id 3194 Url https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/3194 Modèle de ressource Newspaper article Classe de ressource bibo:Article Titre Une mosquée de vendredi à Darsalami : un geste de Kanazoé aux fidèles Créateur https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/1184 Sujet https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/54 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/898 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/113 Editeur https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item-set/2201 Contributeur https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/858 Date 2010-03-09 Identifiant iwac-article-0000964 Langue https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/8355 Droits In Copyright - Educational Use Permitted Résumé Vendredi 26 février 2010, El hadj Oumarou Kanazoé a offert aux fidèles musulmans de Darsalami, une nouvelle mosquée. D'un coût de 18,400 millions de F CFA, elle a été entièrement construite par le donateur, opérateur économique de son état et Président national de la Communauté musulmane du Burkina Faso. Couverture spatiale https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/375 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/376 https://islam.zmo.de/s/afrique_ouest/item/319 Contenu Vendredi 26 février 2010, El hadj Oumarou Kanazoé a offert aux fidèles musulmans de Darsalami, une nouvelle mosquée. D'un coût de 18,400 millions de F CFA, elle a été entièrement construite par le donateur, opérateur économique de son état et Président national de la Communauté musulmane du Burkina Faso. Les fidèles musulmans de Darsalami dans la province du Houet, ont désormais un cadre de communion religieuse : une mosquée de vendredi. L'infrastructure, d'un coût de 18,400 millions de F CFA leur a été offerte le 26 février 2010 par son donateur, El hadj Oumarou Kanazoé. La réception de l'ouvrage par les bénéficiaires a donné lieu à une cérémonie d'inauguration, en présence des autorités politiques, administratives, coutumières et religieuses de la région et bien sûr du donateur. Pour mémoire, El hadj Oumarou Kanazoé, a construit à ce jour au profit des fidèles musulmans des villes et villages du Burkina Faso plus de 300 mosquées. Pour près d'une dizaine de milliards de F CFA. La mosquée est pour les fidèles musulmans, un lieu de culte, d'adoration de Dieu (Allah). Maison de Dieu, elle est une école où on assure les enseignements coraniques, les prières, les recueillements, la lecture du Coran, des prêches, des formations islamiques, des cérémonies de mariage, de doua, de fraternisation, de rencontres, de réconciliation, de soumission totale à Allah. La construction de mosquées est recommandée à ceux ou celles-là qui en ont les moyens. Le bénéfice qu'ils en tireront est considérable. Pour preuve, “à celui qui construit une mosquée sur terre...Dieu lui construira un palais au paradis”. Est-ce dans cette espérance que El hadj Oumarou Kanazoé, le milliardaire burkinabè, construit des mosquées sur fonds propres ? C'est pour “rapprocher le plus possible les mosquées des fidèles”, répond-t-il sagement. Une chose est certaine, Kanazoé ne compte pas s'arrêter en si bon chemin : “Des demandes émanant de fidèles sollicitant la construction de mosquées continuent de me parvenir. Trois ou cinq par jour. Je les fais enregistrer par le maçon et je prie Dieu qu'il me donne la santé et la force nécessaires pour les réaliser. C'est Dieu le maître d'œuvre. C'est lui qui sait jusqu'où je vais m'arrêter...”. A Ouaga 2000, Kanazoé a commencé la construction de la plus grande mosquée de la sous-région. Pour près de 10 milliards de F CFA. Ce sera un sanctuaire à plusieurs niveaux et avec toutes les commodités requises. Mais ce n'est pas seulement au Burkina où Kanazoé s'investit dans la construction de ces maisons de Dieu. Il en a construit au Ghana, au Bénin et au Mali et bientôt en Guinée. En dehors des mosquées, Kanazoé participe à la construction d'autres maisons de Dieu tels les églises, les temples et les paroisses. Avec toujours cette philosophie : « Ce n'est pas à nous de juger de la pertinence ou non de telle ou telle religion. Offrons aux fidèles, les infrastructures leur permettant d'exercer leur foi. Et laissons le jugement à Dieu ». Sita TARBAGDO --