gratuitement et les médicaments vous seront donnés », a déclaré Rana Farooq Ahmad, président de la Jama’at Islamique Amadiyya du Bénin. Il a déclaré avoir fait le déplacement pour soutenir et aider ceux qui n’arrivent pas à fréquenter les centres de santé. « Nous avons décidé d’aller vers vous et avons dépêché deux médecins ; un pédiatre et un généraliste qui sont là pour vous », a-t-il déclaré. 2018, selon lui, est déclarée année de solidarité. C’est pourquoi la Jama' at a concocté un programme pour entretenir les anciens forages et en faire de nouveaux. Il y a également à développer, informe-t-il, des installations d’énergie solaire pour l'électrification de la localité. Après avoir imploré la paix et la grâce divines sur l’assistance, il a déclaré être venu à leur rencontre afin de connaître leurs problèmes pour s’y pencher. bibo:pages 7 -- o:id 7917 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7917 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7935 26947 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/623381a5d365e59cc09f5b947f7ed39137ad917b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/dfd6e815958386881c81ab6b979fefb7ba353198.tiff dcterms:title Imam lbrahim Ousmane sur Maouloud : "C'est la commémoration d'un mystère et d'une grâce" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1508 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-11-21 dcterms:identifier iwac-article-0003680 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Hier mardi 20 novembre, la communauté musulmane a commémoré, à travers le monde, la naissance du prophète Mahomet. Une célébration qui semble ne pas avoir le même éclat que les deux Aïds (Ramadan et Tabaski). Une impression ou une prescription ? Que doit-on comprendre de la commémoration de Maouloud? Islamologue et professeur de culture islamique, l'imam de la mosquée centrale de Cotonou, Ibrahim Ousmane, président du collège des imams et premier vice-président de l'Union islamique du Bénin, apporte des réponses. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Hier mardi 20 novembre, la communauté musulmane a commémoré, à travers le monde, la naissance du prophète Mahomet. Une célébration qui semble ne pas avoir le même éclat que les deux Aïds (Ramadan et Tabaski). Une impression ou une prescription ? Que doit-on comprendre de la commémoration de Maouloud? Islamologue et professeur de culture islamique, l'imam de la mosquée centrale de Cotonou, Ibrahim Ousmane, président du collège des imams et premier vice-président de l'Union islamique du Bénin, apporte des réponses. La Nation : Que doit-on comprendre de Maouloud ? Imam Ibrahim Ousmane : Maouloud, dans son appellation, désigne le rappel de la date de naissance de notre prophète Mahomet. La communauté musulmane manifeste sa joie pour cette grande bénédiction qui lui est donnée par Allah. Nous nous rappelons, non seulement la date de naissance de Mahomet, mais aussi les miracles, les bienfaits qui ont accompagné cette naissance. Et, cela nous édifie et nous permet de réaliser que c’était une grande œuvre que Dieu a réalisée pour l’humanité. L'envoyé d'un prophète sur la terre est une bénédiction pour l’humanité. C’est à travers les prophètes, non seulement Mahomet, mais aussi tous les autres envoyés de Dieu, que nous avons pu connaître Dieu et les lois. Ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire. A travers ceux-là, nous avons connu les prescriptions et nous savons ce qui nous attend dans l’au-delà, ce qu'il faut faire pour garantir la vie après la mort.... Donc les prophètes de Dieu constituent pour l'humanité une grâce. C’est cette grâce que nous manifestons à la date où nous commémorons Maouloud. C’est comme le jour de la naissance de Jésus-Christ. Le coran en a parlé. Il y a eu des miracles. C’est aussi le cas du jour de la naissance de Moïse. Personne n’a remarqué la grossesse de sa maman jusqu'à ce qu il est né. La naissance des prophètes est toujours une bénédiction. C'est ainsi que le jour de la naissance de Mahomet, il y a eu des merveilles. Pour une date d’anniversaire, qu'est-ce qui explique le changement de jour chaque année et comment faites-vous pour identifier ce jour ? La date de naissance du prophète Mahomet nous est parvenue par des sources authentiques, aussi bien dans les livres d’histoire que par le prophète lui-même. Il s’agit bien de la date, pas du jour. Il est clair qu’il est né dans le troisième mois de l'année lunaire plus précisément le douzième jour, et un lundi vers l'aube. Il n’y a pas de doute autour de la date. Lui-même, lorsqu'on lui a demandé quand-est-ce qu'il est né, il n'a pas donné la date mais il a dit le jour. Il a répondu qu'il est né un lundi, qu’il a reçu la prophétie un lundi et qu'il mourra un lundi. Et ça a été ainsi. C’est d'ailleurs pour cette raison que le lundi est pour nous un jour sacré. Le prophète nous a enseigné de jeûner les lundis et les jeudis. Quand on lui a demandé pourquoi jeûner le lundi et le jeudi, il a dit que le jeudi est un jour du bilan hebdomadaire de nos actes près de notre Seigneur et que lui il aimerait être en jeûne pendant que son bilan est en train d'être débattu près de son Seigneur. Puis il a dit que le lundi est un jour sacré pour lui. Il est né un lundi, il a reçu la prophétie un lundi et il mourra un lundi. Les juifs aussi avaient des renseignements sur la naissance du prophète Mahomet. Le jour où son père est né, ils l'ont su. Qui plus est, le jour où le prophète même est né. Il y a visiblement moins de ferveur pour cette commémoration qui semble ne pas avoir la même affluence et influence que les deux Aïds. Est-ce une prescription ou une option ? Ce serait peut-être exagéré de parler de fête. Les fêtes chez nous sont des prescriptions. Il s'agit d’une commémoration, d’un jour que la communauté musulmane a consacré pour rendre grâce à Dieu qui nous a donné la bénédiction que représente son prophète. Tout le monde ne commémore pas Maouloud de la même manière. Il y en a qui le considère comme une innovation. Le prophète ne l'a pas célébré et ses compagnons n'ont plus, donc à nous même de ne pas le faire. Mais d'autres qui sont plus passionnés disent qu'il faut le faire surtout que d’autres religions qui nous entourent fêtent la Noël, la naissance de Jésus et pourquoi pas les musulmans...! C’est donc ce partage d’avis qui fait que vous ne remarquez pas l'influence et l'affluence dont vous parlez. Mais individuellement, chacun de nous et à l'intérieur de nos familles, on considère beaucoup ce grand jour qui est la naissance de notre prophète et nous le manifestons. Quel est le comportement requis pour le musulman en cette commémoration ? A l'occasion de cette commémoration, il ne s’agira pas seulement de manifester notre joie pour rendre grâce de la naissance du prophète. C’est l'occasion de se rappeler de ce grand homme, de ce qu'il nous a laissé. C'est le moment de faire aussi un bilan, de se demander si nous suivons ce qu'il nous a enseigné, si nous sommes sur la voie qu’il nous a tracée, si nous sommes sûrs que nous nous retrouverons demain (après la mort) auprès de ce grand homme. Il ne suffira donc pas de veiller en prière et de faire ses éloges. Lui-même ne s’occupait pas de ses éloges. Il disait qu'il est ce qu’il est de son Seigneur, qu'on lui fasse des éloges ou pas. C'est ce qu'il nous a donné comme enseignement qui le préoccupe et qui doit nous préoccuper. Nous devons être des musulmans d’œuvres, pas des musulmans de nom. Si quelqu'un est religieux, il faut qu'on le lise à travers ses actes. Catholique ou juif ou musulman, c'est le comportement qui est important. Pour ce qui concerne les rassemblements, déjà la veille à la grande mosquée de Cotonou, nous veillons de 23 h à 4 h. Nous avons prié pour la nation, la communauté, le gouvernement et pour tout un chacun de nous pour que les bénédictions de la naissance de ce grand homme jaillissent sur nous. Nous allons ensuite nous rappeler sa naissance à travers ses enseignements et ses miracles. Et le plus grand miracle qui nous est laissé depuis 15 siècles, c'est le Coran. Un livre saint qui est descendu. Le Coran est un à travers le monde entier. C’est une source de sciences et de connaissances. bibo:pages 5 -- o:id 7918 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7918 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7936 26948 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/aba1a26a2ed4fc028cdf817cc7c5454277b3d9d0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/74f59b493d39bec99c4d19c60ca903e05e2fea4a.tiff dcterms:title Assistance humanitaire : l'Arabie Saoudite fait don de 50 tonnes de dattes au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14499 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1958 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-09-19 dcterms:identifier iwac-article-0003681 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le royaume d’Arabie Saoudite a fait don, ce mardi 18 septembre, de 50 tonnes de dattes au Bénin. L’acte consacrant la remise a été signé par le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, Hervé Djokpé, et le représentant du Centre du Roi Salman Ben Abel Aziz pour le secours et les œuvres humanitaires, dans les locaux du ministère. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le royaume d’Arabie Saoudite a fait don, ce mardi 18 septembre, de 50 tonnes de dattes au Bénin. L’acte consacrant la remise a été signé par le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, Hervé Djokpé, et le représentant du Centre du Roi Salman Ben Abel Aziz pour le secours et les œuvres humanitaires, dans les locaux du ministère. Le gouvernement saoudien manifeste son soutien au Bénin. C’est à travers un don de 50 tonnes de dattes au profit des populations. La signature du procès-verbal matérialisant la remise du don a eu lieu ce mardi. Au cours de la cérémonie, le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, Hervé Djokpé, apprécie le geste : « C’est un acte qui porte le témoignage de la vitalité exemplaire des relations d’amitié et de coopération entre les deux pays ; ces relations que le président de la République, Patrice Talon, œuvre à hisser au plus haut niveau ». La remise de don au Bénin est devenue presqu’une coutume pour le gouvernement saoudien. « Chaque année, le Bénin bénéficie de ce don qui est réparti de manière judicieuse et équitable à l’ensemble des couches socioprofessionnelles du pays dont les centres de santé, les maisons d’arrêt, les orphelinats, les communautés chrétiennes et musulmanes», souligne-t-il. Selon le représentant du Centre du Roi Salman pour le secours et les œuvres humanitaires, Abdulelah Mohammed, la datte est un fruit très important dans la vie de l’individu, parce qu’elle contient toutes les protéines et le sucre dont l’organisme a besoin. Ce don répond à une prescription musulmane. « Le prophète Mahomet a incité les musulmans à prendre des dattes tous les matins et les soirs. Etant donné que le dattier fait partie de la vie des Arabes en général et celle de l'Arabie Saoudite en particulier, ils ont jugé utile de partager ce bonheur avec la communauté mondiale », souligne-t-il. Il explique le bien-fondé de la démarche : «Nous partageons les dattes parce qu’elles font partie des projets très anciens de nos parents de partager le meilleur de ce que l’Arabie Saoudite a avec les autres pays». «La datte est un fruit très résistant. En l’état, nous pouvons partager le meilleur fruit que nous avons aux gens que nous aimons conformément à notre tradition et à notre religion », développe-t-il. Au-delà de ce don, le gouvernement béninois plaide pour l’assistance de l’Arabie Saoudite dans d’autres domaines. « Je voudrais également souhaiter que le Centre du Roi Salman Ben Abel Aziz pour le secours et les œuvres humanitaires élargisse ses interventions au Bénin», insiste le secrétaire général du ministère, Hervé Djokpé. Le souhait du gouvernement est de voir le centre appuyer ses efforts en matière de lutte contre le phénomène récurrent des inondations dans notre pays. bibo:pages 11 -- o:id 7919 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7919 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7937 26949 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4afff172f62e5bb4e5db00bfd5dc182670029396.pdf https://islam.zmo.de/files/original/85194a5a75caaa29b37f5c4125cef6706b5de969.tiff dcterms:title Retrait du Prd du Bloc républicain : Karim da Silva condamne l'option de Houngbédji dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1377 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/763 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/213 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1415 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13024 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-12-06 dcterms:identifier iwac-article-0003682 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président du Conseil des sages de la ville de Porto-Novo, Karim Urbain da Silva, craint que la décision de suspension du Parti du renouveau démocratique du processus de création du Bloc républicain ne propulse cette formation politique dans l’opposition avec toutes ses conséquences fâcheuses, notamment en terme de retard dans le développement de la ville capitale du Bénin. Le patriarche était face à la presse ce mercredi 5 décembre, à Porto-Novo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président du Conseil des sages de la ville de Porto-Novo, Karim Urbain da Silva, craint que la décision de suspension du Parti du renouveau démocratique du processus de création du Bloc républicain ne propulse cette formation politique dans l’opposition avec toutes ses conséquences fâcheuses, notamment en terme de retard dans le développement de la ville capitale du Bénin. Le patriarche était face à la presse ce mercredi 5 décembre, à Porto-Novo. Le président du Conseil des sages de la ville de Porto-Novo, Karim Urbain da Silva, est très furieux contre le choix du Parti du renouveau démocratique (Prd) qui a suspendu sa participation au processus de création du Bloc républicain. A la faveur d’une conférence de presse qu’il a animée ce mercredi 5 décembre, à Porto-Novo, le patriarche condamne cette option du parti de Me Adrien Houngbédji. Comme un chat échaudé qui craint l’eau froide, Karim Urbain da Silva a peur que cette décision ne projette à nouveau le parti dans l’opposition avec toutes ses conséquences fâcheuses, notamment en termes de retard dans le développement de la ville capitale du Bénin. Le conférencier fonde sa crainte sur le bilan de la politique menée par Me Adrien Houngbédji depuis bientôt trente ans. Selon Karim Urbain da Silva, ce bilan n’a pas été des plus reluisants surtout pour Porto-Novo qui a été considérée pendant tout ce temps comme une ville de l’opposition. La position du Prd qui a fait l’opposition d’abord au régime de Nicéphore Soglo, ensuite à celui du général Mathieu Kérékou puis à Boni Yayi a pesé lourd dans le retard de développement de la ville. Raison pour laquelle le conférencier dit avoir accueilli avec beaucoup de joie l’option prise par le parti depuis 2016 de soutenir les actions du président Patrice Talon. Ce qui permettra ainsi à la ville de rattraper, un tant soit peu, son retard de développement. « Trente ans d’instabilité politique, ça suffit !», martèle Karim Urbain da Silva qui appelle la population de Porto-Novo à ouvrir les yeux et à savoir là où se trouvent ses intérêts. « Aujourd’hui, on a honte de Porto-Novo qui ne ressemble pas à la capitale d’un pays », apprécie le patriarche. « Je ne suis pas contre Adrien Houngbédji, mais je suis contre sa politique », ajoute-t-il. Pour lui, il faut qu’un vent nouveau souffle sur la ville de Porto-Novo après trente ans de traversée de désert. Ce vent nouveau qui a commencé avec Patrice Talon doit se poursuivre et rien au monde ne doit l’arrêter, insiste-t-il. Il invite la population de Porto-Novo à s’affranchir pour enfin tourner dos à la vision politique de Me Adrien Houngbédji. Il y est allé tantôt en français, tantôt en langue vernaculaire pour, dit-il, toucher le cœur des siens. Car, selon lui, il est inadmissible que pour une affaire de logo, le Prd puisse décider de se retirer du processus de création du Bloc républicain qui sera porté sur les fonts baptismaux, samedi prochain. Or, pour Karim Urbain da Silva, cette réforme du système partisan initiée par le chef de l’Etat est nécessaire pour assainir le paysage politique national composé de plus de 200 partis politiques. Mais l’on ne saurait réussir cette réforme de regroupement des partis politiques sans casser des œufs. Pour cela, le Prd devrait accepter de laisser aussi une partie du sien comme les autres formations politiques membres du Bloc républicain en gestation pour faciliter la concrétisation du projet, soutient le patriarche qui conclut avoir été très déçu de Me Adrien Houngbédji en qui il avait trop cru quand il était rentré d’exil à la veille de la Conférence nationale de février 1990. bibo:pages 5 -- o:id 7920 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7920 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7938 26950 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/96d77436579dec9b0d23ae6e300ef15a3c8f7b2b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e03d494305eb216fe3e2296b52a87c0789c487bd.tiff dcterms:title Trois ans de gestion du Hadj : la communauté musulmane reconnaissante au gouvernement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2025 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-11-28 dcterms:identifier iwac-article-0003683 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci, a fait le point, lundi 26 novembre dernier, à Porto-Novo, des trois années de gestion du Hadj au Bénin avec les acteurs du secteur surtout la communauté musulmane. Tous saluent le gouvernement du Nouveau départ qui, depuis son avènement en 2016, connaît une réussite dans l’organisation pratique de ce pèlerinage en Arabie Saoudite. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci, a fait le point, lundi 26 novembre dernier, à Porto-Novo, des trois années de gestion du Hadj au Bénin avec les acteurs du secteur surtout la communauté musulmane. Tous saluent le gouvernement du Nouveau départ qui, depuis son avènement en 2016, connaît une réussite dans l’organisation pratique de ce pèlerinage en Arabie Saoudite. Le gouvernement du Nouveau départ a géré trois éditions du Hadj de 2016 à 2018 avec environ 3000 à 3500 pèlerins par année. Le constat qui se dégage de ces différentes éditions est qu’elles se succèdent, mais ne se ressemblent pas. Des avancées se notent d’année en année. C’est l’appréciation que font les acteurs du secteur mobilisés cet après-midi du lundi 26 novembre, à la Maison internationale de la Culture autour du ministre des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci. C’était à l’occasion du bilan des trois années de gestion du Hadj sous l’avènement du Nouveau départ. Ce succès est à l’actif surtout du chef de l’Etat, le président Patrice Talon qui s’est personnellement impliqué dans le processus, constate le président du Conseil national de coordination du Hadj au Bénin, Amidou Ourou-Djéri. «Sans fausse modestie, l’organisation du Hadj est en train de prendre une envolée sans pareille dans notre pays », constate-t-il. Il fonde son observation sur certaines actions positives menées par le gouvernement dont l’obtention à 100% des visas à tous les demandeurs pour le Hadj ; l’établissement à 100% des passeports spéciaux Hadj avec toute la diligence sans oublier les reprises urgences des passeports non lisibles par des lecteurs des diplomates saoudiens ; la disponibilité totale des agents de la Police républicaine à travers la direction de l’Emigration et de l’Immigration pour les différentes phases d’enrôlement des candidats au Hadj sur toute l’étendue du territoire nationale. Le Conaco-Hadj Bénin décerne une mention spéciale au ministère de la Santé pour la mise à disposition à temps de différents vaccins exigés par les autorités saoudiennes sans occulter la signature à bonne date du contrat d’affrètement d’avion pour le transport des pèlerins. « Au nom de Conaco-Hadj Bénin, nous vous prions, monsieur le coordonnateur national de l’organisation du Hadj au Bénin, de transmettre nos sincères salutations au président de la République et prions Allah, le tout puissant, de l’assister dans l’œuvre salvatrice de redressement qu’il fait pour le Bénin », souligne Amidou Ourou-Djéri à l’endroit du ministre des Affaires étrangères. Le message du président du Conaco-Hadj Bénin a été suivi de plusieurs autres témoignages dont ceux du président de l’Union islamique du Bénin, l’iman de Porto-Novo, Houzéifa Amzat et le haut dignitaire de la communauté musulmane du Bénin, Karim Urbain da Silva et président des sages de la ville de Porto-Novo. Tous ont reconnu que le gouvernement a fait beaucoup d’efforts depuis 2016 dans le sens de permettre aux fidèles musulmans d’accomplir facilement le cinquième pilier de l’islam en Terre sainte d’Arabie Saoudite. D’autres participants souhaitent au gouvernement d’aller encore plus loin en négociant l’ouverture, au Bénin d’un consulat général de l’Arabie Saoudite pour faciliter davantage la délivrance des visas et autres formalités administratives saoudiennes. Le ministre des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci, en sa qualité de coordonnateur national de l’organisation du Hadj au Bénin, rend grâce à Dieu pour ce bilan positif. « Toutes les fleurs que vous avez jetées sont destinées au président de la République parce que je peux porter témoignage devant vous qu’il n’a jamais refusé de m’écouter lorsque je demande à le rencontrer pour lui parler du Hadj », souligne Aurélien Agbénonci. Il promet de transmettre au chef de l’Etat les bonnes appréciations des uns et des autres sur le bilan positif dans la pratique de l’organisation du Hadj au Bénin. bibo:pages 2 -- o:id 7921 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7921 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7939 26951 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/46b0f2a2244d16ec705fc512655577997d168881.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1d4197d7c306c2ad621218804afef9ba0d49107d.tiff dcterms:title Camp médical d'opération de la cataracte : Ahmadiyya Bénin soulage les malvoyants dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-02-28 dcterms:identifier iwac-article-0003684 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a lancé, ce mardi 27 février, des opérations chirurgicales gratuites de cataracte par une clinique mobile hyper-équipée au profit des patients béninois souffrant de cette affection ou des maux d’yeux. Cette action humanitaire a été rendue possible grâce à l’Ong Humanity First d’Allemagne, partenaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya, qui a fait venir au Bénin un camion médicalisé qui y séjournera du 26 février au 20 mars prochain. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/550 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a lancé, ce mardi 27 février, des opérations chirurgicales gratuites de cataracte par une clinique mobile hyper-équipée au profit des patients béninois souffrant de cette affection ou des maux d’yeux. Cette action humanitaire a été rendue possible grâce à l’Ong Humanity First d’Allemagne, partenaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya, qui a fait venir au Bénin un camion médicalisé qui y séjournera du 26 février au 20 mars prochain. Une clinique mobile équipée d’un bloc opératoire de dernière génération de l’Ong Humanity First d’Allemagne membre de la Jama’at islamique Ahmadiyya sillonne actuellement le territoire national pour soigner les malades souffrant de maux d’yeux, notamment les patients souffrant de la cataracte. Elle séjourne depuis le 26 février dernier à Porto-Novo où elle restera jusqu’à demain jeudi 1er mars. Le camion médicalisé s’ébranlera ensuite vers Ouidah pour y séjourner du 3 au 5 mars ; à Abomey du 7 au 10 mars, à Parakou du 12 au 15 mars et à Malanville du 17 mars au 20 mars. Il se rendra dans ces différentes villes et campagnes pour donner satisfaction aux malades sans distinction aucune de race, de langue et de religion. Les opérations sont conduites par des chirurgiens chevronnés spécialement venus notamment du Pakistan et qui porteront assistance jusqu’à la guérison totale aux malades concernés. Le lancement officiel des opérations a eu lieu ce mercredi 27 février sous l’égide du ministre de la Santé, Alassane Séidou au centre médical Ahmadiyya de Porto-Novo. Pour le président de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, Ahmad Rana Farooq, la mise en activité de cette clinique mobile s’inscrit dans le cadre d’une série d’actions humanitaires prévues par son association qui, le 6 février dernier, lors de la cérémonie de remise officielle de don de matériels didactiques au lycée Coulibaly de Cotonou, a proclamé 2018, une année médicale, de solidarité et de soutien aux populations pauvres et vulnérables du Bénin. C’est dans la droite ligne de cette même vision que le 14 février dernier à Athiémé, l’association a lancé un camp médical qui a permis d’examiner 300 patients souffrant de divers maux et de recenser ceux dont l’état de santé nécessitait des soins plus poussés pour bénéficier d'une meilleure prise en charge. « Notre objectif étant de prendre en charge un millier de patients avant la fin de l’année 2018 », souligne le président Ahmad Rana Farooq. Selon lui, cette action médicale est la manière pour la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin de soutenir le Programme d’action du gouvernement du président Patrice Talon et de contribuer par ricochet de façon substantielle au développement du Bénin. Le vice-président de l’Ong Humanity First d’Allemagne, Hamad Harter, qui a acquis la clinique mobile à 103 millions F Cfa pour des opérations chirurgicales dans le monde, a expliqué qu’à travers cette action médicale, son association partage la grâce divine avec les pauvres. Et ceci, conformément à l’esprit de l’islam qui est une religion de paix et de tolérance. Le ministre de la Santé, Alassane Séidou, au nom du gouvernement, remercie la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin et Humanity First pour tous leurs efforts pour le bien-être de la population. En 2017, l’association a organisé 30 camps médicaux au cours desquels 10 500 patients béninois ont bénéficié gratuitement des soins de santé dont 450 ont subi des opérations chirurgicales et 150 personnes ont été opérées de la cataracte, a-t-il rappelé. Alassane Séïdou salue l’arrivée de cette clinique mobile qui offre l’avantage d’aller vers les malades leur évitant ainsi des tracasseries et des frais de déplacement. Fernand Agbayahoun, représentant le préfet de l’Ouémé, et le maire de Porto-Novo, Emmanuel Zossou, ont également exprimé leur gratitude à la Jama’at islamique Ahmadiyya pour le choix porté sur la ville capitale pour abriter le lancement officiel de la mise en service de cette clinique mobile pour des opérations chirurgicales de la cataracte. bibo:pages 9 -- o:id 7922 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7922 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7940 26952 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cb46d4de141b1d92e03d44f892478f6bb9db6a34.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d20eb5e74a03e7549850c22745c40eadf3d2b862.tiff dcterms:title Œuvre de charité à l'endroit des personnes vulnérables : Jama'at islamique Ahmadiyya fait parler son cœur dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1507 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-06-13 dcterms:identifier iwac-article-0003685 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Comme à ses habitudes en temps de Ramadan, la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya a procédé, lundi 11 juin dernier, à la distribution de vivres à l’endroit des personnes vulnérables de plusieurs centres à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Comme à ses habitudes en temps de Ramadan, la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya a procédé, lundi 11 juin dernier, à la distribution de vivres à l’endroit des personnes vulnérables de plusieurs centres à Cotonou. Des sacs de riz de 50 kg, des bidons d’huile végétale, des savons, des cartons spaghettis, des nattes, des boîtes de tomate constituent les lots distribués aux personnes vulnérables de différents centres à Cotonou, ce lundi. C’est une œuvre de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya qui a fait parler son cœur en ce mois béni de Ramadan, pour soulager les bénéficiaires. Un acte de générosité et de soutien à l’endroit des personnes vulnérables qui traduit, selon le président de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya, Rana Farooq Ahmad, un devoir de Ramadan accompli selon les prescriptions d'Allah. Le secrétaire général du ministère des Affaires sociales et de la Microfinance, Pascal Wélé Idrissou, apprécie à sa juste valeur l’action sociale de la Jama’at Islamique Ahmadiyya. Ces vivres renforcent la capacité d’intervention du ministère à l’endroit des populations vulnérables, des personnes pauvres, les orphelins, les malades, a-t-il indiqué. Ce geste, soutient-il, concerne tout le monde y compris les religieux, ainsi que toutes les personnes de bonne volonté. Au Centre national hospitalier universitaire (Cnhu-Hkm), environ 450 kg de riz ont été distribués aux malades hospitalisés ainsi que des savons et des huiles végétales. Sourou Awogan, l’un des agents venu accueillir la délégation, a salué ce geste à l’endroit des malades sans manquer de prier pour les donateurs, leur souhaitant une bonne fête de Ramadan. Une occasion pour lui également d’inviter d’autres organisations à emboîter le pas à la Jama’at Ahmadiyya. Le même geste a été accompli au Centre national hospitalier universitaire psychiatrique de Jacquot et à la prison civile de Cotonou. bibo:pages 13 -- o:id 7923 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7923 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7941 26953 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8a73bccdbf148e5982535026ef9d4b8f55a4a478.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5389c0e38f5f63430e9f9936fac77f1da86d1961.tiff dcterms:title Protection à l'Est de l'épi de Siafato : le Fonds saoudien boucle le financement du projet dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14288 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-09-24 dcterms:identifier iwac-article-0003686 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Marie Odile Attanasso, représentant son collègue de l'Economie et des Finances et le directeur du Fonds saoudien pour le développement (Fsd), Zul-Kifl Salami, ont procédé, vendredi 21 septembre dernier, à la signature de l’avenant à l'accord de prêt relatif au financement du projet de protection à l’Est de l’épi de Siafato, à la salle de conférence du ministère de l'Economie et des Finances à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Marie Odile Attanasso, représentant son collègue de l'Economie et des Finances et le directeur du Fonds saoudien pour le développement (Fsd), Zul-Kifl Salami, ont procédé, vendredi 21 septembre dernier, à la signature de l’avenant à l'accord de prêt relatif au financement du projet de protection à l’Est de l’épi de Siafato, à la salle de conférence du ministère de l'Economie et des Finances à Cotonou. Le présent avenant vise à clôturer le projet conformément aux procédures du Fsd. Selon Marie Odile Attanasso, ministre de l’Economie et des Finances par intérim, cet avenant fait suite au paiement au profit de la République du Bénin d’un montant de 2,431 milliards de Francs Cfa en remboursement des préfinancements effectués par le gouvernement du Bénin dans le cadre dudit projet. « Le Bénin a obtenu deux financements du Fsd. Un prêt initial d’un montant de 6 milliards de Francs Cfa et un prêt additionnel de 3 milliards environ », a-t-elle déclaré. Selon elle, le financement additionnel est entièrement décaissé tandis que le financement initial présente un solde de 448 millions francs Cfa, objet du présent avenant. Pour elle, c’est grâce à cet appui que les travaux sont entièrement achevés et leur réception définitive prononcée. « Le portefeuille du Fsd sur la période 2008-2018, s'élève à 30,7 milliards francs Cfa environ et couvre en dehors de la protection côtière, les secteurs des infrastructures routières, de l’hydraulique villageoise, de l’agriculture et de la santé », a-t-il ajouté. Le ministre Marie Odile Attanasso remercie le Fsd d'avoir jeté, à travers ces prêts les bases d’une coopération dynamique et fructueuse au service de l’amélioration des conditions de vie des populations béninoises. Le directeur du Fonds saoudien pour le développement, Zul-Kifl Salami a apprécié les efforts du gouvernement béninois. Selon lui, les aides du royaume saoudien visent à appuyer le processus de développement au Bénin. « Ils ont toujours volé au secours du Bénin dans plusieurs secteurs », a-t-il déclaré. Il réitère la volonté du gouvernement saoudien de poursuivre dans ce sens pour le bonheur du peuple béninois. Ch.H bibo:pages 16 -- o:id 7924 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7924 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7942 26954 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d283d2f044270d1e1470a493c90ed0675be96e8c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5f647f3e566c7c4816ffdd9f8516593aea9d8598.tiff dcterms:title Dialogue interreligieux : chrétiens, musulmans et vodouisants vénèrent Marie en faveur de la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13098 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13833 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-07-24 dcterms:identifier iwac-article-0003687 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La pratique religieuse ne doit pas être un objet de division et de violence. C'est le leitmotiv de l'association catholique belge « Efesia et Ensemble avec Marie », un creuset engagé pour la promotion du dialogue inter-religieux dans le monde. Elle a organisé, samedi 22 juillet dernier, au Centre pastoral de Ouando à Porto-Novo, une rencontre en faveur de la paix autour de la Vierge Marie, le tronc commun des religions chrétiennes, musulmanes et endogènes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/440 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/302 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La pratique religieuse ne doit pas être un objet de division et de violence. C'est le leitmotiv de l'association catholique belge « Efesia et Ensemble avec Marie », un creuset engagé pour la promotion du dialogue inter-religieux dans le monde. Elle a organisé, samedi 22 juillet dernier, au Centre pastoral de Ouando à Porto-Novo, une rencontre en faveur de la paix autour de la Vierge Marie, le tronc commun des religions chrétiennes, musulmanes et endogènes. « Chrétiens et musulmans pour une expérience fraternelle en faveur de la paix ». C'est le thème du panel inter-religieux organisé, samedi 22 juillet dernier, par l'association catholique belge Efesia et Ensemble avec Marie. La rencontre a connu la participation des chrétiens catholiques, évangélistes, célestes et protestants ainsi que des musulmans et des acteurs des religions endogènes du Bénin. Tous se donnent la main pour une coexistence pacifique au Bénin et reconnaissent la Vierge Marie comme le lien commun de toutes les religions. Un engagement de foi que saluent le président de l'association Efesia et Ensemble avec Marie, Christian Schennen, et son représentant au Bénin, Emile Kikélé. Présent à la cérémonie, l'imam de la mosquée centrale d’Agori-Plateau à Abomey-Calavi, Moutawakil Boukary Malick, a montré avec des passages du saint Coran que toutes les religions reconnaissent Marie comme la mère de Jésus. Selon lui, l’islam n’est pas synonyme de violences, de contraintes, d’oppression et de dénégations des droits et libertés contrairement à ce que proclament les extrémistes qui se cachent derrière la religion pour des visées politiques. L’islam c’est la paix et la tolérance envers les autres religions, martèle l’iman Moutawakil Boukary Malick. Mais pour être efficace, le dialogue interreligieux doit s’étendre à plusieurs niveaux et être pratiqué avec franchise et courtoisie dans le respect et l’acceptation de l’autre tel qu'il est dans sa foi et ses convictions religieuses. Une vision que partage le père Hubert Assohounmè, représentant la Commission dialogue interreligieux au niveau du diocèse de Porto-Novo. Il vante aussi Marie comme la mère de toutes les religions. Le chef suprême des religions endogènes au Bénin et en Afrique ne va pas contre la coexistence pacifique entre les religions au Bénin. Corneille Couchoro Balogoun en veut notamment pour preuve le site de la grotte mariale de Dassa-Zoumé où le monde entier vient célébrer la Vierge Marie. Selon lui, il est enraciné au milieu de deux divinités, Sakpata et Arigbo qui se côtoient depuis plusieurs décennies. Le professeur Albert Tévoédjrè chantre de la promotion du dialogue interreligieux au Bénin depuis 2015, va louer cette initiative de l'association catholique Efesia pour créer une convergence religieuse nationale autour de Marie. Cette rencontre vient renforcer sa vision de « La paix par un autre chemin » pour lutter contre la pauvreté au Bénin, ajoute le frère Melchior. Albert Tévoédjrè a exhorté chrétiens catholiques, évangéliques, célestes, protestants, musulmans et adeptes des religions endogènes à « un vivre ensemble » pour le développement et la paix au Bénin. bibo:pages 16 -- o:id 7925 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7925 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7943 26955 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/04b66d6ecaba68408c0eb2d855af0ba55e75674f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/640a395f3e13b0d2472afe4784c2675889c1d396.tiff dcterms:title Cinquantenaire de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin : le dialogue interreligieux pour le maintien de la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14690 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12904 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2019 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12876 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-12-12 dcterms:identifier iwac-article-0003688 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre de la célébration des cinquante années d'existence de la Jama'at islamique Ahmadiyya au Bénin, une conférence interreligieuse a été animée, samedi 9 décembre dernier à Cotonou, en présence de personnalités politico-administratives tant béninoises qu'étrangères. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/302 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre de la célébration des cinquante années d'existence de la Jama'at islamique Ahmadiyya au Bénin, une conférence interreligieuse a été animée, samedi 9 décembre dernier à Cotonou, en présence de personnalités politico-administratives tant béninoises qu'étrangères. C'est par la lecture d’un verset coranique qu'a démarré la conférence inter-religieuse organisée, samedi dernier, par la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin. A l’occasion du cinquantenaire de cette communauté, ses membres ont convenu de se fier à sa devise « Amour pour tous, haine pour personne ». Ainsi, après Allada, Bohicon, Dassa, Natitingou, etc., c'est au tour de Cotonou d’abriter la conférence ayant pour thème « La religion et la gouvernance ». « Cette conférence vise à promouvoir la cohabitation pacifique entre toutes les religions et réduire de façon considérable les fossés d’incompréhension et de malentendus entre nous », a expliqué le président du comité d'organisation de l’événement, Loukouman Bissirou, afin de situer l’assemblée sur les enjeux de la rencontre. La conférence proprement dite a duré une heure environ, avant les interventions des représentants des diverses confédérations religieuses invitées. Yahya Assani, le conférencier, s’est évertué à faire part à l’assistance de l’importance de l’amour et de l’estime du prochain pour le maintien de la paix et la fraternité dans le monde. Il a affirmé que la religion enseigne la sagesse, l’amour, la paix, la tolérance, la relation mutuelle, etc. « L’homme a atteint le niveau le plus élevé dans la cruauté. Le danger est à l’horizon. Seules la prise de conscience de l’homme et la crainte de Dieu peuvent sauver l’humanité des conséquences vers lesquelles le monde se dirige », a déploré le missionnaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin. Il a ainsi conseillé aux hommes, partageant les mêmes croyances religieuses ou non, de se tourner vers la paix et d’œuvrer pour le développement des nations. Il a souligné qu’aucun Etat ne devrait être qualifié d’islamique, chrétien, juif ou vodoun, puisque des divergences peuvent être notées au sein des peuples vivant à l’intérieur de ces pays. « S’il y a tension, les opposants, les syndicalistes et les gouvernants doivent chercher à s’entendre. Accepter le dialogue Ainsi les parties en conflit doivent accepter le dialogue et aller à la table de négociation pour trouver les solutions (...), pour que la paix et l’harmonie reviennent », a souhaité l’homme au regard de l’actualité socio-politique dans notre pays. Certaines têtes couronnées, et responsables de confédérations religieuses présentes au Bénin ont, à tour de rôle, exprimé leur satisfaction par rapport à la communication présentée par la Jama'at islamique Ahmadiyya. Le père Benoît Dansou affirme que le thème de la conférence évoque « le réveil spirituel » Selon lui, il révèle à l’Homme qui il est en réalité et comment il devrait agir, étant donné qu’en lui réside l’esprit de Dieu. « Dieu est amour », a-t-il soutenu. En outre selon lui, l’humilité devrait habiter les hommes. « Chacun de nous est un berger à qui le troupeau n’appartient pas. Il est responsable de sa garde », ajoute-t-il. Cette communauté religieuse a été soutenue par des diplomates étrangers en mission au Bénin, dont l’ambassadeur du Japon près le Bénin. D’après Kiyofumi Konishi, l’idéal que défend la Jama’at islamique a également été défendu par le Japon qui a appuyé le projet du professeur Albert Tevoédjrè dénommé «L’initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel ». La manifestation a aussi été le lieu choisi par le ministère des Affaires sociales pour remercier cette communauté religieuse pour son apport humanitaire à l'égard des Béninois, depuis son installation dans le pays. Le président de la Jama’at islamique Ahmadiyya, Ahmad Rana Farooq a, pour sa part, exprimé sa gratitude à l'endroit des personnes ayant pris part à l’événement. Les citoyens béninois, membres de l’organisation ou non, y étaient venus massivement. Cela rend assurément compte que la promotion du dialogue interreligieux semble être une bonne solution pour le maintien de la paix dans les pays du monde minés par des conflits religieux récurrents. bibo:pages 9 -- o:id 7944 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7944 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7955 26956 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9fcbefa2aebb9a0f0022321772c84c3080339798.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5f1c8ebaf5fb3715e0d522697175dcafa627e470.tiff dcterms:title Clôture de la convention annuelle de la jeunesse Ahmadiyya-Bénin : un don de sang pour sauver des vies humaines dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13430 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13554 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-08-29 dcterms:identifier iwac-article-0003689 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le rideau est tombé, dimanche 27 août dernier au Lycée Behanzin de Porto-Novo sur la quinzième édition de la convention annuelle de la jeunesse de la Jama'at islamique Ahmadiyya-Bénin. La cérémonie de clôture a été marquée par plusieurs activités dont l'opération de don de sang. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le rideau est tombé, dimanche 27 août dernier au Lycée Behanzin de Porto-Novo sur la quinzième édition de la convention annuelle de la jeunesse de la Jama'at islamique Ahmadiyya-Bénin. La cérémonie de clôture a été marquée par plusieurs activités dont l'opération de don de sang. La jeunesse de la Jama't islamique Ahmadiyya-Benin vole au secours des malades en manque de sang dans les lits d'hôpitaux. Elle met à disposition de l'agence départementale de transfusion sanguine de l'Ouémé-Plateau soixante-dix-huit poches de sang pour sauver la vie aux patients anémiés. La collecte a eu lieu au Lycée Béhanzin dimanche 27 août dernier et marque la clôture de la quinzième édition de sa convention nationale. Venu rehausser de sa présence la convention nationale, le président de la Jama'at islamique Ahmadiyya-Bénin, Farooq Ahmad Rana, a laissé entendre que le sang est un liquide très précieux pour la santé humaine. Il est le siège de la vie, de la santé, de la virilité et de la jeunesse. Mieux, le sang humain ne peut être remplacé que par du sang humain et non du sang animal. C’est pourquoi, souligne-t-il, à chaque convention nationale annuelle de la jeunesse Ahmaddiya, une opération de don de sang est organisée pour sauver des vies humaines. A cette occasion, la communauté islamique sensibilise sa jeunesse sur l’importance de ce liquide vital et la vie en communauté. Farooq Ahmad annonce un autre projet pour donner plus d'envergure à l'importance au don de sang. Il s'agira de faire recenser tous les jeunes Ahmadiyya avec leurs contacts téléphoniques pour qu'ils soient contactés pour aller sauver où qu'il soit, un malade dans le besoin de sang. « Celui qui donne de son sang ne s’appauvrit pas en sang. C’est un liquide qui se régénère vite. Lorsque Dieu a fait que vous êtes en bonne santé il faut aussi penser à donner un peu de votre sang à ceux qui en souffrent et sont dans le lit d'hôpital », a sensibilisé Farooq Ahmad. Une vision que partage le président de la jeunesse Ahmadiyya-Bénin, Abdoul Malick Assan. Pour lui, cette opération de don de sang qu'organise annuellement son association s'inscrit dans la droite ligne de la devise de la Jama'at islamique Ahmadiyya à savoir : « L'amour pour tous et la haine pour personne ». Il dit attendre avec impatience le nouveau projet annoncé par le président national pour mieux servir l’humanité. Médard Tokpanou, responsable chargé de la promotion de sang à l'agence départementale de transfusion sanguine de l'Ouémé-Plateau, et chef de l'équipe de collecte de sang, félicite la Jama'at islamique Ahmadiyya pour son initiative chaque année. Selon lui, lors de l'opération de 2016, une quarantaine de poches de sang avait été récoltée. Médard Tokpanou trouve que les poches de sang recueillies tombent à point nommé. Car, à l'en croire, les banques de sang sont actuellement vides dans les hôpitaux des deux départements au même moment. A cause de la période de pluie, les demandes sont de plus en plus fortes dans les pédiatries, les chirurgies et les maternités où accouchent les femmes enceintes. Il salue dès lors les jeunes Ahmadiyya pour l'initiative de cette campagne. Médard Tokpanou annonce qu’à la fin de la collecte, l'équipe de transfusion va se retrouver au laboratoire pour analyser, qualifier et valider chacune des poches de sang prises afin de retirer celles qui sont exemptes de tous problèmes pour être transfusées aux malades dans les hôpitaux. Outre l'opération de don de sang, plusieurs autres activités ont marqué la dernière journée de la convention qui s’est déroulée du 25 au 27 août dernier. Il y a eu, entre autres, des compétitions religieuses et sportives telles que le football, le tir à la corde, la course à trois pieds et la vitesse. Toutes ces compétitions ont été dotées de trophées. bibo:pages 11 -- o:id 7945 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7945 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7956 26957 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4cf74f9b490bb34046be203b0e56fda88b0576cb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/75b38e61f87d99bedda7e20f4c352bdec01e5b52.tiff dcterms:title Sur décision du ministère chargé de l'Intérieur : la mosquée Sofwath de Porto-Novo réouverte dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13907 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1402 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13216 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-06-19 dcterms:identifier iwac-article-0003690 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Fermée provisoirement pour des raisons de « nécessité de maintien d’ordre » par arrêté préfectoral en date du 20 octobre 2016, la mosquée Sofwath sise au quartier Sèdjèko, dans le deuxième arrondissement de Porto-Novo, a été réouverte sur décision du ministère chargé de l’Intérieur. La première prière musulmane, après cette réouverture, a été faite vendredi dernier sous haute surveillance policière. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Fermée provisoirement pour des raisons de « nécessité de maintien d’ordre » par arrêté préfectoral en date du 20 octobre 2016, la mosquée Sofwath sise au quartier Sèdjèko, dans le deuxième arrondissement de Porto-Novo, a été réouverte sur décision du ministère chargé de l’Intérieur. La première prière musulmane, après cette réouverture, a été faite vendredi dernier sous haute surveillance policière. Les offices religieux, les manifestations et autres cérémonies peuvent désormais être célébrés à la mosquée Sofwath de Sèdjèko à Porto-Novo. Initialement suspendues par le préfet de l’Ouémé, Joachim Apithy, ses activités religieuses sont dorénavant relancées. Ainsi en a décidé le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Les fidèles musulmans ont fait leurs premières prières dans l’enceinte de la mosquée, le vendredi 16 juin dernier, mais sous haute surveillance d'un contingent mixte d’éléments de la Police et de la Gendarmerie nationales. Un dispositif impressionnant de sécurité composé de cinq véhicules pick up, d'une fourgonnette antiémeute et d’un camion muni de canon à eau a été positionné pour assurer la protection de la mosquée dont l’imam est contesté par une frange des responsables de la communauté musulmane de Porto-Novo. Cette dernière accuse l’imam Ayouba Abdoul Kerim Adéwalé d’un certain nombre de comportements déviants et délictueux, indignes de l’autorité religieuse et morale qu’il doit incarner. L’affaire est allée jusqu’au niveau du Conseil des imams de l'Ouémé-Plateau qui a décidé de le suspendre à vie à cause de la gravité des actes qui lui seraient reprochés. Une vive tension couve entre les deux parties avec des menaces de trouble à l’ordre public. Une situation qui a conduit le conseil municipal de Porto-Novo à demander au préfet de fermer provisoirement cette mosquée pour tenter d’apaiser les esprits. Ce qui a été fait depuis le 20 octobre 2016 par arrêté préfectoral n°10-737/Sg/Sspca/Sa. Les deux parties se regardaient en chiens de faïence depuis lors jusqu’à la décision de réouverture de cette mosquée la semaine dernière. Les responsables de la communauté musulmane de Porto-Novo n’ont pas vu d’un bon œil une telle décision. Avec à leur tête Karim da Silva, dignitaire de la communauté musulmane de Porto-Novo, ils ont marché le mercredi 14 juin dernier, pour dénoncer cette décision du ministère chargé de l’Intérieur. La marche a échoué à la préfecture de Porto-Novo où les manifestants ont lu une motion de protestation pour exprimer leur mécontentement suite à la relance des activités dans cette mosquée et surtout la réinstallation de l’imam dans ses anciennes charges de chef religieux. La tension était vive entre les deux camps, c’est-à-dire les dirigeants de la communauté musulmane de Porto-Novo et les responsables de la mosquée Sofwath de Sèdjèko. Certaines personnes y voyaient même un risque d’affrontement entre les deux protagonistes lors de la prière hebdomadaire du vendredi 16 juin dernier. La rumeur de risque de trouble à l’ordre public est parvenue aux autorités de la Police et de la Gendarmerie de Porto-Novo. Celles-ci ont pris leurs responsabilités en envoyant sur le terrain, très tôt dans la matinée du vendredi dernier, un contingent pour prévenir les heurts. Mais à l'arrivée, il y a eu plus de peur que de mal. La prière musulmane s’est déroulée sans anicroche. La mosquée était bondée de fidèles enthousiasmés de renouer avec leur ancien lieu de culte, après près de huit mois de suspension. bibo:pages 7 -- o:id 7946 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7946 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7957 26958 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/979cd08e2df270fcbfe561775ba75a2e2ae93e5e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/16f75b25a35023038d65c74c3c3e910881880f17.tiff dcterms:title Cinquantenaire d'Ahmadiyya au Bénin : les festivités lancées par un tournoi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13554 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-09-11 dcterms:identifier iwac-article-0003691 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract 1967-2017. Il y a cinquante ans que la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin (Jia Bénin) s'est installée sur le sol béninois. L'association internationale a prévu une série d'activités pour marquer ces festivités dont un tournoi de football qui a été lancé, samedi 9 septembre dernier, à Porto-Novo pour annoncer les couleurs. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14218 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content 1967-2017. Il y a cinquante ans que la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin (Jia Bénin) s'est installée sur le sol béninois. L'association internationale a prévu une série d'activités pour marquer ces festivités dont un tournoi de football qui a été lancé, samedi 9 septembre dernier, à Porto-Novo pour annoncer les couleurs. Les célébrations du cinquantenaire de l’installation au Bénin de la Jama'at islamique Ahmadiyya battent désormais leurs pleins sur le terrain. Les festivités ont été officiellement lancées, samedi dernier par un tournoi de football qui se joue au stade Charles de Gaulle de Porto-Novo. II oppose huit équipes de football provenant de Porto-Novo, de Sèmè-Podji et de Cotonou et classées en deux poules de quatre. Celles-ci vont s'affronter du 9 jusqu'au 23 septembre prochain. Les huit équipes ont défilé devant le public pour donner un avant-goût de la fête footballistique. Le match inaugural du tournoi a mis aux prises l'équipe Majlis Khuddam Ahmadiyya (Mka) du Bénin à celle de l'Académie sportive Ange promo (Asap) de Porto-Novo. Pour Maliki Assani, président de la jeunesse Ahmadiyya-Bénin et représentant du président du comité d’organisation, ce tournoi s'insère dans la série d’activités prévues dans le cadre des cinquante ans d'existence de la Jama'at islamique Ahmadiyya au Bénin. Lesquelles s’étendent sur tout le reste de l'année dont (apothéose aura lieu les 22, 23 et 24 décembre prochains à Allada. A travers le tournoi, la Jia voudrait offrir aux huit équipes engagées dans le tournoi, (occasion de fraterniser, d'échanger et de partager la devise d Ahmadiyya à savoir « L'amour pour tous, la haine pour personne ». Maliki Assani a exhorté pour cela les différentes équipes en lice à cultiver (esprit de fair-play et à éviter les agressions physiques pour faire du tournoi un instant de fête. Grégoire Adin, représentant le maire de Porto-Novo, a félicité la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin pour le choix porté sur la ville capitale pour abriter ce tournoi de football II a remercié l'association pour toutes ses œuvres humanitaires et sociales au profit des couches les plus démunies du Bénin en général et de Porto-Novo en particulier Grégoire Adin a invité les joueurs, les encadreurs et les supporters à faire preuve de compréhension et de tolérance pendant les deux semaines de compétitions. Procédant officiellement au lancement du tournoi le président de la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Ahmad Farooq a précisé que l’organisation de ce tournoi du cinquantenaire se veut la contribution de son association pour promouvoir le Programme d’action du Gouvernement (Pag 2016-2021) baptisé « Bénin révélé » en ce qui concerne le volet sport La compétition vise à révéler les jeunes talents de football dans le rang des huit équipes engagées pour qu’ils connaissent une envergure internationale. Une vision qui tient à cœur au président de la République, Patrice Talon, qui accorde une place de choix au sport dans son programme quinquennal. « Les activités physiques et sportives participent au bien-être de l’homme. Elles contribuent à la santé durable et à la longévité de l’homme ainsi qu’au développement social intellectuel », a expliqué Rana Farooq Ahmad. Le président de la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin a saisi l'occasion de ce tournoi pour attirer l'attention des footballeurs sur l’allure vertigineuse que prend la consommation de la drogue dans le sport et surtout le football à l’international. Il a conseillé aux jeunes à ne pas s'adonner au dopage, interdit par l'islam et très nuisible à leur santé et à leur avenir, avant de souhaiter bonne fête aux huit équipes engagées pour la compétition. bibo:pages 5 -- o:id 7947 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7947 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7958 26959 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d61d11d3efa5719fa3a045a8e74a244b48337c7e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d67d4d69e4a7e24d685b848319318489145f9ce1.tiff dcterms:title 4e édition des journées interreligieuses : la contribution des religions à l'atteinte des Odd débattue dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13101 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14809 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-11-06 dcterms:identifier iwac-article-0003692 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Conseil interreligieux dénommé « Religion pour la paix au Bénin » a tenu, vendredi 3 novembre dernier, la quatrième édition de ses journées interreligieuses. La cérémonie s’est déroulée à Porto-Novo en présence du président de la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad, président de ce creuset. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Conseil interreligieux dénommé « Religion pour la paix au Bénin » a tenu, vendredi 3 novembre dernier, la quatrième édition de ses journées interreligieuses. La cérémonie s’est déroulée à Porto-Novo en présence du président de la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad, président de ce creuset. « Contribution des religions du passage des Objectifs du Millénaire pour le développement aux Objectifs du développement durable (Odd) ». C’est le thème débattu vendredi dernier par le Conseil « Religion pour la paix au Bénin » pour le compte de la quatrième édition de ses journées interreligieuses. Les participants, composés des acteurs des religions endogènes, musulmanes, chrétiennes et d'autres courants religieux et spirituels, ont été entretenus sur la question par Pierre Okpéifa, cadre au ministère d’Etat chargé du Plan et du Développement. Le choix de ce thème, selon le président de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad, président de ce creuset interreligieux, n'est pas le fruit d'un hasard. Il s’agit de faire ressortir les apports des religions, prises individuellement et collectivement, pour le progrès dans le monde en général et l'atteinte des Odd en particulier, indique-t-il. Le défi ici, c’est la religion pour la paix, souligne Rana Farroq Ahmad avant d'insister sur la nécessité pour toutes les confessions religieuses de se donner la main, quelles que soient leurs divergences, et de marcher dans la paix. C'est à cette condition que sera construit un monde dirigé par des valeurs d’amour, d'éthique, de tolérance interreligieuse et de paix, soutient-il. Pour le président du comité d’organisation de cette rencontre, le pasteur José Kinsou de l’Eglise protestante méthodiste du Bénin, cette rencontre interreligieuse pour la paix est le signe tangible que les hommes quelles que soient leurs appartenances religieuse et spirituelle sont capables de s’entendre pour le bien s’ils le désirent. Car, selon lui, « Sans l’amour pas de paix, sans l’amour pas d'harmonie dans les familles. Et le développement de tout pays passe par la paix ». Le pasteur José Kinsou trouve urgent que les religions se prennent par la main pour marcher vers le seul objectif : la paix, pour booster le développement, à travers la poursuite et l’atteinte des Objectifs du développement durable. Présent à l’ouverture des travaux, le professeur Albert Tévoèdjrè dit Frère Melchior, et promoteur du concept « La paix par un autre chemin » se réjouit de l’unité d’actions entre les acteurs des différentes religions au Bénin. Cela ne fait que renforcer le dialogue interreligieux et interculturel soutenu par des actions sociales conjointement issues de la bonne volonté de toutes les religions qu'il prône. Les impacts de ce projet parlent d’eux-mêmes et se comptent en termes de nombre de centres de santé construits, de fourniture d’eau potable et d’assistance en hygiène au profit de la population, renseigne Albert Tévoèdjrè. Le couronnement de toutes ces œuvres humanitaires sera l’inauguration, le 19 mars 2018, de la maison de la Paix construite à Adjati, dans la commune d'Adjarra. Cette maison sera son ultime refuge, confie-t-il, fier de voir le Bénin devenir ainsi le carrefour universel de « la paix par le chemin du dialogue interreligieux et interculturel ». Le directeur des Affaires intérieures et des Cultes, Alimi Maoudé, représentante ministre de l’Intérieur, a réitéré aux membres du Conseil interreligieux tout le soutien et l'accompagnement du Gouvernement tant qu’ils travailleront ensemble pour promouvoir la cohésion sociale et la paix au Bénin. bibo:pages 9 -- o:id 7948 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7948 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7959 26960 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6c37aa22ce53d8d3e713264bf359ac186cda6c46.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ff14fb17bbb6e198f1778949e9676735603f0b28.tiff dcterms:title Lutte contre la corruption : Karim Urbain da Silva encourage Patrice Talon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-12-27 dcterms:identifier iwac-article-0003693 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le nonagénaire Karim Urbain da Silva, président des sages et notables de Porto-Novo, salue la rigueur dans le travail et surtout le courage dont fait preuve le chef de l'Etat dans la lutte contre la corruption. Il encourage Patrice Talon dans ses efforts d’assainissement des finances publiques et de promotion de la bonne gouvernance dans toute l'administration publique. Il l'a fait savoir à la faveur d'une conférence de presse qu’il a animée, samedi 23 décembre dernier à Porto-Novo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le nonagénaire Karim Urbain da Silva, président des sages et notables de Porto-Novo, salue la rigueur dans le travail et surtout le courage dont fait preuve le chef de l'Etat dans la lutte contre la corruption. Il encourage Patrice Talon dans ses efforts d’assainissement des finances publiques et de promotion de la bonne gouvernance dans toute l'administration publique. Il l'a fait savoir à la faveur d'une conférence de presse qu’il a animée, samedi 23 décembre dernier à Porto-Novo. Pour le conférencier, ce combat implacable est inévitable pour le développement du Bénin. Raison pour laquelle le patriarche invite le chef de l’Etat à ne pas s'arrêter dans sa détermination à faire rendre gorge aux fossoyeurs et prévaricateurs des maigres ressources publiques. Karim Urbain da Silva invite les uns et les autres à accompagner le président de la République - qui sait là où il va - à réussir son mandat pour le bonheur de tous. Il est certain qu'au soir du quinquennat, tout le monde sera fier du bilan et d’avoir eu un homme d'affaires de la trempe de Patrice Talon comme président de la République, estime-t-il. « Mon soutien au chef de l'Etat et à son action politique, procède du bon sens et de la sagesse. Nous n’avons pas besoin d’une opposition stérile qui nous éloigne de l'essentiel, c'est-à-dire le développement de notre nation et un meilleur avenir pour nos enfants », insiste le conférencier. Le président des sages et notables de Porto-Novo reconnaît qu’il y a certes des difficultés économiques actuellement dans le pays. Mais il pense que le président de la République est bien conscient de ces problèmes qui le touchent aussi. Au-delà des difficultés réelles qui font grincer des dents, Karim Urbain da Silva estime que certaines sont dues à des efforts inlassables du gouvernement orientés vers une réforme des structures inertes et improductives du système économique et la chasse aux mauvaises habitudes du passé. « Il va nous falloir, à tous, un peu de patience et de courage. Ce président-là sait ce qu’il fait, et où il va. Acharné, il veut aller à bon port. C'est un homme qui n’a pas peur des difficultés et qui veut réussir parce qu'il a en vue le succès de son pays », défend le conférencier. Il exhorte tout le peuple béninois à aider le président Patrice Talon à réussir pour le bonheur de tous et pour un Bénin meilleur qu'il aura laissé à la postérité. Karim Urbain da Silva n'a pas manqué de conclure que le courage et la rigueur au travail dont fait preuve le président Patrice Talon dans sa gestion au sommet de l’Etat sont des valeurs dont il a hérité de ses aïeux Agouda toujours soucieux du bonheur de leurs concitoyens. Thibaud C. NAGNONHOU bibo:pages 4 -- o:id 7949 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7949 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7960 26961 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/229c16a67c71202da1d202d3b30999a287645dc7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/53b3ecafb0b171355808f0bf351b9f49b2cdebd6.tiff dcterms:title 29e conférence annuelle de la Jama'at Islamique Ahmadiyya du Bénin : la cohabitation pacifique des religions prônée à Allada dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-12-27 dcterms:identifier iwac-article-0003694 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Du vendredi 22 au dimanche 24 décembre dernier à Allada, les travaux de la vingt-neuvième conférence annuelle de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin dénommée "Jalsa Salana Bénin 2017” se sont déroulés, sur le thème principal « Ahmadiyya, 50 années au Bénin : parcours et perspectives ». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/440 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/549 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Du vendredi 22 au dimanche 24 décembre dernier à Allada, les travaux de la vingt-neuvième conférence annuelle de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin dénommée "Jalsa Salana Bénin 2017” se sont déroulés, sur le thème principal « Ahmadiyya, 50 années au Bénin : parcours et perspectives ». Les objectifs visés à travers cette initiative est d’atteindre la Taqwa, la crainte d’Allah, de créer en même temps son amour dans les cœurs, de porter une attention particulière aux injonctions d’Allah et de les pratiquer. Le maire d’Allada, Michel Akléhinto, explique que c’est un rendez-vous bilan de 50 ans de parcours à évaluer. Il rappelle que les interventions de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin sont visibles sur toute l’étendue du territoire. Il formule les doléances concernant la réalisation des forages et sur l’éclairage pour sa commune. Pour sa part, le représentant du préfet de l’Atlantique, Augustin Vianou, fait savoir que cette conférence marque l’amour, avant de citer les nombreuses réalisations faites sur le terrain par eux. Le roi Kpodégbé d’Allada prône la cohabitation pacifique des différentes confessions religieuses. Il souligne que la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin contribue beaucoup au développement du Bénin depuis cinquante ans, avant de réitérer son soutien à la communauté. Le Père orthodoxe Benoît Dansou transmet un message de fête à l’occasion et souhaite que la bénédiction divine soit sur toute l’assistance. Le président de Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, Rana Farooq Ahmad, rappelle que c’est en 1889 que la Jama’at islamique Ahmadiyya a été créée en Inde. Il dit que l’islam est une religion de paix et que la communauté Ahmadiyya est dans plus de 210 pays dans le monde. Elle est présente dans les 77 communes de notre pays. En plus de ses réalisations, elle envisage la construction d’un lycée, de nouvelles écoles primaires et secondaires et des hôpitaux. Elle procédera également à l’installation d’une radio et d’une télévision pour montrer le visage positif de l’islam, a-t-il annoncé. Après avoir insisté sur la nécessité du dialogue interreligieux, Rana Farooq Ahmad a souligné que la communauté Ahmadiyya rejette la violence et le terrorisme. Signalons que le missionnaire Hafiz Ihsan Mamade Secundar de la Belgique a présenté un exposé sur le thème « Mission du Saint prophète Muhammad et le rôle du Messie promis », à l’occasion de cette vingt-neuvième conférence annuelle de la Jama’at islamique Ahmadiyya. Romuald BINAZON bibo:pages 7 -- o:id 7950 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7950 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7961 26962 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c157a87172ef27b766846b925ec4961400387a8b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ca2ef5a0bba5a373c604affc6747ae5c177f4f75.tiff dcterms:title Conférence interreligieuse à Savè : les religions invitées à travailler ensemble pour préserver la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14115 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12838 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13262 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2019 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-08-21 dcterms:identifier iwac-article-0003695 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya a organisé, samedi 19 août dernier à Savè, une conférence interreligieuse. Cette rencontre placée sous le thème « La paix mondiale : solutions des religions » s’inscrit dans le cadre des manifestations marquant la célébration du cinquantenaire de la présence de cette communauté au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/393 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya a organisé, samedi 19 août dernier à Savè, une conférence interreligieuse. Cette rencontre placée sous le thème « La paix mondiale : solutions des religions » s’inscrit dans le cadre des manifestations marquant la célébration du cinquantenaire de la présence de cette communauté au Bénin. A la rencontre initiée par la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, samedi 19 août dernier à Savé, grande était la mobilisation des populations. L’occasion a permis à Sa Majesté Adétutu Akinmou, roi de Savé, et son homologue de Kaboua, ainsi qu’aux autres leaders religieux présents, de rappeler l’importance de la paix et la nécessité de la préserver à tout prix dans le monde. Comme le sage et ancien président ivoirien, Félix Houphouët Boigny, tous ont reconnu que la paix n’est pas un vain mot, mais un comportement qu’il faut adopter. L’organisation de cette conférence interreligieuse à Savè fait suite à celles qui ont eu lieu à Allada, Bohicon, Lokossa, Parakou et Kandi. Elle vise également comme objectif principal, selon le président du comité d’organisation du cinquantenaire, Mohamed Loukman Bissiriou, à promouvoir une cohabitation pacifique entre toutes les religions présentes au Bénin, sans distinction aucune. Dieu, a-t-il poursuivi, incarne la paix dans les cieux et sur la terre. Invité à faire une communication sur le thème retenu, le missionnaire Anwar Ul Haq a indiqué que le mal le plus grave dont souffre le monde est le risque de menace qui plane à tout moment sur la paix. Pour ce faire, il s’est attardé sur les perspectives qu’offrent les religions dans leur ensemble, en ce qui concerne la sauvegarde de la paix. Il insiste sur le respect de l’éthique et de la morale dans les relations entre les hommes. Toutes choses qui, selon lui, ne sauraient se faire sans la culture de l’harmonie, l’humilité, la courtoisie, l’amour, la tolérance, la fraternité, l’équité, la bonté, la justice entre les peuples et la maîtrise de soi. S’adressant à l’assistance, le président national de la Jama’at islamique Ahmadyya du Bénin, Rana Farooq Ahmad, a expliqué que la culture de la paix reste et demeure une quête permanente et quotidienne. Selon lui, c’est une œuvre qui, pour permettre l’extinction des foyers de tension à travers le monde, exige l’implication de tous. Installée au Bénin en 1967, la communauté islamique Ahmadiyya est très active dans les œuvres sociales et humanitaires. Elle milite pour la propagation d’un islam de paix et s’est engagée depuis 2006 activement dans le dialogue interreligieux. bibo:pages 11 -- o:id 7951 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7951 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7962 26963 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d9d61ab8fab7a5d16932ce17e60215d21390b639.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8ed2dbcf9433fed6a66ed83613cfc0c202cad553.tiff dcterms:title Don de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin : les sinistrés de Malanville secourus dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14690 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-11-21 dcterms:identifier iwac-article-0003696 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après les sinistrés de Karimama, c'est au tour de ceux de Malanville de bénéficier des dons de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin. La cérémonie consacrée à la remise des dons eu lieu le dimanche 12 novembre dernier à l’hôtel de ville de la commune, en présence du ministre de la Santé publique. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/334 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après les sinistrés de Karimama, c'est au tour de ceux de Malanville de bénéficier des dons de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin. La cérémonie consacrée à la remise des dons eu lieu le dimanche 12 novembre dernier à l’hôtel de ville de la commune, en présence du ministre de la Santé publique. La Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin multiplie ses actions sociales à l'endroit des citoyens béninois touchés par la crue du fleuve Niger. Quarante-huit heures après avoir volé au secours des sinistrés de Karimama, cette communauté religieuse s’est proposé de soulager les peines de ceux de Malanville, en leur offrant des dons divers. Il s’agit en effet de vivres et autres produits de première nécessité composés de soixante-dix sacs de riz de 50 kg et de dix bidons de 25 litres d'huiles ; 200 feuilles de tôles ; 200 nattes ; 360 moustiquaires imprégnées ; 100 manuels scolaires et de 500 kits scolaires pour les enfants. Ces dons ont coûté 5 millions de francs Cfa. La distribution des vivres dans tous les arrondissements de la ville a été confiée à une organisation non gouvernementale locale. Pour Farooq Ahmad, président de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin, cette offre vient prouver la fidélité de la communauté à son engagement d'assistance aux personnes vulnérables. « Il s'agit pour nous par ce geste, d'encourager les efforts du gouvernement du président Patrice Talon à soulager les peines des sinistrés de Malanville », a-t-il affirmé Il a également rassuré les bénéficiaires que cette initiative n’est qu’à son, début et leur a promis que plusieurs autres projets au profit des sinistrés et autres personnes vulnérables seront incessamment programmés. Ayant vu son département ministériel honoré à travers les consultations médicales accordées à 723 sinistrés par deux médecins-chefs des hôpitaux de la Jama’at Islamique Ahmadiyya de Parakou et de Porto Novo, ainsi que la mise à disposition de médicaments pour ceux-ci le ministre de la Santé, Alassane Séidou, a exprimé sa gratitude aux donateurs. « Par ma voix, recevez au nom des sinistrés, les remerciements du gouvernement pour tout ce que vous faites pour notre pays », a-t-il déclaré, après avoir expliqué aux récipiendaires que cette communauté islamique contribue de jour en jour à l’amélioration de la santé de la population. Il a félicité les donateurs pour ce qui a été fait pour les hôpitaux de Porto-Novo, Parakou et l’instauration de la clinique mobile pour les opérations de cataracte. Pour Dr Marna Bouraïma Adamou, directeur départemental de la Santé de l’Alibori, la Jama'at Islamique Ahmadiyya est à féliciter pour ses actions à l'endroit de la population de l’Alibori. Il a saisi l'occasion pour signaler le bonheur ressenti par les populations de Karimama visitées, quelques jours plus tôt. A en croire les propos de Nouffo Sambo, représentant le maire de la commune de Malanville à la cérémonie, les inondations ont causé des dégâts importants dix décès dont quatre corps disparus, la perte de plus de 9 000 hectares de productions agricoles et 791 habitats écroulés. Ayant fait part de l'importance de cette faveur accordée aux sinistrés, il a remercié les donateurs, au nom du maire et de la population secourue. « Je fais la promesse que les dons seront repartis aux sinistrés dans la transparence », a-t-il promis. bibo:pages 7 -- o:id 7952 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7952 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7963 26964 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/932f8f04235330ece5ca22f40ede2317e8905ed7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/32d9403ca03eb1f98ab64e51f016160c2201ca1b.tiff dcterms:title Menaces sur la paix dans le monde : Ahmadiyya Bénin prône le recours à Dieu comme solution dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14163 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2019 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-09-25 dcterms:identifier iwac-article-0003697 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a organisé, samedi 23 septembre dernier au musée da Silva de Porto-Novo, une conférence interreligieuse. A l’occasion, les fidèles et sympathisants de plusieurs confessions religieuses ont réfléchi sur la place de Dieu dans la vie et le devoir pour les hommes de retourner vers le Créateur pour l’enracinement de la paix dans le monde en général et au Bénin en particulier. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/281 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a organisé, samedi 23 septembre dernier au musée da Silva de Porto-Novo, une conférence interreligieuse. A l’occasion, les fidèles et sympathisants de plusieurs confessions religieuses ont réfléchi sur la place de Dieu dans la vie et le devoir pour les hommes de retourner vers le Créateur pour l’enracinement de la paix dans le monde en général et au Bénin en particulier. « La religion et la paix dans le monde », c’est le thème de la conférence interreligieuse organisée à Porto-Novo, vendredi 23 septembre dernier, par la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin. Il a été développé par le missionnaire Ibrahim Abdoul Aziz. Musulmans, chrétiens, juifs et autres ont réfléchi sur ce thème pour la paix dans le monde et qui passe par le recours à Dieu comme solution. L’organisation de cette conférence s’insère dans le cadre de la série d’activités prévues par cette organisation pour marquer d’un cachet spécial ses cinquante ans d’existence au Bénin, souligne le président du comité d’organisation, Luckman Mohamed Bissiriou. Ainsi, après Allada, Bohicon, Lokossa, Parakou, Kandi et Bassila, c’est au tour de Porto-Novo d’abriter cette conférence interreligieuse. Celle-ci vise à promouvoir la coexistence pacifique entre les hommes et à réduire de façon considérable les fossés d’incompréhension et de malentendu qui existent entre eux. Il s’agira en d’autres termes, précise le président du comité d’organisation, pour la conférence interreligieuse, de proposer des pistes de solutions pour promouvoir la paix dans le monde en général et au Bénin en particulier. « Il est important de savoir ce que Allah qui nous a créés veut de nous. Dieu est source de paix. Il a basé tous ses attributs et créatures sur la paix », rappelle Luckman Mohamed Bissiriou. C’est pourquoi, insiste-t-il, tous les hommes qui sont aussi des créatures divines doivent, dans leur diversité religieuse, œuvrer pour la paix, la sympathie, l’amour, la tolérance et la courtoisie. Ils doivent proscrire la mesquinerie, la médisance, les calomnies, l’étroitesse d’esprit et tout ce qui hypothèque la paix dans le monde, recommande aux participants le président du comité d’organisation. Il sera ensuite appuyé par le président de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin, Rana Ahmad Farooq, qui invite tous les hommes à vivre en parfaite harmonie avec les enseignements de Dieu. « Sans la paix aucun progrès, aucun développement n’est possible », relève-t-il. Que l’on soit musulman, chrétien juif ou animiste, il faut cultiver la paix partout, souligne Rana Ahmad Farooq pour montrer toute l’importance du dialogue interreligieux. « L’heure n’est pas de savoir quelle est la meilleure religion. Il faut passer aux actes qui enracinent la paix dans le monde en général et au Bénin en particulier », poursuit-il. Le président de la Jama’at islamique Ahmadiyya invite tout le monde à rivaliser d’ardeur pour faire du bien, pardonner et promouvoir la bonté partout où il est. L’initiative de cette conférence interreligieuse a été saluée par les représentants du préfet de l’Ouémé, du médiateur de la République et des autres confessions religieuses ainsi que des acteurs des religions endogènes. Ils ont défilé au pupitre pour féliciter la Jama’at islamique Ahmadiyya pour tout ce qu’elle fait en faveur du maintien de la paix au Bénin et du bien-être de la population. La cérémonie s’est achevée par une prière silencieuse pour implorer la paix sur les pays où elle est menacée dans le monde. bibo:pages 7 -- o:id 7953 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7953 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7964 26965 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bacaf744bb561e1d56c1f94afb6b7dc15e83dbea.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3e7a462da4f94c2da1a1a6719ef803abae1fc5e4.tiff dcterms:title Compétition de récitation du Saint Coran : la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin promeut l'islam dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15328 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14859 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13487 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-07-17 dcterms:identifier iwac-article-0003698 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a organisé, samedi 15 juillet dernier, à Porto-Novo, une compétition nationale de récitation du Coran. Les trois premiers candidats plus méritants ont été gratifiés de prix d’encouragement pour la promotion d’un islam de paix au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a organisé, samedi 15 juillet dernier, à Porto-Novo, une compétition nationale de récitation du Coran. Les trois premiers candidats plus méritants ont été gratifiés de prix d’encouragement pour la promotion d’un islam de paix au Bénin. Adéwunmi Abdurrasheed d’Adjarra, Abdoul Kabir Ayéroumide de Pobè et Salam Atchédé de Cotonou sont déclarés respectivement 1er, 2e et 3e de la compétition nationale de récitation du Saint Coran organisée, samedi 15 juillet à Porto-Novo, par la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin. Les trois lauréats à l’arrivée, sur les 31 candidats au départ provenant de tous les départements du Bénin, ont reçu chacun leur prix composé de trophée, d’emballage et d’enveloppe financière. Ils ont été distingués comme les plus méritants par le jury devant qui les 31 candidats ont, à tour de rôle, défilé pour lire le Coran. L’épreuve a duré cinq minutes pour chaque compétiteur. Dans sa délibération, le président du jury, Abdoul Dayane Ikanmi, enseignant chercheur et consultant en éthique coranique, a salué le courage des 31 candidats pour avoir accepté de participer à cette compétition. Selon lui, elle a révélé deux catégories de candidats. Il y a une première qui est constituée de ceux qui ont été excellents dans leur récitation et une seconde catégorie composée des candidats qui ont hésité dans leur prestation. Le président du jury félicite et encourage chacun des candidats à persévérer dans l’effort. Car, selon lui, les perdants d’aujourd’hui peuvent être les gagnants de demain. Moussiliou Alimi Bakary, au nom du président de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad qui était présent au début du concours avant de se retirer, a exhorté aussi les candidats à la persévérance. Il a insisté sur l’importance de la récitation du Saint Coran pour le fidèle musulman. Selon lui, la lecture du Coran procure beaucoup de récompenses tant pour le lecteur que pour celui qui l’écoute. Le représentant du président de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin n’a pas manqué d’encourager les candidats à ne pas s’arrêter en si bon chemin dans leur récitation afin de bénéficier de l’abondante grâce et des bénédictions d’Allah. Le président du comité d’organisation de cette compétition, Louckman Bissiriou, s’est fait plus précis. Outre la grâce et les bénédictions qu’elle procure, la récitation du Saint Coran est un acte d’adoration d’Allah. Aussi, constitue-t-elle pour le fidèle musulman, une arme de piété et de purification, renseigne Louckman Bissiriou. Il précise que l’organisation de cette compétition nationale de récitation du Coran s’inscrit dans le cadre de la célébration des 50 ans d’anniversaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin. Les œuvres sociales et humanitaires de cette communauté islamique en faveur du Bénin parlent d’elles-mêmes notamment en termes de construction d’hôpitaux, d’orphelinats et d’écoles primaires Ahmadiyya ainsi que de réhabilitation de pompes pour la fourniture d’eau potable aux populations. bibo:pages 9 -- o:id 7954 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/7954 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 7965 26966 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d8f3132bac012452d044ccc5448a065911ad20cb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/48e595d3a690c8d65bc0a238f5d31d36b97a25dc.tiff dcterms:title Célébration de Maouloud : l'ambience des jours ordinaires à Lokossa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-11-21 dcterms:identifier iwac-article-0003699 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La fête de Maouloud n'a pas donné lieu à une célébration particulière dans les familles à Lokossa. C'est l'ambiance des jours ordinaires. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La fête de Maouloud n'a pas donné lieu à une célébration particulière dans les familles à Lokossa. C'est l'ambiance des jours ordinaires. C'est un calme plat qui a régné dans la matinée d'hier au niveau des deux principales mosquées et places Idi de la ville de Lokossa, chef-lieu du département du Mono. Bien qu’étant ouverts, ces lieux de prières n'avaient enregistré aucune manifestation concernant la Maouloud, la commémoration de la naissance de Mahomet, prophète de l'Islam. Aucune manifestation spéciale n'a été aussi signalée dans le programme de la journée. A la mosquée centrale de Lokossa tout comme à la mosquée de Zongo, les heures de rencontre des fidèles musulmans ont été conformes à celles des jours ordinaires. Il s’agit des séances de prières de 14 heures, de 16 heures, de 19 heures et de 20 heures, rappellent des fidèles se prélassant au niveau des deux mosquées. « Après la prière de 6 heures, nous nous sommes dispersés en attendant la séance de 14 heures », confirme le dignitaire religieux Aboubakar Wassiou, rencontré à son domicile et s'adonnant à son métier de couturier. Maître coranique à la mosquée centrale de Lokossa, il explique que la présente disposition par rapport à Maouloud est décidée par le comité des sages de leur communauté religieuse. « Dans les années antérieures, on organisait une séance de lecture coranique suivie de petites réjouissances populaires que vient clôturer la prière de 14heures », se rappelle-t-il. Pour l'iman de la mosquée de Zongo, Abdoul Kadr Aboubakar, « ce qui se faisait relève de l'ignorance que nous avons voulu corriger ». Au quartier Zongo, l’imam soutient que la fête de Maouloud n'est pas une fête recommandée dans l’Islam. « Le prophète Mahomet a recommandé la célébration de deux fêtes religieuses à savoir le ramadan et la tabaski», a souligné l'iman Abdoul Kadr Aboubakar. Le mot d’ordre a été bien suivi dans la communauté des fidèles musulmans. Des réjouissances n’ont été observées ni dans des maisons, ni dans les places publiques sillonnées. Lokossa a vécu ce mardi 20 novembre comme un jour ordinaire. La communauté des fidèles se refuse d’accorder à Maouloud l'attention des autres fêtes prescrites dans le Coran, le livre saint de l’Islam. bibo:pages 5 -- o:id 8740 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8740 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8745 26967 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f9d3721cceb5e39d4737811729f6edd4160794e3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/aa0ae8b42584b49b2951c5da68a8e1208bfe822e.tiff dcterms:title Bénin - Libye : inauguration à Abomey-Calavi de l'Institut de langue arabe dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1496 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13921 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1968 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1991-11-15 dcterms:identifier iwac-article-0004075 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La langue, a-t-on coutume de dire, est un facteur de communication d’échanges et de rapprochement des peuples. C’est dans cet esprit qu’a été inauguré hier au Campus universitaire d’Abomey-Calavi, l’institut de langue arabe et de la culture islamique, fruit de la coopération bénino-libyenne. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La langue, a-t-on coutume de dire, est un facteur de communication d’échanges et de rapprochement des peuples. C’est dans cet esprit qu’a été inauguré hier au Campus universitaire d’Abomey-Calavi, l’institut de langue arabe et de la culture islamique, fruit de la coopération bénino-libyenne. Ont pris part à cette importante cérémonie, une forte délégation de l’Association mondiale de l’Appel à l’Islam (AMAI) conduite par son président, le Docteur Ahmed El-Chérif, des membres du gouvernement béninois, de représentants du corps diplomatique, les dignitaires religieux ainsi qu’une foule nombreuse de la communauté musulmane de notre pays. Quatre allocutions ont été présentées à cette occasion. Il s’agit notamment des interventions du recteur de l’Université nationale du Bénin du représentant personnel du président Abdou Diouf du Sénégal, du Docteur Ahmed El-Cherif, président de l’AMAI et de celle de M. Karim Dramane, ministre de l’Education nationale. Toutes ces interventions ont mis en exergue les apports féconds et multiples de la langue et de la civilisation arabes au cours des siècles avant de situer l’importance d'une telle réalisation dans la formation et la culture de notre peuple ainsi que de l’ouverture dont bénéficieront dès lors les futures générations sur le monde et la culture islamiques. -- o:id 8741 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8741 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8746 26968 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/735cae15651a35ff870d4cf4c0456d82472539ad.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ca4bfa7c17785391bc93a45d56b666a923ab5737.tiff dcterms:title Maolid Nabi ou Maouloud : la fête de tous les prophètes dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1544 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1991-09-23 dcterms:identifier iwac-article-0004076 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans du Bénin ont commémoré vendredi dernier la naissance de leur prophète Mouhamed. C'était la 1420è commémoration, et la deuxième fois célébrée officiellement depuis que les autorités de la transition ont décidé de faire chômer et payer cette date anniversaire. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/443 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans du Bénin ont commémoré vendredi dernier la naissance de leur prophète Mouhamed. C'était la 1420è commémoration, et la deuxième fois célébrée officiellement depuis que les autorités de la transition ont décidé de faire chômer et payer cette date anniversaire. L’essentiel des manifestations à Cotonou comme dans les autres localités du pays s’est déroulé la veille par des séances de chants et danses religieux, de prières et de déclamations, de poèmes pour louer le prophète. Il y a eu également des séances de lecture du Coran. La fête a revêtu un caractère particulier parce qu'elle a coïncidé avec la journée du vendredi, jour de prières et grand jour pour les musulmans. «En célébrant cette fête, nous a confié l'imam Ligali Alao Issiak de la Mosquée centrale de Cadjèhoun à Cotonou, nous rendons hommage à tous les prophètes depuis Adam jusqu’à l'avant-dernier Jésus, et le dernier Mouhamed. C'est une longue histoire, précise-t-il, dont le parachèvement est l'oeuvre du dernier prophète... Le Maouloud n’est donc pas seulement une fête des musulmans mais la fête de toutes les créatures croyant en l’existence de Dieu». L’IMAM Ligali a souligné par ailleurs que le Maouloud est une fête de rappel et de prise de conscience. Elle est une occasion pour le musulman de revoir le Saint Coran, de se remémorer la vie du prophète lorsque ce dernier était à la Mecque, puis à Médine c'est aussi l’occasion de réfléchir sur l’oeuvre du prophète et l'ensemble des problèmes du monde musulman. L'Iman Ligali Alao Issiak nous a enfin précisé que sur le plan national le Maoulou et a donné l’occasion aux chefs religieux de se pencher sur les évènements qui se succèdent dans notre pays depuis quelque temps et qui semble vouloir remettre en cause le processus démocratique. «Nous avons prié et prêcher a-t-il dit, pour aussi bien les autorités que les fonctionnaires, car tous sont des fidèles». Pour les chefs religieux, les autorités doivent respecter les engagements pris. Quant aux travailleurs, il faut qu’ils sachent que le salut se trouve dans le travail. bibo:pages 10 -- o:id 8742 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8742 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8747 26969 26970 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/600fe1aacf6a74b8f36b5503e27409bf03427600.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f5a6606504b25de046d22c0cc0f8d65f4b2de6f0.tiff https://islam.zmo.de/files/original/049e52ba94999b1d27534fa1df770909424a6957.tiff dcterms:title Inauguration du bâtiment annexe de la grande mosquée centrale de Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1588 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/780 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14554 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1449 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1969 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15327 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1991-04-23 dcterms:identifier iwac-article-0004077 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Un bâtiment flambant neuf servant de lieu de dévotion et de prière pour les femmes de la communauté musulmane a été inauguré dimanche dernier à la place de la grande mosquée centrale de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Un bâtiment flambant neuf servant de lieu de dévotion et de prière pour les femmes de la communauté musulmane a été inauguré dimanche dernier à la place de la grande mosquée centrale de Cotonou. C'était au cours d'une cérémonie qui a rassemblé une grande foule de fidèles musulmans et d'invités. Y assistaient les anciens présidents Emile Derlin Zinsou et Hubert Maga, les ministres de la Santé Publique, du travail et des Affaires Sociales, de la Culture, de la Jeunesse et des Sports ainsi que les ambassadeurs du Nigeria et de Libye. Ce bâtiment d'une capacité de 1.000 places qui jouxte la grande mosquée centrale est entièrement financé par El-Hadja Souradjatou Amari da-Silva, présidente d'honneur de l'Association des femmes musulmanes du Bénin. El-Hadja Souradjatou qui s’est refusé à révéler le coût du bâtiment a estimé que cet édifice qui est un don à Dieu n'a pas de prix. En reconnaissance à son geste, El-Hadja Souradjatou da-Silva s'est vu décerner la distinction honorifique de Iya-Adimi qui signifie mère de l'Islam. Pour sa part EI-Hadja Raliatou Akanké Gbadamassi a été élevée au rang de Iya-Malé ou mère de la communauté musulmane pour son dévouement et sa sollicitude permanente à l'endroit de la communauté musulmane. L'Iman Djamiou de la grande mosquée centrale de Cotonou El Hadj Liamidi Kélani devait ensuite prier pour la santé, le bonheur et la prospérité de tous les fils du Bénin et pour la paix dans notre pays. Après quoi les ministres présents à cette cérémonie et M. Hubert Maga ont apprécié le rôle important que joue la femme dans le développement de notre pays. Ils n'ont pas manqué d'exhorter tous les musulmans, et toutes les confessions religieuses à prier pour l'unité nationale, la prospérité, le bonheur et pour que le président de la République recouvre vite la santé. Ce fut ensuite la coupure du ruban symbolique suivie de la visite du bâtiment par les autorités politiques et les chefs de la communauté musulmane. M. RAMANOU bibo:pages 1 3 -- o:id 8749 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8749 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8757 26971 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4242490f409fbc2b3a25abb7722c48b76037fe3b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7b8ff1f2b4dcf8dbbf717dea2bbf079b191962a7.tiff dcterms:title Bénin – Libye : arrivée à Cotonou du président de l'Association de l'Appel à l'Islam dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1496 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13921 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1991-11-14 dcterms:identifier iwac-article-0004078 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Fanfares, parades et danses ont rayonné toute la soirée d’hier à l’aéroport international de Cotonou pour saluer l’arrivée du Docteur Ahmed El Cherif, le président de l’Association mondiale de l’Appel à l’Islam (AMI). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Fanfares, parades et danses ont rayonné toute la soirée d’hier à l’aéroport international de Cotonou pour saluer l’arrivée du Docteur Ahmed El Cherif, le président de l’Association mondiale de l’Appel à l’Islam (AMI). En effet, avec la venue de cet illustre hôte, la coopération bénino-libyenne va connaître un véritable coup d’accélérateur par l’inauguration aujourd’hui et demain de deux importantes réalisations socio-culturelles: l’institut de langue arabe à l’UNB et le Centre islamique de Dantokpa. Dans une brève déclaration, le Docteur Ahmed El-Chérif a indiqué que son séjour s’inscrit dans l’inauguration de ces infrastructures qui sont l'expression de l’amitié et de la coopération entre deux peuples qui aspirent à la paix et au bien-être. L’Association mondiale de l’Appel à l’Islam, a-t-il poursuivi est une institution qui a été créée après la révolution d’El Fateh pour promouvoir les rapports entre les hommes et pour faire connaître la culture arabe entre les peuples arabes et islamiques. Elle œuvre par ailleurs à jeter des ponts entre les différentes religions. Son objectif principal consiste à mettre au service de l’humanité en vue de l’instauration de la paix et de la justice entre les individus. Le Dr Chérif a, pour terminer invité, les musulmans béninois à être de bon musulmans dont le devoir doit être de coopérer avec tous les autres citoyens pour le progrès de leur pays tout en poursuivant les idéaux de paix, de travail et de production. -- o:id 8750 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8750 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8758 26972 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1432c38d60636e192981c4057937e5bfeb8a956c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0ae84680aa620b439e7b92f4b56083935b68d31f.tiff dcterms:title Religion : la jeunesse Ahmadiyya-Bénin prône la paix dans le monde dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/462 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2019 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15092 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-08-28 dcterms:identifier iwac-article-0004079 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La jeunesse de la Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin a organisé, du 25 au 27 août dernier, sa convention nationale annuelle au Lycée Béhanzin de Porto-Novo. L’évènement qui est à sa quinzième édition cette année a été ponctué par une série d’activités au cours desquelles les fidèles ont renouvelé leur foi et leur engagement pour un monde de justice et de paix. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La jeunesse de la Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin a organisé, du 25 au 27 août dernier, sa convention nationale annuelle au Lycée Béhanzin de Porto-Novo. L’évènement qui est à sa quinzième édition cette année a été ponctué par une série d’activités au cours desquelles les fidèles ont renouvelé leur foi et leur engagement pour un monde de justice et de paix. « Rôle de la jeunesse dans la construction d’un monde de paix », c’est le thème central de la quinzième édition de la convention nationale annuelle de la jeunesse de la Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin qui s’est déroulée du 25 au 27 août dernier au Lycée Béhanzin de Porto-Novo. Les fidèles de cette communauté musulmane étaient mobilisés par centaines pour prendre part à cet évènement. Ils sont venus de tous les départements du Bénin. Des délégations musulmanes sont venues également du Nigeria pour soutenir la convention. Deux grands évènements ont marqué, samedi 26 août dernier, les travaux : le défilé des jeunes Ahmadiyya à travers les rues de Porto-Novo pour prôner la paix dans le monde et l’organisation d’un symposium. Ce symposium a été une occasion pour la jeunesse Ahmadiyya d’enrichir ses connaissances à travers une présentation sur le thème retenu pour l’édition 2017 de cette convention : « Rôle de la jeunesse dans la construction d’un monde de paix ». La communication a été assurée par le secrétaire général de la Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin, Loukman Bissiriou. Il fait observer que la paix est menacée partout. Aucun continent n’est en paix dans le monde. A telle enseigne que, selon Loukman Bissiriou, la paix est devenue une denrée rare aussi bien en Afrique, en Europe, en Amérique, en Asie qu’en Océanie. Tous ces continents ploient sous le poids d’actes de terrorisme, la mal gouvernance et autres fléaux blâmables tels que l’alcoolisme, la drogue, la prostitution et la toxicomanie. Malheureusement, condamne le conférencier, ce sont les jeunes qui sont souvent au cœur de ces actes qui constituent des menaces pour la paix dans le monde. C’est pourquoi, Loukman Bissiriou invite les jeunes Ahmadiyya-Bénin à connaître l’islam, à marcher dans la droite ligne du saint-Coran et des préceptes du prophète Mahomet afin de servir de modèles à leurs pairs et à être des ambassadeurs de la paix partout où ils sont. Aussi, les a-t-il exhortés à faire le bien et à pratiquer la justice, l’équité et l’humilité en tout en temps et en tout lieu. Le communicateur a saisi l’occasion pour appeler les dirigeants et les hommes politiques à promouvoir la justice sociale et le partage équitable des richesses du pays pour le maintien ou le retour de la paix partout dans le monde. « La paix naît de la justice », insiste le secrétaire général de la Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin. Le président du comité d’organisation, Louqman Daouda, s’est inscrit en faux contre les allégations selon lesquelles c’est la religion musulmane qui trouble la paix dans le monde. Selon lui, les auteurs d’actes de terrorisme qui disent être des défenseurs de l’islam ne sont pas de vrais musulmans. « L’islam est une religion de paix comme le prône d’ailleurs le saint-Coran », martèle-t-il. Louqman Daouda sera appuyé par le vice-président de la Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin. Moussiliou Alimi Bakary félicite les jeunes pour leurs engagements au sein de la communauté Ahmaddiyya-Bénin qui donne depuis cinquante ans au Bénin un autre visage à l’islam, celui d’être une religion de justice et de paix. bibo:pages 7 -- o:id 8751 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8751 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8759 26973 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3835bf4b9263f300723762ced8dbed98ed1accc1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/70ccaf12647d9e446395f4125b97a3bbe7b0b62c.tiff dcterms:title Vers une solution au problème de la cohabitation pacifique entre les cultes religieux dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/789 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-08-12 dcterms:identifier iwac-article-0004080 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Enfin, une séance de travail consacrée aux problèmes liés à la cohabitation pacifique des adeptes des différents cultes, a regroupé lundi dernier à la Maison du Peuple de Goho, autour du préfet du Département du Zou, M. Mathias Dagbégnon Gogan, le commandant de la compagnie de gendarmerie du Zou, le directeur départemental de la Police nationale, tous les responsables des différents cultes, des représentants des associations de développement et tous les chefs des circonscriptions administratives du Zou. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Enfin, une séance de travail consacrée aux problèmes liés à la cohabitation pacifique des adeptes des différents cultes, a regroupé lundi dernier à la Maison du Peuple de Goho, autour du préfet du Département du Zou, M. Mathias Dagbégnon Gogan, le commandant de la compagnie de gendarmerie du Zou, le directeur départemental de la Police nationale, tous les responsables des différents cultes, des représentants des associations de développement et tous les chefs des circonscriptions administratives du Zou. Après l'introduction du préfet pour situer le cadre de la réunion, les participants à la séance ont tour à tour évoqué ce qu’ils vivent dans leurs localités. De l’analyse des déclarations faites, il ressort que dans tout le Département du Zou, la difficulté de la cohabitation entre les cultes existe mais avec une note particulière dans la sous-préfecture de Glazoué. Tous les intervenants ont loué l’initiative du préfet et demandé que les adeptes des nouvelles religions soient recyclés en s’inspirant de l’exemple des trois premières religions qui étaient déjà en place à savoir: le catholicisme, l’islam et le protestantisme. Le préfet Mathias Dagbégnon Gogan a insisté sur le rôle déterminant de l’administration pour résoudre les problèmes sur le terrain. Il a, au terme de la séance, recommandé la création d’un cadre de concertation ou d’arbitrage au niveau des circonscriptions urbaines et des sous-préfectures pour résoudre les problèmes qui pourraient surgir. (ABP) bibo:pages 5 -- o:id 8752 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8752 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8760 26974 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/415aa0f569c91a1c1a3c52ff926b3a9ea010745c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/74df324156a6b52612d7ffabc6ac5bbcf76eed3f.tiff dcterms:title Ouémé : situation calme à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/789 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13116 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-04-22 dcterms:identifier iwac-article-0004081 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le calme amorcé depuis lundi dernier continue de règner à Porto-Novo hier mercredi. Les responsables des deux communautés en conflit continuent de sillonner les quartiers «chauds» pour sensibiliser les populations. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le calme amorcé depuis lundi dernier continue de règner à Porto-Novo hier mercredi. Les responsables des deux communautés en conflit continuent de sillonner les quartiers «chauds» pour sensibiliser les populations. Celles-ci comprennent d’ailleurs l’enjeu de la démarche des sages de la ville: préserver les liens séculaires qui ont toujours existé entre Goun et Yoruba d’une part et musulmans et animistes d’autre part. Porto-Novo a donc connu sa deuxième journée de calme. Les populations vaquent normalement à leurs affaires et la capitale renoue petit à petit avec l’ambiance qui l’a toujours caractérisée. Le dispositif de sécurité mis en place n’a pas été renforcé. Adissa, cet élément incontrôlé qui a mis le feu au temple du grand fétiche de Porto-Novo, a été arrêté hier matin. Une arrestation qui pourrait faire baisser la tension, a affirmé le préfet du département de l’Ouémé. Car, libre de ses mouvements, Adissa continue de monter les jeunes musul mans. Les obsèques du jeune Firmin Togbé, qui a trouvé la mort au cours des événements, auront probablement lieu jeudi ou samedi prochain. Telle a été la décision prise par les parents du défunt qui ont demandé à enterrer leur enfant à domicile. L’administration ne s’est pas opposée à cette demande des parents, même si les textes prévoient que les enterrements se fassent au cimetière dans les grandes villes comme Porto-Novo. Si l’administration a accepté la requête des parents du défunt, a fait remarquer le préfet Godfried Johnson, c’est pour mieux circonscrire d’éventuels troubles qui pourraient se produire pendant les obsèques. La circonscription urbaine et la préfecture de Porto-Novo ont débloqué une somme de cent mille F CFA pour aider les parents du défunt à organiser ces obsèques. La grande inconnue reste l’atmosphère qui pourra règner dans la capitale administrative du Bénin vendredi prochain, jour de la prière hebdomadaire des musulmans. Car des menaces à peine voilées sont toujours proférées de part et d’autre. (ABP) bibo:pages 3 -- o:id 8753 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8753 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8761 26975 26976 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ecc20529f5847a117de99c1c677324de205db36c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0ce276cc07c3a9d10dccb08c9e1dd49cc75215d3.tiff https://islam.zmo.de/files/original/50353239937d38d8f30c7087ca271afeb5d9d507.tiff dcterms:title Grande mosquée de Porto-Novo : collecte de fonds et pose de la première pierre des travaux de rénovation dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1539 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1377 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15306 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-09-04 dcterms:identifier iwac-article-0004082 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après la prière et l'appel de fonds, la communauté musulmane de la ville de Porto-Novo a posé hier dimanche, la première pierre des travaux de rénovation de la grande Mosquée centrale. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12866 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après la prière et l'appel de fonds, la communauté musulmane de la ville de Porto-Novo a posé hier dimanche, la première pierre des travaux de rénovation de la grande Mosquée centrale. Pendant que les femmes du grand marché mitoyen de la mosquée boudaient la cérémonie, la communauté musulmane tout naturellement l'a saluée par des cris de joie et de dévotes Psalmodies. L’initiative de la rénovation de la grande Mosquée Centrale de Porto-Novo remonte à l'an 1999, année de la tournée du président de la République, le Général Mathieu Kérékou dans la ville. Pendant cette tournée, le président en visite à la Mosquée Centrale de Porto-Novo avait demandé à la Communauté musulmane remplie de richissimes de se cotiser pour réhabiliter ou rénover leur mosquée, au lieu d'attendre une manne de l'extérieur. Ce conseil du chef de l’Etat, le Général Mathieu Kérékou n’est pas tombé dans des oreilles de sourd. Il a commencé déjà son petit bonhomme de chemin. Hier dimanche, après la prière, les musulmans de Porto-Novo ont ouvert la collecte de fonds. Cet appel de fonds leur a permis de mobiliser sur le champ, plusieurs millions de francs. A cette occasion, le président de l'Assemblée Nationale, Me Adrien Houngbédji a apporté une enveloppe à cette communauté. D’autres personnalités ont aussi apporté leur modeste contribution. Après l'appel de fonds et la collecte de quelques millions de francs, les chefs religieux se sont dirigés vers le lopin de terre appelé à abriter l’extension de la Mosquée. Au lieudit, le préfet des départements de l'Ouémé et du Plateau, M. Félix Zanfongnon, qui s’est illustré dans la Mosquée par son absence, était cette fois ci présent. Pas pour communier à la cérémonie, mais pour interdire de nouveau la pose de la première pierre de la Mosquée. Selon lui, cette pose porterait atteinte à la paix des paisibles populations de la ville de Porto-Novo. Malgré ses pourparlers avec les dignitaires de la Communauté musulmane et le président de l’Assemblée Nationale, Me Adrien Houngbédji présent à la cérémonie, le préfet Félix Zanfongnon n’a pas réussi à dissuader la communauté musulmane d’accomplir son acte. Il s’est retourné sur ses pas. Les dignitaires de la Communauté musulmane ont alors procédé à la pose de la première pierre sous les cris de joie de toute l’assistance en liesse. Mais dehors, dans le marché, c’était moins que la joie. Les femmes du marché boudaient la cérémonie car elles craignaient que la construction de la mosquée ampute ou les prive de leur site de commerce. Selon les musulmans, il s’agit de fausses inquiétudes. Le préfet de l’Ouémé et du Plateau, M. Félix Zanfongnon espère que dans les prochains jours, de nouveaux pourparlers déboucheront sur un compromis. Historique de la Mosquée centrale de Porto-Novo Les travaux de la Mosquée centrale de Porto-Novo datent de l'an 1910 juste après la mort de son pionnier El Hadj Moutaïrou, quatrième Imam Djamiou de Porto-Novo. L’an 1935 a consacré la fin de la construction de l’actuelle nef principale. La grande Mosquée centrale de Porto-Novo est de nos jours en Afrique un des rares témoignages de l’héritage architectural des Afro Brésiliens affranchis, revenus du Brésil et installés à Porto-Novo dès la fin du 19è siècle. Ce plan de la Mosquée confère aujourd’hui à cet édifice religieux, un intérêt accru et lui donne une dimension internationale. Dans le cadre de la préservation du patrimoine architectural des pays de la sous-région, la Mosquée de la ville de Porto-Novo est en vue. Depuis, la grande Mosquée Centrale de Porto-Novo est reconnue comme l’un des sites touristiques à restaurer dans le cadre du projet de préservation du patrimoine architectural de la ville de Porto-Novo. Pour résoudre le problème d’extension, une superficie de 548 m2 jouxtant le site actuel de la mosquée lui a été attribuée. L'acquisition d’une parcelle de 425 m2 située à la façade sud de la mosquée était encore indispensable à l’extension. Toutes ces superficies ne sont pas assez suffisantes pour combler le rêve d’extension de la communauté. bibo:pages 1 12 -- o:id 8754 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8754 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8762 26977 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/22bf2e1bde508383f8ebc5f0dda776eee9f1a05b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6cadc9d299ff9ee4aa4b7491493ffc8e47e52ad2.tiff dcterms:title Fin du séminaire national sur le thème dialogue islamo-chrétien-religions traditionnelles : un contrat moral entre les communautés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1498 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15512 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/801 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1957 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2018 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-09-28 dcterms:identifier iwac-article-0004083 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après trois jours de débats constructifs et instructifs, le séminaire national portant sur le thème «Dialogue islamo-chrétien et religions traditionnelles à l’heure du Renouveau démocratique» organisé par l’INFOSEC sur initiative de la Ligue islamique des droits de l’homme au Bénin (LIDH) et le Cercle d’études et de recherches «islam et développement» (CERID), a pris fin jeudi dernier. Dialogue, tel est le maître mot qui a domine tous les grands débats au cours de ce grand forum, le premier du genre depuis l’avènement du Renouveau démocratique chez nous au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après trois jours de débats constructifs et instructifs, le séminaire national portant sur le thème «Dialogue islamo-chrétien et religions traditionnelles à l’heure du Renouveau démocratique» organisé par l’INFOSEC sur initiative de la Ligue islamique des droits de l’homme au Bénin (LIDH) et le Cercle d’études et de recherches «islam et développement» (CERID), a pris fin jeudi dernier. Dialogue, tel est le maître mot qui a domine tous les grands débats au cours de ce grand forum, le premier du genre depuis l’avènement du Renouveau démocratique chez nous au Bénin. A la cérémonie d’ouverture comme à celle qui a consacré la fin des assises, on pouvait noter une forte représentation de la communauté islamique au Bénin conduite par MM Moudjaliou Damala et Issiaka Ligali, respectivement Imam de la mosquée centrale de Porto-Novo, président des imams du département de l’Ouémé et Imam de la mosquée centrale de Cotonou, du pasteur Henry Harry de la communauté protestante, du père Jacob Agossou de la communauté catholique, du secrétaire général de l’ordre des «vodunon», M. Basile Adoko. Le rapporteur, M. Nicolas Paqui a souligné dans son rapport de synthèse, qu’à l’issue du séminaire, il est recommandé à chaque communauté religieuse de multiplier et d’intensifier les sermons et homélies sur la foi, afin de changer les mentalités et ramener toute la cité dans la grâce de Dieu. Entre autres recommandations, devra relever M. Paqui, il est demandé la création et l’installation d’un cadre de réflexion interconfessionnelle qui sera dotée d’une permanence opérationnelle en communication afin de répercuter régulièrement les conclusions du séminaire sur les diverses communautés religieuses. Aussi, les participants à ce séminaire ont-ils jugé nécessaire de mettre sur pied un comité de suivi et de coordination du dialogue islamo-chrétien et religions traditionnelles ayant pour tâches d’être le porte-parole du séminaire pour expliquer partout et faire accepter les conclusions du séminaire, de prendre contact avec les différentes communautés religieuses et les pouvoirs publics pour traduire dans les faits les résultats du séminaire, mais aussi de procéder à l’analyse des diverses suggestions faites au cours du séminaire. Prenant respectivement la parole, le président du Cercle d’études et de recherches, M. Soumanou, le représentant de la Ligue islamique des droits de l’homme, M. Tiamiou Adjibadé et la directrice de l’INFOSEC, Mme Irène Ako, ont tous reconnu l’opportunité de la tenue de ce séminaire qui ne manquera pas de rapprocher davantage les fidèles de toutes les religions, dans le seul bien du développement économique et la préservation de la paix sociale dans notre pays. bibo:pages 3 -- o:id 8755 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8755 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8763 26978 26979 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f22d41cb2a5254afbd98d2230c40c7275f6c809c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/62484653d472ad1e8587195c7ac85b1234fbe28a.tiff https://islam.zmo.de/files/original/f836d5cfea3720e95f9732c1d85069b7b291279a.tiff dcterms:title Affrontements entre zangbéto et musulmans à Porto-Novo : tout faire pour éviter l'embrasement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1497 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1950 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2018 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/116 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-04-20 dcterms:identifier iwac-article-0004084 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Vendredi et dimanche derniers, Porto-Novo, notre capitale politique, a vécu les heures les plus chaudes de son histoire.En effet, elle a été le théâtre d’un brusque déferlement de violence qui est le fait principalement d’éléments incontrôlables et incontrôlés, se réclamant les uns de la société secrète des «Zangbéto», les autres de la communauté musulmane de Porto-Novo.Que s’est-il donc passé pour que Goun et musulmans de Porto-Novo, qui de tout temps ont vécu dans une parfaite harmonie pour ne pas dire une certaine symbiose, se braquent soudain les uns contre les autres, au point qu’il y ait déjà mort d’hommes parmi eux? dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Vendredi et dimanche derniers, Porto-Novo, notre capitale politique, a vécu les heures les plus chaudes de son histoire. En effet, elle a été le théâtre d’un brusque déferlement de violence qui est le fait principalement d’éléments incontrôlables et incontrôlés, se réclamant les uns de la société secrète des «Zangbéto», les autres de la communauté musulmane de Porto-Novo. Que s’est-il donc passé pour que Goun et musulmans de Porto-Novo, qui de tout temps ont vécu dans une parfaite harmonie pour ne pas dire une certaine symbiose, se braquent soudain les uns contre les autres, au point qu’il y ait déjà mort d’hommes parmi eux? Tout serait parti ces temps derniers d’un différend entre un musulman, en l’occurrence Bello Liamidi qui, bien qu’appartenant au groupe des Zangbéto, a commencé par fouler aux pieds les règles et autres principes qui régissent cette secte. Une nuit, alors qu’il rentrait chez lui, il a été interpellé par les «Zangbéto». N’ayant pas répondu au mot de passe comme c’est de coutume, la décision a été prise par les membres du groupe de le juger. Ce qui a été fait et l’intéressé a été condamné à se soumettre aux cérémonies de purification dites «man». Selon certaines sources, Bello Liamidi aurait été molesté. Ses fils Amad et Tiamiou, informés, auraient décidé de le venger. Ce sont eux qui auraient ameuté leurs co-religionnaires qui, le mercredi, en plein midi, seraient allés chercher une case de Zangbéto à Déguè-Gare qu’ils auraient brûlée publiquement au carrefour de l’Ecole urbaine centre de Porto-Novo. Mais la goutte d’eau qui fera déborder le vase est que, dans la nuit du jeudi à vendredi, il a été trouvé à Déguè-gare, trois représentations de cadavres, deux représentations de cases de Zangbéto, trois écriteaux portant «Liamidi est mort» et un imam représenté avec son coran et son chapelet. Sitôt informé, l’Imam Djamiou Damala de la Mosquée centrale de Porto-Novo en a parlé à ses fidèles au cours de la grande prière du vendredi. Et toute la vague de violence serait partie de là. Dimanche, la journée plus éprouvante Dans leur furie, les jeunes musulmans qui ont été rejoints certainement par des délinquants et autres «Klébés» de Kraké brûleront des cases des Zangbéto partout où ils en trouvèrent: à Akron, Agbokou, Gbêkon, Avassa, Zèbou pour ne citer que ces endroits-là. S’il y a eu une légère accalmie samedi, il importe de préciser que la journée de dimanche a été la plus terrifiante et la plus éprouvante pour les populations: des voies barricadées avec des pneus en flammes, des motos brûlées, des maisons saccagées, le grand fétiche «Avessa» de Porto-Novo, incarnant le monstre à 9 têtes complètement détruit à Akron, le centre d’enseignement arabe islamique «An-Sar Dine» d’Agbokou IV et le centre islamique Assayidiath avec internat sis à Akron complètement mis à sac, des étals détruits sur la voie ABM-marché Ahouangbo. A ces dégâts matériels, s’ajoutent bien entendu un mort en la personne de Firmin Togbé, douze blessés et 44 interpellations dont deux femmes. C’est donc pour trouver très rapidement une solution à ce douloureux problème que le préfet du département de l’Ouémé, M. Godfried Johnson a convoqué et présidé hier matin dans la salle de conférence de la préfecture à Porto-Novo, une réunion à laquelle ont pris part tout ce que Porto-Novo compte comme sages, le commissaire central de la ville de Porto-Novo, (M. Nicolas Adjovi), le capitaine commandant la compagnie de gendarmerie de Porto-Novo, les membres de l’ADESCP (Association pour le Développement Economique, social et culturel de Porto-Novo), le président du Parti «Notre cause commune», les représentants des cinq dynasties de Porto-Novo (Déhakpon, Dè Lokpon, Dè Houdé, Dè Messè et Dè Houngni). L’Imam Djamiou Damala de la mosquée centrale de Porto-Novo, El Hadj Badirou Gafary. dit Baba Dine, chef de la Communauté musulmane de Porto-Novo et André Yèkèdo, responsable du culte des Zangbéto ont également pris part à cette rencontre qui a essentiellement réfléchi sur la recherche des voies et moyens à mettre en oeuvre pour ramener la paix et la quiétude dans la ville de Porto-Novo. Au cours de cette rencontre, il a été mis sur pied un comité dit «comité d’apaisement» formé de cinq représentants des Goun, de cinq représentants des musulmans, et des représentants des sages, de l’ADESCP et de l’administration pour aller apaiser les esprits à Akron, Avassa, Agbokou, Zèbou, Houéyogbé, Gbêkon, à la grande mosquée, Déguè-gare etc... Hier, la tension était encore vive Ce comité qui a bénéficié de la protection d’un détachement des éléments du commissariat central de Porto-Novo et ayant à leur tête le commissaire central lui-même et le commandent de compagnie de la gendarmerie de Porto-Novo, a commencé sa mission à Akron où le jeune Firmin Togbé qui trouvera la mort plus tard, avait été blessé et où le Avessan, le fétiche des fétiches de Porto-Novo a été saccagé. Mais là, les membres de la délégation ont dû rebrousser chemin parce que la tension y était encore maintenue vive par les éléments incontrôlables et incontrôlés. Le moins que l’on puisse dire est qu’il urge de trouver très rapidement une solution à cette crise si l’on ne veut pas voir Porto-Novo, notre capitale politique, sombrer dans le chaos et un cycle de violence inutile. bibo:pages 1 3 -- o:id 8756 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8756 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8764 26980 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ca3a39701e6ba8d153e72fb31fc7a0621505db2b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d10844186d1d477954e0ac5b6e16850488cbc4c3.tiff dcterms:title Des excuses à la communauté musulmane dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1555 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1993-04-14 dcterms:identifier iwac-article-0004085 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une rumeur fréquemment entendue et entretenue dans nos villages fait croire que le Grand Prophète Mahomet n’a pu survivre dans le désert que grâce au concours du porc. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une rumeur fréquemment entendue et entretenue dans nos villages fait croire que le Grand Prophète Mahomet n’a pu survivre dans le désert que grâce au concours du porc. Cette rumeur rapportée à la page 136 de mon livre «LES FLEURS DU MIEL» a suscité de vives réactions de la part de nos frères musulmans. Les nombreuses explications et preuves apportées, par la suite, par ces derniers montrent qu’il s’agit d’une rumeur sans fondement. Aussi voudrais-je saisir l’occasion de ce rétablissement de la vérité pour présenter à mes amis de la communauté musulmane mes excuses les plus sincères et ma gratitude de m’avoir permis de connaître enfin la vraie version des faits. Ainsi que je l’ai annoncé à la télévision et à la radio, pour montrer ma bonne foi, je promets dans les éditions à venir d’ôter la partie incriminée. bibo:pages 1 -- o:id 8766 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8766 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8770 26981 26982 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d09fbf0715298b358249cd4c503555702b1133a7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/106452dd2d5b2e1aaf51bbcb968bdcac531b974e.tiff https://islam.zmo.de/files/original/5af2d0b3e38bbc184f8719ea4d1b72f88314531e.tiff dcterms:title Le Bénin terre d'asile pour les islamistes algériens ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1499 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/59 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/67 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/757 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-03-21 dcterms:identifier iwac-article-0004086 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Bénin va-t-il devenir une terre d’asile pour les islamistes algériens ? dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/273 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/376 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Cette question préoccupe les Béninois depuis l’évasion spectaculaire à Ouagadougou (Burkina Faso) des islamistes que la France avait expulsés de son territoire pour les envoyer manu militari au «pays des hommes intègres». Avec l’évasion à la fin de la semaine dernière de quatre islamistes expulsés de France et que le Burkina Faso avait été contraint de recevoir sur son sol pour leur accorder asile, les rumeurs font de plus en plus état de ce que ces fous d’Allah pourraient trouver refuge au Bénin. Et pour cause ! Dans notre sous-région ouest-africaine, c’est seulement avec le Bénin que l’Algérie a signé un protocole d’accord de suppression de visas pour les ressortissants des deux pays. Avec un tel protocole datant des heures glorieuses de la coopération bilatérale sur tous les plans entre le Front de libération nationale (FLN) et le Parti de la Révolution populaire du Bénin (PRPB), alors tous deux partis uniques au pouvoir, tout Algérien peut débarquer sans visa au Bénin et y séjourner jusqu’à trois mois au terme desquels il est alors tenu de demander un titre de séjour. Il en est de même en Algérie pour tout Béninois. C’est donc tout naturellement que les islamistes évadés de leur résidence surveillée de Ouagadougou peuvent chercher à venir s’installer dans notre pays où ils ne peuvent pas être inquiétés durant au moins trois mois. Dans les bonnes mœurs de la diplomatie, l’exhibition ou l’évocation de ce protocole devrait ouvrir largement nos frontières à tout Algérien, qu’il soit islamiste intégriste, musulman moderniste, démocrate libéral ou simple laïc voulant séjourner pour quelque raison que ce soit dans notre Bénin désormais Etat de droit. Mais aujourd’hui où la violence aveugle fait rage en Algérie et où l’intégrisme religieux ne recule plus devant rien pour faire installer une psychose et une terreur permanentes dont il espère tirer les fruits, n’est-il pas plus salutaire pour le Bénin de dénoncer ce protocole dont personne ne peut nous dire à qui il a servi ? Le Bénin déjà une cible des islamistes Avec ce qui se passe actuellement en Algérie, où même les femmes ne sont plus épargnées par la violence intégriste des islamistes, le Bénin ne peut pas, quelles que puissent être les raisons humanitaires à évoquer, accueillir ces islamistes devenus indésirables en France, terre de liberté et de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. L’attaque de la résidence de l’ambassadeur Adjin Bidossessi le 9 février dernier à Alger devrait convaincre plus d’un Béninois sceptique que le Bénin est aussi une cible pour les islamistes. Les accueillir alors serait faire introduire les loups dans la bergerie. En ce moment où notre démocratie est à la croisée des chemins et cherche fébrilement les voies de sa consolidation face aux dangers de toutes sortes, l’irruption des islamistes algériens sur la scène politique nationale ne ferait que compliquer les choses. Aux services compétents de prendre leurs responsabilités pour que le Bénin ne devienne pas un pays refuge pour les islamistes au niveau de la sous-région. bibo:pages 1 3 -- o:id 8767 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8767 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8771 26983 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2c5bfe4e70d56b27382864dfa396397edc84a429.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8d4d69bb16a559eec85d39dcc886d9e6f992e704.tiff dcterms:title Borgou : la mosquée centrale de Pèrèrè fermée jusqu’à nouvel ordre dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/789 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13724 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14528 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1994-07-01 dcterms:identifier iwac-article-0004087 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le préfet du département du Borgou, M. Gabriel Pascal Kpèdé a décidé mardi dernier de fermer la mosquée centrale de Pèrèrè et la place de prière ldi à cause du conflit né au sein de la communauté musulmane de la localité. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/488 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/473 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/479 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le préfet du département du Borgou, M. Gabriel Pascal Kpèdé a décidé mardi dernier de fermer la mosquée centrale de Pèrèrè et la place de prière ldi à cause du conflit né au sein de la communauté musulmane de la localité. Depuis la mort de l’ancien Imam, cette communauté n’est pas parvenue à assurer la succession de ce dernier. Les deux candidats en lice, Aladji Soulé et Aladji Boukari, n’arrivent pas à s’entendre pour dégager un successeur. Depuis 10 mois, toutes les tentatives pour dénouer la crise ont été infructueuses. Les rencontres initiées par le sous-préfet, le président de l’association de développement en collaboration avec l’Union islamique du Borgou n’ont pas amené les protagonistes à accorder leurs violons. A l’issue d’une rencontre entre le préfet et les deux parties en conflit, il est apparu que l’un des candidats, Aladji Soulé aurait été choisi par la population alors que l’autre, Aladji Boukari aurait fait l’objet du choix du chef traditionnel avec la bénédiction d’un ressortissant de la localité résidant à Lagos, El Hadj Moumouni. Aucun concensus n’ayant été dégagé à cette séance du 3 mai dernier, le préfet du département a demandé aux protagonistes d’approfondir leurs réflexions sur ce problème pour qu’une solution à la satisfaction de tous soit trouvée. La rencontre de mardi dernier à Pèrèrè qui a regroupé, outre les autorités, départementales, une délégation de l’Union islamique du Borgou, le président de l’association de développement et les membres du conseil consultatif de la sous-préfecture, n’a pu rien changer à la situation, malgré les propositions faites par la délégation préfectorale, visant au dénouement de la crise. Ces propositions devraient aboutir à la désignation d’un candidat, soit au terme d’un concours de la lecture du Coran, soit à l’issue d’une élection. Mais le groupe de Aladji Boukari a rejeté catégoriquement ces propositions et n’entendait pas revenir sur le choix du chef traditionnel de Pèrèrè. Poussé par cette position de blocage des négociations, le préfet Kpèdé a pris la décision de suspendre les prières dans la mosquée centrale et à la place Idi de la ville en attendant le dénouement de- la crise. (ABP) bibo:pages 8 -- o:id 8768 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8768 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8772 26984 26985 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1975b47023b914bfd774eff7b3e1a86ba5755843.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f14051b70e3db318408828987979de678b69522f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/d4fdf86753b6d72f5bbccf0368bc8bbfa1c5423e.tiff dcterms:title La Banque islamique de développement accorde 4,880 milliards de F CFA au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/789 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13122 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1994-02-01 dcterms:identifier iwac-article-0004088 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre des Finances, M. Paul Dossou, et le président de la Banque islamique de développement (BID),M. Mohamed Ali, ont procédé le 19 janvier 1994 à Cotonou à la signature de trois accords de financement d’un coût global de 4,880 milliards de F CFA. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre des Finances, M. Paul Dossou, et le président de la Banque islamique de développement (BID),M. Mohamed Ali, ont procédé le 19 janvier 1994 à Cotonou à la signature de trois accords de financement d’un coût global de 4,880 milliards de F CFA. La BID à travers ce financement, assure la couverture de trois projets de développement, notamment la construction de la route Diougou-Natitingou d’un coût total de 1,280 milliard de F CFA, la construction du complexe polytechnique agricole niveau I (CPA) dont le coût s'elève à 1,280 milliard de F CFA et une partie du coût du projet de création de points d’eau dans le département de l’Atacora. Ce dernier projet permettra de créer vingt points d’eau dans le département avec deux cents forages productifs. Cette opération nécessite la sensibilisation et la formation des villageois utilisateurs. «Le bilan des relations de coopération qui existent entre le Bénin et la BID est largement positif», a dit le ministre des Finances, Paul Dossou, avant de souligner que par la signature de ces trois accords de prêts, les autorités de la BID donnent une fois encore au Bénin la preuve de leur entière disponibilité à contribuer au processus de développement des Pays les moins avancés (PMA) en général et du Bénin en particulier. (ABP) bibo:pages 1 4 -- o:id 8769 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8769 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8773 26986 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/916b892c390f48147f1a8c472b5f21bdb4809a40.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0f81e8ee8b483f7d2cb29622537b22721e2d3bb8.tiff dcterms:title Inauguration d'une mosquée à Abomey dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1501 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2026 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1969 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-07-04 dcterms:identifier iwac-article-0004089 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La ville d'inauguration d’Abomey dispose depuis le samedi 24 juin dernier, d'une nouvelle mosquée moderne. Cet édifice a été implanté dans le quartier populaire de Zongo, derrière la résidence du préfet du Zou... dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15204 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La ville d'inauguration d’Abomey dispose depuis le samedi 24 juin dernier, d'une nouvelle mosquée moderne. Cet édifice a été implanté dans le quartier populaire de Zongo, derrière la résidence du préfet du Zou... La cérémonie d’inauguration a rassemblé plusieurs fidèles et invités de marque parmi lesquels se trouvait en bonne place le ministre de l’Education nationale, M. Karim Dramane, représentant le chef de l’Etat empêché. Il était entouré pour la circonstance du préfet du département du Zou, des membres du cabinet présidentiel et ministériel, des délégations de la communauté musulmane du Bénin venues de Porto-Novo et de Cotonou. Ils étaient très nombreux (fidèles et curieux) à faire le déplacement sur Abomey. Personne ne voulait rester à la maison pour se faire conter l’événement. Pour le décor, rien n'a été laissé au hasard. Des groupes folkloriques et modernes ont fait eux-aussi le déplacement afin de donner un cachet officiel à la manifestation. La nouvelle mosquée, chef-d’œuvre d’un montant de plus de 20 millions de FCFA a été financée exclusivement par El Hadj Halidou Daouda Lawal. Par ce geste symbolique, il a voulu restaurer le visage du lieu sacré devenu trop étroit, vétuste et insalubre. Cette mosquée moderne , première du genre à Abomey, surplombe aujourd’hui toute la ville. Avec ces 20 m 50 de longueur et 13m50 de largeur, elle comprend entre autres une grande salle pouvant contenir près de 200 fidèles, toutes catégories confondues, 4 salles de toilette et un autre bâtiment annexe qui servira de classe pour l’enseignement du Coran, des langues arabes et les préceptes de l’islam. Mettre fin aux querelles intestines Trois allocutions ont été prononcées à l’inauguration de la mosquée. D’abord, il est revenu à l'Imam Kélani Aboudou Liamidi, porte-parole des Imam «Djamiou» du Bénin de saluer cette belle initiative qui est de rapprocher les fidèles de leur lieu de prières. Il a saisi cette opportunité pour saluer tous les invités qui ont répondu favorablement à leur invitation. El Hadj Kélani Aboudou Liamidi n’a pas manqué de retracer les nombreuses difficultés auxquelles les fidèles sont souvent confrontés avant de trouver maintenant une mosquée digne de son nom pour prier. Face à cette situation pénible et regrettable pour les fidèles du quartier Zongo, un fils du terroir en la personne de El Hadj Daouda Lawal Halidou n’a pas hésité à prendre en charge la construction d’une mosquée moderne dans la cité historique des rois, à Abomey. Les fidèles n’auront plus de peine à se rendre dans leur lieu sacré grâce à la détermination de El Hadj Daouda Lawal Halidou, opérateur économique de son état. Le porte-parole des Imams «Djamiou» a enfin souhaité que les musulmans d’Abomey se retrouvent désormais autour d’une même table pour faire taire leurs petites querelles. Le préfet du département du Zou, M. Mathias Dagbégnon Gogan a dit lui aussi toute sa satisfaction pour ce geste à travers la mise en service d’une mosquée digne de ce nom en vue de désengorger progressivement celles qui existaient dans les environs. M. Mathias D. Gogan a saisi également cette opportunité pour fustiger les différends qui minent la communauté musulmane d’Abomey. Il s’agit aux dires du préfet Gogan, de classification d’Imam Djamiou et d’Iman Rachidi, une situation qui gêne la convidualité dans la ville d’Abomey ainsi que le problème de mosquée centrale et de mosquée secondaire. L’appel est donc aujourd’hui à la réconciliation, dira le préfet du Zou, qui n’a pas manqué d’inviter tous les musulmans d’Abomey à se mettre ensemble pour trouver des solutions judicieuses aux problèmes qui se posent actuellement à la communauté islamique d’Abomey. Satisfaction personnelle pour la réalisation de ce chef d’œuvre, dans la cité historique des rois et satisfaction générale pour avoir offert à la ville d’Abomey une mosquée moderne afin de permettre aux fidèles de trouver un nouveau cadre de prières: c’est par ces mots que le représentant du chef de l’Etat a salué cette belle initiative de notre compatriote El Hadj Daouda Lawal Halidou. Ne pas trahir l'esprit de l'islam Le ministre Karim Dramane en a appelé lui aussi à l’union du monde musulman. El Hadj Karim Dramane n’a pas manqué de souligner les préoccupations du chef de l’Etat, le président Nicéphore D. Soglo qui exhorte tous les Béninois à l’union et l’amour. Cette mosquée qui est l’œuvre de vous tous et qui a été édifiée pour vous tous doit servir à toute la communauté d’Abomey. Les musulmans d’Abomey, dira le ministre Dramane, n’ont pas le droit de trahir l’esprit de l’Islam. L’islam, selon M. Karim Dramane, c’est l’union, l’islam c’est encore la solidarité. Le ministre Dramane a enfin remercie tous ceux qui, d’une manière où d’une autre, ont fait le déplacement pour réhausser l’éclat de la cérémonie de samedi dernier. Pour sa part, le généreux donateur de cet édifice à qui il a manqué les mots ce jour-là a lui aussi exprimé toute sa satisfaction pour la réalisation de cette mosquée moderne à Abomey. El Hadj Daouda Lawal Hamidou a indiqué que cette première réalisation ouvre la porte à d’autres projets à caractère économique et social, à Abomey. Il s’agit de la construction d’une cité ouvrière pour les agents permanents de l’Etat en poste à Abomey et à Bohicon. Selon les dires de El hadj Daouda Lawal Hamidou, cette cité sera mise en location et les fonds issus de ladite location serviront à entretien des infrastructures. Après la cité ouvrière, il compte mettre en place également un mini-dispensaire pour désengorger le centre hospitalier départemental du Zou. Il ne nous reste qu’à lui souhaiter beaucoup de courage pour la réalisation de tous ces projets. bibo:pages 5 -- o:id 8774 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8774 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8785 26987 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9197a5e5c5a34f05e51b4bc446eea997bdc796a7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b37789d25bfb60834fef708de7f1c68a9539fcf8.tiff dcterms:title Signature d'accord entre la Banque Islamique de développement et le Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1557 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13424 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13122 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-04-10 dcterms:identifier iwac-article-0004090 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Vendredi 07 avril dernier à Cotonou s’est déroulée au ministère des Finances la cérémonie de signature de l’accord d’assistance technique pour le financement de l’étude de faisabilité et des études techniques détaillées de la route Akpro-Missérété -Bonou - Kpédékpo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Vendredi 07 avril dernier à Cotonou s’est déroulée au ministère des Finances la cérémonie de signature de l’accord d’assistance technique pour le financement de l’étude de faisabilité et des études techniques détaillées de la route Akpro-Missérété -Bonou - Kpédékpo. Cette cérémonie a été présidée en personne par M. Paul Dossou, ministre des Finances et le directeur du département n°2 des opérations et projets de la Banque Islamique de développement (BID) M. Mamadou Cherif Diallo. Les deux autorités ont tour à tour évoqué la coopération, combien fructueuse entre le Bénin et la BID et ont souhaité que cette coopération se développe davantage. En outre, elles ont rappelé que la réalisation de l’accord signé permettra de désenclaver une région du département de l’Ouémé. Le ministre des Finances a mentionné que la participation de la BID pour la réalisation du projet s’élève à 200.000 dinars islamiques (DI) soit environ 151.338.000 CFA en subventions, et 100.000 DI soit près de 75.669.000 F CFA de prêt. La BID qui en est à son quatrième projet dans le secteur routier au Bénin intervient dans d’autres domaines tels que: - la réhabilitation du port de Cotonou; - la construction d’écoles de base en milieu rural; - l’hydraulique villageoise et... Rappelons que la BID a pris part dans la construction de la route Djougou-Natitingou. M. Mamadou Cherif D. a apprécié l’effort que déploie le gouvernement béninois pour faciliter la tâche à la BID dans la réalisation des différents projets au Bénin. Quant à M. Dossou. Il a chaleureusement remercié les représentants de l’institution bancaire islamique. bibo:pages 5 -- o:id 8775 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8775 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8786 26988 26989 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3d9c5674c64747c9683f593b68da23c96b693df6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/cbaf1d2101825b610dfa540fea8f6ead0a4836de.tiff https://islam.zmo.de/files/original/efa5fac97ea68c0c4d795dbf25b098355ea5cc79.tiff dcterms:title La communauté musulmane du Bénin a fêté hier l'Aïd-EI-Fitr dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15131 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1969 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13739 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1991 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-03-03 dcterms:identifier iwac-article-0004091 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après trente jours de jeûne, la communauté musulmane du Bénin, à l’instar des musulmans du monde entier a célébré la prière d’Aïd-EI-Fitr dans toutes les places ldi du territoire national. Pour partager sa joie avec cette communauté, l’équipe de reportage de notre rédaction s’est rendue à la place ldi d’Akpakpa où El-Hadj Kélani, Imam central de la mosquée centrale de Jonquet a célébré la prière devant des milliers de fidèles en présence des ministres: Robert Dossou, Alassane Albert Tigri et Yacoubou Fassassi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après trente jours de jeûne, la communauté musulmane du Bénin, à l’instar des musulmans du monde entier a célébré la prière d’Aïd-EI-Fitr dans toutes les places ldi du territoire national. Pour partager sa joie avec cette communauté, l’équipe de reportage de notre rédaction s’est rendue à la place ldi d’Akpakpa où El-Hadj Kélani, Imam central de la mosquée centrale de Jonquet a célébré la prière devant des milliers de fidèles en présence des ministres: Robert Dossou, Alassane Albert Tigri et Yacoubou Fassassi. La fête de Ramadan célébrée à la fin du jeûne a pour but, de par son caractère sacré, de coder la vie musulmane. C’est un jour de bienfaits et il est recommandé de créer une ambiance chaleureuse aux enfants. Dans son sermon, El-Hadj Kélani. Imam de la mosquée centrale de Jonquet a fait remarquer qu’au matin du jour de la fête de Ramadan, Allah disperse les anges dans toutes les villes. Selon ce sermon, les anges descendent sur la terre et s’installent dans tous les coins de rues et lancent cet appel: «Oh peuple de Mahomet! Allons vers la porte du Seigneur très généreux qui donne beaucoup et qui pardonne le plus grand des péchés». Toujours selon ce sermon, le fidèle qui a jeûné conformément aux prescriptions de Dieu, jouit de deux types de satisfactions, l’une à la fin du mois de jeûne, l’autre lors de la rencontre avec son seigneur. Pour ce faire, le sermon recommande aux musulmans, d’observer six jours de carême dès le lendemain du jour de la fête du ramadan, en cas d’impossibilité, le répartir sur le mois. L’Imam Djamiou a prié pour que le Seigneur accorde à notre pays la paix, le bonheur et que les élections législatives qui s’annoncent, se déroulent dans la paix et la tranquillité, sans heurts. Concernant les foyers de tension qui existent dans le monde entier, l’Imam Kélani a demandé la grâce de Dieu pour que règnent partout la concorde et le dialogue. Par ailleurs, dans tous les foyers musulmans, les parents ont offert des cadeaux à leurs enfants selon leurs moyens, pour encourager ceux-ci à mieux faire le jeûne l’année prochaine. Les enfants ont reçu également des enseignements religieux de nature à cultiver en eux l’esprit de discipline, d’humilité, de modestie et de solidarité. bibo:pages 1 3 -- o:id 8776 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8776 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8787 26990 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b7499859e50b1ab747956829d762a6093a1c4cdd.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9840357ec0af39fe22a4a9e63c46380df5c98b50.tiff dcterms:title À l'écoute du gouvernement : la tolérance religieuse, base de dialogue entre les religions dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/59 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-01-27 dcterms:identifier iwac-article-0004092 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Quelles que soient leurs différences apparentes, toutes les religions admettent une même définition : «Institution sociale caractérisée par l’existence d’une communauté d’individus, unis par la mise en rapport de la personne avec une puissance spirituelle supérieure à l’homme, puissance considérée comme diffuse, soit comme multiple, soit enfin comme unique, Dieu». dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content (Commentaire du ministère chargé des Relations avec le Parlement, Porte-parole du Gouvernement) Quelles que soient leurs différences apparentes, toutes les religions admettent une même définition : «Institution sociale caractérisée par l’existence d’une communauté d’individus, unis par la mise en rapport de la personne avec une puissance spirituelle supérieure à l’homme, puissance considérée comme diffuse, soit comme multiple, soit enfin comme unique, Dieu». Les données recueillies sur le terrain au dernier recensement général de la Population et de l’Habitation en 1992 font ressortir la configuration suivante en matière de pratiques religieuses : 35 % de notre population sont des Vodounsi, viennent ensuite les catholiques avec 25,9%, les musulmans 20,6 %, les chrétiens protestants 3,5 % et les autres religions 1,9%, tandis que 6,4 % de nos compatriotes sont sans religion. Quelle que soit leur culture, la grande majorité de nos compatriotes éprouvent donc le besoin de croire à quelque chose qui dépasse les évidences de leur vécu. Face à la montée vertigineuse de tous les excès à travers le monde et qui ne manquent pas de faire des émules dans notre voisinage géographique immédiat, on peut affirmer sans risque de se tromper que le Bénin est une terre de tolérance où chrétiens, Musulmans, divers vodounsi et tous les sans-religion cohabitent toujours en parfaite harmonie depuis très longtemps. Il existe aussi chez nous, une nette démarcation entre le temporel et le spirituel pour lequel l’Etat ne prend aucune position, dans la mesure où la Constitution, en son article 23, dispose bien : «Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience, de religion, de culte, d’opinion et d’expression dans le respect de l’ordre public établi par la Loi et les règlements. L’exercice du culte et l’expression des croyances s’effectuent dans le respect de la laïcité de l’Etat». La Loi fondamentale de notre pays fait ainsi obligation à chaque citoyen de se démarquer de l’idée qu’une religion est supérieure aux autres, et en faire une idéologie de combat. De ce point de vue, la montée de l’intégrisme, d’où qu’il vienne, constitue une négation de la laïcité de l’Etat. Le Bénin n’offrira pas le spectacle lamentable de certains pays où la religion sert de prétexte aux nouvelles formes de luttes politiques au cours desquelles, des hommes, des femmes voire d’innocents enfants sont froidement abattus au nom de Dieu. Pour éviter cet état de choses, il s’avère nécessaire de rectifier des erreurs et des concepts que de nouveaux «croisés» et autres «fous de Dieu» véhiculent au sein de nos populations. Chaque citoyen doit comprendre qu’il y a des comportements permis par la Loi et ceux qui sont illicites et proscrits. Le Gouvernement du Renouveau démocratique s’opposera à toute tentative de présenter une image déformée d’une religion et de ses adeptes et il ne tolérera pas que les membres d’une même confession soient l’objet d’une quelconque brimade ou persécution. Pour autant, la séparation de l’Eglise et de l’Etat n’est pas synonyme d’opposition. Il s’agit simplement de libérer notre Etat de l’emprise des confessions et de renforcer par la même occasion la démocratie qui s’est nourrie des prodiges de la science dans des domaines que l’on croyait jadis relevant du sacré. Les difficultés économiques et matérielles du moment ne serviront pas d’arguments faciles pour entraîner nos concitoyens dans les spirales de la violence dont on sait quand elle commence mais jamais quand elle finira. Les problèmes qui doivent nous préoccuper tous et qui requièrent l’adhésion des uns et des autres sont ceux de la démocratie. Il ne s’agit pas de chercher les incompatibilités entre la religion et la politique, mais de s’assurer qu’aucune confession ne régentera la politique. La démocratie ne peut s’identifier par un dogme. Elle est pour nous un moyen devant permettre à notre société de fonctionner et de nous éviter tous les excès. Pour cela, la tolérance à tous les niveaux doit être un credo national. Les difficultés que nous vivons aujourd’hui et qui ont pour cause les inégalités, l’exclusion, la marginalité, la corruption ne doivent pas servir de prétextes aux divers dérapages et affrontements. La démocratie et la liberté ne sauraient s’accomoder d’un défi à la tolérance. Pour ce faire, les responsables des diverses confessions religieuses du Bénin doivent, compte tenu de leur autorité morale, s’atteler à expliquer à leurs coreligionnaires qu’ils doivent être aussi préoccupés par le développement du pays, ce qui requiert la paix pour le travail acharné de tous. Face aux défis à relever pour développer notre pays, le Gouvernement du Renouveau démocratique exhorte chaque Béninois et chaque Béninoise à faire preuve de tolérance, à respecter les croyances des uns et des autres, afin que des comportements archaïques ne remettent pas en cause la grande harmonie et la paix qui fait aujourd’hui la fierté de notre pays. bibo:pages 12 -- o:id 8777 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8777 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8788 26991 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8e58f5e7540c8c6ffd1c3bbb3e676e801223f574.pdf https://islam.zmo.de/files/original/af244455c158faa86d25e4667b791d86b5f3280f.tiff dcterms:title Séminaire de la Jamaat islamique Ahmaddiyya du Bénin : mieux connaître la Jamaat Islamique Ahmaddiyya dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/6 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15449 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14873 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-01-23 dcterms:identifier iwac-article-0004093 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Vendredi dernier à l’UNAFRICA à Cotonou, M. Guillaume Adjaho, représentant du ministre de la Culture et des Communications a procédé à l’ouverture des travaux de la semaine sur l’islam. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Vendredi dernier à l’UNAFRICA à Cotonou, M. Guillaume Adjaho, représentant du ministre de la Culture et des Communications a procédé à l’ouverture des travaux de la semaine sur l’islam. C’était en présence du secrétaire général de l’ambassade des Etats-Unis au Bénin, du représentant Hamir Safdar Nazir, et des fidèles de la Jamaat Islamique Ahmaddiyya. Organisée par la Jamaat islamique du Bénin, cette semaine vise à faire connaître les oeuvres de la Jamaat et l’lslam. En effet, la Jamaat islamique Ahmaddiyya regroupe de par le monde des musulmans qui par leur foi et leurs pratiques, cherchent pacifiquement à se rapprocher le plus possible des prescriptions du Saint Coran et des préceptes du prophète Mahomet afin de présenter partout et en tout lieu le vrai visage de l’Islam. Dans son allocution d’ouverture, M. Issa Daouda, secrétaire général de Jamaat Islamique Ahmaddiyya a, après avoir souhaité la bienvenue aux fidèles, indiqué que cette semaine permettra au public de mieux connaître l’Islam qui est une religion de paix, de fraternité, d’amour, de tolérance et de solidarité. Car a-t-il ajouté, l’extrémisme et l’intégrisme donnent depuis un certain moment une image fausse de l’Islam. Quant au représentant du ministre de la Culture et des Communications, M. Guillaume Adjaho, il a souligné que les manifestations de cette semaine de l’Islam s’inscrivent dans la ligne d’orientation que le ministère s’est tracé. Selon M. Guillaume Adjaho, le développement en général ne peut se concevoir en dehors de la culture. C’est pourquoi a-t-il dit, plus les citoyens d’un pays sont cultivés, plus ce pays se développe. M. Adjaho a enfin invité toutes les couches socio-professionnelles et confessionnelles à visiter les salles d’exposition. Signalons que pendant toute cette semaine, la Jamaat Islamique Ahmaddiyya offrira l’occasion au public de voir tous les ouvrages qu’elle a produits ainsi que les oeuvres sociales qu’elle mène à travers le monde. Cette exposition sera renforcée par quatre conférences-débats dans des thèmes variés tels que: l’Islam du Saint Prophète Muhammad: Religion éternelle; l’Islam et le Jihad, la paix mondiale et la prophétie du Saint prophète Muhammad pour les derniers temps. bibo:pages 5 -- o:id 8778 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8778 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8789 26992 26993 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/de0dcd3638364506a070e0ced935090c7078cd93.pdf https://islam.zmo.de/files/original/881b7b7e665f6745c0682870be31c0cad86247f4.tiff https://islam.zmo.de/files/original/eb839a172e823608531f1c2d8839a0622ce24c68.tiff dcterms:title Mosquée centrale de Joncquet : vers un dénouement de la crise de succession de l'Imam ? dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1943 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13524 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1972 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14511 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13074 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-06-26 dcterms:identifier iwac-article-0004094 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La dévolution de la succession de l'Imam de la mosquée centrale de Joncquet-Cotonou avait suscité de vifs tiraillements entre différents clans de cette communauté musulmane. On se rappelle aussi que l'exacerbation des tensions avait conduit le préfet du département de l'Atlantique à procéder à la fermeture de ce lieu de culte. Après moult péripéties, le comité de la mosquée centrale de Joncquet a été reçu le 18 juin dernier en audience par le chef de l'Etat. Au cours de cette rencontre, un groupe de 3 personnes a été désigné par le chef de l'Etat en vue de faire des propositions concrètes susceptibles de dénouer la crise qui prévaut. Après concertation, ce groupe a abouti à un consensus et en dresse ci-après le compte rendu au chef de l'Etat. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La dévolution de la succession de l'Imam de la mosquée centrale de Joncquet-Cotonou avait suscité de vifs tiraillements entre différents clans de cette communauté musulmane. On se rappelle aussi que l'exacerbation des tensions avait conduit le préfet du département de l'Atlantique à procéder à la fermeture de ce lieu de culte. Après moult péripéties, le comité de la mosquée centrale de Joncquet a été reçu le 18 juin dernier en audience par le chef de l'Etat. Au cours de cette rencontre, un groupe de 3 personnes a été désigné par le chef de l'Etat en vue de faire des propositions concrètes susceptibles de dénouer la crise qui prévaut. Après concertation, ce groupe a abouti à un consensus et en dresse ci-après le compte rendu au chef de l'Etat. A Monsieur le président de la République, Chef de l'Etat, Chef du gouvernement Cotonou Objet: Compte rendu partiel du dénouement de la crise qui prévaut à la mosquée centrale de Joncquet-Cotonou Monsieur le président de la République, Lors de l’audience que vous avez accordée au comité de la mosquée centrale de Joncquet le jeudi 18 juin 1998, vous avez bien voulu confier à un groupe de trois personnes, membres dudit comité la tâche de faire les propositions concrètes en vue du dénouement de la crise qui prévaut à la mosquée centrale de Joncquet. Ce groupe comprend: El Hadj Sanoussi Aboladé El Hadj Fatiou Adékountè El Hadj Mouhammed Bachirou Soumanou Au cours de cette même audience, vous avez ordonné la réouverture pour le vendredi 19 juin 1998 de la mosquée que le préfet du Département de l'Atlantique avait fait fermer le 28 mai 1998. Déférant à vos instructions, nous avons l’honneur de vous rendre compte respectivement de ce qui suit: Pour faire profiter aux fidèles de la mosquée centrale de Joncquet l’heureuse nouvelle de la réouverture, le groupe constitué a tenu une réunion le jeudi 18 juin 1998 au soir pour proposer provisoirement un Imam intérimaire en attendant la résolution définitive de la crise. Après avoir écarté définitivement El Hadj Alassane Ibrahim Wowo, ancien intérimaire, les critères retenus pour la désignation de l'Imam intérimaire sont les suivants: L’Imam intérimaire doit être: 1- Un fidèle de la mosquée centrale de Joncquet 2- Il ne doit pas être intéressé à devenir l’Imam définitif. 3- Il doit être neutre et de préférence un étranger A l’unanimité des trois membres du groupe, le choix a porté sur El Hadja Mafouz, de nationalité pakistanaise, maître d’école coranique à Sikè Condji. Le vendredi 19 juin 1998, cette proposition a été portée à la connaissance du comité qui Fa acceptée. Une délégation a été immédiatement constituée et s’est transportée chez Hadj Mafouz pour lui notifier la décision du comité et l’inviter à officier la prière du jour. Entre temps et au cours des discussions au niveau du comité, des informations nous sont parvenues que El Hadj Mafouz se préparait pour aller en congés. Il a été alors proposé que El Hadj Yacouba Koumaré, de nationalité malienne qui dirige le prières quotidiennes, officie les prières de vendredi en l'absence du premier, le temps de son retour de congés. En cas d’indisponibilité de l’un et de l’autre, toute personne remplissant les critères ci-dessus énumérés sera désignée. Un compte rendu oral a été fait par le groupe des trois au ministre de l’Intérieur le vendredi 19 juin 1998 aux environs de 11 heures. Le ministre de l’Intérieur avait déjà donné des instructions pour la réouverture de la mosquée. Ladite mosquée a été effectivement réouverte le vendredi 19 juin 1998. El Hadj Mafouz ayant reçu le message de la délégation s’est présenté à la mosquée et a officié la prière. Tout s’est passé dans le calme du début à la fin de la prière, à la grande satisfaction de tous les fidèles. Tel est Monsieur le président de la République,. le compte rendu de la solution provisoire qui a été trouvée en attendant le règlement définitif de la question. Veuillez agréer Monsieur le président de la République, l’expression déférente de nos salutations distinguées. Cotonou, le 23 juin 1998 Ont signé: El Hadj Sanoussi Aboladé El Hadj Fatiou Adékountè El Hadj Mohammed Bachirou Soumanou bibo:pages 1 6 -- o:id 8779 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8779 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8790 26994 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/190d32890c8f9f857d169b525c6c1d78915f60db.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6af9d4e74af03f598342b3c8f90787b8f9d6a1f7.tiff dcterms:title Le Collectif des Groupes de réflexion sur la désignation d'un IMAM dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2062 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13831 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1993 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-06-12 dcterms:identifier iwac-article-0004095 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Cotonou, le 09 juin 1998 Le Coordonnateur A Monsieur le Directeur de Publication du quotidien La Nation dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Cotonou, le 09 juin 1998 Le Coordonnateur A Monsieur le Directeur de Publication du quotidien La Nation Cotonou Objet: Réactions sur l’économie de vérité au sujet des critères de désignation d’un IMAM développés par Maître Zakari Baba Body dans sa réponse à la lettre de M. Karim da Silva Monsieur le Directeur, Dans la livraison du jeudi 04 juin 1998, votre journal a affiché à la Une la publication de la Réponse de M. Zakari Baba Body à la lettre de M. Karim da Silva. La lettre de l’intéressé comporte des contrevérités qu’il convient de rétablir sur la base du Livre Saint et des paroles du Prophète (Paix et Bénédiction sur lui). Nous vous saurions gré de bien vouloir publier courant cette semaine, dans les mêmes formes que la réponse de M. Baba Body, le présent courrier à lui. adressé. Maître Zakari, Votre réponse à la lettre de M. Karim da Silva a retenu toute notre attention. Nous aurions vivement souhaité vous joindre physiquement pour échanger nos points de vue sur une cause commune. Vos coordonnées nous sont malheureusement inconnues. Car, aucune créature humaine ne détient la vérité absolue, surtout lorsqu’il s’agit de la délicate question de Religion. Votre lettre renferme des assertions que nous aimerions débattre avec vous en présence des érudits de notoriété. Mais en attendant cette rencontre, nous ne pouvons aborder comme vous ce débat que par la presse. Les critères énumérés par M. da Silva dans la lettre du 21 mai ne souffrent d’aucune coloration partisane. De nos jours, la Religion fait partie intégrante du processus de développement intégré des peuples et des nations. On note très souvent à des Forums internationaux des thèmes tels que: Religion et Développement, Religion et Démocratie, Religion et Politique etc... Les débats de cette nature ne s’éloignent guère des principes de l’ISLAM. Aussi, les critères en cause épousent-ils l’esprit de mondialisation qui se développe aujourd’hui dans les domaines sur l’échiquier international. Nous n’avons plus le droit de polémiquer au moment où la Mosquée centrale de Jonquet est fermée. La préoccupation de chacun de nous doit être la recherche des approches de solutions pacifiques pour un consensus autour d’un Imam. C’est donc le lieu de nous rappeler les principes intangibles de l’IMAMAT tels rapportés par Aboubaker Djaber Eldjazairi dans son livre intitulé «La voie du Musulman», page 261, nous citons: «a) Conditions Seul l’homme peut présider à la prière. Il doit être de bonne conduite et érudit. Une femme ne peut pas faire l’imam pour les hommes, ni un homme dévergondé renommé pour son libertinage, à moins qu’il ne soit un souverain redouté. Un ignorant illettré ne peut pas, non plus s’acquitter de cette mission, sauf pour des gens illettrés tomme lui. Le Prophète (S.B sur lui) dit: - Ni la femme, ni l’homme libertin ne peuvent présider à la prière d’un fidèle, à moins qu’il n’y soit contraint par un souverain menaçant de sa cravache et de son épée. Ce hadith est rapporté par Ibno Maja, mais peu fondé. Néanmoins tout le monde s’accorde à l’appliquer. En ce qui concerne la femme, son imamat est admis pour ses semblables et les enfants de sa maison. L’Imamat de l’homme dévergondé n’est admis qu’en cas de nécessité. «b. - A qui est réservée la priorité de faire l’IMAM. Dans un groupe de fidèles, l’imamat revient d’office au meilleur récitant du Coran, ensuite au plus élevé dans la science religieuse, après au plus pieux, ensuite au plus âgé. Le Prophète (salut et bénédiction sur lui) dit: nous citons: «Celui qui récite mieux le Coran préside à la prière. Si les présents s’équivalent, cette charge est dévolue au plus versé dans la Sunna, s’ils s’équivalent encore, on les juge par l’antériorité de l’hégire, s’ils sont de pair, on l’attribue au plus âgé». Fin de citations. Cette fonction revient de droit au souverain et au maître de maison. Le Prophète (S.B. sur lui). On ne peut s’ériger en imam de quelqu’un chez lui, ni d’un souverain que par leur autorisation. Ces deux hadiths sont rapportés par Saïd Ben Mansour, que Dieu lui soit miséricordieux». Fin de citation. Sans autre forme de procès, voilà les critères édictés par le Prophète (S.B. sur lui) pour la désignation d’un Imam. Le comité islamique de la Mosquée centrale de Jonquet n’a pas respecté et appliqué avec la crainte de Dieu ses principes fondamentaux. Le comité a eu la chance de posséder deux candidats potentiels qui se trouvent être de la même école. En plus, l’un d’eux fut le maître de l’autre. De surcroît, le maître est encore le doyen d’âge. Comme disaient les marxistes, «la ligne juste était déjà tracée, le comité devrait décider en toute équité». Dommage, l'esprit partisan a envoûté et distrait la majorité des membres du comité. Dans son interview accordée au journal le Citoyen N°486 du vendredi 05 juin 1998 intitulée «un islamologue apporte la lumière», El Hadj Affiz Ambékéma déplore l'indélicatesse du comité ayant en charge l’organisation de la succession au siège de l’Imam de Cotonou et suggère à juste titre ce qui suit: - citation: je crois que pour régler le problème, il faut qu’il soit organisé un creuset dans lequel pourront se retrouver les connaisseurs en la matière, les sages, les responsables à divers niveaux et les deux prétendants. Après une discussion franche, ouverte et objective, la solution la plus appropriée sera trouvée. Fin de citation. Maître Zakari Baba Body, nous souhaiterions vivement vous rencontrer pour que reviennent la compréhension, la tolérance, l’union et la gloire à l’Islam au sein de la communauté islamique de Jonquet. Vous et nous devrions avoir l’obligation de résultat à inciter les dignitaires de la communauté islamique de toute appartenance régionale, toutes tendances confondues, à résoudre une fois pour toutes, le problème de la désignation d’un Imam sur le territoire de notre pays. S’agissant de la crise à la Mosquée centrale de Cotonou, il est d’une impérieuse nécessité que nous soutenions l’action entreprise par le gouvernement le vendredi 05 juin 1998 au ministère de l’Intérieur. Dans l’immédiat, il est urgent de mettre tout en oeuvre pour la levée de la mesure de fermeture prise par l’Etat en dégageant sur place à Cotonou, un intérimaire pour officier les prières des vendredis. Comment y parvenir? Il s’agira pour ce faire d’exploiter les conclusions de la réunion du 05 mai au MISAT. Evitons d’offrir à des détracteurs des opportunités de division pour une récupération inavouée de la situation. Nous finirons notre contribution par le verset 16 - les abeilles - 90 récité à un ennemi acharné par le Prophète (S.B. sur lui): - Dieu prescrit l’équité, la charité, l’assistance bienveillante aux proches. Il proscrit la turpitude, réprouve l’inconvenance, stigmatise la violence injustifiée. Dieu vous exhorte ainsi pour vous inciter à réfléchir. Soyez fidèles à vos engagements envers Dieu, une fois que vous les avez contractés. Ne trahissez pas les serments solennellement jurés alors que vous avez pris Dieu pour garant! Dieu sait si bien ce que vous faites... Que la croyance aux Livres Saints triomphe. Nourou M. KELANI Islamologue Bèn-Yousèf SAIBOU Administrateur culturel en retraite. bibo:pages 12 -- o:id 8780 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8780 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8791 26995 26996 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cc2654bd85d3d64fe5c2a35f412a9980570581e6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1e574b9d63a0ddbfc23e6a9659f033438dbf0380.tiff https://islam.zmo.de/files/original/1f96f165938bc84a489580dc158616fea45e4c5d.tiff dcterms:title Désignation de l'Imam de la Mosquée centrale de Cadjèhoun : réponse à la lettre de Karim da Silva dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1613 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12896 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8364 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14387 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14667 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1969 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1972 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14675 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14302 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14052 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15420 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-06-05 dcterms:identifier iwac-article-0004096 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract J'ai lu avec intérêt votre lettre du 21 Mai I998 parue dans «La Nation» No 1991 du 27 mai 1998 par laquelle vous exprimez votre opinion relativement à la désignation de l'Imam de la Mosquée Centrale de Jonquet (Cotonou). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content J'ai lu avec intérêt votre lettre du 21 Mai I998 parue dans «La Nation» No 1991 du 27 mai 1998 par laquelle vous exprimez votre opinion relativement à la désignation de l'Imam de la Mosquée Centrale de Jonquet (Cotonou). Provenant de vous, une telle opinion paraît sérieuse et mérite qu'on s'y arrête pour réfléchir. En effet, Mr Karim da Silva, vous êtes une personnalité incontestée de la Communauté Islamique du Bénin. Vous êtes un Haut dignitaire de notre Communauté. C'est pourquoi, dans vos déclarations (avis, prises de position, etc...) vous devez vous évertuer à être très proche de la pensée coranique pour ne pas égarer vos disciples que nous sommes. Votre combat pour l'implantation de l'Imam au Bénin est incommensurable. Vous incarnez un modèle et je ne tolérerai pas qu'après un si glorieux parcours sur le chemin de Dieu, vous battiez en brèche votre oeuvre utile. M. Karim da Silva, dans notre lettre sus-citée, vous avez cru devoir énumérer les critères que doit remplir un candidat Imam-Djamiou. Je vous laisse l'entière responsabilité de cette énumération sur mesure. A la rigueur, elle aurait pu valoir pour le candidat au poste de président de l'Union Islamique qu'il sied de ne pas cumuler avec la qualité de l'Imam-Djamiou. Mais je ne vous laisserai pas déclarer aussi dangereusement et gratuitement que «... il a été défini au moment de l'implantation de la mosquée de Zongo que ... (sa) direction est réservée à nos frères du septentrion... ainsi la direction de la grande Mosquée Centrale de Jonquet est aussi normalement réservée aux fidèles Yoruba et d'autres langues du Sud». M. le haut dignitaire, pouvez-vous rapporter la preuve de cette allégation gravissime? Alors que vous recommandez aux fidèles de se «garder d'extérioriser (sic) leurs sentiments politiques, etc...» (Cf votre lettre), je constate que vous avez du mal à pratiquer ce que vous enseignez. Vous faites plutôt parler votre coeur politique, racial et ethnique car votre déclaration rapportée en première citation est fondamentalement contraire aux prescriptions coraniques et à la pratique du prophète Mohamed (PSSL). M. le haut dignitaire, je me permets de vous rappeler le propos suivant rapporté de notre prophète: «la planète terre tout entière est une Mosquée pour les gens de la Communauté». Loin d'être une simple parole, ce propos fait injonction à tout musulman de célébrer l'office religieux partout où il se trouve dès lors que sonne l'heure de l'une quelconque des cinq prières quotidiennes. Point n'est donc besoin de regagner d'abord sa propre maison, son propre quartier, son village natal ou son pays d'origine avant de célébrer l'office religieux. Il est donc permis à des Sénégalais, Rwandais, Togolais de prier sur le territoire béninois. Monsieur le Haut dignitaire sait également que l'Islam enseigne qu'une prière célébrée en groupe, c’est-à-dire, dans une Mosquée (lieu de regroupement par excellence) est 27 fois plus méritoire qu'une prière accomplie individuellement. C'est dire que partout où il se trouve, dès lors qu’advient l'instant de l'office religieux, le musulman doit d'abord rechercher à la célébrer en groupe, dans une Mosquée, quel que soit son lieu d’implantation, parce que c’est plus méritoire. Il n'y a donc pas de Mosquée réservée aux Noirs, aux Blancs, aux Swahilis, aux Peuhls ou aux Anii. C'est ce qui explique que l'on retrouve des Béninois alignés aux côtés de Maliens, d'Egyptiens, de Libanais de Pakistanais, de Nigérians et de Ghanéens dans des mosquées de chez nous. Dès le moment où il est permis au musulman de fréquenter toute Mosquée, quel que soit le lieu de son implantation, qu'est-ce qui peut alors l’empêcher d'en assurer la direction s'il remplit les conditions requises pour être Imam? Absolument rien du point de vue de l'enseignement islamique. C’est du reste la raison pour laquelle l'Imam Fakaba, un Sénégalais, a pu diriger la mosquée centrale de... Jonquet de 1942 à 1944. Prétendre comme vous, M. da Silva, que la direction d'une mosquée est réservée à une ethnie ou à une race déterminée est essentiellement contraire aux prescriptions coraniques puisqu'en religion, Dieu n'a établi aucune distinction entre les hommes basée sur leur appartenance raciale ou ethnique. En effet, dans son Inimitable Coran, Dieu s'adresse à nous en ces termes: «Rappelez-vous les bienfaits de Dieu pour vous, lui qui, d’ennemis que vous étiez, établit l'union entre vos coeurs et fit de vous des frères...» (Coran Sourate la Famille d'Imran Verset 103); «Les croyants sont frères. Rétablissez la paix entre vos frères» (Coran Sourate Les Appartements Verset 10). En face de ces prescriptions divines, l'on ne peut qu’être surpris des déclarations ci-dessus provenant d’un Haut dignitaire de la Communauté Islamique. Non, M. da Silva, aucune logique religieuse ne permet d'affecter la direction d'une mosquée aux fidèles d’une ethnie ou d’une race donnée. Que vous ne soyez pas favorable à celui qui est actuellement désigné pour assumer les fonctions d’Imam à la Mosquée centrale de Jonquet, c’est votre droit. Mais le prétexte que vous évoquez au soutien de votre position est difficilement soutenable en Islam. A la Mecque, la grande Mosquée attenant à la Kaaba est sise sur un domaine de la tribu des Koraïchites. Mais ce ne sont pas que des Koraïchites qui y dirigent les prières. De 1914 à 1998, la Mosquée centrale de Jonquet a eu les Imams suivants: Alla Yabani (Haoussa en 1914), Moussé Colès (Yoruba, 1918-1923), Saïbou (Yoruba, 1923-1942), Fakaba (Sénégalais, 1942-1944), Bako (Haoussa, 1944-1947), Ibrahim Wowo (Haoussa, 1947-1958), Taïrou Gazaliou (Yoruba, 1958-1981), Kélani Liamidi (Yoruba, 1982-1998). Leur désignation ne s'était jamais effectuée sur le fondement de leur ethnie. Alors de grâce, que personne ne vienne envenimer la situation déjà inquiétante de la Mosquée de Jonquet par des propos à la limite de la haine ethnique. Les deux candidats au poste d'Imam, savoir MM Ousman Aboubakar et Yessoufou Moïbi sont tous dignes de succéder à l'Imam Kélani Liamidi. Ils ont tous les deux de grandes qualités et s'équivalent en tous points. Dommage qu’on ne peut les retenir tous à la fois. Et le meilleur moyen de les départager, c’est de les soumettre à un vote. Ce qui a été fait. Il y eût 21 votants. Le candidat Ousman Aboubakar a recueilli 13 voix et Yessoufou Moïbi, 8 voix. Au nom de quelle paix M. Karim da Silva suggère-t-il que l'on range aux oubliettes les résultats de cette élection pour enfin préconiser la désignation d’un Imam de transition? Combien de temps durera cette transition ? Que faire après la fameuse et ridicule transition ? «Rétablissez la paix entre vos frères», a prescrit Dieu (cf Coran op.cit). C’est une mission que Dieu nous assigne. Oeuvrons donc à l’accomplissement diligent de cette mission. Participons à l’animation de toutes les Mosquées dans la limite de nos ressources (intellectuelles, matérielles, etc...) car une Mosquée est un bien commun de tous les musulmans et personne ne peut prétendre se l’approprier, qu’elle soit implantée dans son milieu natal à Cadjèhoun, à Akpakpa, à Djidjè, à Abomey-Calavi, à Parakou ou à Bassila. Votre frère en Islam Maître Zakari BABA BODY bibo:pages 1 4 -- o:id 8781 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8781 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8792 26997 26998 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a27dc4ea1013da1abe8be2f58fca51167eec8c79.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c450183e328c1118a4b8d12316e0ccfcce733d23.tiff https://islam.zmo.de/files/original/fde7d135020092fc65a000777513d8b5c656ed67.tiff dcterms:title Désignation de l'Imam de la Mosquée centrale de Jonquet : lettre de contestation et d'explication de M. Karim da Silva dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-05-27 dcterms:identifier iwac-article-0004097 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Porto-Novo, le 21 mai 1998 Karim da SILVA KAMAR-DEEN II Haut dignitaire de la Communauté Islamique du Bénin dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Porto-Novo, le 21 mai 1998 Karim da SILVA KAMAR-DEEN II Haut dignitaire de la Communauté Islamique du Bénin Porto-Novo, République du Bénin Objet: A/S votre procès-verbal de réunion de Comité Islamique J’ai pris connaissance du procès-verbal du Comité Islamique de la Mosquée Centrale de Jonquet de Cotonou que tu m’as adressé en date du 20 mai 1998. A mon avis, les conditions de fond et de forme selon les prescriptions du Saint-Coran et de la Souna du Prophète Mohamed (SBPL) ne sont pas remplies pour la désignation d’un quelconque Imâm; à l’orée de l’an 2000, au moment où l’on parle de la mondialisation et de meilleure coexistence entre les diverses religions de la planète, à l'heure du dialogue Islamo-chrétien, de la tolérance, il semble plus souhaitable que le profil de tout bon Imâm-Djamiou en l’occurrence, celui devant présider à la destinée de n’importe quelle Mosquée Centrale sur toute l’étendue du territoire national puisse répondre à des critères plus valables à savoir: 1) Être de très bonne moralité: avoir une pratique religieuse sociale exemplaire; être doté d’une certaine expérience de la vie communautaire et de la pratique religieuse et sociale. 2) Disposer d’une incontestable maîtrise des dogmes de l’ISLAM. 3) Avoir une certaine ouverture d’esprit indispensable à la résolution de nombreux problèmes qui se posent à la Mosquée de demain et ceci dans le contexte purement local. 4) Toutes ces considérations exigent de l’Imâm de l’an 2000, une solide formation intellectuele en Islam, ce qui désormais devra lui permettre de discuter directement et valablement avec les autorités politico-administratives et tout autre responsable de toute autre religion. Pour toutes ces raisons, l’élection de l’Imâm de la grande Mosquée Centrale de Jonquet de Cotonou, tel qu’en fait état le procès-verbal, ne peut donner satisfaction à aucun musulman partageant le modernisme avec l’ISLAM; ce qui du reste, risquerait d’engendrer des conflits graves et à tous égards, très préjudiciables à la promotion, à la protection et au rayonnement de l'ISLAM dans notre pays. Nous devons désormais finir avec le «Maraboutage», la Résignation, la Mendicité quotidienne, l’Exploitation éhontée des fidèles, l’Obscurantisme, le Culte de la personnalité. Nous devons et qu’à cela ne déplaise, garder d’extériorer nos sentiments politiques, etc... Je tiens, pour conclure, à rappeler tout haut ceci: il a été défini au moment de l’implantation de la Mosquée de Zongo, que compte tenu de la pratique et de la traduction en langues Batonou, Dendi, etc... la direction est normalement réservée à nos frères du septentrion et, à ce titre, j’avais des années durant, mis à leur disposition sur mon domaine, une vaste concession sur laquelle ils ont édifié leur minaret et accompli régulièrement leur dévotion pendant les fêtes de Tabaski et de fin de Ramadan. Ainsi, la direction de la grande Mosquée Centrale de Jonquet est aussi normalement réservée aux fidèles, héritiers de la pratique et des commentaires en langue Yoruba et autres langues du Sud, de même que la place Idi du PK 6. Il nous faut éviter toute situation conflictuelle pouvant dégénérer en affrontements généralisés. Le pays traverse déjà en ce moment une crise économique et une crise énergétique sans précédent auxquelles viennent s’ajouter la crise sociale des grèves intermittentes et, plus récemment, la crise politique au sein même du gouvernement. Gardons-nous donc, d’assombrir plus le tableau par une des plus terribles encore, la crise d’affrontements religieux, alors que l’ISLAM est une religion de paix, de tolérance, de consultation et de dialogue. Je réitère ici ma proposition du dimanche dernier qui consiste à surseoir à toute procédure de désignation d’un quelconque Imâm. Un Islamologue compétent pourrait être désigné par le Comité des sages et des personnalités Islamiques pour assurer la transition. Très religieusement vôtre. bibo:pages 1 12 -- o:id 8782 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8782 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8793 26999 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e8597894df207190ec19bac26d7defcb4a42b16f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bce47e91bfb91a7db3e2798075b59d4d46ee832c.tiff dcterms:title Comment promouvoir le leadership en islam? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/800 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13239 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1968 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13831 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1991 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1994-11-29 dcterms:identifier iwac-article-0004098 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Conférence nationale des associations islamiques du Bénin (CONAIB-SHOURA) en collaboration avec l’Institut international de la pensée islamique (IlPIUSA) et l’Union islamique du Bénin (UIB-Bénin) a organisé à l’INFOSEC à Cotonou du 25 au 27 novembre 1994, un séminaire sur le leadership en islam. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14731 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Conférence nationale des associations islamiques du Bénin (CONAIB-SHOURA) en collaboration avec l’Institut international de la pensée islamique (IlPIUSA) et l’Union islamique du Bénin (UIB-Bénin) a organisé à l’INFOSEC à Cotonou du 25 au 27 novembre 1994, un séminaire sur le leadership en islam. Ce séminaire qui a connu la participation des Imams de Parakou, de Cadjèhoun, des fidèles musulmans venus de nos six départements et des conférenciers venus du Nigéria, du Sénégal et de Londres, vise à développer l’islam dans le monde et à lui donner son visage d’antan, eu égard au dérapage des intégristes qui tendent à souiller cette religion. Pendant ces trois jours, les séminaristes ont eu à se familiariser avec quatre thèmes dont notamment : - le leadership en islam - les rudiments de la planification - éléments de base de l’évaluation - de la communication et la gestion du temps. Dans son allocution d’ouverture, le président de la CONAIB-SHOURA, le Dr Yacouba Fassassi a, après avoir rendu grâce à Allah fait remarquer que, le Prophète Mahomet a demandé aux croyants de chercher partout le savoir. C’est pourquoi, dira le Docteur Fassasi, la tenue de ce séminaire est une injonction du Prophète Mahomet. Selon le président de la CONAIB-SHOURA, la différence entre croyants est fonction de leur connaissance de Dieu, et c’est cette connaissance qui détermine le Taqwa, c’est-à-dire la crainte de Dieu. Quant au ministre de l’Education nationale, M. Karim Dramane, il a souligné que la religion musulmane est confrontée aujourd’hui à des interprétations, des tracasseries de toutes sortes. C’est pourquoi tous les musulmans du monde entier doivent s’unir pour redonner à l’islam sa belle image. Selon le ministre de l’Education nationale, le devoir de tout musulman est de montrer que l’islam est une religion d’amour, de tolérance, de liberté et de respect mutuel. Intervenant à son tour, le porte-parole de l’Union islamique du Bénin, M. El-Hadj Nourou Kélani, a remercié le Docteur Yacouba Fassassi pour avoir regroupé au sein d’un même creuset dénommée CONAIB, tous les musulmans du Bénin. De l’avis de El-Hadj Nourou Kélani, ce séminaire doit interpeller la conscience de tous les musulmans afin qu’ils méditent sur les voies et moyens pour le renforcement de l’Union islamique du Bénin. Caractéristique d’un leader islamique Dans sa première communication sur le leadership, le Docteur Anwar Cara, a démontré que le leader en islam est celui qui perçoit les objectifs de l’organisation non seulement sur le plan des intérêts du groupe mais également sur le plan d’objectifs islamiques plus larges. Celui-ci n’est pas au-dessus du respect des injonctions islamiques, et il ne peut continuer à exercer ses fonctions aussi longtemps qu’il obéit à la «Charia» (droit islamique). Il doit respecter l’éthique islamique dans sa manière de diriger ses affaires, spécialement dans ses rapports avec l’opposition ou les dissidents. Par ailleurs, le leader islamique doit accepter son autorité comme étant une charge divine lourde de responsabilités. C’est pourquoi, dira le docteur Anwar, le Coran ordonne au leader de faire son devoir pour Allah et de faire preuve de bonté envers tous ceux qui sont sous son autorité. Le leadership islamique doit être guidé par trois principes essentiels : la choura (entente mutuelle), la justice et la liberté de pensée. Pour ce faire, comment reconnaître les leaders potentiels? - Selon le Docteur Cara, on reconnaît un leader par son aptitude mentale, son aisance au niveau de la communication, sa maturité, sa force de motivation, son sens de planification, de justice, de respect envers lui-même et les autres etc... Quant au thème sur la planification, il a été présenté par M. Sérigne Babou du Sénégal. La planification, dira M. Sérigne, est une manière de faire des erreurs, un moyen de tracer notre itinéraire pour atteindre notre but, un procédé circulaire et séquentiel. Et pour atteindre l’objectif visé, il faut la motivation, le temps, les buts organisationnels, les plans à court et à long termes et la juridiction. Pour ce faire, une méthode de planification s’avère indispensable. C’est pourquoi dira M. Sérigne, seule la méthode de gestion par objectifs (GPO) peut déterminer qui va faire quoi, comment et quand. Et cette méthode comporte quatre étapes ; la préparation, la décision, la communication et la vérification. Il faudrait alors que les plans soient précis, orientés vers l’action, flexibles et compatibles avec les buts de la communauté musulmane en général. Par contre M. Saadis du Nigéria dans sa communication sur les éléments de base d’une évaluation, a fait remarquer, que nous devons d’abord évaluer notre travail avant de pouvoir commencer à l’améliorer. Car l’évaluation, a-t-il ajouté est un mécanisme de feed-back fondamental qui contribue à améliorer la performance, permettant de détecter et corriger les variations significatives dans les résultats obtenus dans les activités planifiées. Seules les considérations islamiquement acceptables devraient influencer l’évolution de la performance d’un individu. C’est pourquoi, dira-t-il, l’engagement à l’Islam, composante la plus essentielle d’une personnalité islamique devrait se doubler de la capacité d’être performant de manière à être efficace. Et pour obtenir cette performance, il faudrait faire des observations personnelles, des comptes rendus oraux et écrits, et des études. Par ailleurs, les deux derniers thèmes sur la compréhension et la gestion de temps ont été présentés par le docteur Cara. Selon le Docteur Cara, communiquer, c’est laisser les gens vous connaître et leur permettre de parvenir à une compréhension mutuelle avec vous. A la cérémonie de clôture, le porte-parole des séminaristes M. Bachirou Gbadamassi, a exprimé au nom de ses pairs, le voeu de la mise sur pied d’un comité ad’hoc composé des représentants de l’UIB, de la CONAIB-Shoura et d’autres associations islamiques pour entreprendre de franches et sincères négociations auprès de tous les dignitaires islamiques pour arriver à asseoir un grand rassemblement pouvant aboutir à un grand congrès dont les dates seront fixées ultérieurement. Quant au docteur Fassassi Yacouba, il a exhorté les séminaristes à se rendre plus utiles en cherchant à être des exemples de bonté, de sincérité et de service désintéressé à partir des enseignements reçus. Car, a-t-il ajouté, l’Islam est la culture de bonne qualité et le leader islamique est celui qui est le plus utile à l’humanité. bibo:pages 4 -- o:id 8783 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8783 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8794 27000 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4374f8feee37df61e18bd9f28dc9d121f2d2f86d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7f95631cd38f5bcb17f91f3774b18935b23b767d.tiff dcterms:title Ouémé : les responsables de cultes se concertent pour la sécurité à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/789 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13361 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12957 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-03-21 dcterms:identifier iwac-article-0004099 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les responsables des cultes religieux vodoun, catholique, protestant et musulman se sont concertés mercredi dernier à la préfecture de Porto-Novo sur le problème brûlant de la sécurité dans cette ville. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les responsables des cultes religieux vodoun, catholique, protestant et musulman se sont concertés mercredi dernier à la préfecture de Porto-Novo sur le problème brûlant de la sécurité dans cette ville. Sur invitation du préfet du département de l’Ouémé, l’évêque du diocèse de Porto-Novo, l’imam de la mosquée centrale de cette ville, les chefs, spirituels des «Zangbéto, Egungun» et les responsables de diverses églises ont réfléchi sur l’insécurité grandissante qui secoue la capitale administrative de notre pays. Ils avaient à leurs côtés le commissaire central et le procureur de la République près le tribunal de 1ère instance de Porto-Novo. Le préfet Macaire Oniloudé a fait part aux responsables religieux de son inquiétude face à l’insécurité grandissante dans la ville de Porto-Novo. «Le danger guette tout le monde... Je n’arrive plus à dormir», a dit M. Oniloudé. Qui sera la prochaine victime des bandes armées? s’est-il demandé. Il a rappelé les moyens déployés ces derniers mois mais qui n’empêchent pas les malfrats de frapper les populations de la capitale. Les chefs religieux ont déploré le chômage et son corollaire l’oisiveté, le manque d’organisation au sein des différentes administrations, même si les moyens dont elles disposent sont insuffisants, le comportement des forces de sécurité et des autorités judiciaires. La police et la gendarmerie ne réagiraient pas promptement aux cris de détresse de la population, disent des religieux. Ils estiment en outre que la manière dont la justice est rendue à ces malfrats n’est pas la meilleure. ABP bibo:pages 3 -- o:id 8784 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8784 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8795 27001 27002 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/09291bc3d26084ed3d105eb8f352ed3bf244607f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/03a27eb9b4597c39f44b3f6d3521329871dcc7e8.tiff https://islam.zmo.de/files/original/2290c4ccaa0b7a5efec2a243b984e084ca619c1b.tiff dcterms:title Coopération bénino-koweitienne : l'Agence des musulmans d'Afrique a désormais son siège au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15112 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-02-14 dcterms:identifier iwac-article-0004100 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le protocole d'accord de ce siège a été signé hier au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération à Cotonou entre le directeur de cabinet dudit ministère M. Raymond Vivènagbo et le directeur de l’Agence à Lomé M. Bouazara Benharzallah. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/457 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le protocole d'accord de ce siège a été signé hier au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération à Cotonou entre le directeur de cabinet dudit ministère M. Raymond Vivènagbo et le directeur de l’Agence à Lomé M. Bouazara Benharzallah. L’Agence des musulmans d’Afrique (AMA) est une ONG koweïtienne fondée en 1981 dont le siège central est au Koweït. Cette ONG a deux objectifs: renforcer les liens culturels et humanitaires avec les peuples africains et participer à l’amélioration du niveau de vie des populations sans aucune distinction. A ce jour, elle a établi des relations de coopération avec 34 pays africains sur la base de protocoles d’accord bilatéraux. Ses programmes d’action s’inscrivent dans le cadre des programmes de développement gouvernementaux et s’effectuent en étroite collaboration avec les services nationaux. L’Agence des musulmans d’Afrique, intervient dans divers domaines allant de l’enseignement à la construction de mosquées en passant par la santé, l’hydraulique, l’assistance sociale, la formation professionnelle, les bourses et assistance aux élèves et étudiants, la promotion féminine etc... Au nombre des réalisations de l’AMA en Afrique on peut citer entre autres: - la construction et la gestion de 140 écoles primaires et secondaires, de 840 écoles rurales; - la prestation de services en matière d’éducation et enseignement pour 500.000 élèves; - le paiement de frais de scolarité pour 74.000 élèves; - l'octroi de 200 bourses universitaires pour études supérieures dans différentes spécialités scientifiques - la réalisation de plus de 760 forages et des centaines de puits; - la construction et la gestion de 75 centres socio-éducatifs, de 16 centres de promotion féminine de 34 hôpitaux, des centres de santé et des dispensaires. L’AMA s’occupe également de l’assistance continue à 8.500 orphelins, de l’organisation de 20 campagnes de lutte contre la cataracte avec un bilan de plus de 10.800 opérations chirurgicales, de la distribution de 165.000 tonnes de vivres et autres produits de secours, de la publication de 6,5 millions d’exemplaires de livres et brochures en 15 langues, de la construction de 1050 mosquées et la gestion d’un certain nombre de projets agricoles. Bientôt un centre socio-éducatif à Parakou Depuis 1994, l’antenne béninoise de l’Agence des musulmans d’Afrique a entrepris le forage de quinze puits dont 4 sont entièrement achevés les autres étant en cours de finition. Elle a aussi distribué 35 tonnes de vêtements usagés à la population démunie de notre pays et des milliers de livres et brochures. La cérémonie d’hier qui consacra officiellement l’installation de l’AMA au Bénin permettra à cette Agence non seulement d’être présente dans notre pays, mais aussi et surtout d’avoir des coudées franches en vue de mener à bon port ses objectifs, a dit le représentant de cette Agence M. Bouazara Benharzallah. Selon M. Bouazara Benharzallah, l’agence envisage de construire un centre socio-éducatif à Parakou comprenant une école, un dispensaire, un atelier de formation féminine, une mosquée, un orphelinat, un logement pour le directeur du centre. Des projets similaires sont prévus dans d’autres grands centres de notre pays, a-t-il ajouté. Pour la réalisation de tous ces objectifs, l’AMA envisage de prendre contact avec les ministères du Développement rural, de l’Education nationale et de la Condition féminine. Le représentant de l’AMA a enfin réitéré l’engagement de l’agence à travailler en étroite collaboration avec le gouvernement aux côtés des populations pour leur assurer le minimum social commun. Prenant ensuite la parole, le directeur de cabinet du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération M. Raymond Vivènagbo a indiqué que le gouvernement béninois est sensible aux actions menées par l’AMA sur le plan social et qui font d’elle l’un de ses partenaires privilégiés. Car les objectifs visés par l’Agence des musulmans d’Afrique répondent parfaitement aux préoccupations du gouvernement. Pour ce faire, il a rassuré M. Bouazara Benharzallah de la disponibilité des autorités béninoises pour la réussite de la mission que son institution s’est assignée. bibo:pages 3 6 -- o:id 8797 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8797 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8804 27003 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/714afb160bed9779bf96f3523d7337bba618d91a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3c7243606386a80d4fbe77332de51daab46af765.tiff dcterms:title La fête de la Tabaski aura lieu le dimanche prochain dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1996-04-25 dcterms:identifier iwac-article-0004101 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les prescriptions coraniques recommandent que la fête de la Tabaski ait lieu au lendemain du rituel d'Arafat à la Mecque par les pèlerins. Ce rituel étant prévu pour le samedi 27, la fête de mouton aura lieu dimanche prochain. Ainsi en ont décidé les hauts dignitaires de la communauté musulmane. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les prescriptions coraniques recommandent que la fête de la Tabaski ait lieu au lendemain du rituel d'Arafat à la Mecque par les pèlerins. Ce rituel étant prévu pour le samedi 27, la fête de mouton aura lieu dimanche prochain. Ainsi en ont décidé les hauts dignitaires de la communauté musulmane. Le sacrifice du mouton à l’occasion de l’Aïd al adah (Tabaski) a été ordonné par Allah en souvenir de la profondeur de la foi et de l’acte de soumission du prophète Ibrahim et de son fils Ismaël. En effet, le prophète Ibrahim accepta avec le consentement de son fils de mettre à exécution la volonté de Dieu qui devait consister à l’immolation de l’enfant. Satisfait de ses serviteurs, Dieu envoya alors un bélier cornu en remplacement du fils juste au moment où le prophète Ibrahim allait accomplir l’acte. Et, c’est cet événement que les musulmans commémorent une fois l’an. Sur cette base, il est instamment recommandé à tout musulman disposant de moyens financiers suffisants, de sacrifier une bête le jour de la Tabaski. Ceci, en signe de soumission et d’adoration à Allah. Un acte non obligatoire pour les pauvres S’il est vrai que le sacrifice d’une bête est recommandé, il incombe par contre à tout musulman majeur marié ou célibataire disposant de moyens de pouvoir s’acheter une bête, de l’accomplir. Mais au cas où quelqu’un qui sacrifiait régulièrement une bête se trouverait à court d’argent, il peut se passer de cette obligation selon l’Imam de la mosquée centrale de Zongo. Il n’y aurait aucun péché pour lui en s’abstenant, a-t-il poursuivi. De même, si dans une famille ou dans une communauté, il se trouve que les moyens sont limités, le père de famille ou le chef de la communauté peut sacrifier une bête au nom de tous les membres de la famille ou de la communauté. Tel sera par exemple le cas au Maroc où le Roi Hassan II a décidé de le faire au nom de tout son peuple compte tenu de la cherté et de la raréfaction des moutons. Sur ce plan, les musulmans béninois quant à eux peuvent se frotter les mains et remercier le Tout-Puissant. Car cette année, les moutons coûtent moins cher par rapport à l’année passée où le plus petit mouton avait coûté 15.000 F contre 8 à 10.000 F au marché de mouton à Zongo. Cette baisse de prix s’explique selon certains revendeurs par le fait que les transporteurs ont subi moins de tracasseries policières, ce qui fait qu’il y aurait eu beaucoup plus de bêtes susceptibles d’être immolées conformément aux prescriptions du Coran. En effet, pour que le sacrifice soit agréé par Dieu, la bête doit répondre à des critères bien précis. Pour les ovins c’est-à-dire la catégorie des brebis et béliers, la bête doit avoir plus de 7 mois, plus d’un an pour les caprins (boucs et chèvres), plus de deux ans pour les bœufs et vaches, et plus de 5 ans pour les chameaux chamelles. bibo:pages 4 -- o:id 8798 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8798 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8805 27004 27005 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a37e6bc252673096feb8d97900ded09dc136be45.pdf https://islam.zmo.de/files/original/76a3630325487d74f19db0a4821834b4772ce64b.tiff https://islam.zmo.de/files/original/262716546cb00011d97979fac0948c54fe9dcade.tiff dcterms:title Pèlerinage à la Mecque par le groupe Al Moctar : les tribulations de Hadja Mouînatou Salami dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12955 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1996-04-16 dcterms:identifier iwac-article-0004102 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les pèlerins béninois qui devraient se rendre à Djeddah pour le pèlerinage à la Mecque depuis mardi dernier se sont envolées hier matin par Air Afrique après cinq jours de blocage. Le dénouement a eu lieu grâce à un consensus entre les responsables de compagnies aériennes africaines et El Hadja Mouinatou Salami. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les pèlerins béninois qui devraient se rendre à Djeddah pour le pèlerinage à la Mecque depuis mardi dernier se sont envolées hier matin par Air Afrique après cinq jours de blocage. Le dénouement a eu lieu grâce à un consensus entre les responsables de compagnies aériennes africaines et El Hadja Mouinatou Salami. La genèse du blocage C’est au total 232 pèlerins béninois qui ont gravi la passerelle du vol d’Air Afrique qui a décollé hier à 15h57 mn. Un ouf de soulagement pour nos candidats au pèlerinage qui ont cru devoir confier leur voyage sur Djeddah à dame Mouinatou Salami qui s’était fait délivrer une autorisation de transporter les voyageurs par l’ancien ministre des Transports, M. Georges Guédou. Alors que selon l’orthodoxie du milieu, c’est à la compagnie Air Afrique qu’échoient le monopole et les moyens pour cette mission. Au départ, dame Salami a tenté de négocier avec Nigeria Airways. La négociation n’ayant pas abouti, elle loue un avion de l’armée nigérienne. Là encore, il lui faut des autorisations pour survoler les pays, ce qu’elle n’a pas pu avoir. Et l’avion nigérien est resté immobilisé jusqu’à hier soir à l’aéroport de Cotonou. Finalement, Air Afrique a été associée aux tractations et la crise s’est réglée. Du côté des pèlerins, c’est le mécontentement généralisé. Car pour eux, débourser chacun 850.000 F et être abandonné sur les carreaux de l’aéroport pendant cinq jours relève d’un abus dont la responsabilité incombe totalement à l’organisateur Mouinatou Salami. Pour certains, ce n’est pas la première fois que des problèmes du genre se posent avec El Hadja Mouïnatou au sujet du pèlerinage. L’année dernière, ce fut le même phénomène. Il faut dire que notre descente à l’aéroport hier nous a permis de nous rendre compte des conditions déplorables des candidats au pèlerinage dans le hall de l’aéroport dont les toilettes n’ont pu résister aux sollicitations de plus de 200 personnes à la fois. Ce qui explique bien que les pèlerins ne se soient aucunement gênés pour transformer en 5 jours l’aéroport de Cotonou et ses environs en de véritables dépotoirs. Avec ce problème qui se répète chaque année, c’est un véritable défi qui est lancé à la communauté islamique du Bénin qui devra dès lors mettre de l’ordre dans l’organisation du voyage de ses fidèles. Il s’agira à l’avenir de terminer avec l’aventurisme. Version de M. Gilbert Tévi Lawson, directeur de Air Afrique pour le Bénin En tant que compagnie nationale, Air Afrique exploite les voies aériennes du Bénin. Depuis quelques années, il se fait que la compagnie n’a plus organisé le Hadj à cause des difficultés financières. Ce qui fait que tous les pèlerins du Bénin partaient par le Nigéria. En 1995, Air Afrique a décidé de reprendre l’organisation du pèlerinage à la Mecque. Elle prit alors le soin de rencontrer les diverses associations ou groupes musulmans du sud au nord, avant de saisir les autorités de tutelle dont le ministre des Transports et des Travaux Publics, le directeur de l’aviation civile qui ont sorti un arrêté ministériel selon lequel le monopole de l’organisation du Hadj était réservé à la Compagnie Air Afrique. S’agissant des déconvenues entre Air Afrique, le groupe Al Moctar de Hadja Mouïnatou Salami, la concession qui a permis le départ des 243 pèlerins pour Djeddah a été l’application du même tarif à tous les groupes de voyageurs. Pour M. Lawson, il ne s’agit pas de donner le monopole à un groupe ou une association. Tous ceux qui veulent aller à la Mecque doivent acheter le billet normalement. Ainsi donc, 232 des 243 pèlerins sont partis pour Djeddah hier après-midi, dix des onze qui attendent partiront mercredi matin et un seul ne pourra pas partir parce que Nigérien de nationalité et les Saoudiens ont pris d’autres décisions ce jour qui frappent le Niger, notamment l’interdiction des pèlerins des pays où sévit la méningite. M. Lawson souhaite que le comité d’organisation du pèlerinage à la Mecque proposé par la compagnie soit effectivement mis sur pied et soit opérationnel ici et à Djeddah, car le Bénin fait partie de l’un des trois ou quatre pays à ne pas avoir un comité d’encadrement de ses pèlerins à Djeddah alors qu’en moyenne, mille béninois effectuent annuellement le pèlerinage. bibo:pages 1 3 -- o:id 8799 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8799 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8806 27006 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d526858dc9c9a1d948b62dbf81ec5f96025f098a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/16e758bfcde5868dddbcb83cdb8b44c701ba85b3.tiff dcterms:title Dieu, Allah et les mânes des ancêtres ont exaucé nos prières! dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1610 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/216 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13130 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1996-03-04 dcterms:identifier iwac-article-0004103 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Bénin est un pays aimé par Dieu, se plaisent souvent à dire les observateurs.Cet amour de Dieu pour le pays et la protection des forces divines se sont vérifiés une fois en février 1990 lors de la Conférence des forces vives de la Nation consacrant le passage d’un Etat policier à un Etat de droit sans effusion de sang. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/398 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Bénin est un pays aimé par Dieu, se plaisent souvent à dire les observateurs. Cet amour de Dieu pour le pays et la protection des forces divines se sont vérifiés une fois en février 1990 lors de la Conférence des forces vives de la Nation consacrant le passage d’un Etat policier à un Etat de droit sans effusion de sang. A la veille du 1er tour de l’élection présidentielle qui s’est déroulé hier dimanche, un climat d’insécurité planait sur tout le pays. L’enlèvement du représentant du parti de la Renaissance du Bénin à Natitingou, l’arrestation de l’ancien président Maurice Kouandété soupçonné d'être mêlé à cet enlèvement, incident grave qui s’est produit entre forces de l’ordre et militaires fuyards à Tanguiéta (2 morts et un blessé grave) sont autant d’indices d’insécurité qui ont secoué le Bénin à quelques jours des opérations de vote. Dans ce climat d’insécurité où le gouvernement et l’opposition multipliaient les communiqués menaçants ou appelaient les populations au calme, le conseil des rois et chefs traditionnels, la communauté des Eglises du Bénin et les Imams ont invoqué Dieu, Allah et les mânes de nos ancêtres pour que les opérations de vote se déroulent sans incidents et dans le calme afin que règne la paix sur le pays. A quelques heures de l’ouverture des bureaux de vote, personne ne pouvait présager comment la journée du dimanche 3 mars allait se passer. L’anxiété était à son comble. L’armée en état d'alerte. Le nord du pays a été quadrillé par les forces de sécurité pour parer à toutes éventualités. Mais hier dimanche, jour J, tout s’est plus ou moins passé en tout cas sans incidents majeurs. Du sud au nord, les opérations de vote se sont déroulées dans le calme et la sérénité. Les populations ont tôt le matin pris d’assaut les 6.212 bureaux de vote répartis sur toute l’étendue du territoire national. Hormis quelques retards graves observés çà et là et quelques bousculades au niveau des bureaux de vote, les Béninois ont accompli leur devoir civique sans heurts. L’anxiété grandiose qui pesait sur le pays, en particulier dans le septentrion, s'est donc dissipée. Comme quoi Dieu. Allah et les mânes des ancêtres ont exaucé nos prières. bibo:pages 3 -- o:id 8800 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8800 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8807 27007 27008 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cb744bdd2e675b3ac7b67598e337bae9969ffcee.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2f9f578b42e093b4c6e90b4003f9060c9011c1ed.tiff https://islam.zmo.de/files/original/430344fb3f84dd5a897a500e7c2f5f9d484eade0.tiff dcterms:title La communauté musulmane du Bénin a célébré hier l'Aîd-El-Fitr : les Imams appellent la grâce de Dieu sur l'élection présidentielle dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/85 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13490 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1996-02-20 dcterms:identifier iwac-article-0004104 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin, à l'instar des communautés soeurs du monde entier, a célébré hier la fête de l'Aïd-El-Fitr marquant ainsi la fin du jeûne. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin, à l'instar des communautés soeurs du monde entier, a célébré hier la fête de l'Aïd-El-Fitr marquant ainsi la fin du jeûne. Quatrième pilier de l’Islam, le jeûne dont la fin a été célébrée, est l'une des marques de la grâce de Dieu. Son but est d'affermir la foi du musulman et surtout d’asseoir en lui la Tak’wa, c’est-à-dire la crainte de Dieu. Le jour de l’Aïd est en effet un jour d'une grande portée, qui témoigne de la satisfaction de Dieu à l’endroit de tout musulman. Car selon un hadith lu à la place Idi du PK 10 par l’Imam de Zongo, El-Radj Ibrahim Mohamed El-Abib, au matin du jour de l’Aïd, Allah dispersé les Anges dans toutes les villes. Ces anges descendent sur terre et s’installent dans tous les coins de rue et lancent un appel aux fidèles musulmans afin qu’ils aillent vers le Seigneur très généreux qui donne beaucoup et qui pardonne le plus grand des péchés. Rappelant les bienfaits du jeûne, l’Imam de Zongo a indiqué que la récompense du jeûne est le paradis dans l’au-delà, mais ici bas, le jeûne confère à celui qui l’observe des qualités morales qui le rapprochent de Dieu. Pour ce faire, l'Imam a exhorté les Musulmans à éviter de renouer avec les actes blâmables tels que l’alcool, le pique-nique, matinées ou soirées dansantes et le concubinage. Car selon l’Imam, toute intimité avec une personne en dehors du mariage relève de l’adultère et l’adultère a pour conséquence l’effritement de la vie et des biens de celui qui s'y adonne. L’Imam de Zongo a invité les fidèles musulmans à observer six jours de jeûne et à s’acquitter de la Zakat-oul-Fitr qui est très bénéfique à faire valoir à la fin du jeûne. L’imam a enfin imploré Dieu pour que sa grâce et son pardon descendent sur notre pays afin que la présidentielle de mars se déroule dans la paix et la quiétude. Qu’il mette nos concitoyens à l’abri de la manipulation, de la tentation et inspire en eux l’amour et la maîtrise de la passion. bibo:pages 1 10 -- o:id 8801 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8801 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8808 27009 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b0c8a87089ad72072c70ed81dcf40386e3c9963c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/28fd73aaac04cb0cdb672727885517e88747a31f.tiff dcterms:title Commémoration de la naissance du prophète Mahomet dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1519 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1995-08-10 dcterms:identifier iwac-article-0004105 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans du Bénin, à l’instar de leurs frères du monde entier, ont célébré mardi dernier la fête de RabioulAw’wal ou l’anniversaire de la naissance du prophète Mahomet dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans du Bénin, à l’instar de leurs frères du monde entier, ont célébré mardi dernier la fête de RabioulAw’wal ou l’anniversaire de la naissance du prophète Mahomet. Célébrée pas comme la Tabaski et le Ramandan, la commémoration de la naissance du prophète Mahomet est une fête qui rappelle aux musulmans le comportement qui devrait être le sien dans la société, au lieu de faire des tapages. C’est pourquoi les prières ont été organisées à travers toutes les mosquées pour implorer Dieu et rendre grâce au prophète Mahomet dont la naissance en 571 de l’année solaire constitue un signe annonciateur du déclin du faux en même temps que la venue de l’aube de vérité. Avant sa naissance, des miracles se révélèrent à sa mère alors qu’elle portait sa grossesse. Un jour, elle avait vu une lumière sortir d’elle qui se propagea et éclaira son entourage. Cette lumière n’était rien que celle de la vérité que Dieu fit découvrir aux hommes qui avaient trop végété dans la perdition. Le père du prophète Mahomet mourut alors qu’il était encore dans le ventre de sa mère et celle-ci mourut quand il avait 6 ans. Après la mort de sa maman, le prophète Mahomet a été élevé par son oncle Abou-Talib. Quand il atteignit l’âge où il peut exercer une activité, parfois il gardait parfois les troupeaux à un prix convenu, parfois il exerçait le métier de commerçant. En effet, le prophète Mahomet est venu confirmer cette prophétie de Jésus-Christ qui annonçait à son peuple l’arrivée d’un messager après lui du nom de «Ahmad». Vu l’homme de coeur que fut le prophète, il est utile que le musulman ait en permanence à coeur le prophète Mahomet non pas en organisant des pique-nique, en dansant avec force fanfare , mais une occasion où chacun devra faire le point à son niveau: voir ses insuffisances par rapport aux ordonnances de Dieu, voir si l’on a appliqué les enseignements du prophète Mahomet tant en religion, dans sa vie privée, en collectivité que dans les entreprises. Car toute sa vie durant, le prophète a été proccupé par le devenir de sa communauté. Selon El-Hadj Ibrahim Mohamed El-Habib l’Imam de Zongo, la meilleure manière de commémorer la naissance du prophète Mahomet est de voir; chacun à son niveau: - Si l’on a offert la dote 51a femme et célébré le mariage avant de la mettre à la maison ou d’avoir des intimités avec elle. - Si l’on n’est pas de ceux qui s'adonnent à la calomnie, la médisance ou qui trahissent. - Si l’on n’est pas de ceux qui achètent de l’alcool, en consomment, en vendent ou en offrent aux autres. - Si l’on n’est pas de ceux qui mentent pour créer des problèmes aux d’autres. En un mot, si l’on n’est pas de ceux qui foulent aux pieds les ordonnances de Dieu et les enseignements du prophète. Que Dieu nous inspire et nous accorde son soutien afin que nous oeuvrions dans ce sens. bibo:pages 6 -- o:id 8802 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8802 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8809 27010 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a7df9d9d8d74f60dcbb9bfc10b290a3f86ee0b92.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7d4ec8529eaf8cccc203c764a3b36e1c9839a213.tiff dcterms:title Audience au palais de la République : deux délégations de chrétiens et de musulmans au cabinet du président Kérékou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1498 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12906 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14725 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13071 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-02-04 dcterms:identifier iwac-article-0004106 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Preuve incontestable d’une bonne cohabitation entre les religions dans notre pays, deux délégations, l’une de la Fédération des familles pour la paix et l’unité dans le monde (FFPUM) et l’autre de l’Agence des musulmans d’Afrique (AMA) ont été successivement reçues lundi dernier au palais de la République à Cotonou par le président Mathieu Kérékou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Preuve incontestable d’une bonne cohabitation entre les religions dans notre pays, deux délégations, l’une de la Fédération des familles pour la paix et l’unité dans le monde (FFPUM) et l’autre de l’Agence des musulmans d’Afrique (AMA) ont été successivement reçues lundi dernier au palais de la République à Cotonou par le président Mathieu Kérékou. La première délégation introduite au cabinet présidentiel a été celle de la FFPUM. Composée entre autres du pasteur Paterne Zinsou, vice-président de la Fédération au Bénin et de Maekawa Minoru, représentant international résident adjoint, cette délégation s’est entretenue pendant plus d’une heure d’horloge avec le chef de l’Etat. L’entretien avait porté, à en croire son porte-parole, le pasteur Paterne Zinsou, sur les questions d’actualité mondiale. La délégation, précise son porte-parole, a rendu compte au chef de l’Etat de la récente rencontre de personnalités tant du monde des médias que de l’économie et de la culture, qui s’est déroulée aux Etats-Unis d’Amérique. Une rencontre au cours de laquelle, il a été question de la paix dans le monde. Cette délégation a en outre félicité le chef de l’Etat, le général Mathieu Kérékou de la lutte qu’il mène pour la moralisation de la vie publique qui rejoint, selon le pasteur, la vision de la FFPUM. Deuxième et dernière délégation reçue dans la matinée du lundi dernier par le chef de l’Etat, celle de l’Agence des musulmans d’Afrique conduite par Benchiekh Lehocine, directeur de l'Agence. Il a indiqué que la délégation qu’il conduit est allée présenter au chef de l’Etat, l’Agence qui s’occupe des problèmes de l’éducation, de la promotion féminine et de la culture. bibo:pages 6 -- o:id 8803 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8803 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8810 27011 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/acff126ff1fb0cc8bf0233d295fb26a3d54e1243.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8ca8df95367544898b828b06c3d99bee61726e35.tiff dcterms:title Audience au palais de la République : le président de la Banque Islamique de développement reçu par le chef de l'Etat dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1608 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-08-04 dcterms:identifier iwac-article-0004107 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président Mathieu Kérékou a reçu successivement en audience, jeudi dernier, la délégation de la Banque islamique de Développement conduite par son président M. Ahmed Mohamed Ali et puis «Miss Bénin» Mlle Gladys Hounkpodoté élève en classe determinate. Cette dernière était accompagnée de la première dauphine Mlle Mariette Comlan elle aussi élève en classe de seconde. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président Mathieu Kérékou a reçu successivement en audience, jeudi dernier, la délégation de la Banque islamique de Développement conduite par son président M. Ahmed Mohamed Ali et puis «Miss Bénin» Mlle Gladys Hounkpodoté élève en classe determinate. Cette dernière était accompagnée de la première dauphine Mlle Mariette Comlan elle aussi élève en classe de seconde. Quant à la délégation de la Banque islamique de Développement elle a été introduite au cabinet du président de la République par le professeur Albert Tévoédjrè, ministre du Plan, de la Restructuration économique et de l’Emploi. Docteur Ahmed Mohamed Ali, un saoudien, a expliqué à sa sortie d’audience qu’il a rendu une visite de courtoisie au chef de l’Etat, visite au cours de laquelle ils ont discuté de la cérémonie d’inauguration du réseau d’information des pays membres de l’organisation de la conférence Islamique dont le Bénin. Il s’est réjoui de la facilité de communication dont a bénéficié sa délégation de la part du président Kérékou qui a, par ailleurs, accordé une attention particulière à l’éducation et à l’installation des infrastructures du réseau au Bénin et insisté sur le changement des mentalités. Promesse d'une assistance Le président de la Banque islamique de Développement a par ailleurs promis que son institution apportera une assistance technique et rationnelle afin que ce changement de mentalité soit possible. Il s’est déclaré satisfait de l’audience que le chef de l’Etat lui a accordée et a souhaité un renforcement des liens de coopération entre son institution et le Bénin. La délégation de «Miss Bénin», a été reçue en second lieu introduite par Mme Sidonie Kiniffo, épouse Afouda directrice de l’Agence de voyage «Afrique Tourisme». Mlle Gladys Hounkpodoté élue «Miss-Bénin» a dit que le président Kérékou était satisfait du choix du jury qui l’a élue «Miss-Bénin» et sa première dauphine Mlle Mariette Comlan sont heureuses d'avoir rencontré le président de la République qui leur a prodigué quelques conseils utiles. bibo:pages 3 -- o:id 8811 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8811 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8817 27012 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f820ed7ad9889c52e761b22f6c3dd482caf93c35.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a33b7805e1844271eeae99b1d6572f9146327b1c.tiff dcterms:title Grande prière musulmane à Porto-Novo : Allah imploré pour la paix au Congo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1969 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2018 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-09-05 dcterms:identifier iwac-article-0004108 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract De retour au bercail, certains Béninois en situation difficile pour cause de guerre au Congo ont organisé hier à Porto-Novo, une grande prière musulmane afin d’implorer la paix sur le Congo. Une occasion pour eux d’invoquer aussi la grâce d’Allah pour l’apaisement des conflits armés en Afrique et dans le monde. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/459 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/431 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content De retour au bercail, certains Béninois en situation difficile pour cause de guerre au Congo ont organisé hier à Porto-Novo, une grande prière musulmane afin d’implorer la paix sur le Congo. Une occasion pour eux d’invoquer aussi la grâce d’Allah pour l’apaisement des conflits armés en Afrique et dans le monde. Etre à des milliers de kilomètres du champ d’un drame et le sentir néanmoins très intensément comme si on le vivait de très près, c’est sinon de la compassion du moins un geste d’humanisme. Ce geste de «solidarité silencieuse», la communauté musulmane de Porto-Novo l’a accompli hier dans la matinée. C’était à la mosquée principale de cette ville. Invoquez-moi et je vous réponds C’est dans une atmosphère de recueillement, de très grande solidarité et sous une fine pluie qu’a débuté hier cette séance de prière. Y ont pris part tous les chefs religieux de la ville ainsi que certains notables et autres autorités politiques. Ils ont, au cours de leur prière qui a duré 1 h 45 mn, invoqué Allah, le Tout-Puissant pour qu’il fasse descendre sa grâce sur le peuple congolais afin que la-paix et la stabilité politique reviennent au Congo. Ladite prière est allée surtout à l’endroit de nos compatriotes revenus sans leurs biens matériels et ceux restés là-bas et qui ne savent à quel saint se vouer. Au total, c’est pour toutes les régions actuellement en conflit armé dans le monde que ces fidèles musulmans ont prié. La prière a été dirigée par El Hadj Kélani, Imam de Cotonou et président des Imams du Bénin en compagnie d’El Hadj Damala Moudjadidou, Imam de la mosquée centrale de Porto-Novo. «Nous exhortons les hommes politiques africains et les Congolais en l’occurrence à œuvrer pour le retour à la normale et à la stabilité politique sur le continent», ont-ils martelé à plusieurs reprises, avant d’ajouter que l’Afrique a besoin aussi de capital humain pour se développer. Ce rassemblement que ses initiateurs qualifient de «solidarité silencieuse» à l’endroit des éprouvés du Congo n’a été possible que grâce à une participation financière de ces Béninois du Congo eux-mêmes. Ils ont été soutenus par quelques notables de la ville de Porto-Novo. A la fin de la prière, trois taureaux ont été immolés et la viande sera distribuée en aumône, «Sarah» dans toutes les rues et mosquées de la ville. bibo:pages 3 -- o:id 8812 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8812 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8818 27013 27014 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2465f9e04fc1fd1751564c20d9d1ed750425f7c8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/617f7feaf40ce659762b13e8c3ece20d73068a05.tiff https://islam.zmo.de/files/original/cddda9d99fd07028dbbc47e74b84342507a1a1d2.tiff dcterms:title Fin du jeûne du Ramadan : la Communauté musulmane a prié pour le Bénin! dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1943 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14394 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-01-30 dcterms:identifier iwac-article-0004109 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pendant 29 ou 30 jours, les musulmans du monde entier ont jeûné. Fini donc le jeûne depuis le mercredi 28 janvier. Il faut maintenant rendre grâce à Allah le Tout-Puissant. A cette tradition marquant la fin du Ramadan ou la fête de Aid El Fitr les musulmans béninois ont sacrifié, hier. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/273 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pendant 29 ou 30 jours, les musulmans du monde entier ont jeûné. Fini donc le jeûne depuis le mercredi 28 janvier. Il faut maintenant rendre grâce à Allah le Tout-Puissant. A cette tradition marquant la fin du Ramadan ou la fête de Aid El Fitr les musulmans béninois ont sacrifié, hier. Sur toute l’étendue du territoire national, les musulmans béninois ont prié pour la paix et la concorde au Bénin. A Cotonou, entre autres, c’est la place Idi à Akpakpa qui a servi de cadre à la cérémonie officielle de prière. Une prière dirigée par l’Imam Alassane Ibrahim qui n’a pas manqué d’implorer la grâce d’Allah sur notre patrie. La prière qui a duré quelque 5 mn a enregistré la participation des hommes, des femmes et des enfants bien drapés de boubous qui indiquent qu’il s’agit effectivement d’une fête musulmane. C’est le ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Réforme administrative, Assouma Yacoubou qui a représenté le gouvernement béninois à cette prière marquant la fin du Ramadan. Fête dans le recueillement Si au Bénin, la fête s’est déroulée dans la gaieté, en Algérie où le terrorisme se vit au quotidien, ce fut dans un recueillement total. bibo:pages 1 3 -- o:id 8813 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8813 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8819 27015 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a92f3eddf42243723a70914a6ab3db57dd8a59cb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b38662631c6248af1982e2a1110a8726a8b22866.tiff dcterms:title Conférence-débat du FONZAB autour du Ramadan : s'abstenir à tout prix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/784 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-01-05 dcterms:identifier iwac-article-0004110 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En cette période du Ramadan, le Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin en collaboration avec la Banque islamique du développement a organisé samedi dernier au Centre de promotion de l’artisanat, une causerie autour de plusieurs thèmes relatifs au jeûne. Cette causerie qui se déroulera tous les samedis du mois, permettra au monde musulman de réfléchir sur la civilisation islamique. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En cette période du Ramadan, le Fonds national de la Zakat et Awkaf du Bénin en collaboration avec la Banque islamique du développement a organisé samedi dernier au Centre de promotion de l’artisanat, une causerie autour de plusieurs thèmes relatifs au jeûne. Cette causerie qui se déroulera tous les samedis du mois, permettra au monde musulman de réfléchir sur la civilisation islamique. Commencée le samedi dernier, la première étape de cette causerie a été marquée par deux exposés dont: «le Ramadan: Dynamique et portée» et «le prophète Mohammed, l’ultime réformateur de la société humaine». Respectivement présentés par El Hadj Faiz Adébola cl El Hadj Bachirou Soumanou, les deux thèmes ont trait à l’obligation du jeûne et les dispositions particulières d’un musulman au cours de cette période. En effet, prescrit dans le Saint Coran depuis l’époque d’Adam, lé jeûne est une forme d’adoration de Dieu. Le vrai jeûne, selon El Hadj Faiz Adébola, aide à nous libérer de la luxure et des illusions du cœur et de la pensée. Il nous introduit sur la voie qui mène à la perfection. Le jeûne, a-t-il poursuivi, est l’un des 5 piliers prescrits dans le Saint Coran. Dès lors, le jeûne est une obligation pour tout musulman. Dispositions particulières Au cours du mois du jeûne, tout musulman en carême doit observer une abstinence tant extérieure qu’intérieure. L’aspect extérieur concerne l’abstinence du manger, du boire et du désir charnel avec son épouse. Pour l’aspect intérieur, le jeûne porte sur une certaine abstinence à faire observer à d’autres organes ou membres du corps, en dehors du sexe et du ventre. On distingue alors le jeûne du cœur et de la pensée, le jeûne des yeux, le jeûne de la langue, le jeûne des oreilles et le jeûne des membres. Le musulman doit aussi éviter les injections au cours du jeûne. Il ne (doit pas mentir, éviter la calomnie, les propos malveillants, le serment fallacieux et le regard par convoitise. Le musulman doit être en permanence habité par la crainte de Dieu et en arriver à s’éloigner des interdits. Bien que tout musulman adulte, en pleine possession de ses facultés mentales doive jeûner pendant le Ramadan, ceux qui sont dans les conditions suivantes peuvent ne pas observer le jeûne. En effet, les femmes qui ont les menstrues, ou qui ont accouché de même que les malades, sont épargnés du jeûne. Il en est de même des femmes enceintes ou de celles qui allaitent leurs enfants cl des personnes en voyage. bibo:pages 5 -- o:id 8814 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8814 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8820 27016 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8fa299da1c47e46ae46780c3c218cb8f959894c1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/abe9f3edd8a92276347c60e9335b87844a19361e.tiff dcterms:title Religion : l'Union islamique du Bénin tient enfin son congrès ordinaire dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/226 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14094 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-05-22 dcterms:identifier iwac-article-0004111 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Attendu depuis plus de neuf ans, le congrès ordinaire de l’Union islamique du Bénin (Uib) a eu enfin lieu, le samedi 20 mai dernier, à Porto-Novo. Les travaux ont connu la participation de tous les imams des soixante-dix-sept communes et des cadres musulmans du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Attendu depuis plus de neuf ans, le congrès ordinaire de l’Union islamique du Bénin (Uib) a eu enfin lieu, le samedi 20 mai dernier, à Porto-Novo. Les travaux ont connu la participation de tous les imams des soixante-dix-sept communes et des cadres musulmans du Bénin. Un nouveau soleil se lève sur l’Union islamique du Bénin (Uib). Ayant vu le jour le 12 février 1967 à l'issue de son congrès constitutif tenu à Parakou, cette association musulmane a été éprouvée par diverses péripéties. Lesquelles n’ont pas favorisé la tenue du congrès ordinaire depuis la fin du mandat du bureau exécutif sortant en 2008. En procédant à l'ouverture officielle des travaux, Karim da Silva, premier haut dignitaire de l'Uib, a fait l’historique de la création de l'association, égrené les différentes péripéties qui l'ont jalonnée depuis cinquante ans d'existence, avant de saluer la tenue enfin de ce congrès ordinaire. « Maintenant il s'agit de consolider les bases de ce qui a été accompli, afin d’avancer avec assurance et espoir vers le futur, de sorte que l’avenir soit un lendemain de certitude et de juste espérance », a insisté Karim da Silva. Dans cette perspective et tirant leçons des errances, les statuts et règlement intérieur de l’union ont été toilettés et mis en phase avec les nouveaux objectifs de l'association. Plusieurs réformes y ont été introduites. Il a été proposé par exemple que la présidence de l’Uib ne soit plus à vie. Le mandat du président de l’union soit désormais de quatre ans et cinq ans pour les autres membres du bureau exécutif. Les nouveaux statuts préconisent dorénavant une présidence tournante, allant d’un département à l’autre. De même, le contrôle des activités, l’amélioration et l’orientation de l’agenda d’exercice, la diversification des ressources et un meilleur encadrement de la dépense ont été revus pour permettre à l’union de devenir plus sûre et plus forte. « C’est le lieu de nous dire que l’égo exacerbé, l’impatience, la passion, la nervosité, le courroux, l'orgueil, la jalousie, la convoitise et autres, ne doivent pas être plus forts en nous que notre volonté de faire et de bien faire pour la communauté musulmane», a souligné Karim da Silva qui a invité la communauté musulmane à faire preuve d’union et de cohésion. Mais cette invite du premier haut dignitaire de l’Uib n'a pas pour autant fait bouger les lignes pour sonner le glas des divergences. Les réformes portées par les nouveaux statuts et règlement n'ont pas connu l'assentiment de tous. Ce qui a obligé le congrès à mettre sur pied une équipe transitoire à la tête de l'Uib présidée par le président sortant, Houzéfath Hamzath, l’iman de Porto-Novo. Mais avant le premier dignitaire de l'Uib du Bénin, l’honneur a échu au secrétaire général sortant, Fazoul Adégbola d’annoncer aux congressistes la fin du mandat du bureau exécutif sortant. Ce retrait a permis la mise en place du présidium devant diriger les travaux de ce congrès ordinaire. bibo:pages 11 -- o:id 8815 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8815 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8821 27017 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/311ad1571d0048eb408b4317999756da34bc67a8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a6d4b5050649c0144917b0272d1f83a982b4b3b9.tiff dcterms:title Bilan du pèlerinage musulman à La Mecque : pari tenu, regards tournés vers 2017 dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-12-02 dcterms:identifier iwac-article-0004112 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération (Maec), Aurélien Agbénonci a tenu une rencontre, jeudi 1er décembre, avec les membres de l’Union islamique du Bénin (UIB). Objectif faire le point du pèlerinage musulman 2016 à La Mecque en vue d’améliorer les prochaines éditions. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération (Maec), Aurélien Agbénonci a tenu une rencontre, jeudi 1er décembre, avec les membres de l’Union islamique du Bénin (UIB). Objectif faire le point du pèlerinage musulman 2016 à La Mecque en vue d’améliorer les prochaines éditions. Le hadj 2016 n’a pas trop souffert sur le plan organisationnel. La séance de travail qu’a tenue le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Aurélien Agbénonci avec l’Union islamique du Bénin (UIB), a permis d'apprécier la participation du Bénin à ce rendez-vous musulman annuel à La Mecque. Pour la première fois, explique le ministre, le Bénin a fait une estimation exacte du nombre de pèlerins. Sur un préfinancement de 1000 places, c'est 2002 participants qui. ont pris part à la rencontre. « Beaucoup d’améliorations ont été apportées cette année. Nous avons veillé à ce que l’opprobre ne soit pas jeté sur nos concitoyens et sur notre pays », s’est-il réjoui. L'autre bonne nouvelle du hadj 2016 consiste en la création prochaine au Bénin, de l’ambassade de l’Arabie Saoudite. Les difficultés qui ont émaillé le pèlerinage 2016 sont relatives à la disponibilité des passeports diplomatiques au profit de certains hauts gradés musulmans, à l’hébergement des pèlerins béninois en terre sainte et aux déplacements des guides. A en croire Karim da Silva, haut dignitaire de la communauté musulmane, "organisation du pèlerinage a toujours divisé certains musulmans. « C’est un commerce sous le couvert de la religion », estime-t-il. Raison pour laquelle, il propose la création d'un haut-commissariat ou d'une agence nationale chargée de l’organisation des pèlerinages musulmans en vue de régler les divergences. Karim da Silva propose également l’implication de l’UIB dans les relations arabo-islamiques et la nomination des cadres musulmans diplômés dans les pays arabes, afin de faire profiter le Bénin, des avantages de ces pays. Par ailleurs, il suggère que le gouvernement revoie l'affectation du quota alloué à l’union islamique ; lequel permet aux imams de gratifier les démunis. L’organisation du hadj 2017 serait une réussite si le gouvernement associait l’UIB autour de cette œuvre. C’est en tout cas le souhait de ses membres qui plaident pour la facilitation des procédures administratives entre le bureau exécutif de l’Union et le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération. Pour le secrétaire général de l’UIB, Faïssou Adégbola, les musulmans ne négocient pas généralement leur participation à La Mecque. Pour le bon fonctionnement de l’office du hadj, il préconise alors que le gouvernement tienne effectivement compte des difficultés de cette année afin d’améliorer les prochaines participations du Bénin. Le ministre Aurélien Agbénonci a pris bonne note des différentes suggestions et a promis en tenir compte en vue des innovations pour les prochaines éditions. Déjà, il annonce des améliorations en ce qui concerne le convoyage des pèlerins pour les fois à venir. bibo:pages 3 -- o:id 8816 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8816 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8822 27018 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/db3be6bae48cd414dcdf02202b9fa681cdedbb22.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8369bc5222d94b8365b41d8b407debdca90b12b5.tiff dcterms:title Après les décès survenus dans la communauté musulmane à Sèmèrè : l'Union islamique du Bénin compatit et propose des solutions dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-10-27 dcterms:identifier iwac-article-0004113 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le bureau exécutif national de l’Union islamique du Bénin (UIB) a fait, mercredi 26 octobre à la mosquée centrale de Jonquet à Cotonou, une déclaration sur les événements malheureux survenus à Sèmèrè au sujet de la succession de l’imam de la mosquée centrale de la ville. Par la voix de Faissou Adégbola, le secrétaire général de son bureau exécutif national, l’UlB regrette les événements douloureux et propose des solutions pour la désignation de l’imam central de la ville. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14825 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le bureau exécutif national de l’Union islamique du Bénin (UIB) a fait, mercredi 26 octobre à la mosquée centrale de Jonquet à Cotonou, une déclaration sur les événements malheureux survenus à Sèmèrè au sujet de la succession de l’imam de la mosquée centrale de la ville. Par la voix de Faissou Adégbola, le secrétaire général de son bureau exécutif national, l’UlB regrette les événements douloureux et propose des solutions pour la désignation de l’imam central de la ville. « L’Union islamique du Bénin déplore les événements malheureux survenus dans la ville de Sèmèrè après le départ de sa délégation le mercredi 13 octobre 2016, présente ses sincères condoléances aux familles des victimes et à la communauté musulmane de Sèmèrè », a déclaré d’entrée, Faissou Adégbola, secrétaire général du bureau exécutif national de l’Union islamique du Bénin (UIB), en présence de quelques membres du bureau. Selon lui, l’UlB regrette la tournure prise par les événements et interpelle les autorités politico-administratives pour que la lumière y soit faite afin que les responsabilités soient situées. L’UlB invite tous les imams Djamiou, sur toute l’étendue du territoire national, à faire demain 28 octobre, juste après la prière de vendredi, une prière de mort à la mémoire des disparus afin que leurs âmes reposent en paix. Faissou Adégbola a également présenté les propositions de l’Union islamique du Bénin, instance faîtière de toute la communauté musulmane pour la succession de l’imam décédé. Ainsi, suite à la rencontre avec les autorités et la communauté, les propositions de la délégation se résument comme suit. La famille des deux prétendants devra proposer que l’un se désiste pour l’autre. Ce qui serait même souhaitable, indique-t-on, si le grand frère ne se désiste pas, le petit frère pourrait le faire pour la renommée et l’honneur de la famille. Si malgré tous les efforts, poursuit Faissou Adégbola, la solution de candidat unique pour la fonction d’imamat est sans succès, on demanderait à la famille de choisir ou de proposer un autre candidat ; dans le cas où les 2 solutions précédentes échoueraient, une autre consisterait à permettre à la famille suivante dans l’ordre de succession de désigner un candidat pour occuper le poste d’imamat en attendant le tour de la famille défaillante selon l’ordre de succession préétabli. Il est utile de rappeler que suite au décès de l’imam Djamiou de la mosquée centrale de Sèmèrè, le poste est resté vacant jusqu'à ce jour. L’UlB prône la cohabitation harmonieuse entre toutes les confessions religieuses et est régie par les prescriptions de Dieu à travers les prescriptions du St Coran et la sunnâ du prophète Mohammad dans le strict respect des lois de la République. Sur cette base, elle avait été saisie par plusieurs composantes delà communauté musulmane de Sèmèrè. Cela lui a permis de dépêcher une délégation à Sèmèrè pour jouer les bons offices et rechercher avec la communauté, les solutions idoines par voie de consensus. Ce qui a malheureusement dégénéré. Souhaitons vivement que les leaders religieux de la localité de concert avec les responsables de l’UlB fassent le nécessaire pour le retour de la paix. bibo:pages 12 -- o:id 8823 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8823 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8826 27019 27020 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5dec7f04fc2e2646b7fd864b79f64d9e1bc37999.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7448c35cd21dc6a920a62bb13f5c2ca0130aa69c.tiff https://islam.zmo.de/files/original/c6b3a5c5420fe4c23fbd1c81565405a261044c5d.tiff dcterms:title Désignation de l'imam de la mosquée centrale de Natitingou : du rififi au sein de la communauté islamique dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13043 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-05-17 dcterms:identifier iwac-article-0004114 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Un bras de fer oppose depuis quelques jours les populations de Natitingou en ce qui concerne le processus de désignation de l'imam de la mosquée centrale de la ville. Avec l'arrêté préfectoral appelant à la suspension de toute activité en relation avec la désignation et l'installation d'imam, deux prétendus imans attisent les tensions au sein de la communauté islamique de la cité des Nanto. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/469 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Un bras de fer oppose depuis quelques jours les populations de Natitingou en ce qui concerne le processus de désignation de l'imam de la mosquée centrale de la ville. Avec l'arrêté préfectoral appelant à la suspension de toute activité en relation avec la désignation et l'installation d'imam, deux prétendus imans attisent les tensions au sein de la communauté islamique de la cité des Nanto. Un fauteuil en jeu au départ mais deux prétendus imams pour la mosquée centrale de Natitingou. C’est la situation qu’observent depuis quelques jours les populations de dette ville. En dépit des séances de travail tenues à la préfecture et des tentatives de négociations entre les différentes parties par l’Union islamique du Bénin, les différents protagonistes n’ont pas pu accorder leurs violons. Au point d’amener la préfecture par l’arrêté N° 6/084/P-SG/SAG/SA du 4 mai 2016 à suspendre toute activité liée à la désignation et à l’installation de l’imam de la mosquée centrale de Natitingou. Ceci pour des nécessités de sécurité publique vu les menaces de troubles à l’ordre public planant sur la cité des Nanto. Ainsi depuis, vendredi 6 mai dernier, et jusqu’à ce jour les ancienne et nouvelle mosquées centrales de la ville de Natitingou sont gardées par les forces de sécurité et les séances de prières y tenant d’habitude sont proscrites. Les portes des deux mosquées demeurant toujours closes. Vendredi 13 mai dernier également les fidèles musulmans ont dû se porter vers les petites mosquées de la ville pour la traditionnelle prière. Les faits Suite au décès de l’imam de la mosquée centrale de Natitingou, Mohamed Sanni le 1er janvier dernier, son adjoint, Alaza Ibrahim qui assurait son intérim depuis trois ans qu’il était alité, a été désigné par un prétendu collège composé de sages et de "alpha” le 13 mars dernier, au quarantième jour de sa disparition, comme le recommanderaient les textes. Alaza Ibrahim, vice-imam de la mosquée (le Nahimi) depuis quinze ans, âgé de 83 ans, désigne par la suite El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, fils du défunt comme son vice et celui-ci tel que l’atteste Boni Alassane, porte-parole du successeur de son père, reconnaît n’avoir pas fait d’objection à cette nomination et se rend disponible à assumer ce rôle. Arguant que Alaza Ibrahim est comme son père et qu’il ne saurait aller contre sa volonté. Un compte-rendu de l’assemblée générale de la communauté musulmane de Natitingou sur la désignation de son "Imam Djamiou” est aussitôt transmis au préfet des départements de l’Atacora et de la Donga ainsi qu’au maire de la ville. Mais contre toute attente, deux semaines après la désignation du remplaçant de l’imam, un autre procès-verbal de l’assemblée générale d’une partie s’opposant à l’intronisation du Nahimi comme Imam de Natitingou est enregistrée à la préfecture et à la mairie avec l’intrusion de contestataires à l’hôtel de ville pour manifester leur désapprobation par rapport à ce choix. Il est reproché au remplaçant, son manque de connaissances du Coran, de l’Arabe et du Français. Sa désignation se serait faite en catimini sans le respect de certains critères. « La désignation de l’imam s’est faite de la meilleure des manières, telle que les anciens, les sages et autres dignitaires de la communauté islamique le faisaient. Partout où elle s’est faite, une certaine estime est portée au Nahimi déjà habitué à la charge et dans le cas d'espèce, le fils du disparu n’avait jamais manifesté son ambition de remplacer son père et ne s'est aucunement opposé au choix de la communauté islamique », souligne Boni Alassane qui voit derrière tout ce manège des fauteurs de troubles. Ce que rejette le fils du défunt, notant que c’est la population de Natitingou qui s’est liguée contre le choix du Nahimi de son défunt père et que jamais il n’a été demandeur. « On ne peut aller contre la volonté du peuple », estime-t-il pour justifier l’assemblée générale élective du 21 avril dernier qui l’installe dans le fauteuil de l'imam Djamiou de la mosquée centrale de Natitingou. Une élection à laquelle n’aura pas participé Alaza Ibrahim et qui a enregistré quatre candidatures dont celle de El Hadj Nourou Dine Mohamed Sanni. « Depuis quand la population désigne-t-elle l’imam ? Ce n’est pas comme dans une dynastie où la succession est faite de père en fils », rétorque le porte-parole de Alaza Ibrahim. Utiliser tous les recours Devant cet imbroglio, appel a été fait par les autorités de la préfecture et de la mairie aux différentes parties antagonistes concernées ou intéressées par la question de la désignation de l'imam pour utiliser tous les recours de négociation et de diplomatie afin d’obtenir un consensus. En dépit de tout ceci, force est de constater l’échec des négociations dirigées par l'Union islamique du Bénin dépêchée dans la ville et de la médiation de la préfecture. Fort de tout ceci, la préfecture par l’arrêté N° 6/084/P-SG/SAG/ SA du 4 mai 2016 a décidé de suspendre toute activité liée à la désignation et à l’installation de l’imam de la mosquée centrale de Natitingou. D’où l’appel aux forces de sécurité à prévenir toute menace de troubles à l’ordre public. Ainsi, a été avortée la cérémonie de port de turban programmée par les partisans de El Hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, le vendredi 6 mai dernier à la grande mosquée de Natitingou. Et qui attise encore les tensions dans la ville. bibo:pages 1 10 -- o:id 8824 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8824 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8827 27021 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/394fc8343940410832664eb56a3d33575f551281.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ad587e054b3258f3cf11564eddc347679592fc75.tiff dcterms:title L'Agence des musulmans d'Afrique à la rescousse des orphelins dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1589 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/111 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-09-28 dcterms:identifier iwac-article-0004115 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La grande mosquée de Jonquet a abrité le samedi dernier dans l’après-midi, une cérémonie de distribution d’allocation et des vêtements aux orphelins et orphelines de Cotonou. Une œuvre de générosité de l’Agence des musulmans d’Afrique. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La grande mosquée de Jonquet a abrité le samedi dernier dans l’après-midi, une cérémonie de distribution d’allocation et des vêtements aux orphelins et orphelines de Cotonou. Une œuvre de générosité de l’Agence des musulmans d’Afrique. L’Agence des musulmans d’Afrique, est une organisation non gouvernementale de bienfaisance koweïtienne. Créé dans le but de soutenir les efforts du développement des pays africains, elle est présente aujourd’hui dans 30 pays africains dont le Bénin. Et comme Dieu a ordonné aux musulmans d’être humain et pieux, et de chercher le salut de l’humanité par ses œuvres généreuses. Cette ONG koweïtien a bien suivi ces recommandations. Au Bénin, depuis 6 ans, elle n’a pas manqué d’œuvrer pour le bien-être de toutes les franges de la société. Pour preuve, l’Agence a construit pas moins de 20 mosquées à travers l’ensemble du territoire national. Des centres sociaux, des forages de puits à Parakou et Bassila pour ne citer que ceux là. Le samedi dernier, à la grande mosquée de Jonquet, c’était, le tour des orphelins et orphelines de bénéficier de la générosité Koweitienne. Ils étaient au nombre de 151 orphelins et orphelines à se présenter, accompagnés d’un parent ou seul, et ont reçu de la main de Nassir Drehim, le chargé des orphelins la coquette somme de 35.900, une paire de chaussure, du riz, du macaroni, 2 vêtements prêt à porter, de kaki, bref de quoi préparer leur rentrée scolaire du 5 octobre prochain. Quoi de plus généreux et pieux que d’assister un orphelin? Et combien de fois cette œuvre de bienfaisance peut vibrer les cœurs de ces enfants? Certes ils étaient joyeux et souriants en se rapprochant de Nassir Drehim, qui, dans une allocution poignante les yeux bridés a ému tous les témoins de l’événement en affirmant que «Nous nous engageons à assister les orphelins jusqu’à l’âge adulte, et nous serons des intermédiaires entre le Koweit et les orphelins pour transmettre leurs préoccupations, c’est une mission noble et digné» a-t-il conclu. Un autre intervenant non moins important El-Hadj Mounirou, le secrétaire général de l’Union Islamique a remercié les Arabes pour ce qu’ils font au non de l’Islam. Vos œuvres constituent un rayonnement notable pour l’Islam a-t-il lancé avant d’inviter les Béninois de faire de même pour assister les orphelins et que Alla les aide à atteindre les objectifs. Et comme l’a dit, la sourate 4 verset 10 «Ceux qui mangent injustement des biens des orphelins ne font que manger du feu dans leurs ventres; et tomberont bientôt dans l’enfer. Saï...»; les responsables de cette agence, Béninois et Koweïtien confondus semblent avoir tous le souci de sauver les orphelins. bibo:pages 6 -- o:id 8825 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8825 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8828 27022 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1d11660d01f3b9538cb599e2f407b7bb4f58b065.pdf https://islam.zmo.de/files/original/985c80f2fd97996d2389943a8aeba8e124006715.tiff dcterms:title Audience au palais de la République : l'envoyé spécial du président libyen, le colonel Mouammar Kadhafi au cabinet du général Mathieu Kérékou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-06-29 dcterms:identifier iwac-article-0004116 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le docteur Abdul Salam All Treiki, envoyé spécial du guide de la Révolution libyenne, le colonel Mouammar Kadhafi avait été reçu vendredi dernier par le chef de l’Etat, le président Mathieu Kérékou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le docteur Abdul Salam All Treiki, envoyé spécial du guide de la Révolution libyenne, le colonel Mouammar Kadhafi avait été reçu vendredi dernier par le chef de l’Etat, le président Mathieu Kérékou. A sa sortie d’audience, le docteur Abdul Salam Ali Treiki a dit que sa visite s’inscrit dans le cadre des consultations périodiques entre les présidents amis. Il a souligné à cet effet que le général Mathieu Kérékou est un vieil ami du président de la Libye, le colonel Mouammar Kadhafi. Par ailleurs il a indiqué qu’il était porteur d’un message pour le président Mathieu Kérékou. Il s’agit d’une invitation officielle que son homologue de la Libye lui a adressée. Selon le messager, le docteur Abdul Salam, le président Mathieu Kérékou a accepté répondre à l’invitation. «Le président Mathieu Kérékou connaît la Libye qui est d’ailleurs sa deuxième patrie», a-t-il ajouté. bibo:pages 7 -- o:id 8829 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8829 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8833 27023 27024 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c78e9e1d2651c858e9fef5b57c74bbc440f91da5.pdf https://islam.zmo.de/files/original/68140e4da15caf7d5aa4d00c227b6172b85ec193.tiff https://islam.zmo.de/files/original/9ac765ff252bcf89427bfc1777f64b183ba0a78f.tiff dcterms:title Pèlerinage du hadj 2016 : la lourdeur administrative maintient les pèlerins au sol dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1527 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1547 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1420 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-08-30 dcterms:identifier iwac-article-0004117 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A chaque pèlerinage des musulmans à la Mecque, son motif de désolation. Cette année n’y échappe guère, avec la lourdeur administrative au ministère des Affaires étrangères. Une situation que digère mal le Conseil national de coordination du hadj au Bénin (Conaco). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A chaque pèlerinage des musulmans à la Mecque, son motif de désolation. Cette année n’y échappe guère, avec la lourdeur administrative au ministère des Affaires étrangères. Une situation que digère mal le Conseil national de coordination du hadj au Bénin (Conaco). Par Cheik Farid AKELE et Rosemonde ATCHADE (stags) Attablé avec ses collaborateurs, Bachirou Gbadamassi parcourt frénétiquement la paperasse devant lui. Il y a quelques heures, le secrétaire général du Conseil national de coordination du hadj (Conaco), organisation faîtière du convoyage des pèlerins à la Mecque poireautait encore au ministère des Affaires étrangères pour le retrait des passeports visés. De fait, la nuit a été très courte et son organisme en a pris un coup. «Vous devez avoir constaté que j’ai encore sommeil», affirme-t-il, les yeux mi-rouges. Les procédures administratives interminables au ministère des Affaires étrangères ont tôt fait d’exacerber ce sexagénaire qui ne cache pas son ressentiment. Selon lui, l'Etat ne leur facilite pas la tâche. «Il faut passer de longues heures sur le moindre document, alors que les choses auraient pu aller plus vite», se désole-t-il. Après réception des 967 passeports visés par les autorités saoudiennes, les responsables du Conaco doivent encore passer lesdits documents au crible afin de limiter les erreurs. Ce travail de vérification précède l’affichage de la liste des pèlerins qui vont effectuer le premier voyage. Las des tracasseries de la veille, la plupart des collègues de Bachirou Gbadamassi, n’ont pas pu venir au bureau à l'heure indiquée. « Je leur ai donné rendez-vous à 8 h pour poursuivre le travail, mais pas grand monde n’est là jusqu’à présent », fait-il constater. Conséquence, nul n’est en mesure de dire avec précision quand les premiers pèlerins béninois vont fouler le sol saoudien, pour le compte du hadj de cette année. «Plaise à Dieu, il y aura vols aujourd’hui et demain», répond prudemment le secrétaire général du Conaco. Dans l’enceinte de la mosquée Zongo qui leur sert habituellement de campement, les pèlerins ont commencé par affluer. Assis sous les tentes mises à leur disposition depuis dimanche 28 août dernier par les convoyeurs, certains semblent s’accommoder de la situation. D’autres préfèrent passer du temps à l’extérieur avec leur famille, malgré la pluvieuse matinée. «Pour un pèlerin, il y a au moins dix accompagnateurs», s’amuse le responsable du Conaco. «Je suis prêt pour partir à tout moment. Ils nous ont même dit que nous allons partir, sitôt venus, le soir même », déclare Aboudou Assouma, venu de Djougou dimanche dernier. «Il ne reste plus que 14 jours pour effectuer les rituels sur place là-bas. Si nous ne décollons pas dans les prochaines 48 heures, le pèlerinage de cette année serait alors en péril», lance un autre pèlerin, qui a requis l'anonymat. Selon Issa Traoré Yahaya, 2e secrétaire général du Conaco, deux compagnies ont été retenues pour le convoyage des quelques 2 000 pèlerins. Huit vols à raison de 300 ou 268 selon les cas, seront nécessaires pour le voyage. Pourtant, le gouvernement avait rassuré... Le gouvernement avait pourtant affirmé tout prévoir pour que l’organisation du hadj 2016 se déroule dans des conditions idoines. Flanqué le 1er juin 2016, de ses homologues en charge de l’Intérieur, Sacca Lafia et des Transports, Hervé Hêhomey, Aurélien Agbénonci, ministre des Affaires étrangères avait rassuré le public lors d’une conférence de presse conjointement animée. Cela intervenait à l’issue d'une rencontre entre les autorités ministérielles, le Conaco et la Fédération béninoise des organisations de convoyage de pèlerins à la Mecque (Fébohaj), l'autre structure qui chapeaute également le convoyage des pèlerins. « Nous avons cru à un nouveau départ dans le processus d’organisation du pèlerinage. Mais il n’en a rien été », dénonce avec amertume, Issa Traoré Yahaya. Selon Bachirou Gbadamassi, le ministère des Affaires étrangères reste le maillon faible du processus. «Nous apprécions que les choses soient faites dans la rigueur. Mais encore faudrait-il ne pas nous causer des handicaps. Que l'Etat se concentre sur son rôle de facilitation, sinon ce serait toujours pareil», conseille-t-il. Plus amer que son secrétaire général, Issa Traoré Yahaya lâche avec un brin d'humour: « Il y a un grand écart entre les promesses et ce qui est réellement fait sur le terrain. C'est comme le jour et la nuit ». Plus les années passent et plus l’organisation du hadj au Bénin s’apparente au déplacement d’un rocher de Sisyphe, selon ce dernier. bibo:pages 1 16 -- o:id 8830 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8830 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8834 27025 27026 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d24f8a93cf9bf42f39752fae1213fab94f3ec73b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9451c7dcd16d4f55868d3644f4495d7b47d1a991.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ed478fd1f1a47f38f0f5e2e80400da91e9fe5463.tiff dcterms:title AICD-Zoumontchi : El-Hadj Daouda Lawal pour le bien-être de la communauté musulmane dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1493 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/778 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2026 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2001-09-17 dcterms:identifier iwac-article-0004118 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Du 14 au 16 septembre dernier, une délégation de l'Association Islamique pour la Culture et le Développement AICD-Zoumontchi) a effectué une tournée-bilan, un an après sa création dans les départements du Couffo, du Zou, des Collines, du Borgou, de l’Alibori, de la Donga et de l'Atacora pour évaluer l'impact des actions de l'Association au sein des communautés musulmanes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/276 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Du 14 au 16 septembre dernier, une délégation de l'Association Islamique pour la Culture et le Développement AICD-Zoumontchi) a effectué une tournée-bilan, un an après sa création dans les départements du Couffo, du Zou, des Collines, du Borgou, de l’Alibori, de la Donga et de l'Atacora pour évaluer l'impact des actions de l'Association au sein des communautés musulmanes. En effet, l’Association Islamique pour la culture et le Développement « Zoumontchi » a son siège à Cotonou. Mais elle tente dans la mesure de ses capacités de contribuer au bien-être des communautés musulmanes réparties sur toute l’étendue du territoire national. Le président de l’AICD-Zoumontchi qui a pour nom El-Hadj Daouda Halilou Lawal, un opérateur économique soucieux du développement de la communauté à laquelle il appartient, veut passer inaperçu et rester discret. Il affirme ne pas vouloir faire du tapage autour de ses réalisations, car le croyant pêcherait devant Dieu s’il veut faire parler de ce qu’il a fait à ses prochains. Prié de nous indiquer l’objectif poursuivi par cette tournée marathon, El Hadji, Daouda Halilou Lawal, a révélé que l’AICD-Zoumontchi a réalisé des constructions à l’extérieur de Cotonou. Il faut envoyer les membres du bureau pour aller vérifier ce qui se fait, comment sont dépensés les fonds et quels sont les niveaux d’avancement des travaux, que faut-il faire après. En contact avec les réalités du terrain, le président de l’Association Islamique a fait observer que dans l’ensemble, le constat est satisfaisant. Les constructions de Bohicon, d’Abomey et d’Aplahoué sont presque achevées. Celles de Djougou ont quelques petits problèmes. Ces problèmes sont essentiellement techniques. « Je vais à partir de ce rapport qui m’a été fait, essayer d’envoyer un bon technicien et un bon maçon pour finir les travaux,» a expliqué El-Hadj Daouda H. Lawal. Quant à l’appréciation des populations des différentes actions de l’AICD-Zoumontchi, le président a laissé entendre que les populations sont très heureuses de voir que ces constructions (Centres de santé et mosquées) se réalisent chez elles. Les actions posées çà et là ne sont pas politiques. Elles sont au contraire sociales. A Djougou, indique le président, tous les députes de la région et l’Iman central sont venus accueillir la délégation juste pour l’encourager. Dans les autres localités - telles que Nikki, les gens qui ne sont pas concernés et qui sont de l’Association de Kalalé et de Gogounou sont tous venus rencontrer la délégation de l’AICD pour exprimer leur joie aux actions de Zoumon-tchi Bénin. El-Hadj Daouda Halilou Lawal veut l’efficacité dans la discrétion. bibo:pages 1 14 -- o:id 8831 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8831 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8835 27027 27028 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/70eeb54655d1d9ce2d36047bf8099f34d60ddfc8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/604cb463b5eaf007b95c66fb7a4d30cf9bf9a4c0.tiff https://islam.zmo.de/files/original/d06c8e29da4d7fd75e4da24c8a73b94519b86121.tiff dcterms:title Décoration : M. Karim da Silva élevé à la dignité de Grand-Croix de l’Ordre national du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1422 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2001-11-12 dcterms:identifier iwac-article-0004119 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract M. Karim Urbain Elisio da Silva Consul honoraire du Brésil au Bénin, a été élevé à la dignité de Grand-Croix de l’Ordre national du Bénin, la plus haute distinction de l’Ordre. La cérémonie de décoration a eu lieu vendredi dernier au domicile du récipiendaire à Porto-Novo, en présence de plusieurs personnalités, amis et parents. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content M. Karim Urbain Elisio da Silva Consul honoraire du Brésil au Bénin, a été élevé à la dignité de Grand-Croix de l’Ordre national du Bénin, la plus haute distinction de l’Ordre. La cérémonie de décoration a eu lieu vendredi dernier au domicile du récipiendaire à Porto-Novo, en présence de plusieurs personnalités, amis et parents. Le récipiendaire qui figurait depuis 1992 déjà dans l’Ordre national du Bénin en qualité de chevalier doit son avancement à ses nouveaux mérites. Selon le Grand Chancelier de l’Ordre national du Bénin par intérim, M. Salomon Biokou, le récipiendaire a toujours fait la preuve de son attachement au pays. En témoignent les nombreuses œuvres qu’il a réalisées pour le Bénin. M. Karim da Silva s’est en effet illustré dans beaucoup de domaines : sur le plan religieux, il a donné plusieurs millions de nos francs à la communauté musulmane de Porto-Novo pour la mosquée d’Agbokou. Il a également fait don de plusieurs autres millions F CFA pour achever les travaux de construction de la nouvelle Eglise Sainte Anne de Porto-Novo. Dans le domaine de l’environnement, il a investi beaucoup d’argent pour lutter contre l’avancée de la mer. Sur le plan culturel, il a doté la capitale béninoise d’un musée des arts et de la culture. Il a en outre contribué à la réfection de certaines voies et infrastructures à Porto-Novo. C’est en raison de tous ces efforts que le gouvernement a décidé de le promouvoir dans l’Ordre national du Bénin en l’élevant à la dignité de Grand-Croix. Pour M. Biokou, « nous devons le remercier et oeuvrer pour que Porto-Novo continue à se développer ». Dans son mot de remerciements, M. da Silva a rendu hommage à son maître, Salomon Biokou. Mais auparavant, il a tenu à remercier le chef de l’Etat dont, dira-t-il, le sens de l’observation et la perspicacité ne sauraient être prises en défaut. Il a souhaité que la jeune génération tire les leçons positives de cet honneur qui lui est fait en vue de conduire notre pays plus loin dans le développement. Cette décoration est le résultat de l’effort consenti par les uns et les autres, a fait remarquer le récipiendaire qui a accordé une attention toute particulière à son maître. « Cette décoration vient de vous confirmer dans le rôle qui fut jadis le vôtre dans mon éducation. En me décorant, vous venez de vous décorer vous-même », a déclaré M. da Silva. Plusieurs personnes ont fait des. témoignages élogieux sur l’heureux récipiendaire. Notons que cette cérémonie a été agrémentée par les prestations de Vivi l’Internationale et de la Compagnie Hontonouvo ». bibo:pages 1 2 -- o:id 8832 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8832 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8836 27029 27030 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e941fc1804ca58c9d77ef8cab468a9aad8e155c1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ceb209f16c1267b21d7298c8883f401439a39422.tiff https://islam.zmo.de/files/original/258048ffd9de056d370bf678c9213eab0c749d9c.tiff dcterms:title Religion : la confrérie islamique Ahmadiyya divise les Parakois dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1591 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13394 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2001-02-22 dcterms:identifier iwac-article-0004120 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La présence de Ahmadiyya, une frange religieuse de l'Islam dans la Circonscription Urbaine de Parakou, ne reçoit pas l'assentiment de toute la population de la ville. Certains ne veulent pas voir d'un bon oeil cette communauté islamique à Parakou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La présence de Ahmadiyya, une frange religieuse de l'Islam dans la Circonscription Urbaine de Parakou, ne reçoit pas l'assentiment de toute la population de la ville. Certains ne veulent pas voir d'un bon oeil cette communauté islamique à Parakou. Ahmadiyya s’est installée à Porto-Novo depuis des années. Les dirigeants Ahmadiyya ont décidé d’étendre les activités religieuses de cette communauté à d’autres villes du Bénin précisément à Parakou où ils ont promis la construction d’un hôpital et d’un collège. Saisies de cette demande, les autorités politico-administratives de Parakou de commun accord avec le pouvoir royal, ont mis à la disposition de cette communauté islamique, un site au quartier Borarou à l’entrée sud de la ville. Ce geste n’a pas été bien apprécié par certains. Ces derniers soutiennent que ce groupe religieux détruit tout lorsqu’il s’installe quelque part Ils reprochent aussi le fait de ne pas être associé aux discussions qui ont abouti à une telle décision. Par conséquent, ces gens poussent les maîtres d’écoles coraniques et les imams de la ville à se soulever contre les Ahmadiyya, selon le roi Akpaki Dagbara II. D’aucuns sont allés jusqu’à taxer le chef de la Circonscription Urbaine et le roi de «païen», a renchéri Sa Majesté. Le roi Akpaki a déploré le fait que les auteurs de ces propos n’ont pas eu le courage de venir dénoncer publiquement le chef de la Circonscription Urbaine de Parakou à cette rencontre de clarification et de témoignages, organisée par la population pour soutenir le chef de la Circonscription accablé d’allégations avant de leur rappeler que le Bénin est un Etat laïc. Rappelons que Ahmadiyya est une confession religieuse de la communauté islamique qui prie les bras croisés contrairement à d’autres qui le font habituellement les bras le long du corps. (ABP) bibo:pages 1 14 -- o:id 8837 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8837 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8845 27031 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d23b8582116e3813e0833585369480de0fad3768.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bfc760b629e1aca0285b7ba926bd9b37968fcc3c.tiff dcterms:title Sensibilisation des chefs religieux et de culte à la CUC : vers la réglementation du bruit à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1493 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-12-02 dcterms:identifier iwac-article-0004121 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Isidore Gnonlonfoun, Secrétaire général de la Circonscription Urbaine de Cotonou a rencontré, jeudi 28 novembre dernier à la salle de Conférence de l'hôtel de ville, les chefs de quartier de Cotonou, les chefs de cultes (chrétiens, musulmans, protestants, animistes et chefs de mission évangéliques) pour les sensibiliser sur le réglementation de bruit. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Isidore Gnonlonfoun, Secrétaire général de la Circonscription Urbaine de Cotonou a rencontré, jeudi 28 novembre dernier à la salle de Conférence de l'hôtel de ville, les chefs de quartier de Cotonou, les chefs de cultes (chrétiens, musulmans, protestants, animistes et chefs de mission évangéliques) pour les sensibiliser sur le réglementation de bruit. Plusieurs séances de sensibilisation ont procédé celle-ci, mais elles ont été infructueuses malgré les efforts déployés par les maires et chefs de quartiers. Pour le secrétaire général de la CUC, le Bénin est un Etat laïc, un pays de tolérance inter-ethnique et inter-religieuse. Nul n'est au-dessus de la loi et aucune religion n'est au-desus de la loi encore moins de l'Etat. Isidore Gnonlonfoun a insisté sur la notion de tranquillité, qui est une notion d'hygiène publique. Il a également mis l'accent sur la pollution sonore dans la ville de Cotonou avec les scieries, les moulins à maïs, les débits de boissons, les discothèques et les confessions religieuses de nos voisins qui crient à tue tête. Malgré tout ce qui leur a été dit, les responsables de cultes divers n'ont pas voulu entendre raison. Aller vers la répression Aujourd'hui, dira le secrétaire général de la CUC, avec cette séance de sensibilisation, nous façons la phase répressive. Il y a une branche de la police nationale qui s'occupera désormais de la pollution sonore. L'arrêté du chef de la Circonscription urbaine de Cotonou portant application du Décret N° 2001-294 du 08 août 2001 réglementant le bruit en République du Bénin, concerne toutes les religions et ne vise particulièrement personne. Et c'est pour pouvoir l'appliquer que cette séance de sensibilisation a été organisée. Les participants ici présents doivent prendre le relais dans leurs quartiers respectifs. Cet arrêté municipal s'est basé sur la loi-cadre sur l'environnement et encadre tout Cotonou et ne vise personne, encore moins aucun culte religieux. La loi selon Isidore Gnonlonfoun est unique et doit s'appliquer à tout le monde. Celui qui veut instaurer une Eglise doit être autorisé par le ministre de l'Intérieur. Car nous savons, avertit le SG/CUC, que sous le couvert de la religion, beaucoup de choses se passent. Dieu n'autorise pas que l'on empêche son voisin de dormir. Le Bénin est une terre hospitalière et à tout moment, l'autorité peut interpeller tout responsable de culte. Car lorsque, au nom de Dieu, on perturbe le repos de son voisin, on peut être sanctionné. C'est pourquoi, il faut qu'on s'éduque mutuellement. La sensibilisation doit prendre le pas sur toute autre action. Il y aura des opérations coup de poing pour que force reste à la loi. S'il n'y avait pas la force publique, ce serait l'anarchie. Les contrôles se feront d'abord par zones avant d'être généralisés... Faisons en sorte que notre vie communautaire ne soit pas perturbée par chacun de nous. Force doit rester à la loi Il est important de souligner que l'Arrêté municipal concerne les bruits émis par les moulins à maïs, les scieries, les forges, discothèques et véhicules de publicités sonores, les buvettes, restaurants, maisons de culte, individus et regroupement d'individus. Sont pris en compte aussi les vibrations, les chantiers de construction, les garages, travaux de manutentions et parcs automobiles, toutes formes de communications ou manifestations bruyantes, toutes activités avec sirènes, haut parleur, et avertisseur sonore. Pendant les jours ouvrables, l'arrêté prévoit des franches horaires et le niveau maximal de bruit, ainsi que pendant les jours de repos. Sont ciblées les zones d'habitation, les zones commerciales, les zones industrielles et les zones mixtes. « Toute installation d'une source de pollution sonore près d'une école, d'un centre de santé ou d'un service administratif est interdite. En cas de non respect, le chef de la Circonscription urbaine de Cotonou, se réserve le droit de prendre les mesures de police qui s'imposent. Pour ce faire, il peut solliciter le concours des services de l'Etat. ( article 7). Toute manifestation officielle ou privée, tout regroupement (cérémonies, réjouissances etc... pouvant constituer une source de pollution sonore pour le voisinage doit faire l'objet d'une autorisation par le chef de la Circonscription urbaine de Cotonou (article 8). Article 9 : Toute installation de lieux de culte, d'unités artisanales ou semi-industrielles, meunerie, menuiseries et autres ateliers bruyants doit faire l'objet d'une autorisation par le chef de la CUC. C'est utile à rappeler car à la séance hier, les chefs religieux et de culte ont été très menaçants. bibo:pages 7 -- o:id 8838 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8838 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8846 27032 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7c4ae598490eaab4c5415bc50614fbb8138f7b3d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/977c4f68f77283df3b30bf60dbff1d1a2331e6e0.tiff dcterms:title Signature d'accord de siège : "Ligue islamique mondiale" obtient des facilités fiscales dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12906 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/773 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14742 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2003-04-25 dcterms:identifier iwac-article-0004122 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après plus d’un quart de siècle d’activités au Bénin, l’ONG « Ligue islamique mondiale » vient de signer avec le gouvernement béninois son accord de siège. C’était hier au ministère des Affaires étrangères et de l’Intégration africaine, entre l’ambassadeur Mariam Aladji Boni Diallo, représentant le MAElA et Saliou Mohamed Abdoulaye, représentant la Ligue. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après plus d’un quart de siècle d’activités au Bénin, l’ONG « Ligue islamique mondiale » vient de signer avec le gouvernement béninois son accord de siège. C’était hier au ministère des Affaires étrangères et de l’Intégration africaine, entre l’ambassadeur Mariam Aladji Boni Diallo, représentant le MAElA et Saliou Mohamed Abdoulaye, représentant la Ligue. La Ligue islamique mondiale est une organisation inter nationale créée en 1 962 à la Mecque en Arabie Saoudite par l'Organisation de la conférence islamique. Elle intervient au Bénin depuis 1979 dans les domaines de l'assainissement, de l'hydraulique, de la santé, de la protection sociale, de la culture, de la lutte contre la pauvreté. Elle est présente dans plus d'une quarantaine de pays de par le monde dont quatorze en Afrique. Le but de la Ligue est, à en croire Saliou Mohamed Abdoulaye, de faire respecter la dignité et la valeur des individus et des familles, en cherchant à réduire leurs souffrances à travers le développement de la solidarité. Pendant 24 ans qu'elle a évolué au Bénin, la Ligue islamique mondiale s'est investie dans la construction de centres de santé, à Cotonou, Porto-Novo, et Djougou, de plusieurs mosquées, de bibliothèque, d'équipements didactiques d'écoles . coraniques. La signature d'accord de siège vient formaliser une coopération déjà existante. Selon l'ambassadeur Mariam Aladji, Boni Diallo, secrétaire générale adjointe du MAEIA, cette signature d'accord de siège concède à la Ligue islamique mondiale des facilités fiscales et douanières. Facilités destinées à compenser les différentes actions humanitaires que l'ONG a réalisées au Bénin. Cet accord de siège est également une invite du gouvernement béninois à intensifier et à diversifier ses activités dans la lutte contre la pauvreté. bibo:pages 3 -- o:id 8839 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8839 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8847 27033 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/858168c4b1506f0acd156bc22d00562278e87d85.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c129d75ddc66bd4f6f045eca4eb5cb413e776f0b.tiff dcterms:title Audience du chef de l'Etat : Zul Kifl Salami au Cabinet présidentiel dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2003-06-11 dcterms:identifier iwac-article-0004123 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Zul Kifl Salami, émissaire de la Banque islamique de Développement (BID) a été reçu en audience hier par le chef de l’Etat, le président Mathieu Kérékou. Il était porteur d’un message du président du Groupe de la BID. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13369 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/392 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Zul Kifl Salami, émissaire de la Banque islamique de Développement (BID) a été reçu en audience hier par le chef de l’Etat, le président Mathieu Kérékou. Il était porteur d’un message du président du Groupe de la BID. Ce message a trait à la coopération entre la BID et la République du Bénin. Une coopération qui, dit Zul Kifl Salami, est excellente. Le message porte spécifiquement sur les perspectives de développement et de renforcement de cette coopération ; les possibilités pour la banque d'accroître les ressources pour le Bénin. La BID a beaucoup fait pour le Bénin par exemple Savalou-Djougou, Natitingou-Porga. Ces routes ont été essentiellement cofinancées par la BID, aussi bien dans la phase de réalisation d'études techniques que dans la phase même de construction desdites routes, vitales pour l'économie béninoise. Ces axes sont utilisées par les pays de l'Hinterland pour leurs échanges avec le Bénin. La BID ne s'arrêtera pas à ces projets. Les perspectives sont énormes. De cela, Zul Kifl Salami dit avoir discuté avec le chef de l'Etat. La BID, contribue au développement des secteurs de la santé, de l'éducation, le développement rural... Dans le secteur de l'éducation, la première phase du projet de l'école primaire terminée, la deuxième phase sera bientôt enclenchée. Le projet de lycée professionnel à Porto-Novo et à Parakou, le complexe polytechnique agricole de Natitingou ont coûté des milliards de dollars. La construction de résidences universitaires est également soutenue financièrement par la BID. bibo:pages 3 -- o:id 8840 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8840 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8848 27034 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6be6b40e150ee7c52dd38de2557513ee9309ab91.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4a45f071d89fb1c68e505b556275e2ce31772d98.tiff dcterms:title Symposium sur l'aide arabe à Dubaï : le ministre d'Etat Bruno Amoussou porte-parole de l'Afrique dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1499 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14672 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13080 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2003-09-24 dcterms:identifier iwac-article-0004124 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au symposium sur l’aide arabe tenu en marge des assemblées annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international qui se sont déroulées à Dubaï (Emirats Arabes Unis), c’est le ministre d’Etat chargé du Plan, de la Prospective et du Développement, Bruno Amoussou qui a été désigné le 20 septembre dernier pour présenter les commentaires de l’Afrique concernant les projets de points de discussions soumis aux participants. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14821 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/309 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/376 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au symposium sur l’aide arabe tenu en marge des assemblées annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international qui se sont déroulées à Dubaï (Emirats Arabes Unis), c’est le ministre d’Etat chargé du Plan, de la Prospective et du Développement, Bruno Amoussou qui a été désigné le 20 septembre dernier pour présenter les commentaires de l’Afrique concernant les projets de points de discussions soumis aux participants. « L'Afrique subsaharienne a reçu presque la moitié de la totalité de l'aide arabe pour environ 38 milliards de dollars US, régulièrement fournie à un rythme qui s'accroît de près de 11% par an. C'est donc pour moi le lieu d'exprimer les remerciements des pays africains aux pays arabes qui ont maintenu leur appui malgré leurs propres difficultés liées aux fluctuations des cours du pétrole et malgré les turbulences politiques intervenues dans certains pays africains ». C'est en ces termes notamment que, intervenant samedi dernier après le prince Talal Bin Abdul Aziz Al Saud, président de la coordination du symposium sur l'aide arabe, le ministre d'Etat, Bruno Amoussou a positivement apprécié « l'aide arabe si considérable et si multiforme » qui produit des résultats probants sur notre continent. « Ces résultats sont d'autant plus visibles pour les populations que l'aide arabe, tout en étant diversifiée, est concentrée dans les infrastructures de transport, dans l'amélioration de l'éducation, de la santé, dans l'accroissement et la diversification de la production agricole. Il suffit de parcourir les campagnes africaines pour constater l'impact de la coopération arabe avec l'Afrique », a également rappelé le ministre d'Etat, Bruno Amoussou, pour qui cette aide arabe qui joue un rôle déterminant dans le processus de développement économique et social de l'Afrique sera sans doute une des composantes majeures de la réussite du NEPAD. «Le vœu de tous les délégués africains à cette assemblée annuelle des gouverneurs de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international qui se tient à Dubaï en terre arabe est que la Déclaration de Ouagadougou du conseil des gouverneurs de la Banque islamique de développement soit adoptée à son tour par la coordination des institutions nationales et régionales arabes de financements de l'aide au développement... La coopération afro-arabe est un exemple de relation Sud-Sud riche d'enseignements qu'il faut retenir », a encore ajouté le ministre d'Etat, Bruno Amoussou qui a conclu en priant les organisateurs du symposium de transmettre aux autorités des pays arabes, les remerciements des peuples africains « qui sont convaincus qu'ils peuvent toujours compter sur la solidarité de leurs frères et sœurs arabes dans le combat pour la dignité et la paix ». bibo:pages 12 -- o:id 8841 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8841 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8849 27035 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1fff425c8ce297b0d8048a294ce5546fe9e8fbb0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1039b72335e6b8fd683f51659d214d103624e4a3.tiff dcterms:title Lutte contre l'enfance malheureuse : les œuvres de Al-Houda et du CASE à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12906 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13071 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2003-08-28 dcterms:identifier iwac-article-0004125 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Parakou, fonctionnent comme ils le peuvent deux orphelinats de confessions différentes et à vocations différentes : Le centre socio-éducatif Al-Houda, et le Centre d’Accueil et de Sauvegarde de l'Enfant (CASE). Ils sont reçu, le samedi 23 août dernier, la visite de Massiyatou Latoundji-Lauriano, ministre de la Famille, de la Protection sociale et de la Solidarité. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Parakou, fonctionnent comme ils le peuvent deux orphelinats de confessions différentes et à vocations différentes : Le centre socio-éducatif Al-Houda, et le Centre d’Accueil et de Sauvegarde de l'Enfant (CASE). Ils sont reçu, le samedi 23 août dernier, la visite de Massiyatou Latoundji-Lauriano, ministre de la Famille, de la Protection sociale et de la Solidarité. Au Centre socio-éducatif Al-Houda, ce n'est pas la première fois que le ministère de la Famille fait des dons (une enveloppe de 100.000 F CFA plus des bassines en plastique), l'année dernière, il a reçu des équipements. Preuve que le MFP5S lutte effectivement contre l'enfance malheureuse, a indiqué Mohamed Ammar, directeur de ce centre qui s'occupe de l'éducation, de la santé, de la culture, de l'hydraulique et de la promotion féminine. Le centre socio-éducatif Al-Houda est financé par l'Agence des musulmans d'Afrique (AMA), une ONG à but humanitaire dont le siège se trouve au Koweït avec représentation nationale à Cotonou. Le centre socio-éducatif Al-Houda est composé d'un orphelinat, d'un centre de formation féminine, d'un complexe scolaire, d'un centre de santé, d'un centre informatique et d'une mosquée. L'orphelinat compte 141 orphelins internés et 40 orphelines externes. Ces orphelins fréquentent l'école du centre et les collèges de Parakou. Le centre ambitionne de se doter d'un cours secondaire. Le centre de formation féminine, lui, compte 40 filles déscolarisées ou non de toutes catégories sociales. Elles y apprennent la couture, la broderie, le tricotage, et reçoivent par ailleurs des enseignements ménager et islamique. Déjà, 37 élèves en sont sorties nanties de leur diplôme. Aux élèves de ce centre, la ministre de la Famille a demandé de beaucoup prier, et a conseillé la sagesse. Le centre d'accueil et de sauvegarde de l'enfant (CASE) « Le cœur de pauvre » situé dans un coin bien reculé du centre-ville de Parakou est dirigé par le couple Justine et Justin Zossoungbo. C'est une initiative privée. Le CASE est créé en 1995 et est une réponse à un besoin : celui de sauver des vies humaines de sauvegarder les enfants. Le CASE s'occupe de la lutte contre l'infanticide, de la création et de l'animation d'orphelinat, de la lutte contre la maltraitance et du trafic des enfants, de l'écoute, de l'orientation et de l'accompagnement des enfants et des jeunes en situation difficile. Mais pour l'instant, informe Justine Zossoungbo, c'est l'orphelinat qui est fonctionnel, les autres structures se mettent progressivement en place. L'orphelinat accueille les bébés de 0 à 2 ans, orphelins de mère ou de mère malade mentale ou autres enfants dits sorciers. Le centre est d'une capacité de 32 enfants. Actuellement, 16 âmes innocentes de 6 mois à 10 ans y vivent. Il y a l'école pour les plus grands, les jeux, la course à travers la maison, les pleurs et le sommeil pour les plus petits. Le centre est soutenu par Saint Jean-Eudes, le père des Miséricordes, l'Association Saint Vincent de Paul, le lycée Jean Bétune de Versailles, le Catholic Relief Services (CRS), Les Petites rivières béninoises et étrangères. bibo:pages 5 -- o:id 8842 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8842 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8850 27036 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d0e68a8fa79f9ef64fc9bd9d59b52c76010a175b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b3a214643c790395b958cb3216d27950526e2822.tiff dcterms:title Bénin-Emirats Arabes Unis : un diner de gala à l'intention du vice-président directeur général de NMC Group dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14850 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2003-07-31 dcterms:identifier iwac-article-0004126 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre de la visite d’information et d’affaires, effectuée dans notre pays par le vice-président directeur général de N.M.C Groupe, B.R Shetty, le ministre de la Culture, de l'Artisanat et du Tourisme, Frédéric Dohou a offert hier, un dîner à son intention et à la délégation qui l’accompagne. Plusieurs autres membres du gouvernement ont également pris part à cet important repas, soutenu par une impeccable animation du ballet national du Bénin qui a émerveillé l’assistance. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/309 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/549 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre de la visite d’information et d’affaires, effectuée dans notre pays par le vice-président directeur général de N.M.C Groupe, B.R Shetty, le ministre de la Culture, de l'Artisanat et du Tourisme, Frédéric Dohou a offert hier, un dîner à son intention et à la délégation qui l’accompagne. Plusieurs autres membres du gouvernement ont également pris part à cet important repas, soutenu par une impeccable animation du ballet national du Bénin qui a émerveillé l’assistance. Dans son intervention, le ministre de la Culture, de l'Artisanat et du Tourisme, Frédéric Dohou a d'abord indiqué que la meilleure connaissance est celle qui mène les hommes vers les hommes. Il a ensuite fait savoir que ses vœux les plus ardents étaient de sentir ses notes des mille et une nuits. Selon lui, l'étranger est un cadeau, un don de Dieu. Après avoir estimé que M. Shetty et sa délégation sont en famille au Bénin, le ministre Dohou a conclu que l'investisseur doit se sentir chez lui au Bénin. Pour sa part, le vice-président directeur général de NMC Croupe, B.R. Shetty a d'abord remarqué que son souci est de contribuer à un plus grand développement au Bénin. Dans ce cadre, il a évoqué la construction des hôpitaux, la fourniture d'équipements médicaux et électroniques, le transfert d'argent, la réinsertion des malades, la promotion de la culture, sa disponibilité pour le Bénin, la reconstruction et la réhabilitation des principaux hôpitaux, l'installation d'une usine de fabrication de produits pharmaceutiques, l'installation d'un laboratoire d'analyse. Il a souhaité que le Bénin soit une porte d'ouverture. B.R. Shetty a enfin conclu en ces termes : « Je suis aussi dans le développement de l'industrie hôtelière. Certains projets m'ont été soumis mais je vais les étudier avant de savoir ce que je peux faire pour le tourisme. Originaire de l'Inde, je suis aux Emirats Arabes Unis. Mon troisième pays est le Bénin ». Signalons que les objectifs sont multiples, on peut Citer entre autres : lancement au début du mois de septembre 2003 d'une ligne aérienne directe entre le Bénin et les Emirats Arabes Unis, construction d'un hôtel de 5 étoiles au Bénin, invitation du MCAT aux Emirats Arabes Unis après le 15 septembre 2003. Cette visite du MCAT constituera le point de départ pour l'organisation d'une foire culturelle, artisanale et touristique aux Emirats Arabes Unis, avec le ministère. Le groupe investira sur la Route des Pêches, où le gouvernement béninois a prévu de faire des concessions de terrains pour des investisseurs en vue de réaliser des hôtels, villages de vacances, aires de jeu, bases nautiques, résidences para-hôtellières etc, après la viabilisation de la zone de la Route des Pêches entre Cotonou et Ouidah. bibo:pages 12 -- o:id 8843 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8843 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8851 27037 27038 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/399c02cee4a949a2d2cc3265c1014189cf5aee32.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2fc84c6a74b05feb5f74894621a8d0e3f01d7c1c.tiff https://islam.zmo.de/files/original/72fa10e7d280c9e61eb084b7feda4d6e6170d610.tiff dcterms:title Célébration de Aid El Fitr : le Bénin a besoin du repentir dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2003-11-26 dcterms:identifier iwac-article-0004127 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar de leurs frères en islam de la communauté internationale, les musulmans béninois ont célébré, hier, la fête du Ramadan. Ce fut des moments de prières, d’allégresse et surtout, de louanges à Allah qui les aura comblés de ses bienfaits, au terme des 30 jours qu’a duré leur carême. A la place Idi à Akpakpa, c’est l’imam de la Mosquée centrale de Jonquet, El Hadj Aboubakar Ousman en personne qui a dirigé la prière en présence des milliers de fidèles qui, dès les premières heures de la matinée d’hier, avaient investi les lieux. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’instar de leurs frères en islam de la communauté internationale, les musulmans béninois ont célébré, hier, la fête du Ramadan. Ce fut des moments de prières, d’allégresse et surtout, de louanges à Allah qui les aura comblés de ses bienfaits, au terme des 30 jours qu’a duré leur carême. A la place Idi à Akpakpa, c’est l’imam de la Mosquée centrale de Jonquet, El Hadj Aboubakar Ousman en personne qui a dirigé la prière en présence des milliers de fidèles qui, dès les premières heures de la matinée d’hier, avaient investi les lieux. Au terme des 29 ou 30 jours de carême fait de privations, de prières et de sacrifice, les musulmans béninois se sont retrouvés, hier, dans les mosquées et autres emplacements, pour implorer et remercier Allah pour ses bienfaits. Au nombre des piliers de l'islam, le carême constitue une recommandation divine à laquelle, tout musulman doit se soumettre dans sa crainte de Dieu. Il permet à celui qui le fait, de se purifier le corps et de se rapprocher davantage de son Seigneur. Il sonnait 9 h 42 mn hier, lorsque l'Iman Aboubakar Ousman a fait son entrée à la place Idi à Akpakpa. Dans le message qu'il a délivre tout juste après la prière, l'Imam a reconnu la grandeur du Dieu Tout-Puissant. Grandeur qui aura permis à tous les musulmans, d'abord d'être des croyants, d'avoir célébré ce jeûne et d'observer l'autre pilier fondamental de l'islam qu'est la zarkat. Il a également insisté sur le pardon, l'amour mutuel entre les musulmans, entre les croyants et les non croyants. L'Imam Aboubakar Ousman a, pour finir, exhorté les fidèles à continuer à respecter Dieu. « Adorer Dieu, c'est le respecter et le craindre », a-t-il souligné avant de conclure que le Bénin a besoin de l'engagement de tous ses musulmans qui, pendant ce mois de carême, se sont repentis. La fête s'est poursuivie dans les différents foyers où l'ambiance était parfois perturbée par les enfants des écoles coraniques qui avaient entrepris de faire le porte à porte, pour louer Allah. bibo:pages 1 3 -- o:id 8844 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8844 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8852 27039 27040 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/21fe9a50566d3f2ac851c10b9a3e3ef06cf56523.pdf https://islam.zmo.de/files/original/21e05851a791a8a80c345fd83deec75ecb843478.tiff https://islam.zmo.de/files/original/d6de30d42ba2fb9fdf1d23c60b3187687821e2fa.tiff dcterms:title Tabaski 2004 : que la paix continue de régner sur le Bénin ! dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1528 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13640 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-02-02 dcterms:identifier iwac-article-0004128 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pendant qu'hier dimanche 1er février les chrétiens du Bénin étaient dans leurs différents églises ou temples pour célébrer le culte dominical, les musulmans étaient eux dans les mosquées ou sur les places Idi pour prier à l'occasion de la fête de la Tabaski. Sur la place Idi sise derrière la SOBETEX à Akpakpa, c'est l'Iman Ousmane Aboubakar de la mosquée centrale de Jonquet qui a présidé la prière. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pendant qu'hier dimanche 1er février les chrétiens du Bénin étaient dans leurs différents églises ou temples pour célébrer le culte dominical, les musulmans étaient eux dans les mosquées ou sur les places Idi pour prier à l'occasion de la fête de la Tabaski. Sur la place Idi sise derrière la SOBETEX à Akpakpa, c'est l'Iman Ousmane Aboubakar de la mosquée centrale de Jonquet qui a présidé la prière. Après la mise en place des fidèles, tout a commencé à 9 heures sonnantes avec la prière de l'Imam. Deux points essentiels ressortent de la traduction en français du prêche de l'Imam, Ousmane Aboubakar. Le premier axe concerne la paix sociale. Il a prié pour que le Bénin ait une paix durable qui, du reste, est la base de tout développement. Le second point est relatif à la vie des fidèles musulmans. Pour l'imam de la mosquée de Jonquet, « Il y a actuellement trop de désordre dans l'Islam. Et cela, à cause surtout des jeunes islamisants ». C'est la raison pour laquelle, il a appelé tous les musulmans, sans distinction aucune, à être unis et solidaires. Après la prière qui a rigoureusement duré 5 minutes, l'Imam Ousmane Aboubakar, a fait immoler un grand bouc blanc. Il a été conseille aux fidèles de ne pas toucher au sang du bouc. Car quiconque toucherait ou goûterait à ce sang, serait en train de faire du fétichisme. Il s'écarterait en ce moment des préceptes de l'islam. Ce mouton mâle est tué en souvenir de l'histoire de Abraham. En effet, selon les Ecritures saintes coraniques, le prophètè Abraham devait sacrifier son fils Ismaël. Mais au dernier moment, Dieu a demandé à Abraham de sacrifier un mouton en lieu et place d'Ismaël (Isaac chez les chrétiens). Pour le secrétaire particulier de l'Imam de la mosquée de Jonquet, Adeaga Wassi, cette histoire témoigne de l'amour que Dieu a pour toute l'humanité. Par intermittence, les fidèles assis sur des nattes et des petites moquettes, laissent entendre : « Allah Akbar » (Dieu est grand). C'est après ce recueillement que les fidèles et pratiquants ont commencé à sortir de cette place de prière. Sur la route qui jouxte l'enclos de prière s'offre un spectacle de boubous, de babouches et de chapeaux multicolores. Le ministre Ahmed Akobi a aussi participé à cette prière. bibo:pages 1 3 -- o:id 8853 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8853 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8858 27041 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c73a48d4cd38a7bc64f58a2874773a88b5cb3d15.pdf https://islam.zmo.de/files/original/068e5ee175b4a333b7ed9d8098976003b3437e6f.tiff dcterms:title Lancement des activités médicales de l'Agence des musulmans d'Afrique : des porteurs de cataractes bientôt soulagés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12827 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15153 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14614 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2002-05-10 dcterms:identifier iwac-article-0004129 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Hall des arts, loisirs et sports de Cotonou a abrité, mercredi dernier, la cérémonie de lancement de la campagne chirurgie oculaire. C'est une initiative conjointe du ministère de la Santé publique et de l’Agence des musulmans d’Afrique (AMA) qui vise à offrir des soins oculaires à des milliers de Béninois, en particulier aux porteurs de cataractes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Hall des arts, loisirs et sports de Cotonou a abrité, mercredi dernier, la cérémonie de lancement de la campagne chirurgie oculaire. C'est une initiative conjointe du ministère de la Santé publique et de l’Agence des musulmans d’Afrique (AMA) qui vise à offrir des soins oculaires à des milliers de Béninois, en particulier aux porteurs de cataractes. Cette opération dénommée caravane AN NOUR (lumière en arabe) est la 2ème du genre qu’organise l’AMA au Bénin. En 1999 déjà, Parakou a servi de cadre à la 1ère campagne de lutte contre la cécité. Qui a permis de réaliser 6250 consultations, 254 opérations et de distribuer 1200 paires de lunettes et des médicaments. La présente campagne qui a démarré mercredi en présence des ministres Sylvain A. Akindès et Céline Seignon Kandissounon se poursuivra jusqu’au 12 mai 2002. A l’instar de la campagne précédente, celle-ci offrira aux patients l’occasion de se faire consulter. Ceux qui nécessitent des médicaments et des lunettes seront servis gratuitement, de même que ceux qui ont besoin d’être opérés. A l’occasion du lancement de la campagne, le représentant de l’AMA, M. Kharrad Faïçal Ben Ameur a remercié le gouvernement béninois pour son appui et les facilités offertes pour la réussite de l’opération. Il a indiqué que l’AMA est une ONG de développement socio-économique spécialement en milieu rural. Pour sa part, le médecin responsable de la mission chirurgicale pakistanaise, Dr Shariq Massoud a fait savoir que la caravane AN NOUR est une caravane qui parcourt beaucoup de pays africains et asiatiques pour venir en aide à des milliers de patients souffrant de cataracte et de glaucome. Le ministre de la Santé publique, Mme Céline Seignon Kandissounon a apprécié, à sa juste valeur, cette opération qui s’inscrit, a-t-elle dit, dans la ligne de la stratégie nationale de lutte contre la cécité. Selon l’OMS, 80% des cécités sont évitables ou curables et la cataracte représente la moitié de ces cas. Au Bénin, 0,3% de la population soit environ 20.000 personnes sont porteuses de cataracte. Il existe aujourd’hui des techniques chirurgicales qui donnent une réhabilitation visuelle de qualité. Mais le coût élevé de ces techniques ne facilite pas leur accès au plus grand nombre. « C’est donc une très heureuse initiative que celle de l’AMA qui offre à titre totalement gratuit pour la population, des prestations médico-chirurgicales », a dit Mme Kandissounon. Ceci permettra de réduire la prévalence de la cataracte au Bénin. Il est prévu au cours de cette campagne 2002, la distribution de 1200 paires de lunettes et de médicaments et des interventions chirurgicales sur 350 patients porteurs de cataracte. Mme Kandissounon a enfin souhaité que les actions suivantes s’inscrivent dans les perspectives de coopération entre le Bénin et l’AMA. Il s’agit de la mise en place d’un suivi post-opératoire rigoureux pour évaluer et pérenniser les bons résultats acquis ; la formation continue ou complémentaire en matière de chirurgie spécialisée ; la mise en place d’une chaîne d’approvisionnement de consommables à moindre coût ; l’équipement et la mise en place d’un centre de référence en ophtalmologie de niveau tertiaire véritablement moderne. Aussitôt après le lancement de la campagne, les consultation ont démarré avec des centaines de patients qui ont pris d'assaut le Hall des arts. bibo:pages 4 -- o:id 8854 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8854 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8859 27042 27043 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6909d350d24ccc6a9ab3fce412f1bd24307c45d2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/abd917262b3c6d2eb303af8da19ecdc85e8d9c86.tiff https://islam.zmo.de/files/original/85c018e0fbd7c9605ee349e631e75af519934b01.tiff dcterms:title Célébration de la fête de la Tabaski : l'imam central de Cotonou invite à la solidarité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14777 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-01-21 dcterms:identifier iwac-article-0004130 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A la place Idi d’Akpakpa à Cotonou, hier jeudi 20 janvier, l'imam central de Cotonou, El Hadj Aboubakar Ousmane a dit devant une foule de musulmans, la prière entrant dans le cadre de la célébration de la fête de la Tabaski, invitant les uns et les autres à la solidarité, avant d’immoler le mouton. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A la place Idi d’Akpakpa à Cotonou, hier jeudi 20 janvier, l'imam central de Cotonou, El Hadj Aboubakar Ousmane a dit devant une foule de musulmans, la prière entrant dans le cadre de la célébration de la fête de la Tabaski, invitant les uns et les autres à la solidarité, avant d’immoler le mouton. Nattes et tapis en mains, des centaines de musulmanes et musulmans, à pied, à moto ou dans des véhicules, ont pris d'assaut la place Idi, très tôt le matin d'hier jeudi 20 janvier. A 9h justes, l'imam central de Cotonou, El Hadj Aboubakar Ousmane se met en place pour le démarrage des manifestations de la fête. Trois moments forts ont marqué ces manifestations : la prière, le sermon et l'immolation du mouton. Dans sa prière, l'imam central de Cotonou a demandé la paix, la longévité et la santé pour tous les Béninois à qui il souhaite également une solidarité sans distinction. El Hadj Aboubakar Ousmane invite les uns et les autres à rester derrière les chefs hiérarchiques, et surtout les dirigeants pour que le pays avance et que la guerre n'arrive jamais dans notre pays. Dans le sermon, il a expliqué comment Abraham est devenu un grand prophète, un patriarche. En effet, Dieu, d'après la prédication de El Hadj Aboubakar Ousmane, avait demandé à Abraham de tuer pour lui son fils Ismaël. Ce que Abraham n'a pas refusé. Mais, au moment de l'exécution, Dieu lui a envoyé un gros mouton à la place du fils; c'est à dire à la place d’Ismaël. Un mouton qu'il a finalement tué à la place de son fils. Ainsi, Dieu a sauvegardé le fils de Abraham. De ce dernier, sont nés Ismaël, Isaac qui, à leur tour, ont mis au monde d'autres prophètes. Autrement dit, Abraham a sauvé le monde. Dieu en envoyant un gros mouton à Abraham à tuer à la place de son fils, ne voulait pas, selon les explications de l'imam, qu'on verse sur terre le sang humain. Sur ce, El Hadj Aboubakar Ousmane invite tout le monde à respecter Dieu pour ne jamais verser le sang de l'homme. Pour lui, si les hommes sont divisés, c'est parce que Satan s'est introduit dans leur cœur pour qu'ils s'entretuent. Le président du Conseil économique et social, Raphiou Toukourou, musulman, présent sur les lieux a dit que la fête de l'Aid El Kébir est une fête de solidarité et de partage. Car, il est recommandé que le mouton immolé soit distribué avec une bonne partie aux pauvres et l'autre aux voisins et à la famille pour fêter. Il a profité de l'occasion pour souhaiter une bonne fête à tout le monde, parce que, dit-il, il s'agit d'une fête religieuse. Et quand on parle de religion, on voit Dieu, qu'on soit chrétien ou musulman ; surtout que les prescriptions ont beaucoup de points communs, a indiqué Raphiou Toukourou. bibo:pages 1 3 -- o:id 8855 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8855 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8860 27044 27045 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2bffdc4c33a25383a926d93c2b3a598cc84c4db1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7a1735ee3b5a83a4e9e05d8253d9188cc80a6c27.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ccd81af62eb69ba4f1dba1ea109e07e1cefc4705.tiff dcterms:title Célébration de la fête de Ramadan : la communauté musulmane prie pour la paix au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13593 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2005-11-04 dcterms:identifier iwac-article-0004131 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin a célébré, hier, jeudi 03 novembre, le Ramadan, une fête qui marque la fin de 30 jours de jeûne. Une occasion saisie par l’Imam de Joncquet, Ousmane Aboubakar pour glorifier le Tout Puissant avant de prier pour le gouvernement et le peuple béninois pour cette période d’effervescence que traverse le pays. C’était à la place Idi à Akpakpa en présence d’une délégation gouvernementale conduite par le ministre d’Etat, chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami, du président du Conseil économique et social, Raphiou Toukourou et du préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral, Véronique Brun Hatchémè. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin a célébré, hier, jeudi 03 novembre, le Ramadan, une fête qui marque la fin de 30 jours de jeûne. Une occasion saisie par l’Imam de Joncquet, Ousmane Aboubakar pour glorifier le Tout Puissant avant de prier pour le gouvernement et le peuple béninois pour cette période d’effervescence que traverse le pays. C’était à la place Idi à Akpakpa en présence d’une délégation gouvernementale conduite par le ministre d’Etat, chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami, du président du Conseil économique et social, Raphiou Toukourou et du préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral, Véronique Brun Hatchémè. 30 jours sans manger et sans boire le jour; puis s'interdire de s'approcher de la femme pendant le jour, sauf avec les femmes légitimes pendant la nuit. La période de carême, selon les musulmans, n'est pas une mince affaire. Au cours de la prière marquant la fin de cette période, hier, à la place Idi à Akpakpa, l'Imam de Joncquet, Ousmane Aboubakar, a énuméré les avantages de ce mois de Ramadan. En effet, les 30 jours de jeûne constituent pour les musulmans une période pour purifier l'âme. Autrement dit, rester fidèle aux préceptes de l'Islam et s'abstenir de tout plaisir charnel. Aussi cette période recommande-t-elle, selon le contenu du serment de l'Imam, d'être fidèle à Dieu, d'être compatissant avec ses prochains et d'être utile à l'Islam. Le chef de la délégation gouvernementale, le ministre d'Etat, chargé de la Planification et du Développement, Zul Kifl Salami, a expliqué que cette fête du Ramadan est une journée importante dans la mesure où après 30 jours de jeûne, il faut se réjouir d'avoir passé une période difficile. Il faut aussi, dit-il, rendre grâce à Dieu de les avoir gardés durant cette période de carême. Zul Kifl Salami a estimé qu'il faut également profiter de cette journée pour implorer Dieu afin qu'il garantisse la paix au Bénin, une paix que le chef de l'Etat, le président Mathieu Kérékou a su garantir, selon lui, pour ce pays. bibo:pages 1 3 -- o:id 8856 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8856 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8861 27046 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/eb303543041a46a9d0325732af376ebad5693203.pdf https://islam.zmo.de/files/original/85a01c55f1d29df58505117e6133a6f6b642d5f7.tiff dcterms:title Conseil des ministres : le gouvernement rassure les pèlerins musulmans dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14140 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/807 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-01-03 dcterms:identifier iwac-article-0004132 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au début de la séance, le chef de l'Etat a fait observer une minute de silence à la mémoire des feus : dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/490 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au début de la séance, le chef de l'Etat a fait observer une minute de silence à la mémoire des feus : - Commissaire principal de police Agbazahou Yves Simon, précédemment commissaire central de la ville d'Abomey, décédé le 02 janvier 2006; - Amadou Yarou, père de Monsieur Moussa Yarou, directeur de cabinet du ministre de la Santé publique, décédé le 02 janvier 2006 ; - Jean-Marie d'Almeida, administrateur du Travail et de la main-d'œuvre, précédemment expert auprès du Conseil national du Travail et ancien directeur administratif de la Société nationale d'Agriculture (SONAGRI), décédé le 1er janvier 2006 ; - Marie Adéromou, belle-mère de Monsieur Théophile Odounlami, directeur adjoint de cabinet du ministère de l'Industrie, du Commerce et de la Promotion de l'Emploi, décédée le 10 décembre 2005 ; - Maurice Ekué, journaliste à la retraite, ancien directeur adjoint de l'ONEPl, ancien directeur de l'OBEAR, ancien conseiller technique du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, décédé le 27 décembre 2005. Au cours de la même séance, le conseil des ministres a examiné et approuvé plusieurs dossiers, notamment: - un compte rendu du ministre de l'Intérieur, de la Sécurité et de la Décentralisation sur le voyage d'étude effectué en France du 26 septembre au 07 octobre 2005, par une délégation béninoise ; - un compte rendu du ministre de la Famille, de la Protection sociale et de la Solidarité relatif à la célébration au Bénin, le 15 octobre 2005, de la Journée mondiale de la Femme rurale, édition 2005. Par ailleurs, le ministre de l'Intérieur, de la Sécurité et de la Décentralisation, président du comité national de suivi de l'organisation du pèlerinage à la Mecque a rendu compte au conseil des ministres des démarches engagées depuis la signature des contrats successifs (4 au total) entre les transporteurs et les organisateurs et les nombreux engagements pris par ces transporteurs aussi changeants qu'imprévisibles, jusqu'à la situation actuelle où le gouvernement se trouve dans l'obligation de demander une dérogation spéciale de prorogation de la date de fermeture des frontières aériennes aux pèlerins. Le gouvernement informe tous les pèlerins que des démarches se poursuivent de façon active pour leur donner la chance d'effectuer cet acte de foi, un des cinq piliers de l'Islam. En effet, des dispositions sont déjà prises pour informer les responsables des convoyeurs, de la suite réservée aux doléances exprimées par la partie béninoise aux autorités saoudiennes. Le conseil des ministres partage avec beaucoup d'esprit de suite ce contre-temps très regrettable et lance à tous les pèlerins et à leurs familles un appel au calme et à la sérénité, afin que le pèlerinage qu'ils vont accomplir puisse se dérouler dans la quiétude. Le conseil des ministres a autorisé au cours de cette réunion : - la participation d'une délégation de notre pays à la 29e session ordinaire de la conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest, prévue à Niamey, le 12 janvier 2006 ; - l'organisation à Cotonou, du 12 au 14 janvier 2006, de la 5e session de la conférence annuelle des ministres des Affaires étrangères des pays nordiques et de certains pays d'Afrique, - la célébration du 14 au 18 janvier 2006, de la Journée internationale des personnes handicapées ; - la célébration dans notre pays, le 10 janvier 2006, de la fête des religions traditionnelles ; - la célébration au Bénin, le 10 janvier 2006, de la fête de la Tabaski. A cet effet, la journée du lundi 09 janvier est déclarée journée continue et celle du mardi 10 janvier est chômée et payée sur toute l'étendue du territoire national. bibo:pages 12 -- o:id 8857 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8857 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8862 27047 27048 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/44472ede024a54fcbf7549587e5e2e426485bb84.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a5d7f72dd600d3d1e15cf26e8488f5e397f2b498.tiff https://islam.zmo.de/files/original/2a523bfac8e027e6eb585432414beedafa163b10.tiff dcterms:title Tabaski : prière pour la paix au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/214 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2035 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13588 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-01-11 dcterms:identifier iwac-article-0004133 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane béninoise a célébré, hier mardi 10 janvier, sur toute l’étendue du territoire national, la fête de la Tabaski. A la place Idi d’Akpakpa à Cotonou, la prière a été dite par l’Imam central de Cotonou, El Hadj Aboubakar Ousmane qui a demandé à Dieu la paix pour le Bénin à l’occasion de cette fête consacrée à l’immolation du mouton. C’était en présence du président du Conseil économique et social, Raphiou Toukourou, du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Osséni Kémoko Bagnan et du Premier adjoint au maire de Cotonou, Léhady Soglo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane béninoise a célébré, hier mardi 10 janvier, sur toute l’étendue du territoire national, la fête de la Tabaski. A la place Idi d’Akpakpa à Cotonou, la prière a été dite par l’Imam central de Cotonou, El Hadj Aboubakar Ousmane qui a demandé à Dieu la paix pour le Bénin à l’occasion de cette fête consacrée à l’immolation du mouton. C’était en présence du président du Conseil économique et social, Raphiou Toukourou, du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Osséni Kémoko Bagnan et du Premier adjoint au maire de Cotonou, Léhady Soglo. Lorsqu'à 8 heures 48 minutes, l'Imam central de Cotonou, Aboubakar Ousmane fait son entrée à la place Idi à Akpakpa à Cotonou, tous les musulmans qui ont fait le déplacement pour la prière ont commencé par se presser pour se mettre en place. Ainsi, annonça celui qui faisait office de protocole que, dans 12 minutes, la prière proprement dite va commencer. A 9 heures 00 minute, l'Imam a effectivement commencé sa prière. Après avoir donné la signification de cette fête, Aboubakar Ousmane a, dans son sermon, mis un accent tout particulier sur la grandeur de Dieu. En cette veille de l'élection présidentielle de mars 2006 où les passions sont déchaînées, l'Imam central de Cotonou a prié pour la paix dans notre pays et dans les pays voisins. Le clou de la cérémonie, après la prière de l'Imam, a été l'immolation du mouton qui, selon les explications, a été sacrifié au nom du fils d'Abraham. C'est pourquoi, on ne goutte pas au sang du mouton après son immolation, mais on ne mange que la viande. Par rapport à la coïncidence de la Tabaski et de la fête du Vodoun initialement commémorée chaque 10 janvier, l'Imam central de Cotonou a dit que c'est un fait du hasard. Selon lui, il est vrai qu'au cours des deux fêtes, des bêtes seront immolées. Mais cette immolation ne signifie pas les mêmes choses, a-t-il précisé avant d'ajouter que chaque fête a sa signification. bibo:pages 1 5 -- o:id 8864 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8864 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8869 27049 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/957a89c4754a9b93fdc71ff6bbd9dbe953afa2ce.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9a8c658cbaf7ce7d6370bd28d134503d141032d7.tiff dcterms:title Chambre islamique : 59 chambres de commerce et d'industrie en conclave à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1948 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13110 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13316 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14507 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-01-23 dcterms:identifier iwac-article-0004134 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Depuis le 17 janvier, se tiennent à Cotonou la 22e assemblée générale et la 44e réunion du comité exécutif de la chambre islamique. Et ce n'est que le vendredi 20 janvier dernier que les travaux ont été officiellement ouverts à la salle rouge du Palais des Congrès. C'était sous la présidence du ministre d'Etat chargé de la Planification et du Développement Zul Kifl Salami, entouré de Massiyatou Lauriano Latoundji de l'industrie, du Commerce et de la Promotion de l'Emploi, de Cosme Sèhlin des Finances et de l'Economie, de Ataou Soufianou, président de la Chambre de Commerce et d'industrie du Bénin (CCIB) et de Cheick Kebir Abdallah président de la Chambre islamique de Commerce et d'industrie (CICI). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Depuis le 17 janvier, se tiennent à Cotonou la 22e assemblée générale et la 44e réunion du comité exécutif de la chambre islamique. Et ce n'est que le vendredi 20 janvier dernier que les travaux ont été officiellement ouverts à la salle rouge du Palais des Congrès. C'était sous la présidence du ministre d'Etat chargé de la Planification et du Développement Zul Kifl Salami, entouré de Massiyatou Lauriano Latoundji de l'industrie, du Commerce et de la Promotion de l'Emploi, de Cosme Sèhlin des Finances et de l'Economie, de Ataou Soufianou, président de la Chambre de Commerce et d'industrie du Bénin (CCIB) et de Cheick Kebir Abdallah président de la Chambre islamique de Commerce et d'industrie (CICI). C'est en mai 2005 à Djeddah en Arabe Saoudite que le comité exécutif de la Chambre islamique a décidé de confier à la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCIB) l'organisation de 44e réunion du comité exécutif de la CICI et la 22e assemblée générale. Y participent donc-depuis le 17 janvier dernier les représentants de 59 chambres, les représentants d'institutions financières arabes, européennes et chinoises et des opérateurs économiques. La Chambre islamique de Commerce, d'Industrie et d'échange est une des institutions affiliée à l'Organisation de la Conférence islamique (OCI). Elle a été créée, par la résolution 15/10-E de la Conférence islamique des affaires étrangères tenue en mars 1979 à Fès au Maroc. La Chambre islamique a pour objectif de promouvoir et d'encourager l'industrie, le commerce et l'artisanat de présenter les recommandations en vue de la protection des intérêts économiques et des activités commerciales du monde islamique, d'encourager la coopération entre les chambres islamiques et les ONG internationales concernées par les questions agricoles, industrielles agricoles. La Chambre islamique vise également la promotion de l'échange des délégations commerciales, encourage les investissements, l'échange d'informations commerciales, techniques et industrielles. Pour Zul Kifl Salami, le choix porté sur notre pays pour abriter les assises de la Chambre islamique témoigne du dynamisme des relations de la CCIB avec l'OCI, de la bonne gouvernance et de l'environnement economique assaini. Au terme de cette cérémonie officielle d'ouverture des assises, Cheick Kébir Abdallah de la CICI a signé avec Ataou Soufiano de la CCIB quatre conventions. La première est relative à la création à Porto-Novo d'un institut islamique sous-régional professionnalisé en vue de combattre la pauvreté à travers la formation de jeunes entrepreneurs. 1,2 milliards CFA serviront à cette fin. Le deuxième accord porte sur la création d'une mutuelle de solidarité, homologue de la Zakat. Quant au troisième accord de 555 millions F CFA, il s'inscrit dans le cadre de la création d'une sécurité de télécommunication. Enfin le quatrième accord vise la création d'un centre islamique d'enseignement de langue arabe et un centre d'affaires. Les travaux de la 22e assemblée générale et de la 44e réunion du comité exécutif de la Chambre islamique prennent fin ce jour. bibo:pages 14 -- o:id 8865 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8865 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8870 27050 27051 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8f465a7b5b5b4dd31ca5558a5ae48054f0c4a57f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2ec973ee4abaa68c9991852dff5e88bc3194e25d.tiff https://islam.zmo.de/files/original/a87cba34d09fabb0e2d5b877f3e83e1f6a8ac969.tiff dcterms:title Campus universitaire d'Abomey-Calavi : le president Kérékou à la résidence Hassan II dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1578 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/894 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-06-14 dcterms:identifier iwac-article-0004135 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Demain mardi 15 juin, Sa Majesté Mohammed VI du Maroc sera en visite d’amitié et de travail au Bénin. Au cours de son séjour au Bénin, le roi du Maroc inaugurera la résidence universitaire Hassan II d’Abomey-Calavi. En prélude à cette visite, le président Mathieu Kérékou était dans l’après-midi du vendredi 11 juin dernier au campus universitaire d’Abomey-Calavi pour faire l’état des lieux. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Demain mardi 15 juin, Sa Majesté Mohammed VI du Maroc sera en visite d’amitié et de travail au Bénin. Au cours de son séjour au Bénin, le roi du Maroc inaugurera la résidence universitaire Hassan II d’Abomey-Calavi. En prélude à cette visite, le président Mathieu Kérékou était dans l’après-midi du vendredi 11 juin dernier au campus universitaire d’Abomey-Calavi pour faire l’état des lieux. Au cours de cette visite inopinée, le chef de l'Etat qui n'était nullement accompagné ni d'aucun de ses ministres, ni de conseiller technique a juste fait un état des lieux, et s'est enquis des différents problèmes qui ont entouré la construction de ladite résidence universitaire. Le chef de l'Etat a parcouru toutes les chambres des trois paliers de la maison à étage que constitue cette résidence. Mais que d'anomalies il n'a relevées ! Très insatisfait du travail abattu, le chef de l'Etat a fait des remontrances à l'entrepreneur, et a instruit les autorités universitaires pour la mise sur pied d'une commission d'enquête afin d'éclairer sur la gestion des fonds alloués à la réalisation de la résidence Hassan II. Autre anomalie relevée, les parterres du jardin sont inachevés ainsi que l'allée donnant accès au bâtiment MK II au secours ! MK II au secours ! C'est par ces cris de détresse que des milliers d'étudiants venus spontanément accueillir le président de la République, ont contraint le chef de l'Etat a visiter le restaurant universitaire et les dortoirs afin de s'imprégner des réelles conditions de vie et de travail des étudiants. Par un jeu d'humour, le président Kérékou a réussi à choisi r parmi les étudiants présents, un guide pour le conduire dans les dortoirs et restaurant universitaires. Puis pendant plus d'une heure d'horloge, le président Kérékou a échangé avec les étudiants. bibo:pages 1 3 -- o:id 8866 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8866 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8871 27052 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a3cae2d62c706756a007ddb69ee4a63d46d5d2b2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/89103bf449bb1b9be91359b40f8c494b18a7739e.tiff dcterms:title Parakou : Ahmadiya au secours des prisonniers dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-11-12 dcterms:identifier iwac-article-0004136 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les membres de la communauté Ahmadiya Bénin, cellule de Parakou, étaient, hier à la prison civile de Parakou. C’était pour un don de vivres aux détenus dans le cadre de la célébration prochaine de la fête de Ramadan. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les membres de la communauté Ahmadiya Bénin, cellule de Parakou, étaient, hier à la prison civile de Parakou. C’était pour un don de vivres aux détenus dans le cadre de la célébration prochaine de la fête de Ramadan. Huit sacs de riz de 50kg, huit cartons de savon palmida de 60 pains chacun, dix nattes de prière et dix bouilloires, telle est l'assistance que la communauté Ahmadiya Bénin a jugé utile d'apporter aux 300 détenus de la prison civile de Parakou. Bien que symbolique, le geste a bien son sens. Les bénéficiaires sont dépourvus de tout et souffrent dans certains cas, du minimum pour leur survie. Le geste est aussi plein de sens s'il faut reconnaître que ceux ci ont de quoi célébrer la fête de ramadan. C'est donc pour permettre non seulement aux prisonniers musulmans de fêter mais aussi à tous les prisonniers de Parakou que Ahmadya a agi ainsi. A l'occasion de la remise de ce don, une prière a été dite à l'intention des prisonniers pour un changement de leur mentalité. Laquelle, leur enseignera l'accomplissement de bonnes oeuvres. Car la prison est une école où l'on peut apprendre à renoncer aux mauvais comportements qui y conduisent. Ces mauvais comportements, a dit Ibrahim Ognibo Hamza, sont le plus souvent dictés par les mauvais esprits. C'est pourquoi la communauté Ahmadiya souhaite aller prêcher périodiquement pour eux de sorte qu'après leur sortie, ils n'osent plus commettre des actes contraires à la loi. -- o:id 8867 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8867 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8872 27053 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cab64f6c10450a66fb305b851c8770ccfb49ba2d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7920488e6d0548ea3678baebf2d2eba1b0ba9f88.tiff dcterms:title Après 30 jours de jeûne : les musulmans du Bénin ont célébré, hier, le Ramadan dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1392 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2004-11-15 dcterms:identifier iwac-article-0004137 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin a célébré, hier, l'Aïd El Kébir, la fête qui marque la fin des 30 jours du carême. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin a célébré, hier, l'Aïd El Kébir, la fête qui marque la fin des 30 jours du carême. C'est dans la joie et l'allégresse que la communauté musulmane ainsi que leurs amis ont célébré, hier, l'Aïd El Kébir ; cette fête qui marque généralement la fin du mois de carême. L'événement a été marqué par la traditionnelle prière. La grande prière a eu lieu, dans la matinée à la place Idi à Akpakpa derrière la Sobetex. Les fidèles musulmans y ont massivement effectué le déplacement pour remercier Allah le Tout Puissant, pour tous ses bienfaits. La prière a été dirigée par l'Imam de la mosquée centrale de joncquet, Ousmane Aboubakar. Tout au long de la prière, il a prêché la paix. Ce bien précieux à préserver dit-il, pour le développement des nations, et la nôtre en particulier. L'Imam a aussi expliqué que ce n'est pas la fête des seuls musulmans, mais de tout le monde. Le gouvernement a été représenté à cette grande prière, hier à la place Idi, par les ministres Bruno Amoussou et Daniel Tawéma. bibo:pages 1 -- o:id 8868 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8868 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8873 27054 27055 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f32dfca55fb910c3f7f369edb17774e365788a6b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4158279a026a6d7541b48d81baec080fad99dcc2.tiff https://islam.zmo.de/files/original/8bbe5acb93e86457c11ef0f1ff7e687e0146ea2c.tiff dcterms:title Fin du colloque international sur le dialogue inter-religieux : une déclaration pour la paix et la tolérance dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15031 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13974 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13741 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/808 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-08-23 dcterms:identifier iwac-article-0004138 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Terminus! Et tous les dirigeants du christianisme, de l’islam, des religions endogènes et les universitaires ayant participé pendant deux jours au CIC, au colloque international sur « Le dialogue des religions endogènes, du christianisme et de l’islam au service de la culture de la paix en Afrique », sont descendus. Avec en main, un document dit « Déclaration de Cotonou ». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Terminus! Et tous les dirigeants du christianisme, de l’islam, des religions endogènes et les universitaires ayant participé pendant deux jours au CIC, au colloque international sur « Le dialogue des religions endogènes, du christianisme et de l’islam au service de la culture de la paix en Afrique », sont descendus. Avec en main, un document dit « Déclaration de Cotonou ». Le concept de dialogue implique un investissement intellectuel et émotionnel considérable. Il met en jeu la confrontation pacifique de deux ou plusieurs rationnalités en vue d'ouvrir une voie nouvelle qui favorise la reconnaissance de l'autre comme interlocuteur ayant les mêmes droits que soi. Le dialogue inter- religieux est un instrument efficace de lutte contre l'ignorance. C'est un instrument de promotion du respect, de la tolérance et de la préservation des valeurs qui favorisent la diversité culturelle. Au regard de ceci, les chrétiens, les musulmans, les pratiquants des religions endogènes ainsi que les universitaires ayant participé au colloque de Cotonou, ont pris conscience de la nécessité de promouvoir un système éducatif ouvert aux synergies et aux nouveaux défis de notre temps. C'est donc à raison que le chef suprême du Vodoun, Dagbo Hounon, a sollicité une aide pour la création d'une école en faveur des initiés de son couvent. Le colloque, rejetant tous les replis identitaires générateurs de tensions intra-religieuses et inter- religieuses a retenu de rassembler les décideurs politiques, les responsables religieux, les ONG, les femmes, et les jeunes autour de stratégies inter-religieuses novatrices qui favorisent le dialogue aux niveaux local, national et international. A cet effet, ils ont formulé une bonne douzaine de recommandations dont la célébration effective de la date du 21 mai comme journée mondiale de la diversité culturelle par tous les Etats africains, ceci aux fins de réactiver la concrétisation des parties prenantes dans le dialogue inter-religieux. Aussi les participants à ce colloque voudraient-ils que, conformément à la Constitution de l'Union africaine qui reconnaît la diaspora comme la 6è région de l'Afrique, les préoccupations liées au dialogue interculturel et inter-religieux de la diaspora africaine issue de la traite négrière, soient prises en compte. L'UNESCO devra, a plaidé le colloque, aider à installer dans nos universités, des chaires chargées des études inter-religieuses et reliées en réseaux de centres d'excellence. Les organes de presse doivent davantage faire preuve de professionnalisme, et respecter scrupuleusement la déontologie du métier pour ne pas susciter la naine et l'intolérance religieuses. Autant de souhaits ou de recommandations que, espérons-le, Dieu, Allah et les mânes de nos ancêtres ont déjà exaucées. bibo:pages 1 12 -- o:id 8875 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8875 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8889 27056 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/af6dfc6e7de2c14776bc8fb863bbf133e532d1c4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4043892ae9c2316506ca611d52d6f40511fa52a0.tiff dcterms:title Dialogue interreligieux en Afrique : ouverture ce matin au CIC d'un colloque international dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1387 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15031 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13741 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/728 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-08-20 dcterms:identifier iwac-article-0004139 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Ce jour lundi 20 août, s’ouvre au Centre international de conférences de Cotonou (CIC), un colloque international de deux jours sur le thème « Le dialogue des religions endogènes, du christianisme et de l’islam au service de la culture de la paix en Afrique » dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/403 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Ce jour lundi 20 août, s’ouvre au Centre international de conférences de Cotonou (CIC), un colloque international de deux jours sur le thème « Le dialogue des religions endogènes, du christianisme et de l’islam au service de la culture de la paix en Afrique » Ce colloque organisé par l'UNESCO rentre dans le cadre de la mise en œuvre de la recommandation du comité UNESCO pour le NEPAD, lors de la troisième réunion à Tripoli les 7 et 8 mai 2005, relative à l'instauration d'un dialogue entre les religions africaines endogènes, l'islam et le christianisme. A ce colloque auquel participeront Bernardin Cardinal Gantin, le secrétaire général de la Société mondiale pour l'Appel islamique Mohamed Ahmed Shérif, Dagbo Hounon, chef du culte Vodou, il sera présenté au cours de six tables rondes des communications comme: « Le rôle des religions et de leurs dirigeants dans la mise en place d'une culture de la paix en Afrique » ;« Le dialogue des religions comme antidote aux tensions ethniques, culturelles et raciales » ; « Les relations entre les religions et les décideurs économiques et sociaux... » ; « La communication et les médias ... comment sensibiliser l'opinion publique à l'impact positif de la coexistence religieuse ». L'objectif de ce colloque est de faire des recommandations sur les conditions favorables à un dialogue authentique entre les chrétiens, les musulmans et les croyants des religions africaines authentiques, et d'identifier les obstacles à ce dialogue interreligieux. bibo:pages 9 -- o:id 8876 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8876 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8890 27057 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/dfee0cea107ca1ef88791182128eabd8e2648f13.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f7eeae614cc91e6c84fdc0fc158efdb05c3a0ab8.tiff dcterms:title Drame de Porga : le Secours islamique mondial apporte son soutien aux orphelins dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12856 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14446 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-07-16 dcterms:identifier iwac-article-0004140 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre de l’obligation de soutien à apporter à la communauté traumatisée de Porga et à la génération d’orphelins laissés par les victimes de l’incendie provoqué par un camion-citerne transportant de l’essence le mercredi 24 mai 2006, le ministre de la Famille et de l’Enfant, Clémence S. Yimbéré Dansou était jeudi dernier à la maison de la Femme et de l’Enfant de Porga. C’était pour une remise de don aux orphelins grâce à la générosité de l’organisation islamique internationale de secours du Royaume d’Arabie Saoudite. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/302 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13734 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13369 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre de l’obligation de soutien à apporter à la communauté traumatisée de Porga et à la génération d’orphelins laissés par les victimes de l’incendie provoqué par un camion-citerne transportant de l’essence le mercredi 24 mai 2006, le ministre de la Famille et de l’Enfant, Clémence S. Yimbéré Dansou était jeudi dernier à la maison de la Femme et de l’Enfant de Porga. C’était pour une remise de don aux orphelins grâce à la générosité de l’organisation islamique internationale de secours du Royaume d’Arabie Saoudite. Il faut s'approcher de la poule pour savoir si elle a des oreilles, dit on. Ce qui traduit qu'il fallait rendre visite a ces enfants de la commune de Porga qui n'ont pas demandé à naître et imaginer ces parents qui n'ont pas voulu quitter de si tôt ces âmes sans destination, pour se rendre compte de l'assistance obligatoire qui s'impose à nous. Ils ont des besoins en santé, en nourriture, en éducation, en habillement et bien d'autres comme tout être humain. Autrement dit, ils sont là à espérer un coup d'œil, un sourire, une main tendue, un grain de céréales, un comprimé de chloroquine, une ardoise et bien d'autres choses. Et c'est conscient de la situation que le gouvernement après le drame de Porga a lancé une vaste campagne de mobilisation de la solidarité nationale et internationale. C'est dans ce cadre que des partenaires au développement, des responsables d'institutions, des chefs d'entreprises publiques et privées et des particuliers ont manifesté leur solidarité en mettant gracieusement à la disposition du gouvernement des dons en nature et en espèce, selon le ministre de la Famille et de l'Enfant, Clémence S. Yimbéré Dansou. C'est sur cette même interpellation que le Secours islamique mondial vient de mettre à la disposition du Bénin des dons de près de 22 millions de francs CFA destinés aux enfants en situation difficile. Pour leur part, les 226 orphelins de Porga ont reçu : 18 cartons de vêtement, 15 sacs de riz de 50 kg, 15 sacs de riz de 25 kg, 10 cartons d'huile végétale, 6 cartons de tomate, 8 cartons de spaghetti, 8 cartons de sardine, 8 cartons de sucre, 10 cartons de savon, 60 rouleaux de tissu et diverses fournitures scolaires. Le reste de ces dons a été offert aux différents orphelinats de Natitingou, de Djougou, de Dassa-Zoumé, d'Abomey et au centre des handicapés de Décanmey. Pour le chef de la délégation du Secours islamique mondial, Saïd Bafadel, ce geste s'inscrit dans le cadre de la recherche de solutions humanitaires aux problèmes de l'après-drame de Porga et en réponse à l'interpellation du gouvernement du Bénin qui a eu la promptitude de lancer une vaste campagne de mobilisation de solidarité nationale et internationale. Leur objectif, a t il souligné, est de venir toucher du bout des doigts les réalités, les difficultés et les nombreux problèmes des enfants. Il a promis que son institution oeuvrera pour une meilleure assistance à des âmes en difficulté au Bénin. Nestor Abalo, représentant du comité de gestion de l'après drame de Porga, a profité de la présence du ministre de la Famille et de l'Enfant pour lui faire part des difficultés que gère au quotidien ce comité. Il n'a pas manqué de remercier le ministre pour sa promptitude à être à leurs cotés deux fois déjà en moins de 2 mois après sa nomination. C'était aussi l'occasion pour lui de remercier les nombreux donateurs qui ne cessent de penser à ces enfants. bibo:pages 9 -- o:id 8877 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8877 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8891 27058 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/42b4e3d995443a5810b40b27f8991bf3fd035a03.pdf https://islam.zmo.de/files/original/596fd9846d0fef524a5f67cf2a42e10a58113ea8.tiff dcterms:title Remise de dons aux couches vulnérables : reculer les frontières de la misère et du sous-développement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1543 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14568 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/773 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-07-11 dcterms:identifier iwac-article-0004141 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Améliorer les conditions de vie et de développement des familles et des enfants. C'est dans ce cadre que s'inscrit la remise de dons effectuée hier mardi 10 juillet, en faveur des couches vulnérables, par la Ligue islamique mondiale. La cérémonie officielle marquant l'événement, qui s'est déroulée au siège de l'organisation à Cotonou, a connu la présence de la ministre de la Famille et de I'Enfant, Clémence Yimbéré Dansou, ainsi que d’une délégation de ladite organisation venue de l'Arabie Saoudite. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Améliorer les conditions de vie et de développement des familles et des enfants. C'est dans ce cadre que s'inscrit la remise de dons effectuée hier mardi 10 juillet, en faveur des couches vulnérables, par la Ligue islamique mondiale. La cérémonie officielle marquant l'événement, qui s'est déroulée au siège de l'organisation à Cotonou, a connu la présence de la ministre de la Famille et de I'Enfant, Clémence Yimbéré Dansou, ainsi que d’une délégation de ladite organisation venue de l'Arabie Saoudite. Des habits pour nouveau-nés, enfants, adolescents et adultes, des rouleaux de tissus, des vivres, des fournitures scolaires... C'est là, une partie des dons que la Ligue islamique mondiale a offert hier, aux couches vulnérables du Bénin. En fait, dans la recherche permanente de solutions aux problèmes que rencontrent les groupes vulnérables de la société béninoise, le ministère de la Famille et de l'Enfant a sollicité l'aide des bonnes volontés. C'est donc en réponse à cet appel que le Secours islamique mondial, un département de l'Organisation islamique internationale de secours, a remis des dons d'un coût global de 22.866.660FCFA, aux personnes démunies de notre pays. Le chef de la délégation venue d'Arabie Saoudite a salué la ministre pour l'accueil à lui réserve depuis son arrivée au Bénin. Il a ensuite remercié le Gouvernement du président Boni Yayi, et demandé que l'Etat béninois facilite la tâche à leur représentation au Bénin. Car ajoute t-il, l'organisation vise à apporter son aide dans plusieurs secteurs. En réponse, la ministre de la Famille et de l'Enfant, Clémence Yimbéré Dansou, a exprimé son immense plaisir à recevoir ces dons. Elle a fait allusion au discours sur l'état de la nation prononcée le 28 décembre 2006 par le Dr Boni Yayi, qui rappelait la nécessité de mettre fin à la précarité dans laquelle, les femmes et les enfants vivent, « grâce à une plus grande solidarité envers les catégories sociales les plus fragilisées par le phénomène de la pauvreté ». Le ministère s'est donc inspiré de cette dynamique pour faire de la mobilisation de la solidarité nationale et internationale, son cheval de bataille. C'est fort de cela que le ministère a sollicité le concours des uns et des autres pour renforcer ses capacités d'action. La ministre a, en outre, fait remarquer que l'acte qui vient d'être posé, témoigne de la détermination du Secours islamique mondial, à œuvrer aux côtés du gouvernement, dans sa lutte pour un mieux-être des populations. Pour finir, la ministre, à travers une citation de Gérard de Nerval qui dit « Il n'y a qu'un seul vice dont on ne voit personne se vanter, c'est l'ingratitude », a exprimé ses vives reconnaissances et es sincères remerciements du Gouvernement à l'institution pour la grande et prompte sollicitude à l'égard du peuple béninois et des groupes cibles dont son ministère a la charge. Elle promet de veiller personnellement à ce que les dons soient transmis aux structures destinataires, et qu'une bonne et judicieuse répartition en soit faite aux bénéficiaires. bibo:pages 3 -- o:id 8878 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8878 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8892 27059 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/241c43dde23bca32af1096cd293ee579f01d74f3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d392f44de0017471ef1c528f3976d0216500b81d.tiff dcterms:title Ministère de la Famille et de l'Enfant : une délégation de la Ligue islamique mondiale chez Clémence Yimbéré dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1624 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14568 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/773 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-07-10 dcterms:identifier iwac-article-0004142 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Arrivée au Bénin dans le cadre d'une remise.de dons qu'elle effectuera ce jour, mardi 10 juillet, une délégation de la Ligue islamique mondiale (LIM) est allée échanger avec la ministre de la Famille et de l'Enfant, Clémence Yimbéré Dansou. Il s'agissait pour la délégation d'aller exposer les actions qu'elle veut entreprendre au Bénin suite aux sollicitations du ministère, après le drame de Porga. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13369 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Arrivée au Bénin dans le cadre d'une remise.de dons qu'elle effectuera ce jour, mardi 10 juillet, une délégation de la Ligue islamique mondiale (LIM) est allée échanger avec la ministre de la Famille et de l'Enfant, Clémence Yimbéré Dansou. Il s'agissait pour la délégation d'aller exposer les actions qu'elle veut entreprendre au Bénin suite aux sollicitations du ministère, après le drame de Porga. Les domaines d'actions privilégiées de la Ligue islamique mondiale portent sur les oeuvres sociales, l'éducation, et plus généralement tout ce qui concerne la femme et l'enfant. Au Bénin, la LIM entend signer un protocole d'accord avec le gouvernement pour des actions d'envergure. D'ores et déjà, il sera question aujourd'hui de remettre une quantité importante de dons en faveur dès couches vulnérables de la société, au siège de la LIM. L'institution entend à cet effet être aux côtés du ministère de la Famille et de l'Enfant, dans le cadre de la répartition des dons dans tous les départements du pays, afin d'avoir un œil sur l'opération. Toutes choses pour lesquelles Clémence Yimbéré Dansou s’est voulue rassurante et a dit la disponibilité du gouvernement à collaborer franchement pour une solidarité agissante en faveur des couches déshéritées. Wilfried Léandre HOUNGBEDJI bibo:pages 7 -- o:id 8879 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8879 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8893 27060 27061 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a7044685d4d6b8f8b7263a3417a9cee68d189e5a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7fbfa8fce60b0f385a5f65458d1c417ae829ddd6.tiff https://islam.zmo.de/files/original/efbb9471692b2ee5b828ebbdea60876670be1e0a.tiff dcterms:title Fonctionnement et gestion de l'hôpital El Fateh de Ouando : le Bénin et la Libye renouvellent l'accord dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1624 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13028 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-05-08 dcterms:identifier iwac-article-0004143 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les parties libyenne et béninoise ont procédé, hier mardi 8 mai, à la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères, à la signature d'un accord entrant dans le cadre de la coopération socio-économique entre les deux pays. La partie libyenne était représentée par l'Association mondiale de l'appel à l'Islam (AMAI), agissant comme Agence de développement de l'Etat libyen. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15414 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les parties libyenne et béninoise ont procédé, hier mardi 8 mai, à la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères, à la signature d'un accord entrant dans le cadre de la coopération socio-économique entre les deux pays. La partie libyenne était représentée par l'Association mondiale de l'appel à l'Islam (AMAI), agissant comme Agence de développement de l'Etat libyen. L'accord dont il s'agit porte sur le fonctionnement et la gestion de l'hôpital El Fateh de Ouando à Porto-Novo. Conduisant la délégation de l'AMAI, Dr Ibrahim Rabu s'est dit honoré d'être au Bénin, et a rendu hommage aux autorités béninoises pour la coopération fructueuse qu'entretiennent nos deux pays. Il a également remercié tous ceux qui ont aidé à surmonter les quelques problèmes survenus entre-temps à l'hôpital objet de l'accord, qui est le symbole de la qualité des relations entre le Bénin et l'AMAI. Puis il a indiqué que le Guide de la Révolution populaire libyenne ne ménage aucun effort pour renforcer et diversifier cette coopération, avant de réaffirmer la disponibilité de la partie libyenne à accompagner les efforts du Bénin. L'ambassadeur Isidore Bio agissant pour le compte du Bénin a, pour sa part, relevé que l'AMAI s'investit inlassablement, depuis plusieurs décennies, à l'amélioration des conditions de vie des populations les plus démunies du Bénin en contribuant efficacement à leur épanouissement à travers plusieurs actions humanitaires dont la plus importante est précisément la construction et l'équipement de l'hôpital El Fateh de Ouando. Dix ans après cet événement, il était question, hier, de renouveler l'accord régissant le fonctionnement et la gestion de l'hôpital, ce qui traduit, aux yeux de Isidore Bio, la vitalité dudit hôpital et sa capacité à contribuer au renforcement de la couverture sanitaire des populations bénéficiaires. Et l'engagement de la partie libyenne traduit une certaine générosité fraternelle, une solidarité auxquelles le Bénin ne peut rester indifférent, a indiqué Isidore Bio, convaincu que tout cela participe de la satisfaction des besoins fondamentaux de l'homme. C'est pourquoi, au nom du gouvernement, il n'a pas manqué de remercier la partie libyenne. bibo:pages 1 10 -- o:id 8880 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8880 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8894 27062 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/55a45457824b93e958ec9bd671fc45b79ca0690c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/29f50b9c615ce2c1f98716e6f12fe4c0366d2ca9.tiff dcterms:title Audiences au Palais de la République : des Saoudiens et des Français au cabinet de Boni Yayi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13073 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-04-13 dcterms:identifier iwac-article-0004144 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le chef de l’Etat, le président, Boni Yayi, a reçu hier, jeudi 12 avril en audience, une délégation du Royaume de l’Arabie Saoudite conduite par Alemar Abdulmajeed. Cette délégation a été suivie du sénateur français Christian Cointat, chargé des Français installés hors de la France. Au menu des discussions, des questions de relations de coopération et de développement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le chef de l’Etat, le président, Boni Yayi, a reçu hier, jeudi 12 avril en audience, une délégation du Royaume de l’Arabie Saoudite conduite par Alemar Abdulmajeed. Cette délégation a été suivie du sénateur français Christian Cointat, chargé des Français installés hors de la France. Au menu des discussions, des questions de relations de coopération et de développement. La délégation du Royaume de l'Arabie Saoudite est arrivée au Bénin sur invitation du chef de l'Etat. Très content d'avoir été reçu par le président de la République, Alemar Abdulmajeed affirme avoir discuté des projets que ses compagnons et lui ont pour le peuple béninois. Il s'agit des projets relatifs à la construction des puits, à la prise en charge des orphelins et à la lutte contre la pauvreté. Quant au sénateur français, Christian Cointat, introduit au cabinet du chef de l'Etat par l'ambassadeur de France près le Bénin, Christian Daziano, il a déclaré qu'il est venu au Bénin pour rencontrer la communauté française qui y est installée. Et comme il va de soi, si un Parlementaire arrive dans un pays ami, il est venu porter le soutien de la France au président de la République pour développer le Bénin. Christian Cointat affirme que son pays apprécie les relations avec le Bénin. bibo:pages 3 -- o:id 8881 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8881 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8895 27063 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/069380e42a54e8ef70685d59788be96e9bcb7a13.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a32417e8fbe0daf86b183c7c582bba3e8cdb55b8.tiff dcterms:title Tabaski à la place Idi-Akpakpa : puisse allah renouveler au Bénin sa grâce ! dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14783 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13670 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13184 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2007-01-02 dcterms:identifier iwac-article-0004145 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pour témoigner sa gratitude à Allah, Ibrahim a décidé de lui sacrifier son propre fils, ayant cherché en vain un bélier. Il tentait d’immoler l’enfant quand le miracle se produisit. Un beau bélier lui apparut. Il le prit et l’immola après avoir bien entendu rendu grâce à Dieu. Cet événement est célébré chaque année par les musulmans qui, après la prière, immolent des moutons qu’ils partagent aux pauvres, aux parents et amis. C’est le samedi 30 décembre dernier que cette fête s’est déroulée sur toute l’étendue du territoire national. A Cotonou Akpakpa place Idi, Ibrahim Ousmane, Imam intérimaire de la mosquée centrale de Jonquet a dirigé la prière donnant le top de la Tabaski ou Aid El Kebir en présence des ministres Albert Houngbo du Budget et Bio Gounou Sina de la Réforme administrative. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pour témoigner sa gratitude à Allah, Ibrahim a décidé de lui sacrifier son propre fils, ayant cherché en vain un bélier. Il tentait d’immoler l’enfant quand le miracle se produisit. Un beau bélier lui apparut. Il le prit et l’immola après avoir bien entendu rendu grâce à Dieu. Cet événement est célébré chaque année par les musulmans qui, après la prière, immolent des moutons qu’ils partagent aux pauvres, aux parents et amis. C’est le samedi 30 décembre dernier que cette fête s’est déroulée sur toute l’étendue du territoire national. A Cotonou Akpakpa place Idi, Ibrahim Ousmane, Imam intérimaire de la mosquée centrale de Jonquet a dirigé la prière donnant le top de la Tabaski ou Aid El Kebir en présence des ministres Albert Houngbo du Budget et Bio Gounou Sina de la Réforme administrative. C’est une grâce que la fête du mouton en 2006 ou la Tabaski s'est déroulée à quelques 48 heures seulement du Nouvel An et cinq jours après la Nativité. Cela réjouit non seulement les musulmans mais aussi les chrétiens. Ce ne sont pas les différentes autorités politico-administratives ayant pris part à la prière sur la place Idi à Akpakpa qui diront le contraire. Raphiou Toukourou, président du Conseil économique et social (CES) estime que cette Tabaski est une véritable fête vu qu'elle coïncide avec les deux fêtes de fin d'année. Il voudrait que cette Tabaski soit la véritable fête de partage. Car, comme le prescrit le Coran, une bonne partie du mouton doit aller aux pauvres, et le reste aux parents et amis. Raphiou Toukourou souhaite qu'il en soit effectivement ainsi. Bio Gounou Sina, ministre de Réforme administrative et institutionnelle tout en partageant l'avis du président du Conseil économique et social ajoute que cette fête est une allégeance au Tout-Puissant. Il a dit avoir prié pour le renforcement de la foi, nécessaire à toute action humaine positive et pour la prospérité du Bénin. Albert Houngbo quoique chrétien était par solidarité à la place Idi. Il évoque la présence de Dieu parmi tout attroupement pour célébrer le Seigneur. Et samedi 30 décembre dernier, le Bon Dieu était à la place Idi pour écouter tout ce beau monde rassemblé pour demander la prospérité, la paix et la santé pour notre pays, le Bénin. Le ministre Albert Houngbo a la forte conviction que ces prières sont exaucées. Véronique Brun Hachémé, préfet de l'Atlantique-Littoral a également pris part à la prière. Elle souhaite que Dieu renouvelle sa grâce au Bénin. bibo:pages 16 -- o:id 8882 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8882 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8896 27064 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e158975cb5012288d6de60b2620c93647612205e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3b8835640458d4a25696b130abd120de98c17f20.tiff dcterms:title Decoration : l'ambassadeur libyen fait commandeur de l'Ordre national du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1567 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14030 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1422 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-12-01 dcterms:identifier iwac-article-0004146 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En reconnaissance des précieux services rendus au Bénin, à son poste à Cotonou depuis plus de quatre ans, SEM Mustafa Maatug, ambassadeur libyen en fin de mission, a été élevé par Salomon Biokou, Grand chancelier de l’Ordre national du Bénin au grade de commandeur de l'Ordre national du Bénin. C’était hier à Cotonou, jeudi 30 novembre 2006, au ministère des Affaires étrangères en présence de Albert Agossou, ministre Délégué chargé de l’intégration africaine et des Béninois de l’Extérieur (MDCIABE/MAE). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En reconnaissance des précieux services rendus au Bénin, à son poste à Cotonou depuis plus de quatre ans, SEM Mustafa Maatug, ambassadeur libyen en fin de mission, a été élevé par Salomon Biokou, Grand chancelier de l’Ordre national du Bénin au grade de commandeur de l'Ordre national du Bénin. C’était hier à Cotonou, jeudi 30 novembre 2006, au ministère des Affaires étrangères en présence de Albert Agossou, ministre Délégué chargé de l’intégration africaine et des Béninois de l’Extérieur (MDCIABE/MAE). La cérémonie de décoration a donné l'occasion au ministre Albert Agossou de faire le point de la coopération entre le Bénin et la Libye et de souligner les mérites du fidèle serviteur et heureux récipiendaire, SEM Mustafa Maatug, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Grande Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire et Socialiste près la République du Bénin. Tout le peuple béninois se réjouit aujourd'hui de la vitalité de la coopération bénino-libyenne qui symbolise, à maints égards, ce que devrait être la coopération entre les pays du Sud, a dit en substance le ministre Albert Agossou qui poursuit : c'est la raison pour laquelle en prenant en compte votre contribution personnelle à cette évolution heureuse des relations entre nos deux pays, le gouvernement béninois a décidé d'en porter témoignage en vous élevant dans l'Ordre national du Bénin. Et le ministre de renchérir en des termes plus directs et personnels : peut-être la médaille de l'Ordre national et le présent symbolique que j'ai l'honneur de vous remettre, vous rappelleront que vous laissez ici au Bénin, un peuple qui vous aime et qui vous dit bon vent, Monsieur l'Ambassadeur. Après les mots affectueux, la remise de la médaille de commandeur de l'Ordre national du Bénin, et du cadeau symbolique, le diplomate libyen en fin de mission, s'est dit comblé de l'honneur qui lui est fait et heureux d'avoir contribué à consolider une coopération bénino-libyenne, aujourd'hui, excellente, à tous points de vue. bibo:pages 8 -- o:id 8883 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8883 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8897 27065 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/08a95e39001f535bedfbe9b276562f6a943b3780.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7c1c8c861fe71b95467b1c0d502b3596868a28ea.tiff dcterms:title Prière d'action de grâce pour la nation béninoise et ses dirigeants : l'Union islamique du Bénin prie pour la réussite des actions du chef de l'Etat dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/214 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1955 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2017 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-07-14 dcterms:identifier iwac-article-0004147 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'Union islamique du Bénin (UIB) a organisé, hier, jeudi 13 juillet, 99e jour après l'investiture du nouveau président de la République, une prière d'action de grâce pour la nation béninoise et ses dirigeants. C’était à la place Idi du quartier Agbokou à Porto-Novo, en présence du chef de l'Etat, Boni Yayi accompagné de son épouse, d'une forte délégation ministérielle, des hauts dignitaires de la communauté musulmane et des autorités de la mairie de Porto-Novo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'Union islamique du Bénin (UIB) a organisé, hier, jeudi 13 juillet, 99e jour après l'investiture du nouveau président de la République, une prière d'action de grâce pour la nation béninoise et ses dirigeants. C’était à la place Idi du quartier Agbokou à Porto-Novo, en présence du chef de l'Etat, Boni Yayi accompagné de son épouse, d'une forte délégation ministérielle, des hauts dignitaires de la communauté musulmane et des autorités de la mairie de Porto-Novo. En organisant une prière d'action de grâce pour la nation béninoise et ses dirigeants, l'Union islamique du Bénin (UIB) vise un double objectif. D'abord, louer le Seigneur des mondes d'avoir exaucé les prières du peuple béninois avant, pendant et après le scrutin de mars 2006. Ensuite, invoquer tous ensemble, Allah le Tout-Puissant miséricordieux pour le président de la République, Boni Yayi, pour son gouvernement et pour le peuple béninois tout entier. Avant la prière proprement dite conduite par le président de l'UlB, porte-parole des imams Djamiou, c'est le représentant des hauts dignitaires de la ville de Porto-Novo, Karim da Silva qui a souhaité la bienvenue au chef de l'Etat et à toute sa délégation. Pour Karim da Silva, c'est à dessein que l'UIB et le Conseil supérieur de la communauté musulmane du Bénin ont choisi la date du 13 juillet pour organiser cette prière. Car, c'est le 99e jour après l'entrée en fonction du chef de l'Etat. Et le chiffre 99 pour les musulmans signifie beaucoup de choses. Selon le secrétaire général du bureau exécutif national de l'UlB, Gado Girigissou, le nombre 99 est le nombre des noms les plus exhaltaires de Allah. Ainsi, on comprend aisément pourquoi, l'UlB et le Conseil supérieur de la communauté musulmane ont choisi cette date du 13 juillet 2006 pour organiser ce rassemblement national des musulmans béninois afin de marquer l'importance qu'il convient d'attacher à ce jour. Le secrétaire général de l'UIB prie pour que Allah assiste le chef de l'Etat et son gouvernement dans leur démarche pour éviter les écueils qui ne manqueront sur leur chemin, les aider à les surmonter, le cas échéant, afin qu'il réussissent la réalisation des objectifs essentiels du projet de société approuvé massivement par le peuple béninois. Gado Girigissou a invité l'assistance à méditer avec lui les trois versets de la sourate 103 du Saint Coran qui focalise l'attention de tout le monde sur le temps. L'homme est certes en perdition, sauf ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres s'enjoignent mutuellement la vérité et s'enjoignent mutuellement l'endurance, a conclu le secrétaire général de l'UIB. Après la prière de clôture de cette cérémonie dite par le deuxième vice-président de l'UIB, Ousmane Aboubakar, Imam central de la Mosquée de Jonquet, toute l'assistance musulmane présente sur les lieux a exigé que le chef de l'Etat dise un mot. Dans la langue Yoruba, le président Boni Yayi a salué cette initiative et remercié les organisateurs avant d'inviter le peuple béninois à l'amour du prochain, la solidarité pour qu'il y ait toujours la paix au Bénin. bibo:pages 3 -- o:id 8884 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8884 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8898 27066 27067 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/95841f1df66d884802da0f870d3f3757290ce9b2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8e7b5661f2b833a60a6bcabd53168430bbc24248.tiff https://islam.zmo.de/files/original/f60cddcb511e23cb09c62de849a15a8e2c8f99fd.tiff dcterms:title Prière de remerciements à Parakou : le président Boni Yayi baptisé "Mohamed" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/214 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13179 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-09-26 dcterms:identifier iwac-article-0004148 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le collège des imams de Parakou a organisé, vendredi 22 septembre dernier, une grande prière à la grande mosquée de Yarakinnin à Parakou au cours de laquelle le président Boni Yayi a été baptisé "Mohamed". C’était en guise de remerciements à ce dernier pour avoir nommé leur fille Sakinatou Abdou Alfa Orou Sidi, ministre. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14808 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le collège des imams de Parakou a organisé, vendredi 22 septembre dernier, une grande prière à la grande mosquée de Yarakinnin à Parakou au cours de laquelle le président Boni Yayi a été baptisé "Mohamed". C’était en guise de remerciements à ce dernier pour avoir nommé leur fille Sakinatou Abdou Alfa Orou Sidi, ministre. Par Désiré GBODOUGBE, Antenne régionale de Parakou L'expression de la reconnaissance d'un bien-fait à quel qu'un se fait de plusieurs manières. Les populations de Parakou, pour remercier le président Boni Yayi, ont choisi la prière pour le faire. Prière pour sa protection, une parfaite santé, une clairvoyance guidée par Dieu. Ses amis, parents, alliés et tout Parakou ont saisi l'occasion de la toute première sortie de la ministre déléguée, chargé de la Micro-finance et de la Promotion des Petites et Moyennes Entreprises à Parakou pour organiser cette prière d'action de grâce. Cet office religieux auquel ont pris partie préfet du Borgou et de l'Alibori, Alassane Gado et le maire de la ville de Parakou, Samou Séidou Adambi, a été dirigé par l'imam Issa Aboudoulaye. C'était l'occasion pour les fidèles de donner au président du Bénin, le Dr Boni Yayi, le nouveau nom musulman de « Mohamed ». Car, pour eux, le prophète « Mohamed », après Dieu, incarne tout. Ce nom saint protègera le Dr Boni Yayi dans tout ce qu'il entreprendra pour notre pays, ont-ils indiqué. Au-delà de toute considération, cette prière répond non seulement à de simples remerciements mais aussi à une volonté des populations de Parakou de voir Boni Yayi réussir sa mission du changement pour un Bénin prospère. Autrement dit, Boni Yayi a besoin, en plus d'une force physique, d'une vitalité spirituelle assurée par la prière des fidèles. bibo:pages 1 3 -- o:id 8885 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8885 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8899 27068 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2f832e474fb5f7c37b1b2408f8d2fa4455e2a818.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bec35f27c56c35fa2e99593ff6d352e21571a4ce.tiff dcterms:title Banque islamique du Bénin : une institution qui entend servir les Béninois dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14580 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/20 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1432 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-09-27 dcterms:identifier iwac-article-0004149 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le secteur bancaire béninois est de plus en plus actif, il s'enrichira bientôt d’une nouvelle banque, la Banque Islamique du Bénin. L'assemblée générale constitutive s'est tenue, hier mardi 26 septembre, à la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin, à cotonou. La cérémonie d'ouverture de l'assemblée générale a été présidée par l’ancien ministre d'Etat, Zul-Kifl Salami, en présence des actionnaires constituants, des hommes d’affaires et autres investisseurs. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le secteur bancaire béninois est de plus en plus actif, il s'enrichira bientôt d’une nouvelle banque, la Banque Islamique du Bénin. L'assemblée générale constitutive s'est tenue, hier mardi 26 septembre, à la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin, à cotonou. La cérémonie d'ouverture de l'assemblée générale a été présidée par l’ancien ministre d'Etat, Zul-Kifl Salami, en présence des actionnaires constituants, des hommes d’affaires et autres investisseurs. Déjà présente dans plusieurs pays de la région, la Banque Islamique (Bl) sera la douzième banque que compte le Bénin. La différence avec les autres banques est que la Banque islamique du Bénin, selon le président du comité préparatoire de l'assemblée constitutive, Zul-Kifl Salami, représente une contribution magistrale à l'œcuménisme des religions révelées. Elle compte parmi ses actionnaires constituants aussi bien des musulmans que des fidèles d'autres confessions religieuses. Mieux, elle permettra au Bénin, non seulement de devancer d'autres pays de la sous-région, mais aussi de financer son économie en promouvant les investissements intérieurs comme extérieurs. Ce qui, à coup sûr, devra permettre une amélioration de la croissance économique. Bientôt mise en service Cinq points étaient inscrits à l'ordre du jour de l'assemblée générale constitutive, à savoir : la présentation de la stratégie et du plan opérationnel de la banque, l'approbation des statuts, l'élection du premier conseil d'administration, la nomination des commissaires aux comptes et la fixation de la date et du lieu de la première assemblée générale des actionnaires. Ces assises qui marquent le départ pour la constitution de la banque ont été l'occasion pour Zul-Kifl Salami et le consultant Gilbert Mèdjè d'apporter quelques informations capitales aux autres constituants. Des informations relatives à la charpente même de cette banque qui sera opérationnelle dans 150 jours à partir de la tenue de l'assemblée constituante. Selon Zul-Kifl Salami, la Banque islamique du Bénin (en création) est une société anonyme avec conseil d'administration et au capital de cinq milliards de FCFA. Le capital souscrit est de 1,5 milliard de FCFA. Mais l'augmentation du capital social sera faite par les ressources extérieures provenant de la Banque islamique de Développement (BID) et des investisseurs des pays du Golfe. L'intégrité absolue Aussi, bien qu'étant confessionnelle, la Banque islamique du Bénin fonctionnera-t-elle exactement comme les autres banques, avec des cadres et autres agents bien formés et d'une intégrité absolue au service de tous. Quant aux promoteurs et actionnaires, Zul-Kifl Salami assure que ce projet de banque islamique au Bénin sera éminemment rentable pour eux. Ce serait là le résultat de l'étude technique. D'ailleurs, il ne saurait en être autrement, puisque la vision de cette banque est d'être le leader de l'industrie bancaire islamique au Bénin et dans la sous-région. Ainsi, selon lui, elle ne serait que la solution à la panne actuelle de financement du secteur privé au Bénin. A preuve, la Banque islamique du Bénin, qui ouvrira dans quelques semaines ses portes à Cotonou, entend, entre autres, assurer un bon retour sur investissement de l'ordre de 30 à 35%, distribuer le revenu national, soutenir la croissance économique, financer les PMI /PME au Bénin et assurer le financement des projets sociaux par des dons (non remboursables). Sur la base de ces objectifs, les promoteurs de la banque se sont fixés en premier scénario, 29 millions FCFA pour la première année jusqu'à 2 milliards 390 millions de F CFA la 5ème année. En deuxième scénario, il est prévu 29 millions F CFA la première année, jusqu'à 2 milliards 889 millions F CFA la 5ème année. En somme l'arrivée prochaine de la Banque islamique du Bénin est le signe du dynamisme de l'espace économique béninois. bibo:pages 5 -- o:id 8886 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8886 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8900 27069 27070 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1063b5942ff478df764c8ceb09ef12a05531ea9a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/28ecef91571364733aeb85a36da963c536351a60.tiff https://islam.zmo.de/files/original/2bc1c1b9ace209125d2cc3e03a835cd9246d9890.tiff dcterms:title Communiqué dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15066 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/782 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/773 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-04-29 dcterms:identifier iwac-article-0004150 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Arrivée au Bénin le jeudi 30 avril 2009 à 14 h de Sa Sainteté le Docteur Abdallah Abdoul Mouhssine Attourky, secrétaire général de la Ligue Islamique mondiale, en provenance de la Mecque en Arabie Saoudite. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Arrivée au Bénin le jeudi 30 avril 2009 à 14 h de Sa Sainteté le Docteur Abdallah Abdoul Mouhssine Attourky, secrétaire général de la Ligue Islamique mondiale, en provenance de la Mecque en Arabie Saoudite. Communiqué L’Union islamique du Bénin UIB) et le Bureau de la Ligue islamique mondiale informent le public béninois de la visite au Bénin du jeudi 30 avril 2009 au dimanche 3 mai 2009 de Sa Sainteté le Docteur Abdallah Abdoul Mouhssine Attourky, secrétaire général de la Ligue islamique mondiale en provenance de la Mecque en Arabie Saoudite. Le BEN/UIB, le Conseil supérieur de l’Islam au Bénin et le bureau de la Ligue islamique mondiale au Bénin convient toute la communauté à se mobiliser pour réserver un accueil chaleureux à notre illustre hôte. N.B. : Accueil à l’aéroport de Cotonou, de notre Illustre hôte, le jeudi 30/04/09 à 14 h 00. Soyons tous au rendez-vous. Assalam Aleikoum bibo:pages 1 2 -- o:id 8887 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8887 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8901 27071 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9af968375a17e583b1baf7a55e375bf0442a5544.pdf https://islam.zmo.de/files/original/38efbe71796496759b7f9a4d8c2e72ab03e5a7c3.tiff dcterms:title Assemblée générale des femmes musulmanes du Mono : promotion et développement socio-économique au cœur des assises dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14670 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/782 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/114 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13127 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-02-26 dcterms:identifier iwac-article-0004151 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’hôtel Etoile Rouge de Lokossa a servi de cadre, mardi 24 février dernier, à la tenue de I’Assemblée générale constitutive de l’Union des femmes musulmanes du Mono (UFMUMO). Présidée par El-Hadja Amina W. Makindé, cette rencontre a été l’occasion pour ces femmes venues des six communes du Mono, d’échanger sur divers points, afin de participer à leur manière, à la promotion et au développement socio-économique des femmes musulmanes de ce département. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14924 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’hôtel Etoile Rouge de Lokossa a servi de cadre, mardi 24 février dernier, à la tenue de I’Assemblée générale constitutive de l’Union des femmes musulmanes du Mono (UFMUMO). Présidée par El-Hadja Amina W. Makindé, cette rencontre a été l’occasion pour ces femmes venues des six communes du Mono, d’échanger sur divers points, afin de participer à leur manière, à la promotion et au développement socio-économique des femmes musulmanes de ce département. Œuvre de l’Imam d’Agoué, Chakirou Bouraïman, membre du Conseil supérieur islamique du Bénin (CSIB), l’UFMUMO est l’une des cellules de base sur laquelle le bureau départemental du Mono doit s’appuyer pour promouvoir les idéaux religieux fondés sur le respect des droits de l’homme et particulièrement ceux des femmes membres. Avec un bureau composé de treize membres, l’UFMUMO est apolitique et entend veiller à défendre la cause des femmes musulmanes dans le Mono, en particulier sur les plans socio-économique, culturel, éducatif et sanitaire. Aussi, l’UFMUMO doit-elle, pour mieux s’implanter, créer des cadres éducatifs islamiques (Assalatou) dans tous les points focaux, de manière à sensibiliser les parents à envoyer leurs enfants à l’école coranique, sensibiliser contre le viol, le mariage précoce, l’avortement, la traite des enfants et autres. En outre, l’UFMUMO, doit rechercher pour ses membres des moyens de financement (micro-finance). Notons qu’à cette rencontre, qui a débuté et pris fin par la prière dirigée par l’Imam d’Agoué, divers thèmes ont été débattus. Il s’agit entre autres des «objectifs de l’UFMUMO» présentés par l’Imam d’Agoué, de « Femme-Emploi-microfinance et microcrédit » par le directeur régional de l’Agence nationale pour l’emploi et de « Femme et vie associative » par le directeur départemental chargé des Relations avec les Institutions. Tout en saluant les femmes pour leur présence qui dénote de l’intérêt accordé à tout ce qui les concerne, Amina Makindé a remercié l’Imam pour son implication personnelle dans la réussite de ces assises, et tous les autres partenaires qui y ont contribué. bibo:pages 7 -- o:id 8888 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8888 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8902 27072 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6fd940dd47fe90aa8a87319946ad49ad779e5937.pdf https://islam.zmo.de/files/original/26b6efd9dd7e3bbcc0898bafe2cfe4d401a16b74.tiff dcterms:title En visite de prospection au Bénin : des hommes d'affaires saoudiens chez Nicaise Fagnon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1414 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-02-18 dcterms:identifier iwac-article-0004152 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre des Travaux publics et des Transports, Nicaise Fagnon a reçu en audience, dans l'après-midi d'hier mardi 17 février, un groupe d’hommes d’affaires de l'Arabie Saoudite, en visite de prospection au Bénin du 14 au 20 février 2009. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13927 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre des Travaux publics et des Transports, Nicaise Fagnon a reçu en audience, dans l'après-midi d'hier mardi 17 février, un groupe d’hommes d’affaires de l'Arabie Saoudite, en visite de prospection au Bénin du 14 au 20 février 2009. L’environnement économique du Bénin commence par intéresser les opérateurs économiques des pays du Nord. On en veut pour preuve la visite qu’effectue actuellement dans notre pays un groupe d’hommes d'affaires de l’Arabie Saoudite. En visite de prospection au Bénin du 14 au 20 février, la délégation conduite par l’ambassadeur du Bénin près d'Arabie Saoudite, Daouda Waïbi, a rencontré plusieurs autorités béninoises, dont le ministre des Travaux publics et des Transports, Nicaise Fagnon. Au sortir de cette rencontre hier, le chef de la délégation arabe, Sheik Saoud Al Mouvaïbid, a expliqué que c’est une grande joie pour son groupe de s'entretenir avec le ministre Nicaise Fagnon après une première rencontre en Arabie Saoudite. Il a dit que les échanges ont tourné autour des opportunités d’affaires et d’investissements au Bénin. Selon le chef de la délégation, il s’agit pour lui et son groupe de voir dans quels domaines, ils peuvent accompagner le développement du Bénin. Déjà, plusieurs secteurs d’activités intéressent ces hommes d’affaires saoudiens. Il s’agit notamment des secteurs de l'agriculture et des routes. En effet, ils ont promis intervenir dans le développement de l'agriculture et nous aider à trouver d’autres débouchés pour l'écoulement de nos produits agricoles. Par ailleurs, ils ont pris l’engagement d’aider le Bénin dans la mobilisation des ressources financières. Ils ont également jeté les bases de la possibilité d’avoir une ligne aérienne directe qui relie le Bénin, l’Arabie Saoudite et Abou Dabi. Selon Sheikh Saoud Al Mouvaïbid, ces projets vont démarrer dans un futur proche. Pour le ministre Nicaise Fagnon, la visite de ces opérateurs économiques saoudiens au Bénin est une opportunité que doit saisir notre pays. Car, selon lui, ils sont des hommes d’affaires de renom, très proches de la famille royale d'Arabie Saoudite. bibo:pages 3 -- o:id 8904 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8904 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8910 27073 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a800f8db039db0850fd5340377de5c27bb1680cb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e4e1b53d84600750ee3e9e2c55bf172732ee4ef2.tiff dcterms:title Conférence internationale sur le financement du développement : Boni Yayi au Qatar ce jour dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1562 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14562 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-11-28 dcterms:identifier iwac-article-0004153 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’invitation de Son Altesse Sheikh Hamad Bin Khalifa Al-Thani, Emir du Qatar, Son Excellence le Docteur Boni Yayi, président de la République du Bénin, chef de l’Etat, chef du Gouvernement prendra part à la réunion de haut niveau sur le suivi de la Conférence internationale sur le financement du développement qui se déroulera à Doha au Qatar du 28 novembre au 02 décembre 2008. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13001 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13513 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/542 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l’invitation de Son Altesse Sheikh Hamad Bin Khalifa Al-Thani, Emir du Qatar, Son Excellence le Docteur Boni Yayi, président de la République du Bénin, chef de l’Etat, chef du Gouvernement prendra part à la réunion de haut niveau sur le suivi de la Conférence internationale sur le financement du développement qui se déroulera à Doha au Qatar du 28 novembre au 02 décembre 2008. Cette rencontre offrira l’occasion de faire le bilan des progrès réalisés depuis l’adoption du consensus de Monterrey au Mexique en 2002. La participation du Chef de l’Etat à cette réunion lui permettra d’échanger avec les autres chefs de délégation sur la recherche de solutions aux crises qui secouent actuellement notre planète. Fait à Cotonou, le 27 novembre 2008 Cosme AROUNA Porte-parole du ministère des Affaires étrangères bibo:pages 1 -- o:id 8905 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8905 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8911 27074 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/da7ea3a839f50722f4c91a9cbd631b7604b24ef9.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b224f6d536b6276e0aa78a7cdfb3d070df142364.tiff dcterms:title Fin du colloque national sur les confessions religieuses et la laïcité : bâtir la nation béninoise en respectant le pouvoir spirituel dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/224 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-11-11 dcterms:identifier iwac-article-0004154 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Démarré le jeudi 6 novembre, le colloque national sur les confessions religieuses et la laïcité a pris fin vendredi 7 novembre dernier au Conseil national des chargeurs du Bénin à Cotonou. Pour un dialogue intra religieux et inter religieux, les participants ont pris des résolutions et formulé des recommandations. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Démarré le jeudi 6 novembre, le colloque national sur les confessions religieuses et la laïcité a pris fin vendredi 7 novembre dernier au Conseil national des chargeurs du Bénin à Cotonou. Pour un dialogue intra religieux et inter religieux, les participants ont pris des résolutions et formulé des recommandations. Selon Honorat Adjovi, directeur de cabinet du ministère chargé des Relations avec les institutions, l'importance de ce Colloque n'est plus à démontrer quand on sait que nul n'est de trop pour le développement de notre pays. Car, a-t-il poursuivi, il ne peut y avoir une barrière entre les confessions religieuses et le pouvoir politique. Autrement dit, la laïcité ne doit pas être perçue comme une ségrégation entre les confessions religieuses et les faits publics, mais comme un principe fondamental de vie d'ensemble dans des contextes où règne la pluralité des conceptions. Cette initiative relève pour lui de l'engagement du chef de l'Etat de respecter la Constitution de notre pays. Pour Michel Alokpo, président du comité préparatoire du colloque, l'analyse rétrospective de la mise en œuvre du principe constitutionnel de laïcité dans notre pays, a permis de constater qu'il n'existe aucun régime juridique du concept et que celui-ci fait l'objet de multiples interprétations. Lesquelles interprétations se caractérisent le plus souvent par le rejet du fait religieux dans l'espace public. C'est pourquoi, les participants ont réaffirmé au cours de ce colloque leur volonté de respecter la séparation des pouvoirs, en particulier temporel et spirituel. Car, il n'y a pas de contradiction entre cette exigence républicaine et la volonté de bâtir une nation béninoise à l'écoute de ceux qui sont les garants de l'ordre moral et spirituel. En outre, ils ont affirmé en accord avec les principes républicains, leur attachement à l'Etat de droit, aux libertés publiques et au respect de la laïcité républicaine. Recommandations et résolutions Au terme de ce colloque, les participants ont fait des recommandations et pris des résolutions pour une meilleure collaboration entre le religieux et le politique. Il s'agit de la création d'un comité de mise en œuvre et de suivi des actions du colloque, de l'élaboration d'un cadre juridique de partenariat, entre l'Etat et les confessions religieuses et les chefferies traditionnelles, pour une contribution appréciable des confessions religieuses à travers les programmes sociaux, éducatifs, sanitaires et de mobilisation sociale de développement; de la participation au réarmement moral de la nation; de la contribution à la résolution des crises; des subventions aux écoles et centres de santé confessionnels ; de l'intégration de l'enseignement des valeurs religieuses dans notre système éducatif public, et de l'association et la consultation des forces morales et spirituelles au sujet des grands dossiers de la nation. Conscients de l'enjeu de développement pour le Bénin, les participants ont formulé des résolutions en 5 points. Aussi se sont-ils résolue de promouvoir le dialogue intra-religieux et inter-religieux, d'encourager une meilleure organisation interne de la royauté, des chefferies traditionnelles et des confessions religieuses afin qu'elles assument leur partenariat avec l'Etat dans le contexte de laïcité en respect de l'article 23 de la Constitution du Bénin. De mettre en place le cadre inter-religieux pour la médiation et le dialogue social qui sera chargé des médiations spécifiques entre les différents acteurs sociaux, de manière impartiale et objective dans l'intérêt supérieur de la nation. Enfin, de mettre en place un comité intellectuel chargé d'étudier les conditions d'encadrement de la frontière entre la politique et le religieux. Ledit comité devra être élargi à toutes les sensibilités religieuses et politiques; et s'engager résolument dans la mission conjointe de mobilisation, d'éducation, de socialisation et de solidarisation de chacun et de tous sans exclusion ni prétention aucune. bibo:pages 11 -- o:id 8906 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8906 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8912 27075 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/235adfbf8aa6fc0594c1ef823dd1f6726939b5cc.pdf https://islam.zmo.de/files/original/aac9dda10b1ae894375d610d548fb58e27833acf.tiff dcterms:title Audience au palais de la République : un Saoudien au cabinet présidentiel dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-06-30 dcterms:identifier iwac-article-0004155 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le chef de l'Etat, le président Boni Yayi a reçu en audience le samedi 28 juin dernier, le vice-président du Fonds saoudien pour le développement, Youssef Al Bassam. Au cours de cet entretien, il a été surtout question du financement de plusieurs projets au Bénin dont celui de la protection de la côte, de l’épi de Siafato contre l'érosion marine. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le chef de l'Etat, le président Boni Yayi a reçu en audience le samedi 28 juin dernier, le vice-président du Fonds saoudien pour le développement, Youssef Al Bassam. Au cours de cet entretien, il a été surtout question du financement de plusieurs projets au Bénin dont celui de la protection de la côte, de l’épi de Siafato contre l'érosion marine. Le directeur du Fonds saoudien pour le développement, Youssef Al Bassam, à sa sortie de l'audience a déclaré qu'il a d'abord transmis les salutations du Royaume de l'Arabie Saoudite au président Boni Yayi avant d'aborder la coopération entre le Bénin et le Fonds saoudien pour le développement, et des projets à financer au Bénin. Au Bénin sur invitation du gouvernement, c'est la signature de l'accord relatif au financement de la protection de la côte béninoise qui justifie la présence de Youssef Al Bassam au cabinet présidentiel. Cet accord qui devait être signé le même jour s'élève à 12 millions de dollars U$. A cela s'ajoute un autre montant de .3 millions de dollars U$ pour la réalisation de forages dans certaines localités béninoises. Il a été aussi question au cours de cette audience avec le chef de l'Etat d'autres financements dans des secteurs tels que la santé, l'éducation, l'agriculture et autres. bibo:pages 3 -- o:id 8907 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8907 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8913 27076 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/312d20073874a14f245d28efef55b2eeafbef787.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3efd13b20945f41367145e0f265fc4ce063a03e1.tiff dcterms:title Audiences au Palais de la République : le chef suprême de la Jamaat islamique chez Boni Yayi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13596 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-04-25 dcterms:identifier iwac-article-0004156 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République, le Dr Boni Yayi a reçu, hier jeudi 24 avril, à son cabinet deux délégations, l’une de la Renaissance Group et celle du chef suprême mondial de la Jamaat islamique ahmadiya international, sa Sainteté Hazrat Mirza Masroor Ahmad. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République, le Dr Boni Yayi a reçu, hier jeudi 24 avril, à son cabinet deux délégations, l’une de la Renaissance Group et celle du chef suprême mondial de la Jamaat islamique ahmadiya international, sa Sainteté Hazrat Mirza Masroor Ahmad. Le dirigeant de la Renaissance Group, Andrew Cornthwaite a déclaré à sa sortie d'audience qu'il est allé présenter sa société au chef de l'Etat. Selon lui, Renaissance Group basé en Russie a cent cinquante (150) collaborateurs en Afrique. Il a profité de l'audience pour discuter avec son hôte de la possibilité d'aider le Bénin dans ses grands projets de développement, notamment dans le domaine du port et de l'aéroport. Le chef suprême mondial de la Jamaat islamique ahmadiya, Sa Sainteté Hazrat Mirza Masroor Ahmad a indiqué être allé rendre une visite de courtoisie au président de la République, parce qu'il est en tournée au Bénin pour visiter les projets réalisés par son organisation dans notre pays. La Jamaat islamique Ahmadiya intervient dans les domaines de la santé, de l'éducation, et de l'eau. Il a précisé que leur objectif est surtout d'aller vers les nécessiteux pour leur permettre de bénéficier des bonnes œuvres. bibo:pages 3 -- o:id 8908 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8908 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8914 27077 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/01ce462636ef1dbbc0bc8c593834f26135e775ea.pdf https://islam.zmo.de/files/original/af17b71e4f8992408fbe3eefd66a89e249a22a87.tiff dcterms:title Arrivée prochaine du chef suprême de la communauté musulmane : le Bénin prépare l'accueil dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13970 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13011 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-04-18 dcterms:identifier iwac-article-0004157 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Du 23 au 26 avril prochain sera en visite dans notre pays, Sa Sainteté le Kalifatul Hadhrat Mirza Masroor Ahmed, chef suprême mondial de la communauté islamique Ahmadiyya international. En prélude à cette visite, l’association Jamma’at Islamique Ahmadiyya du Bénin a organisé une conférence de presse hier jeudi 17 avril à l’hôtel GL à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/430 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/549 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Du 23 au 26 avril prochain sera en visite dans notre pays, Sa Sainteté le Kalifatul Hadhrat Mirza Masroor Ahmed, chef suprême mondial de la communauté islamique Ahmadiyya international. En prélude à cette visite, l’association Jamma’at Islamique Ahmadiyya du Bénin a organisé une conférence de presse hier jeudi 17 avril à l’hôtel GL à Cotonou. 1908 à 2008, cela fait 100 ans qu'est mort Hadhrat Mirza Ghulam Ahmad, fondateur do la Jama'at Islamique Ahmadiyya en 1889 à Qadian, en Inde. Depuis cette disparition, des Califes se sont succédé dont le 5e Hadhrat Mirza Masroor Ahmad qui va fouler le sol du Bénin le 23 avril prochain. Selon le conférencier Allassane Akobi, la Jamma'at Islamique Ahmadiyya depuis sa création travaille pour le développement moral, spirituel et matériel de l'humanité autour de son credo « L'amour pour tous, la haine pour personne ». Son arrivée au Bénin pour la toute première fois est un grand événement quand on sait que, dans tout le monde, il ne visitera que 6 pays à savoir : l'Allemagne, le Canada, l'Inde, le Ghana, le Nigeria et le Bénin. Il sera reçu par Boni Yayi, le chef de l'Etat et procédera à l'inauguration d'une mosquée entièrement financée et construite par la Jamma'at Ahmadiyya à Porto-Novo. Cette mosquée est d'une capacité de 2000 personnes. Des séances et des audiences sont prévues avec les membres du gouvernement du Bénin. Son séjour au Bénin ne sera pas sans retombées spirituelles et matérielles. Depuis son introduction au Bénin en 1 967, la Jamma'at Ahmadiyya a réalisé d'importantes œuvres sociales et. humanitaires dont les forages de puits, les camps médicaux pour des soins gratuits aux populations défavorisées des villes et campagnes, les dons de produits alimentaires et de tenues vestimentaires aux sinistrés, la construction et l'équipement de modules de classe, la construction de centres de santé, l'installation des centres informatiques et des systèmes d'énergie solaire dans les villages, la création d'ateliers de couture et le démarrage de la construction d'un orphelinat dans la ville de Porto-Novo. Des œuvres qui sont réalisées grâce au bénévolat de ses membres. bibo:pages 11 -- o:id 8909 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8909 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8915 27078 27079 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/32af8b88a3e5297bf1ffdcaa686a835a75a5480e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/14b3c81adbdcf61b0b1180e59f61aa5610fa3a0d.tiff https://islam.zmo.de/files/original/45d27f5499a8e98591a7f3c465aeb333411264b6.tiff dcterms:title Ouverture à Dakar du 11e sommet de l'OCl : pour le renouveau de la oummah islamique dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1494 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14416 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14659 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15392 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12903 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/45 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/808 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-03-14 dcterms:identifier iwac-article-0004158 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’hôtel " Le Méridien Président ” de Dakar abrite depuis hier jeudi 13 mars, les travaux du 11è sommet des chefs d'Etats, de gouvernement, rois et souverains des pays membres de l'Organisation de la Conférence islamique (OCI). Ce sommet qui intervient quatre ans et demi après le 10ème tenu en Malaisie se veut un sommet exceptionnel, celui du renouveau de la oumma islamique (la communauté des musulmans) décidée à faire face aux défis du 21ème siècle. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14579 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14090 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/407 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’hôtel " Le Méridien Président ” de Dakar abrite depuis hier jeudi 13 mars, les travaux du 11è sommet des chefs d'Etats, de gouvernement, rois et souverains des pays membres de l'Organisation de la Conférence islamique (OCI). Ce sommet qui intervient quatre ans et demi après le 10ème tenu en Malaisie se veut un sommet exceptionnel, celui du renouveau de la oumma islamique (la communauté des musulmans) décidée à faire face aux défis du 21ème siècle. Plusieurs chefs d'Etats et de gouvernement, rois et souverains dont le chef de l'Etat béninois Boni Yayi, ont répondu présents à l'invitation du president sénégalais Abdoulaye Wade. C'est par la récitation des versets du Saint Coran qu'a démarrés l'ouverture des travaux du sommet. Consacré au thème " la oummah islamique au 21ème siècle ", ce 11 ème sommet de l'OCI a été pour le président du 10ème sommet, le premier ministre malaisien, Abdullah Bin Haji Ahmad Badawi, l'occasion de faire le bilan de son mandat. Retenu au pays pour raisons d’élections, son bilan a été présenté par son représentant. En terme de bilan, on retient entre autres, que sous sa présidence, l'OCI a œuvré pour l'elargissement des bases de coopération entre les pays membres et pour la promotion du dialogue entre l'Occident et le monde musulman. Au moment de remettre le flambeau au Sénégal, la Malaisie a insisté sur la nécessité de revitaliser l'OCI afin qu'elle joue un rôle plus important dans l'amélioration du bien-être et de la paix dans le monde. Pour le président sortant, l'OCI doit renforcer ses. capacités pour lutter contre la xénophobie, les attaques et les diffamations contre l'islam. " Nous devons trouver notre voie et nous affirmer davantage dans le concert des nations " a déclaré le porte-parole de la Malaisie qui a par ailleurs, fait part des initiatives prises au cours de son mandat pour donner à l'organisation tout son sens. Vers l'adoption d'une nouvelle charte de l'OCI Pour sa part, le président entrant, président de la 11e conférence, Abdoulaye Wade s’est réjoui du choix porté sur son pays pour abriter ce sommet qui est, selon lui, le sommet de l'Afrique musulmane. Après avoir exprimé sa gratitude à toutes les structures qui ont œuvré pour la tenue dans de bonnes conditions dudit sommet, Abdoulaye Wade a dévoilé les grands axes qui marqueront son mandat. Ainsi, a-t-il indiqué, le renouveau de la oummah islamique se fera avec une organisation revitalisée. C'est pourquoi il a salué la proposition d'un nouveau projet de charte de l'OCI à l'issue de la réunion des ministres des affaires étrangères. Cette nouvelle charte qui constitue la loi fondamentale de l'OCI sera adoptée au cours de ce sommet. Pour Abdoulaye Wade, il est question aujourd'hui pour l'organisation de faire face aux défis du 21 ème siècle. Au nombre de ces défis, le président sénégalais a souligné le défi existentiel de tous les musulmans menacés par la détérioration de notre environnement, le changement climatique et les nouvelles maladies. A ce sujet, il a exhorté tous les Etats du monde à respecter la convention de Kyoto. Il a plaidé pour la construction de la grande muraille verte et pour la multiplication des bassins de rétention d'eau dans les pays. Montrer le vrai visage de l'islam Le président sénégalais a également cité le défi existentiel des musulmans en tant que membres de la race humaine. Il s'agit, selon lui, de montrer par des actes et des paroles le vrai visage de l'islam, une religion de tolérance et de paix. " Nous sommes interpellés par rapport à notre liberté d'exercer notre culte ", a-t-il déclaré avant de fustiger le développement de l'islamophobie. Tout en dénonçant l'amalgame qui est fait entre islam et terrorisme, Abdoulaye Wade propose d'œuvrer à faire connaître les merveilleuses réalisations de l'islam. Il a par ailleurs rappelé que les musulmans dans leur grande majorité, rejettent la violence et le terrorisme. Par rapport au développement de l'islamophobie en Occident, tous les intervenants ont reconnu qu'il s'agit d'un phénomène marginal. Pour le président sortant de la Commission de l'Union africaine, Alpha Oumar Konaré, il s'agit de groupes marginaux certes, mais dangereux qui ont pris en otage certains leaders politiques. Alpha Oumar Konaré compte sur la nouvelle charte qui sera adoptée pour apporter plus d'efficacité à l'OCI, une efficacité qui se traduira, selon lui, par des actes concrets et non par des discours. Un autre défi que se propose de relever Wade au cours de son mandat, c'est de dynamiser le partenariat économique et social. La cause palestinienne au cœur du sommet Pour lui, la solidarité islamique doit se traduire par le renforcement des partenariats économiques. A cet effet, il propose, au lieu de déposer leurs fonds importants (environ 500 milliards de dollars US) dans les banques européennes qui génèrent des intérêts - ce que la charia interdit-que les investissements arabes interviennent davantage sur le continent africain pour lutter contre la pauvreté. Il a également plaidé pour l'effacement de la dette des pays membres de l'OCI. La cause palestinienne qui est l'une des raisons de la création de l'OCI en 1969 a préoccupé le sommet Par rapport à la question, Abdoulaye Wade a invité les Palestiniens à s'unir autour de l'essentiel : la création d'un Etat palestinien indépendant et viable reconnu par la communauté internationale. Tout en demandant à Israël de " mettre fin à ses interventions illégales sur les territoires occupés ", Abdoulaye Wade a fait part de sa disponibilité à jouer la médiation entre les deux parties car, sa priorité sera la paix non seulement entre l'Israël et la Palestine, mais aussi dans tout le Moyen Orient. En réponse au souhait du président Wade, le chef de l'Etat palestinien Mahmoud Abas s'est engagé à déployer tous les efforts pour assurer l'unité des Palestiniens. Il a fait part de ce que subit le peuple palestinien et s'est engagé à œuvrer pour la paix car c'est ce que prône l'islam et c'est le choix de la oummah islamique. Tous les autres intervenants à ce sommet sont revenus sur la situation de la Palestine qui peut compter sur le soutien et la solidarité de la communauté musulmane. Signalons que quelques cinq mille personnes provenant des 57 Etats membres participent aux assises de l'OCI dont les travaux préliminaires ont démarré depuis le 08 mars. Ce sommet rassemble les sommités du monde musulman et de la communauté internationale dont le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-Moon. bibo:pages 1 10 -- o:id 8917 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8917 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8931 27080 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6baaa45332852de8d0c28b3bf0e6814a717f89fb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b8f500b08c98ae3989debd0bfa4b45ac152694d3.tiff dcterms:title Accord de prêt entre le Bénin et la BID : un atelier pour relancer la mise en œuvre dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1611 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13281 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-04-22 dcterms:identifier iwac-article-0004159 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’Infosec de Cotonou a servi de cadre hier à un atelier organisé par la Banque islamique de Développement (BID) et le ministère de la Micro Finance. Cet atelier vise à faire la restitution de la synthèse d’une étude relative à un accord de prêt entre le Bénin et cette banque pour la mise en place de micro-crédits. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’Infosec de Cotonou a servi de cadre hier à un atelier organisé par la Banque islamique de Développement (BID) et le ministère de la Micro Finance. Cet atelier vise à faire la restitution de la synthèse d’une étude relative à un accord de prêt entre le Bénin et cette banque pour la mise en place de micro-crédits. Faire la synthèse des lâches déjà exécutées, le rappel des objectifs du projet et de son mode opératoire ainsi que les procédures de la Banque islamique de développement (BID) en matière de décaissement et d'acquisition de biens et services, toutes choses permettant de procéder au lancement des activités de ce projet par les structures financières décentralisées retenues à cet effet. C'est ce qui justifie la tenue de cet atelier de restitution. Le projet y relatif concerne la mise en place de micro crédits. Selon Aliou Moriba Djibril, directeur de cabinet du ministère de la Micro Finance, des Petites et Moyennes Entreprises, de l'Emploi des Jeunes et des femmes, l'un des rôles de ce département ministériel « est de promouvoir et de développer les activités des Structures financières décentralisées (SFD) en terme de mobilisation des ressources aussi bien auprès des partenaires techniques et financiers nationaux qu'étrangers ». C'est pourquoi Je gouvernement béninois a conclu un accord de prêt avec la BID en 2004 convaincu que la micro finance peut être un moyen efficace de lutte contre la pauvreté comme l'ont reconnu de nombreux acteurs de développement. Ce projet qui sera mis en œuvre par PADME et l'AssEF, deux SFD a pour objectifs d'aider le Bénin à lutter contre la pauvreté, contribuer au renforcement des institutions de micro finance, faciliter et accroître les possibilités d'accès aux micro crédits aux populations vulnérables, à faibles revenues et exerçant des activités génératrices de revenus. Malgré ses nobles objectifs, le projet a été bloqué dans sa phase préparatoire pour des raisons administratives. Le présent atelier a pour but ultime de décanter la situation et de permettre aux populations, à savoir plus précisément les femmes et les jeunes, de bénéficier de cet appui de la BID. bibo:pages 10 -- o:id 8918 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8918 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8932 27081 27082 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c77fe8977a79927c8d4dc592d4850930e0eaa11c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2ea1e554d3f2bb11e0722846acaa673e0b86f5b1.tiff https://islam.zmo.de/files/original/8a6a3db4e6551accc33b19a4195a45e4a0af451a.tiff dcterms:title Hadj 2008 : Boni Yayi dope le moral des pèlerins dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1384 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1398 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2008-11-19 dcterms:identifier iwac-article-0004160 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Quelques heures après son retour hier des Journées européennes de Développement qui se sont déroulées à Strasbourg en France, le chef de l’Etat, Boni Yayi est allé à l'aéroport international Cardinal Bernardin Gantin de Cotonou où il a rendu visite aux pèlerins en partance pour la Mecque 2008. Objectif, constater de visu, comme l’année dernière, que le voyage de ceux-ci s’effectue dans de meilleures conditions. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Quelques heures après son retour hier des Journées européennes de Développement qui se sont déroulées à Strasbourg en France, le chef de l’Etat, Boni Yayi est allé à l'aéroport international Cardinal Bernardin Gantin de Cotonou où il a rendu visite aux pèlerins en partance pour la Mecque 2008. Objectif, constater de visu, comme l’année dernière, que le voyage de ceux-ci s’effectue dans de meilleures conditions. Après les ministres de l'intérieur et des Finances lundi dernier, c'est le tour du chef de l'Etat de rendre visite aux pèlerins béninois. Boni Yayi est allé doper hier, le moral de ces derniers et s'assurer des bonnes conditions de voyage qui leur sont réservées. Satisfait des conditions de convoyage de ces pèlerins, le chef de l'Etat leur a, au nom de la République, souhaité un très bon voyage dans les lieux saints. Il sonnait exactement 17h30 mn, quand le cortège présidentiel a foulé la piste d'atterrissage de l'aéroport international Cardinal Bernardin Gantin de Cotonou. A ces lieux, l'attendaient déjà les ministres de la Défense nationale, Issiffou Kogui N'Douro et de l'Intérieur, Armand Zinzindohoué. A son arrivée, le chef de l'Etat est monté directement à bord de l'appareil Royal Air qui était déjà prêt à décoller. Il a été accueilli par un tonnerre d'applaudissements des pèlerins. Ceux-ci ont manifesté toute leur satisfaction au président Boni Yayi. Les 326 pèlerins à bord de ce vol en partance pour l'Arabie Saoudite n'ont pu cacher leur joie. Ils étaient enthousiasmés des bonnes conditions dans lesquelles le pèlerinage de cette année se déroule. Ils ont remercié le gouvernement et surtout le chef de l'Etat pour avoir pris toutes les dispositions, notamment rempli à temps les formalités relatives à leurs transports. Ce qui a fait que, les errements et autres tracasseries qui ont souvent eu droit de cité les années écoulées, ont été évités pour cette édition, se réjouissent les pèlerins. Pour le président Boni Yayi, ce voyage en lieux saints constitue un moment précieux pour notre nation. Tout en rappelant la laïcité de la République, le président Boni Yayi a demandé à ces candidats pour l'Hadj 2008, de prier pour la nation béninoise et pour l'humanité qui traverse actuellement une crise profonde. bibo:pages 1 3 -- o:id 8919 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8919 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8933 27083 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4088b2e336cd9c1baafc1fbabcaed91527214355.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f1a3b9c52372d34584bb1c1206898e804c581894.tiff dcterms:title Concertation des confessions religieuses et des têtes couronnées : le cadre interreligieux appelle à une mobilisation autour de la LEPI dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12944 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14448 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/220 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-03-02 dcterms:identifier iwac-article-0004161 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Cadre de concertation des confessions religieuses et têtes couronnées du Bénin a fait une déclaration sur la situation sociopolitique actuelle de notre pays, en se prononçant notamment sur le dossier de la LEPI. C’était hier lundi 1er mars, à l’Eglise protestante méthodiste Béthel de Guinkomey à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le Cadre de concertation des confessions religieuses et têtes couronnées du Bénin a fait une déclaration sur la situation sociopolitique actuelle de notre pays, en se prononçant notamment sur le dossier de la LEPI. C’était hier lundi 1er mars, à l’Eglise protestante méthodiste Béthel de Guinkomey à Cotonou. Depuis plusieurs mois, après le vote de la loi et le lancement des opérations du Recensement électoral national approfondi (RENA) et de réalisation de la Liste électorale permanente informatisée (LEPI), le Bénin vit une crise politique et sociale qui ne cesse de s'accentuer. Or, les échéances de 2011 constitueront une première pour notre pays, parce qu’il s'agit de deux grandes élections, la présidentielle et les législatives. Pour le porte-parole du cadre, le pasteur Simon Dossou, c’est un virage capital que notre démocratie doit savoir négocier pour éviter des tensions politiques et sociales qui n'arrivent pas qu'aux autres. C’est tenant compte de l’enjeu et du défi à relever que ces deux organisations membres du Cadre interreligieux pour la paix et le dialogue social, après avoir rencontré successivement les responsables de la Mission indépendante de recensement électoral national approfondi (MIRENA), de la Commission politique de supervision (CPS) et le président de l'Assemblée nationale, ont décidé de donner leur avis sur la question. Selon leur déclaration, ils apportent leur soutien à la réalisation sans entrave du RENA et de la LEPI avant les élections de 2011. Par la même occasion, ils invitent les membres de la CPS et de la MIRENA à plus de détermination et les encouragent à surmonter les difficultés actuelles pour doter le pays de ces instruments de paix. A la classe politique, ils demandent de ne pas recourir à l’intoxication de l'opinion publique. Ils invitent la CPS à garder la tête froide devant toutes les tentatives pouvant l’amener à contourner la loi et lui recommandent de chercher à chaque tournant décisif, la voie de la sagesse et du consensus. De même, le cadre lance un appel patriotique à la mobilisation de toutes les couches sociales autour de la CPS et de la MIRENA pour la réalisation du RENA et de la LEPI. Aux députés signataires du projet d’abrogation de la loi sur la LEPI, il demande de bien vouloir reconsidérer leur position en regardant l'intérêt supérieur de la nation béninoise. Enfin, le Cadre de concertation des confessions religieuses et les tête couronnées du Bénin, se dit disposé à l'écoute de toute proposition pouvant faciliter la cohésion et le dialogue. Notons qu’avant cette déclaration, le cadre a procédé à la passation de témoin entre son président sortant, le pasteur Simon Dossou, et celui entrant, Ahmed Mohamed Sanni, Iman de Natitingou qui a placé son mandat sous le signe de la continuité de l'œuvre entamée par son prédécesseur. bibo:pages 11 -- o:id 8920 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8920 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8934 27084 27085 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f139ccd8b388a03f8b1b428fbb74485218cd3484.pdf https://islam.zmo.de/files/original/aa7ad7adeb13190f9ce0dc0e81b22d79e075e88e.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6c19bca16d4b7a0f03ee471eadc978c03548cf74.tiff dcterms:title Célébration de la fête Aïd el-kebir : les fidèles musulmans ont sacrifié à la tradition à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1971 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13365 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-11-30 dcterms:identifier iwac-article-0004162 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Comme tous les musulmans du monde entier, les fidèles musulmans de la capitale ont célébré vendredi 27 novembre dernier avec faste l’aïd el-Kébir communément appelée Tabaski ou fête de mouton. Que ce soit à la place Idi de Djassin, de Kandévié, d’Akossombo, de Gbodjè ou celle de Gbokou, les musulmans ont prié sous la direction de leur imam respectif, pour la paix au Bénin et dans les familles, avant l’immolation symbolique du bélier de la Tabaski. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Comme tous les musulmans du monde entier, les fidèles musulmans de la capitale ont célébré vendredi 27 novembre dernier avec faste l’aïd el-Kébir communément appelée Tabaski ou fête de mouton. Que ce soit à la place Idi de Djassin, de Kandévié, d’Akossombo, de Gbodjè ou celle de Gbokou, les musulmans ont prié sous la direction de leur imam respectif, pour la paix au Bénin et dans les familles, avant l’immolation symbolique du bélier de la Tabaski. Allah wa’koubarou », Dieu «est grand ! C’est par ce cri de louange, lancé à plusieurs reprises, qu’a démarré la prière commémorant l’aïd el-kébir. Il sonnait exactement neuf heures à la place Idi de Djassin, où les fidèles musulmans tous endimanchés, les hommes en première loge et les femmes après, ont salué l’arrivée de leur imam El hadj Machioudi Rachad. L’arrivée de ce dernier a donné le top de la prière qui a duré environ dix minutes. Cette prière a été suivie de la prêche de l’imam au cours de laquelle, il a rappelé la genèse de la fête de Tabaski révélée au prophète Ibrahim. En effet disait l’imam, Dieu a demandé à Ibrahim d’immoler en sacrifice son unique fils Ismaël, une révélation que le prophète a rapporté à son fils ; ce dernier répondit à son père d’exécuter la volonté de Dieu, le Père tout puissant. Le jour du sacrifice, alors qu’lbrahim allait immoler Ismaël, à sa grande surprise il vit un bélier blanc que Dieu lui ordonna de tuer à la place de son fils. Voilà, ce qui justifie cette fête capitale pour tout bon musulman. Poursuivant sa prédication, l’imam a montré que Dieu est vraiment mystère, sinon, comment comprendre que ce même enfant qu’il a sauvé de la toute première immolation, il le rappellera plus tard à une commémoration de cette même fête de Tabaski. Au point où, troublé et affecté, son père, le prophète Ibrahim hésita ce jour d’aller prier. Mais Dieu lui intima l’ordre d’aller prier, puis il s’exécuta, donnant ainsi sens, à cette révélation à la sourate 108, qui stipule : « Inan antoénam Kalkaossar ». Autrement dit, quoi qu’il arrive dans la vie du musulman croyant, et quelles qu’en soit les circonstances, il faut toujours prier pour son Dieu, et à travers ce sacrifice, que tous ceux qui l’entourent soient dans la joie. L’autre pan de la prêche de l’imam Machioudi Rachad, est son exhortation à tout bon musulman de ne pas immoler pour le plaisir un mouton, mais de le faire en ayant la crainte de Dieu. Ceci, pour lui conférer toute la valeur telle que révélée par le prophète Ibrahim, en faisant manger tout le monde autour de soi. Par exemple, renchérit-il « Ne jamais donner de gigot de mouton à quelqu'un, sans lui donner de quoi le préparer ». Après cette prêche, l’imam assisté d’autres fidèles a égorgé le bélier blanc, montrant aux fidèles le couteau couvert de sang, en souvenir de ce sacrifice du prophète, pendant que le sang du bélier giclait. C’est par des acclamations et louanges que le sacrifice a été accueilli, lançant ainsi, le top d’immolation d’autres milliers de moutons dans les familles musulmanes. Les manifestations se sont poursuivies dans les maisons, sur les places publiques de quartiers et villages, autour de copieux repas cuisinés avec la viande de mouton, grâce au génie culinaire des femmes. Cependant, il convient de mentionner qu’avant de se plonger dans la fête, les musulmans ont l’obligation d’assister à la traditionnelle prière de 13 h des vendredis, puisque celle de Tabaski, ne les en dispense pas. Pour El Hadj Mouftaou Soumanou, la Tabaski est aussi une fête de solidarité et de partage. Voilà pourquoi, il a lancé un appel à tous les croyants à prier pour que notre pays le Bénin, soit un pays de paix, de sécurité et de prospérité. bibo:pages 1 10 -- o:id 8921 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8921 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8935 27086 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c7ec130993ee345cbed3121a8e208afecac99da1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/db1a8208388e8c3d7d05b647dcc63ea941e6cb31.tiff dcterms:title Veille de la Tabaski à Parakou : le mouton se vend à prix d'or dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/64 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-11-26 dcterms:identifier iwac-article-0004163 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A la veille de la Tabaski, communément appelée fête du mouton, l’animal se vend à prix d’or. Que ce soit à côté du marché Kobokobo de Parakou, ou dans les rues de la ville, il faut user de tact ou de diplomatie pour avoir le mouton de son choix. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A la veille de la Tabaski, communément appelée fête du mouton, l’animal se vend à prix d’or. Que ce soit à côté du marché Kobokobo de Parakou, ou dans les rues de la ville, il faut user de tact ou de diplomatie pour avoir le mouton de son choix. A l’entrée du marché Kobokobo, nombreux sont les démarcheurs qui vous abordent et vous proposent de vous accompagner chez leurs vendeurs. A. S., un vendeur chez qui nous avons été conduit donne les prix: «Celui-ci coûte 50.000f; celui-là 70.000.» A côté de lui, un autre vendeur du nom de Kassin nous tire par les bras : "Venez, ici c’est moins cher". Pourtant, les prix qu’il nous propose ne sont pas loin de ceux qui venaient de nous être communiqués. Le pire est que notre vendeur propose des montants plus élevés: 80000f et 90.000f. C’est dans cette ambiance que les clients défilent, nous renseigne Ikililou qui aide son oncle à vendre les moutons à l’occasion de cette fête. Dans les rues de Parakou, les moutons et leurs vendeurs font des navettes dans tous les sens. C’est dire qu’il y en a qui passent devant vous pendant que d’autres arrivent du sens où se sont dirigés les premiers. Il en est ainsi à longueur de journée. C’est dire que le marché du mouton à l’occasion de la fête s’est déplacé pour aller vers les clients. Un vendeur rencontré sur la voie menant au tribunal nous confie: «Ces moutons valent pour le plus grand 60.000f, celui-là coûte 80.000f; si vous êtes intéressés, je vous diminue 2000 seulement; le mouton est cher par les temps qui courent». Plus loin vers le Lycée Mathieu Bouké, nous sommes approchés par des vendeurs ambulants qui ont créé, un marché circonstanciel, «Venez, venez, je vous fait un bon prix, je vous fait bon prix.». Ainsi vont les prix du mouton et son marché devenu ambulant à l’approche de la fête. «Tout bon musulman doit acheter son mouton qu’il doit offrir à ses voisins et à sa famille», nous renseigne SA., un voisin du quartier. Les autres personnes rencontrées pour se prononcer sur l’importance qu’il y a à acheter son mouton certifient que c'est une prescription du Coran qui n'oblige cependant pas ceux qui, n'ont pas les moyens à s’endetter pour le faire. D’autres encore reconnaissent dans l’observance de cette prescription, beaucoup de bénédictions. -- o:id 8922 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8922 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8936 27087 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4837de09e3fc654658ed2328b439d7e5e77cacf2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f50fe82ddc252ec874620d1506b9d70d42183cfd.tiff dcterms:title Appui aux chefferies traditionnelles et organisations religieuses : le gouvernement donne 500 millions FCFA aux rois et aux églises dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13609 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1993 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-11-16 dcterms:identifier iwac-article-0004164 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les acteurs de la chefferie traditionnelle et des autres organisations religieuses ont massivement pris part, le vendredi 13 novembre dernier dans la cour du ministère chargé des Relations avec les Institutions (MCRI) à Cotonou, à une importante cérémonie. Il s’agissait de la remise de chèques aux rois, aux têtes couronnées et aux confessions religieuses au titre de l’année 2009. Une cérémonie présidée par les ministres Zakary Baba Body et Marie-Joe Mèba Djossou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les acteurs de la chefferie traditionnelle et des autres organisations religieuses ont massivement pris part, le vendredi 13 novembre dernier dans la cour du ministère chargé des Relations avec les Institutions (MCRI) à Cotonou, à une importante cérémonie. Il s’agissait de la remise de chèques aux rois, aux têtes couronnées et aux confessions religieuses au titre de l’année 2009. Une cérémonie présidée par les ministres Zakary Baba Body et Marie-Joe Mèba Djossou. Le gouvernement avait décidé lors du Conseil des ministres du 25 août dernier de reconduire cette année, l’appui financier annuel du gouvernement aux chefferies traditionnelles et aux confessions religieuses. C’est ainsi qu'une enveloppe de 500 millions de FCFA a été officiellement et gracieusement mise à leur disposition le vendredi dernier pour témoigner de l’importance que le gouvernement accorde à cette composante de la Société civile pour son rôle de médiation sociale, de gardien des valeurs traditionnelles, de maintien de la paix et de l’unité nationale. Pour le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Zakary Baba Body, les Organisations de la Société civile sont incontournables dans le développement de notre pays. Acteurs de proximité, elles interviennent dans tous les domaines de la vie nationale au profit de nos populations. Et mieux, la chefferie traditionnelle et les confessions religieuses ont joué un rôle particulièrement déterminant dans l’avènement du régime du changement. Au cours de cette cérémonie, il a été remis aux représentants à ces différentes couches concernées les montants qui leurs reviennent, Ainsi, - Cent millions (100.000.000) de FCFA aux têtes couronnées ; - Cent millions (100.000.000) de FCFA aux religions endogènes ; - Cent vingt cinq millions (125.000.000) de FCFA aux religions judéo chrétiennes dont Vingt cinq millions (25.000.000) de FCFA pour les différents pèlerinages judéo-chrétiens et ; - Cent vingt cinq millions (125.000.000) de FCFA pour les organisations du pèlerinage à la Mecque. Le ministre Zakary Baba Body a rappelé qu’une partie des fonds destinés aux musulmans, a servi à acheter des vivres (sucre, lait, riz et huile) qui ont été réceptionnés par le bureau de l’Union islamique du Bénin (UIB) le vendredi 11 septembre dernier sur l’esplanade du Palais des congrès de Cotonou. Ceci, pour soulager un tant soit peu leur peine au cours du mois de carême. Par ailleurs, il a aussi invité les dignitaires religieux et autres têtes couronnées à faire une répartition judicieuse de ces fonds afin que les objectifs du gouvernement soient atteints. Par la voix de leur porte parole, les bénéficiaires de ces chèques ont dit toute leur gratitude au président Boni Yayi pour ce geste combien louable. bibo:pages 12 -- o:id 8923 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8923 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8937 27088 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b35ec2ac5d26a4b01574c509d986e820ac22d781.pdf https://islam.zmo.de/files/original/911884fcbfa6326f0243d69bda8781d0c1570178.tiff dcterms:title Daouda Malle de la BID au cabinet présidentiel : les hôpitaux de zone de Djidja, Covè et Djougou bientôt une réalité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/636 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14432 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-11-05 dcterms:identifier iwac-article-0004165 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République, Boni Yayi a échangé hier, mercredi 4 novembre à son cabinet, avec plusieurs personnalités et délégations dont le directeur département humain de la Banque islamique de développement (BID). Ce dernier est allé donner l’accord de son institution à financer les projets de construction de trois hôpitaux de zone dans les communes de Djidja, de Covè et de Djougou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/300 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13453 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République, Boni Yayi a échangé hier, mercredi 4 novembre à son cabinet, avec plusieurs personnalités et délégations dont le directeur département humain de la Banque islamique de développement (BID). Ce dernier est allé donner l’accord de son institution à financer les projets de construction de trois hôpitaux de zone dans les communes de Djidja, de Covè et de Djougou. Ainsi, les grognes incessantes des populations de Djidja, de Covè et de Djougou relatives aux projets de construction des hôpitaux de zone dans ces communes vont s’estomper bientôt. Ces infrastructures seront une réalité dans les tout prochains mois. C’est du moins, ce qu’il faut retenir des échanges que le chef de l'Etat, Boni Yayi, a eus hier, mercredi 4 novembre, avec le directeur département humain de la BID, Dr Daouda Malle. Au sortir de l’audience, celui-ci a réaffirmé l’engagement de son institution bancaire à aider notre pays à construire ces trois hôpitaux de zone pour faciliter l’accès aux soins aux populations des communes concernées. La BID financera ces trois projets à hauteur de 4 à 9 milliards francs CFA. Daouda Malle a été introduit au cabinet présidentiel par le ministre de la Santé, Issifou Takpara. -- o:id 8924 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8924 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8938 27089 27090 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c4ffc9edbd37517ba37bbbb5f5a59d970d29a7bc.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f24fd65442b00cafff88b5d874119b070116527f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/013d8b3195974a564cdb255ddb4f40f9f8d66b2b.tiff dcterms:title Colloque sur la laïcité au Bénin : Boni Yayi reçoit le document final dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1502 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/224 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13852 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13265 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-10-28 dcterms:identifier iwac-article-0004166 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le chef de l’Etat Boni Yayi a reçu dans la Journée d’hier mardi 27 octobre plusieurs personnalités. Des préoccupations d’ordre social, économique et culturel étaient au centre des échanges qu’il a eus avec ses hôtes. Il s’agit notamment du roi de Kika, qui est allé remettre au chef de l’Etat les actes du colloque sur la laïcité. Il a été suivi de Sa majesté Gbèzé Ayontèmè Toffa IX, roi de Porto-Novo qui est allé discuter des préparatifs de l'organisation du centenaire de la mort du roi Toffa 1er. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le chef de l’Etat Boni Yayi a reçu dans la Journée d’hier mardi 27 octobre plusieurs personnalités. Des préoccupations d’ordre social, économique et culturel étaient au centre des échanges qu’il a eus avec ses hôtes. Il s’agit notamment du roi de Kika, qui est allé remettre au chef de l’Etat les actes du colloque sur la laïcité. Il a été suivi de Sa majesté Gbèzé Ayontèmè Toffa IX, roi de Porto-Novo qui est allé discuter des préparatifs de l'organisation du centenaire de la mort du roi Toffa 1er. Les conclusions du Colloque national sur les confessions religieuses et laïcité tenu les 6 et 7 novembre 2008 à Cotonou, ont été remises au chef de l’Etat, suivies des explications introductives du pasteur Michel Alokpo qui a retracé les grandes lignes du déroulement de ces assises. Quant à Léon Bio Bigou, il a présenté les quatre points essentiels du plan d’action du Comité intellectuel interreligieux pour le dialogue et la paix. Il s’agit d'imprimeries recommandations et de les vulgariser dans les 77 communes, d'identifier des situations nécessitant des médiations immédiates pour établir un répertoire des situations conflictuelles afin de les régler. Les différentes intervenants ont montré que ce n'était pas un colloque de trop, parce que toutes les couches religieuses, les dignitaires et autres têtes couronnées y ont pris une part très active. Ils ont demandé qu’un contenu juridique soit donné au document, pour sa vulgarisation et sa mise en oeuvre. Le colloque a surtout mis l’accent sur le dialogue inter et intra religieux, base d’une paix durable. La gestion des chefferies traditionnelles et de la royauté a été passée en revue. bibo:pages 1 3 -- o:id 8925 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8925 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8939 27091 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/56e3b23ae10c559d0de169e26a6d2c9d272bfd36.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0d95a9c25ebac572c4a26691e09f1296e0fc19e1.tiff dcterms:title Organisation du Hadj 2009-2010 : le point des préparatifs dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1414 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-10-05 dcterms:identifier iwac-article-0004167 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le souci d’assurer une bonne organisation du Hadj cette année, le gouvernement a pris sur lui la charge de sélectionner les transporteurs, pour éviter le désordre habituel. Jeudi 1er octobre dernier, le ministre en charge des Transports aériens, Nicaise Fagnon a tenu une conférence de presse pour expliquer aux hommes des medias, la méthodologie suivie dans le choix des transporteurs. C’était en présence du Haut Commissaire aux pèlerinages, Raphiou Toukourou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le souci d’assurer une bonne organisation du Hadj cette année, le gouvernement a pris sur lui la charge de sélectionner les transporteurs, pour éviter le désordre habituel. Jeudi 1er octobre dernier, le ministre en charge des Transports aériens, Nicaise Fagnon a tenu une conférence de presse pour expliquer aux hommes des medias, la méthodologie suivie dans le choix des transporteurs. C’était en présence du Haut Commissaire aux pèlerinages, Raphiou Toukourou. Le Conseil des ministres en sa séance du mercredi 15 juillet, a instruit le ministre de l’Economie et des Finances et celui des Transports aériens à faire connaître la dénomination et l'adresse de l’agence de voyage ainsi que la compagnie aérienne retenues par le Bénin, pour assurer le transport des pèlerins béninois avant la clôture des formalités de délivrance des slots par l’Aviation civile saoudienne fixée au 9 septembre 2009. Par la suite, le ministre en charge des Transports aériens a créé un comité interministériel ayant pour mission le choix d’une compagnie et d’une agence de voyage. Ledit comité est composé du ministère en charge des Transports aériens ; du ministère de l’Intérieur ; du ministère de la Défense nationale et du ministère de l’Economie et des Finances. Au total, 11 offres ont fait l’objet d’analyse par le comité technique interministériel. Au terme de cette analyse, deux soumissionnaires se sont dégagés du lot. Il s’agit notamment de l’agence Cristal Tours en partenariat avec Al Shameh et l’agence Al Lama Group en partenariat avec Tropic Voyages. L’examen des dossiers des compagnies aériennes a été effectué sur la base de critères comme : la crédibilité, les normes techniques et le contenu de la prestation. L’examen des dossiers des deux concurrents a permis au comité de retenir pour le transport des pèlerins à la Mecque, édition 2009, la compagnie Ethiopian Airlines dont l’agence de voyage partenaire est Al Shameh. Des négociations menées avec les représentants d’Ethiopian Airlines et la directrice de Cristal Tours, il a été retenu l’utilisation de Boeing 767 300 avec 235 sièges soit 470 pèlerins par jour. Le contrat signé entre le Bénin et Al Shameh porte sur un minimum de 1.800 pèlerins et un maximum de 3.500 pèlerins. Le tarif retenu est de 1.795 dollars saoudiens et les vols aller auront lieu les 4,5,6 et 7 novembre prochains, les vols retour pour les 3,4,5, et 6 décembre. Le ministre en charge des Transports aériens, Nicaise Fagnon a précisé que le choix de la compagnie Ethiopian Airlines a été guidé par le souci de garanties de sûreté et de sécurité contenues dans son offre et pour la qualité des services proposés. Elle serait bien connue, selon lui, et ferait déjà des vols réguliers entre certaines capitales de la sous-région et Djeddah. Le ministre a aussi rappelé que les convoyeurs n’ont pas participé directement à l’évaluation des offres, mais ils ont été consultés et ont fait part de leurs préoccupations au cours du processus. bibo:pages 10 -- o:id 8926 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8926 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8940 27092 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a9df415956ab44d845e49104e1fcc26d2f55516c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/26f16da4b6385ab0faa86ea4ec829f1134dbee38.tiff dcterms:title Conférence-débat au CCA : le dialogue interreligieux et le développement en question dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1522 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1940 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13899 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1976 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/116 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-09-11 dcterms:identifier iwac-article-0004168 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre des manifestations programmées pour la célébration du mois de Ramadan, le Centre culturel américain (CCA) a abrité hier 10 septembre, une conférence-débat sur le thème « Religion et développement : dialogue interreligieux ». C’était aussi l’occasion pour procéder à une revue des récents discours sur la question, du président américain Barack Obama. Des responsables de la Mission diplomatique américaine au Bénin et des dignitaires des différentes confessions religieuses ont animé cet échange, sous l’égide de la directrice du Centre culturel américain de Cotonou, Rhonda J. Watson. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13118 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15116 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/330 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13448 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre des manifestations programmées pour la célébration du mois de Ramadan, le Centre culturel américain (CCA) a abrité hier 10 septembre, une conférence-débat sur le thème « Religion et développement : dialogue interreligieux ». C’était aussi l’occasion pour procéder à une revue des récents discours sur la question, du président américain Barack Obama. Des responsables de la Mission diplomatique américaine au Bénin et des dignitaires des différentes confessions religieuses ont animé cet échange, sous l’égide de la directrice du Centre culturel américain de Cotonou, Rhonda J. Watson. Deux tours de table ont caractérisé cette conférence, dont l’objectif est la promotion du dialogue interreligieux pour le renforcement de la paix, de la compréhension mutuelle et du développement. Les premiers intervenants étaient El Hadj Bachir Soumanou, guide musulman, et Christina Day, responsable de la section Economie et Politique de l’Ambassade des Etats-Unis près le Bénin. Cette dernière a, dans son intervention, fait un briefing des discours de Barack Obama, au Caire et à Accra, respectivement sur les rapports entre l’Amérique et l’Islam, et entre l’Amérique et l’Afrique. Selon Christina Day, il ressort de la première allocution de son président, un changement de comportement du Département d’Etat américain vis-à-vis des musulmans. Il s’agit désormais d’œuvrer pour la paix, tâche qui justifie, dit-elle, l’engagement des Etats-Unis aux côtés des Afghans contre les Talibans, tout comme le retrait progressif des soldats américains de l’Iraq, jusqu'en 2012. « Allez chercher la science, dussiez-vous vous rendre en Chine » ; c’est en citant ainsi le prophète Mahomet qu’EI Hadj Bachir Soumanou a condamné les soi-disant musulmans du genre de Boko Aram, secte extrémiste du Nigeria récemment à la une des médias. En effet, explique-t-il, le nom « Boko Aram signifie « l’école occidentale est interdite ». Ses pairs et lui ont approuvé la réaction du gouvernement de Yar Adua qui a suivi les actions de ces terroristes. « L’Islam est une civilisation universelle », a-t-il ajouté, car « le musulman est l’homme soumis à son Seigneur ». Pour El Hadj Bachir Soumanou, Obama est un homme de vision qui demande à son peuple, aux musulmans et à l'Afrique, bref au monde, le respect mutuel. « C’est un nouveau partenariat entre les Etats-Unis et le monde. » Il a indiqué que la science est génitrice de tolérance, et permet de comprendre l’autre ; par conséquent, un musulman digne de ce nom ne saurait tuer son prochain au nom de son Dieu. En ce qui concerne le développement du continent, El Hadj Bachir Soumanou affirme : « Il revient aux Africains de décider du développement de l’Afrique. » Il ajoute à cet effet, que la « Zakât », institution divine, serait un moyen efficace d’éradiquer la misère de nos pays. Une chose entraînant une autre, l’éradication de la misère résoudrait bon nombre de conflits. La deuxième partie de la conférence a été animée par l’abbé André Quenum, et El Hadj Abdoul Jalili Yessoufou, Imam de la mosquée d’Aïdjèdo. Dans son intervention, l’abbé a regretté que l’organisation de cette rencontre sur le dialogue interreligieux soit l’initiative du CCA, ce qui dénote de l’absence de concertations régulières entre les religions au Bénin. Par ailleurs, il s'est réjoui de la cohabitation pacifique entre toutes ces confessions. En outre, il a souhaité la mise en œuvre de méthodes visant à bannir les pratiques religieuses pouvant bloquer le développement, telles que l'arnaque des fidèles. A sa suite, l’imam El Hadj Abdoul Jalili Yessoufou déclarera : « Nous ne cherchons malheureusement pas à nous connaître. » Il a alors souhaité que les leaders religieux eux-mêmes organisent désormais des rencontres semblables. « Le dialogue interreligieux favorise le développement du pays. Nous devons éduquer nos enfants, nos fidèles, à travers les vérités qui se trouvent dans nos livres », allusion ainsi faite aux livres sacrés qui régissent les religions, dans l’optique de promouvoir la paix, la démocratie et le développement. Rhonda J. Watson a conclu les débats en procédant à la mise en place d’un comité de suivi du dialogue entre les confessions. Ce dernier s'emploiera, selon elle, à mener diverses actions sur le plan national. Elle annonce aussi la commémoration ce vendredi, des évènements du 11 septembre 2001. -- o:id 8927 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8927 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8941 27093 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b200ee34cdf0bb5cefcce8cb9ac872e6c2e49706.pdf https://islam.zmo.de/files/original/ff0685852f219e00befe68eb447ef97262b186a3.tiff dcterms:title Mois de ramadan à Parakou : à part les fruits, les affaires en baisse dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-09-01 dcterms:identifier iwac-article-0004169 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Plusieurs jours se sont déjà égrenés du mois de ramadan. Lorsqu'on fait le tour de la ville, l’affluence précédente des bars, centres d’affaires et autres lieux publics n’est plus de mise. Cependant, les commerçants de toutes sortes de fruits font de bonnes affaires. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15215 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Plusieurs jours se sont déjà égrenés du mois de ramadan. Lorsqu'on fait le tour de la ville, l’affluence précédente des bars, centres d’affaires et autres lieux publics n’est plus de mise. Cependant, les commerçants de toutes sortes de fruits font de bonnes affaires. Aux coins des rues, ces derniers jours, les vendeuses d’oranges et de bananes foisonnent. Elles n'ont pas besoin de vanter leurs marchandises pour les écouler, tout simplement parce que les clients sont au rendez-vous et viennent s’approvisionner non seulement pour la soirée, dans le cadre de la rupture quotidienne du jeûne, mais également pour le repas du matin, avant le lever du soleil. « Prenez-en suffisamment cher ami, car les enfants en réclameront tout à l’heure et le matin... », insiste Sikirath, demandant à son client de suffisamment se ravitailler. Il en a profité pour compléter le premier sachet rempli, à sa demande. Quelques minutes après, un autre client se pointe pour faire sa provision. D’autres passants font le même geste, pour offrir l’occasion à leurs progénitures, de passer de bons moments de carême. Ce témoignage de Sikirath illustre à merveille l'état des affaires par ces temps de carême. « J’ai été m’approvisionner, seulement hier matin au marché Dépôt de Parakou, et déjà, ce n’est pas sûr que ce soir, je puisse satisfaire tous les pères de famille de mon quartier qui viennent ici s’approvisionner », confie-t-elle. C’est la même scène qui se déroule dans les rues voisines adjacentes à la grande mosquée Al Houda et même dans d’autres quartiers de la ville. Les étalages de fruits qui y sont dressés, sont également pris d’assaut par les clients soucieux de préserver la bonne atmosphère de vie du mois de ramadan chez leurs progénitures ou proches. Assanah, jeune élève témoigne avec un air amusé qu’il est bon en ce temps de carême d’être vendeuse de fruits. « Je regrette de bientôt reprendre les classes. Je vends beaucoup en ce mois de ramadan. Mais mes parents n’accepteront jamais que je devienne vendeuse de fruits. En plus, c’est une activité temporaire », ajoute-t-elle. Même les non musulmans ont pris l’habitude de soutenir leurs voisins ou amis en leur offrant des fruits. « Je fais ces provisions pour mes voisins et collègues de services qui observent en ce moment, le mois de jeûne de ramadan. », reconnaît Bertin S. un voyageur surpris en train de se ravitailler en fruits au cours d'une escale du bus. Ce n’est pas la même réalité dans les bars et autres maquis de la place. Autres temps, autres habitudes J. A., agent en service dans une société de vente de boissons importées se plaint de la période de vache maigre qu’ils traversent chez eux. « Mon chef s’est plaint de la baisse des ventes ces derniers jours. Je lui ai fait remarquer que j’ai fait le même constat et que nos homologues des boissons locales subissent le même "sevrage commercial", mais la situation est passagère», a-t-il déploré. «Autres temps, autres habitudes. », renchérit Yolande G., gérante de la cantine d’un office. Pour elle, « C’est le carême qu’observent la plupart des clients qui fait chuter les ventes actuellement ; il en a toujours été ainsi. La situation se normalisera juste après le carême ». La situation est pareille au niveau des maquis et restaurants où l’affluence a baissé considérablement Les responsables de ces lieux s'en remettent à la providence, le temps que les activités reprennent bibo:pages 8 -- o:id 8928 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8928 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8942 27094 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ad9ed6140599cc7ffe9a21e5c6b6dce6379d4692.pdf https://islam.zmo.de/files/original/97226419d7f2867e2d71a383299b5bc1104127c2.tiff dcterms:title Ligali Alao Issiaka, Iman de la Mosquée de Cadjèhoun : les avantages du jeûne du Ramadan chez les fidèles musulmans dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1522 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13564 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/64 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-08-31 dcterms:identifier iwac-article-0004170 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le mois du jeûne de Ramadan, période de piété profonde pour les musulmans du monde entier, est l'un des cinq piliers de l’Islam. Commencé cette année le samedi 22 août dernier, il modifie pendant 40 jours, les habitudes des fidèles de cette communauté à travers le jeûne, la prière et les dons. L'Imam Ligali Alao Issiaka, de la mosquée centrale de Cadjèhoun, nous apporte des précisions à ce sujet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le mois du jeûne de Ramadan, période de piété profonde pour les musulmans du monde entier, est l'un des cinq piliers de l’Islam. Commencé cette année le samedi 22 août dernier, il modifie pendant 40 jours, les habitudes des fidèles de cette communauté à travers le jeûne, la prière et les dons. L'Imam Ligali Alao Issiaka, de la mosquée centrale de Cadjèhoun, nous apporte des précisions à ce sujet. La Nation : Fondamentalement, qu’est-ce que le jeûne du Ramadan, et comment a-t-il été institué ? Imam Ligali Alao Issiaka : Le jeûne du Ramadan a été institué au moins dix ans après la révélation du Saint Coran. Pendant au moins treize ans, à la Mecque, l’accent était mis surtout sur la foi en l’unicité de Dieu ; parce qu’il y avait tellement de dieux que chaque jour avait son dieu, chaque heure avait son Dieu, et même chaque minute. Donc il a fallu faire un travail vraiment colossal, pour amener les gens à la compréhension de l’unicité de Dieu. Et c’est après ça que le jeûne du Ramadan a été institué. Il a été institué parce qu’auparavant, le prophète Mohammed (paix et bénédiction de Dieu sur lui) jeûnait comme les juifs et les chrétiens. Et lorsque les gens ont voulu connaître les raisons profondes de son attitude, il leur a également retourné la question. Donc le jeûne du Ramadan a été institué juste pour déblayer le chemin, parce que tout le monde se dit musulman. Mais on connaît certains qui ne sont musulmans que le vendredi, et les jours de fête, d’autres juste par le nom. Ce jeûne a été institué pour obliger tous les musulmans à accepter les prescriptions de Dieu, et strictement comme il le veut dans le mois de Ramadan. Si vous mangiez avant comme vous le vouliez, vous buviez avant comme vous le vouliez, ce ne sera plus le cas maintenant au cours de ce mois sacré. Donc ce jeûne est comme un examen de passage, pour qu’on puisse distinguer les vrais croyants des mauvais. Et ce qui est un peu difficile et délicat la-dedans, c'est que Dieu même dit : « Personne ne peut savoir qui jeûne, si ce n'est moi-même. » Donc c'est lui qui a l’œil sur nous, et qui voit tout. Voilà les véritables raisons de l’institution de ce jeûne. Que représente ce jeûne pour les musulmans ? Il y a deux parties essentielles du jeûne pour les musulmans. La 1ère partie concerne les opulents, les « gros bonnets », les gens qui ne savent pas ce que c’est que la faim ni la soif, qui vivent dans une richesse insultante. La 2e partie concerne les démunis, ceux-là qui jeûnent même quand ce n’est pas la période, parce qu’ils n’ont rien à manger. Ça va profiter à ces démunis-là, parce que pendant le mois de carême, les riches sont obligés de nourrir les pauvres. Le riche doit tout faire pour que le pauvre qui est à côté de lui puisse manger le matin et rompre le jeûne le soir. Donc le profit quitte les uns pour aller vers chez les autres. L’un des phénomènes frappants du jeûne, c’est aussi l’abstinence. Il ne s’agit pas seulement de ne pas manger ou boire, mais de s’abstenir de tous les plaisirs qu’on connaît chez l'être humain. Quel que soit le désir, il faudra se contenir, pour ne pas risquer de tomber sous le coup de la sanction. Elle consiste à reprendre le jeûne à zéro, et ce, pour deux mois. Donc il y a des garde-fous autour. Si vous n’êtes pas un bon musulman, vous ne pouvez pas faire le Ramadan. On parle beaucoup, pendant le mois du Ramadan, de la hausse des prix de denrées sur le marché, notamment des fruits nécessaires à la récupération de l’énergie perdue pendant la journée. Finalement, on serait tenté de croire que le jeûne coûte cher ? Non, pas du tout. Même si on vend l’orange à 5000 F, le musulman va l’acheter. Parce que tout le monde sait ce que représentent les bénédictions de ce mois. Plus tu dépenses, plus Dieu t’en donne. C'est là le secret. Quand tu donnes 1 F à Dieu, il te le remplace par 10 F. C’est le Coran qui l’a dit. Et nous en avons les preuves. Quelle que soit la flambée des prix, nous achèterons ce dont nous avons besoin, et les fidèles trouveront toujours de bons fruits à manger. Il n'y a aucune inquiétude à cela. Les affaires sont florissantes. C’est aussi un gain pour l’Islam. Quand on sait que le mois du jeûne est fonction de l’apparition et de la disparition du croissant lunaire, peut-on le situer précisément ? N’y a-t-il pas une possibilité de retrouver un jour le Ramadan au mois de juin, par exemple ? C’est vrai. Ce qui est un peu mystérieux dans le mois du jeûne, c’est que ce n’est pas un mois figé en hiver, ni en été, ni en automne ou au printemps. C’est un mois qui varie. Supposons que nous soyons dans l’harmattan ; l’année prochaine ça peut ne pas être le cas. Cette variation fait que pour tout le monde, quels que soient ton pays de résidence, ta condition, le climat, tu verras un jour le mois de Ramadan rôder autour de toi. C’est pour permettre à l’humanité toute entière, de pouvoir bénéficier de ce jour. Et si c’est rude chez certains, ils sauront qu'un jour ce sera facile. Pour nous ici au Bénin, on ne peut même pas dire en quelle saison nous sommes... ...Les bouleversements climatiques ? Oui, on ne sait s’il fait chaud ou froid. Donc nous sommes très à l’aise à Cotonou, contrairement à d’autres qui jeûnent dans un climat qui rend leur épreuve très difficile. Le mot «Ramadan» lui-même signifie «la chaleur», «le feu», quelque chose qui est chaud. Vous savez ce que c'est que le soleil du désert ! C’est un soleil rude. Et pour jeûner, les gens craignent beaucoup plus la soif que la faim, à cause de la chaleur. Et les premiers musulmans «ont vraiment eu chaud », pas comme nous autres qui trouvons tout avec une certaine facilité. S’agissant des musulmans de Cotonou qui vous entourent, quel appel avez-vous à leur lancer ? Je leur demande d'être vigilants. Vous savez, nous sommes à Cotonou et nous savons quel est le style vestimentaire des Cotonoises. Et lorsque vous êtes en train de jeûner, ce n’est pas la peine de rester au bord de la voie pour les regarder. L’homme est plus sensible que la femme. Deuxièmement, je leur recommande une chose : Lorsqu’ils sont en train de jeûner, il vaut mieux qu’ils dorment plutôt que de rester là, à bavarder inutilement. Je rappelle que le jeûneur qui dort est en train d’adorer Dieu. Le jeûneur qui égrène son chapelet est en train d’appeler Dieu. Celui qui prie, voit ses prières exaucées. Et c’est une opportunité pour eux, pour soumettre à Dieu tous leurs problèmes. Parce que personne ne peut résoudre vos problèmes si ce n’est Dieu qui vous a créé. Pendant ce mois, ils doivent bien jeûner, bien réciter le chapelet la nuit, et moins se promener. bibo:pages 6 -- o:id 8929 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8929 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8943 27095 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7e4fd2862296f24440b92121fd5b9840c0881b7a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a99cc3837169801e74257470e8f124548ba5f0d9.tiff dcterms:title Lutte contre les VBG : les leaders traditionnels et religieux sensibilisés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14733 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14034 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-08-10 dcterms:identifier iwac-article-0004171 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Avec l’appui financier de CARE International, l’ONG Sin-Do a organisé au Centre Maria Goretti de So-Tchanhoué une séance de sensibilisation sur les violences faites aux femmes à l’intention des leaders traditionnels et religieux de l'arrondissement de Sô-Ava. Cette rencontre qui vise le changement de comportement des populations de la localité s’est déroulée mercredi 5 août dernier au Centre de loisirs des jeunes de Sô-Ava. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Avec l’appui financier de CARE International, l’ONG Sin-Do a organisé au Centre Maria Goretti de So-Tchanhoué une séance de sensibilisation sur les violences faites aux femmes à l’intention des leaders traditionnels et religieux de l'arrondissement de Sô-Ava. Cette rencontre qui vise le changement de comportement des populations de la localité s’est déroulée mercredi 5 août dernier au Centre de loisirs des jeunes de Sô-Ava. Les populations du Bénin connaissent peu les lois qui combattent les violences basées sur le genre (VBG). Elles sont à peine capables de dire si ces lois sont appliquées ou pas. Cette réalité n’échappe guère aux ressortissants de l'arrondissement de Sô-Ava où le phénomène semble très accentué. Les filles sont précocement données en mariage ou confiées aux gros bonnets en villes qui les maltraitent. D’où, le projet Empower. Un projet de l’USAID qui est mis en œuvre à travers le partenariat du ministère de la Famille et de la Solidarité nationale et cinq ONG membres du Rifonga, a expliqué, Gisèle Claire Gounon. L’initiative du projet Empower au Bénin comporte trois volets à savoir : sensibiliser et mobiliser les populations béninoises pour une meilleure conscience des violences exercées sur les femmes ; améliorer les capacités des centres et organisations pour mieux assister les victimes et survivantes pour leurs besoins médicaux, psycho sociaux, légaux ; et renforcer les capacités d'investigation et de poursuite des cas de VBG par le système judiciaire. Toute démarche qui vise à réduire la violence faite aux femmes et aux filles au Bénin. C’est donc dans ce souci qu’une séance de sensibilisation a été organisée à l’intention des chefs traditionnels et religieux afin de freiner le phénomène. Le choix de cette cible semble bien justifié surtout qu’une étude a révélé que le phénomène trouve son fondement dans des déterminants religieux, économiques et socioculturels, a-t-elle indiqué. Les femmes victimes sont, pour la plupart, non instruites et se retrouvent dans des zones rurales. Quant aux filles victimes, elles sont, pour la plupart, issues de familles pauvres, non scolarisées ou déscolarisées et âgées de 10 à 14 ans. Pierre Sindoté Kakessou, premier adjoint au maire d’Abomey-Calavi, a beaucoup apprécié cette démarche de l’ONG Sin-Do et du Centre Maria Goretti qui vise le changement de comportement de nos populations. Les violences faites aux femmes constituent un souci quotidien pour les autorités de la commune d’Abomey-Calavi surtout qu’elles constituent des handicaps au développement des jeunes filles, a-t-il précisé. bibo:pages 7 -- o:id 8930 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8930 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8944 27096 27097 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/af4ff2e8acc4655d2279184ea79991ba4bd87137.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2ce834d12fb41f1aebc8d91e1b0d37d9d31087dd.tiff https://islam.zmo.de/files/original/ba363a7b3eb81e1a34ecd539b6bbce0a608165fe.tiff dcterms:title Fin de séjour du premier ministre Koweitien au Bénin : son Altesse AI Ahmad Al Sabah quitte Cotonou satisfait dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14744 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13054 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-07-20 dcterms:identifier iwac-article-0004172 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après 72 heures de séjour au Bénin, le premier ministre Koweïtien, Son Altesse Cheikh Nasser Al Mohammad Al Ahmad Al Sabah, s’est envolé, vendredi dernier, de Cotonou. Il s’est dit satisfait de l’accueil chaleureux que lui ont réservé les autorités béninoises dont le président Boni Yayi durant ses trois jours de visite ponctuée de signature de plusieurs accords de coopération bilatérale. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/359 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/394 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après 72 heures de séjour au Bénin, le premier ministre Koweïtien, Son Altesse Cheikh Nasser Al Mohammad Al Ahmad Al Sabah, s’est envolé, vendredi dernier, de Cotonou. Il s’est dit satisfait de l’accueil chaleureux que lui ont réservé les autorités béninoises dont le président Boni Yayi durant ses trois jours de visite ponctuée de signature de plusieurs accords de coopération bilatérale. Il sonnait exactement 11h 03 mn quand le premier ministre koweïtien s’est envolé de l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cotonou. Il était à bord de son airbus A310-300 portant l'inscription State of Koweit. Son Altesse Cheikh Nasser Al Mohammad Al Ahmad Al Sabah était accompagné à l’aéroport par le président de la République, Boni Yayi. Tout comme à son l’arrivée, il a eu droit, vendredi dernier, aux honneurs militaires et aux animations de la communauté musulmane du Bénin. « Je quitte le Bénin mais ce n’est pas un au revoir. Je dis plutôt à bientôt au Bénin », a dit l’hôte béninois. Pour lui, il a été très impressionné par l’accueil chaleureux et les entretiens qu’il a eus notamment avec le président de la République sans oublier le bureau de l’Assemblée nationale à Porto-Novo. Ceci est la preuve des bonnes relations entre les deux pays. Faisant le point de ce séjour, l’ambassadeur du Bénin au Koweït, Taïrou Aboudou Kabassi, a fait savoir que la visite de Son Altesse a été très fructueuse. Le Bénin s’en est sorti avec de nombreuses retombées positives. A en croire l’ambassadeur, quatre accords fondamentaux ont été signés. Le premier a rapport à un échange de main-d’œuvre entre les deux pays. Ce qui pourrait permettre désormais aux Béninois d’aller travailler au Koweït de façon plus aisée. Le deuxième accord est lié au développement du transport aérien. Ici, il ressort que très bientôt la liaison aérienne entre le Bénin et le Golfe sera désormais possible. Le troisième accord, poursuit Taïrou Aboudou Kabassi, concerne des échanges culturels et artistiques. A ce niveau, il a été créé le cadre juridique. Bientôt, le projet va démarrer. Le dernier accord a trait à la non double taxation. Il vise à prévenir l’évasion fiscale en matière d’impôts sur le revenu et d’imposition sur le capital. Selon les explications de l’ambassadeur, cet accord vient compléter celui déjà signé en 2008 lors de la visite du chef de l’Etat Boni Yayi au Koweït dont l’objectif est de promouvoir les investissements entre les deux pays. L’accord sera mis en oeuvre après sa ratification par les Parlements des deux pays. A tout cela, il faut ajouter la signature d’un accord de prêt entre le Bénin et le Koweït pour le bitumage de la route de Kandi-Sègbana-Frontière Nigeria. En dehors de ces accords, il y a eu aussi d’autres acquis. De façon immédiate, il a été convenu que le Koweït nomme un ambassadeur pour le Bénin avec résidence au Bénin. Selon l’ambassadeur, il y en avait mais il résidait au Maroc. A cet effet, l'ambassade, la résidence de l’ambassadeur et huit villas de grand standing seront construites dans les semaines à venir. Comme autre acquis de la visite de Son Altesse, il faut retenir aussi le démarrage très prochain de la construction de l’université de Porto-Novo. Elle y abritera toutes les filières scientifiques et technologiques dont celles arabes. Cette université sera construite par l’Agence des musulmans d’Afrique, une Ong koweitienne. La sécurité alimentaire n’a pas été occultée. Le gouvernement a profité de l’occasion pour soumettre de nouveaux projets à la partie koweïtienne. Il s’agit entre autres du bitumage de la route Ouidah-Allada, N’Dali-Nikki-Tchikandou. Le gouvernement a aussi soumis un projet relatif au développement agricole du Bénin. Le projet prend en compte 30 communes de notre pays. Il avoisine les 200 milliards de francs FCA à financer sur dix ans. Il permettra de générer près de 508.000 emplois nouveaux. Le Koweït a donné son accord pour appuyer sensiblement le Bénin dans la réalisation de ce projet. bibo:pages 1 16 -- o:id 8945 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8945 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8951 27098 27099 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cbd273d850c445f50f23cf756f19dc81ee517aa8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d0239a6c1b3bc880f2c0f2e0b2e66962e483bf69.tiff https://islam.zmo.de/files/original/05fb773bdf947075f98e759a8049ca9f2edb6dac.tiff dcterms:title Coopération bénino-koweitienne : le premier ministre koweitien fait Grand Croix du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-07-17 dcterms:identifier iwac-article-0004173 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans la soirée d’hier, jeudi 16 Juillet, le chef de l’Etat, le président Boni Yayi, a élevé au rang de grand Croix du Bénin, le premier ministre Koweitien, son Altesse Cheikh Nasser Mohammed AI-Jaber AI-Sabah. Une marque de reconnaissance du peuple béninois à l’endroit de son homologue koweïtien. La cérémonie s’est déroulée dans la grande salle du peuple en présence des autorités politico-administratives des deux pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/330 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans la soirée d’hier, jeudi 16 Juillet, le chef de l’Etat, le président Boni Yayi, a élevé au rang de grand Croix du Bénin, le premier ministre Koweitien, son Altesse Cheikh Nasser Mohammed AI-Jaber AI-Sabah. Une marque de reconnaissance du peuple béninois à l’endroit de son homologue koweïtien. La cérémonie s’est déroulée dans la grande salle du peuple en présence des autorités politico-administratives des deux pays. Au nom du peuple béninois et en vertu des pouvoirs qui me sont conférés, nous vous élevons dans l’ordre de la grande Croix du Bénin ». Après la formule sacramentaire, le président Boni Yayi a fait porter l’insigne à son hôte de marque. Ce dernier visiblement très content de cette marque d’amitié et de fraternité, a d’abord salué le peuple béninois pour l'accueil chaleureux réservé à la délégation qu’il conduit. Puis au nom de l’Emir du Koweït et de son prince héritier, il a émis des vœux de prospérité et de développement au peuple béninois, avant de rappeler que le lien de coopération entre les deux peuples date de très longtemps. Il n’a pas manqué de remercier le Bénin pour son soutien de tous les jours au peuple koweïtien, surtout pendant les difficiles périodes de l’invasion du pays par l’Irak. La cérémonie a été suivie d’un banquet que le président Boni Yayi a offert à ses hôtes de marque. Tout ceci agrémenté de danses sur fond de musique et de ballet national. Des présents ont été offerts à la délégation koweitienne à la fin du banquet. bibo:pages 1 12 -- o:id 8946 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8946 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8952 27100 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b0fcbbfa73800b9ca12f0cd1455f092e1e80a721.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4f4507a4a995427bf040b8e0b845765e147f3d9f.tiff dcterms:title Présentation de lettres de créance au Palais de la République : trois nouveaux ambassadeurs accrédités au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13686 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12997 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-07-09 dcterms:identifier iwac-article-0004174 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Trois nouveaux ambassadeurs ont présenté dans l’après-midi d’hier mercredi 8 juillet au Palais de la présidence leurs lettres de créance au président de la République, Boni Yayi. Il s’agit des ambassadeurs du Nigeria, d’Ethiopie et d’Arabie Saoudite. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15084 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/312 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/456 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Trois nouveaux ambassadeurs ont présenté dans l’après-midi d’hier mercredi 8 juillet au Palais de la présidence leurs lettres de créance au président de la République, Boni Yayi. Il s’agit des ambassadeurs du Nigeria, d’Ethiopie et d’Arabie Saoudite. Tapis rouge, hymnes nationaux et honneurs militaires présentés par la garde républicaine. Le décor protocolaire était parfait hier après-midi au Palais de la Marina, pour accueillir nos hôtes. Le tout premier à être introduit au salon présidentiel pour présenter sa lettre de créance au chef de l’Etat, a été l’ambassadeur de la République fédérale du Nigeria, Akindele Lawrence Olayiwola. A sa sortie, il a déclaré qu’au cours de sa mission au Bénin, il travaillera au renforcement de la coopération entre le Nigeria et le Bénin. Un accent particulier sera mis sur l’accord de co-prospérité entre le Nigeria, le Bénin, le Ghana et le Togo. Il a également promis relancer la grande commission mixte bénino-nigériane pour dynamiser la coopération économique entre les deux pays. Né le 1er septembre 1954 dans l’Etat d’Oyo au Nigeria, l'ambassadeur Akindele Lawrence Olayiwola est titulaire de plusieurs diplômes dont un diplôme de troisième cycle en Droit international obtenu en 1993 à Paris en France. Lauréat de plusieurs prix, il a occupé plusieurs postes. Le second à être introduit au salon d’honneur est l’ambassadeur de la République démocratique de l’Ethiopie, Suleiman Dedefo Woshe. Après la remise de sa lettre d’accréditation au président de la République et les salutations d’usage, il a déclaré à la presse nationale qu'il a longuement échangé avec le chef de l’Etat surtout sur la manière de renforcer la coopération entre l’Ethiopie et le Bénin et l’a rassuré sur la priorité qui sera accordée aux actions de développement des deux pays. L’investissement et les échanges commerciaux seront donc au cœur de cette coopération. Né en novembre 1958 à Oroma Regional State, Suleiman Dedefo Woshe est marié et père de quatre enfants. Il parle plusieurs langues et est titulaire d'un Master en Droit international. Les mêmes gestes seront exécutés avec le nouvel ambassadeur du Royaume de l’Arabie Saoudite, El-Hadj Khaled Omar Youssef Abdrabuh, accrédité au Bénin. Il a transmis son accréditation et échangé avec le président de la République. Il déclare être très heureux de rencontrer le président Boni Yayi et d'échanger avec lui sur la dynamisation de la coopération entre l'Arabie Saoudite et le Bénin. Il s’est personnellement engagé à faire fructifier ces relations en faisant bénéficier au Bénin, d’importants financements auprès de l’Arabie Saoudite. L’ambassadeur El-Hadj Khaled Omar Youssef Abdrabuh est né en 1955 à Jeddah. Diplômé en économie et en administration publique, il est marié et père de trois enfants. Il a été en poste en Autriche, en Corée du Sud, en Turquie, à Karachi et au Mali. bibo:pages 3 -- o:id 8947 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8947 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8953 27101 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d5f8dfb3516fe92c1a8d1fe0e79ad2de4e6f0f2f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/865368f6fdb8551fc0521b59f793ef6675a36592.tiff dcterms:title Lutte contre la mortalité maternelle et survie des femmes : impliquer les leaders traditionnels et religieux dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/11 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13211 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/787 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-05-28 dcterms:identifier iwac-article-0004175 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Quels rôle les leaders traditionnels et religieux peuvent-ils et doivent-ils jouer dans la réduction de la mortalité maternelle et la survie des femmes? Tel est l’objectif de l’atelier qui a regroupé depuis hier mercredi 27 mai, les chefs religieux venus de tous les départements du Bénin. Cet atelier est organisé par le Réseau des associations et ONG islamiques du Bénin (RAI) avec l’appui financier du Fonds des Nations unies pour la population au Bénin (UNFPA). C’était au CODIAM à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12894 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/328 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15273 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/539 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Quels rôle les leaders traditionnels et religieux peuvent-ils et doivent-ils jouer dans la réduction de la mortalité maternelle et la survie des femmes? Tel est l’objectif de l’atelier qui a regroupé depuis hier mercredi 27 mai, les chefs religieux venus de tous les départements du Bénin. Cet atelier est organisé par le Réseau des associations et ONG islamiques du Bénin (RAI) avec l’appui financier du Fonds des Nations unies pour la population au Bénin (UNFPA). C’était au CODIAM à Cotonou. La mortalité maternelle et la survie des femmes sont aujourd’hui des préoccupations mondiales. C’est pourquoi, du 17 au 21 juillet 2008, une conférence a eu lieu à l’institut polytechnique de l’Etat de Sokoto au Nigéria sur “Le rôle des responsables traditionnels et religieux en matière de réduction de la mortalité maternelle et survie de la femme ». Les résultats de cette importante conférence dont ont pris part les responsables traditionnels et religieux originaires du Bénin, du Burkina Faso, de la République centrafricaine, du Tchad, de la Côte d’Ivoire, de la Gambie, du Ghana, de la Guinée, du Kenya, du Libéria, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Rwanda, du Togo, du Sénégal, de la Sierra Léone, du Swaziland, de la Tanzanie, de l’Ouganda et du Nigéria, ont été restitués hier aux participants à cette rencontre de Cotonou. Cette conférence avait permis aux leaders religieux d'élaborer un plan d’action sous-régional qui a défini les mesures concrètes que les responsables traditionnels et religieux devraient adopter pour accroître les chances de survie de la femme et partant, réduire les taux de mortalité maternelle dans les différentes communautés. Pour Pierre Klissou, représentant de l’UNFPA, la restitution des résultats de la conférence de Sokoto, vient à point nommé quand on sait que le taux de mortalité maternelle reste toujours élevé malgré la tendance baissière observée. De 474 décès maternels en 2001 le taux est passé à 397 pour mille naissances vivantes en 2006. Au Bénin, a-t-il poursuivi, quatre femmes meurent en donnant la vie chaque jour. Cette situation chagrine plus d’un et compromet les espoirs du ménage et de plusieurs familles. Les principales causes des décès maternels restent l’hémorragie, la septicémie, les maladies liées à l’hypertension de la grossesse, les complications de la grossesse, les grossesses précoces, rapprochées, tardives et les avortements à risque. Pour réduire les facteurs de risque, il urge de jouer sur les trios retards à savoir: le retard de la prise de décision de la communauté à se rendre dans les centres de santé, le retard de la référence des gestantes et parturientes vers les formations sanitaires et le retard dans la prise en charge des urgences obstétricales. Ce ne serait qu’à ce prix que le Bénin pourra répondre positivement au rendez-vous des Objectifs du millénaire pour le Développement en 2015 surtout pour les objectifs 4, 5 et 6. Les problèmes de santé étant multidisciplinaires, il a attiré l’attention des uns et des autres sur la nécessité de s’engager résolument dans ce combat aux côtés du gouvernement, des ONG, des réseaux et associations pour le bien-être des membres des communautés. Car, les efforts consentis à ce jour doivent être renforcés. Les six communications qui ont été présentées hier feront l’objet de débats sérieux aujourd’hui pour des résolutions qui permettront de réduire la mortalité maternelle et assurer la survie de la femme. bibo:pages 13 -- o:id 8948 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8948 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8954 27102 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c3979d12364405b7c360900cea5afea6ed0902e0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7f8d58341ff1d9e433077e949a5de7b640a51740.tiff dcterms:title Colloque islamique au Bénin : pour une collaboration sincère entre les religions dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15066 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14101 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14108 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/773 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-05-04 dcterms:identifier iwac-article-0004176 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Abdallah Abdoul Mouhssine Attourky, secrétaire général de la Ligue islamique mondiale, est en séjour au Bénin. Au cours de ce séjour, il a présidé, au palais des Congrès de Cotonou, samedi 2 mai dernier, un colloque sur le thème: «L’islam et la coexistence pacifique». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Abdallah Abdoul Mouhssine Attourky, secrétaire général de la Ligue islamique mondiale, est en séjour au Bénin. Au cours de ce séjour, il a présidé, au palais des Congrès de Cotonou, samedi 2 mai dernier, un colloque sur le thème: «L’islam et la coexistence pacifique». Le Saint Coran est la lumière et le guide de l’islam. C’est pourquoi à l’ouverture de ce colloque, tout a commencé par la lecture de quelques versets coraniques. L’islam est une religion de paix et y oeuvre au quotidien. Plusieurs œuvres humanitaires sont menées, selon les recommandations du Coran. C’est pourquoi plusieurs pays africains bénéficient comme le Bénin de la construction des centres de santé et des écoles coraniques. Selon Issa Soulé Badarou, ministre délégué auprès du président de la République, chargé de l’Economie maritime, des Transports maritimes et des Réformes portuaires, le thème de ce colloque est très unificateur et démontre le rôle important que joue l’islam dans le monde pour que règne la paix. Une bonne compréhension de ce thème permettra de mieux relancer les musulmans du Bénin qui doivent vivre en symbiose avec les autres religions de la place. Il s’agira de renforcer les actions entreprises par le gouvernement pour cultiver la tolérance et l’acceptation de l’autre. Plusieurs communications ont été présentées au cours de ce colloque. Parmi elles: les devoirs du musulman dans une société non islamique; les fondements de la coexistence pacifique en islam; le rôle de la mosquée dans la sensibilisation et l’orientation; et l’éthique et le comportement en islam. bibo:pages 13 -- o:id 8949 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8949 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8955 27103 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9ce74e4f87b3e09bcca3e0473c2332277e83d0b4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8d138d10f8b246f4e524254cf3767e60c548625d.tiff dcterms:title Arrivée au Bénin, ce jour, du Docteur Abdallah Abdoul Mouhssine Attourky dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15066 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13067 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/782 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/773 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2009-04-30 dcterms:identifier iwac-article-0004177 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Ce jour jeudi 30 avril, Sa Sainteté le Docteur Abdallah Abdoul Mouhssine Attourky, secrétaire général de la Ligue islamique mondiale en provenance de la Mecque, en Arabie Saoudite, sera l’hôte du Bénin. Il y séjournera jusqu’au dimanche 3 mai prochain. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Ce jour jeudi 30 avril, Sa Sainteté le Docteur Abdallah Abdoul Mouhssine Attourky, secrétaire général de la Ligue islamique mondiale en provenance de la Mecque, en Arabie Saoudite, sera l’hôte du Bénin. Il y séjournera jusqu’au dimanche 3 mai prochain. A cet effet, l’Union islamique du Bénin, le Conseil supérieur de l’Islam au Bénin et le Bureau islamique mondial au Bénin convient toute la communauté à se mobiliser pour lui réserver un accueil chaleureux à l’aéroport international de Cotonou où il atterrit ce jour à 14H00. bibo:pages 16 -- o:id 8950 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8950 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8956 27104 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c6d22f8c1ffda6004ad5da2ff55c8dae9cb9abf5.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3682dac432b256545a968612a9ef84360b27986c.tiff dcterms:title Commune de Toviklin : les musulmans se préparent à marcher sur la mairie dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15233 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0004178 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les musulmans de Toviklin marcheront vendredi prochain, en guise de protestation contre l’ingérence des autorités locales dans la gestion des vivres offerts par le gouvernement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/474 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/478 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les musulmans de Toviklin marcheront vendredi prochain, en guise de protestation contre l’ingérence des autorités locales dans la gestion des vivres offerts par le gouvernement. Les musulmans reprochent aux autorités locales d’avoir « confisqué » les vivres provenant du don du gouvernement jusqu’à la fin du mois de ramadan, selon l’imam de la mosquée centrale de Toviklin, président de l’Union islamique départementale du Couffo, El Hadj Choubaï Ahmed. La motion de protestation est déjà déposée au maire avec ampliation au préfet des départements du Mono et du Couffo, à la brigade de gendarmerie de la localité et au responsable national dés Imams, a précisé El Hadj Choubaï Ahmed. ABP bibo:pages 13 -- o:id 8958 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8958 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8966 27105 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/402f7b52e6eccd6e2220af2f16708f1431707363.pdf https://islam.zmo.de/files/original/72ae15c7144a4159b786d11896ee3aecc9f267d7.tiff dcterms:title Mois de Ramadan : le gouvernement offre des denrées alimentaires aux musulmans dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1613 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-01 dcterms:identifier iwac-article-0004179 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles musulmans du Bénin viennent de bénéficier du gouvernement d’un appui alimentaire dans le cadre du mois de Ramadan. La remise de ces dons s’est déroulée, hier mardi 31 août, dans l’enceinte du ministère chargé des Relations avec les Institutions à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles musulmans du Bénin viennent de bénéficier du gouvernement d’un appui alimentaire dans le cadre du mois de Ramadan. La remise de ces dons s’est déroulée, hier mardi 31 août, dans l’enceinte du ministère chargé des Relations avec les Institutions à Cotonou. D’un coût global de 85 millions, cet appui est composé de 1300 sacs de 50kg de riz, 1300 cartons de sucre et de 1600 bidons d'huile végétale de 25 kg. L'offre de ce don est l'une des décisions prises par le gouvernement en Conseil des ministres du 11 août dernier afin d'accompagner les fidèles musulmans qui observent en ce moment une période de pénitence marquée par le jeûne du mois de Ramadan. Il a été ainsi décidé de reconduire l’appui financier annuel du gouvernement aux confessions religieuses et aux chefferies traditionnelles. Selon le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Zakari Baba Body, c’est le moment d’aider le musulman à disposer du minimum essentiel pour mieux se concentrer et méditer en prière sans crainte ni angoisse pour que la nation béninoise se porte bien. Ce geste du gouvernement selon lui, symbolise sa manifestation de la solidarité avec la communauté islamique du Bénin. Il témoigne aussi, a-t-il poursuivi, de l’importance que le gouvernement accorde à ces composantes de la société civile pour leur rôle de médiation sociale, de maintien de la paix et de l’unité nationale. Le représentant de l’Union islamique nationale du Bénin, Adégbola Faïssou a pris l’engagement que ces trois variétés de denrées alimentaires à savoir le riz, le sucre et l’huile végétale seront réparties dans tous les villages et quartiers de ville du Bénin aux fidèles musulmans. bibo:pages 11 -- o:id 8959 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8959 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8967 27106 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/46280195546132d953615aaa0b3d77d28cbd0b84.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5c7d3509332b8813421685e2597f83005362e5ee.tiff dcterms:title Des revendeuses de fruits accusent les producteurs dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1536 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1574 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-08-11 dcterms:identifier iwac-article-0004180 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Avec le démarrage du jeûne depuis quelques jours, les prix des fruits ont connu une augmentation sur nos différents marchés. Des témoignages recueillis auprès de vendeuses des marchés de Cadjèhoun et Gbégamey, cette flambée est surtout imputable aux producteurs qui, chaque année à l'approche du jeûne des musulmans, renchérissent le coût des produits vivriers, notamment les fruits. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Avec le démarrage du jeûne depuis quelques jours, les prix des fruits ont connu une augmentation sur nos différents marchés. Des témoignages recueillis auprès de vendeuses des marchés de Cadjèhoun et Gbégamey, cette flambée est surtout imputable aux producteurs qui, chaque année à l'approche du jeûne des musulmans, renchérissent le coût des produits vivriers, notamment les fruits. Une constante se dégage après le recoupement des déclarations des revendeuses de fruits. Selon les bonnes dames approchées, les producteurs sont les principaux auteurs de la hausse des prix des papayes, ananas, oranges, bananes, goyaves et autres. Pour s’en convaincre, dame Pauline rencontrée au marché de Cadjèhoun, a laissé entendre que les paysans ne sont plus dupes. Selon elle, tout porte à croire qu’ils sont bien informés du démarrage de la période du jeûne. Elle justifie que le carême constitue sûrement pour eux, une opportunité d’affaires. Car, conclura-t-elle, les paysans savent bien que les musulmans sont contraints de consommer les fruits, quel que soit leur prix. Pour dame Rose, d’autres raisons justifieraient cette flambée. Elle déclare à cet effet que l’octroi des microcrédits aux femmes a favorisé l’accroissement de l’effectif des vendeuses de fruits. Ces «nouvelles» commerçantes, déplore-t-elle, n’hésitent pas à corrompre les paysans en déboursant plus de sous pour acheter les produits et revitaliser leur stock. Pour dame Rachelle vendeuse au marché de Gbégamey, si les fruits ont pris de la valeur, c'est parce que certaines femmes d’un standing élevé, ont pris l’habitude de s’approvisionner directement auprès des paysans. Nanties, elles ne débattent plus le prix avant de se faire servir. Conscients de cette réalité, souligne t-elle, certains producteurs font même de la surenchère, confiants qu’ils livreront leurs articles. « Si le prix d’achat des produits à la source est déjà élevé et s’il faut également prendre en compte les frais de transport sans cesse croissants du fait de la crise financière qui secoue le pays, on ne peut pas nous en vouloir de fixer en conséquence le prix de vente des fruits, pour nous permettre de dégager un minimum de marge financière», se désole dame Suzanne, visiblement mécontente du fait que les revendeuses soient toujours considérées comme les responsables de la montée exponentielle des prix des produits en période de Ramadan. Le Ramadan ou la course aux fruits Le jeûne du Ramadan a, pour peu qu’on connaisse les habitudes du milieu du commerce en cette période, des retombées économiques certaines. En effet, c’est la ruée vers le ravitaillement, en particulier les fruits, pour les familles musulmanes, qui voient en ce type d’aliments une source énergétique de choix. De plus, ils sont quasiment indispensables pour la rupture du jeûne. Cependant, la pénitence spirituelle et charnelle entraîne la pénitence des bourses. Eh effet, le mois de Ramadan est l’occasion pour les commerçants de procéder à une hausse des prix, la loi de l’offre et de la demande oblige. Tenez ! Au marché Fifatin de Cadjèhoun ou au marché de fruits de Gbégamey, le panier d’oranges passe facilement des 1000 francs qu’il coûte en période ordinaire, à 1500 francs. Ce n’est que le début, et l’affluence au niveau des étals de fruits se multiplie sous les hangars, révélant ainsi le don de polyvalence de certains commerçants habitués à écouler des marchandises d’un autre type. Les musulmans quant à eux ne sont pas encore nombreux à se présenter pour ces emplettes saisonnières, nous confie une vendeuse. Néanmoins, elle ne s’en inquiète guère, habituée qu’elle est de ce commerce : «Le Ramadan commence à peine, ils viendront.» Son sourire en dit long... Victor-Emmanuel EKWA-BEBE III bibo:pages 11 -- o:id 8960 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8960 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8968 27107 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6b2d9397dcf27142771bafe0a5ca9262cd26a3b8.pdf https://islam.zmo.de/files/original/889fd6f702e4419be64f28551cfdbc17dd339704.tiff dcterms:title Audiences du chef de l'Etat : le premier ministre koweïtien au cabinet de Boni Yayi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14713 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15434 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14314 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-08-04 dcterms:identifier iwac-article-0004181 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le chef de l’Etat, le président Boni Yayi a reçu en audience, hier mardi 3 août au Palais de la République, plusieurs personnalités. Il s’agit d’une délégation du premier ministre koweïtien, Ali Al-Jarah Al et d’une autre conduite par notre compatriote Justin Azankpo. Au cours des échanges qu’il a eus avec chacune d’elles, il a été essentiellement question des sujets d’ordre national et international. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le chef de l’Etat, le président Boni Yayi a reçu en audience, hier mardi 3 août au Palais de la République, plusieurs personnalités. Il s’agit d’une délégation du premier ministre koweïtien, Ali Al-Jarah Al et d’une autre conduite par notre compatriote Justin Azankpo. Au cours des échanges qu’il a eus avec chacune d’elles, il a été essentiellement question des sujets d’ordre national et international. La première délégation à être reçue dans la matinée d’hier était conduite par le premier ministre koweitien Ali Al-Jarah Al Sobah. Au cours de l’audience que le président Boni Yayi a accordée à cette délégation, l'état des relations qui lient le Bénin au Koweït a certainement été évoqué. Mais à sa sortie d’audience, la délégation n’a fait aucune déclaration à la presse. Quant à la deuxième délégation, elle est conduite par Justin Azankpo, vice-président du Rassemblement international pour une démocratie apaisée au Bénin (RIDAB). Cette association créée par des membres de la diaspora béninoise en Europe, apporte son soutien au président Boni Yayi pour les efforts de développement en cours dans le pays. Ses membres ont également saisi l'occasion pour encourager le chef de l’Etat pour les courageuses décisions prises dans le cadre de l’affaire ICC-Services. bibo:pages 16 -- o:id 8961 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8961 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8969 27108 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4f708a1680039b4cd12f51254df1aa15591d52d5.pdf https://islam.zmo.de/files/original/401eaf775d13cb6402e817fcf75a683b42aaa411.tiff dcterms:title Table ronde internationale sur le dialogue interreligieux : pour la préservation et la consolidation de la paix en Afrique dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1536 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1944 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15373 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14108 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-06-28 dcterms:identifier iwac-article-0004182 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Sous le parrainage du ministre Issa Badarou-Soulé, le mouvement Chrétiens pour changer le monde, présidé par le professeur Albert Gandonou, a organisé les 26 et 27 juin une table ronde internationale sur le thème « Dialogue interreligieux : contribution des religions à la construction de la paix ». C’était à Cotonou dans la salle de conférences de l’institut universitaire du Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/547 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/328 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/431 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14501 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Sous le parrainage du ministre Issa Badarou-Soulé, le mouvement Chrétiens pour changer le monde, présidé par le professeur Albert Gandonou, a organisé les 26 et 27 juin une table ronde internationale sur le thème « Dialogue interreligieux : contribution des religions à la construction de la paix ». C’était à Cotonou dans la salle de conférences de l’institut universitaire du Bénin. L’objectif de la table ronde est de contribuer à amener les religions à se désengager des combats pour devenir des artisans de la paix. Plusieurs pays africains étaient représentés à cette rencontre, notamment le Maroc, le Togo, le Cameroun, le Congo Brazzaville, le Congo Kinshasa, la Guinée et le Bénin. L’assistance composée de jeunes et de personnalités scientifiques d’obédiences religieuses diverses a remué les méninges autour de trois panels. Le premier panel « La marche de l’humanité vers toujours plus d’humanité et de miséricorde, à travers le combat pour l’égalité des races, l’égalité des cultures, l’égalité des langues et l’égalité des religions » a montré comment cette marche de l’humanité se poursuit de nos jours et comment son aboutissement dépend de la paix dans le monde. Le deuxième panel portant sur la contribution des religions à la préservation de la paix a insisté sur la nécessité pour les croyants de cultiver le dialogue interreligieux et de se désengager des combats d’intérêt et de chapelle pour devenir des artisans de paix. «L’Evangile : un message de justice sociale, d’amour et de paix, adressé à tout homme de bonne volonté, pour son élévation en humanité, c’est-à-dire vers Dieu» est le troisième panel qui a fait découvrir l’universalité de la «Bonne nouvelle» de Jésus-Christ. Après avoir souligné la fréquence des conflits sociopolitiques et interreligieux en Afrique et surtout la délicate période que la nation béninoise s’apprête à vivre, période faite de campagne et d’élection présidentielle, les participants ont conclu que la sauvegarde de la paix est l’objectif primordial à poursuivre par tous. Dans cette ligne, un point d’orgue a été mis sur les avantages que garantit un dialogue interreligieux. Convaincus que c’est dans le cœur des hommes que prennent naissance les conflits et violences de tous genres, l’assistance a estimé que c’est dans le cœur des hommes que se trouve la solution pour la paix. Ce qui passe par une connaissance profonde et une ouverture responsable de chaque fidèle ou pratiquant vers la religion de son vis-à-vis. Il s’agit en d’autres termes d’insister sur l’homme africain, sur sa formation et son éducation qui s’appuient sur une meilleure connaissance de l’autre. La table ronde a également mis en relief cette menace pour la paix que constitue la puissance de l’argent dans les rapports sociaux et dans les formes quotidiennes de sociabilité. Enfin, il a été recommandé à tous les acteurs sociaux notamment les politiques, d’œuvrer acharnement pour la préservation et la consolidation de la paix. bibo:pages 13 -- o:id 8962 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8962 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8970 27109 27110 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4bf6f858967fd35116f64f1d596711370701e301.pdf https://islam.zmo.de/files/original/20ae7956e6df555260fd0b2cfbf73198630aeaff.tiff https://islam.zmo.de/files/original/3b7d8025e7157cc4ac5c230ac2b87bf1416d5bae.tiff dcterms:title Situation sociopolitique au Bénin et en Libye : l'Union islamique du Bénin invite les acteurs politiques au dialogue dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1526 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12873 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-03-10 dcterms:identifier iwac-article-0004183 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Face à la situation sociopolitique qui prévaut au Bénin et la crise en Libye, l'Union islamique du Bénin (UIB) est montée au créneau pour attirer l’attention des uns et des autres sur leur rôle afin de faire régner la paix dans les pays. L’occasion a été saisie pour donner sa position sur l’intronisation du dignitaire Owolobê comme grand chancelier de l’Islam au Bénin. C’était à l’occasion d’une conférence de presse donnée hier mercredi 09 mars à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Face à la situation sociopolitique qui prévaut au Bénin et la crise en Libye, l'Union islamique du Bénin (UIB) est montée au créneau pour attirer l’attention des uns et des autres sur leur rôle afin de faire régner la paix dans les pays. L’occasion a été saisie pour donner sa position sur l’intronisation du dignitaire Owolobê comme grand chancelier de l’Islam au Bénin. C’était à l’occasion d’une conférence de presse donnée hier mercredi 09 mars à Cotonou. Trois principaux sujets ont retenu l’attention de l’Union islamique du Bénin (Uib) qui est montée au créneau pour donner sa position et préconiser des solutions. Il s’agit de l’actualité sociopolitique au Bénin marquée d’intrigues, d’intimidations, de suspicions de tout genre de la part des acteurs sociopolitiques, de la position de l’Union vis-à-vis de l’intronisation de Owolobê, président de la fraternité Ogboni comme grand chancelier de l’Islam du Bénin et de la crise libyenne. Parlant de la situation socio-politique au Bénin, « Dieu ne changera pas la situation d'un peuple tant que ce peuple ne changera pas ce qu’il a en lui-même », a déclaré Faissou Adégbola, secrétaire général de l’UIB, en s’inspirant d’un verset du coran. Après un diagnostic de la situation sociopolitique actuelle, l'Union réaffirme son attachement au droit de chaque Béninois d’appartenir au parti politique de son choix, invite les candidats à avoir comme credo, l'amour de la patrie et le sens du service, les responsables des institutions en charge du processus électoral en cours à jouer leurs rôles avec responsabilité et conscience. L’UIB exhorte les acteurs politiques de toute obédience et les responsables des institutions en charge du processus électoral à privilégier le dialogue, la concertation afin d’aboutir à un consensus autour des questions majeures de l’heure. En ce qui concerne l'intronisation de Owolobê comme grand chancelier de l’Islam du Bénin, le bureau exécutif de l’UIB dit non à ce titre décerné au chef Ogboni. Face à l’imbroglio autour de ce titre, le secrétaire général de l’UIB annonce que la communauté musulmane s’active à adresser des courriers officiels à des institutions tant nationales qu’internationales pour dénoncer ce qu’elle appelle une « mascarade de turbanisation » et pour rappeler que les pratiques Ogboni ne font pas bon ménage avec l’Islam. La communauté musulmane a tenu à rappeler au chef Ogboni qu'en Islam, « on ne mélange pas tout et on ne se mélange pas à tout ». Pour ce qui est de la crise libyenne, l’UIB appelle le concours des chefs d'Etat africains qui doivent sortir de leur mutisme pour engager des actions de médiation en vue de réconcilier le peuple libyen avec son guide, le colonel Mohammar El Kadhafi. bibo:pages 1 3 -- o:id 8963 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8963 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8971 27111 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a826f796ef66436a0e3aab84e444ace4fe5e0252.pdf https://islam.zmo.de/files/original/948b724f97ceaddba1a3430e0399094662a3adae.tiff dcterms:title Fraternité Ogboni : Kabiessi Owo Lobè fait chancelier de l'islam dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12873 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/116 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-02-22 dcterms:identifier iwac-article-0004184 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En présence d’un nombre impressionnant d’invités de marque, de têtes couronnées et de fidèles de la fraternité Ogboni, l’empereur mondial des Ogboni, Kabiessi Owo Lobé a été élevé au grade de grand chancelier de l’islam (Mangadji), samedi 19 février dernier, dans son palais impérial sis sur la route de Porto-Novo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En présence d’un nombre impressionnant d’invités de marque, de têtes couronnées et de fidèles de la fraternité Ogboni, l’empereur mondial des Ogboni, Kabiessi Owo Lobè a été élevé au grade de grand chancelier de l’islam (Mangadji), samedi 19 février dernier, dans son palais impérial sis sur la route de Porto-Novo. C’est une manifestation riche en couleurs qui a enregistré plusieurs interventions de personnalités. Après une forte animation islamique, la récitation du coran, le secrétaire général mondial de la fraternité Ogboni a pris la parole pour faire l’éloge de l’empereur et parler de ses bienfaits au niveau de la société et dans le monde entier. Il a ensuite expliqué que le thème Ogboni déroute malheureusement beaucoup de gens bien qu'il inculque l’esprit de fraternité. La fraternité Ogboni n’est pas une religion ni une secte, a-t-il ajouté. Après avoir dit que leurs fidèles se trouvent dans toutes les congrégations religieuses, il a fait remarquer que la fraternité Ogboni entend consolider ses bases et qu’elle n’est pas renfermée sur elle-même. Pour sa part, après l’intronisation, l’empereur mondial des Ogboni, Kabiessi Owo Lobè a d’abord remercié Dieu à qui il demande de nous donner une longue vie. Il a ensuite expliqué que ce couronnement est une œuvre divine. Il a souhaité que nous restions ensemble pour prier la paix et fait savoir qu’il est né pour sauver le monde entier. « Mon pouvoir ne boit pas l’huile, ni le sang », a-t-il précisé. Après avoir indiqué qu’ils ont plus de treize millions de fidèles, il a prodigué quelques conseils à l’endroit des hommes politiques en cette période de campagne, tout en leur demandant de mettre la balle à terre. bibo:pages 7 -- o:id 8964 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8964 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8972 27112 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/476f804e134f1494cc1be4c924f497d2b358ee70.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c114c6790df77e599aa025c14684de4ade6dd990.tiff dcterms:title Fête du Maouloud à Abomey et Bohicon : une célébration sans engouement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14851 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/220 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/212 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1615 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-02-16 dcterms:identifier iwac-article-0004185 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Contrairement à la Tabaski et au Ramadan, hier mardi, jour dédié à la fête du Maouloud marquant l’anniversaire de la naissance du prophète Mahomet, n’a enregistré à Abomey ni à Bohicon de manifestations festives significatives. Mais à Abomey, la soirée de la veille a enregistré une séance de prière dirigée par l’Iman Chouaïbou Nondichao à la mosquée historique. Au cours de cet office religieux, des versets du Saint Coran ont été lus. De même, des prières sont adressées à Allah, le Miséricordieux afin qu’il fasse demeurer et briller davantage sa lumière sur le prophète Mahomet. En cette veille des élections présidentielle et législatives, les fidèles et leur chef religieux n’ont pas omis d’élever leurs voix vers le Dieu unique pour que le Bénin puisse traverser dans la quiétude, la paix et la sérénité cette période sensible. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15204 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Contrairement à la Tabaski et au Ramadan, hier mardi, jour dédié à la fête du Maouloud marquant l’anniversaire de la naissance du prophète Mahomet, n’a enregistré à Abomey ni à Bohicon de manifestations festives significatives. Mais à Abomey, la soirée de la veille a enregistré une séance de prière dirigée par l’Iman Chouaïbou Nondichao à la mosquée historique. Au cours de cet office religieux, des versets du Saint Coran ont été lus. De même, des prières sont adressées à Allah, le Miséricordieux afin qu’il fasse demeurer et briller davantage sa lumière sur le prophète Mahomet. En cette veille des élections présidentielle et législatives, les fidèles et leur chef religieux n’ont pas omis d’élever leurs voix vers le Dieu unique pour que le Bénin puisse traverser dans la quiétude, la paix et la sérénité cette période sensible. Quant à Bohicon, c’est depuis la prière du vendredi dernier explique l’Iman Idrissou Boukari, que les fidèles ont été édifiés sur l’histoire de la naissance et de la vie du prophète. Pour lui, ce qui importe, c’est faire connaître aux fidèles musulmans, la vie du prophète. « C’est une fête qui n'existait pas », dit-il pour expliquer le manque d’engouement de cette célébration. Mais il ajoute que chacun marque la fête chez lui à sa façon. bibo:pages 14 -- o:id 8965 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8965 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8973 27113 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1ffba8a5e84d74705dc659b4c84ba74250b43eee.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bb3d9a57828e2b5bf0adf198b69b2b34c8f02c4e.tiff dcterms:title Aménagement et bitumage de la route Ouidah-Allada : 6,37 milliards F CFA au profit du Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/807 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1956 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-12-20 dcterms:identifier iwac-article-0004186 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le gouvernement béninois et le Fonds koweïtien pour le développement économique arabe ont procédé, vendredi 17 décembre dernier, à la signature d’un accord de prêt pour le financement partiel du projet d'aménagement et de bitumage de la route Ouidah-Allada et de la bretelle Pahou-Tori. Le montant alloué au Bénin est estimé à 6,37 milliards de francs CFA. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/412 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15142 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13551 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le gouvernement béninois et le Fonds koweïtien pour le développement économique arabe ont procédé, vendredi 17 décembre dernier, à la signature d’un accord de prêt pour le financement partiel du projet d'aménagement et de bitumage de la route Ouidah-Allada et de la bretelle Pahou-Tori. Le montant alloué au Bénin est estimé à 6,37 milliards de francs CFA. Le Fonds koweïtien pour le développement économique arabe a tenu ses promesses. Membre du pool de partenaires techniques et financiers engagés dans le projet d'aménagement et de bitumage de la route Ouidah-Allada et de la bretelle Pahou-Tori, cette institution vient de jouer sa partition à travers la signature d’un accord de prêt d’un montant de 6,37 milliards de francs CFA. Les deux tronçons Ouidah-Allada et Pahou-Tori sont respectivement longs de 36 et 18 km. Hesham Al-Waqayan, directeur général adjoint du Fonds explique le sens de leur engagement. « Nous avons été très intéressés par le projet dans la mesure où il s’agit de construction de routes pour faciliter les échanges commerciaux et surtout améliorer la fluidité du corridor béninois », soutient-il. Hesham Al-Waqayan se réjouit surtout de la coopération fructueuse que le Bénin entretient, depuis les années 1970 avec le Fonds koweïtien qui accorde toujours une attention particulière aux dossiers de notre pays. Pour Grégoire Akofodji, ministre de la Justice, qui assumait l’intérim de son collègue des Finances à la cérémonie de l'accord de prêt, ce projet s’inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie de réduction de la pauvreté et des politiques sectorielles d’infrastructures routières initiées par le gouvernement. L’aménagement et le bitumage de ces tronçons présentent, à l’en croire, plusieurs avantages. Il s’agit notamment du désenclavement des communes de Ouidah, de Tori-Bossito et d’Allada, le décongestionnement des volumes du trafic actuel en provenance du centre du Bénin ainsi que des pays de l’hinterland, le décongestionnement du port de Cotonou et des agglomérations et Etats situés à l’Est du Bénin en vue de faciliter la libre circulation des personnes et des biens. Ce projet, poursuit le ministre, va induire également l’accroissement des échanges commerciaux, agricoles, pastoraux, interrégionaux et nationaux. « Les deux tronçons sont complémentaires du point de vue de leur fonctionnalité et constituent des itinéraires de raccordement à deux routes inter-Etats à savoir : la frontière Togo-Hillacondji-Godomey-frontière du Nigeria et Porto-Novo et la route Godomey-Allada-Parakou-Malanville-frontière du Niger », ajoute Grégoire Akofodji qui souligne que cet accord de prêt permettra sans nul doute de réaliser avec célérité les travaux. D’un coût global de 22,8 milliards de francs CFA, le projet d’aménagement et de bitumage de la route Ouidah-Allada et de la bretelle Pahou-Tori mobilise également d’autres partenaires, à savoir la Banque d'investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC) pour 5 milliards F CFA, la Banque ouest-africaine de développement (BOAD) pour 5 milliards F CFA, le Fonds d’Abudabi pour 5 milliards F CFA. Le Bénin y contribue pour 1,8 milliards F CFA. Les ressources du Fonds koweïtien seront affectées aux travaux du tronçon Pahou-Tori, au contrôle et à la surveillance des travaux, à l'appui institutionnel, aux prestations environnementales et aux imprévus physiques et financiers. bibo:pages 7 -- o:id 8974 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8974 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8977 27114 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/efda10beca82acdf7f559a67898ff94ffbaa9039.pdf https://islam.zmo.de/files/original/366813adc28b5f15f45e910f589d520262327e98.tiff dcterms:title Coopération Bénin-Arabie Saoudite : une délégation du Fonds saoudien à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1480 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-11-09 dcterms:identifier iwac-article-0004187 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les membres du gouvernement ont accueilli, hier lundi 8 novembre à l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cotonou, une forte délégation du Fonds saoudien conduite par le vice-président et directeur général de ladite institution, Youssef I. Al-Bassam. Ce dernier procédera, ce jour, à la signature des accords de prêt relatifs à la construction du centre universitaire de Kétou et de l'hôpital de Savè. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/343 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/393 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les membres du gouvernement ont accueilli, hier lundi 8 novembre à l’aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cotonou, une forte délégation du Fonds saoudien conduite par le vice-président et directeur général de ladite institution, Youssef I. Al-Bassam. Ce dernier procédera, ce jour, à la signature des accords de prêt relatifs à la construction du centre universitaire de Kétou et de l'hôpital de Savè. A sa descente d’avion, le vice-président et directeur général du Fonds saoudien pour le développement, Youssouf I. Al-Bassam a déclaré que sa visite se situe dans le cadre de la coopération entre le Bénin et l’Arabie Saoudite. Une coopération qui se concrétise davantage par « des accords que nous allons signer bientôt avec la République du Bénin ». Le Fonds saoudien pour le développement a aussi l’ambition de signer d'autres accords avec le Bénin. A cet effet, Youssef I. Al-Bassam va explorer plusieurs projets notamment dans les domaines de l’agriculture et la santé. « Le Fonds est en train de gérer plus de trois millions de dollars pour les infrastructures socio communautaires, c’est-à-dire les forages et bien d’autres », a-t-il rappelé avant de témoigner toute sa gratitude au Bénin à travers l’accueil chaleureux qui lui a été réservé. « Au nom du fonds, je me réjouis très fortement de la coopération qui existe entre notre Fonds et la République du Bénin », a-t-il indiqué. « Et je suis persuadé que si cela pouvait continuer ainsi, d’autres avantages pourront en découler », a-t-il promis. Il a souhaité, par ailleurs, rencontrer, ce jour, le président de la République, Boni Yayi pour pouvoir lui transmettre les salutations du roi Abdelaziz ben Abderrahman Al Saoud. bibo:pages 13 -- o:id 8975 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8975 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8978 27115 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4d088f97512eede3979d18e1478617c83d328e02.pdf https://islam.zmo.de/files/original/546a501c9b090e8af94a763058c03c5abd542d77.tiff dcterms:title Audience au palais de la République : une mission iranienne chez Boni Yayi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13686 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-11-02 dcterms:identifier iwac-article-0004188 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République a reçu, le samedi 30 octobre dernier, une forte délégation iranienne conduite par Manouchaer Mottaki, ministre des affaires étrangères de la République islamique d’Iran qui effectue une tournée dans la sous-région. Cette délégation, composée des parlementaires et d’hommes d’affaires, est allée échanger avec Boni Yayi des partenariats qui peuvent être conclus entre le Bénin et l’Iran. « Il y a aujourd’hui une volonté du gouvernement de notre pays de renforcer notre coopération avec les pays africains. Nous pouvons collaborer ensemble dans les domaines industriels, notamment les secteur miniers, énergétiques et la transformation des produits agricoles », a indiqué Manouchaer Mottaki, à leur sortie d’audience. Téhéran entend également mettre en place de nombreux projets de développement et partager ses compétences et son savoir-faire avec les pays africains. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/331 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13747 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de la République a reçu, le samedi 30 octobre dernier, une forte délégation iranienne conduite par Manouchaer Mottaki, ministre des affaires étrangères de la République islamique d’Iran qui effectue une tournée dans la sous-région. Cette délégation, composée des parlementaires et d’hommes d’affaires, est allée échanger avec Boni Yayi des partenariats qui peuvent être conclus entre le Bénin et l’Iran. « Il y a aujourd’hui une volonté du gouvernement de notre pays de renforcer notre coopération avec les pays africains. Nous pouvons collaborer ensemble dans les domaines industriels, notamment les secteur miniers, énergétiques et la transformation des produits agricoles », a indiqué Manouchaer Mottaki, à leur sortie d’audience. Téhéran entend également mettre en place de nombreux projets de développement et partager ses compétences et son savoir-faire avec les pays africains. Le ministre des affaires étrangères a annoncé la décision de son gouvernement d’envoyer un avion d’aide humanitaire pour assister les sinistrés des inondations qui sévissent actuellement au Bénin. Il a également remis, au président Boni Yayi, l’invitation du président Mahmoud Ahmadinejad pour une visite officielle en Iran dans un avenir proche. bibo:pages 3 -- o:id 8976 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8976 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8979 27116 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ee09dd0134bbb8fd91990c813db7d1c6798ba0b2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/caa4a739c5e9e760b4b5631dca22ced07bdefcdc.tiff dcterms:title Couffo : les musulmans reprennent leurs vivres confisqués dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/789 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12976 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2010-09-23 dcterms:identifier iwac-article-0004189 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le maire de Toviklin, Jean Agbévo, a promis de remettre les vivres des musulmans confisqués hier mercredi, mais il l’a fait lundi dernier, soit deux jours plus tôt. Au cours de la remise des vivres, Agbévo a remercié les musulmans pour la rencontre qu’il a eu à effectuer avec eux sur le différend qui les oppose avec sa commune. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/478 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le maire de Toviklin, Jean Agbévo, a promis de remettre les vivres des musulmans confisqués hier mercredi, mais il l’a fait lundi dernier, soit deux jours plus tôt. Au cours de la remise des vivres, Agbévo a remercié les musulmans pour la rencontre qu’il a eu à effectuer avec eux sur le différend qui les oppose avec sa commune. « Ces vivres sont pour vous, prenez et partagez », a laissé entendre le maire Agbévo. Tous les musulmans présents à la cérémonie de remise ont témoigné leur satisfaction envers leur maire pour le respect de son engagement plus tôt que prévu. Il faut rappeler que ces vivres entrent dans le cadre de l’aide du gouvernement aux communautés musulmanes. La part qui revient à Toviklin se compose de 11 sacs de riz, de 11 cartons de sucre et 13 bidons de 25 litres d’huile chacun. ABP bibo:pages 11 -- o:id 8980 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8980 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8982 27117 27118 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3995fa1c0481abdec0d841b13f9768a88cf451a4.pdf https://islam.zmo.de/files/original/682ab33a4314013fc98616b829b06de41eb66326.tiff https://islam.zmo.de/files/original/dbb156fa969ff3bb20586057934d0be40781b1d9.tiff dcterms:title Hadj 2011 : mécontentement dans les rangs des pèlerins dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1592 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2025 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-10-25 dcterms:identifier iwac-article-0004190 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les candidats au pèlerinage à la Mecque de cette année ont décidé de marcher sur la Présidence de la République hier matin, pour manifester leur mécontentement face aux difficultés qu’ils rencontrent dans leur volonté de respecter cette sainte prescription de l’Islam. Mais leur élan a été contré par les Forces de l’ordre qui les ont convaincus de surseoir à ce projet, sous réserve d’obtention d’une autorisation des services compétents. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/475 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les candidats au pèlerinage à la Mecque de cette année ont décidé de marcher sur la Présidence de la République hier matin, pour manifester leur mécontentement face aux difficultés qu’ils rencontrent dans leur volonté de respecter cette sainte prescription de l’Islam. Mais leur élan a été contré par les Forces de l’ordre qui les ont convaincus de surseoir à ce projet, sous réserve d’obtention d’une autorisation des services compétents. Massés devant le CODIAM de Cotonou, les manifestants étaient pour la plupart en provenance de la mosquée centrale de Zongo et affichaient clairement leur intention de se rendre au palais de la Marina pour « faire savoir au chef de l’Etat, ce que les gens sont capables de faire subir à leurs frères musulmans » selon leurs dires. Pour eux, c’est un véritable calvaire que vivent les candidats au pèlerinage et cela, du fait de la mauvaise foi ou de l’incapacité des responsables en charge de l’organisation du voyage en terre sainte. Sur place, un détachement de policiers du corps urbain du Commissariat central de Cotonou n'a pas laissé à cette initiative spontanée, la moindre chance de réussite. Sans toutefois user de la force, ils ont expliqué aux manifestants du jour, qu’il était impossible de marcher sans autorisation préalable. Ainsi empêchés d’exprimer leur colère, les pèlerins se sont alors repliés sur la mosquée centrale ou les conditions de séjour sont loin d’être enviables. Sur la cour de ce lieu de prières, les pèlerins manifestants sont installés sur des nattes à l’ombre d’apatams bâchés installés pour la circonstance. Salifou Imorou Sanni est venu de Parakou et vit dans cette situation depuis plus de douze jours. « Nous sommes ici, à la merci des intempéries. Il y a déjà certains qui sont malades. Pis, il y a des cas de vols. Une dame a été agressée hier, tout son argent de poche emporté», révèle ce septuagénaire pour qui «une telle situation peut expliquer des réactions violentes surtout qu’on ne sait même pas à qui se plaindre. Les jeunes projettent de barrer la route pour se faire entendre. Mais nous faisons de notre mieux pour les contenir ». Ici, l’exaspération est perceptible. Dame Salifatou Arimi prévient : «si nous n’avons pas d’avion, ça va mal se passer ! », tandis que Mouftaou Sagbohan opte plutôt pour un remboursement pur et simple. « Le délai pour voyager sur l’Arabie Saoudite est bientôt expiré, qu’ils nous remboursent nos sous. C’est tout ! », dit-il. Le chef de l’Etat pourtant préoccupé En effet, chacun des pèlerins présents dans cette mosquée a déboursé environ deux millions de francs CFA pour effectuer ce voyage à la Mecque qui constitue l'un des cinq piliers de la foi musulmane. Cette situation contraste avec les propos du haut commissaire au Pèlerinage, Raphiou Toukourou, qui déclarait le vendredi dernier au sortir de l’audience que lui avait accordée le chef de l’Etat, Son excellence Boni Yayi que tout serait rentré dans l’ordre et les premiers vols devraient s’effectuer dans cette même soirée du vendredi dernier. A cette occasion, il avait reconnu les importants efforts consentis par le gouvernement et expliqué que le retard des pèlerins était dû à « des dysfonctionnements au niveau de l’aviation civile saoudienne ». Rencontré, le président du Conseil national de coordination du Hadj 2011, s’est voulu rassurant. Pour lui, « les tout prochains jours verront le départ des pèlerins Inch’AIlah ». Amidou Ouro-Djeni a indiqué que toutes les autorités impliquées dans l’organisation du pèlerinage se sont mises à l’œuvre pour assurer une issue heureuse à cette situation regrettable. «Nous sortons à l’instant d’une séance de travail avec, entre autres, les ministères du Transport et des Finances, le haut commissaire au Pèlerinage et nous avons pu trouver une solution», a-t-il affirmé avant d’ajouter que «c’est en fait le transporteur qui est défaillant. Heureusement, nous venons de trouver une autre compagnie aérienne qui est prête à le remplacer». Au titre de cette édition du pèlerinage en terre sainte de l’Islam, trois cent cinquante pèlerins attendent d’effectuer le déplacement vers la Mecque. Comme eux, ils seront dix mille (10.000) croyants de par le monde à répondre à l'appel du prophète Mahomet. bibo:pages 1 3 -- o:id 8981 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8981 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8983 27119 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/766fcbe58c1b29325dccf714766399c6b4b6e00a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/885e77344eac5b175b9e6799dfa1ecf7dcf46cc6.tiff dcterms:title Jeûne du mois de Ramadan à Parakou : la deuxième décade abordée sous le signe du pardon de Dieu dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-08-12 dcterms:identifier iwac-article-0004191 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Commencé le lundi 1er août dernier, le jeûne du mois Ramadan aborde depuis hier Jeudi 11 août, sa deuxième décade placée sous le signe du pardon. Les fidèles musulmans de Parakou sont décidés à vivre la présente décade comme ils l’ont fait pour la première qui a été celle de la bénédiction. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Commencé le lundi 1er août dernier, le jeûne du mois Ramadan aborde depuis hier Jeudi 11 août, sa deuxième décade placée sous le signe du pardon. Les fidèles musulmans de Parakou sont décidés à vivre la présente décade comme ils l’ont fait pour la première qui a été celle de la bénédiction. Période par excellence de prières, de purification pour les musulmans du monde entier, le Ramadan est aussi une période de repentir et de sollicitation du pardon et de la grâce d’Allah. A Parakou, les fidèles l'ont compris qu’ils intensifient leurs prières pour se réconcilier avec Dieu et attirer les bénédictions divines sur le Bénin tout entier. Ils sont conscients que du jeûne du mois de Ramadan résulteront un grand mérite et une immense récompense. Ceux d'avoir respecté le quatrième pilier de l’islam, l’une des recommandations prescrites aux prophètes et à leurs peuples par Allah. Depuis le démarrage du jeûne, lundi 1er août dernier, les mosquées et autres lieux de prières de la cité des Kobourou, n’ont cessé de se remplir au détriment des maquis, restaurants et débits de boisson. A l’heure des prières, seules les voix des muezzins couvrent de leurs échos toute la ville. A l’instar des autres membres de la communauté musulmane du Bénin et des autres pays du monde, les fidèles de Parakou ont entamé depuis hier jeudi 11 août, la deuxième décade de ce mois de jeûne. Celle au cours de laquelle, Allah pourrait les récompenser de son pardon. La première décade qu’ils ont achevée, était celle de la bénédiction. Ils entendent également la vivre en toute quiétude, dans l'espoir de pouvoir aborder la troisième et la toute dernière, celle de la grâce ou de la rémission qui leur permettra de se voir accorder le paradis. Ainsi, depuis hier, ils ont pour la plupart commencé par intensifier leurs actes d’adoration, la lecture du Saint coran, leurs souvenirs à Allah et leurs prêches, en n’oubliant plus de faire l’aumône. Leur préoccupation est d'obtenir le pardon d’Allah. Pour ce faire, ils s’emploient plus que par le passé, à avoir le minimum de comportements dignes et décents. bibo:pages 4 -- o:id 8984 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8984 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8987 27120 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9ac3fa350d9d274e87052c6fb2f4a6787e5d50ea.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bbd7725388c0b7e54bf53ed03239a8909ee01b6b.tiff dcterms:title Toussaint : réactions de quelques leaders religieux dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1506 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13713 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-10-31 dcterms:identifier iwac-article-0004192 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract El Hadj Moutawakil Malick Boukari (Imam Mosquée centrale Médine de Agori Plateau) dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/491 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content El Hadj Moutawakil Malick Boukari (Imam Mosquée centrale Médine de Agori Plateau) Quand on parle de la fête de la Toussaint, je dois vous dire que nous nous faisons du mal pour rien. Il s’agit ici des morts. Cette fête, c’est pour les protéger ou alors c’est pour qu’ils nous protègent eux ? Un mort n'entend pas et même s’il entend, il ne peut pas répondre. On peut prier pour les morts. Mais les fêter, cela ne se comprend pas. De votre vivant, vous pouvez laisser un héritage. Mais une fois décédé, le lien est rompu. Si les morts avaient une influence sur nous, nous n’allions pas prier pour eux ? Nous n’avons pas besoin des morts qui eux, sont dans le jugement avec leur créateur. Tout ce que nous pouvons faire, c’est de prier pour nos morts et il est très important pour nous de prier pour eux. Ce que les gens ne comprennent pas, c'est qu’il est important de prendre soin des morts parce qu’ils ont besoin de nos prières. Le lien entre eux et nous, c’est que nous intercédons auprès des anges pour nos parents décédés. Si l'âme n’était pas au repos, les prières permettent de leur trouver la tranquillité. Ces prières là permettent aussi de leur obtenir le pardon. C’est Dieu qui nous demande de prier pour nos morts puisque les morts n’ont aucune force et sont seuls face à leur Dieu. Les morts n’ont pas besoin d’un jour spécial pour la prière. C’est tous les jours et à tous les instants que nous devons solliciter les bonnes intentions pour nos morts. La religion musulmane ne fait pas de culte aux morts, mais prie et c’est l’essentiel. Et il n’y a pas un jour spécial dédié à cette fin. Le nettoyage des alentours des tombes peut être fait. Mais il faut éviter d’arracher les herbes qui sont sur les tombes. Car, ces herbes sont une bénédiction. Au fait, il est arrivé dans la vie du prophète Mahomet, qu’il plante une herbe sur une tombe. Ceux qui le suivaient, lui ont alors demandé la signification de l’acte posé. A lui de leur expliquer, que la personne défunte était en punition et l’herbe plantée serait pour lui une source de bénédiction. Le plus important, c’est que nous menions sur terre une vie digne et respectueuse de la volonté de Dieu. Le tout ne suffit pas d’être leader religieux ou de s’improviser tel ou tel. Il nous faut la paix et l’humilité. Et surtout beaucoup de prières dans les mosquées et les églises. -- o:id 8985 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8985 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8988 27121 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/96b6206139ae3ba9c33b0b568bcb1761cba70ee0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/cd141355a51e7977a5b110a483e23e0f1c8942d1.tiff dcterms:title Renforcement de la coopération bénino-koweitienne : Boni Yayi au Koweït ce jour dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1566 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1566 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/808 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-06-11 dcterms:identifier iwac-article-0004193 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Communiqué de presse du ministère des Affaires étrangères dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/543 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Communiqué de presse du ministère des Affaires étrangères A l'invitation de Son Altesse Cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah, Emir du Koweït, le président de la République, Dr Boni Yayi, effectue une visite d'amitié et de travail à Koweït-City, du 11 au 13 juin 2012. Au cours de cette visite, le président de la République et son hôte examineront diverses questions concernant les derniers développements politiques en Afrique et saisiront l'occasion pour avoir un échange sur l’état de la coopération bilatérale entre les deux (02) pays. S'agissant des questions africaines, le président de la République, en sa qualité de président en exercice de l'Union Africaine, discutera avec son homologue des sujets tels que: - la stabilité et la gouvernance politique en Afrique; - l'autosuffisance alimentaire du continent et la lutte contre la famine; - la protection de l'environnement et les risques liés aux changements climatiques ; - la sécurité et la lutte contre le terrorisme dans la bande sahélo-saharienne. Les questions ayant trait à la crise politique au Moyen-Orient et les voies et moyens pour un retour à la paix en Syrie, seront également abordés. S'agissant de la coopération bilatérale entre le Bénin et le Koweït, les deux (02) hommes d'Etat évalueront les actions entreprises en vue de dynamiser les relations aux plans économique et commercial. Dans cette optique, le chef de l'Etat fera notamment avec le Premier ministre koweïtien et les responsables du Fonds Koweïtien pour le Développement, le point des interventions de cette institution au Bénin et leur soumettra de nouvelles requêtes de financement dans les secteurs portuaire, touristique, socio-éducatif, de la recherche pétrolière et de la construction des infrastructures. Des rencontres avec d’autres personnalités koweïtiennes et des séances de travail avec les milieux d'affaires auront également lieu, en vue de les mobiliser pour appuyer les actions du gouvernement dans la perspective d'un partenariat public-privé pour le financement des projets prioritaires dans le cadre du développement du Bénin. Fait à Cotonou, le 10 juin 2012. Le secrétaire général adjoint, porte-parole du ministère Euloge HINVI Ambassadeur bibo:pages 12 -- o:id 8986 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8986 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 8989 27122 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b998c4b696f529a25d7fcfe9d8b876e3ebf32ed7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/e251550f2f35b256c71967a76a26db080d6c80ef.tiff dcterms:title Musée historique d'Abomey : des prières musulmanes pour le chef de l'Etat et sa feue mère dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14548 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13659 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1966 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2035 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13083 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1431 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-05-07 dcterms:identifier iwac-article-0004194 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Samedi 5 mai dernier, des députés de la Mouvance, ministres, directeurs de sociétés publiques et diverses personnalités des neuf communes du plateau du Zou, ainsi que les populations de la cité historique ont pris d’assaut le palais royal d’Abomey. Objectif : prier pour le repos de l’âme de Séko Goura, mère du président de la République, décédée le 13 mai 2002, et pour le fils afin qu’AIlah l’assiste dans sa mission. C’était sous le regard du roi Dédjalagni Agoli-Agbo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Samedi 5 mai dernier, des députés de la Mouvance, ministres, directeurs de sociétés publiques et diverses personnalités des neuf communes du plateau du Zou, ainsi que les populations de la cité historique ont pris d’assaut le palais royal d’Abomey. Objectif : prier pour le repos de l’âme de Séko Goura, mère du président de la République, décédée le 13 mai 2002, et pour le fils afin qu’AIlah l’assiste dans sa mission. C’était sous le regard du roi Dédjalagni Agoli-Agbo. 13 mai 2002-13 mai 2012, dans une semaine, cela fera 10 ans qu’a quitté ce monde, dame Séko Goura, mère du chef de l’Etat, Boni Yayi. Le député Yacoubou Malèhossou, l’organisateur en chef, a précisé les motifs de cette rencontre spirituelle. Selon lui, cette prière est organisée pour le repos de l'âme de la mère du président de la République, décédée il y a une décennie. Au-delà de la défunte, son fils président a aussi été au cœur des intentions de prière pour qu’Allah le miséricordieux lui accorde la santé et tout ce dont il a besoin pour réussir sa mission à la tête du Bénin. Son gouvernement n'a pas non plus été oublié. Même son de cloche de la part de Léhady Soglo, président de la Renaissance du Bénin dont le souhait est de voir le chef de l'Etat aller jusqu’au bout de ses ambitions pour le pays par la grâce d’Allah. Intervenant par la suite, le directeur général du Port autonome de Cotonou, Joseph Ahanhanzo, s'est surtout réjoui de la communion des fils du plateau d’Abomey autour du chef de l'Etat. De son avis, une telle chose n’était pas évidente, il y a quelque temps. Dès lors, il a souhaité que cette union se pérennise dans le temps pour le plus grand bien d’Abomey et de tout le plateau. bibo:pages 13 -- o:id 8991 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8991 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9000 27123 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c275e902b89d432af0f1ec36c6e40eec26c0a76e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f237ae7419efb7261423dd2d5460dd30e0a940c2.tiff dcterms:title Ratés dans l'organisation du Hadj 2011 et autres questions : le gouvernement interpellé à l'Assemblée nationale dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14678 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1451 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13867 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14456 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2044 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2037 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1431 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2011-12-08 dcterms:identifier iwac-article-0004195 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le gouvernement comparaît devant les députés de l'Assemblée nationale ce jeudi 8 décembre au palais des gouverneurs à Porto-Novo. Il est attendu pour apporter des explications à la Représentation nationale à une avalanche de questions d’actualité et orales avec débat d’intérêt majeur pour les députés. Aux dernières nouvelles, on apprend que le gouvernement ne serait pas prêt pour répondre à certaines questions, en l'occurrence la mauvaise organisation du Hadj 2011 et l'immortalisation des anciens présidents Sourou Migan Apithy et Justin Ahomadégbé. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le gouvernement comparaît devant les députés de l'Assemblée nationale ce jeudi 8 décembre au palais des gouverneurs à Porto-Novo. Il est attendu pour apporter des explications à la Représentation nationale à une avalanche de questions d’actualité et orales avec débat d’intérêt majeur pour les députés. Aux dernières nouvelles, on apprend que le gouvernement ne serait pas prêt pour répondre à certaines questions, en l'occurrence la mauvaise organisation du Hadj 2011 et l'immortalisation des anciens présidents Sourou Migan Apithy et Justin Ahomadégbé. Trois questions d’interpellations du gouvernement sont inscrites à l’ordre du jour de la séance plénière de ce jeudi 8 décembre. La première porte sur les conditions d’organisation du pèlerinage 2011 à la Mecque, la seconde sur la nécessité d’immortaliser les anciens présidents de la République Sourou Migan Apithy et Justin Ahomadégbé et la dernière sur la consommation des crédits mis à la disposition du Bénin par les partenaires techniques et financiers dans le cadre de la mise en œuvre de la vulgarisation du Plan décennal de développement du secteur de l’éducation (PDDSE). Les deux premières questions risquent de ne pas être abordées ce jour. Selon nos informations, le gouvernement demanderait leurs reports aux calendes grecques. Les auteurs de ces différentes questions sont le député Yacoubou Malèhossou pour la question de l’organisation du Hadj 2011, Lazare Sèhouéto pour l’immortalisation des anciens présidents et Isidore Gnonlonfoun pour la troisième question ayant trait à la mise en œuvre de la vulgarisation du Plan décennal de développement du secteur de l’éducation (PDDSE). Le gouvernement devra apporter des éléments de réponses à chacune de ces trois interpellations, les toutes premières de la sixième législature. La programmation de ces questions d’actualité et orales avec débat entre dans le cadre du contrôle de l’action gouvernementale, deuxième mission de l'Assemblée nationale après celle relative au vote des lois. Au moins trois ministres du gouvernement sont attendus ce jour au palais des gouverneurs à Porto-Novo pour défendre ces questions. Il s’agit du ministre des Enseignements maternel et primaire, Eric N’Dah, pour la question relative au point financier de la mise en œuvre du Plan décennal de développement du secteur de l’éducation, du ministre en charge des Relations avec les Institutions, Me Safiatou Bassabi pour la question de l’immortalisation des anciens présidents Sourou Migan Apithy et Justin Ahomadégbé pour honorer officiellement ces illustres personnalités qui ont tout donné à leur pays. Le troisième ministre du gouvernement attendu est celui en charge des Transports, Lambert Koty. Il aura à décortiquer la question concernant les conditions de l’organisation du pèlerinage 2011 à la Mecque. Cette question posée par le député Yacoubou Malèhossou et 15 autres de ses collègues retiendra l’attention de toute la Représentation nationale surtout à cause de son caractère d’actualité. Les parlementaires attendent du ministre Lambert Koty des réponses claires sur les ratés et autres cafouillages notés dans l’organisation du Hadj 2011. Il devra fournir des explications, entre autres, sur la compagnie qui a été retenue par le comité d’organisation, le rôle joué par le Haut commissariat aux pèlerinages, le Comité national de coordination (CONACO) du Hadj et le directeur national de l'Agence nationale de l’aviation civile (ANAC). Aussi, Lambert Koty devra-t-il expliquer, non seulement les mesures prises par le gouvernement pour assurer le retour au bercail des pèlerins actuellement bloqués à la Mecque, mais aussi les dispositions envisagées par l'Exécutif pour que les situations de ce genre ne se reproduisent plus dans notre pays. C’est dire que la séance plénière de ce jour s’annonce riche en informations et révélations. bibo:pages 3 -- o:id 8992 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8992 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9001 27124 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1cd985e5f59f3176ef3b284b62b8e5f688df0eaf.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a8f4565f2665b223c6acdcf07b8d86d7ab0b37ac.tiff dcterms:title Révision de la Constitution : des confessions religieuses n'y voient aucun péril dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/760 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13999 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/102 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14854 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14736 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14809 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-01 dcterms:identifier iwac-article-0004196 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les responsables des confessions religieuses, réunis au sein d’un Cadre de concertation sont favorables à la relecture de la loi fondamentale, même s’ils le veulent dans un esprit de consensus. Fortement mobilisés hier lundi 30 septembre, ils se sont prononcés sur le sujet à travers une déclaration. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les responsables des confessions religieuses, réunis au sein d’un Cadre de concertation sont favorables à la relecture de la loi fondamentale, même s’ils le veulent dans un esprit de consensus. Fortement mobilisés hier lundi 30 septembre, ils se sont prononcés sur le sujet à travers une déclaration. Le Cadre de concertation des confessions religieuses (CCCR) estime que le débat qui a cours sur la révision ou non de la Constitution du 11 décembre est «passionné voire vicié et mérite d’être recentré autour de quelques questions simples». Il s’agit de questions relatives aux avantages d’une telle entreprise, à ses innovations, à la préservation des options fondamentales de la Constitution... A ces préoccupations, le CCRC semble avoir trouvé des solutions et réponses favorables et en vient donc à la conclusion qu’il faille s’engager sur le chemin de la révision de la Constitution qui n’est rien d’autre que «la loi des lois, applicables à toute la nation, aux dirigeants comme aux citoyens». Dans une déclaration que ces têtes couronnées, dignitaires religieux de divers ordres et autres pasteurs de confessions religieuses ont rendu publique par la voix de leur porte-parole Michel Alokpo, ils ont estimé «qu’il n’y a pas péril à la réviser». Il exhortent «les acteurs politiques, le peuple béninois tout entier à recentrer le débat, à privilégier le dialogue paisible, à taire les suspicions et la guéguerre, à privilégier l’intérêt supérieur de la nation». D’ailleurs, souligne Michel Alokpo, «la révision de la Constitution ne se fera pas dans la rue, mais à l'Assemblée nationale», rappelant les conditions dans lesquelles cette modification de la loi fondamentale du Bénin est possible, suivant un vote, par voie référendaire ou non. Plusieurs responsables du CCRC sont aussi intervenus pour appuyer le contenu de la déclaration. Tandis que Dah Gbèdiga propose un processus de révision «participatif» qui permette à tous les citoyens de s’identifier à travers les amendements à y apporter. Le pasteur Mathieu Alao de l’église protestante méthodiste du Bénin Conférence pense qu'il faut «confier la situation à Dieu». La déclaration du CCCR s’est aussi penchée sur le cas de la Liste électorale permanente informatisée (LEPI) et indique «qu’il faut la corriger avant toute opération électorale». Le dernier sujet de ladite déclaration a porté sur la situation socioéconomique. Et loin de solutions idoines, le CCRC a plutôt invité «tous ceux qui détiennent une parcelle de pouvoir à faire un examen de conscience pour... sortir notre pays de l'ornière». bibo:pages 16 -- o:id 8993 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8993 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9002 27125 27126 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9762130ff4f4877098bb5ee791a00edb380f8bed.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c27e2bc701a79b90e93ac6c48897054b52e77c40.tiff https://islam.zmo.de/files/original/0d0b91f1f33a8e9a2bf230366674b93c3e5192f1.tiff dcterms:title Pèlerinage à la Mecque 2013 : le 1er voyage des Béninois annoncé pour le 2 octobre prochain dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1518 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2025 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-09-16 dcterms:identifier iwac-article-0004197 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le dispositif mis en place dans le cadre du voyage en direction du lieu saint de l'Islam édition 2013, pour le compte du Bénin, a été revisité vendredi dernier. La rencontre présidée par le ministre en charge des Affaires étrangères, coordonnateur national du pèlerinage, Nassirou Bako Arifari en présence des représentants de chacune des corporations impliquées dans le Hadj 2013, a permis d'avoir une éclaircie sur toute l'organisation mise en place. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/442 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le dispositif mis en place dans le cadre du voyage en direction du lieu saint de l'Islam édition 2013, pour le compte du Bénin, a été revisité vendredi dernier. La rencontre présidée par le ministre en charge des Affaires étrangères, coordonnateur national du pèlerinage, Nassirou Bako Arifari en présence des représentants de chacune des corporations impliquées dans le Hadj 2013, a permis d'avoir une éclaircie sur toute l'organisation mise en place. Le mercredi 2 octobre 2013 aux environs de 9 h 55 mn, le premier vol des pèlerins béninois en direction de Djedda pour le Hadj prendra le départ de l'aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cadjèhoun. A bord de ce vol de la compagnie aérienne Ethiopian Airlines, ce sont 320 pèlerins béninois qui sont programmés. Ce sera le 1er vol d’une série de 10 prévus pour transporter les 3200 candidats autorisés pour le compte du Bénin au Hadj 2013. En présence de tous les représentants des différentes corporations impliquées dans l'organisation du Hadj 2013, le ministre Nassirou Arifari Bako a passé en revue, point par point et étape par étape, toute l'organisation mise sur pied dans le cadre de ce pèlerinage musulman. Ainsi, le quota de 3200 pèlerins qui revient au Bénin au titre de ce Hadj, a été réparti par groupe de convoyeurs. Ceux-ci n’ont d’ailleurs pas manqué de revenir sur un certain nombre d'aspects de l'organisation tels que par exemple des cas de candidats inscrits mais qui, pour des raisons de cas de force majeure, ne pourront plus effectuer le voyage en direction du lieu saint. D'autres également ont souhaité l’ajournement de la date de fin d'inscription prévue pour hier 15 septembre. Face à ces détails, le coordonnateur national du Hadj a joué la carte de la fermeté. «Il n'y aura pas d’ajournement de date des inscriptions», a averti avec insistance le ministre Nassirou Bako Arifari. Il invite tous les convoyeurs à prendre les dispositions idoines pour tenir dans le délai prescrit. Il rappelle à toutes fins utiles, qu’un cahier de charges négocié de commun accord avec tous les acteurs impliqués dans l’organisation du Hadj 2013 constitue le «Modus vivendi» auquel personne ne saurait déroger. Tout en rappelant à l’attention de tous que le montant du Hadj est fixé sur toute l’étendue du territoire national à 1 900 000 F CFA, le ministre Nassirou Bako Arifari proscrit toutes formes de spéculations, d’inflation et de transactions sur le coût du pèlerinage. De même, il rappelle que les autorités saoudiennes ont exigé dos vaccinations contre certaines maladies telles que la fièvre jaune, la fièvre typhoïde, la méningite, etc. Au titre des mesures de sécurité, une liste de produits prohibés en Arabie Saoudite a été rappelée par le ministre Nassirou Bako Arifari. C’est le cas du kola, des produits de gel (parfums, désodorisants et autres), des produits pharmaceutiques sans prescriptions médicales. Le président du Conseil national de coordination du Hadj (CONACO Hadj/Bénin) Ouro-Djéri Amidou a rassuré le ministre et invité ses pairs à plus de discipline afin que l’organisation du Hadj 2013 soit une parfaite réussite. bibo:pages 1 10 -- o:id 8994 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8994 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9003 27127 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fcf59a5b22696dd234f1cf27405d569a41fe9cd5.pdf https://islam.zmo.de/files/original/29949672313ea887aa8f37f4f405dd59ad09a6d9.tiff dcterms:title Lutte contre l'insécurité alimentaire : don de 1 500 tonnes de produits vivriers du Koweït au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15520 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15476 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-09-11 dcterms:identifier iwac-article-0004198 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'Office national d’appui à la sécurité alimentaire (ONASA), a servi de cadre hier mardi 10 septembre, à la remise officielle par le Koweït, d’un don de riz et de maïs. Ce lot de produits vivriers estimé à près de 1.500 tonnes, a été acquis avec une partie de l’enveloppe financière de deux milliards de francs CFA offert par ce pays au Bénin, afin de l’appuyer dans ses efforts de développement et de lutte pour la sécurité alimentaire. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'Office national d’appui à la sécurité alimentaire (ONASA), a servi de cadre hier mardi 10 septembre, à la remise officielle par le Koweït, d’un don de riz et de maïs. Ce lot de produits vivriers estimé à près de 1.500 tonnes, a été acquis avec une partie de l’enveloppe financière de deux milliards de francs CFA offert par ce pays au Bénin, afin de l’appuyer dans ses efforts de développement et de lutte pour la sécurité alimentaire. La coopération que le Bénin entretient avec le Koweït ne cesse de se renforcer pour le développement et le bien-être de ses populations. En témoigne, l’importante quantité de produits vivriers dont ce pays vient de le gratifier en guise de don, hier mardi 10 septembre dans l'enceinte de l’ONASA à Cotonou. Il s'agit de 800 tonnes de riz produit au Bénin et de 750 tonnes de maïs achetés respectivement à la SONAPRA et auprès des producteurs locaux et dont le montant estimé à 500 millions F CFA, constitue la part des deux milliards de francs CFA qu’il lui a offert sous forme de don numéraire, pour faire face aux problèmes de l'insécurité alimentaire. A l’avènement de la crise alimentaire mondiale de 2008, le Bénin avait déjà bénéficié du gouvernement koweïtien, d'une importante aide alimentaire de 3 150 tonnes de riz. C’est la raison pour laquelle, appréciant la portée du geste d’hier, le directeur de cabinet du ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Idrissou Touré a indiqué qu’il est une marque de solidarité qui s’inscrit désormais comme une tradition séculaire entre les deux pays frères. Par ailleurs, le directeur de cabinet a remercié, au nom du gouvernement béninois, l’Emir de l'Etat du Koweït, son altesse Sheikh Sabah Al Hamad Al Jaber Al Sabah. Il a ensuite rassuré que ces produits seront mis en consommation par l’ONASA dans le cadre de la lutte pour la sécurité alimentaire à des prix subventionnés, afin que l’objectif humanitaire visé soit atteint. Avant lui, c’est le directeur général de l’ONASA, Irenée Bio Aboudou qui a pris l'engagement de veiller à ce que ce don aille effectivement en direction des couches les plus vulnérables des villes et campagnes. L’occasion lui a également permis de présenter sa structure. Créé par décret N° 96-452 du 17 octobre 1996 et placé sous la tutelle du ministère en charge de l’Agriculture, l’ONASA a pour mission de contribuer à garantir à tous et à tout moment, la sécurité alimentaire au Bénin, a rappelé Irenée Bio Aboudou. Depuis la crise alimentaire de 2007-2008, a-t-il poursuivi, le volume de ses activités s’est accru surtout avec l’installation des boutiques témoins et la mise en œuvre de l’opération nationale pour la sécurité alimentaire qui est à sa deuxième édition. bibo:pages 11 -- o:id 8995 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8995 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9004 27128 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/885e33c287c6d14d77281baaea074d243778c8c3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0861d28566af79568010a483d8e7d055a2d26db9.tiff dcterms:title Dialogue interreligieux et œcuménique au Bénin : des résolutions pour l'acceptation mutuelle des confessions dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15203 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-09-09 dcterms:identifier iwac-article-0004199 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le séminaire national sur le dialogue interreligieux et œcuménique au Bénin organisé par le ministère chargé des Relations avec les institutions, a pris fin vendredi 6 septembre dernier. Des résolutions et des recommandations en vue de promouvoir la tolérance mutuelle entre les différentes confessions, ont sanctionné les travaux qui ont duré deux jours à Parakou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le séminaire national sur le dialogue interreligieux et œcuménique au Bénin organisé par le ministère chargé des Relations avec les institutions, a pris fin vendredi 6 septembre dernier. Des résolutions et des recommandations en vue de promouvoir la tolérance mutuelle entre les différentes confessions, ont sanctionné les travaux qui ont duré deux jours à Parakou. Les responsables des différentes religions et autres traditions spirituelles au Bénin s’engagent à œuvrer pour la promotion de la tolérance religieuse et du dialogue interreligieux et œcuménique, l’acceptation mutuelle des confessions entre les croyants, la prévention et la résolution des conflits latents. Au cours du séminaire national sur le dialogue interreligieux et œcuménique, qui s'est déroulé jeudi et vendredi derniers, ils ont également fait des recommandations qui devront favoriser l’instauration d’un dialogue permanent et fructueux entre toutes les tendances religieuses et l'Etat, en vue de capitaliser leur contribution au maintien de la paix, de la stabilité et de l’unité nationale au Bénin. A l’endroit des pouvoirs publics, les participants ont exprimé, entre autres, la nécessité d’avoir une loi portant sur la laïcité positive. Ce qui suppose à la fois la séparation de l'Etat et de la religion, le traitement équitable de toutes les confessions religieuses, l'aide pour la jouissance du droit constitutionnel qu’est la liberté de croyance, la nécessité d’élaborer une Charte nationale pour la laïcité afin que les pratiques d’une confession religieuse n’entravent pas celles des autres. Aussi, ont-ils suggéré la création d'un creuset pour la défense des principes laïcs, l’adoption d'une loi contre l'homosexualité, le financement de la recherche sur les fondements doctrinaux des religions traditionnelles. Aux structures et associations religieuses, le séminaire a recommandé la création d’un creuset de concertation interreligieux dont la mission est de réunir en son sein, les structures faîtières des différentes confessions et associations religieuses au Bénin. Il s'agira pour ce creuset de proposer des textes réglementaires pour l’organisation de la pratique de la liberté religieuse (décret, arrêté, décision, etc.), de promouvoir la culture de tolérance, d’être l’interlocuteur crédible et privilégié de l'ensemble des confessions religieuses vis-à-vis de l’Etat, d’élaborer un code de conduite pour la coexistence pacifique entre les différentes confessions religieuses. Par ailleurs, il se chargera de promouvoir la connaissance mutuelle des dogmes et des enseignements de chacune des confessions religieuses; mais il créera également des structures de formation indiquées et efficaces pour la formation des leaders religieux. Au total, une soixantaine de participants : catholiques, musulmans, protestants, célestes, évangélistes, chérubins séraphins, traditionnalistes, ont pris part aux travaux. Les assises leur ont permis non seulement de maîtriser les contours du principe de laïcité mais aussi et surtout de comprendre leur rôle dans le maintien de la paix, de la concorde et de la stabilité, au travers des thèmes développés par les universitaires Mahougnon Kakpo et Jean Fanou et l’imam El hadj Kaza do Rego et des débats nourris qui les ont suivis. bibo:pages 6 -- o:id 8996 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8996 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9005 27129 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/cda101293fa7e8e981a2a07eee2f6951c6489771.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0b339607f67f5ee3e506924de11082f4ac1871c1.tiff dcterms:title Séminaire sur le dialogue interreligieux et œcuménique à Parakou : plaidoyer pour une tolérance mutuelle entre les différentes confessions dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2029 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13474 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/25 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15240 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14688 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-09-06 dcterms:identifier iwac-article-0004200 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Bio Toro Orou Guiwa, a procédé, hier jeudi 5 septembre, à l'ouverture d’un séminaire national sur le dialogue interreligieux et œcuménique. Cette rencontre qui se tient pendant deux jours à Parakou vise à aplanir les divergences de conviction qui surgissent de temps à autre entre croyants et qui peuvent laisser place à de graves conflits. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Bio Toro Orou Guiwa, a procédé, hier jeudi 5 septembre, à l'ouverture d’un séminaire national sur le dialogue interreligieux et œcuménique. Cette rencontre qui se tient pendant deux jours à Parakou vise à aplanir les divergences de conviction qui surgissent de temps à autre entre croyants et qui peuvent laisser place à de graves conflits. L’urgence d'un véritable engagement des religions en faveur de la paix reste toujours d’actualité, dans un contexte où les conflits associés aux appartenances religieuses prennent une place de plus en plus importante en Afrique et dans le monde. Il importe donc de prôner le dialogue entre les différentes religions, les traditions spirituelles pour que régnent la paix, la stabilité, la concorde et l’unité, en œuvrant à aplanir les divergences basées sur la foi et à en finir avec toutes les formes d’exclusion qui y sont liées. C’est le but visé à travers l’organisation du séminaire qui mobilise depuis hier à Parakou, de hauts dignitaires du culte Vodoun, des responsables de l’Eglise catholique, de l’Islam, de l’Eglise protestante méthodiste, de l’Eglise du christianisme céleste, des universitaires et autres religieux, précise le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Bio Toro Orou Guiwa. Si sous d’autres cieux, les mésententes laissent place à des querelles, des invectives et des disputes qui aboutissent à des conflits sanglants, au Bénin, l’entente interreligieuse reste plus ou moins effective mais précaire. Une veille permanente s’impose alors, préconise le préfèt du Borgou-Alibori, Salamatou Kora Ponou qui estime que l’on n’est pas totalement à l’abri des dérives de persécutions religieuses du fait de l’intolérance religieuse. Car, force est de constater que les membres de différentes confessions religieuses ne s’acceptent pas toujours, pour des raisons de conviction spirituelle et cela dégénère parfois, a fait observer le ministre Bio Toro Orou Guiwa, à l’ouverture des assises. En effet, des signes d’exclusion du fait des croyances religieuses divergentes, sont encore perceptibles dans notre société. Des unions sont interdites entre des gens de confessions différentes ; le regard des uns sur les autres dans la société reste encore empreint de discrimination et de haine ; certains voient d’autres comme des menaces pour l’humanité à cause des appréhensions plus ou moins justifiées et des croyances nées de l’interprétation des doctrines jugées saintes par les uns et remises en cause par les autres comme n’étant pas des vérités révélées. Tout cela laisse place à des persécutions religieuses, des attentats et autres situations de déviances et d’extrémisme religieux. Après l’ouverture des travaux, les participants ont eu droit à une communication présentée par le professeur Cakpo Mahougnon sur la « Laïcité au Bénin », un principe prôné à travers l’article 2 de la Constitution et qui stipule l’égalité des religions et la liberté des citoyens à consentir les religions de leur choix. Deux autres exposés sur « Tolérance et dialogue interreligieux : contenu et conditions de mise en œuvre » et « Principes religieux et homosexualité » devraient également permettre aux dignitaires religieux de maîtriser les contours du dialogue interreligieux et de comprendre le rôle qui est le leur dans le maintien de la paix et la promotion des valeurs cardinales, socle de tout développement. bibo:pages 11 -- o:id 8997 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8997 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9006 27130 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/840a7c9c41abc03b6962d3bb2dcdf129c5d29a41.pdf https://islam.zmo.de/files/original/25d2c4dca1f0694339756f4c4d38f74e0e9d9449.tiff dcterms:title 47e Convention de la Jamaat islamique Ahmadiyya : Ousmane Batoko apprécie l'organisation et la tolérance pronée dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14657 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14303 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13077 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2042 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-09-04 dcterms:identifier iwac-article-0004201 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract De retour de Londres en Grande Bretagne où il a assisté à la 47e Convention de la Jamaat islamique Ahmadiyya, Ousmane Batoko a été accueilli, lundi 2 septembre dernier, par Mahmood Nasir Ahmad, missionnaire en charge par intérim de l’organisation humanitaire au Bénin. Le président de la Cour suprême a retenu de cette rencontre mondiale, le sens de l'Organisation faite, la logistique mise en place et pense que la tolérance qui y est prônée, devrait faire des émules au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14731 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/427 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content De retour de Londres en Grande Bretagne où il a assisté à la 47e Convention de la Jamaat islamique Ahmadiyya, Ousmane Batoko a été accueilli, lundi 2 septembre dernier, par Mahmood Nasir Ahmad, missionnaire en charge par intérim de l’organisation humanitaire au Bénin. Le président de la Cour suprême a retenu de cette rencontre mondiale, le sens de l'Organisation faite, la logistique mise en place et pense que la tolérance qui y est prônée, devrait faire des émules au Bénin. L’organisation, la joie, la tolérance, l’enthousiasme et toute la logistique mise en place pour accueillir et soutenir plus de 31000 délégués venus assister à la 47e Convention pendant trois jours, qui s’est déroulée du 30 août au 1er septembre dernier à Londres. Voilà ce qui a impressionné Ousmane Batoko, le président de la Cour suprême du Bénin qui y a été invité par la Jamaat islamique Ahmadiyya, communauté du Bénin. Ainsi, à cette assemblée générale qui coïncidait avec le centenaire de l’implantation de la Jamaat islamique Ahmadiyya en Grande Bretagne, Ousmane Batoko a apprécié le sens de l’organisation qui a été déployée. « J’ai trouvé une organisation impeccable, extraordinaire pour plus de 31000 invités regroupés sous un immense chapiteau avec des discours dédiés à la tolérance, à la promotion de la paix et du dialogue interreligieux », s’est visiblement réjoui le président de la Cour suprême. Il a également confié que cette organisation à vocation humanitaire dispose de journaux, radio et télévision propres. Ousmane Batoko a également confié avoir été sidéré par la présence constante du 5e khalife qui a dirigé toutes les prières. « Quelque chose d’extraordinaire », a-t-il notamment qualifié, avant d’ajouter qu’il a également positivement été marqué par la joie sur les visages de tous les participants. « Tout le monde était joyeux ; je n’ai pas vu deux personnes se chamailler, se bousculer », a-t-il confié, faisant même remarquer au passage que c'est celui qui a été piétiné par inadvertance, qui se pressait de présenter des excuses à celui qui l’a "offensé". « Toutes ces personnes mangeaient ensemble et je n’ai pas vu les gens se bousculer ou se précipiter sur les repas », a-t-il retenu, montrant ainsi la qualité de l’organisation et toute la logistique ainsi mises en place. Ce que le Bénin peut en tirer, selon Ousmane Batoko, est la culture de la paix, et de la tolérance. La Jamaat islamique Ahmadiyya est une puissante Organisation à vocation humanitaire, dont la philosophie par rapport à la tolérance, au dialogue interreligieux, selon le président de la Cour suprême, devrait faire des émules. Il a donc invité toute la communauté musulmane du Bénin à arrêter de se faire instrumentaliser. Car par le passé, les communautés ont vécu en bonne intelligence et il serait opportun et bénéfique pour toute la Nation, qu’il en soit ainsi. bibo:pages 12 -- o:id 8998 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8998 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9007 27131 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/39fdf8cca3737b610616e67ae6c9a15d79e1b7fa.pdf https://islam.zmo.de/files/original/456aab2d9ad93b241ec6060cd9729d31643313ed.tiff dcterms:title Grande mobilisation de prières catholique et musulmane à Porto-Novo : Sofiatou Onifadé Baba-Moussa remercie le chef de l'Etat et rend grâce dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1488 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14179 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14582 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-08-27 dcterms:identifier iwac-article-0004202 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Malgré sa sortie du gouvernement à l’occasion du dernier remaniement ministériel, le ministre Sofiatou Onifadé Baba-Moussa a tenu à rendre grâce à l’Eternel Allah pour ses bienfaits. C’est ainsi que militants et militantes, parents, amis et proches ont répondu à son appel samedi 24 août dernier en l’accompagnant aussi bien à la célébration eucharistique à l’Eglise Sainte Geneviève de la gendarmerie qu’à la prière musulmane conduite par un collège d’Imams à la mosquée de Djassin-Zounmè à Porto-Novo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14794 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Malgré sa sortie du gouvernement à l’occasion du dernier remaniement ministériel, le ministre Sofiatou Onifadé Baba-Moussa a tenu à rendre grâce à l’Eternel Allah pour ses bienfaits. C’est ainsi que militants et militantes, parents, amis et proches ont répondu à son appel samedi 24 août dernier en l’accompagnant aussi bien à la célébration eucharistique à l’Eglise Sainte Geneviève de la gendarmerie qu’à la prière musulmane conduite par un collège d’Imams à la mosquée de Djassin-Zounmè à Porto-Novo. « En toute chose, nous devons rendre grâce à Dieu ». Cette exhortation de l'abbé Damien Bokossa, célébrant de la messe d’action de grâce, samedi dernier à l’église Sainte Geneviève de la gendarmerie de Porto-Novo en dit long. Le prêtre a salué la démarche de foi opérée par la ministre Sofiatou Onifadé Baba-Moussa qui avait déjà placé sa mission sous la bénédiction divine dès sa première nomination. Dans la logique spirituelle, elle a tenu une fois la mission terminée, à revenir encore dire merci à Dieu pour l’avoir comblée de ses grâces et surtout pour l’avoir guidée dans l’exercice de ses différentes fonctions au sein du gouvernement. Cela résume la personnalité du ministre Sofiatou Onifadé Baba-Moussa qui n’a eu de mot dans ses interventions aussi bien à l’église qu'à la mosquée que celui de dire merci à Dieu Tout-Puissant, au chef de l’Etat, le président Boni Yayi, pour la confiance placée en la jeunesse, et surtout à ses militants de tous ordres qui l’ont accompagnée durant son séjour dans le gouvernement. «Nous sommes ensemble, et nous resterons toujours ensemble par la grâce de Dieu », a-t-elle martelé. Chants et danses, prières et invocations ont été le menu de cette célébration à la faveur de laquelle le célébrant a salué l’humilité et la foi du ministre Onifadé tout en la rassurant de la félicité divine qui continuera d'accomplir son destin pour la digne fille qu’elle a été et continuera d'être pour Porto-Novo et pour tout le Bénin. Même son de cloche à l'étape de la mosquée de Djassin où le collège d’Imams a conduit les prières dans le sens des louanges à Allah le miséricordieux qui a la mesure de toute chose. Par des anecdotes et des témoignages tirés des saintes écritures, les dignitaires religieux musulmans réunis ont invité la ministre Sofiatou Onifadé Baba-Moussa et toute sa suite à la confiance en Dieu qui continuera de les bénir à l'infini. Des prières ont été aussi adressées à l’intention du chef de l’Etat, le docteur Boni Yayi ainsi que de tout le peuple béninois. bibo:pages 14 -- o:id 8999 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8999 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9008 27132 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ce5c24e6c21d7edaf9c4bb5e02390af0de5a0bd6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bf44914c3b48e09b498fdfc3109615f50a59d332.tiff dcterms:title Fête de Ramadan : les musulmans de Bohicon invités à agir dans le sens de la morale dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1509 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1615 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15485 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-08-09 dcterms:identifier iwac-article-0004203 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après un mois de carême, les fidèles musulmans de Bohicon tout comme leurs frères des autres communes du Bénin ont sacrifié à la tradition de cette fête. Hier jeudi 8 août, ils ont assisté à la grande prière qui a eu lieu à la place Idi de Zakpo dans la commune de Bohicon, une prière dirigée par ldrissou Boukari imam de la mosquée centrale de la ville. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/463 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après un mois de carême, les fidèles musulmans de Bohicon tout comme leurs frères des autres communes du Bénin ont sacrifié à la tradition de cette fête. Hier jeudi 8 août, ils ont assisté à la grande prière qui a eu lieu à la place Idi de Zakpo dans la commune de Bohicon, une prière dirigée par ldrissou Boukari imam de la mosquée centrale de la ville. Les fidèles musulmans de Bohicon se sont acquittés de leurs obligations du jour de ramadan. Hier, ils ont assisté en masse à la prière solennelle qui marque la fin du jeûne dans l’islam. A cette occasion, l'imam de la mosquée centrale de Bohicon, Idrissou Boukari, a exhorté les fidèles à agir dans le sens de la morale. A cet effet, a-t-il insisté, ils doivent adopter des comportements citoyens qui contribuent au développement de notre nation. Notamment, les fidèles doivent éviter les mauvaises fréquentations, mais plutôt faire du bien et ceci, sans aucune intention de ségrégation. Ce qui passe forcément, selon lui, par l’amour du prochain, la tolérance et l’humilité. Par ailleurs, il a demandé à Allah la santé pour tous les Béninois et la paix pour notre pays. Dans cette communion de prière, les fidèles musulmans avaient à leurs côtés une délégation du conseil communal de Bohicon et de l'honorable Issa Salifou. Pour Isidore Agnoun-Basso, deuxième adjoint au maire de Bohicon, c’est un devoir, après cette grande période de privation et de jeûne observée par les musulmans, que le conseil communal soutienne l’événement pour leur dire bonne fête. C’est aussi le lieu pour lui de témoigner toute sa gratitude à la communauté musulmane de Bohicon qui, selon lui, participe énormément à la vie socio-économique de la ville. bibo:pages 10 -- o:id 9009 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9009 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9012 27133 27134 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0077f522db78a2a38c6bcd71a2e82d4ff57a83a2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7b38433b8aad246698021b2fce7bf22d79eaf3ba.tiff https://islam.zmo.de/files/original/d8021eefe176c523aa8b179008c184ca95622b70.tiff dcterms:title Le Calife de la Communauté islamique Ahmadiyya félicite le pape François et l'Église catholique dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13011 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13777 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/113 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-03-25 dcterms:identifier iwac-article-0004204 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Hadrat Mirza Masroor Ahmad prie pour l’unité et l’harmonie entre les religions. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Hadrat Mirza Masroor Ahmad prie pour l’unité et l’harmonie entre les religions. La communauté musulmane Ahmadiyya tient à féliciter l’Église catholique ainsi que tous ses membres pour l’élection du pape François. Sa Sainteté, Hadrat Mirza Masroor Ahmad, chef suprême de la communauté islamique Ahmadiyya et cinquième successeur du Messie Promis (a.s) a dit : « Tout d’abord, je tiens à féliciter le pape François et les catholiques du monde entier. Que cette nomination soit bénie à la fois pour les chrétiens et le reste du monde. Que le nouveau pape puisse guider l’Église vers les valeurs essentielles du christianisme. J’espère et je prie que le pape puisse user de son influence, dans un avenir proche, afin de promouvoir la paix et l’harmonie dans le monde. Nous avons grand besoin de nous unir sur nos enseignements communs, en particulier sur l’Unicité de Dieu. Le monde a désespérément besoin d’unité et de compassion et non de division. En 2011 dans un message au pape Benoit XVI, je lui ai demandé d’user de son influence afin d'amener l’humanité vers la paix, la réconciliation et la compréhension mutuelle et de s’efforcer de protéger le monde de la destruction. La communauté musulmane Ahmadiyya a toujours été à l’avant-garde pour promouvoir la paix et l’harmonie entre les religions. Nous coopérons avec tout individu et organisation qui œuvre en faveur de la paix et de la tolérance et nous ne cesserons de le faire. Encore une fois, je félicite le pape François et l'Église catholique. Que cette élection soit une source de paix pour le monde entier. » bibo:pages 1 12 -- o:id 9010 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9010 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9013 27135 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c5ff49b26162ee8c1d96a96dce958734838b2c3b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/62873e3ce10ded7826c6347cbf9fccd1fcb84ee6.tiff dcterms:title Séance de prière de l'AJSODECIR à la nation : pour la coopération inter religieuse et la paix au Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1483 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/779 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13317 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2040 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2012-11-26 dcterms:identifier iwac-article-0004205 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’Association des Jeunes pour la solidarité, le développement et la coopération inter religieuse (AJSODECIR), a organisé, samedi 24 novembre dernier, une séance de prière à Cotonou, à l’intention de la Nation. L’AJSOCECIR, entend, par cette prière musulmane, prôner la coopération inter religieuse entre les différentes obédiences et concomitamment la paix au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13992 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/543 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L’Association des Jeunes pour la solidarité, le développement et la coopération inter religieuse (AJSODECIR), a organisé, samedi 24 novembre dernier, une séance de prière à Cotonou, à l’intention de la Nation. L’AJSOCECIR, entend, par cette prière musulmane, prôner la coopération inter religieuse entre les différentes obédiences et concomitamment la paix au Bénin. Une meilleure compréhension entre les différentes communautés religieuses et la paix pour le Bénin. C’est l'essentiel qu'il faut retenir de la séance de prière organisée à l'intention de la nation béninoise, samedi 24 novembre dernier, par l’Association des jeunes pour la solidarité, le développement et la coopération inter religieuse (AJSODECIR) que dirige l’imam Abdou Raïmi Lassissi, imam de la mosquée de Jéricho. Pour ce dernier, l’association qu’il préside vise à travers cette manifestation, une meilleure compréhension entre les gouvernants et les gouvernés, entre les chrétiens et les musulmans. Et son initiative, à l'en croire, se rapporte aux affrontements qui défraient la chronique au Nigeria et en Syrie. « Il faut barrer la voie à la guerre et nous sommes venus implorer le Tout Puissant Allah à cette fin et qu’il veille sur le président Boni Yayi, son gouvernement et tout le peuple béninois », a expliqué l’imam Abdou Raïmi Lassissi. L’imam a saisi l’occasion pour lancer un appel à toute la population, afin qu’elle prie et se convainque que c’est Dieu qui donne le pouvoir et qui accorde également la vie. « C’est Dieu qui donne la vie et c’est lui également qui l'arrache ; nous souhaitons longue vie au président Boni Yayi », a insisté l'imam Abdou Raïmi Lassissi. C’est dans le même registre que s’est inscrit le ministre de l'Intérieur, de la Sécurité publique et des Cultes, (MISPC), Benoît Assouan Dègla, qui a assisté à ladite séance. Pour Benoît Dègla, cette association plaide pour la paix et pour une meilleure compréhension entre les différentes communautés religieuses. Le Bénin, Etat laïc, avec la multiplicité des différentes confessions qui s’y côtoient aspire selon le ministre de l’Intérieur à la paix et les initiatives du genre de celle d’AJSODECIR sont louables. « Il faut que les différentes confessions religieuses puissent vivre en paix ; elles doivent entretenir de bonnes relations », souligne le ministre de l’Intérieur qui s’est réjoui par la même occasion qu’a saisie l’AJSODÈCIR pour prier afin qu'Allah veille sur le Bénin, le président Boni Yayi et son gouvernement pour que l'œuvre de développement qu’il a entamée depuis sept ans soit poursuivie et achevée dans la paix et la concorde nationales. bibo:pages 7 -- o:id 9011 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9011 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9014 27136 27137 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/10f25e03c0b6c919c4693a10004a7f06bab49a1e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c3d0151075e68ca3a271d674f84e88b17fe9edb6.tiff https://islam.zmo.de/files/original/717b10b0844925c3f9e002926dc2138eb8c35e1f.tiff dcterms:title Célébration du Maouloud : diverses manifestations pour commémorer la naissance du prophète Mahomet dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1960 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1965 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-01-14 dcterms:identifier iwac-article-0004206 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin a célébré hier lundi 13 janvier, la fête du Maoloud, en souvenir de la naissance du prophète Mahomet, l'envoyé de Dieu. Diverses manifestations ont eu lieu dans la ville de Cotonou dans ce cadre. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/460 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/491 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane du Bénin a célébré hier lundi 13 janvier, la fête du Maoloud, en souvenir de la naissance du prophète Mahomet, l'envoyé de Dieu. Diverses manifestations ont eu lieu dans la ville de Cotonou dans ce cadre. «Nous croyons à ce que Dieu a dit et fait par le biais de son prophète qu’il a missionné. Ce jour est un grand jour qui commémore la naissance de cet envoyé de Dieu. C’est un jour de fête pas comme les autres. Tous les fidèles doivent se retrouver en un lieu pour lire le coran et parler, du prophète, de ce que Dieu a fait pour les musulmans...». C’est ainsi que Salifou Abdul, fidèle musulman, directeur d’une école privée à Akpakpa conçoit le Maouloud, cette fête musulmane qui commémore la naissance du guide spirituel et éclaireur de ladite religion. Depuis la nuit du dimanche 12 janvier dernier, plusieurs manifestations ont été organisées dans les mosquées pour revivre cet instant que la communauté musulmane considère comme un moment sacré. Dans la même logique, le collectif des Imams Djamiou des départements de l’Atlantique et du Littoral, ensemble avec l’Union des associations islamiques du Bénin a organisé dans la matinée d’hier à la mosquée centrale de Jonquet, une grande manifestation. Aux côtés de l'imam central de la mosquée de Jonquet, El Hadj Ibrahim Aboubakar, président du Collectif des imams Djamiou des deux départements, il y avait également ses pairs de la mosquée de l'Habitat, de la mosquée centrale d'Agori Plateau 2 Médine et de nombreux autres imams et dignitaires de la communauté musulmane, sans oublier les fidèles et apprenants des écoles coraniques, venus massivement prendre part aux manifestations. Louanges à Allah, prières, invocations, récitations du saint coran, prêches et témoignages... Tout était prévu pour faire de cette célébration un moment de reconnaissance et de gratitude envers Allah le miséricordieux. L’évènement était placé sous le parrainage de El Hadj Raphiou Toukourou. Pour lui, c’est la personnalité même du prophète Mahomet qui impose de célébrer sa naissance et de revivre ses enseignements en ce jour. Car, il est selon les explications de ce dernier l’une des rares personnalités religieuses à avoir été à la fois, prophète, guerrier et apôtre de la paix. Sur toute la durée de ses combats, défend Raphiou Toukourou, le précurseur de la religion musulmane n'aurait tué qu’une «seule fois en légitime défense». Il représente alors poursuit-il, aussi bien pour la communauté musulmane que pour tousles Hommes, un exemple de vertu à suivre et à célébrer. Et pour les nations actuelles, son exemple de pacifisme, propose-t-il, doit inspirer et faire école. En clair, conclut Raphiou Toukourou, l’homme de Dieu qu’a été Mahomet a légué beaucoup de choses qui, face à la tension actuelle de par le monde, doivent faire école. Une fête de bilan, selon l'imam central de la mosquée de Cadjèhoun Rencontrée hier, l’imam central de la mosquée de Cadjèhoun, El hadj Alao Ligali a expliqué que «le Maouloud n’est pas une fête comme les autres». Pour lui, il s’agit de «l’achèvement d’un début que Dieu a voulu lui-même et qui a été résumé dans une vie de 23 ans. 13 ans à la Mecque et 10 ans à Médine». Ces 23 années, selon ses propos, ont été le creuset de la descente du coran. «Quand on parie de Maouloud, ce n’est pas une commémoration dans le vide. C'est un bilan mondial qui doit amener tous les hommes à voir quels ont été les progrès réalisés et les déclins. Ils doivent se demander où on a fauté, pour faire un bilan et reprendre sur de nouvelles bases avec de nouveaux engagements». Malgré cette importance apparente, le Maouloud ne manque t-il pas de célébration et de manifestations ? A cette préoccupation, l’imam répond et la justifie par les divergences et contestations autour la nativité du Christ, évoque les mésententes sur le fait qu’il soit fils ou envoyé de Dieu et en déduit que les musulmans ont voulu éviter une situation pareille. «Pour Mahomet les gens n’ont pas voulu qu'on en fasse quelque chose de grandiose, pour qu’on ne mette pas dedans des inventions et des innovations inutiles qui risquent de souiller la vie de ce personnage dont l’existence résume celle de tous les prophètes de Dieu», détaille-t-il. Malgré cette sobriété, il estime que dorénavant les dignitaires musulmans feront en sorte que «ce jour soit vu sous sa grandeur parce que la naissance du prophète Mahomet doit être fêtée par tout le monde». bibo:pages 1 12 -- o:id 9016 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9016 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9018 27138 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9467759feeda767da8840175f5601cfcfe2bb10f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/49b38362c6e8b37f73672173ceb2bea1d8b0ccb1.tiff dcterms:title Hadj 2013 : le gouvernement satisfait du retour des pèlerins béninois dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2029 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14150 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12993 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-11-04 dcterms:identifier iwac-article-0004207 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La première vague des pèlerins béninois au hadj 2013 est déjà de retour. Le jeudi 31 octobre dernier, ils étaient au total 320 El hadj et El hadja à retrouver leur sol natal avec sourire et satisfaction. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La première vague des pèlerins béninois au hadj 2013 est déjà de retour. Le jeudi 31 octobre dernier, ils étaient au total 320 El hadj et El hadja à retrouver leur sol natal avec sourire et satisfaction. Quatre membres du gouvernement, notamment les ministres en charge des Affaires étrangères, Nassirou Bako Arifari, des Travaux publics et des Transports, Aké Natondé et celui chargé des Relations avec les Institutions, Bio Toro Orou Guiwa et Jean Michel Abimbola en charge du Tourisme étaient sur le tarmac de l'aéroport international Bernadin cardinal Gantin de Cadjèhoun, le jeudi 31 octobre dernier pour accueillir la première vague des pèlerins béninois, revenus du hadj 2013. Dans une ambiance de retrouvailles, faites de remerciement à Allah et d’actions de grâce, ces 320 hommes et femmes qui ont pris départ, quelques jours plus tôt pour la terre sainte musulmane sont rentrés heureux, disent-ils, après avoir accompli sans anicroche les rituels de ce pèlerinage recommandé par le Saint Coran. Pour eux en effet, tout s’est bien passé et le hadj leur a permis également de prier pour leur pays et ses gouvernants. Côté gouvernement, la joie était également à son comble et le ministre Nassirou Bako Arifari s’est mêlé volontier à la foule des pèlerins pour partager cette joie du retour. Une joie qui se justifie, selon lui, par le fait que les 3040 pèlerins béninois qui ont effectué le pèlerinage à la Mecque ont passé des moments de sérénité. «Tout s’est très bien déroulé. Cette année nous n’avons eu sur le terrain aucun cas de décès, ni de maladie», déclare avec satisfaction le ministre en charge des Affaires étrangères qui en profite pour rendre grâce au tout puissant Allah qui a permis d’organiser le hadj dans la sérénité, la concorde et la compréhension mutuelle. Après cette première vague, huit autres vols dont six de 320 pèlerins, de la compagnie apprêtée par l’Etat béninois sont attendus pour ramener au bercail, le reste des Béninois encore présents en terre sainte d’Islam. Dans tous les cas, rassure le ministre Nassirou Bako Arifari, «à la date du 6 novembre, l’ensemble des pèlerins seront dans leurs familles». Pour ce qui le concerne, le ministre des Travaux publics et des Transports, Aké Natondé, il a apprécie aussi les conditions dans lesquelles le convoyage s'est déroulé, surtout que la compagnie aérienne a respecté les instructions du gouvernement en faisant voyager les pèlerins dans de très bonnes conditions, notamment à travers un Boeing. Malgré cette satisfaction, le gouvernement est en courroux contre certains convoyeurs qui, à en croire le ministre Bako, ont empêché quelques 250 qui avaient obtenu le visa, d’effectuer le hadj. Une situation contre laquelle il promet réagir. bibo:pages 11 -- o:id 9017 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9017 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9019 27139 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0b47c20d6aa36b4d516568fc410605f60f788a1a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bf8bffa57b62fcfaea79bd9e194180f23abd9060.tiff dcterms:title Célébration de la Tabaski à Cotonou : la charité au cœur de la fête à UFUK Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1606 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13957 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2029 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15539 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15187 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2013-10-17 dcterms:identifier iwac-article-0004208 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté turque à travers l’école internationale UFUK Bénin a commémoré d’une manière symbolique la fête de la Tabaski encore appelée Aid el Kébir. C’était mardi 15 octobre dernier au sein de l’école à Cotonou. La manifestation a connu la présence des autorités gouvernementales et de Abdullah Yüca, initiateur de l’événement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/545 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté turque à travers l’école internationale UFUK Bénin a commémoré d’une manière symbolique la fête de la Tabaski encore appelée Aid el Kébir. C’était mardi 15 octobre dernier au sein de l’école à Cotonou. La manifestation a connu la présence des autorités gouvernementales et de Abdullah Yüca, initiateur de l’événement. C’est sous le signe du partage que le promoteur de l’école internationale UFUK Bénin Abdullah Yüca a choisi de donner de la joie à la communauté musulmane béninoise. De la viande a été distribuée aux fidèles invités au sein du collège pour commémorer la fête de la Tabaski. Conformément à l'adage, nul n’a le droit d’être heureux tout seul, onze centres sont donc choisis sur tout le territoire national pour accueillir l’opération de distribution de sachets de viande dans tous les départements du Bénin. Cette opération de distribution, selon les initiateurs, n’est pas à sa première édition. Selon Abdullah Yüca, un bon musulman a l’obligation de la charité, et sans charité, la foi n’est rien. C’est ce geste qu'il perpétue chaque année en donnant de la viande à la communauté musulmane le jour de la Tabaski. Il envisage à travers son geste de contribuer à la solidarité nationale et établir un pont entre la Turquie et le Bénin. Rehaussant la manifestation, le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Bio Toro Orou Guiwa, a remercié le promoteur de cette œuvre sociale en faveur des personnes dans le besoin. Pour sa part, le préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral, Placide Azandé, a souhaité que le Bénin s'inspire de ce geste de charité. Aussi, a-t-il dit ses remerciements à la délégation de 35 Turcs venus de leur pays pour commémorer la fête de l’Aïd el Kébir avec les musulmans béninois. Il faut souligner que la localité d’Abomey-Calavi a reçu hier mercredi 16 octobre la délégation turque pour la même cause. bibo:pages 10 -- o:id 9020 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9020 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9023 27140 27141 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/6dcda9323bafb279edefa3edef50f026f5c38e4c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2e0370072a48dfb49655c5b77bbe5c26d924490b.tiff https://islam.zmo.de/files/original/0996b05d8cee9d96555b5d25683a891673545e84.tiff dcterms:title Hadj 2014 : une première vague de 263 pèlerins s'est envolée hier dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/19 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1413 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14369 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-09-19 dcterms:identifier iwac-article-0004209 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Depuis la soirée d’hier jeudi 18 septembre, les premiers pèlerins béninois, candidats au Hadj 2014 ont foulé le sol saoudien. Ils avaient embarqué quelques heures plus tôt pour cinq heures de vol dans une ambiance empreinte de joie et de gaieté. Leur joie a été d’ailleurs partagée par le chef de l’Etat lui-même, venu leur témoigner son soutien avant le départ pour ce pèlerinage, un des piliers de la religion islamique. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Depuis la soirée d’hier jeudi 18 septembre, les premiers pèlerins béninois, candidats au Hadj 2014 ont foulé le sol saoudien. Ils avaient embarqué quelques heures plus tôt pour cinq heures de vol dans une ambiance empreinte de joie et de gaieté. Leur joie a été d’ailleurs partagée par le chef de l’Etat lui-même, venu leur témoigner son soutien avant le départ pour ce pèlerinage, un des piliers de la religion islamique. C’est avec des applaudissements ponctués de Allah Akbar ! que la première vague des pèlerins béninois embarqués dans le Boeing 767-300 ER de la compagnie Ethiopian ont accueilli le président Boni Yayi, venu comme à ses habitudes leur souhaiter un bon pèlerinage en terre sainte d’Arabie Saoudite. Tout souriant comme les 263 pèlerins qui effectuent ce vol inaugural, annonciateur de la présence effective des candidats au Hadj en provenance de Cotonou, le président Boni Yayi leur a demandé de prier pour la nation. «J’ai comme souci de partager cette conviction que rien n'est possible en dehors de Dieu. Notre République est laïque, mais cette laïcité n’a jamais exclu la liberté de culte... Vous partez au nom du Bénin et de toute une sous-région... Dieu Allah veillera sur vous et sur ce vol. Vous allez vous livrer à des exercices de sainteté et pour moi, toutes vos prières sont exaucées pour le bonheur de notre pays », leur a dit le chef de l’Etat. Il les a également exhortés à beaucoup prier afin que la pandémie Ebola soit endiguée et reste loin du Bénin. C’est donc galvanisée par ce message de soutien du chef de l’Etat que la première délégation de pèlerins est partie de Cotonou dans l’après-midi d'hier. Mais avant, ils ont surtout fait face aux formalités inhérentes à leur voyage. Ils ont été surtout soumis à un intense contrôle sanitaire. Lequel se justifie, selon le directeur national de la Santé publique, le Dr Orou Bagou Yorou Chabi par la spécificité de la terre sainte, mais aussi par des règles d'hygiène surtout relativement à la maladie à virus Ebola. Cette année et beaucoup mieux que par le passé, le Bénin a réussi à organiser le Hadj «en toute intelligence avec l’ensemble des groupes de convoyeurs sans qu’il n’y ait eu aucune contestation. Toutes les dispositions ont été prises sans faille», a expliqué le ministre en charge des Affaires étrangères, Nassirou Arifari Bako. Selon lui, le quota de pèlerins affectés au Bénin cette année est de 4000 sur les trois millions attendus. Mais face à la forte demande des candidats au Hadj dont le nombre avoisinerait 7000, une rallonge de 200 places supplémentaires a été accordée. La plus grande facilité accordée au Bénin, a-t-il soutenu, c’est de lui avoir permis de faire transporter par une compagnie étrangère, alors que les autorités saoudiennes avaient exigé que tous les pays transposent leurs pèlerins par des compagnies nationales, ou à défaut par des compagnies saoudiennes. A la suite du premier vol parti hier, il est attendu huit ou neuf autres, selon le secrétaire général du Conseil national de coordination du Hadj (CONACO), El Hadj Bachirou Gbadamassi. Le Bénin, s’est-il réjoui, est déjà à jour vis-à-vis de toutes les formalités et aurait obtenu à ce jour, 3959 visas. L'un des temps les plus impressionnants du rituel du Hadj, il faut le rappeler, c'est la montée du Mont Arafat ou la présence dans son voisinage. bibo:pages 1 7 -- o:id 9021 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9021 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9024 27142 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/441dd85420e75d5ee933e80d24b683ce7675add0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d40ceaf99cf91a383ab88cdcc49272b45e4e5d7d.tiff dcterms:title Assistance aux pauvres : la Jama'at islamique Ahamadiyya au Bénin au secours des démunis dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1495 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13077 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13065 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-07-25 dcterms:identifier iwac-article-0004210 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pour marquer sa présence en cette période de carême du Ramadan, la communauté islamique Jama’at Ahmadiyya du Bénin a volé au secours des démunis, des malades du CNHU de Cotonou, des malades mentaux du Centre psychiatrique de Jacquot et des détenus de la prison civile de Cotonou. La délégation était conduite par le président et chef missionnaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad. Il est assisté de son missionnaire Nasir Ahmad Mahmood de l’Atlantique-Littoral. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pour marquer sa présence en cette période de carême du Ramadan, la communauté islamique Jama’at Ahmadiyya du Bénin a volé au secours des démunis, des malades du CNHU de Cotonou, des malades mentaux du Centre psychiatrique de Jacquot et des détenus de la prison civile de Cotonou. La délégation était conduite par le président et chef missionnaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad. Il est assisté de son missionnaire Nasir Ahmad Mahmood de l’Atlantique-Littoral. Le don offert aux démunis est composé de sacs de riz, de sucre, des cartons de spaghettis, de savon, de bidons d'huile, de boîtes de tomate et plusieurs autres cadeaux. Le coût global est estimé à 25 millions de francs CFA. La délégation conduite par le président Rana Farooq Ahmad s’est d'abord rendue chez le préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral, Placide Azandé pour lui présenter les civilités. Dans son intervention, le préfet a remercié la communauté islamique Jama’at Ahmadiyya du Bénin pour tout ce qu’elle fait à l’endroit de notre pays. Pour sa part, le président de Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad a rappelé qu’ils ont un programme socio-humanitaire durant l'année et un programme spécial pour le Ramadan, qui consiste à aller vers les démunis pour les soulager et les assister en partageant leurs peines. Il a ensuite précisé le but visé par ces dons. Il s'agit d'accompagner la politique du gouvernement en matière d'assistance aux couches vulnérables. La seconde étape était le ministère en charge de la Famille et de l’Enfant où le geste symbolique a été fait à l’endroit des démunis. En prenant la parole, le ministre de la Famille et de l’Enfant, Marie-Laurence Sranon Sossou a d'abord remercié la communauté islamique Jama’at Ahmadiyya Bénin qui depuis sa prise de fonction, était à ses côtés. Elle a souhaité que les vivres offerts soient destinés à la Cellule espoir qui s’occupe des orphelins, des personnes démunies, atteintes du Sida et aux personnes indigentes. Au Centre national hospitalier et universitaire (CNHU) de Cotonou, la communauté a fait le même geste. Ici, les dons ont été remis aux malades. Le directeur général du CNHU, Idrissou Abdoulaye, a exprimé sa joie de recevoir ce don destiné aux malades, en ce mois sacré du Ramadan. Ensuite, cap a été mis sur le Centre national hospitalier de psychiatrie Jacquot. C'est avec chants et danses que les pensionnaires ont accueilli la délégation qui avait les bras chargés de sacs de riz et de savon, des bidons d’huile et des boîtes de tomate qu'elle leur a offerts. La cinquième et dernière étape de la tournée était celle de la prison civile de Cotonou où les détenus étaient très heureux de recevoir des vivres de la part de la communauté islamique Jama’at Ahmadiyya du Bénin. bibo:pages 7 -- o:id 9022 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9022 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9025 27143 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a445627bfa52b64366dbfb855da69ec714a9bb42.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bc398cd1c2341e969a8359dca9886262f277cef9.tiff dcterms:title Pose de pierre d'une école primaire bilingue à Dassa-Zoumè : la communauté Ahmadiyya du Bénin fait œuvre utile dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/56 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-03-04 dcterms:identifier iwac-article-0004211 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Présente au Bénin depuis des années, la communauté Ahmadiyya a procédé, dimanche 2 mars dernier à Dassa-Zoumè, à la pose de la 1ère pierre d'une école primaire bilingue, français et anglais. C’était au cours d’une cérémonie qui a mobilisé les responsables à divers niveaux de cette communauté conduite par l’Amir Rana Ahmad Farooq, actuel président de la congrégation au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/302 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Présente au Bénin depuis des années, la communauté Ahmadiyya a procédé, dimanche 2 mars dernier à Dassa-Zoumè, à la pose de la 1ère pierre d'une école primaire bilingue, français et anglais. C’était au cours d’une cérémonie qui a mobilisé les responsables à divers niveaux de cette communauté conduite par l’Amir Rana Ahmad Farooq, actuel président de la congrégation au Bénin. "L’amour pour tous, la haine pour personne". Telle est la devise de la communauté Ahmadiyya qui s'est engagée à construire dans les trois prochains mois à Dassa-Zoumè, un module de trois classes estimé à environ 15 millions F CFA. Ce sera en attendant la construction à long terme d’un complexe complet avec école primaire et cours secondaire. L'initiative de la construction d'un tel module de trois classes, pour démarrer ce complexe scolaire bilingue, est la preuve de l'engagement de cette communauté religieuse. Les personnalités invitées à la cérémonie de pose de cette première pierre ont été unanimes à saluer ce geste de cription scolaire de Dassa à Ibrahim Yacoubou, président de cette communauté islamique de Dassa, tous ont loué l’importance d’une telle école de surcroît bilingue. Selon eux, l’éducation est le point de départ de tout développement. Elle assume à la fois la responsabilité de la vie, du développement de l'enfant et la continuité du monde. Les ignorants constituent un danger pour la société. Par ailleurs, l'école est à la fois conservatrice et formatrice, dans la mesure où elle permet à chacun de vivre dans la société, puis de veiller à la sauvegarde du monde. Face à ce rôle capital que joue l’école dans une société, la communauté Ahmadiyya n’entend pas laisser de place à l’ignorance. Selon leur président au Bénin, […] l’Amir Rana Ahmad Farooq, les membres de cette communauté unies par le principe de l'adoration à Allah, en œuvrant pour l’assistance aux populations, et la lutte contre l’ignorance, ont décidé d’implanter une école bilingue à Dassa-Zoumè pour ouvrir d’autres portes du savoir aux enfants de la localité. Au Bénin, les activités de cette communauté engagée pour la valorisation des valeurs sociales sont nombreuses. Elles vont de la construction de module de classes pour l’appui à l'éducation, à la construction de mosquée, aux centres de santé et aux orphelinats pour assister les enfants en difficulté, puis aux fontaines d’eau pour soulager les peines des populations relatives à l’accès à l’eau. bibo:pages 16 -- o:id 9027 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9027 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9031 27144 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/58218e569f12f74dead61afd411c7407749192ab.pdf https://islam.zmo.de/files/original/74702b87d0c6435a5164e7201d3a8dcfa2e39090.tiff dcterms:title Inauguration d'une mosquée à Bohicon : Ahmadiyya-Benin consacre un lieu de prières pour les musulmans dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13628 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13990 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14534 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-06-18 dcterms:identifier iwac-article-0004212 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin a procédé, mardi 16 juin dernier, à l'inauguration d’une mosquée à Bohicon. Une manifestation qui a regroupé les responsables de cette communauté au Bénin ainsi que des fidèles musulmans résidant dans la ville de Bohicon et ses environs. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/407 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin a procédé, mardi 16 juin dernier, à l'inauguration d’une mosquée à Bohicon. Une manifestation qui a regroupé les responsables de cette communauté au Bénin ainsi que des fidèles musulmans résidant dans la ville de Bohicon et ses environs. Résolument tournée vers les œuvres socio-humanitaires pour apporter un peu de paix dans les cœurs et dans le monde, la communauté islamique Ahmadiyya du Bénin poursuit sa campagne d'implantation de lieux de prières, des forages, de dispensaires, et d'écoles dans toutes les régions du pays, en particulier les zones les plus difficiles d’accès. Elle a, à cet effet, permis aux musulmans résidant à Bohicon ou de passage de bénéficier d'une nouvelle mosquée construite en quelques mois pour servir de lieu de prières. D’une valeur estimée à 48 millions francs CFA, la construction de cette mosquée entre dans le cadre d’une série d'actions socio-humanitaires mises en œuvre par les responsables de cette communauté au Bénin. Depuis plusieurs années, des œuvres du genre se sont multipliées à travers le pays sous la houlette de l’Amir Rana Farooq Ahmad, président de la communauté au Bénin. Très heureux d’accueillir cette nouvelle infrastructure dans ses juridictions, Abdul Quddus, missionnaire central Zou-Atlantique et Raïmi Djima Sossou n’ont pas caché leur satisfaction. Une mosquée entièrement construite en matériaux définitifs et mise à la disposition des populations de confession musulmane pour les moments de prières. Pour ces responsables locaux, l’Islam enseigne que si l’homme n'apprend pas à vivre en paix avec lui-même et avec ses congénères, il ne pourra pas vivre en paix avec Dieu. Dans l’Islam, on trouve la paix et la tranquillité du cœur en se soumettant à la volonté de Dieu. C'est d’ailleurs avec cette conviction ajoutent-ils, que la communauté islamique Ahmadiyya a connu une croissance rapide et d’envergure internationale. Cette communauté existe aujourd’hui un peu partout dans le monde. Pour l'actuel président de la communauté islamique Ahmadiyya au Bénin, l’Amir Rana Farooq Ahmad et son président en Palestine, Sharif Oedeh, c'est une joie immense de voir implanter cette nouvelle maison de prières à Bohicon. Cette cérémonie qui consacre l'inauguration de la nouvelle mosquée à Bohicon est pour la gloire d’Allah, le créateur du ciel, de la terre et des hommes. Une œuvre que la Communauté islamique Ahmadiyya du Bénin voudrait bien associer au nom du tout puissant Allah, à bien d'autres telles les forages de puits, l’organisation des camps médicaux gratuits, des centres de santé, des écoles et autres équipements en mobilier. Selon les responsables Ahmadis, l’Ahmadiyya prône la renaissance même de l’Islam. Ils rappellent que l’Islam est une religion de paix, une religion qui répond aux exigences et aux défis de l'évolution du monde. «L’Islam qui croit en la morale absolue et enjoint la justice et l’équité envers les amis aussi bien qu’envers les ennemis dans tous les domaines d’intérêt humain», indique Ahmadiyya l'Amir Rana Farooq Ahmad. Et, le missionnaire central, Abdul Quddus d’ajouter que la communauté islamique a la ferme conviction que l'Islam est le remède pour tous les troubles et maladies dont souffre l’humanité d’aujourd’hui. bibo:pages 7 -- o:id 9028 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9028 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9032 27145 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8b641817a0c930f44c5d8dcab3e3bfc7c61cf7a6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c450e7ad12eeba279964ae538ac8532eb2c19089.tiff dcterms:title Lutte contre Boko Haram : le chef de l'Etat reçoit des émissaires de Ban Ki-moon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1487 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12959 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/807 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/116 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-04-15 dcterms:identifier iwac-article-0004213 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La lutte contre la secte islamiste Boko Haram était au menu des discussions que le président de la République a eues avec Dr Mohamed Ibn Chambas et Abdoulaye Bathily, représentants spéciaux du secrétaire général des Nations Unies respectivement en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale. « Le terrorisme menace es deux régions et il est nécessaire d’avoir une approche commune pour y faire face. Nous avons donc conduit cette mission conjointe d'information afin d’échanger avec le président de la République sur la situation actuelle », a indiqué Mohamed Ibn Chambas à leur sortie d'audience. Pour l’ancien président de la Commission de la CEDEAO, cette convergence de vue entre les deux régions est nécessaire pour aboutir à une résolution des Nations Unies pour un soutien fort de la communauté internationale à la lutte contre Boko Haram. Le représentant spécial de Ban Ki-moon en Afrique de l’Ouest évoque également des questions humanitaires et de développement, d'autant que de centaines de milliers de réfugiés nigérians sont aujourd’hui enregistrés au Niger et au Cameroun, à cause des exactions de la secte islamiste. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/547 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/410 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La lutte contre la secte islamiste Boko Haram était au menu des discussions que le président de la République a eues avec Dr Mohamed Ibn Chambas et Abdoulaye Bathily, représentants spéciaux du secrétaire général des Nations Unies respectivement en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale. « Le terrorisme menace es deux régions et il est nécessaire d’avoir une approche commune pour y faire face. Nous avons donc conduit cette mission conjointe d'information afin d’échanger avec le président de la République sur la situation actuelle », a indiqué Mohamed Ibn Chambas à leur sortie d'audience. Pour l’ancien président de la Commission de la CEDEAO, cette convergence de vue entre les deux régions est nécessaire pour aboutir à une résolution des Nations Unies pour un soutien fort de la communauté internationale à la lutte contre Boko Haram. Le représentant spécial de Ban Ki-moon en Afrique de l’Ouest évoque également des questions humanitaires et de développement, d'autant que de centaines de milliers de réfugiés nigérians sont aujourd’hui enregistrés au Niger et au Cameroun, à cause des exactions de la secte islamiste. Les émissaires des Nations Unies ont également échangé avec le chef de l’Etat sur le processus électoral au Bénin. « Avec le bon exemple donné par le Nigeria, nous avons espoir que toutes les élections vont bien se dérouler dans toute la sous-région. On espère donc que le Bénin ira aux élections le 26 avril dans de bonnes conditions», avance-t-il. Avant Cotonou, la mission des Nations Unies était déjà à Yaoundé au Cameroun et à N’Djamena au Tchad. Elle doit poursuivre son périple sur Niamey au Niger et Abuja au Nigeria. bibo:pages 3 -- o:id 9029 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9029 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9033 27146 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/4ac87885d7a229834ad8c182ad71ba2913380b07.pdf https://islam.zmo.de/files/original/fa5ed1578eff605ad1c577b583bb201e53e7f9b2.tiff dcterms:title Promotion de l'islam et de la paix : plus de 600 jeunes Ahamadiyya du Bénin défilent à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15197 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2019 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-04-13 dcterms:identifier iwac-article-0004214 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La jeunesse de l’association islamique Ahamadiyya du Bénin a organisé le week-end dernier au Lycée Béhanzin de Porto-Novo, la 13è édition de sa Convention annuelle. Au nombre des activités prévues, elle a fait un défilé dans la ville capitale au cours duquel elle a appelé à la paix et à la solidarité nationale au Bénin, des valeurs que promeuvent l’islam et la religion musulmane. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La jeunesse de l’association islamique Ahamadiyya du Bénin a organisé le week-end dernier au Lycée Béhanzin de Porto-Novo, la 13è édition de sa Convention annuelle. Au nombre des activités prévues, elle a fait un défilé dans la ville capitale au cours duquel elle a appelé à la paix et à la solidarité nationale au Bénin, des valeurs que promeuvent l’islam et la religion musulmane. La jeunesse de l’association islamique Ahamadiyya du Bénin a sacrifié à la tradition le week-end dernier en organisant la 13e édition de sa convention annuelle. C’est la ville de Porto-Novo et précisément le Lycée Béhanzin qui a été à l’honneur en accueillant les manifestations de cette année. Ils étaient plus de 600 personnes âgées de 15 à 40 ans, exclusivement des hommes, à prendre part à cette convention nationale. Les délégations sont venues des quatre coins du Bénin, notamment de Parakou, de Kandi, de Djougou, d’Abomey-Calavi, de Bohicon et d’Adjarra. Il y a même eu des délégations étrangères venues du Niger et du Nigeria. Le clou des manifestations samedi dernier, a été le défilé organisé, comme chaque année d’ailleurs, par les jeunes de cette communauté musulmane dans la ville de Porto-Novo. Ils sont partis du Lycée Béhanzin en passant par la devanture de l’Assemblée nationale, la Place Bayol, le grand marché de Porto-Novo, carrefour station Kokoyé, la gare d’Adjara-Docodji, la Place Catchi, avant d'échouer encore au Lycée Béhanzin. Au cours de cette marche qui a duré environ 1h 15 mn, ces jeunes musulmans scandaient des slogans favorables au prophète Mahomet, au Saint Coran et à la culture islamique. Ils ont appelé à la paix, à la justice, l’égalité et la solidarité au Bénin. Pour le président de la Jeunesse Ahamadiyya du Bénin, Mohamed Louckman Bissirou, l’objectif de cette convention annuelle organisée dans tous les pays où cette communauté est implantée est de promouvoir la religion musulmane. Et de montrer qu’elle est une religion de paix. Il se dit fier d'appartenir à la communauté islamique Ahamadiyya dont les enseignements sont, selon lui, diamétralement opposés aux actes des groupes terroristes dans le monde. Mohamed Louckman Bissiriou condamne avec la dernière rigueur le fait que ces derniers utilisent des armes pour soi-disant défendre leur religion. «Cela va contre les enseignements de l’islam», martèle-t-il avant d’expliquer qu’Ahamadiyya fait l’effort de faire comprendre l’islam à travers la beauté de ses enseignements basés entre autres, sur les idéaux de paix et de solidarité. Il faut souligner qu’outre la marche, il y a eu plusieurs autres manifestations notamment des compétitions sportives de football, de tir à la corde et de vitesse. Et une compétition religieuse qui a eu comme épreuves la mémorisation du Saint Coran, de la déclamation de poésies, de discours sur la vie de Mahomet sur la culture islamique et des séances de question-réponse sur l’islam. Les différents lauréats de ces compétitions ont été distingués. bibo:pages 3 -- o:id 9030 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9030 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9034 27147 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a92cbd3484343abac34892e2d82ec59776128047.pdf https://islam.zmo.de/files/original/47cfe7a6eeef8407bab026475d70812f865383a5.tiff dcterms:title Rupture de partenariat entre la Mouvance présidentielle et la RB : Karim da Silva pour le maintien de Christian Sossouhounto au gouvernement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14967 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14843 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13861 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-02-02 dcterms:identifier iwac-article-0004215 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Samedi dernier à son siège à Porto-Novo, Karim da Silva, membre du Collectif des sages de la ville de Porto-Novo, a animé une conférence de presse. Il a plaidé à cette occasion pour le maintien au gouvernement du ministre en charge de l'Urbanisme, Christian Sossouhounto dont la démission est souhaitée par sa formation politique, la Renaissance du Bénin (RB). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Samedi dernier à son siège à Porto-Novo, Karim da Silva, membre du Collectif des sages de la ville de Porto-Novo, a animé une conférence de presse. Il a plaidé à cette occasion pour le maintien au gouvernement du ministre en charge de l'Urbanisme, Christian Sossouhounto dont la démission est souhaitée par sa formation politique, la Renaissance du Bénin (RB). L’achèvement de la construction du siège de l’Assemblée nationale en souffrance depuis quelques années préoccupe toujours le Collectif des sages de la ville de Porto-Novo. A travers une déclaration de presse qu'il a lue à son domicile à Porto-Novo, Karim Urbain da Silva a également plaidé pour le maintien du ministre en charge de l'Urbanisme, Christian Sossouhounto dans le gouvernement afin de donner une certaine chance à ce chantier. Il demande à l’intéressé de ne pas céder à la pression de son parti politique, la Renaissance du Bénin (RB), qui exige sa démission du gouvernement. Et ceci pour cause de rupture du partenariat politique entre la Mouvance présidentielle et la RB. La plaidoirie du sage Karim Urbain da Silva est mue par le souci de voir relancer le chantier du nouveau siège de l'Assemblée nationale situé à l’entrée de la ville de Porto-Novo. Il craint qu'une certaine léthargie s’installe avec l’éventuel départ du ministre Christian Sossouhounto qui compromettrait les tractations déjà très avancées en vue de la reprise effective des travaux. «Le ministre Christian Sossouhounto n’est pas indispensable. Mais ici, il s’agit de réalité concrète. On ne débarque pas un ministre qui s'apprête à faire une telle action de développement», soutient le sage Karim Urbain da Silva. Pour lui, cette démission exigée par la RB, après celle de Blaise Ahanhanzo-Glèlè, prédécesseur de Christian Sossouhounto, également membre de ce parti, s’assimilerait à un complot d’Abomey contre Porto-Novo. La Renaissance du Bénin et son fief, le Zou, seraient mis à l’index par l’opinion publique au cas où le chantier de l’Assemblée nationale ne serait pas achevée, explique le conférencier. Il demande à la RB d'agir avec discernement. «Porto-Novo demande donc à Abomey de laisser le ministre Christian Sossouhounto achever la construction du siège de l’Assemblée nationale», insiste Karim Urbain da Silva. Car, il estime qu’un nouveau ministre nommé prendra un certain temps avant de se coller aux dossiers en instance. Or, chaque jour nécessaire à un nouveau ministre pour maîtriser ses dossiers est du temps précieux qui sera perdu pour la finition des travaux, martèle-t-il. Le conférencier appelle la RB et la communauté nationale à soutenir, au regard des raisons évoquées, le maintien du ministre Christian Sossouhounto afin de permettre à Porto-Novo de voir achevé le siège du Parlement. bibo:pages 7 -- o:id 9035 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9035 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9040 27148 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/35306ab2c561497dac71006b048363d171134a17.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8f584dba092559149f4bae6cc075842ca492250d.tiff dcterms:title Sauvegarde de la paix au Bénin : les leaders religieux font le point de leurs activités dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1517 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13555 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1380 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/6 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13561 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-11-21 dcterms:identifier iwac-article-0004216 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les membres du collectif des Religieux pour la paix-Bénin (RpP-Bénin) se sont retrouvés hier jeudi 20 novembre pour présenter leur bilan d’activité. C'était à la salle des fêtes du ministère en charge des Relations avec les Institutions, en présence du président du mouvement, Amad Farooq Rana et de l’invité spécial, l’ex médiateur de la République du Bénin, le professeur Albert Tévoédjrè. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14687 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14193 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/403 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les membres du collectif des Religieux pour la paix-Bénin (RpP-Bénin) se sont retrouvés hier jeudi 20 novembre pour présenter leur bilan d’activité. C'était à la salle des fêtes du ministère en charge des Relations avec les Institutions, en présence du président du mouvement, Amad Farooq Rana et de l’invité spécial, l’ex médiateur de la République du Bénin, le professeur Albert Tévoédjrè. Mis en place en août 2007, le collectif des religieux pour la paix-Bénin dont l'objectif principal est la promotion de la paix en Afrique en général et au Bénin en particulier, a fait du chemin. A travers ses actions un peu partout en Afrique et dans le monde, ce mouvement composé des responsables de différentes confessions religieuses, a été créé suite aux nombreux troubles et violences qui perturbaient la paix dans les différents pays du continent africain. Pour mieux conduire les travaux, le président des églises méthodistes du Bénin a béni les participants à travers une prière qui prône la paix. Passée cette étape, le président du mouvement, Amad Farooq Rana, a situé le contexte de la rencontre. Pour lui, les prochaines échéances électorales au Bénin, Boko-Haram au Nigeria, les Séleka en Centrafrique, les jihadises au Mali sont, entre autres, les préoccupations majeures qui tiennent à cœur aux leaders religieux du Bénin. Ils mettront donc tout en œuvre pour y faire face afin que la culture de la paix en Afrique ne soit plus un vain mot, a souligné le président du mouvement Religion pour la paix-Bénin. Amad Farooq Rana a, par ailleurs, témoigné toute sa gratitude aux différents responsables religieux venus aussi nombreux à cette rencontre d'échanges. Plusieurs œuvres sont entreprises par ses hommes et femmes dans les domaines de la transformation des conflits, de la sécurité, de la paix, du désarmement et des problèmes du genre. Depuis sa création, la communauté des religieux du Bénin a déjà effectué plusieurs actions pour le maintien de la paix dans plusieurs pays en Afrique dont la participation du mouvement Religion pour la paix-Bénin (RpP-Bénin) à Tripoli en Lybie à sa deuxième Assemblée générale du Conseil africain des leaders religieux en 2008, la transmission aux différentes communautés religieuses du Bénin du message du pape à l’occasion de la Journée mondiale de la paix en 2009, à l'observation des élections législatives et présidentielle du Bénin en 2011, la participation à Vienne en Autriche. Le mouvement Religion pour la paix-Bénin était également à l’assemblée mondiale de Religion pour la paix dont le thème était «Accueillir l'autre» et bien d’autres missions pour la promotion et la consolidation de la paix», dixit le secrétaire général à l’organisation Radji Saïbou. L'ex médiateur de la République, le professeur Albert Tévoédjrè présent à cette rencontre, a été très impressionné par le parcours élogieux du mouvement qui travaille rien que pour la paix, malgré les nombreuses violences enregistrées un peu partout, lui a réaffirmé son soutien et s'est engagé à l'accompagner dans ses prochaines missions. bibo:pages 10 -- o:id 9036 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9036 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9041 27149 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0f95e4164219ee8f15de03223b73b4585df63940.pdf https://islam.zmo.de/files/original/67ef6a47c0939b7bd7b2a16e0fc7b3fef58cd78e.tiff dcterms:title Drame au Hajj 2015 : la Jama'at Islamique Ahmadiyya Bénin présente ses condoléances aux familles éplorées dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1505 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-29 dcterms:identifier iwac-article-0004217 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin Ahmad Farooq, a tenu hier lundi 28 septembre 2015 au quartier Jak, une conférence de presse. L’objectif était de présenter les condoléances de la communauté aux familles des victimes et en particulier aux familles des 17 béninois décédés à la Mecque. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14522 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président de Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin Ahmad Farooq, a tenu hier lundi 28 septembre 2015 au quartier Jak, une conférence de presse. L’objectif était de présenter les condoléances de la communauté aux familles des victimes et en particulier aux familles des 17 béninois décédés à la Mecque. « La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin exprime ses profondes condoléances aux familles des victimes en général et en particulier aux familles béninoises touchées par le drame », a déclaré le président de la communauté Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin, Ahmad Farooq. En effet, le jeudi 24 septembre 2015 en Arabie Saoudite précisément à Mina, suite à une bousculade qui s’est produite au niveau de la Steele, environ 800 pèlerins ont perdu la vie lors du rite de la lapidation des stèles. Selon Ahmad Farooq, la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin prie qu'Allah fasse miséricorde aux victimes et exauce leur pèlerinage. Il implore Allah pour qu’il assiste les familles éplorées dans ces moments de tristesse et de consternation. En vérité, c’est à Allah que nous appartenons et c’est vers lui que nous retournerons. Le pèlerinage musulman est l'un des plus grands. C’est un devoir pour chaque musulman ayant les moyens financiers et la santé physique nécessaires d’entreprendre le voyage jusqu’à la Mecque. Il a connu différents drames mortels depuis 1975 jusqu’à nos jours. Déjà en 1990, près de 1426 pèlerins asiatiques ont péri asphyxiés après un mouvement de foule dans le tunnel de Mina lors d’une panne du système de ventilation. C’est le pire des drames qui a eu lieu avec un nombre important de morts. A cela s’ajoute le drame de cette année qui n'est pas loin de celui de 1975. On dénombre également plusieurs centaines de personnes portées disparues, de nombreux blessés graves et des disparus. bibo:pages 6 -- o:id 9037 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9037 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9042 27150 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/abd3e00409ba55405821561cd20a93e1a8a816fb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7a7d2f4c7148579660ef45266f951e50c09deeef.tiff dcterms:title Drame a Mina en Arabie Saoudite : le message de condoléances du président de la République dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-28 dcterms:identifier iwac-article-0004218 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Béninoises, Béninois, Mes chers compatriotes, Le jeudi 24 septembre 2015, le pèlerinage à la Mecque a été endeuillé. Près d’un millier de pèlerins animés d’une foi inébranlable ont perdu la vie des suites d’une bousculade à Mina. On dénombre également plusieurs centaines de personnes portées disparues et de nombreux blessés graves. Parmi les victimes, figurent au moment où je vous parle, dix-sept de nos compatriotes qui sont déclarés morts et près d'une centaine portés disparus. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14522 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12886 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Béninoises, Béninois, Mes chers compatriotes, Le jeudi 24 septembre 2015, le pèlerinage à la Mecque a été endeuillé. Près d’un millier de pèlerins animés d’une foi inébranlable ont perdu la vie des suites d’une bousculade à Mina. On dénombre également plusieurs centaines de personnes portées disparues et de nombreux blessés graves. Parmi les victimes, figurent au moment où je vous parle, dix-sept de nos compatriotes qui sont déclarés morts et près d'une centaine portés disparus. Je m’incline devant la mémoire des disparus, partage la douleur des familles éplorées, et voudrais ici leur présenter au nom de la Nation béninoise mes condoléances les plus attristées. Mes vœux de prompt rétablissement accompagnent les personnes blessées. Mes prières sont intenses afin que nos compatriotes portés disparus soient retrouvés sains et saufs. Béninoises, Béninois, Mes chers compatriotes, Depuis le siège des Nations Unies à New-York aux Etats-Unis d’Amérique où je me trouve en ce moment à l’occasion du Sommet mondial sur le Programme de Développement durable pour l'après 2015, j'invite toute la Nation béninoise à rester en union de prières, afin que le Seigneur accueille dans sa félicité éternelle l'âme de nos disparus et qu'elle repose en paix. Un deuil national de trois jours est décrété à compter de ce vendredi 25 septembre 2015. Durant cette période le drapeau sera mis en berne. Une mission conduite par le ministre des Affaires Etrangères est dépêchée en Arabie Saoudite pour organiser et assurer en collaboration avec les autorités saoudiennes les meilleures conditions du retour de nos pèlerins au pays. Que Dieu bénisse le Bénin ! bibo:pages 7 -- o:id 9038 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9038 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9043 27151 27152 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/09280d6db1ee53d71b086c256bc2bb5b20ce665f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5dd1a4b7206a2e69cd06576d4e2f746e56fdb0c6.tiff https://islam.zmo.de/files/original/cfa27efe6380809f34fb34831c40a98c5bd9afff.tiff dcterms:title Lancement officiel du Hadj 2015 : le gouvernement met l'accent sur les précautions essentielles dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15089 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2025 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14230 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15006 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-08-14 dcterms:identifier iwac-article-0004219 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine, de la Francophonie et des Béninois de l’extérieur (MAEIAFBE), Saliou Akadiri et son homologue de la Santé, Pascal Dossou Togbé, ont procédé hier, jeudi 13 août, au lancement officiel du Hadj 2015. Au cours de la cérémonie, ils ont insisté sur les mesures idoines à prendre par le Comité d’organisation du Hadj en vue de sa réussite. C’était au MAEIAFBE. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine, de la Francophonie et des Béninois de l’extérieur (MAEIAFBE), Saliou Akadiri et son homologue de la Santé, Pascal Dossou Togbé, ont procédé hier, jeudi 13 août, au lancement officiel du Hadj 2015. Au cours de la cérémonie, ils ont insisté sur les mesures idoines à prendre par le Comité d’organisation du Hadj en vue de sa réussite. C’était au MAEIAFBE. Point de départ de la phase pratique de l’édition 2015 du pèlerinage musulman en Arabie Saoudite. La cérémonie consacrant le lancement de l’opération a été faite hier, par le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine, de la Francophonie et des Béninois de l’extérieur (MAEIAFBE), en collaboration avec son homologue de la Santé, Pascal Dossou-Togbé. Pour le secrétaire permanent du Hadj, Zimé Abdoulaye et le secrétaire général de l’Union islamique, Faïzou Adégbola, le pèlerinage en “terre Saoudite’’ est un devoir de haute portée pour la communauté musulmane. Il constitue le 5è pilier de l’Islam et revêt un caractère sacré pour les musulmans. C’est pour cette raison que le Conseil national de coordination du Hadj (CONACO), à travers la voix de son président, Ouro-Djéri Amidou, a décerné un satisfecit au gouvernement pour son implication dans ladite opération. Laquelle opération ne saurait totalement être une réussite que lorsque toutes les mesures idoines seront respectées par les pèlerins, mais aussi et surtout par le Comité d’organisation qui a un rôle majeur à jouer au Bénin et en Terre sainte en Arabie Saoudite. Sur ce point, le ministre de la Santé, Pascal Dossou-Togbé, a insisté sur les précautions à prendre par les pèlerins pour s’assurer d’une bonne santé pendant leur séjour à la Mecque. «Nous sommes à une phase où chacun mesure la portée de la santé. Certains auraient voulu être à votre place, mais pour des raisons liées à leur santé, ils en sont écartés», dit-il, expliquant que chaque pèlerin est responsable de sa santé. En termes de règles à observer, il a souligné les mesures préventives et curatives. Le ministre de la Santé a surtout mis l’accent sur les mesures d’hygiènes alimentaire, corporelle, vestimentaire et sanitaire à prendre en compte par chaque pèlerin. Des directives, les convoyeurs en ont également reçu du ministre en charge des Affaires étrangères, Saliou Akadiri. Ils les a surtout mis devant leurs responsabilités. Pour lui, le Comité d’organisation du Hadj doit placer l’intérêt supérieur de la religion au-dessus de ses intérêts personnels. Il lui revient, selon le ministre, de jouer efficacement sa partition en vue de faire accroître le nombre de pèlerins les années à venir. «Vous êtes investis d’une mission républicaine, ne cherchez pas à vous servir d’abord. Vous devez faire en sorte que les participants aient envie de rééditer l’expérience», a-t-il indiqué. A l’en croire, les modalités d’établissement des passeports, de délivrance des visas et des frais de transport sont déjà clairement définies. Il serait donc hors de question que les convoyeurs abusent des pèlerins, a-t-il averti. Il en a profité pour remercier le gouvernement pour son soutien à la réussite de l’opération. La première vague de pèlerins est attendue en Arabie Saoudite pour le début du mois de septembre prochain. bibo:pages 1 3 -- o:id 9039 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9039 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9044 27153 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2f44d85d23fb552b886c970ee6f7a648ff48a961.pdf https://islam.zmo.de/files/original/7c8c10d3e208864998a7e8af23ab2e5f63f6ff69.tiff dcterms:title Célébration de la fête du 1er août : appréciation des Béninois des 55 ans d'indépendance. El hadj Karim Malick Moutawakil, imam de la mosquée centrale Médine II d’Agori Plateau (Calavi) et vice-président du Collège des imams de l’Altantique-Littoral dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1624 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14718 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2015 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14033 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-08-04 dcterms:identifier iwac-article-0004220 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract « Nous devons rendre grâce à Dieu pour les bonnes choses qu’il y a eues depuis 55 ans Car le parcours fut difficile avec les coups d’Etat, la Révolution et aujourd’hui le Renouveau démocratique. Du chemin a été parcouru avec l’édification de nombreuses infrastructures et nous devons persévérer dans l’effort. Et pour que le développement s’implémente, il nous faut faire preuve de solidarité, de confiance mutuelle, promouvoir la paix, la justice, l’équité et la transparence. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13420 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14655 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content « Nous devons rendre grâce à Dieu pour les bonnes choses qu’il y a eues depuis 55 ans Car le parcours fut difficile avec les coups d’Etat, la Révolution et aujourd’hui le Renouveau démocratique. Du chemin a été parcouru avec l’édification de nombreuses infrastructures et nous devons persévérer dans l’effort. Et pour que le développement s’implémente, il nous faut faire preuve de solidarité, de confiance mutuelle, promouvoir la paix, la justice, l’équité et la transparence. Avant ça le Bénin peut se développer. Mais si on passe le temps dans des querelles inutiles, des injures, des accusations gratuites, le régionalisme, nous faisons fausse route. Car on peut observer que sur la même période, d’autres pays qui ont fait économie de ces maux se sont mieux développés que nous. En tout cas, à l’avenir, les gouvernements doivent prendre leurs responsabilités. Les députés devront contrôler l’action gouvernementale sans hypocrisie, et les partis d’Opposition doivent jouer leur rôle... » bibo:pages 11 -- o:id 9045 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9045 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9050 27154 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e9998c1907e99f7faec31fe605317aaa9d67dc94.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0f78c10e11782c01b6e8610ec70caaedab9d3a5a.tiff dcterms:title Aux malades du CHD/Ouémé-Plateau : la communauté musulmane Ahmadiyya fait don de vivres dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-07-16 dcterms:identifier iwac-article-0004221 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Fidèle à sa tradition chaque année, la communauté musulmane Ahmadiyya du Bénin était hier mercredi 15 juillet, aux côtés des malades du Centre hospitalier départemental de l'Ouémé-Plateau (CHD/O-P). Elle leur a fait don de vivres et de divers produits de première nécessité pour non seulement les soulager tant soit peu mais leur permettre de fêter demain dans la joie le Ramadan. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Fidèle à sa tradition chaque année, la communauté musulmane Ahmadiyya du Bénin était hier mercredi 15 juillet, aux côtés des malades du Centre hospitalier départemental de l'Ouémé-Plateau (CHD/O-P). Elle leur a fait don de vivres et de divers produits de première nécessité pour non seulement les soulager tant soit peu mais leur permettre de fêter demain dans la joie le Ramadan. Du riz, des pâtes alimentaires, du savon, du sucre, et autres produits de première nécessité. C’est le don fait hier aux malades du Centre hospitalier départemental de l’Ouémé-Plateau par la communauté musulmane Ahmadiyya du Bénin. Chaque patient de cet hôpital a reçu son kit alimentaire. La distribution a été symboliquement faite par les membres de la délégation conduite en personne par le président de cette communauté au Bénin, Ahmad Farooq. Ils ont sillonné certaines salles d’hospitalisation pour remettre à chaque patient son emballage. Un acte de générosité très apprécié par les bénéficiaires qui n’ont pas manqué de prier pour cette communauté islamique et implorer Dieu pour la prospérité de leurs affaires. Au nom des autorités du CHD/O-P, le surveillant général Géraud Hounkpatin n'a pas aussi tari de mots pour remercier Ahmad Farooq et sa suite pour leur geste de chaque année. Il se réjouit de ce don qui permettra aux malades de l’hôpital de bien fêter aussi demain le Ramadan, Ceux d’entre eux qui n’avaient pas déjà de quoi célébrer cette fête, sont désormais soulagés. Il a prié Dieu d'accorder à la communauté musulmane Ahmadiyya le centuple des fonds dépensés pour l’achat de ces vivres et produits. Le président Ahmad Farooq a précisé qu’à travers ce don, son association entend assister les patients à l’occasion de la fête de Ramadan prévue pour demain vendredi 17 juillet. Le but est de leur permettre aussi de fêter dans la joie à l’instar des autres populations. Car disposant aussi de plusieurs hôpitaux au Bénin, le président de la communauté islamique Ahmadiyya dit savoir les souffrances des malades en matière de nourriture. Leur geste vise donc à soulager tant soit peu les patients du plus grand hôpital de l’Ouémé-Plateau. Selon lui, un montant de 22 millions F CFA a été mobilisée par sa communauté pour acheter ces vivres et produits qui seront distribués sur l’ensemble du territoire national. Ainsi, après l’Ouémé-Plateau, tous les autres départements du Bénin sont aussi prévus pour recevoir leurs lots de vivres, a précisé Ahmad Farooq. Avant l’étape du CHD-O/P, la délégation était toujours dans la matinée d’hier à la préfecture de l’Ouémé-Plateau, à la prison civile de Porto-Novo et à l’orphelinat Notre-Dame d’Adjarra, pour le même exercice de remise de don aux populations démunies bibo:pages 12 -- o:id 9046 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9046 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9051 27155 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/fbc28f40df68912bf64b50f09c5898596d0afe3d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6ee5658e67425f7f5a27e4515846eb07cfbc00bc.tiff dcterms:title Ramadan musulman : Parakou déjà dans la fièvre du carême dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/25 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-06-22 dcterms:identifier iwac-article-0004222 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract C’est parti depuis jeudi 18 juin dernier pour 29 ou 30 jours de carême chez les musulmans. S’abstenir de manger, de boire, de fumer et de tenir des relations sexuelles de l’aube jusqu'au coucher du soleil, tels sont les obligations que se donnent les fidèles de l’islam en se conformant au quatrième des cinq piliers de leur religion. Les jeûneurs devront également éviter les calomnies, les mensonges, les bagarres et tous autres comportements déviants dans le but de purifier leur âme en réparation de leurs erreurs, de leurs péchés. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content C’est parti depuis jeudi 18 juin dernier pour 29 ou 30 jours de carême chez les musulmans. S’abstenir de manger, de boire, de fumer et de tenir des relations sexuelles de l’aube jusqu'au coucher du soleil, tels sont les obligations que se donnent les fidèles de l’islam en se conformant au quatrième des cinq piliers de leur religion. Les jeûneurs devront également éviter les calomnies, les mensonges, les bagarres et tous autres comportements déviants dans le but de purifier leur âme en réparation de leurs erreurs, de leurs péchés. Outre le recueillement à travers la méditation et les prières, le ramadan est considéré chez les musulmans comme une période de partage de la situation des indigents, de générosité et de solidarité envers eux et tous les proches. C'est par une grande prière inaugurale dite «as-siyam» que le démarrage du jeûne a été annoncé, la veille, dans les mosquées de la ville qui ont grouillé de plus de monde que d’habitude. De Yarakinnin à Dokparou en passant par Yéboubéri, Banikanni, Kpébié, Gah, ces lieux de prières et les rues adjacentes étaient débordés dans la soirée du mercredi dernier. Comme à l’accoutumée, à quelques jours du démarrage du jeûne, c’était la saison des mariages. Si pour certains, cette période est choisie à dessein pour bénéficier de la grâce d’Allah, c’est beaucoup plus l’occasion pour les jeunes gens qui convolent en justes noces de s’assurer que le repas de l’aube et celui du coucher du soleil seront toujours prêts et qu’ils auront leur conjoint ou conjointe à côté pour éviter les escapades nocturnes. Une certaine affluence a été notée ces derniers jours chez les marchands de vivres et d’autres produits de première nécessité. Aussi, faut-il signaler que depuis hier, les buvettes, bars et maquis de la ville connaissent une fréquentation plus faible que d’habitude. Leurs chiffres d’affaires habituels ne reprendront qu’après la fête de l’Aïd el-Fitr qui marque la fin du jeûne musulman et le début du 10e mois lunaire "chawal”. En fait, par solidarité ou par hypocrisie, bon nombre de non musulmans observent le jeûne ou refusent de s’afficher en public en train de manger ou de boire. Par ailleurs, il se dégage déjà une tendance haussière des prix des produits vivriers, des produits de première nécessité : sucre, lait, et surtout des fruits : mangues, ananas, banane, pomme qui se renchérissent sur le marché. Claude Urbain PLAGBETO A/R Borgou-Alibori bibo:pages 14 -- o:id 9047 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9047 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9052 27156 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bc327566f8a23a85b203aa65b6336766267c9140.pdf https://islam.zmo.de/files/original/628c77d4f636935bb6afc5cf4791994438b6336b.tiff dcterms:title En prélude au forum international sur le dialogue interreligieux : têtes couronnées et autres acteurs sociaux sensibilisés pour la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14500 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15404 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-05-06 dcterms:identifier iwac-article-0004223 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Travailler à l’enracinement de la paix dans les contrées du Bénin et même du Togo en y impliquant surtout les têtes couronnées et autres personnalités morales traditionnelles. C’est la mission que s’est imposée la Fondation œcuménique pour la paix en Afrique (Fopa). Elle vient ainsi d’achever une longue tournée qui lui a permis d’entretenir les populations sur la problématique de la paix. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Travailler à l’enracinement de la paix dans les contrées du Bénin et même du Togo en y impliquant surtout les têtes couronnées et autres personnalités morales traditionnelles. C’est la mission que s’est imposée la Fondation œcuménique pour la paix en Afrique (Fopa). Elle vient ainsi d’achever une longue tournée qui lui a permis d’entretenir les populations sur la problématique de la paix. « La Fopa a pour principale mission d'œuvrer pour que la paix règne au Bénin et sur le continent africain. Nous remercions Dieu qui nous a aidés à réussir dans la paix, la dernière élection présidentielle. A l’heure actuelle, nous nous devons tous de préserver cette paix afin que le nouveau président fasse exécuter son projet de société pour le bonheur des populations. Nous nous devons donc de l'accompagner pour un Nouveau départ de qualité». Message fort, résumant l’objectif de la longue tournée que vient d’achever la Fondation œcuménique pour la paix en Afrique (Fopa). Ces mots émanent en effet de son président, Gilbert Dakè Djokess qui, il y a quelques jours, était au contact des populations notamment celles de la partie septentrionale du Bénin et du Nord Togo. Mais avant son périple, la délégation de la Fopa a reçu les bénédictions du roi de Djougou. Après quoi, l’acte premier a consisté en une rencontre avec les acteurs de la société civile, des têtes couronnées, les forces de sécurité publique et des autorités administratives de la commune de Djougou. A l’occasion, le message de la Fopa, porté par son président s’est voulu une adresse pour la préservation de la paix. «Ne permettez plus jamais à quelqu’un de nous diviser. Nous sommes tous des Béninois. Et nous sommes un et un seul. C’est ensemble que nous allons construire notre pays et non dans la division. Je vous prie d’œuvrer avec la Fopa pour que la paix, l’unité et la cohésion nationale règnent et soient consolidées dans notre pays », lançait à l’occasion Gilbert Dakè Djokess. Une communication a été également présentée sur les germes de guerre. Laquelle a été très enrichissante et largement appréciée par le public présent. Passée l’étape béninoise, cap sera mis sur la localité de Kara au Togo. Le président de la Fopa, Gilbert Dakè Djokess et les siens s’y sont rendus sur invitation de plusieurs regroupements socioprofessionnels et des autorités politico-administratives. A cette étape, le messager de la paix s’est tout simplement fondu dans la masse pour mieux faire passer son message. Lequel a été accueilli par des animations culturelles. Suivront de longs échanges au cours desquels l’engagement des populations à faire de la paix une réalité quotidienne a été martelé. Il faut dire que cette tournée internationale s’inscrit dans le cadre du forum international sur la paix et le dialogue interreligieux prévu pour le 14 mai prochain à Azovè dans les départements du Mono-Couffo. bibo:pages 13 -- o:id 9048 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9048 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9053 27157 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0150a6a6eb5205fb557ef1af58036741f76d19c1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1b26bb352580d44ef2021be43c48e58971253a59.tiff dcterms:title Activité de Ia communauté Jama'at islamique Ahamadiyya : la 14e mosquée du Mono-Couffo inaugurée dans la commune d'Aplahoué dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-03-29 dcterms:identifier iwac-article-0004224 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une nouvelle mosquée de la communauté Jama’at islamique Ahamadiyya a été inaugurée, vendredi 25 mars dernier dans le village de Bozinkpé à Aplahoué, pour servir de cadre de recueillement aux fidèles musulmans de toute la commune. C’était à travers une cérémonie présidée par le chef missionnaire, Ahmad Farooq Rana en présence des élus locaux, des imams du département du Couffo et de leurs homologues venus du Togo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14771 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une nouvelle mosquée de la communauté Jama’at islamique Ahamadiyya a été inaugurée, vendredi 25 mars dernier dans le village de Bozinkpé à Aplahoué, pour servir de cadre de recueillement aux fidèles musulmans de toute la commune. C’était à travers une cérémonie présidée par le chef missionnaire, Ahmad Farooq Rana en présence des élus locaux, des imams du département du Couffo et de leurs homologues venus du Togo. C’est une mosquée à deux minarets construite sur 63 m2 qui est mise depuis vendredi dernier à la disposition des fidèles musulmans du Couffo. L’infrastructure qui sert depuis lors de cadre de vénération de Allah et de rencontres pour ses fidèles est construite dans le village de Bozinkpé dans l’arrondissement de Dékpo, commune d’Aplahoué. Plus de 3 millions de francs CFA ont été mobilisés par la communauté Jama’at islamique Ahamadiyya pour ériger le nouvel édifice. «Les bénéficiaires aussi y ont participé, soit en se constituant comme mains-d’œuvre pour des travaux de construction ou en fournissant certains matériaux tels que le bois ayant servi à réaliser la charpente», selon le président de la communauté au Bénin, Ahmad Farooq Rana. A eh croire ce dernier, la mosquée de Bozinkpé porte à 14 pour le Mono-Couffo et à 264 pour tout le Bénin, le nombre des infrastructures du genre déjà réalisées par la communauté Jama’at islamique Ahamadiyya. «C’est une grâce de voir notre localité comptée parmi ce cercle restreint des bénéficiaires », dira le chef de l’arrondissement de Dékpo, Kehoundé Nakya à la suite du chef du village de Bozinkpé. Les deux autorités locales n’ont pas manqué d’exhorter au maintien de la bonne cohésion entre les religions et leurs pratiquants. Prêchant dans le même sens, en s’appuyant sur la Sourate Bahara v125 à 129, l’alpha Abdoul-Fatah Tidjani rassure qu'il ne peut en être autrement car, pour lui, la religion c’est la marque du bon comportement. Abdel Rahman Aderemi Adjado Sanni et le chef missionnaire ont poursuivi dans le même sens en insistant sur la devise de leur communauté à savoir «L’amour pour tous, la haine pour personne». Selon ceux-ci, une mosquée est un cadre ouvert à tous ceux qui sont en quête de Dieu. Après la série des allocutions, les officiels ont procédé à la coupure de ruban symbolique donnant accès aux fidèles pour la séance de prière du vendredi dernier. La séance a été dirigée par le chef missionnaire Ahmad Nasar avec la participation de son collaborateur en charge de la région Lokossa. bibo:pages 7 -- o:id 9049 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9049 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9054 27158 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e27b253238679a2b9d77a3f102d4411314d9d428.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2508fc2c0a8b75ece776f9da613200762d04fe06.tiff dcterms:title Bon déroulement du processus électoral : la Jama'at islamique Ahmadiyya félicite tous les acteurs dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1505 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/83 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/211 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-03-18 dcterms:identifier iwac-article-0004225 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Appelés aux urnes le 6 mars dernier, les Béninois ont exprimé leur besoin de démocratie, de liberté et d’alternance. Ils ont montré à la face du monde leur sens de responsabilité, en votant dans le calme afin de réaffirmer leur attachement au processus démocratique entamé depuis 1990. Toute chose appréciée par la Jama’at islamique Ahmadiyya. Elle a tenu à travers un communiqué de presse, à saluer et féliciter toutes les institutions, les partenaires du Bénin, les Forces armées, les médias et toutes les personnes qui ont contribué à l’organisation et au bon déroulement du premier tour du scrutin présidentiel. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Appelés aux urnes le 6 mars dernier, les Béninois ont exprimé leur besoin de démocratie, de liberté et d’alternance. Ils ont montré à la face du monde leur sens de responsabilité, en votant dans le calme afin de réaffirmer leur attachement au processus démocratique entamé depuis 1990. Toute chose appréciée par la Jama’at islamique Ahmadiyya. Elle a tenu à travers un communiqué de presse, à saluer et féliciter toutes les institutions, les partenaires du Bénin, les Forces armées, les médias et toutes les personnes qui ont contribué à l’organisation et au bon déroulement du premier tour du scrutin présidentiel. « Une fois encore, nous sommes appelés aux urnes le 20 mars prochain pour le second tour de l’élection présidentielle. La Jama’at islamique Ahmadiyya invite et exhorte les citoyens à faire de même, en allant voter dans le calme et la sérénité pour que notre démocratie sorte renforcée de ces élections », précise le communiqué signé du président de l’association Rana Farooq Ahmad. Pour lui, c’est seulement de cette façon que le Bénin s’illustrera au rang des grandes démocraties dans le monde. Il a, par ailleurs, réaffirmé tout le soutien de la Jama’at islamique Ahmadiyya au peuple béninois. Selon lui, Il est d’ores et déjà en union de prière avec l’ensemble de ses membres pour que le second tour du scrutin se déroule dans de bonnes conditions. bibo:pages 16 -- o:id 9055 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9055 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9060 27159 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/0e8f5d258221b63deb06ffe9a88c28c90fd1e258.pdf https://islam.zmo.de/files/original/2a4eb3b8a0f470b9008b17d3c879c1e8d60ba07e.tiff dcterms:title Bousculade meurtrière à la Mecque 2015 : les musulmans de Porto-Novo prient pour le repos de l'âme des victimes dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13477 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2023 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14301 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1394 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14093 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-10-27 dcterms:identifier iwac-article-0004226 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane de Porto-Novo a organisé samedi 24 octobre dernier, une séance de prière à l'intention des pèlerins décédés lors de la bousculade dans la vallée de Mina à la Mecque, le 24 septembre dernier. L'initiative a été soutenue par des autorités politico-administratives ainsi que d'autres confessions religieuses et des têtes couronnées de la ville. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13112 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane de Porto-Novo a organisé samedi 24 octobre dernier, une séance de prière à l'intention des pèlerins décédés lors de la bousculade dans la vallée de Mina à la Mecque, le 24 septembre dernier. L'initiative a été soutenue par des autorités politico-administratives ainsi que d'autres confessions religieuses et des têtes couronnées de la ville. La grande place Idi de la mosquée centrale d’Agbokou a été dans la matinée du samedi dernier, le point d’attraction des fidèles musulmans de Porto-Novo. Ils étaient très nombreux à prendre part à la séance de prière organisée pour le Bénin et en mémoire des pèlerins décédés lors de la bousculade du 24 septembre dernier à la Mecque. La cérémonie a été initiée par la communauté musulmane de Porto-Novo pour le repos de l’âme des victimes de cette tragédie. L’imam de la mosquée centrale de Porto-Novo, Houzéïfath Amzat, le président du Conseil islamique de Porto-Novo et premier haut dignitaire de l’Union islamique du Bénin, Karim Urbain da Silva ont prié Allah pour qu’ils reçoivent dans son royaume céleste, les victimes de cette bousculade. Ils ont aussi imploré Dieu afin qu’il accorde la paix aux familles éplorées et qu'il les assiste pour que le vide laissé par leurs parents disparus ne se ressente pas. L’imam Houzéïfath Amzat a rendu hommage aux fidèles des autres communautés religieuses sœurs qui ont accepté de se joindre à eux pour cette communion de prière. «Nos communautés religieuses doivent s’unir, et unir leurs efforts vers le bonheur de nos cités et de notre pays», souligne-t-il, avant d’inviter Allah à accepter leurs dévotions, leurs appels et à veiller sur le Bénin et ses dirigeants. Le représentant de l’Eglise catholique, le père Hypolite Sagbo, celui de l’Eglise protestante, le pasteur Honoré Houngbo, celui de l’Eglise orthodoxe des rites orientaux du Bénin, Jerôme Assogba, celui des religions endogènes, Houédoto Zounkpotodé, des têtes couronnées sa Majesté Onikoyi Abesan Alajasè, et celui de la Jama’t islamique ahmadiyya, Abdel Koudouss ont défilé tour à tour pour prier Dieu pour le repos de l’âme des victimes. Selon eux, la mort est une expérience que tout homme fera. Et c’est dans ce sens qu’il faut comprendre la mort de ces pèlerins à la quête du salut en Terre Sainte. Le maire de Porto-Novo, Emmanuel Zossou, la représentante du président de l’Assemblée nationale, l’honorable Ibath Sanni Glèlè et le préfet des départements de l’Ouémé et du Plateau, Moukaram Badarou ont loué l’initiative de l’organisation de cette séance de prière. Seul Dieu dispose de l’agenda de chaque personne. C'est lui qui donne la vie et c’est encore lui qui décide de la reprendre quand et où il veut, ont indiqué ceux-ci à travers leurs messages. Revoir l’organisation du Hadj Pour le préfet, c’est une grâce de trouver la mort lors du Hadj, le 5è pilier de l’islam. Mais Moukaram Badarou a insisté pour que soit revue l’organisation du Hadj. Il a invité le gouvernement saoudien à prendre ses responsabilités pour que le drame du 24 septembre dernier ne se reproduise plus jamais. Il n’a pas non plus oublié les convoyeurs qu’il invite à revoir le convoyage afin que les choses se fassent autrement désormais et que les pèlerins soient mieux traités et entretenus. Mais cet appel du préfet de l’Ouémé-Plateau n’a pas été du goût des convoyeurs présents. Ils ont réagi énergiquement par la voix de leur porte-parole Bachirou Gbadamassi. Selon lui, si les choses doivent être réorganisées, cela passe par le retrait du gouvernement béninois du convoyage. Cette année, il aurait encore convoyé 300 pèlerins béninois à la Mecque. Au lieu de concurrencer les convoyeurs professionnels, le gouvernement doit plutôt être le gardien du temple ; celui qui réprimande les convoyeurs en cas de dérapages. Le retrait de l’Etat devrait permettre de situer facilement les responsabilités. Une intervention qui a été fortement applaudie par l’assistance qui semble trouver fondées les observations du convoyeur Bachirou Gbadamassi, par ailleurs, secrétaire général du Comité national d’organisation du Hadj au Bénin. Loin de cette polémique, Idrissou Djima, représentant le ministre en charge de l’Economie et des Finances, a loué l’initiative de cette prière tout comme ses prédécesseurs. Il a remis une enveloppe d’un million FCFA émanant de son émissaire pour accompagner la communauté musulmane de Porto-Novo. bibo:pages 16 -- o:id 9056 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9056 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9061 27160 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c911adb085543c763e1fb013408d5826fc59477d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4ad96cc2d5128389c771dfab754fc2bf762c4b49.tiff dcterms:title Don aux victimes des inondations : Ahmadiyya fait œuvre utile à Kandi, Malanville et Karimama dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15222 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-10-20 dcterms:identifier iwac-article-0004227 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénir, et l'ONG Humanity First ont procédé, le week-end dernier, à urie remise de dons au profit des personnes affectées par les dernières inondations dans les localités de Kandi, Malanville et Karimama. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/334 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénir, et l'ONG Humanity First ont procédé, le week-end dernier, à urie remise de dons au profit des personnes affectées par les dernières inondations dans les localités de Kandi, Malanville et Karimama. Six tonnes de riz, 40 bidons d’huile, 450 nattes en plastique, 45 paquets de tôle, pour un coût total de 7 millions F CFA, ont été distribués aux sinistrés dans ces trois localités parcourues vendredi et samedi derniers par la délégation conduite par Ahmad Rana Farooq, président de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin et Bakary Moussiliou, président de l’ONG Humanity First au Bénin. « Nous sommes venus partager vos douleurs et vous apporter notre soutien à travers ce don qui va quelque peu vous soulager, suite à cet événement de tristesse », a laissé entendre Ahmad Rana Farooq à chaque étape. Il a également promis qu’une équipe de médecins sera bientôt dépêchée pour la prise en charge gratuite de certaines maladies chez les victimes des inondations. C’est avec beaucoup d’enthousiasme et une grande joie que ces dernières ont reçu les dons, avant de se confondre en remerciements à l’endroit des donateurs. Les autorités locales ont abondé dans le même sens pour dire leur gratitude et rassuré qu’une distribution équitable sera faite des vivres et matériel remis. Le chargé de mission du préfet du Borgou/Alibori, Djibril Chabi Batta, a salué ce geste de l’organisation islamique et plaidé que d'autres organisations lui emboîtent le pas pour soulager les populations affectées par la catastrophe naturelle. La Jama’at islamique Ahmadiyya et l’ONG Humanity First poursuivant leurs actions de charité. Depuis hier lundi et ce, pendant cinq jours, ils organisent un camp chirurgical d’opération des hernies, d’appendicite, de circoncision à l’intention des enfants âgés de 1 à 15 ans à l’hôpital Ahmadiyya sis au quartier Okédama à Parakou. Claude Urbain PLAGBETO A/R Borgou-Alibori bibo:pages 13 -- o:id 9057 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9057 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9062 27161 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/d79aad7a8f61d7fa59792f4c61647ed936d69901.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b0a133af10d59485bc60613e239af6582d6cfc6b.tiff dcterms:title Préparatifs de la tabaski 2015 à Lokossa : "Tous les moutons n'ont pas les mêmes valeurs spirituelles" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14006 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1383 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/85 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2015-09-23 dcterms:identifier iwac-article-0004228 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les fidèles de l'Islam célèbrent demain jeudi 24 septembre, l’Aïd-el-Kebir ou la fête du mouton. Ceux de la cité de l’Espérance s'y apprêtent également, en dépit des distances à parcourir avant de se procurer du type d’animal indiqué pour la cérémonie. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13616 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les fidèles de l'Islam célèbrent demain jeudi 24 septembre, l’Aïd-el-Kebir ou la fête du mouton. Ceux de la cité de l’Espérance s'y apprêtent également, en dépit des distances à parcourir avant de se procurer du type d’animal indiqué pour la cérémonie. Abraham Wakhil fait partie des musulmans de Lokossa qui n’attendent pas le jour de la tabaski avant d’acheter leur bélier. Depuis lundi 21 septembre dernier, il s’est rendu au marché d’Azovè, où il a pu s’en procurer. A l’entendre, il n’y était pas d’ailleurs le seul musulman venu de la cité de l’Espérance. «J’y ai reconnu beaucoup d’autres coréligieux», a précisé Abraham Wakhil. Il a dû parcourir 40 km pour se rendre à Azovè, Lokossa n’ayant pas encore un marché de moutons proprement dit. Pour Aboubakar Wassiou, maître coranique, la place réservée à cet effet au sein du marché de la ville, peine à retrouver une vraie animation en plus de ce que les béliers y sont rares. Seuls, quelques éleveurs mènent le commerce de cet animal à Lokossa. «Les possibilités qui s’offrent alors aux musulmans de Lokossa en dehors d’Azovè est le marché de Dogbo pour ceux qui ne veulent pas traverser plus de 120km pour se rendre à Cotonou», clarifie le maître coranique. Il assure que si les autres espèces de mouton ne répugnent pas Allah, il est toutefois fait obligation aux fidèles de ne pas choisir dans la catégorie de ceux âgés de moins d’un an. «Vous comprenez alors que le défi que se lancent certains musulmans dans le choix des tailles de plus en plus relevées de bélier, n’a de source que la volonté d’exprimer l’aisance financière », regrette le missionnaire de la Jama’at islamique, Mahmood Arif. De la valeur spirituelle des moutons malades S’agissant des autres critères devant guider le choix du mouton de la tabaski, Aboubakar Wassiou indique que l’animal se doit de garder tous ses membres intacts. «Il ne doit pas être amputé d’une patte, d’un œil encore moins d’une oreille ou d’une quelconque partie de son physique », détaille le maître coranique. A cette notion de « mouton complet » développée, le missionnaire Mahmood Arif ajoute que l’animal destiné à la tabaski doit être «propre». « Il ne doit pas être porteur d’une maladie. Les animaux diarrhéiques, galeux et autres souffreteux ne sont pas invités à la table de la tabaski », conseille Mahmood Arif. Ces enseignements portant sur les valeurs spirituelles des moutons destinés à l’immolation, révèle-t-il, sont contenus dans «Hadith» qui signifie les paroles du prophète Mohamed. S’appuyant sur cette même source, les deux prédicateurs Aboubakar Wassiou et Mahmood Arif expliquent que «tous les moutons n’ont pas les mêmes valeurs spirituelles». Quant à la gestion de la viande du «bélier complet et propre» immolé dans le cadre de la tabaski, le maître coranique déclare qu’elle est soumise à un principe d’aumône. «Quel que soit la taille du mouton immolé, sa viande doit être divisée en trois lots. Lesquels seront respectivement distribués aux voisins, aux démunis et à sa propre famille», précise Aboubakar Wassiou. Pour ce dernier, il est interdit dans l’Islam, que le musulman conserve la viande de tabaski pour ses jours de vache maigre. bibo:pages 11 -- o:id 9058 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9058 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9063 27162 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f1a3928d093d2744c05238e6e8241d7bbd0f99db.pdf https://islam.zmo.de/files/original/442f8eeb3ca8e6cf3852e2abf459bff360a20588.tiff dcterms:title 28e Conférence annuelle de la Jama'at islamique Ahmadiyya : enseignement du Saint Coran pour "la renaissance de l'islam" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1614 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14950 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2019 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-12-27 dcterms:identifier iwac-article-0004229 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a tenu du vendredi 23 au dimanche 25 décembre dernier, sa vingt-huitième conférence annuelle. Organisée à la place Idi d’Ahmadiyya de Kètomè (Sèmè-Podji), cette conférence qui a regroupé tous les membres islamiques de la communauté Ahmadiyya du Bénin, a été une occasion pour enseigner l’Islam tel que prévu par le Saint Coran. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14218 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a tenu du vendredi 23 au dimanche 25 décembre dernier, sa vingt-huitième conférence annuelle. Organisée à la place Idi d’Ahmadiyya de Kètomè (Sèmè-Podji), cette conférence qui a regroupé tous les membres islamiques de la communauté Ahmadiyya du Bénin, a été une occasion pour enseigner l’Islam tel que prévu par le Saint Coran. « La renaissance de l’islam ». C’est le thème retenu par la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin pour sa vingt-huitième conférence annuelle. Durant trois jours, toutes les communautés islamiques Ahmadiyya du Bénin se sont retrouvées à Kêtomè dans la commune de Sèmè-Podji pour recevoir l’enseignement du Saint Coran. En effet, le livre sacré de l'islam, selon la Jama’at islamique Ahmadiyya, prône la loyauté, la liberté, l'égalité, le respect et surtout la paix. Pour le président du comité d’organisation de la conférence, Mohamed Loukouman Bissirou, le monde musulman s’expose aujourd’hui au terrorisme, à l’extrémisme, aux foyers de guerre et de tension. L’islam est une religion de paix et il convient de ramener l’islam à sa juste valeur dans l’esprit de toute la communauté islamique Ahmadiyya du Bénin, a-t-il déclaré. «Il est opportun que tous les membres de la Jama’at islamique Ahmadiyya prennent conscience de ce qu’est l’islam afin que règne la bénédiction divine », préconise Farooq Ahmad Rana, président national de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin en début de son exposé. Plusieurs maux minent le monde d’aujourd'hui, fait-il remarquer, mettant un accent, entre autres, sur les cas de vol, d’injustice et de corruption, des fléaux courants dans toutes les sociétés. Pour lui, l’être humain a besoin de retourner à la source, donc de recevoir une autre forme d’enseignement de l’islam. Notamment, celle qui prône l’existence d’un Dieu unique d’où la raison du thème choisi, insiste-t-il. Farooq Ahmad Rana a par ailleurs exhorté à un grand regroupement sur les lieux de culte, à la culture de l’amour du prochain et ce, dans l’honnêteté et le respect. Il faut rappeler que la Jama’at Islamique Ahmadiyya milite depuis 1889, date de sa création et a pour devise « L’Amour pour tous et la haine pour personne ». Elle s’active dans l’effort mondial qui tend à faire revivre le véritable message de paix de l’islam tel qu’enseigné par le prophète Muhammad. Et à travers cette vingt-huitième édition de la conférence, la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin espère véritablement atteindre cet objectif. bibo:pages 16 -- o:id 9059 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9059 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9064 27163 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c42ac0cc7cac565d0d6ae035bfe7aa89f8d7cdf1.pdf https://islam.zmo.de/files/original/3c2438891b175af15213beaca1fdf0b85570cac3.tiff dcterms:title Fête de Tabaski 2016 : Ahmadiyya Bénin offre cinq moulons aux pauvres dans l'Ouémé dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-09-09 dcterms:identifier iwac-article-0004230 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Comme de tradition tous les ans à la veille de chaque fête de la Tabaski, l’association islamique Ahmadiyya du Bénin était jeudi 8 septembre dans certaines communes de l’Ouémé en l’occurrence Adjarra, Avrankou et Porto-Novo où elle a distribue des moutons afin de partager la joie de l’Aïd el Kébir avec les couches démunies ou en détresse. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15321 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Comme de tradition tous les ans à la veille de chaque fête de la Tabaski, l’association islamique Ahmadiyya du Bénin était jeudi 8 septembre dans certaines communes de l’Ouémé en l’occurrence Adjarra, Avrankou et Porto-Novo où elle a distribue des moutons afin de partager la joie de l’Aïd el Kébir avec les couches démunies ou en détresse. Une délégation de la l’association islamique Ahmadiyya du Bénin était jeudi 8septembre dans plusieurs communes du département de l’Ouémé. Elle était à Adjarra, Avrankou et Porto-Novo où elle a semé par anticipation la joie de la fête de l’Aïd el Kébir encore appelée Tabaski dans le coeur des couches les plus démunies. Comme c'est souvent d’ailleurs le cas avec cette communauté à la veille de chacune des deux fêtes musulmanes. La délégation a été conduite par le président de Ahmadiyya Bénin, Rana Farooq Ahmad qui avait les bras chargés de cinq moutons. Elle a offert un mouton à chacune des étapes du périple à savoir: l’Orphelinat Notre-Dame de la miséricorde d'Adjarra, le Centre de traitement des malades mentaux saint Camille d’Avrankou, l’Orphelinat de Djègan Daho à Porto-Novo, la prison civile de Porto-Novo et la préfecture de l’Ouémé. Les pensionnaires de la prison civile de Porto-Novo ont été les plus heureux de cette action humanitaire de la communauté Ahmadiyya. En effet, en plus du mouton, le président Rana Farooq Ahmad leur a donné la somme de 25 mille francs CFA; laquelle doit servir à l’achat de condiments pour la préparation de la sauce de viande de mouton. Les dons ont été reçus par le gardien chef de la prison civile, Parfait Dangou qui a remercié les donateurs pour leur geste annuel à la veille de chacune des deux fêtes musulmanes, le Ramadan et la Tabaski. Il a promis de faire en sorte que chacun des 940 prisonniers de la maison carcérale puisse goûter un bout de cette viande le lundi 12 septembre prochain, jour de la fête. De quoi permettre aussi aux prisonniers de la prison civile de Porto-Novo de vivre la joie de l’Aïd el Kébir. A la prison civile de Porto-Novo comme dans les autres endroits visités, les bénéficiaires ont été très sensibles au geste, chaque année reouvelé, de la communauté Ahmadiyya Bénin. Ils ont prié Dieu de bénir le président Rana Farooq Ahmad et sa suite ainsi que leurs activités professionnelles. Même les malades mentaux du centre Saint Camille n'ont pas tari d'éloges pour remercier la délégation qui a donné encore rendez-vous l'année prochaine à ces couches pauvres pour d’autres dons. bibo:pages 12 -- o:id 9065 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9065 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9070 27164 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ee4449a3d1c27d4c2414b63a32b533e3dd916308.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d815212e0d3f1dc162c1f338a24375ecb1c14e6b.tiff dcterms:title Impacts de la communication par la technologie : l'Oheib promeut l'islam au Bénin par les Tic dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15012 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13308 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1945 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13259 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/786 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1466 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15438 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1431 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-08-05 dcterms:identifier iwac-article-0004231 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les dignitaires de la communauté musulmane du Bénin ont tenu un conclave au siège de l’Organisation humanitaire pour l’entraide islamique au Bénin (Oheib) à Pk10 route de Porto-Novo. C’est dans le cadre de la Coédition du colloque annuel initiée par cette structure et dont le thème porte sur les impacts de la communication par la technologie en vue du développement de l’islam au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les dignitaires de la communauté musulmane du Bénin ont tenu un conclave au siège de l’Organisation humanitaire pour l’entraide islamique au Bénin (Oheib) à Pk10 route de Porto-Novo. C’est dans le cadre de la Coédition du colloque annuel initiée par cette structure et dont le thème porte sur les impacts de la communication par la technologie en vue du développement de l’islam au Bénin. Plusieurs personnalités musulmanes ont pris part à l’ouverture officielle des travaux du colloque national sur les impacts de la communication par la technologie. Parmi elles, il y avait l’ancien président du Conseil économique et social (Ces), Raphiou Toukourou, la grande chancelière de l’Ordre national du Bénin, Koubourath Osséni, l’honorable Yacoubou Malèhossou et l’ancien ministre Ali Houdou. Il y a eu plusieurs autres sommités de la religion islamique notamment, les imams, les maîtres coraniques, les islamologues et les prédicateurs. Dans son intervention, le président de l’Organisation humaine pour l’entraide islamique (Oheib), Dr Abdelhamid Chitou Sanni a salué cette forte mobilisation. Il a ensuite rappelé les tenants et aboutissants de la rencontre et les objectifs que son organisation s'est assignée à travers cette initiative. En effet, pour l’édition 2016 dudit colloque, les échanges ont porté sur le thème principal intitulé «La communication par la technologie et ses impacts». A cet effet, plusieurs communicateurs se sont succédé au pupitre sous la houlette du professeur Abdoul Wahabi Bakari pour entretenir les participants sur l’évolution de la communication par la technologie et ses impacts. Lesquelles communications ont montré que les Tic ont des impacts énormes et contribuent au développement à travers l’instauration d'un dialogue permanent entre les différentes couches religieuses islamiques. En d’autres termes, ce colloque a permis aux participants de renforcer leurs capacités sur l’utilisation des nouvelles applications des technologies de l’information et de la communication que sont Twitter, Facebook, Whatsapp, Viber, Imo et autres. Ils ont été ensuite entretenus sur l'importance de ces outils et l’utilisation judicieuse qu’ils doivent en faire à travers la création des groupes de communication entre les messagers d’Allah qu’ils sont en vue du développement de la religion islamique au Bénin. Les participants visiblement convaincus sur la nécessité de les utiliser, ont promis de mieux informer leurs communautés respectives. Il faut souligner qu'au terme des travaux, des participants ont été gratifiés de corans et autres documents de cultures islamiques. Ils ont reçu chacun une attestation de participation aux travaux de ce colloque. bibo:pages 10 -- o:id 9066 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9066 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9071 27165 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/1c69e55ff67ac3dfb7022e46676abeb89fb26176.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f621a6d55ced5feca07ca8fcac1dc864f89e1a64.tiff dcterms:title Distribution des vivres aux orphelins, malades et prisonniers : la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin fait œuvre utile dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1597 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14792 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-06-29 dcterms:identifier iwac-article-0004232 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pour clôturer le mois du Ramadan, la communauté islamique Jama’at Ahmadiyya Bénin a offert des sacs de riz, de sucre, des bidons d’huile, et des cartons de savon et de pâtes alimentaires, aux plus pauvres sur tout le territoire national. A Cotonou, quatre sites ont servi de cadre pour cette œuvre sociale. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pour clôturer le mois du Ramadan, la communauté islamique Jama’at Ahmadiyya Bénin a offert des sacs de riz, de sucre, des bidons d’huile, et des cartons de savon et de pâtes alimentaires, aux plus pauvres sur tout le territoire national. A Cotonou, quatre sites ont servi de cadre pour cette œuvre sociale. Chercher Dieu, c’est passer par les démunis et les défavorisés. C’est dans cette logique que la Jama'at islamique Ahmadiyya Bénin (Jiab) a procédé à la distribution des vivres composés de sacs de riz, de sucre, de bidons d’huile et de cartons de savon aux couches démunies. En effet, il est de coutume pour la Jama’at islamique Ahmadiyya de faire ce geste chaque année, à la fin du Ramadan et de la Tabaski pour mettre la joie dans les cœurs des déshérités. «Le mois du Ramadan est un mois de jeûne et de partage, et c’est pour partager cette joie avec les pauvres que la Jiab montre sa solidarité à l’endroit de ces personnes», a expliqué Rana Farooq Ahmad, président et chef-missionnaire de la Jiab. Avec ses collaborateurs, il entend par ce geste, promouvoir la paix et l’amour à toutes les personnes qui sont dans le besoin. Au ministère du Travail, de la Fonction publique et des Affaires sociales, c'est le ministre Adidjatou Mathys qui a accueilli le don afin de s’occuper de le distribuer dans les structures des affaires sociales sous sa tutelle. Elle a remercié la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin pour toutes les œuvres sociales qu'elle ne cesse de faire au Bénin depuis des décennies et particulièrement en faveur des couches sociales faibles. «Les œuvres sociales ont beaucoup de valeur aux yeux du Tout-puissant», a reconnu Adidjatou Mathys, « Et lorsque ces œuvres sont réalisées pendant le Ramadan, elles sont encore plus importantes », a-t-elle poursuivi. Elle a rassuré de ce que ces œuvres iront vers les destinataires qui prennent en compte les pauvres, les orphelins, les malades, les personnes handicapées, et même les prisonniers qui ont envie de jeûner mais parce qu’ils n’ont pas de quoi se nourrir, abandonnent souvent cette obligation d’Allah. Au Centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoucou Maga (Cnhu-Hkm), c’est 500 colis contenant chacun du riz, des spaghetti, du savon, mis dans de sachets qui ont été distribués de lit en lit aux malades afin qu’ils se rejouissent au moment de la fête du Ramadan. Le directeur général du Cnhu-Hkm, empêché, s’est fait représenter par son assistant Germain Luc Kokoyè. Ce dernier n’a pas tari de mots, au nom du directeur général et des malades, pour remercier la communauté islamique Jama’at Ahmadiyya du Bénin pour ce geste de solidarité. « Cette action est solidaire et prouve que vous vous souvenez des malades de ce centre », a-t-il souligné. Les œuvres sociales de la Jama’at Islamique Ahmadiyya Bénin n’ont oublié aucune localité du Bénin. « C’est pourquoi, elle est présente dans toutes les 77 communes et dans 1350 localités du Bénin », a confié le président de la Jiab, Rana Farooq Ahmad. Le coût global de ces vivres distribués dans la journée de mardi 28 juin au Bénin, avoisine d’environ 20 millions FCFA. Rana Farooq Ahmad a souligné que la Jiab est en partenariat avec le Cnhu, ce qui a valu à ce centre, un don de 2000 draps et de 10 chaises roulantes pour les malades. L’autre projet en cours va consister à fournir des équipements à la salle d’anesthésie pour faciliter l’accès à la chirurgie aux usagers de ce centre. bibo:pages 10 -- o:id 9067 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9067 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9072 27166 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5b26c9b12f83cc9808e1343413ed4c2a5cf2c6c6.pdf https://islam.zmo.de/files/original/fea975c3482f4e28ede083e068ae97a6d43a2c53.tiff dcterms:title Camp médical d'Ahmadiyya à Karimama : consultations et soins gratuits offerts aux populations dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2016-05-11 dcterms:identifier iwac-article-0004233 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Des consultations foraines et une prise en charge gratuite des affections courantes, ont été organisées mardi 10 mai à l’intention des populations à Karimama. Il s’agit d’une œuvre de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin et son ONG Humanity First qui viennent ainsi d’honorer leur promesse faite en octobre dernier de dépêcher une équipe médicale sur place pour soulager les douleurs des personnes vulnérables qui ont difficilement accès aux soins de santé. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13503 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/334 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Des consultations foraines et une prise en charge gratuite des affections courantes, ont été organisées mardi 10 mai à l’intention des populations à Karimama. Il s’agit d’une œuvre de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin et son ONG Humanity First qui viennent ainsi d’honorer leur promesse faite en octobre dernier de dépêcher une équipe médicale sur place pour soulager les douleurs des personnes vulnérables qui ont difficilement accès aux soins de santé. En effet, à l’occasion de la remise de dons aux sinistrés des inondations et de la canicule de 2015, le premier adjoint au maire de Karimama, Dourhaman Igouma, a sollicité l’appui de ces organisations pour venir en aide à ceux qui souffrent de diverses maladies, notamment les enfants et les personnes du troisième âge. Chose promise, chose réalisée. L'équipe du médecin chef de l’hôpital Ahmadiyya de Parakou, Dr Mohammad Hassan, a procédé, mardi à la maison des jeunes de Karimama, à l’examen puis au don de médicaments plus de 260 indigents souffrant de paludisme, diarrhée, malnutrition, fièvre typhoïde, ulcère, maux de ventre, hypertension artérielle, diabète, rhumatisme, stress lié à la chaleur. « L’une des œuvres les plus recommandées en islam, c’est l’entraide. La Jama’at islamique Ahmadiyya vient de nous en donner l’exemple», se réjouit Dourhaman Igouma. Pour lui, cette action de charité vient à point nommé en ce sens qu’«actuellement, tout le monde souffre du fait de la forte chaleur et du manque d’eau potable ; alors que la santé reste un facteur de développement. Des gens en meurent ». Ce mercredi, les populations de la commune de Gogounou sont attendues pour être consultées et traitées sans payer le sou. Avant Karimama, Ouèssè et Toui dans les Collines ont accueilli le camp médical le week-end dernier. Claude Urbain PLAGBETO bibo:pages 5 -- o:id 9068 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9068 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9073 27167 27168 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/29893bf80311abb2a37187b824e1a102f2caaea3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/bf396246303e8dcfc2e5b0be26ff57045c9f07b7.tiff https://islam.zmo.de/files/original/dfe2fdfaf28d17f32eb1428b1a9980349a172300.tiff dcterms:title Dialogue interreligieux : l'exemple béninois intéresse les Suisses dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13730 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14677 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1403 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13598 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-02-06 dcterms:identifier iwac-article-0004234 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Notre pays abrite depuis le samedi 4 février dernier une rencontre internationale sur le dialogue interreligieux au Bénin. Des personnalités religieuses : têtes couronnées, dignitaires de cultes vodoun, et autres personnalités politico-administratives ont honoré de leur présence ces assises qui ont eu pour cadre le Centre international Experimentation et de valorisation des ressources africaines (Cievra), à Glo-Djigbé, commune d’Abomey-Calavi. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14819 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/429 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Notre pays abrite depuis le samedi 4 février dernier une rencontre internationale sur le dialogue interreligieux au Bénin. Des personnalités religieuses : têtes couronnées, dignitaires de cultes vodoun, et autres personnalités politico-administratives ont honoré de leur présence ces assises qui ont eu pour cadre le Centre international Experimentation et de valorisation des ressources africaines (Cievra), à Glo-Djigbé, commune d’Abomey-Calavi. Né d'une collaboration entre la Conférence des évêques Suisses (Ces) et la Fondation Espace Afrique (Fea), le projet dialogue interreligieux au Bénin permettra à la délégation suisse venue au Bénin dans le cadre de cette rencontre internationale, de s’inspirer du modèle de notre pays connu comme un havre de paix où cohabite de façon pacifique des populations de religions différentes. « Nous voici réunis pour parler de paix. Cette paix qui, de nos jours, est constamment menacée par le développement de l'intolérance religieuse, de la xénophobie, du communautarisme exacerbé. Cette paix qui est mise en péril au quotidien par des individus d’une violence rare qui sèment la désolation et la mort au nom de ce qu’ils disent être des croyances pieuses. », a insisté, à l’ouverture des travaux le président fondateur de Espace Afrique, Samuel Dossou Aworet. II rappelle que la conviction du croyant ne lui permet pas de se désintéresser de ses frères et soeurs qui sont dans la souffrance. « Une telle attitude serait en pleine contradiction avec notre comportement de croyants », a-t-il indiqué. Il n’a pas non plus manqué d'exprimer son inquiétude pour demain par rapport à ce que vit aujourd’hui l’humanité à cause des conflits liés à la religion. « Nous voulons un monde de paix. Mais nous ne pourrons le bâtir qu’ensemble. Il nous faut cultiver chaque jour, les valeurs comme le respect et l’estime mutuelle entre croyants, les rapports de bon voisinage et de fraternité entre adeptes de différentes religions. », a-t-il ajouté, justifiant par la même occasion l’importance et la nécessité de pareilles assises « afin de mieux nous connaître pour s’apprécier et s’enrichir mutuellement de nos échanges. Il rappelle à l’assistance que le Bénin se caractérise par une cohabitation pacifique entre chrétiens, musulmans et religions autochtones. « La quête de paix implique donc nécessairement le dialogue serein entre religions, entre croyants. La richesse de la diversité religieuse doit être préservée à tout prix. » Modèle d’acceptation mutuelle des confessions « Le but du voyage de la Conférence des évêques suisses est de mieux comprendre le modèle béninois de tolérance et de dialogue entre les communautés religieuses en vue d’en tirer les leçons qui en émaneront pour en faire usage auprès de la diaspora multi-religieuse de plus en plus nombreuse en Suisse et en Europe. », a-t-il ajouté, espérant qu’avec la diversité des provenances et la qualité des participants à cette rencontre sortiront de riches et fructueux échanges qui nous seront mutuellement profitables. Pour le chef de la délégation suisse, monseigneur Alain de Raemy, la Suisse est débitrice de ses privilèges pour la paix. « Nous avons vraiment un rôle à jouer ensemble, pas seulement ici mais dans le monde entier. Il y a un grand danger entre les religions qui est de ne pas prendre du temps, de la patience. Il faut du temps de se connaître, de s'écouter. Nous avons à faire pour se connaître, de s’écouter, de se concerter », a-t-il dit. Intervenant à la cérémonie au nom du chef de l’Etat, le ministre Joseph Djogbénou a indiqué que le président Patrice Talon considère que le dialogue n’est pas une rencontre de soi-même mais plutôt une considération de soi-même. « Il est une offrande de soi-même. Sur le plan international, l’on se rend compte de l’importance du dialogue. Le dialogue est nécessairement de construire », a-t-il ajouté. Il conclut que le défi au monde et au Bénin est de rendre possible ce dialogue. « Un dialogue inclusif, intégral qui ne laisse nulle confession », a-t-il conclu. La Suisse et l’Europe étant caractérisées par une présence forte d’une diaspora où se côtoie une multiplicité de religions et de croyances, le but du voyage de la Conférence des Evêques Suisses est de mieux comprendre le modèle béninois de tolérance et de dialogue entre les communautés religieuses en vue d’en tirer les leçons utiles auprès de la diaspora multi-religieuse de plus en plus nombreuse en Suisse et en Europe. La quête de paix implique donc nécessairement le dialogue serein entre religions, entre croyants. La richesse de la diversité religieuse doit être préservée à tout prix. bibo:pages 1 9 -- o:id 9069 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9069 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9074 27169 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bceb3116fbbd72a554b2dcc9328927f2cdaa2084.pdf https://islam.zmo.de/files/original/6c10d96c30cd4b660a5cd9dbd51b39a14f2c25ee.tiff dcterms:title Conférence interreligieuse à Allada : la Jiab invite les populations à la tolérance dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1492 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15506 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15493 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-01-23 dcterms:identifier iwac-article-0004235 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre du cinquantenaire de sa présence sur la terre béninoise, la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin (Jiab) a organisé, samedi 21 janvier dernier à Allada, une conférence interreligieuse. Réunissant les responsables religieux de diverses confessions, cette rencontre a porté sur le thème « Religion, tolérance et laïcité ». dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre du cinquantenaire de sa présence sur la terre béninoise, la Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin (Jiab) a organisé, samedi 21 janvier dernier à Allada, une conférence interreligieuse. Réunissant les responsables religieux de diverses confessions, cette rencontre a porté sur le thème « Religion, tolérance et laïcité ». Vivre la diversité religieuse dans la tolérance. Ainsi pourrait se résumer le message de la mission de la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin (Jiab) aux populations de l’Atlantique à travers la conférence interreligieuse qu’elle a organisée samedi dernier dans la commune d’Allada dans le cadre du cinquantenaire de son implantation au Bénin. Pour le conférencier Assani Yaya, la religion est naturelle à l’homme et lui enseigne sa raison d’être sur terre. « Elle n’est pas une invention humaine mais d’origine divine », a-t-il soutenu. Quant à la multiplicité des religions, il l’a expliquée par la multitude de prophètes qui, a-t-il signalé, seraient « plus de 124 000 à venir sur terre ». Chacun de ces prophètes a propagé une doctrine sur la vérité de l’unique Créateur qui est Dieu. Dans ces conditions, a-t-il fait observer, aucune religion ne peut prétendre avoir le monopole de la vérité divine. Cette relativité impose la tolérance aux pratiquants de chaque religion par rapport aux autres. Assani Yaya a trouvé paradoxal qu’il y ait des violences interreligieuses alors que toutes les religions enseignent l’amour, la paix, le respect d’autrui conformément aux prescriptions des prophètes. Se prononçant sur l’origine des violences et la guerre des religions, il indique que ces déviances viennent de l’imperfection de la nature humaine. « L’imperfection de l’homme conduit certains à ne pas accepter l’existence d’autres religions », a tenté d’expliquer le conférencier. Pour lui, la tolérance est un facteur de paix et de développement. A la suite du conférencier, les représentants des religions endogènes, de l’Eglise catholique, des chrétiens célestes sont intervenus pour souligner la nécessité de la tolérance entre les adeptes des divers courants religieux. Saluant l’initiative, Jean-Claude Codjia, préfet de l’Atlantique, a loué l’engagement de la Jiab pour le règne de la paix, de la tolérance, de l’amour et du dialogue interreligieux au Bénin. Profitant de l’occasion, il a évoqué les œuvres sociales accomplies par cette organisation islamique au profit des couches vulnérables du Bénin. Expliquant la démarche de son organisation, Rana Farooq Ahmad a précisé qu’elle est inspirée par l’amour qui, selon lui, est la plus grande force. Cet amour doit permettre aux gens de vivre ensemble, d’être tolérants et de respecter les autres dans leurs choix religieux et autres. « L’amour pour tous et la haine pour personne », a-t-il martelé pour rappeler la devise de son organisation. Après Allada pour le compte de l’Atlantique, de février à décembre, chacun des autres chefs-lieux des départements du Bénin accueillera ce type de conférence. bibo:pages 7 -- o:id 9075 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9075 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9079 27170 27171 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/838bfb9372408710d292908f3fba37ba984818ab.pdf https://islam.zmo.de/files/original/894eb1b269678b19955a04637c3bafad8ee6d32b.tiff https://islam.zmo.de/files/original/d9bc4522468afb19b9135a81fc34abb1ad278bd4.tiff dcterms:title Au second jour de sa visite au Bénin : le colonel Kadhafi a prêché l'islam à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13471 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/108 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14916 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/63 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-07-14 dcterms:identifier iwac-article-0004236 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au deuxième jour de sa visite d'amitié et de travail au Bénin, sa deuxième patrie, le colonel Moammar Kadhafi, président de la République Jamahiriya Arabe Lybienne Socialiste était à Porto-Novo. Au stade Charles de Gaulle de notre capitale, il a tenu un meeting géant au cours duquel, il a prêché, outre l'anti-impérialisme et l'unité africaine, l'islam. En bon guide islamique mondial, cela s'entend. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/457 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Au deuxième jour de sa visite d'amitié et de travail au Bénin, sa deuxième patrie, le colonel Moammar Kadhafi, président de la République Jamahiriya Arabe Lybienne Socialiste était à Porto-Novo. Au stade Charles de Gaulle de notre capitale, il a tenu un meeting géant au cours duquel, il a prêché, outre l'anti-impérialisme et l'unité africaine, l'islam. En bon guide islamique mondial, cela s'entend. En juillet 1983, le président Moammar Al-Kadhafi était au Bénin, au plus fort de la révolution populaire du Bénin. Il a visité Porto-Novo où il avait été l'objet d'un accueil délirant; lequel accueil délirant ne lui a pas manqué hier. Le colonel Moammar Kadhafi le mérite bien, d’autant qu’à Porto-Novo, la Libye a réalisé beaucoup d’infrastructures socio-communautaires dont l’hôpital Al Fateh qui prend en charge les populations de Porto-Novo et de ses environs, en matière de santé. Toutes choses qu’apprécie bien Mme Inès Aboh, chef de la Circonscription urbaine de Porto-Novo. Mais cela, avoue t-elle, ne suffit pas; un plan de réhabilitation de la ville de Porto-Novo étant en exécution, les besoins pour la capitale du Bénin sont énormes. Il faut, dans les dix années à venir, de l'eau courante pour les habitants de Porto-Novo dont le nombre va connaître un accroissement. La Mosquée centrale reste à réhabiliter, le stade Charles de Gaulle à reconstruire. Porto-Novo manque d'un centre international de conférence, pendant que les transports ne sont pas encore développés ou n’existent même pas. Les infrastructures hôtelières sont insuffisantes, et ce qui existe n’est pas de classe internationale. Les services de sécurité des départements de l’Ouémé et du Plateau disposent de très peu de matériels roulants. La liste des doléances soumises au partenaire qu’est le président Moammar Kadhafi est longue. Les Porto-Noviens doivent donc compter avec la coopération Sud-Sud pour les voir résolues. Et Mme Inès Aboh, chef de la Circonscription urbaine de Porto-Novo caresse l’espoir que l'ardeur du défenseur de l’unité africaine qu’est le président Moammar Kadhafi pourra aider sa ville à s’épanouir. Le fera-t-il vraiment? Toute la marée humaine présente hier au stade Chartes de Gaulle de Porto-Novo était suspendue aux lèvres du leader libyen pour une réponse aux doléances qui, certes, ne sont pas tombées dans des oreilles de sourd. Néanmoins, le colonel Kadhafi, après avoir apprécié le charisme du révolutionnaire Mathieu Kérékou qu’il a appelé tous les Béninois à aimer, a prêché, pendant une bonne demi-heure, l’islam. «Le général Mathieu Kérékou est un grand révolutionnaire qui contribue beaucoup à l’édification de l’unité africaine. C’est pour cela que les impérialistes ont tenté de l’assassiner le 16 janvier 1977. Les impérialistes ne protègent que ceux qui servent leurs intérêts, et tentent par tous les moyens de se débarrasser de leurs ennemis». Ainsi, a parlé Kadhafi, l’anti-impérialiste pour montrer combien il est nécessaire que tous les fils d’Afrique s’unissent contre ceux qui veulent retarder le continent. Après quoi, l'hôte du Bénin a prêché, se sachant dans une ville à majorité musulmane. Pour lui, l’islam est une religion de droit qui dénonce les violences, alors que le christianisme est un pur produit du colonialisme qui, par essence, prône la violence. Le président Kadhafi invite les Béninois non musulmans à se convertir à l’islam. Jésus aurait dû lui-même se reconvertir à l’islam; la langue de Mahomet est l’Arabe qui est par conséquent, selon le président Kadhafi, la langue du paradis. L’islam, dit-il, est la meilleure religion qui soit. «C’est pour cette raison qu'à Lomé où j’étais pour le 36è sommet des chefs d'Etat de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), plusieurs Togolais chrétiens m’ont confié qu’ils s’apprêtent à se reconvertir à la religion musulmane, s’ils ne l’ont déjà pas fait». Ce faisant, dit le président Kadhafi, ils ont voulu se débarrasser des carcans du colonialisme, et briser les barrières de l’impérialisme par le biais des Etats-Unis d’Afrique. Des Etats-Unis que Kadhafi invite tous les Africains à construire, afin que l’Afrique devienne forte. bibo:pages 1 3 -- o:id 9076 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9076 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9080 27172 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/172dc42e9bf4c44eb090eb37e8e79a3b8f8f2bbf.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1048ec379538d2dbdb1424647da6607ec9200c2d.tiff dcterms:title Cinquantenaire de Jama'at islamique Ahmadiyya à Lokossa : échanges sur le lien entre la religion et l'éducation dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2019 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15085 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/99 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-03-20 dcterms:identifier iwac-article-0004237 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pour célébrer ses 50 ans d'existence au Bénin, la communauté Jama'at islamique Ahmadiyya organise une conférence itinérante autour du thème « Rôle de la religion dans l'éducation de la jeunesse ». La troisième étape de cette activité a réuni têtes couronnées, responsables d’église et acteurs politiques, samedi 18 mars dernier à la mairie de Lokossa. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Pour célébrer ses 50 ans d'existence au Bénin, la communauté Jama'at islamique Ahmadiyya organise une conférence itinérante autour du thème « Rôle de la religion dans l'éducation de la jeunesse ». La troisième étape de cette activité a réuni têtes couronnées, responsables d’église et acteurs politiques, samedi 18 mars dernier à la mairie de Lokossa. Quelle place pour la religion dans l’éducation de la jeunesse ? C’est la préoccupation soumise au forum inter-religieux du samedi 18 mars dernier où la position de Jama’at islamique Ahmadiyyaa été livrée à travers une communication. Pour cette communauté de fidèles de l’Islam, installée au Bénin depuis 1967, la religion doit être la source inspiratrice de l’éducation et la moule de la jeunesse. A en croire le communicateur Ouesseinie Aliou, missionnaire local de Djougou, l’humanité ne peut se ressourcer que dans le divin pour se tirer des crises (actes irrévérencieux, viols, vols, recherche de gain facile et autres actes terroristes). La communication ponctuée de versets coraniques rappelle à cet effet des recommandations du prophète Mahomet et des faits bibliques pour consolider la position de Jama’at islamique Ahmadiyya. En somme, les messages pour opérer la mue de la conscience se trouvent dans les livres saints, conclut Ouesseinie Aliou. Mais leur transmission efficace, mentionne-t-il, repose sur la tolérance et la soumission à Allah. « Avant de prétendre sensibiliser de jeunes gens, vous devez prier et cultiver le pardon de celui qui ferme les yeux sur les erreurs et fautes des autres », a-t-il préconisé. En revanche, cette position ne doit pas s’apprécier, selon le président du comité d’organisation de la cinquantenaire, Loukman Bissiriou, comme l’hégémonie d’une obédience religieuse sur les autres. « L’objectif de la rencontre, a-t-il précisé, est de faire des propositions concrètes visant à soulager l’humanité et à mettre fin aux vices des jeunes ». A leur tour, le roi Totoh de Lokossa et Koutougbo Missihou, président communal des fidèles des religions endogènes, le pasteur Lucien Loko et le premier adjoint du maire d’Athiémé ont plutôt épousé la vision exposée. Pour l’élu d’Athiémé, Jean Houssou, le contrôle de la jeunesse commence par échapper aux acteurs politiques, eux-mêmes, et il était temps d’instaurer la réflexion. Dans la même logique, le directeur des cultes et le secrétaire général de la préfecture du Mono ont encouragé l’initiative pour l’impact que sa concrétisation aura, selon eux, sur la couche juvénile, fer de lance du développement du Bénin. De façon unanime, les interventions ont salué les actions humanitaires ayant jalonné les 50 ans de présence de Jama'at islamique ahmadiyya au Bénin. Plusieurs personnes ont témoigné que la communauté donne une bonne image de l’Islam en tant que religion de paix, de solidarité et d’amour. Avant de conduire la prière silencieuse ayant clôturé la rencontre, le chef missionnaire, président de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin, Ahmad Farooq Rana, a fait cas de quelques traits caractéristiques de cette communauté à travers un message de leur dirigeant à l’échelle mondiale. Il a également réitéré l’engagement de sa communauté à soutenir davantage le développement du Bénin. Neuf autres conférences du genre restent à animer à travers le pays. bibo:pages 7 -- o:id 9077 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9077 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9081 27173 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/93dde57d1ebbc4708d6e271faab4df9839281957.pdf https://islam.zmo.de/files/original/82d9f7fc223851f90cd25f7e57b49d45789aeef5.tiff dcterms:title Conférence interreligieuse : partager les valeurs de l'islam pour sauver l'humanité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/630 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/576 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14451 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/33 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-04-24 dcterms:identifier iwac-article-0004238 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a organisé, samedi 22 avril dernier, une conférence interreligieuse sur le thème «Religion et patriotisme». C’est dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de son existence au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/275 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a organisé, samedi 22 avril dernier, une conférence interreligieuse sur le thème «Religion et patriotisme». C’est dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de son existence au Bénin. Après Allada, Bohicon et Lokossa, c’est la ville de Parakou qui a accueilli, samedi 22 avril dernier, l’une des nombreuses manifestations programmées dans le cadre des festivités marquant les 50 ans de présence de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin. Il s’agit de l’organisation du cinquantenaire d’une conférence interreligieuse ayant pour thème «Religion et patriotisme ». «Nous avons une lourde responsabilité. Nous nous voyons comme de véritables ambassadeurs de la paix», a indiqué le représentant du président du Comité:d’orga-nisation de la commémoration du cinquantenaire de cette communauté au Bénin, Kassim Kpokpohola, justifiant l’importance de cette rencontre qui a connu la présence des leaders religieux de Parakou. Selon lui, les turbulences que connaît le monde avec les attaques des fondamentalistes et des intégristes musulmans comme le groupe Etat islamique, Al Qaida et Boko Haram sont tels qu’il ne faudra pas baisser les bras. L’objectif de cette rencontre, a insisté Kassim Kpokpohola, est de partager avec l’assistance les valeurs spirituelles et morales qui sont celles de l’islam et paraissent suffisantes pour sauver le monde et l’humanité de cette situation. «Est-ce qu’un patriote peut, au nom de la religion, détruire son pays?» s’est-il interrogé. Comme le premier adjoint au maire de Parakou, Ibrahim Chabi Marna, le représentant du préfet du Borgou, Zacharie Adam, celui du ministre de l’Intérieur, Bio Sourou Orou Nam et l’ambassadeur de la République d’Allemagne près le Bénin, Walter Von Den Driesch, ont loué l’initiative de la Jama’at islamique Ahmadiyya. Cultivant les vertus de la tolérance entre les religions, elle prône la paix, gage de tout développement, ont-ils été unanimes à reconnaître. A leur suite, Assani Yaya a eu l’honneur d’exposer le thème retenu. Quant aux leaders religieux, ils ont été invités à faire leurs apports. Se référant au terme de la conférence, l’Amir de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, Ahmad Rana Farooq a, pour sa part, indiqué que certaines personnes pensent que la pratique de la religion est contraire à l’amour envers sa patrie, laquelle, selon Allah et le saint Coran, fait partie de la foi. Il a ensuite insisté sur l’importance et le sens de la loyauté au niveau de l’islam. « Le musulman doit aimer sa nation. Il ne peut exister aucun conflit d’intérêts entre l’amour qu’une personne porte pour Dieu et l’engagement qu’elle a pour son pays, étant donné que l’amour de la patrie est partie intégrante de l’islam», a-t-il fait remarquer Pour Ahmad Rana Farooq, l’amour de Dieu ne peut en aucun cas devenir un obstacle pour le développement d’un pays. bibo:pages 6 -- o:id 9078 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9078 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9082 27174 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/09a9f7f573ff6a12eb942fbe9e87109489de3d57.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a45097a43a0d5191a5dd4f689de4f9f8755cfacb.tiff dcterms:title Aprovisionnement en eau potable : Direct Aid soulage les populations de Bodjécali dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14891 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-03-13 dcterms:identifier iwac-article-0004239 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'heure était à la fête pour l'accès à l’eau, samedi 11 mars dernier, avec les populations de Bodjécali dans la commune de Malanville. C’est à la faveur de la mise en service du forage que l’organisation internationale koweïtienne Direct Aid leur a installé. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'heure était à la fête pour l'accès à l’eau, samedi 11 mars dernier, avec les populations de Bodjécali dans la commune de Malanville. C’est à la faveur de la mise en service du forage que l’organisation internationale koweïtienne Direct Aid leur a installé. L’eau, c’est la vie. Mais elle n’est malheureusement pas à la disposition de tous. Ce ne sont pas les populations de la localité de Bodjécali, au profit desquelles le forage installé par Direct aid a été mis en service, samedi 11 mars dernier, qui diront le contraire. Parées de leurs plus beaux atouts, grande était leur mobilisation pour donner toute la solennité à la cérémonie consacrant l’inauguration de l’ouvrage constitué d’un château d’eau de 13 m de hauteur et d’une station de pompage fonctionnant avec l’énergie solaire. Comportant quatre niveaux pouvant prendre chacun une tank de 5 000 l avec un débit de 18 m3/h, le château peut desservir 300 foyers par jour. Comme Madécali, Mamassi Peul, Mamassi Gourma, Moula et d’autres contrées dans le même département de l’Alibori, leur localité vient d’être dotée d’une adduction d’eau villageoise (Aev). Ainsi, grâce à Direct Aid, elles ne seront plus confrontées au problème d’approvisionnement en eau potable. « C’est depuis 1986, que Bodjécali et ses populations endurent cette difficulté. Et pourtant, la localité était reconnue comme le site abritant le puits artésien de toute la région dendi. Subitement, avec le pouvoir de Dieu, ce puits s’est éteint et ses populations sont désormais exposées à diverses maladies hydriques », a expliqué le maire de Malanville, Inoussa Dandakoe. A l’instar de ce dernier qui intervenait au nom de son Conseil communal et de ses populations, le préfet de l’Alibori, Mouhamadou Moussa, a exprimé la gratitude du Gouvernement aux responsables de Direct aid pour leurs œuvres sociales au Bénin. Il a, par ailleurs, remercié l’honorable Nassirou Bako-Arifari sous l’impulsion de qui, l’organisation internationale koweïtienne est présente dans l’Alibori et à Malanville. « C’est vrai, nos besoins sont immenses. Progressivement, vous allez nous aider à offrir les services sociaux de base », a fait remarquer le préfet, en demandant que Direct aid vienne encore forer d’autres puits dans son département. Quant au député Nassirou Bako-Arifari, il a dit toute sa satisfaction à Direct aid, pour son soutien à travers la réalisation de cet ouvrage majeur. « Bodjécali est à 5 km de Malanville, mais ne bénéficie pas des services de la Soneb. Ses populations se contentent de forages artisanaux, de l’eau de la Sôta et subissent les affres des maladies hydriques », a-t-il rappelé. Pour les prochaines années, a annoncé le député, Direct Aid promet investir plus de 5 milliards de francs Cfa dans différents projets au Bénin. Les communes de la première circonscription électorale, Kandi, Karimama et Malanville, a-t-il plaidé, voudraient bien faire partie de celles qui seront ciblées et privilégiées. Par rapport à l’entretien du forage, il a promis l’installation d’un comité de gestion. Le débit du forage mis en service est tel que, Direct Aid, par la voie de son représentant résident au Bénin, Hamid Al Absodi, a décidé de procéder à l’extension de son réseau d’alimentation. C’est pour permettre à d’autres quartiers voisins à celui où le forage a été implanté, de bénéficier également de l’eau potable, grâce aux bornes-fontaines qui seront installées sur le long du parcours de la canalisation. Les études, a assuré Hamid Al Absodi, sont déjà en cours dans ce cadre. Selon lui, « c’est la nécessité de mettre l’eau, une denrée essentielle dans la vie quotidienne, à la disposition de chaque être, en abondance et de qualité », qui justifie le sens de l’acte que Direct Aid a posé à Bodjécali. « A travers ses œuvres au Bénin, l’organisation vient donc appuyer les efforts du gouvernement pour éradiquer la pauvreté, l’ignorance et les maladies », a insisté Hamid Al Absodi. C’est pour soulager les populations de l’Alibori de leurs souffrances, que Direct aid a ouvert un centre à Kandi. bibo:pages 11 -- o:id 9083 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9083 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9088 27175 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/91274bbb52e4f2acd275134f926f3d73cd2af877.pdf https://islam.zmo.de/files/original/395785b13df616e8eba313a89d0f6841cb1de361.tiff dcterms:title Camp médical gratuit à Kpomassè : Jama'at islamique Ahmadiyya au chevet des patients dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1541 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2048 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-03-13 dcterms:identifier iwac-article-0004240 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté Jama’ at islamique Ahmadiyya de Bénin a organisé une journée de camp médical, vendredi 10 mars dernier à Kpomassè, pour offrir des soins médicaux gratuits à la population. C'est dans le cadre de la célébration de ses 50 ans d’existence au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/297 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13164 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté Jama’ at islamique Ahmadiyya de Bénin a organisé une journée de camp médical, vendredi 10 mars dernier à Kpomassè, pour offrir des soins médicaux gratuits à la population. C'est dans le cadre de la célébration de ses 50 ans d’existence au Bénin. Plusieurs centaines de personnes ont investi tôt le matin les locaux du Centre de jeunes et loisirs (Cjl) de la commune de Kpomassè. La plupart souffrant de diverses maladies dont notamment, le paludisme, la fièvre, l’hypertension ou l’hypotension. Elles sont venues se faire soigner gratuitement à l’occasion du camp médical gratuit organisé par Jama’at islamique Ahmadiyya, vendredi 10 mars dernier. L’organisation de ce camp médical s’inscrit dans le cadre de la célébration du cinquantenaire de son existence au Bénin. « On est sorti massivement parce qu’on nous a dit que ces soins sont gratuits, on n’a pas les moyens pour aller au centre de santé communal », affirme Collette Kpanou, 52 ans, venue se faire soigner de l’hypertension dont elle souffre depuis des mois. Léa Tchibozo, sage-femme au Centre de santé communal de Kpomassè, confirme ces informations et affirme que les populations se soignent à la maison. « Ils ne viennent pas à l’hôpital, nous enregistrons cinq à dix patients par jour », dit-elle. Au Cjl où s’est déroulée l’opération de soins gratuits, le dispositif installé pour servir les malades est impressionnant. A l’entrée, se trouve un poste à l’ombre d’un arbre gardé par deux agents dont la mission est d’enregistrer tous les malades avant leur consultation médicale. Une étape difficile puisqu’il faut attendre son tour dans un rang où des dizaines de personnes prennent place par ordre d’arrivée. Après quoi, le patient doit se faire consulter chez les médecins allemands qui distribuent des ordonnances en fonction du diagnostic établi. La dernière étape de ce périple est le passage à la pharmacie où trois agents sont chargés de remettre gratuitement des médicaments aux patients. « Nous remettons des médicaments aux patients selon leur ordonnance, et nous leur expliquons comment ils doivent les utiliser », explique Abel Kouminassi, le responsable de la pharmacie. Pour marquer son passage à la pharmacie, chaque patient dépose son pouce droit dans une encre indélébile pour éviter les doublons. On enregistre beaucoup de bruits et d’agitations dans les différents rangs, chaque patient a peur de ne pas pouvoir passer avant l'arrêt de l’opération. Selon Abel Kouminassi, environs sept cents patients ont été servis par sa pharmacie. Adhésion des populations Peu avant midi, l’opérations a été suspendue pour permettre d’accueillir les autorités qui ont procédé au lancement officiel en présence du député natif de la localité, Eric Houndété, premier vice-président de l’Assemblée nationale, et du maire de la commune. Eric Houndété a invité la population à se mobiliser pour la réussite de l’opération. « Dites aux autres de sortir pour montrer le mal dont ils souffrent afin que les médecins allemands vous soignent, dites-leur que ces soins sont gratuits », lance-t-il aux populations dans la langue locale. Le chef missionnaire de Jama’at islamique Ahmadiyya, Rana Ahmad Farooq a promis apporter d'autres soutiens à la commune de Kpomassè dans les prochains mois. Selon lui, 10053 patients ont bénéficié des soins gratuits à travers les dix camps médicaux organisés par Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin. La délégation a pu visiter par la suite, le Centre de santé communal de Kpomassè, qui manque du minimum. Rana Ahmad Farooq a promis faire don à ce centre du reste des médicaments qui pourrait selon lui servir environs cinq cents patients. Isabelle Houngbo, qui souffre de maux de ventre, trouve cette initiative très bénéfique pour la population. « On n’a pas de pharmacie chez nous et avec l’interdiction des faux médicaments, on est obligés d’aller à Comè ou à Ouidah pour trouver des médicaments de pharmacie », fait-elle remarquer. bibo:pages 11 -- o:id 9084 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9084 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9089 27176 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9202c5d8b35817e21b3178002d5bec4521e4e9c3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/f090870847a43713fef2e343812da85cd6b5f239.tiff dcterms:title Camp médical Jama'at islamique Ahmadiyya : les malades de Za-kpota pris en charge pour diverses pathologies dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1383 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14940 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-03-09 dcterms:identifier iwac-article-0004241 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama'at Islamique Ahmadiyya du Benin a organisé, ce mercredi 8 mars à Za-Kpota, un camp médical gratuit à l'intention des populations de cette localité. Une occasion pour ces populations de se faire consulter gratuitement par l’équipe médicale de Humanity First à la Maison des jeunes de cette ville. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13851 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama'at Islamique Ahmadiyya du Benin a organisé, ce mercredi 8 mars à Za-Kpota, un camp médical gratuit à l'intention des populations de cette localité. Une occasion pour ces populations de se faire consulter gratuitement par l’équipe médicale de Humanity First à la Maison des jeunes de cette ville. Dirigée par le président de Humanity First, Dr Mohammad Zubair, l'équipe médicale est composée de plusieurs médecins généralistes comme spécialistes pour prendre en charge les populations de Za-Kpota. Plusieurs personnalités de la localité ont répondu présentes à la cérémonie de lancement du camp médical qui s’est déroulé hier. Osée Adjahatodé, représentant le maire de Za-Kpota a remercié la Jama’at Islamique Ahmadiyya pour le choix porté sur sa commune. Il a profité de l’occasion pour demander aux responsables de la Jama’at de toujours prêter la même attention aux populations de Za-Kpota dans ses diverses missions humanitaires. Des actions humanitaires de grandes portées qui sont très profitables aux populations vulnérables qui ont l’accès difficile aux soins de qualité. A sa suite, Arif Mahmood, missionnaire Ahmdiyya de la région Bohicon a rassuré que cela fait cinq ans que la Jama’at Islamique Ahmadiyya est au Bénin à travers diverses activités humanitaires et de solidarité. Et pour preuve, ce camp médical qui s’inscrit dans le cadre de la célébration de ce cinquantenaire. Il n’y a donc pas de raison que la Jama’at Islamique Ahmadiyya reste sans rien faire. De nombreuses actions à travers lesquelles, la communauté Ahmadiyya réaffirme son engagement pour le partage et l’amour des autres. Des gestes qui témoignent effectivement de la fraternité et de la solidarité prônées au sein des Ahmaddis. Le président de l’Ong Humanity First, Dr Mohammad Zubair a présenté à l’assistance les membres de son équipe et le dispositif mis en place pour la prise en charge des personnes à prendre en charge médicalement. C’est dire que pour ce camp médical d’une journée, la consultation et les médicaments sont gratuits pour les populations qui ont massivement fait le déplacement pour pouvoir bénéficier des soins. Elles ont favorablement accueilli cette œuvre de charité à leur endroit, La reconnaissance pour cet acte de la Jama’at pouvait se lire sur les visages des gens pourtant souffrants de divers maux. bibo:pages 7 -- o:id 9085 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9085 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9090 27177 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bbd12e38eff9e892aaf9d6bec2bb5ba84bd9df94.pdf https://islam.zmo.de/files/original/515a901a4b96ccf5b61a5393c26966585830c841.tiff dcterms:title Cinquantenaire de la Jama'at islamique Ahmadiyya au Bénin : liberté de religion et cohésion sociale au menu des préoccupations dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14163 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14977 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2019 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/238 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-02-27 dcterms:identifier iwac-article-0004242 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin a, dans le cadre des activités marquant la cinquantième année de son implantation au Bénin, organisé samedi 25 février dernier une conférence-débat à Bohicon. Le thème retenu est : « Liberté de religion et cohésion sociale ». L’évènement a connu la présence du représentant du ministre de l’intérieur, Ibrahim Garba et des autorités politico-religieuses du département du Zou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya-Bénin a, dans le cadre des activités marquant la cinquantième année de son implantation au Bénin, organisé samedi 25 février dernier une conférence-débat à Bohicon. Le thème retenu est : « Liberté de religion et cohésion sociale ». L’évènement a connu la présence du représentant du ministre de l’intérieur, Ibrahim Garba et des autorités politico-religieuses du département du Zou. L’objectif de la conférence-débat organisée samedi dernier par la Jama’at islamique Ahmadiyya vise, selon le président du comité d'organisation du cinquantenaire, Loukman Bissiliou, à promouvoir une coexistence pacifique entre toutes les religions, car elles ont toutes le droit de réclamer une véracité divine. Il a affirmé que toutes les religions ont la même origine et doivent prôner la paix et la quiétude dans la société. Quant au haut dignitaire de la communauté musulmane du Bénin, il a affirmé que la Jama’at islamique Ahmadiyya fait partie des associations musulmanes qui reconnaissent le prophète. Aussi, a-t-il demandé à tous les musulmans du Bénin de se considérer comme des frères en islam. Il a saisi l’occasion pour remercier le Gouvernement et son chef pour la promptitude avec laquelle ils ont géré la tension née de l’application de la décision interdisant l’occupation de l’espace public dont ont été victimes les fidèles musulmans occupants les devantures et les abords des mosquées. Le représentant du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Ibrahim Garba, a félicité la Jama’at islamique Ahmadiyya pour les nombreuses actions sociales qu’elle réalise au Bénin depuis son implantation. Il a apprécié le thème choisi pour la conférence-débat car, selon lui, le Bénin est Reconnu dans la sous-région comme un pays où les religions cohabitent facilement. « Nous devons continuer à mériter cette reconnaissance qui nous honore », a-t-il précisé avant de souhaiter que le dialogue interreligieux persiste au Bénin. Le chef missionnaire Ahmad Rana Farooq, président de la Jama’at islamique Ahmadiyya, a demandé à ceux qui ont pris part à la conférence d’aller répandre ce qu’ils ont entendu. Selon lui, tous les hommes ont été créés par le même Dieu et par conséquent ils doivent entretenir la paix et préserver la cohésion sociale quelles que soient leurs croyances. Il a rappelé que c’est l’amour du prochain qui suscite les œuvres sociales que son organisation fait au Bénin. Quant au missionnaire, Ibrahim Aziz, conférencier du jour, il a défini la liberté de religion comme l'ensemble des droits ou le pouvoir d’agir selon la détermination ou la conviction de chacune des croyances religieuses, dans la limite des règles. La cohésion sociale traduit, selon lui, l’état d’une société unie, harmonieuse, pacifique. Ibrahim Aziz a fait des suggestions à l’endroit des autorités à tous les niveaux et particulièrement à l’endroit des leaders religieux et de leurs adeptes. Aux autorités, il a demandé de renforcer et pérenniser les acquis de liberté en matière de religion, de soutenir et protéger chacune des religions existantes lorsqu'elles sont confrontées à des difficultés dans l'exercice de leur mission ou croyance et ceci, conformément aux textes en vigueur, d'éviter l’instrumentalisation des religions à des fins politiques et surtout de prévenir les conflits entre les religions et en cas.de conflit, de faire montre d’impartialité. Il a suggéré aux autorités religieuses et à leurs adeptes d’encourager l’exercice d’un leadership purement basé sur la foi et la spiritualité, de multiplier les rencontres et assises basées sur le fraternité, le respect mutuel des sentiments et des croyances qui permettront de rapprocher les adeptes des différentes religions et de transmettre dans les prédications les idéaux et les valeurs qui sont communs à toutes les religions et éviter des sujets qui sont susceptibles d’engendrer des tensions et la polémique. bibo:pages 9 -- o:id 9086 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9086 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9091 27178 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/533b973383c7d9892ad1a24308b6efdb414075b3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/483ce58f65f805aa5f33879c680a497f7116c714.tiff dcterms:title Cinquantenaire de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin : 14 camps médicaux ouverts dans plusieurs localités du pays dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15532 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-02-23 dcterms:identifier iwac-article-0004243 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Dans le cadre des festivités de son cinquantenaire, la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a procédé au lancement de quatorze camps médicaux dans plusieurs localités du pays. La commune d’Allada a servi de cadre, mardi 21 février dernier, à la cérémonie officielle. Il s’agit d’un projet sanitaire initié conjointement avec son organisation auxiliaire, l’Ong Internationa! Humanity First. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/274 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Dans le cadre des festivités de son cinquantenaire, la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a procédé au lancement de quatorze camps médicaux dans plusieurs localités du pays. La commune d’Allada a servi de cadre, mardi 21 février dernier, à la cérémonie officielle. Il s’agit d’un projet sanitaire initié conjointement avec son organisation auxiliaire, l’Ong Internationa! Humanity First. Pendant trois semaines, quatorze communes de notre pays bénéficieront gratuitement de la part de Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin des soins et des médicaments dans différents camp médicaux installés à cet effet. C’est ce qu'a indiqué le président de la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin, Rana Farooq Ahmad, mardi dernier à Allada. Il ajoute que plusieurs autres projets liés à la santé des populations sont programmés pour l’année 2017, notamment « le projet de prise en charge des opérations de chirurgies du bas-ventre en septembre prochain pour soulager nos populations. » Dans son adresse de circonstance, le docteur Atar Zouber, chef de la délégation de l’Ong Humanity First Germany, partenaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Benin dans le projet, a présenté aux autorités les neuf membres de sa délégation, constituée essentiellement de médecins béninois et allemands. Après avoir salué la franche collaboration des autorités béninoises, il a promis, au nom de sa délégation, de tout mettre en œuvre pour donner le meilleur de lui-même pour la réussite du projet. A son tour, le maire de la commune d’Allada, Michel Akléhinto, a salué l’initiative. Puis il a encouragé la Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin à continuer son combat pour le développement à l'endroit des populations avant de dire son espoir de voir naître une collaboration durable entre Allada et l’organisation. Quant au préfet de l’Atlantique, Jean-Claude Codjia, il s’est dit heureux de voir aujourd’hui encore, la Mission islamique Ahmadiyya offrir les soins médicaux gratuits aux populations démunies de la commune d’Allada. « Mon soutien et celui du Gouvernement aux initiatives de développement que ne cessent de lancer la Mission Islamique, Ahmadiyya ne fera pas défaut » a-t-il assuré avant de procéder au lancement officiel du projet. Après Allada, ces camps seront ouverts dans d'autres communes du pays. C’est la localité de Damè Wogon, dans la commune de Bonou, qui les a accueillis hier. Ce jour ce sera le tour de la localité de Ahoho dans la commune de Lokossa. bibo:pages 10 -- o:id 9087 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9087 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9092 27179 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/5f81baf49d39eb5639ff0435aaed7cd3745054d3.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8caad2d9b733df00a9d5a6ffd6e245c39f487c87.tiff dcterms:title Le Centre islamique de Cotonou : pour un rayonnement de l'islam et de la culture arabe dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1496 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13921 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1401 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1968 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12869 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1428 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1991-11-18 dcterms:identifier iwac-article-0004244 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'un des plus beaux fleurons de la coopération bénino-libyenne a été inauguré vendredi dernier à Cotonou. Il s’agit du Centre islamique, un majestueux complexe socio-culturel et religieux sis à proximité du marché international de Dantokpa, en bordure de la lagune de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'un des plus beaux fleurons de la coopération bénino-libyenne a été inauguré vendredi dernier à Cotonou. Il s’agit du Centre islamique, un majestueux complexe socio-culturel et religieux sis à proximité du marché international de Dantokpa, en bordure de la lagune de Cotonou. Ce fut à un véritable hymne à la gloire du prophète, à la joie et au spectacle féerique que fut conviée la multitude bigarrée de fidèles et de croyants qui ont pris d'assaut dès les premières heures de la matinée l’esplanade de ce centre. Ce fut également l’occasion d'un déploiement de pompe requis tant par la somptuosité des lieux qui par le parterre des illustres hôtes venus de divers horizons pour communier à cette source du savoir, de la foi et de la culture. L'atmosphère fut donc à la fête et à la griserie et la foule nombreuse, chaleureuse et enthousiaste rassemblée derrière des groupes de danseurs et des orchestres folkloriques a délivré son message de paix, de bienvenue et de remerciements aux bâtisseurs de cette œuvre gigantesque au style purement oriental qui devra, d'après M. Fathi K. Sned, le représentant de l’Association mondiale de l’appel à l'Islam, être une source de rayonnement de la parole de Dieu et un phare qui diffuse la science, la culture, les enseignements, de l'Islam en même temps qu’il sera un centre d’assistance sociale, lie services médicaux gratuits pour tout individu, sans distinction de couleur ou de religion et en totale conformité avec les préceptes du Saint Coran. QU’EST-CE QUE LE CENTRE ISLAMIQUE DE COTONOU? Œuvre de l’Association mondiale de l’appel à l’islam, le Centre islamique de Cotonou dont la première pierre fut posée le 16 juillet 1986, en présence du président Moamar Kadhafi, s'étend sur une superficie de plus de 2.600 m2 pour un coût global de 600.000.000 FCFA. De conception architecturale de type arabo-islamique, il se singularise par ses façades immaculées et crénelées, des motifs imprimés dans le plâtre au niveau du toit, ses lustres dorés et géants, ses arcades ciselées et des moucharabieh (grillages de bois). A ce paysage merveilleux digne des contes des Mille et une nuits s’ajoutent des vitraux multicolores et resplendissants sertis d'éléments décoratifs propres à l’art islamique. Un vase atrium garni de jets d’eau fait pendant au dôme vert de la mosquée dont le minaret culmine à 20 m de hauteur. Ensuite seulement commence un passionnant voyage à l’intérieur de la multitude de dépendances dont regorge ce complexe: une mosquée (1000 places), une infirmerie (soins et analyses gratuits), une pharmacie, une bibliothèque, une salle de conférence sonorisée, un atelier d'apprentissage (broderie et couture), une école primaire en langue française, une école primaire en langue arabe, des bureaux administratifs, des espaces verts, des terrains de sport (tennis, handball, volley ball). Somme toute, un véritable régal pour les yeux et un fantastique voyage à l'intérieur du monde féerique de la civilisation arabo-musulmane. Dans l'allocution qu'il a prononcée à cette occasion, le Docteur Ahmed El-Chérif, président de l’Association mondiale de l'appel à l’islam a tout d’abord indiqué que cette importante œuvre, fruit de la coopération bénino-libyenne n'aurait pas pu voir le jour sans la générosité du président Moamar Kadhafi dont le souhait est que ce centre soit non seulement voué aux œuvres d'Allah mais qu'il soit par ailleurs un phare de rayonnement de la culture et de la science non seulement pour la population béninoise mais pour toutes les populations de l’Afrique de l'Ouest. Bel exemple de coopération Sud/Sud, devait conclure, le Docteur Ahmed El-Chérif pour qui la finalité doit viser à l’instauration de l'esprit de fraternité et de tolérance entre les peuples et les nations en vue de l’avènement de la paix, du bien-être et du progrès de l’humanité. UNE INITIATIVE A GENERALISER Pour sa part, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Théodore Holo s’est vivement réjoui de cette réalisation qui s'inscrit à merveille dans les objectifs prioritaires du gouvernement béninois. Avant d'adresser sa gratitude à l’Association mondiale de l’appel à l'islam qui, grâce à cette œuvre, va faire reculer les frontières de l'obscurantisme et propager la tolérance, seule gage de la paix perpétuelle que professe l'islam. Dès lors, devait-il poursuivre, «cette action marque une étape fondamentale dans la coopération Sud/ Sud de même que dans la coopération décentralisée d'Etat à Organisation non-gouvernementale. Aussi, loin d’apparaître comme une initiative isolée, le ministre Holo devait-il souhaiter sa généralisation au niveau de tous nos départements et contrées de même qu’avec tous nos partenaires en vue de la construction d'un monde d'amitié, de solidarité, d’entraide et de paix, seuls facteurs susceptibles d’assurer le rapprochement entre les peuples, les nations et les religions car le «Bénin demeure un Etat laïc où toutes les religions sont respectées et doivent cohabiter en paix». Vœu pieux ou foi ardente en un monde meilleur fait de justice de tolérance et de paix? Toujours est-il que le chef de la diplomatie béninoise devait renouveler ces vœux dans le livre d’or lorsqu’il écrira: «Que ce brillant bijou demeure une pierre précieuse dans la solidarité et la fraternité entre les hommes afin que soit assurée à notre planète une paix perpétuelle». Inauguration de l'institut de langue arabe et de culture islamique à Abomey-Calavi Le monde contemporain, du fait du prodigieux progrès de la science te de la technologie, a été réduit à un village planétaire. Partout, barrières, distances et différences volent en éclats sous l’avancée victorieuse et triomphante de l'homme. L'un des puissants facteurs de ce rapprochement entre les peuples est la langue mode de communication par excellence et de découverte de civilisations inconnues. C’est dans ce esprit qu’a été inauguré jeudi dernier au campus universitaire d'Abomey-Calavi - en présence des membres du gouvernement, du président de l'Association mondiale de l’appel à l’islam, des membres du corps diplomatique, des professeurs et étudiants ainsi que des fidèles de la communauté musulmane - l'Institut de langue arabe et de culture (ILACI) un joyau de la coopération bénino-libyenne. UN GRAND RETARD DANS LA MISE EN FONCTION Cet important édifice dont la construction a été achevée en 1983 a accusé un grand retard dans la mise en fonction du fait de l’absence d'équipements, de mobiliers, de matériels didactiques, de personnel enseignant, de budget de fonctionnement et d'allocation de formation pour les étudiants. Toutes lacunes aujourd’hui comblées grâce au concours de l'ISESCO et de l'Association mondiale de l'appel à l'islam. L'ILACI gui est un établissement supérieur à statut sous-régional se compose essentiellement de trois modules: - un module servant de direction et de bureaux des professeurs - deux modules destinés aux activités pédagogiques (salles de cours, bibliothèque, laboratoires de langue et un amphithéâtre de près de 300 places). Cet institut accueillera par ailleurs des étudiants de toutes religions (garçons et filles) du Bénin et des pays voisins (Togo, Niger, Nigéria, Burkina Faso, Côte d’Ivoire). Son objectif est la connaissance du monde actuel et en particulier des pays de langue arabe. Il formera des arabisants alliant à une maîtrise effective de la langue arabe une connaissance approfondie des réalités sociales, économiques et culturelles des pays de langue arabe. POURQUOI UN INSTITUT DE LA LANGUE ARABE A L’UNB? Pour le professeur Jean Pierre Ezin, recteur de l'Université nationale du Bénin, l’érection d'un tel établissement au sein de l’UNB permet à tous les usagers de cette université de s’ouvrir à une grande culture, à une grande civilisation car l'UNB est une université c’est-à-dire un lieu où se crée et de diffuse le savoir, un lieu qui ignore les barrières entre les civilisations, les cultures. L'ILACI est donc, un de ces nombreux jalons qui feront que l'Université nationale du Bénin répondra de plus en plus à cette vocation. C'est donc pourquoi l’Université nationale du Bénin se doit aussi d'être un lieu qui, à côté des activités intellectuelles et sportives, favorise aussi les activités spirituelles. Le représentant personnel du chef de l'Etat sénégalais, Cheikh Mustapha Cissé a salué tous les bâtisseurs de cet ouvrage grandiose et utile qui contribuera sans aucun doute au raffermissement de la coopération arabo-africaine sur le plan culturel, économique et social. Prenant à son tour la parole, le Docteur Ahmed El-Chérif, président de l'Association mondiale de l'appel à l'islam a vivement félicité les autorités béninoises pour avoir favorisé cette réalisation qui n'a pu voir le jour que grâce à la générosité du président Kadhafi et a l’opiniâtreté du professeur Karim Dramane, alors recteur de l’Université nationale du Bénin. Le Docteur Ahmed El-Chérif devait ensuite souligner l’enjeu qui pèse sur le monde actuel et qui se résume au nouvel ordre international qui, en principe, devait prendre en compte toutes les préoccupations de l'homme et les traduire dans les faits. Aussi a-t-il émis le vœu que l'ILACI, à travers sa formation, puisse apporter sa contribution à l'édification de ce nouvel ordre. Le ministre Karim Dramane, de son côté, après avoir remercié les différents donateurs, a lancé un appel à tous les hommes de bonne volonté qui aiment notre pays et œuvrent pour le développement de la science et de la culture ainsi que pour l'éradication de l'analphabétisme, à soutenir à l'instar de l'AMAI et de l'ISESCO cet institut de langue arabe et de culture islamique. Mentionnons pour terminer que l'ILACI consacrera ses activités dans un premier temps à former à partir du baccalauréat des professeurs de langue arabe, des bibliothécaires, des animateurs psychologues, des interprètes et traducteurs des cadres pour la diplomatie, des chercheurs. Par ailleurs, à côté de ce consortium universitaire sera créé un cursus libre pour apprendre la langue arabe aux étudiants de toutes disciplines et de toutes religions, aux enseignants du primaire, du secondaire et du supérieur et enfin à toute personne (fonctionnaire ou non) désireuse de s’instruire ou de parfaire sa culture en arabe. Enfin, l'ILACI pourra intervenir dans l'organisation de colloques et séminaires scientifiques se rapportant à la langue arabe et à la culture islamique. Alfred AHOUNOU bibo:pages 3 -- o:id 9093 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9093 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9099 27180 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/70d93d3701f43f878b73d2fb99d3adc7ad0612d7.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9235a041ee7fdcf55f6b1febae7d586885f395b7.tiff dcterms:title 8ème conférence du dialogue parlementaire : que retenir de la grand'messe afro-arabe ? dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13801 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1388 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14654 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/767 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14916 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/811 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14990 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1998-03-09 dcterms:identifier iwac-article-0004245 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La 8ème conférence du dialogue parlementaire afro-arabe, a, au terme de ses quatre jours de travaux rendu public, le samedi dernier au Centre international de conférence de Cotonou, un communiqué final. Que peut-on donc retenir de cette grand’messe afro-arabe? dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/547 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14586 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/330 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13522 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12874 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14229 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La 8ème conférence du dialogue parlementaire afro-arabe, a, au terme de ses quatre jours de travaux rendu public, le samedi dernier au Centre international de conférence de Cotonou, un communiqué final. Que peut-on donc retenir de cette grand’messe afro-arabe? Selon le communiqué final, il s’avère nécessaire de promouvoir la coordination afro-arabe au sein des instances internationales, et d’adopter des positions communes sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun. Il est également important que les parlementaires afro-arabes intensifient la coopération bilatérale et multilatérale, en renforçant le rôle de la Ligue des Etats arabes (LEA) et l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA). Au cours de la 8ème conférence du dialogue parlementaire afro-arabe, les parlementaires ont réaffirmé la nécessité de mettre fin à la politique de deux poids deux mesures. Une politique qui contraint des pays à mettre à exécution les résolutions des Nations Unies, alors qu’elle laisse d’autres se ravitailler ou se doter d’armes de destruction massive, violant ainsi les résolutions internationales. Dans le domaine économique, il a été souligné la nécessité de convoquer une conférence afro-arabe au sommet en vue d’examiner les voies et moyens susceptibles de faire face aux défis économiques imposés par la mondialisation et les Accords de libéralisation du commerce international. Aussi, la nécessité d’organiser périodiquement des foires commerciales communes afro-arabes, de maintenir la périodicité d’une conférence d’hommes d’affaires africains et arabes, s’impose-t-elle. Il est important, souligne par ailleurs le communiqué final, de renforcer la coopération médiatique entre les pays africains et arabes. Importance de la conférence Le communiqué final a, sur le plan mondial, relevé que le nombre des exclus et des marginalisés ne cesse de croître pendant que la solidarité recule au profit de l’égoïsme. Aussi, le fossé entre nations riches et pauvres ne cesse-t-il de s’élargir. La conférence, a salué et encouragé toutes les actions susceptibles de concourir au renforcement de la solidarité et de la coopération entre les Etats africains et arabes. Abordant la question de l’importance du dialogue parlementaire afro-arabe, le communiqué final a insisté sur ce que cette conférence constitue un moyen réel de promouvoir les relations fraternelles qui existent entre Africains et Arabes. La conférence a également été une occasion ou un cadre pour élargir et renforcer la coopération et la coordination entre les pays africains et arabes. S’agissant du processus de paix au Moyen-Orient, la conférence réitère son soutien à l’option stratégique arabe. La conférence demande à l’Israël d’annoncer son engagement au processus de paix selon les bases sous-jacentes au processus de paix engagé à Madrid (Espagne), c’est-à-dire le principe de «la terre en échange de la paix.» La conférence invite l’Israël à mettre en oeuvre les Résolutions 242, 338 et 425 du Conseil de sécurité. Pour la conférence, la partie orientale d’Al Qods (Jérusalem) est une terre arabe occupée à laquelle s’appliquent toutes les conditions en vigueur pour l’ensemble des territoires occupés en 1967. L’Israël doit donc s’en retirer conformément à la Résolution 242 de 1967 du Conseil de sécurité de l’ONU. La 8ème conférence, confirme l’arabité d’Al Quods, ainsi que son statut religieux, et condamne toutes les tentatives israéliennes visant à modifier la configuration géographique, démographique, politique et civilisationnelle de la ville suite en page 6 La 8ème conférence a été l'occasion pour différentes personnalités de s'extérioriser C’est par une conférence de presse que le président de l’Assemblée nationale du Bénin et président de l’Union parlementaire africaine, Bruno Amoussou a mis samedi dernier un terme à la 8ème conférence parlementaire afro-arabe. C'était au Centre international de conférence de Cotonou. Pour le président Bruno Amoussou, la 8ème conférence parlementaire afro-arabe a été l’occasion pour différents groupes nationaux de nouer non seulement des contacts, mais aussi d’exprimer leurs contradictions et de s'extérioriser. C’est le car par exemple des groupes nationaux irakien et koweïtien qui ont saisi l’occasion pour partager avec les parlementaires afro-arabes, leurs avis sur leurs conflits. Conflits que certes, la conférence n’a pu aplanir. Mais le président Bruno Amoussou s’est réjoui de ce que le dialogue à ce niveau est en train de s’amorcer. Ce qui est une avancée significative. Car ce n’est par le dialogue, a insisté le président Amoussou, qu'on peut prévenir les conflits, voire les régler. Et à ce dialogue, participent différents groupes nationaux appartenant à différentes structures. Toutes stratégies qui favorisent la circulation de l’information. A la 8ème conférence parlementaire afro-arabe, acte a été pris de la décision de la Cour internationale de justice de la Haye sur l’affaire Lockerby. Il reste qu’elle statue sur le fond de la question. Ce n’est après cela que la conférence qui a le devoir d’oeuvrer à l’apaisement des tensions pourra se prononcer. Mais à cette 8ème conférence, le conflit qui oppose le Nigéria au Cameroun à propos de l’Ue de Bakassi n’a pas été évoqué. Parce que, a expliqué le président de l’Union parlementaire africaine (UPA), l’ordre du jour de ces assises a été plutôt consacré au rôle des parlements afro-arabes dans la consolidation du processus de paix, à la promotion des investissements en Afrique et dans le monde arabe, et à la dynamisation des échanges scientifiques culturels. Le conflit Nigéria-Cameroun a été au coeur des débats à la 7ème conférence, a précisé le président Bruno Amoussou. La veille de la clôture des travaux, c’est-à-dire dans l’après-midi du vendredi 6 mars, une délégation des parlementaires afro-arabes conduite par le président Bruno Amoussou a été reçue en audience au palais de la République par le chef de l’Etat. Quels pays ont participé aux travaux? Ont participé aux travaux de la 8ème conférence du dialogue parlementaire afro-arabe, les parlements africains et arabes des pays suivants: L’Algérie, l’Angola, le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, le Cameroun, la Côte-d’Ivoire, le Djibouti, l’Egypte, les Emirats Arabes Unis, le Gabon, le Ghana, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Guinée Equatoriale, l’Irak, la Jordanie, le Koweit, le Liban, le Mali, le Niger, la Palestine, la République Centrafricaine, le Sénégal, le Soudan, la Syrie, le Togo, la Tunisie et le Zimbabwé. Ont également pris part à cette conférence mais en qualité d’observateurs les Organisations internationales et parlementaires suivantes: L’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), l’Union interparlementaire (UIP), l’Assemblée internationale des parlementaires de langue française (AIPLF), l’Organisation des parlementaires arabes et américains d'origine arabe (OPAAOA). La 8ème conférence du dialogue Parlementaire afro-arabe a été effectivement présidée par le président de l’Assemblée nationale du Bénin, Bruno Amoussou. Il était assisté du Docteur Abdel Ahad Gamal El-Dine, président de la Commission des Affaires arabes à l’Assemblée du peuple d’Egypte (vice-président). Le rapporteur général a nom Omar Sadou, membre de l’Assemblée nationale du Niger. Le comité de suivi de la 8ème conférence est composé comme suit: - Du côté africain: Burkina Faso, Gabon, Ghana, Mali, Niger, Sénégal. - Du côté arabe: Algérie, Jordanie, Maroc, Palestine, Syrie, Tunisie. Il faut noter que c’est le comité de suivi de la 7ème conférence qui a été reconduit. Il comprend également les représentants des deux pays (Egypte et Bénin) qui assurent la présidence de l’Union interparlementaire arabe (UIPA) et de l’Union parlementaire africaine (UPA). La date et le lieu de la prochaine conférence seront précisés au terme de consultations entre les membres de la conférence et le comité de suivi. bibo:pages 5 -- o:id 9094 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9094 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9100 27181 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/2145ebc69e1d7842556fdf55ead9d868fdccef14.pdf https://islam.zmo.de/files/original/5b9c86bc4ecba64eca8e055680e5e9bd80b787a5.tiff dcterms:title 8ème sommet de l'OCI en Iran : assurer l'unité et la dignité du monde islamique dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1496 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14228 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14010 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13882 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/105 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14888 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15531 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/583 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/110 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1997-12-12 dcterms:identifier iwac-article-0004246 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract C’est par l’exécution de l’hymne national iranien et la lecture des versets du coran qu’ont officiellement démarré mardi dernier à 10 h 45 locales, les travaux du 8ème sommet de l’OCI devant une trentaine de chefs d’Etat et de gouvernement, de princes héritiers, des ministres des Affaires étrangères et d’éminentes personnalités politiques. Conformément au programme établi, plusieurs allocutions ont marqué cette première journée des travaux. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/308 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/331 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/454 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/353 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/407 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/543 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content C’est par l’exécution de l’hymne national iranien et la lecture des versets du coran qu’ont officiellement démarré mardi dernier à 10 h 45 locales, les travaux du 8ème sommet de l’OCI devant une trentaine de chefs d’Etat et de gouvernement, de princes héritiers, des ministres des Affaires étrangères et d’éminentes personnalités politiques. Conformément au programme établi, plusieurs allocutions ont marqué cette première journée des travaux. Le discours inaugural a été prononcé par le guide suprême de la révolution islamique qui s’est appesanti sur 3 questions fondamentales: l’Islam, la Ummah islamique, la conférence islamique et son avenir. En effet, estimera le guide de la République iranienne, «l’Islam à son apparition a été et est toujours une voie vers un nouveau monde plein d’une vie heureuse pour les hommes et leur libération. Les problèmes essentiels de l’humanité contre lesquels l’Islam s’était engagé à lutter en ces temps-là sont demeurés les mêmes aujourd’hui: la pauvreté, l’ignorance, la discrimination, la guerre, l’insécurité, l’aliénation matérielle et les mauvaises habitudes». Ainsi, alors que «l’Islam est la religion de l’humanisme, de la modération, de la sagesse et de la soumission à la volonté de Dieu, des mains traîtresses y ont apporté des déviations». «En Islam, la justice sociale, les libertés, la paix juste, la lutte contre l’agression, les relations entre hommes et femmes, les relations entre les individus et la société, les relations entre les sociétés, l’épurement de soi et le lien intérieur de chaque individu avec Dieu, sont tous basés sur des principes visant toujours à la guérison des vieilles et éternelles maladies des hommes». Or, «aujourd’hui encore, malgré les apparences trompeuses, l'humanité souffre des mêmes maladies historiques. La majorité de la population souffre de la pauvreté alors qu’une minorité possède la plus grande partie des richesses de la terre. La majorité des peuples est démunie des progrès scientifiques et l’ayatollah Ali Khaménei devrait ensuite appeler le monde musulman à «prendre l’initiative pour libérer la Palestine.» En effet, indiquera-t-il, «jusqu’à présent, c’était l’ennemi qui avait l’initiative et nous n’avons fait que nous plaindre». Dans une violente diatribe contre le sionisme et ses menées expansionnistes, le guide suprême de la révolution islamique a déclaré que «l’ennemi s’est installé sur le sol de la Palestine, a armé les colons, a divisé les terres arabes, annexé des territoires en Jordanie, en Egypte, en Syrie». «Nous n’avons eu jusqu’à présent qu’une seule initiative» (guerre du Kippour en 1973). Après cela, une nouvelle fois, les Etats-Unis et les sionistes ont imposé la capitulation et renforcé l’usurpation de la Palestine. Nous aurions dû aider davantage les pays du Front (Liban, Syrie, Jordanie, territoires palestiniens et Egypte) opposés à Israël. Pour terminer, l’ayatollah Khaménei a déclaré que «l'Islam affirme ne pas être une monnaie» pour les pays musulmans car «l’Iran islamique est plus que jamais soucieux d’assurer l’unité, la dignité et la force du monde islamique». Pour une résurrection de l'histoire et de la civilisation musulmanes Pour sa part, le président de la République islamique d'Iran, Mohamed Khatami s'est livré à une pathétique plaidoirie pour une résurrection de l'histoire et de la splendeur de la civilation musulmanes. Pour ce faire, le dirigeant iranien invite «aujourd’hui plus qu’hier, les musulmans à résider dans leur demeure commune, dans leur patrie commune: la spiritualité islamique. En effet, précisera le leader iranien, «résider dans la patrie commune musulmane ne signifie pas réaction, refus des acquis de la science, coupure avec le monde actuel ou confrontation avec les autres. Au contraire, c’est seulement lorsqu’on a élu résidence dans la patrie commune islamique qu’on peut vivre en paix et dans la sérénité avec les autres peuples et nations. Dès lors, «la compréhension profonde de la réalité spirituelle et culturelle des autres nations requiert le dialogue avec celles-ci. D’où l’urgence de l’instauration d’une société civile fondée sur notre identité collective dont l’acquisition a requis l’effort soutenu de nombreux penseurs et savants. C’est donc pourquoi, pour retrouver cette grandeur islamique voulue par Dieu, pour regagner la capacité nécessaire de participer dignement à la formation du monde naturel ou à la création d’une nouvelle civilisation, (ou du moins participer activement à la création inéluctable de cette civilisation) nous les musulmans devrons tenir compte de 2 facteurs importants: - d’abord la raison et la pensée - ensuite la cohérence et la solidarité. Dès lors, pour s’approprier ces deux joyaux de valeur, rien de plus juste que de nous référer au noble Coran, cet héritage éternel de notre vénérable Prophète. Définissant enfin les priorités qui s’imposent aux pays musulmans, le dirigeant iranien évoque successivement l’avènement d’un ordre mondial nouveau et équitable, la sécurité et la paix dans la région et dans le monde, le développement harmonieux multidimensionnel et durable, et enfin revoir le rôle de l’OCI pour qu’elle puisse avec une grande franchise intervenir dans la solution des dissensions intérieures du monde de l’Islam. Nous devons la soutenir encore plus au niveau financier et politique pour qu’elle soit capable de concrétiser les missions entreprises» «De plus, en approfondissant et en développant les activités, les projets ainsi que les résolutions et en s’intéressant aux questions vitales du monde de l’Islam, l’OCI retrouvera un dynamisme nouveau et une autre fraîcheur. Hisser la Oumma islamique au rang qui est le sien De son côté, le président Abdou Diouf du Sénégal intervenant au nom du continent africain, a d’entrée de jeu salué l’énorme contribution de la République Islamique d’Iran vis-à-vis de l’OCI et de la réalisation de ses objectifs. Toutefois, le président sénégalais a notamment indiqué que la réflexion devrait se poursuivre sur l’identification des lacunes de celle organisation en vue de «l’élaboration de mesures visant à rationnaliser davantage son propre fonctionnement et à favoriser la réalisation de ses objectifs avec des moyens appropriés et judicieusement utilisés» seul gage susceptible de favoriser convenable-ment son entrée dans le 21 è siècle. Par ailleurs, le chef de l’Etat sénégalais a estimé que la stabilité du Moyen-Orient implique nécessairement la garantie et la consolidation de la sécurité dans le Golfe. Celle-ci devait avoir comme base l’application intégrale des résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU. suite en page 12 bibo:pages 6 -- o:id 9095 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9095 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9101 27182 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f1e61a30c39eabeccfd66306180a5cafdfd7e6e0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d2e546864058b8bd4050aff90594539ed6e6c788.tiff dcterms:title BENE GANNA ALSILAAMAYO NA JINGARI CEENE NWAA BIIFO LAAMISI dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1583 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 1990-05-04 dcterms:identifier iwac-article-0004247 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8344 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 -- o:id 9096 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9096 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9102 27183 27184 27185 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3385c490a6d2f12e8de444956c8009a81492806c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d3710ac79e494c3aec8901821a53354630b04327.tiff https://islam.zmo.de/files/original/bcb986fa8091343feff922437ffcc2ab3bd8052a.tiff https://islam.zmo.de/files/original/aa9b717aa836c096388902fe9b49185ed8e31a07.tiff dcterms:title Le président Boni Yayi en Libye : "C'est une mission à connotation économique" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1548 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14732 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13303 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13610 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13723 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1429 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/808 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2006-04-20 dcterms:identifier iwac-article-0004248 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Du 17 au 18 avril dernier, le chef de l'Etat, le président Boni Yayi, a effectué à la tête d'une délégation ministérielle, une visite d'amitié et de travail en République Arabe Jamahiriya de Libye. Au terme de son séjour où il a eu à s’entretenir avec le guide libyen des questions d’actualité sur le continent, nous lui avons tendu notre micro pour le bilan ou les retombées de cette visite en terre libyenne. Le président s'est prêté aussi à d'autres questions touchant les problèmes du continent. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14458 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13743 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/310 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/410 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/403 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Du 17 au 18 avril dernier, le chef de l'Etat, le président Boni Yayi, a effectué à la tête d'une délégation ministérielle, une visite d'amitié et de travail en République Arabe Jamahiriya de Libye. Au terme de son séjour où il a eu à s’entretenir avec le guide libyen des questions d’actualité sur le continent, nous lui avons tendu notre micro pour le bilan ou les retombées de cette visite en terre libyenne. Le président s'est prêté aussi à d'autres questions touchant les problèmes du continent. La Nation : Monsieur le président de la République, vous revenez d'une visite de 48 h en Libye. Quelles sont les grandes conclusions qu'on peut en tirer? Le président Boni Yayi : Vous savez, le guide de la Révolution libyenne, le colonel Mohamar Kadhafi est un personnage qui joue un rôle extrêmement important sur notre continent. Il est connu pour ses convictions en ce qui concerne la paix en Afrique, la sécurité, le développement, l'intégration de notre continent. Naturellement, quelques jours après notre investiture, nous avons estimé qu'il est nécessaire de faire ce déplacement et d'aller le voir. J'allais dire d'ailleurs qu'il ne nous a pas oublié, puisqu'il a envoyé une forte délégation pour rehausser la cérémonie d'investiture de sa présence. Et comme si ça ne suffisait pas, trois ou quatre jours après la cérémonie d'investiture, il a envoyé un émissaire spécial pour venir nous parler. Et à cette occasion, nous avons souhaité le voir. Donc, c'est dans ce cadre-là que nous sommes allé, d'abord pour renouveler nos remerciements, pour ses engagements aux côtés de notre continent, pour des questions de développement, de prospérité du continent. Et on en a profité pour faire un tour d'horizon sur les questions de coopération bilatérale. On ne pouvait pas s'écarter des problèmes qui agitent notre nation. Les problèmes auxquels sont confrontées nos populations en ce moment précis. C'est pourquoi entre autres, nous avons posé un certain nombre de problèmes qui nous préoccupent. Je n'oublie pas la question de l'approvisionnement de notre pays en produits pétroliers. Je crois qu'on a également, et la partie libyenne nous a bien écouté, et les discussions nous permettront certainement de confirmer que la Libye puisse nous fournir ou renforcer nos approvisionnements en produits pétroliers : L'essence, du pétrole, du gas-oil, du jet A1 pour une quantité d'ordre de 30 à 35.000 tonnes métriques d'ici à la mi-mai au plus tard. Nous avons également rappelé que nous ne sommes pas à l'abri des déconvenues en matière de fourniture d'énergie électrique. Et là dessus également, nous avons attiré l'attention des autorités libyennes. On leur a demandé si elles pouvaient faire quelque chose pour nous. Parce qu'il faut en finir maintenant avec les coupures d'électricité et autres. Et que nous puissions utiliser notre électricité, non seulement pour les questions d'éclairage, mais encore pour des questions de production. Là également, la partie libyenne a promis de nous venir en aide en matière de groupe électrogène de grande puissance. Le monde rural n'a pas été absent dans nos discussions. Vous savez très bien que la question du coton est une question nationale. Aujourd'hui, nous avons une production de moins de 200.000 tonnes. Et après les discussions que nous avons engagées, je crois, maintenant que l'espoir revient. Nous sommes en train de projeter pour la campagne 2006-2007 autour de 500.000 tonnes, pourquoi pas 600.000 tonnes. Mais à condition qu'un certain nombre de mesures soient prises. Notamment, la fourniture d'intrants appropriés de qualité et de meilleur prix. Naturellement, nous avons posé le problème des urées 46% azote qui nous manquent. Et la partie libyenne s'est engagée à nous en fournir pour une quantité de l'ordre de 30.000 tonnes, très incessamment. Nous n'avons pas oublié le secteur privé. Notre rencontre, par exemple avec la Banque sahélo-saharienne d'investissement et de commerce. Quand on a rencontré le président, on lui a fait part de nos priorités, en matière de micro-crédit pour nos braves femmes, ou nos jeunes diplômés sans emploi. Nous leur avons dit que nous sommes déterminés à mettre ces micro-crédits à la disposition de nos femmes, de nos jeunes, pour leur permettre vraiment de s'insérer dans le processus de production. Il n'y a pas que cela. Cette banque aujourd'hui dit qu'elle est prête à soutenir notre stratégie en matière de développement. En définitive, entre autres, ce que nous avons retenu, c'est qu'une mission de haut niveau vienne de la Libye au bout des deux semaines à venir, une mission constituée d'investisseurs publics et privés, conduite par la présidence de la République Libyenne. Nous allons profiter pour élargir les bases de notre coopération et de notre partenarial L'orientation que nous avons voulu donner à cette visite est que nous voulons vraiment reprendre avec la Libye qui est prête à nous soutenir, qui est vraiment décidée à nous soutenir au plus haut niveau. Le colonel Mohamar Khadafi l'a indiqué. Mais on leur a dit qu'on veut le faire maintenant d'Etat à Etat. On ne veut plus d'intermédiaire. Je crois que cet aspect est extrêmement important. Donc, à la prochaine rencontre, l'opinion sera informée de ce qui sera arrêté. En tout cas, les engagements qui sont déjà pris seront tenus et honorés. Les dispositions ont été prises par les ministres qui m'accompagnent pour que nous passions rapidement aux actes. La Nation : Monsieur le président de la République, est-ce que vos attentes ont été comblées ? Ou reste-t-il par exemple un certain nombre de choses pour lesquelles vous n'avez pas eu entièrement satisfaction ? B. Y. : Non, je crois que les problèmes que nous avons posés, la partie libyenne est totalement disposée à nous accompagner. Naturellement, on ne pouvait pas débattre de tout Nous attendons que cette mission arrive, dans deux semaines, pour que nous puissions également ouvrir le dossier d'un certain nombre de projets qui nous tiennent à cœur, et qui doivent naturellement vraiment changer la physionomie de notre pays. Donc, je crois que nous sommes arrivés avec un sentiment de satisfaction. La Nation : Monsieur le président de la République, lors du sommet d'Abuja, le guide de la Révolution libyenne a proposé la création d'un ministère des Affaires étrangères, d'un ministère du Commerce..., au sein de l'Union Africaine histoire de dynamiser cette institution. Votre opinion sur pareille initiative ? B. Y. : Nous sommes en communauté maintenant. Depuis que l'Union Africaine a été remodelée, réformée, nous disons que nous sommes en Union. L'idée, c'est l'union fait la force pour que le continent africain constitue véritablement une force au même titre que les Etats-Unis d'Amérique, l'Europe, pour relever les défis au 21e siècle. Naturellement, le temps est maintenant venu de meubler cette Union-là d'abord, au niveau de la charpente institutionnelle. Que nous ayons un ministère des Affaires étrangères pour notre continent, quoi de meilleur que cela ! En Europe, il y a un Monsieur Affaires étrangères qui parle au nom de l'Europe tout entière. Pourquoi ne pas en arriver là sur notre continent ? Je crois, à mon avis, que toutes ces propositions procèdent du sentiment de faire de notre continent une organisation efficace qui sache répondre et sache parler d'elle-même au sein de la communauté internationale. Et de ce point de vue, je me félicite de toutes ces propositions. Et nous autres qui venons maintenant de rejoindre cette communauté de chefs d'Etat, des premiers responsables, nous ferons tout Nous allons tout faire aux côtés de nos aînés pour que leurs efforts soient encore empilés dans le sens de faire de notre continent, un espace unifié, un espace économiquement intégré, un espace financièrement solide, un espace monétairement stable, pour que nous puissions maintenant régler la question fondamentale de la pauvreté à laquelle notre continent est encore confronté, et lui permettre de relever le défi du développement. Je crois, dans le monde, nous avons énormément de problèmes. Tout le monde est maintenant d'accord pour dire que le monde est mal gouverné, qu'il y a une mauvaise gouvernance dans le monde. Que ce soit sur le plan économique, la question de l'endettement de bon nombre de pays qu'on appelle aujourd'hui les pays pauvres surendettés et dont la majeure partie se trouve sur notre continent est récurrente. Il y a la question de l'aide publique au développement Il y a la question de l'équilibre dans les échanges internationaux. A l'intérieur, vous savez ces questions qui nous minent aujourd'hui ; le problème de coton auquel bon nombre de pays ouest-africains et même du centre sont confrontés. Naturellement, si nous ne parlons pas d'une même voix, comment allons-nous régler toutes ces questions ? Si nous ne nous organisons pas, si l'Union Africaine n'est pas bien consolidée, comment allons-nous relever tous ces défis-là ? Lors de ma rencontre avec le guide, nous avons fait un tour d'horizon de tout cela. Et je me félicite qu'il ait compris que cette nouvelle génération qui remonte et qui rejoigne la politique peut être utile. Il l'a dit Et il nourrit un espoir pour que les problèmes les plus brûlants de notre continent, qu'on se mette ensemble avec eux pour les juguler tous. Et naturellement s'il n'y a pas la paix, il ne peut pas y avoir de développement. La question du Darfour, on en a parlé. La crise tchadienne, comment il suit ça de très près, question de me dire que s'il n'y a pas la paix sur notre continent, il n'y aura pas le développement. Et pour qu'il y ait la paix, il faut qu'il y ait de l'équité, une bonne gestion de nos ressources, une gestion équitable. Parce que c'est cette mal gouvernance qui crée des déséquilibres, l'instabilité. Le guide l'a dit tout naturellement et souhaité que nous soyons attachés à nos peuples, et que les ressources soient bien gérées, de manière à construire, à consolider la paix sans laquelle il ne peut y avoir de développement sur notre continent. La Nation : Le Bénin comme d'autres pays du continent a beaucoup souffert de la traître négrière et du colonialisme. Dans ce cadre, le guide de la Révolution libyenne a lancé un appel pour la réparation, morale et matérielle. Quelle est l'importance d'un tel appel pour vous Monsieur le président de la République ? B. Y. : L'appel est important. Je crois qu'en Europe, il y a un débat qui s'est instauré sur le fait qu'en réalité, il faut reconnaître que l'esclavage, tel qu'il a été mené, il fallait le condamner. Je crois le parlement français l'a fait, sauf erreur de ma part Donc, tout ce qui est de nature à reconnaître que c'est un mal, un élément décisif sur notre état de développement, entre autres, naturellement, est à saluer. Donc, le combat du guide est louable. Et comme j'ai eu à le dire, nous ferons tout pour nous joindre à nos aînés pour condamner ce qui s'est passé avec l'esclavage. Ce qui compte surtout, c'est l'avenir pour nos peuples. Donnons-nous une vision. Est-ce que nous voulons faire du continent, un continent de prospérité, de création de richesse, de partage où serait prise en compte la question fondamentale de l'éradication de la pauvreté ? Donnons-nous une stratégie globale, un plan d'action. Parce que ce n'est pas ceux-là qui sont à l'origine de l'esclavage qui vont penser notre développement. Mais ils ont évolué, on s'en félicite. On les remercie pour ce qu'ils nous ont fait jusqu'ici pour atténuer l'impact négatif de l'esclavage. Mais je demeure persuadé qu'en réalité, la logique du développement nous revient. Nous devons en être nous-mêmes les initiateurs, les concepteurs. Je crois, c'est ce que le guide est en train de faire. Le développement pour moi est possible. J'en suis convaincu. Je n'en prends pour preuve que l'exemple d'un certain nombre de pays du Sud-Est Asiatique. Le développement est possible pour peu que nous en soyons conscients. Donnons-nous cette vision, cette stratégie ; faisons tout pour organiser une adhésion totale de nos peuples autour de cela Créons les conditions, réunissons-nous autour des valeurs cardinales, rappelons à nos peuples la nécessité de travailler, un travail bien fait ; la discipline, le respect de la chose publique, la bonne gouvernance, l'obligation de résultat, l'obligation de rendre compte. Si nous faisons cela, je demeure persuadé que nous n'avons pas besoin de beaucoup d'années pour renouer avec la prospérité pour nos peuples. C'est très important. Et je crois, c'est ce sentiment qui anime le colonel Khadafi. Et chaque fois que je le vois, il me parle du fond de son cœur. Comme un père parle à son fils. Nous avons des aînés qui l'écoutent et qui réussissent aujourd'hui sur le terrain. Mais ce que je promets moi à mon peuple et je le dis devant vous, nous nous fixons rendez-vous pour quelques années. Et vous verrez. 1- Le président Boni Yayi accueilli à l'Aéroport de Tripoli par le général Mustafa Kharubi 2- Accolades entre le président Boni Yayi et le guide de la Révolution libyenne 3- Le président Boni Yayi saluant les hauts responsables de l'Armée libyenne 4- La joie de la communauté béninoise de Tripoli venue accueillir son président 5- Le président Boni Yayi en compagnie du général Mustafa Kharubi au salon d'honneur 6- Le président Boni Yayi et ses collaborateurs au palais du guide de la Révolution libyenne 7- Le chef de l'Etat et le directeur de cabinet du guide de la Révolution, Béchir Saleh (à gauche), lors du dîner offert par le colonel Khadafi 8- Des démonstrations de danses traditionnelles libyennes lors du dîner 9- Le PDG de la banque sahélo-saharienne, El Hadi Ouerfali et le directeur de la Société Tamoil, Ali Shamekh reçus en audience par le chef de l'Etat 10- Les étudiants béninois de l'université Dawa Al islamya de Tripoli reçus en audience par le chef de l'Etat Reportage photographique Paul HAAG bibo:pages 1 6 7 -- o:id 9097 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9097 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9103 27186 27187 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9ad05fac8cc1f6d10c4bb2c0bb3600f6a4c1d6eb.pdf https://islam.zmo.de/files/original/4416d47ce68f2e1977f0ef550ec938d7e615b989.tiff https://islam.zmo.de/files/original/6bbfa7420b544b865c5d863b6c01dcfcde38113a.tiff dcterms:title Visite d'amitié et de travail du président Kérékou en Libye : le colonel Kadhafi réaffirme son attachement au peuple béninois dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1504 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14214 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14862 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1418 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-03-29 dcterms:identifier iwac-article-0004249 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Relancer et consolider la coopération entre la République du Bénin et la Grande Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire socialiste, tel est l'objectif de la visite d'amitié et de travail de 72 heures du président Mathieu Kérékou en Libye (du 25 au 28 mars 2000). dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12946 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/403 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Relancer et consolider la coopération entre la République du Bénin et la Grande Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire socialiste, tel est l'objectif de la visite d'amitié et de travail de 72 heures du président Mathieu Kérékou en Libye (du 25 au 28 mars 2000). Qu’il nous souvienne en effet que depuis la réunion de la grande commission mixte bénino-libyenne, tenue en 1989, les relations entre les deux Etats ont connu un ralentissement. Cette situation s’est accentuée avec le départ du général Kérékou du pouvoir en avril 1991. Mais depuis son retour aux affaires en avril 1996, le guide de la révolution libyenne n’a cessé de l’inviter à une concertation devant aider à la relance de la coopération entre les deux pays. Maintes fois reportée, cette visite a fini par se concrétiser. Un nouveau cadre pour de meilleures relations a été défini. Après un bilan exhaustif des anciennes réalisations dans le cadre de la coopération bénino-libyenne, les présidents Mathieu Kérékou et Moammar Kadhafi ont jeté à Benghazi leur dévolu sur des secteurs porteurs pour nos économies. A cet effet, les deux chefs d’Etat ont, en moins de 48 heures, eu trois concertations. Concertations au cours desquelles les deux dirigeants ont non seulement fait le tour d’horizon de leur coopération, mais également de la situation en Afrique et dans le monde. Les grands défis de la nouvelle coopération En marge de cette visite qui pourrait être déterminante pour la nouvelle coopération entre la Libye et le Bénin, les deux délégations ont jugé utile d’avoir des consultations intergouvemementales préparatoires à la 7ème grande commission mixte bénino-libyenne qui se tiendra en juin en Libye. Du côté libyen, c’est le secrétaire du Comité populaire général de l’Unité Africaine, l’un de ceux qui maîtrisent les dossiers liant les deux Etats, M. Ali Tréki qui a conduit la délégation libyenne. Quant aux experts béninois qui ont soutenu les différents dossiers présentés par les ministres Antoine Idji Kolawolé, Pierre Osho et Abdoulaye Bio Tchané, ils ont manifesté la volonté de développer de nouveaux secteurs et de promouvoir désormais les relations d’affaires entre les deux pays. Domaine militaire et la sécurité Dans le domaine militaire, les deux chefs d’Etat ont convenu de réactiver les relations. De nouvelles balises ont été implantées pour la reprise immédiate de la coopération militaire entre les deux pays. Au nombre des priorités retenues par la partie libyenne, il faut souligner la formation et le recyclage des personnels des Forces armées béninoises. D’autres formes d’assistance sont également retenues pour répondre aux nombreux besoins de l’armée béninoise. En ce qui concerne la justice et la sécurité, les deux délégations ont exprimé leur volonté d’instaurer une coopération dans le domaine de la justice et de la sécurité publique, à travers des échanges d’informations et d'expériences en vue de lutter contre la criminalité. Domaine économique et commercial Pour une meilleure insertion des deux pays dans le processus de la mondialisation de l'économie, les deux chefs d’Etat ont passé en revue les opportunités d’investissement communes et ont convenu de faciliter la participation libyenne au programme de privatisation en République du Bénin. Les deux parties ont aussi envisagé la possibilité d’investissement de capitaux libyens dans le secteur du tourisme et de l'hôtellerie. En ce qui concerne la pêche maritime, les experts libyens ont exprimé leur volonté de développer une coopération avec le Bénin en matière de pêche à travers l’obtention d’une licence d’exploitation maritime. A cet effet, la partie libyenne a fait part de son intention de créer une société africaine de pêche qui regroupera les pays africains disposant des côtes maritimes. Cette initiative qui s’inscrit dans le cadre de la déclaration de Syrte, vise une meilleure exploitation par les Africains de leurs ressources nationales. Au cours des discussions, la partie béninoise, forte du redressement du secteur bancaire au Bénin, a manifesté le désir de développer une coopération bancaire à travers la création d’une banque mixte bénino-libyenne dans le but de faciliter la promotion des relations d’affaires. Quant à l’accord de prêt d’un montant de 2.550.000 dollars US, les deux délégations ont examiné la question de régularisation de ce prêt accordé au Bénin en 1981 et représentant la part béninoise dans les trois sociétés mixtes -BELIPECHE, SABLI et BELIMINES. Pendant les travaux de la 7ème session de la commission mixte, la Libye soumettra, pour examen en vue de sa signature, un projet d’accord commercial. Ce qui facilité l’augmentation du volume d’échange entre les deux Etats. Il faut aussi rappeler qu’aucun domaine n’a été occulté lors des négociations intergouvernementales préparatoires à la 7ème grande commission mixte bénino-libyenne. C’est alors qu’une attention particulière a été accordée au domaine sanitaire. Les experts ou convenu de la nécessité de promouvoir la coopération dans ce domaine à travers l’échange de médecins généralistes et des spécialistes, l’encouragement de l’investissement dans le domaine médical et la création de cliniques privées. Appréciant ces résultats et les différents projets relatifs à l’hydraulique villageoise, à la construction de centres de santé, à l’aménagement de 10.858 km de pistes de dessertes rurales, à la construction d’internats en zones déshéritées, à l’aménagement, au bitumage des routes Akpro-Missérété-Adjohoun-Bonou-Ouinhi-Kpédékpo, Ouaké-Djougou-N’Dali-Nikki-Chikandou et enfin à la participation de la Libye à la réalisation du projet hydraulique d’Adjarala, le président Mathieu Kérékou a souligné que les attentes de sa visite d’amitié et de travail ont été largement comblées et les objectifs largement dépassés. Profitant de cette visite de chef de l’Etat à Benghazi, la communauté béninoise de Libye a, lors d’une séance de travail, soumis une liste de doléances relatives à l’obtention de visa, à la création de fonds de solidarité à l’ambassade, à l’équivalence de diplôme et à la construction d’un foyer à Tripoli au président Kérékou qui a instruit ses ministres présents de les étudier favorablement. Communiqué de presse Le Bureau directeur de l'Association d’Amitié Bénino-Libyenne (ASAMBLI), réuni en session extraordinaire hier mardi 28 mars 2000, pour apprécier le voyage du chef de l’Etat à Benghazi en Libye du 25 au 27 mars 2000, communique: L’ASAMBLI se félicite de la relance, au plus haut sommet, des relations d’amitié et de coopération entre la République du Bénin et la Grande-Jamahiriya Arabe Libyenne populaire et socialiste. La visite d’amitié et de travail que le président Mathieu Kérékou vient de rendre à son frère de toujours, le colonel Mu’ammar Al-Quaddafi, guide de la Révolution libyenne d’El-Fatah à la tête d’une forte délégation comprenant des hommes d’affaires augure d’une nouvelle forme de coopération entre nos deux pays frères. L’ASAMBLl souhaite vivement que les fructueuses retombées de ce dynamisme des relations entre les deux pays viennent améliorer le quotidien de nos populations en leur ouvrant de nouveaux horizons d’opportunité d’échanges équitables qui prennent à contre-pied les systèmes modernes d’exploitation auxquels nos peuples sont astreints sous de fallacieuses formules qui n’ont jamais assuré le développement. L’ASAMBLI souhaite surtout l’ouverture d’une Agence Libyenne de Commerce à Cotonou. La Libye recèle de beaucoup d’industries manufacturières proposant des produits à des prix avantageux. Vive le Bénin! Vive la Libye! Vive l’ASAMBLI! Fait à Cotonou, le 28 mars 2000 Le Vice-Président de l’ASAMBLI Dr Alao Siaka FASSASSI bibo:pages 6 7 -- o:id 9098 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9098 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9104 27188 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/3c54fab125071bd7c227f5a2b007444ef8c9351d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/90ade146e6aa03dd9af49b236cd6cc3ec033412f.tiff dcterms:title Visite d'amitié et de travail en Libye : grandes retrouvailles entre les présidents Kérékou et Kadhafi dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1504 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1376 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14192 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14214 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13648 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14916 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1418 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-03-28 dcterms:identifier iwac-article-0004250 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Grandes retrouvailles entre deux amis de vieille date. C’est ainsi que l’on peut objectivement qualifier la chaleur et l'ambiance qui caractérisent la visite d’amitié et de travail qu’a entamée le président Mathieu Kérékou depuis le 25 mars 2000 en Libye. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12946 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/457 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Grandes retrouvailles entre deux amis de vieille date. C’est ainsi que l’on peut objectivement qualifier la chaleur et l'ambiance qui caractérisent la visite d’amitié et de travail qu’a entamée le président Mathieu Kérékou depuis le 25 mars 2000 en Libye. Plus de 10 ans après la dernière visite d’Etat sous l'ère évolutionnaire au Bénin, les présidents Mathieu Kérékou et Moammar Kadhafi ont repris les relations pour une coopération plus active dans l'intérêt des deux peuples. Parti en effet de Cotonou aux environs de 16 heures, l'AIRBUS A 310 libyen transportant la délégation conduite par le Général Kérékou s’immobilisa après 4 heures de vol, sur l’aéroport Banina de Benghazi. Sous un froid glacial qui a surpris tous les membres de la délégation béninoise, le président Mathieu Kérékou a été accueilli par le général Boubacar Youness Jaber, ministre de la Défense et numéro 2 du régime libyen. Peu avant le premier tête-à-tête entre les deux hommes d’Etat qui a eu lieu cette nuit du samedi 25 mars 2000 et en répondant aux questions de la presse libyenne, le président Kérékou a qualifié d’historique cette visite. Pour lui, il s’agit de sa première visite à Benghazi, ville historique et deuxième grande ville de la Libye et qui intervient au moment où tous les Etats africains s’organisent pour lancer lors du sommet de l’OUA à Lomé, le projet de la création de l’Union des Etats africains. En répondant à l’invitation du guide de la révolution libyenne, le président Kérékou entend non seulement réactiver la coopération entre les deux Etats, mais aussi discuter avec lui des modalités de la création de l’Union africaine qui a été retenue lors du sommet de Syrte. Une autre préoccupation de son séjour à Benghazi est de discuter avec son homologue de comment la Grande Jamahiriya Libyenne Populaire Socialiste s’apprête à conquérir sa part du marché dans le processus de globalisation de l’économie. Dans la matinée du dimanche 26 mars 2000, les ministres Antoine Idji Kolawolé et Ali Treki chargé de l’Union africaine ont présidé, dans la salle de conférence de l’hôtel TIBESTI de Benghazi, l’ouverture officielle des travaux préparatoires de la grande Commission mixte bénino-libyenne qui se tiendront en juin prochain à Tripoli. A ces travaux qui ont porté sur l’avenir de la coopération et sur les réalisations libyennes au Bénin, l’hôpital libyen à Porto-Novo, l’Institut de langue arabe à Abomey-Calavi et les éléphants blancs à savoir la BELIPECHE, BELIMINES, la SABLI, ont également pris part les ministres Abdoulaye Bio Tchané et Pierre Osho. Tout comme la visite d’amitié et de travail de 72 heures, ces travaux ont pris fin hier. C’est justement pour harmoniser leurs points de vue et retenir l’essentiel de la coopération bénino-libyenne et de la création de l’Union africaine que les présidents Mathieu Kérékou et Moammar Kadhafi ont eu dimanche dernier, dans l’un des nombreux palais du guide de la révolution libyenne, le second tête-à-tête qui a duré plus d’une heure d’horloge. Il faut enfin retenir que le guide libyen a offert dimanche à 20 heures, un dîner de gala en l’honneur du président du Mathieu Kérékou. bibo:pages 3 -- o:id 9105 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9105 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9110 27189 27190 27191 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8b4fcfc1663c7c8e4d3b1c8c14c2760496400a7b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/05754e5d8fc86557c0740ca8dc86f5dfe4b954ba.tiff https://islam.zmo.de/files/original/0416657a39856f961d6abf5485b3fe638f71ac9f.tiff https://islam.zmo.de/files/original/11757b34731bc3d40df44668fb26773a11181e49.tiff dcterms:title Après 72 heures de visite d'amitié et de travail : le Colonel Kadhafi s'est envolé vendredi dernier pour Tripoli dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1482 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/575 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/54 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14087 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13921 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1408 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/895 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/762 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2000-07-17 dcterms:identifier iwac-article-0004251 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Il sonnait 13h00, le vendredi dernier, quand au terme de 72 heures de visite d'amitié et de travail au Bénin, le Faucon 50 transportant le colonel Moammar Al Kadhafi s'est élevé dans le ciel. Mais avant son départ de Cotonou pour Tripoli, l'hôte du peuple béninois a visité la ville historique de Ouidah en compagnie du président Mathieu Kérékou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/354 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/403 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/452 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Il sonnait 13h00, le vendredi dernier, quand au terme de 72 heures de visite d'amitié et de travail au Bénin, le Faucon 50 transportant le colonel Moammar Al Kadhafi s'est élevé dans le ciel. Mais avant son départ de Cotonou pour Tripoli, l'hôte du peuple béninois a visité la ville historique de Ouidah en compagnie du président Mathieu Kérékou. A Ouidah, 1e Guide de la Révolution socialiste a pris un bain d’histoire au musée d’histoire de Ouidah encore appelé Fort Français. Ici, il lui a été expliqué comment de Deo no ajuda, la ville a pris le nom de Ouidah. Le colonel Kadhafi est resté stupéfait devant les différents tableaux décrivant les conditions horribles dans lesquelles des milliers de Dahoméens ont subi l’esclavage. Après avoir pausé à la place Chacha avec le chef de l’Etat béninois, le Colonel Moammar Kadhafi a parcouru la Route de l’Esclave jusqu’à l’historique Porte du non Retour que le général Mathieu Kérékou avoue n’avoir jamais visitée. L’émotion était vraiment de la partie, et le Colonel Kadhafi n’a pas manqué de dénoncer ce sadique comportement des rois dahoméens qui, non seulement ont vendu leurs frères aux colons, mais aussi ont assis leur trône sur des crânes humains. Des agissements qui, selon le leader libyen, ont conforté les Blancs dans leur position de colonialistes. Face à de telles atrocités qui ont laissé des séquelles indélébiles, l’Afrique doit s’unir, a indiqué le président libyen, qui a, par ailleurs, écouté avec grand intérêt ce qui a valu à notre pays, le nom de Dahomey, aujourd’hui Bénin. Dan Xomè ou dans le ventre de Dan. Ainsi, est allée l’histoire. Dan, un chef Guédévi, était un riche propriétaire terrien à qui Houessou, le futur roi Akaba, fils du roi Houégbadja demanda des terres pour agrandir le royaume. Dan lui en donna, et Akaba en demanda encore et encore. Ces demandes à n’en pas finir, finirent par irriter Dan qui lâche: «Bientôt tu finiras par construire dans mon ventre». Le lendemain, Akaba réagit à l’affront, tue Dan et plante dans son ventre le bois central qui devait supporter sa case. C’est en 1976 qui la révolution populaire du Bénin, sous Kérékou I a dénommé le Dahomey, République Populaire du Bénin. La Conférence nationale des forces vives a instauré la démocratie et baptisé notre pays République du Bénin; le Bénin était jadis un grand et puissant royaume qui s'étendait depuis le Ghana jusqu’au Nigeria. M. Mathieu Kérékou était émerveillé de visiter, pour la première fois, la Porte du Non Retour. Cette porte par où arriveront au Bénin dans les prochains mois en pèlerinage quelque 600 touristes Africains-Américains. Ce que la Libye avait fait pour le Bénin La Grande Jamahirya Arabe Libyenne populaire socialiste est un Etat d'Afrique du nord limité au nord par la Mer Méditerranée, au nord-ouest par la Tunisie, à l’Ouest par l’Algérie, au sud par le Niger et le Tchad et à l’est par l'Egypte et le Soudan. Sur une vaste superficie de 1.759.540 km2 Vivent seulement 3.960.000 habitants. La Libye du colonel Mouammar Al Kadhafi a établi des relations diplomatiques avec le Bénin depuis 1976. Le bilan de cette coopération qui embrasse plusieurs domaines est, avouons-le, positif. Ainsi, dans le domaine de la Défense, en Libye, plusieurs officiers, sous-officiers et hommes de rang ont été formés. Aussi la Libye a-t-elle fourni d'importants équipements militaires au Bénin, où elle installe à Cotonou une station radar ultra-moderne. Dans le domaine de la santé, la Libye a construit et équipé l’hôpital de Ouando à Porto-Novo d’une capacité de 120 lits. Le financement, de plus de deux milliards de F CFA, a été assuré par l’Association mondiale pour l’Appel à l’Islam. L'hôpital n’a été mis en service qu’en 1998. Toujours dans le domaine de la santé, une caravane médicale libyenne a été dépêchée au Bénin dans le cadre de la lutte contre les maladies endémiques; des tonnes de médicaments ont été gratuitement distribués. Finances, équipements et transports. La Libye a remis au Bénin en 1983, un chèque de deux milliards de FCFA pour la réfection des routes de Cotonou, l’étude de faisabilité de la route Parakou-Porga. En 1989, au plus fort de la crise économique, la Libye a gratifié le Bénin d'un montant de 1,5 milliard de F CFA. Pour ce qui est du développement rural, des mines et des affaires sociales, la Libye a pris une part active dans la construction des trois sociétés, Bélipêche, Bélimines et Sabli. La Libye a offert au Bénin en 1980, 50 engins de labour d’un coût de 250 millions de F CFA. Il s’agit de 10 bulldozers, de 20 caterpillars et de 20 tracteurs de puissance supérieure à 85 CV. Elle a aussi versé des avances pour acquérir deux chalutiers. La Libye a aidé à hauteur de 171 millions de F CFA pour construire le Centre Panafricain de Formation Coopérative. Domaine de l'information. En 1984; la Libye a offert à l’ORTB, un car de reportage d’environ 1 milliard de F CFA, et un minibus avec un important lot de pièces de rechange. Dans le domaine socioculturel, la Libye a construit et équipé au campus d’Abomey-Calavi, l'Institut de langue arabe, a doté l’UNB de divers équipements scientifiques, de plus de 180 millions de FCFA, équipé les laboratoires de la Faculté des Sciences Agronomiques (FSA) de l'UNB pour 250 millions de F CFA. Au ministère ses Affaires étrangères et de la Coopération, la Libye a offert du matériel roulant et de bureau, et de l’argent en espèces, le tout d’un montant de 46 millions de F CFA. Le ministère de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs a reçu deux cars de 36 millions de F CFA, puis une somme de 15 millions de F CFA. La Libye a construit à Cotonou un Centre islamique qui comprend: - une grande mosquée, un dispensaire et une école primaire. Pour ce qui est des perspectives, à la 7ème réunion de la Grande commission mixte bénino-libyenne, les experts se sont penchés sur les questions relatives à l’hydraulique villageoise dont le coût s'élève à 12 millions de dollars US, à la construction de centres de santé dans les villages et communes déshérités. Treize villages sont concernés. Le coût global est de 6.500.000 dollars US. La question de l'aménagement de 337km de pistes rurales n'a pas été occultée. Le projet coûte 3.600.000 dollars US. Les experts se sont également penchés sur la mise à disposition du Bénin de deux immeubles devant abriter la Chancellerie et la résidence du Bénin à Tripoli. Ils ont, par ailleurs, plaidé pour des micro-projets au profit des femmes en milieu rural. Coût, 30.000 dollars US. Il est également envisagé la réouverture des lignes aériennes entre Tripoli et Cotonou. La coopération militaire doit, elle aussi, se renforcer. Ce sont là, entre autres, les différents points sur lesquels les experts béninois et libyens ont réfléchi lors de la 7ème Grande commission bénino-libyenne. Certainement qu’à l’occasion de la visite au Bénin, du 12 au 14 juillet dernier du président Moammar Al Kadhafi, ces questions ont été discutées au cours du tête-à-tête entre le leader libyen et le président Mathieu Kérékou, un tête-à-tête, dont hélas, aucune information n'a filtré, laissant libre cours à toute spéculation. bibo:pages 1 3 -- o:id 9106 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9106 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9111 27192 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/41895140ce221b20fe03016575a42416a8b3dc8b.pdf https://islam.zmo.de/files/original/8a321733e5d6244c69dd6d1d0583ff37bb2d7386.tiff dcterms:title Trois ans de gestion du Hadj : la recette du président Talon porte ses fruits dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13825 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13878 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2016 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15423 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15123 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1461 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-11-29 dcterms:identifier iwac-article-0004252 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Avant 2016, les médias se chargeaient d'informer les Béninois sur le déroulement du Hadj, toujours en mal, avec des images de pèlerins dont le rêve d'aller à la Mecque s'évapore à Zongo, soit sur les paliers du Ministère des Affaires étrangères, soit dans les hôtels de pays étrangers, ou soit encore à l'aéroport international du roi Khaled à Riyad, capitale de l'Arabie-saoudite. C'est ainsi qu'on a eu bien des « Aladji Cameroun». « Aladji Nigeria », « Aladji Togo», etc. Mais, depuis l'avènement du régime de la Rupture, tout se passe comme s’il n'y a plus d'organisation du pèlerinage à la Mecque au Bénin, tellement tout est sereinement mis en œuvre pour assurer un Hadj réussi. Retour sur trois années de Success story pour le Gouvernement Talon et de la bouche des acteurs eux-mêmes. C’était le lundi 26 novembre 2018 dans une salle de la « Maison des jeunes et de la culture » de Porto-Novo pleine à craquer. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/531 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Avant 2016, les médias se chargeaient d'informer les Béninois sur le déroulement du Hadj, toujours en mal, avec des images de pèlerins dont le rêve d'aller à la Mecque s'évapore à Zongo, soit sur les paliers du Ministère des Affaires étrangères, soit dans les hôtels de pays étrangers, ou soit encore à l'aéroport international du roi Khaled à Riyad, capitale de l'Arabie-saoudite. C'est ainsi qu'on a eu bien des « Aladji Cameroun». « Aladji Nigeria », « Aladji Togo», etc. Mais, depuis l'avènement du régime de la Rupture, tout se passe comme s’il n'y a plus d'organisation du pèlerinage à la Mecque au Bénin, tellement tout est sereinement mis en œuvre pour assurer un Hadj réussi. Retour sur trois années de Success story pour le Gouvernement Talon et de la bouche des acteurs eux-mêmes. C’était le lundi 26 novembre 2018 dans une salle de la « Maison des jeunes et de la culture » de Porto-Novo pleine à craquer. L'Union islamique du Bénin (UIB), les hauts dignitaires et sages de la ville de Porto-Novo, les organisations faîtières de convoyage des pèlerins à la Mecque ainsi que des pèlerins fiers d'avoir accompli le cinquième pilier de l'islam étaient tous au rendez-vous du « Bilan des 3 ans de gestion du Hadj sous le régime la Rupture pour un Nouveau part ». Initié sous le leadership du chef de l'Etat et par la Coordination nationale du Hadj, présidée par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Aurélien Agbénonci, -en présence des représentants des ministères de l'Intérieur, des Finances, des Transports et de la Santé -, cet exercice a permis aux différents acteurs de la chaîne de responsabilité du pèlerinage à la Mecque de faire le point de la gestion du Hadj des trois dernières années, pour ne pas dire depuis l'avènement du président Patrice Athanase Guillaume Talon. Un bilan satisfaisant pour la rupture « A tout Seigneur, tout honneur ». C'est au président de l'Union islamique du Bénin et Imam de la mosquée centrale de Porto-Novo, Ouzeifa Amzat, qu’est revenu le soin de jeter, en premier, un regard rétrospectif sur le chemin parcouru depuis avril 2016. « Nous pouvons témoigner qu’en trois ans de gestion du pèlerinage à la Mecque par le régime du Président Patrice Talon, aucun candidat au Hadj n'est laissé à Cotonou pour défaut de formalités administratives ou par absence de vols. Nos pèlerins sont bien traités avant, pendant et après le pèlerinage, et accomplissent tous les rites comme cela se doit ». Il a alors présenté ses vives félicitations et dit toute son admiration au chef de l'Etat dont le leadership, a-t-il martelé, a été pour beaucoup dans ce franc succès. Même son de cloche du côté du président de CONACO - l'une des deux organisations faîtières des groupes de convoyage des pèlerins à la Mecque -, El-Hadj Amidou Ouro-Djeri, qui est revenu sur les avancées notables dans l'organisation du pèlerinage à la Mecque lors des éditions de 2016, 2017 et 2018. En termes de bilan, il note « 100% de passeports spéciaux délivrés aux candidats au Hadj en règle vis-à-vis des conditions convenues à l'avance, 100% de visas accordés aux pèlerins béninois, la disponibilité totale des ministères des Affaires étrangères pour la coordination de l'opération et la facilitation de l'obtention des visas, de l'Intérieur pour la délivrance des passeports et la sécurité des candidats au pèlerinage ainsi que leurs biens, de la Santé pour la diligence lors de la séance de vaccination et la mise à disposition des kits sanitaires pour la prise en charge médicale des pèlerins, des Transports pour la conclusion à bonne date des aériennes avec les compagnies d'avion et la mise à disposition à temps des vols, et des Finances pour le préfinancement de l'opération » Il n'a pas manqué de remercier le président Patrice Talon pour avoir pesé de tout son poids pour que l'on parle aujourd'hui de trois éditions du Hadj réussi au Bénin. Ses remerciements vont également à l'endroit du Ministre Aurélien Agbénonci, Coordonnateur national du Hadj et ses collègues, qui n'ont ménagé aucun effort pour concrétiser les aspirations des pèlerins à vivre un voyage aller-retour à la Mecque dans la sérénité et la joie. Quant au Président de Fébo-Hadj, - l'autre organisation faitière des groupes de convoyage -, El-Hadj Kamal-Dine Dissou, il a dit qu’avec les trois dernières éditions du Hadj, « les difficultés liées à l'organisation, autrefois multiples et multiformes, sont désormais de tristes mémoires ». Il a salué, lui aussi, « une amélioration continue des prestations offertes aux pèlerins, et une organisation apaisée. » Son verdict : « Depuis l’avènement du Président Patrice TALON, nous pouvons être fiers de l'organisation du Hadj au Bénin ». Le haut dignitaire Karim da Silva sous le charme Tout ceci n'est pas pour déplaire au haut dignitaire musulman et sage de la ville de Porto-Novo, Karim da Silva, qui a chargé le Ministre Aurélien Agbénonci de transmettre ses vives félicitations au Président Patrice Talon pour l'œuvre accomplie, parce que « depuis 1970 où on a commencé à convoyer les pèlerins à la Mecque au Bénin, c'est le Gouvernement du président Patrice Talon seul qui a pu réussir le pari d'une bonne organisation ». Il a ajouté ce qui suit « C'est aussi le lieu de constater qu'il ne suffit pas d'être musulman pour bien organiser le pèlerinage à la Mecque. Monsieur le ministre Aurélien Agbénonci, Coordonnateur national du Hadj de concert avec vos collègues, vous avez su faire preuve d'une constante volonté, d'un engagement à toute épreuve, et d'une compétence indiscutable. » Il a prié pour que de tels succès se multiplient dans tous les domaines et sur tous les fronts pour des lendemains meilleurs à tous les Béninois sous le régime de la Rupture. Avant l'intervention du Ministre des Affaires étrangères, deux pèlerins - Wassi Amoussa en yoruba et Abiba Zakari en dendi - vont prendre la parole pour rendre témoignage au Gouvernement Talon, pour avoir réussi là où ses prédécesseurs ont échoué. Dans un langage franc et direct, le Coordonnateur national du Hadj, et Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Aurélien Agbénonci, a tenu à souligner que « le mérite du succès de l'organisation du Hadj depuis trois ans, et les fleurs jetées par les uns et les autres reviennent au président Patrice Talon, qui a toujours été très attentif à tout ce qui est lié au Hadj». Car, « il aime l’initiative et il veut que ça marche Je vais lui dire que nous avons fait un bilan satisfaisant, exprimé par vous tous. » La « Méthode Talon » qui produit des résultats Deux questions demeurent, malgré les évidences : comment la « recette Talon » a-t-elle pu faire gagner le Bénin dans l'organisation du Hadj, - un dossier sur lequel tous ses prédécesseurs ont échoué -, et que reste-t-il encore à faire pour rendre cette œuvre parfaite ? De l'avis des responsables de groupes de convoyage, avant le Gouvernement du Président Patrice Talon, certaines autorités voulaient jouer le rôle d'organisateur, alors que l’Etat devrait s'en tenir au rôle de facilitateur, pour ne pas devenir à la fois juge et partie. Avec humilité, le Gouvernement actuel a d'abord cherché à comprendre le fonctionnement du Hadj et pourquoi la machine était grippée. Ensuite, il a apporté la solution à même de satisfaire tout le monde et le calme est revenu comme par miracle. C’est ça, la « recette Talon » ! Pour un meilleur devenir du Hadj dans notre pays, l’ancien Secrétaire général de l'Union islamique du Bénin. El-Hadj Faissou Adégbola, propose : « Comme c'est le cas dans les pays de la sous-région, il faut travailler à ce que tous les pèlerins béninois, qui vont à la Mecque par vols charters, logent dans le même périmètre. II faut également revoir le coût du pèlerinage de telle sorte à couvrir toutes les charges liées au Hadj ; qu'il s'agisse du passeport, du visa, de la vaccination, des tenues du rite, de la restauration et de l'argent de poche etc. En matière d'habillement on peut choisir deux ou trois tissus qui valorisent le Bénin et sa culture pour tous les pèlerins, comme le font bien d’autres pays ». L’organisation ne doit pas dormir sur ses lauriers El-Hadj Amidou Ouro-Djeri, président Conaco, suggère pour sa part que « la Commission nationale chargée de l'organisation du Hadj lance la sensibilisation des candidats au Hadj à temps comme le font les Saoudiens. Il faut privilégier également les vols charters, parce que l'idéal est que nos pèlerins arrivent ensemble à la Mecque, et se retrouvent dans le même périmètre. » Le président de Fébo-Hadj, El-Hadj Kamal-Dine Dissou, trouve néanmoins que les vols réguliers seront toujours utiles aux fonctionnaires et au monde des affaires Pour William Comlan, Directeur de cabinet du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, et Coordonnateur-délégué du Hadj, une meilleure organisation du Hadj passe par une « réorganisation du passage et du séjour de nos pèlerins à Zongo, afin qu'ils n'aient à faire que deux à trois jours maximum sur place, et qu'ils le fassent dans de meilleures conditions possibles. Tel est le désir du Président de la République Tout ceci en attendant qu'on aménage carrément un site dédié à cette cause. » Autant dire qu'en trois ans, le Gouvernement de la Rupture pour un Nouveau départ a réussi le challenge d'une bonne organisation du Hadj. Il y a 48 ans qu'on attendait ça ! Reste à conserver les acquis sur la durée, tout en travaillant à parfaire ce qui doit encore l’être. C’est mon intime conviction ! Elysée Heribert Label ADJOVI Journaliste Internationaliste / Ecrivain bibo:pages 15 -- o:id 9107 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9107 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9112 27193 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e519657054a960e494ec921d8d33509ab3aec352.pdf https://islam.zmo.de/files/original/601814a9cc872cdbf85d79c546a3c560f5c482e6.tiff dcterms:title Camp médical Jama'at islamique Ahmadiyya à Djidja : plus de 500 malades consultés gratuitement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1383 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/684 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-03-27 dcterms:identifier iwac-article-0004253 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après Abomey, il y a quelques jours, c'est l'arrondissement de Oungbèga dans la commune de Djidja qui a reçu, le week-end dernier, le camp médical gratuit itinérant de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin. Consultation médicale et distribution de vermifuge et autres médicaments ont été organisées à l'intention de plus 500 personnes de cette localité. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13453 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Après Abomey, il y a quelques jours, c'est l'arrondissement de Oungbèga dans la commune de Djidja qui a reçu, le week-end dernier, le camp médical gratuit itinérant de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin. Consultation médicale et distribution de vermifuge et autres médicaments ont été organisées à l'intention de plus 500 personnes de cette localité. Un camp médical initié par la communauté de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin a permis, samedi 24 mars dernier, à 511 personnes du village de Oungbèga dans la commune de Djidja, de se faire soigner gratuitement. Elles ont bénéficié de la consultation par une équipe médicale de Humanity First composée d’un médecin généraliste et d'un pédiatre venu spécialement de la Grande-Bretagne pour cette opération humanitaire Au cours de ce camp médical de Oungbèga, 300 enfants ont bénéficié de la distribution gratuite de vermifuge pour se déparasiter. C’était en présence de l'Amir Rana Farooq Ahmad, président de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin (Jiab), d’Arif Mahmood, missionnaire Ahmadiyya de la région Bohicon, du maire de Djidja, Théophile Dako, du représentant de la direction départementale de la Santé, des sages et notables de la localité. Tout a commencé par l’une des obligations pour tout à Ahmaddis : une récitation coranique, qui sera suivie des mots de reconnaissance et de gratitude de Germain Azatassou, représentant des sages de Oungbèga ; de Pierrette Ahogbédé, représentante des femmes et du maire Dako. Ce dernier a dit sa gratitude à la Jama’at islamique Ahmadiyya pour le choix porté sur sa commune. Il en a profité pour demander aux responsables de la Jama’at d’accorder la même attention aux autres populations de Djidja. Il plaide ainsi pour que les onze arrondissements restants de la commune soient pris en compte. Amir Rana Farooq Ahmad, président de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, indique qu'à travers ces actions humanitaires, la Jiab entend accompagner le gouvernement dans ses initiatives et en particulier le ministre de la Santé pour son soutien à la communauté. Il fait remarquer que la Jiab intervient au Bénin depuis plusieurs années dans le domaine de la santé, de l’eau potable, de l’éducation avec pour devise « Amour pour tous, haine pour personne ». Ce camp médical de Oungbèga intervient après ceux de Porto-Novo, Ouidah, Abomey, Parakou et Malanville où plus de 300 interventions chirurgicales des yeux ont été effectuées au profit des citoyens béninois qui n'ont pas les moyens d’aller vers les centres spécialisés. bibo:pages 5 -- o:id 9108 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9108 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9113 27194 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/45a0e3dc3d0b527acbd70457dcc94a2e9016e073.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9ce3b25693fdda6515dd4bd44534852708f9cdd7.tiff dcterms:title Journée de Ia fondation du Qatar : l'évènement célébré à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/55 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13712 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1958 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14053 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-12-20 dcterms:identifier iwac-article-0004254 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'Emirat du Qatar commémore, chaque 18 décembre, sa fondation. A cette occasion, l'ambassade de l'Emirat du Qatar près le Bénin a organisé, mardi 18 décembre dernier, une fête qui a réuni les diplomates en poste au Bénin, les autorités béninoises et des invités. Le Bénin était représenté à cette cérémonie par le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, Hervé Djokpé. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/542 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content L'Emirat du Qatar commémore, chaque 18 décembre, sa fondation. A cette occasion, l'ambassade de l'Emirat du Qatar près le Bénin a organisé, mardi 18 décembre dernier, une fête qui a réuni les diplomates en poste au Bénin, les autorités béninoises et des invités. Le Bénin était représenté à cette cérémonie par le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, Hervé Djokpé. Les Qataris célèbrent, chaque 18 décembre, la journée anniversaire de la fondation de leur pays. A cette occasion, le chargé d’affaires de l'ambassade du Qatar près le Bénin, Mohamed Youssef Al Malki, rappelle qu’à chaque commémoration, les Qataris se présentent devant les monuments historiques du pays où leurs ancêtres ont établi un Etat fermement enraciné dans sa culture et son patrimoine moderne, ouvert au monde avec toutes ses cultures et ses différences. Le Qatar est un pays qui aime et cherche, souligne-t-il, la paix des peuples et qui a hâte de communiquer avec les peuples du monde. « L'Etat du Qatar est un grand pays moderne, doté d’une volonté et d'une détermination fortes dans toutes ses positions et ceci est le résultat de la vision de son Altesse royale Cheik Tamin Bin Hamad Al Thani, Emir du Qatar », souligne-t-il. Le Qatar cherche, selon Mohamed Youssef Al Malki, à réaliser un développement durable dans divers secteurs en établissant les règles de transparence du travail et de la diversification économique, le développement de la structure législative et la création d’un climat économique et financier propice à la promotion de la croissance et de la production. L’économie du Qatar a maintenu sa croissance et sa prospérité malgré les nombreuses circonstances difficiles du temps dont est victime l'économie mondiale. Sa puissance économique a pris un coup malgré les ressources externes, ce qui a le plus affirmé son indépendance, car les exportations du Qatar ont augmenté de 18% au cours de la période de crise économique et le riyal, sa monnaie nationale, a conservé son taux de change. L’Etat du Qatar connaît un développement dans divers domaines, mais il se concentre sur le développement de sa population à travers la professionnalisation de l’éducation, puis accorde une attention particulière à la santé, tout ceci à travers une institution développée dont le monde témoigne du progrès. Le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, Hervé Djokpé, représentant le ministre Aurelien Agbénonci a, au nom du gouvernement béninois, présenté les vives félicitations du peuple béninois au peuple frère du Qatar à l'occasion de la commémoration d'un grand jour de l'histoire de ce pays. Il rappelle que les relations de coopération entre le Bénin et le Qatar se déroulent bien à la satisfaction des autorités des deux pays amis dans plusieurs domaines. Il mentionne notamment les jumelages entre des villes des deux pays, les accords sur le transport et de promotion réciproque des investissements. Cinq accords entre le Bénin et le Qatar sont en étude actuellement. Il s'agit, par exemple, du mémorandum d'entente entre le ministère des Affaires étrangères du Bénin et celui du Qatar sur la suppression de visa. Dans le cadre du renforcement de la coopération, Hervé Djokpé annonce que le Bénin donnera une suite favorable à la demande d’octroi d'un espace pour la construction de la représentation diplomatique de l'émirat au Bénin. Il espère en retour que le Bénin recevra une suite favorable à la demande d'appui pour le renforcement des équipements de l'Office de radiodiffusion et télévision du Bénin. bibo:pages 15 -- o:id 9109 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9109 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9114 27195 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/311912161a2b4a671158fe8d2ac5682a4287251d.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0380623a7e129af2fa721360eafd962e9aadf0fa.tiff dcterms:title Dialogue interreligieux : l'évêque de Natitingou offre du matériel à l'école franco-arabe dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1381 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13411 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-02-14 dcterms:identifier iwac-article-0004255 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Des mobiliers ainsi que du matériel informatique et didactique ont été offerts, lundi 12 février dernier, aux écoliers et élèves de l’école primaire et secondaire privée franco-arabe de Natitingou par l’évêque du diocèse de Natitingou, Mgr Antoine Sabi Bio. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/469 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Des mobiliers ainsi que du matériel informatique et didactique ont été offerts, lundi 12 février dernier, aux écoliers et élèves de l’école primaire et secondaire privée franco-arabe de Natitingou par l’évêque du diocèse de Natitingou, Mgr Antoine Sabi Bio. L'église catholique de Natitingou à travers son évêque. Mgr Antoine Sabi Bio, a remis aux écoliers et élèves de l'école primaire et secondaire privée franco-arabe de la commune de Natitingou un lot important composé de tables-bancs, d'un ordinateur de bureau, de ses accessoires ainsi que des livres de littérature et de sciences. Par ce geste, elle entend contribuer à l’éducation de qualité des enfants d’aujourd'hui et de demain. Au-delà de sa dimension éducationnelle, ce geste vise également, estime l’évêque accompagné du directeur diocésain de l’enseignement catholique, Célestin Dindabadou, à montrer au monde que le dialogue interreligieux à Natitingou n’est pas un vain mot. En présence de l'imam de la mosquée centrale de Natitingou, El Hadj Nourou-Dine Sanni, l'évêque a souligné que les enfants où qu'ils soient et quelle que soit leur religion, ont droit à une éducation de qualité, d'où l'importance de ce zeste de spiritualité. «Dieu d'abord, ensuite une éducation qui prend en compte la dimension intellectuelle et enfin la dimension humaine », défend-il, tout en s’engageant à voir l'église catholique de Natitingou jouer sa partition en partageant le peu qu'elle a avec les enfants d'aujourd'hui pour qu'ils soient la relève de qualité de demain et à promouvoir la paix. Un élan de solidarité, de fraternité et d'union, salué par l'imam central. « Sans la paix pas de développement et cette paix ne viendra pas de nos gouvernants mais plutôt de nous-mêmes. D'où l'urgence pour toutes les confessions religieuses de cultiver le savoir-vivre ensemble et l'esprit d'acceptabilité », affirme-t-il devant les usagers de l'école tous heureux de disposer de nouveaux matériels d'études. bibo:pages 7 -- o:id 9115 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9115 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9117 27196 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8375edfe03d0e3c7e073f8b055ffa2a0e7e8ebd0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/dfc77c7fe66e4efb178e057da88bfe3ddd022c23.tiff dcterms:title Camp médical des opérations de cataracte : la Jama'at islamique Ahmadiyya fait œuvre utile dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2048 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-03-05 dcterms:identifier iwac-article-0004256 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama'at islamique Ahmadiyya organise, depuis quelques semaines, une série de camps médicaux pendant lesquels des opérations de cataracte sont effectuées gratuitement. Depuis le samedi 3 mars dernier, l’équipe séjourne à Ouidah pour faire le dépistage, puis ensuite soigner les patients La cérémonie de incarnent des opérations a connu la présence du premier vice-président de l’Assemblée nationale, élu de la circonscription, Eric Houndété. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14731 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/378 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/550 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama'at islamique Ahmadiyya organise, depuis quelques semaines, une série de camps médicaux pendant lesquels des opérations de cataracte sont effectuées gratuitement. Depuis le samedi 3 mars dernier, l’équipe séjourne à Ouidah pour faire le dépistage, puis ensuite soigner les patients La cérémonie de incarnent des opérations a connu la présence du premier vice-président de l’Assemblée nationale, élu de la circonscription, Eric Houndété. La Jama’at islamique Ahmadiyya, dans le cadre de ses œuvres sociales et humanitaires, organise cette année une série de camps médicaux au cours desquels des opérations de cataracte sont gratuitement effectuées. Depuis samedi dernier, ce sont les populations de Ouidah et ses environs qui bénéficient du savoir-faire des médecins directement venus du Pakistan. L'association a fait venir un camion médical autonome en énergie et équipé d’une salle de consultation et d'un bloc opératoire. Un geste bien apprécié par le premier adjoint au maire de la commune de Ouidah, Bruno Adjovi, qui salue l’initiative des promoteurs de cette opération qui vise la santé des populations. « La ville de Ouidah a été choisie grâce au député Eric Houndété, un élu de notre circonscription électorale », ajoute-t-il, avant d'inviter les populations à soutenir et encourager les promoteurs. Le député a invité les populations à sortir massivement pour se faire examiner et se faire soigner pour éviter d'avoir des problèmes de santé graves. Le président et chef missionnaire de la Jama'at islamique Ahmadiyya au Bénin, Rana Farooq Ahmad, rappelle que la campagne lancée le 26 février dernier à Porto-Novo a permis de soigner beaucoup de patients pendant cinq jours. Il souhaite qu’à Ouidah les populations sortent également nombreuses et que l'équipe repassera une nouvelle fois pour s'occuper de tout le monde. Il rassure que tous ceux qui viendront seront consultés, dépistés et opérés sur place. Dans cette première phase de la clinique mobile, l'équipe va parcourir plusieurs villes du Bénin. Ahmadiyya est une organisation internationale dont le siège se trouve à Londres et qui œuvre pour la paix et le bien-être des populations dans le monde. bibo:pages 9 -- o:id 9116 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9116 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9118 27197 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/9a2b6a4a9759b27a8fbdeac1a15713adce52b1ee.pdf https://islam.zmo.de/files/original/293e8cb465bee07185179210fbdac07117bc6dcc.tiff dcterms:title Pèlerinage à La Mecque : l'organisation du hadj 2018 lancée dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14690 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15416 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1386 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/781 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-02-16 dcterms:identifier iwac-article-0004257 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre Aurélien Agbénonci a procédé, ce jeudi 15 février à Cotonou, au lancement officiel de l'organisation de l'édition 2018 du pèlerinage à La Mecque. Le rapport de la mission de concertation et de préparation du Hadj présenté à cette occasion indique les nouvelles prescriptions des autorités saoudiennes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/277 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le ministre Aurélien Agbénonci a procédé, ce jeudi 15 février à Cotonou, au lancement officiel de l'organisation de l'édition 2018 du pèlerinage à La Mecque. Le rapport de la mission de concertation et de préparation du Hadj présenté à cette occasion indique les nouvelles prescriptions des autorités saoudiennes. Les aspirants au pèlerinage à La Mecque cette année, ont jusqu’au 14 mai prochain pour remplir les diverses formalités certifiant leur participation. C'est ce qu’a annoncé, hier au ministère des Affaires étrangères, le secrétaire permanent du Hadj, Adamou Aba-Bagnan. Il s’agit, précise-t-il, d'un délai indiqué par les autorités saoudiennes au cours de la mission de concertation et de préparation du hadj 2018, qui a eu lieu du 29 janvier au 7 février et à laquelle le Bénin a pris part. C'est une rencontre qui permet au Bénin de confirmer la participation de pèlerins nationaux au hadj au titre de l'année 2018 qui correspond à l'an 1439 du calendrier hégirien. « Plusieurs protocoles d’accords ont été signés avec les divers partenaires saoudiens impliqués dans l’organisation du hadj aux fins de garantir le séjour, l’hébergement, la restauration (...) », dit-il pour rassurer les candidats au pèlerinage. Aussi, fait-il savoir à l’assistance que la compagnie saoudienne Flynas a été mise à l'écart dans le cadre du transport aérien des pèlerins. Ainsi, les compagnies aériennes désireuses d’assurer le transport aérien des pèlerins sont-elles appelées à remplir les formalités requises, le 3 mars prochain au plus tard. Aurélien Agbénonci a invité chaque partie prenante à l’organisation dudit pèlerinage à jouer sa partition, pour le bon déroulement des activités qui s'inscrivent dans ce cadre. Il a rappelé l’engagement du gouvernement et de son chef à œuvrer pour la satisfaction des pèlerins, cette année. Car, a-t-il déclaré, « Nous devons tout faire pour que l’édition 2018 ne soit pas moins bonne que l’édition 2017 ». « Chacun doit jouer son rôle et informer les candidats au pèlerinage ; le gouvernement va jouer sa partition pour la protection des citoyens », a-t-il assuré. Les diverses structures intervenant dans l'organisation du hadj au Bénin ont formulé des recommandations pour la réussite du pèlerinage sur le plan national. Djeri Ouro, président du Conseil national de la coordination du hadj au Bénin (Conaco), préconise une tournée de sensibilisation par l'Autorité de tutelle, au profit de la communauté musulmane au plus tard le 28 février prochain. Il souhaite également que soient effectués les remboursements des billets d’avion pour ceux qui n’ont pu voyager à l'édition 2017, notamment ceux qui ont pris le vol Charter du gouvernement. bibo:pages 11 -- o:id 9119 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9119 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9128 27198 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/7da8c0f3d9ae9adc4efac5ca9353c030819fb03a.pdf https://islam.zmo.de/files/original/501c2661acdcdc2c37d885af9549e28e6687caef.tiff dcterms:title Distribution de vivres aux pauvres : Ahmadiyya partage la joie du Ramadan dans l'Ouémé dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/124 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1402 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-06-23 dcterms:identifier iwac-article-0004258 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin a procédé, ce jeudi 22 juin à Porto-Novo, Avrankou et Adjarra, à la distribution de vivres et de produits de première nécessité aux prisonniers, aux malades et autres couches démunies. C’est la façon, comme depuis cinquante ans, pour cette communauté de partager avec les bénéficiaires la joie et la ferveur de la fête du Ramadan 2017. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15321 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin a procédé, ce jeudi 22 juin à Porto-Novo, Avrankou et Adjarra, à la distribution de vivres et de produits de première nécessité aux prisonniers, aux malades et autres couches démunies. C’est la façon, comme depuis cinquante ans, pour cette communauté de partager avec les bénéficiaires la joie et la ferveur de la fête du Ramadan 2017. Prison civile de Porto-Novo, centre hospitalier universitaire départemental de l’Ouémé-Plateau, centre de traitement des malades mentaux Saint-Camille Oasis d'amour d'Avrankou et l'orphelinat Notre-Dame de la miséricorde d’Adjarra. Ce sont les quatre centres qui ont reçu, ce jeudi 22 juin, la délégation de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin conduite par son président, Rana Farooq Ahmad. Cette communauté est allée partager par anticipation la joie du Ramadan encore appelée l’Aïd el-fitr avec ces couches sociales démunies. La délégation avait les bras chargés de sacs de riz, de cartons de pâtes alimentaires, de savons, de bidons d’huile d’arachide, de cartons de grandes boîtes de tomates, des cartons de sucre... Des dons de ces différents produits ont été faits à chacune des étapes du périple. Pour le président Rana Farooq Ahmad, cette œuvre de charité s'insère dans le cadre de la vision de son association installée depuis 1967 au Bénin à savoir : partager l'amour de Dieu avec son prochain pour qu'il soit aussi en joie. Plus de 25 millions F Cfa ont été mobilisés cette année par l'association pour les vivres à distribuer aux populations les plus démunies, a confié Rana Farooq Ahmad. Selon lui, l’opération de distribution de don de son association se déroule sur toute l’année et sur toute l'étendue du territoire national. Mais elle est seulement plus intensifiée à la veille des fêtes musulmanes, en l'occurrence le Ramadan et la Tabaski au profit des couches vulnérables des quatre coins du Bénin. Les sites visités, ce jeudi 22 juin, ont été juste retenus pour la remise symbolique au plan national, précise le président de la Jama’at islamique Ahmadyya du Bénin. A la prison civile de Porto-Novo, Rana Farooq Ahmad a invité les prisonniers à changer de comportement et à être de bons citoyens dès qu’ils vont recrouvrer leur liberté. Le régisseur de la maison d'arrêt, le lieutenant Jean-Eudes Etchiha, a remercié les membres de la communauté Ahmadiyya pour ce geste humanitaire chaque année. Il a prié Dieu de le leur rendre au centuple. Au Centre hospitalier universitaire départemental de l’Ouémé-Plateau, au nom des patients qui ont été gratifiés de vivres et autres, Hermionne Houessou, a dit la gratitude de l’hôpital à la délégation de Rana Farooq Ahmad. Il en est de même avec Brigitte Assaba du centre Saint-Camille d'Avrankou. Elle a prié Dieu de veiller sur les membres de la communauté Ahmadiyya Bénin et de les assister dans leurs activités. Mais avant sa descente sur le terrain, la délégation est allée faire ses civilités au préfet de l’Ouémé qui a réceptionné symboliquement l’ensemble des vivres destinés au départements. Joachim Apithy a félicité l’association pour son sens de partage et de solidarité envers les plus pauvres. Le préfet a saisi l’occasion pour proposer à cette communauté d’étendre ses actions humanitaires à d’autres communes de son département. bibo:pages 4 -- o:id 9120 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9120 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9129 27199 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ed908727576beb4c984762867f82f956e4158737.pdf https://islam.zmo.de/files/original/dff25f203362795a7da6bdcf14698c9b501edeef.tiff dcterms:title Entretien avec l'imam central de Natitingou : "Même en dehors des religions, la guerre de succession est une réalité…" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14391 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1984 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/62 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-07-12 dcterms:identifier iwac-article-0004259 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Un an après son installation, l'imam central de Natitingou, Check Nourou Dine Mouhamed Sanni, évoque à travers cet entretien les actions qu’il engage pour un retour de la paix au sein de la communauté musulmane secouée par une crise de succession sans précédent. Il jette par ailleurs un regard sur la cohabitation entre les religions et fustige tout acte attentatoire à la vie humaine commis au nom d'une religion. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Un an après son installation, l'imam central de Natitingou, Check Nourou Dine Mouhamed Sanni, évoque à travers cet entretien les actions qu’il engage pour un retour de la paix au sein de la communauté musulmane secouée par une crise de succession sans précédent. Il jette par ailleurs un regard sur la cohabitation entre les religions et fustige tout acte attentatoire à la vie humaine commis au nom d'une religion. La Nation : Vous avez été installé à la suite d’une crise de succession qui a longtemps divisé les fidèles musulmans. Un an après cette crise, est-on en droit de dire que la communauté islamique s’est réunifiée ? Check Nourou Dine Mouhamed Sanni : Effectivement, cela fait un an que nous avons été installé comme imam central de Natitingou mais avant l'aboutissement du processus de désignation, il y a eu des problèmes. Mais Dieu merci tout est rentré dans l'ordre et c’est le lieu de saluer tous ceux qui ont œuvré pour la fin de cette crise qui a secoué la communauté musulmane. Nous nous sommes peut-être laissé emporter par nos passions mais, dire que nous n'étions pas unis, c’est trop dire. Il est évident que chacun tenait à sa position et qu'il était difficile pour les différentes parties d’entendre raison mais nous n’ayons jamais perdu de vue le fait que nous sommes une famille et qu'il faut préserver l’unité qui a toujours prévalu au sein de la religion musulmane. Juste après la cérémonie de "turbanisation", nous avons enclenché les actions susceptibles de ramener la paix dans les cœurs et la préserver également dans les mosquées. A notre arrivée, nous n’avons pas fait de différence entre nos soutiens et ceux qui se sont opposés à nous lors du processus de désignation. Les dons de vivres et autres gestes faits à la communauté musulmane sont répartis aux fidèles en toute équité. A travers nos actes et comportements, nous avons su rassembler tout je monde. Nous nous sommes toujours donné ce respect mutuel. Quelles ont été ces actions concrètes engagées pour que la paix revienne dans les différentes mosquées de la commune de Natitingou ? C’est avant tout à travers nos prêches. Nous avons toujours demandé aux frères musulmans de mettre de côté la mésentente et de privilégier l'amour du prochain. Le concours aussi bien de l’Union islamique du Bénin, des autorités politico-administratives que des autres confessions religieuses nous a également permis de raffermir les bases des actions tendant vers la préservation de la paix au sein de la communauté musulmane. La communauté musulmane dans son ensemble est souvent ébranlée par des crises de succession qui ne favorisent pas la quiétude en son sein. Outre votre commune, il y a eu Ouaké et bien d’autres de par le passé. En tant qu’islamologue, quel regard portez-vous sur ces réalités ? Ce sont les enjeux liés à la chefferie qui sont à l’origine de ces déchirements observés ci et là et ceci est loin d’être l'apanage d'un groupe spécifique. La religion musulmane n'en est pas exempte tout comme les autres confessions. Même en dehors des religions, la guerre de succession est une réalité. C'est humain et on ne saurait jeter l’anathème sur une confession religieuse. Dès que la vacance dé pouvoir est constatée au niveau d'une quelconque entité, toutes les parties se battent pour en prendre la tête. Qu’importent les moyens ou voies pour y arriver. Ceci se fait même au détriment des textes régulièrement édictés. On est prêt à contourner les prescriptions, même divines pour s’octroyer ce privilège. Dans nos sociétés, tout le monde veut être chef. Or, les textes qui régissent le processus de désignation existent et sont clairs et précis en ce qui concerne le profil de l’imam. Les critères sont édifiants. N'est pas imam qui veut. Au-delà de sa maîtrise et de la connaissance qu’il a du coran et des saintes écritures en général, le prétendant doit pouvoir faire preuve de sagesse et être irréprochable. On peut disposer du savoir et maîtriser la souna et ne pas avoir de bons comportements en société. La cohabitation entre les religions est loin d’être une réalité avec l’intolérance et les actes de violences qui prévalent partout au monde. Quel espoir pour la paix ? Notre monde est en crise et de jour en jour nous faisons face à l'intolérance. On incite à la haine religieuse à travers divers actes qui ne sont pas de nature à préserver la paix. Le dialogue interreligieux doit être cultivé afin que des fidèles de diverses confessions religieuses se donnent la main en apprenant à vivre ensemble. Faire en sorte que personne ne soit stigmatisé ou violenté pour sa croyance. Aucune religion ne fait l’apologie du crime ou de la violence. Aucun enseignement religieux ne peut inciter à la haine. Ceux qui le font ne sont pas des croyants. Ils se servent de la religion pour arriver à leurs viles fins : diviser le monde. Nous ne devons en aucun cas permettre à ces personnes malintentionnées de prendre le dessus sur le bien en semant le mal. Et c’est, là tout notre rôle dans la conscientisation des masses. Nos prêches doivent être mis au service de la paix. Rien que la paix. Nous avons besoin" de la paix pour pratiquer nos religions. Et cette paix est également indispensable pour le développement. Les leaders religieux plaident pour ce dialogue interreligieux partout où ils sont et se donnent la main en toute occasion pour montrer combien la cohabitation entre les diverses confessions religieuses est essentielle pour le maintien de la paix dans nos sociétés. bibo:pages 7 -- o:id 9121 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9121 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9130 27200 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/bfcd06df94341cc37fcd2bef184df7ec3455fa6c.pdf https://islam.zmo.de/files/original/063f30aede31f9b4820346049a248ff4c0d94638.tiff dcterms:title Célébration de la Toussaint et de la fête des défunts. Rachidi Roufaï, islamologue : "L'islam n'a pas retenu un jour pour célébrer les morts" dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/36 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2046 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13713 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-11-02 dcterms:identifier iwac-article-0004260 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l'instar de leurs pairs du monde entier, les chrétiens catholiques du Bénin ont célébré, ce mercredi 1er novembre, la Toussaint ou la fête des saints. Cette célébration sera suivie ce jeudi 2 novembre de celle des défunts. Mais cette double fête n'emballe pas les musulmans qui célèbrent leurs défunts à tout moment. C’est le regard de l’islamologue Rachidi Roufaï, assistant du président de l'Union islamique du Bénin. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content A l'instar de leurs pairs du monde entier, les chrétiens catholiques du Bénin ont célébré, ce mercredi 1er novembre, la Toussaint ou la fête des saints. Cette célébration sera suivie ce jeudi 2 novembre de celle des défunts. Mais cette double fête n'emballe pas les musulmans qui célèbrent leurs défunts à tout moment. C’est le regard de l’islamologue Rachidi Roufaï, assistant du président de l'Union islamique du Bénin. La Nation : La fête de la Toussaint a-t-elle aussi une signification dans l’islam ? Rachidi Roufaï : La mort, c'est le terminus de toute vie. Aucune religion ne le conteste. Les catholiques ont choisi le jour de la Toussaint pour célébrer les saints et le 2 novembre les défunts. L’islam, quant à lui, n’a pas retenu un jour, une date ou un moment précis pour cela. La religion musulmane a recommandé aux fidèles de se souvenir de leurs défunts à tout moment. Le prophète Mahomet l’a dit et l’a martelé aux hommes de faire des offrandes et des prières à l'endroit des morts. Il fut un temps, le prophète a interdit aux femmes d’aller visiter les cimetières et les tombes. Mais après, il a levé cette interdiction et demandé aux femmes de s’y rendre. Ce qui est fait de nos jours. Le prophète est revenu sur sa décision pour permettre aux femmes de se rendre compte qu’elles mourront aussi un jour. Raison pour laquelle nous devrons nous souvenir dans nos prières de tous ceux qui nous ont laissés, car un jour nous allons les rejoindre. Ce n’est donc pas une mauvaise chose si l’Eglise catholique a choisi des moments précis pour célébrer les saints et le 2 novembre les défunts. Mais la religion musulmane n'a rien prévu dans ce sens. Et pourtant le 1er novembre est férié pour tout le monde ? L'islam reconnaît d’aller visiter les tombes et faire les prières et des offrandes à l’intention des personnes décédées. Mais l’islam ne reconnaît pas un jour pour cela. Car, en se souvenant de la mort, cela fera qu'on va s’attacher à de bonnes œuvres pour s’éloigner des turpitudes de la vie. L’islam n’est pas contre ceux qui célèbrent la fête des défunts. L’objectif étant de se souvenir des morts à travers l'entretien des tombes et des prières. Mais cette fête ne nous emballe pas quand bien même la journée du 1er novembre est déclarée fériée et payée pour tout le monde. bibo:pages 11 -- o:id 9122 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9122 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9131 27201 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/a8a62c2ce85b2be614d9d6d15f986f5cfb282061.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9ed351fe547da2bfb27b250eb8b4477807c2416a.tiff dcterms:title Religion, tolérance et laïcité : une conférence interreligieuse pour prôner la tolérance mutuelle dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/5 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12887 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/44 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/115 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-10-02 dcterms:identifier iwac-article-0004261 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une conférence interreligieuse s’est tenue, samedi 30 septembre dernier à Djougou, autour du thème « Religion, tolérance et laïcité ». Rassemblant des fidèles de différentes confessions religieuses de la commune, cette rencontre organisée par la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin dans le cadre de la célébration de son cinquantenaire, vise à promouvoir le dialogue interreligieux, la paix, l’amour et la tolérance au sein de toutes les communautés vivant à Djougou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Une conférence interreligieuse s’est tenue, samedi 30 septembre dernier à Djougou, autour du thème « Religion, tolérance et laïcité ». Rassemblant des fidèles de différentes confessions religieuses de la commune, cette rencontre organisée par la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin dans le cadre de la célébration de son cinquantenaire, vise à promouvoir le dialogue interreligieux, la paix, l’amour et la tolérance au sein de toutes les communautés vivant à Djougou. Dans un contexte marqué par des tensions entre les religions et divers actes attentatoires à l’harmonie au sein des confessions religieuses, la conférence interreligieuse organisée, samedi 30 septembre dernier à Djougou, par la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, constitue une occasion pour les organisateurs de sensibiliser davantage les populations sur la nécessité de cohabiter ensemble quelles que soient leurs différences. « Religion, tolérance et laïcité », thème retenu pour cette rencontre, selon Rana Farooq, chef de mission de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin, est d’intérêt, en ce sens que la question de la tolérance mutuelle préoccupe dans un monde marqué par les divergences religieuses. « En tant que leaders religieux, nous devons tous condamner toute violation de la liberté de culte », souligne-t-il. La nécessité de prôner le respect mutuel, l’affection et la paix constitue, à ses yeux, le seul moyen de garantir la paix et la sécurité permanente du monde afin que l’humanité soit à l’abri de cette destruction imminente qui résulte de l’absence totale de la tolérance mutuelle. Le maintien de la paix dans la société requiert l’élimination de tout sentiment d’hostilité du cœur ainsi que le rehaussement du niveau de tolérance, reconnaît-il, avant d'admettre que « l’islam est une religion pacifique qui ne nous enseigne pas à avoir recours au mal pour combattre le mal ». Mieux, les Saintes Ecritures ont de tout temps appelé à la cohabitation sans heurt entre les hommes, défend Ouorou Housséni Zoumarou, secrétaire général de la mairie de Djougou, représentant le maire, à l’ouverture de la conférence interreligieuse. « Que personne au nom de Dieu ne vienne vous inciter à la haine. La religion n’a jamais enseigné la division ni encouragé quiconque à tuer son prochain », a indiqué Djibril Boukari, représentant du préfet de la Donga. Tout en relevant le prix qu’attachent les autorités au plus haut niveau à la préservation de la paix dans le pays, Mahoudé Kassimou, directeur des Affaires intérieures et des Cultes, a indiqué que c’est à travers les échanges et le dialogue que se construit la paix. Présenté par Assani Yaya, missionnaire de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin, le thème de la conférence, a permis aux participants de comprendre que l’intolérance au sein de la religion est pour la plupart causée par l'ignorance, la pauvreté et l'égocentrisme. La religion demeure, selon le communicateur, le moyen efficace pour combattre la barbarie, la violence, l’intégrisme, la haine ou le désordre. bibo:pages 7 -- o:id 9123 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9123 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9132 27202 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e66e0471436305a0271ffb840ec2499da2d4f4e5.pdf https://islam.zmo.de/files/original/b74096b12cdfcb32186023f4c8e3225859a45a75.tiff dcterms:title Don de vivres aux personnes défavorisées : la Jama'at Islamique Ahmadiyya fait œuvre utile dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14203 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-06-22 dcterms:identifier iwac-article-0004262 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les responsables de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin ont fait don, ce mercredi 21 juin, de vivres aux pauvres et personnes démunies dans plusieurs centres à Cotonou. Un geste de solidarité et d’amour de cette communauté envers les populations en situation difficile en ce mois de ramadan. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les responsables de la Jama'at islamique Ahmadiyya du Bénin ont fait don, ce mercredi 21 juin, de vivres aux pauvres et personnes démunies dans plusieurs centres à Cotonou. Un geste de solidarité et d’amour de cette communauté envers les populations en situation difficile en ce mois de ramadan. Fidèle à sa tradition de porter assistance aux musulmans en période de jeûne et aux personnes démunies, la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin a fait œuvre utile ce mercredi à Cotonou. Les bras chargés de sac de riz, de sucres, de bidons d'huile, de pâtes alimentaires, savons et autres, les responsables de la communauté sont allés témoigner leur solidarité aux malades du Centre national hospitalier et universitaire (Cnhu) Hubert Maga de Cotonou, du Centre Jackot, aux détenus de la prison civile de Cotonou ainsi qu'au ministère de la Fonction publique, du Travail et des Affaires sociales. Avant ce geste, ils sont allés présenter le don à l’autorité préfectorale et recevoir sa bénédiction. Modeste Toboula, préfet du Littoral, a salué le geste et a remercié les donateurs pour la fraternité et la sollicitude constante depuis des années à l'ensemble des couches sociales démunies du Bénin. A chaque étape, les récipiendaires ont exprimé leur gratitude à la Jama'at islamique Ahmadiyya et ont souhaité plein succès à l’organisation dans ses actions, afin qu’elle puisse toujours venir à leur secours. Réceptionnant les vivres au ministère du Travail, de la Fonction publique et des Affaires sociales, David D. Vidéhouénou, directeur de cabinet du ministre, a salué le geste qui concrétise la devise de l’organisation "L’amour pour tous, la haine pour personne", en cette période de pénitence, de carême pour les musulmans. Ce don vient à point nommé parce qu’il intervient à un moment ou les personnes défavorisées pauvres se demandent comment fêter le ramadan, ajoute-t-il. Il espère qu’avec l’aide de la Jama’at islamique Ahmadiyya la pauvreté sera éradiquée au Bénin. bibo:pages 13 -- o:id 9124 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9124 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9133 27203 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/f3848313ae44a3a3efce1eb5707751d20c81a44f.pdf https://islam.zmo.de/files/original/9ecdc89c03e4e933ee6c1ce67e43f2133ea1e121.tiff dcterms:title Action sociale à Karimama : la Jama'at Islamique Ahmadiyya au secours des sinistrés dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14690 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-11-16 dcterms:identifier iwac-article-0004263 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin avec à sa tête son président, l'Amir Rana Farooq Ahmad, a procédé à une remise de dons aux sinistrés de la commune de Karimama. La cérémonie a eu lieu, vendredi dernier dans l’enceinte de l’hôtel de ville de la commune, en présence des autorités politico-administratives. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/334 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at Islamique Ahmadiyya du Bénin avec à sa tête son président, l'Amir Rana Farooq Ahmad, a procédé à une remise de dons aux sinistrés de la commune de Karimama. La cérémonie a eu lieu, vendredi dernier dans l’enceinte de l’hôtel de ville de la commune, en présence des autorités politico-administratives. Quatre tonnes de riz et vingt bidons de 25 l d’huile : 400 feuilles de tôles ; 300 nattes de couchage ; 200 moustiquaires imprégnées ; un camp médical au cours duquel 833 personnes ont été consultées par les médecins ; un lot important de médicaments distribués ; 100 manuels scolaires et 300 kits scolaires pour les enfants. Ces dons d'une valeur de 6 millions F Cfa ont été offerts aux sinistrés de Karimama par la communauté islamique Jama'at Islamique Ahmadiyya du Bénin, vendredi 10 novembre dernier. Après avoir souhaité la bienvenue à ses hôtes, Dourhaman Igouma, assurant l’intérim du maire de la commune, a exprimé la gratitude de la population aux donateurs pour leur sens de sollicitude constante envers les sinistrés de la région. Faisant le point des sinistres, il a signifié que 544 maisons sont inhabitables, 4568 hectares de culture sont inondés, quatorze écoles primaires publiques sont envahies et plusieurs bétails emportés par les eaux. Pour le directeur départemental de la Santé de l’Alibori, Dr Mama Bouraïma Adamou, cette action représente une réelle motivation pour les bénéficiaires. Au nom du ministre, il remercie les responsables de la Jama’at Islamique Ahmadiyya. Bako Razack, secrétaire général de la préfecture de Kandi et représentant du préfet, s’est dit heureux d’assister à cette séance. «Celui qui apporte les soins participe au développement, soyez-en remerciés », a-t-il laissé entendre d'un air enchanté. D'après l’Amir Rana Ahmad Farooq, la Jama’at Islamique Ahmadiyya vient par ce geste dire aux populations de Karimama toute sa compassion. Ladite communauté témoigne, en effet, sa solidarité aux sinistrés des dernières inondations dans la vallée du fleuve Niger. «C’est notre manière d'appuyer et d’encourager les efforts du gouvernement du président Patrice Talon pour soulager les peines des populations de Karimama », a-t-il déclaré. Le sourire noté sur les lèvres des bénéficiaires ce jour-là témoigne que ce geste aussi symbolique qu’il soit soulagera un tant soit peu leurs peines. bibo:pages 7 -- o:id 9125 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9125 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9134 27204 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/093f23c201a224e0185ddd2995f771075b4059ec.pdf https://islam.zmo.de/files/original/123ca9c449c5afc6a73564a28d984c74467cd330.tiff dcterms:title Conférence interreligieuse à Natitingou : l'appel à la tolérance de la Jama'at islamique Ahmadiyya dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15086 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/109 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2014 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-11-20 dcterms:identifier iwac-article-0004264 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Jama’at islamique Ahmadiyya a organisé, samedi 18 novembre dernier à Natitingou, dans le cadre de la célébration de ses 50 ans d'existence au Bénin, une conférence interreligieuse sur le thème « La crise mondiale et le chemin vers la paix ». Une rencontre au cours de laquelle un appel à une cohabitation pacifique entre les diverses communautés a été lancé. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La Jama’at islamique Ahmadiyya a organisé, samedi 18 novembre dernier à Natitingou, dans le cadre de la célébration de ses 50 ans d'existence au Bénin, une conférence interreligieuse sur le thème « La crise mondiale et le chemin vers la paix ». Une rencontre au cours de laquelle un appel à une cohabitation pacifique entre les diverses communautés a été lancé. Le tableau présenté par le principal communicateur à la conférence interreligieuse sur le thème « La crise mondiale et le chemin vers la paix » n’est guère reluisant en ce qui concerne les relations entre les diverses communautés religieuses. Les reconnaissant assez tumultueuses, il n’y voit aucune issue qu’un dialogue interreligieux fécond porteur d’espérance. Pour Aliou Osséni, le monde est au bord du gouffre à voir toutes les tensions auxquelles il fait face. Pis, estime-t-il, « Il est évident que les événements poussent le monde vers une troisième guerre mondiale dont les conséquences seront désastreuses ». D’où son appel à la culture de la paix, seule alternative crédible pour éviter la catastrophe. L’humilité, le respect ainsi que toutes les valeurs morales susceptibles de favoriser cette paix doivent être au centre des relations humaines. « Il y a un besoin urgent de bannir les sentiments de haine et de promouvoir les valeurs de paix. L’homme doit avoir de la compassion pour son prochain. Ceux qui sont puissants doivent traiter les faibles avec dignité », indique-t-il. Evoquant les enseignements de l’islam promouvant la paix, il a déploré les dérives et comportements de ceux qui tuent au nom de la religion. Rien, selon lui, ne saurait justifier les actes attentatoires à la vie de soi ou de l'autre. Il insistera que l’islam promeut la paix et la cohabitation pacifique. « Un musulman ne se donne pas la mort encore moins à une autre personne », admet-il. De la construction des infrastructures communautaires aux œuvres sociales en passant par les actions de paix faites au quotidien par la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, Abdoulaye Affo, secrétaire général de la préfecture de Natitingou, a salué les différentes initiatives de cette communauté en vue d’un monde meilleur. Un monde de paix qu’il faut construire en permanence tant les graines de l'intolérance sont semées partout au quotidien par des esprits peu éclairés, a relevé Rana Farooq Ahmad, président national de la Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin, tout en rappelant à l’assistance composée des leaders religieux et de fidèles de diverses communautés, la mission de son organisation. bibo:pages 7 -- o:id 9126 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9126 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9135 27205 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/ef77a23a36c9bcfb792311c5c4be8d53368529f2.pdf https://islam.zmo.de/files/original/0aae1d1413391cdffca70206094611bd1e5a5435.tiff dcterms:title Lutte contre la pauvreté : la Fondation Claudine Talon, Direct-Aid et le gouvernement scellent un partenariat dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/574 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/17 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13908 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15256 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/81 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14607 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-10-02 dcterms:identifier iwac-article-0004265 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En vue de contribuer à la réduction de la pauvreté, le gouvernement du Bénin, l’organisation internationale kowétienne Direct-Aid Bénin et la Fondation Claudine Talon ont signé un accord de partenariat, dans les locaux du ministère d’Etat chargé du Plan et du Développement. dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content En vue de contribuer à la réduction de la pauvreté, le gouvernement du Bénin, l’organisation internationale kowétienne Direct-Aid Bénin et la Fondation Claudine Talon ont signé un accord de partenariat, dans les locaux du ministère d’Etat chargé du Plan et du Développement. Le gouvernement béninois, l'organisation internationale kowétienne Direct-Aid Bénin et la Fondation Claudine Talon forment un trio pour soulager les populations vulnérables Les trois structures ont, à cet effet, scellé un partenariat, à travers la signature d'un accord, en vue d'agir en synergie. « Cette signature est le symbole d'une mutualisation des efforts pour la réduction de la pauvreté, l’assistance aux plus pauvres, l'accès à eau potable, l'amélioration du système éducatif dans toutes ses composantes », explique le représentant résident de Direct-Aid Bénin, Radouane Boukhanfra. Ce partenariat permettra de mettre en synergie leurs différentes actions pour plus d'efficacité dans l'atteinte des objectifs contre la pauvreté, poursuit-il. Ensuite, il favorisera la mise en place d’un cadre de concertation entre les parties et les ministères sectoriels pour les actions relevant de leur ministère, et enfin, des mesures d'accompagnement seront prises pour faciliter les actions des parties sur le terrain. « La signature du présent accord est une occasion pour nous d'unir nos efforts pour accroître l’impact des diverses réalisations et actions dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie de la population à la base », explique le secrétaire général du ministère chargé du Plan et du Développement, Zakarie Tassou. « Au-delà de ces actions menées qui cadrent bien avec les objectifs du Programme d'action du gouvernement, un satisfecit spécial doit être décerné à tous les acteurs qui travaillent de jour comme de nuit pour l’amélioration des conditions de vie des couches les plus vulnérables au Bénin », ajoute-t-il. Tout comme le gouvernement béninois et l’organisation internationale kowétienne Direct-Aid Bénin, l’engagement de la Fondation Claudine Talon en faveur de l'amélioration des conditions de vie des femmes et des enfants les plus vulnérables au Bénin est total. La Fondation, à travers la voix de sa représentante, Evelyne Guèdègbé se dit heureuse de la signature de ce protocole d'accord L'engagement et la disponibilité de la Fondation au profit des populations cibles vont se traduire davantage à travers ses actions futures, grâce à cette nouvelle dynamique, confie-t-elle. Présente dans 34 pays d'Afrique l’organisation internationale Direct-Aid s'est fixé pour objectif d’accompagner les gouvernants africains dans la lutte contre le triangle de la terreur (ignorance-pauvreté-maladie) à travers ses domaines d'intervention que sont la santé, l'éducation la formation, l’hydraulique, les microprojets, le social, les secours humanitaires. Elle est présente au Bénin depuis 1997 et s’emploie à repousser les frontières du dénuement. bibo:pages 11 -- o:id 9127 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9127 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9136 27206 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8e6cf4e7f3c270fc73b3533dda808e79ad2f2c77.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a87474d1bb981972554f34a5b9b40fa5d928619f.tiff dcterms:title Projet d'électrification en milieu rural : Jama'at islamique Ahmadiyya offre un lampadaire solaire à Waga dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1541 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/96 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2017-10-03 dcterms:identifier iwac-article-0004266 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les membres de la communauté musulmane Jama’at islamique Ahmadiyya ont offert aux populations du village de Waga dans la commune de Zè, un lampadaire et des bancs publics. La remise de ces infrastructures a eu lieu, ce lundi 2 octobre, en présence du maire de la commune. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12847 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Les membres de la communauté musulmane Jama’at islamique Ahmadiyya ont offert aux populations du village de Waga dans la commune de Zè, un lampadaire et des bancs publics. La remise de ces infrastructures a eu lieu, ce lundi 2 octobre, en présence du maire de la commune. Depuis ce lundi 2 octobre, les populations du village de Waga dans la commune de Zè sortent, en partie, du noir. Elles s'éclairent désormais à la lumière d’un lampadaire dont la mise en service a eu lieu, ce lundi 2 octobre. Waga est donc le premier village parmi les vingt-cinq devant bénéficier de la construction d’une telle infrastructure par la Jama’at islamique Ahmadiyya. Ces villages ont été choisis par cette communauté dans le cadre de son projet d’électrification en milieu rural. « Ce projet va doter vingt-cinq villages du Bénin de panneaux solaires à raison de deux villages par département. Le village de Waga est le premier à en bénéficier. L’installation de ces lampadaires est en cours de réalisation dans les autres localités », explique Farooq Rana Ahmad, président de la Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin. Le coût global du projet, qui vise à soulager certaines populations rurales béninoises en matière d’électrification, s’élève à 70 millions F Cfa, informe-t-il. L'installation de ce lampadaire dans le village de Waga est accompagnée de la remise de deux bancs publics pour permettre notamment aux élèves de cette localité de « pouvoir apprendre plus facilement leurs leçons ». Joseph Dangbénou, maire de la commune de Zè, s’est réjoui de cette initiative et a invité les populations à prendre soin de ces infrastructures afin de pouvoir en bénéficier sur une longue période. « Vous devez veiller sur ce lampadaire pour éviter que les voleurs ne puissent enlever sa batterie », suggère-t-il aux populations venues par dizaines assister à la cérémonie d’inauguration. Pour Antoine Anagonou, chef du village de Waga, ces infrastructures constituent une vraie opportunité pour les apprenants. « Nos enfants ont toujours du mal à apprendre leurs leçons pendant la nuit avec les lanternes et les lampions. Ce lampadaire va contribuer à améliorer le niveau de nos enfants », laisse-t-il entendre. Joseph Dangbénou a invité les membres de la communauté musulmane Jama’at islamique Ahmadiyya à penser aux cent un villages de la commune de Zè qui ont également besoin, selon lui, d’être éclairés. « Tous les villages de notre commune ont besoin de ces infrastructures, pour faire reculer l’insécurité, il est souhaitable que le projet s’étende à d’autres localités pour le bonheur des populations », plaide-t-il. bibo:pages 9 -- o:id 9137 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9137 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9139 27207 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/8cfa78028034b178ff716e50620b886ad34d4f05.pdf https://islam.zmo.de/files/original/1cfaed6f6fe4c03e79d7145b0d43052b8fcff1c4.tiff dcterms:title Célébration de Maouloud : réfléchir sur les qualités de Mahomet dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/29 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2013 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/26 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/86 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/35 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-11-21 dcterms:identifier iwac-article-0004267 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane a fêté le Maouloud (aid al mawlid) ce mardi 20 novembre. Loin des réjouissances, la fête de Maouloud est un appel à imiter la vie du prophète Mahomet. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/489 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content La communauté musulmane a fêté le Maouloud (aid al mawlid) ce mardi 20 novembre. Loin des réjouissances, la fête de Maouloud est un appel à imiter la vie du prophète Mahomet. Un tour à la mosquée centrale de Bohicon a permis de constater qu’il n'y a pas eu d’évènement officiel, pas de festin, les portes de la mosquée sont toutes fermées. Dans la ville, en particulier au quartier Zongo, aucun indice de fête. Karim Abou, musulman, affirme: « Je ne sais pas de quelle fête il s'agit et la journée d’aujourd'hui est déclarée fériée. » Tout comme Karim, beaucoup d'autres musulmans ne connaissent pas la fête de Maouloud. Ceux qui en ont une idée ignorent que c'est ce mardi la fête. Abdoulaye Chaïbou, assistant de l'Imam de la mosquée centrale de Bohicon, dit apprendre de notre bouche que c’est ce mardi la fête. Il avoue son ignorance tout en rappelant que Maouloud est une commémoration, pas une fête. « C'est la commémoration du jour de naissance de Mahomet », dit-il. Plusieurs prophètes existent bien avant Mahomet mais la communauté musulmane célèbre sa naissance à cause de sa fidélité et de ses multiples recommandations qui ont changé le monde islamique. Mahomet est initiateur des cinq prières par jour pour chaque musulman. L’initiation à la Mecque et l’aumône sont entre autres, ses recommandations. «C’est une journée de réflexions, de souvenir à l'endroit du prophète Mahomet », fait comprendre Idrissou Boukari, iman de la mosquée centrale de Bohicon. Il revient à chaque musulman ce jour de penser aux recommandations du prophète Mahomet, chercher à avoir ses qualités. bibo:pages 5 -- o:id 9138 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/9138 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 9140 27208 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/c1b2c21028848e72ae30c771ce21c14f1382e67e.pdf https://islam.zmo.de/files/original/a32046a7f49a1856722f119fd7c5726007ccb444.tiff dcterms:title Retrait du Prd du Bloc républicain : les imams de Porto-Novo chez le président du Prd dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1377 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1467 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1417 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-12-06 dcterms:identifier iwac-article-0004268 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président du Parti du renouveau démocratique (Prd), Me Adrien Houngbédji a reçu à son domicile à Adjina, ce mercredi 5 décembre, une délégation des imams et de la communauté musulmane de Porto-Novo conduite par le président de l’Union islamique du Bénin (Uib), Houzéifa Amzat. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14246 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 dcterms:rightsHolder https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 bibo:content Le président du Parti du renouveau démocratique (Prd), Me Adrien Houngbédji a reçu à son domicile à Adjina, ce mercredi 5 décembre, une délégation des imams et de la communauté musulmane de Porto-Novo conduite par le président de l’Union islamique du Bénin (Uib), Houzéifa Amzat. Selon des indiscrétions, la délégation est allée témoigner son soutien au président Adrien Houngbédji. Soutien d’abord, pour le choix du parti de se mobiliser depuis 2016 aux côtés du président de la République, Patrice Talon, pour la réussite de son quinquennat, ensuite, pour l’option du Prd d’aller aux prochaines élections législatives avec ses attributs. Pour la délégation des imams de Porto-Novo, à en croire les mêmes sources, cette option permettra aux militants du Prd de mieux soutenir le chef de l’État en lui donnant assez de députés pour une majorité écrasante à la prochaine législature. Elle félicite Me Adrien Houngbédji pour ce choix de rester toujours dans la Mouvance présidentielle, en dépit de la décision de suspension du parti du processus de création du Bloc républicain. Laquelle décision fait couler beaucoup d’encre et de salive. Le président Adrien Houngbédji, pour sa part, aurait rappelé à ses hôtes que le choix du Prd de faire partie de la mouvance présidentielle a été une décision du congrès du parti tenu à Ifangni en février 2014. Pour lui, le Prd est toujours dans cette lancée et ne changera pas de ligne quoiqu’en soit ce qui adviendra. Le leader charismatique du Prd aurait saisi l’occasion pour faire le point de la rencontre intervenue, jeudi 30 novembre dernier, au palais de la présidence de la République, à Cotonou, entre le chef de l’Etat et les responsables du Prd. Il a également passé en revue avec ses hôtes les nombreux projets que le président Patrice Talon a pour la ville capitale et tout le département de l’Ouémé avant de les inviter à la mobilisation et à la sérénité. Thibaud C. NAGNONHOU, A/R Ouémé-Plateau bibo:pages 5 -- o:id 10218 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10218 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 10221 27209 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/e86138d5d7a0d2d82ade93e9bd656f5a308ea0f0.pdf https://islam.zmo.de/files/original/d507561d611021fb828f220207fc441bbadae98d.tiff dcterms:title La foi à l'épreuve de la loi du marché dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1514 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1550 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/12912 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/32 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2014-07-10 dcterms:identifier iwac-article-0004947 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Il est connu de tous que le mois du Ramadan rime avec la flambée de prix des fruits. Cette année, la situation devenue cyclique se fait aussi remarquer un peu partout dans les marchés. A Ganhi, Cadjèhoun, Gbégamey ou même Dantokpa, les étalages sont bien achalandés. Pourtant, les clients se font toujours attendre. La grande affluence d’antan a cédé place à quelques clients sporadiques. La cause, les fruits sont chers, très chers même selon certains clients. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/464 bibo:content Il est connu de tous que le mois du Ramadan rime avec la flambée de prix des fruits. Cette année, la situation devenue cyclique se fait aussi remarquer un peu partout dans les marchés. A Ganhi, Cadjèhoun, Gbégamey ou même Dantokpa, les étalages sont bien achalandés. Pourtant, les clients se font toujours attendre. La grande affluence d’antan a cédé place à quelques clients sporadiques. La cause, les fruits sont chers, très chers même selon certains clients. Il est 18h au marché de fruits de Cadjèhoun non loin de la mosquée centrale mardi 8 juillet dernier. Nous sommes à une heure de la rupture du jeûne. Pourtant, il n’y a pas grand monde devant les étalages des vendeuses de fruits. Juste un ou deux clients. Ganimah Idrissou, foulard blanc bien noué du cou à la tête comme toute bonne pratiquante de la religion musulmane, est venue se ravitailler afin de permettre à sa famille de rompre le jeûne comme le veut la tradition. Elle prend un régime de banane, demande le prix, le palpe, le retourne dans tous les sens et le dépose. « 3000FCFA pour ce maigre régime de banane? », s’écrit-elle. Face au prix annoncé par la vendeuse, elle est obligée de revoir ses prévisions à la baisse. Peut-être que le prix de l’orange sera à la portée de sa bourse. Après une âpre discussion entre elle et la vendeuse, Ganimah Idrissou s'en sort avec un lot de 15 oranges bien entassées dans un filet. « 15 petites oranges à 1000FCFA soit 75FCFA l’unité. C’est incroyable. Tout est cher en période de carême. Mais qu’est-ce que vous voulez ? On est obligé de faire avec », confie-t-elle. Au marché de Gbégamey, Blaise Agbohoun discute avec la vendeuse devant un étalage de fruits. C’est un pâtissier. Il a besoin des fruits pour faire ses recettes. Il n’est pas musulman mais comme tout le monde, il se voit contraint de subir la loi du marché en cette période de carême. «La cherté actuelle des fruits est particulièrement difficile pour nous autres. Nous pratiquons des prix standards sur les produits que nous mettons en vente. On ne peut pas prétexter de la hausse du prix des fruits pour augmenter le prix de nos produits. On est obligé de revoir le dosage et cela déteint sur la qualité du produit. Les clients s’en plaignent mais on n'y peut rien. C’est la période qui nous oblige à agir de la sorte. Cela va durer encore trois semaines et après tout revient à la normale», explique-t-il. À la question de savoir pourquoi selon lui les fruits augmentent de prix en cette période, Blaise Agbohoun estime que c’est la surenchère qui serait à la base de cette situation. Pour lui, la forte demande en cette période fait que les grossistes et détaillants augmentent exagérément les prix des fruits. bibo:pages 11 -- o:id 10219 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/10219 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 o:media/o:id 10222 27210 o:media/file https://islam.zmo.de/files/original/b98613d0ff1aa55d2845f3c429714bb4d9171254.pdf https://islam.zmo.de/files/original/c3d7f166406161116c68ef197e1145ffc482e7cf.tiff dcterms:title Préparatifs de la fête de Tabaski 2018 : le marché au mouton manque d'affluence à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1511 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/125 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14425 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1681 dcterms:date 2018-08-20 dcterms:identifier iwac-article-0004948 dcterms:source https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract À la veille de la fête de Tabaski prévue pour demain mardi, les musulmans ne se pressent pas vers le marché circonstanciel installé à Zongo à Cotonou pour s'approvisionner en mouton destiné au sacrifice en mémoire du geste de foi du prophète Ibrahim. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/546 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/298 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/395 bibo:content À la veille de la fête de Tabaski prévue pour demain mardi, les musulmans ne se pressent pas vers le marché circonstanciel installé à Zongo à Cotonou pour s'approvisionner en mouton destiné au sacrifice en mémoire du geste de foi du prophète Ibrahim. Demain, la communauté musulmane fête l'Aïd el-Kébir encore appelée la Tabaski ou communément la Fête du mouton. Une fête en mémoire du songe qui rappelle au prophète Ibrahim son engagement à sacrifier son enfant, si Dieu lui accordait la grâce d’en avoir un À la veille de cette fête célébrée le dixième jour du douzième mois lunaire, le marché aux moutons est davantage fourni. Mais l'affluence attendue par les vendeurs n'était pas, ce week-end, au rendez-vous à Zongo à Cotonou. Les vendeurs attendent les acheteurs qui ne se pressent pas encore. Mohamad Sow, un vendeur de mouton sur la place improvisée de Zongo, indique que le marché manque d'affluence. Selon lui, beaucoup de présumés acheteurs se présentent, débattent du prix, mais promettent de revenir avant de quitter la foire sans rien acheter. Cette situation, explique-t-il, serait due au manque de ressources suffisantes pour acheter l'animal dont le prix, dit-il, varie entre 30 000 et 300 000 francs Cfa. Ce vendeur sénégalo-béninois explique que les animaux sont disponibles sur le marché selon différentes bourses. Mais il regrette que les rares acheteurs hésitent à délier le cordon de leurs bourses. Aussi, s'empresse-t-il d’expliquer qu’il y a moins d’animaux cette année que l'année dernière. Cette baisse de l’effectif des bêtes, soutient-il, serait la conséquence du renchérissement des prix au Sénégal et en Côte d'Ivoire. « Les fournisseurs burkinabé ont préféré convoyé les cheptels vers ces pays plutôt qu’au Bénin », raconte-t-il pour expliquer que ces pays auraient attiré les éleveurs vers leurs marchés beaucoup plus rentables. Tout en s’étonnant que malgré le prix abordable du mouton cette année, il y ait moins d’affluence, ce vendeur de mouton espère que l'affluence se manifestera peut-être à l’avant-veille ou la veille (dimanche et lundi). Une opinion que partage Deen Nassirou, un autre vendeur de mouton qui rappelle qu’à pareil moment l’année dernière, l'affluence était importante. Bien qu’ayant déjà vendu plus d’une centaine de moutons avant 16 h, ce samedi, il soutient qu’à pareil moment, l’année dernière, son chiffre d'affaires était nettement supérieur. Deen Nassirou explique, pour sa part, le manque d'affluence des clients sur le marché par le déplacement du marché à bétail de son emplacement habituel à Djeffa et son transfert vers Abomey-Calavi et Djrègbé. « C’est cela qui est surtout à la base de cette situation », explique-t-il, avant de signaler que les gens qui sont à Cotonou ne savent pas où s’approvisionner en mouton pour la fête. « C'est l’une des motivations qui ont conduit à improviser un marché en plein cœur de Cotonou à Zongo, a-t-il ajouté. Son voisin Mohamed Koundjé soutient que le prix du mouton a baissé cette année comparativement à l'année dernière. Mais, il se plaint aussi du manque d’affluence. Pour convaincre, il montre un mouton et indique qu'il souhaite le vendre à 50 000 depuis le matin sans succès, alors que l'année dernière, les bêtes de sa trempe auraient été vendu à 65 000, voire 70 000. « Depuis le matin, les gens viennent, négocient le prix, mais se retirent », confie-t-il, désespéré. Proximité de la rentrée scolaire Mohamed Koundjé pense aussi que cette situation de mévente serait due à l'approche de la rentrée scolaire. « Les gens disent qu’ils doivent aussi préparer la rentrée des enfants », raconte-t-il, soutenant qu’aucun parent n’entend dépenser pour la fête alors que la rentrée scolaire qui est une priorité pour les enfants pointe déjà à l'horizon. Pour Hassan Adanou, les quelques rares personnes qui approchent le marché aux moutons s'abstiennent d'acheter parce qu'ils estiment que les prix seraient élevés. Contrairement aux autres vendeurs, il estime que les prix des animaux ont connu une légère hausse. Cependant, il espère que les deux derniers jours d’avant la fête pourraient enregistrer une modification du comportement du marché et que les moutons seront vendus. Rachidi Olorodé de la mosquée centrale de Vodjè, qui a déjà acheté un mouton de 90 000 F, rassure que les fidèles sont en train d'acheter le mouton et que ceux qui ne l'ont pas encore fait iraient avant le jour de la fête. Rappelant qu'il y a trois types d’animaux qui peuvent être immolés le jour de la Tabaski : bélier, vache, ou chameau, il souligne qu'à l'approche de la fête, il y a toujours une inflation du prix du mouton. Rachidi Olorodé affirme que les prix n'ont pas pour autant varié entre l'année dernière et cette année, mais signale en revanche que le temps n'est pas propice actuellement. Il rassure que si le musulman n’a pas les moyens de s’acheter un mouton, ce n'est pas une obligation. « Si tu n'as pas les moyens, tu laisses carrément et tu te contentes de ce que Dieu t'a donné », souligne-t-il. Il poursuit et rassure que la communauté sacrifie un mouton au nom de tout le monde. bibo:pages 8 -- o:id 23392 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23392 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Modification du code électoral : l'appel des Confessions religieuses à préserver la paix dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1512 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/13030 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/15389 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/2046 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/42 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/61 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/765 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/812 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-03-06 dcterms:identifier iwac-article-0005119 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les leaders des Confessions religieuses réunissant les représentants de l’Islam, de l’Eglise protestante méthodiste et de l’Eglise catholique ont invité les députés à préserver la paix et la stabilité du pays, dans le cadre de la modification du code électoral. C’était ce mardi 5 mars, au siège de la Conférence épiscopale à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content Les leaders des Confessions religieuses réunissant les représentants de l’Islam, de l’Eglise protestante méthodiste et de l’Eglise catholique ont invité les députés à préserver la paix et la stabilité du pays, dans le cadre de la modification du code électoral. C’était ce mardi 5 mars, au siège de la Conférence épiscopale à Cotonou. « Les leaders des Confessions religieuses invitent les députés, au nom de l’intérêt supérieur de la Nation, au nom de la préservation de la paix et de la stabilité de notre pays, à éviter toute loi ou disposition pouvant porter à l’exclusion », a déclaré Mgr Roger Houngbédji, archevêque de Cotonou, président de la Conférence épiscopale du Bénin. A la faveur d’un point de presse conjoint avec ses pairs de l’Islam et de l’Eglise protestante méthodiste, le Prélat a rappelé que les leaders des Confessions religieuses, comme à l’accoutumée, suivent avec attention la situation sociopolitique du pays. Prenant acte de la décision 24-001 du 04 janvier 2024 par laquelle la Cour constitutionnelle invite « l’Assemblée nationale à modifier le code électoral pour, d’une part rétablir l’égalité du pouvoir de parrainer à l’égard de tous les maires et, d’autre part rendre conformes à l’article 49 de la Constitution, les dispositions de l’article 142, alinéa 6 de la loi 2019-43 du 15 novembre 2019 portant code électoral », les confessions religieuses du Bénin appellent les filles et fils du Bénin au calme et les acteurs politiques de toutes obédiences, à la sagesse et à la retenue pour la préservation du vivre-ensemble, gage du développement du pays. « Il faut, à tout prix, épargner au peuple béninois les violences qui ont émaillé les dernières élections, par le vote d’un code électoral qui garantisse des élections pacifiques, transparentes, inclusives et démocratiques en 2026 », ont déclaré les leaders des Confessions religieuses réunissant les représentants de l’Islam, de l’Eglise protestante méthodiste et de l’Eglise catholique. Sont signataires de la déclaration, Mgr Roger Houngbédji, le Révérend Jésukon Pascal Sagbohan, aumônier national des cadres et leaders protestants méthodistes du Bénin, le Révérend Père Nathanaël Yaovi Soede, aumônier national des cadres et personnalités politiques, l’Imam Ahmed Roufaï Mani, commissaire dialogue interreligieux de l’Union islamique du Bénin, et Saïbou Radji, membre du Comité permanent du dialogue interreligieux de l’Union africaine. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240306084324/https://lanation.bj/actualites/modification-du-code-electoral-lappel-des-confessions-religieuses-a-preserver-la-paix -- o:id 23393 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23393 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Drame à Nikki : un accident de la circulation fatal à six membres d’une même famille dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-04-11 dcterms:identifier iwac-article-0005120 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une motocyclette remorquant 7 passagers, tous d’une même famille, a été violemment percutée par le véhicule d’un opérateur de téléphonie mobile, lundi 8 avril dernier autour de 20h à l’entrée sud de Nikki. Le bilan fait état de 6 personnes décédées dont 5 enregistrées sur les lieux du drame et tous des enfants. En procédant à leur inhumation, ce mardi 9 avril, inconsolables étaient les membres de leur famille. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/372 bibo:content Une motocyclette remorquant 7 passagers, tous d’une même famille, a été violemment percutée par le véhicule d’un opérateur de téléphonie mobile, lundi 8 avril dernier autour de 20h à l’entrée sud de Nikki. Le bilan fait état de 6 personnes décédées dont 5 enregistrées sur les lieux du drame et tous des enfants. En procédant à leur inhumation, ce mardi 9 avril, inconsolables étaient les membres de leur famille. Au Bénin, la communauté musulmane a célébré hier, mercredi 10 avril, l’Aïd El-Fitr. Mais à Sémaro, un village situé à 2 km à l’entrée sud de Nikki, c’est dans le deuil que ses préparatifs ont plongé toute une famille. Celle-ci a perdu six de ses membres, pour la plupart des enfants, lors d’un accident de la circulation survenu, lundi 8 avril dernier à l’entrée sud de Nikki centre. La motocyclette qui transportait sept passagers dont le conducteur a été percutée par un véhicule appartenant à un réseau Gsm. Sur place, cinq enfants ont rendu l’âme. Quant aux deux autres dont le conducteur de la motocyclette, ils ont été transférés d’urgence à l’hôpital Sounon Séro de Nikki, pour des soins intensifs. Un des enfants a pu être sauvé. Ce qui n’a pas été le cas de celui qui les transportait. Déjà dans un état alarmant, il a succombé. Ce qui fait un total de six morts enregistrés, suite à cet accident de la circulation. Après une prière musulmane dite à leur intention, ils ont été inhumés, mardi 9 avril à Sèmaro. C’était en présence des autorités communales et locales, ainsi que des populations venues soutenir leur famille dont les membres étaient consternés et dévastés. « C’est un véhicule qui a percuté une motocyclette sur laquelle il y avait un monsieur remorquant six enfants. Il les amenait de Sémaro à Nikki, pour se coiffer, dans le cadre des festivités de l’Aïd El-Fitr», a confié le maire de Nikki, Roland Gounou Lafia Joseph. « C’est alors que le véhicule qui n’avait pas de phares et qui roulait à très vive allure, selon les témoignages, a percuté leur engin. Il était précédé par un minibus qui avait, quant à lui, ses feux allumés. A sa vue, le conducteur de la motocyclette s’est arrêté pour qu’il passe. L’autre véhicule qui suivait n’ayant pas de phares, il n’a pas eu le temps de remarquer sa présence, puis s’est engagé. Ils ont alors été ramassés par derrière et traînés sur près de 50 m », détaille-t-il. En effet, le conducteur de la motocyclette n’avait qu’un seul enfant parmi les six qu’il transportait. Outre les quatre de l’un de ses jeunes frères, il y avait également un enfant de son frère aîné sur l’engin avec lui. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413030305/https://lanation.bj/actualites/drame-a-nikki-un-accident-de-la-circulation-fatal-a-six-membres-dune-meme-famille -- o:id 23394 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23394 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Appel à la solidarité à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-04-11 dcterms:identifier iwac-article-0005121 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les membres de la communauté musulmane à Parakou ont également célébré, ce mercredi 10 avril, l’Aïd El-Fitr. Au niveau des différentes places Idi de la ville, grande était leur mobilisation, pour prendre part à la prière marquant la fin du mois de privations et de jeûne du Ramadan. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 bibo:content Les membres de la communauté musulmane à Parakou ont également célébré, ce mercredi 10 avril, l’Aïd El-Fitr. Au niveau des différentes places Idi de la ville, grande était leur mobilisation, pour prendre part à la prière marquant la fin du mois de privations et de jeûne du Ramadan. A Parakou, comme il est de tradition à chaque célébration de l’Aïd El-Fitr, c’est parés de leurs plus beaux habits que les fidèles musulmans ont pris d’assaut, ce mercredi 10 avril, les différentes places Idi de la ville. Pendant que l’imam Wakaya dirigeait la prière à la place Carder, c’est sous les offices de l’imam Issa Mohamed Awali, qu’ils ont invoqué Allah le Miséricordieux, à celle de Zongo, pour ses bienfaits au cours de ce mois béni du Ramadan. Partout à Parakou, ce fut une célébration sereine. Après les rituels de la prière, les imams ont, pour une continuité spirituelle après le mois saint, recommandé un certain nombre d’attitudes à adopter aux fidèles. Tout en insistant sur la nécessité de maintenir les bonnes habitudes acquises pendant ce mois de jeûne, telles que l’aumône, les prières quotidiennes et le partage, ils les ont également exhortés, dans leurs prêches, à éviter désormais tout comportement nuisible. A travers l’amour du prochain et le pardon, les fidèles sont donc appelés à persévérer dans la piété et la crainte de Dieu. Ce sera pour contribuer à des communautés au sein desquelles règnent la cohésion sociale, la vie harmonieuse et le pacifisme. «Le mois du Ramadan, c’est celui consacré pour réparer ce que nous avons détruit », a rappelé l’imam Issa Mohamed Awali. A la place Idi de Dokparou Est où il était, le maire de Parakou, Inoussa Zimé Chabi, a prié pour la paix et la cohésion entre les fils et filles du Bénin et particulièrement, ceux de la cité des Kobourou. Selon lui, la fête est finie mais la vie continue. Aussi, a-t-il conseillé la modération. Il a ensuite appelé à la solidarité entre les fidèles. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413010134/https://lanation.bj/actualites/appel-a-la-solidarite-a-parakou -- o:id 23395 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23395 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de l’Aïd El-Fitr : les vertus spirituelles prêchées à Bohicon dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-04-11 dcterms:identifier iwac-article-0005122 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après 30 jours de jeûne, la communauté musulmane de Bohicon a célébré, hier mercredi 10 avril, le ramadan, la fin du jeûne. La place Idi de Bohicon a accueilli ce moment de communion qui a été aussi pour les chefs religieux l’occasion d’inviter les fidèles musulmans à l’exemplarité et à prier pour la paix et l’amour du prochain. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 bibo:content Après 30 jours de jeûne, la communauté musulmane de Bohicon a célébré, hier mercredi 10 avril, le ramadan, la fin du jeûne. La place Idi de Bohicon a accueilli ce moment de communion qui a été aussi pour les chefs religieux l’occasion d’inviter les fidèles musulmans à l’exemplarité et à prier pour la paix et l’amour du prochain. Il est 10h00 sur la place Idi. L’imam Idrissou Boukari installé sur son tapis de prière donne le top avec les sourates appropriées pour ce jour spécial. Le chef religieux lance la prière dite en arabe. Une prière qui rappelle que le musulman vient de passer 30 jours de jeûne, et qu’il lui faut donc louer le Grand et Miséricordieux Allah pour cette grâce. A l’issue de la prière, l’imam a prêché essentiellement le bon comportement du musulman pour plaire au miséricordieux Allah. A cet effet, il a invité les fidèles à faire preuve de piété, de partage, de tolérance et surtout de solidarité. A en croire Idrissou Boukari, ces vertus sont enseignées par le saint Coran qui contient la parole d’Allah que tout bon musulman doit traduire en actes au sein de sa famille et dans la nation. Ces bonnes pratiques doivent se poursuivre même après un mois de privations, d’abstinence et d’intenses prières, a-t-il insisté. Les fidéles priant Allah sous la direction d' Idrissou Boukari ... L’imam Idrissou Boukari a aussi mis l’accent sur le devoir de solidarité, la tolérance et la paix au Bénin et dans le monde. Puis, il poursuit en recommandant à chacun et à tous, pour cette période de bénédictions, de continuer à prier pour la paix, le Bénin et ses dirigeants, les malades et tous ceux qui traversent des difficultés diverses ces jours-ci. C’est la condition, prévient-il, pour continuer par bénéficier de la grâce du mois de ramadan. Puis, il rappelle à chacun son devoir en ce jour de joie, qui consiste à louer Dieu le Créateur pour la grâce faite durant ces 30 jours de jeûne. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413010039/https://lanation.bj/actualites/celebration-de-laid-el-fitr-les-vertus-spirituelles-prechees-a-bohicon -- o:id 23396 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23396 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Prière de ramadan 2024 à Porto-Novo : s'interdire le mal pour promouvoir la paix et le bien dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-04-11 dcterms:identifier iwac-article-0005123 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La grande prière de la fête de ramadan s’est déroulée à Porto-Novo, ce mercredi 10 avril, à la Place Idi d’Agbokou où les fidèles ont été invités à s’interdire le mal au profit de la promotion de la paix et du bien. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 bibo:content La grande prière de la fête de ramadan s’est déroulée à Porto-Novo, ce mercredi 10 avril, à la Place Idi d’Agbokou où les fidèles ont été invités à s’interdire le mal au profit de la promotion de la paix et du bien. La Place Idi d’Agbokou à Porto-Novo, comme chaque année, a encore grouillé de monde ce mercredi matin. Des milliers de fidèles musulmans, bien habillés, s’y sont rendus pour participer à la grande prière de la fête de ramadan encore appelée l’Aïd-el-Fitr, marquant la fin du jeûne musulman. La plupart étaient munis de leur tapis de prière. Cette célébration intervient 30 jours après le démarrage du carême. La grande prière a été officiée par Houzéifa Amzat, imam de la mosquée centrale de Porto-Novo et ex-président de l’Union islamique du Bénin (Uib). Elle a lieu sous une forte invocation religieuse en arabe « Allah Akbar » signifiant en français « Dieu est plus grand ». L’autorité religieuse, dans son sermon en arabe, en français puis en Yoruba, a tiré conseils des Saintes écritures du coran. L’imam Houzéifa Amzat a invité les fidèles musulmans à perpétuer les bonnes habitudes et pratiques observées tout au long du mois du jeûne. Il faut qu’ils cultivent les vertus de la paix, du bien, du pardon, de la tolérance et de l’humilité afin d’être en harmonie avec Allah et de bénéficier de ses grâces et indulgences. Les fidèles musulmans ont été exhortés à s’interdire le mal. La promotion de bonnes valeurs est gage de la consolidation de la paix, de la tranquillité et de la stabilité dans les familles et de la cohésion au sein de la communauté musulmane de Porto-Novo, a insisté l’imam central de la ville capitale. « Oh Dieu tout-puissant, en cette période bénie du mois de ramadan, nous nous tournons vers vous avec humilité et dévotion. Nous vous prions de guider le Bénin sur le chemin de la paix, de la prospérité et de l’unité», a imploré l’imam. Houzéifa Amzat a prié Dieu d’éclairer les autorités du Bénin pour qu’elles gouvernent avec équité et justice; et œuvrent pour le bien-être des concitoyens sans distinction de race, de religion et d’origine. Prières et pénitence Comme à ses habitudes tous les ans quand il est au pays, le président de l’Assemblée nationale, Louis Vlavonou a honoré de sa présence la grande prière de ramadan. Il marque ainsi sa proximité et sa communion avec les fidèles musulmans. Cette communion se justifie à plus d’un titre parce que à l’occasion, les fidèles musulmans prient pour le pays, pour la paix, pour tout le peuple béninois et pour les autorités à divers niveaux. En tant que président de l’Assemblée nationale, il ne peut pas rester indifférent à ce moment d’intenses prières. Louis Vlavonou constate avec satisfaction la mobilisation des autres confessions religieuses aux côtés des musulmans. Cela prouve, selon lui, que le dialogue interreligieux est en marche au Bénin. « Je pense que cela est important en ces jours et en ces temps où il y a une certaine effervescence. Nous avons besoin de la prière de toutes les confessions religieuses pour apaiser les cœurs et redonner confiance à chacun parce que tous, nous aimons ce pays », a apprécié l’autorité parlementaire. Charlemagne Yankoty, maire de Porto-Novo et Jules Houngbo, représentant du préfet de l’Ouémé, ont également loué et encouragé cette bonne entente entre les confessions religieuses. Ce qui est un symbole fort pour le vivre-ensemble à Porto-Novo, dans l’Ouémé et au Bénin. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413010323/https://lanation.bj/actualites/priere-de-ramadan-2024-a-porto-novo-sinterdire-le-mal-pour-promouvoir-la-paix-et-le-bien -- o:id 23397 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23397 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Sous le signe de la paix à Natitingou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1507 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-04-11 dcterms:identifier iwac-article-0005124 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane de Natitingou a célébré l’Aïd-el-fitr, ce mercredi 10 avril, à la place Idi de la commune. Les fidèles musulmans ont investi cet espace devenu trop exigu. Dans son sermon, l’Imam Nourou Dine Mohamed Sanni a insisté sur la paix, fondamentale au développement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 bibo:content La communauté musulmane de Natitingou a célébré l’Aïd-el-fitr, ce mercredi 10 avril, à la place Idi de la commune. Les fidèles musulmans ont investi cet espace devenu trop exigu. Dans son sermon, l’Imam Nourou Dine Mohamed Sanni a insisté sur la paix, fondamentale au développement. Mercredi 10 avril 2024. Les fidèles musulmans de Natitingou, venus par milliers à la place Idi, ont participé à la prière marquant la fête du ramadan. Cette communauté a été soutenue par les autorités politico-administratives ainsi que les autres confessions religieuses et les têtes couronnées de la ville. À l’occasion, l’imam Nourou Dine Mohamed Sanni a insisté dans son sermon sur la paix, fondamentale au développement. « Frères en Islam, aujourd’hui, notre sermon tourne autour de la paix, indispensable pour notre vie. Chacun de nous doit œuvrer au quotidien pour assurer la paix dans son milieu, dans sa ville, dans son lieu de travail. C’est notre devoir parce que sans la paix, l’imam ne peut pas aller à la mosquée. Le prêtre ne peut pas se rendre à son église, les commerçants ne peuvent pas aller au marché ni les paysans au champ. Sans la paix, toutes les activités vont s’arrêter…», martèle l’imam. Il implore Allah d’accorder sa paix au Bénin et à toute l’Afrique. Il le prie aussi pour qu’il assiste les autorités du Bénin, notamment le chef de l’État et les députés. Venu au nom de la communauté chrétienne catholique souhaiter une bonne fête aux musulmans, Antoine Sabi Bio, évêque de Natitingou, s’estime heureux de participer à la prière. Rappelant que la paix est un facteur déterminant du développement, l’évêque invite chaque citoyen à cultiver les pensées, les paroles et les comportements de paix. « C’est Dieu qui donne la paix. Si nous sommes ensemble et nous prions, Dieu ne peut pas nous refuser cette paix-là. Dieu nous a créés nombreux, il nous a mis ensemble et nous a donné plusieurs formules pour pouvoir s’adresser à lui », a précisé l’évêque de Natitingou. Pour sa part, Taté Ouindéyama, maire de Natitingou, fait savoir que le gouvernement œuvre au renforcement de la paix. La cohésion de toutes les religions à Natitingou témoigne, selon le maire, de la paix. Il faut travailler à renforcer les valeurs traditionnelles de cohésion sociale, suggère Okoti Tcha-Dietti, chef suprême des cultes otamari. Le docteur Mohamed Bawa Cissé, chargé de mission du préfet de l’Atacora, note que la paix est une denrée essentielle pour le vivre-ensemble. Le chargé de mission informe que la cohésion sociale est aujourd’hui incontournable, sans elle, aucune activité ne peut se mener. Le Bénin peut se réjouir, dit-il, des efforts du gouvernement qui ont atténué les effets néfastes des perturbations qui n’épargnent pas le département de l’Atacora. « La cohésion sociale garantit la tranquillité des institutions et l’exercice du pouvoir d’Etat », rassure docteur Mohamed Bawa Cissé. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413010040/https://lanation.bj/actualites/sous-le-signe-de-la-paix-a-natitingou -- o:id 23398 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23398 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Prière et liesse populaire à Aïdjèdo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1512 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-04-11 dcterms:identifier iwac-article-0005125 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Au quartier Aïdjèdo dans le 6e arrondissement de Cotonou, les fidèles musulmans ont pris d’assaut la place Idi pour prier et manifester leur joie, à l’occasion de la célébration de l’Aïd-el-Fitr, qui marque la fin du mois de ramadan, ce mercredi 10 avril. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content Au quartier Aïdjèdo dans le 6e arrondissement de Cotonou, les fidèles musulmans ont pris d’assaut la place Idi pour prier et manifester leur joie, à l’occasion de la célébration de l’Aïd-el-Fitr, qui marque la fin du mois de ramadan, ce mercredi 10 avril. Vêtus de leurs plus belles tenues, avec des tapis de prière sous le bras, ils sont des centaines de fidèles musulmans, à moto, en voiture, ou à pied, à se réunir autour de l’Imam Abdoul Djalili Yessoufou à la place Idi du carrefour Ste Cécile à Cotonou, pour la grande prière de la fin du mois de ramadan. A 10 heures précises, la place Idi était noire de monde. Tantôt debout, accroupis et assis front contre le sol, les hommes en première ligne, suivis des femmes, répondaient à chaque invocation de l’Imam, de façon appropriée et dans une symphonie parfaite. Après la prière qui a duré quelques minutes, place au sermon de l’Imam Abdoul Djalili Yessoufou. « Tel que nous sommes en train de prier, partout sur la planète terre, nos frères et sœurs musulmans sont en train également de célébrer cette journée afin de reconnaître à Dieu toute sa puissance. Aujourd’hui, un seul slogan doit être prononcé: « Il n’y a rien qui dépasse Dieu. Il est le plus grand’’ ». Dans une sorte d’exhortation, il poursuit : «Et nous devons nous approprier ce slogan toute notre vie durant. Si Dieu te donne de l’argent, tu dois savoir qu'il y a plus grand que toi, et que ce plus grand s’appelle Allah. Si c’est le pouvoir qu’il t’a donné, il faut savoir qu’il y a plus puissant que toi, qui s’appelle Allah ». Pour l’Imam Abdoul Djalili Yessoufou, le mois de ramadan a pris fin, mais Dieu, qui l’a créé est toujours vivant et éternel et il faut continuer à l’adorer. « Le mois de ramadan est une école. Nous venons d'apprendre beaucoup de choses. Ce n’est pas pour les jeter dans les tiroirs. C’est pour les mettre en application durant toute l'année. Nous devons prier, nous devons jeûner. C’est pour cela que le prophète a dit que celui qui finit de jeûner le mois de ramadan, et le fait suivre de six jours de jeûne pendant le mois qui vient juste après le mois de ramadan, aura la récompense de celui qui a jeûné toute l'année. Que Dieu nous compte parmi ceux-là », a-t-il ajouté. Il a invité les fidèles au maintien des bons comportements et à continuer à pratiquer la générosité ainsi qu'à lire le coran. « Le mois de ramadan est un mois de bénédiction, d’adoration et de changement de comportement. Nous prions Dieu, pour avoir la force de continuer avec les bonnes actions, les aumônes, afin que nous ne retournions plus aux mauvaises œuvres », a déclaré Bouraïma Rabiatou, sage-femme diplômée d’Etat, et fidèle musulmane venue sacrifier à la tradition. A la fin de la prière, les fidèles se sont dirigés vers leurs maisons pour les réjouissances. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413010324/https://lanation.bj/actualites/priere-et-liesse-populaire-a-aidjedo -- o:id 23399 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23399 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Ramadan 2024 : les fidèles musulmans d'Akpakpa en action de grâce dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1503 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-04-11 dcterms:identifier iwac-article-0005126 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Après 30 jours de jeûne et de privations diverses, les fidèles musulmans de Cotonou se sont réunis massivement à la place Idi d’Akpakpa pour la prière marquant la fin du jeûne du ramadan. Autour de leur guide spirituel, ils ont prié Allah pour ses bienfaits et invoqué sa miséricorde sur eux et sur la nation. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content Après 30 jours de jeûne et de privations diverses, les fidèles musulmans de Cotonou se sont réunis massivement à la place Idi d’Akpakpa pour la prière marquant la fin du jeûne du ramadan. Autour de leur guide spirituel, ils ont prié Allah pour ses bienfaits et invoqué sa miséricorde sur eux et sur la nation. « Gloire à Dieu ! Point de divinité en dehors d’Allah. Louange à Allah qui nous a guidés vers toutes les droitures. Louange à Allah pour nous avoir gratifié de l’islam et de la foi, pour le temps du saint Coran et du mois béni de ramadan. Louange à Allah pour nous avoir facilité le jeûne des jours du ramadan et de ses nuits en veillée de prière». C’est par ces mots que l’imam Ousmane Ibouraïma a magnifié Allah pour ce mois béni de jeûne qui a pris fin ce mercredi 10 avril. Venus nombreux de plusieurs coins de la capitale économique du Bénin, les fidèles musulmans ont répondu, à la place Idi d’Akpakpa, au rendez-vous de la grande prière de l’Aïd-el-Fitr pour rendre grâce à Allah pour ses innombrables bienfaits. Vêtus de leurs plus belles tenues, ils ont suivi avec foi le sermon présenté par le guide religieux, l’imam Ousmane Ibouraïma, en arabe et en français. Ce dernier a imploré Dieu afin qu’il puisse agréer leurs efforts fournis dans le mois de ramadan. L’imam est revenu sur l’importance des deux décades marquant la fin du mois de jeûne que sont le ‘’Jeûne des journées du mois de ramadan’’ et la “Nuit de la destinée’’. Ces deux décades, à l’en croire, ont été instituées par le prophète Mahomet qui reçoit des messages à travers des révélations. Par la même occasion, l’imam a invité les fidèles à perpétuer les bonnes œuvres faites pendant le mois de ramadan afin de ne plus retomber dans les mauvaises pratiques. Il n’a pas manqué d’implorer la miséricorde d’Allah sur les dirigeants à divers niveaux et sur la nation tout entière. Pour sa part, l’imam Adamou Traoré Tidjani, membre du Bureau exécutif national de l’Union islamique du Bénin, reconnaît que cette période de jeûne a été fructueuse pour tous les musulmans qui ont pu observer les prescriptions d’Allah. « Certains ont commencé et n’ont pas pu finir contrairement à nous autres. C’est une joie pour nous. Nous avons prié pour la paix au Bénin et pour nos dirigeants, surtout le président Patrice Talon », a-t-il indiqué. Il note que le ramadan est une école où s’apprennent les vertus et la fin du mois de ramadan ne signifie pas la fin de l’adoration. « Dieu nous a permis de traverser cette dernière décade où le Coran a été révélé au prophète Mahomet et c’est dans cette dernière décade qu’il y a une nuit supérieure à l’adoration de mille mois réunis. Nous devons continuer avec les louanges », a-t-il souligné en invitant les uns et les autres à toujours exceller dans les bonnes œuvres, les veillées de prière et les dons aux plus nécessiteux. Tout en souhaitant une très bonne fête aux fidèles musulmans, Falilou Adissa Akadiri, vice-grand chancelier de l’Ordre national du Bénin, note également que c’est une grande joie d’avoir pu traverser ces moments de privations et d’intenses prières et d’avoir eu des grâces d’Allah. Après la grande prière, les fidèles s’en sortent avec un sentiment du devoir accompli. S’en sont suivies, les réjouissances proprement dites au sein des familles. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413010040/https://lanation.bj/actualites/ramadan-2024-les-fideles-musulmans-dakpakpa-en-action-de-grace -- o:id 23400 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23400 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Sommet extraordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la Cedeao sur la situation politique, la paix et la sécurité dans la région : Communiqué final dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-02-28 dcterms:identifier iwac-article-0005127 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Sommet extraordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la Cedeao sur la situation politique, la paix et la sécurité dans la région: Communiqué final dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/357 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/540 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 bibo:content Sommet extraordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la Cedeao sur la situation politique, la paix et la sécurité dans la région: Communiqué final 1. La Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) s’est réunie en session extraordinaire le 24 février 2024 à Abuja, au Nigeria, sous la présidence de S.E. Bola Ahmed Tinubu, Président de la République fédérale du Nigeria et Président en exercice de la Conférence. 2. Ce Sommet extraordinaire avait été convoqué dans le but de procéder à un examen de la situation politique, de la paix et de la sécurité en Afrique de l’Ouest. 3. Etaient présents à cette session, les Chefs d’Etat et de gouvernement suivants ou leurs représentants dûment mandatés : • S.E. Patrice Talon, Président de la République du Bénin, • S.E. Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d’ivoire, • S.E. Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, Président de la République du Ghana, • S.E. Umaro Sissoco Embalo, Président de la République de Guinée Bissau, • S.E. Bola Ahmed Tinubu, Président de la République fédérale du Nigeria, • S.E. Macky Sall, Président de la République du Sénégal, • S.E. Julius Maada Bio, Président de la République de Sierra Leone, • S.E. Faure Essozimna Gnassingbé, Président de la République Togolaise, • S.E. Muhammed B. Jallow, Vice-président de la République de Gambie, • S.E. Amb. Belarmino M. Silva, Ambassadeur de la République de Cabo Verde auprès de la République du Nigeria et de la Cedeao, • S.E. Amb. Alhassan Conteh, Ambassadeur de la République du Liberia auprès de la République fédérale du Nigeria et de la Cedeao. 4. Ont également assisté à cette session: • S.E. Dr Omar Alieu Touray, Président de la Commission de la Cedeao, • S.E. Amb. Bankole Adeoye, Commissaire aux Affaires politiques, à la Paix et à la Sécurité, à la Commission de l’Union Africaine, représentant le Président de la Commission, S.E. Moussa Faki Mahamat, • S.E. Leonardo Santos Simâo, Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel et chef de l’Unowas. • S.E. Dr. George Agyekum Nana Donkor, Président de la Banque d’investissement et de développement de la Cedeao (Ebid), • S.E. Jean-Claude Kassi-Brou, Gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao), • L’Ambassadeur Baba Kamara, Représentant Spécial de la Cedeao en matière de lutte contre le terrorisme. La Conférence, ayant 5. Pris connaissance des mémorandums présentés par le Président de la Commission de la Cedeao sur la situation politique, la paix et la sécurité en Afrique de l’Ouest; 6. Largement débattu des dernières évolutions au sein de la région ; 7. Fait le point de la situation en République du Niger, depuis le 26 juillet 2023, date à laquelle les militaires en République du Niger ont renversé le gouvernement du Président Mohamed Bazoum et l’ont placé en résidence surveillée; 8. Examiné en détail les notifications reçues du Burkina, du Mali et du Niger concernant leur décision de se retirer de la Cedeao; Au titre de la République du Niger, la Conférence Rappelle les décisions qu’elle avait prises à l’issue des deux premières sessions extraordinaires consacrées au Niger et s’étant tenues respectivement le 30 juillet et le 10 août 2023, outre les décisions issues de sa 64e session ordinaire tenue le 10 décembre 2023 ; 9. Note avec regret qu’en dépit des multiples efforts déployés par la Cedeao, l’ancien Président Mohamed Bazoum demeure en détention et aucun plan de transition n’a été élaboré par le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (Cnsp) qui dirige le pays ; 10. Rappelle le principe de la tolérance zéro de la Cedeao pour la prise de pouvoir par des voies anticonstitutionnelles, tel qu’inscrit dans les protocoles de la Cedeao, la Charte de l’Union Africaine et d’autres instruments internationaux; 11. Réitère son engagement à maintenir le dialogue avec le gouvernement du Niger dans l’objectif d’obtenir la libération du Président Bazoum et de convenir d’un chronogramme de transition ; 12. Prend note de la période du Carême chrétien et de l’approche du mois béni du Ramadan. 13. Prend également note de l’appel lancé aux dirigeants de la région par Son Excellence le Général Yakubu Gowon, ancien Chef de l’Etat en République fédérale du Nigeria et père fondateur de la Cedeao, ainsi que des requêtes formulées par la Fondation Malehossou au Bénin et par plusieurs autres personnalités et organisations humanitaires, concernant la situation au Niger. S’agissant du retrait des trois pays 14. La Conférence note que ce retrait aura des implications sur les plans politique, socioéconomique, financier et institutionnel pour les trois pays concernés et pour la Cedeao en tant que groupe. Concernant les implications politiques et sécuritaires 15. La Conférence rappelle que, dans le cadre de la coopération régionale pour la lutte contre le terrorisme, contre l’extrémisme violent et la criminalité organisée, ces trois pays ont bénéficié d’une enveloppe de 100 millions de dollars des Etats-Unis, mobilisés par l’Uemoa au titre du Plan d’action de la Cedeao contre le terrorisme. Par ailleurs d’autres montants ont été alloués à ces pays (7,5 millions de dollars) en vue de l’acquisition d’équipements destinés à les aider à lutter contre le terrorisme. 16. Le retrait aura des incidences sur la coopération en matière de sécurité, d’échange de renseignements et de participation aux initiatives régionales de lutte contre le terrorisme, notamment l'initiative d'Accra et les activités de la Force multinationale mixte. 17. Le retrait pourrait également conduire à un isolement diplomatique et politique sur la scène internationale, où les pays avaient obtenu un soutien pour leurs candidats et leur candidature durant les compétitions à des postes internationaux au sein de l'Union africaine, des Nations unies et d'autres organismes similaires. Implications socioéconomiques : 18.Le retrait des trois États membres affectera automatiquement le statut de leurs citoyens en matière d’immigration, puisqu’ils devront peut-être obtenir un visa pour voyager dans la région. Les citoyens pourraient ne plus bénéficier du droit de résidence ou de création d’entreprises prévus par les accords de la Cedeao, et pourraient être soumis à diverses lois nationales. Les trois pays cesseront d'utiliser le passeport, la carte d'identité nationale biométrique de la Cedeao, et l'assurance automobile "Carte brune de la Cedeao" à l'échelle de la région. 19. Ensemble, ces trois pays représentent 17,4 % des 425 millions d'habitants de la région. Même s'ils représentent 10 % du Pib de la région, leur départ entraînera une réduction de la taille du marché de la Cedeao. 20. Le retrait pourrait également perturber le commerce intracommunautaire, en particulier le commerce de produits non transformés tels que le bétail, le poisson, les plantes, les produits agricoles, les produits minéraux et les produits artisanaux traditionnels, ainsi que les produits industriels d’origine communautaire. 21. Par ailleurs, la Conférence note que les trois pays bénéficient de plusieurs projets et programmes régionaux, notamment : a. La Réserve régionale de sécurité alimentaire (les trois pays accueillent dans le cadre de la réserve régionale, des stocks de près de 17 000 tonnes soit 52 % du stock régional). b. Le Programme régional d'appui au pastoralisme au Sahel (Praps - financé par la Banque mondiale) d'un montant de 215 millions de dollars US pour les trois États membres. c. Le Projet d'appui régional à l'initiative pour l'irrigation au Sahel (Pariis financé par la Banque mondiale) d’un montant de 103,43 millions de dollars Us pour les trois États membres. d. Le Programme régional d'appui à la résilience des systèmes alimentaires (Prsa - financé par la Banque mondiale) d'un montant de 230 millions de dollars Us pour les trois États membres. e. Le Projet d'identité unique pour l'intégration régionale et l'inclusion en Afrique de l'Ouest (Wuri). f. Le projet de marché régional de l'électricité de la Cedeao (Système d’échange d’énergie électrique ouest africain) qui relie tous les États membres à un réseau électrique régional, afin d'améliorer l'accès à l'électricité, implique également les trois États membres. 22. Le retrait des trois États membres pourrait entraîner l'arrêt ou la suspension de tous les projets/programmes de la Cedeao, qui se chiffrent à une valeur supérieure à 500 millions de dollars des Etats Unis. Implications financières 23. La Conférence note que les deux institutions financières régionales, la Bidc et la Boad, ont des engagements considérables dans les trois pays. La Bidc a actuellement 27 projets du secteur public en cours dans les trois pays (Burkina Faso 9, Mali 8, et Niger 10) et un total de 20 projets du secteur privé (Burkina Faso 5 ; Mali 13 et Niger 2). Ces projets sont collectivement évalués à environ 321.634.253 dollars US, dont ceux du secteur public représentent 38,1 % et ceux du privé, 61,9 %. 24. Le portefeuille de la Banque dans les trois pays représente environ 22,5 % de son portefeuille total dans les 15 États membres. Les trois pays ont contribué au capital de la Banque pour un montant total de 33.135.445,38 de dollars Etats Unis, réparti comme suit : Burkina Faso -13 millions de dollars, Mali - 9,5 millions de dollars et Niger -10,5 millions de dollars. Implications institutionnelles 25. À l’analyse des implications au niveau institutionnel, la Conférence note que le retrait des trois États membres nécessitera non seulement la fermeture de quatre agences régionales au Burkina Faso, de deux organismes régionaux au Mali et d'un bureau régional au Niger, mais qu'il affectera également la sécurité de l'emploi de quelque 130 membres du personnel de la Cedeao, qui sont des citoyens des trois pays : 77 du Burkina Faso, 23 du Mali et 32 du Niger. La conférence décide ce qui suit : Libération du Président Bazoum 26. La Conférence demande la libération immédiate de Son Excellence Mohamed Bazoum, ancien Président de la République du Niger ainsi que des membres de sa famille et de tous les détenus politiques. Au titre des sanctions 27. La Conférence décide de la levée, avec effet immédiat, des sanctions suivantes qui avaient été imposées à la République du Niger : a. La fermeture des frontières terrestres et aériennes entre les pays de la Cedeao et le Niger; b. L’institution d'une zone d'exclusion aérienne de la Cedeao sur tous les vols commerciaux à destination et en provenance du Niger; c. La suspension de toutes les transactions commerciales et financières entre les États membres de la Cedeao et le Niger ; d. Le gel de toutes les transactions de services, y compris les services publics et l'électricité vers la République du Niger ; e. Le gel des avoirs de la République du Niger auprès des banques centrales de la Cedeao; f. Le gel des avoirs de l'État nigérien, ainsi que des entreprises publiques et parapubliques du pays auprès des banques commerciales; g. La suspension du Niger de toute assistance financière et de toute transaction avec toutes les institutions financières, notamment la Bidc et la Boad; h. L’interdiction de voyager pour les représentants du gouvernement et les membres de leur famille. 28. La Conférence décide de lever les restrictions imposées au recrutement de citoyens de la République du Mali à des postes professionnels au sein des institutions de la Cedeao. 29. La Conférence décide de lever les sanctions financières et économiques à l’encontre de la République de Guinée. 30. Elle instruit le Président de la Commission d’inviter tous les quatre États membres de la Cedeao en transition aux réunions techniques et consultatives de l’organisation, ainsi qu’à toutes les réunions liées à la question de la sécurité. 31. La Conférence décide de maintenir toutes les autres mesures prévues par les décisions et instruments pertinents de la Cedeao et de l’Union africaine et de les réexaminer, le cas échéant, en fonction des progrès réalisés. 32. La Conférence appelle les Institutions de la Cedeao, les États membres, l’Uemoa et toutes les autres institutions régionales à mettre en œuvre les présentes décisions. Concernant le retrait des trois pays, la Conférence : 33. Prend note des notifications de retrait de la Cedeao des trois États membres, à savoir le Burkina Faso, le Mali et le Niger. 34. Attire l’attention des trois États membres sur les dispositions de l’Article 91 du Traité révisé de la Cedeao de 1993, relatif aux procédures à suivre en cas de retrait, tout en les exhortant à reconsidérer leur décision, au regard des avantages que l’appartenance à la Communauté procure à tous les États membres de la Cedeao et à leurs citoyens. 35. Se déclare préoccupée par les conséquences socio-économiques, politiques, sécuritaires et humanitaires de cette décision, notamment pour les citoyens des trois États membres et pour le processus d’intégration régionale, et invite instamment les trois États membres à recourir au dialogue, à la négociation et à la médiation pour répondre à leurs préoccupations. 36. Exhorte les trois États membres à respecter les dispositions du Traité révisé de 1993 relatives au retrait, en particulier l’Article 91. 37. Instruit la Commission de la Cedeao de poursuivre le rapprochement et les propositions de la Communauté à l’égard des trois États membres et de rester saisie de la situation. 38. Charge la Commission de la Cedeao d’échanger avec l’Union africaine, l’Uemoa, l’Onu et d’autres organisations internationales ainsi qu’avec les partenaires bilatéraux sur la question, en vue de convaincre les trois États membres de rester dans la Communauté. 39. Invite la Commission de la Cedeao à renforcer les contacts de la Communauté avec les trois États membres en mettant à contribution les chefs traditionnels et religieux, les éminentes personnalités, la société civile et les femmes leaders pour l’unité et la sécurité de la région. 40. Réitère la nécessité urgente pour la Commission de la Cedeao d’accélérer l’opérationnalisation de la Force en attente, sous son mode cinétique, pour lutter contre le terrorisme dans la région, notamment les éléments de la Force Multinationale Conjointe (Mnjtf) et l’Initiative d’Accra, conformément aux instructions de la Conférence. À cet égard, la Conférence instruit la Commission de convoquer dans les meilleurs délais la réunion des ministres des Finances et de la Défense afin de proposer des modalités de financement et d’équipement de la force de lutte contre le terrorisme. 41. Charge en outre la Commission d’élaborer une stratégie de communication efficace pour impliquer les États membres et les citoyens de la Communauté, compte tenu de la désinformation actuelle visant à porter atteinte à l’image de la Cedeao. S’agissant de la République du Sénégal 42. La Conférence prend acte de la fin du mandat du Président Macky Sali le 2 avril 2024 et le félicite pour les réalisations remarquables en matière d’infrastructures et de développement économique qu’il a effectuées en tant que Président de la République du Sénégal, ainsi que pour son leadership exemplaire en Afrique et dans le monde. 43. La Conférence appelle tous les acteurs sénégalais à privilégier le dialogue en vue de préserver les acquis démocratiques du Sénégal à travers une élection présidentielle libre, inclusive et transparente. Au titre du Développement, de la Souveraineté et de l’Unité de l’Afrique 44. Les Chefs d’État et de gouvernement soulignent leur engagement en faveur de la souveraineté, de l’indépendance et de l’unité de l’Afrique. 45. À cet égard, la Conférence appelle tous les partenaires à respecter la souveraineté et l’indépendance des États africains et à s’abstenir de toute intervention ou ingérence qui déstabilise les États membres et porte atteinte à l’unité régionale. 46. La Conférence appelle, en outre, à un partenariat mondial efficace pour le développement socio-économique de la région par le biais, notamment, du commerce équitable et de la justice climatique. Mot de Remerciements 47. La Conférence exprime toute sa gratitude à Son Excellence le Général Yakubu Gowon pour l’intérêt qu’il porte au bien-être de la Communauté et pour ses précieuses suggestions. 48. La Conférence exprime en outre sa reconnaissance à S.E. Bola Ahmed Tinubu, Président de la République Fédérale du Nigéria et Président en exercice de la Conférence de la Cedeao, pour la convocation de cette Session extraordinaire et pour la compétence avec laquelle il a conduit les affaires de la Communauté. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413010741/https://lanation.bj/actualites/sommet-extraordinaire-de-la-conference-des-chefs-detat-et-de-gouvernement-de-la-cedeao-sur-la-situation-politique-la-paix-et-la-securite-dans-la-region-communique-final -- o:id 23401 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23401 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Agence pour la gestion de la logistique des officiels : les attributions élargies à l’organisation du hadj dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23390 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-01-18 dcterms:identifier iwac-article-0005128 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’Agence pour la gestion de la logistique des officiels dispose désormais des compétences pour coordonner l’organisation du pèlerinage musulman. Ses attributions ont été étendues à cette activité phare lors du Conseil des ministres de ce mercredi 17 janvier. Cette mesure vise une meilleure organisation du hadj en collaboration avec les différentes parties prenantes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content L’Agence pour la gestion de la logistique des officiels dispose désormais des compétences pour coordonner l’organisation du pèlerinage musulman. Ses attributions ont été étendues à cette activité phare lors du Conseil des ministres de ce mercredi 17 janvier. Cette mesure vise une meilleure organisation du hadj en collaboration avec les différentes parties prenantes. Malgré les réussites enregistrées dans l’organisation du pèlerinage sur la terre sainte de la Mecque, le gouvernement veut aller plus loin. Il a mandaté l’Agence pour la gestion de la logistique des officiels (Aglo) pour prendre une part active dans les préparatifs et le bon déroulement de cette activité religieuse afin que les fidèles musulmans béninois accomplissent le 5e pilier de l’Islam dans les meilleures conditions. Selon le Conseil des ministres de ce mercredi 17 janvier, cette structure est aussi chargée de veiller au bon déroulement du pèlerinage à la Mecque, de veiller à ce que les sociétés agréées fournissent aux pèlerins des prestations de qualité et de rendre compte des activités liées au pèlerinage au Comité d’orientation et de supervision de l’organisation annuelle du hadj. En réalité, cette décision vient pour formaliser ce qui avait déjà commencé à se faire. D’une manière ou d’une autre, l’Aglo intervenait déjà dans l’organisation du hadj. La décision du Conseil des ministres intervient pour lui donner les coudées franches afin de poursuivre ses activités dans ce sens. L’Aglo, le pilier C’est dans le cadre de la poursuite des réformes pour l’assainissement de la gestion des finances publiques, que l’Agence pour la gestion de la logistique des officiels (Aglo) a été créée par décret n°2019-418 du 25 septembre 2019. Ses actions concernaient la gestion des dépenses liées aux frais de transport pour les missions à l’extérieur et une meilleure maitrise des charges liées à la gestion du Parc automobile de l’Etat. Au plan juridique, cette agence est un établissement public à caractère social et technique doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Elle est régie par les dispositions de ses statuts, de la loi n°94-009 du 28 juillet 1994 portant création, organisation et fonctionnement des offices à caractère social, culturel et scientifique et de l’Acte uniforme de l’Ohada relatif au droit des sociétés commerciales et du groupement d’intérêt économique. Placée sous la tutelle de la présidence de la République, elle a pour mission de mettre à disposition des moyens pour les déplacements au Bénin et à l’étranger pour les hôtes de marque du gouvernement et pour le personnel de l’Etat et ses démembrements. A ce titre, elle est chargée de planifier, organiser, optimiser et centraliser tous les voyages des officiels et assimilés, conformément aux dispositions relatives aux déplacements à l'étranger du personnel de l'État et de ses démembrements et de mettre à la disposition des officiels, des véhicules pour leurs déplacements professionnels sur le territoire, conformément à la réglementation en vigueur. L’Aglo a aussi les compétences pour gérer en relation avec les concessionnaires, le parc de véhicules en leasing, gérer les véhicules affectés aux hôtes de marque et organiser leur mise à disposition, organiser l’accueil et la logistique pour les hôtes de marque et fournir ou faire fournir toutes autres prestations relatives à l'organisation des déplacements des officiels et à l’accueil des hôtes de marque, en coordination, le cas échéant, avec l’Agence compétente pour l'organisation des manifestations officielles. L’Agence offre essentiellement trois types de prestations : la fourniture des billets d’avion dans le cadre des voyages officiels, les réservations d’hôtel pour les hôtes de marque en visite à Cotonou et la mise à disposition de véhicules pour les déplacements du personnel de l’Etat et les hôtes de marque. Préparatifs pour 2024 ! Chaque fidèle musulman qui veut accomplir le 5e pilier de l’Islam sait qu’il devra débourser environ 3,5 millions F Cfa. Cette information a été portée à la connaissance de la communauté musulmane depuis plus d’un mois, à l’occasion du lancement officiel du hadj 2024. Ce montant qui est presque identique à celui du hadj 2023 est un indice de la volonté du gouvernement d’aider tous ceux qui le souhaitent à se rendre à la Mecque. « Malgré les surcoûts qu’il y a eus lors de la dernière édition, nous n’avons pas voulu augmenter le montant à payer. Le Bénin reste l’un des rares pays de la sous-région à ne pas l’avoir fait », avait déclaré Shegun Adjadi Bakari, ministre des Affaires étrangères et président du Comité d’orientation et de supervision du hadj, qui rassure que les organisateurs mettent les bouchées doubles pour que l’édition prochaine se déroule dans de meilleures conditions avec la contribution de toutes les parties prenantes. En termes de parties prenantes, 49 sociétés sont agréées pour convoyer les pèlerins pour ce hadj afin qu’ils accomplissent les rites liés au 5e pilier de l’Islam, a expliqué Ghislaine Mensah, directrice de l’Agence pour la gestion de la logistique des officiels (Aglo). Elle fait comprendre que l’Arabie saoudite a attribué un quota de 4600 pèlerins au Bénin. Mais le pays n’occupera pas toutes ses places pour des raisons d’efficacité et d’efficience. Pour un début, le gouvernement entend convoyer 2300 pèlerins sur la terre sainte pour qu’ils fassent les tours rituels, les trajets entre le mont de As-Safa et celui de Al-Marwah, le rasage ou la coupe des cheveux, etc. Pour pallier les insuffisances connues lors des éditions passées, le gouvernement voudrait imprimer plus de rigueur à chaque étape du processus. Ceux qui veulent y prendre part savent aussi qu’ils doivent se faire enregistrer au plus tard le 15 février prochain. Le délai au niveau de l’Arabie saoudite étant fixé au 25 février. C’est dans la logique d’une organisation réussie du hadj prochain, que la campagne itinérante de délivrance de passeport par l’Agence nationale d’identification des personnes (Anip) et les services de l’immigration s’est déroulée du 14 décembre 2023 au 13 janvier 2024. Cette opération devenue traditionnelle a permis aux candidats au pèlerinage, qui ne disposaient pas de titres de voyage, d’en avoir. Ce qui leur permettra d’obtenir le visa saoudien le 1er mars prochain. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413011130/https://lanation.bj/actualites/agence-pour-la-gestion-de-la-logistique-des-officiels-les-attributions-elargies-a-lorganisation-du-hadj -- o:id 23402 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23402 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Elections générales de 2026 : la Fondation Malèhossou échange avec Dorothé Sossa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1503 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2023-12-20 dcterms:identifier iwac-article-0005129 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une délégation de la Fondation Malèhossou a été reçue, ce lundi 18 décembre, par le président de la Cour constitutionnelle. Conduite par son président, El Hadj Yacoubou Malèhossou, ladite délégation est allée échanger avec le professeur Cossi Dorothé Sossa sur les élections générales de 2026. bibo:content Une délégation de la Fondation Malèhossou a été reçue, ce lundi 18 décembre, par le président de la Cour constitutionnelle. Conduite par son président, El Hadj Yacoubou Malèhossou, ladite délégation est allée échanger avec le professeur Cossi Dorothé Sossa sur les élections générales de 2026. La Fondation Malèhossou entend jouer sa partition pour la réussite des élections générales de 2026. Elle l’a fait savoir au président de la Cour constitutionnelle au cours d’une séance qui a duré plus d’une demi-heure. Pour la Fondation, la paix est un attribut de Dieu et c’est un comportement que tous doivent adopter. Dans une déclaration faite à la presse à l’issue de l’audience, El hadj Moutawakil Malik, premier vice-président de la Fondation Malèhossou a livré la substance de leurs échanges. « Nous sommes venus voir le président de la Cour constitutionnelle parce que sa position dans notre pays est très importante. Quand la Cour constitutionnelle se porte bien, toute la nation se porte bien. Les élections générales sont pour bientôt, nous sommes donc venus le saluer et lui donner des conseils pour que les élections de 2026 se déroulent dans la paix, dans la sincérité, dans la vérité, dans la patience et surtout dans l’unité nationale. Que le président de la Cour se mette du côté de la vérité et s’éloigne des menteurs. Nous le disons parce que nous ne voulons plus voir ce qui s’est passé en 2019. C’est pour quoi la Fondation Malèhossou prône chaque fois et toutes les fois pour la paix », a-t-il déclaré. Il fait savoir que les conseils que la fondation donne à la mouvance sont également les mêmes pour l’opposition. « Nous allons dire la vérité à qui de droit, au peuple béninois pour qu’ensemble, nous puissions avec les autres institutions gagner le pari. Que toutes les institutions impliquées dans l’organisation des élections à venir prennent l’engagement d’œuvrer pour que celles-ci soient les plus libres, transparentes et inclusives possible », a-t-il ajouté en mentionnant que le président de la Cour constitutionnelle a trouvé leur visite très fondée et il se dit content parce qu’il ne s’y attendait pas . fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413011512/https://lanation.bj/actualites/elections-generales-de-2026-la-fondation-malehossou-echange-avec-dorothe-sossa -- o:id 23403 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23403 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Pèlerinage à la Mecque : ce qu’il faut savoir sur le hadj 2024 dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23390 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2023-12-13 dcterms:identifier iwac-article-0005130 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Lors du lancement du hadj 2024, mardi 12 décembre à Cotonou, le ministre des Affaires étrangères a expliqué à la communauté musulmane les conditions de déroulement de ce pèlerinage. Les frais de participation et les différents délais à respecter leur ont été ainsi présentés. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content Lors du lancement du hadj 2024, mardi 12 décembre à Cotonou, le ministre des Affaires étrangères a expliqué à la communauté musulmane les conditions de déroulement de ce pèlerinage. Les frais de participation et les différents délais à respecter leur ont été ainsi présentés. Chaque fidèle musulman qui veut accomplir le 5e pilier de l’islam devra débourser environ 3,5 millions F Cfa. C’est l’une des principales nouvelles portées à la connaissance de la communauté musulmane, ce mardi 12 décembre à Cotonou, lors du lancement officiel du hadj 2024. Ce montant qui est presque identique à celui du hadj 2023 est un indice de la volonté du gouvernement d’aider tous ceux qui le souhaitent à se rendre à la Mecque. « Malgré les surcoûts qu’il y a eu lors de la dernière édition, nous n’avons pas voulu augmenter le montant à payer. Le Bénin reste l’un des rares pays de la sous-région à ne pas l’avoir fait », indique Shegun Adjadi Bakari, ministre des Affaires étrangères et président du Comité d’orientation et de supervision du hadj, qui rassure que les organisateurs mettent les bouchées doubles pour que la présente édition se déroule dans de meilleures conditions avec la contribution de toutes les parties prenantes. En termes de parties prenantes, 49 sociétés sont agréées pour convoyer les pèlerins pour ce hadj afin qu’ils accomplissent les rites liés au 5e pilier de l’Islam, a expliqué Ghislaine Mensah, directrice de l’Agence pour la gestion de la logistique des officiels (Aglo). Elle fait comprendre que l’Arabie saoudite a attribué un quota de 4 600 pèlerins au Bénin. Mais le pays n’occupera pas toutes ses places pour des raisons d’efficacité et d’efficience. Pour un début, le gouvernement entend convoyer 2 300 pèlerins sur la terre sainte pour qu’ils fassent les tours rituels, les trajets entre le mont de As-Safa et celui de Al-Marwah, le rasage ou la coupe des cheveux, etc. Pour éviter les insuffisances connues lors des éditions passées, le gouvernement voudrait imprimer plus de rigueur à chaque étape du processus. En témoigne la cérémonie de lancement qui est faite et qui permet à chaque fidèle musulman d’être informé des conditions de déroulement du hadj 2024. Du moins, ceux qui veulent y prendre part savent désormais qu’ils doivent se faire enregistrer au plus tard le 15 février prochain. Au ministre Shegun Adjadi Bakari d’expliquer que ce délai est celui fixé par les autorités béninoises. Car, le délai au niveau de l’Arabie saoudite est fixé au 25 février. L’organisation se donne donc la possibilité d’être en règle une dizaine de jours avant la clôture officielle. Dans la même logique d’une organisation réussie du hadj 2024, la campagne itinérante de délivrance de passeport par l’Agence nationale d’identification des personnes (Anip) et les services de l’immigration se fera du 14 décembre 2023 au 13 janvier 2024. Cette opération devenue traditionnelle permettra aux candidats au pèlerinage qui ne disposent pas de titres de voyage d’en avoir. Ce qui leur permettra d’avoir le visa saoudien le 1er mars prochain. Avec ce chronogramme rendu public, le gouvernement veut améliorer davantage l’organisation du hadj. Mais le plus important, c’est que « le modèle d’organisation du pèlerinage doit être revu pour être plus performant », estime Ghislaine Mensah, directrice de l’Agence pour la gestion de la logistique des officiels (Aglo). Elle est soutenue par le ministre des Affaires étrangères. « Il y a eu des avancées importantes au cours des deux dernières années. Mais il faudra corriger les insuffisances relevées pour faire de chaque hadj une expérience heureuse», a insisté l’autorité, appelant les pèlerins à la discipline et au respect des consignes pour que les conditions de déroulement soient excellentes . fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413011908/https://lanation.bj/actualites/pelerinage-a-la-mecque-ce-quil-faut-savoir-sur-le-hadj-2024 -- o:id 23404 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23404 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Présentation de copies figurées des lettres de créance : le Bénin et l'Egypte redynamisent leur coopération dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1503 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2023-12-05 dcterms:identifier iwac-article-0005131 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La République arabe d’Egypte a une nouvelle ambassadrice au Bénin. Celle-ci est allée, ce lundi 4 décembre, présenter les copies figurées de ses lettres de créance à Olushegun Adjadi Bakari, ministre des Affaires étrangères. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/308 bibo:content La République arabe d’Egypte a une nouvelle ambassadrice au Bénin. Celle-ci est allée, ce lundi 4 décembre, présenter les copies figurées de ses lettres de créance à Olushegun Adjadi Bakari, ministre des Affaires étrangères. La coopération entre le Bénin et la République arabe d’Egypte, vieille de plusieurs décennies, a encore de beaux jours devant elle. Ce lundi, cette coopération est davantage renforcée par la présence au ministère des Affaires étrangères de la nouvelle ambassadrice d’Egypte près le Bénin. Elle est allée présenter les copies figurées de ses lettres de créance au chef de la diplomatie béninoise. « Je suis très heureuse d’avoir transmis les copies figurées de mes lettres de créance au ministre des Affaires étrangères cet après-midi », a déclaré Ragaa Elwakell à sa sortie d’audience. Elle affirme que les relations entre les deux pays datent de longtemps et sa présence au Bénin vise à dynamiser cette coopération entre les deux Etats. Ragaa Elwakell est titulaire d’une Licence universitaire de la Faculté des langues de l’Université Ain Shams du Caire en 1995 et d’un Master en Affaires internationales obtenu à l’Université Nationale d’Australie en 2007. Elle démarra sa carrière au ministère égyptien des Affaires étrangères en 2000, en qualité d’Attachée diplomatique au Service de presse et information puis au Département du protocole en 2002 avant d’être affectée au sein de l’ambassade d’Égypte en Australie où elle occupa le poste de troisième secrétaire de 2004 à 2007. En 2008, elle fit son retour à la Centrale et rejoint le Département du protocole à la Division des privilèges et Immunités jusqu’en 2010 avant d’être affectée à l’ambassade d’Egypte près le Royaume du Maroc en qualité de troisième puis deuxième secrétaire, de 2010 à 2014. De 2014 à 2016, Ragaa Elwakell fut redéployée au département des Affaires européennes, à la Division Union pour la Méditerranée et y occupa les fonctions de premier secrétaire et conseiller. En 2016, elle fut promue conseiller et Chef de mission adjoint à l’ambassade d’Egypte en Ethiopie, Mission permanente auprès de l’Union africaine et la Commission économique pour l’Afrique jusqu’en 2020. Revenue à la Centrale en 2021, elle occupa le poste de chef de la Division du mouvement des pays non alignés et de l’Organisation de la coopération islamique au département des Affaires multilatérales. Ministre plénipotentiaire, elle occupait depuis novembre 2021, le poste de Secrétaire général adjoint du Bureau national pour la mise en œuvre de l’accord de partenariat entre l’Égypte et l’Union européenne au ministère égyptien des Affaires étrangères avant sa nomination en qualité d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire près la République du Bénin avec résidence à Cotonou. Ragaa Elwakell s’exprime en arabe, en anglais, en français et en espagnol . fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413012040/https://lanation.bj/actualites/presentation-de-copies-figurees-des-lettres-de-creance-le-benin-et-legypte-redynamisent-leur-cooperation -- o:id 23405 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23405 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Sommet Arabie saoudite – Afrique : des retombées pour le Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23390 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2023-11-13 dcterms:identifier iwac-article-0005132 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract En terre saoudienne où il séjourne à la tête d’une délégation dans le cadre du premier sommet Arabie saoudite - Afrique, Patrice Talon, président de la République du Bénin, a mené d’intenses activités. Des accords ont été signés et le Bénin s’affirme davantage dans le concert des nations. bibo:content En terre saoudienne où il séjourne à la tête d’une délégation dans le cadre du premier sommet Arabie saoudite - Afrique, Patrice Talon, président de la République du Bénin, a mené d’intenses activités. Des accords ont été signés et le Bénin s’affirme davantage dans le concert des nations. « Développement et Prospérité : Agriculture, Éducation, Santé et Assistance humanitaire ». C’est le thème central du premier sommet Arabie saoudite – Afrique qui s’est déroulé, vendredi 10 novembre dernier à Riyad en Arabie saoudite. Ces assises importantes qui marquent un nouveau départ dans la coopération entre l’Arabie saoudite et chacun des pays africains ont connu la participation de Mohammed Ben Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud, prince héritier et premier ministre du royaume d’Arabie saoudite, Patrice Talon, président de la République du Bénin et plusieurs autres chefs d’État africains. Les assises constituent donc une occasion historique pour établir les bases de l'intensification des relations multilatérales entre le royaume wahhabite et les États africains. Dans son discours d’ouverture, le prince héritier, Mohammed Ben Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud, a souligné les liens entre le royaume d’Arabie saoudite et les pays africains, avant d’ajouter que l’Arabie saoudite a octroyé plus de 45 milliards de dollars Us pour soutenir des projets de développement et humanitaires dans 54 pays africains. Il a annoncé le lancement de l’initiative de développement du roi Salmane en Afrique, portant sur des projets d’eau, d’une valeur d’un milliard de dollars Us sur une période de 10 ans ainsi que le lancement de nouveaux investissements d’une valeur de plus de 25 milliards de dollars Us dans divers domaines. La participation active du président Patrice Talon à ce sommet donne la preuve que le Bénin croit en un multilatéralisme total avec plusieurs pôles forts, qui permet d'assurer l'équilibre du monde. Fort de cette conviction, le chef de l'État ne s'est pas privé de prendre part de manière active aux débats. Intenses activités Que ce soit au niveau du sommet proprement dit ou en marge de cette rencontre, le chef de l’Etat béninois s’est illustré par une participation active. Patrice Talon a mené plusieurs activités. En fait, le séjour en terre saoudienne a également été l'occasion pour le chef de l'Etat béninois de rencontrer plusieurs personnalités du monde politique et du monde des affaires dans l'optique de renforcer les relations déjà extrêmement bonnes entre les deux pays. Plusieurs accords ont été signés par Romuald Wadagni, ministre d'État, ministre de l’Économie et des Finances en charge de la Coopération. D'abord avec le Fonds saoudien pour le développement, un accord a été signé pour le financement de la construction de lycées techniques agricoles et d'infrastructures dans le domaine de l'enseignement technique, puis ensuite avec l’Opep. « La tribune de ce premier sommet saoudo-africain a donc permis au Bénin de défendre sa vision d'un monde multipolaire dans un contexte où on sait aujourd'hui qu'il y a énormément de tensions et l'objectif est d'arriver à un équilibre qui soit beaucoup plus bénéfique pour le développement », a indiqué Olushegun Adjadi Bakari, ministre des Affaires étrangères. En termes de perspectives, le Bénin et l'Arabie saoudite viennent ainsi de sceller une coopération plus accrue et plus intensifiée dans le cadre de la vision 2030. Celle-ci a pour ambition de remettre l'Arabie saoudite au cœur du monde arabe, du monde islamique et du monde en général avec le Bénin comme un des partenaires essentiels de cette revitalisation, de ce repositionnement. « Avec une perspective très intéressante pour le Bénin, avec un alignement parfait entre la vision 2030 portée par le roi et le prince héritier et celle du chef de l’Etat, nous espérons que ce sera le début d’une intensification plus accrue entre nos deux pays », espère le ministre. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20231128205208/https://lanation.bj/actualites/sommet-arabie-saoudite-afrique-des-retombees-pour-le-benin -- o:id 23406 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23406 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Sommet Arabie saoudite – Afrique : Patrice Talon à Riyad demain dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23390 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2023-11-09 dcterms:identifier iwac-article-0005133 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Bénin sera fortement représenté au premier sommet Arabie saoudite – Afrique. Patrice Talon, président de la République, se rend à Riyad pour y assister en personne, ce vendredi 10 novembre. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 bibo:content Le Bénin sera fortement représenté au premier sommet Arabie saoudite – Afrique. Patrice Talon, président de la République, se rend à Riyad pour y assister en personne, ce vendredi 10 novembre. Déplacement du chef de l’Etat à Riyad, en Arabie saoudite, ce vendredi 10 novembre. Patrice Talon, président de la République, se rend au pays de sa majesté Mohammed Bin Salmane Al Saoud où il participera aux côtés de ses pairs africains au premier sommet Arabie saoudite – Afrique. Cette rencontre de haut niveau va permettre au royaume d'Arabie saoudite de renforcer sa coopération politique et économique notamment au niveau du développement et des investissements avec les pays africains. Ces assises se présentent aussi comme une occasion pour l’Arabie saoudite de rechercher avec ses partenaires du continent noir des solutions aux problèmes d'ordre sécuritaire auxquels doivent faire face les deux régions. Mais Patrice Talon ne se limitera pas à cette activité officielle. Il est prévu en marge du sommet la signature de plusieurs accords de coopération avec l'Arabie saoudite notamment des accords sur le financement du projet de construction d'un lycée scientifique à Porto-Novo et de la construction d'une École normale supérieure pour la formation des instituteurs à Parakou. Le chef de l’Etat aura également des entretiens avec un certain nombre de personnalités gouvernementales et du monde des affaires pour promouvoir la destination Bénin sur les plans touristique et des opportunités d’affaires. En matière diplomatique, le royaume d'Arabie saoudite est depuis les années 70 un partenaire important du Bénin au travers des financements du Fonds saoudien pour le Développement mais aussi de la Banque islamique de développement dont le siège est à Djeddah. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413012152/https://lanation.bj/actualites/sommet-arabie-saoudite-afrique-patrice-talon-a-riyad-demain -- o:id 23407 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23407 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Promotion du genre et de la protection sociale : le Bénin relance le Groupe thématique dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2023-10-27 dcterms:identifier iwac-article-0005134 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Véronique Tognifodé, ministre des Affaires sociales et de la Microfinance, a procédé, ce jeudi 26 octobre à Cotonou, à la relance du Groupe de concertation genre et protection sociale. C’est lors d’un atelier qui vise l’acquisition d’outils pour l’amélioration de l’analyse et de la programmation sensible au genre au Bénin dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content Véronique Tognifodé, ministre des Affaires sociales et de la Microfinance, a procédé, ce jeudi 26 octobre à Cotonou, à la relance du Groupe de concertation genre et protection sociale. C’est lors d’un atelier qui vise l’acquisition d’outils pour l’amélioration de l’analyse et de la programmation sensible au genre au Bénin Les secteurs du genre et de la protection sociale reprennent davantage du souffle. C’est une priorité commune au gouvernement, aux partenaires techniques et financiers et aux acteurs du domaine réunis en grand nombre à Cotonou, ce jeudi 26 octobre, dans le cadre de la relance du Groupe de concertation genre et protection sociale. Le groupe est un dispositif indispensable pour le renforcement des acquis. En le relaçant, le gouvernement espère qu’il accompagnera plus que par le passé ses efforts. « Le Groupe de concertation genre et protection sociale est l’un des cadres multisectoriels d’opérationnalisation face aux défis actuels en matière d’institutionnalisation du genre et de la protection sociale notamment ceux liés à l’opérationnalisation des programmes de filets sociaux mis en place par le gouvernement. Il est apparu nécessaire de dynamiser son fonctionnement afin d’en optimiser les résultats », explique Véronique Tognifodé, ministre des Affaires sociales et de la Microfinance. El Hadj Oumar Diallo, représentant résident adjoint du Pnud, perçoit en cet atelier les chances du pays de faire des bonds qualitatifs vers les Objectifs du développement durable. « A travers cet atelier de concertation et de consultation sur les mesures nécessaires pour faire avancer la problématique genre dans les différentes actions, le Bénin démontre tout son engagement pour la réalisation de l’agenda 2030 », apprécie-t-il. Sur la question de la promotion du genre et de la protection sociale, il encourage le Bénin à s’investir davantage et à accélérer sa marche. « Nous devons agir maintenant en établissant des normes et mécanismes de reddition de comptes à nos peuples et au monde. Cela exige un effort de consensus parmi les acteurs sur la vision, la méthode et les objectifs organisationnels de l’intégration du genre. Le consensus est essentiel pour le positionnement stratégique des initiatives du pays sur l’échiquier international de sorte que l’impact de son développement ne soit pas limité au seul niveau national, mais qu’il puisse également contribuer aux objectifs mondiaux. Cette nécessité de consensus organisationnel et la clarté opérationnelle sur l’intégration du genre sont indispensables aux résultats du développement durable », insiste-t-il. Enjeux de la démocratie Pour le gouvernement, la question de l’égalité entre les femmes et les hommes est un enjeu majeur de la démocratie, de la gouvernance et des droits de l’Homme. Elle est au cœur des Objectifs de développement durable. Le ministre des Affaires sociales et de la Microfinance compte sur le rôle déterminant des participants pour formuler des propositions pertinentes en réponse aux défis du genre et de la protection sociale : « Je voudrais vous demander d’animer la réflexion, de suggérer des mesures et actions pertinentes et opérationnelles sur des questions essentielles telles que la dynamisation des cellules focales genre et points focaux protection sociale, la synergie des interventions et la coordination de l’appui des Partenaires techniques et financiers, la dynamisation du mécanisme national de coordination, d’échange d’information, de bonnes pratiques sur l’égalité et l’équité de genre et protection sociale, le suivi et l’évaluation conjointe de la performance des secteurs genre et protection sociale, le plaidoyer et le dialogue politique en vue de l’atteinte des objectifs ». Recommandé par les Nations Unies depuis 1997, le Groupe thématique genre et protection sociale des partenaires techniques et financiers se démarque au Bénin par ses actions aux côtés des acteurs nationaux en vue de renforcer la prise en compte de la dimension genre et protection sociale sous toutes ses formes. Richmond Tiémoko, représentant résident de l’Unfpa, rappelle le cahier des charges de ce creuset : « Le Groupe de concertation genre et protection sociale est un des dispositifs de coordination des secteurs genre et protection sociale prévus pour renforcer l’appui des Ptf à la mise en œuvre du Programme d’action du gouvernement, en lien avec les politiques nationales, notamment la Politique nationale de promotion du genre (Pnpg) et la Politique holistique de protection sociale (Phps) ». La relance du Groupe thématique permettra, selon lui, « d’améliorer la réponse aux besoins et attentes d’accompagnement du Bénin sur les questions d’intégration du genre et de la protection sociale au Bénin. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413012759/https://lanation.bj/actualites/promotion-du-genre-et-de-la-protection-sociale-le-benin-relance-le-groupe-thematique -- o:id 23408 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23408 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Données nominatives rituelles et leur impact sur l’identification : l'Anip engage un dialogue avec les autorités religieuses dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2023-10-25 dcterms:identifier iwac-article-0005135 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L'Agence nationale d'identification des personnes (Anip) réunit, depuis hier mardi 24 octobre, plusieurs autorités religieuses à Abomey dans le cadre d’un dialogue relatif aux données nominatives rituelles ou confessionnelles et leur impact sur l’identification. A l’issue des trois jours de travaux, l’Anip mettra en place un espace de dialogue avec les autorités religieuses sur les données nominatives rituelles ou confessionnelles et leur impact sur l’identification des personnes. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 bibo:content L'Agence nationale d'identification des personnes (Anip) réunit, depuis hier mardi 24 octobre, plusieurs autorités religieuses à Abomey dans le cadre d’un dialogue relatif aux données nominatives rituelles ou confessionnelles et leur impact sur l’identification. A l’issue des trois jours de travaux, l’Anip mettra en place un espace de dialogue avec les autorités religieuses sur les données nominatives rituelles ou confessionnelles et leur impact sur l’identification des personnes. Ils sont une cinquantaine de responsables religieux se réclamant de toutes les obédiences à répondre présents à un atelier initié par l'Agence nationale d'identification des personnes (Anip) à la préfecture d’Abomey. L’objectif de cette rencontre est d’établir une plateforme de discussion entre les autorités religieuses, les experts en identification, les juristes et les spécialistes de la protection des données. Au cours des travaux, ils auront à analyser les implications juridiques, éthiques et culturelles de l'intégration des données nominatives rituelles ou confessionnelles dans les systèmes d'identification. De même, il leur revient de formuler des recommandations pratiques pour la collecte, le stockage et l'utilisation de ces données tout en respectant les valeurs religieuses et les droits individuels conformément à la loi sur la protection des données personnelles. A l’ouverture des travaux , Herbert Assogba, représentant du directeur général de l’Anip, rappelle que l'Agence nationale d'identification des personnes (Anip) reconnaît l'importance des données nominatives rituelles ou confessionnelles dans le contexte de l'identification des individus. C’est donc pour assurer une approche inclusive et respectueuse des valeurs religieuses qu’elle engage désormais un dialogue constructif avec les autorités religieuses. Pour Herbert Assogba, il est un fait que de plus en plus les réalités socioculturelles et cultuelles influencent fortement la constance des données nominatives et personnelles surtout au niveau des confessions traditionnelles. Il a souligné que dans les religions traditionnelles, les prénoms sont donnés des jours après la naissance, suite à des cérémonies rituelles. La même situation s’observe au niveau des confessions chrétiennes et musulmanes où le prénom n’est donné généralement à l’enfant qu’après son baptême, a-t-il poursuivi. Ainsi, lorsque ces prénoms sont donnés aux enfants avant leur enrôlement au Ravip, ces informations relatives aux données nominatives rituelles ou confessionnelles sont prises en compte systématiquement au Registre national des personnes physiques, ce qui limite les variations éventuelles par rapport aux données nominatives et personnelles de la personne. Par ailleurs, lorsque les enfants après la naissance sont internés à un âge donné, dans des couvents religieux, le problème reste toujours posé. Après leur séjour dans les couvents, d’autres prénoms rituels leur sont attribués en remplacement des prénoms initiaux. Dans ce cas, ces données nominatives et personnelles ne sont pas prises en compte dans le Ravip. Il est donc obligatoire de faire une procédure judiciaire d’adjonction et/ou de soustraction de prénoms, qui aboutira à la délivrance d’une décision de justice sur la base de laquelle les corrections seront opérées afin de mettre à jour les données nominatives et personnelles dans le Registre national des personnes physiques (Rnpp). Ces cas sont légion dans les communautés mais malheureusement les populations ne comprennent toujours pas la procédure pour se sortir d’affaire. Le secrétaire général de la préfecture d’Abomey, Julien Wankpo, a dit sa satisfaction pour la tenue de cette rencontre qui tient lieu de plateforme de discussion pour les autorités religieuses, les experts en identification, les juristes et les spécialistes de la protection des données. Les implications juridiques, éthiques et culturelles de l'intégration de données nominatives rituelles ou confessionnelles dans les systèmes d'identification seront aussi passées en revue grâce à cette plateforme. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20231027034719/https://lanation.bj/actualites/donnees-nominatives-rituelles-et-leur-impact-sur-lidentification-lanip-engage-un-dialogue-avec-les-autorites-religieuses -- o:id 23409 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23409 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration du Ramadan : action de grâce et exhortation aux bonnes pratiques à Cotonou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1503 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2023-04-24 dcterms:identifier iwac-article-0005136 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Réunie à la place Idi d’Akpakpa vendredi 21 avril, pour la prière marquant la rupture du jeûne du Ramadan, la communauté musulmane de Cotonou a rendu grâce à Dieu et prié pour la concorde au Bénin. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content Réunie à la place Idi d’Akpakpa vendredi 21 avril, pour la prière marquant la rupture du jeûne du Ramadan, la communauté musulmane de Cotonou a rendu grâce à Dieu et prié pour la concorde au Bénin. Après 29 jours de privation et de dévotion à Allah, des milliers de fidèles musulmans de Cotonou ont pris part, vendredi dernier, à la place Idi derrière la Sobetex à Akpakpa, à la grande prière de l’Aïd el-Fitr. Habillés de leurs plus belles tenues, ils ont suivi avec foi le sermon délivré par l’imam Ousmane Ibouraima. « Oh Dieu, agrée nos jeûnes, nos veillées de prières et fais-nous vivre plusieurs années de Ramadan sur terre dans la pleine foi, la pleine santé et la prospérité », a imploré le guide spirituel. Après l’invocation d’Allah, il a exhorté les fidèles à perpétuer les bonnes pratiques. Privation et abstinence ont marqué le mois saint. Dans son sermon, l’imam a mis l’accent sur les trois degrés de jeûne que sont l’abstinence de manger et de boire, l’abstinence de tout ce qui est blâmable, que ce soit dans le mois de Ramadan ou non, au vu des hommes ou à leur insu et dans toute autre situation. Car, à l’en croire, c’est cela l’objectif visé par le premier degré de jeûne. Il souligne que si le 2e degré de jeûne s’installe en un fidèle, ce dernier connaîtra l’évolution spirituelle qui le conduira au plus haut degré de jeûne qu’est celui des élus. Quant au 3e degré, l’imam précise que cela amène le fidèle à l’abstinence de son âme, de son cœur, de sa conscience, de sa foi et de tout ce qui n’est pas Dieu. Le fidèle, selon lui, doit, à travers ce 3e degré, se soumettre entièrement à Dieu. Ces 29 jours de jeûne constituent, selon Abdoulaye Bio Tchané, ministre d’Etat chargé du Développement et de l’Action gouvernementale, un des piliers de l’islam. Il note que cette période de jeûne qui vient de s’achever a été aussi une période d’intenses prières. « Nous avons, à travers ce jeûne, prié pour les Béninois, les autorités et principalement le chef de l’Etat Patrice Talon », a-t-il fait savoir. Il a poursuivi que ces 29 jours leur rappellent aussi les valeurs de la solidarité envers les plus démunis. Ces valeurs, à l’en croire, ne doivent pas s’arrêter à la fin du jeûne mais doivent se poursuivre dans les communautés. Pour l’imam Adamou Traoré Tidjani, membre du Bureau exécutif national de l’Union islamique du Bénin, la fin du jeûne ne veut pas dire la fin de l’adoration. « Si l’on jeûne, c’est pour avoir une expérimentation d’une vie exemplaire qui doit être un modèle pour le reste de la vie », a-t-il fait comprendre. Après la grande prière, s’en sont suivies les réjouissances au sein des familles. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413020301/https://lanation.bj/actualites/celebration-du-ramadan-action-de-grace-et-exhortation-aux-bonnes-pratiques-a-cotonou -- o:id 23410 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23410 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Eclaircissements de l’ambassadeur Kemal Onur Özçeri : « La Turquie aspire à un environnement de sécurité autour d’elle » dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1520 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2019-10-29 dcterms:identifier iwac-article-0005137 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Ambassadeur de la République de Turquie près le Bénin, Kemal Onur Özçeri a pris fonctions en décembre 2018. Habitué des arcanes de la diplomatie, cet ancien Directeur général adjoint au Département Afrique du Nord du ministère des Affaires étrangères de son pays, a également occupé des postes diplomatiques successivement à Paris, Tbilissi, Berne, Vienne (Osce) et Kiev (Mission Osce). Diplômé de l’Université Libre de Bruxelles-Ecole de Commerce Solvay, Kemal Onur Özçeri lève un coin de voile, à travers la présente interview, sur la Turquie qui célèbre ce mardi 29 octobre le 96e anniversaire de la proclamation de sa République. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/456 bibo:content Ambassadeur de la République de Turquie près le Bénin, Kemal Onur Özçeri a pris fonctions en décembre 2018. Habitué des arcanes de la diplomatie, cet ancien Directeur général adjoint au Département Afrique du Nord du ministère des Affaires étrangères de son pays, a également occupé des postes diplomatiques successivement à Paris, Tbilissi, Berne, Vienne (Osce) et Kiev (Mission Osce). Diplômé de l’Université Libre de Bruxelles-Ecole de Commerce Solvay, Kemal Onur Özçeri lève un coin de voile, à travers la présente interview, sur la Turquie qui célèbre ce mardi 29 octobre le 96e anniversaire de la proclamation de sa République. La Nation : Monsieur l’ambassadeur, comment se portent les relations entre le Bénin et la Turquie ?Kemal Onur Özçeri : Permettez-moi avant tout, en tant qu'ambassadeur de Turquie près le Bénin, de dire que c'est un plaisir pour moi de m'adresser aux lecteurs du quotidien béninois de référence, La Nation, à l'occasion du 96e anniversaire de la proclamation de la République de Turquie. Et pour répondre à votre question, je dois dire que les relations entre la Turquie et le Bénin se développent dans tous les domaines. Les entretiens qu’ont eus le président de la République, Patrice Talon avec son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, à deux reprises, le 6 décembre 2016 et le 6 septembre 2018 à Ankara, ont permis de donner une impulsion aux relations turco-béninoises et de tracer les contours de la coopération entre les deux pays. Celles-ci se veulent pragmatiques avec des effets visibles et dans une perspective de partenariat gagnant-gagnant.L'agriculture, les infrastructures et les liens dynamiques entre les secteurs privés respectifs figurent parmi les domaines de coopération. La Turquie émerge ainsi comme un partenaire supplémentaire du Bénin, dans une posture où elle veut contribuer davantage au développement et à la prospérité du Bénin.  L'ouverture de l'ambassade de Turquie à Cotonou en 2014 ainsi que celle du Bénin à Ankara en 2013, constitue un instrument permettant de gérer les flux générés de façon accrue par les opérateurs économiques des deux pays.Malgré la bonne entente entre les deux pays, la Turquie reste peu connue des Béninois. A quoi cela est-il dû ?Mes premiers contacts en tant qu’ambassadeur de Turquie ont montré que la Turquie est peu connue au Bénin et les informations véhiculées par les médias étrangers, créent une confusion supplémentaire. Je voudrais profiter de cette occasion pour donner des éléments d’information pour le public béninois.La Turquie est à cheval entre l’Europe et l’Asie. D’une superficie de 774 mille mètres carrés, elle se trouve sur l’ancienne route de la soie. D’approximativement 2000 km de longueur et 700 km de largeur, elle a 7200 km de côtes. Sa population est actuellement de 82 millions d’habitants. Il est bien sûr difficile de résumer en quelques lignes notre histoire. Chassés de leur empire d'Asie centrale par les Mongols, les Turcs seldjoukides migrèrent en Anatolie aux XX-XIe siècles. En 1453, la dynastie des Turcs ottomans conquiert Constantinople qui devient Istanbul. A la fin du XVIe siècle, l’Empire Ottoman, multi-ethnique, couvrait un large territoire en Europe et sur d’autres continents. A partir de 1774, les diverses puissances européennes se sont progressivement impliquées dans ce qui est appelé la "question d'Orient", afin d'acquérir des privilèges politiques et commerciaux. Avec l’addition de l’avènement des nationalismes, le démembrement de l’Empire Ottoman se produisit. En 1918, Istanbul et le territoire furent envahis par des forces Alliées. Alors que le dépeçage de l’Anatolie devenait presque réalité, un engouement populaire national turc mené par Mustafa Kemal Atatürk, réussit à bouter l'envahisseur hors d'Anatolie. La victoire sur le terrain fut parachevée par un traité de paix avec les Alliés. Le 29 octobre 1923, l’Assemblée nationale turque proclama la République de Turquie. La Turquie, pays laïc avec une population à très grande majorité musulmane, accéda par la suite aux principales organisations européennes. Ceci était dû aux réformes effectuées après son indépendance. Parmi celles-ci, on peut citer l’adoption du Code civil moderne en 1926. Notons également que les femmes ont obtenu le droit de vote et celui d’être élues en 1934, bien avant d’autres. En 1928, les caractères latins pour transcrire la langue turque, furent adoptés, le dimanche devint le jour de repos hebdomadaire, l’obligation de choisir un patronyme édictée. Au fur et à mesure, la Turquie a solidifié les fondements de son Etat, ancré irrémédiablement à la démocratie. Cela s’est vu en juillet 2016 quand le peuple turc s’est battu contre des putschistes qui avaient bombardé le Parlement. La Turquie, c’est aussi une puissance militaire de nos jours…Comme toute nation, la Turquie aspire à un environnement de sécurité autour d’elle. Cependant, les convulsions chez ses voisins méridionaux, des zones de non-droit dans son entourage, des groupes terroristes avec des visées contre la Turquie ont nécessité une défense sans concession du pays. Les informations qui alarment les pays occidentaux, les afflux de réfugiés, les menaces terroristes et la prolifération d’armes nucléaires émanent souvent de pays qui sont directement nos voisins. Dans cette géographie difficile, la Turquie se tient ferme et anticipe contre les menaces pour assurer la stabilité du pays.La Turquie reste également une puissance économique. Quelle est la recette du succès turc ?Malgré cet environnement, la Turquie a réussi un important essor économique, social, culturel. Le PIB par habitant qui était de 4000 dollars en 1960 a atteint 12.000 dollars en 2013. Elle a réussi à attirer l’investissement étranger et à intégrer le G20 qui réunit les vingt plus grandes économies du monde. Mais la recette du succès turc est à chercher dans la capacité entrepreneuriale de sa population. La Turquie s’est orientée vers des produits à haute valeur ajoutée intégrant de plus en plus de technologies. Ainsi, la part des machines et véhicules exportés est en constante hausse. La Turquie est devenue le premier fabricant européen de téléviseurs, le premier constructeur de bus et d’autocars. Le nombre total d'abonnés au téléphone mobile a atteint 75 millions en 2016. Les entreprises turques disposent d’un grand marché intérieur, mais vendent leurs biens à l’étranger. Le textile, les produits électroménagers, l’ameublement, les pièces pour camions, les lits d’hôpitaux sont quelques exemples de secteurs dans lesquels les entreprises grâce à leur rapport prix/qualité concurrentiel, excellent dans plus d’une centaine de pays. Aujourd’hui, sept entreprises turques de construction figurent parmi les cent plus grandes du monde selon le classement Enr (Ndlr : Engineering News Record, classement des ingénieries internationales). Le total des exportations turques en 2018 se chiffrait à 167 milliards de dollars contre des importations de 223 milliards de dollars.Qui sont les principaux partenaires de la Turquie ?L’Union Européenne est actuellement le premier partenaire commercial et premier investisseur en Turquie. Avec l’union douanière Turquie-Eu en vigueur depuis 1996, les entreprises européennes et turques opèrent dans le même environnement économique, la concurrence des entreprises européennes ayant dopé les entreprises turques. En 2018, la Turquie a envoyé vers l’Ue, 50 % de ses exportations et en a reçu 36 % de ses importations.Qu’en est-il de la coopération économique avec le Bénin ?Cet environnement concurrentiel a fait que la Turquie est un pays dont les entreprises ont réussi à atteindre un stade avancé dans la conception et la production de leurs produits et elles sont prêtes à s’associer avec les entreprises du Bénin pour satisfaire leur envie de diversifier les sources d’approvisionnement avec des produits de qualité.  C’est dans ce contexte que de plus en plus de contrats se nouent entre entreprises turques et béninoises. L’organisation faîtière officielle du secteur privé turc, le Conseil des Relations économiques extérieures, Deik peut être contacté. Son secrétariat est à Istanbul, il dispose d’une section responsable notamment du Bénin avec des collaborateurs francophones. Toute entreprise voulant trouver une contrepartie turque peut contacter le Secrétariat de la Deik (sgulmez@deik.org.tr) qui dispose d’une banque de données de tous ses membres par secteur d’activité. De plus en plus d’entreprises turques sont intéressées par un investissement au Bénin pour s’associer à la transformation de produits agricoles. Une entreprise turque figure dans le projet de construction d’une usine de textile près de Cotonou, génératrice d’emplois, actuellement en discussion avec le gouvernement. Une autre entreprise turque vient de prospecter le Bénin pour y établir également une usine. D’ailleurs, cette année 2019, une entreprise turque vient, pour la première fois au Bénin, de terminer un projet de rénovation d’un complexe hôtelier. Une autre entreprise, cette même année 2019, s’est installée à Abomey-Calavi pour y produire du béton prêt à usage. Les entreprises turques, par leur compétence, leur capacité d’adaptation à toutes les conditions, sont à même d’assumer des projets à des coûts concurrentiels et avec une production de qualité. Elles sont prêtes à contribuer au changement structurel du Bénin actuellement en cours dans tout le pays. Quant à notre ambassade, elle adopte une approche accommodante vis-à-vis des demandeurs de visas qui veulent se rendre en Turquie pour des affaires. Les demandes doivent être effectuées sur le site evisa.gov.tr, qui indique la date de l’interview qui se fait dans nos locaux. La compagnie aérienne nationale turque, la Turkish Airlines, qui dessert quotidiennement Istanbul à un prix concurrentiel, est en train d’accroitre l’offre au départ du Bénin.De belles perspectives en somme entre les deux pays…La présence turque au Bénin qui va s’accroître au fil des années prochaines, répond également aux attentes du Bénin pour des opérateurs économiques avec des produits de qualité à des prix compétitifs.  Le renforcement des relations commerciales et des investissements entre la Turquie et le Bénin permettront de solidifier les bases d'un partenariat dans tous les domaines entre les deux pays à l’avenir. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413061117/https://lanation.bj/actualites/eclaircissements-de-lambassadeur-kemal-onur-ozceri-la-turquie-aspire-a-un-environnement-de-securite-autour-delle -- o:id 23411 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23411 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Construction de logements sociaux à Abomey-Calavi : une mission de la Bid évalue le projet dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2019-06-26 dcterms:identifier iwac-article-0005138 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Une mission de la Banque islamique de développement (Bid) a séjourné, la semaine dernière, au Bénin dans le cadre de la première phase du projet de construction de 20 000 logements sociaux. La mission composée de cinq membres a effectué une visite du site et s’est entretenue avec les différents acteurs de ce projet d’habitats qui s’inscrit dans le cadre du Programme d’action du gouvernement. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/271 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 bibo:content Une mission de la Banque islamique de développement (Bid) a séjourné, la semaine dernière, au Bénin dans le cadre de la première phase du projet de construction de 20 000 logements sociaux. La mission composée de cinq membres a effectué une visite du site et s’est entretenue avec les différents acteurs de ce projet d’habitats qui s’inscrit dans le cadre du Programme d’action du gouvernement. Selon Dr Zul Kifl Salami, chargé de mission du président de la République et administrateur de la Bid, après les études de base, il fallait que la mission vienne évaluer le projet pour s’assurer de la corrélation entre ce que disent les études et les réalités du terrain, afin que les gaps éventuels soient comblés pour améliorer l’architecture globale du projet. Courant Octobre 2018, le ministre du Cadre de vie et du Développement durable, José Tonato, avait annoncé que les études architecturale, urbanistique, technique et d’impact environnemental et social du projet 20 000 logements sont entièrement achevées et que les dossiers d’appel d’offres ont été élaborés. Les études techniques des travaux de viabilisation primaire à savoir voirie de desserte, réseau d’adduction d’eau, réseau de basse et moyenne tension et de connexion en fibre optique du site de Ouèdo ont été également achevées et les entreprises devant réaliser les travaux ont été sélectionnées, a-t-il assuré. A en croire Dr Salami, la mission est rentrée satisfaite et le Bénin devrait s’attendre logiquement à l’accord de financement par le conseil d’administration de la Bid pour le démarrage des travaux proprement dits. « Et si tout va bien, nous aurons la chance d’avoir la phase 2 avec éventuellement l’appui des autres membres du groupe de coordination pour financer d’autres volets du projet du gouvernement », espère-t-il. Le gouvernement prévoit de construire au total 20 000 logements dont 10 849 à Abomey-Calavi. La première phase concerne 12 049 logements pour un coût global estimé à 322 milliards F Cfa environ. La Bid devrait financer 2819 logements et la Banque ouest-africaine de développement (Boad), 3035 logements à Ouèdo dans la commune d’Abomey-Calavi. L’entreprise Poly International est chargée de construire 450 logements dans douze villes du Bénin ; la Caisse nationale de sécurité sociale (Cnss) : 3175 au total dont 2425 à Ouèdo, 250 à Porto-Novo et 500 à Parakou et d’autres promoteurs immobiliers réaliseront 2570 logements à Ouèdo. Claude Urbain PLAGBETO fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413062033/https://lanation.bj/actualites/construction-de-logements-sociaux-a-abomey-calavi-une-mission-de-la-bid-evalue-le-projet -- o:id 23412 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23412 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Appui aux universités thématiques de Porto-Novo et d’Abomey : la Badea et le Bénin signent un accord de prêt de 22 milliards F Cfa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2019-04-08 dcterms:identifier iwac-article-0005139 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract 40 millions de dollars US, soit plus de 22 milliards F Cfa, c’est le montant que mettra la Badea à la disposition du Bénin pour la mise en œuvre du projet d’appui aux universités thématiques de Porto-Novo et d’Abomey. La signature de l’accord de prêt a eu lieu, vendredi 5 avril dernier à Marrakech au Maroc. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 bibo:content 40 millions de dollars US, soit plus de 22 milliards F Cfa, c’est le montant que mettra la Badea à la disposition du Bénin pour la mise en œuvre du projet d’appui aux universités thématiques de Porto-Novo et d’Abomey. La signature de l’accord de prêt a eu lieu, vendredi 5 avril dernier à Marrakech au Maroc. Annoncé depuis quelques mois, l’accord de financement du projet d’appui aux universités thématiques de Porto-Novo et d’Abomey par la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea) est effectif depuis vendredi 5 avril dernier. D’un montant de 40 millions de dollars US soit plus de 22 milliards F Cfa la signature des documents afférents au prêt est intervenue, vendredi 5 avril dernier, entre la délégation béninoise conduite par le ministre d’Etat chargé du Plan et du Développement, Abdoulaye Bio Tchané, et le représentant de l’institution financière, en marge des assemblées annuelles de la Banque islamique de développement du 4 au 6 avril dernier à Marrakech au Maroc. Cet accord de prêt fait suite à l’approbation du protocole par le conseil d’administration de la Badea lors de sa première réunion annuelle tenue du 6 au 8 mars dernier à Kigali au Rwanda. Une mission avait séjourné au Bénin du 21 au 30 janvier dernier pour échanger sur les modalités, sous l’égide du chargé de mission du président de la République,Zul-Kifl Salami. Selon les clauses, une première tranche de 20 millions de dollars sera concédée à un taux d’intérêt de 1,75 % par an pour une durée de 26 ans avec un délai de grâce de cinq ans. La seconde tranche du même montant est conclue au taux de 2,5 % par an pour une durée de 20 ans avec un délai de grâce de cinq ans. Le prêt de la Badea représente environ 87 % du coût global du projet estimé à 46,03 millions de dollars US au total, soit environ 26 milliards F Cfa. Le reste du financement sera assuré sur le budget national. D’une durée de quatre ans, le projet d’appui à l’Université nationale d’agriculture (Una) de Porto-Novo et à l’Université des sciences, technologie, ingénierie et mathématiques (Unstim) s’inscrit dans le cadre du Programme d’action du gouvernement (Pag 2016-2021). Il vise à augmenter la capacité d’accueil des étudiants au niveau des deux universités, en dotant la première d’une nouvelle faculté d’Agronomie d’une capacité initiale de 500 étudiants, à raison de 100 étudiants par promotion; et la seconde, d’un nouveau rectorat et d’un Institut des classes préparatoires d’ingénieurs d’une capacité initiale de 200 étudiants à raison de 100 étudiants par promotion. Les deux universités seront dotées de blocs administratifs, d’amphithéâtres ainsi que de logements pour étudiants ; d’ateliers et laboratoires équipés en mobiliers et matériels adéquats. Les sites seront clôturés et davantage viabilisés. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413063338/https://lanation.bj/actualites/appui-aux-universites-thematiques-de-porto-novo-et-dabomey-la-badea-et-le-benin-signent-un-accord-de-pret-de-22-milliards-f-cfa -- o:id 23413 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23413 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de l’Aïd El Fitr : un spectacle de chevaux rehausse la fête à Lokossa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2018-06-15 dcterms:identifier iwac-article-0005140 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’instar des autres communautés musulmanes du Bénin, les fidèles résidant à Lokossa et ses environs ont célébré l’Aïd El Fitr, ce vendredi 15 juin avec une grande attraction. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 bibo:content A l’instar des autres communautés musulmanes du Bénin, les fidèles résidant à Lokossa et ses environs ont célébré l’Aïd El Fitr, ce vendredi 15 juin avec une grande attraction. Il s’agit d’un spectacle de chevaux qui a élevé d’un cran l’ambiance de fête, bien après les traditionnelles séances de prières organisées sur les différentes places idi. Tout a commencé, dans la soirée, par une caravane d’une vingtaine de cavaliers drainant des fidèles musulmans ayant pris leur départ du quartier Zongo pour un petit tour de la ville. A leur tête, Abdou Nouhou alias Babavi, chef religieux des musulmans de la localité veillait au grain. La caravane rythmée de musiques folkloriques marquera quelques arrêts notamment pour présenter des civilités au préfet du département du Mono, Komlan Zinsou, et permettre aux fidèles de se recueillir comme ce fut le cas à la mosquée centrale de la ville de Lokossa. Ce tour de ville suffira pour que des anonymes grossissent les rangs jusqu’à la concession du chef religieux, à Zongo, point de chute de la caravane. Et c’est alors que débutera le spectacle proprement dit. Les cavaliers se lanceront des défis tant à travers une compétition de course de leurs chevaux qu’à la phase des acrobaties de ceux-ci sur des rythmes des tam-tams, des timbales et des longues trompettes. Les musiciens, appuyés des femmes qui donnaient de la voix, ne se priveront non plus de quelques fantaisies bien appréciées par des applaudissements du public. Et comme si tout ceci ne suffisait pas, des cavaliers descendent de leurs chevaux et passent, tour à tour, devant le chef religieux pour démontrer leurs talents de chorégraphes au grand bonheur du public. La phase de réjouissances se poursuit, ce samedi, avec à la clé un concours de lecture du Coran annoncée pour se tenir à la mosquée de Zongo. Les réjouissances prennent fin, le dimanche 17 juin prochain. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413065847/https://lanation.bj/actualites/celebration-de-laid-el-fitr-un-spectacle-de-chevaux-rehausse-la-fete-a-lokossa -- o:id 23414 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23414 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Conseil des Ministres : des mesures pour une bonne couverture vaccinale des pèlerins du Hadj 2018 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2018-05-25 dcterms:identifier iwac-article-0005141 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le Conseil des ministres s’est réuni ce jeudi 24 mai 2018, sous la présidence de monsieur Patrice Talon, président de la République, chef de l’Etat, chef du gouvernement. Les dossiers ci-après ont été examinés au cours de la séance : dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/269 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/270 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/297 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/384 bibo:content Le Conseil des ministres s’est réuni ce jeudi 24 mai 2018, sous la présidence de monsieur Patrice Talon, président de la République, chef de l’Etat, chef du gouvernement.Les dossiers ci-après ont été examinés au cours de la séance :I. Mesures normativesLe Conseil a adopté le décret portant nomination d’huissiers de justice avec sept attributions de charges dont une à Comè, une à Parakou/Wansirou, deux à Bohicon, une à Abomey, deux à Lokossa ; et un changement de charge de Comè pour Pobè. Cette attribution de nouvelles charges rentre dans le cadre du rapprochement des services judiciaires des justiciables. Aussi, le ministre de la Justice et de la Législation a-t-il été instruit à l’effet de faire procéder à la prestation de serment des nouveaux huissiers de Justice.II- CommunicationsII-l. Homologation des prix de cession des intrants et d’achat de coton graine aux producteurs au titre de la campagne cotonnière 2018-2019.Le Conseil a homologué les prix de cession des intrants ainsi que les prix d’achat de coton graine aux producteurs, au titre de la campagne cotonnière 2018-2019. En effet, au terme du processus d’approvisionnement des producteurs en intrants au titre de cette campagne, conduit par la Commission chargée de l’organisation de l’appel d’offres pour l’importation et la distribution des intrants et nonobstant l’augmentation relative des prix sur le marché international, les prix de cession des intrants aux producteurs sont maintenus à leur niveau de la dernière campagne et se présentent ainsi qu’il suit : a- Engrais coton (NPKSB et Urée) : 240 FCFA/kg soit 12.000 FCFA le sac de 50 kg; b- Engrais vivrier (NPKSBZn) : 240 FCFA/kg soit 12.000 FCFA le sac de 50 kg; c- Insecticides : 3.500 FCFA le flacon pour le traitement de demi (0,5) hectare ; d- Herbicides totaux : 3.500 FCFA le litre ; e- Herbicides sélectifs : 5.000 FCFA le litre. Par ailleurs, s’agissant des prix d’achat du coton graine aux producteurs, les acteurs de l’ interprofession coton ont convenu d’une augmentation de 5 F/kg sur le prix pratiqué au cours de la campagne 2017-2018. Ainsi, au titre de la campagne 2018-2019, ces prix sont les suivants : - Coton graine du 1er choix : 265 FCFA/kg net à payer aux producteurs ; - Coton graine du 2e choix: 215 FCFA/kg net à payer aux producteurs. Enfin, au titre des fonctions critiques, les acteurs de l’interprofession ont convenu d’un montant de 15 FCFA/kg de coton graine, soit 5 FCFA/kg de plus que lors de la campagne écoulée. Cette augmentation du prix d’achat aux producteurs et celle du prélèvement pour les fonctions critiques participent de la logique de faire profiter à tous les acteurs, des fruits de l’embellie que connaît la filière coton depuis deux campagnes.II-2. Acquisition de vaccins contre la fièvre jaune pour le Hadj 2018Dans le cadre des préparatifs du Hadj 2108 et en vue d’assurer la bonne couverture vaccinale des pèlerins en même temps que la satisfaction des besoins d’autres voyageurs, le Conseil a décidé de l’acquisition de 10.000 nouvelles doses de vaccin contre la fièvre jaune. Cette nouvelle acquisition vient renforcer le stock de vaccins actuellement disponible, tel que le vaccin anti méningite A, C, Y, W135, ainsi que les vaccins contre la grippe saisonnière et la fièvre typhoïde. Les ministres concernés veilleront à l’accomplissement des diligences pour parvenir à cette fin.III- Rencontres et manifestations internationalesLe Conseil a autorisé : - l’organisation à Cotonou, le 25 mai 2018, de la première Journée béninoise d’Hépatologie et de Gastroentérologie ; - la tenue à Cotonou de la deuxième réunion des ministres du Conseil International Consultatif du Cajou (CICC) les 28 et 29 mai 2018 ; - la participation du Bénin à la 107e session de la Conférence internationale du Travail à Genève, du 28 mai au 08 juin 2018 ; - la participation du Bénin à la conférence des ministres du Pôle de Qualité Inter-Pays pour le Développement des Compétences Techniques et Professionnelles en novembre 2018, à Abidjan ; - la participation du ministère des Enseignements Maternel et Primaire à ses réunions statutaires au titre de l’année 2018.Fait à Cotonou, le 24 mai 2018Le secrétaire général du gouvernementEdouard Ouin-Ouro fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413070113/https://lanation.bj/actualites/conseil-des-ministres-des-mesures-pour-une-bonne-couverture-vaccinale-des-pelerins-du-hadj-2018 -- o:id 23415 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23415 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Tractations pour le dégel de la fronde sociale : l'équipe du médiateur de la République rencontre les syndicalistes dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2018-03-30 dcterms:identifier iwac-article-0005142 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le médiateur de la République Joseph Gnonlonfoun et son équipe composée de personnalités sociopolitiques, morales et religieuses engagées pour le dégel de la crise sociale qui prévaut au Bénin, ont écouté, ce jeudi 29 mars, les revendications et autres préoccupations des centrales et confédérations syndicales en grève. Le comité de médiation fera bientôt le même exercice avec des représentants du gouvernement avant de proposer un protocole d’accord. bibo:content Le médiateur de la République Joseph Gnonlonfoun et son équipe composée de personnalités sociopolitiques, morales et religieuses engagées pour le dégel de la crise sociale qui prévaut au Bénin, ont écouté, ce jeudi 29 mars, les revendications et autres préoccupations des centrales et confédérations syndicales en grève. Le comité de médiation fera bientôt le même exercice avec des représentants du gouvernement avant de proposer un protocole d’accord. Le médiateur de la République est déterminé à apaiser la tension sociale en cours dans plusieurs structures de la Fonction publique. Joseph Gnonlonfoun a rencontré, ce jeudi 29 mars, les secrétaires généraux des centrales et confédérations syndicales avec qui il a échangé sur leurs revendications et préoccupations par rapport à leur grève déclenchée depuis le 16 janvier dernier. Le médiateur de la République était entouré de certaines personnalités sociopolitiques, morales et religieuses qu’il a sollicitées pour l’appuyer dans cette œuvre de médiation pour le dégel de la crise. Il y avait les anciens ministres Séïdou Mama Sika et Sylvain Akindès Adékpédjou, des représentants du clergé catholique, de l’Union islamique du Bénin, des églises protestante méthodiste et du christianisme céleste. On notait aussi la présence des acteurs de la Société civile et des religions endogènes. Le comité de médiation initié par le médiateur a reçu les syndicalistes et pris connaissance de leur plateforme revendicative, conformément à la feuille de route qu’il a adoptée lors de sa première réunion du mardi 27 mars dernier. Il a recensé les revendications négociables et celles non négociables. Pour le secrétaire général de la Confédération syndicale des travailleurs du Bénin (Cstb), Kassa Mampo, qui est parti quelques minutes après l’ouverture de la séance pour, dit-il, aller répondre à une urgence familiale, la question de rétrocession des fonds défalqués sur le salaire du mois de février dernier pour fait de grève, est non négociable. Cette revendication est une question préjudicielle pour les centrales et confédérations syndicales, martèle-t-il à la presse à sa sortie de la réunion qui s’est déroulée à huis clos. Il sera appuyé par son collègue de la Confédération des organisations des syndicats indépendants du Bénin (Cosi-Bénin), Noël Chadaré. Pour lui, la clé du dégel se trouve avec le gouvernement. Les syndicalistes saluent l’initiative du médiateur de la République qui a décidé de jouer sa partition pour débloquer la situation d'impasse dans laquelle se trouvent les négociations entre le gouvernement et les centrales et confédérations syndicales qui n’arrivent pas à accorder leurs violons. « Comme toutes les centrales et confédérations syndicales sont préoccupées par les questions de l’unité nationale et de la paix, il est bon que nous les écoutions », explique le médiateur de la République. La rencontre avec le gouvernement pour plus tard Après les syndicalistes à 10 h, le médiateur de la République et son équipe devraient faire le même exercice à 12 h avec le gouvernement. Deux ministres étaient attendus hier, à savoir le ministre d’Etat chargé du Développement et président de la Commission de négociations gouvernement/syndicats, Abdoulaye Bio Tchané, et son collègue du Travail et de la Fonction publique, Adidjatou Mathys. Mais à la dernière minute, ils n’ont pu honorer le rendez-vous. Ils seraient retenus par un séminaire gouvernemental en cours et qui aurait démarré depuis mercredi dernier. Le ministre Adidjatou Mathys a écrit à cet effet au médiateur de la République pour l’informer de ce contretemps de dernière minute. Mieux, elle a envoyé encore hier deux cadres du ministère pour présenter de vive voix les excuses de la délégation gouvernementale et dire sa disponibilité à participer aux travaux dès qu’une nouvelle date sera retenue. Joseph Gnonlonfoun rassure que la rencontre de son comité avec les deux interlocuteurs au niveau du gouvernement ne tardera pas. « Le comité réserve la primeur des doléances, revendications et réclamations essentielles des travailleurs au gouvernement. Car, il devient urgent qu’on sorte de cette crise », insiste le médiateur de la République, à l’issue des travaux avec les secrétaires généraux des centrales et confédérations syndicales qui auront duré deux heures environs. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413071657/https://lanation.bj/actualites/tractations-pour-le-degel-de-la-fronde-sociale-lequipe-du-mediateur-de-la-republique-rencontre-les-syndicalistes -- o:id 23416 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23416 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Retombées des visites du chef de l’Etat à l’extérieur : l'Arabie Saoudite et l’Inde prêtes à accompagner le développement du Bénin dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2017-05-26 dcterms:identifier iwac-article-0005143 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le ministre des Affaires étrangère a fait, mercredi 24 mai dernier à Cotonou, le point de la visite du chef de l’Etat en Arabie Saoudite et en Inde. Selon Aurélien Agbénonci, les deux pays ont affiché leur volonté d’accompagner le Bénin dans plusieurs domaines. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/542 bibo:content Le ministre des Affaires étrangère a fait, mercredi 24 mai dernier à Cotonou, le point de la visite du chef de l’Etat en Arabie Saoudite et en Inde. Selon Aurélien Agbénonci, les deux pays ont affiché leur volonté d’accompagner le Bénin dans plusieurs domaines. La visite du chef de l’Etat en Arabie Saoudite a été l’occasion pour lui de participer au sommet arabo-islamo-américain qui a eu lieu à Riyad le 21 mai dernier. Le président de la République qui était l’invité d’honneur de cette conférence au même titre que son homologue sénégalais a pu participer à des échanges relatifs à la lutte contre le terrorisme. Ce déplacement a également permis au président Patrice Talon d’avoir un entretien avec le roi Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud d’Arabie Saoudite. Cette rencontre a permis au roi d'Arabie Saoudite d’insister sur le renforcement de la coopération entre les pays membres de l’Organisation de la Coopération, islamique (Oci) dont le Bénin et les Etats-Unis pour que la sécurité, la paix et le développement soient assurés pour les populations, a laissé entendre le ministre des Affaires et de la coopération, Aurélien Agbénonci, au cours d’un point de presse qu’il a animé mercredi 24 mai dernier pour faire le point de cette sortie. Le président de la République a aussi échangé, à l’occasion, avec le président des Etats-Unis Donald Trump. A cette occasion, poursuit-il, le président Donald Trump a appelé à l’unité pour plus d’efficacité dans la lutte contre le terrorisme et a assuré ses partenaires du soutien de son pays. Le président Patrice Talon a également participé à l’inauguration du Centre global de la lutte contre l’idéologie extrémiste qui se tenait en marge de cette conférence. Selon le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, il s’agit d’un centre qui a été construit avec des moyens importants et qui dispose d’une technologie de dernière génération pour traquer tout ce qui peut utiliser les moyens technologiques pour concourir à la promotion du terrorisme. « Il est souhaité, affirme le ministre, que les Etats membres de l’Oci puissent coopérer aux actions qui seront menées par ce centre qui est basé à Riad et à une capacité d’intervention qui sorte du cadre géographique du royaume d’Arabie Saoudite.» L’Inde, un partenaire sûr Le président Patrice Talon a également eu une rencontre bilatérale avec le Premier ministre indien Narendra Modi. Les échanges entre les deux personnalités ont porté sur la nécessité de redynamiser les accords qui ont été signé entre les deux pays en 2009. L’Inde a marqué son accord pour soutenir le Bénin et apporté son expertise dans plusieurs domaines tels que la santé, la technologie. Le président de la République a souhaité que l’Inde puisse participer à la mise en place et à l’opérationnalisation du projet dénommé « La cité internationale aux innovations et du savoir). « Par cette participation de l’Inde, nous pourrions concrétiser cette coopération en réactivant l’accord qui avait été signé avec l’Inde pour créer un centre en matière de nouvelle technologie au Bénin», a indiqué le ministre en charge des Affaires étrangères.En marge de cette conférence, Le président Patrice Talon a eu des entretiens avec plusieurs chefs d’Etat de la sous-région Ouest-africaine dans le cadre d’une coopération bilatérale. Il a également rencontré quelques dignitaires des pays du Golf avec lesquels le Bénin souhaite développer des actions de coopération. A cette occasion, l’Emir du Qatar et le Sultan de Brunei ont souhaité une visite officielle du chef de l’Etat béninois, dans leurs pays respectifs, et ce dans un avenir plus proche en vue d’explorer d’autres possibilités de coopération. Le Bénin pourrait abriter l’un des bureaux de la Bad La visite de travail du chef de l’Etat s’est poursuivie à Ahmedabad en Inde, où le président Patrice Talon a participé à la 52e assemblée annuelle de la Banque africaine de développement (Bad) et à la 43e assemblée du conseil des gouverneurs du Fonds africain pour le développement. Le chef de l’Etat béninois a manifesté son intérêt pour le thème de ces assemblées, à savoir «  transformer l’agriculture pour créer de la richesse en Afrique ». Le président Patrice Talon a eu un tête-à-tête avec Akinwumi  Adesina, président de la Banque africaine de développement (Bad) qui a salué l’engagement du Bénin aux côtés de son institution. Le président de la Bad a même indiqué que le Bénin est en bonne position pour accueillir l’un des deux bureaux de la Bad qui s’ouvriront très prochainement en Afrique. Le chef de l’Etat a eu l’occasion de se prononcer sur les priorités de la Bad à savoir « éclairer et nourrir l’Afrique, industrialiser l’Afrique, intégrer l’Afrique et améliorer les conditions de vie des populations.» Des priorités qui ressemblent à celles contenues dans le Programme d’action du Gouvernement (Pag). Il a également participé à une table ronde qui s’est penchée sur la coopération entre l’Afrique et le continent asiatique. L’objectif était de permettre à l’Afrique de s’inspirer des exemples des pays asiatiques particulièrement l’Inde pour accélérer son développement en créant des conditions qui peuvent permettre un décollage réel des économies africaines. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413075414/https://lanation.bj/actualites/retombees-des-visites-du-chef-de-letat-a-lexterieur-larabie-saoudite-et-linde-pretes-a-accompagner-le-developpement-du-benin -- o:id 23417 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23417 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Cour suprême : le président Batoko reçoit quatre ambassadeurs béninois dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2017-03-02 dcterms:identifier iwac-article-0005144 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Quatre diplomates béninois nouvellement nommés ont été reçus en audience ce mercredi 1er mars par le président de l’Assemblée nationale puis le président de la Cour suprême. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/331 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/542 bibo:content Quatre diplomates béninois nouvellement nommés ont été reçus en audience ce mercredi 1er mars par le président de l’Assemblée nationale puis le président de la Cour suprême. Quatre nouveaux ambassadeurs béninois sont allés présenter hier leurs civilités au président de la Cour suprême, Ousmane Batoko, à qui ils ont annoncé leur départ dans les prochains jours pour rejoindre leurs postes respectifs à l’étranger. Il s’agit de Zachary Richard Akplogan, ambassadeur du Bénin près le Royaume de Belgique et l’Union Européenne (UE), Naïm Akibou, ambassadeur du Bénin près la République islamique d’Iran, Mohamed Barè, ambassadeur du Bénin près l’Etat du Qatar et Eric Saïzonou, ambassadeur du Bénin près la République d’Afrique du Sud. Les quatre ambassadeurs ont été reçus ensemble par le président Ousmane Batoko qui leur a prodigué des conseils pour la réussite de leurs missions.  « C’est devenu une tradition que les nouveaux ambassadeurs nommés rendent visite aux présidents des institutions de la République. C’est donc dans ce cadre que nous avons été reçus ce matin par le président de la Cour suprême. Quand on rencontre le président Ousmane Batoko, on est jamais pressé de repartir parce qu’il vous prodigue de très sages conseils », a laissé entendre Naïm Akibou, porte-parole de la délégation. « Partant du Programme d’action du Gouvernement (Pag) pour la période 2016-2021, il nous a conseillés comme l’a fait d’ailleurs le président de la République, d’être avant tout, des diplomates pour le développement », a-t-il insisté. Cela passe par une diplomatie offensive pour amener beaucoup d’investisseurs au Bénin, la sécurisation des activités du secteur privé qui sera engagé dans le partenariat public-privé. Le porte-parole de la délégation espère le soutien de la Cour suprême pour revoir et corriger l’arsenal juridique béninois afin d’atteindre cet objectif. L’ambassadeur Naïm Akibou se félicite de l’accompagnement du président Ousmane Batoko qui a indiqué à sa suite la voie à suivre dans le contact avec les investisseurs internationaux. De la coopération interparlementaire Avant le président de la Cour suprême, les quatre ambassadeurs étaient au cabinet du président de l’Assemblée nationale pour le même exercice. « Le président de l’Assemblée nationale a manifesté sa joie de nous recevoir. Avec lui, nous avons échangé sur la coopération avec nos pays de résidence. Il a surtout mis l’accent sur la coopération interparlementaire et nous a prodigué des conseils et suggéré que dans nos activités, nous mettions beaucoup plus d’accent dans la création de cadres de coopération avec les institutions parlementaires de nos pays de résidence et de nos pays de juridiction », a confié à la presse à la sortie de l’audience, Zachary Richard Akplogan, ambassadeur de la République du Bénin près la Belgique et porte-parole des diplomates. Le président Adrien Houngbédji a surtout demandé aux quatre ambassadeurs d’être fidèles au Bénin qui les envoie en mission et de faire la promotion de ce pays une fois qu’ils seront en poste. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413075719/https://lanation.bj/actualites/cour-supreme-le-president-batoko-recoit-quatre-ambassadeurs-beninois -- o:id 23418 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23418 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Audience à la HAAC : Adam Boni Tessi échange avec plusieurs acteurs dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2017-01-16 dcterms:identifier iwac-article-0005145 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Deux délégations sont allées s’entretenir dans la soirée du vendredi 13 janvier dernier avec le président de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) au siège de ladite institution. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 bibo:content Deux délégations sont allées s’entretenir dans la soirée du vendredi 13 janvier dernier avec le président de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) au siège de ladite institution. L’instance de régulation des médias au Bénin pourrait bénéficier d’une intense coopération et d’une collaboration active d’institutions sœurs de plusieurs pays en relation diplomatique avec le Bénin. Ces préoccupations sont inscrites en bonne place dans le cahier de charges des nouveaux ambassadeurs du Bénin au Koweït, au Nigéria et en Russie. Vendredi dernier, les trois représentants de l’Etat béninois qui font le tour des institutions de la République depuis peu, et qui ne devraient pas tarder à rejoindre leurs nouveaux postes, sont allés échanger avec Adam Boni Tessi, président de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC), en présence d’autres conseillers et responsables de l’institution.  Cette séance aux allures protocolaires n’en est pas une, a nuancé le porte-parole de la délégation, Issifou Moudjaïdou Soumanou, ambassadeur du Bénin près le Koweït en présence de ses pairs Marcelline Adjovi, ambassadeur du Bénin au Nigeria avec résidence à Abuja et René Koto Yérima, ambassadeur du Bénin près la Russie. «Nous donnons un sens profond à cette démarche et c’est pourquoi nous avons tenu à être reçus ensemble», déclare Issifou Moudjaïdou Soumanou. Appréciant toujours ce déplacement qu’il crédite de bonnes intentions et surtout de perspectives heureuses pour la HAAC et pour le pays en général, il expose cette séance comme une aubaine pour prendre également des conseils en vue de la réussite de la mission qui est désormais la leur. Mais c’est surtout sur la coopération entre la HAAC et les institutions dans les pays de leurs girons que misent ces ambassadeurs qui comptent apporter un plus au fonctionnement institutionnel et surtout technique de l’institution par le truchement de la coopération. Une vision à laquelle adhère le président Adam Boni Tessi. Avec quelques-uns de ses conseillers, il a exploré avec ses hôtes les chantiers possibles et des engagements ont été pris de part et d’autre. Paix et sort des médias suspendus Avant ces hommes de la diplomatie, la Fondation Malèhossou, éprise de paix et très active pour un Bénin prospère, a échangé avec le président de la HAAC et sa suite. Entre les deux parties, les échanges ont été en faveur d’une paix profonde dans le pays. Depuis dix ans, selon Yacoubou Malèhossou, porte-parole de la délégation, cette fondation s’est employée à cela. Et, faisant le point de ses activités et de la situation du pays en général, il y a quelques jours, elle s’est montrée soucieuse de la situation dans le monde des médias. Le sort des sept organes de presse interdits d’émission depuis plusieurs semaines préoccupe cette fondation dont des responsables au haut niveau, notamment les imams Issa Yessoufou, Moutawakil Boukari Malik et autres, ont tous effectué le déplacement. Au sortir de l’audience, Yacoubou Malèhossou estime que sa délégation a eu avec le président de la HAAC des échanges qui lui ont permis d’en savoir davantage sur l’institution, mais aussi et surtout sur la situation des médias suspendus. La fondation a fait un plaidoyer en leur faveur et promis rencontrer les promoteurs concernés. Elle en a donc profité pour exhorter aux recours pacifiques, à la compréhension et à la patience. «Le bruit ne fait pas du bien», conclut-il. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413080432/https://lanation.bj/actualites/audience-a-la-haac-adam-boni-tessi-echange-avec-plusieurs-acteurs -- o:id 23419 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23419 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Pour son engagement aux côtés des populations : le Gouvernement renouvelle l’accord de siège à l’ONG A2S dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2016-12-30 dcterms:identifier iwac-article-0005146 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’Association pour la solidarité sociale (ONG A2S) vient de bénéficier du renouvellement de son accord de siège. La signature des documents y afférents a eu lieu, ce jeudi 29 décembre à Cotonou, entre le directeur exécutif de ladite association et le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération (MAEC), Marc Hermanne Araba. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content L’Association pour la solidarité sociale (ONG A2S) vient de bénéficier du renouvellement de son accord de siège. La signature des documents y afférents a eu lieu, ce jeudi 29 décembre à Cotonou, entre le directeur exécutif de ladite association et le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération (MAEC), Marc Hermanne Araba. La coopération entre l’Association pour la solidarité sociale (ONG A2S) et le Gouvernement du Bénin se renforce pour des actions humanitaires et l’accès aux services sociaux de base des populations béninoises. Les deux parties ont matérialisé leur volonté de renforcer le partenariat à travers le renouvellement de l’accord de siège intervenu hier au profit de l’ONG.  Le directeur exécutif de l’ONG, Arouna Abdoulaye, y trouve une marque de haute portée. « L’ONG A2S se réjouit de pouvoir s’engager à continuer plus ardemment dans la mise en œuvre des programmes de développement social dont la présente cérémonie consacre un redémarrage officiel des activités », souligne-t-il. L’accord de siège permettra « d’accélérer les interventions de l’ONG au Bénin, mais aussi contribuera à renforcer les relations avec les partenaires techniques et financiers et les acteurs de développement afin d’apporter leur pierre à l’édification du pays et de la sous-région », indique-t-il. Le renouvellement de l’accord de siège n’est pas un geste anodin. L’Association pour la solidarité sociale fait parler d’elle à travers diverses actions dans les domaines de la santé, de l’éducation, de l’eau. Ses missions consistent, entre autres, à offrir des aides humanitaires aux personnes déshéritées par des convois humanitaires, organiser des caravanes de dons de médicaments, construire des centres de formation, des modules de classes au profit des écoles et des mosquées, forer des puits en fonction des besoins des populations, initier des projets d’investissement dans le domaine agricole. Une marque de confiance C’est au regard de sa disponibilité permanente à servir efficacement le Bénin que le Gouvernement a accepté de conclure avec elle un nouvel accord de siège. Lequel permettra à l’Organisation de renforcer ses capacités d’intervention sur le terrain. Pour la réussite de sa mission, le Gouvernement lui a accordé des facilités en termes d’exonérations douanières et fiscales, afin de la soutenir dans ses objectifs de développement. « Mon souhait est que ces privilèges et facilités vous aident davantage à accroître le volume de vos réalisations et investissements au Bénin afin que, ce faisant, vous puissiez élargir encore le cercle des bénéficiaires de vos actions », formule le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération (MAEC), Marc Hermanne Arouna. Il s’agit là d’une contribution importante du Gouvernement à l’effort de l’association en faveur des populations bénéficiaires, poursuit-il, en rassurant de la sollicitude permanente et constante du Gouvernement à soutenir l’ONG pour la réussite de sa mission. Le directeur exécutif de l’Association pour la solidarité sociale, Arouna Abdoulaye, promet ne pas trahir la confiance placée en sa structure et s’engage plutôt à redoubler d’ardeur pour impacter davantage les populations. Aussi, l’association promet-elle respecter les clauses de cet accord, tout en poursuivant les chantiers de développement au profit des populations. « Vous pouvez compter sur nous pour vous accompagner dans la mise en œuvre des initiatives sociales pour le mieux-être au quotidien de nos concitoyens », assure-t-il. L’A2S en bref L’ONG A2S est une association apolitique à but non lucratif de droit anglais qui travaille dans le domaine social, humanitaire et sanitaire. Portée sur les fonts baptismaux en 1995 sous le nom d’Almuntada Al-Islami avec le premier accord de siège signé le 9 octobre 1998, elle poursuit depuis près de deux décennies ses œuvres sociales en faveur de l’amélioration des conditions de vie des populations. Les diverses mutations qu’elle a opérées, ont conduit le 1er novembre dernier à la nouvelle dénomination : Association pour la solidarité sociale  (ONG A2S). Elle a été enregistrée au Bénin depuis le 29 novembre 1994. Outre les actions en faveur de l’éducation et de la santé, elle assure également la prise en charge des orphelins, et assiste les étudiants démunis. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413080913/https://lanation.bj/actualites/pour-son-engagement-aux-cotes-des-populations-le-gouvernement-renouvelle-laccord-de-siege-a-long-a2s -- o:id 23420 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23420 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Après la longue crise de l’imamat à Sèmèrè : le chef de l’Etat scelle le retour de la paix à Sèmèrè dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1484 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2016-11-14 dcterms:identifier iwac-article-0005147 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le chef de l’Etat était, samedi 12 novembre dernier, en apôtre de paix à Sèmèrè dans la commune de Ouaké. Il y est allé pour sceller la paix au sein de la communauté musulmane de la localité minée par une crise qui a fait cinq morts. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 bibo:content Le chef de l’Etat était, samedi 12 novembre dernier, en apôtre de paix à Sèmèrè dans la commune de Ouaké. Il y est allé pour sceller la paix au sein de la communauté musulmane de la localité minée par une crise qui a fait cinq morts. Samedi 12 novembre dernier, c’est avec des « Amiiiiii » et des «Allah ak baar» que la communauté musulmane de Sèmèrè a répondu à la toute première prière de son nouveau chef, l’imam Abdallah Hamam. Plus qu’une simple prière, cette cérémonie qui s’est déroulée sur la place publique de Sèmèrè en présence du président Patrice Patron et d’une impressionnante foule composée de toutes les couches sociales de la localité et de délégations étrangères, a permis de célébrer le retour au calme et à la paix dans la localité. La paix retrouvée, c’est ce que le président de la République est venue constater par lui-même. Un acte de grandeur, note le maire de la commune de Ouaké, Alimiahou Titchale Alassane. Pour lui, le chef de l’Etat à travers son implication personnelle dans cette crise et surtout le dénouement qui s’en est suivi, s’affiche comme un homme épris de développement, un leader dont le charisme se fait sentir à travers la paix désormais retrouvée à Sèmèrè. Et comme personne ne voulait se faire conter cet événement historique, de nombreuses personnalités, députés, responsables de confessions religieuses dont l’évêque de Djougou et bien d’autres leaders d’opinion ont pris part à la séance. A sa suite, d’une voix tonique empreinte d’autorité, Abdallah Hamam, le nouvel imam récite des versets coraniques, avant de procéder à une courte exhortation en faveur de la paix. Son sermon est repris en chœur par les centaines de fidèles présents, preuve que les clivages ont disparu au sein de la communauté. C’est surtout cette unité retrouvée que le chef de l’Etat est venu célébrer en personne. C’est «en deux séances marathons», rappelle le ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané, natif du département, que le président Patrice Talon a amené les protagonistes à trouver eux-mêmes, à travers l’un de leurs fils, la personne indiquée pour mettre un terme à cette crise qui dure depuis 2012. Portant l’émotion des populations, il a salué «la vision du dialogue» du président de la République et «son soutien inestimable» pour la résolution de cette crise, en faisant preuve de célérité, de discrétion et d’efficacité. Apaisement, exhortation à la fraternité «Tout ce qui divise une famille, une communauté, divise forcément une partie du pays donc nous sommes tous concernés. Je viens consacrer la réconciliation. Je viens constater et sentir par moi-même que désormais il règne à Sèmèrè, la paix et la concorde. Je suis fier et content. Je me sens honoré. La paix n’a pas de prix». C’est par cette adresse que le président Patrice Talon a introduit son mot à l’intention de la foule venue l’écouter. Le retour à la tranquillité après les événements meurtriers qui ont émaillé l’imamat dans cette localité, a été aussi salué par le président de la République. Il a tenu à dire son admiration aux acteurs qui fument désormais le calumet de la paix. Toute chose qui, note-t-il, n’aurait pas été possible sans l’engagement pour la paix des deux imams rivaux d’antan qui ont fini par se donner la main pour laisser le siège tant convoité à un autre élu. Ils sont des grands hommes, indique le chef de l’Etat. « Etre un grand homme, c’est être capable d’avoir fait des combats, d’avoir connu des conflits parce que les combats et les conflits font partie de la vie et d’être capable à un moment donné de faire la paix et d’accepter de faire des sacrifices pour l’intérêt commun. Je salue et félicite tous ceux qui ont été partisans de l’un ou de l’autre. Vous avez fait tous preuve de grandeur en acceptant d’oublier le conflit. Votre action de paix honore Sèmèrè», a également laissé entendre le président Patrice Talon à la foule en liesse. Aussi, a-t-il émis le vœu que l’Imam Abdallah Hamam réussisse sa mission avec l’aide de tous et surtout qu’il «conduise spirituellement les fidèles » à bon port. Une fois la paix retrouvée et la page de la crise tournée, place doit être faite au développement, a-t-il indiqué. «Désormais dans cette nouvelle ambiance, nous allons pouvoir faire face à nos défis, parce que les défis nous en avons beaucoup. Il nous manque beaucoup de choses au Bénin et à Sèmèrè», souligne le président de la République. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413081217/https://lanation.bj/actualites/apres-la-longue-crise-de-limamat-a-semere-le-chef-de-letat-scelle-le-retour-de-la-paix-a-semere -- o:id 23421 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23421 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Parakou : ces crises de leadership qui plombent le développement dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2016-09-23 dcterms:identifier iwac-article-0005148 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Mésintelligence à la mairie, crise à la chefferie traditionnelle, brouille au Conseil des imams... La ville de Parakou est plongée dans une succession de situations conflictuelles qui emportent ces autorités morales, acteurs majeurs du développement à la base. Et pour cause ! dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/372 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 bibo:content Mésintelligence à la mairie, crise à la chefferie traditionnelle, brouille au Conseil des imams... La ville de Parakou est plongée dans une succession de situations conflictuelles qui emportent ces autorités morales, acteurs majeurs du développement à la base. Et pour cause ! Si la quête et l’exercice du pouvoir ont toujours suscité convoitises et coups bas sous tous les cieux, les soubresauts y liés sont particulièrement plus prononcés dans la cité de Kobourou. Les crises se multiplient à tous les niveaux: administratif, traditionnel, religieux, organisationnel. En effet, Parakou est sans maire depuis lundi 19 septembre dernier suite à la déchéance prononcée par la majorité des conseillers qui ont retiré leur confiance à Souradjou Karimou Adamou. Le maire est destitué suite à une guéguerre politique, une situation de crise qui secoue et ralentit les activités au niveau de la municipalité depuis plusieurs semaines. Pis, alors qu’on faisait foi aux griefs de navigation à vue et de gestion solitaire, opaque et peu orthodoxe portés à l’encontre du maire et mentionnés dans la motion de destitution, les protestataires ont changé de langage dès qu’ils ont obtenu ce qu’ils voulaient. Sa compétence, son intégrité et son engagement pour le développement de la ville ne sauraient être mis en cause, assure leur porte-parole, Idrissou Boukary. Pourquoi a-t-il alors été éjecté de son fauteuil comme un malpropre ? La politique politicienne est passée par là afin que les détracteurs se mettent au goût du jour, dans l’air du temps du « Nouveau départ », avec comme prétexte « un repositionnement et un ajustement de la gouvernance aux nouveaux enjeux de développement de la ville de Parakou. Dans le même temps, la polémique enfle au Conseil des imams de Parakou, une ville à forte implémentation islamique. Vingt-six imams ont démissionné de ce creuset miné par une guerre de leadership et de gestion ; les responsables dudit conseil ne reconnaissent parmi eux qu’une quinzaine de ‘’vrais’’ imams dits ‘’imams djamiou’’ c’est-à-dire ceux qui dirigent des mosquées abritant les prières sacrées des vendredis. Et, les dissidents envisagent de créer dans un délai proche le Conseil suprême des affaires islamiques qui comptera en son sein non seulement des imams mais aussi des savants et prédicateurs de l’islam dans la ville. La désunion semble de mise et la sagesse déserte le forum chez ceux qui devraient être les recours pour juguler les crises dans les autres organisations de la communauté. Royauté et institution consulaire non épargnées Aussi, la cité des Kobourou reste-t-il sans roi depuis le décès de Sa Majesté Akpaki Boukoukinnin II de Parakou qui a tiré sa révérence depuis le 21 septembre 2014. Déjà pour se hisser au trône le 20 septembre 2012, lui-même a dû batailler dur, très dur. Il n’y est parvenu que trois mois après la mort de son principal rival et ce, huit ans après le décès de son prédécesseur Akpaki Dagbara. Selon les indiscrétions, ces huit longues années de vacance de trône auraient été marquées par la disparition mystérieuse et tragique de femmes, enfants et autres dans le rang de ceux qui convoitaient le trône. En mai 2015, un certain Akpaki Suanru Atagara Bagoudou a reçu le voile sacré (saataaku) qui devrait consacrer le nouveau roi, mais le collège électoral profondément divisé a plongé la cour royale dans une crise dont le dénouement tarde à venir, en dépit de l’implication de l’empereur Sabi Nayina III de Nikki. Par ailleurs, l’on se rappelle la récente brouille faite de rebondissements au niveau de la région économique de la Chambre de commerce et d’industrie du Bénin (Ccib) à Parakou. Après une tentative manquée en mai 2015, des opérateurs économiques ont réussi finalement à renverser Arouna Salifou Kamilou élu le 25 janvier 2014 et à mettre sur pied depuis Cotonou un nouveau bureau installé en novembre 2015 à la tête de la représentation de l’institution consulaire à Parakou. C’était après des élections complémentaires de la Ccib suivies de manœuvres de certains opérateurs économiques appuyés par des femmes du marché Arzèkè, alors que la concurrence déloyale des étrangers importateurs bat son plein. Et comme si tout cela ne suffisait pas, c’est l’autorité d’Imorou Soufiyanou, président de l’Union des chambres interdépartementales des métiers du Bénin (Ucimb) qui est actuellement contestée par certains hommes des métiers. Pendant que ces crises s’enchaînent au gré des intérêts de quelques individus, la ville de Parakou ploie sous le poids de la pauvreté de bon nombre de ses habitants qui souffrent également de l’insalubrité, du manque d’eau potable, du déficit en énergie électrique et en infrastructures socioéducatives et routières. Hélas ! fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413082317/https://lanation.bj/actualites/parakou-ces-crises-de-leadership-qui-plombent-le-developpement -- o:id 23422 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23422 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Crise autour de la désignation de l’imam central de Natitingou : affrontement manqué entre les deux parties en conflit dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2016-07-25 dcterms:identifier iwac-article-0005149 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract On avait cru à la fin de la crise ébranlant la communauté musulmane de Natitingou avec l’intronisation le 10 juillet dernier de El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, par l’Union islamique du Bénin. Mais c’est sans compter avec le refus de son adversaire Alaza Ibrahim d’abdiquer. Vendredi 22 juillet dernier, la Cité des Nanto a frôlé les échauffourées avec la tentative des partisans de ce dernier de tenir la traditionnelle séance de prières dans l’ancienne mosquée centrale de la ville. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 bibo:content On avait cru à la fin de la crise ébranlant la communauté musulmane de Natitingou avec l’intronisation le 10 juillet dernier de El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, par l’Union islamique du Bénin. Mais c’est sans compter avec le refus de son adversaire Alaza Ibrahim d’abdiquer. Vendredi 22 juillet dernier, la Cité des Nanto a frôlé les échauffourées avec la tentative des partisans de ce dernier de tenir la traditionnelle séance de prières dans l’ancienne mosquée centrale de la ville. La mosquée de Djindjiré-Béri a été le théâtre ce vendredi 22 juillet d’une forte mobilisation des fidèles de la communauté musulmane de Natitingou. D’un côté, les partisans de Alaza Ibrahim, ancien vice-imam de la ville, prétendu imam central jusqu’au 10 juillet dernier où l’Union islamique a procédé à la désignation de son challenger d’alors, El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, et de l’autre ceux de l’actuel imam. Ces derniers voient en effet d’un mauvais œil la décision de Alaza Ibrahim de tenir la traditionnelle prière du vendredi dans l’ancienne mosquée centrale. Pour eux il n’est pas question de laisser les partisans de l’ancien vice-imam prier en ce lieu après la cérémonie de port de turban qui consacre son challenger imam central. En tête de la délégation des fidèles, se trouve Alaza Ibrahim, une canne en bronze en main et tenant ferme à sa décision. Si son adversaire ne s’est pas porté sur les lieux il pouvait compter sur la hargne de ses supporters prêts à en découdre avec celui qu’il considère comme un mauvais perdant. Ils menacent de lancer des pierres dans la mosquée si le camp adverse brave l’interdiction à eux signifiée par les forces de sécurité venues par dizaines sur les lieux pour contenir les mouvements d’humeur nés à la suite de l’intrusion de l’ancien vice-imam qui s’est refusé le 10 juillet à toute évaluation comme l’a voulu l’Union islamique pour attribuer le poste d’imam central au plus méritant. Il se considère comme l’imam légitime de la ville depuis le 13 mars dernier où ses partisans l’ont porté au pinacle. L’état de siège durera quelques minutes aux abords de la mosquée avec la médiation faite par le commandant de la compagnie de gendarmerie de Natitingou et le commissaire central de la ville. Pour Kouérou Ayouba, le commissaire central, bien que le Bénin soit un Etat laïc, l’autorité de l’Etat doit être respectée. L’ordre a été donné pour que la séance de prière demandée par Alaza Ibrahim ne se tienne pas dans la mosquée de Djindjiré-Béri pour éviter des échauffourées dans la ville. Deux imams à Natitingou La tension est encore perceptible dans les deux camps surtout que l’ancien vice-imam ne semble pas avoir encore dit son dernier mot. Dans une correspondance adressée au préfet des départements de l’Atacora et de la Donga, il estime que la ville de Natitingou compte désormais deux imams que personne ne peut contester et qu’il est le premier élu. Malgré que pour lui la désignation du second imam soit faite contre le bon sens et toute valeur morale, il dit concéder à ce dernier le droit d’aller diriger dans la paix les prières au sein de la grande mosquée sise au quartier Santa. Et s’octroie également le droit de diriger les prières de vendredi avec ses fidèles dans l’ancienne mosquée sise au quartier Djindjiré-Béri. En ce qui concerne les grands jours de Idi, il propose à travers sa correspondance, qu’il y ait une permutation qui mettra en scène l’un pour le ramadan et l’autre pour la Tabaski et vice-versa. Cette correspondance datant du 20 juillet n’ayant reçu encore aucune réponse du préfet, les forces de sécurité composées de policiers, gendarmes et de militaires ont été déployées sur les lieux. Une invasion que le camp de Alza Ibrahim peine à comprendre, arguant que le Bénin appartient à tous ses fils et qu’il ne faille pas privilégier une chapelle au détriment de l’autre. Rappelons que dans le contexte de la crise, la fête du ramadan a été célébrée le 6 juillet dernier par les deux parties en conflit. Alaza Ibrahim et El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, alors prétendus imams se sont vus octroyés deux différents espaces pour la traditionnelle séance de prière consacrée à la fin du carême. Ainsi sous haute surveillance policière et militaire, les fidèles ont assisté au sermon des deux imams de circonstance en l’absence des autorités politico-administratives, respectivement à l’Ecole urbaine centre et au stade municipal. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413083454/https://lanation.bj/actualites/crise-autour-de-la-designation-de-limam-central-de-natitingou-affrontement-manque-entre-les-deux-parties-en-conflit -- o:id 23423 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23423 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Signature de la pétition pour la paix : l’autre chemin du dialogue interreligieux et interculturel dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2016-07-08 dcterms:identifier iwac-article-0005150 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract De hauts cadres de l’enseignement supérieur, de l’administration, des confessions religieuses, des institutions, organisations et des citoyens béninois et étrangers ont assisté mercredi 6 juillet dernier, à la Fondation artisttik Africa de Cotonou, à la cérémonie de lancement officiel du projet de pétition pour la paix. Initiative du professeur Albert Tévoédjrè, cette pétition est coordonnée par Ousmane Alédji en vue de renforcer la paix dans le monde à travers des signatures d’accord de paix. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content De hauts cadres de l’enseignement supérieur, de l’administration, des confessions religieuses, des institutions, organisations et des citoyens béninois et étrangers ont assisté mercredi 6 juillet dernier, à la Fondation artisttik Africa de Cotonou, à la cérémonie de lancement officiel du projet de pétition pour la paix. Initiative du professeur Albert Tévoédjrè, cette pétition est coordonnée par Ousmane Alédji en vue de renforcer la paix dans le monde à travers des signatures d’accord de paix. Collecter des signatures en Afrique et à l’échelle de la planète pour amener le Secrétariat général des Nations Unies à agir en créant une structure fédératrice appropriée au dialogue interreligieux et interculturel. C’est, l’objectif du professeur Albert Tévoédjrè et de Ousmane Alédji qui ont commencé à transformer en réalité, l’idée de sauvegarder la paix en évitant les conséquences des divisions, de l’incompréhension dans le monde à travers un autre chemin: la pétition pour la paix. En effet, la pétition pour la paix vise à regrouper en guise d’engagement, des signatures des institutions, organisations sociales et religieuses d’une part et celles de tout citoyen d’autre part. La structure que cette pétition permettra de créer sera d’abord un cadre de concertation du dialogue interreligieux et interculturel dans les pays membres. Ensuite, elle compte promouvoir des rencontres entre les jeunes de divers horizons socioculturels et confessions pour faciliter et renforcer les mécanismes du « vivre ensemble ». Enfin, cette structure qui va voir le jour, permettra de multiplier les centres de formation et institutions universitaires consacrés au dialogue interreligieux et interculturel spécialement dédié à des actions communes de développement solidaire. Ceci, dans le souci de préserver la paix et créer un cadre idéal. Importance de la pétition Le développement d’un pays ne peut en réalité émaner de son instabilité politique, des conflits socioculturels. C’est fort de cela que Joseph Gnonlonfoun, médiateur de la République du Bénin, a souligné l’importance de cette pétition de paix. Pour lui, Allah est au cœur de ce projet, puisque son lancement s’est déroulé le jour où la communauté musulmane célèbre la sainte fête du Ramadan. Or, « Ce projet aussi vise à concourir à la paix par un autre chemin : celui d’aller à la connaissance de l’autre, savoir ce qu’il est, savoir de quelle valeur il dispose afin de faciliter le dialogue. Malgré nos divergences, nous devons travailler en créant et en agissant puisque seuls, nous ne pouvons rien faire, avec les armes nous ne pouvons également rien faire mais en communauté nous pouvons agir», a expliqué Joseph Gnonlonfoun. Cette idée à laquelle plusieurs personnes ont déjà adhéré est le fruit de la providence. Une providence qui, selon le professeur Albert Tévoédjrè, lui a permis de connaître Ousmane Alédji dont le rôle est indispensable dans la concrétisation de ce projet. Aujourd’hui, cette idée a pris corps et est devenue une réalité. Une initiative africaine, un nouvel espoir pour l’humanité. Approuvant les dires du professeur Albert Tévoédjrè, Ousmane Alédji a invité tous les citoyens à signer cette pétition de paix. Ceci, à travers l’un des registres conçus à cet effet ou en remplissant les conditions d’adhésion sur le site www.pétitionpourlapaix.com. Les invités qui ont eu droit à la parole, ont tous adhéré au concept et souligné son utilité, après avoir remercié les porteurs du projet. Ainsi, pour Valentin Agon, la guerre et les conflits n’ont jamais fait du bien. Pour lui, la paix est l’autre nom du développement. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240413083407/https://lanation.bj/actualites/signature-de-la-petition-pour-la-paix-lautre-chemin-du-dialogue-interreligieux-et-interculturel -- o:id 23424 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23424 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Bourse d’excellence des étudiants et organisation du hadj 2016 : les députés s’inquiètent, le gouvernement rassure dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2016-06-24 dcterms:identifier iwac-article-0005151 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les députés étaient en séance plénière jeudi 23 juin. Ils ont débattu de deux dossiers portant tous sur des questions d’actualité. Le premier concerne les difficultés qu’éprouvent certains étudiants dans la jouissance de la bourse à eux accordée ; et le second a trait aux dispositions que prennent le gouvernement pour une bonne organisation de l’édition 2016 du pèlerinage à la Mecque. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content Les députés étaient en séance plénière jeudi 23 juin. Ils ont débattu de deux dossiers portant tous sur des questions d’actualité. Le premier concerne les difficultés qu’éprouvent certains étudiants dans la jouissance de la bourse à eux accordée ; et le second a trait aux dispositions que prennent le gouvernement pour une bonne organisation de l’édition 2016 du pèlerinage à la Mecque. Deux membres du gouvernement étaient jeudi 23 juin devant la Représentation nationale. Il s’agit du ministre chargé des Relations avec les Institutions, Me Joseph Djogbénou et de son collègue de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Marie-Odile Attanasso. Le premier est venu apporter des explications par rapport à deux questions d’actualité toutes relatives aux dispositions que prend le gouvernement pour une bonne organisation du pèlerinage de 2016. Elles ont été posées par les députés Nouréinou Atchadé et Adjibadé Koussonda. Me Joseph Djogbénou à la «barre» Dans sa réponse, le ministre Joseph Djogbénou a partagé avec la plénière la batterie de mesures prises par le gouvernement pour garantir une bonne organisation du prochain hadj. Il a fait savoir d’emblée que l’organisation du pèlerinage a été toujours une affaire des structures de convoyeurs. Mais le gouvernement a été obligé de prendre les choses en main depuis quelques années à cause des difficultés et tracasseries que subissent certains des pèlerins béninois à l’étranger. C’est ainsi qu’il a été décidé de nommer un Haut commissaire au hadj qui dépendait directement de la présidence de la République. C’est cette haute personnalité qui négociait les contrats avec les structures de convoyage, la signature de cahier de charges, la signature de contrat de transports aériens aller et retour des pèlerins et la prise en charge des pèlerins en lieux saints notamment leur hébergement, leur déplacement et leur restauration pendant leur séjour. Jusqu’à l’édition de 2015, les pèlerins payaient pour le hadj un montant de 2,075 millions FCFA toutes taxes comprises. Cette somme couvre le billet d’avion aller et retour, l’hébergement et autres. A en croire le ministre Joseph Djogbénou, le gouvernement négocie actuellement à la baisse ce coût ou tout au moins le maintenir. Une mission du comité technique du hadj s’est rendue en Arabie Saoudite du 23 février au 3 mars dernier, pour s’enquérir des nouvelles conditions du hadj 2016 et confirmer la participation du Bénin. Aussi, le gouvernement a-t-il lancé officiellement depuis le 1er juin dernier, le pèlerinage à la Mecque édition 2016. Une autre mission est allée sur le terrain du 3 au 10 juin dernier pour l’enrôlement des pèlerins. La validation du rapport du comité est en cours. Me Joseph Djogbénou informe par ailleurs que des passeports spéciaux seront délivrés aux pèlerins non détenteurs d’actes de naissance ou de jugement supplétif. Une compagnie aérienne de droit béninois a été déjà sélectionnée. Il s’agit de la compagnie Westair qui fera voyager tous les pèlerins depuis l’aéroport international Bernardin cardinal Gantin de Cotonou. Le vol inaugural des pèlerins est prévu pour le 23 août prochain. Mais avant cette date, le gouvernement prévoit d’envoyer encore sur le terrain une mission de sensibilisation des pèlerins, a expliqué le ministre chargé des Relations avec les Institutions qui promet que le gouvernement fera tout pour faire en sorte que le hadj 2016 se passe dans des conditions meilleures que les éditions antérieures. Des propositions idoines Mais les explications du gouvernement ont semblé laisser sur sa faim l’auteur de la question. Tout en prenant acte de la réponse du ministre Joseph Djogbénou, le député Nouréinou Atchadé a fait une série de propositions au gouvernement. Il propose, à l'image des autres pays voisins, que le gouvernement mette en place une structure pour gérer en permanence la question de l'organisation du hadj. Le président de ladite structure devra être nommé par décret présidentiel. Cette haute personnalité doit avoir un profil approprié par exemple un docteur islamologue pour être respecté par les autorités saoudiennes. Le député FCBE recommande par ailleurs au gouvernement la nécessité d’élaborer un nouveau cahier de charges qui tienne compte des défaillances constatées lors des éditions antérieures du hadj et de faire voyager les pèlerins du centre et du nord du Bénin par l'aéroport de Tourou et enfin d’interdire formellement comme c'est le cas au Sénégal que les non nationaux fassent le pèlerinage dans le quota du Bénin. Nouréinou Atchadé sera aussi appuyé dans ses propositions et recommandations par son collègue Adjibadé Koussonda qui est aussi l’auteur d’un volet de la question La question des bourses La seconde question d‘actualité est relative aux raisons qui fondent un brusque changement des conditions d’octroi des bourses d’excellences aux bacheliers de l’année et aux dispositions que prend le gouvernement pour régler le problème. Elle a été posée par le député Paulin Gbénou. Là-dessus, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Marie-Odile Attanasso a assuré la Représentation nationale que les huit étudiants concernés ne perdront pas leurs bourses quand bien même le gouvernement est confronté à des difficultés budgétaires avec une trésorerie tendue et une dette lourde en cours d’apurement. Selon elle, ces réformes s’inscrivent dans le cadre des réformes au niveau de son ministère. Celles-ci s’imposent et il revient dès lors aux parents des boursiers d’amener leurs enfants à respecter leurs engagements de servir le pays à la fin de leur formation. Marie-Odile Attanasso a informé par ailleurs la Représentation nationale des nouvelles dispositions en cours portant sur les conditions d’attribution des bourses pour plus d’équité et de justice. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240415031407/https://lanation.bj/actualites/bourse-dexcellence-des-etudiants-et-organisation-du-hadj-2016-les-deputes-sinquietent-le-gouvernement-rassure -- o:id 23425 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23425 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Présidentielle 2016 : Pascal Koupaki prie avec les imams de l’Ouémé-Plateau pour un scrutin apaisé dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2016-03-03 dcterms:identifier iwac-article-0005152 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le candidat Pascal Irénée Koupaki a assisté mercredi 2 mars, à la mosquée de Ouando, à Porto-Novo, à une séance de prières dite par l’ensemble des imams et enseignants de coran de l’Ouémé-Plateau qui ont imploré Dieu pour un scrutin présidentiel apaisé le dimanche 6 mars prochain. C’est une initiative des amis de la communauté musulmane de l’ancien Premier ministre dont l’ex-ministre de l’Economie et des Finances, Idriss Daouda acquis à sa cause. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 bibo:content Le candidat Pascal Irénée Koupaki a assisté mercredi 2 mars, à la mosquée de Ouando, à Porto-Novo, à une séance de prières dite par l’ensemble des imams et enseignants de coran de l’Ouémé-Plateau qui ont imploré Dieu pour un scrutin présidentiel apaisé le dimanche 6 mars prochain. C’est une initiative des amis de la communauté musulmane de l’ancien Premier ministre dont l’ex-ministre de l’Economie et des Finances, Idriss Daouda acquis à sa cause. Prières, lecture des versets coraniques et allocutions, ont été les temps forts de la séance de prières dite par les imams et alpha de l’Ouémé-Plateau et organisée mercredi 2 mars à la mosquée de Ouando par l’ancien ministre de l’Economie et des Finances Idriss Daouda et les amis de Pascal Irénée Koupaki. La cérémonie a connu la participation du candidat lui-même qui avait à ses côtés certains membres de son staff dont l’ancien médiateur de la République, Albert Tévoèdjrè et les anciens ministres Albert Agossou, Mariam El Hadj Boni Diallo, Christine Ouinsavi et Madina Séphou. Pour le représentant des imams, Soulémane Gangbo, cette séance de prières pour que l’élection présidentielle du 6 mars prochain se déroule dans la paix, vient renforcer les efforts au quotidien de la communauté musulmane dans ce sens. Il a remercié les initiateurs de la prière et le candidat Pascal Irénée Koupaki pour avoir ménagé son agenda ô combien chargé ces derniers jours de campagne pour prendre part à la cérémonie. Il y a 33 candidats pour un seul fauteuil. L‘imam a prié Allah qui connaît les intentions de vote de chacun des citoyens à guider les cœurs pour leur permettre de faire le bon choix. Il demande à Allah de placer à la tête du pays un candidat qui a la crainte de Dieu et qui a de l’amour pour son pays. Car, c’est Allah qui choisit le président de la République. C’est lui qui attribue la gloire à qui il veut et avilit qui il veut. L’imam souhaite qu’au soir du dimanche 6 mars prochain le candidat Pascal Irénée Koupaki obtienne un résultat qui le met à un cheveu du pouvoir. L’ancien ministre Idriss Daouda, prenant la parole au nom des amis du candidat Pascal Irénée Koupaki, a invité les imams et les alphas à sensibiliser les fidèles musulmans sur l’importance du scrutin du dimanche prochain. L’avenir du Bénin les cinq prochaines années, dépendra de ce vote qui ne doit donc pas être un acte banal. Idriss Daouda prie Allah de faire de Pascal Irénée Koupaki qui, selon lui, a le meilleur profil et le meilleur projet de société pour qu’ensemble il bâtisse un Bénin prospère où il fera bon vivre pour tous. S’adressant à l’assistance, le candidat Pascal Irénée Koupaki a expliqué l’esprit qui a guidé son projet de société basé sur le concept « Nouvelle conscience ». Lequel concept tire sa source de ce qu‘il a vu et vu faire ces dernières années au Bénin. « Je trouve que nous devons aimer plus notre pays parce que c’est la terre de nos ancêtres. L’amour pour son pays ne doit pas être matériel. C’est la vision qu’il essayera de défendre s’il est élu président de la République pour que valeurs spirituelles, et religieuses riment avec valeurs civiques.» D’où la « Nouvelle conscience » qui vient renforcer la conscience en action prônée par le professeur Albert Tévoèdjrè. L’ancien médiateur a tout simplement prié Dieu de prendre en charge ce pays pour que le vote du 6 mars prochain aille en faveur de Pascal Irénée Koupaki qui est l’homme qu’il faut pour le Bénin les prochaines années. fabio:hasURL https://lanation.bj/actualites/presidentielle-2016-pascal-koupaki-prie-avec-les-imams-de-loueme-plateau-pour-un-scrutin-apaise -- o:id 23426 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23426 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Voyage du chef de l’Etat au Koweït : Boni Yayi au sommet afro-arabe dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2013-11-19 dcterms:identifier iwac-article-0005153 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de la République est présent, depuis hier lundi 18 novembre à Koweït City, la capitale koweitienne, qui abrite ce jour le troisième sommet afro-arabe. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/351 bibo:content Le président de la République est présent, depuis hier lundi 18 novembre à Koweït City, la capitale koweitienne, qui abrite ce jour le troisième sommet afro-arabe. Koweït City, la capitale de l’Etat du Koweït, connaît depuis quelques jours une ferveur particulière. La raison, cette riche monarchie du Golfe persique abrite le troisième sommet afro-arabe dont les travaux débutent ce jour. Plusieurs chefs d’Etat africains sont arrivés hier dans la capitale koweitienne, dont le président de la République, Boni Yayi. A sa descente d’avion, le chef de l’Etat a été accueilli par son altesse Cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah, l’émir de l’Etat du Koweït. Après les honneurs militaires, les deux personnalités ont eu quelques minutes d’entretien dans le salon officiel de l’Emir, avant que le cortège présidentiel ne s’ébranle vers la résidence des hôtes de marque du souverain koweitien.Placé sous le signe de la coopération sud-sud, le sommet de Koweit City s’ouvre ce jour avec la ferme volonté des chefs d’Etat et de gouvernement de rapprocher davantage l’Afrique du monde arabo-musulman. Outre l’examen du rapport d’activité conjoint du secrétaire général de la Ligue des Etats arabes et de la présidence de l’Union Africaine, la session à huis clos devra déboucher sur l’adoption de la déclaration et des résolutions de Koweït City. De façon classique, le sommet a été précédé par la réunion des hauts fonctionnaires les 14 et 15 novembre derniers ainsi que celle du conseil conjoint des ministres des Affaires étrangères, le 17 novembre dernier. Il a été également tenu les 11 et 12 novembre derniers, le deuxième forum économique arabo-africain. Ce forum organisé par le Fonds koweitien pour le développement économique arabe, la commission de l’Union Africaine et la Ligue arabe a surtout évalué l’état de la coopération pour le développement arabo-africain, échangé sur les goulots d’étranglement des transactions commerciales entre les deux régions et surtout identifier les domaines éventuels d’investissements publics et privés en direction du continent africain. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240412124038/https://lanation.bj/actualites/voyage-du-chef-de-letat-au-koweit-boni-yayi-au-sommet-afro-arabe -- o:id 23427 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23427 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Environnement : les pollueurs sonores bientôt châtiés à Parakou dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2015-01-09 dcterms:identifier iwac-article-0005154 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Longtemps passé sous silence, le fléau de pollution de l’environnement attire enfin à nouveau l’attention des autorités judiciaires à Parakou. Le procureur de la République près le tribunal de Parakou, Jules Chabi Mouka, annonce la répression pour bientôt et ce, après des séances de sensibilisation qui démarrent dès la semaine prochaine. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 bibo:content Longtemps passé sous silence, le fléau de pollution de l’environnement attire enfin à nouveau l’attention des autorités judiciaires à Parakou. Le procureur de la République près le tribunal de Parakou, Jules Chabi Mouka, annonce la répression pour bientôt et ce, après des séances de sensibilisation qui démarrent dès la semaine prochaine. Les propriétaires de maisons à puisards ouverts qui polluent l’atmosphère, ceux qui jettent les ordures n’importe où et n’importe comment et les citoyens qui font subir des nuisances sonores tout le temps à leur voisinage, sont désormais dans le collimateur du procureur de la République près le Tribunal de première instance de première classe de Parakou. Jules Chabi Mouka annonce qu’ils subiront dans les prochaines semaines la rigueur de la loi. Mais avant de passer à la traque et à la répression, les cibles seront sensibilisées sur les textes en la matière et les sanctions encourues. La première séance est prévue pour le mercredi 14 janvier prochain au niveau du troisième arrondissement. Des odeurs de pourriture pestilentielles qui empêchent de respirer, des essaims de mouches envahissantes par endroits, des caniveaux, réceptacles d’ordures ménagères qui puent à longueur de journée, montrent à quel point l’insalubrité est à son comble dans certaines rues de Parakou. A ce cocktail explosif infernal, s’ajoute le bruit, un mal impénitent devenu quelque peu la norme dans la cité des Kobourou et qui tue l’ouïe au quotidien. Des bondieusards se livrent à des vacarmes assourdissants dans des églises et mosquées. Des tenanciers de bars, de scieries, d’ateliers de soudure et d’autres commerces font distiller gaillardement et impunément des incongruités acoustiques aux coins de la rue tout comme les organisateurs de funérailles, de mariage, de baptême, etc. Sans aucun respect pour leur entourage, des propriétaires de moulins à céréales et à condiments allument à tout bout de champ leurs engins même aux heures de repos. Des usagers de la route klaxonnent à l’emporte-pièce sans aucune civilité: n’importe quoi, n’importe comment, n’importe quand et n’importe où, même dans un centre de santé ou dans un établissement scolaire. Des autorités politico-administratives : ministres, députés et autres individus abusent des sirènes. Vivement que tous ces accros des forts décibels soient effectivement interpellés et subissent la rigueur de la loi en cas d’inobservance des règles, afin d’éviter les troubles de l’attention et du sommeil, la fatigue, le stress, l’anxiété, l’aggravation de la tension chez les personnes fragiles et surtout les déficiences auditives et les crises cardiaques dues au bruit intense ou permanent ! fabio:hasURL https://lanation.bj/environnement/environnement-les-pollueurs-sonores-bientot-chaties-a-parakou -- o:id 23428 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23428 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Campagne électorale pour les législatives du 26 avril prochain : appels à la courtoisie, à la tolérance et à la convivialité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/14809 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2015-04-13 dcterms:identifier iwac-article-0005155 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A la faveur du démarrage de la campagne électorale, les messages de paix, de tolérance et de convivialité sont nombreux à Parakou. Ces appels à l’endroit des politiciens et des populations proviennent des faiseurs d’opinion : autorités politico-administratives, leaders religieux, responsables d’association. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 bibo:content A la faveur du démarrage de la campagne électorale, les messages de paix, de tolérance et de convivialité sont nombreux à Parakou. Ces appels à l’endroit des politiciens et des populations proviennent des faiseurs d’opinion : autorités politico-administratives, leaders religieux, responsables d’association. Par un communiqué signé de son président Salissou Abdoulaye, le bureau exécutif de l’Association pour le développement économique, social et culturel de Parakou (ADESC-TEMBI), invite les populations du Bénin en général et celles de Parakou en particulier à faire preuve de sérénité, de quiétude et de discipline en cette période sensible des élections afin de permettre au processus de bien se dérouler. Pour le bonheur de toute la nation, l’association exhorte les politiques «à un sens élevé de patriotisme et de civisme» en faisant de la période électorale «des moments de convivialité, d’échanges, de fraternité pour des élections transparentes, crédibles et sans heurt ni violence». Le procureur de la République près le Tribunal de première instance de Parakou, Jules Chabi Mouka, demande aux uns et aux autres de faire beaucoup plus attention à tout ce qui se passe lors des meetings, des déplacements de monde. «Nous devons nous garder de provoquer les autres, de verser dans les menaces, les injures et autres comportements en porte-à-faux avec la loi ou à l’ordre public, au risque de subir la rigueur de la loi», conseille l’autorité judiciaire. La destruction des affiches des adversaires politiques, les propos racistes, les violences physiques ou verbales sont à proscrire, rappelle-t-il. Les leaders religieux ne sont pas du reste. «Je voudrais demander à tout un chacun, à tout Béninois quel qu’il soit, de déposer toute arme qui peut nuire, que nous allions aux élections comme si c’était une compétition sportive, que le meilleur gagne», supplie Mgr Pascal N’koué, archevêque de Parakou. «Toute autorité vient de Dieu. Celui qui s’arroge une autorité en souffrira. Il vaut mieux donc y aller avec honnêteté en sachant que Dieu va nous appuyer... Le pouvoir terrestre, ça passe mais Dieu nous demandera des comptes», ajoute le prélat.Joël Egbebi de l’église protestante méthodiste du Bénin - Conférence, pour sa part, souhaite que tout le monde s’abandonne au Seigneur pour que l’Esprit-saint guide dans les choix. «Je prie pour que tout se passe dans de bonnes conditions, que le Seigneur agisse dans le cœur de tout un chacun,... que la chair humaine ne nous emporte pas», laisse-t-il entendre. Le pasteur J. Bagana de l’Union des Eglises évangéliques du Bénin (UEEB) demande, quant à lui, à la population d’être sereine, de battre la campagne sous la conduite de l’esprit de Dieu, pour qu’il n’y ait pas de trouble et que le meilleur gagne. Il exhorte les politiques à s’accepter et à faire usage de «langage de courtoisie» dans leurs discours, en insistant dans leurs messages sur la paix, le développement et en évitant surtout les injures. Pour le secrétaire général du Conseil des imams de Parakou, Séïdou Assouma, il importe que tous ceux qui sont impliqués dans la campagne mènent leurs actions conformément à la loi et que les politiciens se respectent afin que tout se passe dans le calme. «Pas d’écart de langage. Même si vous ne voulez pas de quelqu’un, il faut tout au moins l’accepter et écouter le message qu’il a apporté...pour que notre démocratie puisse quand même avancer», souhaite-t-il. fabio:hasURL https://lanation.bj/politique/campagne-electorale-pour-les-legislatives-du-26-avril-prochainappels-a-la-courtoisie-a-la-tolerance-et-a-la-convivialite -- o:id 23429 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23429 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Solidarité envers les personnes vulnérables : Ahmadiyya offre des vivres aux malades et aux prisonniers dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1503 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-04-08 dcterms:identifier iwac-article-0005156 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Pour marquer sa solidarité envers les personnes en situation difficile dans le cadre de la célébration du Ramadan, la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin leur fait, comme chaque année, don de divers vivres. Le lancement a eu lieu, vendredi 5 avril dernier, au Centre national hospitalier universitaire de psychiatrie de Jacquot à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content Pour marquer sa solidarité envers les personnes en situation difficile dans le cadre de la célébration du Ramadan, la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya du Bénin leur fait, comme chaque année, don de divers vivres. Le lancement a eu lieu, vendredi 5 avril dernier, au Centre national hospitalier universitaire de psychiatrie de Jacquot à Cotonou. Dans la perspective de la célébration de la fête du Ramadan dans quelques jours, la communauté religieuse Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin a lancé son opération de distribution de vivres aux personnes en situation difficile. Comme chaque année, c’est au Centre national hospitalier universitaire de psychiatrie de Jacquot à Cotonou que les responsables ont donné le top de cette campagne. Déclinant la nature du lot de vivres destinés audit centre, Radji Ibrahim, secrétaire financier national de la Jamat islamique Ahmadiyya Bénin, a précisé qu’il se compose de huit sacs de riz de 50 kg, de dix cartons de spaghetti, de deux bidons d’huile de 25 litres, quatre cartons de tomate concentrée, d’un sac de sucre en poudre de 50 kg. Selon lui, c’est la preuve que la communauté n’a pas oublié les frères et sœurs ayant des problèmes de santé et qui sont internés dans ledit centre. Le geste ne se limite pas aux malades de Jacquot, a expliqué Qamar Ahmad, vice-président de la Jamat islamique Ahmadiyya Bénin. Pour lui, la cérémonie du Centre national hospitalier universitaire de psychiatrie de Jacquot est symbolique et marque le lancement de l’opération qui se poursuivra dans tout le Bénin. Ainsi, la délégation sera accueillie prochainement dans les prisons et autres lieux, a-t-il assuré. Cette distribution de vivres permet, insiste-t-il, de partager la joie de la fête du Ramadan avec les personnes démunies, les prisonniers, les orphelins et les malades en leur donnant du sourire. A l’en croire, la communauté reste fidèle à sa philosophie basée sur l’amour pour tous et la haine pour personne et prône la paix dans le monde. Au Bénin, la Jama’at islamique Ahmadiyya intervient, entre autres, dans les domaines de la santé, de l’eau, de l’électricité, a-t-il précisé. Après la remise des vivres à Jacquot, la délégation conduite par Qamar Ahmad a mis le cap sur la prison civile de Cotonou pour le même geste. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240408052933/https://lanation.bj/societe/solidarite-envers-les-personnes-vulnerables-ahmadiyya-offre-des-vivres-aux-malades-et-aux-prisonniers -- o:id 23430 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23430 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Paix et cohésion sociale : CRS outille les leaders religieux sur leur rôle dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2024-03-29 dcterms:identifier iwac-article-0005157 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract A l’initiative de Catholic relief services (CRS) et de ses partenaires, le dialogue interreligieux sur le rôle des religions dans la cohésion sociale et la consolidation de la paix était au centre d’un atelier, les mercredi 27 et jeudi 28 mars à Parakou. C’était l’occasion pour les leaders religieux catholiques, musulmans et des cultes endogènes de développer des argumentaires religieux assortis d’un plan d’action pour les besoins de la cause. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/393 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/399 bibo:content A l’initiative de Catholic relief services (CRS) et de ses partenaires, le dialogue interreligieux sur le rôle des religions dans la cohésion sociale et la consolidation de la paix était au centre d’un atelier, les mercredi 27 et jeudi 28 mars à Parakou. C’était l’occasion pour les leaders religieux catholiques, musulmans et des cultes endogènes de développer des argumentaires religieux assortis d’un plan d’action pour les besoins de la cause. Au Bénin, Catholic relief services (CRS) contribue à la construction d’une société plus unie et pacifique. Mieux, le projet Kadjogbé fou Itounou (KFI) qui signifie en langue nago « Vivons et travaillons ensemble pour la paix » s’inscrit dans sa vision 2030 qui place la cohésion sociale et la justice au cœur du développement. Eu égard aux risques de plus en plus liés à l’endoctrinement religieux et la radicalisation dus au débordement des actes des groupes extrémistes qui sévissent dans certaines localités au nord du Bénin, ce projet a également prévu la promotion du dialogue interreligieux comme approche. C’est pour amener les leaders religieux à mieux se l’approprier que CRS a organisé, les 27 et 28 mars 2024 à Parakou, un atelier à leur intention. Selon le premier adjoint au maire de Parakou, Mohamed Yari, la présente activité prévue dans le cadre de ce projet offre l’opportunité aux leaders religieux de pouvoir s’imprégner davantage de leur rôle dans la cohésion sociale et la consolidation de la paix au sein de leurs communautés, de leurs cités et dans la nation tout entière. Avec ces actions induites, assure la directrice des programmes au CRS, Emilienne Cyuzuzo, l'atelier permettra le partage de connaissances et de pratiques en matière de tolérance religieuse et de cohabitation pacifique. Forte mobilisation des leaders religieux au cours de la rencontre En effet, l’objectif est de renforcer les capacités des leaders religieux à utiliser des argumentaires religieux en faveur de la cohésion sociale et de la paix. Ils ont ensuite eu, pour leur mise en œuvre au sein de leurs communautés, à élaborer un plan d’action. Exécuté par Catholic relief services (CRS) et ses partenaires, Caritas Parakou et Caritas Dassa, le projet est financé par l’Usaid. Prévu pour durer 24 mois, de mars 2023 à février 2025, Parakou, Tchaourou, Bantè et Savè sont ses quatre commues bénéficiaires. Il vise à promouvoir la cohésion sociale, à encourager la collaboration intra et inter-groupes, puis à atténuer les risques de violences électorales, de conflits entre agriculteurs et éleveurs, de conflits fonciers, familiaux et politiques, de frustrations des groupes défavorisés et de propagation de la violence à partir des pays voisins. A cela s’ajoutent les inégalités économiques croissantes liées à l’urbanisation, à la croissance de la population et aux effets des changements climatiques. Le projet travaille à donner aux communautés les moyens de parler de ce qui les divise, de défendre ce qui les unit et d'agir ensemble pour des liens sociaux plus forts, plus sains et plus justes. Il est prévu pour impacter 6 795 bénéficiaires directs et 33 975 bénéficiaires indirects à travers le renforcement de la cohésion sociale, la promotion des services financiers de base aux populations vulnérables, l’engagement des chefs traditionnels, politiques et religieux, puis les communautés y compris les jeunes et les femmes, dans des activités mutuellement bénéfiques. Au cours des deux jours que l’atelier a duré, plusieurs communications ont été développées. La première, intitulée « La religion chrétienne et la cohésion sociale », a été présentée par le président de l’UEEB, le Révérend Alphonse Kinkponhoué. « Christianisme : doctrine et pratiques favorables à la coexistence pacifique et la paix », «Islam, religion de paix: argumentaires et pratiques favorables à la coexistence pacifique et la paix », « Religion endogène: savoirs et pratiques favorables à la coexistence », telles étaient les autres communications annoncées¦ fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20240404040018/https://lanation.bj/societe/paix-et-cohesion-sociale-crs-outille-les-leaders-religieux-sur-leur-role -- o:id 23431 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23431 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Ceg Suya : don d'un module de classes par Coris Bank International Bénin dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1481 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2023-10-27 dcterms:identifier iwac-article-0005158 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Fondation Coris et Coris Bank International Bénin ont procédé, mardi 24 octobre au Ceg Suya, dans la commune de Nikki, à la remise d’un module de trois salles de classe, avec un bureau pour le directeur et un lot de latrines. Cette action s’inspire de l’orientation sociétale de Coris Bank International, notamment être une banque soutenant le développement des communautés à la base. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/372 bibo:content La Fondation Coris et Coris Bank International Bénin ont procédé, mardi 24 octobre au Ceg Suya, dans la commune de Nikki, à la remise d’un module de trois salles de classe, avec un bureau pour le directeur et un lot de latrines. Cette action s’inspire de l’orientation sociétale de Coris Bank International, notamment être une banque soutenant le développement des communautés à la base. Le Ceg Suya, dans la commune de Nikki, tient désormais son premier bâtiment en matériaux définitifs. Flambant neuf, de type moderne, et respectant les normes de l’Ecole de Qualité Fondamentale (Eqf), il a été procédé à l’inauguration de cet immeuble, ce mardi 24 octobre, par Coris Bank International Bénin. D’une valeur de cinquante (50) millions de francs Cfa, il s’agit d’un module de trois salles de classe, d’un bureau et des toilettes, le tout muni d’un système d’éclairage solaire autonome. Le joyau offrira aux élèves de ce collège, assure le directeur général de Coris Bank International Bénin, Jean-Jacques Golou, un cadre adéquat et propice à leur apprentissage et leur instruction. « Nous espérons ainsi insuffler un dynamisme nouveau à la scolarisation des filles et garçons de l’arrondissement de Suya et ses environs », précise-t-il. Consciente de l’impact des activités de la banque, Coris Bank International Bénin a librement retenu de contribuer activement au bien-être des populations à la base à travers sa politique de Responsabilité Sociétale d’Entreprise adoptée en 2021 et déclinée en de grandes ambitions et initiatives. «Ces orientations stratégiques font de Coris Bank International, une banque citoyenne qui œuvre pour une société plus équitable et engagée dans la lutte contre la pauvreté», insiste le directeur général. «Nous croyons à la nécessité de l’éducation pour tous », fait-il observer. Cet engagement de la banque confirme sa volonté de construire ensemble avec tous les acteurs, une économie locale forte et durable, vecteur de développement au plan national, départemental et communal. Outre le Bénin, Coris Bank International (Cbi) est présente dans tous les pays de l’Uemoa. Elle intervient dans tous les secteurs majeurs de leurs économies. Ce qui, aujourd’hui, en fait le troisième groupe bancaire au niveau de cet espace sous-régional. Dans sa vision de faire « la banque autrement », Coris Bank International travaille depuis 7 ans au Bénin, à être une institution de référence sur le marché. Elle participe davantage à la bancarisation de la population avec le financement islamique dont elle est la pionnière à travers Cbi Baraka présente à Nikki depuis 2021. Coris Bank International a choisi d’intégrer un modèle de management orienté client à travers la mise en place d’un système de management de la qualité doublement certifié à la norme Iso 9001 version 2015. Pour la cheffe de l’arrondissement de Suya, Nafissatou Yarou Kora, la construction de ce joyau permettra d’impacter directement la qualité de l’enseignement et la culture de l’excellence au niveau du collège. Appréciant également l’ouvrage, le maire de Nikki, Gounou Roland Lafia Joseph, a souhaité qu’il en sorte des élites appelées à faire la fierté dudit arrondissement et de toute la commune. Il s’agit, selon lui, de la concrétisation d’un rêve des élus locaux et communaux d’une part, mais également du personnel enseignant de l’établissement et des populations de la localité d’autre part. L’occasion lui a permis, au nom des membres du conseil communal, d’exprimer sa gratitude à Coris Bank International Bénin. Il a ensuite invité les populations à faire un bon usage du chef-d’œuvre. Le Ceg Suya n’aura plus à se contenter de son bâtiment de fortune et de ses appâtâmes, s’est réjoui le directeur du collège, Aminoulaye Lafia. Tout comme le représentant des élèves, Abdou Dadaye Chabi Batta, il exprime son soulagement et sa satisfaction pour cet édifice offert et remercie vivement Coris Bank International, la Banque Autrement. fabio:hasURL https://web.archive.org/web/20231027081827/https://lanation.bj/societe/ceg-suya-don-dun-module-de-classes-par-coris-bank-international-benin -- o:id 23432 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23432 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Préparatifs de la fête de Tabaski 2019 : la hausse du prix des moutons repousse les acheteurs dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2019-08-08 dcterms:identifier iwac-article-0005159 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract L’achat de mouton à la veille de la fête de la Tabaski, encore appelée l’Aïd-el-Kébir, est un véritable casse-tête pour les fidèles mulsulmans. L’affluence est faible pendant que le prix de la bête a augmenté. Constat au marché de Zongo, à Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content L’achat de mouton à la veille de la fête de la Tabaski, encore appelée l’Aïd-el-Kébir, est un véritable casse-tête pour les fidèles mulsulmans. L’affluence est faible pendant que le prix de la bête a augmenté. Constat au marché de Zongo, à Cotonou. Le marché de moutons à Zongo à Cotonou connaît une faible affluence à trois jours de la fête de la Tabaski. La raison, selon les tenanciers du site, est liée à l’augmentation du prix des bêtes cette année. La situation laisse les acheteurs dans l’incertitude. Chacun y va de ses moyens pour sacrifier à la tradition, conformément à la prescription musulmane. Le marchandage se fait en fonction de la taille et de la forme du mouton. Au niveau du marché de Zongo, les prix se discutent et se rediscutent en français comme en yoruba. On tergiverse et on supplie les vendeurs afin de repartir chez soi avec la bête choisie. Les concessions ne sont pas aisées. Les discussions durent des dizaines de minutes, infructueuses pour certains et productives pour d’autres en fonction des bourses.  « Les prix des moutons cette année ne sont pas abordables. Le marchandage est très difficile, les prix ont grimpé contrairement à l’année passée. Mais on n’a pas le choix ; c’est Allah qui a instauré la fête, c’est une tradition à laquelle on sacrifie chaque année. Nous ne tuons pas de mouton pour la forme, si ce n’est pour répondre aux exigences divines », confie Arouna Tokpon, un client. Même s’il a pu tirer son épingle du jeu, il implore la providence divine de venir en aide à ses frères et sœurs qui peinent à s’acheter le mouton.  « Moi, l’année passée, j’avais acheté deux moutons pour la tabaski, mais cette année, je n’en ai acheté qu’un car les bêtes sont chères », soupire-t-il, gardant jalousement la corde de la bête qu’il venait d’acheter à 65 000 F Cfa. Tous les acheteurs n’ont pas cette chance. Se référant aux discussions sur le marché et tenant également compte de sa bourse, Oké Issiaka s’est résolu de ne pas descendre de sa moto.  « L’année dernière, je me suis procuré deux moutons à 50.000 F Cfa, l’unité. Avec le prix que les vendeurs mettent en jeu cette année, je préfère encore me renseigner sur d’autres sites », confie-t-il, avant de quitter les lieux. « Il s’est résolu de limiter l’achat de mouton à 70 000 F Cfa, afin de faire face à d’autres dépenses inhérentes à la fête. Avec les problèmes financiers et toutes les dépenses qu’il me reste à faire, je ne peux plus payer deux moutons ; je vais me contenter d’un seul afin de sacrifier à la tradition », explique-t-il. Zakari Issiaka, vendeur de mouton, garde espoir que l’affluence sera au rendez-vous avant la date retenue pour la célébration. « Il n’est pas encore tard pour faire de bonnes affaires. Le temps où le marché s’anime n’est pas encore venu », espère-t-il, laissant transparaître un léger sourire. Pour l’heure, il occupe son temps à prendre soin de ses bêtes entassées au niveau de l’espace qui lui réservé. « Les clients attendent deux ou trois jours avant la fête pour venir acheter. Le manque de bétail est à la base de la situation que nous déplorons », fait-il savoir.Son homologue Sow Mohamed n’en dira pas moins. « Les premiers clients sont toujours mieux servis », conçoit-il, espérant que d’ici à demain, l’affluence soit au rendez-vous. Pour l’heure, les clients viennent demander le prix et repartent bredouilles ; le marché ne s’anime pas encore », poursuit-il. Relativement aux difficultés d’approvisionnement en bêtes, il explique que beaucoup de vendeurs préfèrent céder leurs produits dans des pays voisins, comme la Côte d’Ivoire afin de réaliser des bénéfices plus importants ». Les contraintes liées à l’achat de moutons sur le marché de gros justifient également la cherté des prix déplorée. Les vendeurs doivent faire des navettes sur de longs kilomètres avant de s’approvisionner. « Il faut aller jusqu’à Zê pour acheter le mouton et le transporter au marché Zongo à Cotonou. Ce qui fait que cette année, le prix a augmenté », se désole-t-il. Sur son site, toutes les bourses sont servies. Les moutons les plus coûteux sont vendus à 130.000 F Cfa. Sauf que les moins nantis sont obligés de faire beaucoup de calculs avant de repartir avec des bêtes de 65 000 ou 70 000 F Cfa. Par Maryse ASSOGBADJO & Simone AHITCHEME (Stag) fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/preparatifs-de-la-fete-de-tabaski-2019-la-hausse-du-prix-des-moutons-repousse-les-acheteurs -- o:id 23433 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23433 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de Maouloud : l'ambiance des jours ordinaires à Lokossa dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1486 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2018-11-21 dcterms:identifier iwac-article-0005160 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La fête de Maouloud n’a pas donné lieu à une célébration particulière dans les familles à Lokossa. C’est l’ambiance des jours ordinaires. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/355 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/468 bibo:content La fête de Maouloud n’a pas donné lieu à une célébration particulière dans les familles à Lokossa. C’est l’ambiance des jours ordinaires. C’est un calme plat qui a régné dans la matinée d’hier au niveau des deux principales mosquées et places Idi de la ville de Lokossa, chef-lieu du département du Mono. Bien qu’étant ouverts, ces lieux de prières n’avaient enregistré aucune manifestation concernant la Maouloud, la commémoration de la naissance de Mahomet, prophète de l’Islam. Aucune manifestation spéciale n’a été aussi signalée dans le programme de la journée. A la mosquée centrale de Lokossa tout comme à la mosquée de Zongo, les heures de rencontre des fidèles musulmans ont été conformes à celles des jours ordinaires. Il s’agit des séances de prières de 14 heures, de 16 heures, de 19 heures et de 20 heures, rappellent des fidèles se prélassant au niveau des deux mosquées. « Après la prière de 6 heures, nous nous sommes dispersés en attendant la séance de 14 heures », confirme le dignitaire religieux Aboubakar Wassiou, rencontré à son domicile et s’adonnant à son métier de couturier. Maître coranique à la mosquée centrale de Lokossa, il explique que la présente disposition par rapport à Maouloud est décidée par le comité des sages de leur communauté religieuse. « Dans les années antérieures, on organisait une séance de lecture coranique suivie de petites réjouissances populaires que vient clôturer la prière de 14heures », se rappelle-t-il. Pour l’iman de la mosquée de Zongo, Abdoul Kadr Aboubakar, « ce qui se faisait relève de l’ignorance que nous avons voulu corriger ». Au quartier Zongo, l’imam soutient que la fête de Maouloud n’est pas une fête recommandée dans l’Islam. « Le prophète Mahomet a recommandé la célébration de deux fêtes religieuses à savoir le ramadan et la tabaski», a souligné l’iman Abdoul Kadr Aboubakar. Le mot d’ordre a été bien suivi dans la communauté des fidèles musulmans. Des réjouissances n’ont été observées ni dans des maisons, ni dans les places publiques sillonnées. Lokossa a vécu ce mardi 20 novembre comme un jour ordinaire. La communauté des fidèles se refuse d’accorder à Maouloud l’attention des autres fêtes prescrites dans le Coran, le livre saint de l’Islam. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/celebration-de-maouloud-lambiance-des-jours-ordinaires-a-lokossa -- o:id 23434 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23434 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Imam Ibrahim Ousmane sur Maouloud : « C’est la commémoration d’un mystère et d’une grâce » dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1508 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2018-11-21 dcterms:identifier iwac-article-0005161 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Hier mardi 20 novembre, la communauté musulmane a commémoré, à travers le monde, la naissance du prophète Mahomet. Une célébration qui semble ne pas avoir le même éclat que les deux Aïds (Ramadan et Tabaski). Une impression ou une prescription? Que doit-on comprendre de la commémoration de Maouloud? Islamologue et professeur de culture islamique, l’imam de la mosquée centrale de Cotonou, Ibrahim Ousmane, président du collège des imams et premier vice-président de l’Union islamique du Bénin, apporte des réponses. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content Hier mardi 20 novembre, la communauté musulmane a commémoré, à travers le monde, la naissance du prophète Mahomet. Une célébration qui semble ne pas avoir le même éclat que les deux Aïds (Ramadan et Tabaski). Une impression ou une prescription? Que doit-on comprendre de la commémoration de Maouloud? Islamologue et professeur de culture islamique, l’imam de la mosquée centrale de Cotonou, Ibrahim Ousmane, président du collège des imams et premier vice-président de l’Union islamique du Bénin, apporte des réponses. La Nation : Que doit-on comprendre de Maouloud ? Imam Ibrahim Ousmane : Maouloud, dans son appellation, désigne le rappel de la date de naissance de notre prophète Mahomet. La communauté musulmane manifeste sa joie pour cette grande bénédiction qui lui est donnée par Allah. Nous nous rappelons, non seulement la date de naissance de Mahomet, mais aussi les miracles, les bienfaits qui ont accompagné cette naissance. Et, cela nous édifie et nous permet de réaliser que c’était une grande œuvre que Dieu a réalisée pour l’humanité. L’envoyé d’un prophète sur la terre est une bénédiction pour l’humanité. C’est à travers les prophètes, non seulement Mahomet, mais aussi tous les autres envoyés de Dieu, que nous avons pu connaître Dieu et les lois. Ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire. A travers ceux-là, nous avons connu les prescriptions et nous savons ce qui nous attend dans l’au-delà, ce qu’il faut faire pour garantir la vie après la mort… Donc les prophètes de Dieu constituent pour l’humanité une grâce. C’est cette grâce que nous manifestons à la date où nous commémorons Maouloud. C’est comme le jour de la naissance de Jésus-Christ. Le coran en a parlé. Il y a eu des miracles. C’est aussi le cas du jour de la naissance de Moïse. Personne n’a remarqué la grossesse de sa maman jusqu’à ce qu’il est né. La naissance des prophètes est toujours une bénédiction. C’est ainsi que le jour de la naissance de Mahomet, il y a eu des merveilles. Pour une date d’anniversaire, qu’est-ce qui explique le changement de jour chaque année et comment faites-vous pour identifier ce jour ? La date de naissance du prophète Mahomet nous est parvenue par des sources authentiques, aussi bien dans les livres d’histoire que par le prophète lui-même. Il s’agit bien de la date, pas du jour. Il est clair qu’il est né dans le troisième mois de l’année lunaire plus précisément le douzième jour, et un lundi vers l’aube. Il n’y a pas de doute autour de la date. Lui-même, lorsqu’on lui a demandé quand-est-ce qu'il est né, il n’a pas donné la date mais il a dit le jour. Il a répondu qu’il est né un lundi, qu’il a reçu la prophétie un lundi et qu’il mourra un lundi. Et ça a été ainsi. C’est d’ailleurs pour cette raison que le lundi est pour nous un jour sacré. Le prophète nous a enseigné de jeûner les lundis et les jeudis. Quand on lui a demandé pourquoi jeûner le lundi et le jeudi, il a dit que le jeudi est un jour du bilan hebdomadaire de nos actes près de notre Seigneur et que lui il aimerait être en jeûne pendant que son bilan est en train d’être débattu près de son Seigneur. Puis il a dit que le lundi est un jour sacré pour lui. Il est né un lundi, il a reçu la prophétie un lundi et il mourra un lundi. Les juifs aussi avaient des renseignements sur la naissance du prophète Mahomet. Le jour où son père est né, ils l’ont su. Qui plus est, le jour où le prophète même est né. Il y a visiblement moins de ferveur pour cette commémoration qui semble ne pas avoir la même affluence et influence que les deux Aïds. Est-ce une prescription ou une option ? Ce serait peut-être exagéré de parler de fête. Les fêtes chez nous sont des prescriptions. Il s’agit d’une commémoration, d’un jour que la communauté musulmane a consacré pour rendre grâce à Dieu qui nous a donné la bénédiction que représente son prophète. Tout le monde ne commémore pas Maouloud de la même manière. Il y en a qui le considère comme une innovation. Le prophète ne l’a pas célébré et ses compagnons n’ont plus, donc à nous même de ne pas le faire. Mais d’autres qui sont plus passionnés disent qu’il faut le faire surtout que d’autres religions qui nous entourent fêtent la Noël, la naissance de Jésus et pourquoi pas les musulmans…! C’est donc ce partage d’avis qui fait que vous ne remarquez pas l’influence et l’affluence dont vous parlez. Mais individuellement, chacun de nous et à l’intérieur de nos familles, on considère beaucoup ce grand jour qui est la naissance de notre prophète et nous le manifestons. Quel est le comportement requis pour le musulman en cette commémoration ? A l’occasion de cette commémoration, il ne s’agira pas seulement de manifester notre joie pour rendre grâce de la naissance du prophète. C’est l’occasion de se rappeler de ce grand homme, de ce qu’il nous a laissé. C’est le moment de faire aussi un bilan, de se demander si nous suivons ce qu’il nous a enseigné, si nous sommes sur la voie qu’il nous a tracée, si nous sommes sûrs que nous nous retrouverons demain (après la mort) auprès de ce grand homme. Il ne suffira donc pas de veiller en prière et de faire ses éloges. Lui-même ne s’occupait pas de ses éloges. Il disait qu’il est ce qu’il est de son Seigneur, qu’on lui fasse des éloges ou pas. C’est ce qu’il nous a donné comme enseignement qui le préoccupe et qui doit nous préoccuper. Nous devons être des musulmans d’œuvres, pas des musulmans de nom. Si quelqu’un est religieux, il faut qu’on le lise à travers ses actes. Catholique ou juif ou musulman, c’est le comportement qui est important. Pour ce qui concerne les rassemblements, déjà la veille à la grande mosquée de Cotonou, nous veillons de 23 h à 4 h. Nous avons prié pour la nation, la communauté, le gouvernement et pour tout un chacun de nous pour que les bénédictions de la naissance de ce grand homme jaillissent sur nous. Nous allons ensuite nous rappeler sa naissance à travers ses enseignements et ses miracles. Et le plus grand miracle qui nous est laissé depuis 15 siècles, c’est le Coran. Un livre saint qui est descendu. Le Coran est un à travers le monde entier. C’est une source de sciences et de connaissances. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/imam-ibrahim-ousmane-sur-maouloud-cest-la-commemoration-dun-mystere-et-dune-grace -- o:id 23439 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23439 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration du ramadan à Bohicon : la communauté Ahmaddiyya appelle à plus de solidarité dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1479 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2018-06-15 dcterms:identifier iwac-article-0005162 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Ce vendredi 15 juin, la communauté musulmane a célébré la fête du ramadan ou la fin du jeûne. A l’instar des autres musulmans, la communauté islamique des Ahmaddyy de Bohicon a aussi prié pour rendre gloire à Allah, le créateur pour ces 30 jours de bénédiction. Moment de communion et de solidarité pour cette communauté. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/286 bibo:content Ce vendredi 15 juin, la communauté musulmane a célébré la fête du ramadan ou la fin du jeûne. A l’instar des autres musulmans, la communauté   islamique des Ahmaddyy de Bohicon a aussi prié pour rendre gloire à Allah, le créateur pour ces 30 jours de bénédiction. Moment de communion et de solidarité pour cette communauté. C’est au siège de Ahmaddiyya à Sodohomé dans la ville de Bohicon que les membres de cette communauté se sont donné rendez-vous ce vendredi, jour du ramadan autour du missionnaire de la région, Arif Mahmood. Contrairement aux autres qui sont sur les places Idi, ici, c’est à la mosquée qu’on récite le saint Coran, on fait les enseignements et on prie Allah le miséricordieux. Le missionnaire  Arif  Mahmood rappelle que le carême musulman est l’une des prescriptions du livre saint des musulmans qu’est le Coran. Le mois du carême est donc un mois sain pour tout bon musulman. Le responsable Ahmaddiyya de Bohicon  a, au cours de la séance de prière prêché essentiellement pour la solidarité, la tolérance et la paix au Bénin et dans le monde. Il insiste sur le don à faire aux malades et aux pauvres sans distinctions de religion et sans en attendre en retour quelque gratitude que ce soit. Car, selon lui, seul Dieu, le créateur, recompose pour ses œuvres. Arif Mahmood a invité par ailleurs les fidèles musulmans à suivre la parole du créateur et surtout à les traduire en actes et à travers les comportements. Car, ajoute-il, Dieu récompense toujours dix fois pour ses gestes de solidarité envers les pauvres. Pour finir, il a prié pour la paix au Bénin et dans le monde sans oublier les candidats aux divers examens. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/celebration-du-ramadan-a-bohicon-la-communaute-ahmaddiyya-appelle-a-plus-de-solidarite -- o:id 23440 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23440 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Ramadan 2018 : Me Adrien Houngbédji à la grande prière musulmane à Porto-Novo dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2018-06-15 dcterms:identifier iwac-article-0005163 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Le président de l’Assemblée nationale a honoré, par sa présence, la grande prière musulmane qui s’est déroulée, ce vendredi 15 juin, à la Place Idi d’Agbokou à Porto-Novo, dans le cadre de la fête du Ramadan encore appelée Aïd el Fitr. Me Adrien Houngbédji avait, à ses côtés, le préfet de l’Ouémé, Joachim Apithy et des autorités municipales de la ville de Porto-Novo. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 bibo:content Le président de l’Assemblée nationale a honoré, par sa présence, la grande prière musulmane qui s’est déroulée, ce vendredi 15 juin, à la Place Idi d’Agbokou à Porto-Novo, dans le cadre de la fête du Ramadan encore appelée Aïd el Fitr. Me Adrien Houngbédji avait, à ses côtés, le préfet de l’Ouémé, Joachim Apithy et des autorités municipales de la ville de Porto-Novo.Il est resté à la tribune officielle spécialement réservée aux personnalités non musulmanes, jusqu’à la fin de la prière dite par l’iman de Porto-Novo, Houzéifa Amzat et président de l’Union islamique du Bénin (Uib). Celui-ci, dans son sermon successivement en langues arabe, yoruba et française, n’a pas passé sous silence cette marque de solidarité du président de l’Assemblé nationale. Il a prié Allah de tonifier Me Adrien Houngbédji et le président de la République, Patrice Talon ainsi que tous les autres responsables à divers niveaux de l’organisation sociopolitique et économique du Bénin, pour qu’ils aient l’énergie nécessaire pour concrétiser leurs ambitions pour le développement de notre pays. A l’endroit des fidèles musulmans chichement habillés, le muezzin les a invité à cultiver les vertus de la paix, du pardon, de la tolérance, de l’harmonie et de l’humilité afin d’être en harmonie avec Allah et bénéficier de ses grâces. La culture de ces valeurs est gage de la consolidation de la cohésion au sein de la communauté musulmane et de son épanouissement, insiste l’iman Houzéifa Amzat. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/ramadan-2018-me-adrien-houngbedji-a-la-grande-priere-musulmane-a-porto-novo -- o:id 23441 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23441 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Protection de la couche infantile : sonner la riposte contre la mendicité des enfants dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2018-03-29 dcterms:identifier iwac-article-0005164 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La lutte contre la mendicité des enfants passe par l’application effective des lois protégeant la couche. Les victimes sont exposées à toutes formes de vulnérabilité, notamment à Cotonou, Parakou, Kandi et Malanville. La riposte est indispensable pour les sortir de cette pratique qui ternit l’image du pays. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/333 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/356 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/379 bibo:content La lutte contre la mendicité des enfants passe par l’application effective des lois protégeant la couche. Les victimes sont exposées à toutes formes de vulnérabilité, notamment à Cotonou, Parakou, Kandi et Malanville. La riposte est indispensable pour les sortir de cette pratique qui ternit l’image du pays. Ils sont souvent repérables aux carrefours aux abords des bars ou restaurants, au niveau des feux tricolores et dans les espaces publics (marchés, mosquées, églises, gares routières, banques, formations sanitaires, centres de loisirs), à la recherche des restes des plats des clients ou demandant la charité pour leurs repas quotidiens. Les enfants mendiants sont de tous âges (même des tout-petits) traînant seuls ou en petits groupes, se faufilent dans la circulation et sollicitent au niveau des sites d’affluence, la bienveillante attention des passants. Souvent sales, mal vêtus, parfois pieds nus, ils tendent aux passants une boîte de conserve ou en plastique ou simplement une main vide dans l’espoir de recevoir l’aumône.  Quoique ce travail paraisse banal aux yeux de certains et même ‘normal’’ pour d’autres (du point de vue religieux), les enfants mendiants s’exposent à des risques énormes dans leur quête de subsistance et de survie. L’état des lieux sur la situation des enfants impliqués dans la mendicité dans les villes de Cotonou, Kandi, Malanville et Parakou, met la lumière sur les dangers que courent les enfants soumis à la mendicité. Risques Selon l’Observatoire de la famille, de la femme et de l’enfant (Offe), dans un contexte de dénuement et de souffrance extrême telle que l’est la situation de rue, il n’est pas facile d’établir une hiérarchie parmi les risques et les expériences vécus par les enfants impliqués dans la mendicité. Les dangers qu’ils courent sont quasiment les mêmes que ceux que court tout enfant démuni. Il s’agit des risques d’accident, mauvaise santé physique ou psychique, isolement, piètres conditions d’hygiène, habillement en haillons, parfois torse nu. Au nombre de ces risques, le rapport de l’Unicef 2017 sur la mendicité des enfants évoque également l’exploitation, la maltraitance, la consommation des produits toxiques débouchant sur des situations de déficit de vigilance. Ils sont la proie facile pour tout genre de trafic et dangers qui forment leur quotidien. « Ce contexte anormal s’aggrave avec le manque d’interlocuteurs compréhensibles ou crédibles à qui ils peuvent confier leur amertume. Ils sont plutôt renvoyés à la solitude de leur condition, à la pesanteur énigmatique de leur corps, parfois à un rapport craintif et dépressif à leur parole, lorsque celle-ci ne rencontre pas un accueil bienveillant chez l’autre », relève l’étude de l’Unicef. « Certains tentent de compenser des défaillances à leur niveau en se livrant à des conduites auto agressives matérialisées par des exercices de marquage ou de mutilation ou de tatouage de leur corps. D’autres tentent de sublimer ces défaillances en associant de ‘’petits métiers’’ à la mendicité pour survivre. Un troisième groupe représente un vivier pour la ‘’mafia’’ ou ‘’la guérilla’’ urbaine », rapporte la même source. La mendicité chez les enfants figure parmi les pratiques de vulnérabilité dont les facteurs de risques sont énormes. Bien que physiquement faibles, mais percevant parfois un sentiment de responsabilité face à l’indigence de leurs parents, d’autres enfants peuvent faire la manche pour survivre pour aider leur famille, et ce, en dépit de toutes les dispositions réglementaires. Les enfants évoluent dans la rue pour des raisons de maltraitance, d’exploitation, d’abandon et de négligence de leur famille. Les maux les plus courants dont ils souffrent sont la fièvre (46 %), la fatigue (44%), les douleurs à l’abdomen (18 %) ou au dos (15 %), les maladies diarrhéiques (14 %) et les blessures (14 %). Ils sont pour la plupart privés d’école bien qu’étant en âge d’être scolarisés. Ampleur Pour l’Unicef, le phénomène relève des pratiques d’exploitation d’enfants qui vivent dans des conditions de maltraitance et d’esclavage chez leurs tuteurs. Ce sont des enfants qui proviennent de familles déstructurées, incomplètes ou reconstruites ayant des conditions de vie modestes. C’est pourquoi « la main-d’œuvre de certains d’entre eux est parfois intégrée dans les stratégies de survie de leurs employeurs et commanditaires lorsque cette pratique ne relève purement pas d’une exploitation commerciale », explique le document. Une étude réalisée par la Banque mondiale sur les talibés au nord du Bénin par le Programme d’insertion des enfants déshérités estimait à environ cinq mille, le nombre total de talibés (enfant placé chez un maître coranique étudiant le coran et travaillant pour ce dernier), des villes de Parakou, Malanville et Djougou. Environ deux tiers (63,5%) de ces derniers mendient. La quasi-totalité (94,5 %) recevait également des coups de fouet comme punition et sur le plan sanitaire, ils souffraient de dermatose, de parasitose et de malnutrition.La mendicité des enfants revêt des proportions préoccupantes dans les grandes villes du Bénin, notamment Cotonou, Malanville et Parakou. Le phénomène touche plus la ville de Malanville (41% de la population d’enfants estimé pour les trois villes. Viennent ensuite la ville de Cotonou (35 %) et celle de Parakou avec le quart (24 %) de l’effectif estimé des trois villes. En considérant tous les enfants impliqués dans la mendicité, quels que soient la fréquence et le moment où ils font la manche, on obtient environ quatre mille enfants dans les trois villes, renseigne l’Unicef.Le phénomène touche plus les garçons que les filles. Neuf enfants dans la mendicité sur dix sont des garçons. Selon le rapport d’état des lieux, toutes les filles recensées sont des ‘’mendiantes’’ non talibés. Dans ce groupe, au moins sept enfants sur dix dont des garçons (82 % à Cotonou, 70 % à Parakou et 73 % à Malanville). Les enfants mendiants appartiennent surtout aux groupes ethniques Dendi et apparentés (38 %), Peuls et apparentés (25 %). Les Dendi sont plus représentés chez les enfants en situation de mendicité de Malanville (66 %), alors que les Peulh sont majoritaires à Parakou (57%) et les fons (39%) à Cotonou. De lourdes sanctions La mendicité est une pratique qui heurte la morale et viole certains textes de lois au Bénin. Si par le passé la solidarité familiale couvrait des situations d’indigence ou servait de rempart au phénomène, le droit pénal l’a réglementé. Il constitue un délit sous certaines conditions. Les articles 274,275 et 276 l’interdisent. Le mendiant valide ou non est puni. L’article 274 l’incrimine et fixe la peine correspondante : « toute personne qui aura été trouvée mendiant dans un lieu pour lequel, il existera un établissement organisé afin d’obvier à la mendicité sera punie de trois à six ans d’emprisonnement… ». L’article 275 dispose : « Dans les lieux où il n’existe point encore de tels établissements, les enfants en « situation de mendicité », d’habitude valides seront punis d’un à trois mois d’emprisonnement. S’ils ont été arrêtés hors du canton de leur résidence, ils seront punis d’un emprisonnement de six mois à deux ans… ». L’article 276 punit les cas de mendicité accompagnés de menaces ainsi que ceux suivis d’infiltration dans une habitation sans autorisation. Par ailleurs, les individus qui se mettent en groupe pour mendier en dehors de leur groupe familial (père et ses enfants, mères et ses enfants, père, mère et enfants) sont passibles des mêmes peines. Il en ressort que les enfants ne doivent mendier qu’en compagnie de leurs parents directs (père, mère) et dans les conditions prévues par la loi. Or, souvent, des centaines d’enfants sont aperçus sans leurs parents dans les villes béninoises en situation de mendicité.Si dans la pratique rien n’est fait pour appréhender et punir ces infracteurs en situation de mendicité, cela relève plutôt de la politique pénale qui interpelle les autorités publiques (procureur, officier de police judiciaire, préfet, maire…). Plaidoyer La situation des enfants mendiants doit particulièrement intéresser les pouvoirs publics et les acteurs non étatiques dans la mesure où ils sont exposés à des risques de vulnérabilité. La plupart des enfants en situation de mendicité ont besoin de mesures sociales et politiques que de soins. Un dispositif clinique et éducatif peut aider ceux parmi eux qui sont en situation d’exclusion. Outre la famille, l’Etat est en principe garant de la protection des droits des enfants. Mais tout se passe comme s’il était absent, car la mendicité se fait le plus souvent au mépris de la réglementation sur la protection des enfants, du Code pénal et des droits de l’Homme. Or, selon les termes de la Convention des Nations Unies relatifs aux droits de l’enfant, du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels ainsi que la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant, l’Etat est tenu de veiller à ce que les enfants aient accès à un enseignement primaire obligatoire, qui leur permette d’acquérir les compétences élémentaires dont ils ont besoin pour participer pleinement au développement de la société. Il serait utile que le gouvernement instaure une loi contre le phénomène. La vulgarisation, la mise en œuvre diligente des peines privatives de liberté et les amendes qui seraient issues d’une telle loi pourraient décourager les commanditaires et employeurs des enfants mendiants. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/protection-de-la-couche-infantile-sonner-la-riposte-contre-la-mendicite-des-enfants -- o:id 23442 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23442 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Promotion du dialogue inter-religieux : Albert Tévoèdjrè inaugure la « Maison africaine de la paix » dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1478 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2018-03-20 dcterms:identifier iwac-article-0005165 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract « Théophania, La Maison africaine de la paix » sise à Adjati dans la commune d’Adjarra, est officiellement mise en service, ce lundi 19 mars, pour promouvoir le dialogue inter-religieux et interculturel. Le joyau a été inauguré par le professeur Albert Tévoèdjrè, son promoteur, qui avait à ses côtés des autorités politico-administratives, diplomatiques et religieuses du Bénin et d’ailleurs. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/272 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/385 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/541 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/544 bibo:content « Théophania, La Maison africaine de la paix » sise à Adjati dans la commune d’Adjarra, est officiellement mise en service, ce lundi 19 mars, pour promouvoir le dialogue inter-religieux et interculturel. Le joyau a été inauguré par le professeur Albert Tévoèdjrè, son promoteur, qui avait à ses côtés des autorités politico-administratives, diplomatiques et religieuses du Bénin et d’ailleurs. Adjati, une banlieue de la commune d’Adjarra et située à 6 km environ de Porto-Novo, est devenue depuis ce lundi 19 mars, le carrefour de promotion de la paix dans le monde. C’est du moins le rêve nourri par le professeur Albert Tévoèdjrè, président du Centre panafricain de prospective sociale-Institut Albert Tévoèdjrè (Cpps-Iat) en initiant le projet de construction de « Théophania, La Maison africaine de la paix » inaugurée hier. Erigé sur un domaine cumulé de 2000 m2, ce centre a pour mission de promouvoir la paix par un autre chemin, celui du dialogue inter-religieux et interculturel soutenu par des actions sociales et de développement. Pour Albert Tévoèdjrè, il ne devrait pas avoir un nom plus évocateur que « Théophania » signifiant, pour l’église catholique, la manifestation de la joie de Dieu. Il dit avoir retenu ce nom pour magnifier la bonté divine à travers l’érection du joyau. En effet, n’étant pas fortuné, le frère Melchior était à mille lieues de savoir que son rêve allait être concrétisé, ce lundi 19 mars où la communauté catholique célèbre la fête de saint Joseph, le prénom de son géniteur. Albert Tévoèdjrè n’était pas certain que Dieu allait accompagner son initiative lorsque l’inspiration du projet lui était venue en mai 2016 au moment où il lançait le projet « La paix par un autre chemin » dont l’origine émane de l’Initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue inter-religieux et interculturel. Aujourd’hui, le frère Melchior se réjouit que Dieu ait porté le projet à travers des personnes de bonne volonté, des institutions nationales et internationales et autres qui ont mis la main à la poche pour le soutenir. Ce miracle qui a commencé depuis la pose de la première pierre du joyau se poursuit, renseigne le président du Cpps-IAT. Albert Tévoèdjrè en veut pour preuve ce qui s’est passé, dimanche 18 mars dernier, la veille de la cérémonie d’inauguration de l’édifice, où il s’est retrouvé en face d’un engagement financier urgent à régler de 2 millions de F Cfa alors qu’il ne possédait que 500 000 francs Cfa sur lui. Il était en train de réfléchir à comment trouver le complément quand vingt minutes plus tard, révèle Albert Tévoèdjrè, il reçoit une délégation nigériane envoyée par l’ancien président de la République, Olusegun Obasandjo qui lui offre 2050 dollars comme soutien. Exporter la paix comme le coton Ce don était venu, selon lui, à point nommé. Ce qui renforce davantage sa conviction que la providence veille méthodiquement sur « Théophania » où peuvent vivre et agir ensemble au nom de la paix, des chrétiens de tous bords, des musulmans, des adeptes des religions endogènes et des acteurs d’autres obédiences confessionnelles. Car, selon Albert Tévoèdjrè, Dieu a pris le Bénin pour servir de modèle de paix dans le monde. « Théophania » est née pour partager cette paix avec les autres pays d’Afrique et du monde. « Comme le coton, le Bénin veut exporter la paix », insiste le frère Melchior qui annonce que la « Maison africaine de la paix » se veut une graine semée pour d’interminables actions sociales et de développement afin de faire rayonner davantage le Bénin. Pour cela, Albert Tévoèdjrè sollicite l’appui des personnes généreuses, des institutions publiques comme privées et autres organismes internationaux pour l’aider à achever le joyau, encore en chantier même si l’inauguration a été faite. L’originalité et la pertinence du projet ont été saluées par toutes les personnalités qui se sont succédé au pupitre. Des témoignages élogieux de l’initiative ont été faits par tous les intervenants dont le maire d’Adjarra, Michel Honga ; le nonce apostolique près le Bénin et le Togo, Brian Udaiwgue, représentant le pape François ; le directeur du Bureau régional de l’Afrique de l’Ouest de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif), Eric Adja, représentant le secrétaire général de l’Oif, sans oublier les représentants des délégations du Tchad, du Nigeria et des confessions religieuses toutes tendances confondues. Tous félicitent le frère Melchior pour sa vision à travers ce projet traduisant l’expression spirituelle multiple à objectif unique, à savoir la paix. « A 88 ans, le professeur Albert Tévoèdjrè nous montre qu’on peut toujours rêver pour le développement de son pays», salue le coordonnateur du projet, Eugène Gnimassoun qui trouve que l’initiative est une mine d’opportunités pour le développement du Bénin et surtout d’Adjati où afflueront bientôt des touristes. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/promotion-du-dialogue-inter-religieux-albert-tevoedjre-inaugure-la-maison-africaine-de-la-paix -- o:id 23443 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23443 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Célébration de l'Aïd el-Kebir à Djougou : une brochette de personnalités à la prière du sacrifice dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1489 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2017-09-01 dcterms:identifier iwac-article-0005166 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La célébration de la fête de tabaski à Djougou a donné lieu à une forte présence de personnalités à la traditionnelle prière consacrant l'évènement à la place Idji au quartier Baparapé. Une brochette de personnalités parmi lesquelles le ministre d'État Abdoulaye Bio Tchané, les députés Bida Nouhoum et Wallis Zoumarou, l'ancien ministre Soumanou Toléba, le maire Alassane Zoumarou, le préfet de la Donga, Souleymane Biaou, a honoré le prélude de la fête du sacrifice sous l'égide de l'imam central Razack Samary. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 bibo:content La célébration de la fête de tabaski à Djougou a donné lieu à une forte présence de personnalités à la traditionnelle prière consacrant l'évènement à la place Idji au quartier Baparapé. Une brochette de personnalités parmi lesquelles le ministre d'État Abdoulaye Bio Tchané, les députés Bida Nouhoum et Wallis Zoumarou, l'ancien ministre Soumanou Toléba, le maire Alassane Zoumarou, le préfet de la Donga, Souleymane Biaou, a honoré le prélude de la fête du sacrifice sous l'égide de l'imam central Razack Samary.Saisissant l'occasion de ce rassemblement, ce dernier a appelé les fidèles à cultiver le respect mutuel, l'amour du prochain et à transcender les querelles et divergences pour un règne de l'unité et de la paix. Plus importante fête musulmane, l'Aïd el-Kebir devrait, à son avis, être des moments de solidarité à l'égard de tous, sans distinction. Un message qui n'est pas sans effleurer le gratin politique. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/celebration-de-laid-el-kebir-a-djougou-une-brochette-de-personnalites-a-la-priere-du-sacrifice -- o:id 23444 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23444 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Occupation anarchique de l’espace public à Cotonou : mendiants et vendeurs à la sauvette sommés de quitter la rue dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1485 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2017-08-10 dcterms:identifier iwac-article-0005167 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les mendiants, les vendeurs à la sauvette et autres malades mentaux qui errent dans les rues sont sommés de débarrasser les feux tricolores, les carrefours, les trottoirs et autres espaces publics qu’ils occupent. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content Les mendiants, les vendeurs à la sauvette et autres malades mentaux qui errent dans les rues sont sommés de débarrasser les feux tricolores, les carrefours, les trottoirs et autres espaces publics qu’ils occupent. Ce mercredi 9 août, le préfet du Littoral, Modeste Toboula, accompagné des forces de sécurité, a entamé une campagne de sensibilisation pour amener ces occupants illégaux de l’espace public à déguerpir volontairement, avant les actions de répression annoncées pour les prochains jours. A l’en croire, cette action s’inscrit dans le cadre de l’assainissement de la ville de Cotonou depuis plus d’un an en vue de la rendre propre et attrayante et de faciliter la circulation. En juillet 2016, le préfet Modeste Toboula avait signé, entre autres, les arrêtés n° 0214/DEP-LIT/SG/SCAD/SA portant interdiction d’occupation des trottoirs et autres emprises (cent pas du roi, berge lagunaire) dans la ville de Cotonou, et n° 0215/DEP-LIT/SG/SCAD/SA portant interdiction aux engins à deux roues de circuler dans la zone commerciale. Dans les environs de la zone commerciale, il était strictement interdit à toute personne physique ou morale d’occuper les trottoirs avec des marchandises, des matériaux de construction et autres sur toute l’étendue du territoire du département du Littoral d’une part, et, interdit à tous engins à deux roues l’entrée dans le centre commercial de Ganhi, allant de la rue Mtn-Notre Dame jusqu’à l’immeuble Mawulé en passant devant le Ceg Dantokpa, d’autre part. L’autorité préfectorale avait également mis un accent sur le déguerpissement des occupants anarchiques du trajet Bourse du travail-mosquée Zongo, tout le long des rails de l’Ocbn. Tout contrevenant à ces dispositions est exposé aux sanctions, notamment le paiement d’amende allant de 10 000 à 100 000 francs Cfa selon le cas. C.U.P. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/occupation-anarchique-de-lespace-public-a-cotonou-mendiants-et-vendeurs-a-la-sauvette-sommes-de-quitter-la-rue -- o:id 23445 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23445 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Mutilations génitales féminines : un phénomène dangereux pour la santé des filles et des femmes dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1491 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2017-02-09 dcterms:identifier iwac-article-0005168 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines (Mgf) a été célébrée lundi 6 février. Occasion pour faire prendre conscience des menaces de cette pratique sur la santé des femmes. « Bâtir un pont solide et interactif entre l’Afrique et le monde afin d’accélérer l’abandon des mutilations génitales féminines », c’est le thème qui a focalisé l’attention à cette édition. bibo:content La Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines (Mgf) a été célébrée lundi 6 février. Occasion pour faire prendre conscience des menaces de cette pratique sur la santé des femmes. « Bâtir un pont solide et interactif entre l’Afrique et le monde afin d’accélérer l’abandon des mutilations génitales féminines », c’est le thème qui a focalisé l’attention à cette édition. Considérées comme une violation des droits des jeunes filles et des femmes, les mutilations génitales féminines (Mgf) ou excision sont le reflet d'une inégalité profondément enracinée entre les sexes et constituent une forme extrême de discrimination à l'égard des femmes. Elles recouvrent toutes les interventions incluant l'ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme ou toute autre lésion des organes génitaux féminins qui sont pratiquées pour des raisons non médicales, selon le Fonds des Nations Unies pour la population (Unfpa). La Confédération internationale des sages-femmes et la Fédération internationale de gynécologie et d’obstétrique les définit comme étant une pratique « traditionnelle et rituelle qui a des conséquences néfastes sur la santé de la jeune fille et de la femme en général, et sur son appareil reproducteur en particulier ».  Bien que de nombreux pays aient interdit cette pratique, l’ablation des organes génitaux persiste à certains endroits où elle représente un rituel ancien lié à des facteurs culturels, religieux et sociaux en vigueur au sein des familles et des communautés.Le phénomène touche plusieurs millions de filles chaque année, selon les spécialistes de la santé. Pour l’Unicef, les mutilations génitales féminines violent les droits humains et ruinent la santé et le bien-être d’environ 3 millions de filles chaque année.Or, commente le secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, « Il ne peut y avoir de développement durable sans la réalisation pleine et entière des droits fondamentaux des femmes et des filles ». Les Mgf/Excision restent tout aussi dangereuses pour la santé des victimes. Ces pratiques violent les droits à la santé, à la sécurité et à l'intégrité physique, le droit d'être à l'abri de la torture et de traitements cruels, inhumains ou dégradants, ainsi que le droit à la vie lorsqu'elles ont des conséquences mortelles. En l’absence de toute nécessité médicale, elles exposent les victimes à de graves conséquences sur leur vie et leur bien-être. Autres effets désastreux La pratique peut provoquer de graves hémorragies et des problèmes urinaires, et par la suite des kystes, des infections, la stérilité, des complications lors de l'accouchement, et accroître le risque de décès du nouveau-né. En plus des traumatismes psychologiques que cela entraîne, le phénomène est souvent réalisé à l’aide d’instruments rudimentaires et sans anesthésie. Il peut de ce fait, engendrer chez les femmes des complications telles que des douleurs, un état de choc, la stérilité, des difficultés pendant les règles et l'accouchement. L’Organisation mondiale de la Santé (Oms) estime qu’il survient « entre un et deux décès périnatals supplémentaires pour 100 accouchements chez les enfants nés de femmes ayant subi ces pratiques ».Pour le Fonds des Nations Unies pour la population, l’éradication des Mgf fait partie intégrante du combat contre les violences basées sur le genre. Ces pratiques violent également le droit à la protection face aux pratiques traditionnelles dangereuses et le droit des femmes à décider de leur propre reproduction. D’où l’engagement renouvelé de l’Unfpa et de l’Unicef, à travers le plus grand programme mondial visant à accélérer l’abandon des mutilations génitales féminines. Ce programme est concentré dans dix-sept pays africains et soutient différentes initiatives régionales et internationales visant à bannir la pratique. La lutte contre l’excision constitue aujourd’hui un défi planétaire. L’objectif de développement durable n°5 appelle à mettre un terme aux mutilations génitales féminines d’ici à 2030. L’élimination de la pratique a fait également l’objet de nombreux appels de la part d’organisations intergouvernementales, notamment l’Union africaine, l’Union européenne et l’Organisation de la coopération islamique.Pour encourager l’abandon des Mgf, il faudra aussi mettre en œuvre des initiatives coordonnées et systématiques mais aussi impliquer l’ensemble des communautés sur la question des droits fondamentaux des femmes et celle de l’égalité des sexes. Ces initiatives doivent renforcer le dialogue social et permettre aux communautés d’agir entre elles-mêmes collectivement en vue d’éliminer cette pratique. Aussi, permettront-elles de répondre aux besoins des femmes et des filles qui subissent les conséquences de cette pratique, notamment en matière de santé sexuelle et reproductive. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/mutilations-genitales-feminines-un-phenomene-dangereux-pour-la-sante-des-filles-et-des-femmes -- o:id 23446 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23446 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title Médias et développement local : le rôle essentiel des organes de presse à Djougou dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2015-08-04 dcterms:identifier iwac-article-0005169 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract Les grands médias ont tendance à occulter les réalités des communes éloignées des grandes villes. Dans ce contexte, les organes de presse locale et les correspondants de presse basés à Djougou, aident cette commune de la Donga à se faire une place dans les tranches d’antenne et dans les pages des journaux. Ils jouent ainsi leur partition dans le renforcement de la décentralisation, de la démocratie à la base et du développement local. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/281 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/305 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/319 https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/370 bibo:content Les grands médias ont tendance à occulter les réalités des communes éloignées des grandes villes. Dans ce contexte, les organes de presse locale et les correspondants de presse basés à Djougou, aident cette commune de la Donga à se faire une place dans les tranches d’antenne et dans les pages des journaux. Ils jouent ainsi leur partition dans le renforcement de la décentralisation, de la démocratie à la base et du développement local. La coupure générale d’électricité dans la ville de Djougou n’épargne pas la radio communautaire Solidarité FM. Le groupe électrogène étant en panne, dans les studios et à l’antenne, c’est silence radio. Il est presque 19h et Zibrila Adamou, le chef programme de la radio, fait ses bagages pour un village environnant. Dans le cadre de son émission grand public sur la santé qui passe à l’antenne tous les samedis à 13h 30, il fait le tour des villages les bras chargés de gadgets et divers cadeaux à distribuer sur le terrain aux auditeurs. Zibrila Adamou est l’un des 14 agents permanents de la radio qui bénéficie également des services de 13 agents occasionnels et 8 stagiaires. La radio communautaire Solidarité FM de Djougou est avec la Radio islamique, l’un des deux organes de presse basés dans la cité des Kpétoni. Pour Djibril Yessoufou, rédacteur en chef, l’objectif premier de la radio est de sensibiliser les populations sur les enjeux du développement local. « Nous organisons des discussions sur le budget de la commune, son exécution et nous aidons à mobiliser les ressources. En raison du taux d’analphabétisme élevé, nous diffusons prioritairement dans 8 langues locales à savoir, le Yom, le Lopa, le Dendi, le Fodo, le Ditamari, le Peulh, le Sola et même le Fon tout en émettant dans un rayon qui couvre les communes de Djougou, de Copargo ainsi qu’une partie de Ouaké et de Bassila», explique-t-il. Thématiques Côté thématiques, les questions de population et de développement sont prioritaires. «La part belle est faite à l’agriculture parce que la commune de Djougou est d’abord agricole. Elle est le premier producteur d’igname du Bénin. On y cultive aussi le fonio et le maïs », a laissé entendre Djibril Yessoufou. L’environnement sain jouit également d’une bonne tranche sur la radio. « Nous avons des quartiers insalubres dont la malpropreté occasionne des décès. Cela donnait du fil à retordre aux agents de santé, mais avec la forte contribution de Solidarité, le choléra qui est la principale maladie a reculé.»A la question de savoir quelle est l’audience de la radio et à quel point elle satisfait l’auditoire, le rédacteur en chef répond que les feedbacks, les alertes, les remerciements et les contributions aux émissions interactives sont des preuves d’une bonne audience. «La collision entre deux bus, l’un en provenance du Ghana, l’autre de Cotonou peut être citée comme un test de feedback. Dès que nous avons été alertés, nous avons lancé un appel au public. Quelques minutes après, il y avait plus d’une centaine de conducteurs de taxi-motos qui ont aidé à sauver certains passagers. Les grandes mobilisations de façon spontanée des populations autour des visites des ministres ou du chef de l’Etat à Djougou, quelques minutes seulement après le message radio qui les exhorte, est un témoignage d’une audience notoire », a-t-il conclu. Couvrir Djougou et ses réalités Les stations de l’Office de radiodiffusion et de télévision du Bénin (ORTB) sont les seules captées par les populations de Djougou, sans faire usage d’antenne parabolique et de décodeur. De plus, l’actualité locale d’ici n’est pas souvent mise en avant dans les médias nationaux aussi bien dans la presse écrite que dans l’audiovisuel. D’où l’importance pour la commune de Djougou, des correspondants locaux d’organes de presse nationaux. Outre donc les radios communautaire et islamique, plusieurs correspondants locaux d’organes de presse nationaux couvrent les questions de développement local dans la commune de Djougou. Il s’agit entre autres, de ceux de Golfe FM/TV, du Canard du Nord, du quotidien La Nation dont l’Antenne régionale est basée à Natitingou, mais aussi de la radio Soleil FM et de l’Agence Bénin Presse. La plupart de ces organes de presse aident Djougou à se faire une place dans les tranches d’antenne et dans les pages des journaux. Selon Moutaïrou Idrissou, correspondant local de l’Agence Bénin Presse, Djougou est l’une des communes dans lesquelles on reconnaît véritablement l’importance des agences de presse. «Nous sommes les premiers à transmettre les informations liées à l’actualité de Djougou au niveau national. Nous collectons des informations par rapport aux difficultés que rencontrent les populations. En tant que grossiste de l’information, nous alimentons les autres organes qui n’ont pas de correspondants à Djougou », explique-t-il. Selon Ignace Aoubré correspondant de la radio privée Soleil FM de Cotonou dans l’Atacora-Donga, les faits de société qui surviennent à Djougou et qui sont liés aux enjeux nationaux, intéressent sa station. Les réalités que vivent les populations à la base sont donc pertinentes pour l’auditoire. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/medias-et-developpement-local-le-role-essentiel-des-organes-de-presse-a-djougou -- o:id 23447 url https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/23447 o:resource_template Newspaper article o:resource_class bibo:Article o:item_set/o:id 2189 dcterms:title La Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin distribue des cadeaux dcterms:creator https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1490 dcterms:subject https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/1411 dcterms:publisher https://islam.zmo.de/s/westafrica/item-set/2189 dcterms:contributor https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/858 dcterms:date 2015-07-19 dcterms:identifier iwac-article-0005170 dcterms:language https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/8355 dcterms:rights In Copyright - Educational Use Permitted dcterms:abstract La communauté musulmane du Bénin a célébré vendredi 17 juillet dernier la fête du Ramadan marquant la fin du jeûne. A l’occasion, la communauté religieuse Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, a offert des vivres dans divers lieux dans la ville de Cotonou. dcterms:spatial https://islam.zmo.de/s/westafrica/item/299 bibo:content La communauté musulmane du Bénin a célébré vendredi 17 juillet dernier la fête du Ramadan marquant la fin du jeûne. A l’occasion, la communauté religieuse Jama’at islamique Ahmadiyya Bénin, a offert des vivres dans divers lieux dans la ville de Cotonou. La communauté religieuse jama’at islamique Ahmadiyya a offert des vivres successivement au ministère en charge de la Famille, au Centre national hospitalier Hubert Koutoucou Maga, à la prison civile de Cotonou, au Centre hospitalier et universitaire psychiatrique de Jacquot et à l’Office central de protection des mineurs. A chaque étape, les bénéficiaires ont reçu des sacs de riz, des bidons d’huile, des cartons de pâtes alimentaires, des boîtes de tomate concentrée et des cartons de savon. Le président et chef missionnaire de cette communauté religieuse, Rana Farook Ahmad, a dit partout où il est passé que le geste vise à partager la joie de la fête du Ramadan avec tout le monde, à créer l’espoir dans le cœur des pauvres et à susciter l’amour de Dieu afin qu’il exauce les prières des uns et des autres. Il a également indiqué qu’il vise à aider ceux qui sont malades et qui souffrent. Aucune couche sociale n’a été donc oubliée à l’occasion de ce geste de charité qui a lieu chaque année. La secrétaire générale du ministère de la Famille, Geneviève Ogoussan a affirmé que ce geste habituel illustre l’importance que la communauté Ahmadiyya accorde aux personnes vulnérables. Elle l’a remerciée pour tout ce qu’elle fait dans le pays et dans plusieurs domaines, avant de rassurer les donateurs que les vivres offerts iront aux personnes ciblées.Au centre psychiatrique de Jacquot, les malades par le biais de leur porte-parole Emile d’Almeida ont apprécié à sa juste valeur ce geste fait à leur endroit, et qui répond aux valeurs de l’islam qui à pour principe de partager l’amour et la joie dans les cœurs. Ils ont souhaité que la collaboration avec le centre ne s’arrête pas aux dons et se transforme en un partenariat. Un souhait qui a reçu un avis favorable émis sur place par le président national et chef missionnaire de la jama’at islamique Ahmadiyya, Rana Farooq Ahmad. Le directeur du Centre national hospitalier Hubert Koutoucou Maga de Cotonou, Idrissou Abdoulaye, a, au nom du gouvernement et de tous les malades du centre remercié les donateurs, avant de rappeler que le mois du jeûne musulman est un mois de partage et de générosité au cours duquel ceux qui sont en bonne santé, doivent se souvenir des malades. Il a rappelé que le CNHU-HKM bénéficie tous les ans de la générosité de la communauté Ahmadiyya.A la prison civile de Cotonou, le gardien chef, l’adjudant Henri Gnancadja, a aussi salué ce geste qui vient semer la joie au cœur de personnes qui se rendent compte qu’ils ne sont pas des oubliés.A l’Office central de la protection des mineurs, ce sont des enfants en situation difficile qui ont manifesté leur joie de recevoir ces personnes généreuses venues vers eux avec les mains chargées de vivres pour leur permettre de fêter dans de meilleures conditions, à travers des chants pleins de sens et de reconnaissance. Le représentant du ministre de l’Intérieur, de la sécurité publique et des cultes, Michel Alokpo, a dit toute la reconnaissance du gouvernement qui salue les nombreuses actions qu’entreprend la communauté Jama’at islamique Ahmadiyya au Bénin.Aussi, a-t-il rappelé que ce don effectué à l’Office témoigne de l’amour que cette communauté religieuse accorde à l’enfance. fabio:hasURL https://lanation.bj/societe/la-jamaat-islamique-ahmadiyya-benin-distribue-des-cadeaux --