Le samedi 25 septembre dernier, le Cadre de concertation des confessions religieuses (CCCR) a procédé à l'élection des membres de son conseil d'administration et du bureau à Porto-Novo. C'est l'Imam Mohamed Assifatou qui a été porté à la tête de cette organisation. Visiblement son élection n'est pas acceptée par tous. En effet, le président national des Cultes endogènes Dah Gbèdiga Adoko et ses hommes ont manifesté leur désaccord arguant que les textes dudit cadre avaient été violés. Dans un entretien accordé à Reporter Benin Monde, le président national des Cultes endogènes, a clairement fait savoir qu'il revenait à l'organisation qu'il dirige de prendre les rênes du Cadre de concertation des confessions religieuses.
Des démissions sont enregistrées la semaine dernière au sein du Conseil des imams de Parakou minée par une crise de leadership. Les dissidents entendent créer dans un délai proche le Conseil suprême des affaires islamiques qui se veut plus représentatif avec non seulement des imams mais aussi des savants et prédicateurs de l’islam dans la ville. Ce creuset aura pour objectif de « procurer la quiétude à tout le peuple béninois et à celui de Parakou en particulier et ceci, dans le respect des règles établies par le Coran et la Sunan du prophète, loin de tout extrémisme et en respect des lois et de la Constitution républicaines », a annoncé Moussa Aboubakari, porte-parole des démissionnaires, jeudi dernier face à la presse.
Le maire de la commune de Ouahigouya a été auditionné par la commission de vérification du ministère de l'Administration territoriale et de la Décentralisation (MATD), le vendredi 22 octobre dernier à Ouaga.
Président fondateur de l’Association des fidèles musulmans, amis de Patrice Talon (Afimata), El Hadj Yacoubou Malèhosou critique le rôle qu’a joué l’Imam Dicko dans la démission du président Ibrahim Boubacar Kéïta au Mali. C’est dans une interview accordée à Crystal news.
" Mettre fin à la " gestion hasardeuse (…) Eviter à la ville de Porto-Novo de nouveaux éléphants blancs (… ) Défendre des valeurs qu’on a incarné depuis 20 ans(…) Eviter les mêmes erreurs que celles qu’on reproche au régime en place (…)", c’est le combat que mène Me Adrien Houngbédji. Ccette approche est très mal perçu par le Maire de la ville de Porto-Novo qui est à couteau tiré avec l’ensemble de ses conseillés. Cette situation de crise qui fragilise le PRD à l’hotel de ville de Porto-Novo est pour Karim da SILVA, le "sage" FCBE l’occasion rêver pour porter l’estocade à Adrien HOUNGBEDJI, Pt du PRD.
Les contestataires du nouveau bureau exécutif de la Communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF) élu en juin 2015 à Fada N'gourma, ont organisé une conférence de presse le 2 août 2015 à Ouagadougou pour, disent-ils, dénoncer non seulement l'irrégularité dans laquelle s'est tenue le Congrès, mais aussi lancer un appel sur l'urgence de rétablir l'ordre statutaire au sein de la pionnière des organisations islamiques au Burkina.
Dans notre édition du lundi 1er août 2016, nous rendions compte de la conférence de presse que des fidèles musulmans ont animée à propos de la crise au sein de la communauté musulmane. Dès le lendemain, nous avons reçu le droit de réponse que voici, du Conseil national de la communauté musulmane du Burkina Faso, qui estime qu'il n'en est rien. Selon lui, "le linge sale doit se laver en famille", comme le dit l'adage. Lisez plutôt !
Les membres du groupe des membres du comité exécutif et du bureau national ayant demandé le report du congrès de la Communauté musulmane du Burkina Faso ont animé une conférence de presse le 30 juillet 2016 à Ouagadougou, pour interpeller les autorités par rapport à la crise qui prévaut actuellement au sein de la communauté musulmane burkinabè.
Le président sortant de la Communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF), Rasmané Sana, a animé un point de presse, le samedi 25 juillet 2020, à Ouagadougou. Il a dénoncé le refus de dialogue de ses coreligionnaires pour une sortie de crise.
La coordination des jeunes musulmans du Burkina Faso (CJMB) a organisé le mardi 14 juillet 2020 à la salle de conférence du conseil burkinabè des chargeurs (CBC) une conférence de presse. L’ordre du jour de cette rencontre avec les Hommes de médias a porté sur la médiation que ladite coordination a entreprit pour la résolution de la crise au sein de la communauté musulmane.
La guerre de succession au sein de la communauté musulmane vient de franchir une nouvelle étape avec ce qui est arrivé le week-end dernier à Ouagadougou.
La crise qui sévit au sein de la communauté musulmane de Banfora connaît de nouveaux développements. Cette fois, c'est le chef de canton de Banfora, sa Majesté Yoyé Héma, qui est dans le viseur. Se sentant donc accusé de xénophobie dans le choix de l'imam central de Banfora, le chef de canton nous a invités à son palais le 11 juin 2017, pour apporter un démenti qu'il veut formel. Selon Yoyé Héma qui, à l'occasion, était entouré de ses notables et proches collaborateurs, Banfora, la cité du Paysan noir, a toujours été une terre d'hospitalité. Nous vous proposons in extenso la réaction de sa Majesté.
La crise qui sévissait au sein de la communauté musulmane de Banfora depuis quelques mois connaît une fin heureuse, depuis ce 11 janvier 2018. En effet, un accord trouvé entre les deux parties protagonistes, sous l'égide du président du Conseil régional (PCR) des Cascades, N'Gollo Drissa Ouattara, a permis l'installation ce jour même de Ibrahim Sagnon comme président des imams de la Comoé. Le même accord maintient Amadou Sanogo, qui assurait l'intérim du grand imam, au poste d'imam de la mosquée du secteur 2.
Suite aux différentes activités menées par les partisans de l'Imam Sayouba au sujet de la crise actuelle qui secoue le mouvement sunnite (publication d'écrits et Conférence de presse), qualifiées de Campagnes de désinformation et d'agression par le Bureau National dudit mouvement, ce dernier est monté au créneau dimanche 6 octobre 2002 pour, dit-il, rétablir les faits dans leur véracité. C'était dans la 4e mosquée Sunnite de Ouagadougou sise à Pissy, au secteur 17.
On avait cru à la fin de la crise ébranlant la communauté musulmane de Natitingou avec l’intronisation le 10 juillet dernier de El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, par l’Union islamique du Bénin. Mais c’est sans compter avec le refus de son adversaire Alaza Ibrahim d’abdiquer. Vendredi 22 juillet dernier, la Cité des Nanto a frôlé les échauffourées avec la tentative des partisans de ce dernier de tenir la traditionnelle séance de prières dans l’ancienne mosquée centrale de la ville.
De nouveaux rebondissements dans la crise qui agite la communauté musulmane dans le processus de désignation de l’imam de la mosquée centrale de la ville. En dépit de l’arrêté préfectoral appelant à la suspension de toute activité en relation avec la désignation et l’installation d’imam, les populations sont allées enlever de force les portes des ancienne et nouvelle mosquées restées fermées jusque-là, samedi 2 juillet dernier pour les traditionnelles séances de prières.
On avait cru à la fin de la crise ébranlant la communauté musulmane de Natitingou avec l’intronisation le 10 juillet dernier de El hadj Nourou Dine Mohamed Sanni, par l’Union islamique du Bénin. Mais c’est sans compter avec le refus de son adversaire Alaza Ibrahim d’abdiquer. Vendredi 22 juillet dernier, la Cité des Nanto a frôlé les échauffourées avec la tentative des partisans de ce dernier de tenir la traditionnelle séance de prières dans l’ancienne mosquée centrale de la ville.
Les deux camps qui se disputent la présidence de l’association Communauté musulmane du Burkina Faso (CMBF) ont été reçus, le 11 septembre 2020, par le Médiateur du Faso, Saran Séré/Sérémé. Après cette rencontre, la crise semble être un vieux souvenir. C’est ce qu’ont laissé entrevoir les parties au sortir de l’entretien.
Jusque-là, imam intérimaire depuis le décès de Bâ Ouattara, El Hadj Amadou Sanogo a été officiellement fait imam de la grande mosquée de Banfora, le 27 janvier 2018. La cérémonie d'installation s'est déroulée en présence de plusieurs fidèles venus être témoins d'un événement que d'aucuns voulaient voir avorté.
Le bureau national du Mouvement sunnite du Burkina a donné une conférence de presse le 6 octobre 2002 à sa mosquée du vendredi sise secteur 17 de Ouagadougou.Cette rencontre avec les journalistes avait pour objectif, selon ses organisateurs, d'établir la vérité des faits par rapport à la crise que vit depuis longtemps le Mouvement sunnite de notre pays.
Le vendredi 13 juin 1986 marquera d'une pierre blanche la vie de la communauté musulmane de notre pays. Ce jour là en effet, le président du CNR. président du Faso, le capitaine Thomas Sankara recevait une forte délégation de la communauté, toutes tendances confondues. Il était aux environs de 11h20.
La guerre de succession a commencé au sein de la communauté musulmane de Porto-Novo à propos de la succession de l’Imam central de la ville en la personne du fe
Le malheureux incident intervenu au sein du Mouvement sunite du Burkina Faso autour de l'ouverture d'une nouvelle mosquée et qui a divisé la confession sunite en deux a connu son épilogue mardi dernier en fin de soirée. Le fait que le ministère des Affaires étrangères ait abrité la cérémonie de cette réconciliation pourrait prêter à confusion. Mais fait-on remarquer, c'est dans ce ministère que siège le Comité national d'organisation du pélerinage à La Mecque.
L'opinion burkinabè, ouagavilloise en particulier sait que rien ne va plus chez les musulmans sunnites du Burkina ; et ce, depuis plusieurs mois. Une crise qui avait même tourné à l'affrontement entre fidèles à la grande mosquée sunnite et siège de cette communauté au secteur 5 de Ouagadougou, entraînant l'intervention sur les lieux des forces de l'ordre et la mise sous scellé des bureaux du mouvement. Depuis lors, la crise sunnite demeure, de même que, la tension persiste à la grande mosquée “Wahabite". L'unité du mouvement en a pris un sérieux coup, et la déchirure est réelle.