A la veille de la fin du mois du Ramadan, tout le monde se posait la question de savoir si oui ou non la communauté musulmane allait célébrer la fête, le vendredi. Car il semble que célébrer l'AID-AL-FITR, le vendredi, a des conséquences néfastes pour les autorités. Néanmoins, la fête s’est déroulée, ce jour- là.
On savait la Côte d'Ivoire engagée dans un cycle de pression aveugle. Cependant, personne n'imaginait que des lieux saints n'allaient pas être épargnés. Avec la pluie de milliards, on imaginait le gouvernement de Bédié loin des "petits sous" de la carte de séjour. Sur ces deux points, des musulmans d'Abobo ont payé le prix fort hier midi...