id 70507 Url https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/70507 Modèle de ressource Newspaper article Classe de ressource bibo:Article Titre M. Moustapha Kadi Oumani, président de l’Association « Réagir Dans le Monde » (RDM) Tanafili : « La triste réalité est que la société nigérienne considère le phénomène de l’esclavage comme une question ancrée dans nos mœurs en cherchant à nier l’évidence » Créateur https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/69196 Oumarou Moussa Editeur https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item-set/62021 Le Sahel Contributeur https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/858 Frédérick Madore Date 2022-06-24 Type https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/67396 Article de presse Identifiant iwac-article-0009306 Source https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/67741 Wayback Machine Langue https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/8355 Français Droits In Copyright Couverture spatiale https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/354 Libye https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/539 Mauritanie https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/540 Niger https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/63433 Tabou https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/63439 Zinder Description courte M. Moustapha Kadi Oumani, président de l'association RDM Tanafili, explique la persistance de l'esclavage en Afrique, notamment au Niger, malgré son abolition et sa criminalisation. Cette pratique illégale perdure sous des formes "passive" (travail pour les nobles, discrimination) et "active" (vie chez le maître, abus, absence de droits civiques). Sa persistance s'explique par le silence, les mentalités ancrées, la stratification sociale traditionnelle et le manque de condamnations, malgré un cadre législatif robuste. L'association RDM Tanafili lutte contre ce fléau par la sensibilisation, l'aide économique aux victimes et le soutien à leur libération, visant un changement des mentalités. Has URL https://web.archive.org/web/20250222021921/https://www.lesahel.org/m-moustapha-kadi-oumani-president-de-lassociation-reagir-dans-le-monde-rdm-tanafili-la-triste-realite-est-que-la-societe-nigerienne-considere-le-phenomene-de-l/ --