id 3282 Url https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/3282 Modèle de ressource Newspaper article Classe de ressource bibo:Article Titre "Nas air", nouvel avionneur Créateur https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/921 Sujet https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/665 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/890 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/1099 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/703 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/29 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/125 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/124 Editeur https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item-set/2201 Contributeur https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/858 Date 2013-09-10 Identifiant iwac-article-0001052 Langue https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/8355 Droits In Copyright - Educational Use Permitted Résumé L'Etat burkinabè, par le biais du comité de suivi du pèlerinage à La Mecque, a signé, dans la soirée du mardi 10 septembre 2013 à Ouagadougou, un contrat aérien de transport de ses pèlerins à La Mecque, avec la compagnie « Nas air Charter aviation ». Couverture spatiale https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/376 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/277 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/442 Contenu L'Etat burkinabè, par le biais du comité de suivi du pèlerinage à La Mecque, a signé, dans la soirée du mardi 10 septembre 2013 à Ouagadougou, un contrat aérien de transport de ses pèlerins à La Mecque, avec la compagnie « Nas air Charter aviation ». C'est la compagnie « Nas air Charter aviation » qui a désormais la charge de convoyer les 4 400 pèlerins burkinabè en terre sainte de l'islam. Cette décision fait suite à la défaillance des compagnies de transport Ethiopian et Colombe airlaines à fournir des slots (programme de vol agrée par l'autorité saoudienne d'aviation civile) aux autorités burkinabè en charge du hadj. La signature de convention a eu lieu, le mardi 10 septembre 2013 à Ouagadougou. A entendre, le président du comité de suivi du pèlerinage à La Mecque, Mahamadi Ouédraogo, le choix de « Nas air Charter aviation » n'est pas fortuit. « Conformément à l'article 9 du cahier des charges, il est dit que 50 jours avant la tabaski, les compagnies agréees pour le transport des pèlerins doivent présenter le programme de vol. A la date butoir du 25 août 2013, cela n'avait toujours pas été fait », a-t-il expliqué. Aussi a-t-il confié : « nous avons aussi reçu des correspondances qui nous ont fait savoir que ces deux compagnies n'ont pas obtenu d'autorisation pour transporter les pèlerins burkinabè à La Mecque ». Toute chose qui, selon lui, à motiver la résiliation du contrat avec ces deux compagnies aériennes. L'avionneur rassure Outre son expérience dans le transport des pèlerins, M. Ouédraogo a indiqué que le nouvel avionneur dispose des capacités opérationnelles pour permettre aux pèlerins d'accomplir le cinquième pilier de l'islam. « L'année dernière, la compagnie air Burkina a fait recours à elle pour avoir les moyens logistiques nécessaires pour bien assurer sa mission », a-t-il affirmé. A en croire le représentant de « Nas air Charter aviation », Zulkeefli Ibn Mohammad Idris, pour conduire les pèlerins à bon port, un boeing 747 de 500 places sera mis à la disposition des pèlerins du « pays des Hommes intègres ». « Toutes les dispositions ont été prises pour conduire les hôtes de Dieu en Terre sainte. Outre l'avion de 500 places, d'autres avions sont en attente pour pallier toute éventualité », a rassuré Ibn Mohammad Idris. Pour le consul général du Burkina à Djeedah, Adama Compaoré, la question du hadj est une préoccupation du gouvernement burkinabè. C'est la raison pour laquelle, en Arabie Saoudite, il a œuvré pour obtenir l'appui de la compagnie « Nas air Charter aviation ». Deuxième compagnie de transport aérien après la Saoudian arabian airlaines, a soutenu M. Compaoré, elle a une bonne expérience dans le transport des pèlerins. « Des pays comme la Malaisie et l'Indonésie qui ont des centaines de milliers de pèlerins ont fait confiance à cette compagnie. Ils ont une bonne organisation du hadj. Et cela est reconnu. Nous devons aussi leur faire confiance », a insisté le consul général du Burkina Faso à Djeddah. --