Une folle rumeur a mis sens dessous-dessus des écoles de la région du Centre-Nord, ce 9 mars 2017. Des terroristes se seraient présentés dans une école à Nongfayéré, à une dizaine de kilomètres de Kaya, semant la panique à des kilomètres à la ronde. Mais ce n'était qu'une malencontreuse méprise.
Agou-Gadzépé, 18 avr. (ATOP)- Le préfet d’Agou, Ali Mouzou a remis, le mardi 18 avril à Agou-Gadzépé, des vivres offerts par le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé, à la communauté musulmane de la préfecture d’Agou.
Pour permettre à la communauté musulmane de mieux supporter le carême, le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé, a offert des vivres aux musulmans de la préfecture du Golfe. La cérémonie de remise a eu lieu vendredi et a été présidée par le préfet du Golfe, M. Koffi Essozolim Mélébou au nom du chef de l’Etat.
Le siège du Collectif Djiguya a servi de cadre, mercredi 9 septembre 2009, à une remise de don. Il s'agit de vivres représentant la contribution de la structure à ses membres pour faire face à leurs besoins en cette période de carême.
A l'instar de ceux des autres localités du Burkina, les fidèles musulmans de Koudougou ont célébré la fête de ramadan le dimanche 20 septembre dernier. La grande prière marquant la fin du carême a été célébrée au stade Batiébo Balibié de ladite ville. Elle a été dirigée par l'Imam Mohamadi Siemdé.
Quelques jours après les explications du président sortant de la Communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF), el hadj Abdoul Rasmané Sana (Cf. L’Observateur paalga n° 10 127 du vendredi 26 juin 2020), c’est el hadj Oumarou Kouanda, qui a été proclamé président intérimaire au congrès extraordinaire de Bobo, qui nous livre à son tour sa version des faits. Dans cette interview qu’il nous a accordée, le 1er juillet 2020 à Ouagadougou, il est revenu sur les dissensions qui secouent l’instance dirigeante et leur point de désaccord avec le président sortant, avant de proposer une période transitoire de deux ans pour remettre de l’ordre au sein de la Ummah.
Le mercredi 25 janvier 2017, des enseignants en service dans la province du Soum, région du Sahel, ont été sommés par « deux hommes armés, sur une moto » de quitter leur poste. La seule condition pour ces éducateurs d’y rester, selon ces hommes armés, c’est de ‘’ enseigner l’islam ’’.
Suite aux affrontements meurtriers survenus à Sèmèrè dans le cadre de la désignation de l’Imam de la mosquée centrale de la localité, l’Union islamique du Bénin (Uib) est montée au créneau hier, mercredi 26 octobre 2016,pour donner sa version des faits et faire des propositions de sortie de crise.
L’Islam semble se décrédibiliser ces derniers jours pour ne pas dire depuis quelques années au Bénin. Pourtant reconnue comme celle qui prône le plus, la solidarité et l’union des fidèles, la religion musulmane devient malheureusement une pomme de discorde sociale dans plusieurs localités du pays.
La situation d'antagonisme et de climat d'émeute sociale dans le cadre de la désignation de l’Imam de la mosquée centrale de Sèmèrè date de plusieurs mois. Saisie par des plaintes de diverses sortes et correspondance écrite, la médiation de l'Union Islamique du Benin (UIB) n’a pu réconcilier Moubarack et Haroun qui sont les deux prétendants à I'Imam et qui pourtant proviennent de la même lignée familiale Watawata.
J'ai lu avec intérêt votre lettre du 21 Mai I998 parue dans «La Nation» No 1991 du 27 mai 1998 par laquelle vous exprimez votre opinion relativement à la désignation de l'Imam de la Mosquée Centrale de Jonquet (Cotonou).
Un bras de fer oppose depuis quelques jours les populations de Natitingou en ce qui concerne le processus de désignation de l'imam de la mosquée centrale de la ville. Avec l'arrêté préfectoral appelant à la suspension de toute activité en relation avec la désignation et l'installation d'imam, deux prétendus imans attisent les tensions au sein de la communauté islamique de la cité des Nanto.
Faizou Adegbola lève le doute sur la participation d’un Iman à une élection.Suite au positionnement de l’Imam de la mosquée centrale Cotonou-Jonquet, El Hadj Ibourahima Soumanou comme tête de liste du parti Républicain dans la 16ème circonscription é
Le consensus obtenu entre l'opposition et le pouvoir pour la mise en place du bureau de la Cei a volé en éclats, vendredi dernier. En lieu et place d'un bureau consensuel comme convenu par les différents acteurs du processus, les partisans du pouvoir, sur la dictée de leurs parrains, ont pondu en toute illégitimité une Cei très partisane, voire sectaire. Le comble dans l’affaire, c'est que la présidence de l'institution a été de nouveau confiée au tristement célèbre Youssouf Bakayoko, l'homme par qui la Côte d’Ivoire a connu sa toute première guerre postélectorale.
Cinq jours après la reconduction de Youssouf Bakayoko à la présidence de la Commission électorale indépendante (Cei), les langues se délient sur deux jours de débat à huit clos au cours desquels les commissaires centraux de la Cei ont étalé les contradictions au sein de la société ivoirienne.
La bonne gestion de la communauté musulmane dans son ensemble préoccupe le ministre de l'Intérieur. Il l'a réitéré hier à l'occasion de l'intronisation de l'imam central d'Issia. «L'imam Boikary Fofana nous apporte son expertise dans la gestion et l'organisation du Hadj, mais pour Issia et pour toute la Côte d'ivoire, nous comptons sur sa neutralité et sa droiture dans la gestion de la communauté musulmane tout entière», a indiqué Désiré Tagro à l'endroit du Président du Conseil supérieur des imams (COSIM).
La destruction, sur décision d’huissier, d’une mosquée au quartier Panzani suscite toujours l’émoi au sein d’une grande frange de la communauté. La Coordination des jeunes musulmans du Burkina (CJMB) a, au cours d’une conférence de presse organisée le 17 septembre au pied des décombres, exigé de l’auxiliaire de justice et de son client la reconstruction du lieu de culte avant le 7 octobre. Dans le cas contraire, elle prendra ses « responsabilités ».
Le conseil des ministres, en sa séance de ce mercredi 7 octobre 2020, a désapprouvé la destruction de la mosquée de Pazani à la périphérie nord de Ouagadougou, au secteur 37 de l’arrondissement 9.
La Fédération des Associations Islamiques du Burkina (FAIB) a appelé ce mercredi 7 octobre 2020, les musulmans au calme et à la retenue, suite à la crise née de la démolition de la mosquée de Pazanni.
La Communauté des élèves et étudiants musulmans de Côte d'Ivoire (CEEMUCI). Elle projette d'observer un sit-in devant la direction générale du trésor, au Plateau, en signe de protestation contre la destruction de son siège en construction sur la route de Bingerville, par le Syndicat national du trésor (SYNATRESOR) qu'elle pointe du doigt. L'alerte a été donnée, vendredi dernier, par un comité de crise mis en place à cet effet pour oeuvrer à tirer l'affaire au clair.
Outre le fait que des risques de la survenue de la radicalisation voire l’extrémisme violent au Bénin sont bien évidents notamment dans les espaces frontaliers, des pistes d’actions méritent d’être explorées pour prévenir le pire. Selon une étude qualitative exploratoire sur les risques et facteurs potentiels de radicalisation et d’extrémisme violent au Bénin, réalisée par Aziz Mossi dans le cadre du Programme de l’Union européenne de Prévention de l’Extrémisme Violent en Afrique de l’Ouest et dans le Bassin du Lac Tchad (PPREV-UE II), il a proposé des pistes d’actions concernant les déterminants d’ordre religieuX…
La communauté musulmane en général et les détenus de la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca) en particulier sont en deuil. Selon des sources proches de la Radio Al Bayane où il animait une émission religieuse très suivie, l’imam Ibrahim Brédji, imam de la Maca est décédé dans la nuit de mercredi à hier à la Pisam des suites d’une courte maladie.