La célébration de la prière d'Aïd El Kébir communément appelée fête du mouton s'est déroulée le 6 octobre 2011 au Burkina Faso. A Ouagadougou, cette prière a été officiée par El Hadj Aboubacar Sana, imam de la grande mosquée et des deux fêtes. C'était comme à l'accoutumée à la Place de la nation.
La concurrence au niveau des avionneurs pour diminuer le coût du hadj au profit des pèlerins ; c'est ce que réclament six des sept agences de voyages agréées pour l'organisation du hadj 2011. Soutenues par les associations islamiques, ces agences ont organisé une conférence de presse pour informer l'opinion publique du combat qu'elles mènent dans l'allègement du coût du transport aérien des pèlerins jugé élevé par rapport à celui pratiqué dans la sous- région. Il a été question du monopole sur ce volet transport le plus important dans le coût du hadj. C'était le 13 septembre 2011 à l'annexe de l'hôtel Palm Beach à Ouagadougou.
Le Cheikh Mahamoudou Bandé a organisé une cérémonie de lecture du Coran suivie de prières et de bénédictions pour la paix sociale au Burkina Faso. Le Cheikh a indiqué que c'est en lieu et place du Mouloud qui devrait se tenir le 22 avril 2011 à la grande mosquée de Ouagadougou.
Après un mois de jeûne de pénitence, les fidèles musulmans, comme à l'accoutumée, ont pris d'assaut la Place de la nation de Ouagadougou pour rendre grâce à Dieu à travers des prières. El hadj Aboubacar Sana, grand imam de la Communauté musulmane, a évoqué l'importance du jeûne, interpellé les fidèles sur les bonnes manières islamiques à perpétuer et prôné la coexistence pacifique interreligieuse. Cette fête a été assistée par Mgr Philippe Ouédraogo, archevêque de Ouaga et porteur d'un message de paix du Pape Benoît XVI. C'était le 10 septembre 2010.
L'installation solennelle des membres des commissions techniques nationales (CTN) de la Fédération des associations islamiques du Burkina (FAIB) s'est déroulée le 4 juillet 2010. Elle a été présidée par El Hadj Oumarou Kanazoé, président du présidium de la FAIB.
Trente et un élèves en fin de lecture du Saint Coran et 24 en fin de traduction et commentaire du Saint Coran ont organisé une cérémonie de do'a sous l'égide de l'ONG At-tarbiya al islamiya/Song Kiibsé. Placée sous le parrainage de El hadj Adama Kindo, directeur de la société minière SOMIKA, la cérémonie s'est déroulée au sein de l'Institut Aoréma sis au secteur 19 Nonsin de Ouagadougou. C'était le 31 janvier 2010.
La prière d'Ide al ad-hâ ou du sacrifice de mouton en souvenir du sacrifice d'Abraham, père du monothéisme, s'est déroulée à la Place de la Nation de Ouagadougou, le 27 novembre 2009. Placée sous le signe de la paix, de la fraternité et de la solidarité religieuse, cette prière a été officiée par El Hadj Aboubacar Sana, grand imam de Ouagadougou en présence de Monseigneur Philippe Ouédraogo, Archevêque de Ouagadougou.
El Hadj Cheick Soufi Moaze, guide spirituel de la Communauté spirituelle musulmane de soufis du Burkina (CSMS) a été présenté officiellement au public ouagalais par le Cheick Mahamoudou Bandé. C'était le jeudi 12 novembre 2009, à Tanghin, au secteur 23.
Les musulmans du Burkina, a l'instar de ceux d'autres pays du monde entier, ont célébré la fête Aïd al fitr marquant la fin du jeûne du mois de Ramadan. Placée sous le signe de la consolidation de la paix et de la solidarité envers les sinistrés, la prière de cette fête a été présidée à Ouagadougou par Aboubacar Sana, grand imam de la capitale. Celle-ci s'est déroulée le dimanche 20 septembre 2009.
"Le prophète Mouhammad (Saw) et l'avenir de l'islam." C'est le thème du séminaire de formation islamique national (SFINA 2007) organisé par l'Association islamique d'Al Mawadda au Burkina (AIM-B).
Cheick Mahamoudou Bandé, guide spirituel des jeunes et de la ligue des femmes musulmanes du Burkina, a célébré le Mouloud le 22 juin 2007, soit trois mois après la date officielle. Chérif Ousmane Madani Haïdara, guide spirituel de Ançar-dine international, était l'invité d'honneur. Placée sous le thème "Islam et paix", la cérémonie commémorative de ce Mouloud s'est déroulée au stade du 4-Août de Ouagadougou qui a refusé du monde.
Les musulmans du Burkina ont commémoré l'anniversaire de la naissance du prophète Mouhammad (Paix et salut sur lui et sur sa Sainte famille) dans la nuit du 20 au 21 avril 2004. C'est sous le signe de la paix que la Communauté musulmane du Burkina (CM-BF) l'a célébrée à la maison du peuple de Ouagadougou. C'était aussi sous le thème de la solidarité en Islam.
La nuit glorieuse par excellence qu'est la "nuit du destin" pour les musulmans, est la nuit durant laquelle Dieu l'Omniscient arrête le destin de chaque être humain pour une année. Bon nombre de fidèles musulmans ont veillé le mardi nuit dernier à la recherche de "laïlatoul qadr". Le mardi nuit ayant marqué la 27e nuit du mois de Ramadan, la fête d'îde al fitr s'annonce très probablement pour le dimanche 14 novembre 2004.
Après avoir fait dissoudre l'Association des démarcheurs (ADB), son grand partenaire dérangeant, la Commission nationale d'organisation du pélérinage à la Mecque (CNOPM) a organisé les 19 et 20 janvier 2003 les vols départs de 1325 pèlerins non sans difficultés.
L'Aïd al ad-hâ (fête du sacrifice) est une des grandes fêtes de l'Islam que les musulmans du Burkina Faso célébreront demain mercredi 12 février 2003. Amener les musulmans à dépenser leur biens, leur corps et leur vie sur le sentier de Dieu, telle est la philosophie de la célébration de cette fête marquée surtout par une grande prière communautaire suivie de sacrifice de mouton en souvenir de celui du prophète Ibrahim. Un sacrifice rendu obligatoire par l'Islam seulement aux pèlerins (à la Mecque). Quant aux autres, il leur est une simple recommandation pour qui en a les moyens, et non une obligation dont il faut même s'endetter pour l'accomplir comme certains le pensent.
Suite aux différentes activités menées par les partisans de l'Imam Sayouba au sujet de la crise actuelle qui secoue le mouvement sunnite (publication d'écrits et Conférence de presse), qualifiées de Campagnes de désinformation et d'agression par le Bureau National dudit mouvement, ce dernier est monté au créneau dimanche 6 octobre 2002 pour, dit-il, rétablir les faits dans leur véracité. C'était dans la 4e mosquée Sunnite de Ouagadougou sise à Pissy, au secteur 17.
Dans le cadre d'une perspective de résolution définitive de la crise qui secoue le mouvement sunnite depuis 7 ans, la Coordination des mosquées sunnites de Ouagadougou a organisé une Conférence de presse le vendredi 13 septembre 2002 dans l'enceinte de la mosquée de l'Imam Sayouba Ouédraogo sis au secteur 30.
Très bien. C'est la mention de satisfaction du jury qui a délibéré, le 10 septembre 2002 sur la soutenance de mémoire de maîtrise portant sur "le Hadj et son organisation au Burkina de 1960 à 2002", de Mahamoudou Oubda, ex-directeur du Centre africain de diffusion islamique et scientifique (CADIS).
Mercredi 17 juillet dernier, des sunnites (communément appelés Wahabia) se sont affrontés et, au moins trois personnes ont été agressées au marteau, dont un vieillard. C'était dans leur grande mosquée en chantier sise à Zangouetin, au secteur 5 de Ouagadougou.
Les fidèles musulmans de Benogo (à Ouagadougou), étaient en fête le vendredi 28 mars 2008 à l'occasion de l'inauguration de la mosquée de ce quartier, construite voilà 14 années par le Dr Cheik Doukouré.
Le siège du Collectif Djiguya a servi de cadre, mercredi 9 septembre 2009, à une remise de don. Il s'agit de vivres représentant la contribution de la structure à ses membres pour faire face à leurs besoins en cette période de carême.
L'association « Hasene », à l'occasion de la fête de Tabaski célébrée le 26 octobre dernier, a volé au secours des musulmans en leur offrant 85 boeufs.
La Fédération des associations islamiques du Burkina Faso (FAIBF) a reçu en audience, à son siège, l'opposition politique burkinabè conduite par Zéphirin Diabré, son chef de file. Cette audience qui a eu lieu le 29 août dernier, à Ouagadougou, a été une occasion pour l'opposition de discuter de la situation sociopolitique du pays et de bénéficier des conseils de ladite structure.
ONAFAR ! C'est l'Observatoire National des Faits Religieux, une structure mise en place par l'Etat burkinabè, dont l'objectif premier est de contribuer à la cohabitation pacifique entre les confessions religieuses. C'est une structure inédite qui a besoin de montrer toute son importance aux yeux des Burkinabè. Nous avons rencontré son président, Imam Ismaël Tiendrébéogo.