Il se croit tout permis, le préfet du Littoral. Administrateur civil de son état, Modeste Toboula confond tout. La libre administration des communes dévolue au maire et la tutelle administrative qui est du ressort du préfet sont pour lui des notions encore floues.
Notre cher pays, le Bénin traverse depuis quelques semaines un moment de perturbations politiques liées à l’organisation des élections législatives prévues pour se tenir le 28 avril 2019.Cette situation, qui interpelle tout citoyen ou tout acteur public épris de paix, mérite d’être cernée avec beaucoup d’attention, car se taire dans une pareille situation peut bien s’apparenter à un crime citoyen et politique.
Dans moins de 48 heures, rappelons-le, une délégation de l’imamat du Bénin fera le déplacement du palais de la Marina pour y rencontrer le chef de l’Etat.
Opérateur économique de son état, El Hadj Daouda Lawal actuellement en pèlerinage à la Mecque porte le Bénin dans son cœur. Profitant de son séjour en ce lieu saint de l’Islam, il a fait organiser une prière à l’intention du chef de l’Etat. Grâce à cette initiative, Allah a été invoqué afin que Patrice Talon conduise le Bénin à bon port. L’objectif poursuivi par Daouda Lawal est d’offrir au président de la République l’accompagnement et le soutien spirituels nécessaires pour l’accomplissement de sa mission. Cet office religieux vise à confier le locataire du palais de la Marina aux bons soins de la Providence afin qu’il l’éclaire et l’assiste au quotidien.
Un an. Déjà 365 jours de gestion du pouvoir d’Etat par le gouvernement de la rupture. Douze mois d’une présidence normale de Patrice Talon avec son lot de mesures impopulaires quoique nécessaires, des décisions inutiles et contre productives mais aussi des avancées.
La galère du Hadj, c’est fini. La communauté musulmane, habituée à subir des désagréments dans le cadre de ce pèlerinage, peut désormais dormir tranquille. Cinquième pilier de l’Islam, le Hadj est perçu par tout bon musulman comme une obligation, mieux un couronnement.
Le compte à rebours a commencé. Et l’on assiste au remue-ménage des pèlerins candidats au Hadj. Depuis quelques jours, l’organisation optimale du voyage des fidèles musulmans à la Mecque hante les esprits. Et si avant la mi-août, en amont, les autorités politico-administratives en relation avec les convoyeurs n’ont déjà pas ménagé leurs efforts afin que le pari du rendez-vous sans polémique au 5ème pilier de l’Islam soit relevé, il n’empêche, qu’au fur et à mesure que les jours s’égrènent, l’inquiétude enfle et recommande de redoubler de vigilance.
Ce n’est plus tellement l’apanage des chrétiens catholiques. De plus en plus, d’autres religions font montre d’un engouement pour la société politique. Plus ou moins indifférents à ce qui s’y passait, des courants religieux ont choisi maintenant de s’inviter d’eux-mêmes dans le débat.
Il se confirme pour l’organisation réussie du Hadj. L’adage, jamais deux sans trois sied bien à l’édition 2017 du convoyage des pèlerins à la Mecque à l’ère du Nouveau départ.
Les choses sont allées vite, très vite. En seulement quatre mois, le gouvernement est passé de la parole à l’acte. La place Idi d’Akpakpa sise au quartier Dégakon fait peau neuve. Désormais, on y retrouve des bâtiments flambant neufs qui serviront de gîte pour les pèlerins au Hadj en provenance de l’intérieur du pays. Prise en Conseil des ministres le 6 février dernier, la décision est entrée dans sa phase active le 26 mars. Trois mois ont suffi à l’entrepreneur, conformément au cahier de charges, pour qu’il sorte les bâtiments de terre. Le résultat est plutôt impressionnant. Deux dortoirs d’une capacité de 320 places occupent une bonne partie de l’espace. D’autres infrastructures dont le bureau d’enregistrement des pèlerins et les toilettes ne sont pas du reste. Quid de la cour dont le pavage sera achevé dans une poignée de jours ? Sur ce coup, il faut reconnaître que le gouvernement a plutôt assuré.
L’Aïd al-Adha ou l’Aïd el-Kebir, est la plus importante des fêtes musulmanes. A travers cette interview, Nouhoun SIDI ALI, Imam de la mosquée d’Ahossougbéta à Abomey-Calavi explique les fondements de cette fête.
Les ministres des enseignements primaire, secondaire et supérieur ont échangé, ce mercredi 21 août, avec une délégation de la Fondation Malèhossou venue s’enquérir des tenants et aboutissants de cette évaluation des enseignants, qui fait polémique.
Faire comprendre aux participants que l'Islam ne se limite pas aux pratiques religieuses et que l'art et la culture y jouent un rôle prépondérant d'épanouissement et d'émancipation, c'est la principale raison qui fonde l'organisation du 13 au 17 août 2005, dans notre capitale économique, du 1er Festival culturel de la jeunesse musulmane de l'Afrique de l'ouest (Fescujem-Ao). Ce festival co-initié par les élèves et étudiants musulmans du Togo et du Bénin a pour thème "Art et culture islamique : instrument de paix et d'intégration".
La fête du sacrifice encore appelée la fête de la Tabaski avance à grand pas. Dès le début du mois de Dhoul-Hijja, plusieurs actes et mérites sont observés par les fidèles. A travers une interview, l’imam Mamam Tondro Abdoul-Madjid de la Mosquée Al-Houda parle des mérites des 10 premiers jours, de nuits du mois de Dhoul-Hijja et des bonnes actions qui y sont pratiquées.
Les musulmans du monde entier célèbrent la fête de l’Aid-El-Fitr encore appelée Tabaski ce mercredi 28 juin 2023. A cette occasion, le ministre béninois du travail et de la fonction publique a déclaré fériée et chômée, payée la journée du mercredi toute l’étendue du territoire.
La communauté musulmane du monde entier a célébré hier la fête de l'Aïd El Fitre communément appelée Ramadan. Au Bénin, des prières ont été dites sur les différentes places Idi, où les fidèles ont rendu grâce au prophète Mohamed.
La bibliothèque Kennedy-King du Centre Culturel Américain (Cca) a servi de cadre hier à la tenue d'un forum dont le thème est «les musulmans aux Etats-Unis d'Amérique ». la conférencière, M. Carrie Dailey, représentante de l'Usaid au Bénin après avoir rappelé les cinq piliers de l'Islam et le rôle combien important que joue le jeûne dans la vie d'un musulman, a présenté schématiquement la vie des musulmans dans son pays, les Etas-Unis d'Amérique.
Les musulmans du monde s’apprêtent à célébrer samedi prochain la fête de l’Aïd El Kebir. Pour en savoir plus sur cette grande fête de l’Islam, le journal Fraternité s’est rapproché de Gangbo Abdou Rahman, islamologue et Imam de la mosquée Centrale du Centre Hospitalier Départemental Oganla de Porto-Novo.
« En » Islam, le voile n’est pas qu’une tenue pour identifier la femme musulmane. Dans cette interview, Habib Quenum, enseignant à l’école coranique, dit que c’est aussi une source de protection contre les hommes pervers et les mauvais esprits.
Un autre Hadj profile à l’horizon. Comme à l’accoutumée, il s’annonce avec son lot de craintes des pèlerins souvent dupés et obligés de constater, au dernier moment, qu’ils n’effectueront pas le voyage pour la Mecque.
Les 3.051 pèlerins béninois, participants de l’édition 2018 du Hadj, ont effectivement pris départ pour les lieux saints de l’Islam. Sans anicroche et sans que le moindre remous n’ait été enregistré. Ils ont rallié l’Arabie Saoudite sur des vols réguliers et des vols charters.
Au lieu de la moitié de l’effectif autorisée comme par le passé, les autorités saoudiennes viennent d’accorder au Bénin, dorénavant le droit de transporter la totalité de ses pèlerins en vue de favoriser leur meilleure prise en charge.
Dans la vie courante, en religion, comme en politique, il n’y a point de hasard. Il y a des chiffres et des signes qui sont très évocateurs. Il faut juste, comme le font les musiciens, savoir lire entre les lignes pour en dénicher les messages cachés. Et c’est ce qu’a fait l’He Ibourahima Ousmane, Député à l’Assemblée nationale et Imam de la Mosquée Centrale de Cotonou pour le Chef de l’Etat, Patrice Talon. Le Président du Collège des Imams des Départements de l’Atlantique et du Littoral voit à travers le chiffre 10, de bons signes au sommet de l’Etat. « Le chiffre dix, une bénédiction dans la vie du Prophète Moïse (pbsl). Ça rappelle les 10 ans de formations à Madyane auprès de son homologue, le Prophète Jethro (pbsl), où il reçut son bâton magique. C’est aussi 10 jours de bonus sur les 30 jours d’audiences que Dieu lui a promis avant qu’il ne quitte son peuple, portant ainsi le nombre de jours à 40. C’est d’ailleurs là qu’il a reçu les 10 commandements », rappelle-t-il.