id 8155 Url https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/8155 Modèle de ressource Newspaper article Classe de ressource bibo:Article Titre Pèlerinage à la Mecque : quatre Burkinabè auraient été expulsés Sujet https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/29 Editeur https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item-set/2214 Contributeur https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/858 Date 1997-04-08 Identifiant iwac-article-0003796 Source https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/416 Langue https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/8355 Droits In Copyright - Educational Use Permitted Résumé Quatre pèlerins burkinabè sur les quelque 1.687 qui ont obtenu leurs visas des services saoudiens chargés de l'immigration, auraient été renvoyés à la case-départ, c'est-à-dire Ouagadougou. C'est ce que nous avons appris hier en début de soirée de sources concordantes. Couverture spatiale https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/376 Contenu Quatre pèlerins burkinabè sur les quelque 1.687 qui ont obtenu leurs visas des services saoudiens chargés de l'immigration, auraient été renvoyés à la case-départ, c'est-à-dire Ouagadougou. C'est ce que nous avons appris hier en début de soirée de sources concordantes. Pour quelles raisons? On ne le sait encore trop. En effet, au commissariat de l'aéroport de Ouagadougou où nous avons appelé pour avoir de plus amples informations, on nous a répondu en substance: “Si c'est pour l'affaire des pèlerins-là, ce n'est pas la peine; il faut voir avec le ministère”. Nous voilà donc sonnant au ministère des Affaires étrangères, plus précisément au cabinet du ministre Ablassé Ouédraogo, qui nous fait dire de prendre attache avec madame Mariam Nikièma, la directrice de cabinet. “Nous n'avons pas été saisis d'un tel problème”, nous a-t-elle répondu avant de nous conseiller d'appeler... le commissariat de l'aéroport. Ce qu'elle ne savait pas, madame Nikièma, c'est que c'est là-bas qu'on nous a suggéré de joindre les bureaux d'Ablassé. Que se passe-t-il donc? Car quelque part quelqu'un fait une retention de l'information sans qu'on sache quel besoin ils ont de le faire. Et le comble, ce sont souvent les mêmes qui demain vont reprocher aux journalistes de ne pas venir puiser l'information à la (bonne) source. --