Le médiateur de la République, Pascal Essou reste préoccupé par la promotion du dialogue politique, la paix et surtout zéro violence au cours des élections prochaines au Bénin. Il a échangé sur la question, mardi dernier, au siège de son institution à Porto-Novo, avec les confessions religieuses et les chefferies traditionnelles.
Centre culturel islamique polyvalent de l’AEEMB au 2209 Boulevard Charles de Gaulle Dans le but d’offrir à la jeunesse musulmane un meilleur cadre de pratique et de promotion de l’islam, l’Association des élèves et étudiants musulmans au Burkina (AEEMB) a initié depuis 2006 un projet de construction d’un centre culturel islamique polyvalent sur le site abritant actuellement sa mosquée et son siège.
Le ministre chargé des Relations avec les Institutions, Gustave Dépo Sonon, a rencontré, hier jeudi 4 septembre dans l'enceinte de son ministère, le Cadre national de concertation des Organisations de la Société civiles, les représentants des confessions religieuses, puis les têtes couronnées. Le nouveau locataire dudit ministère entendait ainsi prendre contact avec ses hôtes en attendant de recueillir leurs problèmes et suggestions pour le développement du pays.
L’association des muezzins Saïd Bilal du Burkina a initié une formation au profit de ses membres. Ils sont venus des mosquées des différents secteurs de la ville de Ouagadougou et des communes environnantes. Placée sous le thème : « Contribution des muezzins pour l’amélioration des activités du mois de ramadan », cette formation se déroule au sein du lycée franco-arabe Mad el miya de Ouagadougou du 9 au 11 avril 2021.
Les membres de la communauté musulmane à Parakou ont également célébré, ce mercredi 10 avril, l’Aïd El-Fitr. Au niveau des différentes places Idi de la ville, grande était leur mobilisation, pour prendre part à la prière marquant la fin du mois de privations et de jeûne du Ramadan.
C'est désormais chose faite. L'initiative citoyenne pour la sauvegarde de l'unité nationale et du vivre-ensemble et contre l'incitation aux conflits ethniques, religieux ainsi que la stigmatisation, dénommée Appel de Manéga, qui couvait depuis peu, a officiellement été lancée le 15 juin 2019. Cet appel, faut-il le rappeler, tire ses origines d'un contexte marqué par une crise sécuritaire et une dégradation continue de la question identitaire. D'où la nécessité d'agir afin que le Burkina Faso ne débouche pas sur des situations plus complexes. En d'autres termes, anticiper face à cette situation «avant qu'il ne soit trop tard». Et pour ce faire, le Comité a estimé que cet appel doit être porté par l'ensemble des forces vives de la nation, selon son porte-parole Lookmann Sawadogo, à commencer par les candidats déclarés et les potentiels aux futures échéances électorales, les chefs coutumiers et religieux, les artistes, les chefs d'entreprise ; bref, des filles et fils du pays qui impactent leurs milieux et le reste de la société. Vous trouverez ci-dessous la liste des signataires à la date du lancement.
Les associations islamiques, signataires du présent appel, se sont réunies le 12/09/2000 à 10 heures à la mosquée centrale de Ouagadougou sous la présidence de Cheik Aboubacar Sana, grand imam de Ouagadougou et président de la Communauté musulmane du Burkina Faso pour échanger sur la crise qui perdure au niveau de l'université de Ouaga afin d'apporter leur modeste contribution à la résolution de ce problème de portée nationale. A l'issue de la rencontre, elles ont décidé d'aller aux sources. C'est ainsi qu'une délégation des associations islamiques, conduite par le Cheik Aboubacar Sana en personne a eu un entretien avec les étudiants au siège de l'ANEB sis au secteur 29 le 13 septembre 2000 de 11h à 12h30.
Le Royaume d’Arabie Saoudite vient d'appuyer, avec une importante quantité de dattes, les écoles bénéficiaires de cantine scolaire soutenues par le Programme alimentaire mondial (PAM). La remise officielle du don a eu lieu vendredi 13 mai dernier à Porto-Novo en présence des différentes parties concernées.
Compte tenu des revenus modestes des populations rurales, les parents d'élèves éprouvent des difficultés à payer les frais de scolarité quelle que soit leur modicité (par exemple 300 francs par mois). Cette situation constitue un obstacle majeur au développement de l'enseignement privé dans les zones rurales, là où vivent plus de 80 % de la population du pays.
Les acteurs de la chefferie traditionnelle et des autres organisations religieuses ont massivement pris part, le vendredi 13 novembre dernier dans la cour du ministère chargé des Relations avec les Institutions (MCRI) à Cotonou, à une importante cérémonie. Il s’agissait de la remise de chèques aux rois, aux têtes couronnées et aux confessions religieuses au titre de l’année 2009. Une cérémonie présidée par les ministres Zakary Baba Body et Marie-Joe Mèba Djossou.
Conduite par son président El Hadj Youssouf Ligaly, une délégation de l’ONG Bourack a apporté des vivres, hier mercredi 23 juillet aux détenus musulmans en carême de la prison civile de Cotonou. Ce geste affable, est la réponse à la sollicitation de la communauté musulmane de cette maison pénitentiaire.