La crise qui, depuis le 19 septembre, secoue la Côte d'Ivoire, suscite dans notre pays, de nombreuses réactions. Nous vous proposons ici les déclarations des centrales syndicales et syndicats autonomes du Burkina, ainsi que de la communauté islamique du Burkina.Ces deux textes dénoncent les violences et appellent les différents protagonistes de la crise à l'apaisement.
Le parti de l’ex-Premier ministre Pascal Affi N’Guessan se prépare à prendre une position ferme dans les jours à venir. Le Front populaire ivoirien (FPI) n’en finit plus de se demander à quoi jouent le Premier ministre Guillaume Soro et ses ex-rebelles, avec le soutien ouvert et gênant des responsables du Conseil supérieur des imams (COSIM). Pour l’instant, à la direction du parti fondé par le président Laurent Gbagbo, l’idée d’une “réaction appropriée” aux deux conclaves, l’un du COSIM (29 et 30 janvier, à Abidjan) et l’autre des Forces nouvelles (31 janvier, à Bouaké), continue d’être mûrie. Mais l’indignation est de mise, tant la collusion entre l’organisation religieuse et l’ex-mouvement rebelle pour secourir des fraudeurs et autres tricheurs dans le processus électoral en cours viole la pudeur morale et religieuse.
La crise née du projet hasardeux de la modification de l’article 37 qui a conduit à l’insurrection populaire des 30 et 31 Octobre 2014 et qui se poursuit dans la période de la transition aurait mis à rude épreuve les leaders politiques. Certains qui ont été commis à la défense des intérêts de leurs partis politiques ont brillé tristement par des déclarations qui contrastent avec leur rêve d’être des rassembleurs du peuple et des gestionnaires de la citée.
Le Cadre de concertation des confessions religieuses se désengage des propos tenus par son secrétaire général, Michel Alokpo, au sujet du mémorandum de l’ancien ministre Armand Zinzindohoué incriminé dans l’affaire ICC-Services. Au cours d'un point de presse, donné hier lundi 20 septembre à l'église Bethel à Cotonou, en présence de l’intéressé, des membres du bureau du Cadre ont tenu à apporter la clarification que les déclarations du pasteur Michel Alokpo n’engagent que lui et le Cadre de concertation des cadres chrétiens dont il est également le secrétaire général.
En reconnaissance des précieux services rendus au Bénin, à son poste à Cotonou depuis plus de quatre ans, SEM Mustafa Maatug, ambassadeur libyen en fin de mission, a été élevé par Salomon Biokou, Grand chancelier de l’Ordre national du Bénin au grade de commandeur de l'Ordre national du Bénin. C’était hier à Cotonou, jeudi 30 novembre 2006, au ministère des Affaires étrangères en présence de Albert Agossou, ministre Délégué chargé de l’intégration africaine et des Béninois de l’Extérieur (MDCIABE/MAE).
M. Karim Urbain Elisio da Silva Consul honoraire du Brésil au Bénin, a été élevé à la dignité de Grand-Croix de l’Ordre national du Bénin, la plus haute distinction de l’Ordre. La cérémonie de décoration a eu lieu vendredi dernier au domicile du récipiendaire à Porto-Novo, en présence de plusieurs personnalités, amis et parents.
Du 20 au 26 août 1995 s'est tenu dans la province du Mouhoun, un séminaire national de formation des jeunes musulmans, organisé par l'Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina Faso (AEEMB).
Bâtie en 1950 et située au secteur n°1 de Dédougou, la mosquée, communément appelée « mosquée des Mossis » vient d'être reconstruite en matériaux définitifs. Son inauguration est intervenue le 1er juillet 2011 en présence du député Korotimi Koté, grâce à qui le financement du joyau a été obtenu
L'armée burkinabè célèbre son 56ème anniversaire ce 1er novembre 2016 sous le sceau des défis sécuritaires à relever. L'attaque de la position frontalière d'Intagom dans le Sahel passée sous contrôle militaire après celle du poste de police par les terroristes a placé plus que jamais l'armée au cœur des défis sécuritaires et de développement depuis les premières attaques essuyées en début d'année. D'où le thème « Défis sécuritaires et développement socio-économique : contribution des forces armées nationales ».
L'armée burkinabè célèbre son 56ème anniversaire ce 1er novembre 2016 sous le sceau des défis sécuritaires à relever. L'attaque de la position frontalière d'Intagom dans le Sahel passée sous contrôle militaire après celle du poste de police par les terroristes a placé plus que jamais l'armée au cœur des défis sécuritaires et de développement depuis les premières attaques essuyées en début d'année. D'où le thème « Défis sécuritaires et développement socio-économique : contribution des forces armées nationales ».
Les 8 associations membres de la Commission de pèlerinage à la Mecque se sont retrouvées hier, à la grande mosquée de Ouagadougou pour faire le point sur le Hadj 98. Plus de 5 mois après, l'organisation de ce 5e pilier de l'lslam continue de faire des vagues. Si, sur le plan religieux et spirituel, le pèlerinage s'est déroulé dans la quiétude -quoiqu'on déplore 5 décès - la gestion financière, elle, reste sujette à caution. Elle est même caractérisée de “catastrophique" par les associations islamiques. Dans “Le Pays” no 1737 du 1er octobre 1998, nous faisions d'ailleurs la genèse complète de cette affaire qui a créé une véritable crise au sein de la Commission nationale d'organisation du pèlerinage. Au centre de la polémique, M. Saïdou Ouédraogo, secrétaire permanent de la CNOPM, à l'époque des faits. Il est accusé d'être à l'origine de la catastrophe financière qui se traduit par un déficit d'environ 225 millions de F CFA, pour avoir géré de façon solitaire les fonds du CNOPM. Le rapport produit par le Secrétaire permanent a du reste été rejeté par les associations islamiques au cours d'une assemblée générale, le 29 septembre dernier, qui a pris l'allure d'un vrai procès. M. Saïdou Ouédraogo fut, ce jour-là, destitué de ses fonctions, en attendant que l'audit financier réclamé par la CNOPM situe précisément sa responsabilité dans la gestion catastrophique des fonds.
Le médiateur de la République, Joseph Gnonlonfoun, a invité, pour ce mardi 27 mars à 10 h, plusieurs personnalités sociopolitiques et religieuses pour une séance de concertation. Des sources proches de l’institution soufflent que les échanges porteront sur la recherche des voies et moyens pour une sortie rapide et durable de la crise sociale qui secoue l’Administration publique marquée par des grèves perlées dans plusieurs secteurs depuis deux mois environ.
Les responsables des centrales et confédérations syndicales ont eu une rencontre mardi soir, à Cotonou, avec les leaders religieux, sur invitation de ces derniers. Initiée par le Clergé Catholique avec la Communauté Islamique, les églises évangéliques, les religions endogènes et autres, cette séance a permis d’écouter les revendications des partenaires sociaux et leurs exigences pour …
Dégel de la fronde sociale : grande prière de la Fondation Malèhossou pour la paix au Bénin Merci à Allah ! Les fidèles musulmans de la fondation Malèhossou ont exprimé leur reconnaissance à Dieu tout puissant pour le dégel observé, depuis peu, au plan social.
On croyait finies les tracasseries dont est victime la communauté musulmane lors de la période du déguerpissement. Mais ce n’est vraisemblablement pas le cas.
Les quatre agences de voyage retenues pour l'organisation du hadj 2010, ont rencontré les associations islamiques, le samedi 18 septembre 2010, à la grande mosquée de Ouagadougou pour relever leurs inquiétudes, du fait que la cinquième agence soit également l'avionneur des pèlerins.
Une délégation des fidèles musulmans était chez le préfet Toboula ce vendredi 13 juillet 2018. Au menu des échanges entre les deux parties : la délocalisation de la mosquée construite sur la plage.
De Cotonou, le marché de bétail a été transféré à Sèmè-Podji avant d’être délocalisé à Djèrègbé-Owodé et ensuite à Zè depuis précisement 2019. Si la vision du gouvernement est de doter cette commune de nouvelles infrastructures, créer des emplois et surtout générer de revenus pour la collectivité locale, la décision des autorités béninoises est loin de faire l’unanimité.
A l’invitation du Roi Khaled Ben Abdelaziz d’Arabie Saoudite, le président-fondateur du Rassemblement du Peuple Togolais, président de la République, le général d’armée Gnassingbé Eyadéma se rendra en visite officielle demain dimanche à Ryad, en Arabie Saoudite.
C’est demain que la communauté musulmane célèbre l’Aid el Fitr. L’événement a donné l’occasion au colonel Seyni Kountché, chef de l’Etat nigérien d’envoyer au président Eyadéma le message ci-après.
Samedi 12 février en principe, les musulmans débuteront le jeûne du mois de Ramadan. Une pratique annuelle obligatoire de l'Islam. Le Pays jette un regard sur ce pilier essentiel de l'Islam à quelques heures de son début.
L’Aïd-el-Kébir, ou Tabaski encore appelée fête des sacrifices, est la quatrième fête musulmane après successivement la Muharram, l’anniversaire du prophète et le Ramadan (ou l’Aïd-el-Fitr). Dans 24 heures, la Communauté musulmane du Bénin et du monde vont sacrifier à la tradition. Cette fête est la plus grande après le jeûne du Ramadan.
24 heures après l'intervention de l'Unité Spéciale d'intervention de la Gendarmerie nationale (USIGN) contre les présumés terroristes au quartier Rayongo, dans l'arrondissement 11 de Ouagadougou, le procureur du Faso, Maïza Sérémé, a livré les premiers éléments de l'enquête. C'était à l'occasion d'une conférence de presse tenue le mercredi 23 mai 2018 au Tribunal de grande instance de Ouagadougou.
Depuis les attentats du 02 mars 2018 contre l'etat-major général des Armées et l'Ambassade de France au Burkina Faso, une équipe d'investigation des services de renseignements de la Gendarmerie nationale et de la Police nationale, des services de police judiciaire et l'Agence nationale de renseignement a été mise en place. Le travail de cette équipe d'investigation a permis d'identifier la planque des présumés terroristes dans une mini villa dans le quartier Ragnongo de l'arrondissement n°11 de Ouagadougou.