Dans cette déclaration, la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) condamne une attaque barbare et odieuse et réaffirme son rejet total, catégorique et sans ambiguïté de toute forme de violence ou de terrorisme qui ne saurait être justifiée par une quelconque conviction religieuse.
C’était l’an passé, quelques mois seulement après le drame du Cappuccino qu’au passage sur l’avenue Kwame Nkrumah - avril 2016 -, nous nous sommes installés en famille à 5 au café Aziz Istanbul pour prendre de la glace sans véritablement prêter grande attention au nom dudit café. Un petit fait sur le prix des glaces aura pourtant retenu un peu notre attention... A la faveur de l’actualité brûlante, c’est l’attentat qui nous révèlera véritablement le nom du lieu, désormais connu au-delà même des frontières du Burkina.
Dans la soirée du 15 janvier 2016, le temps s’est arrêté sur l’avenue Kwame N’krumah, dans la capitale Ouagadougou et sur tout le Burkina. Ils se sont retrouvés en famille, entre amis ou collègues pour manger, prendre un verre, décompresser et oublier les durs moments de la journée en ce début de weekend. Certains étaient à leur lieu de travail. Mais l’esprit du mal est passé par là. Fauchant sauvagement 30 vies. La capitale Burkinabè venait d’être frappée en plein cœur, par des terroristes.
Dans la soirée du 15 janvier 2016 le temps s’est arrêté sur l’avenue Kwame N’krumah, dans la capitale Ouagadougou et sur tout le Burkina. Ils se sont retrouvés en famille, entre amis ou collègues pour manger, prendre un verre, décompresser et oublier les durs moments de la journée en ce début de weekend. Certains étaient à leurs lieux de travail. Mais l’esprit du mal est passé par là. Fauchant sauvagement 30 vies. La capitale Burkinabè venait d’être frappée en plein cœur, par des terroristes.
Une délégation de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) était à l’hôpital Yalgado Ouédraogo, le 15 aout 2017, pour apporter soutien et réconfort aux blessés de l’attaque terroriste du 13 Août. Elle n’a pas manqué de féliciter le personnel médical et la direction générale dudit hôpital pour le dévouement dont ils font montre pour assurer des soins de qualité aux blessés. Conduite par le président du présidium, El Hadj Abdoul Rahmane SANA, la FAIB est allée invoquer la miséricorde d’Allah pour les blessés et apporté un soutien financier de 1.250.000 Fcfa au nom des musulmans de notre pays.
Déjà un an qu’est intervenue l’attaque terroriste (Splendid Hotel, restaurant Cappucino, maquis Taxi brousse) qui a fauché la vie à 30 personnes, blessé 70 personnes et causé d’innombrables dégâts matériels. Ce dimanche 15 janvier 2017, la nation a décidé, le Président du Faso Roch Kaboré en tête, de marquer une halte pour s’en souvenir et rendre hommage à ceux qui ont perdu leur vie lors de cette journée fatidique du samedi 15 janvier 2016 dans la ville de Ouagadougou.
Le vendredi 02 mars 2018, aux environs de 10 heures, deux groupes armés de quatre membres chacun ont pris d’assaut l’Ambassade de France au Burkina Faso et l’Etat-major Général des Armées.
Dans la nuit du Lundi 27 au 28 Février 2017, des individus non encore identifies ont attaqué le poste de police et la mairie de Tongomayel, dans la province du Soum. Bilan : des bureaux incendiés, vandalisés et du matériel emporté. Une série d’attaques revendiquée par une association dénommée Ansaroul Islam.
« Ce qui explique que des Burkinabè n’aient pas peur des attaques armées : Une analyse économétrique à partir d’un modèle dichotomique ». C’est la dernière étude publiée par l’Institut panafricain d’études, de recherches et de sondages d’opinion (IPERSO). Bemahoun Honko Roger Judicaël, statisticien-économiste, l’auteur, explore une alternative non-violente comme réponse au terrorisme en se fondant sur le fait que le peuple burkinabè n’a pas cédé au diktat des terroristes et est resté fort psychologiquement malgré les coups reçus. Le chercheur soutient par ailleurs que la rhétorique martiale dans cette lutte de longue haleine est loin d’être la panacée. « Un combattant extrémiste tué correspondrait à au moins trois nouvelles recrues », révèle-t-il.
Dans l’après-midi du 20 janvier 2016, le président de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB), El Hadj Adama Nikiéma a remis un lot de médicaments au directeur général du Centre hospitalier universitaire Yalgado Ouédraogo. D’une valeur d’environ 1 million de francs CFA, ce don est destiné prioritairement à la prise en charge des blessés de l’attentat du 15 janvier dernier.
Le ministre de la Sécurité, Simon Compaoré, a animé ce vendredi 24 mars 2017 un point de presse sur les attaques terroristes au Burkina Faso. Au total 70 personnes ont été tuées dans ces différentes attaques, autant de personnes ont été interpellées par les forces de défense et de sécurité, des otages sont toujours retenus et des suspects recherchés.
Dans la nuit du lundi 27 au mardi 28 février 2017 aux environs de 23 heures, le mouvement islamiste Ansarul Islam d’Ibrahim Malam Dicko a attaqué deux commissariats dans la province du Soum au nord du Burkina Faso : celui de Barabulé et celui de Tongomaël. Bilan, un civil blessé légèrement, des motos et des bâtiments incendiés.
Une fois de plus depuis trois ans, Ouagadougou a été le lieu d’une énième attaque terroriste (double attaque cette fois) le 02 mars 2018 un peu plus de 10h locale à l’état-major général des armées du Burkina-Faso, et à l’ambassade de la République française. Cette dernière attaque sera revendiquée deux jours par le mouvement djihadiste appelé groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), groupe né de la fusion le 02 mars 2017 du groupe Ansar Dine du djihadiste malien Lyad Ag GHALY, du groupe Al-mourabitoune de l’algérien Mokhtar BELMOKTHAR et de l’Emirat du Sahara, une branche d’Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI).
Une fois de plus, le Burkina Faso a été la cible d’une attaque terroriste le dimanche 13 Aout 2107. Une attaque qui a causé la perte de plusieurs vies humaines mais aussi de nombreux blessés. Cette triste nouvelle est tombée comme une « bombe » dans la capitale économique, Bobo-Dioulasso. Ainsi, c’est avec consternation que les Bobolais ont appris à travers les médias, les faits de cette « barbarie ». A cet effet, ils présentent leurs sincères condoléances aux familles éplorées et surtout un prompt rétablissement aux nombreux blessés.
Pour les syndicats de l’Education nationale, les autorités burkinabè sont responsables de ce qui est arrivé à Kourfayel car elles étaient prévenues et n’ont rien fait. Ils déplorent aussi que l’enseignant Salifou Badini ait été enterré dans l’anonymat.
(Ouagadougou, 14 octobre 2019). Des confessions religieuses font de plus en plus l’objet d’attaques terroristes ces derniers temps dans notre pays. Des fidèles sont assassinés en plein exercice de leur foi.
Un des commanditaires de l’attentat de Ouagadougou, qui a fait 30 morts le 15 janvier 2016, a envoyé un message au commando avec un numéro de téléphone syrien, a affirmé jeudi à l’AFP la procureure de Ouagadougou, soulignant toutefois que le message ne provenait pas forcément de ce pays.
Notre pays, le Burkina a été frappé par la violence aveugle au nom de la religion, et surtout des revendications politico-religieuses le 15 janvier 2016. En ce mois de prière pour l’unité des chrétiens, quelles réflexions œcuméniques sur cette actualité dans un pays africain, pauvre mais religieux dans ses cultures et dans sa foi ?
L’Amir et chef missionnaire de la Communauté islamique ahmadiyya du Burkina Faso, Mahmood Nasir Saqib a inauguré ce vendredi 20 mai 2016, la « Mosquée Masroor » de Mahouana, département de Kouka dans la province des Banwa. Selon lui, « En plus de l’Adoration d’Allah, cette mosquée doit servir à l’encadrement des enfants afin qu’ils soient éduqués sous la conduite d’un islam tolérant ».
Contre tout projet de légalisation de l’homosexualité au Burkina Faso, la communauté musulmane de l’ouest a organisé une assemblée générale à la grande mosquée de Dioulasso-Ba (Bobo) ce samedi 12 septembre 2015. En plus de l’homosexualité, cette assemblée générale a permis à la communauté musulmane de l’ouest d’évoquer les « préoccupations des musulmans au Burkina Faso ». Entre autres, les musulmans au Burkina Faso aimeraient la création d’un ministère de culte, la juste représentativité des cadres musulmans dans les Hautes administrations, le retour de l’arabe au collège…
Sur invitation de la Coordination des associations islamiques de l’ouest, des responsables des Organisations de la société civile (OSC) dans la ville de Bobo étaient à la mosquée de Dioulasso-Ba ce samedi 03 octobre 2015. Venus pour écouter les « sages », les leaders de dix OSC (G10) sont repartis avec une « enveloppe symbolique », une batterie de bénédictions et des conseils…
C’est aujourd’hui, 11 décembre 2014, jour du 54ème anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso que sa majesté M’Pa Yacouba Sanou a été inhumé. Décédé dans la journée du dimanche 08 décembre 2014, le Chef des Bobo Mandaré est enterré dans la même cour que feu, son père.